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Choix concurrentiels 2016
Document d’information
Mars 2016
L’étude Choix concurrentiels compare les coûts d’exploitation d’une entreprise et
d’autres facteurs de compétitivité dans plus de 100 villes de 10 pays. Cette étude vise à
aider les entreprises du Canada et d’ailleurs à prendre des décisions éclairées à l’égard
de leurs activités à l’étranger. Elle dresse un portrait global des enjeux de la compétitivité
dans de nombreux endroits, sur lequel pourront s’appuyer les promoteurs et les
spécialistes en localisation des entreprises.
Voici les principales constatations de l’étude en ce qui concerne le Canada. On y trouve une analyse du classement
des trois principales villes canadiennes par rapport aux plus grandes villes du monde (ayant une population supérieure
à 2 millions d’habitants), ainsi que les résultats des 17 villes canadiennes analysées.
Pour discuter de cette étude avec un professionnel de KPMG, veuillez écrire à [email protected].
CANADA

L’étude révèle que, parmi les marchés parvenus à maturité, le Canada offre les coûts d’exploitation les plus
concurrentiels.

L’amélioration des coûts d’exploitation au Canada est principalement attribuable à l’appréciation du dollar américain en
2015; dans l’ensemble, les coûts au Canada représentent un avantage de 14,6 % en 2016 par rapport aux coûts
américains, contre 7,2 % en 2014.

La vigueur du dollar américain contrebalance la tendance à la hausse des frais d’exploitation au Canada, notamment
l’augmentation des loyers des bureaux dans les centres urbains et les banlieues, la hausse du prix des terrains à usage
industriel et la réduction des crédits d’impôt fédéraux pour la recherche et le développement (R-D).


Selon les auteurs, les villes canadiennes sont toutes plus concurrentielles que les villes américaines incluses dans l’étude.

Sur le plan fiscal, c’est au Canada, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas que les taux d’imposition effectifs sont les plus
faibles pour les sociétés des divers secteurs à l’étude, compte tenu des mesures incitatives fiscales accordées à la R-D et
aux activités technologiques.
Le Canada se classe au deuxième rang (après le Mexique) dans les quatre secteurs examinés. Ses résultats sont
particulièrement solides dans le secteur des services de R-D, où les coûts présentent un avantage de 27,7 % par rapport
aux coûts américains de référence.
© 2016 KPMG s.r.l./S.E.N.C.R.L., société canadienne à responsabilité limitée et cabinet membre du réseau KPMG de cabinets
indépendants affiliés à KPMG International Cooperative (« KPMG International »), entité suisse. Tous droits réservés.
COMPARAISON DES VILLES CANADIENNES AUX PLUS GRANDES VILLES DU MONDE
Montréal (Québec) (2016 : 9e / 17 villes; 2014 : 8e / 15)

Dans le sommaire de l’étude, les auteurs comparent 29 grandes villes d’envergure internationale, sélectionnées parmi les
111 villes analysées. Dans ce groupe, Montréal occupe le 3e rang au chapitre des coûts d’exploitation les plus
abordables, derrière deux villes mexicaines (Mexico et Monterrey).


Montréal se classe 9e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 11 e parmi les 111 villes analysées.

Parmi les villes analysées de la région du Nord-Est des États-Unis et du Centre du Canada, Montréal se classe au 4e rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant deux autres villes canadiennes et les 17 villes américaines.

Au Canada, Montréal arrive 2e en ce qui concerne les coûts de transport, 2e ex aequo pour ce qui est des loyers des
locaux industriels et 4e pour les coûts d’électricité. Montréal affiche toutefois les impôts fonciers les plus élevés parmi les
17 villes analysées.

C’est dans les secteurs de la fabrication et des services numériques que Montréal affiche ses meilleurs résultats, se
classant 6e au Canada. En comparaison, elle est 13e au classement dans le secteur des services aux entreprises et 14 e
dans celui des services de R-D.

Depuis 2014, Montréal a profité d’une baisse des loyers des bâtiments industriels et de la plus forte diminution des coûts
de transport au Canada. Par contre, la ville a aussi subi le contrecoup du resserrement de certains programmes
d’encouragement du Québec, notamment la réduction du crédit d’impôt relatif aux salaires en R-D (qui est passé de
17,5 % à 14 %) et l’abolition du crédit d’impôt de 27,5 % relatif aux salaires en R-D accordé aux sociétés
biopharmaceutiques.
En ce qui concerne le secteur de la fabrication, Montréal affiche ses meilleurs résultats dans les sous-secteurs de la
transformation des aliments et de la fabrication de produits en plastique, où elle se classe 2e parmi les 17 villes
canadiennes.
Toronto (Ontario) (2016 : 12e / 17 villes; 2014 : 11e / 15)

Dans le sommaire de l’étude, les auteurs comparent 29 grandes villes d’envergure internationale, sélectionnées parmi les
111 villes analysées. Dans ce groupe, Toronto occupe le 4 e rang au chapitre des coûts d’exploitation les plus abordables,
derrière deux villes mexicaines (Mexico et Monterrey) et Montréal.


