Année- N" J62. Le Numéro : 5o cent.
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Année- N" J62. Le Numéro : 5o cent.
Le Année- N" J62. UN , ,1. _ J i „ „ , . — i f . . r B > . ^ ,iA„.-l'rr~.iieM>'m. Numéro : 5o cent. i 5 Octobre 1 9 0 7 H \ZitatifWT r 7J crni.l Le I * ' t t l t • S du c h a q u e fnúílt. Au co«r> J . » Ï,u7". TYPE DE BEAUTÉ rfcenl»'»*n«in=nl,. RAoflr. B . ' l . qa.liu. MAROCAINE u n I i l u M . » r t » l i . B ul S r - u d r » p o u r i r » l i ™ -"j l a c r f . , PAlua. 1 . Cortrall d . u l U • > C . l . « u , . l.l.rn.lioa.l a , l,„„,é. f f'^^T^ Sff^ f^K un* HYÇIENE If LA BÍAUTÍ I ftmmt L est absurde de vouloir dissimiilef la manière scientifique qui e.^t h base sons kis fards et lo maqiiillags iea de son enseignement. déleotHOsil.istionis'aUàre la beauté Par cxrinple, sa description du traidu visage, Lo ¡ilatrage n'a d'autre eiïet t n n c n t dos rides démontre, jusqu'il quH ds perpéluor et aggraver livs stigréviflenoc, la logique de ses procédés. mates de la faco quo l'on cliorclie à Ella observe furt judicieusement que dérober aux i-ogarcls. le ilépérissomentdes tissussous-cutar.és Le hm s>ns iadiquo qu'il ost raentraîne une diminution da la mossu t i i n u e l de s'allutiuer à la sourw môtne des chairs sur lesquelles flottent en plis des tarjs i.ijuri.Hises pour I !s fairj disdisgracieux, comme un vêtement trop paraiti'B à tout jaiuais. ample, les membranes de la poau. DatJS CB but ries quantUés de panaPour oomlilor les cavités et rétablir CÓ3S sont otfertes à la crédulilé féimila tension normale des nmsclss, elle a nine. .Un conseil à ce prnpos, chère su découvrir une préparalioii merveilMadame. Toutes les f.iis que vous screi leuse qu'aile nomme Huile Orinmle sollicitée par une préparation mirifique Ganesh. Cette huile à base végétale, doués de toutes les vertus, écartez-la comme tous ses produits, a le don résolument.N'oubliez pasque lescau-^es extraordinaire do nourrir les tissus, et sTisceptibles d'engendrer une altération de les régénérer. En leur faisant absorde l'état sanitaire de votre figure ou ber les corps gi-as, ella développe leur plutôt de l'épidemc qui la protège, substance adipeuse, de sorte qu'après sont innombrables, et aboutiaseat à une série régulière d'applioations, on est des eñaís diamétralement opposés. Il .agréablement Surpris de k ü'ausfonnay a aussi la question du tempérament tion opérée à la surfaoe du visage dant qui se traduit l'aspect êe troupar des influenve rajeuni. La cas contraires. conséquence S u i v a n t que tonte natur lie vous aurez la est la disparieau sèche ou tiou r a d i c a l e uniide, jl condes sinuosités viendra d'apdes rides. pliquer uu spéElle a la préoilique d i l î é caution de prarent ; de même tiquer simultasi votre face est nément un sxsangueouiorm.issage facial tement colorée. qui active et S o u v e n t les seconde les efmaurtrissures fets de i-Huilc de îa face pmOrieri.Uile. viennentdegerElle prescrit mes parasitaires en même temps qu'il s'agit d'al ' u s a g e d'un néantir. autre produit, Il es L évident le Toaijue que vous n'avea Diable Ganedi, pas fait des qui doit servir éludes sur les de lotion à la lois de la phyplace de i'oau siologie et que et Constitue un vous ne possépréservatif indez pas en théfalDIble de la rapeutique des Beauté.Desti.ié connaissances à Jiettoyer l'alassez étaii dues véole des pores, pour juger du ii lesra.sserrecl traitement qui tout en favorivous con vientle sant la sécrémieux. L'art d« tiondes glandes guérir les inñrsébacées, donne raitéslégères tu à la peau la prof 0:1 des qui blancheur ut ]B enlaidissent le velouté. Cett : visage n'esteffilotion, de pc;.cace qu'àla conîuin aeréablo, dition de s'appuyer sur la dermatoentretient en outre la propreté pai'iaitj logie qui es L'une véritable science. du visage etremplaoe avant-igeusement Vous devez donc vous adresser à un les atilutions quotidiennes. C'esl au spécialiste. surplus un fortifiant qui met la peau Ils sont d'ailleurs fort rares ceux qui à 1 abri de tantes les excoriations ct ont acquis une réelle coiiipétonca pour délivre la paupière des boulfissures. Elle \i$ soiiis i donner à l'esthétique fémia aussi une lotion antiseptique Lily nine, car ce n'est guère que depuis Gancsli, destinée à puriDer l'épiderme l'importance donnée i cette brandie des rougeurs, boutons et tarss diverses. de la biologie par Mme BL·aiior Adair Des milliers dc psrsonnes doivent A que dea hygiénistes 0 [ i l suivi le mouson traitement par VElerlroli/sis-Antivement dû à son initiative. Siptic ou par sa préparation D&m, la Mais de l'avis des médecins euxdisparition des poils et duvets, avec mêmes, Mme Adair est non seulement l'agrément d'une opération sans dourinitiatrioe, mais la maîtresse incontesleur. Elle est aussi l'inventeur de la tée de la nouvelle Ecole de culture Mnnlonnière Ganesh qui ampiclie lo ptrysiquo. Instruite, passionnée pour développement du double menton etdu son art, ello a perfectionné ses notions Bojideau anti-rid^'i Canesh fait pour théoriques par des milliers d'applicaejitretenir la pureté du iront et des tions. Ses débula à Londres Curent si tempes. Souveraines égalemant ses or¬ tri.imphaats qu'elle d u t élargir le cadre . donnances pour la suppression dos de s?s opérations en lotidant à Newveines rongés des yeux et lea soins do York une Ecole de Beauté célùbrfl dans la dentition. tous les E t a t s de l'Union. Tentée enfin Mme Adair rejoittous les .jours dans par 1.; prestige do la Podété Parisienne, sou Eiablissenieul dc la rue Cambon, 5, ello a reçu chez. i;ous un .icoueil non où ses prescriptions sont exécutées moins empressé. par un personnel de dames anglaises En parcourant leTraitò qu'elle a éoril initiées à sa raétho.de et parlant toutas snr la beauté îles formes et du visage, Je français. Demander son Traité- pour nous avors pu nous rendre compte de ie recevoir franco. BUHGKBAEDT. E IA o o- MODELÍE A, BAROTTE de la M a i s o n PEtAPORTE MANBY ' Ù C í o , Succ™, (O 19, Î I , RUE AUBER, 19, a i , PAR-IS I a) •a 'O SOÇl€T€ ATH€Nfl \ IVIAISON SPÉCIALE POUR PRODUITS DE BEAUTÉ La S O C I É T É A T H É N A emploie des métUDdes scientifiques, d'nne éifioacitéabsolup, poUtl'eQtretieTi et le développement do la Beauté et p o m le traitement de tautes les împerfections d u vÎMgc ou d u coi^js, Eile s'occupei Tii:ti;Diiiïîtnt,. d e : I4 b e a u t é d u teint» point» bolríí* t a c h o s de i^u»9«\ir, roïiBeurs, e t c . ; rl^«s.^ irrésularité des liÊnCS du n e i t s e i n s (développeineTvt, fçrnveté, blafiCiliew); nliâ'»lt«; l>9ioyie«>âo\ib1cs mont^ms; beauté des m a i n s , iufxib des doJgtsi n o l n s d^a y^wy, clii*ïme d a regard ; cils» s o u r c i l s ; cherûuac, calvitie, teintiires> peUioules; disparition, des p o i l s ût du-vûi9 dtssracLeuX; e l c La S O C I É T É A T H Ê N A est ùniversallepient" connue ct appréciée, gr^ce à la rigoureuse précision de ses méttodçs, que toute ;pëî;soiiiac peut facïJleiïiont aí>pUgneí olle! inâme» et à la supériorité irtcompaTable d j s c s produits qui sont d'uue efficacité c e r t a i n e et a b s o l u m e n t inoff^nsífo. ; Les pïoduits de la SCKlJîTE ATHENA sont en ^ente dans les grandes maisons d u rnonde entier. Le Catalogne est eavo7é gratis et franco &^ a m a n d e adressée au Dépûtgonéral. Ë:!£:trai1 d u C a t a l o g u e î Beauté du teJnt» blancheur» fJnesse, -btiurBonftures dea pauplirea ¡ ftirête lea tóciéde l'wlL; cûDicrvûlfl \tiq; Indispenaible souplesse e t velouté de T^piderme, •tiona !iujft-,ye\t3c iatlguea. Donne au tcoarâ ; charme» plitemis par l'ejnploi journsUer de la Crime AlhÉntt- Prévient et gnéilè ; boiittma,^ dartres^ rougeuin. Le pot fianco ïfrance. : Taches de rousseur, haïe, masque dé grossesse, fllapaTcífiaen* pjir Vusage du îait Caîppso, Oenviflut aux é p l d e n n e B fluB ot tlÉlinatB qui ne peuvent BUpportM Iw crèmefl. t e flaflOD 6 ir. ifrauco qoUs poatal 6fr,35, Protection de répiderme contre les intempéries, l e s poussière-, etc., fl·Sfiur^È par la Crime des Walkyries. Indispensable pereonnea exposées a n s intempériea IspOrtemen, automolillistsa, cycliatea, yachtamen, etc.JvI.B pot Iranoo 10 iranoa, • Epidermes gras, luisants, points Il (tirs, points bUncs, comédons, guaria railicalemen* par la L^saibim, qui donna volont¿ et frflîcUeur au teint. Troduifc inoiïûnBllLe flftcoD franco 10 ícanCB* Rosée d'Orient, hyelSna e t beauté ^ea yeux.P.iît íllsparíiítro : líia t a c ï i B S j Mies, fljçta rougea de vm ; ûoï^eefltloh, brfliytea, rúUgétiEa, crAce, oxproselon, ï í o a t ó t inoffetiaíl, i o fliicon frftiiçû 6 fr. • Rides, sillons, patte d'oie, relâche-r meïit des tifiâu^; etc., aont trrtitéB avec BUDCig par la G^íopTi^iiïic, qui rcvJvJfle l«a tigaufl Dt les.rnuBclca,.lour douno ferraste, llftsticltl· l o Pot ftívnoo 12 n·anofl. SeilíS dévcroppís, tonlliCa, rafferniia, blanchis par ramplni fle ía TíUMffiftc • . qui liarmoDlEe laa fornica, íftit dispaiultre crauXi BiillíM úaaeuBfls, Ballares, l e pot franco g france, Réduction, - intuís sem cnt, pai- Pâle asTaííHíí, qui fuît dlEparaltro : bajouoE, doubLeï meutons et tout ddpOt Bra,fsacuxî perniut d'ol)teuir l'aïuîtiûiefleniiuit ot lo /«s^i^ ifs-» ^gU, crno mjïn iH^iMwtfîHf- La pot frauBÓ a I fiaacB. Cheveux, calvitie, pellictiles, c h e v e u x gras, etc. I.0 Rio&i^éramr Sé^^drar/iin arrÈtô lft chute dea clievaux-, I^B ' l i t repouascr, détruit les roilîdulefi, tonitSB le cuit che\'eln. Le flacon 8 itálica; (tfluco postal 9 ft. 26. DÉPÔT ÏÉIIÉRAL: SOCIÉTÉ A T H É N A . 10. RUEDU NIOI|T-THAL>OR( PrÉs plaM 4 FAÇIS (1) • >^ 'u La Mode de la Coiffure Les coiffures se font t o u jours très volumineuses, a v e ; beaticoup.de cheveux, c'està-dire beaucoup de postiches : l'ondulation large et noue, si seyante et si douce au visage, est, par conséquent, toujours en faveur ; le bouffant sur le froTit, l'année dernière si volumineux, se , transforme cette année en une raie, soit de côté ou au milieu (Dessin 178); le " D i a d è m e " Se porte encore plus que l'aimée, dernière; chacune le place à son goût,soit en arrière et à plat (Des-, sin 177) ou plus en avant et ïelevé (Dessin 170). On porte également l'anglaise courte q u e . l'on- place à la riuque (Dessin 179) ou.plns haut'dams la coiffure (Dessin 177) ; toutes les formes de coiffures sont admises, pourvu qu'elles soient seyantes, floues e t volumineuses, , N" Tit. — Cùiffufe faite avec- mi ftoit faiscmt imtt le tour de lii tête et un " Diadème " -placé à plat et e» arrière, m forme in fer h clievat, et, dont les botits frisés ss perdent dans une lou{Je iZ'aHglaises ôourtesplaUes ait milimda"'ai&dkTiiB" 'et retombant en amirs. Cette eùtgwm fait très bien pour les cHapiaux tmiernes. A"" 179, ^ Coifjma très gracieuse pour le soir si le iMâtre, fuite aveo tat Iour de iéiSf coiQé avec um raie à gauche, un " 'Diadème " dont les pointes hou-•ctses donnent Mite forme grecque, ei ane rangée ds boucles à la nuque. L'ornemeiii trouve facilement sa place dans csih coiffwre. Postiche en cheveux ondulés naturels, ce a d r e s s e z - v o u s à la Pour a T o i r u n b o n de qualité supérieure, qui e s t e s s e n t i e l , - N" 1 J 8 , Maison Marius HENG, 33, rue Berg Grand .QUI "L'ART Magasin ENVOIE DE SE FRANCO COIFFER, de CñeVeux SON CATALOGUE et ^Postiches ILLUSTRÉ ET'SON d'Art JOURNAL " A T O U T E P E R S O N N E Q U I E N F A I T LA D E M A N D E , ca '^" 'u •a ¡3 (U - s a p R E M I E R • F o I D s C h a u d e u i é n t s r o m i t o u f l é e e n s o n é i é g a n t c o s t u m e t a i l l e u r , la raondatna p e u t i m p u n é m e n t braver les nremiàrK» , t M ! « ( , . j g r â c e d ' d l k u r s n e p r ê t e pa= Í .a d i s t i n c t i o n n a t u r e l l e « merveille, v ê t e m e n t , taillé eTexécutrZ 1 6 ™ ^ ^ p a r H I O H L·IFE T A I L O R . 12, r u . A<,I>«. . 1 113. rt* de R l o h e l l ^ i la c a l i b r e maisoil qui /iT^ H Qu.ll. tj^lVr/ i vt v - „ " ' T ^^''^ •a >^ 'u ¡3 3 m: Notes • d'Élégance Nous avons, en lai t de parf unis, une iitlicieuse trouvaille. Un chimiste distingue — q-JCl cliimiste ne l'est pas ? — parfume, ù l'odeur favorite de chaque femme, des peaux de suède que l'on glisse ensuite entre la doublure rt l'étoffe de n o s robea ot do nos corsages. Ces peaux ont la propriété de conserver longtemps le parfum dans ioute sa fot le et d'eu iraprégner nos personnes. Ce système remplace avantageusement les sachets archi-connus que l'on coud à la doublure des robes et que l'on place dans toutes les arinolrea. Toujours en fait de parfums, voici un exquis mélange tout à fait xvni= siècle ; dc l'iris de Florence discrètement additionné d'une essence ainlrirée. L'union de ces deux senteurs est tout ce qu'il y a de plus fm. Los parfums á lamodË Pour laisser un ca. pltftHjf: slllafle ^ ^-'olles p o u r l'autû J* Un concours dû chop'-au» ^ Oatcnile * if Bien que nous entrions eu hiver, l'auto n'a rien perdu des bonnes grades dc ses ferventes. Une jolie coiffure, pour ces voyages, consiste e n un petit canotier de feutre gris, gajrni dc deux grandes ailes blanches posées de coté, et entourées d'un long voile en crêpe de Chine gris. Ce voile est ensen-é autour du cou par une coulisse, de façon 4 protéger les cheveux et les épaules, mais il no couvre paa la figure. H tient diaud tout en évitant Ip, poussière. Les longs voiles seront du reste très à la mode cet hiver, Certaines femmes en useront à la façon américaine, qui consiste à rattraper toute l'ampleur des plis à la nuque, où on les fixe par une longue épingle dc nourrice, en bijouterie, à uiolns qu'on ne les retienne dans la barrette .des cheveux. T O I L E T T E D E S O I R É E (Modèle de In Mciaon MarealnB-Lncroli). " iüíj&í syíphSde Pour avoir une idée exacte du chic de ncs chapeaux, il faut se reporter an concours organisé à Ostente, á la fin du mois d'août dernier, par la direction du Kursaal. Soixante-douze concurrentes y prircmt p a î t , mais elles furent toutes brillamment distancées par Mme Renée Vert. Sur les douze prix offerts par les organisateurs du concours, l'heureuse modiste du 5<5, faubourg Montmartre, en emporta sept à elle seule. Ce fut d'abord le premier prix de chapeaux de ville, pour u n superbe chapeau de velours violet, que présentait Mme Artot. ïl était doublé de satin champagne, garni d'un galon d'or ancien et empanaché de plumes; puis elle cnieva avec la même facilité Je premier prix dechapeauxdu soiravec un grand chapeaugenteCaiiisborough,fort joliment porté par Mme Coussirat, une jeusio femme d'une rare beauté et d'nr.o élégance parfaite. On en trouvera une reproduction ici, à la page 474, ainsi que du précédent. Mme Renée Vert se vit, ensuite attribuer cinq seconds prix pour d'autres créations non moins ravissantes. C'est un joli succés, bien justifié par la grâce de son talent. C A M I L L E DucoEt. - (O sans covsd, en drap d'or sovpk. I •a 'u ¡3 • 3 m VA'- Torsade N w l t e Mí : 4- COIFFURES POSTICHES kJOüRLIAC ./•..fi G r a n d C h o i x de Bouffants ^á* Nattes Torsades dt Boudes Transformations Ondulation Naturelle garantie ENVOI FRANCO DV CATALOGUE 'Spécialité de Cheveux Blancs N a t u r e l s Essais des Postiches Conseils gratuits pour la Coiffure ET DS SON MAGNIFIQUE SUPPLÉMENT (U 99, R u e d e s Petits-Champs jz/ P A R I S Téléph. TA\A,^U 319-41 . . . . . . . (Près /T^ , ,k Eue ^ de k, . Paix) Télé pli. 319-41 flEi - 5ç soute' ' .P/E-J SlÂTE 51. Fiitli Street, s O HÒ".': DENTJFRIÜEMSBR 1 - L'AMEUBLEMENT FRANÇAIS Je illfiaig BTI u n récent article cfu'en fait û'ameublemeiit Ja mode n'était pas ^ussi capricieuse que d'aucuns vouilraienî: le faire sunposer et j'sjontaia qu'ells a.iiroett a l t tous les stvles, pourvu qu'ils lussent bien représentés, cepenrtant, après do uoinlirenit autr&a, voici eucore na ameulilcnsent inspiré du ïvni" siècle, te a u i paraîtrait indiquer que'sana s'v arrêter oxdUEiveaicnt il possMe ses iirèiSreaces. E h ciuii.il le faut Wsu avoueij la meilleure plate lui m t rései-vée uaua nos intérieurs, est-ce engoUèineut iniustïflê, caprice, ou i-épond-ïl mieu:! que tout autre à uos-aspirationa attutlles'i Cette dei'nîère e s t Ja seule iusCc, .il nous plaüt par la légèreté et l'haî-monie rie .ses formes, sau5 grana apparat il peut sou! loinrire uuerioTicsso •efegante it.une exquise siinplieitt, il ne . comporte rien tle couïentionnel pt d'imposé, la fantaisie ûe ctiacune peut, sans craiute a'iiérésie, choisir l'adaptation qui lui convient parmi les œuvres des moii veilleux. artistes ijui l e créèrent. La chambre represen ée n'esl elle pas nn moàiile remurijuab e et les li^ea n'en sonl·elles paa sgr ables ii suivre"! Les nteiiblea en bois pe a t pris, encidréa ie rubans Sien enroulés, réalisent lo rêve du conferí, l'armoire est parfaite de p r o porticuË, l4 ûout ou ne voit qu'une partie, prête a n s menus objets dc l a toilette (éminine i'abri de ses' norahreuy. compartiments ; le lit a ses pauneaus. garnis de toile de Jouy à méaalllons C L de flouis aux. nuances Indéclues, même toilo au dicor aimpleuient relevé a« roar dau-s u n gracieux meuvcraent. • Même toile encore à ia tenture murale et' a u s Eiices donnant au tout u n air da douce inlimlté dans «ne atmosphdre embaumée de l'odeur pénélranle'dç toutes ces ncnrs, JmîJs pleines de Iraiclieur, ct nui maintenant se revêtent, dè teintes délicieuseiacnt passsos. A. TX v t n s y . consiiiérAttun peudreuBo, pünÍBT.i AaMOinE h t ncites, <u - glucca tWuUlúefi. MSTIcUl! . , . . . < • • • ÏBOfP. Lrr lt pjllIïHiSliT Hîirnla. lurgeiir 1 m . ÛO. . 5 5 0 fr. DliCOn dont ÎBllc Ja J ù u ï , c ù u r o i m s w jicuEi>l^Ëï . . . . . . . ano fr, rjRoa rOMeda llUull£br^ilil . . . . . poul)HI¡nsCÍBlftí:u nioljllc. liiigeiir 1 m.OTi. KiUTEiriL l coOTtr, Eomlloüt i o Jwiy, M odèles xnoaeieb du j».;'— C O N FORTAa, B LE, 4. 6, 8, r u e d e A T E U E R S = R U E D E LA ROQUETTE A T E L I E R S : 2, R . U E D E L A B-Oqu K l l £. — Rome — ENVOI GRATIS E T FRANCO DU CATALOGUE GÉNÉRAL ILLUSTRE AUX LECTRICES DE Ti\^-{nn, . c l ï , \ l s l l l ( n t s ü c « ï i Iroltl· lïFirlicii, li^la. TOILE d û Jfluv ¡lour t c i i m ï c m i i i o ] « . Lur- iûuf 1 m. 35. . • . * * ' PAR,VVENT S 3 TtolIlBi, Jliul, 1, polllai gIncoB * las ft. *126 B0 C tr,l,. 425 fr. 'ïfl,60 FEMINA IX •a 'u ¡3 3 Q ' LA MANUTENTION TÉTÉPH. 269^50 CHEZ ^ RUE B" HENRY, DE TURBIGO. COIFFEUR REVETÉ PARIS Toas Les j o u t s , à. la an d<j la joîiYnée, fies ateüiirs de B'ncnryl.esposticliea m o n t e û t à l i üi&uuiRntiou ' pour avoir le dürniBr coup li'ceiJ du • toultre avant le départ pour Tes cxpeiHHoBS. Elen ae plus nirisiix à voir que l'arrivée ûe toutes ces coiffures sur dj&a mannequins ayfint esaiîtcmeut la ilimcnsSon (lca postichiis oommanrtés Í elles û e sont miáss en boite qu'après ua e x i m o a I r i s attentif i¡x¡ maílrOj qui, photograjililos de s&ç ciisutbS eu niains, constate qqc Ifc ooiffHrç será, seyante, sinon elle i-ôtoume sans réuiiasioiï au:i ateliers avec uue nele tîe B" iieiary doanant les explieatiouB néûessaires pour . qu'eUe n e i-e\lenne h la manutenlion que tout à îait parfaite, comme il la comprend pour emtieliit s a cliente. Got eiuflit coiffeur uttaoiio « n e impaitanoe U'is grande È l a qiieaUoc de l a laieicoiücne vous pouvez l e voit s u r cette pliotoj'rapUle, la niêino coitTure estreprèscnlèe, ¡"uno avec l a ralo à droite, l'fiutte à gauche; an coilteurde dis'cerner laijuelle ttes deux sa clEcjite doit adopter, Tout l s secret est îa. mes, j» N"M<i rii-.iBjuiaiide Vinau ÍIOÍÍÍÍ16Í1; i-''i''.'/'.tf, c'est simple et parfait, ciiiiiui. V..U15 l e voyez aur cette p!K'iiiL''iir,liii'. Vous vissez M tout pstft ij ;.; rill y importe oft,snr :)ne talili tri'.- i-iiiiisti, o l c . f i t j ù posticliei*'!'; >H;,ni;cna dans toute sa largeo r, \ ..ii.^ nt i liies ce une vuus voulez. L*ii:i : S fr.ira'i. B " K E N R Y Breveta en ! r:r.,c-: d ii l'Strmgsr Celte di-Tuière liivcntlou céponti a un besoin des plus ureeuts. >lon seulement il fut reconnu de tous lemps fine les lavases de tStedri. qnentsaoutindispeïisable.'î pour couscïver l a clicvelute en l a délanassant des poussières ramassCca un peu partent (surtout depuis le dùvcloppeinent de l'auíouiolilllsiiiiel, niaîg aujourd'liui oû presijue toutesles femmes se dérolorent ou se teignent les cIievcuK. et p a r conséquent ont besoin do lavages répétés, i l csl inflispensDllo d'avoir dans son cublnel ûo toilette ce petit appareil si simplillû rjujussiVlieraen quelques minutes les pluslmpoitatstes CIIOTClurets, etévítcíiauxdaraiíslcaiBfioidtssemcnts, u i v r a l ^ e a , .rLiumesflo ten'eau. loua !ea.joui-a, cinq'janlepostlcbes à u m o i u a tceoUlenry le Karautitct pcjit montrejT ses Livres à, y ni vaut lca'voir) s u u t expÈiîfis dans toutes • Ie,s 'directions du moude. T.es garçons dé, l a maîsoDlout les 1 ivraisons dans ' Paris. 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H s'agit du précieux " C o r r e t d e l a F a c u l t é " dont la forme savante, médicale, est parvenue à concilier avec art IcB lois de -l'élégance avec celles d'une hygiène parfaite, IJ'áiUeurs la Maison J e a m a u û ' A r G n'a-t-elle, pas seule, le secret de cette élégance suprême,raffinée, à la fois simple et luxueuse, dans tous les accessoires de la lingerie féminine ? Quelle féorie quo ses créations .pour k toilette intime, quelles conibÍnaÍBons cliarmaQies, que de flou, de dentelles anciennes, de tulles, ds soieries groupées avec un art inimitable, t o u s accessoires créés par Mme Desbruères en des variations infinies ! Le joli et intéressant AJSnan est eavoTÎ îcancoi par la Maison M"-"-^ J E A N N E 2Jff, "Jeanne D'Arc" : Zé5, tiie Safnt-Hoiifiííj 2é5 . , „ DOMKSriQOES * Dana les petites maisons bourgeoises une bonne â tout faire suffit. On ne la prendra ni trop jeune ni trop âgée, et l'on e:tii!era d'elle la piua grande propreté, L-aprâsmidi, apr¿s qu'elle aura nettoyé et ranffé la vaisselle, ejleniettra un tablier blanc, nn de ces tabliers à bavette, d'iniportaiion anglaise, et qui donnent à la pius petite bonne des allures charmantes do femme do chambre bien tonne. Les gages varient do trente à soixante francs et le vin est fourni par les maîtres, à moins qu'on ne préfère qu'elle acheta le sien. Dans ce cas, on lui donne dix francs de i>his par mois, Lee maisons bien montées exigent un grand personnel : cocher, valet de pied, chauiïeur, maître d'hôtel, Ces différents serviteurs, pour être dans le train, doivent avoir le physique du métier. Ainsi il est bon que ic coclier soit gros et imberbe, le valet de pied jeune et mince pouc porter la livrée avec correction, k chauffeur aassz beau garçon, lo maître d'hittl sans moustache et aisé dans son babit noir. Il faut encore une cnislüière entre deux âges, CDiffée d'un bonnet, iine femme de chambre jeune, sérieuse çt d'une tenue élégante dans sa ËÎnlplicJité, n n e fille de cuisine qui pourra être laide tant qu'elle voudra, car on no doit jamais la voir. Pour les petits garçona et les filletiâ.'î une miss on une fraulein ; pour lea garçons déjà, plus grands, un précepteur. 7{ue Sainf-íínnoré SPECIALITE POtíE ENFANTS, FILLETTES E T JEUNES FILLES, D E KOEE3, MANTEAUX, COSTUMES TAILLEUR, ROBES LINGERIE. mODES POUit EHFANTS PRIX MODÉRÉS r SPRING Régénérateur , OnniUI^ des C!. Kunilpa, Û . M a n u e l B r . L a B a r o n b o Olivier Vient de faire paraître, sous la signature de Maiol, m livre remarquable : Cheüeuxgrls " Les Dames du Régiment ". C'est une Ütíde finement observie sm la vie da*s les. villes de provime. Celte ceuvre eharvîa»te peut être . miss dàits toutes les mains. u D d eau TmervuLlIbusQ qui dès clïovetix hlanin ou gt-is leur couleurnatutelis, te est upprouV! par ies semmités inedieaies ii ca-.ise son inocuità parfidte et de ùoU artioil B Ú r s et prflmjjte, . Le SuPlRirta doit Inspirer toute cenflaoce éiani préparé par la ei>iînvef La femme de chambre, en, dehors de sou service auprès deMadarae,s'occupe de la blancliissousc, dc la teintureria, de la mercerie, etc; le maître d'hôtel, ou à son défaut lo va'et de chambre, preud soin datisla plupart des maisons, dc l'achat des desserts, du courrier, des jûura&UTC et des objets' pour le nettoyage de l'appartement. L'entretien de l'argenterie et celui des chaussures et des vêtements de Monsieur entrent aussi dans Ees attributions. Ua domestique renvoyé n'a droit qu'à uns indemnité s'élevant auic gages do huit jours et n'a aucuno autre compensation à domander pour la nourriture ni pour l e logement pendant ce laps de temps. ÛRANDE PHARMACIE IIYOIËNIQUE 2 4 , pue Étietiné-lïlprcel, Paria ! • Letlaa>s,&r. la m.sl SO.mDoaOtsS N'acheté?. auGureSoie sans demander auparavant les échantillons da nos liantes iiouvenutds garanties solides. Spácialités ; Etofíos do soies pour toilettes (le meriâge, de bal, de soirée et de «Ule ainsi mie pour blouses, doublirres, etc., en neir, Wanc et coulaur de fr. 1.20 ¡ i f r . 18.60lo métra. Nona vendons dlrecíemont sux particuliers et envoyons à doiiiicile, franco da porl ot un (iroits de doiians les éloOas ilwisies. Schweizer & C=, Lucerne G 6 DEVOIRS 'A JEANNE D'ARC Maison DESBRUÈRES ¿st ¿< TÉLÉPHONE 2H-22 J« >»i 265, Rtie Saint-Honoré P A R I S ENVERS L E S BOMESTIQUES *Onseplaint queV^nefois des domestiques ct de leur pett d'attachement. Maia est-on toujcinra fur d'avoir su se les attacher! Il faut pijnr cela autre chose que dç l'argent, même envers des gens qui ne servent que pour eu gaguer le plua pos. sible, (T'oie suite page XIII.) XI - (U - POUR CAUSE DAGRANDJSSEMÍíMT Maison Í2. BOULEVARD sera IA ALBEKT MALESHERBES, transférée iô i " 12, — Janvier 1 9 0 8 372, RUE SAINT=HONORÉ. «n la N o u v e a u MAISON V E N D A N T LEUR Grand MARCHÉ choix dernières PARIS de LK DE MEILPARIS Moésîes créations CIT, nouveaux des plu f élégantes BLOUSES EH lELANDE ET BRODERIE PLUMBTig, 3UK TULLE, EK FILET ET ' "f^lrr M a n t e a u x I r l a n d o d e p u i s 1 3 5 fr. 