Aider les femmes atteintes de cancer du sein à mieux vivre les

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Aider les femmes atteintes de cancer du sein à mieux vivre les
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d u
c a n c e r
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28 septembre 2006
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Etude Simone Pérèle – Institut Curie
Aider les femmes atteintes de cancer du sein à mieux
vivre les conséquences de la maladie sur leur vie intime
Le cancer du sein entraîne chez beaucoup de femmes un sentiment de dévalorisation de la féminité. La
chirurgie, traumatisante, change l’image corporelle de la patiente et les différents traitements perturbent
souvent son intimité.
Un certain nombre de difficultés de couple peuvent surgir, mais celles-ci sont rarement abordées dans le
cadre du suivi médical. En effet, beaucoup de femmes n’osent pas évoquer avec leur médecin
l’existence de difficultés intimes survenues à l’occasion du cancer et des traitements ; et nombreux sont
les soignants qui reconnaissent leur difficulté à explorer ce domaine.
A ce jour, les besoins des patientes dans ce registre et leurs attentes ne sont pas clairement identifiés.
Comprendre ces femmes, les aider à exprimer ce qu’elles ressentent, à améliorer la perception de
leur nouvelle image corporelle et à augmenter leur estime de soi en leur proposant des réponses
spécifiques à leurs problèmes, tels sont les objectifs et l‘engagement de la société Simone Pérèle
avec l’Institut Curie pour une durée de 3 ans.
Dans le cadre de ce partenariat, une étude a été initiée en 2005 auprès de femmes traitées pour un
cancer du sein et ayant achevé leur première phase thérapeutique depuis au moins six mois.
Cette étude a pour objectif d’identifier les problèmes spécifiques des femmes dans le registre de
l’intimité et de la sexualité. Elle aboutira à la mise en place à l’Institut Curie d’une consultation
spécialisée qui s’adressera de manière spécifique, en étroite collaboration avec les équipes
médicales et psycho-oncologiques, aux femmes exprimant des problèmes sexuels.
La phase qualitative, qui se termine actuellement, a été menée dans le cadre d’entretiens personnalisés
avec 20 femmes adressées par des médecins ayant repéré l’existence de difficultés sexuelles, en
particulier par le Dr Pascale This, gynéco-endocrinologue à l’Institut Curie, ou bien par un spécialiste de
l’Unité de Psycho-Oncologie, dirigée par le Dr Sylvie Dolbeault.
La plupart des patientes ont exprimé leur satisfaction de voir cette thématique abordée ouvertement, et
l’importance qu’elles accordent à la prise en compte par les médecins et soignants de l’impact potentiel
du cancer et de ses traitements sur leur vie intime.
Cette première phase a permis de mettre en évidence des pistes pour mieux aider les patientes à
partir de thématiques fréquemment abordées :
• Un manque d’information reçues sur les conséquences intimes possibles du cancer et des
traitements ;
• Une anxiété persistante en relation avec le diagnostic de cancer et le risque de récidive qui peut
parfois envahir l’espace psychique et étouffer tout désir de reprise d’une activité sexuelle, induisant
des difficultés dans l’intimité ;
• Des problèmes d’image corporelle et d’atteinte de la féminité ayant une incidence directe sur
l’intimité ;
• L’importance de la communication au sein du couple.
Ces premières données doivent être confirmées et enrichies par la phase quantitative de l’étude
qui, à partir de septembre 2006, portera sur plus de 300 patientes en surveillance. Elle permettra
d’étudier l’impact du cancer et des traitements sur l’intimité, mais aussi celui d’autres facteurs
(ménopause, âge, situation conjugale…), en les confrontant aux données recueillies auprès de
femmes indemnes.
Par ailleurs, à l’issue de cette phase quantitative, une troisième phase, qualitative, permettra d’étudier
l’évolution des éventuelles difficultés rencontrées par la patiente : avant la survenue du cancer, durant la
phase de traitement du cancer, dans la période de post-traitement du cancer. Il est en effet indispensable
de prendre en considération le fonctionnement sexuel du couple avant la survenue du cancer.
42 000 femmes atteintes chaque année
Avec 42 000 nouveaux cas annuels, le cancer du sein est le plus fréquent des cancers en France. Il représente
35,7 % des cancers féminins et atteint majoritairement des femmes jeunes et actives (la moitié a moins de 61 ans
au moment du diagnostic).
