halloween : the curse of michael myers

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halloween : the curse of michael myers
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HALLOWEEN : THE CURSE OF MICHAEL MYERS
HALLOWEEN 6
Titre original : HALLOWEEN : THE CURSE OF MICHAEL MYERS
Autre titre : HALLOWEEN VI : LA MALEDICTION / HALLOWEEN : LA MALEDICTION DE
MICHAEL MYERS / HALLOWEEN 6
Année : 1995
Nationalité : Etats-Unis
Acteurs : Donald Pleasence, Paul Rudd, Marianne Hagan, Mitch Ryan, Kim Darby, Bradford English, Keith
Bogart, Mariah O'Brien, Leo Geter, J.C. Brandy & George P. Wilbur
Réalisateur : Joe Chappelle
Scénario : Daniel Farrands
Musique : Alan Howarth, Paul Rabjohns & John Carpenter
Disparue et présumée morte depuis six ans, Jamie Lloyd
Carruthers a en réalité été enlevée par l´étrange secte Thorn.
Durant sa captivité, la demoiselle donnera naissance à un
enfant, ultime descendant de la famille Myers. A peine remise
de son accouchement, Jamie parvient à prendre la fuite avec
son rejeton. La secte adoratrice de Michael Myers ne compte
cependant pas en rester là, c´est pourquoi elle libère à nouveau
le célèbre tueur d´Halloween, lui aussi retenu depuis plusieurs
années. Une nouvelle tuerie peut dès lors commencer…
Au début des années 90, la société de production Miramax
Films acquiert les droits de deux sagas horrifiques à succès :
HALLOWEEN et HELLRAISER. Si ces deux franchises ont
bien évidemment connu leur heure de gloire, il est indiscutable
que leur dernière séquelle respective a salement terni leur aura,
du moins sur le plan artistique. Miramax souhaite cependant
reprendre les choses en main et injecter du sang neuf dans ce
qui furent par le passé de juteux filons. L´objectif est donc,
pour HALLOWEEN 6 comme pour HELLRAISER :
BLOODLINE, d´offrir aux spectateurs des films qui ne se
contentent pas de n'être que de simples séquelles mais aussi de
véritables développements de chacun des «mythes» respectifs.
Bien que parfaitement louable, cette idée va pourtant, à l´issue
de deux productions particulièrement chaotiques, aboutir sur
deux films bâtards à l´amer parfum de promesses non tenues…
de HALLOWEEN 5. Moustapha Akkad, producteur exécutif
sur l´intégralité de la saga (jusqu´à sa mort tragique en 2005),
se met ainsi en quête d´un scénario valable, et ce dès 1990.
Aucun traitement n´apporte cependant satisfaction et de
nombreux soucis juridiques viennent de surcroît ralentir le
processus créatif. Une fois ceux-ci réglés, Akkad ressort en
1994 un ancien script intitulé «Halloween 666» que lui avait
fait parvenir quatre ans plus tôt un certain Daniel Farrands.
Passionné par la saga HALLOWEEN, Farrands avait œuvré en
solitaire sur un traitement audacieux et fédérateur à même
d´offrir une cohérence véritable à la tortueuse série. En
l´absence de validation, le jeune scénariste était fort
logiquement passé à l´écriture d´autres scripts avec notamment
celui de RAVE, DANCING TO A DIFFERENT BEAT, porté
à l´écran par le réalisateur Adolfo Quinones.
