Panorama de presse 31 mai 2016

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Panorama de presse 31 mai 2016
Division de l’Information Publique
Bureau du Porte-parole et
des Relations avec les médias
Panorama de presse
31 mai 2016
Table de matières
Perception de la MONUSCO ............................................................................................................... 2
Radio Okapi - La Ceni a reçu des «indications claires» sur l’appui logistique de la Monusco ........... 2
La Prospérité - RDC : Boshab et Maman Sidikou saluent la bravoure des Casques bleus .................. 3
Le Phare - Parade militaire FARDC-PNC-Casques bleus réussie à la place du 30 juin ...................... 5
Presse internationale/régionale ......................................................................................................... 6
Radio Okapi - RDC : les évêques catholiques appellent le chef de l’Etat à s’exprimer sur le processus
électoral............................................................................................................................................ 6
Radio Okapi - RDC: l’ACAJ dénonce la détention prolongée des proches de Moïse Katumbi .......... 6
Jeune Afrique - RD Congo : à Londres, Katumbi se soigne et… se rapproche de Tshisekedi ............ 8
Jeune Afrique - RD Congo : Moïse Katumbi à Londres pour « se reposer » .................................... 10
Afp - RDC: l'opposant Moïse Katumbi a quitté l'Afrique du Sud pour Londres............................... 11
Afp - RDC: malgré l'amnistie, pas de "rapatriement massif" d'ex rebelles du M23 .......................... 12
Afp -Les corps des policiers ougandais tués sur le lac Albert rapatriés de RDC .............................. 13
Bbc - Moïse Katumbi au Royaume Uni .......................................................................................... 14
Cnn- Only democracy can end the violence in DR Congo' .............................................................. 14
Daily Nation - DR Congo’s Katumbi flies to London for treatment ................................................ 16
Xinhua - News Analysis: Division among DR Congo opposition could wreck hopes for single
candidate ........................................................................................................................................ 17
Ximhua - 5 killed in Rwandan rebels' attack in eastern DR Congo .................................................. 18
Xinhua - Resumption of talks between DR Congo gov't, ex-M23 rebels hailed .............................. 19
Nyasa Times - 12 Congolese loiter in Mchinji village sent to Dzaleka Refugee Camp .................... 20
The Indian express - Congo victim’s family in capital, India assures them speedy trial ................... 20
Mumbai Mirro – India Govt reaches out to Africans as fears of racism loom large ......................... 22
The Hindu - What happened to Olivier could happen to any African in India’ ................................ 24
Monitoring des Secteurs ................................................................................................................. 24
Goma ............................................................................................................................................. 24
Ce panorama n'est pas un document officiel des Nations Unies. Par conséquent, les opinions qui y sont exprimées ne reflètent ni le point de vue de la MONUSCO, ni celui
des Nations Unies. Ce document vous est transmis seulement pour votre information.
This media monitoring is not an official document of the United Nations. Therefore, opinions expressed herein do not reflect either the point of view of MONUSCO, or that of
the United Nations. This document is sent to you only for your information.
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Bunia.............................................................................................................................................. 26
Presse locale ................................................................................................................................... 26
Politique ............................................................................................................................................. 26
Le Phare - Le message d’Etienne Tshisekedi aux Congolais : «Persévérez…» ................................ 26
7 sur 7.cd - Des nouvelles manifestations projetées par la Dynamique de l’opposition au mois de juin
....................................................................................................................................................... 30
7 sur 7.cd - L’opposition radicale appelle aux sanctions ciblées ...................................................... 30
La Prospérité - Comité préparatoire. Dialogue : Lumuna Ndubu interpelle Kodjo !......................... 31
La Prospérité - Dialogue : Luhaka chez Kodjo ................................................................................ 32
La Prospérité - IFES, IRI et NDI se mobilisent pour soutenir les élections en RD-Congo ............... 33
La Tempête des Tropiques - Dialogue : une nouvelle rencontre Etienne Tshisekedi – Edem Kodjo en
vue ................................................................................................................................................. 34
Sécurité .......................................................................................................................................... 35
La Prospérité - Boshab, Atama et Bopolo convoqués. Beni : les Députés se disent des vérités à huis
clos................................................................................................................................................. 35
La Prospérité - Déclarations de Naïrobi : l’ex-Mouvement rebelle « M23 » et le Gouvernement
s’évaluent ....................................................................................................................................... 36
Société et économie ........................................................................................................................ 37
La Prospérité - Faible taux d’exécution de 28 mesures : le Conseil Economique et Social parle de la
confusion ! ..................................................................................................................................... 37
La Prospérité - 3ème édition de la semaine française. CERENE : Claude Boisson et Gérard Royal à
Kinshasa ......................................................................................................................................... 38
Le Phare - 3ème semaine économique française : rendez-vous confirmé ......................................... 40
Justice et Droits humains ................................................................................................................ 41
Le Potentiel - 38 CONGOLAIS VISÉS PAR DES SANCTIONS AU SÉNAT AMÉRICAIN ........ 41
Perception de la MONUSCO
Radio Okapi - La Ceni a reçu des «indications claires» sur l’appui
logistique de la Monusco
30/05/16
Ce panorama n'est pas un document officiel des Nations Unies. Par conséquent, les opinions qui y sont exprimées ne reflètent ni le point de vue de la MONUSCO, ni celui
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Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Corneille Nangaa, affirme
avoir reçu des « indications claires » sur l’appui logistique de la Monusco au processus électoral.
« Je ne pouvais pas publier un calendrier [électoral] tant que je n’ai pas d’indications claires sur l’appui
logistique. Nous venons d’avoir ces indications parce que le représentant spécial [du secrétaire général
de l’ONU] nous a confirmé que ça, ce n’était plus un problème. La Monusco accepte. C’est une avancée
», a-t-il déclaré au cours de l’émission Parole aux auditeurs diffusée sur Radio Okapi.
Des précisions sur le soutien logistique
La Commission africaine pour la supervision des élections, (CASE) réclame, de son côté, plus de
précision sur le soutien logistique que la Monusco apporte au processus électoral en RDC.
« Nous souhaitons que la Monusco qui a toujours soutenu le processus électoral précise son soutien exact
», fait savoir Simaro Ngongo, président de cette ONG.
La CASE veut « voir, palper la logistique la logistique mise à la disposition de la Ceni pour l’organisation
des élections dans notre pays ».
La Prospérité - RDC : Boshab et Maman Sidikou saluent la bravoure
des Casques bleus
31/05/16
Ils l’ont fait, vendredi 27 mai de l’année en cours, à l’occasion de la journée internationale des Casques
bleus. A la gare centrale, à Gombe, une grandiose parade militaire a été effectuée par des éléments de la
Mission des Nations Unies au Congo, MONUSCO, des Forces armées de la RDC, FARDC. Et, en
définitive, de la police nationale congolaise –PNC- à cette occasion.
Evariste Boshab, Vice-Premier Ministre et Ministre en charge de l’intérieur et Sécurité, y a représenté
le gouvernement central. Diplomates, responsables des agences des Nations Unies et diverses
personnalités politiques du Congo-Kinshasa étaient là. Boshab et Maman Sidikou, le patron de la
Monusco en République démocratique du Congo, ont su, chacun dans son style, trouver des mots justes
pour reconnaître la valeur et le mérite des soldats de la paix. Qui plus, engagés pour le compte de l’Onu,
œuvrent pour la paix au risque et péril de leur vie. Par ailleurs, la reprise de la collaboration FARDCMONUSCO a été vivement souhaitée.
«Une parade mixte des contingents militaires et de la police de la MONUSCO aux côtés des forces de
sécurité congolaises est une preuve éloquente de notre coopération grandissante avec les autorités de la
RDC», a commenté Maman Sidikou. Il a, par ailleurs, vivement salué la reprise des opérations
coordonnées entre les FARDC et les forces de la MONUSCO contre les forces négatives, dans l’Est de
la république. Cela, à en croire le Représentant spécial de Ban Ki-Moon, devrait ‘’certainement
contribuer à améliorer la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC ‘’.
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Zoom
La Journée des casques bleus a été instituée par l’Assemblée générale des Nations unies en 2002. Par la
suite, la date du 29 mai a été ainsi retenue en référence à la première mission onusienne déployée en
1948 au Moyen Orient pour observer et maintenir le cessez-le-feu dans la guerre israélo-arabe. Cette
année, en République démocratique du Congo, le 29 tombe un dimanche. D’où, la commémoration a été
faite deux jours avant. Elle a commencé aux alentours de 10 heures. Une grande parade militaire
conjointe a ainsi eu lieu.
Hommages
Le Vice-premier ministre et ministre de l’intérieur a, lui aussi, salué l’héroïsme des soldats de la paix.
Il a reconnu le rôle important que joue ces derniers dans le maintien de la stabilité et de la paix à travers
la planète, en général et, au pays de Lumumba, en particulier. De tout cœur, Boshab a soutenu que tout
le peuple congolais se joignait à la communauté internationale pour rendre des hommages dignes aux
casques bleus.
«Nous voudrions remercier les Nations unies, puisque notre pays est bénéficiaire de cette contribution de
ses professionnels qui, au prix de leur sang et de tant de sacrifices, se battent aux côtés de nos militaires
afin que la protection des civils dans des zones de conflits ait tout son sens.», a-t-il conclu. Maman Sidiku
a lu durant son intervention, le message de Ban Ki-moon sur cette journée, avant de mettre en exergue le
rôle des casques bleus de la Monusco dans la pacification du pays.
Quid des soldats de la paix ?
La Force de maintien de la paix de l'Organisation des Nations Unies, couramment dénommée casques
bleus, est une force militaire ayant pour rôle, le maintien ou le rétablissement de la paix et de la sécurité
internationale. C’est sur ordre du Conseil de sécurité des Nations Unies qu’elle se déploie. Elle a été, de
la sorte, envoyée dans plusieurs zones de conflits pour protéger la population civile ou encore servir de
force d'interposition. Notamment, au Congo-Kinshasa. Cette force ne constitue pas une armée des
Nations unies, les Casques bleus étant principalement, des militaires prêtés par des pays membres de
l'ONU et dans certains cas, des civils œuvrant dans la police ou l'administration.
Très souvent, cette action de maintien de la paix peut être confiée à une organisation internationale non
affiliée au système des Nations unies ou encore à une coalition d'Etats. Ainsi, le Conseil de sécurité a, à
plusieurs reprises, donné mandat à l'Organisation du Traité de l'Atlantique nord (OTAN) ou à la
Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) d’œuvrer. La première force de
maintien de la paix de l'ONU fut envoyée en 1948, pour mission de surveiller la trêve de la guerre araboisraélienne. Cette force n'était pas armée et n'était là qu'en tant qu'observateur. La première intervention
armée eut lieu en 1956, lors de la crise du canal de Suez. Suivant le mandat donné par le Conseil de
sécurité des Nations Unies, les Casques bleus peuvent être chargés de surveiller l'application d'un cessezle-feu, désarmer et de démobiliser les combattants, de protéger les populations civiles, de faire du
maintien de l'ordre, former une police locale, de déminer le terrain, protéger les réfugiés, d'assurer le
maintien des droits de l'homme etc.
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Le Phare - Parade militaire FARDC-PNC-Casques bleus réussie à la
place du 30 juin
30/05/16
C’est sous le thème : « Rendons hommage à nos héros » que la Mission des Nations Unies pour la
Stabilisation de la RDC (MONUSCO) a célébré, le vendredi 27 mai 2016, à la place du 30 juin dans la
commune de Gombe, en synergie avec le gouvernement congolais, la 14ème journée internationale des
casques bleus, commémorée le 29 mai de chaque année depuis son institution en 2001.
Plusieurs temps forts ont marqué cette journée de mémoire, notamment une parade militaire mixte des
troupes de la Monusco et de la Police nationale congolaise, le dépôt de deux gerbes de fleurs en mémoire
des combattants tombés dans l’exercice de leurs fonctions, par le vice-premier ministre et ministre de
l’Intérieur, représentant du gouvernement congolais, Evariste Boshab, et le représentant spécial du
secrétaire général des Nations Unies et Chef de la Monusco, Maman Sidikou, mais aussi, la levée des
couleurs des Nations Unies.
Cette cérémonie a été également marquée par les discours de ces deux officiels, qui ont chacun salué la
bravoure et le dévouement de ces troupes qui ont et continuent à militer pour la paix dans le monde, au
prix de leurs vies.
Evariste Boshab a adressé les remerciements du gouvernement et du peuple congolais aux Nations Unies
pour sa contribution à la restauration de la paix dont la RDC est bénéficiaire. A travers des hommages
mérités adressés à tous ceux qui ont choisi d’exposer leurs vies pour la cause noble de la paix, il a souligné
que le sang de ceux qui sont partis dans l’au-delà, puisse servir de leçon pour dire «la guerre, plus jamais».
Pour sa part, le chef de la MONUSCO, qui a lu le message du Secrétaire général des Nations Unies Ban
Ki Moon destiné au monde entier depuis New York, et dans lequel il a rappelé et salué le travail
remarquable abattu par les casques bleues dans les différentes opérations de maintien de la paix à travers
le monde, a souligné le grand rôle joué par ses militaires des NU (20 000) dans la pacification de la RDC,
particulièrement dans sa partie Est.
Maman Sidikou salut la reprise des opérations coordonnées entre les FARDC et la force de la Monusco
Le chef de la Monusco a, par cette occasion, salué la reprise de la coopération entre la Monusco et les
autorités de la RDC, particulièrement la reprise des opérartions coordonnées entre les FARDC et la force
de la Monusco, qui selon lui, va certainement contribuer à améliorer la situation sécuritaire dans l’Est du
pays.
