Quand tu regarderas les étoiles la nuit
Transcription
Quand tu regarderas les étoiles la nuit
Texte 1 Quand tu regarderas les étoiles la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi, comme si riaient toutes les étoiles A. de Saint Exupéry Texte 2 Tu offrais ton sourire à tout le monde. Tu remplissais nos journées d’une joie indescriptible. Mon ange, tu resteras à jamais dans nos cœurs. Texte 3 J’ai rejoint ceux que j’aimais et j’attends ceux que j’aime. Texte 4 Tant que, dans vos pensées je serai; aussi longtemps je vivrai. Texte 5 Elle est partie de la vie, mais pas de notre vie ; pourrions-nous la croire disparue, celle qui est si vivante dans notre cœur ? Dieu l’a rappelée à Lui, mais elle restera toujours parmi nous. Texte 6 Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ? Il n’est pas ici, mais il est ressuscité. Texte 7 Ma maman était une maman comme toutes les mamans, gentille, tendre, généreuse. Sa main a souvent pris la mienne. Je l’ai aimée tendrement et voici qu’à l’instant de la séparation je ne peux que l’aimer davantage. Maman, tu seras éternellement à mes côtés. Puisse une autre vie s’ouvrir à toi. Texte 8 Elle est sûre de cette parole : Si nous sommes morts avec Jésus-Christ, avec Lui nous vivrons. Texte 9 Jésus, au milieu de vos glorieux, n’oubliez pas les tristesses de la terre. Ayez pitié de ceux qui s’aimaient et qui ont été séparés. Ayez pitié de ceux qui pleurent, de ceux qui prient, de ceux qui souffrent. Donnez à tous l’espérance et la paix Abbé Perreyve Texte 10 Il a reçu l’amour d’une femme exceptionnelle. Elle lui a consacré sa vie. Et lui, pour l’en remercier, l’a suivie très vite dans la mort. Aujourd’hui près d’elle il s’en est retourné, goûter, au bonheur de l’amour retrouvé. Texte 11 Tu as quitté ce monde, mais pas le nôtre. Tu étais tellement partie prenante dans nos vies, que ton départ laissera un vide douloureux. Merci pour ton amour, ta bonté et ta présence de tous les instants à nos côtés. Malgré le temps, ton image ne s’effacera pas de nos cœurs. Puisses-tu profiter maintenant d’une paix éternelle. Texte 12 Tes amis, ta famille étaient tout pour toi. Comme tout un chacun tu avais tes sautes d’humeur et malgré les ennuis de santé, tu savais rire et plaisanter. La vie s’ouvrait devant toi, mais hélas le destin en a décidé autrement. Ton souvenir nous accompagnera toujours. Adieu …., nous t’aimons. Texte 13 L’amour ne disparaît jamais. La mort n’est rien. Je suis seulement passé(e) dans la pièce d’à côté. Je suis moi, vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné. Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié, elle est ce qu’elle a toujours été, Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de votre pensée simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. Vous voyez, tout est bien Henry Scott Texte 14 Il n’était que sourire et bonne humeur, toujours content de tout. Sa vie n’était que poésie à travers laquelle il exprimait son émerveillement devant tout ce qui était beau et bien ; à travers laquelle il exprimait son amour pour sa chère épouse et ses enfants ; à travers laquelle il exprimait sa très profonde et indéfectible foi en Dieu. C’était l’un de ces hommes bien qui inspirent le respect. Quelle chance tu as, Papa, d’avoir rejoint Maman, là, tout en haut ! Et merci à toi, Papa … Texte 15 Je ne suis point encore parvenu(e) à la moitié de mes jours et déjà je descends au tombeau. Qu’est-ce donc que la vie ? Une fumée bien vite disparue. Adieu, parents bien-aimés, mes enfants, mes petits-enfants. Ne pleurez pas ma mort comme ceux qui n’ont pas d’espérance, mais priez, pour le repos de mon âme et continuez à vivre dans la crainte du Seigneur, afin qu’un jour nous puissions être tous réunis dans le ciel. Texte 16 La bonté de son caractère lui fit de nombreux amis et les nobles sentiments de son âme, joints à une douce affabilité, lui valurent l’estime générale. Il est parti de la vie, mais non de notre vie ; pourrions-nous le croire disparu celui qui est si vivant dans notre cœur ! Texte 17 La mort n’est rien… Je suis seulement passé(e) dans la pièce d’à côté. Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi. Pourquoi serais-je hors de votre pensée simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. Texte 18 Pour consoler dans la souffrance ceux qui ont la foie en l’avenir, Dieu fit un frère à l’espérance et la nomma : souvenir. Texte 19 Sur ma route, un jour, je t’ai rencontré, et nos deux sentiers ont suivi le même parcours. Nous nous éloignons, et pourtant chacun sait quel est le lien, qui relie nos horizons. Aimer, pour nous, c’est vivre. L’amour est le chemin que sur la terre comme au ciel, nous voulons suivre. Et si l’espace nous sépare notre unité ne s’éteindra pas ! Car je crois de tout mon cœur que seul aimer suffit. Texte 20 C’est un don de mourir jeune et sans tache. La raison ne nous le dit pas, mais la Foi nous en persuade. Texte 21 Nous avons écrit ton nom dans le sable mais la vague l’a effacé. Nous avons gravé ton nom sur un arbre mais l’écorce est tombée. Nous avons incrusté ton nom dans le marbre mais la pierre a cassé. Nous avons enfoui ton nom dans nos coeurs et le temps l’a gardé. Texte 22 Personne n’a voulu ceci. Tu avais encore beaucoup de projets, tu voulais encore faire un voyage et voir tant de choses. Ta vie n’était pas encore finie ! Notre vie continue et nous prenons avec nous, tout ce que nous avons reçu de toi, tout ce que nous avons appris de toi. Nous garderons cette partie de « toi en nous » en vie. Texte 23 C’est en donnant qu’on reçoit, c’est en mourant qu’on ressuscite à la vie éternelle. Toute sa vie était faite de préoccupations pour le bien-être des siens. Elle a traversé épreuves et joies de la vie ; d’un pas décidé, cette lutte pour la vie elle l’a menée jusqu’ au dernier instant. Texte 24 Celui que la mort semble nous ravir ne nous quitte pas, il reste. Alors que nous sommes dans l’ombre, il est dans la lumière, à côté de nous, plus présent que jamais. Nous ne le voyons pas, mais il nous voit. Je ne dis pas adieu, mais au revoir. Texte 25 Ton adieu était court, trop tôt et inattendu. Ton dernier voyage n’était pas commandé. Dieu t’a rappelé à Lui. Papa, merci pour ton dévouement, ton travail, ton amour et amitié. Texte 26 Je suis debout au bord de la plage. Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’Océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. Quelqu’un à mon côté dit : ‘il est parti…’ Il est parti ? Parti vers où ? Parti de mon regard, c’est tout. Son mât est toujours aussi haut. Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui. Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : ‘il est parti’ il y en a d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux, s’exclament avec joie : ‘le voila… ! C’est ça, la mort. C’est ça la vie de Dieu.