Recueil des Actes Administratifs du 31 mars 2012
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Recueil des Actes Administratifs du 31 mars 2012
PREFECTURE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS N° 3 DU 31 mars 2012 Le recueil des actes administratifs peuvent être consulté sur internet (http://www.rhone.gouv.fr) et les arrêtés peuvent l'être dans leur intégralité auprès des différents services concernés 1 SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION DE LA POLICE Concours sur titres pour le recrutement d'adjoints techniques de 1ère classe de l' intérieur et de l'outre-mer (emplois réservés). Concours arrêté 1576 du 27/01/2012 pages 1 à 7 PREFET DE POLICE modifiant l’arrêté préfectoral n° 2011- 4682 du 2 septembre 2011 ayant modifié arrêté 1383 provisoirement l’arrêté n° 09-6969 du 1 er décembre 2009, relatif aux mesures de police applicables sur l’aérodrome de Lyon - Bron DIRECTION REGIONALE DES DOUANES ET DROITS INDIRECTS Décision d'implantation d'un débit de tabac ordinaire permanent dans la Décision du 23 mars 2012 commune de MIONS (69780) SOUS PREFECTURE DE VILLEFRANCHE SUR SAONE Habilitations dans le domaine funéraire SERVICE DEPARTEMENTAL D INCENDIE ET DE SECOURS Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle plongée pour l’année 2012. Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle sauvetage aquatique pour l’année 2012. Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité risques chimiques et biologiques pour l’année 2012. Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité cynotechnie pour l’année 2012. Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle sauvetage déblaiement pour l’année 2012. Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux pour l’année 2012. page 7 page 8 page 8 arrêté 811 du 23/02/2012 pages 8 à 10 arrêté 810 du 23/02/2012 pages 10 à 15 arrêté 806 du 02/03/2012 pages 15 à 19 arrêté 809 du 14/03/2012 pages 20 à 21 arrêté 813 du 14/03/2012 pages 21 à 29 arrêté 814 du 14/03/2012 pages 29 à 30 DIRECTION RESSOURCES HUMAINES ET DE LA FORMATION arrêté modificatif relatif à la composition des membres titulaires et suppléants arrêté 1458 du 16/03/2012 des CAPL Nombre de postes et répartition géographique des postes ouverts au titre de la arrêté 1416 région Rhône-alpes pour le concours externe de secrétaire administratif de l'intérieur et de l'outre-mer du ministère de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration - session 2012 Nombre de postes et répartition géographique des postes ouverts au titre de la arrêté 1417 région Rhône-Alpes pour le concours interne de secrétaire administratif de l'intérieur et de l'outre-mer du ministère de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration - session 2012 DIRECTION DE LA SÉCURITÉ ET DE LA PROTECTION CIVILE Prescriptions de mesures A L’Agence nationale pour la gestion des déchets arrêté 1266 du 01/03/2012 radioactifs (ANDRA) et au syndic gestionnaire de l’immeuble Situé au 11, quai claude Bernard à Lyon 7ème relatives à la gestion du risque radIOACTIF Vidéosurveillance Habilitation funéraire HOSPICES CIVILS DE LYON Concours sur titres pour le recrutement de cadres de santé page 1 avis 2012.1 du 31/03/2012 DIRECTION DES LIBERTES PUBLIQUE ET DES AFFAIRES DECENTRALISES Décision de la commission nationale d'aménagement commercial autorisant les agents de la Direction Régionale de l'Environnement de arrêté 1583 du 20/03/2012 l'Aménagement et du Logement (DREAL) Rhône-Alpes, et les personnes auxquelles elle délègue ses droits, à occuper temporairement des parcelles de terrain sur les communes de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu commission départementale de réforme des agents des collectivités arrêté 1577 du 15/03/2012 territoriales et des établissements publics - Représentation des personnels statuts et compétences du syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et arrêté 1313 du 10/02/2012 Affluents "SYRRTA" suppression du passage à niveau public n° 291 de la ligne de chemin de fer de arrêté 1511 du 15/03/2012 Paris à Marseille sur le territoire de la commune de BELLEVILLE. Déclaration d'utilité publique en vue de l'établissement des servitudes, les arrêté 1384 du 02/03/2012 travaux de construction des déviations de « l'antenne de Villeurbanne » et de « la canalisation Meyzieu - Vaulx-en-Velin » sur le territoire de la commune de Décines-Charpieu, et impactant la commune de Meyzieu. Instituant les bureaux de vote et leur périmètre géographique, et répartissant arrêté1327 du 27/02/2012 les électeurs pour la commune de VILLEURBANNE pages 30 à 32 page 32 pages 32 à 33 page 33 pages 33 à 76 page 77 page 77 page 78 page 78 page79 pages 80 à 82 page 82 page 82 pages 83 à 91 2 Autorisant les agents de la société des Autoroutes du Sud de la France et toute personne à laquelle cette société aura délégué ses droits à occuper temporairement les parcelles de terrain cadastrées AV 235, AV 198, AV 236, AY 35, AY 46 et CR sur la commune de JOUX afin de permettre le stockage et la mise en dépôt des excédents de matériaux issus des terrassements du chantier dans le cadre du projet de construction de la section Balbigny - La Tour de Salvagny de l'autoroute A89. Institution de la commission de recensement des votes dans le cadre de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 ami 2012. Institution de la commission locale de contrôle dans le cadre de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012. Institution des commissions de contrôle des opérations de vote dans le cadre de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012. Fixation de la date limite de remise des déclarations pour le département du Rhône par les candidats à l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012 proposition d’un nouveau périmètre DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE Cahier des charges relatif à l’agrément des associations pour la domiciliation des personnes sans domicile au titre de l’aide Agrément d’une association pour la domiciliation au titre de l’aide médicale de l’Etat. Agrément au titre du sport accordé à diverses associations Agrément pour la domiciliation des personnes sans domicile stable DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES Dérogation aux règles de construction en matière d’accessibilité aux personnes handicapées. Autorisation de travaux AT 12 057 concernant la rénovation des trois chambres adaptées aux personnes à mobilité réduite de l’hôtel IBIS LYON NORD situé Porte de Lyon – 69570 DARDILLY - Monsieur Gérard DELETTREI, imposant des prescriptions spécifiques a la traversée de la Brevenne au lieu dit les grenadiers sur la commune de Fleurieux sur l’arbresle imposant des prescriptions spécifiques à la communauté de communes du haut beaujolais concernant le confortement du pont du Bacot sur la Grosne occidentale commune de Saint Christophe la montagne Modification de l'arrêté préfectoral n°2006-3911 mo difié du 16 juin 2006 relatif à la composition du comité local d'information et de concertation autour des sociétés RHONE GAZ à SOLAIZE et TOTAL Raffinage Chimie – Plateforme de FEYZIN imposant des prescriptions spécifiques à la SCI Gauthier Chaumat concernant la création et l’exploitation d’un doublet de forages géothermiques au 270 rue de Créqui – Société modern city records 69007 Lyon commune de Lyon 7eme autorisant au titre des articles l 214-1 a 6 du code de l’environnement les voies navigables de France à réaliser des travaux d'allongement du sas de l'écluse de Rochetaillée-sur-Saône sur les communes de Rochetaillée-sur-Saône et Couzon au mont d’or autorisant au titre des articles l 214-1 a 6 du code de l’environnement la communauté urbaine de Lyon a construire le pont Schuman et procéder aux opérations de requalification de l'avenue Birmingham, des voiries serin/entrepôts et des quais gilet et gare d'eau sur la commune de Lyon autorisant l’utilisation de sources lumineuses pour les comptages nocturnes de gibier. Autorisation d’accès aux propriétés publiques et privées situées sur les communes du département du Rhône portant modification de l'agrément N° 2010-NS-069-0 0007 délivré par arrêté préfectoral du 16 août 2010 à l’entreprise ORTEC ENVIRONNEMENT, localisée à VENISSIEUX (69200), pour la réalisation d’opérations de vidange, de transport et d’élimination des matières extraites des installations d’assainissement non collectif modifiant l'arrêté préfectoral n° 2011- 4030 du 26 septembre 2011autorisant la destruction d’habitat d’espèces protégées de faune dans le cadre de la réalisation de la ZAC Berliet sur la commune de Saint Priest autorisant la capture et le transport de poissons en tout temps à des fins sanitaires, scientifiques et écologiques mettant en demeure M. GRIMALDI Ange Antoine de déposer un dossier de régularisation concernant des travaux de busage et remblai au lieu dit « Combe Jolie » commune de TERNAY, entrepris sans la déclaration requise au titre du code de l'environnement mettant en demeure le GROUPE CAPELLI de déposer un dossier de régularisation concernant des travaux d'aménagements le long du ruisseau de la Fée des eaux commune de VERNAISON, entrepris sans la déclaration requise au titre du code de l'environnement autorisant le défrichement de 1,1461 hectare de terrain à Craponne et Francheville Dérogation aux règles de construction en matière d’accessibilité aux personnes handicapées. Autorisation de Travaux n°12 030 concernant l’aména gement d’un local à l’enseigne « ONLYOGA » dans un bâtiment existant situé 5 rue Saint Claude à LYON 9ème. - Mme Christine LELONG arrêté 1471 du 09/03/2012 pages 91 à 92 arrêté 1500 du 14/03/2012 page 92 arrêté 1498 du 12/03/2012 page 93 arrêté 1501 du 14/03/2012 pages 93 à 95 arrêté 1499 du 12/03/2012 pages 95 à 96 pages 96 à 98 arrêté 766 du 06/03/2012 page 98 arrêté 767 du 09/03/2012 page 98 arrêté 1611 du 22/03/2012 arrêté 768 du 26/03/2012 pages 98 à 99 page 99 arrêté 1595 du 21/03/2012 page 99 arrêté 546 du 169/03/2012 pages 99 à 100 arrêté 547 du 19/03/2012 pages 100 à 101 arrêté 1237 du 22/02/2012 pages 101 à 102 arrêté 544 du 13/03/2012 pages 102 à 105 arrêté 541 du 24/02/2012 pages 105 à 108 arrêté du 542 du 24/02/2012 pages 109 à 112 arrêté 540 du 28/02/2012 page 113 arrêté 1334 du 28/02/2012 pages 113 à 114 arrêté 548 du 23/02/2012 pages 114 à 115 arrêté 532 du 23/01/2012 pages 115 à 116 arrêté 537 du 05/03/2012 pages 116 à 117 arrêté 522 du 12/01/2012 page117 arrêté 527 du 23/0/2012 page 118 arrêté 539 du 07/03/2012 pages 118 à 119 arrêté 1469d u 07/03/2012 page 119 3 Dérogation aux règles de construction en matière d’accessibilité aux personnes handicapées. Autorisation de Travaux n°12 039 concernant l’aména gement d’un hôtel à l’enseigne COOL & BED au 32 quai Arloing à LYON 9ème. - M. Mathieu CORDEBAR autorisant la destruction de spécimens d'espèces animales protégées la capture ou l'enlèvement de spécimens d'espèces animales protégées par la direction départementale des territoires du Rhône autorisant la destruction, l'altération, ou la dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées par la foncière du Montout autorisant la destruction, l'altération ou la dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées, la perturbation intentionnelle de spécimens d'espèces animales protégées, la destruction de spécimens d'espèces animales protégées, la capture ou l'enlèvement de spécimens d'espèces animales protégées par la communauté urbaine de Lyon autorisant la destruction de spécimens d'espèces animales protégées par le syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise Portant création d’une zone de protection de biotope de la prairie du Tupinier sur la commune de Grézieu la Varenne Systèmes d'assainissement arrêté1470 du 07/03/2012 page 120 arrêté 550 du 07/03/2012 pages 120 à 121 arrêté 551 du 07/03/2012 pages 121 à 122 arrêté 552 du 07/03/2012 pages 122 à 123 arrêté 553 du 07/03/2012 pages 123 à 124 arrêté 1314 du 01/03/2012 pages 124 à 125 pages 125 à 131 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS suspension de la mise sur le marché, retrait, rappel et destruction arrêté 1413 du 06/03/2012 d’adaptateurs secteur/usb modifiant l’arrêté préfectoral n° 2009-3767 portant constitution du conseil arrêté 1403 du 07/03/2012 départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques Autorisant les déviations de la canalisation de transport de gaz naturel arrêté 1385 du 08/03/2012 « antenne de Villeurbanne », et de "la canalisation Meyzieu – Vaulx-en-Velin” sur le territoire de la commune de Décines-Charpieu, impactant la commune de Meyzieu. DIRECTION RÉGIONALE DES FINANCES PUBLIQUES