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Si un domestique a b e s o i n de changer san jour de sortie, pûur voir un parent ou un enfant malade, on le lui accordera. Leurs g a g e s et les dépenses du livre devront • être potictuellejnent réglés, afin de ne pas l e s gêuer d a n s Leurs paiements ou leurs placements. On devïa respecter leurs convictions religieuses et leur donner le moyen de remplir leurs devoirs. Il est bon de les dòi-angcr le moins posKiWe pâiidaat le t&mps de leurs repââ e t de leur repos. Si un domestique tombe malade, on lui prcpüsera lû niédeciu de la fam.illc, maig on ne le lui imposera pas. On pourra, par eJWmplo, p a y e r leurs médica-ments. On s'associera, par une preuve discrète de sympíithíe, auK graiideg circonstances de laur vie : mcurlage, naissance, première comiTiunion, en leur faisant un cadeau, En voyage ou chea dea amis, on. s'occupera, de savoir si ses domestiques sont bien traités et bien logés. C'çst avec ces petitts choses'là qn'on se fait aijTier de ses serviteurs et qu'on eixtretient leur zèle et leur dévouement. Germaine DELAGE 9.. me de ía nous Paix jicj'iuet de conteiuplcr les ligiitís grdticuscs de Sflle MürOüUo BOaOO, du Ihéâtre des Capuü i n c S j tros òUgarnment moulée pa.r la jeune corsûtlère e n vogue qui lui :r ^Mi^V. • . essaie elUmême. POUDRE DE TOILETTE PE TURQUETY SOUVERAIHSS o t i ï t r e lout<!s IfiH îrriULLkitiij d e In p e a u . îiilt dlh|>niiitLi<- i e s ljciulunüCtlí:!^rciiiiíi.ín['s, flûlme Jnrtíinianítme • lrtdÉmani;t*a'í^i*!iai«> plus viol e n t e s . v ü m nuiidrcsdî) r l ï <]Liidi:a£L·'dictLlnLIi'iitlte^lcr lu j}Liiu. a u aOi·lir d u LE nlflMlcH BORDÎALG . eat i n d i s i w n - ttlûalft e i i r c i e c s s p o r t ira OUúiitfe ti'aaspiratlon. DauRQ fia les !i;i.ix Jii L'nsoir. Lo B D H O T A L C esi Í1ÒC rccorr.riiariiU r n i i r la toilette des dmniis e l ' VËTUiGAUi-DUPiiEUH I rr.2â,>ljas ' touloa pt-ari^aoi*ii ni p a r ! u m B r i « Î i ^ — ^avai'irsuaa contra ï i\\ GO. — Phannaoio TURQUETV* ' aD»AieDUDdaÏÏ(!Uflly,HLÜlLLY-PABtS M'^" D U C H A T E L L Ï E Ï t , souI n i FRANCE 1 niVXwIXj^ Inve^tcuf des laflANGliW AMINCIT. A b A l S S E ^ e t RE^DRESSE L E S N E £ SEULE IVtAlSON, )DH B O U Q U E T VENTE SiELLUMA Toujours jeune! Toujours belle! rüsmüíSLise io M"' mèthoiJB CîlGltîflqufl dlpltmti. CHAUVIN, nhputitisn tafiSc d,s Billes, Pattes d'Oie, Points noirs, Bouijle menton, Bajoues, ï a c h e s ié ronssour, etc, C o m p r e s s e u r s • antirldea Prà divin eAÎFERigiSSEMENT da Iji POITRINE railla  iMin íii-3imt »hiiprt[U»itni)i> (iSiDrtiitKkil (Cl. Pcmliw.) Mlle Jana Pain, (rfii ans) U plus jsUKg des pyemie-fes médailles de sùlfè^e {üíStrUnimiUles) ctii.\derniers concours d-n Consórvaioire, LES POUR- ISOIRE^S * C'tst une question bien embairrassante que celle de cette |éné. rusité, soi-disaut facultative. Voici une ¿elielle des pourlpoires aur laquelle an pourra utilemeut se Laser. Pour nue couiBC ordinaire en taximètre on donne o fr, 35 ; lorsqu'un a gardé plus longtemps la voiture et qu'on a fait beaucoup d'allées èt venues, on double la somme. Le pourbûire peut atteindre un franc si l'on a gardé trois heures la voiture, et ainsi de suite. Au restaurant, ou donne comme pourboire un sou par franc, si l'oa est seul, ct dc^u3î sùua si l'on est deux. miism' JIILEÎ, 1, me Stribe PARIS-OPÉRA Pour ¥ 0 5 toilettes d'Automne n e r e t a r d e z p a s la c o m m a n d a d e votre MANNEQUIN MOULÉ c'est a u 205, Rwe Saint-Honoré. - PARIS (U - P H OT O G R A PHIS : FBMINA BON il«rédfl(;llanileSO/l)sarlËslari{s II 5tit£il de prcEentef ce bon 90, av. des Cliatnps-Elysieípoui'bénéiiciír — de ceite remise = = : Lesahonnéesontàroità lOofa XISI I Tottte femme élégante ne veut plus essayeï •a >^ 'u m Ghez l a R e i n e d u Corset MME lO, C. GUILLOT r u e d e l a P a i x , IO S e s N o u v e a u x C o r s c i s c a t n b r Ë s devant, de c«té et dans le dos, son Corset Gaine-Combinaison (brevetés, déposas) sont de bante actualité í ils n'en restent pas moins Éminemment hygiéniques. Tous ils o n t p o u r eiEet surprenant {et en oela Je talent <le lacréatuice se révèle sous u n jour nouveau) de prccnrcr n û aimncissemcni iimnidiat q u i se traduit a u bout de cinq à six mois p a r une dilîèrenee de 6 à S centimètres à ls( taille et davautage a u r hancbcs. Le CALICE i hanches fuyantes • (DÉPOSÉ) f - IIÏ •a >^ 'u ¡3 3 PARFUM CAMIA Par suîte de aa fabrication spéciale, le Manohon Hsilâ est pla s éclairant et moins fragile. Hiilsrâ aa s upériorité,il e s I. vendu moins olierqueleamanohonaordinaifBs. ¿ e iVianciion DES GOUR.' M A N Q t S B 6 I * Un mets tout indiqué pour ces débuts d'bïver ; la salade « gigolette i . C'est n n mélange do laacaroni ñn. coupé en tout petits morceaux, de branches de céleri ooupâes en émincés, d'une douzaine d e noix sèches cn quartiers ot de betterave on petits dés. Le tont • assaisonné d'une mayoïmaisa légère, aromatisée d'iierbes hïichées menu, et rafraîchi quelques heures avant de servir. Un quart d'heure de cuisson suffit au macaroni. Il doit rester ferme pour quo la salade soit bonne, Antre gourmandise : la grouse au whJslty. Iî la faut bien fraîche, car elle nesupporte paiî leiaisandage. Plumûc, vidée et bridée, on ia met ea broche devant un feu flambant clair. La cuisson demande .vingt minutes. On l'arrose pendant ce temps de whisky et de beurre £n. Une fois débrocliée, on la dépouille. On en lève les filets et on les tient eu terrine tiède et |;arfaitemctit close. On pile finement les cuisses et les os delà carcasse en y ajoutant la. cuisson de 3a grouse; on passe au tamis fin. cm recueille ^ la purée en casserole et on chauffe sana laisser bouillir. H e l i a fie ïrottee chsK Us prlnclpcsux Plombiers, Qui/ionmiera, Appa-rHlíeííra, Marchands de Couleurs, Btíjars,e¡(i.—St eotrc fQ(¿rnÍ3^sur ííal)l£íistn¿ ¡j^at eotís le prcotirsr, veuaiss noas sneouer son rwm et noas formie le néeessaire pour qtt'U oous ¡toit aonní satisfaction, SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES MANCHONS HELIA Zi, Hvo S a l n t . F i î H Ï l n m c l , Piurls.réHpAoiw B3t.29. TSiplioûe : 2 7 8 - 7 Í 1 , FatlbttîiFg St-Honoré. pour ÊTAWS MTÏXBB A i a SAWTEÎ, prenez 'Ballade Dédiée à Toates les Femmes ^ Élégantes Les coquettis- ds l'univers, Melba, Cora Laparcerie, • Odette D ulae ati» grands airs, L'Impératrice de Russie, Carme» Sylva, de Roumanie,. La petils princesse Maud \ N'ont qu'un caprice dans leur vie.,. .Se mirer dans un Miroir B ï o i . SEUL R É M è D B VÉGÉTAL Vonium mibre la santé, ddtrùltia toeanti, et vieillit avani l'âge; iiour resler Jeune et minee, réduira l e s liancne.'î ct l o venira, effacer l e Utiubio monion etainlTialrla lame,prenezdeiiï a irojÉ lassas papjour du Thé Mexicain du Jawas ïoaarattlBrlKz sùremoni, sans aucun danser ot Bunariclme. Rajeuni ilalalnietoM/iííeD de jrauii^ SUCCES UNIVERSEL. So méiiordcs C<atreli(as. Pilï ifl la iolli! I 3 ( n u M ; lia elï. ijollts ;• BS tranta. Pt'» TlraniM, l i , ni8 7ÍT:eilln.?aui et tontea l'harmiitlea. ^i'.IUHY,, MADAME! POUR ÊTRE EXACTE... SV'UNE FEMME PEUT AUTANT L'ÊTRE Judie, Théo, Bïàttiks Toutain, . J}evo}'od, Harlay si jolie, Dorgère au sourii^e divin, . Félyne, Rèjaiie applaudie, . ; • Sarah Bernhardt qu'en glorifie — On rte saurait • le faire trop — N'oiii qu*un caprîcs dans leur vie... Se mirer dans un Miroir Broi. : Àpròs cela on met cette purée à point aveo deux go'uttes do citron, une larme dc vieux whisky, u n soupçon de poivre de Caycnne et on beurre légèrement. Verser snr les. filats et servir dans la terrine. Partout au delà dis diserts. En Espagne et en- Italie, A Spa,. Berne,. Tanger, Anvers, . La Feuime du Monde rdvie, JtSvatii toujours coqueiierie, Jit les mondaines du Hainaui N'o7it qu'un caprice dans tour ttie.. Se mirer dans un Miroir Brot. LA. FEMME jK L e divorce et la séparation de corps sont des choses très graves et profondément regrettables; néanmoins il faut bien en parler, puisqu'ils ont été introduits dans nos lois et dans nos mœurs,et puisqu'on e^t malhen teusenient obligé d'y recourir'parfois. Lasèparation d e corps n'est, en réalité, qn'une atténuation d u divorce. Ella eu produit les effets Bans rompre le lien de mariage et.entraîne toujours la séparatiion de biens. Aussi les mêmes motifs suffisent ponr obtenir J^in ou l'antre. Cependant c'est une erreur de croire que î'incoinpatiliilité d'humeur figure parmi ces motifs. Seules les manifestations d e cette incompatibilité, telles qne l'ipfidéUté, leg violences et les injures graves peuvent Être une cause déterminante d e l a séparation ou d u divorce. La catégorie des injures graves est très large; elle a é t é établie pour y faire entrer les fautes qui n e constituent pas la violence ni Vinñdélité es ïaotérisée. Femme qu*Oiî aims à la folie. Si ia robe a quelque défaul. Tu peux te corriger, amis... Mire-iqi dans un- Miroir Brot. 13. MAURICE GALHEF Ne vous i a b i l l e i pas, n e flltes jamais u n essayage chez votre contnriére ou voire tailleur sans iin Mirûlr Rrol ; i l vous réviSlera les moindres petits iî*faut.i de Votre toilette. Vous tiouYere^lc Miroi* Brot dans toutes l e s bonnes maisons d'Ameu- //S m VARIENT I C H E ; L B BQKS HORLOCEBS, DEPUIS JAUMS! 4smKcs. M i s s Boawortfc, la guiñante du .Championnat de la Conpe Se la. Vie au Grand Air. dis'.putÈeau I.aKri-Tenrtis Club d'Etretat LES DROITS DE (U I {Voir suiie page XXI.) •D >^ ¡3 3 m BELLE JARDINIÈRE ^ 2, R U E DU PONT-NEUF, P A R I S - Ílís>ié.S.ilslHsllierlM¡.. I Î^NVOI FRANCO Seules Sucursal,»! PARIS. 1 . place DÉS Clichy; CATALOGVEJ LYON, ET t-ECU A UrtitOKS MARSEILLE, BOFOJEAUX, JUS DEMANVË NANTE6. ANGERS. ULLE. SAINTEÜ •D : 'u 3 rmii44rxhh fi,L·i f¡ til iíir' ÍOJT/ df .\nttt à n^r /ftftmf', ; m C ' « . S L M O U JOTJRPAL. A \ VIEttftC L·ArrrrZ et cu, ij, tul. POUT A H O N N F M C N L S ANUÍ OLSÍ F R A N C A , it U PUHLWTT : TLTTGPRT, FR.; E Í R » N G « R , W > Í C . E D L L I O A Av. d»a DE Av. HLN.rt D*NU¥RA¡Í(!fi(I^ A nui Í^ÍF---, nux Jeune:! >L-LZS C U A T T T E , DT RAC^DÍIIIÍLC I'RAINTIJC. Cfiampj-ÉJgatM. ROPEÍA. CT C L T . U . DUÜÍVMNT r^*^™'^*"™?^* D U LI>)3<IU. 4 * ONTTTIEE* D E D T N I O J K FNTOCA, I 8 F T ; ÉTRANGER, JOFR. I <D T3 X I CÛ <D •a :^ u P R L A C V S H A L I C E " , M T S A E I H R L R O O M E V E L T E L U M E R O . VÍrtiWrwVi. ía Prinrme Atice ". gat affatf mjfqmn en Amériqng a/u M tr^nndr * pnpníariil, est rrmphñe, dfpitù qa'eUt tai A/m* h>n^aur\h. bOf tu mrur cadetUr auffnififkxU jeune fUie. et A^nt vfíici ¡a prtmiirr píu>u.^ropkie quoeí officicíU ditz côtés de af B I Í R T , Afme Th. fíovgepeít; OHM Ethtl IliManrll na pía i^trijíinaSitl tauu yaakre de ra titur, mai^ nnFi rftji^-mf ett frami rt la cuiiure iiuríhcfuetltf ^'érutíbíe. /M " Prinn^s^f Altee " ti'rMt pluMu vive ¡a " PruuÊMe EtM " / Petíte-Níèce d'Empereur et Fils de Roi " 'Femina " dans sun avanf-cisi nier numero a annoncé ks fidnçaiUes îa princesse Marie-Banaparh avec le prince Georges de Grèce en publianl des pholographies ds la cérémonie qui ftil célébrée à celle occasion, Aujourd'hui, elle présente ¿t ses tectrices la charmante helle-fiUe du roi des Hel/èmi. Cette photographie, prise da Umps où vioaii S. A. I. la princesse Pierre Boruiparle (mire du prince Roland, ei grand'méie de la princesse Marie),nous momee, de gauche à droite, Mlle Annie de Villeneunt (fille de Mme de Vitlcneave, sœur du prince Rol^d), M. iMcien de Villeneuve, Mife Rosslinde de Villeneiioe, S. J. I. la princesse Pierre Bonaparle, Mme la baronne Lucien d'Áiíbígntí, M. Bornée de Villeneuve, el enfin ta prineesse Maris Bonaparte, aufourd'hui fiancée au prince Georges de Grèce. C o H i o a u temps oü Napoléon amenait devant Talraa un parterre de rois, una Bonaparte i'Mte à nn prjcioc de m a à o E royale régnante : le prince Georges de Grèce. Personne n'a étà étonné de cette nouvelle ; h roi do Grèce ost un des quatre ou cinq monarques parisienriatita qne Von renoontra soiive»!,, en simple vestnn, on melon sur k tête, accompagné rte son intendant, faisant ses achats sur nos boulevards. Aimant la France, il devait se montrer heureux que son second fils épousât une Française. La princesse Marie est fille de 3. A. I. le prince Pierre Bonaparte, dont ou connaît les travaux scientifiques d'une grande valeur et qui apporta si sou'vent aon aide aux travaux les plus intéressants. Le roi de Grèce ratifia donc avec joie le choix de son fils, ancien haut commissaire en Crète où il exerça les fonctions difficiles de souverain aveo un t a c t et une intelligance l'ejtiarquableÈ. Ainsi l'arrière-petite-niècs de Napoléon I'^ épouse im prince. íús de roi. neveud'impératrioe, de rois et de reines. Par oette uninnquisera célébrée à Paris prochainement et aussitôt après à Athènes où auront lieu les' cérénianies orthodoxes offleicUes acoomoagnées de iêtes à la Cour et de ré auissanccs populaires, la princesse Marie devient labelle-aila du roi de Grèce et de la reine Olga Gonstantinovitoh, née grand e-duchesee dc Rus'îie; la QJèoe du roi et de la reine de Danemarh, d e l'impératrice douairière de Bussie, du roi et de la reina d'Angleterre, d u prince et de la prince.ise,, Val·leraar de Danemarlc, du duo et de la diictiesse ds Cumberland, du grand-duo Nicolas, de la grandeduchesse de Wurtemberg ; la cousine germ aine du tzar auquel le prince George-s a sauvé la v i e au cours d'un voyage qu'ils faisaient ensemble au Japon avant l'avènement de Nicolas II, en détournant le sabre d'un ïmi qui s'ahattait s u r la tête du grand-duc héritier; la caiisinc germaine et la proche parenta d e presque toutes les -Mtessea impériales o u Royales d'Europe. Kée à Saint-Cloud en 1882, la princesse -Marie a perdu sa mère quelques jours après sa naissance ; dans toute la mesure du possible, la plas dévouée des grand'itières, la princesse Pierre Bonaparte, a remplacé auprès de l'orpheline celle qui disparaissait si prématurément. Avec une deux ans, à casse Jeanne; SCS pctitS-eni _ _ , au u a j i c e r a v e c l a baron Lucien dAubigny, a veillé jusqu'à son dernier soupir à l'éd-acation c t à l'instruction de la princesse Marie qu'elle idolâtrait sans cependant k gâter avec (U - oe qu'elle sera dans sa nouvelle famille : un exquis rayon dc joie. Le ^seul petit reproche qu'on ait pu, un moment, lui adresser était de se laisser absorber par ses éÎudes et de ne pas assei s'occuper de sa t o L t t e fou iours tr = erfat'ílürVseyante.'^ ''^"''"^ f"^^*^ ' ' plus o u ^ S l o U ^ t Sous l'influenoe de sa tante, la princesse Jeanne, aui l'entoure d'une affacUon maternelle, elle s'est, corrigée dans tiute la mesure déliraWe ri"n que d a ^ '''''''''' '"^'^ Tais •a >^ ¡3 3 la mesure desjrabki, dc I imperteoLion.rare ches les jeunes (ijlcs et les j e u i i p ^ ^ ifimmes el tant i l , ) paruiits et du maris voudraient pauvoir coiislator, lio n'être pss asses oogiiettfi, et e Ir; s h a l j i l l i ; inainteiiant avec un gofil irnpeocalile et toute l'île gance qui oniivient A son raiiR. G o m m e toiites les f e m m e s vraiment le elle aime bollfs iientolles, IL'S perles, les pierreries, el apprécie tout culiéreinei-,t W.a bijoux artistiques. Certes, les cadeaux que lui on son [lancé el le r.pi dn Grèce lui sont avant tout précieux en raison des souvenirs qu'ils évoqueront, néanuiuins, elle n'a pas été insensible au giiût qui a prúsi.i6 il leur obuix. Connaissant sa prédil-clion p i u r les rubi.s. li- prnine Georges a fait orner la bagne de fîanrailles d'un gros nibiîi cabuchón d'une pureté admirable, entouré de brillaeti; la broche que lui a donnée le roi de Grèce, à la m ê m e ocuaJion, "ne cmix que hn a offerte son fiancé sont égalocnent e n rubis et iianianlsi un long sautoir en parles fines, don du prince Georges pour leur prerniL-r anniversaire, l'octave dc leurs aaeçailli's, — l'iiiée n'est-elle pas cliar[nan|,eî — est encore entremêlé de rubis cabochons. Grande, élancáe, très bidle, mieux que belle, jolie, la princesse Mario portera à ravir les diadèmes èlinctdants et les tastueuses robes de cour, ot contribuera certaine¬ ment à .v-oroître encore la réputaüon d'élégance des Parisiennes. Elle a une taille ravissante, un cou de statue grecque, une jolis main, un joli pied; une Jorit de cheveux châtains très fins, très soyeux, ondulant naturelleriient., encadre ses ti-aits réguliers qui partent l'empreinte caractéri-stlque des Bonaparte, niais très affitiéa; de beaux yeux, très doux, très espressiis, fendus en amandes- Son teint est éclatant. Toutes nés séductions sont riihaussées par beaucoup de grâce et une amabilité i^ui jamais ne se déiuèrit, même quand on m e t indiscrètement sa patience à rude épreuve. Le cadre oil se déroula cette vie laborieuse de jeune fille mérite d'être noté. Qiand on entre dans ia cour d'hunneiir du somptueux hatel de Tavenué d'Iéna, on trouve u n perron, puis un vestibule terminé, au foud, par le oabioet on coupole du tibliothècaire où l'on voit les oolleotions rapportées par le prince Roland Bonapaj'le de ses, diiîéronts voyages. A l'entrée, la salle das gens de garde, puis lasalledu triage des livres; un salon d'attente exquis avec les boiseries vertes ot les quatre panneaux des saisons, les meubles Empire, au p»iint de Hongrie,.vernissés de vert d'eau. En face, les cabinets des secrétaires. A dr.iit6, avant la bibliothèque, la salJe.des jeux de la princesse Marie s'adosse à. un vestibitlB garni de oouluïrines et à une salle de photographie ; plus. loin la salle des théâtres où la princesse se plaisait à jouer la comédie avec ses jeûnas amies ou à s'essayer dans la récitation ou la musique. Une salle d'hjdrotllérapioet un vestiaire complètent les-appartements du rez-de-chausséu. Si l'on monte le merveilleux escalier, on antre dans les grands appartomonts s cinq • ioirneiiSES fenêtres sur l'avenue d'Iéua éclairont ie graiid salon meublé on velours de Gênes ut on Aubuseon, décoré d'un seul t a b k a u , la portrait du Premier Consul. Il y a i e s salons de réception du dimanche; l'un était celui de la princesse Pierre, l'autre celui de la princesse Marie, tous deux dans le goût Empire. Il y a IJ un curieux piano d'acajou bronzé d'or, surmonté do sa bibliothèque, qui s'en[erme dans ses portes comme une armoire. Vulii k salon rouge, le salon bleu, la salle à mangier, des.sinée par le prince Roland et où deux soldats de 1792 montent la garde; une salle à manger où l'on voit,sur la cheminée monumentale. Napoléon passant le Saint-Beniard et, sur u n panneau, la bataille de Rivoli, Mais oe qui (ait la Erandeur et la noblesse de ce logis unique, o'est l'aménagement extraordinaire de la bibliothécjue. Les livres s'alignent sur une lougnaur que l'on estime à do plus de six kilomètres dans des salins qui sont des merviilbs de gofit et da commodité. C'est là que vit le prince; o'est là qne la princesse Marie a passé de nombreuses journées, dansla joie du travailDa son père, la princesse Maris tient des aptitudes toutes spéciales pour l'itude. Elle parlo couramment l'anglais, l'allümand, l'italien, un peu le russe ct l'espagnol et apprend, cela va sans dira, te grec moderne. Très forte en grec ancien et cn latui, elle a pu apprécier dans leur langue les beautés des grands auteur.^ classiques et surprend constamment les savants dont la prince Roland, que ses très remarquables travaux personnels ont fait réccmnieut nommer msmbfQ diî l'Institut, aime à s'entourer, par l'étendue de ses counaiosaniios techniques dans les plus diverses branoiies; la stratégie, — faut-il y voir un effet d'atavismei — l'intéresse tout spécialement. Elle a un peu abandonné ces derniers temps lo dessin et la peinture i>our cultiver, plus exolusiveineot une voix ravissante que, seuls, quelques très intimes ont eu la bonne fortune d'entendre, Fille de père et mère français, petite-flUe de grands-parents et d'arrière-grands-parents français, frôlant à chaque pas, dans notre grand Paris où elle a été entièrement élevée, les souvenirs particulièrement précieux pour elle do l'épopée napoléonienne, elle professe pour la France, pour rUluslro empereur qui l'auréola de tant de prestige, un culte enthousiaste. En dépit de la vogue actuelle des continuels déplacements, elle ne pouvait se décider à quitter, même très momentanément,.sa bien-ajDiée patrie, et n'a jamais Iranohi d'auti'ss frontières que celles de la Suisse. C'est, avec un accent tout spécial qu*elte disait, et qu'elle dit toujours ; « .le suis trûs Française t , ajoutant maintenant; « et très Gracque ». B31e ne part, du reste, qu'avec le terme espoir de . revenir faire de fréquents et longs séjours auprès de son père dans le . bel hôtel que le prince Roland possède avenne d'Féna où' un appartement lui sera .réservé, et avec la pensée de resserrer plus étroitement encore les^tradijionnels liens de chaleareuse sympathie qui.> >- • LE rOSTKAIT unissent la France et la GrèÈc. C O I I T E S S E D E SESMA ISONS. C'f.st l'image i'elle-mims litlMboiuittK üt TaimnlcfFHÉirÎEÉ que la prtn.ce.ise Marie aiine le nii'tfuj:. •a m M""·•CatlïllemESDis^ .11. J ' O R E L M . rîOEtCKTDlî lIONTESqUlOF M. I I B H B Y RocrjoM Nos M. lUiatrjss LU R O U S Urm'j..iFOY Conférences Nos Matinées d'Abonnées y Jl. JuAH M™^ SÉVEïtITiE M . MiECEL P K Í Í T O S T ^ ^ ^ RiCEIFIN 1 Ti'est ffnire de plaisic plus rtéliHpnx (jne la cmiréfiTioP... k la cnndilirm q-ie Vdratftiir soil pari ion liècfiniPTiL Tialillé p-nr son tainnt. p.nr son n-nonn et par smi érmlilion, il enlri·li·iiir son auditnirs du Bnjpf. cli"i<i. Aussi !''i>niJ.na fi Je tni.s Imil fnl-il.-i orKanifié uni; série de dniiiP onnféreroes pniir Isiirs lecteurs et alionnés. La li^le des nralPiirs et des siijrts, choisis esprés parmi les pfenres les plus d i v r a pour ami'niT uni' amusante varlité dans cntle sérlfi, sufûaammenl éJiûante. La voici, dan.' l'ordre ; M. lioheri de Mmitesfjuînu parlera de Versailles (fMi lui inspira des vers si harmonieux et si profonds ; l\. Porel, le U t r é directeur du Vaiiilrville, parlera des n Souvenirs d'un M . JiOqUHS vlf'il homme d e théiltre»; î [ . iTerirti rtouion, l'iniinenl érrivain, menihre de l'Institut, parli'ra dea c Rappnrts de Voltaire et de Jean¬ , , Jacques tíou.'i.sr·aii i ; M. Uugites Le /îoitr, dont on connaît la sedutsanto éloquence, parl.'ra des «Femmes d'Amérique »; Mme Jans Cautlle Mendès, l'autour inspirée des dwrmes. parlera de < i \ eni.se et les Poètes jModernos » ; Mme Jane ntrutnh'i, l'éminente esploratnee parlera dc « l'Espagne à l'époqne d'Isabelle la Catholique»; 61, Jean, mahepm, le grand poète de la Ckansen des Oiteux, parlera I __ Nons allons moommenror, le mois prochain, nos matinées d'abonnées qui altu'crenl la saison deniière dans nolr'e IhéUre un public choisi et n o m breux. C'dte année nous f?rnns aussi bien, si oi> n'r.st mieux. n a p p dons à nos abinnées que ohao'ine d'Blles a d n i t annuelle-nent à deux places et qiie.