Dossier d`exploitation

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Dossier d`exploitation
Dossier
d’exploitation
Réalisé en collaboration par une
équipe de professeurs d’éducation musicale
sous la direction de Roland Geerstmans
sept 2002
Cet exemplaire est destiné aux étudiants de Mr B. DUBOIS
A des fins d’utilisation pédagogiques.
Toutes les activités proposées sont des pistes qui demandent à être adaptées selon l’âge et le
projet poursuivi par le groupe / la classe.
Pierre et le loup
Notes sur le compositeur
Né le 23 avril 1891, Sergueï Prokofiev apprit le piano avec sa mère et fut élève de Rimsky-Korsakov.
Il en fut un virtuose durant le temps où il vécu aux Etats-Unis (Amour des trois oranges, 1921) et à
Paris (l’Ange de feu, 1927 et Suite de l’enfant prodigue, 1928) et ne s’intéressa plus qu’à la
composition à son retour en URSS (Roméo et Juliette, 1935 suivie de Pierre et le loup, 1936 puis la
5ème symphonie, 1944 et enfin Guerre et paix, 1951). Il meurt à 62 ans, deux jours avant Staline le 4
mars 1953. On retient de lui qu’il fut aussi un grand compositeur national russe ; que bien dans le
courant classique, il ose des constructions bitonales pour exprimer la force des sentiments. L’histoire
l’identifie comme un contemporain, en début de siècle dernier, dans l’émancipation par rapport à la
tradition des siècles précédents.
Notes sur l’œuvre
Sergeï a entrepris cette œuvre dans un réel souci pédagogique permettant ainsi aux enfants de sa
province d’accéder à la compréhension du monde de l’expression musicale. C’est lui-même qui
propose le récit annexé à ce conte musical qui se décompose en trois chapitres :
 La présentation des personnages
 L’action : Pierre lutte contre le loup
 La marche finale
Nous distinguons six moments forts dans la narration :
1. Le chat veut attraper l’oiseau
2. Le loup veut attraper le chat
3. Le loup attrape le canard
4. Le loup veut attraper l’oiseau
5. Le loup veut se libérer
6. Pierre a triomphé du loup
Nous avons deux grandes pistes d’exploitation musicale : la première en une discrimination auditive
des instruments, l’autre en une reconnaissance des thèmes liés à la narration.
Instrument Famille
Origine et date présumée
Œuvres
Violons
Hautbois
Flûte
Basson
Clarinette
Cor
Italie, 1850
France, 1850
Allemagne, fin du XII ème
Allemagne, 1850
Allemagne, 1810
Allemagne, 1760
Brahms : concerto pour violon
Brahms : concerto pour violon
Ravel : Daphnis et Chloé
Berlioz :Symphonie fantastique
Weber : concerto en fa
Haydn : concertos
Cordes
Bois
Bois
Bois
Bois
Cuivre
DISCRIMINATION
Certes, la présentation en elle-même est éloquente et précise. Chaque personnage est bien campé par
l’instrument qui le représente et chaque timbre est sans équivoque. Il ne faut donc pas se limiter à
l’écoute de l’introduction mais bien à une reconnaissance des protagonistes au cœur de la narration.
Attention de ne pas se laisser pendre au piège : montrer une photo de flûte en même temps qu’on en
entend le son ne veut pas dire qu’on a présenté l’instrument. Pour l’enfant, on lui a juste proposé
d’associer simultanément un nom, une image et un son; il n’a aucun moyen de concrétiser cette
association pour avoir une idée de ce qu’est l’instrument (matière, poids, dimension, façon d’en jouer).
On se limitera donc à cette association pour laquelle on reviendra sur le passage musical concerné et
discriminer ainsi le son des thèmes utilisés ou de repérer le même son d’instrument dans les autres
œuvres ci-dessus proposées.
Une autre idée est de retrouver à quels moments précis le triangle se fait entendre. Pour ce faire, il faut
avoir déjà passé le stade de la découverte de la narration et ne plus s’intéresser qu’au décor sonore.
Cette question permet alors de recentrer ceux qui connaissent déjà l’histoire en leur proposant un autre
défi qui les amène à une autre écoute. La même démarche peut-être proposée pour retrouver le
tambour de basque.