Affectation des directeurs adjoints inspectant et inspecteurs du travail décision du 21/03/2012 Subdélégation de signature de Monsieur Pascal BODIN, Directeur de l’Unité décision du 21/03/2012 territoriale du Rhône de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de Rhône-Alpes liste des représentants désignés au comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail spécial DIRECTION INTERRÉGIONALE DES SERVICES PÉNITENTAIRES Etablissement : Maison d’arrêt de LYON CORBAS - Décision portant délégation du 16 mars 2012 Etablissement : Maison d'arrêt de Villefranche sur Saône - Arrêté portant délégation de signature, le 19 mars 2012 page 132 pages 132 à 133 pages 133 à 135 pages 135 à 140 pages 140 à 141 pages 141 à 142 pages 142 à 145 AGENCE RÉGIONALE DE SANTÉ Avis de concours sur titres (en interne) pour le recrutement de deux cadres de santé (filière infirmière) SERVICE NAVIGATION RHONE SAONE Pêche de sauvetage pages 131 à 132 page 145 arrêté du 06/03/2012 pages145 à 147 DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES DE LA CONCURRENCE DE LA CONSOMMATION DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI Habilitation Scop page 147 Agrément des organismes de services à la personne pages 147 à 154 4 Arrêté n° 1576 du 27 janvier 2012 Objet : Concours sur titres pour le recrutement d'adjoints techniques de 1ère classe de l' intérieur et de l'outre-mer (emplois réservés). ARTICLE 1 Un recrutement sans concours pour l’accès au grade d’adjoint technique de 1ère classe de l’intérieur et de l’outre-mer (services déconcentrés), au titre de l'année 2011, est organisé dans le ressort du SGAP de Lyon. 1 poste est à pourvoir, réparti comme suit : Spécialité « entretien et réparation des engins et véhicules à moteurs » (1 poste) - 1 poste de mécanicien automobile (gendarmerie/Haute Savoie) ARTICLE 2 Ce recrutement sans concours s'adresse aux bénéficiaires du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre, de nationalité française ou ressortissants de la communauté européenne et des États parties à l'accord sur l'espace économique européen, reconnus physiquement aptes à l’emploi. ARTICLE 3 Le calendrier de ce recrutement est fixé comme suit : - Examen des dossiers : 16 janvier 2012 - Audition des candidats : 05 mars 2012 - Résultats : 16 mars 2012 ARTICLE 4 la pré-sélection des candidats sera effectuée sur la base des passeports professionnels mis à disposition sur le site du ministère de la défense. ARTICLE 5 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l’audition des candidats est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. Membres titulaires M. Jean-Pierre DOEPPEN, major, région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Michel MUNOZ, adjudant, région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron ARTICLE 6 Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité est chargé de l'exécution du présent arrêté. Pour le Préfet et par délégation La directrice des ressources humaines Sylvie LASSALLE Arrêté n°1371 du 27 janvier 2012 Objet : Concours sur titres pour le recrutement d'adjoints techniques de 1ère classe de l' intérieur et de l'outre-mer : composition des commissions de sélection chargées de l'examen des dossiers et des épreuves orales d'entretien du recrutement ARTICLE 1 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l'épreuve orale d'entretien du recrutement sans concours pour l'accès au grade d'adjoint technique de 1ère classe de l’intérieur et de l’outre-mer, spécialité « entretien et réparation des engins et véhicules à moteur » session 2011 est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, Attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. Membres titulaires M. Jean-Pierre DOEPPEN, major, région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Michel MUNOZ, adjudant, région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Didier COLSON, adjudant, centre de soutien automobile région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Philippe GACHE, major, région gendarmerie Auvergne à Clermont-Ferrand M. Vincent VIVET, ingénieur, adjoint au directeur de la logistique au SGAP de Lyon M. Roland MANGE, ingénieur, chef de la section gestion du parc automobile à la direction de la logistique au SGAP de Lyon M. Vincent SIRERE, adjudant, centre de soutien automobile groupement de gendarmerie de Haute Savoie à Annecy M. Jean-Louis DEVESSE, adjudant, centre de soutien automobile groupement de gendarmerie de l'Ardèche à Privas M. Christian DAUPEUX, chef d'atelier à Cournon d'Auvergne - SGAP de Lyon M. Pascal COUPÉ, chef d'atelier au pôle logistique à Saint Fons - SGAP de Lyon M. Jacques VUILLARD, chef d'équipe mécanique au pôle logistique à Saint Fons - SGAP de Lyon M. Éric FERREIRA,, agent principal au pôle logistique à Saint Fons - SGAP de Lyon M. Bruno SUAIRE, adjudant, centre de soutien automobile région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Moïse NONONDE, adjudant, centre de soutien automobile région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Patrice CASSIER, maréchal des logis, région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron ARTICLE 2 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l'épreuve orale d'entretien du recrutement sans concours pour l'accès au grade d'adjoint technique de 1ère classe de l’intérieur et de l’outre-mer, spécialité « hébergement et restauration » session 2011 est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. 5 Membres titulaires M. Félix GEORGE, adjudant, gérant restauration, cercle mixte région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Jean-Luc FILLOL, chef cuisinier, cercle mixte région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Philippe BOUILLEZ, major, école de gendarmerie à Montluçon M. Christophe COUTANT, major, école de gendarmerie à Montluçon M. Philippe MORIANCOURT, secrétaire administratif, bureau des ressources humaines, école de gendarmerie à Montluçon M. Richard GUILLET, chef de cuisine, école de Gendarmerie à Montluçon M. Stéphane BAZIN, gendarme, cercle mixte région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron ARTICLE 3 Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité est chargé de l'exécution du présent arrêté. Pour le Préfet et par délégation, La directrice des ressources humaines Sylvie LASSALLE Arrêté n° 1369 du 27 janvier 2012 Objet : Concours sur titres pour le recrutement d'adjoints techniques de 1ère classe de l' intérieur et de l'outre-mer (emplois réservés). ARTICLE 1 Un recrutement sans concours pour l’accès au grade d’adjoint technique de 1ère classe de l’intérieur et de l’outre-mer (services déconcentrés), au titre de l'année 2011, est organisé dans le ressort du SGAP de Lyon. 1 poste est à pourvoir, réparti comme suit : Spécialité « accueil, maintenance et logistique » (1 poste) - 1 poste d'armurier dans le département du Rhône (SGAP/Saint Fons) ARTICLE 2 Ce recrutement sans concours s'adresse aux bénéficiaires du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre, de nationalité française ou ressortissants de la communauté européenne et des États parties à l'accord sur l'espace économique européen, reconnus physiquement aptes à l’emploi. ARTICLE 3 Le calendrier de ce recrutement est fixé comme suit : - Clôture des inscriptions : le 15 janvier 2012 (cachet de la poste faisant foi) - Examen des dossiers : 19 janvier 2012 - Audition des candidats : 06 février 2012 ARTICLE 4 la pré-sélection des candidats sera effectuée sur la base des passeports professionnels mis à disposition sur le site du ministère de la défense. ARTICLE 5 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l’audition des candidats est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. Membres titulaires M. Dominique BURQUIER, directeur de la logistique au SGAP de Lyon M. Vincent VIVET, adjoint au directeur de la logistique au SGAP de Lyon ARTICLE 6 Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité est chargé de l'exécution du présent arrêté. Pour le Préfet et par délégation, La directrice des ressources humaines Sylvie LASSALLE Arrêté n°1370 du 27 janvier 2012 Objet : Recrutement sans concours pour l'accès au grade d'adjoint technique de 2ème classe de l'intérieur et de l'outre-mer (emplois réservés) ARTICLE 1 Un recrutement sans concours pour l’accès au grade d’adjoint technique de 2ème classe de l’intérieur et de l’outre-mer (services déconcentrés), au titre de l'année 2011, est organisé dans le ressort du SGAP de Lyon. 3 postes sont à pourvoir, répartis comme suit : Spécialité « hébergement et restauration » (3 postes) - 1 poste de serveur dans le département de l'Allier (gendarmerie – Montluçon), - 1 poste de serveur dans le département de la Haute Savoie (gendarmerie) - 1 poste de magasinier aide intendant dans le département du Rhône (Gendarmerie), ARTICLE 2 6 Ce recrutement sans concours s'adresse aux bénéficiaires du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre, de nationalité française ou ressortissants de la communauté européenne et des États parties à l'accord sur l'espace économique européen, reconnus physiquement aptes à l’emploi. ARTICLE 3 Le calendrier de ce recrutement est fixé comme suit : - Clôture des inscriptions : le 15 janvier 2012 (cachet de la poste faisant foi) - Examen des dossiers : 16 janvier 2012 - Audition des candidats : 28 février 2012 ARTICLE 4 la pré-sélection des candidats sera effectuée sur la base des passeports professionnels mis à disposition sur le site du ministère de la défense. ARTICLE 5 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l’audition des candidats est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. Membres titulaires M. Philippe MORIANCOURT, secrétaire administratif, bureau des ressources humaines, école de gendarmerie à Montluçon M. Christophe COUTANT, major, école de gendarmerie à Montluçon M. Richard GUILLET, chef de cuisine, école de gendarmerie à Montluçon M. Félix GEORGE, adjudant, gérant de restauration, cercle mixte région gendarmerie Rhône-Alpes à Bron M. Philippe LACOLOMBE, maréchal des logis, centre national d'instruction au ski et à l'alpinisme à Chamonix (CNISAG) à Chamonix ARTICLE 6 Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité est chargé de l'exécution du présent arrêté. Pour le Préfet et par délégation, La directrice des ressources humaines Sylvie LASSALLE Arrêté n° 1372 du 27 janvier 2012 Objet : Recrutement sans concours pour l'accès au grade d'adjoint technique de 2ème classe de l'intérieur et de l'outre-mer : composition des commissions de sélection chargées de l'examen des dossiers et des épreuves orales d'entretien du recrutement ARTICLE 1 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l'épreuve orale d'entretien du recrutement sans concours pour l'accès au grade d'adjoint technique de 2ème classe de l’intérieur et de l’outre-mer, spécialité «accueil, maintenance et logistique » session 2011 est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. Membres titulaires Mme Sylvie LASSALLE, directrice des ressources humaines au SGAP de LYON M. Michel PONZIO, directeur des ressources humaines à la préfecture de l'Allier Mme Dorothée FOURNIER, chef de bureau à la préfecture de l'Allier M. Pascal PICHARD, directeur des ressources et de la modernisation à la préfecture de l'Isère M. Bruno CIRY, chef du bureau de la logistique, des affaires immobilières et du patrimoine à la préfecture de l'Isère ARTICLE 2 La composition de la commission de sélection chargée de l'examen des dossiers et de l'épreuve orale d'entretien du recrutement sans concours pour l'accès au grade d'adjoint technique de 2ème classe de l’intérieur et de l’outre-mer, spécialité «hébergement et restauration » session 2011 est la suivante : Président Mme Valérie SONNIER, attachée IOM, chef du bureau du recrutement au SGAP de Lyon. Membres titulaires M. Michel PONZIO, directeur des ressources humaines à la préfecture de l'Allier Mme Maryline GAYET, directrice des ressources et de la modernisation interministérielle à la préfecture de l'Allier Mme Nathalie TEYSSIER, gestionnaire personnel civil, région gendarmerie Auvergne à Clermont-Ferrand Mme Isabelle GUADAGNA, adjudant, région gendarmerie Auvergne à Clermont-Ferrand M. Christophe COUTANT, major, école de gendarmerie à Montluçon M. Richard GUILLET, chef de cuisine, école de gendarmerie à Montluçon M. Philippe MORIANCOURT, secrétaire administratif, bureau des ressources humaines, école de gendarmerie à Montluçon ARTICLE 3 Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité est chargé de l'exécution du présent arrêté. Pour le Préfet et par délégation, La directrice des