Particulièrement motivé à l´idée de travailler sur
HALLOWEEN 6, Daniel Farrands reprend donc son travail et
livre une bonne dizaine de traitements successifs. Chacune de
ces variantes tient en réalité compte des contraintes budgétaires
étriquées de la production (cinq millions de dollars qui
finalement s'abaisseront à quatre). Peu à peu, le nombre de
séquences «d´action» est revu à la baisse et le projet perd de
son ampleur. Qu´importe cependant car Farrands parvient
malgré tout à conserver intacte l´essence de son script et d'une
intrigue permettant de relier les différents films entre eux. Pour
cela, le bonhomme fait ressurgir du passé bon nombre de
personnages aperçus au fil des différents épisodes et leur
octroie des rôles d´envergure. Ce sera par exemple le cas du
Docteur Wynn qui, rencontré rapidement dans le premier volet
sous les traits de l´acteur Robert Phalen, s´étoffe ici sous ceux
de Mitch Ryan. Dans le même ordre d´idées, nous retrouverons
le personnage de Tommy Doyle, jeune garçon que gardait
Laurie Strode dans le film d´origine. Tommy sera ici interprété
par l´acteur Paul Rudd et aura pour mission de protéger la
fraîche descendance de Jamie.
Car, fort logiquement, Jamie Lloyd Carruthers, fille de
Laurie Strode apparue dès le quatrième opus, est, elle aussi, de
HALLOWEEN 6 est envisagé très rapidement après la sortie
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retour. Bien que l´actrice Danielle Harris semble s´imposer
naturellement (elle incarne Jamie dans les quatrième et
cinquième volets), ses exigences salariales la disqualifient bien
vite aux yeux des producteurs. Nullement frustrée, elle prendra
sa revanche en 2007, en apparaissant dans le remake de
HALLOWEEN orchestré par Rob Zombie… Reste qu´une
place est donc libre pour un personnage attendu par les fans.
Malgré le peu d´importance accordé à Jamie dans ce sixième
opus, plusieurs actrices postulent pour le rôle. Parmi celles-ci,
nous noterons que Denise Richards, révélée par le STARSHIP
TROOPERS de Paul Verhoeven en 1997, tentera sa chance
sans succès. Ce sera finalement la peu connue J.C. Brandy qui
aura l´honneur d´incarner pour la dernière fois la malheureuse
Jamie...
Difficile de faire le tour des personnages mis en scène dans
ce HALLOWEEN 6 sans évoquer l´invincible Docteur Loomis
incarné encore une fois par le vieillissant Donald Pleasance.
L´acteur nous apparaîtra malheureusement à l´écran très
amaigri et particulièrement fatigué. Sa
première réplique («Moi ? Mort ?
Seulement vieux retraité, tiens !»)
sonne par ailleurs bien tristement
lorsqu´on sait qu´il décédera quelques
semaines plus tard, en France, lors
d´une opération du cœur… En plus de
ces personnages d´importance, le
script de Daniel Farrands ramène
également la famille Strode sur le
devant de la scène. L´homme en noir,
élément mystérieux apparu dans le
volet précédent, reprend lui aussi du
service et, à ses côtés, c´est toute la
secte Thorn qui sera au cœur de
l´intrigue. Les plus attentifs se
souviendront que la notion de secte
était déjà évoquée lors d´une courte
séquence de HALLOWEEN II, laissée
jusqu´alors dans le flou. Le signe de la
secte Thorn apparaissait enfin sous
forme de stigmates sur le poignet de
Michael Myers au début du cinquième
opus… Tout semble donc s´imbriquer
au mieux, et ce sixième opus
s´annonce comme celui qui devrait
enfin apporter toutes les réponses aux
amoureux de la saga. Forte d´un script
solide, la production part donc en
quête d´un réalisateur qui, à l´image
du scénariste, ne demande qu´à faire
ses preuves. Après avoir un temps
envisagé Scott Spiegel, le choix se portera finalement sur un
dénommé Joe Chappelle, lequel vient tout juste de boucler son
premier métrage, le thriller THIEVES QUARTET. L´homme
accepte bien évidemment le projet et signe avec Miramax un
contrat pour trois films (les suivants seront PHANTOMS et
TAKEDOWN). Fort de cet accord, Chappelle laisse de côté les
quelques réserves qu´il a quant au scénario et met en boîte
l´œuvre qui lui est commandée…
Après un tournage sans encombre à Salt Lake City durant les
mois de novembre et décembre 1994, la phase de postproduction sera rendue délicate par l´omniprésence du
producteur Paul Freeman. L´homme n´ayant pu imposer ses
idées lors de l´écriture du scénario, il tente alors de le faire au
montage. Certaines interventions lui seront finalement
accordées mais c´est surtout le décès de Donald Pleasance, en
février 1995, qui viendra tristement perturber le travail de post-
production. En effet, le scénario d´origine faisait (comme
toujours) la part belle à l´acteur et le dénouement du métrage,
via un élan de mysticisme inédit au sein de la saga, octroyait
un rôle charnière au bon Docteur Loomis. Dès lors, Joe
Chappelle n´hésite plus à afficher ses doutes relatifs au script et
déclare même que les nombreux dialogues entre le Docteur
Loomis et son ami le Docteur Wynn «plombent» le métrage.