Pour la matérialisation de la reprise de cette coopération, il a fait savoir que la Monusco est en train de
soutenir à l’heure actuelle, l’opération Usalama des FARDC, visant à neutraliser les groupes armés qui
massacrent les populations à Beni, au Nord-Kivu. Tout en exprimant sa sympathie aux populations
affectées par ces exactions, le chef de la Monusco a assuré que les efforts de neutralisation des groupes
armés seront poursuivis et intensifiés dans les jours à venir, et font partie d’un effort plus large visant à
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réduire les conflits dans le Nord de Beni, relever les défis politiques et sociaux dans la région et
promouvoir la stabilité.
Actuellement, il s’agit de plus de 105 000 agents en tenues originaires de 124 pays qui fournissent des
contingents ou du personnel de police servant sous les couleurs du drapeau des Nations Unies, aux côtés
de 18 000 membres du personnel civil recrutés sur les plans international et national et des volontaires
des Nations Unies. Depuis le déploiement du personnel de maintien de la paix en 1948, plus d’un millions
d’hommes et de femmes ont servi sous les couleurs du drapeau des NU avec fierté, distinction et courage,
plus de 3 400 casques bleus ont déjà trouvé la mort dans l’exercice de leurs fonctions.
Presse internationale/régionale
Radio Okapi - RDC : les évêques catholiques appellent le chef de
l’Etat à s’exprimer sur le processus électoral
31/05/16
Le chef de l’Etat devrait exprimer clairement sa position sur les violences qui accablent les populations
et l’impasse du processus électoral.
C’est la principale recommandation des évêques de la province ecclésiastique de Bukavu formulée
samedi 28 mai, à l’issue de la session ordinaire de l’assemblée épiscopale provinciale tenue à Kindu
(Maniema).
Ils ont aussi appelé les leaders politiques congolais à renoncer à la culture du mensonge pour éclairer
leurs bases sur les véritables enjeux du dialogue national et les échéances électorales qui approchent.
Parmi d'autres recommandations formulées à la clôture de cette session, les évêques ont également plaidé
pour une rémunération juste et équitable des employés et fonctionnaires de l'Etat.
Les prélats catholiques demandent par ailleurs à l’Etat congolais de se mettre efficacement au service du
peuple en le formant au sens de la citoyenneté et du patriotisme.
La province ecclésiastique de Bukavu comprend les villes de Goma, Butembo, Kasongo, Bukavu et
Kindu.
Radio Okapi - RDC: l’ACAJ dénonce la détention prolongée des
proches de Moïse Katumbi
30/05/16
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L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) dénonce la détention «illégale» de quatre
proches de Moïse Katumbi. Arrêtées à Lubumbashi (Haut-Katanga), ces personnes sont détenues par les
services de renseignement depuis leur transfèrement à Kinshasa le 25 avril dernier, indique l’ONG dans
un communiqué publié dimanche 29 mai, exigeant leur déferrement sans délai devant le Parquet général
de la République.
Selon le communiqué de l’ACAJ, les proches du gouverneur honoraire de l’ex-Katanga aux arrêts sont:
Yannick Kibinda Mukeba, Franck Mwashila, Sefu Idi et Darryl Lewis (de nationalité américaine).
Ils ont été arrêtés à Lubumbashi le 24 avril dernier lors d’une manifestation de l’opposition dispersée par
la police. Transférés à Kinshasa le lendemain, selon l’ONG, «ils sont détenus au cachot de l’ANR sans
droit de visite, de se faire assister de leurs avocats, ni d’être présenté devant un juge et ce, en violation
des articles 12, 17, 18 et 19 de la Constitution… »
Me Venance Kalenga, chargé de protection à l’ACAJ, rappelle que la constitution et le code de procédure
pénale fixent la détention provisoire à 48 heures.
«Mais, depuis leur détention, ils sont toujours entre les mains des agents de l’ANR. Ça fait déjà 34 jours,
qu’ils ne sont pas passés au parquet», a-t-il dénoncé, qualifiant cette détention d’illégale.
L’ONG exige leur libération ou alors leur déferment au parquet, qui pourra fixer l’opinion sur
l’établissement des faits qui leur sont reprochés.
Me Venance Kalenga interpelle le Gouvernement, qui doit faire respecter les lois du pays, et le Procureur
général de la République, «qui avait déjà reçu injonction de la part du ministre de la Justice de pouvoir
instruire cette affaire.»
Moïse Katumbi, candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2016, avait été inculpé jeudi 19 mai pour
«atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat», après une série d’auditions au parquet de
Lubumbashi.
Des cas similaires
L’ACAJ rappelle que d’autres personnes sont également détenues illégalement par les services des
renseignements. Elle cite notamment le cas de Dido Zamwangana, distributeur du journal C-News, arrêté
depuis le 13 juillet 2015, de Kabulo Simbi Zazou et Kalenga Kinyango Kakoko, membres de l’UNAFEC
de Gabriel Kyungu wa Kumwanza, arrêtés, eux, le 10 novembre 2015.
Radi Okapi - Fièvre jaune: la RDC face à la pénurie de vaccins
30/05/16
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Alors qu’une campagne de vaccination a été lancée depuis le 26 mai dans certaines zones de santé, la
RDC va être confrontée à une pénurie mondiale de vaccins contre la fièvre jaune.
Cette campagne de vaccination devrait s’étendre dans d’autres zones de santé. Interrogé par Radio Okapi,
le ministre de la Santé a reconnu un manque de vaccins contre la fièvre jaune au niveau mondial.
Une information confirmée par des sources de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les mêmes
sources indiquent que la demande en vaccin antiamaril (qui combat la fièvre jaune) est forte en ce
moment.
L’Angola qui fait face à une épidémie de fièvre jaune a besoin d’au moins 6 millions de doses de vaccins
supplémentaires.
Une quantité qui n’est pas disponible pour le moment, affirment nos sources à l’OMS.
En dehors de la RDC, l’Ouganda est également à la recherche des doses de vaccin antiamaril.
Les 2 millions de doses reçues par la RDC ont été affectées aux « zones critiques ».
Des sources à l’OMS indiquent que des plaidoyers sont faits au niveau de l’International comitee groupe
(ICG), qui supervise la vaccination antiamaril.
Depuis le 26 mai dernier, une campagne de vaccination contre la fièvre jaune est menée dans neuf zones
de santé du Kongo-Central frontalières avec l’Angola.
A Kinshasa, deux autres zones de santé (N’djili et Masina) sont également concernées par cette campagne
de vaccination.
Cette campagne intervient après que 48 cas de fièvre jaune, dont 44 classés comme importés de l’Angola,
ont été testés positifs par l'Institut national de recherche biomédicale (INRB) de Kinshasa et l'Institut
Pasteur de Dakar (IPD).
La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aiguë transmise par des moustiques infectés. Le
terme «jaune» fait référence à la jaunisse présentée par certains patients.
Jeune Afrique - RD Congo : à Londres, Katumbi se soigne et… se
rapproche de Tshisekedi
30/05/16
Une semaine après son transfert à Johannesburg, l'opposant Moïse Katumbi a quitté samedi l'Afrique du
Sud pour aller poursuivre des "soins complémentaires" à Londres. Au même moment à Bruxelles, des
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tractations se poursuivent entre son camp et l'UPDS d'Étienne Tshisekedi en vue d'un "grand
rassemblement" de l'opposition congolaise.
Moïse Katumbi sera-t-il présent à la rencontre de l’opposition congolaise annoncée, dans les prochains
jours, à Bruxelles ? Selon l’un de ses proches, l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga n’a « pour l’instant
» aucun rendez-vous politique dans la capitale belge. Il est arrivé en revanche le samedi 28 mai à Londres,
où exerce son médecin traitant, pour des « examens complémentaires », puis se rendra en Allemagne.
Inculpé le 19 mai d’atteinte à la sûreté de l’État, Moïse Katumbi était autorisé dès le lendemain à quitter
le territoire national pour aller se soigner en Afrique du Sud. Il avait été quelques jours plus tôt « brutalisé
» par des forces de l’ordre, selon ses avocats.
En attendant, les autorités judiciaires congolaises poursuivent l’instruction de l’affaire de recrutement de
présumés mercenaires. Quatre personnes, arrêtées à Lubumbashi, dans le sud de la RD Congo – dans la
semaine du 10 mai selon la défense -, ont été transférées le dimanche 29 mai à Kinshasa. « Il s’agit
d’Auguy Kabamba, ancien garde de l’ancien gouverneur, du colonel Aaron Ngweshi, issu de l’unité de
la police chargée de la protection des personnalités, mais aussi d’un agent du gouvernorat chargé du
protocole à l’aéroport et d’un autre officier de la police », a confié à Jeune Afrique Me Georges
Kapiamba, l’un des avocats de Moïse Katumbi.
On s’achemine vers un procès contre Katumbi, s’inquiète Me Georges Kapiamba
« Nous sommes inquiets dans la mesure où ces transfèrements voudraient dire qu’on s’achemine vers un
procès contre Moïse Katumbi alors que nous attendons à Lubumbashi le transfert de quatre proches de
Katumbi, dont l’Américain Darryl Lewis, détenus au secret à l’Agence nationale de renseignement
(ANR) depuis plus d’un mois », a expliqué l’avocat.
Vers un « grand rassemblement » autour de Tshisekedi ?
Sur le plan politique, Dany Banza, José Endundo et Christophe Lutundula, trois leaders du G7 (la
plateforme des anciens frondeurs de la majorité au pouvoir qui soutiennent désormais la candidature de
Katumbi à l’élection présidentielle), participent depuis le 25 mai à des discussions, à Bruxelles, avec
l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Étienne Tshisekedi. Simples « contacts
préliminaires », précise-t-on du côté du G7.
L’objectif est de parvenir à un « grand rassemblement » de toute l’opposition autour de Tshisekedi (83
ans), le « doyen en âge et en expérience ». Ce qui suppose une clarification des points de vue de tous les
opposants au maintien au pouvoir du président Joseph Kabila au terme de son second mandat.
Du côté de l’UDPS, l’on confirme que des invitations ont été envoyées à tous les leaders des partis et
regroupements de l’opposition. « Nous avons reçu plusieurs réponses positives mais la plateforme
Dynamique – au sein de laquelle évoluent Vital Kamerhe et Martin Fayulu entre autres – ainsi que le
Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba demeurent réticents », note une source
proche d’Étienne Tshisekedi, qui souligne toutefois que « des tractations se poursuivent ».
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Jeune Afrique - RD Congo : Moïse Katumbi à Londres pour « se
reposer »
30/05/16
Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en RD Congo, a quitté l'Afrique du Sud où il était
hospitalisé pour Londres, a indiqué dimanche l'un de ses avocats.
« Moïse Katumbi est parti de Johannesburg vendredi et a atterri à Londres hier samedi », a déclaré le 28
mai à l’AFP Me Georges Kapiamba du collectif des avocats de l’opposant au régime du président Kabila.
Moïse Katumbi a pris un avion de ligne régulière vendredi soir au départ de Johannesburg. Son épouse,
Carine Katumbi, qui l’avait accompagné la semaine dernière en Afrique du Sud, est elle rentrée à
Lubumbashi, dans le sud-est de la RDC.
Il va rentrer au Congo mais on ne sait pas encore quand (collaborateur)
« Il est sorti de l’hôpital. Il va bien mais à cause des désordres au Congo, il préfère pour l’instant se
reposer », a confirmé à l’AFP l’un de ses collaborateurs à Johannesburg. « Il va rentrer au Congo mais
on ne sait pas encore quand. Il est candidat à la présidence », a-t-il poursuivi, affirmant que les médecins
lui avaient préconisé le repos.
Interrogé pour savoir pourquoi Moïse Katumbi était parti à Londres, ce collaborateur a précisé qu’il y
avait son médecin traitant.
Transféré d’hôpital pour des raisons de sécurité
Malgré son inculpation le 19 mai pour atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’État, l’opposant au
régime du président Joseph Kabila avait été autorisé par les autorités congolaises à aller se faire soigner
en Afrique du Sud, où il avait atterri le le lendemain.
Lors de son séjour, Moïse Katumbi a été transféré d’hôpital pour des raisons de sécurité, rapportent ses
collaborateurs. »Des inconnus sont passés à la réception pour demander où il se trouvait. La sécurité de
l’hôpital a estimé qu’il s’agissait d’un mouvement suspect » et il a été déplacé, a déclaré à l’AFP l’un de
ses proches.
Selon une source proche de l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga, citée par l’AFP, Moïse Katumbi
pourrait se rendre dans les prochains jours à Paris, Bruxelles et en Allemagne.
Me Kapiamba a également dénoncé « le transfert » à Kinshahsa de quatre autres collaborateurs de Moïse
Katumbi, arrêtés le 24 avril lors du meeting de Katumbi dispersé à coups de gaz lacrymogènes et détenus
au secret depuis près d’un mois. Parmi eux, figurent deux officiers de police « qui s’occupaient de la
sécurité de Moïse Katumbi alors en fonction de gouverneur » du Katanga, a précisé l’avocat.
Ce panorama n'est pas un document officiel des Nations Unies. Par conséquent, les opinions qui y sont exprimées ne reflètent ni le point de vue de la MONUSCO, ni celui
des Nations Unies. Ce document vous est transmis seulement pour votre information.
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Afp - RDC: l'opposant Moïse Katumbi a quitté l'Afrique du Sud pour
Londres
30/05/16
L'opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en République démocratique du Congo
(RDC) et menacé d'un procès dans son pays, a quitté l'Afrique du Sud, où il était hospitalisé, pour
Londres, a indiqué dimanche l'un de ses avocats.
"Moïse Katumbi est parti de Johannesburg vendredi et a atterri à Londres hier samedi", a déclaré à l'AFP
Me Georges Kapiamba du collectif des avocats de M. Katumbi.
Selon une source proche de l'opposant, il pourrait se rendre dans les prochains jours à Paris, Bruxelles et
en Allemagne.