THEMES ET TABLEAUX
De la façon identique à la discrimination de l’instrument, on s’attardera ici à reproduire, en chantant, le
thème, la mélodie qui identifie chaque personnage. Fixer dans la mémoire le thème de chacun des
protagoniste permettra de façon plus aisée de reconstruire la narration en faisant suivre successivement
ces différents thèmes. Ainsi, ayant détricoté les divers tableaux et identifié les groupes de personnages,
on dénombrera les tableaux suivants :
1. Pierre sort de la maison
10. Pierre grimpe dans l’arbre
2. Pierre rencontre l’oiseau
11. L’oiseau agace le loup
3. Le canard sort de la maison
12. Le loup tente d’attraper l’oiseau
4. Le canard et l’oiseau se querellent
13. Pierre descend la corde
5. Le chat tente d’attraper l’oiseau
14. Pierre attrape le loup
6. Grand-père vient rechercher Pierre
15. Les chasseurs arrivent
7. Grand-père ferme la porte du jardin
16. La marche triomphale
8. Le chat a peur du loup et grimpe dans l’arbre
9. Le loup attrape le canard
PLURIDISCIPLINARITE
Domaine musical :
Présentation des instruments :
Il faut se munir d’un exemplaire de chaque instrument présenté : pour cela, il faut se rendre dans une
académie de musique ou prévoir une visite thématique au M.I.M. (musée des instruments de musique) ou
encore contacter les Jeunesses Musicales et leur expliquer l’objectif limité de cette démarche. Plus simple
peut-être mais plus audacieux : on se limite à la famille des bois et on fait savoir autour de soi que l’on
recherche pour tel jour une flûte traversière, un hautbois, un basson et une clarinette ou, pourquoi pas,
permettre aux enfants de faire cette recherche en activité d’éveil (enquête en E.D.M.) et de faire venir son
propriétaire à l’école pour en jouer et le présenter. Moment encore trop souvent rare où les membres de
familles différentes (voire indifférentes) se trouvent tout à coup membres de la même famille, celle des
musiciens ; convivialité en prime et certainement valorisation de quelques uns.
Invention de chansonnettes :
Nous avons vu dans la thématique que chaque personnage est effectivement représenté par une mélodie
facilement « chantable ». Pour chacune d’elle, l’on peut aisément proposer au groupe d’apposer un texte
adapté sur la mélodie qui résumera aussi précisément la présentation de chaque personnage.
Pierre : « et moi je vais aller jouer dans le jardin pour m’amuser et courir dans les prés. Même si mon Gdpère, il a dit qu’je n’peux pas, je vais quand même y aller pour jouer. »
L’oiseau : « je suis le petit oiseau et je sais bien m’envoler. Je suis le petit oiseau et je vole jusqu’à l’arbre.
Blblblblbl, tu ne sais pas m’attraper ! »
Le canard : « Et moi, le loup ne sait pas m’attraper parce qu’il ne sait pas nager et que je suis au milieu de
l’étang »
Le Gd-père : « non, je ne veux pas que petit Pierre aille dans le jardin pour jouer sinon le loup, il va sortir
de la forêt pour l’attraper et le dévorer »
Le chat : « moi je vais attraper le petit oiseau et je vais le manger pour mon petit déjeuner »
Le loup : « Ouais, moi je suis le loup et je vais t’ attraper, je vais te manger »
Les chasseurs : « nous sommes les chasseurs du bois, nous venons pour tuer les petits lapins, avec le chien
pour les sentir, on va les tuer »
Jeux musicaux
Faire entendre le son et permettre aux Es de désigner la représentation de l’instrument (photo)
Faire entendre un thème musical et permettre aux Es de désigner la représentation du tableau (dessin)
Entonner la mélodie et faire désigner le personnage ou en prendre la posture représentative (mimique)
Faire entendre le rythme du thème et permettre aux Es de désigner le personnage (dessin)
Faire jouer le rythme ou chanter le thème d’un personnage, celui qui se trompe sera « sauvé » par celui
qui sait jouer le rythme ou chanter le thème de Pierre.
