H C C R Y O T

Folder Cryo def francese
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SOLO MEDICAL RHONE-ALPES
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CHOC THERMIQUE CONTRÔLÉ
Le choc thermique contrôlé est, très probablement, la partie la plus intéressante qui
rend vraiment unique HC CRYO T-SHOCK. C’est une forme d’énergie à l’efficacité
biologique prouvée, administrée et soustraite de façon contrôlée et combinée pour un
soin rapide de la douleur et une récupération complète des fonctions. La combinaison contrôlée de vasodilatation et de vasoconstriction, induites sélectivement dans les
tissus, permet de bénéficier au mieux et complètement des effets vigoureux des variations thermiques configurées localement.
Le choc thermique est efficace dans les premières phases de la réhabilitation pour une
réduction rapide de la douleur, la réduction du gonflement, il améliore aussi la mobilité articulaire. Il est également efficace lors de l’insertion dans les phases successives.
C H A M P S
D ’ A P P L I C A T I O N
SPORT
E T T R A U M AT I S M E
IL EST POSSIBLE DE SE PROCURER DES TRAUMATISMES PLUS OU MOINS
IMPORTANTS EN PRATIQUANT UN SPORT MAIS AUSSI LORS DES ACTIVITÉS DE TOUS LES JOURS. POUVOIR AGIR IMMÉDIATEMENT EST FONDAMENTAL POUR RÉDUIRE LA DOULEUR, BLOQUER L’ÉPANCHEMENT DE
SANG ET LE GONFLEMENT. LA CRYOTHÉRAPIE EST ACTUELLEMENT LA
SEULE VÉRITABLE APPROCHE INSTRUMENTALE POSSIBLE.
DANS
PAT H O L O G I E D E
LA DOULEUR
LA DOULEUR CHRONIQUE ET AIGUE, L’INTERVENTION DE L’AC-
L E S PA R T I C U L A R I T É S
AFFICHES TÉCNIQUES
●
●
TION DU FROID ET DE LA CHALEUR PROFONDE, SELON DES PROTO-
●
COLES SPÉCIFIQUES, PEUT CONTRASTER LA DOULEUR ET AGIR SUR
●
L’ORIGINE DE LA PATHOLOGIE.
●
DANS
LES PATHOLOGIES ARTICULAIRES, TENDINEUSES ET MUSCULAI-
RES, L’ACTION DU CHAUD ET DU FROID CONSTITUE L’APPROCHE
ESSENTIELLE POUR POUVOIR AGIR EN PROFONDEUR, EN SOIGNANT
RAPIDEMENT LA DOULEUR ET L’INFLAMMATION.
ORTHOPÉDIE ET
PHYSIOTHÉRAPIE
●
●
●
●
Action du choc termique con controlé
●
●
●
●
●
Analgésie , contre la douleur
Augmentation de la perméabilité des capillaires et
reduction de l’inflammation
Stimulation du tissu musclaire
Réponse analgésique des trigger points
Stimulation sur les tissus connectives, neurologique
●
●
Cryothermie réglable jusqu’à – 18°C
Thermothérapie réglable jusqu’à +45°C.
Système localisé avec fonctionnement manuel
par le biais d’un applicateur ergonomique.
Feedback instantané de la température sur le
patient.
Le choc thermique contrôlé garantit la réduction
des temps de récupération (guérison et récupération fonctionnelle), en pourcentage élevé même
dans les premières phases.
Aucun coût de fonctionnement.
Aucun gaz n’est utilisé et il n’existe pas de contradictions pour l’environnement.
Les dimensions sont plus réduites que dans les
systèmes équipés de compresseurs, bouteilles de
gaz et autres systèmes réfrigérants.
Il a une bonne réponse de température (il refroidit et réchauffe dans des délais efficaces d’un
point de vue thérapeutique), sans provoquer de
variations trop fortes mais avec une vitesse
appropriée pour l’obtention des effets de vasoconstriction ou de vasodilatation.
Sans pièces mobiles (air, moteur, etc.), son bruit
est réduit et il ne provoque pas de vibrations.
Il n’a pas besoin d’entretien.