Centre de référence pour la prise en charge des cancers du sein, l’Institut Curie participe activement à la mise au
point de nouvelles stratégies thérapeutiques et innove, depuis 60 ans, dans le développement de traitements
conservateurs préservant l’intégrité anatomique et fonctionnelle des patientes. Une partie de ses activités de
recherche clinique est ainsi consacrée à l’amélioration de la prise en charge des patientes et notamment à la
limitation des séquelles corporelles que peuvent induire les traitements.
Simone Pérèle révèle la beauté des femmes
Maison familiale dirigée avec passion et exigence par Philippe et Catherine Pérèle, les enfants de
la fondatrice, Simone Pérèle est aujourd’hui une des premières marques de lingerie en Europe
avec près de 1500 collaborateurs.
Technique et savoir-faire sont au service de la féminité à travers des produits qui ne transigent
jamais avec le bien-être et la qualité.
L’écoute et le respect des femmes sont au cœur des préoccupations de l’équipe de création qui
recherche dans les dessins et la mise au point à perpétuer les secrets des ouvrières de beauté.
Pour en savoir plus : www.simone-perele.fr
Découvrir pour soigner
L’Institut Curie est une fondation privée associant le plus grand Centre de Recherche Français
en cancérologie et un Hôpital de pointe, pionnier dans de nombreux traitements, référent pour les
cancers du sein, les tumeurs pédiatriques, les sarcomes et les tumeurs de l’œil, et assurant la
diffusion d’innovations médicales au niveau national.
Construit en 1909 sur un modèle fondé par Marie Curie et toujours d’avant-garde, « de la
recherche fondamentale aux soins innovants », l’Institut Curie rassemble 2 000 chercheurs,
médecins et soignants mobilisés autour d’une même ambition : prendre le cancer de vitesse.
Pour progresser plus rapidement, le soutien des donateurs est un atout essentiel qui permet
d’investir dans des programmes de recherche et de traitements innovants, de regrouper les
meilleures compétences médicales et scientifiques et ainsi d’améliorer la qualité de vie des
malades.
Pour en savoir plus : www.curie.fr
Contacts presse :
Institut Curie
Catherine Goupillon
Tél 01 44 32 40 63
[email protected]
Simone Pérèle
Inès Bourdel
Tél 01 41 43 26 91
[email protected]
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Le cancer du sein
Avec 42 000 nouveaux cas par an (chiffres de 2000), soit 36 % des
cancers féminins, le cancer du sein est le plus fréquent des cancers
en France. Dans les pays occidentaux, une femme sur 9 est touchée.
Au cours des 20 dernières années, le nombre de cas de cancer du
sein a augmenté de 50 %. Cette augmentation peut en partie s’expliquer par l’allongement de la durée de vie et la généralisation du
dépistage.
Près de la moitié des cancers du sein sont décelés entre 50 et
69 ans, mais cette pathologie peut survenir à tout âge.
5 à 10 % des cancers du sein surviennent dans un contexte familial.
Certaines femmes sont en effet porteuses d’une prédisposition héréditaire. Il s’agit d’une mutation au niveau d’un des deux gènes, BRCA1
ou BRCA2, impliqués dans les formes familiales de cancer du sein.
Une surveillance spécifique et précoce est proposée à ces femmes afin
de détecter le plus tôt possible le développement éventuel d’un cancer.
Outre les prédispositions génétiques, de nombreux facteurs semblent pouvoir favoriser la survenue d’un cancer du sein : alimentation, obésité, facteur hormonal, grossesse tardive…
Un diagnostic précoce, un traitement facilité
Tissus mammaires avec présence
de cellules cancéreuses.
B. Sigal/Institut Curie
Après une mammographie suspecte, des examens complémentaires (échographie, ponction mammaire, biopsie…) sont proposés aux femmes afin de confirmer l’éventuelle existence d’une tumeur et,
le cas échéant, déterminer sa taille et sa localisation précise. L’analyse des prélèvements fournit
ensuite des informations précises sur le type de cancer, son agressivité, l’éventuelle présence de
récepteurs hormonaux… autant de paramètres qui vont guider les décisions thérapeutiques.