Toronto se classe 12e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 14e parmi les 111 villes analysées.

Depuis 2014, les facteurs influant sur les coûts d’exploitation ont eu une évolution relativement normale à Toronto,
exception faite du coût de la main-d’œuvre. Toronto affiche la plus faible augmentation du coût de la main-d’œuvre des 17
villes canadiennes étudiées au cours des deux dernières années, grâce surtout à la diminution du coût des avantages
sociaux.

Parmi les villes analysées de la région du Nord-Est des États-Unis et du Centre du Canada, Toronto se classe au 5 e rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant Gatineau au Québec (région de la capitale nationale) et les 17 villes
américaines.

Au classement des 17 villes canadiennes analysées, Toronto arrive au 1 er rang pour ce qui est des coûts de transport, au
2e rang pour ce qui est des loyers des locaux industriels (ex aequo avec Montréal) et au dernier rang pour ce qui est des
coûts d’électricité.

Toronto affiche ses meilleurs résultats dans le secteur de la fabrication, où elle se classe 7 e au Canada, et dans celui des
services numériques, où elle est 9e au classement. En comparaison, elle arrive 15e dans les secteurs des services de R-D
et des services aux entreprises.
Par rapport à 2014, Toronto a reculé d’un rang au classement des villes canadiennes en raison de l’ajout de nouvelles
villes à l’étude.
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
Dans le secteur de la fabrication au Canada, Toronto est plus compétitive dans le sous-secteur de la fabrication de
batteries évoluées et de piles à combustible, se classant au 2 e rang, tandis qu’elle est 3e dans les sous-secteurs de la
transformation des aliments et de la fabrication de produits en plastique.

Dans le secteur des services numériques, Toronto se démarque par sa production de jeux vidéo, où elle se classe 5 e au
Canada, devant Montréal (6e). Le crédit d’impôt de l’Ontario pour les produits multimédias interactifs numériques
contribue largement aux bons résultats de la ville dans ce secteur.
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En ce qui concerne les services financiers internationaux, Toronto est 16 e, ce qui en fait la 2e ville parmi les plus chères
au Canada dans ce secteur. Par contre, comparativement aux autres centres de services financiers dans le monde,
Toronto arrive au 19e rang parmi les 111 villes analysées, devant Sydney (31 e), Francfort (44e), Tokyo (92e), Chicago
(102e), Londres (106e) et New York (111e).
Vancouver (Colombie-Britannique) (2016 : 15e / 17 villes; 2014 : 15e / 15)

Dans le sommaire de l’étude, les auteurs comparent 29 grandes villes d’envergure internationale, sélectionnées parmi les
111 villes analysées. Dans ce groupe, Vancouver occupe le 5e rang au chapitre des coûts d’exploitation les plus
abordables, derrière deux villes mexicaines (Mexico et Monterrey) et deux villes canadiennes (Montréal et Toronto). Elle a
par contre une faible avance sur Manchester, la grande ville la plus compétitive d’Europe à ce chapitre.
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Vancouver arrive au 15e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 17 e rang parmi les 111 villes analysées.

Ces deux dernières années, Vancouver a connu une des plus faibles hausses du coût de la main-d’œuvre parmi les 17
villes canadiennes à l’étude (2e rang, derrière Toronto), et toutes les catégories de coûts liés à la main-d’œuvre ont
contribué à ce résultat. La diminution des coûts de transport a en outre été plus importante à Vancouver que dans bien
d’autres villes canadiennes. La hausse des coûts des installations demeure toutefois un enjeu important à Vancouver.

Parmi les villes de la région du Pacifique à l’étude, Vancouver arrive 2 e (derrière Kelowna). Il est à noter que les coûts
sont généralement plus élevés sur la côte Ouest américaine qu’ailleurs aux États-Unis et que Vancouver fait meilleure
figure que les villes américaines de la région (Portland, Seattle, San Francisco, Los Angeles et San Diego).