6) « Petit poisson peut-on passer la mer rouge ? » devient « Grand méchant loup peut-on passer la forêt ? »
« Oui, à condition de … » proposer des éléments musicaux : thèmes, rythmes, mélodies, chanter, muser,
lalaler, …
1)
2)
3)
4)
5)
7) Associer les instruments de percu à la place des instruments du conte et faire intervenir chaque
« instrumentiste » quand son nom est cité : loup = djembé ; Pierre = flûte à bec ; oiseau = bâton de
pluie ; canard = castagnettes ; chat = tan-tan ; grand-père = guiro ; chasseurs = cymbale
8) Associer des percus corporelles à la place des instruments du conte et faire intervenir les participants
quand le nom du personnage est cité : loup = taper des pieds rapidement ; Pierre = lalaler ; oiseau =
gazouiller (ou siffler) ; canard = frapper des mains ; chat = frotter ses cuisses énergiquement ; grandpère = claquer la langue ; chasseurs = frapper son torse
9) Associer un mouvement à la place des instruments du conte et faire intervenir les participants quand le
nom du personnage est cité : loup = courir en frappant les pieds au sol ; Pierre = sautiller ; oiseau =
mimer le vol avec les bras ; canard = marcher en canard (accroupi) ; chat = marcher sur la pointe de
pieds ; grand-père = courber le dos ; chasseurs = sauter à pieds joints.
Autres jeux en rapport direct
1) Faire associer un instrument avec l’instrumentiste représenté sans son instrument mais avec la gestuelle
2) Faire mimer la gestuelle et deviner de quel instrument il s’agit
3) Faire des jeux de voix et identifier le personnage correspondant – on peut aussi nasiller le thème de
Pierre ou muser le thème entendu dans le ventre du loup pour créer des intrus
4) Faire un memory pour associer le personnage (dessin) et son instrument (dessin)
5) Remettre les représentations des différents tableaux (dessins) dans l’ordre – ajouter des intrus6) Faire un pictionnary pour faire dessiner l’instrument ou le personnage
7) Cailloux-ciseau propose des rapports de force : ici les personnages ont aussi des rapports de grandeur ou
de hauteur sonore
8) Faire des puzzles avec les dessins des tableaux ou des personnages
Outre le domaine musical, nous avons bien d’autres possibilités d’exploiter la richesse de cette œuvre.
1 - Construction de texte pour élaborer des variantes:
Reprenant les différents intervenants, l’on peut, à sa guise :
1. ne pas faire intervenir le canard (Pierre a refermé la grille): qui le loup va-t-il manger ?
2. ne pas faire intervenir l’oiseau (Pierre ne l’a pas rencontré) : comment Pierre va-t-il attraper le
loup ? Le chat va-t-il essayer d’attraper le canard ?
3. laisser le chat attraper l’oiseau : pas de querelle, pas de complice non plus mais 1victime
supplémentaire!
4. laisser le loup attraper le chat puis le canard : 2 victimes pour quelle morale ?
5. Pierre n’a pas de corde : comment s’y prend-il ?
6. le canard n’est pas mort (avalé vivant) : comment ressort-il victorieux de sa mésaventure ?
7. faire tomber Pierre de l’arbre : le loup va-t-il le manger ?
8. proposer une autre séquence pour une autre suite
Dans le même ordre d’idée, après avoir caractérisé chaque personnage et chaque rôle, l’on peut proposer
d’appliquer la même caractérisation aux personnages d’un autre conte (Chaperon rouge, Trois petits
cochons, …). Dans un conte, le héros a beaucoup de qualités que le spectateur peut s’approprier et le
méchant représente tout ce qui permet de le haïr vraiment, sans scrupules, sans culpabiliser d’éprouver tout
ce ressentir. Plus loin dans cette démarche, on pourra alors tenter de créer un autre conte que l’on pourra,
selon les envies, mettre en scène et sonoriser ou utiliser d’autres formes de représentation.
Caractérisation
Pierre : jovial, intelligent et courageux, le héros qui poursuit une quête
Loup : terrifiant, le méchant, l’ennemi
Oiseau : agile et dynamique, le complice, permet, parfois in extremis, la réussite de la quête
Gd-père : autoritaire et protecteur, la contrainte dans la quête
Canard : imprudent et râleur, « grande gueule » mais victime
Chat : sournois, l’inutile
Canard et chat sont des protagonistes parallèles qui permettent à la fois d’introduire ce qui se passera si on
n’agit pas et de véhiculer d’autres valeurs, d’autres idées moralisatrices dans le conte
Chasseurs : agressifs, l’adulte (qui, ici, arrive trop tard) qui permet de revenir à la situation de départ « tout
est calme ».
