AWRIOWICES jtm C IA IR ES - Bibliothèque municipale de Senlis
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AWRIOWICES jtm C IA IR ES - Bibliothèque municipale de Senlis
't ‘4 SAM EDI 3 0 iU lL M ü T m t . H “< AVNEE l>U B l U J J i t m . 1Un an. Pour la V il l b .................. Pour t a DarARTiMant Rmr m DarARTBnaav. 9 r r . ««o S » n o if. AWRIOWICES j t m C I A I R E S . Un an. . O V B 'A B O i m ; A S in liR , a u b u re a u d u J o u rn a l B eauvnis, n ” A; A C r a p j, c h e s H . B a r r i , lib ra ire ; ru e d e El«heiiou8le»lmprim eur8elaulreALibralreR S i s m o is . a u d é p a rte m e n t. Un a n . . g o n rn a f p m H 'a a » BIS m o if. f« V B U C B B S m ss& T X O M B : ANNONCES JUÜIClAIBKS«,i& «enU U Uane. AKNOrrcES DIVERSES, id ? ‘ S E ^ I S . and reproche adressé à l’U iiiversilé esl n lalif a 1 eiiseigiienieiit religieux... Elle e s l, disent ses détracteurs, composée d’incrédules. d’Iioinmes qui n’ont aiirune cioyaiice. \o u s pourrions^dire uue chose, c est iiüé, pfiisque l’D nïversilé a donné lagéueiauoiiacluellc, eu grande partie du moins cl que cette g é u éiaü o n , de l’aveu g én éral, est plus religieuse , on au nioiiis (dus respectueuse que celle qui lu nt ëeede, rU iiiveiailé ii*a pourtant pas produit des fruits si détestables. Mais descendons (le ces généralités aux faits. • L’instruction religieuse est aussi soigneusemeiit donnée dans les collèges laïques, soit de I Etat, soit des particuliers, que dans les collèges tenus par des ecclésiastiques. Les pratiques v sont aussi fiequenles e t aussi exactem ent «bsefvée». Hais, dil-on, les pratiques ne snlfiseiit p as; il faut des_manies croyants pour faire des cio y an ts. Ces maîtres so n t, disent les adversaires de l'U niverMie, coiuiue le siècle dont iis font p a rtie , dont ils sont 1 m i a ^ , e t ne m oiitient aux enfants qu’un visage indiirercnl ou incrédule. •O u i, ceshuniines font partie du siècle e t lui tous leurs efforts le m inistre du c u lte, cliargê tle renseigner, mais ne veulent pas l’im poser; ils res pectent dans l’enfunl la liberté de conscience coiiiuie dans l’homme lui-méme; A ucune récom pense n’excite, par des moyens vulgaires e t que les enfants iiiépriseraient enx-mème», l’accoinplisseiueiit des devoirs religieux ; mais celui qui s’y livre ne trouve ni chez les niuitrcs, ni chez J e s coiu^iagnons de son âg e, cette railleiie oppressive qui, d uis des temps a n té rie u rs, a u ra it pu gêner la > libr-rpédcs enfants e t en reten ir un grand nom bre; c t i l ^ t démontré p a r d is statistiques certain es, qui nous ont é té produites p a r beaucoup de col lèges, que la très-giande m ajorité des élèv es, sans FEUILLETON. BÈLOISE DE SORVILUERS. GHRORIQUt illILltlRNKB. X X X V II. L'hoiloge du beffroi avait à peine sonné onze heures demie, que la poric des Cordellers s’ouvre tout doucement, et que le gouverneur et Léonard volent >ortlr deux Individus : e’éiaient le père gardien et un autre religieux. Aussitôt M . de T b o ré cl sa suite vont à eux, « et M de T h o rc tâtant rcsiom ac au père g a r*• dieu : — O ù allez-vous, bon père, si ta rd ? Allez* vous voir la fillette? SI elle est belle, faites ni’cn ■■part, lié quoll bon p è re , je crois que vous avez une » cuiraAse sous celte robe, —• E t ayant tâ té de plus près " e t reconnu que cela était v ra i. Il lui d it : — Q ue * Vonlez-vons faire de cela, bon père? Gela n’est à *• voire usage. A llons, suivez-m ol. » ( i) ^ On les mena tous deux eu prison ; après q u o i, le sieur de T h o rc courut au rem part de S u ln t-S an tin , ca rrh éu re pressait fo rt; et comme il m o n tait, les ven deurs de cerises ouvraient la p o ite d c la maison où ils étaient cachés, appartenant à un.chanoine de Saint— Rieul, nommé G ulllot. A la vue (lu sieur de T horé et de sa suite, ils se rcblotlssent to u t-à-co n p dans l’nlice de cette m aison, et ferment la porte en disant tout bus : Voici line ronde; laissoos-là passer. Le gouverneur m onte, sans les avoir aperçus, et arrivant an c o rp s -d c -g a rd e d e S a in t-S a n tIn , Il recom mande an chef dn poste de ne laisser dorm ir personne, (i) HonumenU inèdiu de t'histoire d e France, pnidiés par Adiielm Bernier, page 4q3. 'X aucune contrainte, pratiqué scs devoirs religieux. Le nombre même allait s’augnientaiit chaque année, lorsque la controvetue aujourd’hui surve n u e , produisant dans ces' jeunes intelligences quelque chose de semblable A ce qu’elle a produit dans la société, a dim inué, aé m oiiisllans quelques collèges, le zèfé religieux. ■■ “ i h • Il s’agii de savoir st des excitations plus directes, pins constantes, lifussiraient à faire des cœ urs plus fereen ts; nous im le croyons pas. • ....S iT o n juge seulement p a r les lois du cœ ur hum ain, on peut ê tre am eéé à la conclnsioii qui semble la ven lab le. Q u’oui songe à l’effet qui se produit su r le c œ u r de l’iinfant, lorsqu’il passe toiit-a-coiip du collège d a ÿ le monde. S i, sous le rapport des opinions lA ra le s, religieuses ou a u tre s, il est surpris d’un «éntrastu trop frappant, ce n e st pas en général collège qu’il donne raiso n , e t an monde qu’il iftnne to rt. Si le collège a ete pour lui un lieu où la religion é ta it respectée, p ratiquée, mais pas im p o # e , il n’a rien dans le e œ n r qui ressemble à Ip rétL lte. S i, au contraire, le collège a été a u tre , s’t t a en quelque chose de co utraint, I entrée dans w m o n d e e st comme la licence après'une ctm irat ' ' ro^ dure. Nous j)ourrions douuer ' ** Aonuetrie^ dé M . in te r s mo su ?