Sur la scène canadienne, le coût de la main-d’œuvre est moins élevé à Vancouver que dans les autres grandes villes
canadiennes, grâce en partie aux charges sociales très modestes (notamment les régimes de retraite d’État, les régimes
d’assurance maladie d’État, l’assurance emploi et le régime d’indemnisation des accidentés du travail). Les services
publics bon marché confèrent aussi un avantage à Vancouver; la ville est en 3 e position pour ce qui est des coûts de
l’électricité et du gaz naturel. Elle affiche toutefois les plus hauts coûts des terrains à usage industriel et les loyers des
bureaux les plus élevés des 17 villes canadiennes analysées.

C’est dans le secteur de la fabrication que Vancouver se distingue, grâce à son port, le plus important au Canada, qui
facilite les échanges commerciaux. Au chapitre de la fabrication, Vancouver se classe au 10 e rang parmi les 17 villes
canadiennes. En comparaison, elle est 12e au classement dans le secteur des services aux entreprises et 15e dans celui
des services numériques. Elle occupe le 17e (et dernier) rang en ce qui a trait aux services de R-D, les coûts élevés des
installations pesant lourd sur ce secteur.

Par rapport à 2014, Vancouver a dépassé Edmonton dans le classement des villes canadiennes mais, en raison de l’ajout
de Gatineau à l’étude, elle demeure au 15e rang.
Vancouver fait également bonne figure au chapitre des services financiers internationaux. Elle devance Toronto et
Calgary dans ce secteur où les trois villes se livrent une rude concurrence.
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COMPARAISON DES 17 VILLES CANADIENNES ANALYSÉES
Fredericton (Nouveau-Brunswick) (2016 : 1re / 17 villes; 2014 : 4e / 15)

Fredericton arrive en tête du classement des villes canadiennes où les coûts d’exploitation sont les moins élevés en 2016.
Au classement mondial, elle se situe au 3e rang des 111 villes étudiées, derrière deux villes du Mexique.

C’est la première fois que Fredericton domine la liste des villes canadiennes incluses dans l’étude Choix concurrentiels.
Classée 4e ville canadienne en 2014, Fredericton a surpassé Moncton, Charlottetown et Québec grâce à la modeste
augmentation du coût de la main-d’œuvre et à la diminution des loyers (surtout dans le secteur industriel).
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Parmi les 11 villes analysées de la région de la Nouvelle-Angleterre et du Canada atlantique, Fredericton se classe au
premier rang pour ce qui est des coûts d’exploitation.

Au Canada, Fredericton se classe 3e pour la compétitivité du coût de la main-d’œuvre (y compris les charges sociales et
les avantages sociaux). Elle est au 4e rang des villes canadiennes en ce qui concerne le coût d’achat des terrains à
usage industriel.

C’est dans les secteurs de la fabrication et de la R-D que Fredericton se démarque le plus. Elle arrive respectivement 1re
et 2e dans ces deux secteurs, parmi 17 villes canadiennes. En comparaison, elle est 3e au classement dans le secteur
des services aux entreprises et 5e dans celui des services numériques.

Dans le secteur de la fabrication, Fredericton se démarque particulièrement dans les sous-secteurs de la fabrication de
pièces d’aéronefs, des produits pharmaceutiques et des composantes de précision, occupant le 1er rang des villes
canadiennes.
Moncton (Nouveau-Brunswick) (2016 : 2e / 17 villes; 2014 : 1re / 15)

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Moncton arrive au 2e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 4e rang parmi les 111 villes analysées.
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Parmi les villes analysées de la région de la Nouvelle-Angleterre et du Canada atlantique, Moncton se classe au 2 e rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant trois autres villes canadiennes et les six villes américaines de ce groupe.

Au Canada, Moncton occupe la 2e place en matière de coût total de la main-d’œuvre et de coût des terrains à usage
industriel.

C’est dans le secteur des services de R-D que Moncton est la plus compétitive, où elle se classe 1re au Canada. Elle se
distingue aussi dans celui des services aux entreprises, où elle est 2 e au classement (derrière Charlottetown). En
comparaison, elle est 3e dans le secteur de la fabrication et 4e dans celui des services numériques.

Dans le secteur de la fabrication au Canada, Moncton se classe au 1er rang dans les sous-secteurs du matériel médical,
des produits chimiques spécialisés et des équipements de télécommunications.
Depuis 2014, les facteurs influant sur les coûts d’exploitation à Moncton ont eu une évolution généralement comparable à
celle des autres villes canadiennes, exception faite de la hausse des loyers des bâtiments industriels.
Québec (Québec) (2016 : 3e / 17 villes; 2014 : 3e / 15)


Québec arrive au 3e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 5 e rang parmi les 111 villes analysées.