Un héros, une quête, un complice, un ennemi qui a fait une victime, une contrainte peuvent alors évoluer en
d’autres lieux, d’autres saisons, d’autres époques, d’autres décors, …
Une autre piste permet d’identifier des champs lexicaux : les mouvements, les lieux, …
ou encore de s’exercer à décrire des personnages, des environnements, des sentiments, …
2 - Graphisme :
On se servira de la présentation des personnages dans l’introduction pour représenter graphiquement la
« sonorité » de chaque personnage en utilisant les couleurs les plus sombres et angoissantes pour les graves
et les couleurs claires pour les agiles, vifs et gais. L’œuvre elle-même les met en scène à plusieurs reprise.
Il y a sept personnages, pourquoi ne pas prendre les couleurs de l’arc-en-ciel et représenter les 16 tableaux
en œuvres séparées ou en fresque (Moussorgsky avait dépeint musicalement 15 tableaux d’une exposition).
Une autre piste est de représenter chaque personnage par des symboliques de formes (cercle, rectangle,
carré, triangle, losange, étoile, croissant) ou de couleurs (rouge, orange, jaune, vert, bleu, mauve, blanc ou
noir) et de créer les tableaux en faisant interagir les éléments symboliques représentant les protagonistes.
Toutes les techniques sont possibles et, avec un groupe averti, l’on peut proposer une représentation
abstraite basée sur la couleur et le trait qui se veut plus épais pour les tensions et plus léger pour les autres
moments ou du trait continu voire « droit » et aboutir au trait discontinu voire « tortillé et noué ».
Une autre encore est de faire dessiner les différents tableaux sur des supports manipulables et les relier en
un cahier : le livre de Pierre et le loup fabriqué par soi-même.
3 Ŕ Eveil :
Exercice topographique : reconstituer le chemin parcouru par Pierre tout au long du conte
Définir la relation entre proie et prédateur : reconstituer un extrait de la pyramide des prédateurs
Il y a plusieurs familles d’animaux : domestique, d’élevage et sauvage : peut-on augmenter le nombre
d’individus en en ajoutant d’autres communément connus
Proposer la reconnaissance des animaux par la différence : plume-poil ou volaille-mammifère
4 - Expression orale, théâtrale :
Chacune de ces nouvelles intrigues peut être mise en scène : costumes, décors, chansons mais surtout
dramatisation. Ce sont les contraintes qui apportent la richesse et la créativité :
pas de texte = avec (ou sans) technique du mime
pas de musique = avec (ou sans) bruitages
pas de décor = technique du « son et lumière »
destiné aux malentendants et/ou malvoyants
mis en scène par des P.M.R., aveugles, sourds, muets
ou encore faire exprimer des sentiments tout comme le canard exprime sa colère envers le chat ; amener le
groupe à exprimer d’autres sentiments dont on aura, au préalable, défini le référentiel : peur, joie, tristesse,
douleur, gloire, …
Il y a plusieurs formes d’agressivité : l’injonction autoritaire du Gd-père, la dispute oiseau-canard, la colère
du canard envers le chat, l’attaque sournoise du chat sur l’oiseau, la menace persistante du chat qui ne cesse
de guetter l’oiseau, l’attaque dominatrice du loup sur le canard, l’insistance du loup pas encore rassasié, les
coups de feu des chasseurs. Peut-on en exprimer d’autres verbales et non verbales ?
5 -Expression corporelle et activité gymnique :
Pierre marche sur le mur et sur la branche, faire marcher sur une planche, une ligne
Pierre tire sur la corde, faire tirer à la corde
Pierre encercle la queue du loup, faire encercler avec les cerceaux
Faire entendre le passage « l’oiseau agace le loup » et faire sauter au bon moment
Une autre piste est de faire exécuter les modes de déplacement des personnages :
Le sautillement de Pierre
Le pas feutré du chat
Les sauts vifs du loup qui
tente d’attraper le chat
Le vol de l’oiseau
Le Gd-père marche
Les chasseurs aux aguets
courbé
et
d’un
pas
non
La marche en canard
assuré (il a oublié sa
La marche triomphale,
cane)
tête haute et regard fier
6 - Représentation spatiale :
« Voici où en sont les choses : le chat était assis sur une branche, l’oiseau sur une autre … à bonne
distance du chat, tandis que le loup, tout en tournant autour de l’arbre, fixait sur eux un regard
gourmand… Pierre grimpa sur le haut du mur et s’empara de la branche. »
Pour imager cette situation, nous aurons recours aux termes génériques autour du point central : l’arbre
Le chat est sur la branche
L’oiseau est au-dessus du chat
Le loup est en-dessous du chat
Pierre est sur le mur
Le mur juste sous une branche
Gd-père est dans la maison
Les chasseurs sont hors champ
Le canard est dans le loup
Sur un même plan (feuille, mur, …), proposer de placer correctement des étiquettes représentant les
personnages.