% r le p ro jet de lot r e la tif à tIn s tr u c tio n secondaire.) — U ne souscription est ouverte pour restaurer e t rendre an culte raiicieiine église abUaliule de Saint-Vinceiit. Les personues qui contribueront à cette œ u v re, rem ettront la somme qu’ils désirent y consacrer, à M. l’abbé Poultel, ou à l’un de ses collègues. — Le G laneur tenlisien'i déjà renommé p ar sa modestie, sa mansuétude c l son habileté à dénicher les canards, entend conserver le droit de reprendre les autres, e t de leur reprocher, s’il y a lieu, deux II de canard dans le m ot soilécisnu; mais il n’eii' et de se te n ir p rêt à tout événement. P u is II sç coule avec Léonard et ses soldats le long d u m u r de la ville. Il n’avait pas fait vingt pas, q u ’il volt u n huinme sur ce m ur. Gel homme prenant M . die T h o ré pour un des siens, lui d it : — A m i, la m ain! — O u i, répond le gouverneur. — E t d ’un coup de sa pcrtnisane 11 le renverse dans le fossé, lui et un chaperon de m ur avec lui. E n radine tem ps, Léouard cric : — Aux arm es! aux arm es! T ous les hommes du poste de S n in t-S au lin étant prcpurcs, un d’entre eux prend son m ousquet, le pose su r une petite fenêtre d u co rn s-d e-g ard c qui dounnit dans le fossé vers la porte Bellon ; Il verse une rande quantité d e p oudre, avec sa p o ire , dans le î.assiuet, et y met le feu avec u n tison. A la lueur de la vive lum ière produite par cette poudre enflamm ée, il voit tout le fossé plein de m o n d e, et en avertit ses compagnons d’arm es cl M. d e ’r h o ré . A l’Instant le coup de canon d’alarm e se fait en ten d re; le tocsin de N otre-D am e sonne. E t tout le monde accourt aux rem parts. Les ligueurs voyant leur coup m an q u é, se retirent en diligence, et laissent leurs échelles à la place où ils les avaieut plantées. Ces échelles, qui avuieiil été faites, d it-o n , dans le parc du Plessis-G ham anl, ap partenant à Âl. de R asse, avaiimt de gros picots de fer aux bouts d’en b a s , et par le h au t des agraffes nui em brassaient le faite de la muraille. O n les a conservées plus de soixante ans sous les voûtes de la cour dn châ te a u ; et en l ' j z i , on en voyait encore u ne à l’église S aint-Fram bourg. M. de T horé fait alors jeter d e la paille allum ée dansle fossé, et n’apcrcolt plus personne que l’homm e qu’il avait renversé. Ce malheureux avait la cuisse cassée : — D e g râce, messeigncurs, cria—t - i l , ayez pitié de m o i, sanvcz-m oi, je vous dirai toute la v é rité .— Foi de gentilhom m e, répond "M. d e T h o ré , la vie est ir ■ . . ___ tend pas. sa iis doute, qu’on lui reproche deux II dans ; le C onstitutionnelle, J Nous savons bien que les fautes d’impression ne devraieut pas ê tre icprorhables; mais alors pour quoi le G laneur en fait-il nu crim e à un conlière? -L e st -uue vérilable-Ae«rtf^-(liévÙp); ~ (Voir“ les' E p is du p e fit G laneur, Au 18 juillet, à la P * e là la 53*’ hgiie). •“ Jeudi dernier, un chien, qu’on supposait en rage, a mordu la petite fille d’ùn jardinier iiominé r lamand. On craint que ce chien n’cn a il mordu d autres. L’autorité municipale a fait publier, à son de cuisse, qu’on ait à retenir les chiens dans l’inte n e u r des liubitalious, aGii qu’il n’arrive pas de nouveaux accidéuts. ' ' jugi^iiieiit de simple police, rendu le 13 de ce mois, condamne le sieur Berry, boulanger ' a Senlia, à 5 frauc^ d’amende, e t à 24 heures de prison, pour avoir vendu du pain à faux poids, e t comme se lio uvant en récidive. ^ ~ 16 de ce mois, le nommé Du val (François), âge de 47 ans, projiriélairc à Creii, éta it allé, dans la m atinée a-A premont, où il avait bu, peut-être avec excès. Eu revenant de ce village avec le sieur .sàiitaiilé une poignée de sable à plusieurs char retiers qui se tiouvaient à sa portée; ce mouvement lui fil perdre l’équilibre, e t il tomba sur la route. Le conducteur se hâta de fa ire a riè te r ses chevaux; mais il n’é ta it déjà plus temps. U ne des roues avait écrasé la tête du m alheureux Duval, qui laisse une femme e t des enfants. — Le 13 juillet dernier, le nommé. Nicolas Lacuruc, âgé de 62 an s, c lta in tie r chez M. S .... cultivateur à Betz, se trçu v ait dans, une fusse à terre rouge,poiirchargeruti tombereau.Toul-à-coup un éboulemenl eut lieu. M. S ... arriv é au moment où Laconie n’avait encore, que les jambes prises, s’empressa de lui porter secours; un secôud. chou* sauve, si tu veux divulguer tout ce que tu sais. E n effet, on d escen d it'd an s le fossé pour l’ullcr chercher; on le transporta à l’H ôlel-D leii, où il fut soigne. A près le prem ier pansem ent, Î1 déclara tout eu qu’il savait de cette entreprise. Le greffier écrivait sou» su dictée. Après sa déposition, on lit arrêter tous rcu x qu’il avait uonimc.s. Ou trouva les vendeurs de cerises, cachés dans la cave de la maison du chanoine, G u lllo t, derrière un tas de fagots. Tous les coupables furent suppliciés quelques jours aprc.s. Dans une seule jo u r n ée, ou en pendit v in g t-h u it, tant espions, p iè tre s , m oines, corrleliers, qu’autres habitants. U n te Dfum solennel fut chanté à N otre-D am e pour rem ercier D ieu d e ce que cette tentative des ligueurs avait été si heureusem ent déjouée. B y as.slsta un sî grand nombre de per&ouiies que t'cgllse était p lclue, cl qu’il s’en trouvait autant dehors q ue dedans. I l fut Giisnilc arrêté à rh û tel-d e-v illc que le 4 juillet 1 6 9 0 , serait solcnnisc, chaque a n u t^ , en mémoire de l’escalade, comme le 1 7 m a i, en mémoire de la bataille cl d e la levée dn siège de Sciilis. « L’an i6 o 3 , d it Jehan VauUier, les huit çurés et Mautres gens d ’église voulurent abolir celle dévotion » qu’ils appelaient une corvée, d’autant qu’ils n e font »* rien sans a rg e n t; mais le peuple niu rn iu rau t, furent Mcontraints gard er iceux décrets, en plus grande so Mlcnnité qn au précédent, cl carillon des grosses n cloches de N otre-D am e. » Nous avons vu que la maladie d e P ierre M artin e était arrivée à un tel paroxysme que toute ém otion extraordinaire pouvait am ener, dans son é ta l, une crise funeste. ^ ^ / O r, dans la journée du 5 ju ille t, Magdcleine tou jours à l’alfut des nouvelles, vint d ire nu logis dn vieux conseiller, qu’il sc tram ait certainem ent quelque tra hison ; qu’on avait reconnu dans une douzaine de ven deurs d e cerises, de» ligueurs qui s’étaieul introduit» S i.'