Québec doit sa position parmi les villes canadiennes à la compétitivité de ses coûts de location de bureaux et d’électricité
(4e rang au Canada) et de ses coûts de transport et de construction d’installations industrielles (5 e rang au Canada).

Depuis 2014, les loyers des bureaux et les coûts de transport ont affiché une diminution supérieure à la moyenne à
Québec, ce qui a permis à la ville de surpasser Charlottetown au classement et de maintenir son 3e rang au Canada,
malgré la réduction des mesures incitatives fiscales (voir aussi Montréal).
Parmi les 23 villes analysées de la région du Nord-Est des États-Unis et du Centre du Canada, Québec se classe au
1er rang pour ce qui est des coûts d’exploitation.
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La ville de Québec se distingue dans le secteur des services numériques (divertissement numérique, conception de
logiciels, etc.), où elle arrive en tête des 17 villes canadiennes à l’étude. En comparaison, elle est 4 e au classement dans
le secteur des services de R-D (biotechnologie, essais de produits, etc.) et 5 e dans ceux de la fabrication et des services
aux entreprises.
Au chapitre de la fabrication, Québec se situe au 3 e rang des villes canadiennes étudiées dans les sous-secteurs de la
production de composants en métal et des composants de précision.
Charlottetown (Île-du-Prince-Édouard) (2016 : 4e / 17 villes; 2014 : 2e / 15)

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Charlottetown se classe au 4e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 6e rang parmi les 111 villes analysées.

Bien qu’ils aient augmenté depuis 2014, le coût de la main-d’œuvre et les loyers des bureaux à Charlottetown demeurent
les plus bas parmi les 17 villes canadiennes étudiées. Par contre, Charlottetown affiche aussi les coûts des services
publics les plus élevés au Canada et le plus haut taux d’imposition combiné effectif des sociétés parmi les 17 villes
canadiennes incluses dans l’étude. Malgré ces résultats inégaux, Charlottetown est en très bonne position, au 4 e rang.

Depuis 2014, la chute du prix du pétrole a profité tout particulièrement à Charlottetown, car de nombreuses sociétés de
l’Île-du-Prince-Édouard dépendent du pétrole, vu l’absence d’un réseau de distribution de gaz naturel. La hausse des
loyers des bureaux en banlieue et l’augmentation du coût total de la main-d’œuvre ont toutefois fait reculer Charlottetown
de deux rangs au classement.
Parmi les villes analysées de la région de la Nouvelle-Angleterre et du Canada atlantique, Charlottetown se classe au
3e rang pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant deux autres villes canadiennes et les six villes américaines de ce
groupe.

Charlottetown obtient ses meilleurs résultats dans le secteur des services aux entreprises, où elle se classe 1re au
Canada au chapitre des services professionnels et des services de soutien. En comparaison, elle est 3 e au classement
dans le secteur des services de R-D, 4e dans celui de la fabrication et 10e dans celui des services numériques.

Au chapitre de la fabrication, Charlottetown se situe au 3 e rang dans le sous-secteur du matériel médical et au 4e rang de
diverses industries, notamment la fabrication de pièces d’aéronefs, la production de composants en métal et les produits
pharmaceutiques.
Barrie (Ontario) (2016 : 5e / 17 villes; 2014 : donnée non disponible)

Incluse pour la première fois dans l’étude, la ville de Barrie arrive au 5 e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et
au 7e rang parmi les 111 villes analysées.

Parmi les villes analysées de la région du Nord-Est des États-Unis et du Centre du Canada, Barrie se classe au 2e rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant quatre autres villes canadiennes et les 17 villes américaines de ce groupe.

Des 17 villes canadiennes étudiées, c’est Barrie qui présente les loyers des locaux industriels et les coûts de construction
d’installations industrielles les plus abordables. Barrie se situe en outre au 2 e rang en ce qui concerne les impôts fonciers
et au 3e rang en matière de coûts de transport et de loyers de bureaux.

Barrie affiche ses meilleurs résultats dans le secteur de la fabrication, où elle se classe 2 e au Canada, et dans celui des
services numériques, où elle est 3e au classement. En comparaison, elle est 7e au classement dans le secteur des
services de R-D et 8e dans celui des services aux entreprises.

Du côté de la fabrication, Barrie est au 1er rang des villes canadiennes étudiées dans quatre des douze sous-secteurs
analysés, soit la fabrication de batteries évoluées, la transformation des aliments, la production de composants en métal
et la fabrication de produits en plastique.
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Halifax (Nouvelle-Écosse) (2016 : 6e / 17 villes; 2014 : 5e / 15)

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Halifax arrive au 6e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 8e rang parmi les 111 villes analysées.