^dur retirer oes deux piares, il leur suffu de se présenter dana nos bureaux munies de leur bande d'aJtonnement. Les 250 premières oJionnées qui oiendroni retirer leur coupon assisieroM à, notre première matinée, les 250 suieantes à la seconde, et ainsi de su.ii.e. Concours réservé ï.a JS clôture esl proche. Un Jl. Ces onnfdreuces, an nombre de douîs. et rlnnt la nlnparl soront accompapinées do récil.ilinns ou d'auditions musicales, aurontlieu fts h. et ilamin, les rerti/miis 8 et S3 nnocmhre ; S el 20 décembre ; 17 et ît mncier ; l-t ei 2.1 février ; Í3 et 27 mars ; Set 22 mai. Nouscon'piitons deü abonnements aux dome onnrérancos'(20, 2 5 et 80 fr.). Usera délivré aussi dos places pour chaque matinée (2,3 o t i fr.). Nons informons nos abonnées des d é p a r t e m e n t s qne nous leur réser^'ornns, à cli.acirno do nos matinées, nn certain nombre de pl.acns, d a n s le cas oil ellMs viendraient à Parlí. Tl leur suffira de nous prévimir la-vaille d e l à matinée, ou même. s| cela leur était innpossibl", de venir au moment de la r"pTésenta(ion, Riles piurront au besoin faire profiter de leurs places des amies habitant Paris si olhs ne peuvent en proflt-r elles-mamns. Nos matinées aiu'nnt ii-iu aux dates suivantes; les lundis -1 nooemhre, 2 dieembre, 6 janvier, ,3 jéoHer, 9 mars, 6 ami, Í mai, P' juin, ¡i 3 h. international aux noa JUTJBS B O I S de « la Bnhème de Villnn à Mûrier » ; M. Jacques Isnardon, professeur au Consirvaloirn. parlera, avec son antorilé haliituclle du Ihéfllr", dn n Î A mnfiq''ft et dn chant » de mPme M. Marcel Précont, l'écrivain admiré, qui mettra pour cftte fois sa par'de au service de la bonne ca'ise Jéminme qu'il défend si arfistement la pl·ime ¡i la main, parli'ra de I OnorgiiPand niJfnnn .lérerine. aves son originalité (inls-iante et la flamme qu'elle mi-l i SP.s idé<'s,. riissrnt-ell'>s p'irempnt p.stliétiques, parlera du uCnstume f é m i n i n i ; Î I . . f f î o w . q ' i i soulève avec son charme de styliste et île romancier los voiles du myslèrs,' parlera du s ïrir.vle moderne», sttjet rie .son dernier livre j enRn M. Ahel flermrrni. dont le Rr.ind talent d'écrivain est étayé de l'ér'idilion là pl·is sflre, M parl.'ra de 0 l'Imagination franjaise à l'époque ,„, 'I. A B, E L „IlEKMAN'r „ di la Ti-rrruT ». tPli.PcMirta.H.Menueinq rrefessIonneUes de beautés Beauté » dernier appel aax concurrentes. Jtt JS- —~v E tous les côtés on nous demande s'il n'y aura importance. Apiès una réuniin préalable d u jury, ¡1 1 pas de nouveaux délais pour l'envoi des phosera déoidé que les phuloprapliies iiiférii-ures de oonoury li.griaphies à autre Ciuicoirrs de beauté. Nous wntBS classées seront retailes par nos soins. sommes forcés de nous tnriir strictement dans les Nous avon^ remarqué, aveo ri*gret, que le nomîirfi des litnites prescrites par les organisateurs américaias du envois de Paris dépassait cel.ii dus départements. Conooiiri Iiilrrnatlniial : le Chicago Tribune. C'est de co cMé que nous prions nos abonnées La diile de ciòiare des etioois phùlonraphiqties reste et lectrices de faire tniis leurs elT ris et nous espérons donc irrêi'ocattlâmeni jîxée au 31 décembre ltiti7, à minuit. que gfice à l'ai.le précieuse qu'ont bien TOUIII nous Nous avons reçu déji'i lui grand nombre de photoappnrliT dans co paeirique tounioi plii.sieurE de nos graphies qui ont été lulsea dans imo caisse spéciale, o'infrèresdes grands réglonanjr.doilljl/. L)ii.oivier.dircc.tem gui ne s e r a o u v i r l e qu'eu présence des membres liu jury. du » Tout-I.ynn n, et M. Maurice Selnvob, directeur du . Koiis ripp^'lons q l'Il y aura dis: prix et. q i e le clmix « Ptiaro de la Loire », qui recevra les photographies des du jury sera ourlaliieinenl dicté, outre les oniisidéralons onnourreutes de Vendée, Slaine-et-I,nlpe, Hlorhllian et de >iia'ilé, par celle-ci : que les conoîirrentus lauréates Loire-l iitérieurOflesdépartements lutteront àarmos égales devront ayothéli-sw sn queliiue sorte lu type français, Kelte charmante jeune femme ne avec PartH. comme Mlle l''rey, lauréate des Etuta-Untó, syiithépeiii-elle pas rivaliser en beaulé aveç Rappelons encore quo notre conirère l'intransigeant tbie le pur type américain. Miss Margaret í ' r e y í reçoit aussi les photograpliius des concurrentes. Celles Nous espérons dune — notre aiiioiir-propre national -ci peuvent donc adresser leurs portraits soit aux étant an jeu — que chacun s'ingéniera à vaincre les modosties rebelles. bureaux de Femina {90, avenue des Cliamps-Élysées), soit à «sux de Noii.1 répétmis enciire nue Fiil··! que la valeur de In photof¡raphle n'a aucune ryntransijîeani(I42, rue Montmartre, Paris). (U - I I ^ r •° :^ i u ¡3 3 MARIEE L E T T R E S A FRANÇOISE Par Marcel P R É V O S T Si iiE PAS TBOî, OHËBB ÎJSHIMB PÏKSITE, lOUT E S T - I L LE TOUT DU MARIAGE ? — L'AMOUR CONJUGAL ET L'AMOUK MATERNEL. — DANGERS DE L'EXCÈS DE MATERNITÉ. — HIOKITÉ, SUBLÍMETE D E L'AMOUR CO.V]UGAL. — SUPÉ- REGAKD KN A R R I È R E ; CE QU'ONT CONTENU LES LETTRES A FRANÇOISE.MAEIÎ:E. — DU MYSTÈJEU! QUI S'iCCOMrilT ES VOUS- » Or si reniant peut demeurer éternellement cela ¡jour les poètes il ne le demeure pas pour les parents. Le poupon grandil très vile. Il est soumis il l'épreuve des maladies. Il cause des soucis, II devient une petite personnalité humaine pourvue de qualités et de vices II Im Iaut apprenSre, travailler, généralement à contre-cœur, et parordi'e du lièreet de la mère. L'éducation terminée, l'enfant quitte la maison paternelle. Aile, pour le mariage, garçon, pour lo métier : et voilà rompue 1 union passaKère avec les parents. Oui, rompue, vous le save» bien : la loi du développement individuel l'exige. En sorte que vous, père et mere, vous n'avez eu vraiment votre enfant à vous que pendant un ternps très court par rapport au temps de votre union d'époux. Je sais bien qu'après un enfant, il en peut venir un autre, puis encore d autres : néanmoins, sauf des cas bien exceptionnels, surtout en France, 1 cniant ne sera jamais qu'un passant dans la vie conjugale. Passant de marque ; passant privilegié, passant souveram au moins pendant q u i l est «poupon* - passant tout dc même, qui, certain ¡our, quitte ses hôtes et Va vers son avenir. ' . „i,,;^ XXIV L'ENFANT. — JJMUE TOUJOURS LA D É F E N S E D E LA P E R S O N N A L I T É , . — CONCLUSION, De quoi vous parlerais-je aujourd'hui, ma Françoise, sinon de ce qni concentre et absorbe toute votre pensée : Ja inatcmité prochaine ? Sur n'importe quel autre sujet, vous ni'écouteriea distraitement. Kt puis, dans une série de lettres touchant le mariage, l'enfant n'est-il p a s un sujet primordial? Si, jusqu'à jjrésent, je l'avais'évité, c'est que je connaissais votre cœur, et son chagrin,secret, Sans que vous me l'eussiea jamais avoué, je savais bien que, dans la solitude, vous pleuriez parfois de n'être point mère. Je vous observais, quand vos yeux s'attachaient sur de petits enfantSj puis brusquement se détournaient. Un jeune ménage demeuré trois aris, quatre ans sans postérité, s'imagine qu U est . frappé d'un mauvais sort. Vis-à-vis des autres ménages contemporains, pourvus d'enfants, il se juge en état d'infériorité. L'accord conjugal fût-il cjDmplet, le jenne ménage sans enfants n'est pas parfaitement heureux,.. Est-il donc vrai que l'enfant soit le tout du maiiageî C'est l'idée de Fénelon, déclarant qu'on ne doit se marier, que pour avoir des enfants. C'est aussi, sans nul doute, l'opinion de notre vieux Code civil. lille peut s'expliquer e t se défendre. Cependant suivie à la lettre, d'abord elle ne mc parait pas conforme à la réalité ; ensuite je ia crois dangereuse aussi bien pour les parents que pour les enfants, L'enfant e s t naturellement roi. D è s qu'il paraît, on lui est asservi, m6me s'il n'est c a s «notre » enfant. 11 nous donne à tous l'envie de nous dévouer pour l u i , sans récompense ; et p a r là il nous met dans un état de générosité consciente, de satisiaction de nous-mêmes, dont nous lui savons gré, Si, en outre, i) est notre enfant, un puissant égoïsme nous relie â cette chair de notre chair. En lui s e personnifie l'amour conjug a l , le don sans réserve des époux l'un à l'autre. Il comble à l a fois nos instincts et nos rêves. C'est de l'idéal vivant. Aussi la poésie e.t la littérature ne se sont-elles pas fait faute d e le célébrer. Etudiez toutefois ces gloses enthousiastes : vous constaterez qu'elles chantent seulement le petit enfant, celui que Jésus appelait à lui. On n'enguirlande pas d e stroplies passionnées le lycéen déjà moustachu n i la • Pourquoi vous dis-je cela, Françoise ? Est-ce pour assombrir votre sáleü, pour brider l'essor de votre joie ? Ohl non... Mais premièrement, à la veille de la maternité, je crois sage de vous dire comme pour le mariage : « cela aussi est mie chose sérieuse s . Secondement, je veux pai-er d'avance, ^ pour ce qui vous concerne, — a un danger qui menace parenli et enfants, danger endémique dans notre pays; ÎVxcès de passion maternelle. Les mères françaises, au vingtieine siècle, ont voué au fruit de leurs entrailles un amour presque maladif A cet amour, elles se sont sacrifiées elles-mêmes ; elles lui ont souvent sacrifié l'amour conjugal ; et faa ement elles lui ont sacrifié les enfants eux-mêmes. Car, pour que l'enfant venu futj^lus lieureux, elles ont renoncé aux maternités futures ; et le bénéficiaire de ce sacrifice, gardé, couvé par les parents avec une jalousie mquiète s est souvent étiolé dans une vie médiocre, le ressort de son activité personndle brisé dès la jeunesse. • Il sera temps, dans quelques années, chère Françoise si vous me demandez conBcil),de vous mettre en garde contre Sexces de materni é au détriment de l'enfant venu ct des enfants à venir, Pour le moment (n'oubliant pas que mes lettres, depuis un an, conseillèrent^ r n a n ç o s e marie,), je vous mets en garde contre 1 excès de maternité au d c t n ment dù mari. Quels que soient la beauté, 1 honneur et le bonheur de votre nouvelle fonction de mère, elle ne doit pas empiéter sur votre fonction d'épouse. Je regrette de me trouver surce point en ««"Irad'Ç; tion avec Fénelon et avec le Code civil. Mais ]e voudrais vous pénétrer des principes que voici : ; I. Une lemme normale, à la fois épouse et mère, doit être plus épouse leur regard désenchanté. L'enfant, pour la littérature et même pour la sensibilité moyenne des humains, c'est, sans plus, le ¡joupon. Quand deux jeunes gens se marient, c'est bien au poupon qu ils pensent en souhaitantl'eniant : au poupon, c'est-à-dire à leur propre amour devenu vivant, hors d'eu.^-mèmes, réalisé dans quelque chose de frais, de sam, de joli, d'amusant, — dans un adorable jouet. I I ) V o i r Femina d e p u i s 1» a i i m i r o d u l i o c t o b r e H ) o 6 , '^''n!sacrifier l'époux à l'enfant, à quelque degré que ce soit, est un acte imprudent et immoral de ia part de la mère. • dis "• de ' la ' primaut irimauté de Ne criez pas à l'égoïsme masculin ; ce que je 'époux sur l'entant est également vrai pour 1 épouse : seulement, c'esi 457 - nuíiiia uoressuirc ;i diro. .'ai nn i:'.:iri ii'a naèíL' dc li·inlaiicr à í t r c pins pt-rc- que m a n . Quel m a n s'oppose à l'usage ronsrajit des cl-.irur,i;;cns : pn cas do p é r i l sacrifier ri-uiimt m m sauwr la mère [o ne siiis pas bien sûr fjue dons un si tnviiiqiic dilemme cerUiuiRS iTÒrcs n'hósircraicm p a s e n l i c l ' m i l n n t e t l e m a r i . C o s t cela qui est i-rr,ladif. C'est cela contre quoi il faut p r o t e s t e r au iioui de la Siiuté rnoraift. Que dc fois au cours de ces lettres, m a chère Françoise, j ' a i tâché dc vous libiivr'. dc nous libérer de la domination ries f r a u d e s phrases toutes faites, des i^ranris s e n t i m e n t s préparés à l ' a v a n r e , et selon lu formide, coinme des po'dous d u Codex !... E h bien ! la p r i m a n t e de l'amour m a t e n i ê l sur l'amour conjugal est u n e de ces formules dont il faut s'affrancliir. R e m e t t o n s I a m o u r m a t e r n e l , respectueusement, à la place qui lui convient : ia première après l'amour t o u t c o u r t , ou, si v o u s voulez, après l'amour conjupral. Ce faisant, n o u s aurons rendu service à n o t r e pays, qui souffre de l'mquiête m a t e r n i t é des Françaises et nous demeurerons dans la réalité, des choses. Voyez-vous, Françoise, l'amour, l'amour conjugal, c'est encore k plus a d m i r a b l e , la plus t o u c h a n t e , la plus féconde manifcsTafioii de la sensibilité h u m a i n e . L'égoïsme et l'altruisme s'v mélangent de façon m d i s c e n i a b l e : g a r a n t i e de sincérité et de durée, l / h o m m e uni à l:i lite s épure, s'idéalise ! U n e mère h u m a i n e ne s a u r a i t être plus a d m i r a b l e m e n t , plus d é v o t e m e n t m è r e q u e telle mére d u règne a.nimal : la logique du langage c o u r a n t , pour exprimer éloeieusement la m a t e r n i t é Ú une t e m m e , dit : r. est u n e (Mule e t son poussin,.. T a n d i s que l'amour conjugal est v r a i m e n t spécifique de l'animal h u m a i n , comme la faculté d analyse ou l'articulation des paroles. E t ce ne sera i"a.mais uu éloee que de comparer l ' a m o u r des h u m a i n s à celui rie leurs frères inférieurs?.. T o u t cela, Françoise, est p o u r v o u s dire q u ' à la veille d'un é t a t n o u v e a u il v o u s faut bien prendre garde à ceci : l a m a t e r n i t é doit resserrer v o t r e union conjugale, et non la relScher, comme il arrive trop s o u v e n t précisément d a n s les trÈs-bons ménages, et très épris. Aimer votre e n f a n t à t r a v e r s votre m a r i , et non l'inverse ; l'inverse est l'expédient des ménages médiocres. D ' a u t r e p a r t , soyez, à l'avance bien d é t e r m i n é e à ne pas vous laisser e n v o û t e r par la m a t e r n i t é . P a s plus que le mariage, l a m a t e r n i t é ne d o i t v o u s faire oublier que vous êtes une personne. Ce serait trop réduire le râle d ' u n e femme q u e de lui m e t t r e seulement en m a m le flambeau de la vie et d e lui dire : 4 Traiism e t s d e ! s. Non, non, c e n t fois non, la femme m o d e r n e ne doit pas être c o n d a m n é e exclusivement à faire k chaîne p o u r p e r p é t a e r l'espèce. t l I e doit accepter, chérir m ê m e !e devoir d ' ê t r e m è r e , parce q u e la m a t e r n i t é est l'épanonissement de l ' a m o u r ct le terme de l'évolution t é m i m n e . Mais c e s t u n préjuiçé de races r u d i m e n t a i r e s ou dc civilisations antiféministes que d e finir le rôle de la femme au m o m e n t où commence celui de la mère. Kéjouissez-vous d ' ê t r e mère, m a Françoise : m a i s g a r d e z - v o u s d ' a b d i q u e r p o u r cela votre r o y a u t é d'épouse et v o t r e p e r s o n n a l i t é do femme. Réaliser en vous l a plus parfaite image dn v r a i , d u bien, d u beau, demeure, a v a n t comme après le ma.riage, a y a n t comme a p r è s la m a t e r n i t é , le meilienr usage q u e vous puissiez faire d e v o t r e vie. U n e parfaite h u m a n i t é n'est point celle où c h a q u e i n d i v i d u agit coinme u n e cellule aveugle dans le tourbillon universel, Car 31 c b a q u c individu se b o r n a i t à être u n t r a n s m e t t e u r de vie ce serait p r o m p t e m e n t le r e t o u r à l'inorganisme et au chaos Vous relirez de t e m p s cn t e m p s , je l'espère, m a chère nièce, ce paquet de l e t t r e s , deja lourd, où, d u r a n t une année, j ' a i tâché, t o u t en vous conseillant de m o n m i e u x pour,le bonheur d a n s le mariage, de défendre v o t r e p e r s o n n a l i t é de femme contre les vains divertissements contre le terre-a-t.erre des occupations quotidiennes, c t enfin (qu'il me p a r d o n n e c est p o u r son bien !) contre le m a r i . E t r e u n e p e r s o n n e ! C'était la s u b s t a n c e m ê m e des conseils q u e je vons donnais, jeune fille • c'est encore la moelle de mes conseils à. la. jeune épouse qne vous êtes T o u t ce qui diminue votre personnalité, t o u t ce qui l'empêche de se développer n o r m a l e m e n t fait du t o r t , non Bcnlemeut à vous, mais à v o t r e m é n a g e . E t d'une façon générale t o n t ce q u i empêcbe ia femme d'être NOTRE LA NOUVEAU MARCHE A ROMAN L'AMOUR iunti le plus hiCt^o sens, une |icrsi)iijjr, i.iil ilii |iii¡ .i,. .^^ l'iuimanitc. Voll.à ma foi sincère. J ' a i déjà bcam-i.ii', écrii ponr^jp' 'i- ^ )(^ n'ai pas fini ; t a n t que j ' a u r a i des f o n c s , je i mit iimvnd. " \'ers l'affirmation ef l'accroissement de ia ¡ i r i s m i m iVjniuine év 1 roiit les mœurs et les lois du m a r i a g e , cria n ' i s t d o u t e u x p'^ coiiime de coutume, ce sont les mceurs qui préri'iU.|-|,n( j , , ^ . j • Jf'. l'élaboration des lois est soumise à des l e n t e u r s limif In v i c V m n i t ' nc s'accommoiie guère, C'est jiourquoi je vous ni d n . chère Franc'^''*^ « N ' a f l e n d e i p a s la promulgation ofScielle d ' u n Code civil !^'• pour réformer vous-même le mariage dans vr^ly,; n i a r i o r p T r a v o i ^ ^ continûment à affirmer, à développer votre pfrsiuinnlilé cr, a v a n t d'avoir lié votre sort à celui d'un m a r i . Mnis m- iieidéî ™ "ïî^ vue q u e ce compagnon de v o t r e v i e n e p o r t a g e r o s idi'.es et ' , p a r m t e r e t , 11 tient encore p o u r ic \-:I'un |CU, le jey du bonhomme Chrysale, C'est une H e n r i e t t e qu'il lui i.uu, p-^r peur sajis , , , votre présence continuelle, votre exemple. Proii\ e.í-l·ii q u ' . m e épouse moderne neuf avoir les qualités ménagères d ' u n e l l m i i c l t c sans son tcrre-à-te'rre, son défaut d'idéal, sa ¡jaxessc à ni->]iinulri-, son gros amour charnel et bourgeois. Ni ange ni 'bête, dit P a s i n l . Molière ditBête, résolinnent, C'est Pascal qu'il faut suivre. D'une main légère, vous r e m e t t e z ainsi, peu à jicu, les choses en leur vraie place dans votre foyer. Le mari n ' y sera p l u s infatué d'une k c h e u s e manie de supériorité que rien ne justifie, au moins dans la moitié des couples modernes. I l r a y e r a de son p r o g r a m m e marital le m n t : obéissance, appliqué à l'épouse; il lui préférera le m o t : accord. Il égalera á celui de l'épouse son devoir de fidélité. II a i m e r a l'intelligence et l'initiative de sa femme, devenue v r a i m e n t , son associée. Soyez sûr qu'il ne sera pas long à s'apercevoir q u ' à t o u t e s ces réformes, il a gae^né, en lin de compte. Quel hoiiime normal ne préférerait pour compagne u n e amie consciente, intelligente, cultivée, responsable, à une jolie perniche dont t o u t e la morale est limitée a u x barreaujï de sa cage ? Dans ce développement simultané de la m o r a l i t é de l a femme avec sa personnalité, le mari t r o u v e r a u n e annple c o m p e n s a t i o n aux avantages perdus de la fameuse 1 toute-puissance » invoqtiée par I05 barbes d'autrefois. Tels sont les conseils que j ' a i donnés à Françoise m a r i é e , sur sa dem a n d e . J ' y ai joint quelques r e c e t t e s p r a t i q u e s destinées à lui faciliter cette défense et cet accroissement de la personnalité d a n s le mariage. Nous avons examiné ensemble le cas épineux de l'infidélité conjugale. Nons avons m é d i t é sur l'amour, sur les q u e s t i o n s d ' i n t é r ê t , sur les relations, sur la tenue de la maison, sur l'intellectualité... N o u s avons v r a i m e n t bien gagné, l ' u n e t Vautre, u n peu de répit, m o i à v o u s écrire, vous à me lire. Les prés, pour l e m o m e n t , ont assez b u ; fermons les écluses, Aussi bien, vos préoccupations d u r a n t plusieurs mois, v o n t tout naturellement s'orienter vers u n a u t r e pôle... J ' i n t e r r o m p s donc, chère nièce, les lettres à Françoise mariée ; m a i s ja v o u s p r o m e t s de reprendre n n jour c e t t e correspondance de q u i n z a i n e q u e v o u s voulez bien goûter. J e la reprendrai quand Françoise I I , o u Maxime I I , cessera d'être poupon, un^ joli p e t i t animal blond et qui lui aussi ou elle aussi, gements semblent inimjnents dans la vie des individus e t des peuples : c'est la génération de Maxime I I , d e Françoise I I qui les v e r r a s'accomplir e t en sutiira l e contre-coup. Que s e r a p o u r e u x l a morale? Que sera le t r a v a i l ? Que sera l ' a r g e n t ? . . . N ' y rêvez p a s t r o p pour le m o m e n t , chère Jeune femme pensive, t o u t émue d u m y s t è r e qui s'accompli-t en vous. L ' h e u r e est à la n a t u r e 1 g a r d e z - v o u s d'entraiier son effort p a r trop d e pensée. Plus t a r d , l a pensée r e p r e n d r a ses d r o i t s ; ct je tâcherai d'aider la vôtre en écrivant tme dernière série de l e t t r e s ' à Françoise... m a m a n . (Fm.) MARCEt PiîÉvosT. NOTRE PROCHAIN HORS=TEXTE NOS PROCHAINS H Femina est heursutte d'-annoncar -4 sus lectrices qu'en même temps qu'elle continue la publication dc la îiame qui a perdu son. peintre, l'œuvre magisliale de son illustre ooUaburatcur, M. Paul Bourget, elle commence la publication d'nn roman aussi gracieux iju'émouvunt, Marche à l'Amatir, dû k la plume de M. Jean Ifadeline. La DcríTíe qtU a perdu son /jetrtire continue, eo quelque sorte, la série d'ouvrés brillamment inaugurée par les Leures à Framboise, eatrepri.io par Femina k cûté, parallùlament, si l'on peut dire, do son roman si passionnément suivi par ses lectrices. La Marche à V Amour, dc M. Jean M.ideltne, apporte une note différente, de ofiarme délicat, dans un mouvement qui on rend la lecture captivante-, I J séduction loiito littéraire decet ouvrage sera,i^'em/nn en est convaincue, particulièrement .ij->pr6ciéc. }S CONCOURS X Nous avions promis à nos luclrices do leur donner, celte année, six hors-texte d'Holleu. Nous îeur annonçons donc que la dernière pointe sèclie, qui complétera si lieureuseineut la délicieuse série dsa chefs-d'œuvre du maître, le portrait dc Mme J,, paraîtra dans lo prochain numéro de Femina. Notre concours de dentelles, dont l'e.^position a eu lien du 4 au 14 octobre, a été exûoptionnellemant brillant. Nous en rendrons compto dans notre prochain numéro. Rappelons k nos leotvicas que notre prochain conaour.; fPliiw. ftmSruîO sera consacré à la Pyrogravure $ur bois et aux Cuirs. L a envois seront reçus du l'J an 2'± octobre. L'Bi-position II. JEAN MAUILIMia aura lieu du i"' au 13 novembre. Vauieur de La Marche à l'Amour, ácrní Dans notre prochain numéro nous donnerons quelques hemina commencera la publication daas son naméro du J*i ríñoemhre. détails sur le 'Tournoi de pofeie ot is.ur la FOto dc la poésie tèminine, qiii aura lien avant la iln de Novembre, ^1 - 'u ¡3 Du Théâtre ati Tliéâtre en passant par le Café-Concert. tions ! Quoi, ja Cfuíttais un tiiéñtro, un vrai théâtre ponr enber au caié-oonccrt ! Fi donc ! je tins bon, et avant il'uBcr altronter 1' » Eldorado» (de Paris!) je m'essayai.? i Lyon, Qui'l four, chère madame ! On mc couvrit de sifflets et de huées et je dus partir avant la lin de mon engagcmiint <douze jours). Tout le long du voyage de retour, je pleurais à chaudes larmes. Cependant, je débutais sn septembre à l'Edorado, ot au bont de trois .semaines, on me prop:Ka de résilier.,. .Mors ce tut du eh.iBrin... fin gran:i...dn vrai ; J'allais u l'Erton Concert ; Ij un uic défendit formellement de chanter les chansons do Xanrof et dn Chat-Noir, que je venais de dénicher, ctiansons qui, oint; mais plis tard, faisaient ma réputation. C'fist à cette époque qne je m'aparçiis d'un curieux effet da macfuillage. Scion lo dessin que je donnais à ma Mnif. Yvette GuUbouclie, j'avais ou non des bert à ses dêluts, applandisscmeiiSs. J e mía alors qu'elle icuifti afee un. trots mois à trouver la clé retentissant triomphe ses du mystère, puis un jour, Atijouri'kiíi, Mme Ypelie GniHen dechartsaiis gui firent sit remmmée universelle... Mn ce temps lè, Apris une to urnieY fette Enfin, elh interpreta, un ami venu m'cnteiidre me nani Vinterprite de la Revanche et Mme Yirelte GuiïbeH portail de Gidlbert reparait devtmt Van passé, à Bruxelles, dit: « C'est curieus, quanti de la Belle, pièoes àe M. Louis Àruis, grands gants noirs devenus légen- le publie parisien, dans te i-Sle principitl d'une lu as la bouche augmentée au, Théâtre de Variétés. en épaisseur, les choses les .les anciennes. de ses p i t e s . (Uires. plus sentimentales o n t l'air folteiiieut gaies. J'avais compris. La mams chanson de pince sans ru'e dite par moi, la bouche non maquillée, est Yveife GtiUbeii, qui revient aux Variélés, te Ihéâtre de ses déhtits, raconte ahEolurnent triste, si j'épaissis mes livres i jo n'ai Joesoin d'ajouter aucune aux lectrices de " Temirta " comment elie débuta au ihéâtre e / ce chansoTis cfuefut sa cariière de chanteuse. — Ses espoirs pour demain. 'AI commencé par étudier l'art dramatique en 1887,chea Imndrol, puis, un beau jour, il m'envoya à Abel Ballet, directeur des Bouffes du Nord, qui fut terrifié (ie naa 'timidité ~ et de mon audace. J'étais — timide a la villa at audacieuse â la scène. ]3n huit jours de répétitions haolées à la (lialile, j'avais appris le rôîe de la divoliesso de Wavsrs dajis la Rdn^ Margot, Rien qne ca t Mme Lévy-Ijeolerc jouait la reine, et parmi les acteurs il y avait Ibcls le dessinateur, Gemier, Duplay, aujourd'hui directeur cle Clnny et Castillan. A la septième rijrésontation, Marx, qui était directeur (Je Cluny, à l'époque, vint me voir et m'engagea immédiatement jour .roinplacer uue semaine Acianasouffrante; j'acceptai avec enthousiasme. Quand mes représentations sur la rive gauche tnrent terminées, ou me recommanda .'i Brasseur pire, qui me prit is son théstre pour jouer les levers de rideau .qu'écrivait alors Albert, son fils, J'élais un peu navrée dc ne paa réussir p b s rapidement ; je filais aux Variétés ; ]k, je jouais, deux saisons, des patit-s râles, i coté do M d l h à c ^ e ï ï u i t o S ' ï f J^^^^ mTprir'ent un'brïn. un tout peut" brhi en considéraiion. L'été venu. Baron m'emmena cn tournée et Meilhac me confia le car J'avais aéjè. voyage charmant la gentillesse de .i Iiiala c'est à cause de lui que moyen "de gagner m a Y>U C W . ^ ^ ..... 