ressources humaines Sylvie LASSALLE ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1383 Objet : modifiant l’arrêté préfectoral n° 2011-4682 du 2 septembre 2011 ayant modifié provisoirement l’arrêté n° 09-6969 du 1 er décembre 2009, relatif aux mesures de police applicables sur l’aérodrome de Lyon - Bron Article 1 7 La modification de la frontière séparant le côté ville du côté piste de l’aérodrome de Lyon Bron (zone délimitée) mise en place à compter du 15 septembre 2011 en application de l’article 1 de l’arrêté préfectoral 2011-4682 du 1er septembre 2011 est prolongée jusqu’au 30 mars 2012. Article 2 Le directeur de la sécurité de l’aviation civile Centre-Est ; le directeur zonal de la police aux frontières ; le commandant de la compagnie de gendarmerie des transports aériens ; le directeur du service interrégional des douanes et droits directs ; le président du directoire de la société Aéroports de Lyon ; sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Pour le préfet du Rhône, Le préfet délégué pour la défense et la sécurité Jean-Pierre CAZENAVE LACROUTS Décision de la direction régionale des douanes et droits indirects de Lyon du 23 mars 2012. Objet : Décision d'implantation d'un débit de tabac ordinaire permanent dans la commune de MIONS (69780) Article 1er : Il est décidé d'implanter un débit de tabac ordinaire permanent dans la commune de Mions (69780) Article 2 : En application des articles 14 à 19 du décret susvisé, l'attribution du débit sera effectuée prioritairement par appel à transfert, et à défaut, par appel à candidatures. Le directeur régional des douanes et droits indirects de Lyon Marc GALERON Cette décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon dans les deux mois qui suivent la date de publication de la décision. Arrêté n° 2012-20 du 15 mars 2012 Objet : Habilitation dans le domaine funéraire Article 1er : Messieurs Alain et Arnaud BONNEPART, responsables de la société SARL Alain BONNEPART ET FILS, à l'enseigne BARRON BONNEPART, situé 34, rue du 8 mai 1945 – 69550 AMPLEPUIS, sont habilités pour la gestion et l'utilisation de la chambre funéraire sise route de Roanne 69550 AMPLEPUIS. Article 2 : La durée de la présente habilitation, délivrée sous le n° 12.69.02.083 est fixée à six ans. Article 3 : Le Sous-Préfet de VILLEFRANCHE-SUR-SAONE est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du RHONE. Pour le Préfet et par délégation, le Sous-Préfet, Stéphane GUYON Arrêté n° 2012-19 du 15 mars 2012 Objet : Renouvellement d'habilitation dans le domaine funéraire Article 1er : La SARL Alain BONNEPART ET FILS, exploitée par Messieurs Alain et Arnaud BONNEPART, est habilitée pour exercer sur l'ensemble du territoire national les activités de pompes funèbres suivantes : transport de corps avant et après mise en bière, organisation des funérailles, fourniture des tentures extérieures des maisons mortuaires, fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires, opérations d'inhumation, opérations d'exhumation, gestion et utilisation de la chambre funéraire située route de Roanne – 69550 AMPLEPUIS. Article 2 : Le numéro de l'habilitation est : 12.69.02.0065. Article 3 : La présente habilitation est valable jusqu’au 24 novembre 2017. Article 4 : L’arrêté n° 2009-24 du 3 février 2009 est abrogé . Article 5 : Le Sous-Préfet de VILLEFRANCHE-SUR-SAONE est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du RHONE. Pour le Préfet et par délégation, le Sous-Préfet, Stéphane GUYON Arrêté préfectoral n° 2012-811 du 23 février 2012 Objet : Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle plongée pour l’année 2012. Article 1 : Sont inscrits sur la liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle plongée pour l’année 2012, les sapeurs-pompiers suivants : 8 Conseiller technique/20 mètres : 681 DIZERENS Gérard 773 DUPUY Sylvain 966 DUMOULIN Jérôme 13197 HUART Bertrand Chef d'unité/20 mètres : 14840 BRISSET Laurent 15268 CHARLEUX Cédric 17972 DALOUX Yannick 16033 DAVID Luc 16768 DOLAZZA Stéphane 13887 ELDIN Christophe 797 17942 FRANCOIS Lionel HENOUX Guillaume 14852 HOSPITAL Grégory 707 LICHTFOUSE Hervé 973 MARTINEZ Yann 14273 RICHAUD Steeve 14191 STERN Nicolas 14897 TALLARON Cyril Scaphandrier/20 mètres : 20057 ALLAIS Ludovic 16450 BLANC Julien 13636 CANALE Brian 13899 CHALOT Benjamin 20048 CHAMEL Florian 927 DIASPARRA Laurent 850 EMERIAT Robert 852 GEORGEON Laurent 13479 GIBERT Olivier 16618 GIRARD Damien 15035 GLOUBOKII Sylvain 777 GORCE Christophe 13559 INGIGNOLI Hervé 15699 JAUSSOIN Christophe 1043 JULLIAN Patrice 13170 LE GARS Julien 803 LEFRANC Olivier 14317 MAYOLLET Jean-Daniel 14864 MIDAVAINE David 14173 NADAL Fabien 696 PANNETIER Lionel 16040 PASTRELLO Jérémy 16766 PERRON Julien 14074 PIETRYKA Olivier 17941 RANDON Kilian 9 13623 RAVACHOL Lionel 1011 SOUVIRAA-LABASTIE Pierre 16446 STARCK Arnaud 14551 USTACHE Damien 839 ZANOT Jean-Marie 17001 ZECCHETTI Stéphane Plongeur en surface non-libre : 14840 BRISSET Laurent 681 DIZERENS Gérard 16768 DOLAZZA Stéphane 966 DUMOULIN Jérôme 773 DUPUY Sylvain 13887 ELDIN Christophe 797 FRANCOIS Lionel 13479 GIBERT Olivier 777 GORCE Christophe 17942 HENOUX Guillaume 14852 HOSPITAL Grégory 13197 HUART Bertrand 15699 JAUSSOIN Christophe 707 LICHTFOUSE Hervé 973 MARTINEZ Yann 14273 RICHAUD Steeve 14191 STERN Nicolas 14897 TALLARON Cyril Article 2 : Le directeur départemental des services d’incendie et de secours est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et du Service départemental d’incendie et de secours du Rhône. Le préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Jean-François CARENCO Arrêté préfectoral n° 2012-810 du 23 février 2012 Objet : Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle sauvetage aquatique pour l’année 2012. Article 1 : Sont inscrits sur la liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle sauvetage aquatique pour l’année 2012, les sapeurs-pompiers suivants : Conseiller technique : 15239 DELVOYE Robert 647 LAPOINTE Frédéric 718 PAILLIER Jean-Yves 787 POLIZZI Patrick 1012 TREMBLY Joël Chef de bord sauveteur côtier : 17643 BALLY-BERARD Julien 15059 BASELLI Benjamin 15855 CLAISSE Nicolas 690 COMTE Frédéric 10 770 COMTE Gilles 17972 DALOUX Yannick 864 DE RAYMOND-CAHUZAC Emmanuel 15021 DERYCKE Nicolas 6588 DOLLA Laurent 16037 DUPIR Didier 16770 EGLAINE Mathieu 15095 EGLAINE Sébastien 15047 EROINI Guillaume 852 GEORGEON Laurent 428 GIVORD Serge 14292 LABROSSE Jérôme 932 LADRET David 14861 MANIN Renan 14490 ODEN Stéphane 831 OUSDIAN Jean-Marc 15078 PERRIER David 917 SIMON Serge 16446 STARCK Arnaud 834 THEVENON Olivier 948 THOMAS Philippe 742 USSEGLIO-CARLEVE Richard 952 VANHOVE Hervé 839 ZANOT Jean-Marie Nageur sauveteur côtier : 15678 BOURRET Sylvain 16750 BURETTE Matthieu 15271 CLERC Sébastien 979 EMEYRIAT Laurent 14553 FABBRI Michael 797 FRANCOIS Lionel 16009 MARSURA Xavier 17252 QUINET Mickaël 807 TCHIALI Bruno Nageur sauveteur aquatique : 17243 AGNESINA Denis 19387 ANDRE Maxime 19506 ANELLI Arnaud 15252 ARVIS Jérémy 14812 ASLOUNE Ganème 17632 BABAD Sylvain 14893 BADURAUX Philippe 17938 BAGNERIS Brice 17643 BALLY-BERARD Julien 17939 BARNIER Anne-Sophie 14319 BELLANGER Arnaud 11 10559 BERARD Marc 20282 BEUSSON Christophe 16450 BLANC Julien 17635 BOLVY Florian 17644 BONGIORNI Nicolas 20307 BONNIER Loïc 1031 BOURGINE Frédéric 15598 BRET Arnaud 14840 BRISSET Laurent 16750 BURETTE Matthieu 15087 BURGIO Laurent 13636 CANALE Brian 20058 CANARD Benoît 16761 CANELLAS Franck 15661 CASTALDI Damien 13899 CHALOT Benjamin 15268 CHARLEUX Cédric 20065 CHAVANNE Hervé 15283 CHAZAL Rodolphe 16931 CORNEILLE SAINT-MARC Guillaume 16033 DAVID Luc 1036 DAVIET Nicolas 14557 DAVIN Guillaume 20284 DAYRE Yvain 17428 DEMOTIER Philippe 18800 DESMAZIERES Yassine 927 DIASPARRA Laurent 681 DIZERENS Gérard 16768 DOLAZZA Stéphane 20059 DUGAIT Guillaume 966 DUMOULIN Jérôme 15705 DUPEUBLE Laurent 773 DUPUY Sylvain 17649 DURY Alexandre 15095 EGLAINE Sébastien 13887 ELDIN Christophe 850 EMERIAT Robert 19370 FESTAS Axel 18020 FRANCHINO Guillaume 17648 GALLO Dominique 16776 GAMA Dany 902 GARD Christophe 17929 GASTEBOIS Anthony 16996 GERARDIN Christophe 19549 GERBET Thomas 13479 GIBERT Olivier 16618 GIRARD Damien 16701 GIRAUD Stéphane 12 15074 GIRY Loïc 15035 GLOUBOKII Sylvain 777 GORCE Christophe 21573 GRAS Nicolas 17997 GRENET Hadrien 17264 GUILLARD Joanny 882 HAMELIN Philippe 17942 HENOUX Guillaume 20314 HILAIRE Sylvain 16773 HIRAT Clément 14852 HOSPITAL Grégory 13197 HUART Bertrand 883 IACOVELLI Jean 13559 INGIGNOLI Hervé 580 ISAAC Philippe 13199 JARRIGE Frédéric 15699 JAUSSOIN Christophe 1043 JULLIAN Patrice 908 LACROIX Vincent 20292 LAUDET Jean-Baptiste 803 LEFRANC Olivier 14795 LEGALL Christophe 16964 LEGRAS Matthieu 17932 LEVESQUE Vikas-Simon 707 LICHTFOUSE Hervé 461 LIOGIER Jean-Marc 15104 LOISON Nicolas 17653 MARGUIN Vincent 973 MARTINEZ Yann 15109 MARTINIERE Cédric 16010 MATHON Stéphane 14317 MAYOLLET Jean-Daniel 16019 MEFTAH Houaeb 14729 MEUNIER Luc 20297 MICOLLET Maxence 14864 MIDAVAINE David 16775 MINIGGIO Nicolas 19378 MONTAGNON Guillaume 16011 MORIN Mickaël 14173 NADAL Fabien 1013 NIVIERE Jean-François 19381 ORTEGA Fabrice 16428 OVIZE Damien 16075 PACCAUD Mickaël 16040 PASTRELLO Jérémy 20299 PERRIER Christophe 16766 PERRON Julien 15246 PICHON Emmanuel 13 15016 PIERREFEU Loïc 14074 PIETRYKA Olivier 16456 POUILLAT Guillaume 14285 PREMAT Stéphane 15050 PRIEST Philippe 17639 RAMJEE Désiré 17941 RANDON Kilian 13623 RAVACHOL Lionel 14273 RICHAUD Steeve 20041 ROCHE Damien 20046 ROHDE Denis 20042 ROSSET Anthony 14867 ROUSSEAU Thomas 1049 RUELLE Pierre 14741 RUIZ Olivier 17196 SANCHEZ Terence 15263 SCHMITT Thomas 19366 SOMMER Gaël 17245 SORNET Vincent 14191 STERN Nicolas 20302 SUCCA Aymeric 16769 SURREL Rémi 14897 TALLARON Cyril 16445 TERRIER Lionel 13891 TERRIS John 7006 TIBERGHIEN Lionel 14906 TOILLION Grégory 14551 USTACHE Damien 637 VACHER Patrick 21575 VENET Nicolas 12563 VINCENDON Romain 17001 ZECCHETTI Stéphane Nageur sauveteur en eaux vives : 15059 BASELLI Benjamin 690 COMTE Frédéric 770 COMTE Gilles 17972 DALOUX Yannick 16033 DAVID Luc 15239 DELVOYE Robert 15021 DERYCKE Nicolas 6588 DOLLA Laurent 966 DUMOULIN Jérôme 16037 DUPIR Didier 15047 EROINI Guillaume 797 FRANCOIS Lionel 428 GIVORD Serge 13197 HUART Bertrand 14 14292 LABROSSE Jérôme 908 LACROIX Vincent 932 LADRET David 647 LAPOINTE Frédéric 14861 MANIN Renan 831 OUSDIAN Jean-Marc 718 PAILLIER Jean-Yves 15078 PERRIER David 787 POLIZZI Patrick 917 SIMON Serge 16446 STARCK Arnaud 834 THEVENON Olivier 948 THOMAS Philippe 1012 TREMBLY Joël 742 USSEGLIO-CARLEVE Richard 952 VANHOVE Hervé 839 ZANOT Jean-Marie Article 2 : Le directeur départemental des services d’incendie et de secours est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et du Service départemental d’incendie et de secours du Rhône. Le préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Jean-François CARENCO Arrêté préfectoral n° 2012-806 du 2 mars 2012 Objet : Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité risques chimiques et biologiques pour l’année 2012. Article 1 : Sont inscrits sur la liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité risques chimiques et biologiques pour l’année 2012, les sapeurs-pompiers suivants : Conseiller technique RCH : 925 BOURINET Patrick 687 CATTIN Guy 15633 CHAMAGNE Christophe 758 VINEY Roger Chef de cellule RCH : 747 BARDELMANN Jean-Philippe 811 BEAUPOIL Philippe 19588 BEROARD Laurent 13645 BLENET Vincent 15043 BOUCKAERT Nicolas 642 BOURGIN Philippe 422 BRISSET Alain 687 CATTIN Guy 15633 CHAMAGNE Christophe 567 CHAUVET Patrice 810 CHIREIX Daniel 640 CHOMETTE Roland 520 CLAVEL Jean Claude 15 1069 DE BORTOLI Christian 17670 DESCAMP François 746 DUARTE Jean-Pierre 19155 DURAND Thomas 14324 FARRUGIA Georges 715 FAURE Guy 454 FOURNEL Albert 692 GIRAUD Alain 856 GOUJAT Gilles 15665 GRANGE Guillaume 14052 GUEUGNEAU Jean Philippe 19157 JACQUIER Clément 17014 LACHAIZE Cédric-Laurent 14787 LUNEL Frédéric 431 MARMONIER Pierre 557 MEUNIER Bruno 487 MURE Pierre-Henri 13299 PACHE Pascal-Henri 14789 PASQUIER Cédric 612 PEYRON Pascal 21530 PILLOT Laurent 16247 POITEL Damien 1009 REYNARD Nicolas 15454 RICHARD Cécile 14274 ROBERT Raphaël 539 ROCHE Pascal 1151 SAPORI Jean-Marc 14737 SEBBANE Anthony 806 SOCODIABEHERE Fabrice 765 THOMAS Patrick 21574 TOINON Grégory 758 VINEY Roger 909 VINEY Olivier 16827 WENISCH Grégory Chef d'équipe inter RCH : 19387 ANDRE Maxime 860 ARLAUD Pierre 17121 ARNAUD Frédéric 750 ARTHAUD Gilles 17632 BABAD Sylvain 16447 BADOIL Didier 588 BARBIER Jean-Michel 19388 BARON Nicolas 15051 BECLAY Mehdi 13506 BEDINI Franck 19389 BELLUT Johan 571 BELZUNCE Christian 16 13603 BERGER-VACHON David 17926 BERNOLLIN Florian 