Parmi les villes analysées de la région de la Nouvelle-Angleterre et du Canada atlantique, Halifax se classe au 4e rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant St. John’s (Terre-Neuve) et les six villes américaines de ce groupe.
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Parmi les 17 villes canadiennes, Halifax se classe 4e pour ce qui est des coûts salariaux et du coût total de la maind’œuvre. Elle se classe 6e au Canada quant au coût des terrains à usage industriel.

Halifax affiche ses meilleurs résultats dans le secteur des services aux entreprises, où elle se classe 4 e au Canada, et
dans celui des services R-D, où elle est 5e au classement. En comparaison, elle est 8e dans le secteur de la fabrication et
11e dans celui des services numériques.

Depuis 2014, les facteurs influant sur les coûts d’exploitation ont eu une évolution relativement normale à Halifax,
exception faite de l’augmentation importante du coût du gaz naturel. Halifax recule d’un rang au classement de 2016 en
raison de l’ajout aux villes étudiées de Barrie (Ontario), qui prend la 5 e place.
Dans le secteur de la fabrication au Canada, Halifax affiche son meilleur résultat dans le sous-secteur des produits
pharmaceutiques, se classant au 5e rang, tandis qu’elle est 6e dans les sous-secteurs du matériel médical et des
équipements de télécommunications.
Winnipeg (Manitoba) (2016 : 7e / 17 villes; 2014 : 7e / 15)
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
Winnipeg se classe 7e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 9e parmi les 111 villes analysées.
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Parmi les 17 villes canadiennes, Winnipeg prend la 2 e place au chapitre des coûts de construction d’installations
industrielles et la 4e place pour ce qui est des loyers des locaux industriels. Winnipeg affiche le coût d’électricité le plus
faible et elle se classe 2e au chapitre du taux d’imposition effectif des sociétés (grâce en partie au crédit d’impôt de 20 %
pour la R-D offert par le Manitoba).

Winnipeg affiche ses meilleurs résultats dans le secteur de la R-D, où elle arrive 5e parmi les 17 villes canadiennes à
l’étude. En comparaison, elle est 9e au classement dans les secteurs des services aux entreprises et de la fabrication, et
12e dans celui des services numériques.

Du côté de la fabrication, Winnipeg est 4e parmi les 17 villes canadiennes analysées dans les sous-secteurs de
l’assemblage de produits électroniques, du matériel médical et des produits chimiques spécialisés.
Winnipeg demeure 7e au classement des villes canadiennes, comme en 2014.
Parmi les 27 villes du Midwest américain et de l’Ouest canadien à l’étude (4 au Canada et 23 aux États-Unis), Winnipeg
arrive au 1er rang pour ce qui est des coûts d’exploitation.
Sault Ste. Marie (Ontario) (2016 : 8e / 17 villes; 2014 : donnée non disponible)
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Sault Ste. Marie arrive au 8e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 10 e rang parmi les 111 villes analysées.
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Au chapitre des terrains à usage industriel, Sault Ste. Marie arrive au 1 er rang au Canada et au 2e rang parmi les 111
villes à l’étude, devancée uniquement par la ville américaine de Spartanburg (en Caroline du Sud).
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Au Canada, Sault Ste. Marie se classe 3e pour ce qui est des coûts de construction d’installations industrielles. Ce
résultat, combiné au faible coût des terrains, place la ville au 1 er rang quant à l’investissement nécessaire pour construire
une nouvelle usine. Sault Ste. Marie est aussi avantagée par les faibles loyers des bureaux (5 e rang au Canada).

Sault Ste. Marie se distingue dans le secteur des services numériques, où elle est 2e au Canada. En comparaison, elle
est 6e au classement dans le secteur des services aux entreprises, 8e dans celui des services de R-D et 15e dans celui de
la fabrication.
Parmi les villes analysées de la région du Nord-Est des États-Unis et du Centre du Canada, Sault Ste. Marie se classe au
3e rang pour ce qui est des coûts d’exploitation, devant trois autres villes canadiennes et les 17 villes américaines de ce
groupe.
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indépendants affiliés à KPMG International Cooperative (« KPMG International »), entité suisse. Tous droits réservés.