2U0 francs par mois ; je profitais des vacances pour aller andltioniTer à l'HIdorado, C'était, par une oumée d e soleil, — mon porte-bonheur : et c'est pourquoi après une a u d tion ja sortis aveo un engagement do trois ans qui débutait t 600 francs par mois, j'étais folio de. joie, A cette époque, j'habitais Asnièras, et pour ne pas attendre l'iieure dn train je partis a pied afin d'annoncer plus tôt la iionue nouvelle à ma mère ! Elle me regarda avec stupeur, les larmes aux yeux! Commentpouvaft-ons'engager ailleurs quand on avait un dédit de dix mille francs à payor .lax Variétés I J e n'y avais • pa$ soDgySt Je mo mis à sangloter et pour m e consoler raa pauwe maman me répétait qn'aveo une voix pareille, c'était impossible d'espérer lin succès de chanteuse. EnHn, à l'entendre, c'était de la folie. E t tous nos amie et toute ma famille firont ohorus.Gapeudant des camarades allèrent trouver Bertrand, directeur des Variétés, et i) consentit è n é pas exiger mon dédit ,• on m e laissa partir en accompagnant ce départ d'une loulo de prédic- oontrôle. Bn rentrant i Paris, je rompis mon engagement avec ' petit à petit, je payais mon dédit. J entrai au Conos/t Parisien, puis JK retournai au Casino da Lyon qui, dix huit mois après l'algarade de mes débufs, ma donna par jour, au lieu de 40, pour écouter les mêmes chansons. Alors, Paris me féta, mais tous ceux qui m'avaient vue uulttai'les Variétés avec peine, et m'en faisaient le reproche, continuèrent à m'atfu'mer que mon sucoes de chanteuse no durerait pas. i Jouer, donc la oeniédie ! » c'était le refrain quotidien, au moment même où j'obtenais comme chanteuse les plus gros succès. Ah ! j'en ai entendu ! Or, j'ai attendu seise ans et j'ai entendu seise ans les mêmes refrains,—j'en entendrai d'antres, je le sais, l i t me revoici h oe théâtre des 'Variétés tout lein de souvenirs d'une jeunesse qui ne demandait rien, ni le succè.s, ni argent, ni la gloire, mais le pain quotidien. Le destin aans doute fut touché de tant de ujodestie, et je rentre è. ce théâtre avec Albçrt'-Brasseur et Guy qni jouaient avec rnoi cn -1339 aux Nouveautés ; deux ans a v a n t mes débuts comme chanteuse I Vais-jc retrouver dans mes essais'prochains les mêmes critiques, les mêmes découragements, les mêmes désenchantement» qui furent mon lot à mes premières ch-insons 7 Peut-être ! poiirquoi pas ? Je me suis essayée en janvier à Bruxelles, dans une pièce dramatique de Quiraud et Jean de Huix ; par deux fois la Belgique m'a eneouragée, mais o'est huit o u dix râles qu'il me faudra jouer avant de savoir ! Une vie d'artiste doit connaître tous les déboires : j'ai connu ceux de l'argent, ceux du travail, ceux de la santé. Les critiques et les éloges me laissent raisonnablnment clairvoyante. Le succès n'est pas toujours le Ijon point du » parfait », pas plus quo l'insuccès n'est la preuve de l'échec, liais jesuis oonsoieiioieiise et tenace ; je ne mo contente pas d'un ou deux efforts. J e vais débuter à Paris, c'est soulement après une diy.aine de râles différents que je saurai Ki je puis être la comédienne qu'on dit que je serai. Si oui ? tant mieux I si non, tant pis ! Et puis après I j'aurai passé des mois tort agréables, appris tout de même beaucoupd« choses, utiles encore à mon a r t do chanteuse: jo n'aurai donc pas perdu mon temps. Le soir de mes débuts aux Variétés je repasserai ma vie d'artiste. Je me souviendrai de mes découragements de chanteuse sans voix, sans beauté, sans grâce, dc mes chap-ins, de nrns renvois de partout, des sifaats de Lyon, de ma résiliation de l'Eldorado, des faiseurs de couplets I.êOO francs F _-i gentil . . _ . _ d'avoir du talent, quand on débute dans un art, il faut avoir eontlanoe courage, Yvette 1 » Vous verrez que j'en aurai... (U - Du Y V E T T E GUUJIÍEIW. 'u ¡3 3 •••• ï . - = ^ L'HEUÏ^ jyniot, apris la. saison de DioaviUe, la saison de Bisrriu piii . i i d i son , ]>iàn'. e Troiitiiili, ^ chaudes et de quelques soirs liHes ei f.alme.t. Toai nomme Troiifii ^ Il * d'Uigances^f^ ^ el e est, sur la terrasse gui ttorde la mer. un éblouùsetnent 1 d'éléeai deux mas de plage, de montagne au de ville d'eaux. Si Si dans •a (U - JE B I A R R I T Z " , . , Ics Parisiennes viennent profiter encore, sur la côte des Basques, de guelffies journées tnlieurc : midi el demie, rue de Paris, Siarnta a également la sienne : S heures a-et-oieni continuel.. On lance déjà les modes prochaines, on se reifOUoe_apres eSsKiopotiie c'est toujour.'! un peu Po.ris qui apporte sa nom eison parfum. •a >^ 'u ¡3 3 LB BALCON DE '-FnMINA'- Le Triomphe L ' i M A ï E n B , autrefois, était une espèee d'humanité très dissémiuée, limidê, qui oe se hasardait jamais, eu presque, i. livrer au publie le produit de ses veilles et de ses exaltatioiis. Les temps sont bien changés ! Le m o t d'a/recKur n'a plus aa signification p,-is.iée. Il pourrait même ac plus exister. Les amateurs étaient des gens du monde qui avaient pour passe-temps la peésie, la musique ou la peinture; ils continuaient à pr,-¡itiquer dans 1 âge mûr COÙ aris d'agrimcni qui sont lo cauehomsr de l'enianoe. Lorsque les talents qu'ils s'attribuaient étaient loin d'être aussi éclatants qu'ils le supposaient, leurs amis on souCTraient quelquefois, ils avalaient des heures d'exécrable musique, de chant atroce, ils devaient accrocher sur leurs mups de pauvres aquarelles; — mais, au delii d'un cercle relativement restreint, leur génie demeurait ignoré. Aujourd'hui, les amateurs n'entendent plus végéter i l'ombre, ni que leur situation mondaine les prive des agréments de la popularité. Ils veulent des consécrations aussi retentissantes que les artistes qui vivent uniquement de leurs hémistiches, de leurs mélodies et de leurs toiles. PAR Al.BERT des Aujourd'hui, pourrions-nous placer au rang d ' i amateur » cette jeune princesse de Branoovaii, comtesse Mathieu de Noailles, à laquelle Mauric* Barrés, dans la dédicace du Votjage de Sparte, dit : « ... Jadis, vous avez vécu dans l'Ereehtéion avec ies .jeunes rilles qu'on nommait les i porteuses de rosée n. On vous entrevoit, dans la procession, qui teñe?, de vos deux aiains le voile d'Alhéna ; e t les jeunes gens de Platon vous ont appelée : ma Soeur. » Que de poétesses nous a valu la jeune gloire de cette Ï avisée petite-fille d'Ulysse J) ! L'admirable .ibandon qui se dégage de sos poèmes a fait croire qu'il sufiisait d'ctj'o émue quelquefois devant un verger doré par l'autojn'ne et mûrissant sous le dernier vol des abeilles, poui se transformer. — de Parisienne mondaine e t accaparée par tout ce qui étourdit fes jeunes femmes dans l'existeiice brillante que leur Crée la société et les modes, — en poète sublime. La postérité sera sans doute p^lus avare de ses lauriers envers quelques^ tion et les sources d'imagination trop productives font naître chez les femmes ! ÍÍ ,? Les Revues littéraires, toutes sortes de périodiques, de quotidiens et . d'illaslrés, Femina même, — en tête, — ont aidé, dans le monde féminin surtout, à cette effervescence spontanée des qualités littéraires et artistiques chez les gens du monde. Lea hommes ne cèdent rien à leurs consœurs, pour la multiplicité des dons e t l'énergie avec laquelle ils les font valoir. Mais, tandis que c'est surtout dans la poésie ot le roman que les femmes trouvaient leur voie, les hommes ont pris les chemins les plus différents. On en compte a u t a n t parmi les musiciens que parmi les auteurs dramatiqtie.?, les essayistes et los levujstes ; ils se sont faits reporters, chroniqueurs, nouvelli.ste.5 ; ils font jouer des drames au Grand-Guignol, confé- Amat^-iurr^s rencient k la salle 'i^a^sm et donnent dos l).-.n(r..nn,.n. s sur des tréteaux de Montmartre, ii moins que les tv.ifíiin"í di^s restauranis du Bois ou des casinos è la mod[' n" pr.ipagent leurs valses et leurs mélodies langoureuses. , De m ê m e que peu d'hommes de lettres prodmswont.iutantqnc la cmutesso de Martel (Gyp), cette satiriste exquise, de Hiême pou dc sculpU-ur-; .¡nt, en quelques années, donné les marques d'un labeur plus acharné que ce |)rmoe Troubetzfcoï, dont les statuettes si étudiées, les fjgnrine.s équestres compten t parmi les œuvres les plus remaïquahîes des SalonsD'autres se sont mis à sculpter des marrons, on peut en vmr chaque hiver au Cercle Volney... ; comme l'on peut aller regarder, sur les cimaises dn petit Salon de peinture placé à l'entrée du Concours hippique, lus études de chevaux, les scènes de plein air exécutées par des sportsmen. Les critiques Consacrent des lignes anssi c o m p é t e n t e s , aussi détaillÉ&s è ces petites exposition-5 d'amateurs présidées par M. Fournier-Sarlovèze, qu'ans Salons à co.ê, où ne figurent que des professionnels. tr Pour mériter ces faveurs, ils se sont mis au travail avec acharnement. Ah ! je vous réponds que, pour eux, la poésie, la peinture, la sculpture, la pyrogravure, la contre-point, ne sont nt des aris d'ugrsment, ni des passetemps 1 Il n ' y a pas de littérateur aujourd'hui arrivé qui ait fourni de labeur aussi opiniâtre, aussi considérable, que certains do ces arnalews. Ils concourent pour les pris à l'Académie et ceux du Salon; ils ont lear éditeur, leurs marchands de tableaux, Inirs agents: bref, ils sont arrivés k vendre, eux aussi, quelques éditions ou quelques toiles, et k ss faire jouer sur des Scènes et c a r des directeurs qui n'étaient pas tous do hasard I Ii faut dire i leur éloge, et pour justifler la place ace qu'ils ont o - prise, ^ . . que . . amais on ne vit pareille quantité d'artistes dii monde dans toutes les liranohes de l'activité, produire aussi généreusement, et avec des dons aussi vaj'iés et marqués. Dès qu'il y a talent, lo qualificatif d'amsteur, qui est toujours pris dans un sens plutôt ironique, cesse d'avoir sa raison d'exister. S'il fallait nécessairement, pour qu'une œuvre Mt déclarée géniale ou remarquable, • que son auteur -soit né de parents obscurs et pauvres', il faudrait rayer des tablettes de marhro do l'immortalité, les noms de La Rochefoucauld, de Fénelmi, de La Bruyère, de Mme de Sévigcé, de Mois de La Fayette, de Chateaubriand, de Mme de Staël, de lord Byron, du comte de Vigny, etc-, etc. Pour ses contenipûi'ains, au début de sa carrière, le dandy Musset devait-il pas n'être qu'un « charmant amateur a'.... FLAM/i^-l fl n CaiLS quelques années, le mot amateur aura cessé d'être, gràoe aux amakurs eux-mêmes, qui lui auront enlevé tout caractère. Ils o n t pour J répondants u le comte François de Curel, comte de l l u n , le marquis de Vogué, le comte Vandal, le comte Kobert de Montesquieu, le marquis de Ségur, le comte de Guerne, le comte Vincent d'Indy, le comte Henri de Saussine, le duc de Massa; le Prinue Antoine Bihesco, etc., etc. ¡ et, parmi les femmes, des écrivains qui surent étabUr des réputations dès maintenant consacrées et qui s'appellent; la duchesse de Rohan, la duchesse de la EocheGuyon, Mme Faure-Goyau, la baronne Je Baye, la duchesse de Brîssao, la comtesse de caiabannes-La Palice, la baronne ds Pierrebourg, etc., e t c . Ge n'est pas à nous, ici, de dire ce qui restera dans l'avenir du renom de ceux-ci ou de celles-là ; nous nous contentons de les énumérer, afin de montrer quelle armée ils forment, — à laquelle il faudrait joindre, dans l'Art de îa sculpture, le nom de Mme te duchesse d'Uzès, née Mortemart, cette femme vaillante, aussi ardente que bonne ot iafatigabla, qui pi'é.sido l'union des Femmes peintres st sculpteurs, et qui, dans 1 Art oomme dans les sports, a toujours fait preuve d'autant d'énergie quo do délicatcsBO, Il n a De tous les Arts il en est un, pourtant, quo nous avons dû oniottro, et dans lequel les amutevxs, à moins qufl quelque question do charité no soit en jeu, ne se sont jamais livrés aa grand publie ; c'est lo f.liéiiti'o. Le Monde, l'Aristocratie même, oni été, quelquefois, prendre sur les planches des étoiles de la comédie ou du chant pour en faü·D dos baronnes ou des marquises, et même des archiduchesses, mais on n ' a Jamais vu ;ore de marnuise véritableahnrderla r a m n s d t . m n M i - f i BIIN TIORN . a , . I , . , r , n t.rf;,.T,o . j,*.j=-VI"V, D06 juu= g r a i J Q s e i i B t s qu aux emporiemoats et aux Simulations du corps s t du ^visage ; les perruques, los tards, les accoutrements que les gens du monde sont enchantés de revêtir et q n ils raffolent d'essayer daos l'intimité ou pour queiqno fête costumée, lea ont, jusqu'à urésent, retenus au botd d'un abSrtie qui leur procure de délicieux vertiges... Les préjugés d'autrefois, si complètement évaporés en Mcn des cas, subsistent siioore en ce qui concerne tes planches. On a réiiabilité avec raison les aiiistes dramatiques, qui sont à leur manière des lyriques, des poètes, des observateurs, des satiristes. ,,. Mais les gens du monde ae refusent encoró à monter sut les planches pour leur donner la répUque en des théâtres réguliers. Ils se rattrapent dans les salons ! Jamais ou n ' y a tant joué la comédie, l'opérette, lo drame et la pantomime. Quelques jeunes femmes so sont même mis cn tête de damer le pion \ la ^ambelli, et sont arrivées à des résultats surprenants... o fi e á Mais il manquait à ces amateurs, sinon la vocation, du moins certaine éducation que seules de longues étudas e t la pratique peuventmettre au point, Les conseils qu'ils avaient reçus étaient ruoimentaires, improvisés, et . les quelques leçons qu'on leut avait données étaient bien stiporilcielles. Ils pourront aujourd'hui coimattre U métier du Comédien ou du chanteur avant de paraître cn public, grâce il oe Consertiatoire des Amaienrs que Pentina vient dc créer, soua la direction générale de Mme la baronne Pierre do Bourgoing, pour le Théâtre, et de M. Xavier Leroux, pour la Musique. Professeurs de toutes sortes, théâtre pour les répétitions, rampes, décors, soufflour,wen ae manquera plus à Ces élèves mondains do ce qui compose la cuisine tkéâtrah. Ils deviendront peut-être les émules redoutables des professionnels; qu'un exemple aoit donné d'un peu haut, et nous verrons, peut-être, sauter des théâtres improvisés sur leg scènes régulières les charmantes Réjane, les Jeanne Granier de nos salons, — et îes noms ^'amateurs passer des catalogues d'Bspositions de peinture et des vitrines de libvaiïes, a u x voyantes affiches dos colonnes Morris--. —• Avouez qu'il n'y a plus que le trottoir è traverser I A L B E B T FLAWS·r- a> - L R te C O N S E R V A T O I R E Conservatoire des Amateurs ie "Temina" et 'A.ifNaMr.1 de la [ondatinn du tenue par Mine Amel, dc la CoCiiiiñurvutnire des amateufs, médie - Française, qui, en matière I avec les norns des persnnnade chanson, e&t non seulement iilfc qui v[;uli:nt l'artiste la plus jiierinoiisappi^r'er exquise, au gnflt l"-.ir oimcoura, a le plus ñn et le simlevi; une vérlplus l i t t é r a i r e , inhh- iaiisatiori el mais qui possède I.II:H a valu des aussi eu cuttc ma :iii|)riiltaliijiib sai'.s liève une inépuiliiiiilirij, tani, de sable érudition, ciirrespondants La classe : danse iniiiniis cf, ino:mde caractère sera nus, que de nos tenue par Mme (;iiiifri'ri> de la Mariquita, la plus liriîSEO quotidiencélèbre des profesni'. qji ont bi™ seurs de ballet, ViluliJ nous cencollaboratrice de saoïvr d'aimables tous les grands et spirituels l r succès et à latioles. A tous quelle on doit merci1 organisation des î^oiis avons ia"" MABiQuiTi. spectacles les plus une bonne nou- matiresse de balletde rOpéra-Coniijue, classiques, les plus a r t i s t i q u e s , c„tÏaMuI B velle îl annoncer professeur dc "Danses de caractère" oT,+í.^^ir.,^l,í, , « -_ si la mise au jour aujourd'hui, cella au Conseroatoire des Amateurs. dc tant de talents de la création do éclatants. Ces deux classes camdeux classes : la Chímson française plétoront admirablement les couis ei la Danse de caractère. des différents groupes réunis sous La première de ces classes sera Une D E S de •'Musica" A M A T E U R S ouvre deux ncuveiks classes aliiinnées et li'i.trioes des déparces mentions génériques : diotion lements, qui pourront ainsi, maigri et [léclamatinn. musique théorique, rélnifiriement, avoir renseignement musique vocale et musiq,ie instru¬ i t le guide sûr mentale. d'on maitrc autoNojfl tenons ri ri.ié. rappeler qne li: Nous rappelons nombre d^â ciêi'cs à nos leci,rioes que est Hmité (afin que pour tous les renl'e II soign o n i e :i t seigiunneiits coms u i t prjfitablo). plémentaires filles Nous enga¡feons n'ontqn'iis'adres-^ doiiunos abonnies ser à M. André etlectricus á s'insChariot, adminiscrire an plus vite. Iralour du ConserChaque coiir.i vatoire des .^mattompr.inrra. autours, SO, avenue tre les élèves, nn des Champs-Elynombre d'andisées. lonr.i illimité. Le Ajoulons que titro d'auditeur d e s explications donne le droit seront également d'a.s.<.i.ítí.r à la envoyées sur docc ll aa ss ss ee ,, sans y sans y „ n ; "i""' nrendre une part de la nomédi.e-Franç.aise, professeur mande, rlivertp Tînfin M de " Chanson " au Conservatoire xàv r £êroux; de.- Amaleurs. U pre.niercours directeur des étuàu Conser,aioire des musicales, a bien voulu se charger des Amateurs aura heu le lundj. d'un cours complet d'harmonie, Il nonentàre, u 10 heures. M. Lu.ctugue et contre-point, pour nos neuoe inaugurera ce cours. I Fête fleurie sur le B a s s i n d ' A r c a c h o n - J^a ftn dc la saison a ^^-¿^^^^JZ^t^'îJi^S^k^l^liït;í:^Z^ño^tJ^2^ LIS D É P A E T Cheoaiinkanl un miilel solide, aemmpn gnée de snn mari, Mme Paitl-Fran JVtimur se met en -oate pour gracir premières pentes du - Céani d.es Alpes P otrn la deuxième fois, Sfttie PaiilFi-ani N'amiir, la femme du pfiiilresi (ÇfiiUé.'vi·'iild'acomplir la périll'iisi; a-ic«ii:-inn du moul niiinc. En a l / i i i i K t f l enn-iriiiimée. elle e·^l fiarveniie à vaii cru Imis l.'s dlisiael'S, La l^itg'if'iir du chi'min muldi.Ti la rades^e dtïri r'ulies. la Irnitrise de la n-'ig'', ri'm n'a pu n-lvifiT son elTurl ti-nace. Kn C'Mïïpagnie d e aint mari e l de &'»n père, M. Val! . t . d ml c'èlail la SO' nsci'níi tn que l'un ff'ta. flli¡ a séj'aii'nè [irô^ d'une semaine â la cijue du plus liaul sommet d'Europe. PAasjQi! oiirFicn.!s La ereeanse eel large el profonde, " ^ " ' ï " ^f^nz h-amur. aidée ¿ ^"'^"'· ""'^ d'an eord à l autre sur une toute pelite marehs taillée dans la giaee. TJTP 0 in (U i 'o^ (rhol. Família,) _ lîM J'ALFIHISTÏ: ET aOTTLIBB,., UK UNE a i t CABiViHE FITTOHESQUE Mme Paul-Franz P/amur et amis qui Vaoeompagaaienj s étaient barbouillé le visage de suie paur éviter le coup de soleil. M"" PAUL-TOAHZ NATtirJK ' T U M C ™ , Cl, l ' I r o a , D ' A I S I Ï I I S T I I • JVe croirait-on pas que celait par coquetterie, que Mme Franz-Naaiw reoetait ce costume pourtant rationnel, de l'alpiniste qui ven affronter les dangers do la montagne. ca •a 'u ¡3 3 'a Une Ascension mouvementée Wffie Cflrfon ¡III aux lecirices de " Te/nina " ce que fui l'ascension qu 'elle vienl de faire avec Mme Silberer, pendant un ouragan. LE S^'ATOaCOPS DÎTAItT Mme Canon ei Mme Silbeeer se sont élo'ées de Saini-Chud pendant., un orage, il s'agissait d. monter rapidement pour éviter la tourmente. vait pas erioor''e gagné les hautes sphères, subit à cinq cents mètria- ce premior assairt, e t lournoy.ant sjjr lui-même, le vaitlatit petit ballon de q"alre 1 viDMriiEîfT, Mme Silberer n'espérait pas, oenl cinquante mètres descendit trop rapidement. Il fallut vermut à Paris, prendre place dans la nacelle donc ji'ler rrne assez grande quanlitó de lest pour rétablir un da r Ariane, un jour d'orage violent. L'ascenéqi'ilihre inrii.-pensable. sion moiivomenlée de l'antre apré.'-nddi nous valut Quilqiies inslanls après, les éclairs et le t n n n m i ; firi'nt une de oonnaltre des érnotJuns aeronautiijrjcs nouvwlles impórtame manifc^latmn. .se succédant ¡íans trêve. D"is-jc et pirisque aussi bien, nnus avons, toirtas doux, avouer que l i m e Silljerer parla de descendre, mais le.s arbres atti-rri sans tlonirnage, notre enlhousiasme pour ce d'un bols toutlii sur li-que! noirs pas.'îioTiS norjs tirent alianspr)rt iléliçiflux, luirr il'être dlmirnré, au oontrairu, est donner immédiatement ce projet. Je m'efforçais (loue de arrjirrrd'iirri plus profond, à causa même du danger teiilr l'atmosphère, l'oi'age d'ailloi r s n ' é t a n t pas asseï. proche voiiin quo nous avuus br'ové. pour noua faire corrrir dc sérieux dang·r.'!. .Sur cinquarileCertes, ceux q'ii sirr ia li-rrc eirrent àsrrbir la toiircinq Idlos'de lest emportés, i! nous en r-i'stait trrîiit'i-, c'était ménte, Corinureiil dos arig•isses pliisgramics queies asseï pour ne rejnindrts les régions infénétroa. Jfali,Té son petit cibe, l'Ariane est un viürrx rieures qir'après l'ouragan; nous avi.ms r o ul¡,>r, ur _ floa " PHI"lus de Wùr. — el un mécliant incia l t ' i n t douze cents mètres et nous étions dennt atnLOspliérîr[iis n'est pninl pnnr l'clTarer; sauà l'aliri des perturbatinns. nent,„, en raison Iemen „ même de la vinlence _ ilo l'ouragan, Quand la tourments se tut calmée, nous ceux des nñtres qui nous savaient parmi les nuées descendîmes. Ahl la dépense île lest pennoir'es cbargées d'éb-olricilé, eurent pour nous des dant les derniers moments fut particuliècraintes que nous n'avons pas éprorrvées. rement importante; nous étiims envctnpPuisqu'on me demande de dire aux lectrices de pées complèteitient d e orragc-i noirs très ffemmn ce que fut ce court voyage, Je ne me fais chargés et il s'agissait au.ssi de déCtmvrii' un coin paî tr'Op prier; d'ailleurs, d'ici peu, il y aura des faviu'able poirr atlerTir- Je jetais mon dévi·lu sur hislnires' de ballon, comme il y a des histuîi'es de un champ aiibout d'un bois assez imporlauU mais cliasaeet des liistoires d'automobile. Nous lasserirns l'ancre s'accrocha dans les derniers arbres ct un I ientet la curiosilè, des profanes, mais aujourd'hui, arrêt rrn peu lirusque .s'ensuivit. Rous le vent, puisqu'il en est temps encore et puisque ies ascensions róti'De riu balSiui claquait et,malgré l'abauilon (ic gardent une saveur île merveilleux i^u'elles ne tardedoiiie kilos lis li'tit, un choo violent se pr>iluiiit. ront pas à perdre, hàtons-nous de conter nos avenSlais tiorrs n'avr'tnsarrcnnemertt.wuffi-rldi'OeLte tures ; l'aventure de dêiix femmes en ballon et d'un descente rio pou brutale; le ilégon fiemen t tut r'avilain oraffc de septembre. piile et la pluie qui commençait ne put assombrir C'est à T'oecaüiiiu du passage à Paris de IL Victor notre ejiCullünte humeur. Parties à 3 11. 53 i)o Silbfrer, sportsman vinnuois bien connu, que la déSaiuL-Cloud, nous étions à 5 li. 20 à AloritliTtpart de \ Ariartc fut décidé; roi, Mme Silberer pourrait l'Arrrarrry; onirrte expéilltion, comme vous vovcz, gMÛter la Jiùe d'une excursion aérienne à Paris. Je fus et qrriserait banale si laviuleutu tempiHo de gri'de ravie d'être le pilule dé Gi-lte amie charmante que e l d'ea;r qui .sévissait sous notre nacelle n'avait j'avais eu li.> plaisir de connaître en Autriche, au lemps donné à cette'promenaile n n attrait panioulier. où mon mari était pr-ufesseiir à l'Aéro-Club de Vienne, Dois-je vous dire que MmoSilbertr el moi nous POUB DESCUtiDïtE C'éloït mou guatrièmü pilotage, si j'ose dhe, et étions enchantées? L'amabilité des persorinoa Let manœuvre de la soupape est délirât^, car il ne ma vingt-quatrième a.soensiou. iluit jours avant, accourues pour nous aider à puer notro ballon faut pas descendre trop vue. Lorsque la descente dans VAriune même, j'élais partie du Jardin d'Acclinous îaisait dédaigner l'averse. Certes, nous conesl trop brusque, on conjurs les effets de ¡o chute matation avec ma nsiutte, vieille aeronauta déjà, serverons un souvenir charmant d e cette ascenen jetant un peu de lest. puisqu'elle inontait en nacelle pour la cinquième fois, sion, mais j'atflrrne aux lectrioes de Fernina cims V Ariane fut donc gonflée au parc dc l'Aéro-Club nous ne sommes pas des héroïnes qiri bravèrent le oii'l en furie, loais dos de Frarroe dans des conditions e.xcellantes, mais le temps peu à peu s'assomaéroufliitjw qui ont coiinu la joie d'échapper à «n pulit dungeji. brissait, bien que les manifestations orageuses pussent semblor moins prochaines qii'nllcs ne Tiirent on réalité. L« départ eut linii smus relard E (U - 1 •73 'u ¡3 3 • LES GRANDES PREMIERES DE LA SAIS I vous ai vue, chéi'e m;idamc, oet. après-midi DE RÉPÉTITION GÉNÉRALE, AU ¡eux transi et bafoué, que M. Georges Berr a dessiné avec une ücirinr si |.;Mbalcon do la Comédis-Franç-aiso. Vous y avea RI COMME UNE FOILO e l DE fonde du comique; celui du vieux beau, qui juge que les [einnu-s M rire aussi fr.inchemant, dans cette même «all R, o ù AVANT VOTRE DÉPART. pas dc meilleure sauvegarde que l'amour, et que ití. N u m a a CRAYUDNR d nu vous étioî venue entendre Êlecirc, oela trait si juste : j'allais oublier la brave vieille gou venían le, que Mm,- K..IÍ, vous semblait assurément bien meilleur jouée avec son habituelle émotion. Et lorsoue j'ai évoqué tous ces IV1,.S.KI .1111qu'aux Variétés. Depuis plus d'un an, on ne nirtes, si nets, si Sympathiques, donl t o u s t e mots et tous les gi'stes iii.ricnl riait plus â la Comédie-Française, si ce n'est — ah I déeidÈoieiit, l'admirabls pièce qui encliante io public H <vn r.¡vil le dimanolie en matinée, quand on y jouait interprètes —, je me suis aperçu que si U trame en é U i l léger.'. |.' -ici .il le Malade iinagina,ire, mais tout le monde était si nombreux qu'il était presque impossible tic le raconter suis tMliir sait que vous n'allei jamais à la Comédieles auteurs. Française, le dimunclie, en. matinée, et que Quand je voua aurai dit, en oflet, qu'il s'agit d'une petite finn.iv. .1 IUP' vous n'ave'i de goût que pour les pièces cssenexquise petite femme, très amoureuse de Son mari, qui, eu a])¡>r.-inuiI uin' tiellemeol modernes. Or, vers ou'prose, le inlldélité de celui-ci, veut le punir à la manière deFrai.oilloil, c'e.'il-i'i-diie .ui Théâtre-Français ne vous oiTrît la saison derlui iiifligeunl la peine du talion, lûijis qui s'aperçoit qu'on ne punit l>;i5 tlnière que de graves nouveautés sur des sujets c e l l e façon un mari qu'on adore, même quand on y esl tomemeiil dei-idèo. intéressants, n ' e n d o u t o a i poiiit.mnis parfois vous ne sei'es pas beaucoup plus avancés et vous me direii,pnut-i~'tre: ni",»! raorosas. Comme je conçois que volve joie l u t n'est que celai « E h ! sans doute, ce n'est que oeia, c'est un souille,un lien. parisienne de sentir, sous l'influence magnémais il y a lout Ce qui est autour, tout ce qui ne se raconte pjs uu qui tique de MM. Robert de Fiers et G.-A. de serait trop long ii raconter. Gsr vous a v m bien senti que Y Amour vsiUe vit Caillavet, la maison de Molière se transporter, une pièce Bssentielleinbnt moderne, et vous savez pertinummen t que ie en quelque aorte, à l'autre bout de la rue de grand charme et la véiitaljle originiilité d'une pièce esseutistlement Richelieu, taije au boulevard. moderne, résident préciséitienl en ceci, que le sujet n'y est jamais qu'un Quelle joie et quelle délente! Aucun jire texte. effort nc sollicitait votre attentioa ; f J r J / - D / i r í í T '^'^st une note toute diiîérenlB qui cous fut donaucune complication psychologique ne L·A LJJSOJÍII'JJIT née par le théâtre AiHûtna, que Uirige M-Oéuiler. déroutait la parfaite et immédiate conan XiSiuire ^/it(,.