Biopsie (mammotome)
Noak/Le Bar Floréal/Institut Curie
Quand le diagnostic est suffisamment précoce, une chirurgie conservatrice, enlevant la tumeur tout
en conservant le sein, est alors possible.
Une chimiothérapie, une hormonothérapie ou une radiothérapie, dite néoadjuvante, est parfois pratiquée avant la chirurgie afin de réduire la taille de
la tumeur et permettre ainsi un traitement conservateur.
Toutefois, certains cancers, en raison de leur volume, de leur localisation, de
la présence de multiples foyers, de la petite taille du sein, nécessitent l’ablation du sein ou mammectomie. Après l’opération, une reconstruction mammaire
- immédiate ou décalée dans le temps - peut être envisagée, si la patiente le
souhaite.
Lors de l’ablation de la tumeur, le chirurgien doit également évaluer l’extension de la maladie. Pour cela, il prélève les ganglions situés au niveau de l’aisselle afin de déterminer si des cellules tumorales ont d’ores et déjà commencé à disséminer. Cet acte chirurgical
est générateur d’une gêne, de douleurs, voire d’une paralysie passagère du bras.
Conférence de presse du 28/09/06
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Chirurgie du sein
A. Lescure/Institut Curie
Le cancer du sein
Validée à l’Institut Curie, la récente technique du « ganglion sentinelle » consiste à injecter un colorant au niveau de la tumeur afin
de repérer le premier « relais » de la chaîne ganglionnaire. Si ce
ganglion est indemne, cette technique permet d’éviter l’ablation
systématique de tous les ganglions de l’aisselle et ainsi de réduire
les séquelles.
En fonction de l’extension de la maladie, des traitements complémentaires, dits adjuvants, sont ensuite effectués. La radiothérapie,
autre traitement local, peut être envisagée afin de détruire les cellules tumorales qui auraient échappé
à la chirurgie. En cas de risque d’envahissement d’autres régions de l’organisme, il y a prescription
d’une chimiothérapie ou dans certains cas, d’une hormonothérapie. Le cancer du sein peut en effet
être hormono-dépendant ; la croissance des cellules tumorales est alors stimulée par les œstrogènes.
L’hormonothérapie est un traitement ciblé sur les récepteurs d’œstrogènes présents à la surface des cellules cancéreuses.
D’autres traitements ciblés sont actuellement en cours d’évaluation. Des essais cliniques auxquels
participent l’institut Curie sont en cours pour généraliser l'emploi d’un anticorps, le Trastuzumab
(Herceptin®), déjà utilisé pour certains cancers du sein et pour évaluer l’efficacité de nouvelles
thérapies ciblées sur des facteurs de croissance.
L’Institut Curie,
une renommée internationale en sénologie
Centre de référence pour la prise en charge des cancers du sein, l’Institut Curie
participe activement à la mise au point de nouvelles stratégies thérapeutiques et
innove, depuis 60 ans, dans le développement de traitements conservateurs préservant l’intégrité anatomique et fonctionnelle des patientes. Une partie de ses
activités de recherche clinique est consacrée à l’amélioration de la prise en charge
des patientes et notamment à la limitation des séquelles corporelles que peuvent
induire les traitements.
Chaque année, 2 000 nouvelles patientes et 4 500 patientes en cours de traitement sont prises en charge à l’Institut Curie, ce qui en fait le premier centre en
IRM du sein - DIM/Institut Curie
Europe en sénologie. L’ensemble des spécialistes du cancer du sein, chirurgiens, radiothérapeutes, chimiothérapeutes, endocrinologues, généticiens…, travaillent dans le cadre
du Pôle de sénologie sous la responsabilité du Dr Brigitte Sigal.
L’Institut Curie possède également une expertise internationale dans la prise en charge des cancers du sein
héréditaires.
Des programmes de recherche sont par ailleurs en cours afin d’évaluer les risques propres aux femmes de
moins de 40 ans ayant un cancer du sein.
Conférence de presse du 28/09/06
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Les soins de support
Aider les femmes à mieux vivre la maladie
S. Laure/Institut Curie
Le cancer du sein entraîne chez beaucoup de femmes un sentiment de dévalorisation et d’atteinte de la féminité, voire de l’identité. La chirurgie modifie l’image corporelle de la patiente et les traitements de chimiothérapie, de radiothérapie ou d’hormonothérapie
perturbent souvent son organisme.