17633 BERNOLLIN Nicolas 15658 BERRUT Laurent 17635 BOLVY Florian 15031 BORDET Hervé 1137 BOUDAUD Anthony 14889 BOUDET Laurent 667 BOURGEOIS Thierry 14478 BOURGUES Damien 15060 BREILLER Alexandre 15237 CANARD Richard 15071 CARIOU Maël 938 CHABBOUH Rémy 767 CHAILLOUX Eric 858 CHAIZE Herve 17931 CHAPUIS Joris 15270 CHENAL Franck 862 CHERUBINI André 13165 CHEZEAU Vincent 15303 COGNE Jérôme 17246 CORTES Eddy 15034 COUILLOUD Guillaume 14142 CRESPO Gabriel 15027 CROZET Laurent 991 CROZET Sylvain 713 DEBBACHE Kamel 1037 DELANGRE Christophe 15272 DELETRE Julien 16034 DENNILAULER Frédéric 16041 DESSALCES Armand 730 DI VITO Walter 15662 DIETRICH Phillipe 15273 DOUKI Florent 731 DUBOIS Christian 849 DURAND Olivier 15095 EGLAINE Sébastien 16770 EGLAINE Mathieu 14206 EGRAZ Patrice 15085 EPLE Elodie 15047 EROINI Guillaume 596 FANTIN Patrick 13659 FERREIRO Jérôme 16752 FONFREYDE Perrick 17673 FORFAIT Laurent 598 GAGLIONE Alain 14728 GALLAND Romain 902 GARD Christophe 17 14849 GETTE Ludovic 15282 GILBERT Nicolas 1060 GIRARD Frédéric 16027 GLEYZE Stéphan 13182 GOIN Cédric 14896 GONDRAND Xavier 693 GROS Jean Bernard 14808 GUERIN François 14813 GUICHARD François 17264 GUILLARD Joanny 734 GUIOT Jean-Yves 941 HERRERA Jean Joseph 15666 JACOBS Vincent 1026 LANE Patrice 16617 LAPIERRE Olivier 14481 LIENARD Ludivine 14545 LOISEL Loic 15700 LY Thierry 14198 MAGNIEN Nicolas 14482 MANGANI Laurent 14861 MANIN Renan 17653 MARGUIN Vincent 17004 MARIA Neil 808 MARTIN Frédéric 507 MARTIN Gilles 15014 MARTINEZ Steeve 484 MARTINEZ Manuel 892 MERLIN Yann 974 MONTFOLLET Sébastien 16432 MONTILLET Mathieu 16430 MUR David 17266 MURE Pierre 14500 NADAL Patrick 17009 NADAL Thomas 15694 NAZARET Julien 19380 NIKOLAUS Emeric 935 OLIVIERI Jean-Claude 20053 PACCAUD Jonathan 718 PAILLIER Jean-Yves 488 PARADIS Bernard 15697 PASTRELLO Fabien 463 PATHOUX Christian 16774 PAUL Zian 16425 PERRIER Gaël 14489 PETIT Guillaume 23206 PEYRARD Laurent 658 PIN Didier 675 PORTE Gilles 18 14488 POULY Jean-Hervé 17252 QUINET Mickaël 14872 RABOUTOT Nicolas 878 REBAHI Foudil 439 REY Jean-Pierre 20041 ROCHE Damien 13888 ROY Patrice 14275 SALLES Yohann 629 SANCHEZ Gaspar 791 SANCHEZ Pierre 15011 SARZIER Christophe 14295 SAUNIER Guillaume 14868 SAUVIGNET Cyril 15263 SCHMITT Thomas 14810 TABONE Eric 879 THELISSON Franck 948 THOMAS Philippe 662 TONDEUR Thierry 14556 TRONEL Olivier 21575 VENET Nicolas 14875 VILLOT Romain 838 VINCENDON Yvan 582 VIRICEL Georges 13640 VOISIN Emmanuel 14873 VONLANTHEN Gérald Chef d'équipe reco RCH : 15105 ARENA Dimitri 14145 BRIQUE Jérémy 15106 CHASSAGNETTE Franck 16610 DEKEISTER André 13163 DELLIAGE Anthony 14511 DEODATO-DIT-DONNADIEU Patrice 22148 FOSSAT Anthony 15022 GENTIL Sylvain 13196 GETAS Grégoire 13660 GIRARD Olivier 15074 GIRY Loic 21573 GRAS Nicolas 647 LAPOINTE Frédéric 1027 LAUTIER Patrice 628 MARCHAND Gérard 936 MOITIE Thierry 16430 MUR David 920 PETIT Christophe 720 QUINONERO Daniel 15781 RAS Benoît 14146 REYNAUD Laurent 19 14867 ROUSSEAU Thomas 17275 SAMMUT Yannick 21575 VENET Nicolas Equipier reco RCH : 19062 CATTIN Florian Article 2 : Le directeur départemental des services d’incendie et de secours est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et du Service départemental d’incendie et de secours du Rhône. Le préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Jean-François CARENCO Arrêté préfectoral n° 2012-809 du 14 mars 2012 Objet : Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité cynotechnie pour l’année 2012. Article 1 : Sont inscrits sur la liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité cynotechnie pour l’année 2012, les sapeurs-pompiers suivants : Conseiller technique cynotechnique : 751 DRAVET Didier 686 PAGANON Eric 566 PERROUX Gilles 17130 RIFFARD Olivier Chef d'unité cynotechnique : 15702 LATHUILLERE Régis Conducteur cynotechnique : 13428 ABEILLON Aurélien Chien : BOSS (2 FDX 486) 19398 ADAMO Maxime Chien: DARGO (puce n° 250 269 700 306 756) 20063 CHARBONNIER Vincent Chien : DALOO dit DUKE (puce n° 250 269 602 498 644 ) 14537 DESMARIS Thibault Chien: DICK (2 GAX 641) 751 DRAVET Didier Chien : COOK (2 FDY 973) 19995 FORESTIER Julien Chien : DREKSON (puce n° 250 269 801 232 047) 14851 GUIHENEUF Ludovic Chien: COVOU (puce n° 250 268 500 027 677) 20 19372 JOANNON Julien Chien : DAÏKA (puce n° 250 269 602 463 321) 15702 LATHUILLERE Régis Chien : VOLCANE dit VEGAS (2 DMZ 843) 686 PAGANON Eric Chien : URON (2 DHV 596) 566 PERROUX Gilles Chien : NEGUS (2 DWH 771) Chien : TITO (2 BCZ 472) 15029 SENECHAL Nicolas Chien : VOLTAIRE dit VOLGAN (2 DTW 428) 19366 SOMMER Gaël Chien : DARWIN (puce n° 250 269 801 285 873) 6656 VINCENT Franck Chien : FEELING (puce n° 250 269 602 978 114) Article 2 : Le directeur départemental des services d’incendie et de secours est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et du Service départemental d’incendie et de secours du Rhône. Le préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Jean-François CARENCO Arrêté préfectoral n° 2012-813 du 14 mars 2012 Objet : Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle sauvetage déblaiement pour l’année 2012. Article 1 : Sont inscrits sur la liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle sauvetage déblaiement pour l’année 2012, les sapeurs-pompiers suivants : Conseiller technique SD : 11469 DURAND Luc 522 FALCONERI Antoine 924 FILI Christian 703 GRANGE Pascal 1090 LAURENT Jean-Charles 641 NEYRET Christian 686 PAGANON Eric 18355 PERRET Christophe 612 PEYRON Pascal 1066 RAJOT Thierry Chef de section SD : 474 BERGEON Christian 11410 CARRET Eric Chef d'unité SD : 13428 ABEILLON Aurélien 21 14140 ABSALON Christian 445 ATHLAN Gérard 471 BAGROWSKI Eric 15086 BALME Guillaume 14099 BARRAL Jérôme 1094 BARROT Jean-Philippe 423 BARRY Didier 14318 BAZOUD Frédéric 14486 BELHADEF Mehdi 19588 BEROARD Laurent 987 BERTHET Laurent 421 BERTRAND Paul 10923 BLANCHON Frédéric 887 BOITON Gilles 642 BOURGIN Philippe 1136 BOUTEILLE Emmanuel 813 BRUN Yannick 1103 CERVOS Jean-Jacques 668 CHAIZE Louis 572 CHAMBAS Marc 499 CHARRIER Jean-Marc 479 CLEMENT Patrick 13929 COMPANY Olivier 592 COPETA René 1110 CORDONATTO Frédéric 450 COUDERT Roger 13166 CREVOLIN Sébastien 13167 DA COSTA Arnaud 843 DEBOURG Denis 820 DELANGUE Jean-Claude 846 DELETRAZ Damien 344 DEPOUILLY Gilles 17670 DESCAMP François 1105 DESCHAMPT Michel 796 DUCHAMP Patrick 645 DUCLOUD Pascal 13177 DUPUY Jérôme 632 DURAN Juan 626 DURY Pierre 15023 FARGE Stéphane 19995 FORESTIER Julien 17673 FORFAIT Laurent 454 FOURNEL Albert 15094 FOURNEL Serge 15090 FRELICOT Guillaume 691 GAYDOU Thierry 15279 GEORGEL Sylvain 14204 GIRARD Michel 22 692 GIRAUD Alain 6088 GOFFOZ Yves 856 GOUJAT Gilles 608 GROS Bernard-Noël 13195 GUEYDON Philippe 13815 GUILLOT Christophe 580 ISAAC Philippe 970 JOUY Jean-François 1218 LAGRANGE David 601 LAMASSE Marcel 1082 LAURENT Patrick 574 LEGEAY Patrice 16234 LETONDEUR Philippe 884 LEVEQUE Daniel 780 LEVOYET Jean-Marc 581 LONGO Nicolas 1122 MAGAND Laurent 14290 MAIERON Alexandre 11296 MANCINI Philippe 14313 MARCHAND Mikaël 1125 MATHIEU Walter 736 MEUNIER Laurent 756 MILORD Jean-Luc 704 MOLLIER Luc 19156 MONNIER Arnaud 873 MONNIER Jean-Pierre 367 MORA Jackie 14809 MORALES François 15092 MOUNIER Nicolas 1013 NIVIERE Jean-François 13909 NOUVELOT Yannick 436 PALOMINO Gérard 268 PENIN Paul 673 PEREZ Christian 944 PERRIN Laurent 495 PERRINET Alain 566 PERROUX Gilles 1047 PETITOT Steve 805 PEYRAUD-MAGNIN Fabrice 650 PEYRON Marc 15642 PICHARD Loïc 975 PIERGA Jean-Philippe 538 PLASSE Christian 787 POLIZZI Patrick 643 PONS Christian 636 PONTILLO Bernard 1108 PREVOST Patrick 410 RABILLOUD Roger 23 19568 RAVIER Alain 492 ROUSSIER Jean-Paul 19142 RUIZ Nicolas 19152 SCHARLY Hervé 15029 SENECHAL Nicolas 11986 SERVY Bruno 14869 TANTON Christophe 807 TCHIALI Bruno 910 THIZY David 614 TOILLION Jean-Pierre 14193 TRAPEAUX Sylvain 663 TURQUOIS Eric 637 VACHER Patrick 13301 VERGEAT Eric 13209 VIALLON Thomas 685 VILLARD Jean-Jacques 759 VIRICEL Christian 17126 WIAND Fabien Equipier SD : 17669 AIGRAIN Guillaume 12803 ALAJARIN Fabien 13396 ALBERTI Laurent 17970 ALOUACHE Zakarya 19385 AMMOUR Karim 17121 ARNAUD Frédéric 10445 ARNAUD Jean-Claude 17642 AUTHIER Frédéric 20047 BADOIL Frédéric 17938 BAGNERIS Brice 15064 BAGUET David 14727 BAIA Jessi 11453 BAILLY Bernard 17939 BARNIER Anne-Sophie 11042 BEAUMONT Olivier 16999 BENOIST Raphaël 17028 BERAUD Julien 10510 BERAUD Patrick 15658 BERRUT Laurent 928 BERTHIER Jérôme 16754 BERTHIER Sylvain 929 BESSON Lionel 12645 BILLAUDAZ Laurent 16749 BODIOT Loïc 15002 BOINON Luc 665 BOIS-BRESSOLLES Michel 19391 BONNET Cyril 12135 BONNET Jérôme 24 13169 BOUDERAA Abdelhakim 14677 BOUDON Stéphane 1031 BOURGINE Frédéric 10679 BOURIN Christian 17900 BOYER Frédéric 20769 BOYER Olivier 10672 BREAT Jean-Luc 17000 BREYSSE Cédric 18796 BRIOT Steve 16014 BRIZE Sébastien 14336 BRUSSET Thibaud 15087 BURGIO Laurent 16072 BUSSEROLLE Bruno 17285 CACHAT Stéphane 18994 CAILLAT Franck 11496 CAMPAGNARD Christophe 20058 CANARD Benoît 16761 CANELLAS Franck 15100 CARRY Geoffrey 15661 CASTALDI Damien 17044 CERVERA Jonathan 16655 CESAR Christophe 17241 CHALAYE Amandine 19392 CHAMBAT Thibaut 16240 CHAMPION Laurence 15309 CHAPUT Dominique 10586 CHARDON Pascal 16031 CHAREYRON Clément 14983 CHARNAY Romain 16453 CHARTREAU Vincent 10370 CHIBOUT Saisy 17003 CINQUIN Rémy 17647 CLEMENT Didier 15271 CLERC Sébastien 10594 CORNUEZ Georges 15887 CRUZ Jean-Pierre 11532 DAVID Patrice 864 DE RAYMOND CAHUZAC Emmanuel 1018 DEBARD David 451 DEGRANGE François 795 DELORGE Wulfran 15353 DEMEULE Philippe 19684 DENIS Grégory 15156 DENIS Yohan 17876 DEREDEC Tristan 20771 DEROUBAIX Arnaud 15710 DESBAT Stéphane 10985 DESMONCEAUX Denis 25 14256 DESMULE Laurent 12149 DESPRAT Laurent 17242 DI RIENZO Jérôme 14221 DIRIK Kemal 14308 DJEMAH Djamel 15028 DRAUS Andrzej 1111 DREUX Pascal 19102 DRID Rayan 19528 DUCLOS Antonin 1067 DUCLOS Christian 10850 DUCLOS Patrick 17914 DUFES Eric 20059 DUGAIT Guillaume 19395 DUMONT Mickaël 15705 DUPEUBLE Laurent 17609 DUPLESSY Vincent 17025 DUPONCHEL-GAUTHIER Marion 1070 DUTHEL Eric 14846 DUVINAGE Michaël 15837 FAVERIAL Stéphane 19400 FAVIER Clément 11552 FAVRE Christophe 851 FAVRE-BULLY Marc 20060 FAYET Eric 16116 FAYOLLE Romuald 17183 FEDEROWICZ Catherine 18015 FERREIRA Virginie 20285 FLAMENT Mathieu 14888 FONTELAYE Laëticia 16035 FORET David 13653 FOURCADE Benjamin 20288 FRANCOIS Alexandre 20062 FRANZ Christophe 15067 GACHE Christophe 16438 GAILLARD Stéphane 17236 GARCIA Alexandre 10482 GAUDENECHE Jean-Luc 11135 GAUDINET Ludovic 11507 GAULIN Bruno 19371 GAY Patrick 16461 GENIN Mathieu 17076 GEOFFROY Antoine 15279 GEORGEL Sylvain 19926 GIANINAZZI Maxime 17237 GILBERT Magali 15048 GIORDANO Jean-Louis 14522 GONIN Ludovic 14850 GONZALEZ CASTANEDA Nicolas 26 14320 GRILLET Olivier 12512 GUBIAN Sébastien 19337 GUICHERD Florian 6497 GUILLEMIN-GIRAUD Ludovic 16470 GUILLIMIN Loïc 16767 GUILLON Cyrille 16301 GUY Stéphane 11422 HANCHIN Jean-Philippe 14521 HEBERT Simon 15254 JAFFRE Thierry 19372 JOANNON Julien 12147 JOBERT Christophe 17651 JOMARD Sébastien 14713 KLEIN Benoît 14882 LAGER Cyrille 16998 LAGRANGE Benoît 16440 LAPOINTE Philippe 20132 LAURAIN Sébastien 21978 LE LOUET Kévin 13689 LECLERC Michel 12045 LEGODEC Thierry 19373 LIEGGI Julien 461 LIOGIER Jean-Marc 15584 LONOCE Jonathan 16811 LORAIN Jérémy 14761 MARCHETTI Yann 19376 MARGAIN Alexis 14738 MARIA Pierre 14710 MARION Bruno 10517 MARION Cyprien 16760 MARTIN Jérémy 17672 MARTINIE Mikaël 15220 MATHIEU Samuel 16010 MATHON Stéphane 20315 MAUBOURGUET-JOCHUM Arnaud 17251 MEIFREDY Romain 12223 MERCIER Gérard 14729 MEUNIER Luc 16460 MICHEL Dominique 16775 MINIGGIO Nicolas 14329 MONDAINE Cyril 19378 MONTAGNON Guillaume 11506 MUZEL Sylvain 16015 NACEUR Tahar 15696 NESME Geoffroy 14490 ODEN Stéphane 529 OLLIER Patrick 10511 ORTEGA Antoine 27 19381 ORTEGA Fabrice 16012 PAGET Maxime 15312 PAULET Michel 10457 PELLERIN Bruno 16426 PERRAS Michel 20134 PERRAUD Laurent 20299 PERRIER Christophe 15078 PERRIER David 16260 PERRONNET Julien 13504 PIEGAY Kevin 19382 PIOLLET Johan 15049 PITRON Damien 19384 PORTEBOEUF Guillaume 16852 PUPIER Jérémy 15796 RACAUD Cyril 12201 RAVIER Jérôme 15091 RAYNE Laurent 20787 ROCHETTE Jean-Pierre 16808 RODRIGUES Georges 14338 RODRIGUES Steve 13864 ROGANE Nicolas 20046 ROHDE Denis 13662 ROLLIN Yann 12193 ROMANO Eric 11529 ROUX Jean-Luc 16458 RULLET Alain 19542 SAGNARD-VERIOVKINE Nicolas 17927 SAMAT Arnaud 16459 SAMBARDIER Jean-Baptiste 677 SANCHEZ Robert 14174 SANTARELLI Jérémy 12811 SOL Jean-Pascal 18812 SOULIER Sophie 15281 STARON Jérôme 21565 STRZESZEWSKI Romain 15691 TAHAR Hocine 16029 TARABBO Julien 16044 TEODORESCO Pierre 20044 TERRIER Grégory 16445 TERRIER Lionel 11842 THEVENET Frédéric 11478 