«.Gemicr paut-Mre, u'avez-vous pas oublie les Demi-Sceurs, naissance que vous aval eue d«s personde M-Gaston Devore,pièce remarquableofiia haine des deux demi-sceurs nages ; l'esprit des auteurs leur prêtait perpétuait la rivahté l'afouciiB de leurs peres. M. Levoi'e semijle des " m o t s " qui partaient cooimî.de la vouer son talent au.ï examens familiaux el cherche ses sujets dans la mousse de oh.impagne; leur lantaisie .s bourgeoisie où, disait-tris sérisusenienl Théophile Gautier, le traglleur inspirai t des gestes imprévus.mals si \ que est quotidien. Dans i a Sacrifiée, œuvre torta et émouvante, spontanés, qu'on ne doutait point qu'ils l'écrivain nous montre ta famille Bau.iricourt ; trois ûtles, Franne fussent vrais,- leur ingéniosité les çoise, Sujannc ct Jeaniiiiie qui sOuLinégalorüeiit traitées parleur précipitait dans des situations cooassas, mère. Le père Baudricouft, Une soite ue ganuepe commarcialo, mais si adroiteiBeut dénouées qu'on s'en explique avec une uicoiisciauce absolue 1 la première flljc est n'avait point de paine à les supposer \ arrivét; au moment de la misère, on no s'est guère occupé naturelles. d'elle, on luUail; la seconde a marqué l'ère de la prospérité, Ijapointed'émotion venait justeò point de l'prdi-e ; la troisième est arrivée en surncnibro el ivlme Bauponr empêcher le rire de devenir fatidricourt aimait trop passionnéuient sa seconds lille gant, et te rire réapparaissait au moment pour garder un peu do teitdi'ssSB à oello-lii. Jsannine exact où Fémotioo aurait pu jeter un lérepliée sur elle-même, sevrée de baieers, esl devenue ger voile sur votre plaisir. Ahl chêrejolie •r^- • presque méoiiiinto ; elle voit aveo dos i e u x aigus los madame, quelle parfaite connaissance défauts do ceuï qui 1 eiilourent. Et toute sa sympapossèdent ces auteurs de votre état d'ânrie thie va BU ountrvîDaïtre de son pore, Dorville, un traactuel, qui n'est peut-être pas celui vailleur courageux qui s'est formé t o u t s e t d uno d'hier, qui ne sera peut-être pas celui de âme fière ot indépendunle. 11 tombe dans lo demain, mais qui est assurément celui salon des Badclricourt à la façon d'un boHdn d'aujourd'hui ¡ s i il expiimo do libres Figureï-voiis que j'avais (ait le projet opinions qui séduisent de raconter la pièce, non pas pour vous, jBaimine. c'est une gui r a v e s vue, ei. pour qui je ne l'aurais idylla îûrto à c6té de jamais asscü bien racontée, t a n t vous y lidylla tade deSuianno, ave-/ trouvé- de plaisir, mais pour des la préférée, â laquelle amies lointaines, qui n'ont pas, comme on •va donner les dots vous, la chance d'assister aux répélilions de ses s œ u r s p o i i r générales. J'ai donc évoqué devant mon qu'elle . épouse le Ws papier les personnages de \'Amour veille \ d'un fiíiancisr véreují, celui de la marquise, chère à Alfred de Roiíel, lequel a fait Musset, et que Mme Blanche Pierson croire a des millions. joue avec t o u t le charme de sa grande Grâce â Dorville, l'inautorité ; celui du bon abbé, non lamia do Roiiel est à moins cher au même Musset et oii k lin révélée, et o'esi excelle M. Coquchn c a d e t ; celui de la Sacriflic qui sera îa l'espiègle jeune fiile, que nous retrouplus heureuse; elle parvons mariée au second uote, jatira en Amérique avec louse au troisième, toujoius !e oontreinaîtro ; cette aussi spontanée et emballée union est approuvée (ah! quo Mlle Marie Leconte par les Baudricourt estdoncdélicieuse dans ce rôle); desemparés ot vaincus celui dû la tendre, triste et pdrl'óuergiesubverelve résignée maîtresse de piano, de leur fiUe et de leur consolatrice des afïligés, oO tatuT gendre. Mme Lara se montre si tonia Sacrifiée a remüharite; celui de l'élégante porté un énorme succès — jusIiOé par l'action sefréc «t émouvante mondaine, grande triet par la belle langue de iiiéatre que parle l'auteur. voie ot grande coquette, où u n e d é b u t a n t e , Il convient de rendre une éclatante " justifia au grand lalont Mlle Provost, a du prede Mlle Lély; elle a tenu ce rôle âpre etdiïricilo aveo une intoUImier coup conquis .ia gence et une flamme de grande artiste; M. Gémier a atteint la per-. placea la Coméfection dans le rôle de Porvillc, à la rudesse imprégnée de pitié. d i e - Française ; JUNT Suxanne celui du jeune M a r o E l L'Iíbuhetij;. Vevoyod, lacha,?premier, a p i r i msjíie comédienne tnet, brillant et P- S- — Je liens i slgnalflr tes débuts do MUo Dovoyod, i la rui vient da débuter enjôleur, q u e Ciiniiain-rrançaise, dans .'V'r·írp Jniiícxse, de M. Alfrod Capus. Cette exoelà ta Comédie FranI L Grand a joué lento oomidicnne a repris, le raie d'IIitêne Brillant, oréiS par Mme Bartet, çaisejdaris la reprise de aveo un naturel litle l'a Joué ivee un ta-ot jiartait et nne très jolie émolion. C'est lii un NOTRE JEUUESSE, d'Alfred si parfait; celui heiirsux débat. Mlle Devoyod est tout â fait il sa place ii h Gortidie- ' Capus, Elle y a remporté un Fi-snçaisa, qui ne ragrettira do lui avoir ouverl ses pûrta.i. très légitime succès. dupauvreamouc, /?.,„I-,,.,,-m.M;u«,a. M. <u '0^ • FJ'H. 'u ¡3 3 'a A la Comédie» Française : VAmour Veille. (U - I l E iV • ' ACTE ¿erajej' «cie, uni dès pUs ekarmuam scènes esl celie q^ae nous reproduisons. Elle esl jouU par Mlle Leionte st ' Mlle Phfost — prsinier prix du Conservatoire — qui o remporte un trOs vif succès. (ci. p. Sojcr) 'u 3 'à TaiUear quadrillé manon e¿ noir, garni de tresses de soie et de boutons de passeineiilerie. Ghapeaufeuire noir recouvert de taffetas. A U X C O U R S E S gn drap hleu pastel. Jupe dépassée d'unbiaisvelours;eitemeni afeo biais i^elours et broderies. Pampilles et grelots.Ckrípriíu avec phijnes el a/.greitee. DE L O N G C H A M P J upe rayée ilana el noir accompagnée d'une palito jaquette à banque fuyante de drap noir et bordée d'un galon de sni>.f7)ff.n™i(j|.uV(if.Pi iiliimes Brises. Tailleur rayé de deux tom de gris fonce. Jupe unie, jaquette à basque arrondie, bordée, toul le !.o ar. de galon. Peut eol de velours, .lahnl * irn^o». ^ ' Chapeau de velours fattveT Haute Culotte ënlourêe de ruban jauvc formant dernère à droite un gros nœud. ïtnmense àmazonê fauve parUtnt du ncsaâ et retoinhantàgauche. La V o g u e d e s Grands Chapeaux Quel((ues mots sur la coiffure. —.Différentes formes de iichches». les fournitures : plumes, -aigrettes eî ailes. — l e s couleurs et -çvs a v o n s beaacoup parlé toilettsa dans notro précédent numéro, a t nos coiffures sont an peu rostées dans 1 ombre. Elles mo paraissent cependant, bien que les chapeaux, s'annoncent immenses et à tendance légèrement oxeen trique; d'un goût moins barbare. La natte M t aujourd'hui partis intégrante de la ooiflilre de jour d'une îemme élégante. EUe est nécessaire, car elle soutient le très grand chapeau, dont le poids, sans son aide, semblerait trop lourd fe la petite tête qni !B supporte. Cette natta est fausse, hélas! car bien peu de femmes pourraient avec leur.s propres cheveux obtenir lo volume désiré, mais l'artificiel, ici, n exobit point k grâee, les coiffeurs o n t des doigts habiles, et, si un œil expérimenté ne s'y trompe pas, le commun des mortels n'y voit généralement quo du feu. JpÜment et hardiment coiQée, notre élégante peut relever la t ê t e , d'un air qui affirme : <i Tous ces cheveux sont à moi ! » Il V a diverses façons d'arranger les cheveux de devant, soit que i o n porte les grands ou les demi-bandeaux. Mais k majorité s'en tient au rouleau, qui, toutefpis, descend rnoms bas sur le front. Les petites bottolettes, qui forment un fouillis plus ou moins savant, plus ou moins délicieux, sont également Men portées. Au surplus,' nos coiffures n'atteignent pas encore l'amnlsur da celles du xviil» Siècle, mais elles y tendent, et il est temps de leur crier : « Casse-cou! H'allez N ^ A'ûofllurés'volumineuses, chapeaux monumentaux! Ces chapeaux seront des cloches, peudiUércntos de celles que l'on portait cet été. Leur bord ast court, sur le devant, ce qui laisse bien voir les cheveux, et je ne trouve pas cela disgracieux, au contraire ;, en revanche, par deirito·e, ils cachent aussi la nuque, ce qui parfois est un crime. Il est des oloehas de fornie qui se relèvent légèrement de cOté. D'ailleurs, le grand chapeau relevé sur le côté, dans le genre dea Gamaborough, sera fort répandu cet hiver. , , j v N'en doutons pas un instant ; 1908sera l'année des grands chapeaux.- • . ïrôs neu de feutres. Quelques-uns se dissimulent sous un large biaîs dc velours ; ce sont des feutres fiontcux. La gralde vogue est aux étoffes collées ; velours, satin ou nio.re. avecle dessous d'nne couleur ou d'uiie nuance différente, par exemple un chapeau prune ot violet — ces deux tous restent toujours on faveur — aura le dessous mauve très pSle ou même blanc. Ces sortes de mélanges nous .offrent des dfïets ravissants, i la condition, hien entcudu, que les couleurs ne • soient nas mêlées incongrûment, ,, . , , , En dehors du vioM,' dout la vogue ne durera pas éternellement, on a du gout pour le vert, un veri; asseï c r u , pas aussi criard cependant que le vert-Bmpu·e, et qui en yeloms donne de jolis reflets, pour k rubis, et surtout pour le blanc et le noir, aveo lequel ce qui est fort.remarquable, lve"rtrOTverde7coiSinar3"onslnT^^^^ â'aiilBurs', du succès de ces deus on arrive T„ \ , • teintes.,. Le Li. blano — et le nçir, rian d'aussijoli,- rien d'aussi d ^ t m ^ é surtout. ae aa vois pas de fleurs sur nos chapeaux d'hiver, .du moins pour le moment. 1,8S ohaJe na vois pas. de sur nos; chapeaux d'hiver, .neauxtrès simples se fleurs garnissent de gi'OS choux nmlticolOTes, ou formant camaïeu, qu'on placera trèssur simploL _ en mx panne un chaneau de feutre, en moire ou en satin sur un chapeau de velours, en mousserpanne sur u n chapeau de feutre, ._. . . Pour les chapeaux habillés, des piumes, rienme quesemble des plumes: line de soie, enfin, niais la mousseline de soio ici îort _belles'plumes peu pratique,d'autruches, gui Robe en drap olive garnie de bandes de eatin même entourent entièrement !e chapeau, cernent graoïeusement la col, et viennent négligemment ton ei de petits biais piqués. Corsage ouvert sur gilet retomber sur l'épaule. Une pareille pluJine. lorsqu'eSle est belle, v a u t une patitsiortune, car, quoi de drap clair. Eotiarpe, forme, noupelle, eri drap et q u ' 011 vous dise, ne doutez pas qu'en général elle ne soit faite de plusieurs plumes rapportées. On liberlv oUoe avec oifoértare pour les bras, garnie d efvoit toujours aussi les plumes défrisées qué je persiste fe confondre avec les petits plumsaux filés en franges. Grand ehapeau eloohe orné de oioldestinés à essuyer les bibelots précieiis de l'étagère, des aigrettes cliaianautes, d'uue légèreté et lettes et de taffetas. d'une finesse inouïes, des couteaux of. des îaijtaisies d'ailes do tous genres. Mais les ailas ne sont pas habillées. Les ailes sont pour les chapeaux du matin. Du chapitre des chapeaux, sur Jelual mes loctricss doivent avoir maintenaijt'des luinièréB suffisantes, je saute, sans transition; pour en dire deux motS à celui des manteaux aur lequel J'ai dû glissé un peu brièvement dans ma précédente ohronique u.-,iiwu, e u u n e ueux mo u , , Que nous offrirons les fourreurs, cette année? Des paletots très amples, e t fort pratiques, qui se lont généralement dans des fourrures solides et relativement peu chères. Les manches sont r a t é e s japonaises ; ne protestons pas f o p , p u % u e cela offre de ^grandes commodités pour L ™ e n f t e sur une blouse ou un corsage compliqué Pas do col en dépit du froid, des reveis différents ï u àes appBoations de broderie sur drap e t v e l o u r s p l u s ou naoms riche, mais toujours dans les tons vifs. 1HAI«I,-AH™ L'Œ^Î mm (U - • -a >^ 'u ¡3 L'Hiver en Fourrures Tikr et aujourd'hui. — La conquéfe de la coquetterie, — Du loup de Sibérie au poulain moiré, — Tiermities, renards el zibelines. Chapeau genre tyrolien, en. salin émeraude. La calotte est entourée d'un galon ancien et surmontée une L·iigue amasone défrisée noire. Chapeau de feutre vert glacé. La forme est un peu bergère. A gauche, une fantaisie, tris ntAuminsuse de plumes dc coq glacée vert et noir. L A tourriire a toujours ou tous les honneurs. Longtemps réservée aux princes, aux J princesses et- aux « gens de quahté j>, comme on disait alors, des édits somptuairas l'interdisaient au commun des moTtels, quels qne fussent leur condition et leur état de fortune, Ge n'est guère qu'au xvii» siècle qu'on en voit l'usage se répandre ; et enoore était-il restreint aux personnes touchant plus on moins à ia Cour et qui avaient perdu le respect ou commençait à perdre tous les respects, à cette époque — des édits surannés. Bile si; manifesta sous la forme de manchons ; des manchons très grands, très amples et qui étaiont destinés moins à abriter les mains des coquettes d'.ilors, quo les petits chiens dont elles raffolaient TJn manchon bien conditionné devait pouvoir abriter une nichée dc petits chiens ; et plus il y cn avait, plus c'était chic. Âu Ï V I U » siècle, grande extension. Lc goût de la fourrure se répand.soniisagesegénéraUse.Grandes dames et houT^ooiscs en portent. Elles vont i pied par la ville, rivalisant entre elles. C'est même la première fois que les fourrures vont ii pied, si l'on peut ainsi parler. Boucher, Lancret, •Wattaau, les peintres à la mode d'alors, en fixent, .5ur leurs toiles, la beauté parmi la convention de leurs oiels clairs, de leurs casoatelles glacées et de leurs avenues ouatées de neige, où le givre pique les arbres nus de Ses diamants. Des feinmee, tout enveloppées de fourrures, passent dans des chaises à porteurs enluminées au vernis Martin. Les manchons I! dorés », en loup do Sibérie, font fureur. M. de la Rayaièie procm'a à Marie-Antoinette, pour trois raille six cents hvres, une belle ^'arnitare de martre ; la même souveraiiie se montre eu traîneau, couverte d'une peUsse dc satin bleu doublée de renaild brun. Des queues de renard s'enroulent autour de sa ooillure, et son manchon est aussi en reiiard, mais blanc. Sous la Révolution les fourrures disparaissent. On était très <i Spartiate a, il Ce moment. Parures de « ci-devant », elles n'avaient que faire de se montrer. Elles auraient été décrétées d'accusation par los austères du temps. Le Directoire, plus frivole, encourage leur timide réapparition; mais l'Empire, avec ses fastes, les ramène complètement et leur fai t un triomphe. Nous professons aujourd'hui le inême amour des fôilrrnres que rimpéi'ati'ioe Joséphine, qui était une grande raffinée. Nous en possédons presque a u t a n t que de parures de robes. L'astrakan, l'hermine et la martre, qui étaient les préférées des élégances d e l ' E m p i r e . s o n t aussi nos favorites. Si nous avons renoncé au « Thibet», qui était une des passions du règne ' de Lûuis-PhiUppe,nous avons,parcontre,prig aux contemporaines duroi-oiioyen l'amour des zîbelines,que mit à la mode la princesse de Bàufïremont. Quant au second Eimpire, il noua n légaé avec l'Impératrice ISugénie, la loutre et le petit-gris en doublure, que nous employons f encore. Mais nous avons abandonné complètement le slîunlîs, qui était pourtant bien joli. La fourrure, de nos jours, n'est plus un luxe ; ou, pour mieux dire, elle est plus que cela : elle est devenue une nécessité. Cela explique que toutes les femmes en ont et que toutes en désirent... davantage. Il faut aussi ajouter que l'art du fourreur, les nombren.^: emplois qu'on lai donne, la façon donl on la plie a tous nos caprices, sont pour beaucoup dans cotto vogue, Le,5 lourrures so font aujourd'hui légères comme des étofïeg et so manient avec la môme souplesse ct le méma honheur. Biles se combinent les unes îes autres et Ton en fait des mosaïques, charmantes de grâce et d'imprévu. Les plus employées, cette année, sont les zibelines, les renards noirs et les renards argentés. L'hermine est surtout pripe en étoto ou comme garniture; on porto beaucoup plus de braitschwanz que d'astrakan, et l'on en fait mémo des robes entières. Du chinchilla toujours, le plus souvent marié ùi du velours ou à de p-osaos guipures d'Irlande et do "Venise. Celles qui nO peuvent s'offrir du breitachwanz — d'un prix assez élevé — trouvent facilement dans lo caracul uno fourrure tris pratique, moins chère et presque aussi jolie. Une charmante nouveauté oo cette saison c'ost le poulain moiré ou caraculé. Le poulain, jusqu'à présent, no s'était pas élevé au-dessus du rang do fourrure rudimentaire, autrement dit de peau-de-bique. On est arrivé — à quoi u'arrivora-t-on pas? — i lui donner les soyeuses ondulations du caracul, voire du breitsohwanz ; et le voilà promu au rang de toison chic. C'est ainsi qu'on arrive, dans le monde! Robe de visilé en Içile gris " fer Corsage garni de biais bleu pâle, sautachés gris, formant galon. Blouse de denieUe. Ceinture de • liberty gris. Double jupe garnie du même galon. Chapeau de tapetas ciel, recouvert de marabout. Les echarpes ou atoles se (ont do plus en plvs souples, On finit par les enrouler autour des (épaules oomme un tissu. Elles sont plus larges et volumineuses quo par lo passé, l'rés volumineux aussi les manchons. Ceux-ci soat lénéralement carrés et très plats. Les nichées !e petits chiens n'y pourraient plus entrer. Bu dehors dos vêtements et des parures, lalouiTure trouvera aussi son application dans les. robes habillées. Mlle Marie Leoomte nous en a donné un charmant exemple,à. la Gomédie-Françaiso, dans la récente pièce do MM, de Fiera et GaiUavet: l'Amour. veiUe. Elle porte une délicieuse robe de crêpo do Chine bleu-pastel, dont la jupe eet ourléo de chinchilla. Du chinchilla aussi souligne ies contours do la guimpe de tullo blanc et le bord des manches. Ella s'étend encore à nos chapeaux, dont elle cerob k calotte. On va même jusqu'à, faire des aigrettes en fourrure, Cela c'ast le comble de la nouveauté et de l'ingéniosité. Houreusemant il n'y a plus d'édjts somptuaires à redouter. Privées do la fourrure, qui ost, avec las perles, le meilleur de nos coquetterios, que deviendrions-nous, grands diouxî J'aime mieux ne pas y panser! ,'îAEimi. .470 •a lottOE non détratohiss mais dont la forme semble un peu ancienne; les garnitures nouvelles de galons, de passementeries, de soutaclies, de biais de solarlas ou de velours permettent des oliangements nombreux sans que pour cela oes robes sentent l'elîort de la transformation. Ainsi, pour sacrifier à la mode dss épaules tombantes, on dissimulera, sous un galon un peu large, ia couture de l'emmanchure dont on aura fait disparaître toutes las fronces. Les encolures, les bas de manches quijde courts, redeviennent longs, seront complétés par de hauts revers de velours où die drap soutaché, soit du même ton exactement que le tissu, soit alors d'un ton très tranché. Le noir dont on agrétaente à peu prés toutes les toilettes en ce moment, sara tout Indiqué pour nombre dc combinaisons car il a le très grand mérite do s'harmoniser à peu près aveo toutes les teintes. Le bas des robes qui seront défraîchies s'ornera d'une haute bande de valoura posée de façon telle, que le tissu de la robe semble retomberdessus, formantainsi une jupe à volant plat. La même garniture devra se répéter au volant ou au corsage, et, bieii (.ra'on ne craigne guère, aujourd'hui,la surcharge des ornements, je les conseillerai, au contraire, très sobres et de !a plus grande unité po'ssiWe. Pour les porter avec des 'jupes seules, on pouiTa imaginer un de ces jolis petits vStenieiits mipaletota, mi-pèlerines que l'onassortfracomme teinte à la jupe.mais en choisissant un tissu très diflérect ; ils sei-viront à coinmencei la saison fraîche ot pourront être exécutés par une petite ouvwère ou une femme deohamîire adroite i une des flgarines de cette ohranique nous donne un modela ds ces petits paletots ; et bien qu'ici la toilette soit complète, on peut sans difficulté cojiier co vêtement pourle porter aveo une autre jupe. • Un des costumes représentés ici est endrapd'uno vart-de-gris s fin et léger, rehaussé de bandes de velours bleu et orange qui s'harmonisent da façon charmante avec le ton du drap. Petit paletot fermé par des boutons et des pattes do passementerie. A la Trotteur en lainage épais, gris, à rayares jupe des repincés, disposés'en Costuma'en drap "'pert de gris "'garni de bUaes et rouges, garni, au^- rcpcrs, aux panneaux sur les pîis, l'ornent de bandes de velours ¡ora-nge el bleu. Petit manches et au has de la jupe, de bandes façon nouvelle. paletot fermé par des boutons et des petites de taffetas bleu. Userées de rouge. Grand de passementerie. Jupe ornée de repin.-.Cette oharmanta toilette est feutre-vieux rouge ai/ee touffe de coques de éis. Grand chapeau feutre vert, orné de complétée par un grand chapeau rubans bleus ct rouges. Q plumes ei d'aigrettes. de ientre vert, orné de touiïcs 9 de plumes do couleur bleue, avee aigrettes bleues et vertes. L'autre toilette, quoique plus classique, est la mode des modes, car cette **^°'''J^ ^"'^«""a également seyant vaste, si élégante, a toujours son charme. En lainage épais, gris, raj'é, omaux jeunes femmes et aux jeunes filles. Grand feutre vieux rouée rouge avec avec bré do filets rouges at biens, ce ccstume est originalement garai de bandes tonfTes do coques de rubans bleus et rouges. de taffetas bleu lisérées de rouge. [La fantaisie des^pbches, des revers et de <u - • Sn^'^^.Îif^f SlMPLIoii. •o >^ 'u ¡3 3 LONGCHAMP E T LA I ma courses de Longchamp ont été'de tout temps l'objet de la faveur dos élégantes. Dans co cadro charmant U et rieur, que ceinturent le Bois ot les coteau}; de Suresnes, tout co qui fait la grâce, l'esprit et lo bon renom de la haute société française se donna randen-vous ans. jours d'épreuves sportives. C'est généralement là aussi que les modes sont lancées chaque saison. IJB Grand-Prix, au printemps, et le Prix du Conseil municipal, en automne, sont choisis de préférence par los grands couturiers pour donner l'essora leurs récentes créations; aussi l'afQuence j est-cUe considérable et particulièrement coquette. Cependant le Grand-Prix a perdu un peu de sa vogue d'autrefois au profjtidu Grand-Stecple d'Auteuil. où les élégantes so portent de préférence pour faire admirer leurs jolies toilettes printanières. Par contre, Ijongohamp oiira cette particularité de se prêter à un mélange plus grand des différentes classes. La femme du monde y coudoie couramment, et sans en être choquée, la femme d'une autre catégorie qui, par définition, sembie destinée à fsjre l'essai de tous los chics avant qu'ils soient définitivement adoptés, corrigea' ou délaissés. Certains esprits trouvent cette fusion fâcheuse par certains cfités et il est certalu qu'on pourrait philosophar quelque peu sur ce sujet ; mais au point do vue les modes et des chiffons cela présente d'incontestables avantages- E t puis, il faut bien le dire, la femme da vrai monde sait très bien côtoyer certains milieux, sans s'y confondre,et sans rien laisser des qualités distinctivcs de la race. Enfin, l'amour du cheval excuse bien des choses! ! ; "Un rendez-iidus d'élégancés. — i e s habibiées du pesage. • Parmilesphis fidèles,on peut oitor en première ligne la prin¬ cesse Murât qiii ne manque pas une course. Très attachée aux traditions du grand munde on la voit toujours dans des robes d'une sobre distinction, la taille prise dans des corsages ajustés et, en hiver, dans de longues jaquettes. îlon moins observatrioesde la tradition, mais sachant cependant la concilier avec ce que la mode a d'acceptable, la comtesse de Maillé, la comtesse de la Rochefoucauld, la duchesse de Noailles sont aussi cíes ferventes de Longchamp. La jeune duchesse de Morny est toujours vêtue d'une façon extrêmement simple, qni oontraste avec ses anciens goûts d e jeune fille ; la prinoasse Ferdinand de Luciuge apporte au pesage le sourire de ses lèvres et de ses yeux et dos finesses de poupée la mieux habillée de Paris. Hlle se plait particulièrement aux robes prmcesse, I d'une hguo allongeante et qui, •< pour oette raison, l'avantagent. Les deux comtesses Zcgiieb' sont des joueuses emèrites, et toujours très en toilette. On rencontre presque à Costume pékiné ton sur ton. toutes les réunions la très Ja^iieiie à taille aourte aoec johe Mme Salvago, dont les basques formant pannectux robes font chaque fois sensabordés. Ckapeau de faille tion. Elfe porte généra" feuille rriorle " avee couronne lement de grands chade. magnolia et feuillage. peaux qui estompent .