"Il est sorti de l'hôpital. Il va bien mais à cause des désordres au Congo, il préfère pour l'instant se
reposer", a déclaré l'un de ses collaborateurs à Johannesburg.
"Il va rentrer au Congo mais on ne sait pas encore quand. Il est candidat à la présidence", a-t-il encore
dit, affirmant que les médecins lui avaient préconisé le repos.
Interrogé pour savoir pourquoi Moïse Katumbi était parti à Londres, ce collaborateur a précisé qu'il y
avait son médecin traitant.
Ces informations ont été confirmées par une autre source proche de Moïse Katumbi en Afrique du Sud.
L'opposant au régime du président Joseph Kabila a pris un avion de ligne régulière vendredi soir au départ
de Johannesburg. Son épouse, Carine Katumbi, qui l'avait accompagné la semaine dernière en Afrique
du Sud, est elle rentrée à Lubumbashi, dans le sud-est de la RDC.
Moïse Katumbi, richissime homme d'affaires de 51 ans, était arrivé le 20 mai à Johannesburg à bord d'un
avion médicalisé en provenance de Lubumbashi.
Il était venu officiellement pour se faire soigner. Ses collaborateurs en Afrique du Sud ont affirmé qu'il
avait inhalé des gaz lacrymogène lors d'affrontements entre la police et ses partisans à Lubumbashi.
Mais il a quitté la RDC au lendemain de l'annonce d'un procès engagé contre lui par l'Etat congolais,
suscitant des interrogations sur les motifs de son départ.
Lors de son séjour à Johannesburg, Moïse Katumbi a été transféré d'hôpital pour des raisons de sécurité,
selon ses collaborateurs.
"Des inconnus sont passés à la réception pour demander où il se trouvait. La sécurité de l'hôpital a estimé
qu'il s'agissait d'un mouvement suspect" et il a été déplacé, a déclaré l'un de ses proches.
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Les autorités congolaises avaient accepté qu'il quitte le pays pour se faire soigner, à condition notamment
de "ne pas s'exprimer bruyamment sur le dossier entre les mains de la justice", selon le porte-parole du
gouvernement, Lambert Mende.
Dimanche, Me Kapiamba a dénoncé "le transfert" à Kinshasa de quatre autres collaborateurs de M.
Katumbi détenus jusque-là à Lubumbashi, dont deux officiers de police "qui s’occupaient de la sécurité
de Moïse Katumbi alors en fonctions de gouverneur" du Katanga, a ajouté l’avocat.
Le 24 avril quatre proches de M. Katumbi, dont un Américain, avaient été arrêtés à Lubumbashi et
transférés à Kinshasa. Ils totalisent "34 jours de détention illégale" à l’agence nationale des
renseignements (ANR), a déclaré Me Kapiamba, indiquant que le gouvernement voulait "accélérer
l’enquête vers le procès de Katumbi".
La justice congolaise a annoncé le 20 mai l'ouverture prochaine d'un procès contre Moïse Katumbi pour
"atteinte à la sûreté de l'État".
Ex-allié de poids du président Kabila, Moïse Katumbi est passé dans l'opposition en septembre en même
temps qu'il démissionnait de ses fonctions de gouverneur du Katanga, province du sud-est de la RDC
démantelée depuis, et qu'il accusait le chef de l'Etat de chercher à violer la Constitution pour se maintenir
au pouvoir.
Afp - RDC: malgré l'amnistie, pas de "rapatriement massif" d'ex
rebelles du M23
30/05/16
Les ex miliciens congolais du mouvement du 23 mars (M23), dernier avatar des rébellions à dominante
tutsi soutenues par le Rwanda et l'Ouganda dans l'Est de la République démocratique du Congo, ne sont
pas rentrés massivement au pays malgré une amnistie, a déclaré samedi un responsable congolais.
"L'amnistie n'a pas résolu le problème du rapatriement des ex M23, le stock des retours volontaires au
pays n'est pas très significatif", a déclaré à l'AFP François Muamba, coordonnateur du mécanisme de
suivi des "déclarations de Nairobi" signées par Kinshasa et le M23 fin décembre 2013 dans la capitale
kényane.
"On n'a pas enregistré des rapatriements massifs, même si l'amnistie n'avait pas concerné tous les
membres du M23", a-t-il ajouté.
De l'Ouganda, 193 miliciens ont été rapatriés et du Rwanda 13 sont volontairement rentrés en RDC, selon
Patrick Mutombo, du mécanisme national de suivi des accords de Nairobi.
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"Durant les trois années, nous avions toujours demandé des garanties sécuritaires pour venir à Kinshasa",
a déclaré pour sa part Me Élie Mutela, chef adjoint de la délégation du M23 aux travaux d'évaluation des
engagements de Nairobi à Kinshasa, saluant "la fin du climat de belligérance".
Onze points font l'objet des discussions au deuxième jour de la réunion d'évaluation par des experts de
toutes les parties, en présence des garants de la communauté internationale, sous les bons offices de
l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU Saïd Djinnit, selon M. Muamba.
Le M23 a été vaincu le 5 novembre 2013 par l'armée congolaise avec l'appui de la Mission de l'ONU en
RDC (Monusco) après dix-huit mois de guérilla au Nord-Kivu.
Le mois suivant, à Nairobi, le M23 et Kinshasa signaient séparément des déclarations d'engagement
ouvrant la voie au rapatriement de la plupart des combattants du Mouvement en vue de leur réinsertion
dans la vie civile.
Les accords prévoyaient aussi le retour de plusieurs centaines de milliers de réfugiés congolais et la
résolution des questions foncières et ethniques à l'origine de la violence qui déchire l'Est de la RDC
depuis plus de vingt ans, sur fond de concurrence pour le contrôle des ressources minières de la région.
Afp -Les corps des policiers ougandais tués sur le lac Albert
rapatriés de RDC
30/05/16
Les corps de trois policiers ougandais tués la semaine dernière sur le lac Albert dans un échange de tirs
avec les forces congolaises ont été rapatriés depuis la République démocratique du Congo voisine avec
un survivant auparavant donné pour mort, a indiqué dimanche la police ougandaise.
"Les corps des trois hommes sont de retour au pays et des dispositions sont prises afin qu'ils soient
enterrés chez eux", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police Fred Enanga à propos du rapatriement
qui s'est déroulé samedi.
"Par chance, et contrairement à ce que des informations précédentes indiquaient, le quatrième policier
n'a pas été tué", a-t-il ajouté. "Visé par des tirs et blessé, il a été rapatrié en Ouganda et reçoit des soins".
Le bateau et les armes des policiers ont également été restitués.
A Kinshasa, les autorités ont confirmé à l'AFP que les dépouilles et le survivant avaient été raccompagnés
en Ouganda par une délégation dirigée par le gouverneur de la province congolaise d'Ituri, Abdallah
Penembaka.
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Le 21 mai, quatre policiers ougandais enquêtaient sur des allégations de pêche illégale dans la partie
ougandaise du lac Albert lorsque des soldats congolais ont ouvert le feu "sans sommation", soutient
Kampala. Les corps des trois tués et le survivant avaient été emmenés en RDC.
Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, avait assuré le 23 mai à l'AFP qu'"il y a eu
des échanges de tirs" entre les "forces de deux pays amis" sur le lac Albert. Il avait ajouté qu'une
commission d'enquête mixte avait été mise en place, et que dans l'attente de son rapport, la RDC ne
pouvait "se permettre de porter des accusations" dans un sens ou dans l'autre.
Les tensions entre forces de sécurité congolaises et ougandaises ont augmenté ces dernières années sur
le lac Albert et ses rivages, les deux pays arrêtant régulièrement des soldats et policiers de l'autre nation,
qu'ils relâchent ensuite dans la plupart des cas.
"Nous attendons une réponse appropriée quant aux circonstances de cette tuerie, et nous avons demandé
au gouvernement congolais de s'assurer que les coupables soient amenés à rendre des comptes", a conclu
Fred Enanga.
Bbc - Moïse Katumbi au Royaume Uni
30/05/16
Moïse Katumbi, richissime homme d'affaires de 51 ans, a quitté la RDC pour l'Afrique du Sud au
lendemain de l'annonce d'un procès intenté contre lui par le gouvernement congolais qui l'accuse d'avoir
recruté des mercenaires.
Son avocat Me Georges Kapiamba a confirmé son départ pour Londres. Il pourrait également se rendre
dans les prochains jours à Paris, Bruxelles et à Bonn.
Dimanche, Me Kapiamba a dénoncé "le transfert" à Kinshasa de quatre autres collaborateurs de M.
Katumbi détenus jusque-là à Lubumbashi, dont deux officiers de police chargés de sa sécurité alors qu'il
était gouverneur du Katanga.
Quatre de ses proches, dont un Américain, avaient été arrêtés à Lubumbashi en avril dernier et transférés
au siège de l'agence nationale des renseignements (ANR) à Kinshasa.
Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, lui a déclaré que Kinshasa a accepté que l'ex homme
fort de Lubumbashi aille se faire soigner, à condition notamment de ne pas trop s'exprimer sur le dossier
judiciaire qui le concerne.
Cnn- Only democracy can end the violence in DR Congo'
30/05/16
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Not a month goes by without a massacre taking place in Beni, in the eastern Democratic Republic of the
Congo. Earlier this month over 30 people were killed. Eyewitnesses tell harrowing stories of people being
senselessly hacked to death. Pictures widely circulated in social media, within Congo and in its diaspora,
show disemboweled women, mutilated children and people with their hands tied to their backs and their
throats slit open.
In Beni alone, since October 2014, 600 people have died such a horrific death. If you add those killed in
neighboring territories of Lubero and Butembo, the figures almost double, as pointed out in a recent open
letter by civil society leaders from North Kivu.
Both the Congolese government and the United Nations Organization Stabilization Mission in the
Democratic Republic of the Congo (Monusco) have long blamed the Ugandan rebel group, the Allied
Democratic Forces (ADF), for these mass-killings.
They have characterized them as revenge killings after the Congolese national army and Monusco carried
out joint military operations against the ADF.
Researchers say more groups are involved. However, researchers at the Congo Research Group (CRG)
have called this account into question. CRG claims that criminal responsibility does not lie with the
Islamist group alone, but also with elements of the national army, former members of disbanded rebel
groups and communal militias.
Their findings show that only in 47% of reported attacks were Luganda and Kiswahili spoken, which are
languages generally used by members of the ADF. Whereas in 29% of cases, the assailants used
Kinyarwanda to communicate, and in 13% of them they spoke Lingala. Both these languages appear to
indicate that other ethnic groups other than those generally associated with the ADF have been involved.
A call for investigations
It is crucially important to carry out a serious investigation to conclusively establish who the perpetrators
of these heinous crimes really are so as to bring them to justice.
This would give peace a real chance to succeed. Unfortunately, the Congolese government and the
international community have not given this problem the level of attention it requires.
After joint-military operations by the Congolese national army and the UN troops led to the defeat of the
M23 in November 2013, they both stopped military cooperation in February last year, giving ample
opportunity to armed groups in the area to regroup.
Part of our problem in the Congo has been our dysfunctionally weak institutions. The current government
does not feel beholden to Congolese citizens. After two decades of violent conflict and lawlessness, it is
almost impossible to envisage long term stability and peace without having in place an accountable
government.
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This is why it is so important to hold timely credible elections as required by our constitution. Such a
democratic process can contribute to restoring legitimacy in our institutions and produce a legitimate
government with a truly popular mandate.
Unfortunately, the current president, Mr Joseph Kabila, has shown worrying signs that he intends to cling
to power. Although presidential elections are due to be held in November this year, little effort has been
made to even register voters.
Put pressure on the regime
There has also been a crackdown against opposition leaders, journalists, human rights and pro-democracy
activists. The international community, however, has a window of opportunity to put pressure on the
current regime by supporting the fast growing national consensus, in the Congo, to demand long-lasting
democratic change.
A peaceful constitutional transfer of power would contribute to restoring the rule of law, end decades of
impunity, and address the deep-rooted security problems the country has endured in our recent history.
Daily Nation - DR Congo’s Katumbi flies to London for treatment
31/05/16
Moise Katumbi, the embattled DR Congo opposition leader who quit the country last week ostensibly
for medical treatment, has now flown from South Africa to London, one of his lawyers said on Monday.
Mr Katumbi, a football magnate seen as the leading challenger to President Joseph Kabila for the top job
in the mineral-rich country, needs “rest” and it is not clear when he will be heading home, Georges
Kapiamba told AFP.
With political tensions soaring over expectations that Mr Kabila wants to extend his rule despite being
barred from a third term, Katumbi has been all but forced into exile as he faces charges of undermining
state security.
The 51-year-old owner of the Tout-Puissant Mazembe football club had this month announced plans to
stand in the election due later this year, but was swiftly hit with an investigation into claims he hired
foreign mercenaries.
Mr Katumbi flew to South Africa on May 20 and was admitted to hospital in Johannesburg, with
followers saying he was injured during clashes between police and his supporters a week earlier.
REST FOR THE MOMENT
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“Moise Katumbi left Johannesburg on Friday and landed in London on Saturday,” said lawyer Kapiamba.
Another member of Katumbi’s team, speaking from Johannesburg, added: “He is out of hospital. He is
well, but because of the disorder in Congo, he prefers to rest for the moment.
“He will go back to Congo but we still don’t know when,” the source said, insisting: “He is a candidate
for the presidency.”
Doctors have recommended he rest, the source added, saying Katumbi had travelled to London because
his usual doctor was there.
The businessman left Johannesburg on a commercial jet while his wife Carine, who had accompanied
him to South Africa, has gone back to Lubumbashi, the Congolese mining hub that serves as Katumbi’s
power base.
Mr Katumbi’s entourage in South Africa said the politician had needed treatment after he inhaled tear
gas during clashes between police and his supporters in Lubumbashi.