THIMONIER Michel 11314 THIOLIER Roland 15009 TISSERAND Romuald 17249 TONTI Christophe 14349 TOURNIAIRE Jean-Noël 1114 TURCHETTA André 10919 VACHE Alain 28 11188 VALLIER René 16046 VASON Florian 17412 VELTER Alexis 15024 VERCHERE Arnaud 10591 VERMARE Gilles 16113 VERPILLIEUX Guillaume 11530 VERSINI Florent 12906 VIDON-BUTHION Michel 15266 VIEZZI Thomas 17175 VINCENT Dominique 15267 VIOLLET Valéry 20304 VIRAT Bertrand 13642 ZEMMA Olivier Article 2 : Le directeur départemental des services d’incendie et de secours est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et du Service départemental d’incendie et de secours du Rhône. Le préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Jean-François CARENCO Arrêté préfectoral n° 2012-814 du 14 mars 2012 Objet : Liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux pour l’année 2012. Article 1 : Sont inscrits sur la liste d’aptitude des personnels opérationnels dans la spécialité opérationnelle groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux pour l’année 2012, les sapeurs-pompiers suivants : Conseiller technique GRIMP : 816 BERARD Pascal 1000 MARCHESIN Lionel 783 MOENNE Thierry 1013 NIVIERE Jean-François Chef d'unité GRIMP : 16014 BRIZE Sébastien 989 CARROT Olivier 668 CHAIZE Louis 688 CHOLLET Rémi 689 COMBY Bernard 1111 DREUX Pascal 799 MUNIER Michel 13477 SANTAMARIA Gaël 13913 SENECHEAU Pascal Sauveteur GRIMP : 14486 BELHADEF Mehdi 15087 BURGIO Laurent 18994 CAILLAT Franck 15680 CARREIRA Cédric 21237 COSTEROUSSE Eric 14323 FIOGER Fabrice 15048 GIORDANO Jean-Louis 29 14521 HEBERT Simon 13180 HOULLETTE Stéphane 16440 LAPOINTE Philippe 14838 LELEU Mathias 756 MILORD Jean-Luc 16780 PONCET Sébastien 16456 POUILLAT Guillaume 17638 PRAT Rémi 19142 RUIZ Nicolas 14174 SANTARELLI Jérémy 15020 SAUZON Vincent 16468 SEVERAC Frédéric 890 SORIA Alexandre 14349 TOURNIAIRE Jean-Noël 15266 VIEZZI Thomas 17126 WIAND Fabien Titulaire de l'attestation IMP 1 (non opérationnel) : 14221 DIRIK Kémal 14520 FEUVRAIS Guy Article 2 : Le directeur départemental des services d’incendie et de secours est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et du Service départemental d’incendie et de secours du Rhône. Le préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Jean-François CARENCO ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1458 du 16 mars 2012 Objet : arrêté modificatif relatif à la composition des membres titulaires et suppléants des CAPL ARTICLE 1ER : Sont appelés à représenter l’administration au sein des commissions administratives paritaires locales compétentes à l’égard des personnels administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer, sous la présidence du préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône, selon leur disponibilité et l’effectif de chacune des commissions : Présidence : M. Jean-François CARENCO, préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône, Mme Josiane CHEVALIER, secrétaire générale de la préfecture du Rhône, chargée de la présidence en cas d’empêchement du préfet de région. Pour le périmètre « préfectures » : Mme Marie-Thérèse DELAUNAY, secrétaire générale adjointe de la préfecture du Rhône, Mme Frédérique WOLFF, directrice des ressources humaines et financières, préfecture du Rhône, M. Christian MERCIER, directeur adjoint de la direction interministérielle d'appui, préfecture du Rhône, Melle Michèle TAILLARDAT, directrice des libertés publiques et des affaires décentralisées, à la préfecture du Rhône, M. Dominique LEPIDI, secrétaire général de la préfecture de l’Ain, Mme Christel PEYROT, chef du service des moyens et de la logistique, préfecture de l’Ain, M. Dominique-Nicolas JANE secrétaire général de la préfecture de l’Ardèche, M. Hervé DOUTEZ, sous-préfet de Largentière – Ardèche, Mme Charlotte LECA, secrétaire générale de la préfecture de la Drôme, M. Pierre GINDROZ, directeur des ressources humaines, des moyens et des mutualisations, préfecture de la Drôme, M. Frédéric PERISSAT, secrétaire général de la préfecture de l’Isère, M. Bruno CHARLOT, secrétaire général adjoint de la préfecture de l’Isère, M. Gilles CANTAL, sous-préfet de la Tour du Pin – Isère, M. Patrick FERIN, secrétaire général de la préfecture de la Loire, M. Christian MELICIANI, directeur adjoint du SGAAE, préfecture de la Loire, M. Cyrille LE VELY, secrétaire général de la préfecture de la Savoie, Mme Dominique CONCA, sous-préfète d'Albertville M. Christophe NOEL DU PAYRAT, secrétaire général de la préfecture de la Haute-Savoie, Mme Nathalie BRAT, responsable de la direction des ressources humaines, du budget et des mutualisations, préfecture de la Haute-Savoie, Pour le périmètre « police nationale » : 30 - M. Gilles BERNARD, secrétaire général adjoint du SGAP de Lyon, M. Régis MAURICE, adjoint au directeur des ressources humaines, SGAP de Lyon, Mme Claude BARATIER, adjointe au chef du bureau de la gestion statutaire et des rémunérations du SGAP de Lyon, M. Albert DOUTRE, directeur départemental de la sécurité publique du Rhône, M. William MARION, directeur zonal de la police aux frontières sud-est, M. Francis CHOUKROUN, directeur interrégional de la police judiciaire, M. Louis Pierre MARCHADO, directeur adjoint du directeur zonal des compagnies républicaines de sécurité sud-est, Mme Sylvie LASSALLE, directrice des ressources humaines du SGAP de Lyon. Pour le périmètre « gendarmerie nationale » : M. le lieutenant-colonel Tanneguy DACRE WRIGHT, adjoint au chef d’état-major -RH- de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes, Mme Brigitte MORISOT, chef du bureau des personnels civils de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité sud-est. Pour le périmètre "juridictions administratives", en qualité de membre siégeant avec voix consultative : - M. Jean-Marc LE GARS, président de la cour administrative d'appel de Lyon - M. Etienne QUENCEZ, président du tribunal administratif de Lyon - M Jean-François DESRAMÉ, président du tribunal administratif de Grenoble La répartition des sièges des représentants de l’administration, par corps et par périmètre, est opérée ainsi qu’il suit : CATEGORIE A PERIMETRE Gendarmerie Police Nb de titulaire s 0 1 Nom M. Gilles BERNARD Préfectures : 3 Répartition par préfecture : 1 M. Frédéric - Isère PERISSAT 1 M. Patrick FERIN - Loire - Rhône 1 Mme Josiane CHEVALIER Fonction Secrétaire général adjoint du SGAP de Lyon Nom Fonction 1 Mme Brigitte MORISOT 1 M. Albert DOUTRE Chef du bureau des personnels civils de la région de gendarmerie R.A. Directeur départemental de la sécurité publique du Rhône 2 Secrétaire général Secrétaire général 1 M. Christian MELICIANI Directeur adjoint du SGAAE 1 Mme Nathalie BRAT Responsable direction des RH, du budget et des mutualisations 1 Mme Brigitte MORISOT 1 M. William MARION Chef du bureau des personnels civils de la région de gendarmerie R.A. Directeur zonal police aux frontières sud-est Secrétaire générale - Haute-Savoie TOTAL GENERAL Nb de suppléants 4 4 CATEGORIE B Gendarmerie 0 Police 1 M. Régis MAURICE Adjoint au directeur des RH, SGAP de Lyon Préfectures : 5 Répartition par préfecture : - Ain 1 4 M. Dominique LEPIDI Secrétaire général 1 M. Hervé DOUTEZ Sous -préfet de Largentière Ardèche - Isère 1 M. Bruno CHARLOT Secrétaire général adjoint - Loire 1 M. Christian MELICIANI Directeur adjoint du SGAAE 1 Mme MarieThérèse DELAUNAY - Ardèche - Drôme 1 Mme Charlotte LECA Secrétaire générale Secrétaire générale adjointe - Rhône 1 Mme Josiane CHEVALIER Secrétaire générale - Savoie 1 M. Cyrille LE VELY Secrétaire général - Haute-Savoie 1 M. Christophe Secrétaire général NOEL DU PAYRAT TOTAL GENERAL 6 6 31 CATEGORIE C Gendarmerie Police 1 Lt colonel Tanneguy DACRE WRIGHT M. Francis CHOUKROUN M. Albert DOUTRE 3 Mme Claude BARATIER Préfectures : Adjt au chef d'état-major RH de la région gendarmerie R.A. Directeur interrégional de la police judiciaire Directeur départemental de la sécurité publique du Rhône 5 1 M. DominiqueNicolas JANE 1 M. Frédéric PERISSAT Secrétaire général - Loire 1 M. Patrick FERIN Secrétaire général - Rhône 1 Mme Josiane CHEVALIER Secrétaire générale - Savoie TOTAL GENERAL 9 1 Mme Christel PEYROT Chef du service des moyens et de la logistique 1 M. Pierre GINDROZ Directeur des RH des moyens et mutualisations 1 M. Gilles CANTAL Sous-préfet de la Tour du Pin 3 Secrétaire Général - Isère 1 Mme Sylvie LASSALLE Directeur zonal de la police aux frontières sud-est Directeur adjoint du directeur zonal des compagnies républicaines de sécurité sudest Directrice des ressources humaines - SGAP de Lyon 6 - Drôme - Haute-Savoie M. William MARION M. Louis Pierre MARCHADO Adjointe au chef du bureau de la gestion statutaire et rémunérations - SGAP Répartition par préfecture : - Ain - Ardèche 0 2 Mle Michèle TTAILLARDAT Mme Frédérique WOLFF 1 Mme Dominique CONCA directrice libertés publiques et des affaires décentralisées directrice DRHF Sous-préfète d'Albertville M. Christophe Secrétaire Général NOEL DU PAYRAT 9 Article 2 : Le reste est sans changement. Article 3 : La secrétaire générale du Rhône est chargée de l'exécution du présent arrêté. Le Préfet, La Secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral N° 2012- 1416 Objet : Nombre de postes et répartition géographique des postes ouverts au titre de la région Rhône-alpes pour le concours externe de secrétaire administratif de l'intérieur et de l'outre-mer du ministère de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration - session 2012 Article 1er : Le nombre de postes et la répartition géographique des postes ouverts pour la région Rhône-Alpes au titre du concours externe de secrétaire administratif de l'intérieur et de l'outre mer - session 2012 - sont les suivants : Région Rhône-Alpes - nombre de postes ouverts au concours externe - session 2012 : 5 Région Rhône-Alpes - nombre de postes ouverts aux travailleurs handicapés par la voie contractuelle au titre de l'année 2012 : 1 ARTICLE 2 : M. le Préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs. Pour le préfet de la région Rhône-Alpes La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral N° 2012-1417 Objet : Nombre de postes et répartition géographique des postes ouverts au titre de la région Rhône-Alpes pour le concours interne de secrétaire administratif de l'intérieur et de l'outre-mer du ministère de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration - session 2012 Article 1ER : Le nombre de postes et la répartition géographique des postes ouverts pour la région Rhône-Alpes au titre du concours interne de secrétaire administratif de l'intérieur et de l'outre mer - session 2012 - sont les suivants : REGION RHONE- ALPES : 6 postes dont : • 5 postes pour le périmètre "Préfectures" • et 1 poste pour le périmètre "Juridictions administratives". 