Dans le secteur de la fabrication, Sault Ste. Marie affiche son meilleur résultat dans le sous-secteur des produits
chimiques spécialisés, se classant 10e au Canada, tandis qu’elle est 11e dans les sous-secteurs de l’assemblage de
produits électroniques, des produits pharmaceutiques et des équipements de télécommunications.
Montréal (Québec) (2016 : 9e / 17 villes; 2014 : 8e / 15) Voir plus haut
St. John’s (Terre-Neuve) (2016 : 10e / 17 villes; 2014 : 13e / 15)
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St. John’s se classe 10e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 12e parmi les 111 villes analysées.
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Parmi les villes analysées de la région de la Nouvelle-Angleterre et du Canada atlantique, St. John’s se classe au 5e rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation, derrière les autres villes canadiennes mais devant les six villes américaines de ce
groupe.

St. John’s affiche les plus hauts coûts de transport de toutes les villes canadiennes et les coûts des installations y sont
aussi parmi les plus élevés au pays. Ces coûts atténuent l’avantage que procure à St. John’s son coût de main-d’œuvre
inférieur à la moyenne.

St. John’s bénéficie maintenant du plus faible taux d’imposition effectif des sociétés parmi les 111 villes à l’étude, grâce
en partie à une réduction appréciable du taux provincial d’imposition des fabricants, aux crédits d’impôt relatifs à la R-D et
au nouveau crédit d’impôt relatif aux médias numériques.

St. John’s se distingue dans le secteur des services numériques, où elle arrive au 8 e rang des villes canadiennes. En
comparaison, elle est 10e au classement dans les services aux entreprises et 11 e dans les services de R-D et la
fabrication.

Au chapitre de la fabrication, les coûts élevés de transport sont peu favorables aux sociétés de St. John’s qui produisent à
grande échelle des produits de faible valeur. Ainsi, St. John’s affiche les coûts les plus élevés parmi les villes canadiennes
analysées dans les sous-secteurs de la production de composants en métal, la fabrication de produits en plastique et la
fabrication de batteries évoluées et de piles à combustible. Par contre, pour ce qui est de la fabrication de produits à
marge élevée en volume restreint, le traitement fiscal favorable que Terre-Neuve-et-Labrador accorde aux activités de
fabrication et de R-D permet aux secteurs de l’électronique, des produits pharmaceutiques et des produits chimiques
spécialisés de profiter de coûts totaux très bas.
Depuis 2014, St. John’s a dépassé Toronto et Saskatoon au classement des villes canadiennes. La chute du prix du
pétrole a profité à St. John’s, car de nombreuses sociétés de la ville dépendent du pétrole, vu l’absence d’un réseau de
distribution de gaz naturel. La création d’un crédit d’impôt provincial pour la production de médias numériques a aussi
favorisé la ville.
Kelowna (Colombie-Britannique) (2016 : 11e / 17 villes; 2014 : donnée non disponible)
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
Kelowna arrive au 11e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et au 13e rang parmi les 111 villes analysées.