Alimentation 110 - 230 V - 50/60 Hz
Assorbimento 800 VA
Dimensiones cm 41 x 42 x 18 h
Pois 9kg
Classe de protection II A, Tipo BF
Ecran LCD 480x800 pixel
Temperature du froid réglable jusqu’à – 18°
Temperature du chaud réglable jusqu’à 45°C
Choc termique controlé à partir de – 18° C jusqu’à 45°C
Feedback de la temperature sur le patient
Capteur de la temperature en temps réel
Dispositiv de visualisation
Bibliotéque de programs pre-établis
Memoires libres
Accessoires standard:
● Tete
ergonomique 0 80 mm
● Cryo
T-Shock gel 250 gr
Sur demande:
● Ecran touch-screen
● Gueridon
● Malette de trasnporte
Via De Nicola 4/D - 20037 Paderno Dugnano (MI) - Italia - Tel. +39.02 99043903 - Fax +39.02 99045149
[email protected] - www.paganihealthcare.it
H C
C R Y O
T - S H O C K
Cr yothérapie, thermothérapie et choc termique
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L’ E F F E T T H É R A P E U T I Q U E N AT U R E L D E L A C H A LEUR ET DU FROID
HC CRYO T-SHOCK est l’instrument le plus novateur et le plus polyvalent du marché
pour la thérapie cryogénique, l’hyperthermie et le choc thermique contrôlé.
L’énergie thermique est l’une des sources d’énergie les plus simples à appliquer en
physiothérapie et permet d’obtenir de nombreux bénéfices grâce aux effets physiologiques du chaud et du froid. HC CRYO T-SHOCK, de par ses caractéristiques fonctionnelles et technologiques, constitue un véritable tournant dans l’utilisation thérapeutique du chaud et du froid.
CRYOTHERAPIE
N O VAT E U R
IL S’AGIT
D’UN DISPOSITIF THÉRAPEUTIQUE QUI SE BASE SUR LA
TECHNOLOGIE DES CELLULES À EFFET PELTIER À DOUBLE COMPOSANT
:
UN COMPOSANT HYPERTHERMIE, EN MESURE DE GÉNÉRER DE LA
CHALEUR ET L’AUTRE CRYOGÉNIQUE EN MESURE DE SOUSTRAIRE LA
CHALEUR MÊME AUX COUCHES LES PLUS PROFONDES. C’EST UN
P R AT I Q U E
SYSTÈME ENTIÈREMENT ÉLECTRONIQUE ET INFORMATIQUE, SANS
L’UTILISATION DE GAZ, DE COMPRESSEURS, QUI RESPECTE TOTALEMENT L’ENVIRONNEMENT ET LA SANTÉ DU PATIENT ET DE L’OPÉRATEUR.
LE
TRAITEMENT DURE QUELQUES MINUTES ET EST RÉALISÉ MANUELLE-
MENT, EN EFFECTUANT UN MASSAGE LOCAL SUR LE PATIENT. L’INSTRUMENT N’UTILISE PAS DE GAZ, COMPRESSEURS, AUTRES ÉLÉMENTS
SÛR
ENCOMBRANTS OU À REMPLACER RÉGULIÈREMENT.
LE CAS ÉCHÉANT, L’APPAREIL PEUT ÊTRE FACILEMENT TRANSPORTÉ À
L’AIDE D’UN SAC.
L’ABSENCE
DE GAZ OU D’AUTRES SUBSTANCES EXTERNES FAIT QUE
CET INSTRUMENT EST SÛR ET PRATIQUE. L’ÉMISSION SE PRODUIT PAR
UNE TÊTE APPLIQUÉE AU CORPS ET NE TRANSMET PAS D’AIR. AUCU-
EFFICACE
NE GÊNE OU BRUIT NE SONT DONC PRÉSENTS.
SON
EFFICACITÉ DÉRIVE DES TEMPÉRATURES QU’IL PEUT ATTEINDRE
DANS DES DÉLAIS TRÈS BREFS, EN VUE D’OBTENIR LES EFFETS THÉRAPEUTIQUES CITÉS DANS LA LITTÉRATURE INTERNATIONALE AU SUJET DE
L’UTILISATION DU CHAUD ET DU FROID.