32 Article 2 : M. le Préfet de la Région Rhône-Alpes, Préfet du Rhône, est chargé de l’exécution du présent arrêté. Pour le Préfet de la région Rhône-Alpes La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1266 du 1er mars 2012 Objet : prescriptions de mesures A L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) et au syndic gestionnaire de l’immeuble Situé au 11, quai claude Bernard à Lyon 7ème relatives à la gestion du risque radIOACTIF Article 1 – Prescriptions générales En application de l'article R.1333-89 du Code de la santé publique, l’ANDRA, en tant que responsable d’une activité nucléaire professionnelle susceptible d’être à l’origine d’une exposition durable de personnes à des rayonnements ionisants, est tenue de mettre en place un dispositif de surveillance de la contamination et de procéder à la mise en sécurité et à un assainissement de l’immeuble situé au 11, quai Claude Bernard à Lyon 7ème selon les modalités fixées par le présent arrêté. Article 2 – Cartographie de la contamination des parties communes Sous un jour, l’ANDRA est tenue de réaliser une cartographie de la contamination fixée et de la contamination labile des parties communes de l’immeuble hors sous-sol (hall, cage d’escalier, etc.) situé au 11, quai Claude Bernard à Lyon 7ème. Cette cartographie est transmise au Préfet du Rhône et à l’Autorité de Sûreté nucléaire – Division de Lyon. Article 3 – Mise en sécurité et décontamination des parties communes L’ANDRA est tenue de retirer la contamination labile des parties communes de l’immeuble hors sous-sol (hall, cage d’escalier, etc.) situé au 11, quai Claude Bernard à Lyon 7ème dans les plus brefs délais. Afin d’éviter une nouvelle contamination des parties communes de cet immeuble, l’ANDRA prend toutes les dispositions nécessaires pour empêcher que la contamination du sous-sol ne puisse être disséminée dans les parties communes de l’immeuble. Sous 2 jours, l’ANDRA propose au Préfet du Rhône et à l’Autorité de Sûreté nucléaire – Division de Lyon des objectifs de décontamination et des mesures techniques permettant d’isoler la contamination présente au sous-sol des parties communes de l’immeuble (sas, conditionnement des sources radioactives et du coffret les contenant, etc.). Article 4 – Contrôle des opérations de décontamination Après avoir fait décontaminer les parties communes de l’immeuble, l’ANDRA établit une cartographie de la contamination labile résiduelle. Cette cartographie est réalisée par un organisme différent de celui qui a mené les opérations de décontamination et de l’IRSN. Cette cartographie est transmise au Préfet du Rhône et à l’Autorité de Sûreté nucléaire – Division de Lyon. Article 5 – Evacuation des sources radioactives Sous 2 jours, l’ANDRA propose au Préfet du Rhône et à l’Autorité de Sûreté nucléaire – Division de Lyon un mode opératoire et un planning de reprise des sources radioactives et du coffret les contenant présents au sous-sol de l’immeuble. Ces opérations et leur planning sont soumis à l’approbation du Préfet du Rhône et de l’Autorité de Sûreté nucléaire – Division de Lyon. Article 6 – Organismes intervenant lors des opérations d’assainissement A l’exception du contrôle de la décontamination des locaux prescrit à l’article 4 du présent arrêté, l’ANDRA peut confier la réalisation des autres opérations à l’IRSN, organisme qui a conduit les opérations d’évacuation d’anciens objets au radium le 29 février 2012. Article 7 – Interdiction d’accès au sous-sol de l’immeuble L’accès au sous-sol de l’immeuble situé au 11, quai Claude Bernard à Lyon 7ème est strictement interdit à toute personne, à l’exception des intervenants chargés des travaux de mise en sécurité et de décontamination. Le syndic gestionnaire de l’immeuble est chargé de garantir l’interdiction d’accès à ces locaux. Article 8 – Voies et délais de recours La présente décision peut faire l’objet d’un recours gracieux ou bien d’un recours hiérarchique auprès du ministre de l’intérieur dans un délai de 2 mois, à compter de la notification ; dans le silence gardé par l’administration pendant 2 mois, un délai de 2 mois est prévu pour exercer un recours en excès de pouvoir près le tribunal administratif de Lyon. Article 9 – Article d’exécution Le Secrétaire Général de la Préfecture du Rhône, le délégué territorial de l'Autorité de Sûreté Nucléaire, le Maire de Lyon, sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture. Pour le Préfet, La Secrétaire Générale, Josiane CHEVALIER Arrêté Préfectoral n°2012-0891 du 23 janvier 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°2009-4968 du 11.10.2011 est abrogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame Annie GUILLEMOT représentant LA MAIRIE DE BRON - CENTRE NAUTIQUE André SOUSI place Gaillard Romanet 69500 BRON est autorisé sous le n° 2009/0456 pour 12 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 03 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit 33 - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection des bâtiments publics Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2009/0456 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1163 du 28 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Guillaume GAUDEZ représentant l’établissement dénommé SARL LA GABRIELLE - LES REMPARTS situé 15 place de Verdun 69730 GENAY est autorisé sous le n° 2011/0864 pour 03 caméra(s) in térieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 17 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 34 Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0864 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1119 DU 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur PIERRE-JEAN ALAUX représentant l’établissement dénommé SAS P.B.S - PARIS HIPPIQUES 15 rue CONSTANTINE 69001 LYON 01er est autorisé sous le n° 2012/0008 pour 4 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 7jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0008 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 35 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1117 du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur GASPARD HAFNER représentant l’établissement dénommé PEEXEO- AGENCE DE COMMUNICATION 25 rue DES CAPUCINS 69001 LYON 01er est autorisé sous le n° 2012/0004 pour 4 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0004 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1110 du 13 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. le DIRECTEUR DE LA SECURITE représentant l’établissement dénommé HSBC LYON AINAY 41 rue VICTOR HUGO 69002 LYON 02ème est autorisé sous le n° 2010/1079 pour 4 caméra(s) intérieure(s) sou s réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » 36 (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. des affiches supplémentaires doivent être installées au sein de l'établissement. - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2010/1079 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1112 du 13 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur PHILIPPE BEL représentant l’établissement dénommé CHOCOLATERIE PHILIPPE BEL 27 rue TUPIN 69002 LYON 02ème est autorisé sous le n° 2011/0912 pour 1 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 10 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0912 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. 37 Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Mademoiselle MATHILDE GARRIDO représentant l’établissement dénommé SA ORPEA CROIX ROUSSE 19 rue ROUSSY 69004 LYON 04ème est autorisé sous le n° 2011/0926 pour 2 caméra(s) extérieure(s ) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0926 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1159 du 27 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Jean-Michel GUEGUEN représentant l’établissement dénommé CHATEAU DE PIZAY situé 443 route du Château 69220 St Jean d'Ardières est autorisé sous le n° 2011/0943 pour 06 caméra(s) ex térieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours 38 - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0943 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1114 du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur JEAN-YVES BRIANT représentant l’établissement dénommé SARL PAUL BRIANT - L 'HEURE ET L "OR 131 avenue ROOSEVELT 69500 BRON est autorisé sous le n° 2011/0954 pour 2 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens 39 Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0954 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1115 du 13 février 20 12 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame Aurore HILAIRE représentant l’établissement dénommé Comptoir sévigné 38 rue Grande rue de la croix rousse 69004 LYON 04ème est autorisé sous le n° 2011/0966 pour 2 caméra(s) intérieure(s) sous ré serve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 25 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0966 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 40 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1116 du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur JEAN LOUIS LEMMENS représentant l’établissement dénommé MAISON ROUSSEAU 102 cours LAFAYETTE - LES HALLES DE LYON 69003 LYON 03ème est autorisé sous le n° 2011/0981 pour 2 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0981 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1118 du 13 fevrier 20 12 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur FRANCOIS GINDRE représentant l’établissement dénommé SAEM LYON PARC AUTO 14 rue DES TABLES CLAUDIENNES 69001 LYON 01er est autorisé sous le n° 2012/0007 pour 2 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 21 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. 41 - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0007 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1172 du 15 mars 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Jacques ROLLAND représentant l’établissement dénommé POLE AUTO OCCASION situé 1 rue Georges CHARPAK - 69700 GIVORS est autorisé sous le n° 2012-0011 pour 06 caméra(s) extérieure(s) sou s réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2011/0912 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. 42 Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1122 du 13 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M LE RESPONSABLE SURETE SECURITE TERRITORIAL représentant l’établissement dénommé LE CREDIT LYONNAIS place Jean JAURES 69740 GENAS est autorisé sous le n° 2012/0029 pour 3 camé ra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0029 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1165 du 28 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Jean-Louis BRISSAUD représentant l’établissement dénommé STAR'TERRE situé 33-41 Boulevard Sampaix - 69190 SAINT-FONS est autorisé sous le n° 2012/0033 pour 05 caméra(s) intérieure( s) et 11 caméras extérieures sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit 43 - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0033 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1132 du 14 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Nicolas VAYSSE représentant l’établissement dénommé SAS STANDARD Lyon Confluence lot 111 Cours Charlemagne 69002 LYON 02ème est autorisé sous le n° 2012/0031 pour 4 caméra(s) int érieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 44 Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0031 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1133 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Nordine MAOUCHE représentant l’établissement dénommé LA BASCULE 58 avenue FRANCIS DE PRESSENCE 69200 VENISSIEUX est autorisé sous le n° 2012/0034 pour 7 caméra(s) intérieure(s) et 3 c améra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0034 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 45 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1124 du 13 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Damien AREGGER représentant l’établissement dénommé DJ MOTOS rue de l'avenir ZA Vernailles 69380 SAINT GEORGES DE RENEINS est autorisé sous le n° 2012/0039 pour 2 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0039 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1123 du 13 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Daniel ELFASSY représentant l’établissement dénommé SARL BIJOUTERIE SALAM 19 rue PAUL BERT 69003 LYON 03ème est autorisé sous le n° 2012/0040 pour 7 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. 46 - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0040 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1167 du 28 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur ERIC LAMOULENE représentant l’établissement dénommé SACVL - Société Anonyme de Construction de la Ville de Lyon situé 36 quai Fulchiron 69005 LYON en vue d’obtenir l’autorisation de fonctionnement du système de videoprotection pour la résidence du Domaine de l'Etang située 31-35 avenue de Ménival 69005 LYON est autorisé sous le n° 2012/0043 pour 03 caméra(s) intérieure(s ) et 04 caméras extérieures sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 20 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0043 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. 