De nombreuses interrogations et des périodes d’angoisse surviennent ainsi au moment de l’annonce du cancer et des traitements qui
s’en suivent.
Afin d’aider les patientes à mieux vivre leur maladie, des soins de support, qui regroupent l'ensemble
des soins autres que les traitements anticancéreux, leur sont proposés à toutes les étapes de la maladie : accompagnement social et psychologique, savoir-faire des masseurs-rééducateurs, conseil
diététique…
Le soutien psychologique est un des aspects importants de la prise en charge du cancer du sein. Il
aide les patientes et leur famille à faire face aux difficultés émotionnelles et affectives, et facilite le suivi
des traitements et leur acceptation.
Pour redonner confiance aux femmes dont la physionomie a été modifiée, les massages, les soins de
beauté peuvent alors constituer une aide importante pour les aider à surmonter ces changements.
,
A l’Institut Curie : La patiente au centre
de la prise en charge
Créée en 1998, l’unité de psycho-oncologie de l’Institut Curie intervient
à toutes les phases de la maladie, aussi bien au lit du malade qu’en
consultation individuelle. Elle propose également des activités de
groupe : groupe de relaxation, groupe de soutien et d'information,
groupe psycho-éducationnel pour aider les femmes à mieux maîtriser
les éventuelles difficultés de la période de l’après-traitement, groupe de
soutien pour les enfants dont un parent est atteint de cancer.
Dermopigmentation - Pedro Lombardi/Institut Curie
Retrouver sa féminité
L’Institut Curie considère, depuis plusieurs années, la prise en charge de l’image corporelle des
femmes comme essentielle pour les aider à retrouver leur estime de soi.
Depuis décembre 1998, les patientes hospitalisées peuvent bénéficier de soins esthétiques (manucure,
massage du visage, maquillage…). Ces soins de beauté gratuits permettent d’offrir un moment de
détente, de douceur et de bien-être aux malades angoissés par l’hospitalisation.
Depuis mars 2006, l’Institut Curie propose également des dermo-pigmentations gratuites des sourcils et des
cils. Ce maquillage quasi-permanent permet d’estomper les séquelles dues aux traitements et aide ainsi les
patientes à retrouver leur féminité. A ce jour, une vingtaine de patientes a déjà pu en bénéficier. Au-delà de
l’aspect purement esthétique, ces soins de beauté permettent d’optimiser la démarche thérapeutique.
Conférence de presse du 28/09/06
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Sexualité et cancer du sein
Le cancer du sein entraîne chez beaucoup de femmes une atteinte de la féminité voire de la vie
intime. Ces problèmes ne sont pas toujours abordés dans le cadre du suivi médical. En effet, beaucoup de femmes n’osent pas évoquer avec leur médecin l’existence de difficultés sexuelles ou
intimes survenues à l’occasion du cancer et des traitements ; et nombreux sont les soignants qui
reconnaissent leur difficulté à explorer ce domaine.
Les modifications fonctionnelles
Les traitements contre le cancer peuvent entraîner des perturbations physiques – temporaires ou définitives – dont certaines sont susceptibles d’avoir
des répercussions sur le plan sexuel.
Tout d’abord les personnes en cours de traitement ont un sentiment de fatigue
important. Elles se sentent souvent épuisées, ce qui peut être à l’origine d’une
perte d’intérêt temporaire pour l’activité sexuelle.
La fréquence des nausées et des vomissements, les douleurs liées au traitement – brûlure induite par la radiothérapie par exemple – peuvent également être source de gêne.
D’autre part, certains traitements de chimiothérapie et d’hormonothérapie
perturbent l’équilibre hormonal, ce qui peut entraîner une modification temporaire de la libido.
La chimiothérapie peut même parfois provoquer une stérilité temporaire, voire
définitive selon les doses. Des symptômes analogues à ceux de la ménopause
Chimiothérapie
A. Lescure/Institut Curie
Les conséquences psychologiques
Les perturbations psychologiques liées au traitement d’un cancer
du sein peuvent à elles seules être suffisantes pour altérer le désir.