But he left the country just a day after he was charged over the allegations that he hired foreign
mercenaries, raising questions over the real reasons for the trip. Katumbi, who calls the charges against
him “grotesque lies” was transferred between hospitals in Johannesburg for security reasons.
Xinhua - News Analysis: Division among DR Congo opposition could
wreck hopes for single candidate
30/05/16
The prospects of a single opposition candidate in the forthcoming presidential elections in the Democratic
Republic of Congo (DR Congo) could be jeopardized by the infighting among opposition leaders in the
country.
Divided among two groups, one calling itself radical opposition and another considering itself as
moderate or republican, the division is growing deeper and deeper.
The republican side, which is led by the Union for Democracy and Social Progress (UDPS) of Etienne
Tshisekedi, is the one that has accepted to take part in the political dialogue called by President Joseph
Kabila.
However, divisions have emerged even among the moderate or republican opposition over the modalities
of choosing opposition representatives for the talks. Due to this, the opposition has not yet submitted its
documents to the African Union facilitator, Edem Kodjo, ex-Togolese prime minister.
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Unity is also becoming elusive among the opposition grouping popularly known as G7. The group is
comprised of former confidants of president Kabila who wanted him to leave power once his term ends
later this year.
The G7 later endorsed Moise Katumbi as the single opposition candidate in the presidential elections.
But his candidature has not been embraced by all opposition parties.
"Adopting the single candidature of Katumbi for all opposition parties will be for us, trampling on the
values that have guided our daily battles, and also sabotaging our people's hope for change. Our party
will have its candidate in the forthcoming elections," a parliamentarian close to Vital Kamerhe, the
president of Union for Congolese Nation (UNC), told Xinhua.
However, sources close to Kamerhe that spoke to Xinhua said some senior UNC members had already
joined Katumbi's camp to support the latter's candidature in the forthcoming elections.
Last month, UDPS political bureau said Tshisekedi was its obvious candidate, and that there was no way
the party would back any other candidate.
During protests called on May 26 by the opposition to protest against a ruling by the Constitutional Court
that allows Kabila to remain in power beyond this year, several analysts noted the infighting among
opposition members.
During the protest that brought thousands of people, each opposition leader had his crowd following him.
Members of G7 withdrew from the protest just a day before the protest, without any official explanation
to other opposition members.
"Our G7 friends still do not understand exactly what they want since leaving the presidential majority
camp. By refusing to take part in the protest march, G7 members have lost credibility among the
population," one of the opposition leaders who did not wish to be named told Xinhua in Kinshasa.
During the march, some opposition supporters expressed anger at the opposition leaders for trying to
outdo each other instead of working together.
With DR Congo's single-round electoral system, most political observers do not give a chance to an
opposition candidate winning the election against a ruling party that is determined to hold onto power.
In 2011, during the one-round elections, Kabila was declared the winner against a divided opposition.
Ximhua - 5 killed in Rwandan rebels' attack in eastern DR Congo
30/05/16
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At least two soldiers and three civilians were killed between Saturday night and Sunday morning in an
attack carried out by the Democratic Forces for the Liberation of Rwanda (FDLR) rebels at an army camp
in North Kivu province, eastern Democratic Republic of Congo (DR Congo), local sources said.
The sources said the heavily armed assailants who came from Virunga national park, launched the attack
against Katwa military camp in Nyirongongo territory at around 10 p.m. local time, and the fighting
lasted for a few hours.
They added that the assailants looted foodstuffs from neighbouring villages as they fled after the attack.
Local civil society members condemned the attack and urged the Congolese army to intensify military
operations against FDLR rebels who are operating from Virunga national park.
Xinhua - Resumption of talks between DR Congo gov't, ex-M23
rebels hailed
30/05/16
Representatives of the guarantors of the Agreement for Peace, Security and Cooperation in the
Democratic Republic of Congo (DR Congo) on Monday hailed the resumption of talks between the
Congolese government and ex-M23 rebels.
The meeting held in Kinshasa between May 27 to 28 at the offices of the National Follow-up Mechanism,
examined the implementation of Nairobi Declarations that were signed on Dec. 12, 2013.
It was presided over by Francois Muamba, the coordinator of the National Follow-up Mechanism, while
the coordinator of ex-M23 rebels, Desire Rwigema, led the delegation of the former rebels.
The guarantors of the peace agreement include the United Nations, African Union, the International
Conference of the Great Lakes Region (ICGLR) and the Southern Africa Development Community
(SADC).
In the statement, the guarantors hailed the constructive and brotherly spirit that prevailed during the
discussions, and expressed hope that the meeting will be a start for more rigorous engagement between
the two parties.
The guarantors recalled the provisions of the Nairobi Declarations that gave the ex-M23 rebels the option
of transforming themselves into a political party by following laid down procedures in DR Congo, and
the government's commitment to facilitate the process.
During the Kinshasa meeting, the guarantors to the Agreement for Peace, Security and Cooperation in
DR Congo were represented by Said Djinnit, the UN Secretary general's special envoy in the Great Lakes
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Region; Prof. Ibrahima Fall represented the AU, while SADC was represented by Alfredo Nuvunga,
Deputy Director in Mozambique's Foreign Affairs ministry.
Others who were present included Prof. Alphonse Ntumba Luaba, the executive secretary of ICGLR and
David Gressly, the Deputy Special Representative for the UN secretary general for operations and rule
of lawunder the UN mission in DR Congo.
Nyasa Times - 12 Congolese loiter in Mchinji village sent to Dzaleka
Refugee Camp
31/05/16
Villagers in Kaombe Village in Mchinji were on Saturday night alarmed to see 12 people from
Democratic Republic of Congo loitering around and the language barrier forced the suspicious villagers
to report them to Mchinji Police Station.
Prohibited from working, refugees at the overcrowded Dzaleka camp have been surviving on minimal
food rations due to donor cutbacks
Prohibited from working, refugees at the overcrowded Dzaleka camp have been surviving on minimal
food rations due to donor cutbacks
Mchinji Immigration office spokesperson Andida Mando said the 12 included seven children and five
adults.
“The asylum seekers said they were running away from DRC because of skirmishes in their areas where
rebels forcibly conscript men or kill them,” said Mando.
Mando said the community policing group took the foreigners to the police where they spent a night
before being sent to Dzaleka Refugee Camp in Dowa for screening before they were given the asylum
seeker status which would allow them stay in Malawi as refugees.
Mando said the foreigners claimed they were dumped in the village by a truck driver and wondered why
they were dumped there.
He said the asylum seekers reported they had always wanted to settle in Malawi.
The Indian express - Congo victim’s family in capital, India assures
them speedy trial
31/05/16
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Police had found key evidence in the case from CCTV footage. The video clip is with the police, who
also offered to show it to Michel when he met them during the course of the investigation. But he refused
to see it.
Ten days after Congolese national Masonga Kitanda Olivier was beaten to death by three men in South
Delhi’s Vasant Kunj, his uncle and cousin arrived in the capital on Monday morning to take his body
back to Kinshasa in the Democratic Republic of Congo.
Joint Secretary (West Africa) in the Ministry of External Affairs Birender Yadav, who met the family on
their arrival at the airport, said India has assured them a speedy trial.
Olivier was involved in a brawl with three men, who got into an autorickshaw flagged down by him. The
trio hurled racial slurs at Olivier and brutally assaulted him. Though he was rushed to a local hospital, he
was declared brought dead, minutes before his 24th birthday.
On Monday, as his family shuttled between the Embassy of Congo in Safdarjung Enclave and the new
office of the Ministry of External Affairs at Jawahar Bhawan, they could barely muster strength to speak
to the media that trailed them throughout the day.
As Olivier’s maternal uncle, Tony Kanyinda, failed to converse in English, officials of the embassy
helped translate as he met a number of government officials to discuss the procedure for taking Olivier’s
body back home.
Olivier’s friends told The Indian Express that his family was in such a shock that they could not gather
the strength to see his body, kept in a mortuary in the All India Institute of Medical Sciences (AIIMS).
Officials said the body has been embalmed and is ready to be handed over to the family, but no one has
approached the institute yet.
Olivier was the oldest of five brothers and had come to Delhi in 2013 for higher studies. He had recently
started teaching French at a private institute in South Extension. His father has a modest job in a private
firm and, owing to the family’s strained financial condition, the embassy has offered to pay for all the
formalities involved in taking Olivier’s body back to Kinshasa.
With the African community in the capital outraged over Olivier’s death and a spate of other racially
motivated attacks, a protest rally was being planned for Tuesday morning. But by Monday evening, the
plan was called off.
In an effort to pacify the community, Delhi Commissioner of Police Alok Kumar Verma met some
African nationals on Monday afternoon to reassure them that their grievances will be addressed promptly.
Verma also told the delegation that security for the community had been ramped up.
The Delhi Police has intensified patrolling in residential areas where a sizeable number of African
nationals live and are holding meetings with local resident welfare associations to sensitise them on racial
attacks.
Ce panorama n'est pas un document officiel des Nations Unies. Par conséquent, les opinions qui y sont exprimées ne reflètent ni le point de vue de la MONUSCO, ni celui
des Nations Unies. Ce document vous est transmis seulement pour votre information.
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Michel Kitanda, Olivier’s first cousin who also studies in Delhi, said, “Only a few people knew about it
when the incident took place on May 20 evening. The next day was his 24th birthday. At the stroke of
midnight, his Facebook page was flooded with birthday wishes but he was not there to read any of that.
It was so painful for us. We grew up in the same house. His father is unwell, so my father raised him and
sponsored his education.”
Police had found key evidence in the case from CCTV footage. The video clip is with the police, who
also offered to show it to Michel when he met them during the course of the investigation. But he refused
to see it. “I do not have the courage to see my brother being beaten to death. The incident is already
haunting us and to see that CCTV footage will be very painful. Maybe one day I will be brave enough to
go back and see it,” Michel said.
After a day-long flight from Kinshasa and endless hours of meetings with government officials, Tony
retired to a hotel near Dhaula Kuan on Monday evening.
Foreign Secretary S Jaishankar, meanwhile, assured that safety and security of the African community is
an “article of faith” for the government. Jaishankar also met a group of African students, who raised
concerns about visa issues, problems in finding accommodation and the need for sensitising the police in
dealing with them.
“Foreign Secretary to students: Ensuring safety and security of foreign students is an article of faith for
us,” MEA spokesperson Vikas Swarup tweeted.
MoS (Home) Kiren Rijiju said, “We are taking the issue of attacks on African nationals very seriously.
Action has been taken and some arrests have already been made. If there is any racial angle found,
strictest possible action will be taken.”
Meanwhile, envoys of African countries are adopting a “wait and watch” policy regarding India’s
assurance in ensuring safety of their citizens after they demanded concrete steps against “racism and
Afro-phobia” last week.
Dean of African Group Head of Missions and Ambassador of Eritrea Alem Tsehage Woldemariam, who
had issued a strongly worded statement seeking stringent action to guarantee safety of Africans in India,
said it was up to the Indian government to take action on the concerns conveyed by the envoys.
“Whatever we had to convey, we conveyed on Africa Day. Now, it is up to the Indian government to take
action on the assurances given to us,” he said when asked if they would again raise the issue of attacks
against African nationals.
Mumbai Mirro – India Govt reaches out to Africans as fears of
racism loom large
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31/05/16
Foreign secretary talks to protesting African students in Delhi, assures them of safety. In another gesture,
MEA officials meet the family of Congolese national who was beaten to death on May 20.
India on Monday continued its damage control exercise in the wake of a string of assaults on African
nationals, with Foreign Secretary S Jaishankar assuring that safety and security of the community is an
"article of faith" for the government, even as a cab driver was beaten up allegedly by a group of Africans,
in an apparent backlash.
Jaishankar met a group of African students who raised their concerns over host of issues including better
security in the wake of the killing of Congolese national Masonda Ketada Oliver and cases of assaults
against the community.
"Foreign Secretary to students: Ensuring safety and security of foreign students is an article of faith for
us," External Affairs Ministry Spokesperson Vikas Swarup tweeted.
The issues raised by the African students, which were part of a world students' body, included visa issues,
problems in getting accommodation and the need for sensitising the police while dealing with them.
On his part, Jaishankar assured them that India shares their concerns and will take steps to address the
problems being faced by them.
Official sources said the attacks over the last few days were casting a shadow on visits of Vice President
Hamid Ansari to Morocco and Tunisia and by Prime Minister Narendra Modi later in the year to
Mozambique and South Africa.
Separately, Joint Secretary (West Africa) in the MEA Birender Yadav received the family of Masonda
Ketada Oliver at the airport and gave the assurance that government would ensure a speedy trial in the
case and prosecution of all those responsible for the crime.
The MEA told the family that it would bear all expenses related to dispatch of mortal remains of Oliver.
He said that the family members thanked the Indian government for its assistance. Later, the family
accompanied by Congo Ambassador met Yadav at his office.
Meanwhile, in an apparent backlash, a cab driver was beaten up allegedly by a group of Africans in the
wee hours in south Delhi's Rajpur Khurd, the locality in which African nationals were attacked by groups
of locals in four separate incidents last week.
The incident took place around 4 am when the cab driver went to pick up passengers in Mehrauli. Police
had on Sunday arrested five people for their alleged involvement in attacking people of African origin.
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The Hindu - What happened to Olivier could happen to any African
in India’
31/05/16
The family of Olivier Masonda Ketanda — a Congolese national killed on May 20 following a brawl in
Vasant Kunj area — is disappointed with the security for Africans living in Delhi. They fear that what
happened to Olivier could happen to any other African in India.
“There is no security. Living in India is difficult. Earlier the situation seemed fine, but the way we are
being treated now, we do not feel safe at all,” said Olivier’s cousin, Michelle, before meeting senior
officials of External Affairs Ministry (MEA).
Michelle, who is a student in Delhi, avoided commenting when asked if he thought it was a racist attack
on Olivier. However, he said racism is prevalent in India.