Les projections-tests lui donneront raison et le public (constitué
exclusivement de jeunes adolescents) semble réclamer
davantage de gore. Ainsi soit-il. Cette première version du
métrage tombera dans l´oubli et se verra, au fil des années,
baptisée «Producer´s cut» ou «Halloween 666 : The Origin of
Michael Myers» par les fans. De ces deux titres alternatifs
particulièrement évocateurs, le second est sans aucun doute
celui qui explique le mieux ce que nous avons perdu en même
temps que ce premier montage…
Durant les mois d'avril et mai 1995,
Joe Chappelle est alors réquisitionné
par Miramax pour retourner de
nombreuses
séquences
de
HELLRAISER : BLOODLINE et
remonter complètement ce métragecatastrophe abandonné par son
réalisateur, Kevin Yagher. Suite à
cette boucherie, Chappelle revient sur
HALLOWEEN 6 de juillet à août
1995. Soutenu et même poussé par la
production, le réalisateur élague donc
son film avec entrain. Les séquences à
suspense sont coupées et remontées
pour devenir plus incisives et plus
nerveuses. Une grande partie des
plans mettant en scène Donald
Pleasance sont supprimés et le
Docteur Wynn disparaît pratiquement
du métrage. Avec lui, c´est tout un
pan de l´histoire qui s´effondre et
sombre dans l´incohérence la plus
regrettable. Mais Joe Chappelle ne
s´arrête pas là et supprime bon
nombre de séquences explicatives ou
de flashs-back destinés à faire le lien
avec les opus précédents. Il limite par
ailleurs l´intervention de la secte et
supprime
la
quasi-totalité
des
allusions au sigle runique «Thorn»,
pilier
du
scénario.
Le
lien
«parapsychologique» qui unit le jeune
Danny au célèbre serial killer fera lui
aussi les frais d´une table de
(dé)montage sérieusement mise à contribution. Au total,
Chappelle ampute son métrage de plus de quarante minutes et
doit donc retourner de nouvelles séquences. La plupart des
meurtres commis par Michael Myers sont alors retravaillés
pour contenter un public avide d´hémoglobine. Monsieur
Strode explosera dorénavant au lieu d´être simplement
électrocuté et le final verra un docteur écrasé contre une grille
métallique. De même, le personnage de Jamie ne sera plus
assassiné à l´hôpital par l´homme en noir mais éliminé
sauvagement par le tueur au masque en tout début de métrage !
L'épilogue, se déroulant initialement dans l´antre de la secte
Thorn, sera pour sa part entièrement retourné. Ceci explique
bien évidemment l´absence presque totale et surprenante du
Docteur Loomis à l´écran durant le dernier quart d´heure.
Après plusieurs semaines d´un travail acharné et sans aucun
doute éprouvant, Joe Chappelle livre enfin sa copie connue
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sous le nom de «Director´s cut». Pour des raisons de
classification, cette version sera encore allégée de quelques
secondes avant sa sortie en salle dans un montage dit
«Theatrical cut». L´accueil critique est mitigé mais le film
parvient à surclasser assez largement l´opus précédent en terme
d´entrées. La saga HALLOWEEN renoue donc avec des
chiffres proches de ceux des troisième et quatrième volets (aux
alentours de quinze millions de dollars sur le sol américain).