Le traitement thérapeutique par le froid se démontre
souvent être la meilleure thérapie de première intervention en cas de traumatisme. La basse température, et la rapidité avec laquelle elle s’instaure, des
zones soumises à l’action du froid dépend de différents facteurs : la méthode utilisée, la température
de départ, le temps de permanence sur la peau,
l’épaisseur de la graisse sous cutanée. Plus le temps
d’application est long, plus il agit en profondeur.
Dans le muscle, la température peut être réduite
jusqu’à quatre centimètres en profondeur car le
muscle est un tissu qui contient de l’eau et devient
donc un excellent conducteur du froid. La graisse est
en revanche hydrophobe.
LES
P R I N C I PA U X E F F E T S D E L A
C RY O T H É R A P I E
Effet antiphlogistique : dû au ralentissement du
métabolisme cellulaire qui réduit la production et la
libération des médiateurs chimiques de la phlogose
(histamine, bradykinine, sérotonine).
Effet antioedemigène : il est lié à l’action antiphlogistique et à la vasoconstriction, laquelle limite
l’épanchement hématique des tissus.
Effet antalgique : il inhibe les terminaisons nerveuses, ralentit la conduction nerveuse des impulsions
algogènes et réduit les phénomènes phlogistiques
locaux.
Effet myorelaxant : le froid réduit la tonicité musculaire et la spasticité. Pour obtenir de tels effets, il faut
que les séances soient suffisamment longues. Les
applications trop courtes en revanche, en agissant
sur les nocicepteurs, provoquent une contraction
musculaire reflexe.
TERMOTHERAPIE
La chaleur augmente l’élasticité des tissus. L’effet est
particulièrement évident au niveau des capsules articulaires, tendons, muscles et dans toutes les structures où sont présentes de nombreuses fibres collagènes. Elle accélère les réactions biochimiques et augmente l’apport en oxygène et en nutriments au niveau des tissus : cela se traduit par une augmentation
du métabolisme au niveau des parties traitées.
Enfin, elle génère une sensation de détente chez le
patient et, pour cette raison, elle peut souvent être
efficacement utilisée avant un traitement de massage physiothérapique.
IIN D I C A T I O N S C L I N I Q U E S
L’application du froid est indiquée dans tous les états
d’inflammation aigüe dérivant de tous les types de
traumatisme : ● Lacérations et contusions des tissus
mous. ● Distorsions et élongations musculaires, tendineuses et ligamenteuses. ● Fractures. ● Myalgie et
spasme musculaire. La réduction ou l’élimination de la
douleur se vérifie presque immédiatement (au bout de
30 secondes environ) et offre à la plupart des patients
la possibilité de se libérer de la douleur immédiatement et pour longtemps.
IIN D I C A T I O N S C L I N I Q U E S
L’application de la chaleur est très efficace sur les
œdèmes de stase veineuse et lymphatique. La chaleur est indiquée pour favoriser et accélérer la guérison des tissus en cas de contusions, distorsions,
déchirements et élongations musculaires, tendineuses et ligamenteuses. La chaleur peut être utilisée
aussi avant les séances de kinésithérapie, de massage ou de stretching, en vue d’augmenter l’oxygénation du muscle, l’élasticité de la peau et du
muscle et la relaxation du patient.
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HC CRYO T.SHOCK
DISPOSITIF DE
THERMO-CRYOGENIE
CAPABLE DE
PROVOQUER LE VERITABLE
CHOC THERMIQUE
NOTION DE CHOC THERMIQUE
C’est au début des années 70, que des études ont démontré la réelle
efficacité du « choc thermique ».
Le Choc Thermique consiste en un STRESS physiologique induit par des
changements importants, soudains ou rapides de la température des
tissus.
Ce choc peut être du à une augmentation ou à un abaissement de celleci dans des proportions importantes.
Dans les conditions normales la température cutanée est aux alentours
de 29°C et celle des tissus aux alentour des 36.5°. C’est cette
température qui doit être abaissée ou augmentée un maximum
(endéans certaines limites) en un minimum de temps et que mieux
encore, une augmentation suivie d’un abaissement ou inversement et ce
dans un temps court, offre la meilleure réponse physiologique.