Fear factor
“I am scared. We are all scared. What happened to Olivier can happen to any one of us.” Michelle said
the Indian government has promised them justice in the murder case, but he would wait and see when
the trial begins and how much time it takes before justice is delivered.
MEA officials who had received Olivier’s uncle at the IGI Airport on Monday assured him of a speedy
trial and prosecution of all those responsible for the crime.
From the airport, Oliver’s uncle visited AIIMS where the victim’s body was ready to be handed over to
the family to be flown to Congo. However, the body would be flown after the government fulfils its
promise to bear the monetary expenses of transportation.
Monitoring des Secteurs
Goma
Radio Kivu I
1. Les populations qui émigrent vers l’Ituri seraient déjà arrivées à 15 mille dans la seule bourgade
de CHABI en territoire d’Irumu et venant principalement du territoire de Masisi au Nord-Kivu.
C’est la révélation de la société civile du territoire de Beni qui constate que ces mêmes personnes
réclament déjà une localité autonome dans cette nouvelle province. Bravo Muhindo, président de
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la société civile de Banande –Kainama ajoute que ces émigrés seraient même déjà plus nombreux
que les autochtones dans certaines localités d’Irumu.
2. Le diocèse de Goma a été présent à l’assemblée épiscopale de 6 évêques du Maniema, du SudKivu et du Nord-Kivu réunis à Kindu du 23 au 30 mai. Ces prélats catholiques se sont dits inquiets
de la situation à Beni au Nord-Kivu. Ils constatent qu’au Nord-Kivu les animaux sont mieux
protégés que les hommes. Monseigneur Louis Gonzague Nzabanita qui a participé à ces
assises dit que ces les évêques s’inquiètent du silence des autorités face à ces massacres et
invitent les politiciens, la MONUSCO et toute la communauté internationales à réfléchir sur
ce qu’ils font au Nord-Kivu.
Radio okapi antenne de Goma
1. Le Gouvernement Congolais vient de remettre les prix de reconnaissance aux gestionnaires du
Parc National des Virunga. C’est pour leurs efforts dans la promotion de la valeur écosystémique
de ce site du Patrimoine mondial de l’UNESCO. Trois personnalités de l’ICCN et un chef
coutumier du territoire de Rutshuru ont reçu ces prix lors d’une cérémonie organisée à cette
occasion dimanche à Goma.
2. « Le travail des Casques bleus a fortement contribué à la sécurisation de la RDC » : Ce sont les
propos du responsable de l’ONG, Vision Humanitaire pour le Développement et Communicateur
de la Synergie Tuteteye Haki Yetu, Smith ETUMBA. C’est à l’occasion de la Journée
Internationale des Casques bleus, célébrée ce dimanche 29 mai. Pour Smith Etumba, il faut une
collaboration entre les Nations-unies, le Gouvernement et la Société civile pour redéfinir la
stratégie de protection des civils par la MONUSCO…
3. A Goma, une vingtaine de leaders religieux du Nord-Kivu est sensibilisée depuis ce lundi sur le
comportement et le rôle du leader chrétien face aux enjeux électoraux en RDC. C’est lors d’un
forum de deux jours organisé par l’Eglise du Christ au Congo, ECC. Ce lundi, il a été question
du programme de révision du fichier électoral et de la contribution de l’Eglise pour le succès de
ce programme de la CENI. C’est ce que nous dit le Secrétaire Exécutif provincial de la
CENI/Nord-Kivu.
4. Les Soldats FARDC se sont retirés hier de la localité de KAHIRA, dans le groupement BashaliMokoto, à plus de 100 KM au Nord-ouest de Goma, dans le territoire de Masisi. D’après les
sources de la police, juste après le retrait des militaires, la coalition Nyatura-APCL est venue
s’installée à Kahira. De nombreux habitants ont dû une fois de plus, fuir la région, selon un notable
local. C’est depuis plusieurs semaines maintenant que le mouvement des populations est observé
dans le groupement Bashali-Mokoto suite au départ des FARDC de plusieurs localités, laissant
libre champ aux Mai Mai. Ces derniers occupent actuellement la quasi-totalité de ce groupement.
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Bunia
Presse locale
Politique
Le Phare - Le message d’Etienne Tshisekedi aux Congolais :
«Persévérez…»
30/05/16
La République est en proie à des turbulences. De Bruxelles où il se trouve en convalenscence, Etienne
Tshisekedi est conscient des enjeux et de la période délicate que le pays traverse. Les attentes du peuple
sont nombreuses, les doutes aussi. Où va le pays ? Et quel est notre avenir collectif ? Pour Etienne
Tshisekedi, la réponse est simple : «Seule la persévérance paie». Ce message, il a tenu à le transmettre à
tous les Congolais vendredi dernier à Bruxelles à travers une Conférence de presse tenue par deux
membres de son parti, Bruno Tshibala et Félix Tshisekedi, respectivement Secrétaire général adjoint et
porte-parole, et Secrétaire National aux Relations Extérieures de l’UDPS. Ces derniers ont animé
conjointement une conférence de presse à l’intention de la diaspora congolaise.
Après avoir délivré le message d’Etienne Tshisekedi, «qui exhorte les Congolais à persévérer dans le
combat, affirmant que la victoire est imminente», les orateurs ont saisi l’occasion pour revisiter les
grands moments de l’histoire de leur parti ainsi que quelques sujets de brûlante actualité. A cet effet, ils
ont rappelé le credo d’Etienne Tshisekedi, fondé sur la conquête démocratique du pouvoir en vue de la
construction d’un Etat de droit en RD Congo.
S’agissant du dialogue, l’UDPS y reste attachée, sous réserve du respect de sa «feuille de route».
Ci-dessous, le texte de la conférence de presse susévoquée.
1. De la forme de la lutte choisie par l’UDPS
Comme chacun le sait, dès sa création au plus fort de la dictature, en février 1982, les fondateurs de
l’UDPS avaient le choix entre déclencher une lutte révolutionnaire, n’excluant pas le recours à la violence
pour chasser le tyran, ou mener une lutte réformiste pour changer le système politique au pays.
Fervents partisans de la Non-violence, les fondateurs de l’UDPS avaient opté pour la lutte politique
réformiste, en opposant aux tenants de la dictature les valeurs et principes de la démocratie pluraliste
comme meilleur système de gouvernement de l’Etat. Ils avaient raison, dans la mesure où tous ceux qui
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ont pris le contrepied de cette option, ont conduit le pays dans un aventurisme sans lendemain. C’est donc
grâce au combat politique mené avec héroïsme par l’UDPS, que la démocratie s’est installée chez nous.
2. Quels sont les objectifs poursuivis par l’UDPS ?
Parti de gauche prônant les valeurs qui s’inspirent de la social-démocratie, celles de liberté, d’égalité, et
de solidarité, l’UDPS s’assigne comme objectifs une fois aux affaires, d’opérer un grand changement
dans la conduite des affaires de l’Etat, en privilégiant l’intérêt supérieur du peuple et le bien commun.
Ce faisant, l’UDPS entend ainsi promouvoir une démocratie pluraliste véritable et vivante, instaurer la
bonne Gouvernance en luttant contre la prévarication, la corruption, la concussion et autres antivaleurs,
faire respecter les libertés publiques et les droits fondamentaux des congolais, promouvoir la justice
sociale et distributive, assainir la monnaie et les finances publiques, redresser et développer l’économie
nationale par la réhabilitation des infrastructures et la reconstruction du pays, et enfin favoriser l’entente
et la coopération avec les Etats et les organisations qui prônent la paix, la justice, la démocratie, la liberté,
le tout, afin d’assurer le progrès social du peuple congolais.
3. De la Conquête du pouvoir par l’UDPS
Parti non violent et démocratique, l’UDPS entend accéder au pouvoir par la voie des élections, qui est le
mode par excellence d’accession aux responsabilités des partis démocratiques. Il y a lieu de signaler que
depuis l’enclenchement du processus de démocratisation de notre pays au début des années 90, en passant
par la tenue de la Conférence Nationale Souveraine, l’expérience démocratique n’a pas encore été
concluante. En cause essentiellement, l’absence de conversion réelle à la démocratie de la part des tenants
du pouvoir dans notre pays.
Ceux-ci, sans bilan défendable, organisent de manière générale la fraude électorale, le hold-up, pour
empêcher l’alternance au pouvoir.Leur motivation étant de s’accrocher au pouvoir pour assouvir leurs
intérêts égoïstes et régner par défi, avec comme conséquences une direction du pays sans vision, sans
idéal, un leadership faible et illégitime, la paupérisation et la clochardisation de nos populations, ainsi
que le manque de cohésion et de concorde nationales. C’est le cas de M. Kabila qui, retoqué en 2006 et
2011, règne par défi contre la volonté du peuple souverain.
Il est évident que le dévoiement du processus démocratique et électoral du pays est le fait de
l’instrumentalisation de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui, créée comme
institution d’appui à la démocratie, ne permet pas à celle-ci de s’épanouir par le jeu de l’alternance, du
fait de son inféodation au pouvoir.
C’est pour cela que l’UDPS, au travers du Dialogue politique en gestation, exige impérativement la
recomposition de la CENI de manière
à la rendre impartiale, véritablement indépendante, objective et représentative de toutes les sensibilités
politiques du pays. Il en est de même de la Cour Constitutionnelle qui doit subir le même sort, les médias
publics qui doivent être libéralisés, sans oublier la territoriale qui est entre les mains d’une seule famille
politique, en l’occurrence la MP.
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Toutes les conditions de transparence réunies, l’UDPS est confiante de battre, aux prochaines élections
présidentielle et législatives de 2016, tous ses concurrents disqualifiés par leurs bilans désastreux et leurs
diverses compromissions.
Nous disons donc ici haut et fort que l’UDPS va conquérir le pouvoir cette année, au terme des élections
prévues, dans la mesure où elle est seule, avec ses alliés des forces du changement, à incarner l’espoir du
peuple qui ira aux élections pour sanctionner les mauvais gestionnaires de la MP et leurs alliés, quel que
soit les masques dont ils vont se couvrir. L’arrivée au pouvoir de l’UDPS aura une triple incidence sur la
marche du pays :
a) l’épanouissement de la Démocratie;
b) la sécurité pour tous;
c) le redressement économique et donc le progrès social qui va se manifester par les meilleures conditions
de vie pour tous, du travail pour un plus grand nombre de congolais, l’accès aux soins de santé pour tous,
et enfin une bonne éducation pour ses enfants.
4. Gouvernance de l’UDPS au Pouvoir
Dans sa gouvernance qui va se démarquer nettement de la gestion calamiteuse des régimes précédents,
dominée par le pillage des ressources naturelles, la prédation et l’enrichissement illicite des dirigeants,
l’UDPS entend s’atteler d’abord à la création de l’Etat qui n’existe pas à l’heure qu’il est. L’UDPS avec
Etienne TSHISEKEDI aux commandes entend restaurer l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire
national. Celle-ci ne souffrira d’aucune faille. L’administration, bras séculier de l’Etat, sera valorisée
pour permettre à celui-ci d’exercer pleinement ses prérogatives régaliennes.
La fonction publique redeviendra, comme partout ailleurs, l’apanage des meilleurs au service de l’Etat.
La justice comme service public, fonctionnera de manière indépendante et sans interférence néfaste du
politique qui en altère la mission.
La promotion d’une Coopération internationale agissante et responsable permettra à nos nombreux
partenaires traditionnels de revenir investir dans un pays sûr et stable en vue de relancer, ensemble, la
reconstruction de notre pays.
Bref, avec l’UDPS au pouvoir bientôt, le Congo devra redevenir en très peu de temps, une oasis de paix
et de prospérité pour tous ses habitants.
5. Quelques questions brûlantes d’actualité
L’opportunité de cette conférence nous permet de revenir et d’évoquer quelques questions d’actualité
Comme vous le savez, le pouvoir de Kinshasa, en désespoir de cause, a saisi la Cour constitutionnelle,
par une requête en interprétation de l’article 70 de la Constitution, pour obtenir une rallonge indue à la
tête de l’Etat.
Le 11 mai dernier, cette Cour a rendu un arrêt qui viole la Constitution. Le Président TSHISEKEDI a
rejeté cet arrêt pour cause d’inconstitutionnalité. En conséquence, si les élections ne sont pas organisées
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dans le délai, Kabila quitte le pouvoir et remet les clés du Palais de la Nation, au plus tard le 19 décembre
2016 à minuit.
Concernant le dialogue politique, l’UDPS reste attachée à ce Dialogue qui est la voie royale pour sortir
de l’impasse et éviter le chaos qui se profile à l’horizon.
L’UDPS a cependant, exprimé quelques préoccupations qui tiennent à la concordance de la perception
du Dialogue par la facilitation à la Feuille de route du 15 février 2015 et à la résolution 2277, à
l’encadrement du facilitateur par le panel de quatre organisations, à savoir, l’ONU, l’Union Européenne,
l’OIF et les Etats-Unis d’Amérique, de manière à assurer la garantie de bonne fin des résolutions et
recommandations du Dialogue, et aux signaux de décrispation politique.
Aussitôt que ces préoccupations seront satisfaites, le Président Etienne Tshisekedi, Autorité politique et
Chef de file des forces du changement, transmettra la liste des membres de l’opposition au Facilitateur.
A propos du groupe de travail mis en place par le facilitateur, l’UDPS rappelle, comme souligné dans
son communiqué du 24 mai 2016, que les problèmes que nous avons dans le pays sont politiques et
appellent des solutions politiques de la part de la classe politique. La société civile, mouvement associatif
apolitique, est invitée au Dialogue comme témoin dans le cadre de notre démocratie participative prônée
par notre pacte républicain.
Le Groupe de travail mis en place est une cellule informelle au service du facilitateur. Seul le Comité
préparatoire sera l’organe attitré chargé de la préparation du Dialogue.