* du gonvcrneunut, malgré l’adm inistration. Cette lem entsnrvehaiil alors; M. S ... se irouvcliiî-iiiLnic fois Lam bert a été conù&iriiié à' 15 jo u rs de prison; il eu ilanger. O u accourul à ses cris; ou piil le u ’aittie pas le travaiW cependant il reviendra dans saiivifl*f mais le tiia!ticurcut LacorU^ ii’exislait la maison d ’u riê l, fiarcequ’il en sortira bien repu, plus. . . . bien approprié. Il y reviendra, c a r on lui a ouvert _— M ercredi| 10 de ce mois, eiilrc ciii^ c l six la porte qu’il cherchait; on l’a placée pour.denx , heures du soir^ Ica uoinvttés laU lcw d<i- « n s i sons la surveilla.tice de la Uaut«^|iolice, limes, c l P . . .5., ch arrelier à L iancourt, ap rès de n’aura qu’à ù a ia iirc d ^ s ràrrondissem eùt de ^ n uoiubieuses iibaliuiis, eiiUèrciU chez uiicalM retier lis , pour aller sc repérer quelques jo u rt^ lorsqu*il c l dciuamlèreiil un lilro d’eq|U.de*Vie; le déliilaiil ijera fuiigué de purcQurir la cam pagnet.. . leur fil des représculalious qu’ils n’éçoMlèreiit . M. l’Adjoint du maire^ de L;\|^iydc-3eo Avail pas, e t iusisièreiil pôjur obtenir la q aëiililé de liqueur alcoolique qu^its avaieiil demandée e l qu’îls- é té èjipcié dernièrcmeiSt |>oui' r é t a j ^ ^ o r d r q i|a|i||> trti ta b a re t où plusieurs pei^oinieff sc b a lta ien l; Vt bureiii îinmédiàlemciit. Ces dcnx^ inallieiim ix celte mission était rmnpiic, lors(|iie regagnant soti fureiil bieiitdl plongés dans le som iueilile l’ivresse dom icile, où sans doute sa société l’attendait ^car le plus proroiid. Le proniier a payé de sa vie sa c’é té it lu jo u r de la fête), il est accosté ,it la p û rV fatale iiuprudciice;* c a r il csl luorl dans la iiuil du d’im autre cabaret par un jeu n e homme appelé leiidi’inaiu, m algré les soins du docteur Cazaiivieilli. Prosper Leduc, q u i, iipiès quelques compliments l^e second, api es s’c lre longtemps roulé su r la voie usités dans la cam pagne, d it àu roUclionnaii'e : j e ]iubliqiiedans l’é ta l le plus houleux, a été rainasse respecte vos trois couleurs t m ais q uant à vous, Je par sa malheureuse iuère. Puisse la uiorl tlo son vous e m m .... M. l’Adjoint éta it évidem m ent dans cam arade lui serv ir de leçon I l’exercice de scs fonctions, e t décoié de son — U ne véritable icbullion vient «l’avoir lieu écharpe tricolore; aussi pensant qu’il ne devait dans la coiniuiinc de Porquériconrl, pour le inolif point digérer , on silence une apostrophe de cette que nous allons faire conuaîlrc. Le 3 couranl 60 n a tu re , il résolut d’einfairc rep en tir le coupable, ou 60 h abitants se sont réunis c l sont allés conduire «pii aujourd’hui rendait compte do sa conduite leurs bestiaux pour le pâturage, dans un teriaiii devant le tribunal. appui te n an t à la commuinv où sont plantés BL le P résident, après la m orale paternelle )>i‘auéoup d ’arbres de différcutcs nature : le lei j ain adressée au prévenu, detpinnde à M. l’A djoint à e st ciitoirré de fossés. Cette petite troupe éta it quelle heure ces fai|s s’é ta ie n t passés. Il était une principalem ent dirigée p a r le sieu r Minard Cbarlclieiiie du m atin, répçnd le foiictionnairc. Une inagnc, qui c sl m embre du conseil municipal. L ’a d jo in t-d e la'com m iinci assislé-do-la-|fendar»- lieiire-du- matin l_ £ n -v é rité ,-.M o n sie u r JW Ijo ü il. nous savons bien qu’on ne doit à aucune heure du incrie, ayant signifîc une défense à ses habitants, jo u r ou de la n u it, e m m ... un ad jo in t, mais si lé sieur Minard p rit la parole au nom de to n s .. vous l’ayez été au moment dont il s’a g it, il y a L’au to rité n’ayant pas clé convaincue p a r l’élo* beaucoup plus de votre faute que de celle de la quence du sieur M inard, les insurges n’en oiit pas mauvaise éducation de vos adm inistrés. C 'était la , moins comblé les foS^s malgré ses avis réitcrés; fêle du pays sans doute, mais adm ettant.une tolémais aussi, proccs*verbaI a clé dressé, e t tons ont i ancc d’une heure e t demie en raison de la circons été rappelés par m andat de coiiipariition d ev an t' ta n c e , les cabarets auraient été ferm és à minuit , M. le juge d’instruction de Compiègiu*. C’est un le gpossier personnage, que vous traînez dévaiit les curieux procès qui se prépare pour la police cor juges aurait été couché; e t il y a apparence q u e le rectionnelle. lendemain il ne vous au ra it pas saliic aussi vilaine — M**'la duchesse de Neinoura e st accoiic-hce m ent à une heure après midi. C ’e st donc vous qui bcurcusem oiit> au palais de Neiiilly, le 12 juillet êtes lu prem ier coupable, m ousienr l’A d jp in t,e t d e rn ie r, à midi 45 m inutes, d’nu enfant du sexe vous êtes cause que le tribunal a été obligé d’en niasculiQ, qui a reçu les noms de Ferdinand-Phivoyer le m alheureux Leduc réfléchir pendant Iqipe-M aried’O rléan s, duc d’Alençon. l i a été bap 8 jo u rs dans une cellule de la maison d’at'rêt. tisé à N euilly, le 14 ju illet, p a r BIgr. l’arcbevcquc — Le nommé Elluys L aurent com parait aqjpufd’hui devant le tribuual pour coups, e t blessures de P aris. Le parrain du jeune prince cst S . M. le R oi de envers sa femme. C et homme se livre souvent à la <»wAcdf-st.«ev>lrw«*iU.zlaM9 P o rlü g al. R; Il csl âgé d e 26 ans, il a deux enfants, il e st bon M " h iliii'liiisse (le N em ours, ic p rc se u ié j |iar o uvrier en soie. Q u’il sc rappèle donc qu’il peut S , A . R . M™ la p riucesse de Joiiivillc, a voir devant lui encore un forl loiig avenir, e t que c est par le défaut de conduite du jo u r qu’on éiiiTlUBUNAL DE 1>0UCE œ R U E C T IO N N E I.L E poisonneson lendemain. Il a été coudainné à huit D E S E K L IS . jo u rs de pi ison. A udience du 17 J u itle l I 8 H . G illand, dem eiirant à Scnlis, âgé Présidence de M. BouCnsact. deT O ans, est affligé d’une surdité qui rcuhi ê'cbé Le nommé Lam bert est ettcoré iiii jeune lioinmc; d entendre ce que lui disent les juges devant e l cependant il a déjà subi de noihbi^eiises coiidaiiilesquels il est traduit, sons la prévention do vol nations p our vagabondage. M. le P résid en t lui d une bêche ou loiiehct, e t dhine tim bale en demande pourquoi il a déclaré être soumis à la aigeiit. Gilland se croit fort de son innocence p ré surveillance, e t Lam bert rétmnd ; cV/ofV p o u r me sente, e t de scs aiitécédens, aussi s’explique-t-il en fa ir e arrêter. C’e st un liomine qui court d e prison lia nit, t quoiqu’on lui fasse observer qu’il n’v a pas de en priso n , e t se rend ainsi pciisiounaire boursier quoii lire . i! ' i ,y» l l f '!' Vf dans la pince,' sans doute pour la surprendre; que ]VI. de T h o ré avait fart mcilre de» émissaires à leur ))onrsnîie ; mais que les prétendus vivandiers, nverlis à tem p s, seln ien t probablement cachés dans la maison d un tra ître , et qu’on ne parvenait pas à les dépister. / ) La pauviy Alagdelelne ne se doulail p a s, dans son ard eu r patriotique, du coup qu’elle portait au père de L éonard. Ce doyen des vrais patrioles «le S enlis, n ’a vait pas pour son pays une de ces tlèdcs affcclions, que la plupart «le ceux qui se di.senl bons citoyens, sont louiours nréls à sacrifier à leurs iiiléréls personnels. Aussi la nouvelle apportée par A lagdcleine, im pri m a -t-e lle a I instant une traee de profonde in«|tiiélude su r la longue figure pâle de sire Alartine. Il sc fil répé te r mol pour m ol par l^ym illc Mug tout ce qu’i llc sav ait; el h mesure q u / l l e ^ r l a î t , mie toux sèche et fréquente, et une l.