47 Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1127 du 13 février 20 12 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur BRUNO LAVAURE représentant l’établissement dénommé SDNH - CARREFOUR 113 cours CHARLEMAGNE 69002 LYON 02ème est autorisé sous le n° 2012/0054 pour 19 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0054 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 201-1125 du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame BERNADETTE DIERICKS EP HUTIN représentant l’établissement dénommé SAS DEV LEON 2011 977 rue BURDEAU 69400 VILLEFRANCHE SUR SAONE est autorisé sous le n° 2012/0056 pour 2 camé ra(s) intérieure(s) et 2 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours 48 - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0056 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1130 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame VERONIQUE DEVINAZ représentant l’établissement dénommé CREATIONS DI NAPOLI - BIJOUTERIE GEMME 15 cours LAFAYETTE 69006 LYON 06ème est autorisé sous le n° 2012/0058 pour 4 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 25 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 49 Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0058 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1126 du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur LOIC DELORME représentant l’établissement dénommé SARL COMALE - NEOTILUS 43 rue DE ST CYR 69009 LYON 09ème est autorisé sous le n° 2012/0060 pour 4 caméra(s) intérieure(s) et 1 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 5 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0060 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 50 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1131 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame FLORENCE MAXANT représentant l’établissement dénommé ALIMENTATION TABAC PRESSE place DELAYE 69430 MARCHAMPT est autorisé sous le n° 2012/0061 pour 3 caméra(s) intérieure(s) et 1 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (BRAQUAGES) Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0061 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1128 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur NABIL BEN AOUN représentant l’établissement dénommé TABAC PRESSE LOTO 5 place LATARJET 69008 LYON 08ème est autorisé sous le n° 2012/0062 pour 5 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 7 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » 51 (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0062 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2011-1171 du 12 mars 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur LUC OLGACHOWSKI représentant l’établissement dénommé LE BERKELEY 30 cours VITTON 69006 LYON est autorisé sous le n° 2012/0068 pour 03 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 10 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0068 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. 52 Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1134 du14 février 2011 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur JIMMY AURIMAULT représentant l’établissement dénommé MONOPRIX SA 12 rue DE LA REPUBLIQUE 69002 LYON 02ème est autorisé sous le n° 2012/0072 pour 12 caméra(s) intérieure(s ) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 10 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0072 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2011-1170 du 12 mars 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur ALAIN ENSUQUE représentant l’établissement dénommé EDF - CIDEN 154 avenue THIERS 69006 LYON 06ème est autorisé sous le n° 2012/0074 pour 01 caméra(s) intérieure(s) et 03 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours 53 - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0074 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1121 du 13 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Chen Li Wang représentant l’établissement dénommé LE JOKER 237 route de Genas 69100 VILLEURBANNE est autorisé sous le n° 2012/0012 pour 7 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 54 Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2012/0012 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1150 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2002-1677 du 23 avril 2002 est abr ogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. Denis VINCENT représentant l’établissement dénommé LECLERC VILLEURBANNE DISTRIBUTION 90, avenue B. Buyer - CP 707 - 69009 LYON 09ème est autorisé sous le n° 02P-27 pour 44 caméra (s) intérieure(s) et 20 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (Cambriolages) Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°02P-27doit fai re l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône 55 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1135 du 14 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : L’arrêté n°2002-2655 du 12 juillet 2002 est ab rogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. Le Responsable Sécurité représentant l’établissement dénommé CAISSE D'EPARGNE RHÔNE-ALPES - LYON 157, avenue Berthelot - 69007 LYON 07ème est autorisé sous le n° 02P-86 pour 4 caméra(s) intérie ure(s) et 1 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 4 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°02P-86 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1141 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°2002-1690 du 23 avril 2002 est abro gé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. BASTIEN ORAHA représentant l’établissement dénommé TABAC PRESSE SNC-OTH 27, rue Emile Zola - 69120 VAULX EN VELIN est autorisé sous le n° 02P-41 pour 8 caméra(s) intérieure(s) sous réser ve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 20jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes 56 susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°02P-41 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1149 du 27 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°2006-1781 du 28 février 2006 est ab rogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M Hervé MOISSONNIER représentant l’établissement dénommé MC DONALD'S Centre Commercial du Gier 69700 GIVORS est autorisé sous le n° 06p-19 pour 13 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°06p-19 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. 57 Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1161 du 27 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Philippe HUET représentant l’établissement dénommé ETAP HOTEL DARDILLY est autorisé sous le n° 06P-99 pour 03 camér as intérieures et 15 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 07 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n° 06p-99 doit f aire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET 58 Arrêté Préfectoral n°2012-1142 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2006-3729 du 22 mai 2006 est abrogé . Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Mme MICHELE RHETYGUDEFIN représentant l’établissement dénommé SNC TABAC PRESSE D'IRIGNY 2BIS place de la Croix jaune 69540 IRIGNY est autorisé sous le n° 06p-118 pour 8 caméra(s) intéri eure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 10 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°06p-118 doit f aire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1156 du 16 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2332 du 27 mars 2007 est abrogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. VINCENT LABOURET représentant l’établissement dénommé CROUS Centre Régional des Oeuvres Universitaires et Scolaires 59 rue de la Madeleine 69007 LYON 07ème est autorisé sous le n° 07P-9 pour 5 cam éra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. 59 - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°07P-9 doit fai re l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1135 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°2007-3844 du 2 juillet 2007 est abr ogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur PIERRE FANECA représentant l’établissement dénommé CSF SUPERMARCHE - CARREFOUR MARKET boulevard E.HERRIOT 69800 SAINT PRIEST est autorisé sous le n° 07p-92 pour 10 caméra(s) in térieure(s) et 2 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 7 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°07p-92 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. 60 Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1143 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2011-1737 du 31 mars 2011 est abrogé . Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M PATRICK AUJOGUE représentant l’établissement dénommé TCL 19 Bd Vivier Merle 69003 LYON 03ème est autorisé sous le n° 08P-97 pour 26 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics, Autres (LUTTE CONTRE LA FRAUDE), Prévention d'actes terroristes Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°08P-97 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 61 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1155 du 27 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2008-3864 du 28 juillet 2008 est ab rogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M PATRICK PIOGER représentant la commune d AREA 260 av Jean Monnet 69500 BRON est autorisé sous le n° 08p-184 pour 12 caméra(s) extérieure(s) visionnant la voie publique sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours,. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Régulation du trafic routier Article 4 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : les agents des forces de sécurité de l’Etat individuellement désignés et dûment habilités sont destinataires des enregistrements et des images, dans les conditions définies par la convention de partenariat relative à la videoprotection urbaine conclue entre la commune et l’Etat. La durée de conservation des images est limitée à un mois à compter de la transmission ou de l’accès sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une procédure pénale. » . Article 6 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°08p-184 doit f aire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 7 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 9 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 10 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1157 du 16 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°2009-2237 du 6 avril 2009 est abrogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Mme JOCELYNE LEMBERTHE représentant l’établissement dénommé TABAC LEMBERTHE 94 av Jean Moulin 69720 SAINT LAURENT DE MURE est autorisé sous le n° 09p-39 pour 3 caméra(s) intérie ure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 10 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit 62 - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°09p-39 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1153 du 16 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°98-911 du 18 février 1998 est abrog é. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M ETIENNE QUENCEZ représentant l’établissement dénommé TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LYON 184, rue Duguesclin 69003 LYON 03ème est autorisé sous le n° 96-51 pour 3 caméra(s) intérieure(s) et 3 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 8 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 63 Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°96-51 doit fai re l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1161 du 27 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame Natacha PICOT représentant l’établissement dénommé PHARMACIE DES GRATTE-CIEL situé 28 avenue Henri Barbusse 69100 VILLEURBANNE est autorisé sous le n° 97-70 pour 09 caméras intérieu res sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n° 97-70 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET 64 Arrêté Préfectoral n°2012- 1154 du 16 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 97-4456 du 24 décembre 1997 est abr ogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. JEAN-PHILIPPE PELOU représentant l’établissement dénommé CENTRE COMMERCIAL DE LA PART-DIEU 17 rue DU DR BOUCHUT 69003 LYON 03ème est autorisé sous le n° 97-350pour 367 caméra(s) in térieure(s) et 6 caméra(s) extérieure(s) visionnant la voie publique sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Prévention d'actes terroristes Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°97-350 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1144 du 15 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : L'arrêté N° 2010-6912du 31 décembre 2010 est abrogé Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M Didier BIJON représentant l’établissement dénommé SLYMAG SA - SUPER 21 LA THIBAUDIERE 52, rue de la Thibaudière 69007 LYON 07ème est autorisé sous le n° 97-358 pour 18 caméra(s) intérieure(s) s ous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes 65 susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (Cambriolage) Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°97-358 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1151 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 97-4512 du 24 décembre 1997 est abr ogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M FREDERIC WALLE représentant l’établissement dénommé SARL UNIPERSONNELLE LUMIDIS - CARREFOUR CITY 5, rue Antoine Lumière 69008 LYON 08ème est autorisé sous le n° 97-367 pour 21 caméra (s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (CAMBRIOLAGE. VANDALISME) Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 66 Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°97-367 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1164 du 28 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur Bruno SCHAEFFER représentant l’établissement dénommé HOTEL FORMULE 1 situé 16 bd Joliot-Curie 69200 VENISSIEUX est autorisé sous le n° 97-404 pour 03 caméra(s) intérieure(s) et 07 caméras extérieures sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 07 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°97-404 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET 67 ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1139 du 14 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : L'arrêté N° 98-1259 du 10 mars 1998 est abrogé Article 2 : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M CHRISTOPHE LESAGE représentant l’établissement dénommé MC DONALD'S LYON RESTAURANTS 8, avenue Charles de Gaulle 69410 CHAMPAGNE AU MONT D'OR est autorisé sous le n° 97-447 pour 07 ca méra(s) intérieure(s) et 4 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 4 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°97-447 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1152 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 97-2110 du 16 juin 1997 est abrogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M ROLAND DEBBASCH représentant l’établissement dénommé RECTORAT DE L'ACADEMIE DE LYON 92, rue de Marseille 69007 LYON 07ème est autorisé sous le n° 97P-23 pour 1 caméra(s) intérieure(s) so us réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 7 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. 