Pour terminer, nous saluons la bravoure des combattantes et combattants de l’opposition qui ont bravé
le dispositif de sécurité en marchant à travers les principales villes du pays ce 26 mai, comme prévu, pour
manifester le rejet de l’arrêt, et voir ainsi Kabila quitter le pouvoir cette année.
Nous condamnons la répression brutale des manifestants et les morts enregistrés.
Voilà, Mesdames et Messieurs de la presse, chers invités, Combattantes et Combattants, ce que nous
avons tenu à dire au titre de cette conférence, et nous vous remercions.
Nous restons à votre disposition pour vos questions,
Fait à Bruxelles, le 27 mai, 2016
Bruno TSHIBALA NZENZHE
Secrétaire Général-Adjoint et Porte-Parole
Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO
Secrétaire National aux relations extérieures
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7 sur 7.cd - Des nouvelles manifestations projetées par la
Dynamique de l’opposition au mois de juin
30/05/16
Après le succès de la marche du 26 mai dernier, la Dynamique de l’opposition annonce des manifestations
de grande envergure au mois de juin dans le but de ‘‘contraindre le régime Kabila à respecter la
constitution et à organiser les élections crédibles dans le délai constitutionnel’’. La finalité, selon les
organisateurs, c’est de permettre l’alternance paisible et démocratique au Congo-Kinshasa.
La plateforme des radicaux de l’opposition anti-dialogue s’indigne de la brutalité policière et des moyens
disproportionnés utilisés par les forces de l’ordre lors de la dernière marche. Loin d’être intimidés, les
ténors de la contestation appellent les congolais à davantage de vigilance face à la volonté manifeste du
président Kabila et ses affidés de conserver le pouvoir en violation de la constitution. Ils brandissent
l’article 64 de la constitution, véritable arme pour contrer les dérives du régime finissant. ‘‘Les congolais
doivent faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce
en violation de la constitution’’, a rappelé Vital Kamerhe, le leader de l’Unc.
Deux cent mille personnes étaient dans les rues sur l’ensemble du pays. Le cas de villes de Beni,
Butembo, Goma, Bunia, Bukavu, Mbandaka, Kalemie, Moba, Kananga, Bandundu ville, Uvira et
Kinshasa est été très frappant. L’opposition compte atteindre un million de personnes lors des prochaines
marches pacifiques.
Ainsi, la Dynamique de l’opposition rappelle à l’opinion que conformément à l’article 26 de la
constitution, les manifestations sur les voies publiques sont placées sous le régime d’information et
qu’aucune autorité administrative, ne peut se prévaloir d’un quelconque pouvoir d’autoriser un meeting,
une marche ou toute autre manifestation publique.
7 sur 7.cd - L’opposition radicale appelle aux sanctions ciblées
30/05/16
Des auteurs des actes de répression et de violations graves des droits de l’homme doivent être
sanctionnés. La Dynamique de l’opposition accuse le régime Kabila d’être l’auteur de plusieurs exactions
contre les populations civiles.
Ainsi, ses principaux acteurs demandent à la communauté internationale de prendre des sanctions ciblées
contre les bourgmestres, maires, gouverneurs et responsables de la police, auteurs intellectuels des
violations des droits de l’homme lors de la marche du 26 mai dernier. Les mêmes sanctions doivent aussi
viser les responsables des partis politiques de la mouvance Kabiliste. Il est leur est reproché d’avoir
planifié la répression de cette marche pacifique par la police, l’armée, les milices et les forces
paramilitaires coiffées de bérets.
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Les partis membres de la Dynamique prennent ainsi à témoin la communauté internationale ainsi que les
organisations des droits de l’homme face à ce qu’ils qualifient de ‘ dérive dictatoriale du régime de M.
Kabila qui, chaque jour, administre de preuve du peu d’égards qu’il a pour les libertés fondamentales et
les droits humains, et à ce titre restreint l’espace d’exercice démocratique des libertés consensuelles’’.
Depuis le jour de la marche, de nombreux cadres et militants de l’opposition sont aux arrêts partout au
pays. Le leadership de la Dynamique hausse le ton et exige leur libération sans condition. Les opposants
anti-dialogue invitent la Monusco et les Ongs des droits de l’homme de tout entreprendre pour obtenir
leur relaxation. A la Dynamique, on ne comprend pas pourquoi la police a recouru à l’usage abusif de
gaz lacrymogènes et parfois à des tirs à balles réelles contre les manifestants pacifiques. ‘‘Nous
dénonçons l’utilisation disproportionnée et abusive des forces de l’ordre à des fins de répression et
d’intimidation populaire’’, vocifère Albert Fabrice Puela, l’ex-modérateur de la plateforme qui a passé
le bâton de commandement au député Patrick Mayombe. Des morts, blessés, des personnes arrêtées, bref
le bilan a été lourd.
Et la Dynamique condamne les pratiques d’autres siècles pour taire l’opposition. Elle félicite vivement
les congolais pour s’être mobilisée en masse dans plusieurs provinces du pays en disant non au troisième
mandat de M. Kabila. Les ténors de ce regroupement fustigent le comportement du gouverneur de
Kinshasa, André Kimbuta pour avoir changé unilatéralement l’itinéraire de la marche convenu de
commun accord.
La Prospérité - Comité préparatoire. Dialogue : Lumuna Ndubu
interpelle Kodjo !
31/05/16
Lors d’un point de presse tenu samedi 28 mai au centre des Handicapés physiques situé le long de
l’avenue des Huileries, dans la commune de la Gombe, Me Lumuna Ndubu, a demandé au Facilitateur
Edem Kodjo de lister aussi les délégués des autres partis et regroupements politiques de l’opposition au
comité préparatoire du dialogue national inclusif.
« Il faut éviter d’ouvrir la moindre brèche susceptible de secréter un blocage inutile du dialogue national
inclusif. Il est donc urgent et opportun de débloquer la mise en place du comité préparatoire, en
listant aussi les délégués des autres partis et regroupements politiques de l’opposition parlementaire et
extraparlementaire pro-dialogue », a-t-il souligné. Porte-parole de la Ligue congolaise des partis libéraux
et regroupement de l’opposition extraparlementaire, Lumuna Ndubu, Avocat de son état, exige
également à Kodjo de prendre en considération, une liste de 3 délégués qu’il lui a, personnellement,
transmise, la semaine dernière, en ses bureaux.
Avocat de profession et Vice-Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
honoraire, M. Lumuna Ndubu qui digère mal la responsabilité confiée à l’Udps pour choisir les 12
délégués au comité préparatoire, réclame. Il explique, cependant, « qu’en République Démocratique
Ce panorama n'est pas un document officiel des Nations Unies. Par conséquent, les opinions qui y sont exprimées ne reflètent ni le point de vue de la MONUSCO, ni celui
des Nations Unies. Ce document vous est transmis seulement pour votre information.
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du Congo notre pays, l’Opposition politique est plurielle pour être parlementaire et extraparlementaire,
conformément à l’article 2 de la loi n°07/008 du 07 décembre 2007 portant statut de l’Opposition
politique.
Et, il y a autant des leaders qu’il y a des partis et regroupements de l’opposition », a-t-il avancé. Le but
visé dans sa démarche, s’il faut bien lire sa déclaration, démontre que Lumuna ne cherche pas la petite
poux sur la tête de Tshisekedi. Mais bien, la représentativité de toute l’Opposition au dialogue.
A l’en croire, le sens de sa question est urgent et opportun. « Accepter la liste émanant uniquement de
M. Tshisekedi serait injuste », pense-t-il, tout en signalant que « le pays dispose aujourd’hui de 503
partis politiques, toutes tendances confondues».
Pour lui, l’inclusion plurielle de délégués des autres partis et regroupements politiques de l’opposition
parlementaire et extraparlementaire pro-dialogue, serait l’unique voie de sortie.
La Prospérité - Dialogue : Luhaka chez Kodjo
31/05/16
Echanges fructueux. Lecture des faits sans complaisance. Perspectives du dialogue entièrement
partagées. Luhaka-Kodjo, deux hommes, deux vues au contenu proche. L’affaire du dialogue les a
tellement unis hier, lundi 30 mai 2016, qu’ils ont convenu, enfin, de convoler en justes noces.
Désormais, Luhaka et son Mlc-Libéral ont juré de prêter main forte à Kodjo. Tout comme, ils ont promis
de barrer la route à quiconque tenterait d’annihiler les efforts en cours, pour la tenue du dialogue.
Luhaka a, au fait, remis au Facilitateur, un mémo ‘’Top secret’’, dans lequel, il présente l’essentiel de
ses propositions de sortie de l’impasse. Que lui a-t-il dit exactement, au moment où l’Opposition politique
dont il se réclame, semble ramer à contre-courant de l’histoire, avec ses ratés et sa pluralité à problème
? Difficile à dire. Mais, toujours est-il qu’il en a parlé, du moins, globalement, en insistant sur la garantie
de l’inclusivité sans laquelle, le moindre succès, à l’issue de ce dialogue, ne saurait être possible.
A la tête d’une délégation du Mlc-Libéral, Thomas Luhaka Losendjola a rencontré ce lundi 30 mai à
Kinshasa, M. Edem Kodjo, le Facilitateur désigné par l’Union Africaine, avec la caution de l’Onu, pour
présider à la destinée des assises du Dialogue en RD. Congo.
A cette occasion, l’ex-bras droit de Bemba, devenu leader de son propre parti, le Mlc-Libéral, a partagé
avec Kodjo sa lecture des faits politiques du moment, pour la réussite du dialogue.
A ce sujet, il a, particulièrement, insisté sur les aspects liés notamment, à l’inclusivité qui devrait,
raisonnablement, caractériser ce dialogue, s’il faut garantir la représentativité de toutes les entités
significatives composant respectivement, le Pouvoir, l’Opposition et la Société civile. Plus loin, dans sa
démarche, Luhaka qui pense que le problème fondamental et, plus généralement, récurrent en RD.
Congo, se cristallise autour de la problématique de la transmission pacifique du pouvoir d’Etat, croit qu’à
l’aune du dialogue, tous les démons seront exorcisés.
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Ce qui, à brève échéance, pourrait baliser la voie à l’organisation d’un processus électoral empreint de
transparence et de crédibilité sur fond d’un climat politique réellement apaisé. Au fond, Luhaka soutient
et rassure Kodjo. D’ailleurs, il promet de se casser en quatre morceaux. Concrètement, il va contribuer,
dit-il, à la résolution de tous les défis présents et à venir de manière consensuelle et pacifique, pour
l’avancée du pays. Un communiqué parvenu hier, en fin de la soirée à La Prospérité, dévoile, dans les
détails, le contenu de cette acception des choses. Donc, au Mlc-Libéral, l’option est, décidément, levée
d’accompagner Edem Kodjo jusqu’au bout. Qu’on se le tienne pour dit.
La Prospérité - IFES, IRI et NDI se mobilisent pour soutenir les
élections en RD-Congo
31/05/16
Trois Organisations non gouvernementales américaines de taille à savoir : Ifes, Iri et Ndi se sont
prononcées, le jeudi 26 mai 2016, au siège de la Ceni pour annoncer officiellement leur soutien du point
de vue technique au processus électoral. Ces Ong américaines ont en effet, l’obligation d’appuyer les
jeunes démocraties à travers le monde.
Bien avant, cette date du 26 mai 2016, Ndi l’une de ces structures américaines, dans une mission
tripartite, a clôturé la cérémonie liée au programme’’ Réflexion prospective sur le processus électoral en
R.D.Congo dans l’’enceinte même de la Ceni, dans la commune de la Gombe. Il a été question de
présenter, hormis la Ville-province de Kinshasa, les provinces concernées par ce programme dont le
Kongo-Central, le Nord-Kivu et Haut-Katanga. La représentante de l’Ambassade de Suisse, Katherina
Vogeli et Corneille Nangaa, président de la Ceni ont aussi participés à cette rencontre.
Contents de cette initiative, ils ont estimé que ce programme ne doit pas s’arrêter qu’à ces trois provinces
mais plutôt, il doit s’étendre sur toute l’étendue du pays. Ce programme a comme objectif, de mettre
ensemble les acteurs afin de réfléchir sur l’avenir du processus électoral en R.D.Congo, avec comme défi
de réunir les acteurs de différentes tendances.
Soucieuses de faire avancer le processus électoral à la République Démocratique du Congo, ces trois
Ongs américaines ont rencontré le président de la Commission électorale nationale indépendante(CENI),
Corneille Nangaa en vue d’évaluer ce dont elles peuvent-elles être capables d’aider le pays sur le plan
technique. C’était en présence du rapporteur de la Ceni Jean-Pierre Kalamba et Onésime Kukatula, son
adjoint.
A son tour, Corneille Nangaa, leur a fait savoir que le processus est à l’étape d’identification et de
recrutement des agents électoraux devant procéder à l’opération de révision du fichier électoral. Par
ailleurs, il convient de rappeler que l’apport de la mission tripartite américaine au niveau technique, serait
celui de sécuriser des données électorales et d’organiser le logiciel d’enrôlement.
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La Tempête des Tropiques - Dialogue : une nouvelle rencontre
Etienne Tshisekedi – Edem Kodjo en vue
30/05/16
Pour débloquer la machine du dialogue politique, des sources dignes de foi indiquent que le facilitateur
Edem Kodjo pourrait se rendre encore cette semaine à Bruxelles pour y rencontrer le chef de file de
l’UDPS, afin de discuter avec Etienne Tshisekedi des points qui bloquent. Objectif: décanter la situation
au regard des exigences soulevées par le Lider Maximo avant de transmettre la liste de ses délégués
devant prendre part au comité préparatoire du dialogue.