élicieusement son ftn visage de brune. De même les baronnes lienrj, Edouard et Robert de Rothschild, un trio de ravissantes jeunes femmes, sont des habituées de Longchamp; elles forment une adorabie gamme de nuances, l'une étant très brune l'autre châtain foncé et la troisième blonde oomme les blés. Très indépendante, la comtessa GuiUaume de Durfort a une façon à elle, façon charmante il est vrai, de porter ses chapeaux dans le dos ot do mettre au pesage toutes Cùstutrte de drap vert bouteille. JaqusU.e ajustée, fendue derrière ei sur les les gaîtés de sa nature primesautière qui ne connaît pas do con• eStés, entièrement soutachée noir. Manches courtes ornées de grelots dorés el trainte. La jouno duchesse i'Uzis reste oncoro très « faubourg Saintd'un galon brodé japonais. Macarons de passementerie. Jupe unie. Germain » dans sa mise;"mais ses grands yeux d'enfant, curieux et Long meni ct sur feutre tit de de Í oéiement r soMadiéé feront is. Jufj^-^; les eâtés. ifond ^ piolet à •a ff l MODE, E N 1907=1908 £teî rtcms, des ioikttes... ris mtièrelies depant Capeline de ars, grosses des manies. — H i e r e¡ auhurd'htii. Manteau de dmp " Suède " ouvert sw les côtés ttlmonti à plis sous une éíoífl emboîtant les épaules. Une patte avec deux gros boutons tr émail retient les plis du dos. Manches en oenîee teint, terminées par deu^ biais entrecroisés. Motiis passementerie. Col brodé d'or. Sobe de voih " framboise ', Chapeau de pantie noir, chou de liberté et marabout, qu'à terre o qni doQc ? une princesse t Non, la toute belle nomme Mlle Plessy ». mutina, corrigent la gravité de sa taille. Lorsqu'olls est de passage à Paris, Mme Plorio, qui est dame d'honneur de la reine douairière d'Italie, ne manque pas de venir passer « n après-midi à Longchamp. Son apparition y est toujours très remarquée, tant k cause de sa merveilleuse beauté qu'en raison da ses toilettes. Son mari lui a ouvert un crédit annuel de cent mille francs, chez un couturier de la rua de la Paix, et l'on dit même qu'elle le dépasse. On peut juger par co simple fait de ce que sont ses chiffons. Parmi les étrangères de marque on voit ' encore, de temps en temps, la duchesse de Marlbovough, n é e Vanderbilt, semblable 4 quelque princesse da légende, avec sa taille élancée et mince, et sa tête menue snr un long col aux gracieuses inflexions ; Mme Cornélius Vande»'bilt, qui s'habille aussi beaucoup ot montre do superbes colheiB de perles j Mme Dresel, une milliardaire américama qui pas.se pour posséder les plus beaux bijoux du mande, et t a n t d'autres encore! Cette année on a beaucoup regretté l'absence aux eouises de Mme Honri Lutelher que son éléganoe hardie et sa beauté mettaient tout de suite en évidence. On peut dire d'elle qu'elle était la femme la plus copiée de Paris, ce qui la contrariait fort, Est-ce à oo motif qu'il faut attr'ibuer son abstention ? Immuable, comme le cadre lui-même, Mme Legrand ; toujours ea tailleur. C'est u n e belle joueuse qui sait perdra et gagner avec sang-froid, non seulement aux courses, mais aussi au bridge qu'elle affectionne; Mma Estradère, princesse de Mésagne, la sœur du regretté prince Délia Rocca, est aussi de toutes les courses ; Mme ilulos Porgès, aveo sa beUe prestance at sa grande alUire, fait penser aux lemmes d'autrefois; à. oflté d'elle, Mme Jean Sterii a des ^-ivacités de personne qui veut s'eiîacer, passer inaperçue ; la marquise de Ganay est nne des plus anciennes habituées, et la comtesse î'abricotti est très en vue, surtout depuis qu'à la manière des feniiaes de l'aristocratie anglaise aile a donné le bel e-xemple d'une grande dame abordant résolumant le commerce, et fondant k Paris une maison de modes, dont la vogue s'est tout de suite emparée. La baronne de Forest continue à montrer aux petits chapeaux, même alors qu'on les porte aussi grands que possible, une adébté i toute épreuve. Mais la plus connue de toutes les sportswomen, qui n'a ^ jamais manqué une course de- ' puis ua tainps immémorial, c'est la comtesse de Tanlay. La République ou, pour mieux dire, le monde officiel, ne fournit pas beaucoup de ferventes des courses. Seule Mme Barthoa, femme du ministre de l'Instruction publique, y est assez assi¬ due; c'est une fort jolie brune, d'allure piquante, et qui s'habille avec un goût impeccable, et très personnel. Oti est-il le temps où la jeune Mme Thiers, coiffée en demibandeaux ot vêtue d'une redingote de levantine gris-perle, sur une robe de mousseline de laine, voisinait avec la duchesse de Galliera dans on attelage à quatre ? Quant aux actrioas, elles désertant de plus en plus le pesage. Sarah Bornhardt et Réjane qui y venaient autrefois assei réguUéreraent, s'en sont complètement déEÍntéreasées.Les autres out suivi leur exemple. On n'y rencontre plus guère aujourd'hui que dos artistes de théâtres à côté, pour qui l'art dramatique est le plus souvent un prétexte, j'allais dire uue excuse. Où est-il encore, cet autre temps, où le marquis de Mao-Malton venait saluer jusCostiime ds drap marine, Longite jaquette demi-ajttstée et radieuse étoile nouvelle qu'on garnie ds tresse militaire et paséementerie. Faux gilet en „ _ braderie japonaise. Jupe plissée bordée d'une large tresse et CAmLtB DuaUHï. garnie de motifs en irem plu* itroiu. <u - • •a •>^• " 'u ¡3 Chapeau au soir, genre Gainsiorough en tulle tir, rehaussé de galons d'ar et orni d'un flot de paradis noirs. (Modèle Eenée Vert.) LA POUR 'L'hiver nous fail rentre!. FEMME Ckapeau dc pille en velours violet, dotiblé de salin champagne, garni d'tin galon d'or ancien et empanacha de plumes. (Modèle Renée Vert. ) CHEZ AIMER SA ELLE MAISON — Pour augmenter l'intimité du <f home ». — Les fenêtres el Us rideaux. Le règne des draperies légères, JS — J! Jf U rentre, on est rentré. Le (i home », nn moment abandonné, a repris sa gaité et sa vie. Il retrouve la douca atmosphère d'intimité qui se dégage de la pi'ésenoe des êtres; les meubles et les objets o n t secoué la tristesse dont ils s'imprègnent dans la solitude pom' se parer do cet air d'intelUgenco e t d'animation i . . . . . . . du ohoï. soi. e x q^ uise dehors t , . . avec ses ciels gris et ses premiers froids, on sent le besoin du petit ooin douillet e t chaud où les monotoriiea de l'extérieur n'ont pas de prise sur -vous. On se reprend il aimer l'appartement ohaulïé comme uno serre, et l'on s'attardo volontiers ii l'arranger, k le décorer, à l'embellir de toutes les façons, pour que le séjour en soit plus aimable. Même en ce moment on s'apphque à éviter de plus cn plus les lourdes dra; cries ijiutilos, qni Mtionnent trop les poussières et la respiration; mais on tire des effets charmants ct une part do confort des draperies légères. Ainsi, dans les maisons neuves, où l'on a une tendance à abuser des grandes portes vitrées, à petits carreaux biseautés, co qui iaciUte les indiscrétions do la domosticité, on voile ces viti'es avec du tulle un peu gros, sur lequel tm tend, de haut en bas et k l'aide de trùigles, d'étroits rideaux de soie légère. L'ampleur de ceux-ci est rattrapée, juste au miheu, par un ruban qui les noue; c'est là une façon toute nouvelle de les disposer et d'une joBo originalité. On allège également les rideaux des fenêtres. Rien n'est plus chic, pour uns chambra a coucher, què de,s' rideaux et le décor du lit en taffetas voilé de tulle blanc très souple e t brodé de gros pois. Ce décor consiste en on fond, généralement bouillonné, appHqué sur une hauteur do dense mètres cinquante environ, derrière la tSte du ht. 11 est iixé en haut e t en bas par des tringles. Ces tringles reviennent un peu sur les côtés, de façon à f o m e r un encadrement, ou, pour mieux dire, une sorte de paravent, dans lequel s'emboîte la tète du lit. Un volant de même tulle, très.froncé, contourne les rideaux. Le laiTelas sera jaune dans les chambrés des personnes brunes, vert clair, rose ou bleu pour les blondes. Le papier des tentures devra Stre, de Jam§me nuance e t surmonté d'une frise. Ce système est aussi commode que coquet, car il préserve de l'air, quand on est couchée, sans l'empêcher de circuler. JWme Carctto, dans lo Gaulois, annonce une nouvelle toile antiseptique, de.création anglaise e t enduite d'un apprêt spécial qui permet de la lavei' comme du linge, sans qu'elle s'altère en rien. Cette toile sert à tendre los TOILETTE n'iNTÈKiicB murs das cottages. Rien n'est plus élégant ni plus frais que ces perses fleuries et enrubannées, dont les vives couleurs rappellent celles des toiles de en ckaniilly crime. Longue tunique de Jouy. On en fait également pour les meubles des housses qui s'enlèvent cachemire kaki, formant traîne et et se lavent à- volonté, oe qui en indique l'usage pour les chambres ouperte devant sur la iupe. Elle est d'enfant. Dans le même ordre d'idées, ii faut citer une nouveauté américaine. disposée au corsage en écltarpes croisées. Las extrémités du corsage sont appelée à rendre de très grands services. C'est un tissu de coton épais e t souple, reunies par une bande âe salin kaki retenue ' par des topaies, ayant i'aspect de la moquette bouclée et quî se lave aussi facilement faoilemer ' que'les serviettss éponge. On eu fait des tapis de pied, des carpettes, des descentes de'lït ou des tapis de foyer, auxguels on donne , dessins du Smyrne ou de l'AubuEson. Il est à. peine besoin d'insister aur l'utilité de oetto trouv.iîUe, .. , . . quise recommande surtout pour les chambres d'enfant et les chambres do malades. Je disais t o u t à l'heure que l'on tend de pius en plus à, dégager les portes e t las croisées des draperies lourdes. Voici, pour le salon, un genre de garniture de croisée qui répond tout à fait au goût du jou,-. Ce sont de grands et amples rideaux de dentelle d'application, volantes on forme de la même dentelle: ils sout doublés d ' u n tulle noîr qui adoucit agréablement la clarté du dehors. Le soir, afin d'amortir les bruits extérieurs, on tii'O souS le rideau de tiiÛo un grand rideau en taffetas rose Dubarry, d'un ton très vif, sorte de portière ouatinée et doublée de satin noir; on la monte p a r des anneaux sur une tringle, avee un cordon de tirage, de façon qu'il puisse, pendant le jour, so dissimuler dans un coin do la, fenêtre, sous la dentelle. On ne peut s'imaginor le caractère de calme c t d'intimité qua donne u n tel rideau a u x pièces d'un appartement.. Les personnes qui ne veulent pas supprimer les portes ni les couvrir d e portières peuvent les orner d'une façon très originale et très riche cn y incrustant des panneaux de boiseries anciennes à sujet. Cela leur donne mémo un. grand air do richesse e t de goût artistique, principalement dans Iss salles à manger. Siu· les portes des chambres à coucher on préfère remplacer les panneaux p a r des trumeaux ou p a r des glaces biseautées. ' ,Trne autre façon charmante de tamiser l'éclat de la lumière sans avoir besoin de stores ni de rideaux, c'est, lorsque le dessus de la cheminée est fait d'une vitre, ça façon de fenêtre, d'appliquer u n e glace do l'exacte dimension de la vitre, qu'il suffit de glisser, le soir, dans des rainures, pour empêcher toute transparence é t obtenir robscurité, Sous rélectricité cette glace devient un ornement de plus. pEisaim. O m • • : ^i I -i LA DAME QUI A P E R E SON P E I N T R E ROMAN iNÉniT — Ahl ce poignard Mus intéresse?... C'est une langue de b œ u f donnée par l'empereur CtiarlesQu'mt, après Pavie, á un Varcgnana qui s'était dislingiié dans ta taiaîUc. Par B O U R O E T DE architecte milanais, Francesco Maria Richini, dans un style d'un baroque h a r d i et vigoureux. L'escalier énorme tourne sous, un plafond •auquel sont appendus plusieurs chapeaux de cardinaux. Les Varegnaca eu ont eu cinq ou si's. dans leur famille. Des bas-reliefs antiques s'encastrent partout dans les m u r s , et, s u r la rampe, de place en pluce, surgissent des vases de marbre. Les domestiques aliondent, attestant la'large vie du comte, dépensée tout entière entre ce palais, sa villa de Várese ct ses immenses domaines. Venu lui-même au-devant de moi. il se tenait s n r la palier du premier étage, avec cette politesse un peu cérémonieuse des vieilles gens de sou pays. Les larges portes des salons en enfilade, ouvertes derrière sa h a u t e silhouette, laissaient voir la profusion d e tap r e s q u e r a^c uu Í J ^ V Í H Í I L « L . bleaux, d e statues, de meubles rares, de tapisseries qui décorent cet appartement, oii il hani ciel clair, n i s-oleil brûlant, n i brise r é c o n h i t e à même ses admirables objets, salllaîre, car fortante, dans Sa déraisonnable et triste pensée! il ne s'est jamais marié. Mais j'imagine qu'il ÏII aura.eu, dans co facile Milan, quelque liaison à Le propriétaire actuel de la tendre Cassanl'Italienne, fidèle et passionnée. Si le comte d r a dci Rangoui p o r t e un noin, Madame, que Andrea n'est pas u n personnage de roman, qui vous connaisse!! p e u t - ê t r e p o u r avoir rencontré donc en est u n ? S'il n'a pas c o n n u d e secrets et à Saînl-Moritz quelqu'un de ses neveusc ou profonds bonheurs, d'où viendrait cette exprescousin.s. Il s'appeflcle comte Andrea Vai-egnaaa. sion songeuse, comme répandue sur cette phyD descend en t r è s droite ligne d'un Andrea VareHoana, liécapiCé s u r la place publique dé • sionomie si mâle, à laquelle un nez en bec d'aigle donnerait aisément u n accent alticrî F e r r a r e , le 12 du mois d août d e l'année de D'(ju cette douceur attendrie âans ces yeux grâce 1662, eu compagnie d'un prince Pio di bruns Larpi. Ils avaient comploté d'assassiner le duc Et ptiî , Borso d'Esté. L'héritier d e ce tragique personintimité t r o p _ nage est un h o m m e de soixante et onze ans autre emploi de ses facultés gui sont grandes? aujourdlhui, dont la h a u t e mine n'aurait pas Tout son travail aura consisté à classer les d é p a r é la cour du tyran q u e voulut tuer son trésors amassés dans sa maison p a r plusieurs aïeul. Tel j e l'avai.'; quitté, voici un q u a r t d e générations d e r i c h e s patriciens, amateurs d'art, siècle, tel Je le retrouvai quand j e lui eus fait à éliminer les douteux, à compléter l'ensemble, •passer ma c a r t e d e visite. Tel, ou presque. et à écrire ou faire écrire sur eux u n livre qui Il est tout b l a n c maintenant, mais il se tient si n'est p a s dans le commerce. J'en ai extrait la droit et il reste si mince ! La congesliou guette petite notice citée plas haut. EUe a été reson teint ti:op chaod, d'inuonrbraWes rideS cueillie dans une note d'un manuscrit de la lissent son visage, mais il conserve cette uoBitiUoleca Esténse kMo dène. Ce petit détail a son lesse de traits qui donne é ces têtes italienimportauoe, vous allez voir. E t maintenant, nes, lorsqu'elles ont vraiment de la race, une Madame, qne Je v o u s ai présenté le digne posb e a u t é indestructible.. Si je maniais la plume sesseur de Léonard, — vous aviez raison, cercomme l e crayon, ,ie vous dessinerais u n ü e r tains coñectlonncurs o u t r a i e n t par leur seule croquis de ce grand seigneur dans le cadre de existence les tableaux qu'Us ont achetés, ce vieux palais, rempli de trésors hérités. Ce j ' a r r i v e tont de go à notre entretien du premier n'est p a s d e lui que vons diriez, Comme de m o a •jour. Je vous passe les compliments, qu'en aa p auvre ami Michel Maycnce e t d e sa collection, qualité d'hôte, le comte "Varegnana cruf devoir q u a n d nous k visitâmes et qu'il était ivre do m e faire à l'influl, sur l'illustration d e mon nom, m o n t r e r ses Primitifs à une vraie dame du Faum a cravate d e commaudeur, m a future entrée à b o u r g : «Il n'est pas le propriétaire d e s o n m u s f e . l'Institut, mes aucierines ou nouvelles oeuvres, 11 en est le portier. »... J e rectifie. LepalaisVareet c'était des excuses infinies de ne connaître gnana n'est p a s très vieux, — p o u r l'Italie. U date tant de merveilles que par la photographie. de 1625 et il a été construit p a r le plus célèbre A h t cotmnc j e voudrais que cet absurde discours dont j e v o u s r a p p o r t e humblement ¡la folle fatuité v o u s t o u c h â t u n peu à cette placo secrète et t e n d r e d e votre âme, où pousse la petite fleur m a u v e d e l a pitié. Le ciel clu printemps italien développait u n azur bien lumlueux au-dessus d e l a l ê t c gri.se où c e discours se -prononçait. L e soleil parait d'une gloire l'adorable cité milanaise, les hautes et joyeuses maisons. Il mettait comme u n e auréole autour dvi cheveux des jeunes filles qui trottaient d'un p a s leste sur le p a v é sonore, et souriaient du s o u r i r e vincien, - - votre sourire — sans le savoir. Une b r i s e où passait l'êcreté fraîche des Ê (1) Voir Fiilîiina depuis le l" octobre 1607, i L-ACADÉMIE FRANÇAISE - - « Je n e suis qu'un p a u v r e provincial », disait-ih « J e ne suis p a s aUé i P a r i s deux fois depuis que vous êtes v e a u ici t o u t j eune h o m m e . Ce n'est pas d'hier. » — « Comme j e vous c o m p r e n d s ! », lui répondis-îc. « C'est moi qui n o voyagerais j a mais, si j avais votre palais, vos tableaux, votre cieL.. » • • Le Milanais hocJha sa fête, modestement. Les •Italiens aont ainsi. Ces éternels païens ont-ils peur, en se vantant, de p r o v o q u e r ce mauvais sort quo leurs ancêtres personnifiaient d a n s Néuiésis, l'exécutrice de la jalousie des dieux? Hedoutent-t-ils l'envie plus certaine d e s h o m m e s ? J'ai observé q u i l s o n t toujours u n recul devant l'éJoge excessif, et, dans oe cas, ite déprécient horriblement ce qu'ils possèdent êt dont, au fond, ils sont si fiers. — « Mon palais? x, dit Varegriana, « mais 11 t o m b e cn ruines. Ce ciel bleu? mais Milan, lliiver, c'est la Sibérie 1... En été, c'esr le Sahara 1 Mes t a b l e a u x ? j a les ai tant vus, et ils sont bien ordinaires t... » ~ « Et votre Léonard? Yous osez p r é t e n d r e q u e v o t r e Léonard est ordinaire?... » . J'eus à peine plutôt p r o n o n c é cette plirase destinée ù h â t e r m a visite dans les saîoas, et moû pèlerinage au p o r t r a i t de ïa D a m e qni vous ressemble, q u e j e crus discerner le p a s sage d'une o m b r e sur las traits et dans les yeux de mon interlocuteur. Sa main, — il l'a t r è s belle et il l a m o n t r e volontiers. — s e crispa s u r un des bibelots posés prés d e lai, et qui n'était autre qa'uu large poignard d e miséricorde iy poignée ciselée d'or et d'acier. Sans doute, ma question stu' le Léonard lui était pénible, car mon regard ayant suivi son geste, il'dit: — « Ali I ce poignard vous intéresse? A El, m e le tendant : « .Pavoue q u e lui, d u moins, n'esl paa ordinaire. C'est une langue de Sasa/donnée p a r l'empereur Charles-Quint, après Pavie, à u n 'Varegnana qui s'était distîogué dans îa bataille... 8 Puis, après u n silence, et b r u s q u e ment, comme quelqu'un qui j u g e p u é i i i d e n c p a s aller droit sm fail, si péuiblé soit-il : « Mon L é o n a r d ! On n e vous a a o n c p a s r a c o n t é q u e oe n'est plus u n LÉoti.ard?..... » — « Ce n'est plus u n L é o n a r d ? . , . » demaadai-je. iVIa surprise, qui n'était p a s j o u é e , p a r u t p r o d u i r e à l'aimable Itomme 'une impression d e soulagement. — « Alors », d!t-il, « on n e vous e u a p a s e o c o r e parlé?... Cela viendra... D'aiUeurs », — et son visage traduisit la détermination douloureuse du cûllectiontieur t r o p épris de ses objets p o u r ne p a s les ynuloir tous a u t h e n t i q u e s , « D'ail (U - • 475 •D >^ 'u 3 leurs, c'est j n l e u z ainsi. Du m o m e n t q u e j e sais, moi, q u e c e n'est p a s o n L é o n a r d , qu est-ce que cela m e fait q u e t o u t l e i n o n d e c r o i e q u e c est un Léonard?,.. Et ce n'en est pas un, h é l a s ! 'ienez, jugoz-on vous-même, m a i n t e n a n t que je v o u s ai ^ a r l é » U s'était levé, et, de son p a s d e m e u r é alerte, il m e conduisait à. travers son a p p a r t e m e n t . Nous a u t r e s peintres, n o u s avons tous plus o u m o i n s la m é m o i r e d e s yeux. J e m e r a p p e l a i s , a p r è s t a n t d'années, la distribution des pièces avec assez d'exactitude p o u r m e r e n d r e compte ue le e o m t e avait changé l e p o r t r a i t de place. 1 l'avait exilé d u chevalet o ù il figurait dans ce qu'il appelait sa íríbiine. Vous êtes allée à Flor e n c e , JMadamc, Vous v o u s rappelez, aux offices, i a salle octogone q u i p o r t e c e n o m e t ou r a y o n n e , d a n s la s p l e n d e u r b l o n d e do s a n u d i t é , l a 'S'éuus c o u c h é e d u Titien, C'est lù q n e les ducs d c T o s c a n e avaient réuni les j o y a u x d e l e u r galerie. Le comte, lui aussi, a des m e r veilles d a n s sa t r i b u n e : an Francesco Francia, e n t r e a u t r e s , qu'il s e r a p o u r t a n t dillicile de d é b a p t i s e r . Il est signé : Vinceittii Deniderii Volum-Fi-aticie Expressum Mana... Mais il ne s'agit ni de F r a n c i a ni d e l a t r i b u n e du palais Varegnana. Il s'agit d u Léonard — ou ex-Léon a r d . Son chevalet, — u n e merveille de lutrin ineuseiuent a d a p t é e ii ce ipvofane usage, — p o r t a i t son deuil sous la forme d'uu vieil infolio r e l i é en m a r o q u i n n o i r e t clouté d'argent. Le t a b l e a u lui-mênne était relégué d a n s l a d e r n i è r e c h a m b r e , un r é d u i t p l u s obscur o ù .s'entassaient pêle-mêle des bibelots de second o r d r e , — p o u r cette collection, Le p a n n e a u , q u e j e r e c o n n a s aussitôt, était a p p e n d u au m u r , È contre-jour. Ahl c'était bien le profil délicieux d o n t j e m e s o u v e n a i s et il m e p a r u t p l u s délicieux e n c o r e , à cause de son air de famille avec u n e a u t r e d a m e , celle d a n s l a comp a g n i e d e laquelle j ' e n t e n d a i s c h a n t e r , — p a s b e a u c o u p de j o u r s a u p a r a v a n t : Puisqn'ici-bas tnute âme Donne à quelqu'un SRI musique, sa flamme, Ou 5 o n paj-fum.,. .. La ligne fine d u front si intelligent, d u nez si délicat, d e îa b o u c h e si souple, si t e n d r e , s& détacliait s u r un fond t r è s s o m b r e , celui d'une p a r o i r e v ê t u e d'un t a p i s d'un v e r t noir e t d a n s l a q u e l l e s ' o u v r a i t u n e é t r o i t e fente. Vn p a y s a g e i m m e n s e et m i n i a t u r e s'apercevait p a r cette b a i e . Il s e c o m p o s a i t d ' u n e r i v i è r e sinueuse en tre des c h â t e a u x , avec des glaciei-s bleuâtres t o u t au fond. L e s perles d e l a résille luisaient s u r les clieveux s o m b r e s , massés à la m a n i è r e d e c e r t a i n e s têtes de médailles syraeusaines. D'aut r e s p e r l e s m ê l é e s à d e s r u b i s , brodaieont l e v e l o u r s du corsage. Une c h a u d e c o u l e u r pâle, c o m m e celle qu'a d e p u i s c h e r c h é e Henner, était r é p a n d u e .sur la cliair d u visage et celle des m a i n s . J ' e u s d e n o u v e a u l a sensation d u chefd ' œ u v r e , e t i e m'écriai, a p r è s quelques m i n u t e s d e c o n t e m p l a t i o n silencieuse ; — « J e v o u s affirme qu'oti v o u s a t r o i n p é . D e q u t Toulez-vous q u e ce soît ce miracle d'art, sinon d u Vinci'?... » — e J c l e voudrais t a n t ! » r é p l i q u a le c o m t e V a r e g n a n a a v e c u n s o u p i r . «Mais déjà m o n a m i ; l e s é n a t e u r Morelli, m ' a v a i t d o n n é des doutes. Vous n e l'avez pas connu, M o r e l l i ? N o u î . . . Mais v o u s a v e z e n t e n d u p a r l e r d e ses livres'?,:. Non e n c o r e . Ah 1 que v o u s êtes h e u r e u x ! » — « Pourquoi? » interrogeai-je. — « P a r c e q u e v o u s piouvez a d m i r e r t r a n - ' quilJement l e s œ u v r e s qui vous plaisent, s a n s q u e le d é m o n d e la critique vous souille à 1 oreille : E s - t u bien sûr q u e ce tableau soit autlientique?... Ce Morelli était d'ailleurs un h o m m e d'infiniment d'esprit et de goût. Que d'après-midi exquises j ' a i passées avec l u i i c i ! Je l e v o i s e n c o r e avec son sourire caustique >erdü e n t r e u n e m o u s t a c h e e t u n e b a r b i c h e qui a i d o n n a i e n t l'aspect d'un ollicier. Sa ' thcse favorite était q u e d u r a n t les trois ou q u a t r e siècles q u i n o u s s é p a r e n t du Quattrocento c t d e la Renaissance, Les actes d e b a p t ê m e d e s t a b l e a u x o n t dù ê t r e falsifiés dan s u n e p r o p o r t i o n é n o r m e . ' J n e famille avait-elle a n e toile d e l'école d e Luini? P o u r l u i d o n n e r u n e v a l e u r , elle a d û b i e n vite a r r i v e r à d i r e g u é la toile était d e Luini. Les marchand.s qui vendaient des t a b l e a u x a u x a m a t e u r s ont dû, eux aussi, e n n o b l i r de l e u r m i e u x l e u r s marchandises, et le.ti a m a t e u r s insister s u r cet ennoblisfiemcnt, u n e fois le tableau a c h e t é . î l m'a fallu tout m o n h o n n e u r d e g e n t i l h o m m e p o u r substituer s u r ce cadre un Qom à un autre...» J'observai, en effet, q u ' u n e petite b a n d e ' d e f cuivre gravée était appliquée au bas, sur laquelle ic lus, au lieu du prestigieux; « Lionardo da Vinci » ces mots q u e i e comte allait m expliq u e r ; itAmico di Solarlo. 1515. » — «Jusqu'ici rieu q u e do très s a g e » , continuu-t-il, « ct rien q u e dc très sage non plus dans cette a u t r e idée de Morelli que les dessins des m a î t r e s ont dû, en revanche, être très peu sophistiqués. Ils n'ont été recherchés que p a r des connaisseurs qui prisaient d'abord l'authentieité. Et voilà un procédé tout t r o u v e pour vérifier les toiles : les comparer aux dcssms des artistes au.\(.|uels elles sont attl'ibuécs. C'est là, dans ces dessins, que nous saisissons le plus nettement les procédés p r o p r e s á chaque peint r e et qui sont sa vraie signature, celle qu'aucun faussaire n e saurait contrefaire : les extrémités d'abord. II fallait entendre Morelli vous décrire les m a i n s des personnages dc Boticelh, toutes osseuses, avec les ongles coupés carrés!... Et puis il y a les oreilles, les cheveux, îos plis des étoffes. Quand ces particularités bien observées dans les dessins m a n q u e n t dans les toiles, les toiles ne sont p a s du m ê m e maître q o e lea dessins, du m o m e n t que nous sommes sûrs del'aûtlienticitc des dessins. Vous saisissez la force du raisonnement... a — 8 J'en saisis surtout ia subtilité, » i-epondis-je. « Un Maître peut p o u r t a n t varier ses manières... 