EFFETS DE LA THERMOCRYOTHERAPIE
La méthode engendre quatre effets :
I. Analgésie
L’effet maximal est obtenu directement pendant le traitement et va
durer, selon les cas, de 30 minutes à 3 heures, voir plus, après l’arrêt du
traitement.
Le froid entraîne un ralentissement de la conduction nerveuse, pour
autant que la température cutanée soit amenée en dessous de 15° C et
celle des couches sous cutanées et profondes en dessous de 26°. Mais il
faut savoir, qu’in vitro, une température inférieure à 10° C peut créer
des lésions nerveuses. In vivo, on peut fixer cette limite entre 5 et 7°C.
Donc, le choc thermique, consistera à faire passer la température
cutanée de 29 à moins de 15°C et celle des tissus sous jacents de 36.5 à
26° mais sans descendre sous les 5°C pour la surface et 22° pour la
profondeur.
Le choc thermique va également diminuer l’excitabilité des
nocicepteurs par dépolarisation membranaire.
Le refroidissement d’une zone d’hyperhémie produit l’effet « Gate
Control ». En effet, le massage glacé va stimuler les fibres A b et ainsi
créer une inhibition au niveau de la corne postérieure de la moelle.
Plus la différence de température sera importante et plus cette
inhibition sera efficace.
II. Anti-inflammatoire
L’importance de l’inflammation, de la perméabilité des capillaires et de
la réponse cellulaire sont directement liées à la température tissulaire.
L’application rapide de chaud/froid ou de froid/chaud engendre une
diminution de la production des médiateurs chimiques responsables de
l’inflammation. Cela permet de diminuer d’environ 70 à 80 % la
quantité de substances algogènes. La conséquence est une réaction
inflammatoire moins intense.
En provoquant une vasoconstriction artériolaire et capillaire
consécutive à une vasodilatation, le froid, contrecarre la vasodilatation
de la réaction inflammatoire. Cette vasoconstriction est responsable
d’une diminution de la sortie du flux sanguin, d’une diminution de la
pression hydrostatique et donc d’une diminution de la sortie de liquide
limitant ainsi l’extravasation plasmatique responsable du volume de
l’Œdème.
Il faut insister sur le fait que le froid n’empêche pas la sortie de liquide
indispensable à la réparation des tissus, il ne fait que la ralentir. Ce
ralentissement est largement compensé par la réduction des effets
néfastes de l’œdème et permet ainsi de commencer beaucoup plus tôt la
rééducation par le mouvement.
III. Vasomoteur
Le refroidissement tissulaire provoque initialement une rapide
vasoconstriction artériolaire et capillaire obtenue par voie réflexe
(thermorégulation), créant ainsi le phénomène de « l’éponge pressée »
et donc de vidange des liquides œdémateux primaires.
Cette vasoconstriction suivie d’une rapide augmentation de la
température des tissus engendre un changement important des débits
sanguins artériolaires et capillaires qui est du a une augmentation
d’affinité des récepteurs a adrénergiques.
Ces périodes de vasodilatation et de vasoconstriction alternées
provoquent le phénomène
« Hunting Reaction ou Echappement ». Pour observer ce phénomène la
température tissulaire en surface doit être conservée suffisamment
longtemps (1 à 3 minutes) entre 7 et 12°C.
Il est également démontré que le froid, seul, n’a aucun effet direct sur
l’œdème. Pour avoir un effet, il faut y associer une légère compression
de la zone et une position déclive. Mais lorsque les deux sont associés,
l’œdème est résorbé beaucoup plus rapidement.
IV. Neurologique
Le choc thermique, l’alternance de chaud et de froid peut aboutir à
l’analgésie à condition d’atteindre des températures inférieures à 15°C
pour la surface et 26° pour la profondeur.
Le froid diminue la spasticité musculaire tandis que le chaud améliore
l’élasticité des fibres, ce qui donne de bons résultats sur les
phénomènes de contractures ou de rétractions musculaires
douloureuses.