En situation spatiale de trois dimensions (salle de gym, …), proposer aux enfants de se positionner en
tenant compte des distances relatives et des hauteurs.
7 - Connaissance de la langue :
Un proverbe propose de « tourner sept fois sa langue avant de parler », une expression dit que l’on va
« à pas de loup ». Quelles sont les autres expressions ?
Nous dénombrons 7 personnages. 7 est un nombre particulier, non seulement il est indivisible (Nbre
entier) mais il est souvent utilisé pour caractériser une situation symbolique. Quelles sont les situations
où l’on rencontre la symbolique du nombre 7 ?
Proposer de les rechercher, de décrire les circonstances et peut-être même d’expliciter.
8 Ŕ Morale et philosophie :
Peut-on désobéir ? (l’intervention de Pierre)
Prendre la fuite permet-il d’éviter le danger ? (l’imprudence du canard)
Peut-on demander à un ami de risquer sa vie ? (l’oiseau agace le loup)
Peut-on mettre les animaux sauvages dans une cage ? (le loup au zoo)
Pourquoi Pierre vit-il avec son Gd-père ?
Peut-on tuer des innocents ? (le loup affamé était peut-être une louve, …)
Pourquoi chasse-t-on ?
9 - Situations Défi :
Retrouver à quels passages musicaux intervient le triangle ou les castagnettes
Réaliser un nœud coulant
Dessiner un polygone isométrique à 7 côtés
(nota : il est inscriptible dans un cercle => 360° :7 =51.42° = l’angle pour tracer chaque côté)
Improvisation de texte pour servir la dramatisation :
Tableaux des protagonistes
Gd-Père
Pierre
X
1
X
2
3
4
5
X
X
6
X
X
7
8
9
X
10
11
12
X
13
X
14
15
X
X
16
Marche finale = épilogue
Gd-Père
Pierre
X
A
X
B
C
D
X
E
F
Oiseau
Canard
Chat
Loup
Chasseurs
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
?
Oiseau
Canard
X
Chat
X
Loup
X
X
Chasseurs
X
X
X
X
X
X
Pour alimenter les situations utilisant le nombre 7
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
Contes : les 7 nains, les bottes de 7 lieues, le tailleur qui pouvait en tuer 7 d’un coup
Casser un miroir enclenche 7 ans de malheur
Le chat possède 7 vies (dit-on)
Les couleurs de l’arc-en-ciel : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet
Les péchés capitaux : l’envie, la paresse, la colère, l’avarice, la gourmandise, l’orgueil, la luxure
Les beaux-arts : l’architecture, la peinture, la sculpture, la gravure, la musique, la chorégraphie, le
cinéma
Les merveilles du monde: les pyramides d’Egypte, les jardins suspendus de Babylone, la statue
chryséléphantine de Zeus par Phidias, le temple d’Artémis à Ephèse, le mausolée d’Halicarnasse,
le colosse de Rhodes, le phare d’Alexandrie.
Les croyances majeures : le judaïsme, le christianisme, l’islam, l’hindouisme, le bouddhisme, le
taoïsme, le shintoïsme
Les grands hommes : César, Attila, Charlemagne, Washington, Louis XIV, Napoléon, Hitler
Les planètes de notre système : Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus, Saturne, Soleil
Les nœuds de base : de bois, de chaise, de griffe, de pêcheur, de bec, d’écoute, plat
Les jours de la semaine
Les notes de musique : do, ré, mi, fa, sol, la, si
et les principales valeurs : ronde, blanche, noire, croche, double croche, triple croche, quadruple
croche

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