-ichri ronge se peignant su r chaque [>omn»eltedes joues d n W l a d e , annonçaient une crise prochaine. Lorsque le sieur de T h o r é ^ n pon avant le coucher dn soleil, fil p o rte ra Ijéonartl j ’urdre «le venir le tro u ver pour affaire de ccliii-ci ne voulant pas quitter son p ù rc ^ d a u s une telle circonstance, allait lem ettrc à l’envoyé dn gourcrnciir nu b illet, dans lequel il m otivait la nécessité ponr lui de rester ee soîr à la maison paternelle, mats sire A larlinc élevant la voix avec effort : ~ Allez, A lonsietir, où l’honneur et Je devoir vous appelh-nl ; si vous ne voirs rendiez pas «i I ordre de M . «le T h o ré , vous me forceciez de in’y rendre à votre ph«cc. ^ Celle menace de prendre la place de son fils, dans i’élat où se trouvait le m alade, élait un véritable accès «l’héroïque folie. Mais on savait ronsièrc v ieillard , (Mpable d 'en trep re n d re p ar force m orale, une dé m arche aussi im possible à scs forces physiques. Sa volonté était absolue. D ans celle maison toute de disci pline cl d ’h ié rarch ie , on obéissait mémo à un cliu docil du maître avec autant de prom ptitude cl de ponclonhie que si e’«fî| été cnm inandenient sorti d ’une bouche royale. Léonard oliéit d o n c, mais non sans recom m ander à M ngdeleînc de venir l’av ertir chez Al. de T h o ré, si son père nllnit plus mal. U ne heure environ .iprès le «lépart d e L éo n ard , le vieillard qui semblait plus calm e, ordonna à Alagde— lenic d ’.oller aux infornialions, et de venir Ini rendre com pte de ce q u ’elle aurait appris. L a vieille Alag so rtit; cl comme tout le m onde la connaissait, cl l.i savait dévouée corps el fime à la cnüse ro y ale, les gens dc.s postes ne eraigmiîcnt pas de s’en treten ir en sa prcsence d e mesures q u ’ils auraient cru devoir cachet'à toute an tre personne. Afagdelelne e n Umdil d o n c, ou crut cn ten d feles hommes dn poste de b ain t-S an lin d ire entre autres choses q u ’on était dis posé à déjouer la tram e «Ip l’ennem î, sans répandre I alarm e, et mie le tocsin ne sonnerait q u ’en cas de danger réel. Elle sut aussi que m inuit était l’heure à laquelle «levait avoir lieu la tentative. Sire M artine ne voulut pas sc coucher avant que 1 hmire fatale ne frtl passée. Tous les gens de la maison veillcrent donc autour «le lut. Le vieillard était assis dans un l.yge fauteuil, la iéic penchée su r .ses deux m ain s, qui la soutenaient ; et ses longs cheveux blancs, <|ui brdlnieul a la clarté d ’une lam pe, seinblai«'nt u n e auréole aulPiir de celte tête vénérable. A quelque dis tance derriW c lu i, s’était placée dam e R rigiite, ayant a la main ud ouvrage dcinpisseric. el levant de femp.s en temps .cé yeux d ’un a ir inquiet. Cinq on six dômessexes, nu nombre desquels se Iciuiil MagUcleiitc, confusément groupés, so livraient eu silence a des travaux divers. U n v ieu x c h ie n , co m p ag n o n a ssid u d e s îie M artine ‘ «Ions ses d e rn iè re s a n n é es, é ta it co u c h é à ses pied s. i c i était I aspect de la cham bre .à coucher du vieil lard , nu inoincnl où minuit sonna. O a a beau d ire,cl faire, G illand n’a pas vêlé là bêche plus que la timbale, il lie ra it pas.même ce qn’oir'veiit lui dire. L à^im bale n’a pas éCé'^i^Q ; véo, mais l’instnim ent de jardinage élait caché sous un four, e l séparé des a ntres outils qui appar. serv ir dq sitôt, il Vn^stfi 'voulu pi éserver de l’hii. lotdîté. Bfais Icf pràveirtf a é té yti^revenant seul de ^int<|Nt,C0las, liiôni de la bêche> p i la,) Gilland prouve vclair çominf» Jpur: V^ léâf témoins lÉfenleiit ; car, il ii’a pàs qu itté sa fèmihc un seul instant e t pour plus d’assurance de cette vérité, on entend sa femme qui élève la voix du.loiid de rqmdttoirc afin d ’appnycr la dernière vérité que sou m ari'viciit d’av ancer. C ette femine n’a pas eu dans cette entreprise le succès qu’elle avait cs|-.éré; M. le Pié»ident l’ayanL appelée et lui ayant de mandée «le s’expliquer, le m inistère public lui fît , com prendre, ce qu’elle savait sans doute fort bien déjà, que si son m ari av ait commis les vols qiii lui é taient im putés, c’éta,it peut-être à son instigation. Eiiflti malgré les dénégations obstinées dus époux, G illand seul a été condamné à 3 mois de prison e t aux frais. Nous disons Gilland seul; car nous petisons qu’il est à i*egretler qu’il n’y ait p.is eu contre la femme du prévenu le moindre indice de conseil ou de participation, bfîii de la faire rep en tir de prendre intem pestivem ent le ton de bravade e t d’im pudence. Aj >rès le prononcé de ce jugem ent, la «lame G îllànd a dU à'TüiT ihai^ r - ^ 'â s d » éntêiûru?"