Lors de sa dernière sortie médiatique à l’immeuble Serkas wa Ndeka, à Gombe, Edem Kodjo était clair
à ce sujet. “je ne peux pas convoquer le dialogue sans l’UDPS “, avait-il reconnu. Ce qui prouve une fois
de plus le rôle important d’Etienne Tshisekedi dans la tenue du dialogue politique en RDC.
Plusieurs diplomates et émissaires qui suivent de près la crise politique que traverse la RDC n’hésitent
pas non plus de passer par Bruxelles pour s’enquérir de la situation auprès du Lider Maximo. Thomas
Pierello, l’envoyé spécial de l’Administration Obama dans la Région des Grands Lacs, a dans ce cadre
fait plusieurs voyages pour rencontrer Tshisekedi dans la capitale belge.
Tshitshi, un visionnaire
Lorsque la guerre éclata dans la partie Est de la RDC entre le régime de Kinshasa sous Laurent Désiré
Kabila et ses anciens camarades de l’Alliance des Forces de Libération (AFDL), Etienne Tshisekedi avait
pris l’initiative de faire la médiation entre les deux camps, afin de trouver un cadre juridique pour la
gestion du pays.
Bien que Laurent Désiré Kabila promettait une guerre longue et populaire, il a fallu l’implication du
leader de l’UDPS dont la tournée euro-américaine permit de convaincre la communauté internationale
pour aboutir aux Accords de Lusaka ayant conduit laborieusement à l’Accord Global et Inclusif de Sun
City.
Etienne Tshisekedi reste un visionnaire dont les prises de position souvent incomprises finissent par avoir
gain de cause. Lors d’un meeting tenu le 18 novembre 1995 au Parc de Boeck, il disait avec conviction
que” La Conférence Nationale Souveraine (CNS) a consacré la souveraineté du peuple, et tout schéma
qui s’écartera à ce principe est voué à l’échec ».
Le 23 mai 1997, après plusieurs tentatives sans succès pour rencontrer Laurent Désiré Kabila, pour parler
de l’avenir du pays, ii demanda à Laurent Désiré Kabila de faire partir les troupes étrangères et de payer,
s’il le faut les factures promises à ces ex-alliés. LD. Kabila se refusa de l’écouter. Une relégation de
Tshisekedi à Kabeya Kamuanga s’en est suivie. Mais, 1e 2 août 1998, la guerre éclata, la population finit
par donner une fois encore raison à Etienne Tshisekedi.
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Il en est de même de la plaidoirie qu’Etienne Tshisekedi a faite au sujet du dialogue politique. Démarche
pour laquelle il a été même l’objet de plusieurs critiques. Aujourd’hui, ceux qui critiquaient le sphinx de
Limete lui donnent raison. Pour rappel, le dialogue tire son origine de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et
des Résolutions des Nations Unies, afin de résoudre la crise politique qui déchire la RDC depuis les
élections chaotiques du 28 novembre 2011.
Sécurité
La Prospérité - Boshab, Atama et Bopolo convoqués. Beni : les
Députés se disent des vérités à huis clos
31/05/16
La motion du Député Albert-Fabrice Puela qui exigeait une séance publique a été catégoriquement
rejetée. Les Députés, dans leur majorité, ont décidé d’examiner le dossier ‘’Beni’’ à huis clos. Le
caractère ultra-sensible, les plaies béantes occasionnées par des massacres ainsi que les stigmates de tous
les méfaits enregistrés, les atrocités morales et physiques, ont déterminé les Députés Nationaux à
s’imprégner d’abord, eux-mêmes, de tous les méandres cachés de tout ce qui se passe à Beni, avant
d’envisager, évidemment, des recommandations à formuler au gouvernement, en vue d’une solution
durable.
Evariste Boshab, le VPM en charge de l’Intérieur et Sécurité, Crispin Atama, de la Défense, ainsi que
Robert Bopolo, de l’Environnement, étaient ce lundi 30 mai 2016 devant les Députés, au Palais du
Peuple, pour des amples explications au sujet de Beni et de ses environs, devenus paradoxalement et
ce, depuis un certain temps, le ventre mou de la bourride où la turbulence des armes sème cruellement,
la désolation au sein des populations de l’est de la RD. Congo, plus précisément, du Nord-Kivu.
Aubin Minaku, le Speaker de l’Assemblée Nationale, a si bien tiré son épingle du jeu. Car, après tout,
les Députés ayant finalement compris le bien-fondé de ses orientations boulevardières, se sont, plutôt,
livrés à un débat houleux, sans que le huis clos ainsi décrété, n’en arrive à les effaroucher, outre mesure.
Donc, l’essentiel a primé sur les considérations éparses et oiseuses.
Deux points cardinaux ont, en effet, cristallisé le débat, hier, lundi 30 mai, à l’Assemblée Nationale.
D’abord, la situation sécuritaire à Beni et Lubero. Puis, la tension autour du Parc de Virunga, au NordKivu.
Evariste Boshab, s’agissant du premier volet de ce dossier, a peint un tableau sous forme d’état des lieux
de la situation, telle qu’elle se présente actuellement dans cette partie du pays. Il a indiqué quelques pistes
de solution, dans une approche prospective.
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Crispin Atama, le Ministre de la Défense Nationale qui était, lui aussi, convoqué, s’est amené à une forte
délégation d’Officiers des FARDC. Muni d’un rétroprojecteur, il a démontré aux Députés, toutes
tendances confondues, les contours réels du dernier dispositif arrêté pour contraindre les groupes armés
à plier l’échine. C’est encore la lutte, fait-il observer.
Car, tout en sachant que les Fardc ont le contrôle de la situation, il dit qu’il y a encore des efforts à
fournir, pour neutraliser les groupes armés sur le théâtre d’opérations. Les choses iraient également vite,
si chacun des congolais, y compris les Députés, y apportait sa part, en jouant à l’apaisement des esprits.
Dans les parvis du Palais du Peuple, même s’il n’a pas été facile d’accéder à l’information, il ressort,
néanmoins, des éléments piochés qui renseignent que les trois membres du gouvernement devront encore
y retourner, pour achever le travail.
La Prospérité - Déclarations de Naïrobi : l’ex-Mouvement rebelle «
M23 » et le Gouvernement s’évaluent
31/05/16
Vendredi 27 mai, le gouvernement congolais et la délégation de l’ex-mouvement rebelle M23 ont eu une
réunion de travail pendant 5 heures. Il était question de l’évaluation de la mise en œuvre de déclarations
de Nairobi signées en décembre 2013 pour mettre fin à la guerre dans l’Est du Congo. Le siège du
Mécanisme National de suivi a servi de cadre à cette réunion d’évaluation présidée par l’Envoyé spécial
du Secrétaire Général des Nations Unies dans les Grands lacs, Said Djinnit et François Muamba,
Coordonnateur du Mécanisme de suivi de l’Accord d’Addis-Abeba.
Il était accompagné d’autres représentants spéciaux comme celui de la SADC, de l’Union africaine, de
la Monusco et de la CIRGL. Des sources concordantes renseignent que cette rencontre, la première,
d’ailleurs, à se tenir à Kinshasa, s’est déroulée dans une atmosphère apaisée, en dépit de quelques
exigences posées par l’ex- M23 notamment, dans la libération de ses trois comparses en détention à
Kinshasa. Figurant dans l’ordre du jour du 28 mai, la question de mise en liberté des ex-rebelles du M23
n’a pas été traitée. Elle a été, par conséquent, renvoyée parmi les questions qui feront l’objet de
prochaines réunions. La délégation de l’ex-M23 reste convaincue, quant aux démarches ultérieures.
François Muamba n’était pas consterné au sortir de ces pourparlers. « La réunion s’est déroulée dans un
esprit constructif. Evidemment, il avait des divergences ici et là, mais le tout était dans un esprit
constructif. Etant garantis, nous sommes très contents du fait que le processus de mise en œuvre des
déclarations de Nairobi a été réactivé sur des bases solides », s’est-il ragaillardi, avant de faire un briefing,
« au niveau du gouvernement, nous avons évolué dans une logique de sincérité et de responsabilité. Nous
avons considéré, en ce qui nous concerne, que tout était fait. Aujourd’hui, nous saluons l’arrivée à
Kinshasa du Coordonateur désigné par le M23. Nous avons programmé des réunions qui pourront nous
permettre de décider de la suite des travaux », a-t-il souligné.
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Il s’est aussi réjoui des avancées significatives de cette concertation. « Pour la première fois, nos
arguments ont pu être devant les facilitateurs et présentés à l’autre partie, qui a développé ses propres
arguments. Et nous sommes arrivés à une situation tout à fait constructive. Et nous irons plus vite pour
obtenir les résultats », s’est-il dévoilé, avant que Said Djinnit s’en félicite de son côté, en ces termes : «
à ce jour, nous avons fait beaucoup de progrès. Nous nous réjouissons du fait que cette réunion soit tenue
dans le cadre du Mécanisme national de suivi, pour poursuivre la mise en œuvre de la déclaration de
Naïrobi ».
La Monusco, jouant son rôle d’une église au milieu du village, a invité chaque partie à respecter ses
engagements. La conférence internationale pour la région des Grands Lacs a exhorté les ex-rebelles du
M23 à « continuer à être engagés et à maintenir l’esprit des déclarations de Naïrobi pour apporter la
paix et la stabilité en RDC et dans la région».
Désiré Rwigema, Coordonnateur désigné de l’ex-M23 s’est dit rassuré aux fins de la relance de ce
processus. Du reste, il continue de témoigner sa foi : « Il y a un début à toute chose. Aujourd’hui, c’est
la relance du processus. On espère que ça va aller de l’avant. Et, nous y croyons fermement », s’est-il
exprimé, dans un langage d’espoir, comme disciple du Seigneur.
Société et économie
La Prospérité - Faible taux d’exécution de 28 mesures : le Conseil
Economique et Social parle de la confusion !
30/05/16
Les 28 mesures urgentes du Gouvernement de la RD- Congo, prises en janvier 2016, pour raffermir les
aspects socio-économiques, sont jugées d’un faible taux d’exécution par la Commission ad hoc du
Conseil Economique et Social (CES). Elle révèle, en effet, que cette faiblesse est consécutive à l’absence
d’une étude approfondie des objectifs définis pour chaque mesure, ainsi que la non-programmation des
actions liées à chaque mesure.
Lors de l’audition du rapport de la Commission ad hoc chargée d’examiner l’impact de ces mesures, le
vendredi 27 mai dernier, dans la salle de spectacles du Palais du peuple, le CES a constaté que la cause
est due notamment, à la confusion entre les actions conjoncturelles et les actions structurelles. Elle est
en grande partie à la base de ces faiblesses ainsi que des maigres résultats observés.
Le CES a déploré le fait que ces mesures soient basées sur les aspects conjoncturels, en proposant des
actions à impact visible. Alors que l’attention devrait être, plutôt, focalisée sur les actions structurelles
en vue d’asseoir une croissance durable. Les recommandations formulées visent à rationnaliser la mise
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en œuvre de l’ensemble de mesures dans les conditions nécessaires et indispensables à la croissance
durable.
Le CES recommande des études plus approfondies, afin d’aboutir à des solutions durables pour relever
l’économie congolaise et palier les effets liés à la baisse de cours des matières premières. Quoique
pertinentes, la plupart de ces mesures n’ont pas fait l’objet d’un travail approfondi, soutient cette
institution.
A cet effet, les membres du Conseil Economique et Social ont adopté le rapport de la Commission ad
hoc relatif à l’évaluation de l’impact de ces 28 mesures urgentes prises par le Gouvernement. Dans ce
rapport, la Commission ad hoc, instituée pour examiner les questions spécifiques pouvant être coulées
en un Avis dans le cadre de l’auto-saisine, a considéré que les mesures prises par le Gouvernement pour
le redressement de la situation économique difficile de 2015 ont porté sur les actions correctives, ainsi
que des initiatives prospectives. Cela, en vue de sauver les nouveaux secteurs de production.
Cependant, dans le contexte de la prise de ces mesures urgentes du gouvernement, il a été fait remarquer
qu’il relève de la baisse du taux du cuivre, ce minerai considéré en RD Congo, comme le moteur de la
croissance de l’économie congolaise. Alors, il va de soi que cette baisse puisse provoquer une forte
influence sur le fonctionnement de l’économie nationale.
Face à cette situation susceptible de déstabiliser le cadre macroéconomique, le Gouvernement a mis en
place une batterie de mesures depuis janvier 2016. Ce faisant, il a institué un mécanisme pour évaluer
l’application de ces mesures.
C’est à ce niveau que le CES est intervenu. Dans son rapport, il a été constaté, dans l’ensemble, plusieurs
faiblesses liées à l’application desdites mesures sur le plan de la conception, de la programmation et de
l’évaluation.
Et, la Commission a souligné que la plupart de ces faiblesses sont de nature à rendre plus difficile,
l’atteinte des objectifs de façon satisfaisante.
A la suite de ce constat que cette Commission a formulé un certain nombre de recommandations pour
corriger les faiblesses et rendre plus efficaces les actions à mener.
Selon le Président de cette Commission, Prof Tiker Tiker, il s’agit de principes qui doivent régir la
conception, la programmation et la mise en œuvre d’un programme. « Nous pensons que les problèmes
de l’économie congolaise sont avant tout structurels. Et, il faut y apporter des solutions structurelles.
Malheureusement, tel n’est pas le cas », a-t-il conclu. Pour rappel, le Conseil Economique et Social a
déjà rendu des Avis pertinents sur l’Energie, l’Education ainsi que sur les Aires protégées.