Au classement des 17 villes canadiennes analysées, Kelowna arrive au 2e rang pour ce qui est des coûts d’électricité
(derrière Winnipeg), au 2e rang pour ce qui est des loyers des bureaux (derrière Charlottetown) et au 3e rang pour ce qui
est des charges sociales liées à la main-d’œuvre. Kelowna a toutefois des coûts salariaux supérieurs à la moyenne et les
plus hauts loyers des locaux industriels des 17 villes canadiennes à l’étude.
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Parmi les 14 villes de la région du Pacifique à l’étude (2 au Canada et 12 aux États-Unis), Kelowna arrive au 1er rang
pour ce qui est des coûts d’exploitation.
Kelowna se distingue dans le secteur des services aux entreprises, où elle arrive 7e parmi les 17 villes canadiennes à
l’étude. En comparaison, elle est 9e au classement dans le secteur des services de R-D et 13e dans ceux des services
numériques et de la fabrication.
Dans le secteur de la fabrication, Kelowna se distingue dans le sous-secteur de la transformation des aliments, se
classant au 7e rang parmi les 17 villes canadiennes à l’étude.
© 2016 KPMG s.r.l./S.E.N.C.R.L., société canadienne à responsabilité limitée et cabinet membre du réseau KPMG de cabinets
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Toronto (Ontario) (2016 : 12e / 17 villes; 2014 : 11e / 15) Voir plus haut
Gatineau (Québec) (2016 : 13e / 17 villes; 2014 : donnée non disponible)
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Gatineau arrive 13e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 15e parmi les 111 villes analysées.
Gatineau représente la partie québécoise de la région de la capitale nationale. Comme pour toutes les autres villes
étudiées, l’analyse tient compte des salaires dans l’ensemble de la région métropolitaine, mais il est présumé que les
entreprises sont établies à Gatineau et, par conséquent, soumises au régime fiscal du Québec.
Parmi les villes analysées de la région du Nord-Est des États-Unis et du Centre du Canada, Gatineau se classe au
6e rang pour ce qui est des coûts d’exploitation, derrière les autres villes canadiennes mais devant les 17 villes
américaines de ce groupe.
Gatineau se distingue dans le secteur des services numériques, où elle arrive au 7e rang des villes canadiennes. En
comparaison, elle est 12e au classement dans les secteurs de la fabrication et des services de R-D, et 14e dans celui des
services aux entreprises.
Dans le secteur de la fabrication, Gatineau affiche ses meilleurs résultats dans les sous-secteurs de la transformation des
aliments, se classant au 6e rang parmi les villes canadiennes à l’étude, et de la fabrication de batteries évoluées et de
piles à combustible, où elle est 7e au classement.
Les coûts totaux à Gatineau sont légèrement supérieurs à ceux enregistrés à Toronto. Les loyers des bureaux, le coût
des terrains à usage industriel, les coûts d’électricité, les impôts fonciers et l’impôt sur le revenu sont moins élevés qu’à
Toronto. Les coûts salariaux sont à peine plus bas qu’à Toronto (sans doute gonflés par la présence du gouvernement
canadien et d’un groupe d’entreprises technologiques) et le coût total de la main-d’œuvre est plus élevé qu’à Toronto en
raison des charges sociales importantes au Québec. Les coûts de transport, du gaz naturel et de la construction
d’installations industrielles sont tous plus élevés à Gatineau qu’à Toronto.
Saskatoon (Saskatchewan) (2016 : 14e / 17 villes; 2014 : 9e / 15)
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Saskatoon arrive 14e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 16e parmi les 111 villes analysées.
Depuis 2014, les coûts ont considérablement augmenté à Saskatoon et la ville a cédé le pas à St. John’s dans le
classement. Elle a aussi été dépassée par Toronto et par la ville représentant le nord de l’Ontario (Sudbury dans le
classement de 2014 et Sault Ste. Marie dans celui de 2016).
Ces deux dernières années, la hausse des coûts liés aux salaires et aux avantages sociaux a été plus importante à
Saskatoon que dans les autres villes canadiennes. Les coûts d’électricité ont aussi subi une forte augmentation après que
le fournisseur provincial a modifié sa grille tarifaire. La diminution des loyers des bureaux n’a pas été suffisante pour
compenser ces hausses.
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Parmi les 27 villes du Midwest américain et de l’Ouest canadien, Saskatoon est la 2 e au classement, devançant
Edmonton, Calgary et les 23 villes américaines de ce groupe.
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Parmi les 17 villes canadiennes à l’étude, Saskatoon continue d’afficher les plus bas impôts fonciers, et le coût du gaz
naturel et les charges sociales y sont inférieurs à la moyenne. Cependant, les coûts élevés de transport (2 e rang parmi les
villes les plus chères au Canada) et les coûts importants associés aux installations, dont les loyers des locaux industriels
(3e rang parmi les villes les plus chères au Canada) y font grimper les coûts d’exploitation.
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Saskatoon affiche ses meilleurs résultats dans le secteur des services de R-D, où elle se classe 10e au Canada, et dans
celui des services aux entreprises, où elle occupe le 11e rang. En comparaison, elle est 14e dans le secteur des services
numériques et 16e dans celui de la fabrication.
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Dans le secteur des services de R-D, Saskatoon arrive 7e parmi les villes les moins chères au Canada pour la gestion des
essais cliniques.
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Dans le secteur de la fabrication, Saskatoon affiche ses meilleurs résultats dans les sous-secteurs des produits chimiques
spécialisés, se classant 7e parmi les villes canadiennes à l’étude, et de l’assemblage de produits électroniques, où elle