Outre les trois montages précédemment cités, nous noterons
qu´à l´instar du premier HALLOWEEN, ce sixième opus
connaîtra lui aussi un montage alternatif réalisé pour la
télévision. Cette version se contentera en réalité de réintégrer
une séquence de flash-back créant un bien maigre lien avec les
métrages précédents.
Aujourd´hui, ce HALLOWEEN 6 (très justement sous-titré
«La malédiction») nous apparaît donc comme un terrifiant
patchwork au scénario nourri d´incohérences en tous genres. Si
elle n´excuse rien, la genèse pour le moins tourmentée du
métrage explique en revanche bien
des choses. La disparition des
Docteurs Loomis et Wynn, les propos
farfelus que tient Tommy au sujet des
runes, le final incompréhensible et la
traque inexpliquée de Danny par
Michael
Myers
sont
autant
d´étrangetés qui trouvent leur source
dans le chaos de cette douloureuse
production. Reste que cela ne justifie
bien évidemment pas tout. La gratuité
de certaines séquences (le meurtre du
journaliste) et l´imbécillité des Strode
(qui décident d´habiter chez les
Myers) demeurent par exemple
d´inexcusables défauts d´origine. De
même, la laideur générale du métrage
et la pauvreté des cadrages ne peuvent
être imputées qu´à un Joe Chappelle
balbutiant et, sur ce métrage du moins,
particulièrement incompétent. La
bande originale, elle aussi, se montre
des plus paresseuses, recyclant et
remixant mollement le fameux thème
de Carpenter jusqu´à l´asphyxie. Là
encore, le remontage du film n´aura
pas été sans impact et certaines
réorchestrations douteuses se feront
sans l´accord de Alan Howarth,
pourtant compositeur attitré de la saga
depuis HALLOWEEN II. Au cœur de
cette décevante bouillie sonore, nous
noterons toutefois le retour partiel du thème de Laurie Strode
(«Laurie´s Theme»), thème qui n´avait plus fait surface depuis
sa création pour le film originel.
Sauvons tout de même de ce massacre des acteurs
globalement convaincants, le personnage de Tommy idéal en
tant que jeune alter ego du Docteur Loomis ainsi que certains
partis pris pour le moins audacieux comme la mort de Jamie.
Malgré donc de bonnes intentions d´origine et quelques idées
intéressantes, HALLOWEEN 6 reste encore aujourd´hui (et
dans sa forme actuelle) l´opus le plus faible de la saga.
Parfaitement conscients de cet état de fait et de la complexité
scénaristique induite par le personnage de Jamie, les
producteurs décideront par la suite d´oublier les quatrième et
sixième opus ainsi que la proposition faite par Daniel Farrands
d´un HALLOWEEN 7 : SON OF MICHAEL MYERS. Dès
1998, ils préféreront donc faire table rase et offrir une suite
directe à HALLOWEEN II (le troisième volet étant un chapitre
«à part») avec un HALLOWEEN 20 ANS APRES à nouveau
axé sur le personnage central de Laurie Strode. La décision
semblait logique mais à bien y regarder, l´imparfaite trilogie
formée par les quatrième, cinquième et sixième volets ne valaitelle pas mieux que l´insipide dyptique post-SCREAM
constitué de HALLOWEEN 20 ANS APRES et
HALLOWEEN RESURRECTION ? Sans aucun doute !
Aujourd´hui encore, la malédiction de HALLOWEEN 6
semble se poursuivre avec un manque manifeste de
considération de la part des éditeurs vidéo. Cet opus est ainsi le
seul de la saga qui ne possède pas d´édition DVD en France !