Donc, le choc thermique, consistera à faire passer la température
cutanée de 29°C à 12°C mais (sans descendre sous les 7°C) et la
température des fibres musculaires de 36.5° à 26° (sans descendre en
dessous de 22°) ou au contraire de monter la température cutanée de
29 à 42° (sans dépasser les 45°) et la température musculaire de 36.5° à
39° (sans dépasser les 40°) ou encore inversement. Cela en un
minimum de temps et selon la réaction physiologique recherchée.
LES METHODES UTILISEES
Il y a deux grandes manières de procéder : soit on utilise le principe de
la «conduction» soit le principe de la « sublimation ».
I. La conduction
L’application par contact d’une masse froide ou chaude permet de
réaliser une descente ou au contraire une hausse de température
contrôlée, ce qui permet d’avoir l’ensemble des effets décrits
précédemment. On s’aperçoit également que l’application d’une masse
de contact aboutit à une diminution ou une augmentation de la
température non seulement de la surface cutanée, mais également des
masses musculaires, permettant ainsi les phénomènes réactionnels
artériolaires et capillaires en profondeur. La cessation d’application
provoque une remontée ou une diminution de la température cutanée
en deux phases (une première immédiate et rapide, une seconde plus
lente). Au niveau musculaire, les variations de température se font plus
lentement.
En conclusion, l’abaissement ou l’a hausse de la température cutanée
est rapide mais une grande partie de cette variation est très rapidement
perdue après l’arrêt de l’application. Par contre au niveau musculaire, la
variation plus faible et plus lente, permet une plus grande conservation
du niveau acquis.
II. La sublimation
Elle se pratique par projection gazeuse ou d’air.
Dans la technique gazeuse, seule la projection de froid est possible.
Fin des années 70, une première version de la cryothérapie gazeuse voit
le jour et la source de froid est l’azote liquide qui permet de descendre
facilement à –120°C. Début des années 90, une nouvelle version
apparaît, en utilisant cette fois du CO2 liquide. En effet à partir d’une
bouteille de gaz carbonique médical, mise à 50 bars de pression, on
aboutit à la production d’un froid de –78°C. La température de –78°C
est supportable en raison du gaz sec mais demande cependant
beaucoup de précaution afin de ne pas provoquer de lésions cutanées
ou nerveuses.
Le gaz carbonique sort de l’appareil (par un pistolet vaporisateur) sous
forme de microcristaux de carboglace qui vont produire un abaissement
de la température cutanée très rapide (quelques secondes), mais qui ne
permet pas le traitement suffisamment prolongé pour abaisser la
température des couches sous jacentes et musculaires à causes des
lésions cutanées et nerveuses qu’une exposition trop longue provoque.
L’autre problème de cette technique est que son prix de revient à
l’utilisation est extrêmement élevé.
La technique par air refroidi pulsé présente une température de sortie
moins basse (environ -30°) autorisant des expositions plus prolongées,
mais ne respecte pas la caractéristique nécessaire de sécheresse
parfaite du flux (puisque utilisant les caractéristiques de l’air ambiant
humide) ni de température constante et vérifiable.
AVANTAGES DE LA THERMOCRYOTHERAPIE CONTRÔLEE PAR
CONDUCTION
HC CRYO T.SHOK est l’instrument le plus moderne et innovant
permettant de produire et d’assurer les variations de température
nécessaires à la production du vrai Choc Thermique, de manière
constante, contrôlée, régulière et vérifiable.
L’appareil est muni d’une tête de traitement par contact dont la masse
permet de produire des calories ou des frigories à l'aide de modules
thermoélectriques (éléments de Peltier). Cette tête est portée à des
températures déterminées allant de + 45° à - 18° qui pourront être
vérifiées pendant toute la durée d'action.
Cette plage de réglage permet de provoquer rapidement le choc
thermique, de maintenir les températures hautes ou basses de manière
plus prolongée et pénétrante tout en évitant les risques lésionnels.
La particularité de la méthode réside donc dans le fait que les
différences de températures ne sont pas seulement produites au niveau
de la peau.