La Prospérité - 3ème édition de la semaine française. CERENE :
Claude Boisson et Gérard Royal à Kinshasa
31/05/16
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C’est une forte délégation qui est alignée. Le Directeur Général Claude Boisson et les autres cadres du
groupe français CERENE notamment, Gérard Royal, Jacques Boisson et Jack Tshika, Représentant
CERENE en RDC, ont confirmé leur participation à la 3ème édition de la semaine française de Kinshasa
qui se déroule du 1er au 4 juin 2016. CERENE qui, jusqu’ici, a pour ambition d’obtenir du Gouvernement
congolais, les autorisations nécessaires en vue de la signature d’un contrat de partenariat afin de jouer
un rôle déterminant dans la valorisation des ressources carbone et forestières de la RD Congo. Le
gouvernement congolais qui, actuellement, fait face à des multiples défis, a là, une nouvelle opportunité
de convoler en justes noces avec le Groupe CERENE dont la renommée internationale, à la fois, dans
la fibre optique et dans les réalisations des cartographies, garantit le sérieux de ses engagements à travers
le monde.
Le groupe français spécialiste de la cartographie foncière, forestière, aéronautique ainsi qu’en Télécoms,
souhaite ainsi faire bénéficier à la RD. Congo, de son expérience et de son expertise. Voilà pourquoi, il
revient, pour la seconde fois sur le sol congolais, pour exposer ses idées et, même, à la limite, présenter
l’éventail de ses activités aux invités à la semaine française, du 1er au 4 juin.
A son agenda, le Groupe CERENE, en collaboration avec l’Agence française de développement, AFD
en sigle, et la Chambre du Commerce et Industrie franco-congolaise, animera une grande conférence
axée sur le développement urbain. Sans entrer dans les secrets, spéculer sur ce qui va se passer, il y a
lieu de noter à ce stade qu’autour de cet échange, il sera question, pour CERENE, qui, présentement
affiche complet, avec son staff dirigeant conduit par Claude Boisson et l’essentiel de ses cerveaux
moteurs, d’étaler les avantages liés notamment, à tout ce qui est cartographie dans ses multiples facettes.
L’occasion faisant le larron, il va de soi qu’au cours de la présentation sous forme d’exposé et de
projection via Power point, les participants ainsi que tous ceux qui y assisteront, en seront, certainement,
satisfaits. Lorsqu’on sait que M. Claude Boisson ne sera pas seul, dans cet exercice purement
pédagogique et persuasif, il faut s’attendre à ce que les autres qui l’accompagnent contribuent, à leur
tour, avec de nouvelles matières sur ce même sujet. C’est le cas, par exemple, de M. Jean-Christophe
Maurin, Directeur Général de l’Agence Française de Développement.
Au-delà de tout, l’Ambassade de France y apportera, naturellement, son soutien afin qu’à la fin de la
semaine française, tout se déroule à la grande satisfaction de tout le monde.
L’année dernière, à la deuxième semaine française, la présence du Groupe CERENE avait apporté à la
kyrielle d’expositions, une touche particulière, dans un domaine apparemment inconnu de la plupart des
congolais.
Cette fois-ci, il revient encore en force, avec l’idée d’aller plus loin, jusqu’à la conclusion d’un
partenariat durable avec les autorités congolaises. Des tractations fiévreusement menées dans ce sens,
depuis plusieurs mois, permettent d’espérer que les choses iront vite, voire plus vite, pour que le Groupe
CERENE, puisse, enfin, se déployer en RD. Congo.
Tout récemment, en effet, Robert Bopolo, le Ministre de l’Environnement a découvert CERENE, lors
d’une mission de travail en France. L’occasion lui a été offerte de s’assurer de ses capacités à aider la
RD. Congo dans la réalisation, à brève échéance, de la cartographie forestière. Il suffirait que le contrat,
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dûment apprêté, soit signé entre les deux parties, pour faire avancer les choses dans la bonne direction.
La présence aujourd’hui à Kinshasa du Staff dirigeant de CERENE, avec à sa tête, Claude Boisson et,
surtout, Gérard Royal, le Directeur des Innovations et, en même temps, frère ainé de Ségolène Royal,
est un atout pour faire décoller, finalement, ce partenariat dynamique.
Le Phare - 3ème semaine économique française : rendez-vous
confirmé
30/05/16
Le Président du Conseil d’Administration de la Chambre de Commerce et d’Industrie FrancoCongolaise-CCIFC, Ambroise Tshiyoyo a, au cours d’une conférence de presse animée le vendredi 27
mai 2016 à l’Institut Français de Kinshasa-Halle de la Gombe, confirmé l’organisation de la 3ème édition
de la Semaine Française de Kinshasa.
Comme à l’accoutumée, elle se tiendra du mercredi 1er au samedi 4 juin 2016 sur le même site, l’Institut
Français de Kinshasa- Halle de la Kinshasa, cette fois-ci autour du thème « L’émergence de la RDC Opportunités d’affaires ». Il s’agit, non seulement d’un événement unique de promotion de l’offre
française en RD Congo, mais aussi une opportunité de rapprocher les communautés d’affaires en
facilitant la mise en relation entre partenaires potentiels, de découvrir les potentialités d’un pays
francophone de la taille d’un continent, et de rencontrer des décideurs privés et institutionnels, et de
réfléchir par le biais de conférences, sur l’état actuel de certains secteurs de l’économie congolaise.
En effet, trois thématiques seront exploitées pendant la 3ème édition de la Semaine Française de
Kinshasa. Il y a les infrastructures, la banque-assurance et l’emploi-formation. Des conférences-débats
et échanges entre hommes d’affaires, opérateurs dans le secteur privé et autres sont prévus en marge de
l’événement. Loin d’être un espace exclusivement réservé aux investisseurs, la 3ème édition de la
Semaine Française de Kinshasa permettra également, selon les organisateurs, aux demandeurs d’emploi
de rencontrer les grands employeurs.
A en croire Ambroise Tshiyoyo, la RD Congo, scandale géologique, regorge d’importantes ressources
naturelles qui doivent être mises en valeur grâce à la technologie, les investissements et autres que
peuvent apporter la France. « L’organisation de la Semaine Française de Kinshasa marque l’excellence
des relations entre la RD-Congo et la France. Ce sont les deux grands pays francophones au monde», at-il conclu.
Pour sa part, le Vice-Président du Conseil d’Administration de la Chambre de Commerce et d’Industrie
Franco-Congolaise -CCIFC, Ludovic Houssard, a annoncé qu’il est prévu, le samedi 4 juin, de 12 à 14
heures, un job-dating, rencontre entre les jeunes rd-congolais chômeurs et leurs potentiels employeurs.
Ce panorama n'est pas un document officiel des Nations Unies. Par conséquent, les opinions qui y sont exprimées ne reflètent ni le point de vue de la MONUSCO, ni celui
des Nations Unies. Ce document vous est transmis seulement pour votre information.
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Il convient de noter, à l’instar des éditions précédentes, qu’il y aura des stands, des animations, des
spectacles et conférences sur des sujets économiques et d’actualité qui ont trait à l’émergence de la RDC
et aux opportunités d’affaires. Cet événement se tiendra autour de deux axes : économique et culturel.
Y prendront part, des entreprises françaises et celles membres de la communauté franco-congolaise des
affaires, regroupées au sein de la CCIFC, qui vont exposer leurs produits, équipements, matériels, savoirfaire, technologies afin que les institutionnels, les entreprises congolaises, les décideurs et tous ceux qui
veulent obtenir une offre de qualité pour le développement y puisent ce dont ils ont besoin.
A en croire les observateurs, le commerce et la distribution auront une part très importante des échanges
durant la Semaine française, car la RDC constitue un marché de près 75 millions d’habitants aujourd’hui
et 150 millions en 2050. Il y a un immense débouché pour les produits français. Cela intéresse au plus
haut point toutes les entreprises françaises.
Quant à Philippe Larrieu, directeur de l’Institut français de Kinshasa, il a souligné que tous les Français
installés au Congo, ainsi que les associations françaises œuvrant en RDC sont parties prenantes. Car, la
France croit en l’avenir de la RDC.
Justice et Droits humains
Le Potentiel - 38 CONGOLAIS VISÉS PAR DES SANCTIONS AU SÉNAT
AMÉRICAIN
30/05/16
La question des sanctions contre des dirigeants congolais donneurs d’ordre et exécuteurs d’actes de
répression contre l’expression démocratique est à l’ordre du jour au Sénat américain. Sont aussi visés
ceux qui participent activement au rétrécissement de l’espace politique. Trois sénateurs américains
viennent de proposer une résolution pour des sanctions ciblées immédiates à l’encontre des personnalités
congolaises.
Ils sont trois et arborent les couleurs des démocrates au sénat américain à prédominance républicaine.
Les sénateurs Edward J. Market, Richard Durbin et Christopher Murphy, s’appuyant sur une décision de
la Maison Blanche, ont saisi l’opportunité qui s’offre avec le passage de plusieurs acteurs congolais au
Sénat et auprès des l’administration Obama pour exiger que l’on passe à la vitesse supérieure.
Aux Etats-Unis, personne ne comprend que des Congolais meurent simplement parce qu’ils auraient
exigé de leurs dirigeants le respect strict de la Constitution relativement aux délais d’organisation des
scrutins. Cet étonnement est aussi accompagné du lobbying mené par les adversaires du chef de l’Etat
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qui ont démontré aux partenaires comment le pouvoir a tout fait pour retarder les élections et obtenir un
glissement du calendrier ou, au pire, un troisième mandat pour le président Kabila. Et ce ne sont pas des
arguments qui ont manqué aux interlocuteurs des Américains.
Dans leur maladresse, certains responsables congolais ont pensé bien faire, en optant pour la répression
brutale et aveugle, là où il apparaît clairement qu’il y avait moyen de procéder autrement ! En cherchant
à inoculer la peur aux téméraires marcheurs et en promettant publiquement la mort à tout celui qui se
hasarderait de descendre dans la rue, les adversaires politiques du président Kabila avaient le bon rôle
auprès des partenaires qui ont obtenu des preuves matérielles de cette volonté de torpiller le processus
démocratique et électoral en RDC.
Dans leur détermination à réussir un passage en force à n’importe quel prix, les leaders de la Majorité
présidentielle ont oublié que tout n’était pas permis sous couvert de la souveraineté. Il est des choses que
la démocratie ne tolère pas et pour lesquelles il ne faut ni tuer encore moins blesser gratuitement des
citoyens qu’on administre.
Au nom de ce principe, les sénateurs américains, pour qui la situation en RDC suit le même cheminement
qu’au Burundi est un pied de nez à la communauté internationale au point que la laisser évoluer sans agir
en amont serait une manière de l’encourager.
Pour le gouvernement, par le canal du ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, ces
agissements s’apparentent à un recours par «certains partenaires » à un discours « teinté de menaces à
géométrie variable et d’application sélective dans la région». Le chef de la diplomatie RD-congolaise,
Raymond Tshibanda, est monté au créneau le 25 mai via un communiqué qui a tout l’air d’une mise au
point face à la pression que subit de plus en plus la RDC de la part de ses partenaires extérieurs.
Au décryptage, cela donne à peu près ce que redoutaient ces partenaires de la RDC, à savoir les autorités
congolaises seraient tentées voire déterminées à violer la Constitution en usant des moyens de l’Etat pour
atteindre leur objectif. Les diplomates qui s’occupent de la question congolaise sont plus qu’édifiés. Ils
sont désormais convaincus qu’il serait temps de passer à une autre étape contre ceux qui violent les droits
et libertés des Congolais, particulièrement les questions sur la liberté d’expression et les manifestations
publiques jusqu’à l’expression des contestations pacifiques.
38 noms en circulation
Aussi curieux que cela puisse paraître, les noms en circulation ne visent plus exclusivement le haut de la
hiérarchie de la prise de décisions. Même des échelons moins importants sont concernés par cette liste
confectionnée à Bruxelles, Stockholm, Londres et Washington. Selon des sources, NewYork aurait
également ajouté des noms avec le concours de la Monusco qui s’est déclaré « préoccupée » à travers «
l’Africain » Mama Sidikou !
La mise en garde occidentale risque d’avoir tout son sens dans les tout prochains jours avec le passage
en action qui se confirme de plus en plus et les circonlocutions diplomatiques sont désormais rangées au
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placard en faveur d’un langage sans ambages. Des sanctions ciblées se matérialisent et ne relèvent pas
du domaine de la fiction.
Le rétrécissement de l’espace politique vécu lors des manifestations des opposants tant à Kinshasa,
Lubumbashi, Goma qu’à Bukavu, la traque contre tous ceux qui compatissent aux malheurs des
compatriotes de Beni, principalement les activistes de la Société civile de la Lucha ou Filimbi sont autant
d’éléments qui démontrent que la répression est une réalité en RDC. Le dernier cas en date est la
répression exercée sur les étudiants de l’Ista (Institut supérieur des techniques appliquées). La police a
fait irruption dans les auditoires et homes et a dépouillé les étudiants de tous leurs biens personnels :
téléphones, argent, ordinateurs.
Comme si cela ne suffisait pas, des procès sont organisés et des condamnations prononcées contre des
manifestants pacifiques, juste pour jouer à la dissuasion.
Les États-Unis et la Grande-Bretagne avaient récemment fait savoir qu’ils étudiaient la possibilité
d’appliquer des « sanctions ciblées » contre les responsables des répressions en RDC. L’Union
européenne avait, pour sa part, exprimé sa vive préoccupation quant aux harcèlements et intimidations
dont font l’objet certains opposants dans le pays.
Pragmatiques, les Américains passent des paroles aux actes, étant donné la lenteur dans les procédures
d’adoption des décisions par l’administration Obama qui gère avec un parlement qui ne lui est pas tout à
favorable. Ce qui est vrai c’est que la question congolaise est rangée dans les urgences de sécurité
intérieure des USA. Il ne serait pas surprenant que démocrates et républicains embouchent un même
discours. Surtout que les animateurs des institutions en RDC s’estiment en droit de s’octroyer certaines
libertés au nom de la prétendue souveraineté du pays. Un discours facile à balayer par des arguments
contenus dans la Constitution dont des partenaires et une frange importante des citoyens congolais
exigent le respect.
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