0 . ,. , — ([ Sans doute, sans doute,.. » répliqua le comte. «Mais jusqu'à u n point, et p a s a n delà... D'ailleurs, les i'aits sont les faits. Avec ce principe, Morelli a renouvelé l'histoire do l'art italien. Je vous prêterai ses ouvrages, vous verrez quelle force de logique, quelle pénétration ! Il a eu des élèves bien remarquables aussi, les Vent u r i , les Frizzoni, les Berenson... Et puis est venue, c o m m e toujours, l a tourbe des imitat e u r s . Maintenant c'est une fureur, u n e maladie. Dès qu'un tableau n'est pas authentiqué p a r des témoignages de contemporains absolument indiscutables, un critique surgit qui en conteste l'auteur- A peine si ces messieurs laissent à Léonard, pom- revenir à lui, l a Joconde et deux o u trois petites œuvres, Plus u n Giorgione n'est certain. L e s Titien se transforment tous eu des Bonifazio. On a imaginé u n e dynastie : KonifazioI,Bonü'azio II, Bonifazio III. J'appelle ces dèbaptiseurs, moi, des iconoclastes. Mais, acheva-t-il s u r un soupir, « les iconoclastes ont quelquefois brisé des statues de faux dieux... » , , . — <( Alors, ce tablean? » demandai-je, en lui m o n t r a n t le p a n n e a u qui avait servi de prétexte û cette dissertation. 'Vous m ' e n pardonnerez le pédantisme. Madame, Elle était nécessaire p o u r d o n n e r son sens à l a suite do l'histoire. D'aillem-s, v o u s pourrez, en citant ces quelques n o m s de critiques et ces quelç[ues idées, t a q u i n e r les siioùinettis dc vos amies qui veulenl être dans tous les rapides. Le train, p o u r elles, serait trop modeste. ^ «: Ce tableau était un faux-dieu, » répartit lo vieux collectionneur. « L e sénateur Morelli l'avait soupçonné, j e vous l'ai dit. Vous y noterez d e s mexactitudes de dessin. Tenez, dans l a ligne d u cou, d a n s l a forme d e la t è t e visible sous les cheveux. Or Léonard avait tant étudié l'anatomiel L'étoiTe est rigide, sommairement traitée. Vous s a v e z comme i! a été préoccupé de la souplesse des vêtements... Fermez les yeux, là, à cette distance. Ce modelé n'est pas ic sien. Rouvrez-les, . ayez une impression d'ensemble. U y a du Flamand dans cette peint u r e . Oui, voilà ce q u e m e disait Morelli, et rais, je l u i rappelais le poTtrait d'Isnbellá .l'Aragou. C'est même p o u r cette raison qu'il l'a examiné. Il a conclu q u e cette femme de l'Ambrosienne était d'un certain Ambrogio de P r é d i s . Mais cela, j a m a i s , jamais!...Au lieu q u e celui-ci... Regardez l'iuscriirtion d'abord... » U prit enti'6 ses vieilles m a i n s , — elles en t r e m b l a i e n t d'émotion — l'objet contesté, et, r e t o u r n a n t le p a n n e a u , il m e montra ces mots écrits sur le bois ; Di Lionardo pitore fiorcniino. • — m Voilà a continua-t-il, « l a p r e u v e . quo Morelli avait deviné juste, Vous ne vous r a p pelez certainement p a s que dans m o n ancien catalogue j'avais fait t r a n s c r i r e une page e m p r u n t é e ù uu manuscrit d u notaire Ferrarais TJgo Caleftino qui se tl-ouve à la Biblioteca Eslense, d e Modene? Il y a le double a u British Jlícsíüini copié p a r l e m ê m e personnage, u n certain Glulio Mosti, Seulement celui du British., ce q u e .je no savais pas, a s a date : 1581. S u i v e z - m o i 'bien. La page en question est u n e n o t e originale à ce manuscrit dc Modène. Elle m a n q u e à celui de Londres. En examinant 476 de p r è s ce man Jscril d e .Modène, on ;i ro-isl:aÉ que cette note n'éinil pas d c la môme éci iture que le contexte. Elle est au contraire de la même écriture que ces mots tracés sur l'i neau. Donc la note a été écrite p a r la ni<*-ino main qui a indiqué Léonard comnie aul u r du pannciui et postérieurement à ii")81. y u a n d re'; détails m'eurent été r a p p o r t é s , j e lis '{;ú,-i¿ des recherches dan.'i mes archives o( je relmiiv;,; la lettre p a r laquelle ce tnblciui 'n éjé oD'ert cn 17-i5, à mon arrièrc-grand-oiid'.', le Lionardo pittiva fiorentiña e t fabriq du manuscrit d:e Modène. C'est un liions^ gneur PieiOfto, un abbé peu scrupul. lequel, ayant cn sa possession ce liihlciin, 1, ^ a constitué ainsi un état civil, de bonne foi peut-être. — j e parle p o u r l'attribution, — car nous avons aussi découvert q u e le pnrti-nit était connu ù Modène, et, dès cette année, en 1745,- 11 était appelé ; La Sivar rie. h: Joconde...'-!! , , , — « 11 peut donc être de Léonard, en dcpit de son Ëiux état-civil » interrouipis-je, a. et mêrn.e d'une s œ u r de l a Joconde ». — « Monna Lisa n'avait pas dc s œ u r » r e p r i t le comte « p a s plus que Domifilla dei Hangimi C'est établi: s u r l e s documents les m i e u x •vérifiés. D'ailleurs voici qui coupe c o u r t h t o u t ; il'existe à l'Académie de Venise a n dessin d e la m ê m e tête, — vous entendez, e x a c t e m e n t la même, — avec les m ê m e s p e r l e s o u presque les mêmes. Les variantes sont insi¡iniUantes. . C'est, sans conteste, u n e étude p o u r c e p o r trait. Or les coups d e crayon d a n s ce dessin vont de droite à gauche, et dans tous les dessins de Léonard, ils vont de g a u c h e à droite, puisque Léonard dessinait c o m m e il écrivait, de la main gauche. Si oe n'est pas Une démonstration, cela, q u e vous faut-ilî... » — « Ce qu'il m e faut? Un a u t e u r p o u r c e chef-d'œuvre» répondis-je, « Vous m e racontez une histoire d'une ingéniosité s u r p r e n a i i t e , j ' e n conviens, mais j e suis _peintre. J e sais que les tableaux ne se fabriquent p a s t o u t seuls, p a r génération spontanée. Si celui-ci n'est p a s du L é o n a r d q u i a fait la Belle Ferronnière d u Louvre et la femme dc l'Ambrosienne, de qui est-il? Qu est-ce q u e c'est q u e cet Amfco qui n'aurait jamais p e i n t q u e cette merveille eî puis rion... » — « Amiao n'est pt,.-; un nom » dit le comte Varegnana. « Un dc vos compatriotes, u n j e u n e critique d'art d e grand avenir, M. Coiinnanscl, a suggéré l'existence d'un arti.ste, ti-és iullmement lié avec Andrea Sol ario, — l'ami p a r exceiieiico de ce p e i n t r e . Nous savons q u e ce maître fut appelé de Milan en F r a n c e , sur l'indication de Charles de Cliaumont, p o u r décorer le château de Gaillon qui a p p a r t e n a i t au cardinal d'Amboise, M. Courmansel a r e t r o u v é ici plusieurs lettres d'Andréa, oii cekii-ci parle avec d'extraordinaires éloges, d'un (¿éve, un certain Cristoforo, qu'il avait e m m e n é avec'lui p o u r l'aider. Or le dessin qui est à Venise p r é sente cette particularité, qu'inscrit au catalogue s o u s l e n o m d'Andréa Solario, îl p o r t e u n e signature effacée, o ù M. Courman!;el est arrivé i déchiffrer un X. C'était la p r e m i è r e l e t t r e des mois Xofori opas, — mwratjc de Crl.sioforo. Ce fut un trait dc lumière. A n d r e a quitta la F r a n c e en 1509, p o u r aller où? à Anvers dont l'école exerçait alors u n e attraction si puissante sur les peintres italiens. Son élève était avec lui. Ainsi s'expIic]uolc mélange de finesse L o m b a r d e et d e précision Flamande qui se r e c o u u a î l dans ce portrait, comme nus,sî flans les tableaux d'Andréa d e cette m ê m e époque, p a r exemple l'Bcce ifomo d u Poldi... Lancé sur cette piste, M. Courmansel s'est d e m a n d é si ce Cristoforo qhi a p u exécuter un portrait d e cette force n'avait p a s p r o d u i t un certain n o m b r e d e s œ u v r e s attribuées k Solario. J'avoue q u e j e n e le suivais pas s u r cotte vole, car enfin cet X du dessin était douteuse. Je m'étonnais q u ' a u c u n e a n t r e t r a c e u e se t r o i i v i t nulle p a r t . . . Celte trace, eue existe. Nous avons u n t a b l e a u , — et un très r e m a r q u a b l e tableau, — q u i rappelle beaucoup m a fausse Cassandra, et celui-Iii est signé en toutes lettres Xofortm .Mndiolanensm et daté, 1517... Il ost chei; la m a r q u i s e Ariosti, u n e d e mes cousines éloignées. Il lui n é t é légué p a r u n vieux commensal de sa maison, u n e espèce d e parasite qtti servait de tête de T a r e ù tout le m o n d e , u n comta Francesco P a p p a l a r d o . » (Á suivre.) Le Gérant ! CAJULLE LEOESTRE. ~ PAUI, BOURGET. Imprijneri'c de Femina. Paris. H . - L - M Û T H 1,1-1! •a • 'u ¡3 A U S E R I E Us ln:ilí placements. — Nûus pensons avoir convaincu nos lictrices dc Fetnina que JILÍIL-L'nient y-aiment convenahle ponr la ioïtune d'une îemme pea au courant flnaiiciires et qui veul vivre sans inquiétudes, esl l'obligation bien gagée nppoi-tjnl T-nvirun ; % . Nous savons que beaucoup de personnes croient iaire preuve de prudence en sm;peelint la. S D L I D I T É d'une olillp,ation qui rapporte un aussi gros intérêt. Noua avons expliqué qne c'était une erreur profonde dont les rentiers français sont victimes- Une obligation r;ippnrtint 5 % peut être aussi bonne, iussi solide qu'une obligation ra,pporlant 3 1/4 O J 3 ï/^ % ; st depuis cinq ans, nons en donnons tous les jours la iiieuve à notre diéntele qni, sur U O S conseils, a .icliolé des obligations 5 % Ae grs.ndea .Sociótòs de tramwnyi^. de iorce électrique ct de lumière dont les revenus sont payés régulièrement. Ces grandes entreprises dont nous avons parlé à plusieurs reprises ânm nos causeries sont, toutes sans exception, daas une superbe situation. Non seulcuiûot elles paient réguUirement les revenus et l'amortissement de leurs obligations, mais leurs actions elles-mêmes prennent, au fur et i mesure dc l'extension de l'exploitation sûcirile. une valeur plus grande. Dernièrement encore, nous avons recommandé ici l'obligation 5 % de la Ccmpagitie géiiinh de Tranmays et de Chemim dt jet vicinaux sn Espagne qui a été émise à 475 francs et qu'on peut encore obtenir à ce prix environ. Elle est etussi, solidement gax-antie que n'importe quelle obligation de notre cote et elle rapporte 25 francs nets par an, c'est-à-dire un revenu de 5 et un quart pour cent. Cette même Suciété a fait, tn igoj, dans les mêmes conditions, nne premièi-e émission d'obligations qui ont été toutes placées dans notre clientèle à qui elles donnent toute satisfaction. • On s'est trompé en France quand ona cru que le taux de l'intérêt allait s'abaisser graduellement avec le temps, Il y avait chez nons trop d'argent et pas assez d'esprit d'initiative... Faute d'entreprendre des affaires nouvelles, le loyer de l'argent s'était abaissé ct nos économistes se sont figuré qn'il allait en être partout de luènie. C'est le contraire qni s'est produit. L'Allemagne. rAngleterre, l'AmÉrique, oil régnait C C I esprit d'initiative dont nous manquions, nous empruntaient notre argent et l'employaient á de grandes affaires qui ont fait leur fortune. Et le taux de l'ititérêl, bien loin de baisser, s'est relevé partout depuis la guerre du Tranavaal et surtout depuis celle de Maudchourie. ïJii modeste rentier ne doit pas exposer ses ionds dans des entreprises I N T L U R T R I C L L C S ; il ne doit pas aclieler d'actions, mais quand uno entreprise industrielle, et surtout une entreprise de transport, est tiien conçue, bien exécutée et bien dirigée, il peu t acheter ' des obligations si leurs garanties sont parfaitement bonnes. Dans CCS conditions, et dans ces conditicns senlement, ou peut obtenir un intérêt de s %• C'est à quoi vous devez tendre pour la plus grande partie de votre porte, feuille, ainsi qne nous l'.avùns exposé dans notre causerie du i ; septembre dernier. ls SÏIIL CLOS A L L A I I B S F I N A N C I E R E Quand ou posside nne grande fortane on pourrait se conten tir d'un moindre revenu, mais nous observons au contraire que les fortunes mobilières les pius conaidérables celles d'.'Vmériqiie par exemple, ne poflsè<lent qu • tros exceptionnellement ¡les obligations 3 et 3 l/i %. Nos obligations de Chemins doter.du Foncier, delà Ville de Paris, qui forment le fend de t'Epargne françai.ie leur sont totalement étrangères, et tandis que tes petits bourgeoij de Fran 0 s'arrangent difricilcment pour vivre avrc des revenus de 3 1 / 1 % , les milliardaires américains ne possideut que cies obligations ou îles bon.s hypotliécàircs qni leur rapportent 4, 4 1/2 et même 5 %. Faites des arbUrages. — De ce que nous veuûiia de dire, ii résulte clairement que la plupart dc nos fortunes françaises pèchent par un point ; la médiocrité de leur revenu moyen. Fabe des arbitrage; est la seule maitiÈre d'augmenter celte moyenne en cüi·iseivant aux placements toute la sécurité qu'ils avaient et même en augmen. tant cette sécnrité. Car l'aibjtrage ne se fait passeulcniout pour remplacer unis valeur moins productive par une valeur plus productive; il sciait tout aussi fréquemment pour remplacer une vtdeur moins sûre par une valeur plus S I J R E . C'est pourquoi n,ous recomtuandons toujauis â nos nouveaux ciienls de noua envoyer la liste des valeurs qu'ils possèdent. Il nous arrive souvent, en étudiant cette liste de les prévenir aussitôt d'un danger qu'ils ne soupçonuaient pas. Uu arbitfage immédiat est le meilleur remède. C'est ainsi que nous avons fait vendre à notre clientèle les actions da Ga/M et celles dc Malfidano avant la baisse. Ce sont cejíendant deux bons titres; mais lenr hausse était exagérée, Règle générale : Arbitrez toutes vos obligations 3 % et 3 1/2 % dont les cours se l'approchent quelque peu du pair, contre des obligations 5 % comme celles des Trammao/s ei chemins de fer vicinaux en Espagne. In/arniations. — Depuis le i^i octobre, le coupon n» S des obligations de la Compagnie Minière et Indastrielte pour l'Espagne est mis en paiement i raison de I2fr, ¿0 net. La Compagnie du CMmtii de fer ie Saint Sibastien à Hernam paie également tiepuis cette date le coupon n» 4 de ses obligations i raison dc i a francs net. La BaiifWt ginCraie française, <). rue Pillet-'W'ill, Paris, ainsi que ses agences cle Paris : 50 boulevard Haussmann. ct 132. rue de Rivoli, et ses succursales de Lille rt de Lyon, se obargent d'en effectuer l'encaiaaeujent sans frais. Nous augageous fort les abonnées de Femiiia à recevoir et à consulter te Monite^ir des capitalistes et des rentiers, 9, tue Pillet-Will, orga.ne dc la Butique gânérale franc-aise et camplément natirrel de la partie financière de Femintt, Ponr toat ee fui cuncerrte la partie financiare, rsnseignsntenti sur oaleiirs, otdrts de Bourse, paiement des coupons, etc., «os leelrices sont priées Ue s'adresser dinciemeiil à la EAuqcE aiiK£HAi.a F E A ^ Î Ç A I S E , 9, fus Pillet-ÍVíll, Paris, Soàiti anonyme atc nupital de lO.OOO.OOO de franci. Avez-vous entendu parler du succès — que dis-je, du triomphe — remporté, pette dernière saison, à TrouviUe, par notiumaison de prédilection Henry (A la Pensée). — Oui, n'est-ce pas? Là. fut tout le mouvement élégant, là se créèrent des nicdes, de là sont écluses toutes les ravissantes nouveautés. Au ;, faubourg Saint-Honoré, en sa bonne ville de Paris, La Pensis s'épanouit à nouveau, à la reprise delà saison. Je cueille ce mois-ci quelques 1 sensations » pour vous, gentilles leclrices, et vous donne ici la légende expliquant les dessins de mon cadra. La Midaille Chasseresse esl une breloque relief de Saint-Huberl très a.rtistlque aveo attiibnta au verso, Elle préserve, aasure-t-on, des accidents de chasse. En vieil argent contrôlé son' prix est de 5 à ! 3 francs. Ces épingles de plastron, de très grande allure sont : le Cerf (20 francs), avec fine croix et caillûiix du iîhin 2 4 francs, le cliien 2 0 francs, lè lièvre 16 francs. Voici le Jiiiabolo, petite broche amusante, qui symbolise le jeu si â la mode, en veriueil deux tons (pour vous seules, S iraiics). Je vous recüminande les bracelets extensibles tout en goldfillod, inventés. tout exprès pour maintenir les gants longs, ils eurent la vogue la plus folle sur les plages, cet été (maillons fantaisie, ao fi-ancs, avec véritable amazonile, aS francs). Pour ies 4 Chasseiesscs -graoienses », qui vont sacrifier à saint Hubert, je reproduis lo Paletot Olga au crochet, en grosse .laine blanche exlraordloairement moelleuse et Sùupls, avec inancbûs longues ou courtes, 43- irtmca. Le dernier mot du pratique et de l'élégance. Ce feutre léger remplace le Panama, il est garni d'une édiarpc fantaisie, ct est des plus pratiques pour l'excursion, la cliasse ou la voyage; le cliapeau, de 18 à 20 francs, tout garni. Enfin, une nooveauté que jc signale à celles qui ont à iairc aux châtelaines des cadeaux de ^ bon séjour s í ü remerciement d'une large hospitalité au moment des chasses ; Diane, très jolie boite de bridge en peau ancienne avec bas-relief artistique de saint Hubert' et attributs de chasse, entièrement doublée cu soie, 37 francs. .Puis Hallali, jolie boite à cigarettes également en peau ancienne, avec joli bas-relicl saint Hubert ot bQt4ée d'une vignette dorée au petit fer, 20 francs. Voilà, ce que j'ai trouvé dû bien « eeason * ; inutile de vous dire qu'il y a. une foule de nouveautés dont, hélas, le peu d'espace ne peiit me permettre i'énumération... et j'en suis désalée. En toas caa vous avez toujours la faculté de demander les derniers catalogues qui vous documenteront merveitlei]sèment. Si vous le pouvez, allez donc voir au 5, faubourg Saint-Honoré; là, vous serez convaincues et chai-mées. Et... jo me signe votre amie, (U - • •a vvil >^ 'u ¡3 3 m ECHOS NOIRE CORHESLLE A OWRAGE T ES abonnées de notre édition d'ouvrages ^ trouveront aujourd'l^uT, encartés dans leur numéro ; I» La Corbeille do Femiva, supplément da quatre pages illustré, contenant la description détaillée des dessins décalqnables et du patron découpé que nous leur olirons : 2û Un dessin dêcalquabie d'une broderie anglaise ponr soutieu-gorge ou corset do matin ; Î'^Vn. dessin décalqnablepoori'exécution d'nne hrotlerie au passé d'un tapis en soie lavable -, 4" Le patron découpé d'une petite vcata Rappelons à toutes nos lectrices que le prix de l'ibonucnicnt à notre édition d'ouvrages. Cûniprenant par an 2^. suppléments illtistfés. 4S ouvrages dc daines et 2 4 patrons découpés, est de IS francs (France et Belgique). 10 iiaiics (étrflnger). . Envoi d'un spécimen franco contre o fr. 7 5. LA •BENGALINE DE S'EMPLOiE SUli " F E M I N A " TOUT M o i i s n e saurions trop recomm.ïndcrl'emploi de la Bengaline à toutes tes personnes qui ont nn égal souci d'hvgiêne et dedécoration. Cettepeinture convient également bien pour la décoration dos rniira, des meubles ct menus objets. Elles'eniploie très iacilenient et prend d'elle-mSme un aspect lisseet tiriUantquirésisleauxlavages sanslei-nir.IaBongaline, rueSugsr.rô.Paiis. COIFFEUR ,ÎTÈCIAUSTE n .^prËLows aux lectrices qu'en le très r \ jg^j ^ , ^ ^ 5 ^-^^^^ quartier de Passy existe nn coiffeur spâciaJisU fom dames, faisant admirahlt-menl et très ayíisíemml les postiches en tous genres. M. Poyet n'emploie que du cheveu naturel et de première qualité ; aussi la clientèle qu'il a S U conquérir reste fidèle au 63 dit !fi rtte dc Pa-^sy. Téléph. (592-43. AUX co:>:^-At.E,scKNrj exposant à í\Í\. iMh.it.-a redoula c a n v a I e s c e i H > . •" •-•i;t rapide et laguérison complèi0 , : r'iiploi des bains d'acide carbonique : ;ja'on l e g ^prend à Nauheim. Mais, jv 4 j o u r , il était presque impossililc •••• ;irHcnrer des bains carbo-gazeiiii 'd'c lois qui eussent 6t6 si utiles. Oi cr,i-;;.:.-i. Jèg i^g^ l'importance dés tablelit^ d-i i:.'éodeuinG servant à préparer instan!. .>;'ie nt chez soi des bains d'acide cjri)ovi;:.r,v, C 0, a, d'oi le nom d « Céodeuine, pi riiiettant de faire d e véritables íi-.íjaLles dans Je traitement des convalcsccticr.s, La Céodeuine se trouve dans ios principales phai'macles. Dépôt généru! : ¡6, rue des Arts, ft Levallois. Envoi franco de ta brochure. L fées, OKGUS, el TOUTES pour clieveux LESparteintures la mode doivent réunir réclamées le double mérite de sembler oaturetlcs, et' d'être sans danger.Ces deux quartés sqiit rares, et los seules teintures qui, à notre sens,les présentent, sont les teintures à base de henné d e H . Chabrier. 48, pasia^e Jouffroy, L/c^ produits de ce distingué cliimiste donnent dans ton,s les ton-s des nuaneeâ exquises, et, ce qu'on no saurait dédaigner, sont d'un emploi ai facile, qu'on peu! le.s appliquer soi-mênixe. Los ]>etitiis.filti!s de UIoRena, Dans me f i u as charili organisis récemment dems les jardins dtt •palais Tl: nous paraît intéressant d'appeler royal de Kensington, Londres figtiraieyit, dans ls pittoresque costume ^ I attention des lectrices de ce magazine des fermières hollandaises, eommí¡ le ttmHrS noire tíicjü, trois fciiies-/il!es sur un événement historique bieu parisien de CMrles Dickens, l'immortel écrivain anglais. Quelque temps après la Kévnlntiou vendémiaire de l'an V (octobre ijn,), un orfèvre habile fondait, quai Le Peletier, ..^ LA • , lŒNTBÈE POUS NOS ^ÉBÊS une luEnson de bijûnlerie et d'orfèvrerie, OUS sommes à l'époque dc la rentrée CACHIÎZ, Mesdames, que si nons voulons la Gorba d'Or, qui fut bientôt une des des classes ; le collégien a quitté l'air O voir tnos enfanls babilles aveo foût. il mieux achalandées de Paris. pur de la campagne pour l'atmosphère ne suffit pas de payer très cher. Kon ! il débilitante des villes. Afin que ce change- faut trouveir une maison réputée pour ment ne se fasse pas trop sentir, nn solide .son élégance. En voici une ; Jeanne Raclée, régime' de nourriture esl indispensable. 45, ru3 ifaubeuge. Dana cet ordre d'idées le déjeuner du .natln est particulièrement important, l'eiifant devant ioiirnir depuis l'iieurs où L'inrÊltlF.UR Vu HOME il part pour la classe Jusqu'à midi une P ^ ' " ^ 7 respirer une atmosphère saine, grande dépense d'attention et de forces. • '"'^s^e^toyages de rideaux, tcnNpus ne saurions trop recommander aux ^aies, à 'Hall»., aiiié; it vous les çend mères ls Macatmttdes Arabes Dolaaerenier ^ exempts de toute ddeur, aliment léger, fortifiant et très iaoilement ^^^^-^ nouveau procédé. Tél. 706-10. assimilable; il cs^ de plus très apprécié des enfants pour son goût •l'éritablement exquis. Refuser les imitations, E;xi^er la " T ' E I . est le tiiro d'nn très intéressant opusmarque Z}elangrenier, Paris, cnle qué la Síavooneiie de l'Amiral, 3Si rue Le Peletier, eiivetxa gracieusement et sons pli fermé à toutes les Icctriooa qui ANTISEPTIQUE ET DÉLICIEUX le demanderont. 'jtT ne se nettoie bien la b o H c h c et les dents Piinim.. Empire, brpiueu ai'tjrnt ç^tiíTiíl! \ " tllic noiinnr. «r Kanott. ,1™,= 0 qu'avec lé savon í'ÍUtic ;i.ir l,\ G í ^ í e d'Or, li l ' a c c i s i o n tau s,: T -'ETERNELLE J'SUNUSSE ne*. aattivi·nL'iIvi·. antiaeptrqne et d un goût T E secret se. propage, .les élégantes H sut comprendre tjue pour parvenir au ^f|_':îs;;x,pain,2j. Louvre, - j - dienfes do Ma-rquis connaissent bien te Bon Marché, Printemps,' succès dans cet art difficile ii lai fallaif Galeries Lafayette, etc..' mériter auprès do sa clientèle un* conimnce. absolue, en fa'briqnant et-en vendant des danger, objets de bon goût, sur. lesquels il prélèyOlCi VNE NOUVEAUTÉ AMÉmCAJNE verait un bénéiice modeste. C T coinme elle blan Pour fêter ce tio^ anniversaire, la ùorbe ^ ohit'bien tegdentsi I A t-^apeterie Sanders-Dutour, Pavesi d'Or, qui a toujours suivi les principes de Jainais nous .n'avons . — _ successeujr, 103, boulevard HaussmaniC son- fondateur', a fait fabriquer dans ses vn uu dentifrice qui vient d'ouvrir un rayon d'articles de de.sateliers la hroclie que nous reproduisons mi rita-mieux le titre sin, peinture, aquarelle, cire à modeler, ci-dessus et la remettra, durant tout le mois d'octobre, soit dans ses magasins, de Sans Pareil. La qualité de la pondre. Pyrogravure, étain, cuir repoussé. Modèles' soit p a r correspnndajice, à tout acheteur l'originalité du flacon, le justifient. Pour fleurs, fruits. Prix modérés. sc convaincre, adresser I fr, J O ii Süjoáotíí ' jH d'au moins'25 francs. Nous serions particulièrement tieuretut 10, Chan ssée d'Antîu.Paris fdem.la boite k ) A UXAStHES DE PROde voir ies lectrices d..' ce magasine receVENCE, CO, RUE voir ce bijou dont eiles peuvent apprécier Bt^lTEZ jy'ÊTRE SIJÛBACIËUSS PUOWENCE, PASIS a rheureuse composition. T A coquetterie la plus êléraentalre exige Sur l'iadtcation des articles qui peuvent disuaraître les duvets davet: T E pins grand choix que l'on fasse disparaître les intéresser plus particulièrement, la importuns qui envahissent le visage. ^ decoliiers do perles ' ó*" ÊLÉtiANTESI... TOUTES PAKUtENHES ,'... Tl, n'est plua permis, à la f e m m e de pro^ vince, non plus qu'à l'étrangère, d'invoquer cûttime excuse leur éloignemont de Paris,' foyer des élé.5ances. Celtes qui te vettlenlpeuvent être à l'tinisson des Pari¬ siennes les mieux habillées, c a r Mmes Forcilîon Ë C e u r s , 165, rue Saint-Honoré (place du Ttiéâtre-Françai.'i), créatrices de. chefsd'ceuvra qui font fureur dans une société exigeante auc le chapitre, du bon goflt et de l'élégance, se chargent de faire exécu. ter tous les m'odèles de la saison, à-réûep. tion d o s mesures, .accompagnées d ' u n corsage aliant í>ieii. L'art consommé d'habiles coupeuses réalise, avec ces seuls documents, des merveilles de " bien aller ". C'est, du reste, cette qualité, qni a consacré ia réputation de Mmes Fortillon sojurs, dont toute la clientèle appartient au meilleur monde. Disons encore que leurs créations eu toilettes d e mariage et de céxéjnonic leè placent au premier rang pour c« genre. pr TOUTES LES CLIENJE,S BiS CAMILLE. 