— ^ Noii, d it le m ari. — E t bien M. le juge te con damne à tiois mois de prison, ca Rapprendra. J K'AGSlEAir VOU ftSU lV l VAB. X.E 1.0UE. VABtB. Un innocent agneau paissâit dans la prairie. ■Sire loup, qui le voit, s u r son indiviaii lloiiiiélemen^ jette son déyoiu.. . Trop illégale est la partie. Force est de Tuir à l’aiiiinaM ielanl, Qui, denii-inort et d 'h o rre u r palpitant. F ait maint'Ct m aint ciTort ;>our conserver sa vie. Il allait succumtier, quand it v oit un buisson. Vite il court s'y cacher, il y trouve un asyle; Mais, quand ilf a u t s o rtir,'à la ronce incivile It est co‘'nlraint d e laisser sa toison, Heureux d ’en ê tre quitte, ainsi qu’onde peut croire. « Pauvres p laideurs, hclasl c'est bien là voire liisloire! ■ (P a r u n plaideur.) Zi*AliE1i a E D E M E S COIVFAÈX&ES. Parrum é do rose et d'oeillèt. Etourdi comme u n vrai biquet Il promène son Tcu follet I>e la plum e nu petit bonnet; Auprès d 'u n tendron qui lui plaît Dénie u n galaut clupclei, Dérange u n peu le m an lclit, Ilaise la crt>ix,'de'brneelet, -Dfi uU libn m at, tourne un couplet, ‘ . OsgQ d ’.UU bonlicur (rèsrcomplet; A table, en m angeant le poulet, R it au nez de m aître Rollet, Rt glisse à madame un billet. Sous l'assiette ou le gobelet....... Tout jeu n e clerc a d u toupet I ( P a r un clerc d'affiuê.) Ije P roprtétairc-C érani, ilKUMgR T o u l- à - c o n p le c a n o n d ’a la r m e re te n tit; le tocsin f a it e n te n d re son g la s lu g u b re !' ^ — Sainte T rin ité ! s’écrie P ierre A larlinc en se le vant de son siège, el tendant les mains vers le ciel...! A u m êm e in s ta n t sa face d e v ie n t p o u rp re ; il veut c o n tin u e r, sa la n g u e .s’é p a is s it d a n s sa bouche, s.en y e u x s e re n v e rs e n t, il c h a n ce lle , il retom be d an s son fau te u il D a m e B iig iilc j e tte u n cri e l s’élance... q u a n d e lle a rriv e p rè s d e so u é p o u x , il est é te n d u sans m o u v em e n t. L e ffroi est a so n c o m b le ; o n s c presse a u to u r de co c o rp s in a n im é ; o n vole c h e rc h e r d u secours. E n a llc iid a iit c e u x d es h o m m es d e l’a r t , o n len te to u s ceux qui sc pré.scntcnt c o n fu sé m en t à de.s im nginnlionà bouicvçrsees. L e s t en v a in , to u t e s t .sans succès. L e méde c in , q u i est enfin a r r iv é , d é c la re q u ’il n ’y a pins rien à fa ire p o u r I illu stre c ito y e n , q u e d e Ip p o r te r dans le b e u o ù rep o se n t scs u n c c lre s. ________ {J^aJinau prochain numéro.) ÉNXGME. Nous sommes des ê tre s barbus, A l’a ir cafard , nu m aintien hypocrite, A llant, venant toujours pieds nus. Lorsque la faim nous solfloitc, Nous allons linm blcm cnt quêter Ce q u 'il nous faut pour sulMi'stcr, Puis nous faisons les Imns apôlrcs. Chez nous parfois on trouve des chartreux; F,t quoique leurs h a b iu soient dilTêrcnU des nêtrcs, Comme parents nous vivons avec eux, CHARADE. Mon prem ier est u n a rb re en fbrm c de quenouille; Mon second est un p o rt où plus d 'u n vaisseau mouille; Mon to u t, |>ropre au lo y er, est su je t à la rouille. L e m ot d e l'én ig m e d u dernier numéro est : vzas; C elui du logogriphc est ; Rocuea-aocuK'Roc. i A N N U tN C e â a ü D IC * A J« E S v — — - 1 .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I Etude lie W J ules TH EU RY , 'avoué à S en lls^' successeur de MM. B k«thob ct-DuRAUTiH. ' • 'P D R G Ë " l é g a l e !. L’an mil h u it cent.qnarànïe«quatre, le vingt jiiilletyiiita *le Mi l^iét^^ë-Jdaiéhiiiiï.èfêvre, propriétaire, e t de d^me Zoé M ouroult, son épouse, qu*il autorise, demeurant, eusemhlé à P aris, rue Olliyiers-Sauil-Geor^es, n“ 9, . Lesquels élisent domicile en l’étude de Jules Tliem^y, avpué. près, le tribunal civU séant à Senlis, y denlièhrant, m e du Cbâiel, J ’ai, Scjpion pieux» huissier audiencier, près les iribunaux dé prèinièrc iiistànCe e t de paix séants à Senlis, .y d e^ ^ u ran f, patenté du 15 jan v ier (tei’iiier, sous le n* 439, 3"* claisse, soussigné, Notifié, et avec celle des jirésçiilcs laissé copie à M. le Procureur du ïlo i, près le tribunal civil scaiilà Seiiiis, en son parqiiet ou é ta n t et parlant à sa perspnne, Lequel a visé le présent; < D’un acte fait au grerfe du tribunal éivil de preinière instance séant à Seiilis, le diX'Sept juillet présent niois, enregistré, constatant le dépôt audit greffe de la copie collalionnée e t enregistrée, d’un coiifrat passé devant M * Ducloux e t Deandenopi-tlc :Lainazêi 'iio taires“ à rP a ris , lc prem ier; juin 1841, cn reg istic, contenant vente par inadamé À nioinelte*Ëiiennelle* G eneviève Ciie* vrier, veuve en prem ières noces de M. EtienneFrancois-Nicüla^Noéi Lubjond, ç t épouse en se condes noces de M. Louis-Pàul Delacqnis, proprié taire d’avec lequel elle e st séparée coniraclitelIcinenl quant aux biens, aux term es do leur coiilrat.de inai iagc, ladite dame dûm ent autorisée de M. Delacqnis, son m ari, denienrant avec ce dernier à la G alandrie, commune de Saint-Cyr-siirLoire; piès Tours (liidrc-el-Loiiv), au profit des rc(|iicrauls, de : l “Qiiii»ze hectares douze ares soixanlC'quinzc centiares île terre, situés terro ir de Ciliamant, lieu dit l’E))ine, le long de la chaussée D runchaut, tenant du midi à MM. B ertrand, Leduc, B ernard, Hcrbct, Baillot et autres, du nord à la chaussée Bruueliaiit, du levant à MM. J a rry e t Gliambellant, du couchant à M, Leblanc, et au chemin de Cha înant à Munllévôijue, où elle aboutit en pointe; 2 ' Sui^ahte-ùn arcs cinquantè-qiiatre centiares, au inèinc te rio ir, au noyer de la Rochée, audessus du moulin, tenant d’orient à. M. Lefèvrc,^ requéiant, du couchan'l au môuie, dh' iiiiu i'& la rivière d’Annoito, >nt d iiinord à l’article cinq ciaprès; • . S" Six hectares trente-cinq ares quatre-vingt-dix centiares.de pré, appelés la piairie de la Rochée, au inéiiie terroir, tenant d’un bout d’urieiil à la ri vière, e t à un pré, à 51. Alarlot, d’occident à M. Batllèl, et aux prés de la commune, du midi à 51. Leblanc et antres, e t du nord à la rivière d’Aiinclte, c l h 51. Lefèvrc; 4° Q uatre hectares quatre-vingts ares neuf cen tiares du pré, au même terro ir, v ers Bonsecoui't, tenant du nord à la liv ière, du midi à 51. Leduc, 51. Néron, 51. Baillot, héritiers G.risou et Pelbois, d'un bout du levant à 51. Nouvelle, e t du couchant a M. Kauvellc, acquéreur du prc»de 51ontlévé(|ue; 5” Viiigt arcs ci.iiquante-uii centiares do terre, dans la côte du moulin, au-dessus de l’article deux, ci-dessus, an même terro ir, lieu d it le noyer d e là Uocliée, tenant diim idi audit article deux, du nord, du levant e t «lu couchaid.a 51. Lefèvre; 6" Onze ares quatre-vingt-dix-sept centiares, au ineinc tei roir, proche les m urs de la grange aux huitps, tenant d’un côté au sieur Nouvelle, d’au tre coté à.Jacqucs Cogiiard, d’un bout au clicinin de Compiègne, c l d’an tre Iiont à Louis Pelbois;. 