occupe le 8e rang.
Vancouver (Colombie-Britannique) (2016 : 15e / 17 villes; 2014 : 15e / 15) Voir plus haut
Edmonton (Alberta) (2016 : 16e / 17 villes; 2014 : 14e / 15)
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Edmonton arrive 16e parmi les 17 villes canadiennes à l’étude et 19 e parmi les 111 villes analysées.
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Depuis 2014, Edmonton s’est fait devancer par Vancouver malgré la diminution récente des loyers des bureaux au centreville et la diminution des coûts des services publics. L’augmentation du coût de la main-d’œuvre (par rapport à 2014) et la
hausse du taux d’imposition des bénéfices des entreprises ont fait grimper les coûts d’exploitation à Edmonton.
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Les coûts salariaux demeurent plus élevés à Edmonton que dans la plupart des autres villes canadiennes (16 e sur 17),
bien que la faiblesse des charges sociales y modère quelque peu le coût total de la main-d’œuvre (13e rang). Edmonton
bénéficie du coût très avantageux du gaz naturel (2e rang) et d’impôts fonciers très favorables (3e rang), et les coûts de
transport y sont comparables à la moyenne des 17 villes canadiennes (9e rang). Par contre, les loyers des bureaux
demeurent élevés (même s’ils ont baissé) et Edmonton arrive 15 e à ce chapitre parmi les 17 villes canadiennes.
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Elle est la première ville canadienne à être surpassée par une ville européenne, Manchester (Royaume-Uni) ayant pris le
18e rang.
Même si Edmonton subit actuellement les contrecoups de la chute du prix du pétrole, les effets du ralentissement
économique ne sont pas immédiats. En général, les loyers s’adaptent relativement rapidement à l’évolution de l’économie
et l’étude montre que les loyers au centre d’Edmonton à la fin de 2015 affichaient un recul de 17 % par rapport à la même
période en 2013. Les coûts salariaux ont tendance à s’adapter plus lentement : la structure globale de la masse salariale
devient plus compétitive à mesure que les augmentations salariales des travailleurs en poste diminuent et que des
salaires moins élevés sont offerts aux nouveaux employés.
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Parmi les 27 villes du Midwest américain et de l’Ouest canadien, Edmonton est la 3 e au classement, devançant Calgary et
les 23 villes américaines de ce groupe.
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Edmonton affiche ses meilleurs résultats dans le secteur des services de R-D, où elle se classe 13e parmi les 17 villes
canadiennes à l’étude, et dans celui de la fabrication, où elle occupe le 14 e rang. En comparaison, elle est 16e au
classement dans les secteurs des services numériques et des services aux entreprises.
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En R-D, Edmonton se classe 12e au Canada pour ce qui est du développement de systèmes électroniques et 13 e en R-D
biomédicale.
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Dans le secteur de la fabrication, Edmonton affiche ses meilleurs résultats dans les sous-secteurs de la transformation
des aliments, se classant au 10e rang, et de la fabrication de batteries évoluées et de piles à combustible, où elle est 11 e
au classement.
Calgary (Calgary) (2016 : 17e / 17 villes; 2014 : donnée non disponible)
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Occupant le 17e rang, Calgary est la plus chère de toutes les villes canadiennes incluses dans l’étude. Malgré son dernier
rang au Canada, il est important de souligner que Calgary se classe bien à l’échelle internationale. Elle est 20 e au
classement des 111 villes analysées, et seulement trois villes étrangères la devancent : Mexico et Monterrey au Mexique,
et Manchester au Royaume-Uni.
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Parmi les villes du Midwest américain et de l’Ouest canadien, Calgary est la 4 e au classement, les coûts y étant plus
élevés que dans les autres villes canadiennes, mais quand même moins élevés que dans les 23 villes américaines de ce
groupe.
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Parmi les 17 villes canadiennes, c’est à Calgary que le coût du gaz naturel est le plus bas. Les coûts de construction des
bâtiments industriels sont aussi relativement concurrentiels (au 4e rang) et les coûts de transport sont inférieurs à la
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moyenne (au 7e rang). Par contre, Calgary affiche les coûts salariaux les plus élevés au pays, qui sont toutefois en partie
contrebalancés par des charges sociales modestes. Calgary est au 2e rang des villes où les terrains industriels sont les
plus chers, devancée uniquement par Vancouver à ce chapitre.
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Calgary affiche son meilleur résultat dans le secteur des services de R-D, où elle arrive 16e parmi les 17 villes
canadiennes à l’étude. En comparaison, elle est 17e au classement (la plus chère) dans les secteurs de la fabrication, des
services numériques et des services aux entreprises.
Au chapitre de la fabrication, Calgary obtient ses meilleurs résultats dans les sous-secteurs de la transformation des
aliments, où elle est 9e, et de la fabrication de produits en plastique, où elle est 12 e au classement.
En ce qui a trait aux services aux entreprises, si l’on compare les villes tributaires de l’industrie pétrolière et gazière,
Calgary arrive 21e parmi les 111 villes analysées, devant Melbourne (23 e), Fargo (35e), La Nouvelle-Orléans (66e), DallasFort Worth (84e) et Houston (95e).
Personne-Ressource
Tonique Bedeau
Directrice, Service national des communications
T: 416.777.3241
E: [email protected]
Julie Bellissimo
Directrice, Service national des communications
T: 416.777.3988
E: [email protected]
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