Ces troubles peuvent aller jusqu’à un état dépressif chez certaines
patientes, ce qui ne facilite pas la reprise d’une activité sexuelle.
L’ablation d’un sein peut avoir de fortes répercussions dans la vie
relationnelle, et notamment entraîner une réduction de la libido.
J. Pourreux/Institut Curie
Conférence de presse du 28/09/06
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Sexualité et cancer du sein
A l’Institut Curie : Aider les femmes à mieux vivre les conséquences de la
maladie sur leur vie intime
Dans le cadre d’un partenariat avec Simone Pérèle pour une durée de 3 ans,
l’Institut Curie a initié en 2005 une étude auprès de femmes traitées pour un cancer
du sein et ayant achevé leur première phase thérapeutique depuis au moins six
mois. L’objectif est d’identifier leurs problèmes dans le registre de la vie intime et de
la sexualité.
Après une première phase d’étude, il est d’ores et déjà possible de dire que la plupart des patientes ont exprimé leur satisfaction de voir cette thématique abordée
ouvertement, et l’importance qu’elles accordent à la prise en compte par les médecins et soignants de l’impact potentiel du cancer et de ses traitements sur leur vie
intime.
D’autre part, des pistes pour mieux aider les patientes ont été mis en évidence :
„ Un manque d’information reçue sur les conséquences intimes possibles du
J. Pourreux/Institut Curie
cancer et des traitements ;
„ Une anxiété persistante en relation avec le diagnostic de cancer et le risque de
récidive qui peut parfois envahir l’espace psychique et étouffer tout désir de reprise d’une activité sexuelle,
induisant des difficultés dans l’intimité ;
„ Des problèmes d’image corporelle et d’atteinte de la féminité ayant une incidence directe sur la vie intime ;
„ L’importance de la communication au sein du couple.
Cette étude aboutira à la mise en place à l’Institut Curie d’une consultation spécialisée qui s’adressera
de manière spécifique, en étroite collaboration avec les équipes médicales et psycho-oncologiques, aux
femmes exprimant des problèmes sexuels.
Conférence de presse du 28/09/06
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Simone Pérèle
M
aison familiale dirigée avec passion et exigence par Philippe et Catherine Pérèle, les enfants de
la fondatrice, Simone Pérèle est aujourd’hui une des marques de lingerie leaders en Europe.
Depuis sa fondation, le respect de la femme a été le leitmotiv de toutes les créations, de toutes les
innovations de Simone Pérèle.
L’équipe de création met tout son savoir-faire au service de la féminité à travers des produits qui ne
transigent jamais avec le bien-être et la qualité.
L’élégance, l’émotion, le naturel définissent le comportement de la femme Simone PÉRÈLE vis-àvis de la séduction.
Toujours à l’écoute des femmes, et pour témoigner concrètement de son engagement à leurs
côtés, la société Simone Pérèle agit contre le cancer du sein aux côtés de l’Institut Curie depuis le
8 mars 2005.
Comprendre les femmes, les aider à exprimer ce qu’elles ressentent, à améliorer la perception de leur
nouvelle image corporelle et à augmenter leur estime de soi en leur proposant des réponses spécifiques à leurs problèmes, tels sont les objectifs et l‘engagement de la société Simone Pérèle avec
l’Institut Curie pour une durée de 3 ans.
Pour en savoir plus, connectez-vous sur www.simone-perele.fr
Rubrique « marque engagée » : des témoignages et des réponses aux questions les plus fréquemment
posées par les femmes sur le cancer du sein, avec les médecins de l’Institut Curie.
Contact :
Catherine Pérèle, Direction Générale
Inès Bourdel, Directrice de la Communication
01 41 43 26 91 - [email protected]
Conférence de presse du 28/09/06
ETUDE SIMONE PERELE - INSTITUT CURIE
Aider les femmes atteintes de cancer du sein à mieux
vivre les conséquences de la maladie sur leur vie intime
Intervenants
„ Christophe Piednoël, directeur de la communication et du marketing de
l’Institut Curie
„ Catherine Pérèle, direction générale de Simone Pérèle
„ Dr Sylvie Dolbeault, psychiatre, responsable de l’unité de psycho-oncologie
de l’Institut Curie
„ Dr Pascale This, gynécologue-endocrinologue à l’Institut Curie
Conférence de presse du 28/09/06