7° Vingt ares cinqiiantc-iin centiares de terre, même tei roir, au-dessus de la Rochée, tenant d’un côté aux héritiers^ Delafoç.se, d'un bout au s.i.eur Louis Pelbois, d’au tre bout au sieur Nouvelle; 8” Quarante<Kleiix a r e s ‘quarante centiares, au terroir tie Baiagny, au haut Marion ou les Vignes, tenant du nord .à l’article onxe ci-après, du midi à la vciivo Loire, dii.levanl.à l’article neuf ci-après, du coiichan.l.à M. Paschal Mellier; 9“ Q uatre-vingt-deux ares cinq centiares de Jprrc, aux mêmes terro ir e t lieu, tenant du nord à 1 article onze ci-après, du midi à la veuve Loire, d orient e t du couclianl aux articles h u it e t dix; 10® Trente-deux ares quatre-vingt-deux centi ares, aux mêmes terro ir e t lieu, ten an t du couchant a la pièce précédentp, du levant à 5 |. Lpfèvre, du midi a la veuve Loire, c l du nord à l’arliçlè onze ciapres; I P Vingt-six ares dix-huit cfipliares, aux mêmes terroir e t lieu, tenant du nord au choihin d’Ognoii, du midi au x articles Jiuijt, uçuf e t dix, e t à 51. Le- X fevrc, du levant à MM. 5Iarlot e t Legrand, et du couchant ^ M, L t^rapd^ , 12® E t ühlicciare ireiit^ère^^ centiares, aux mêmes le rro îr d |ieb , dont p a rtie en friehes, te u a n t à 51M. 51arlot e t I^g ran d ,.d u nord, d’orient au nouveau éhjbmin^^a U è lg en è t'{ rlm l^ ly ;^ d ’occ id e n là 51. Lefèvre, açqqérenr de,madame Levasseur, e t du midi au ctieraiii de Cbam ant à Ogiion; Deuxièincmeni, de 5J, Lemoiiic, 5ii i|oin è t comme se portant fort de la cOnuÛiiiie de Duvy, d un larris eu culture, situé à DuVy, près le' chhciiero dndft f/eâ, ooiitèiiaiit environ cinquante-six ares> formant lé 2’’® Idc de la dé.siguotiôn, e t cemoyéniiatit lasonim ede quàlre m ille sept cent cinq ■ quante fra n cs de prix priacipol, outre h-s charges <et conditions de la vente; . ÇC', raoyeiHiaùt ,4^ sdmihé dc quarante miUe ^ Troisièmement, de moridit éieur Lemôiiic, en ^ c l^ t ^in ^i-h uit^râncs, TTcprix 'principal,'OÜtre jSon nom personnel, d’un jai'din planté d’hrbres les^eharges exprimées audit cOnirat. • i !fruitiers, clps de m urs, sit^é ai|d il P uyy, ru e d’QrLedit dépôt effectué poûr parvenir à purger les jlcans, près lu ferme dps Tour«p(|e», .QÙ.élait auH'q. hypothèques légales pbttVânt'^fereVer les biens fois la chapelle de-Saiiit-Sulpice, contenant pnyivendus. ■' , . : ^ .ron six aies cinq ccntiaiésj forinaiiVlè qiiatiièm e Déèldraut à 'M .^le Prècureiir du Roi; premiè lot de la déMgnatioii , e t cp moyennant la soininc rem ent, que les anciens propriétaires desdils biens de s ix cent cinquante'frpncs de prix, piiicipal, sont ! outre Al*”* Delacqnis, sosn'oinmée, outre, les cliarges'; ‘ . .. > i P M. Elieime-FraAfcoiS-Nicolas-NoiîI Leblond, ^}ualrièmcmei|l|i,^ PI dp,-^eur(P9< ^ l , d’un tcr2^ 51. Noël-Nicolas Leblond, père, 3® madame Ciaraiü ci-devant en p ré , acluelicment planté en osier, n s sc D uchesne, son épouse, 4» niadamo Mariesitué an uiêmc terroir de Duvy, aU bout e t p rè sie Bellonne Leblond, épquse de Claudc-Aimé Petit, clos des roiirliollos,'. contenant environ .trelitc5®51. Leblanc, 6"51.de Bernard, 7 'm adame de Beaiiquali’o arcs vingt centiares, formant le ti'oisièiûe regard, veuve de B ernard, 8 '5 1 . Aloqitel et son lot de la désignation, e t ce moyennant la som m e de ■ epoiise, 9“ 51. Bouchard, 10' veuve e t hériiicis (inq cents Jrancs A e prix p r in c ip a lo u tr é le s • Loire, 1 1« 51. Antoinc-Réiié Loire, 12® M. Eiienuc charges; —l e s q u e l s im m eubiesontéléainsi vcn-i LeblüiuL 13® le d istrict de Senlis, 14“ la fabrique dus e t adjugés par suite de iâic imm obilière, pdin'- ^ de Balàgny, 15® M. Loiiis-Nicolas Beîdame et son suivie à la requete de M. A nguste-Robert^Giii-épouse, 16® les h éritiers de 51“^ de. BreUmil, bourg, notaire honoraire, dem curaat -à' SonUs> • 17® 51. Vigneron de B reteuil,. 18? 61®" Truyartl de contre 1® le sieur Jean Ghamgarnier p èfe, piarC hantcrcinc, son épouse; chaud farinier, e t dame Cfillierine Pao)us, aon . D ruxicmcmciit, e t que tous ceux du clief des épouse, dem eurant a Duvy. 2® MAL Àdolpiie-Niçot]uels il pourrait être^rèqiih! ité s” iuscrijilioïis -las-AlichcleiTTUotaire; crH eiirrG «rèrèt, marcEaïid pour raispii d’Iiypotlièqucs légales ' ii’éliiiit pas farinier, demeurant toiis deux à Senlis, au nom et connus des rcqiiéraiils, ceux-ci feront publier ces comme syndicè délyiilifs de là faillite .dédit sieur présentes eu la forme prescrite par l’avis du coiiseil Jean Ghamgarèici*; d’état, du neuf mai 1807, sanctionné le premier Ledit dépôt effectué pour patVenir à p u rg e r les juin siiivaiit, hypothèques légales pouvant grevfer les biens vendus. î > . A ce que M..le P rocureur du Roi n’eu ignore, et je lin ai en p arlant coinme dessus laissé copie de Avec déclaration à M. le P rocureur du ro i, pre 1 acte de dépôt sus relaté et du présent. m ièrem ent, que ladite notification lui éta it faite Le c en t est de h uit francs huit centimes. pour qu’il a i t à reqaéiüi;',!dàéa léTi^ai d e d ro it, et au profit de qui il appartiendrait,,l’inscription de . Signé D i e u x .. toutes hypothèques légales pouvant grévgr lès Vu e t reçu copie du préw iit e f d e l’acte de biens susdésignés ; dépôt y én o iic é,'a a pa'rqiikt'da tribunal civil de Senlis, cejoiird’liui, 20:juil|et 1844. D euxièm em ent que les anciens propriétaires desdils biens, outre les vendeurs ,.claieiit : l? JeanSigné A. M a e ie . Louis Demoncy; 2® 5l'~ Auioinelte-Rosalie-Josepho E nregistré à Senlis, le vingt juillet I8 i4 . Reçu P a re n t, veuve en premières noces de M. Jean2 francs 20 centim es, dixième com pris. Louis Demoncy, en deuxièmes noces, do 51. AngeSigné D e f o x t a i s e . Zicharie-V ictor Ila ra n l, ét épouse cn'troisièm cs Pour insertion. . ÿ j noces, de AL Jean-Etienne Sim art; ^® 51.^ Pibrrc• Sigiié Jules TitEûnY.^ ’ .l'élix B ei'tcau, e t dame liehi'ictte-yirgiiiic-Adé-. î laïde-Alarie Fournier,- soii épouse; 4®Nicolas Leroy, et dame Gcnevièvc-EIisabelh Frenel, sa fenimc, «iepiiis épouse en deuxièiiies noces du sieùr Amablc•i 'i - n - M T r Fraiiçois Glibssaignc; 5® ledit sieur Amable-FranEtude de M" DÜFAY, avoué à Senlis (Oise.) Ghassaignc; '6® AL Médéric-lsidorc Legrand, propriétaire, et dame Aure-Josephe P aren t, sa .femme; 7® AI""* Marie-Fi*ançoise Delassone, m ar PU R G E LEGALE. quise de GhiUeau-Thicrry; 8® 5f. Louis Lémaire, S uivant exploit du minisière de D ieux, huissier fourgonnier, et Angélique-Gresscnce Thierry, s.