21, VA,SSAGE jOESPAKOR/iMAS, ^ASIS refu le ONT sonsationr nel s Catalogne complet jio ? d'hi'eer i>, des Fourrures, Vêtements, Collefs, Boas, Etoles.îifaachons. Corsages, Jupons, Dentelles, Plumes de chapeaux. Primes nonvellss, etc... C'est isn succès/... Les Dames qui ne l'ont.pas a r c r t bien l'OBt.pas «ncûre «nooro demandé demandé iferont bien dft de liâler... Camille en S déjà expédié «ias * WOfi depuis i t ours. et.alorsl • ' Í l""'^alors 1... l A i î i E - T H i i î â s E . Chapeaux de style, élégants, depuis 22 francs. Envoi de croquis contre 75 centimes en, timbrosposte, ¡y, rueGodot-de-MauToy, Paria. - PETITES ANNONCES ANNONCES «on CUMIBIJRCLALOA IMrnTmiim X îigtw'i La IiBntf d e 7 T lenrce 3.50 A N N Ot^CES commerciales yMíní-MUtíi s li¿^}tis) llgiîcde 3 î lellrcs 3,50 Les petites annonces doivent paraenir i m mois d'ajonce. COURS B T LEÇONS Anglais. — Enseignem. spécial et rapide. Pension jeunes filles, Eêntrée septembre. Miss Dnnu et Mlle Montet. 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Il îaut penser que cela le suivra tonte la vie et que l'inJîucnccdu jiotn«t pour beaucoup dans nos réussites et dans nos sympiithies, Et puis, la mode se fait sOnlir i i comme partout. Il y a des ipoquss où ï'on est fout au^ noms IJ'uue Cfrtaîi"LC nature, S O U 3 la RévolT;ition, on n'ai-" niait qLie les dcnominatjons idylliques de Rome et de la Grèce. N O M S (3) ¿ o m i i i c a . AÍIKSSÜV La figure, ci-dessus d é m o n t r e la c o m m o d i t é d e n o s volte-face brevetés. Le m e u b l e ouvert reflète Viiuaga de face, d e profil, d e dos, des pieds il la t ê t e ; d e p l u s , n o t r e système permet âe faire t o u r n e r la glace pivotante d e façon à présenter le meuTjle fermé avec encoró u n e _gUce en façade. DROITS r»E LA FEMME fswííí; La femiile séparée de corps peut úbteiiir que son iiiarL soit condamné à lui payer une ponsion îUimentaire, ai elle n'a pas les nioyenÈ de se suînre et ai la situation de aon mari le ijernlet. La. loi du 6 février dit que Le jnyenient qui prononce lft séparation de corps p e n t intünlire à Iti Îsmme de porter U nom dc son mari cyw l'autoriser â Vie pas ie p û i i E r . La ieiTiine séiïarée de corps reprend le plein exercice de sa ea.[)acitè dvile. Elle L'i'a donc bc&oin ni do ] ' a u t o r Í 5 a U o n de son mari ni dij celle du Tïibuïial pour s'engager valablennç-nt. Un jiirieiuent dc separa tion de corps peut éttc; converti au bout de trois aus on jxig^omciU dû divorce,àla requête deuelui dus dcuJi ûpoiix contre leqyel • Il a été prononce. lumineuse. ICodéle aenteli M" 3 2 fremas Em'oi franco du Caialogv-c apédal. PU.TlüvnB4 PrJnce GuillauuiD On txnnonne officielîemeiji hs fiançailles ëii iôime Prince Gmiliciimc ds Suède avec la Grmds-Dîidissss Maria Pavlomtít de Le pancê. ni U 17 juin ÎS34. esi U second fih du Pvince royal : Cscay Gustavo Adolphe. La Grands ^ Dzibkssss Mafia Pavluvna esl née dit mariage du Gra-iídDup pisvre a}}£,c AUxaudra Gorgieuna. Princesse de Grecs. Elle a di.v-scpi (xns et demi. Plus tard, au temps dû romantisme, û:i raffola d^r^flôaiiH-, de Malvùia. ú'Indiaim, de J/ycdync. Aujourd'hui, on iiime le.s prénoms plus simples, mais choisis. Claudine, CoÎeUe.OduUe, Yvonne, Jacqueline, Gcoygúltc sont tr¿s rechorûhâs pour les filles. Pour les garçons, Jectn, André, Jacqîtcs, Marcel, Cîaitde, Pwi'Tc, François, A^iciue sont les prúféròs. Bien entendu, le choix du prénom est toujours subordonné n.ux convenaiicurt de iamiiie et d'afíecííon. C'ÍÍKÍ « I Î aclí.í dû dÉíéronce envers un parent ou u:) ami très aímó que dc donner son nom à renfani qui vient au luoiide. C'est,cn quelque sorte, mettre I0 nouveau-n6 5 0 U S la proiectioii morale de la personne dont jl portera le prénoilt. Dans certaiiii-fi íaniíUcíí, .surtout dans îes famiJîus de raristocraUcj il est d'usage que tous les aînos portent 11- même nom ou l'un des deü>: ou trois noroa réservés à. la. brancha principale. Darts la maison de France, tous les lois se sont appelés Lmûs, ChMlcs ou iitmvi. LBÈ ELÎnès dct' tl'Orlüan-'l· se sont toit jours appdós Philippe; ceux dca J I / M Ï J Î W vcncy. MaiJiitm ; des Rtûan- :Lüuis] (Ina /.îfyiiii- ; Hûnofù, etc. ( Voir suitü -por^ií XXIÎI.) I XXI •a >^ "u ¡3 PLIÍS KÊLLES LES mmm U f M ^ E z ' ^ ^ I S EDVABSKI J A Q U E T T E A S T R A K A N VÍaiTABLi: 29. rue de PARIS=TAILIEUR D MES PERStANSK P E i U X EUTÍSHES EEPDSS D A N S SliS S A L O N S 300 Fr. rOURKOKT 250 Fr. 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L La beauté du phonographe tfest iiu'il est Le jouet de chRcUfi — paa irécisiémeill le tfôtre et le mien, mais celui de chacun — btjn pour toute l a ' ches sot, C e s t dti la j o i e plein la mnison. Vous ne crolteiî p a s ceci tant q u e vous ne l'aurez p a s triteucitl, et V O U S pouvez Tetitendre sans difficulté, Kendc^-Voug dans n'ifuporte laquelle des bontiques oci l'oa en vond ~ il y un a plusieurs dans cetw ville — écoutcz-le. Vous voudrez absiîlunietit en eiaporter un, )e même soir, ijheî vous. Polir le cataltijfoe ñ a v t i c adresses des dépôts danJi vutrcj ville, envoyé frautiû sur dumatidç,' 5 d r e s s e 2 > v o u s à la Íàmille c t ¿US amia, C o m p a g n i e f r a n ç ^ I S Q a\» P h o n o g r a p h e E d i s o n 4 S , R.ue d e P a r a d i s , P a r i s . — T é l . 3 7 ? . 8 9 . Pour la Belgique,' s'adresser à L'Agence Belge d e la National Phonograph C o Ltd 28, place de B r o u c k è r e , BrtixeUe.'î. 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Joindre mandat ou tiinSres et donner le tracé de votre talon pour laditiuer la Erandeur. «3 1 CONrORT, ÏXiV ECONOMIE A LA C R O I X DB GENÈVE^ PARIS - 1 Carrefour d e la Croix Rouge uge -- PARIS ^ m: Notes d'Êtégance m Toutes loa femínea ont Isuv écliarpE ; écliarpes dc tulle ou d'auti-es étoffes iégi'ics rc3L'ailla ncû rtïûsusclti-es du premier empire, EUfis en joaijnt avec lo mÊme a i t coquet ct la juême grâce Iiai'iilonieusô clo geste que leurs devunclÈres. Mais précisément parce que tris répandue, l'écliarpc a cessé d c plaire â Cûrtajues raffinées. Pour ]a remplacer allas ont imiLf;"^'^'*^'^ demander aux Carnien d'outre-Pyrénées ces beaux châles en crêpe de Chine, brodés ct frangés de dentelles doiitelles enveloppantlafierUdc leur allure. Ces cliâics qai, dans la romanesque Espagne, abritent les \Hvt brûlantes passions, seront chez nous la. passicnnette des Parisiennes. Elles trouveront, soye/.-eu sâres, une façon très personnelle de S"'en draper ; et s'ils nc prennent pas sur ieur.s frag^iles épaules la même farouche noblesse que sur celles des Castillanes, Us y gagneront un petit air aimable ct distiiigué, nn cliic tout uouvean e t ti"ès particulier, comme tout ce qui touche à la grâce de la Française. L a TOEwB dea e c h a r p e s décUïiû On l e s remnlücü par des 4:hâ]QS Ces clxâles seront donc la folio de cet hiver. On en verra, dans toutes les teintes, encadrés de belles résilles de soie et de longues franges. On les fixera sur los épaules par de larges rubans de satin, au lieu de s'en envelopper. Leur prix varis da trois cents à mille irancs et plus. J'en ai vu t o u t deniièrcimcnt un cn cr6pe de China violet sombre, brodé dans le mÊnie ton, et avec la frange assortie ; et aussi un autre tout blanc, d'un Mano laiteux, dont le fond disparaissait conipiètemeut sous des broderies du même blanc. La frange était longue Bt soyeuse. C'était là une superbe pièce, qui semblait de.rtiiiée à recueillir dans ses plis les cœurs ardents de l'Aiidalonsie, plutôt que l'exqnise ruièv3:erie de nos flirts. Passons aux bijoux. L'alliance, antique et solennel anneau d'or qne l'on portait toute sa vie au doigt, et qui avait fini par devenir t a n t soit peu surannée, est avaatageufiement refiiplacée depuis quelque temps par un étroit anneau de platine, tout enchâssé de minuscules pierres précieuses. C d a évoque une idée plus brillante, plus chatoyante que celle de la veilla alliance d'or de nos parents, uniforme et monotone et qui, sur des doigta fatigués, paraissait quelque peu lourde c t oppressive. O a sertit ces anneaux avec de petites pierres de couleur. On eu fait t o u t efi rubis, cn émeraudes, en saphirs, qui, ajoutés à l'anneau de diamants, constituent de très jolies bagues. Cette mode s'est étendue aux bracelets. ï l en est en platine, enchâssés dos mômes pierreries. Ou les tneO sur les gants de Suède et cela ajoute une joliesse de plus à celle du bras ainsi ganté. CAMILLE DUGUET. (U - BIJOUX i!, MARQUES DÉPOSÉES MARQUES DÉPOSÉES FIX " F I X " TITRE FIXE RESSEMBLANCE " F I X " "TITRE A B S O L U E AVEC L E S BIJOUX RACHETÉS j '•••.:iî>--'''.^^i' 0,50 L E GRAMME FIXE" OR k - MÊME H O R S D'USAGE Vérifier la marque FIXouTITRE FIXE sur chaque kjou .— VENTE CNEZLFS B/^OUTIEBS (1) 'u 3 Ilion. CONCOURS Hotfû dei^siii indique comment il convenait ris s'y pL-endrs pour obtenir le résultai- Kon£ avons reçu pour ce c f i n c D u r s 2-^11 MLUIÍIUIS, le classemfint a été o p é r é coiïiitia suit : X^r p B i X : UrL d f l i c Ï G u x pendintif litrt Fix- "Míis r ^ ï e n v e n u . 64, bouI&vard l'èliK-Iiaure, à Beaulieu-surMer. " Kiby.. S" P e t k : Une dilkitus* pcnduklUMme Thevenin, 56, iauboure de Montbéliard, Bdfart ^Territoire de Bel fort). Mcuiitins A- Lebrun. — E. Bray*. — A. ï i o lueut, — H. Godln. — ïtojy Lptty. ^ E, Boyer. — M, Moreiii. — Èhorli Sa-bry Bny. — Vollequer. — A . Jourdiiti. •— l . Spíírco. — n . Mnceau. — E. Collin. — Fremon. — Blanc. — I>tl.ûula. ^ C . l é T E t . — 'i'iaalor. — A.-L. Orant. — En-aüíLna. — — — — J, fi.MiUux. — ï- lÍBlke^i. M. de Salnte-CiuiK. — 0. Blliourd. iTBior. — üiiionno M. de Oftifllcr. A. Phéllzot.—Oûttiii. —A.Allalre. — Challe. — 15. Vdiïior. — P. Gwlet. — M. A. Dahinnel- — Û. Vcifi- E. Diranw. A. ï>ujûrdlTi. — Annûlct, L, KeçnaHlt. — L. Ulvièin. — B. PollM. Duîilflssli- — J. Plncliûrls, ™ auillojj. — H. Ackür. t. J&ainaTi). — E. Duvllllor^ — Mouchul, — J. Oooliet. — Th. Pacha. — J . BTunflt. — DuLaa. — Qulbwt. — T- Lùmoino- — H. Bdin. — GOLiî&l. — A- Pichón. — B. EuûoliJli, — Clioncliette. — 0. dfl Luttaieiiûut. — L. Dnvld. — I)wilatidtfl. *— Douly. — J, Ailttua. — J , Atnimiï. — M. ILubartIey. ^ OIEÛ. — M. Qro&eijfcDuplaiitm. — A. ItecnsuU., — 13. JQi?ob. — A.-B- Kyiiriùlifl. — Mmo Bmiron. — c:. UauqiieL. — K- Lantler. — J.. Cnrfaïnol. — L . Cont. - - E- Otilroy. — G. Laporte- — C HathieUi — E-OmSanvnpo. — COIII^*&8B ÛÛ Soolllon. — J. Undec. — A. UiUvlpiio, — It, l'«Ju. — C, LcBcomoE. — J. HciKir. —C. Jíií' quomiiTd. DJlbrall Nüzaro Agn. — E. Iliisuftc. — A. Lcf!rr.u*l. — E. Titot, ~~ C. Kouliü. — K. Hori/. — M. Ktller. — Y Giiymàeau. — M. CluinilJrit. CONCOVRvS JV" 5 5 7 ' iltísuítat) Les deux mots. Nous avions placé dans «n r e c . tangle d e s iraRa aiisquels o n d e v a i t ea ajouter d'aiiUcs pour lormer deux mots, notre dessin ilonnc lo résultat du ;vrDÍ>lomít et l e m o t préiÊrÈ u&t OUL qui a obteuu 1.037 voix de m a . jorité. — C. Oütit«lrm2C. — Alli^rû. — L . Ctn- BJoT. — M. Mawor. — A. Caaes, — H. Cancmtr» n" S57 Lo classement a 4lè opéré Cümïüe suit : i"^ PftïX ; Uni Ijducsï ilwt Fix, Mme Lufeau, à P a n t i n (Sçioo)P r i t ; ; Un pendcniîf tHre Fix.lt. J. Fumex, Tbotion-lcs-Bains. Cnchard. — L. yiwûïa,. — L, VisiUc. — M. Duchlteau. — Euieau.— Sudrû, — Hnurdeboigt. — lï. Fa^ldji. — G. Ittligloia. — p . Vedi'. lo^'íigseuT. — TnUpls. —1?. Baléütia. — I \ IVtit. ™ T. CorWncîiii. — E. Ecteetct. — M. TcoU' toan. — Beíllarill·l —• \VlIioniyna. — rt. EouHlon. — E. ïncanût. — CI». Benoit. — Afiïl. — M l i j ï CoiTiot, — G. îîallly — A, Guironde. — ÎX, Fítíx. — G, Oliti' lïiauit. — I - Armind. — Th. Ohampauit. — Dratc. — Síoíitíspy. — l>elti•rumizo. — Draa-Bftrtbcilût. — L. ar&rtd. montttEDi. — ïtme PJo. — 3« P e i x j Une SOUTIEN-GORGE T h e RICQLIS HORS DONNB GRANDS AU Ceinture Hygiénique h Jarretelles Brevttêe a G. I). G, B U S T E U N E LIONE Toïit entier en bitUto, sans b u s e ni baleinage, c'est par so COUPE SPÉCIALE, £ott ingénieuse, ijue le ^ PARFAITE. Les Jarieielles ordinaires aitachées sur le devanr d u Corset o n t u n e tendance à pencher le corps en avant. T h é Foster, au contraire, cambra le dos à la hauteur d e la taiile e t réduii celle-ci. Portée avec oa sans corset elle goutieni l*abdomen. mi SOUTIEN f 9 0 4 P O U R L'HYOIÈNC D E L A TOILETTE {Î tí donner A V^tit det q\it.Wit it^inïiíaníti LAVAGE DES NOURRISSONS SOINS DE LA BOUCHE LOTIONS du CUIR CHEVELU, HERPÈS » SOINS INTIMES, eteT M SepDlDÉ LE BEOF 1.55, 1.9D, 2.2S, £.45, 3.2B, 6Z .S SEURRE UTit du ie£t« ííit ïduietti^ â i Q , ]o3 fiipitanit de Ptirii, Ù Fiacon, a fr.i les ilx Flacons, lOJrancs. Se trDU<fO âanï tunlâa tes fbannadas S E uÈPiEti uns iHrrAriturs rypjini.-.HiiisETraEf f i c í o e s _ roiTALQHUHXír^itBiífliïiníBiíMTBBnaDïHinuí C ' T I T A N I A , 4fi, r a o C u r i a l , P A B I E AMÏISEPTIQUEAU GRïSTOl CRYSTOL-TOILETTE employé matin et soir par toutes les dames soncieusea de leur santé. 'KllIlíaUEMT t A P A B T I B D t J CORPS S A Ï O W K É B , aUérer nt tateintÉjti P^pidtnnf- L a liûlt* d e ï p a l n d lûrft., -.r luAí SiVOHHEBIB a o l l i M I « 4 l . , 3 B , rao Lo P t í o t i í f , m i » - Ph*'" T B A P E K A î l D , 35, rae de» Damos, P a r i s remplit le tut désira tout en restant invisible. Il forme une poitrine idéale et njoule une taille parfaite. 1Í s'impose aux lîaroes qui font du teiiiiis, de l'équitation, des spotti eu gánéial. LA ' rt d'êireMe S'adresser i M"" SEURRE Liilffire PAU H R5ETH0DE A M É R I C A I N E TrsJtmmt rnkoñné tfM soint dû vfeajje, eflaçant arornpíemení /«a rXdOB, t a o a e s , p o i n t s n o l r ^ c o o p e r o B s . etc.. ut afsïurjiat tu t e i n t ono p u r e t é èolata^ita. Hl'Ksi iihîtt/fIJJjïKKijf iitnai) «multaílaasiíi.àSh. stpjcOOPfflir M - ' M M X Î Î . S l . r u B d u Bso P A R I S . que 3CS propriités autiecptiqnca, tûûiquM *t dSteriiircs !,TITAP Hottojoïc du Ung» — tltus» soi p a r la • C T A . 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P o u U t . — G , iliíiljcl. — H . IJoctal.— M. ï e t i t . — G. U a m m i c n . — FelloUtr. ~ H . l i a v w i n e . — 6 , Uaille. — Q l l a u d . ^ A . E i u L . — Harin. PoncS. — OímmplDn. — C J ^ o l z e . — C. HleueU. — M. Bm, I>utioÍ3. ^ M . Trottet, ^ M; Mí^TiTCT. — A . C a i o n . V - — ^ í i i i t o o . — E. : F a y e . — T ï f i v j s a é . — PIMIo h e . — M . I t O B E c t . — C . K l e i n . — &, Ílit h o l í í i . — P û q u i c r . —-.ChaatuetilEB. — CaibümieL OliWpentier..— Coüjun ,T.—Ambcûb. —.Commaiidmu.Ma» lat, — y . S^batií·r. — M . Noíil. —D n tlicíl.-— J . I l a n a u á i i i . — £ 3 . H a i ü o i i . — H . EGIÍOUIÍ— , A. — CItiillu. — M o l M i ü . — Hi-nuult' ~ l'· L s b c E Í K - içuij „ B H- C o i i t o i i t . — Eose Snovaao, V a n i s r . — NIIIIBIN. — Eauroii. . - M M i e Mai-MiiSüenc • - E. nnjet. _ 1 . . llimiir. — Siiimid, —.T. í i i m s j : . — C h . Caiiil'iiy, — B n i n e t . — moue. - A . • l l . . l . e r í . - I ^ E o ï . ~ T - ;iw!"iinlt \ ! o l e t t e flií . , _ H o l 1 i n < i DOBSELLA.— J . _n„ H i i a o l p l i . — J - L E i l l u l o e . — " M l r t e LI90 » . — Î - a m t e t s . — C , C à u i n l a u i e , BOÍBSO. _ f^^ffi, — M . J^OMCBOCK, — 1.0 V a valMUr. — f • U n ç dsllcJcusc d u J'"'' (16^ atgtnt contrôlé, L . Tirata. — T B r n l i a l K - — M "oarílfire. Eonlt- — PRIX : c( p i c r r a s 3" PRIX ] ü o t ' — l í E S l i i - í ' . — L:. J , ! i i i a 8 r È 2 c . — 1 Veitlriíctc- — (J. l i i t y - — M . E e r .¡if _c. ainimii". - J. A r l a u d . — nkoiract. — II- l a U y - A . Btlaujjcly. _ I t .ri'llíiiiicr. — A . V o a s l , — A S o s n W l l t . — ' V ' - K.iTBnnn. — I,. T l n r - jj5. _ r"*" n o v e m b r e , e t J c s r é s u l t a t s publias dansnalre n u m é r o Ij'ost. — U n r M U . - L'i'-« • V.FLAR,,.,, LL„. _ J l u v i i l l o r . - Slitrjs M ü i r e . — .ií- E i c E v c n u - - l i " r . . i i r . - J . T . w c i J i e t AAINTB-Ccolx. — O o n - largllliòrt, — Boyer. — S, Glamlin. — TLdVtTíet. — A . ü o m n n j ï G . ChMipa— J. Clidllô. — W a i t e r A . — C o r b i n e n u . — Bleur d e V i g n e . HBICQ— A-E a i b W . — Gront, ^ FnBeillIer— A . Baiûn. —Dubua. ^ A . rroUBiinx. ~ ïranclt. — D a t v i i i l , — N l r ù l i i n . — Duval. AlapbUippe — G. I t n f t h c r . - {Nauttsati) COP^COVRS A T Jtf-Î Les 3 4 lettres Plus ût Moins. Voulei-VDTJs — rioinout-Curtil. — 13 C o u r L e i i u d . — G. C h n t a ü . ~ M . F e C ï ^ r û . — U T i r c i u . ^ L. Poupct. " Duçuâ, — ValliTt. — S c l w í í i . — H. RAÏAID. — H - r^atftiK-. — H . dfl D l - í C a e n e . ^ E . luddet. — L i v r o T i i . —• J . C l i û l u t . — CeyíollEa. droites tracer passant dïux lignes p a rl e centic d û d r c i i n f é r c n c e . d c t e l l e s o r t e <iuc V u n e d'elles tfiivçTse l e plus g r a n d nombre de e l : qm fois l a JÍÉÍrtC s e r p e u í í n e , l'autríi traverse serpentine do 'CÛPiCOURS No»s pnblierotis duti-s notre prodiaw 364^ CONCOURS N° 363 fais. réponses Les égalemeiil Ifi m o i n ç Combien l a liçuo grand Plus et Moins nombra recevroas-nous d e pour c ecoucoiiis ? 5OL.utiori3 seront reçues jus- Les 34 lettres. Voici ¿7 avoii 34 KTTT£S É t éj e t é e s q u i G a T l é , 11 t i ' e a e s t . r i e n . m p e ud e patience, vous servir á paraissent a u iiasaid dans ce S ivous elles avez peuveût reconstítueï u n p r o - V E i b e , t i r é ilea l a b l e s d e L a F o n t a i n e . Divisei! c e eaxrÉ d'uDe lière, d e telte sorte ces lettres des BÉPARATIONSI de aans après d e e n blanc. Il d e découper c e s ûguiCE, e t d e l e s telle u u e quelquea-aDe.a lesteroat aufEra nmivelles légu- que ohacuue d e SUIT p i a c é e CES d e r n i è r e s vous Eaçon replacer' sorte .que l e proverbe soit reconstitue. Combien reoevroos-nous d e riponSCS p o u r c ec o n c o u r s ? Lessolutionsserontrepues i«i n o v e t n i j r o r " 3* P a i x SoftYWa. publiés décemDrc. P a u : : U n i boune t i t "Fin. Î'ÎBIX! C o D C O u r s H " sea. — jusqu'au e t iesrésultats dans notre numéro d u U M daieituse : Une bïûche piaJiiltttc, titiÉ Fix, C m o o u i e a ' Mi. — Eouvoau, HUNYADIJANOS [KOHTlOESGEISlCH piaf l e IIE • Lebeo<'2ed"rés o u d le problètne de l'éclairage ïiincandesceneeparle PÉTpLE;ilest exac'àur.lz&t. r / d e s lüíBTias, t i ' M e i - a i M M n » . e l e . 1 KA t e n i e u t aussi nim^ pie à manier q u ' u n l e a CHETÍUÏ eSl T i s n a a n t BB lj o u r s ., Briépeni i p e n s D n a m l E U n t o . L i flnt t . * J f!, r s t o r i f H t . , 1 b t l l î e . r n f f e r m l a . c i l bec o r d i n a i r e . P a r groîSû.lMlc3 . 5 0 irsu.laFanir u n dispositif s p é iSESt, L o U o n végétale, l s i a M n , cial ( d e r n i e r b r e vet) u n noircissee n u n e fois. L n lmH« irbistrrin^.mpmr,uumxa nientdu manchon m : CÏLM-i l ï - n B c i d n C u l v u i r i i , 2 » , Taris.NOUCC£mtli est d e v e n u impossible. SEINS YEUX Nousgarantisaons absolument que le hec " Z e d " n e m e ainefume Jamais. Découpage, OUTILS mUÇAIS .XrêsjnipoJ'taiii.'I'ouiévitcr 1»! i m i f a l i o i i s , e x i g e r l a m a ï a u e "Z" r^cS s u r l a c l e f . Sculpture Bt AMÉRICAINS TIERSOT Si C¡^ 6 1 , r . aes PotítaíHuniipa J Pi·is fAyam Ile mplra. Péris. ftiît f r i s e r LES THCÍCÜI ^ÎNCLNTÏT i B ^ o m - B , d é p e n s e a u U t , rÈeiilt a t c SURPNTNANLS. f rLc S ffiiaCEl- m m m m X'm c n p e ! J _ £ p J ü u i - 3 . L n ï w í t e 3íS MLEPILATfliRE-3 M I N U T E S âCtnilt pour t o n | o u r a P5LFE,l:.irl:e,tîi:vj.'t | ¿ . PIUJ d u r , La. IxJîtc G ri-:incs. ¿t miche:\Qfr.-Mniioisen \prot> ince conire 1 O/Î. 'BS F. FIBDLBR 25, Bd Bonna-MiiivellB. Paris ^4¡¡Q^^ cuirltétaîn repousses "AMOHEAS Après oValr cssagê la píame à rêserVair I PLUS SAXLÍÍHNEñ" DE MAINS ROUGES PLUS DB PEAU StBCHBl ^ « BEETHAIH'S SDPBEMEEOWFaiSORE 11 écluiredixfois plus q u ' u n b e c ordinaire e t réalise u n e é c o n o m i e d e p é t r o l e do 50 " / o Pria au bec eompUi manchon PYROGRAVURE n i rtdci, n l Mlnt fl«ri, d ô t r u i t l e r o u g e J u n ^ ^ p a l ï i l , nuIrji.IACLLCA ¿HROUSSCUV.ljiJoueK.trlpluüicc. ton, p o u r loulonrs, Piix 4 fr.60 IlMvissesüfn'iml»rtequellelaiupe ordinaire (il sníüt deuûusindlqnerle diamitredtipasda vis d u récipient). iH>ec •Birre, PURGATIF O E S FAMILLES ï . BYRRH V o u e no v o u a r c i pluo v o u s servir d'aucune autre. SATISÏACTIOIT (ÎAHAKÏIÏ! 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Prenez donc tous les jours deuz Drâgéais ds T h y r o ' ï d i n e B o u t y et votre-^tbillo Testera, ou Tedeviendra svelte, L·m Pt.A(?ON I; _ lO ^ Envol franco e n n t r n m»nfïâL-roïE^ jLEúioratoIre^ _ Ft> 1, » eOUTV. E n e de CaiÈtoauSun,, ,Parla. EAU faite connarTr& à SI vos CHEVEUX TOMBENT tous ceuï qui sont atteints d'uns maladie de la peau, dartres, ecïiiraas, boutons, dímangedsons, bronchites chroniques, niaUdies de la poitrine, do l ' E s t o m a c et de U vessie, de rhum at Lames, un rQpyen infaillibb de m guérir protnptcímentj. ainsi qu^il J'a été radicalement lui-jnrâna, i i p r c s avnir sauffert et essayé vain tous l e s remèdea préconisés. Cette oflre^ doat on appréciera la but tiumanltairej est la conséquence d*un v œ u . Ecrire p a r lettre ou carte postule à M. VINCENT, 3. place Victor-Hutio, à Gi-enoWe, qui répondra, g r a t i s et franco p a r ' c D u r r i e r et enverra les indicatiiins demandics. U, me Cil. fflb . ^MF f i CV.atíil¡rí.ta S i p E G'HOiîLaSirSIE EH TOUS [fin, m ^ A M T . - E„., , Ü raoxj.ST, d u Docteur I i . de B l o i s , p r o d u í : CONIRÒM par le iuboratoiri; du Winistire des Finances. Seul llpinamiiiz le Oataiupif! iUuulri ShriitioiyiMrBt.lfciiIrasiPthn,^, ISF^ 3imíí3. : /|, GASSAULT, Gliwie cgntessjonnaii's 10, Rue Porte-Côté, Bl,OiS En vente A E Z ious les 'Coiffeurs, Pharmaciens ^ et dans Its grands magasins d e Paris,. , POVF an IRSITEMANL com/i/ai, IT-FLACAN : IO m Mier, fît/ouiflWa.—Malsûn CHUTE D E S C H E V E U X LDriüN RADJOStVE lo Flar.on Î D ? fr. F " io.es ÜUlRISON (MDIÍAlE Ooire jupe est ouuerîe... Pourquoi n'e[nployez=voas pas ? 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L t Ú . & í r . "t — "Voyoüs» msa tnirnito.. U mo semble ane la cérimoniiï eat tomiinÉe... vou» n'ûtteutlei iiiua ni M. 1Ë lïiaJre, ni UL. le iMicú— STouH atUndoûa düclciiriiii do Ijootioüup plua i n p D r t a . a t ] u'tl·sb If photcftaplis de • Jî^mfna ». EN 2 0 J O U R S S POITRINE ANEMIE co'LI.'k'jRs L A CRÈMK C É O R G I A ranernilt les onalrs etradonnis 114 Pain Grillé Jacquet T É I t T T W A T o b l C J i u i i ü ï lfl wftJi^ ÜlAPITA.'ÍE C( l a POUDUF ItAfillEL c o o l P e liti poiïits M l M , rnUpeuca, BiJîKii, c A a o ï i ' î . , - , . 3 IÏ-. 3 6 l>oiip l o s Pflfliîi ¡íi'asafiJ iî! bien, iiomme toilette, <;'cnt tif'aufioiip Jilus lieonouiiquet ss [«motí st ses %ma bamioniease!, la ilac. l a í Í B O ï c í Irjmca ei fcani* m\K mxMi. PARFUMERIE tSTHÎTIQUE DE PASIS 3 2 , E u e d e E t o h e l i e u , P a r i s . 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ABULTES. — Gastralgie, Dilatation, Ënqorgenlieiit d u foiej C o n s t i p a t i o n , Migi-afue, I n s o m n i e , O b é s i t é , Sew¬ ! iraiitUeïlie, I m p u i s s a n c e , Eroclii)» ftsom : »• DESOBAMPS e, ruo Ambroli!Q'Thüma&, Parlí, XXX EN i[S"TETRA' VENTE PARTOUT Cas T i s s u s , d ' u D p o u v o i r t r è s a b s o r i i a n t , sècttent l a p e a u r a p i l e i n e n t e t d'nne l a ç o n a b s o l u e ; i l s sèohflnt e n i - B i S i n e a t r è s v i t a . — Des p l u s a g r é a n i e i a o t o u c h e r , i l s , aubissBiit^ams oba^ BftWDES COMPRESSES "''T'ETL^A' ET iiisGimte8si!snËt.':»SEl ;pr||r FLUEURS BLANCHES NEURASTHÉNIE, CROISSANCE : CONVALESCENCES trèa rapide. ! t-iic Lï Suivies X>* Saht^ ]>•• CDia--Iti ïoSrpK" CONFITURE deStViNCENTile PAUL SEJNET-Pli)» 1, RuoSauliilor. Paris.T(Uli&Pkir:iitlH.Eï4ittr»liu». R p O Ü R t í U í í E S FORCILLON S œ u r s tes, n i Saint-miigri (Plan llu Ttiiltra-Friííilil K o b e s d o u b l é e s s o l e d e p u i s ISO francs POILS o u DUVETS dlserirfoui aviTliitfl dlinruiiia cninnlèM. ladHiHoQ i c i m a»!»; ^ Maison E . *, B R U N E T POURMAIGRIR r u o do CastftllAnv (Pris li Madeleine.] NmiTeatt]^ m o d è l e E , CM&ih très tamlrés reslsut droits DEVANT. SOUTLESSE — ELESMCE La Haisoa se chaire d'eiccuter Ici cùmmandes par contspondanoe et s^ns essayags. Eorlre pou* reaseliínementò lâltea uaaoft de la 'CEINTURE ISMAEL "RtiCüoUL·TOikl· ïÂK LES MKQKH^iHa. Ûett* CaîntijTO, ooiiteautit dta iiliintw oroümtíííuuíir porte Tieadanttanult ; î s U û a la iiroprlét à ds l u i r t i d l m l l l t M l ' l'omliDnpolat â toiiB l e ç <[wrò&^ cn n m é l l c r û û t l'élut aéa&raV îa Ë û n i é . , lEnma'coiireotlûnuû i f u l a m a n t d e a PDDtnlOïili ùa. p o i - t a n t lo Jonr DU 1b_ rulL tlelnjures do taille, Corsagca, liùs, Jfiralilûï^a, Mfimotiniôrea, C l i Q U f l B o n s , Bros, Cou. Ne^, JOUCE, ûliud qii« le iànctiet^DrsQGD. P A I Î X S . - HO* ISMAEL, 1 6 . cîïi TerapU^ LES MEBVEILLEUÎ^S ETOILES AIHEIllOil^: Luit, û n l û v e o t ' lfl» PÈiniant voti-a ridait* EOmniS^ l<!tas,la|oaudiîviiilunliiiWi»' ;ae a a r f t t i a a t a j a t t e il '^"''Î^L, î s s a r a i l u i o l ' ™ * ! ' ^ ^'j^T ¿rea wicliaatép d o r^^^ii lLÏIIIPtl,lB,rlJiSiliili!ll.J^'' fMsnltlüS.M-ttïMWíia' I m p r i m e r i e d c Ftfnlno. — Pirl* — H.-L. M o m . 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