Pour obtenir une galette accessible aux francophones, nous
n´aurons dès lors que deux solutions : la première étant de se
tourner vers la Belgique (dont les disque sont parfois
trouvables dans les bacs français) tandis que la seconde nous
obligera à importer le disque canadien chroniqué ici même…
Bien que décevante, l´édition de
nos amis d´outre-Atlantique dispose
tout de même de quelques atouts. Le
premier, mineur, est d´être doté d´une
jaquette réversible à la fois
francophone et anglophone. Passé ce
maigre détail, l´insertion du disque
dans
le
lecteur
déclenchera
l´apparition successive des bandes
annonces de HALLOWEEN 20 ANS
APRES et du coffret canadien dédié à
la trilogie SCREAM. Ces trailers
peuvent être zappé grâce à la touche
«chapitre
suivant»
de
votre
télécommande et pourront être relancé
à loisir via l´option «Sneak Peeks» du
menu principal. Savourez-les bien car
ce sont là les uniques bonus de ce
disque Zone 1. L´édition belge sera
pour sa part encore plus avare en
n´offrant que le seul choix du
lancement du film…
Attaquons-nous donc au film qui se
voit malheureusement encodé en 4/3
et, ce, quel que soit le disque choisi.
Sur le disque canadien, le ratio de
l´image s´avère respectueux du format
cinéma avec un 1.85 de circonstance.
Les couleurs sont vives mais
l´ensemble nous apparaît comme
beaucoup trop sombre. Malgré ça, et
l´omniprésence de la couleur noire à l´écran, l´encodage
numérique sait se faire des plus discrets. L´image est
relativement propre, la définition très correcte et les rares
défauts de pellicule ne viendront pas entacher votre visionnage.
De son côté, le disque belge offre un cadrage totalement
différent et opte pour un ratio 1.33 dévoilant bien plus d´image
en haut et en bas. Bien que cela puisse paraître intéressant de
prime abord, cela gâche en réalité une bonne partie de
l´esthétique du film en lui offrant un cachet «téléfilm» qu´il ne
méritait tout de même pas. La définition de la copie belge
étant, de surcroît, des plus douteuses, nous ne pouvons que
recommander le visionnage du disque Zone 1.
Du côté des pistes sonores, le disque canadien s´avère
satisfaisant, puisqu´il propose la version anglaise d´origine
mais aussi le doublage québécois d´époque. Dans les deux cas,
les pistes sont claires et précises malgré un manque de
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puissance évident. La bande-son de HALLOWEEN 6 fut à
l´époque mixée en Ultra Stéréo (format concurrent du Dolby
Stéréo) et c´est aujourd´hui en Dolby Digital 2.0 que nous la
retrouvons avec possibilité d'un décodage surround. En plus
des deux pistes sonores, le disque Zone 1 propose un soustitrage anglais pour malentendants ainsi qu´un sous-titrage
espagnol. De son côté, le disque belge ne dispose que d´un
doublage francophone mixé dans un stéréo des plus plats.
Précisons que ce doublage est en réalité le même que celui du
disque canadien et qu´il est donc d´origine québécoise. Celui-ci
s'avère particulièrement «typé» et tend même à rendre l'écoute
désagréable par instants pour des spectateurs non québécois.
Terminons cette chronique en levant le voile sur le montage
proposé. Nous fantasmions le «Producer´s cut», nous espérions
la «Director´s cut», nous nous serions même contentés du
montage télé mais en réalité, les disques canadien comme
belge ne proposent que le montage cinéma, le plus court de
tous! La déception est donc de mise. Mais ne soyons pas trop
durs car d´autres éditions, l´allemande
par exemple, proposent un montage
incroyablement amputé et privé de
toutes les séquences gore ! Il ne nous
reste dès lors qu´à espérer sans trop y
croire qu´une édition plus riche arrive
un jour dans nos linéaires…
Xavier Desbarats
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Spécifications de l’édition DVD chroniquée
Editeur : Dimension
Zone : 1 - Canada
Format Disque : Simple face/Simple couche
Durée : 88 minutes
Format d’image : 4/3 - 1.85
Format(s) sonore(s) : English (Dolby Surround 2.0),
Francais (Stéréo)
Sous-titrage(s) : English, Spanish
Liste des bonus de l’édition DVD chroniquée
• Bandes annonces
• Halloween 20 ans après
• Coffret Scream Trilogy
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