^ à S enlis, en date du vingt ju illet 1844, éiiiegiàfemme; tr é , 1; Troisièmement, e t que tous deux du chef des E t à la requête de I® 51. Nicolas Faiivelle fils, quels il pourrait être requis sur les biens vendus, ancien notaire, l’un des adjoints de AL lé Maire de (les inscriptions pour raison d’hypothèques légales, la ville de S enlis, dem eurant en Fàdite ville, fau n’étant pas connus des ajudicalaircs susnommés, bourg de V illeverl; 2® de' AL GhârlOs-PrançOis Léils feraient faire la présente pnblicatloti: moine, cultivateur, demeurant à Diivy, aii^iom et Pour.insertioii. comme se p o rtant fort deJa commune de Duvy; 3® Signé Henri D ufay. de m oiidit sieur Leraoine, en .'j5dii hom peisonnel; 4® do 51. Victor-Josepli Pochel, ja rdinier, demeu ra n t à Duvy; Notification a é l é faiteà AI. le P ro cu reu r du roi près le tribunal civil de S enlis, A rt. 3. D ’un acte fait au greffe dudit tribiiiinl, le huit Etude de M* J u l e s THEAfRY, avoué à Sciilis, ju illet 1844, enregistré, constatant le dépôt audit successeur de HM. Bbrtuo» et DuftiRTiR. greffe de la copie collalionnée c l eiircgisirée, d’un jugem ent rendu en l’aiidicnce des criées du tribu VEN'rE ET ADJUDICATION nal civil de Senlis, en date <lu vingt-huit mai 1844, SUR EXPROPRIATIOX FORCéc, aussi enregistré, contenant adjudication au. profit des susnommési, savoir : A u p lu s o jjra n l et dernier enchérisseur, à P extinc Prem ièrem ent, de 51. Fauvelle fils, de I® un tion des feuXy b e au c tg ran d moulin à eau, faisant de blé farine, A l’audience des criées du tribunal civil de pre cours d’eau e t bdtimcids, cours e t dépendances, m ière instance séant à Senlis, au Palais de Ju s situés à D uvy, caiitoii de G répy, en la ru e d’O r tice, rue Neuve de Paris, léans, su r la riv ière Sainle-Alarie, contenant en superficie environ quatorze ares quarante-cinq r D ’U N E M . 4 1 S 0 1 V centiares; 2® une maison couverte en chaume, si tuée audit Duvy, en la rue d’O rléons, consistant Sise d Rozoÿ-en-Multien, lieu d it la Neuve Rue, en un logement p a r bas,grenier au-dessus, petit Avec ses Girconslances e t Dépendances, jardin; le tout contenant en superficie environ quatre ares quairé-viiigls cehtibres; 3® et d’un 2» ET D’UN JARPÏW marais formé de l’ancien étang do Basoche, dit le S itu é a u dit Rozoy, derrière'td'm aisdn ci-dëssusm arais de la G arrière, situé audit D uvy, contenant désignée, en superficie environ douze hectares onze ares Contenant 4 ares 75 centiares. qiiatre-vingt>>dix centiares, s’é tiid a n t depuis la , E n un seul,Lot, roule de Grépy à Senlis jusqu’a u m ur du Parc-auxA ujudication, le M ardi vingt A o û t 1844, licui'e Dames, clos de m u rs, l’un s u r la roule; lesdits im>. de midi. meubles composant les 1'% 5r* .et 6^"' lots de la dési gnation, laquelle adjudication a eu lieu moyennant la somme de ceni cinq m ille cenl Jrancs de prix principal, outre e t au par-dessus des charges, clauses e t eonditious do la vente;. On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra,, que suivant procès-verbal _dc D ére st, huissier à B clz, en daté du ’tfix-sëpt mât 1.844, v isé,.en re gistré e t dénoncé conformément à la lcri> é l traits-' X, 'S f[ 4 ^ ' T î- c rit litléraleineiit au hiiicau des hypoiiièi|iio «le Seulis^ le viiigl’ueiif mai 1844, volume 18, u* 61, |i^ r M. L cgraud, coiisei’valeur; Il a é lé , à la requête de M. Louis'Julieu Demar* lîjD{>re2 , b anquier, demeiii^nt à M eaux, pateulé du prem ier ja n v ie r d ern ier, hors classe, n° 6 0 6 , Lequel a conslitué pour son av o u é. H* Jules T hem ry, exerçant p rès le iribiiual civil d e p re m ière iiislaiice séant à S entis, y dem eurant, rue du C hâtel, Procédé su r le sieur Princc-C liarles D enizot, ancien cliarruii, dem eurant à Rozoy, A la saisie réelle des immeubles ci-après dési gnés i lesquels seront adjugés en un seul lo t, à Taudience des criées du tribunal civil de Senlis, le m ardi vingt ao û t 1814, heure de midi. Désignalioii. 1** U ne Maison sise à Ruzoy-en-Muliieii, canton de B etz, arroiidissenient de Scidis (Oise), lieu dit la Neuve H ue, ay an t rez-dc-cliaussée e t prem ier, g ren ier au-dessus couvert en tuile, éclairé p ar deux fenêtres au rez-tle-chaussée e t deux au pre m ie r, ay an t sa principale entrée su r la route II* 17, de C om piègiieà Meaiix, petite grange à côté ayant égalem ent son entrée su r la mcine ro u te, couverte en chaum e; r 4* TBO Sl F X V IT H V X ècU ]>■ M B A * Plantées d’arbres fruitiers. A r t . 5. Etudes de M *CAFFIN e t LEVASSEUR, avoués à Clermont-Oise. On pourra tra ite r à l’amiable av an t le jour fixé p o u r l ’adjudication. ADJUDICATION S ’adresser, p o u r tous re n s e ig n e m e n ts a u d it H ” D blaplacb, notaire. SUR PUBUCATIONS JD D lC IA iaB S , 14 PIÈC ES D E T E R R E , P R É , BOIS KT JA R D IN , D ’un MOULIN A BLE nouvellement monté à l’an glaise, cotiiprcnaiil h u it paires de meules, situé à C aiiffry, près Llancoûr^, arrondissem ent de Glermont-Oise, à 5 m ynam ètres e t demi de Paris, 5 kilomètres de Glermoiit-Oise, 16 kilo m ètres de Senlis, 8 kilomètres de Poiit-SaiiiteMaxeiice, et à 300 mètres environ d’une station du chem in de fer de Paris à la frontière de Belgique. Situées a u terroir de F illers^Saint-Paul, A VENDRE P a r adjudication volontaire, P arle ministère de M * G a s t in e a d - L o n c p h é , nolture à Creil, En la demeure d u sieur F o u rniquet, dubei^iste à VUtersSaint-Pau!, Le Dimanche 38 J u ille t 1844, lienre de midi. P o u r commencer la jouissance to u t de suite e t la continuerJusquaupre.»pierjanvier S ’adresser a u d it M* G a stin b a u .' L’A djudicatior, aura lien à L iaucourt, le dix-huil A o û t \ ^ \ i , heure de m idi, MAIRIE DE SENMS. P a r le m inistère e t en l’étude de M* J olidor, notaire à Liaucourt, commis à c e t effet, ADJUDICATION AUX EN CHÈRES, Le Samedi 27 Ju illet 1844, à m idi précis, Sur l a m is e à p r i x de 5,ooo f r a n c s de loyer annuel, 2* E t 1111 jard in potager situé audit Rozoy, der riè re lesdites maison e t g ran g e, conlciiant cpiatrc ares soixante-quinze centiares. Dans la gra n d e S a lle d e VU ôtel-de-p'H le, DU BAIL ■» S'adresser p o u r obtenir des renseignem ents: Lesdites-m aison, grange et-jardin-s-enlreteiiaiit ensem ble, tiennent du nord au sieur C ourtois, ac q u éreu r de D enizot, du midi à B outrelle, décrient à la route n* 17, de Compiègne a M caux, e t d*occideut à M. Tortoni. Le tout est habité e t détente par le sieu r Deni zot , partie saisie. L’ENLEVEMENT DES BOUES ^M -L Ê vrssE U ., 1 «<’O 0^sppursaivanU ; A M* L o t t e , Dans les rues e t places de ta ville d e S e n tis, avoué; En 5 Lots qui p o u rront être ré u n is , A M* JoLiDON, notaire à Liancourt\ A M* L a n g l o is . notaire a u dit L iancourt; E t à M* G o g x a s so n , avoué à Senlis. Eug. G o g n a s s o x . P o u r 3 ou 6 années à p a rtir du 7 Août prochain. 