La masse de la tête de contact implique la masse des tissus en
profondeur.
Ainsi, l’augmentation ou l’abaissement rapide de la température
provoque un Choc Thermique directe dans les tissus musculaires et
tendineux et non pas seulement de reflèxe cutané comme les méthodes
par sublimation.
HC CRYO TSHOCK est un véritable progrès.
EFFETS DU CHOC THERMIQUE
Utilisé comme traitement unique, il permet de déclencher les effets
réactionnels physiologiques qui favorisent la diminution de la douleur
et la réparation tissulaire et circulatoire.
Il est aussi très souvent la phase ultime et complémentaire de tout
traitement.
Les techniques modernes employées pour le traitement de pathologies
d’origines diverses consistent le plus souvent à la recherche des effets
de drainage, d’étirement, d’hyper ou hypothermie appliqués ou
provoqués sur une zone du corps.
 Le massage ou le mouvement qui permettent l’échauffement et
l’augmentation de l’activité métabolique.
 Les traitements au Lasers de nouvelle génération dont le
faisceau a la propriété de se transformer en chaleur très
localisée au cours de sa pénétration dans les tissus.
 La Técarthérapie dont les ondes de radiofréquence ont la
capacité d’augmenter considérablement la température des
tissus et donc les flux liquidiens sur des régions plus étendues.
 Les Ondes de Choc qui entraînent une hyperthermie localisée
importante et la création de déchets cellulaires ou calciques
localisés nécessitant d’être drainés.
 L’ultrason, l’électrothérapie, ….
Toutes ces différentes techniques voient leurs effets thérapeutiques
considérablement améliorés lorsqu’ils sont suivis rapidement d’un choc
thermique qui, lors de son effet de «déclencheur » des réactions
physiologiques, va prendre en compte non seulement les changements
métaboliques dus à la pathologie, mais aussi ceux induits par les effets
du traitement.
INDICATIONS






Traumatologie (entorses, déchirures, élongations,…)
Rhumatismes inflammatoires
Algodystrophie
Névralgies
Chirurgie postopératoire (Œdèmes, cicatrices…)
Antalgie
CONTRE-INDICATIONS




Troubles de la sensibilité cutanée
Allergie au froid
Syndrome de Raynaud
Cryoglobulines
MODE D’UTILISATION
On procédera en une ou deux étapes selon le but recherché.


Une étape consiste à provoquer une chute ou une hausse
rapide et importante de la température dans le but de
déclencher les premiers effets du choc thermique. Cette
première phase du traitement dure de 30 secondes à 3 minutes
et peut être unique et suffisante en fonction de la pathologie
rencontrée.
Une deuxième étape consiste en la stabilisation et maintien
d’une température comprise entre 7° et 12° pour un maintien
de la vasoconstriction et entre 37° et 40° en moyenne pendant
2 à 5 minutes pour un maintien de la vasodilatation.
Ce maintien doit se faire en pratiquant une légère compression
de la zone traitée.
Un véritable choc thermique actif, c'est-à-dire le Choc entraînant les
phénomènes de défenses réactionnelles, physiologiques et naturelles du
corps est ainsi obtenu en utilisant la tête du HC CRYO T.SHOCK que l’on
appliquera de manière statique ou dynamique sur la zone à traiter.
Dans certaines pathologies nécessitant une fonction de pompage plus
importante, il peut être très utile de pratiquer plusieurs phases
successives de chaud et froid pour provoquer l’effet « douches
écossaises ».
CONCLUSIONS
Certaines conditions sont nécessaires pour bénéficier des avantages
physiologiques et métaboliques apportés par le CHOC THERMIQUE

Créer un choc thermique rapide au niveau cutané et progressif
dans les couches profondes en respectant de manière
vérifiable les limites hautes et basses de températures.

Stabiliser la température pendant au moins 1 à 3 minutes.

Associer une légère compression pendant le temps
d’application.
CRYO T.SHOCK
FONCTIONNE
SANS CONSOMMABLE ET NE
DEMANDE PAS D’ENTRETIEN
SOLO MEDICAL RHONE ALPES
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