5*adresser, p o u r prendre connaissance du cahitr de charges, a u Secrétariat de la M airie, A djudicxtion . 1' î MAISON L*Adjudication des imineuhlcs ci-dessus dési gnés aura lieu à l’audiencc des criées du tribunal civil de prem ière instance séant à Sentis, au palais de ju stic e , ledit jo u r vingt août, 1844, h eu re de m id i, s u r la m is e à prix fixée p a r le poursuivant, po u r s erv ir de prem ière en ch ère, à la somme de 1,500 fr. quinze cents fran cs, c i........................... S ^a d n sser p o u r voir les biens à vendre^ su r les lie u x ; E t p o u r tous autres renseignements^ à M* Jid cs TnEHBT, avoue a S en lis, ^our^uivanf ladite vente. ANNONCES A CÉDER, -IIWR T Le Lundi 12 A oût 1844, à midi. BO NNE AUBERGE Avec relais de bateaux e t eiitrciiji^ts divers, S ’adresser audit ET UNE EXPLOITATION MAISON Sise à Verberie-sur-Oise, p rè s le p o r t d udit lieu, A VENDRE PAR ADJUDICATIQN, Le Dimanche 18 A oût 1844 , à midi piécis. S u r le bord de la rivière e tO iie, p rè s le p o n t de Beaum ont, arronditsenunl de Pantoise (Seineel-Oise-) En Cétude et par le ministère de M* JO L V , Notaire à Perbcrie. S’adresser franco : ” I* A V* IBoucni, à P è r u n ; a** Et à 1^* Gvt, notaire à Beaumont. uknry. Dubois, notaire. D’environ 43 H ectares de bonnes T erres lahoiirabies e t P rés, avec le M atériel à leur usage, A nasA W , e f o m t a in k . P o u r insertion. Signé Ju les E n tétude et p a r le ministère, de M« D u b o is , notaire à P ont-Ste-M axence, Pour e n tre r Cil joulssaiicé au 11 novem bre 1844, E n reg istré à Senlis, le 20 juillet 1844. Reçu un franç dix centim es, dixième com pris. D A VENDRE P ar adjudication volontaire, D IV E R S E S . F a it e t rédigé p a r m oi, avoué soussigné. Senlis, le dix-neuf ju illet 1.844. Signé Ju les T u e m r y . Signé S itu é e h P o n t-Sainte-M axenee, en la rue de ÏAlle, On nccoi^ern des facilités pour le p.'itemcnt. Ou traitera à l’amiable s’il est fait des offres suillsaiites. II y a toutes sûretés ponr acquérir. On e n trera presque tout de suite en jouissance. S ’adresser audit M* Joly, nottùre. Elude de M* E ugène DELAPLAGE, notaire à Clermont-Oise. A r t . 4- ETAT CIVIL DE SENLIS. A V E N D R E P A R A D JU D IC A T IO N , P a r le m inistère de M* Eugène D e l a p l a c e , notaire à Clerm ont, Le Dimanche 4 Août 1814, à midi, Etude de M' C o g x a s so n , avoué à Senlis. FIXATION D *O üV ERTüRE D E FA ILLITE. V A IS 8 A W C X 8 . Gognasson (Georges). Delaplanchc(M arguerile-I.jiuise-Léonic). D e Fouler (M arie-llcrm inc). H éron (Julie-M arh). Jolly (A lcxaiidre-Ëdonaid). B ruiiet ( Alcxis-Eügèiie). E n ta demeure d e M , D um etz, cattaretier à Catenoy", D’un jugem ent rendu p a r le tribunal civil de prem ière instance séant à Senlis, statu an t en ma tière de com m erce, le onze juin 1844, en reg istré. Il ap p ert : — Q ue l’obvei tiire de la faillite du sieu r Louis-Joseph Duchaiiffour, négociant, de m eu ran t à Pont-Saifitc-M axence, qui av ait été fixée au quinze a v ril 184 3 , a été reportée au neuf fév rier précédent P o u r ex trait dressé par les syndics de la faillite, soussignés. — A S enlis, le dix-huit ju ille i 1844. — Signé Micuelet e t G haiuly. — E n r e ^ s tré à S en lis, le 18 juillet 1844, V c . 4. R eçu un franc dix centim es, dixième compris. — Signé D efontaiue. \ Eug. COGNASSON. 1** x n œ BEUJB MAISON Solidement coostriiite, S itu é e à Caienojr,prè$ C ferm ônt, su r la-grande route de C lerm onl à Compiègne, Avec divers Itâiiinents de décharge, deux cours dont une plantée d ’arbres e t iiii jardin frui tie r e t potager, le tout coiiteuant il 9 ares 62 cen tiares; 2» 1JW o R A m swcXiOa A cûlé de ladite maison, longeant ladite route, planté d’arbres fru itie rs, contenant 60 ares 76 centiares; M A B 1A O Z 8. M arinier (Louis-Désiré), e t Michel (Emilie). Savary (Scolastique-Radegonde), femme Rigaull, 49 ans 8 mois. Honorât (Jeaii-Antoine-François), 74 ans. PRIX DU PAIIV 3* V W G R A » d T A lU IIH POUR LA 2 ‘" Bien planté d’arbres fruitiers, clos du m urs. S itu é à C atenoy, en la Grande-Rue, QUINZAINE DE JU IL L E T : Pain de P* q u a.lité ^ .. . , Goiileiiant 39 a rt» 10 centiares; . . . 33 c . le kilogr. 2^ MERCURIALES. D ates. SZNLIS..................... 9 J u ille t.. P o n t ................................... G r è p y ................................ M e a u x ............................... 6 J u ille t.. 13 J u ille t.. 6 .Iiiillet . . . . . s -V à0 | s l S -à iU. *" cr s 1 *'§ (X H V* 1 K 'é 73 -U H9 A a-*5> ■SP-Ëg. -V- 3. •« = ?■ » ë- m “’B « 20 19 18 18 00 16 15 00 00 75 66 67 18 19 00 18 65 00 00 00 17 18 00 16 65 00 00 00 00 17 00 00 00 25 00 00 ‘V en/«, p o u r légalisation d e /a I 00 00 65 00 00 14 00 00 00 75 00 00 Enrcaistré 00 00 00 00 00 00 00 00 10 10 11 00 35 75 35 00 00 00 00 10 00 00 00 00 1 00 Il 00 00 h S e n l U ,l e 00 50 0). 00 s a-É S ■“ '•3 .S ~*-s Q.r-’s.s 8>.!! s •5£ Sg-frlss-â i- l < i n o e u Sb “ 'g t- s 5 -s- < ÆK “ o 00 00 00 00 00 00 00 00 07 07 07 07 35 35 00 66 00 07 00 07 00 15 00 00 i844. 00 00 00 00 00 o\) OüjOO 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 0 0 ooloooo - «-■s »wg a ie. 0J s •E 2*0 g G» < Æ. J l 00 00 00 00 00 00 00 00 OJOO 00 0 ) 0 0 00 3 ) 00 ! Mgr. le duc d'Au|nale.