68 - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics, Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°97P-23 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012- 1166 du 28 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Monsieur MARCHIO VINCENZO représentant l’établissement dénommé LA POSTE situé 5 TER RUE DU DAUPHINE 69003 LYON est autorisé sous le n° 98-42 pour 07 caméra(s) intérieure(s) et 02 caméras extérieures sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente : des affiches supplémentaires devront être installées dans l'établissement. - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 2 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 3 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 69 Article 4 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n° 98-42 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 5 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 6 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 7 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 8 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1147 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°98-3049 du 6 avril 1998 est abrog é. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. Le Responsable Sécurité représentant l’établissement dénommé CREDIT LYONNAIS - VILLIE MORGON Rue Principale 69910 VILLIE MORGON est autorisé sous le n° 98-117 pour 3 caméra(s) intérieure(s) so us réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°98-117 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 70 Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1146 du 15 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n°98-3052 du 15 avril 1998 est abrog é. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. le Responsable Sécurité représentant l’établissement dénommé CIC 2, place de la Croix Rousse 69004 LYON 04ème est autorisé sous le n° 98-301 pour 6 caméra(s) intérieure(s) et 1 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°98-301 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1158 du 16 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 98-1312 du 20 mars 1998 est abrogé . Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M JULIEN BIRON représentant l’établissement dénommé U.R.S.S.A.F. DU RHONE - RECOUVREMENT 6, rue du 19 mars 1962 69200 VENISSIEUX est autorisé sous le n° 98p-05 pour 8 caméra(s) intérieure(s) et 12 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes 71 susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°98p-05 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012- 1137 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2000-1035 du 18 janvier 2000 est ab rogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M ELIE CUNAT représentant l’établissement dénommé GAUDUEL AUTOMOBILES 6, rue Joannès Carret 69009 LYON 09ème est autorisé sous le n° 99p-114 pour 6 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Prévention des atteintes aux biens Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 72 Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°99p-114 doit f aire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2012-1160 du 1er mars 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2011-4786 du 17.10.2011 est abrogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par Madame MARTINE DAVID représentant la commune DE SAINT PRIEST place CHARLES OTTINA 69800 SAINT PRIEST est autorisé sous le n° 2010/1050 pour 33 caméra(s) intérieure(s) et 52 caméra(s) extérieure(s) visionnant la voie publique sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours,. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics Article 4 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : les agents des forces de sécurité de l’Etat individuellement désignés et dûment habilités sont destinataires des enregistrements et des images, dans les conditions définies par la convention de partenariat relative à la videoprotection urbaine conclue entre la commune et l’Etat. La durée de conservation des images est limitée à un mois à compter de la transmission ou de l’accès sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une procédure pénale. » . Article 6 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2010/1050 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 7 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 9 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail 73 Article 10 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Annexe 1 à l’arrêté n°2012-1160 du 1er mars 2012 Répartition des caméras autorisées sur la commune de Saint-Priest et délai de conservation des images enregistrées LIEU CAMERAS INTERIEURES Cimetière Manissieux Hôtel de Ville 11 Parc stationnement Bel Air Parking Belvedère DELAI CONSERVATION DES IMAGES 02 07 j 13 15 j 04 15 j 05 Château Piscine du Clairon CAMERAS EXTERIEURES 03 Cimetière de l’Egalité 15 j 04 15 j 02 15 j 03 15 j Foyer personnes âgées 01 04 15 j Piscine Ulysse Cœur 02 02 15 j Rue du huit mai 1945 03 15 j Place Jean moulin 02 15 j Parc du Fort St Irénée 02 15 j Le Scénario 07 Centre social L. Braille 02 15 j 02 15 j Place Ferdinand Buisson 03 15 j Rue Louis Braille 01 15 j Bureau Information Jeunesse 02 15 j Périmètre Le Village 03 15j Périmètre ZAC Mozart 01 15j Service des Sports 01 15j TOTAUX 33 52 TOTAL 85 caméras Arrêté Préfectoral n°2012-1140 du 14 février 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : L'arrêté n° 2002-836 du 18 février 2002 est ab rogé. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M; JEAN-PIERRE PIGNOL représentant l’établissement dénommé CONSEIL REGIONAL RHÔNE-ALPES 1 Esplanade François Mitterrand 69002 LYON 02ème est autorisé sous le n° 02p-22 pour 48 caméra(s) i ntérieure(s) et15 caméra(s) extérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 15 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit 74 - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Protection des bâtiments publics Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°02p-22 doit fa ire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET ARRETE PREFECTORAL N° 2012-1145 du 15 février 201 2 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de videoprotection Article 1er : L’arrêté n°99-2845 du 4 février 1998 est abrogé . Article 2 : Le fonctionnement du système de videoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M Lucien GINGENE représentant l’établissement dénommé LA POSTE - ANSE Avenue de Brianne 69480 ANSE est autorisé sous le n° 2008/0977 pour 2 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : - Le délai de conservation des images est limité à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de videoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision. - l’information du public de l’existence du système de videoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente - le système de videoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens Article 4 :: Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de videoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. 75 Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°98-24 doit fai re l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de videoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET Arrêté Préfectoral n°2011-1169 du 12 mars 2012 Objet : Autorisation d’installation préalable d’un système de vidéoprotection Article 1 : Les arrêtés n°2003-2851 du 01.08.2003 et 2011-61 05 du 29.12.2011 sont abrogés. Article 2 : Le fonctionnement du système de vidéoprotection qui fait l’objet de la demande présentée par M. HAKIM BOUDAOUD représentant l’établissement dénommé TABAC-PRESSE GRANDCLEMENT 4, rue Léon Blum - 69100 VILLEURBANNE est autorisé sous le n° 03p-104 pour 05 caméra(s) intérieure(s) sous réserve des obligations suivantes : -la conservation des enregistrements est limitée à 30 jours - le traitement des images à l’étranger est formellement interdit - le titulaire de l’autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et le cas échéant la date de leur transmission au parquet - les personnes chargées du traitement du système de vidéoprotection et nommément désignées dans le cerfa n°13806*01 doivent être habilitées pour le faire par le pétitionnaire. Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées seront données à toutes les personnes concernées. - les caméras ne devront pas en aucun cas visionner les zones privatives situées aux alentours, ni visionner la voie publique à l’exception des autorités publiques compétentes. Toutes mesures de protection comme un système de masquage ou de « floutage » (notamment pour les lieux privatifs filmés à titre accessoire) devront être prises afin de porter, en aucune manière, atteinte à l’intimité de la vie privée des riverains qui peuvent se trouver dans leur champ de vision - l’information du public de l’existence du système de vidéoprotection dans l’établissement cité à l’article 1er , la qualité et le responsable de ce système devront apparaître de manière claire et permanente. - le système de vidéoprotection ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. - L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. Article 3 : Les finalités du système de videoprotection pour lequel la présente autorisation est délivrée sont les suivantes : - Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue Article 4 : Le titulaire de l’autorisation est tenu d’informer préalablement le préfet du Rhône de la date de mise en service du système de vidéoprotection et, le cas échéant, de leur déplacement. Article 5 : Toute modification des données figurant dans le dossier administratif et technique n°2008/2137 doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la préfecture où a été déposée la demande d’autorisation. La non exécution de ces dispositions pourra entraîner le retrait de cette autorisation, sans préjudice des sanctions pénales prévues par l’article 10.VI de la loi. Article 6 : La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du présent arrêté et devra faire l’objet d’une demande de renouvellement. Article 7 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés. Article 8 : Le fait de procéder à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier, d’entraver l’action de la commission départementale ou de la Commission Nationale Informatique et Libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d’utiliser ces images à d’autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail Article 9 : Le Directeur de la sécurité et de la protection civile est chargé de l’exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l’intéressé(e) et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour Le Préfet Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile P. POQUET 76 Arrêté n° 2012-14 du 29 février 2012 Objet : Habilitation dans le domaine funéraire Article 1er : La société PF DES MONTS DE TARARE située ZAC du Cantubas 69170 TARARE est habilitée pour exercer sur l'ensemble du territoire national les activités de pompes funèbres suivantes : organisation des obsèques, transports de corps avant et après mise en bière, fourniture de tentures extérieures des maisons mortuaires, fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires, opérations d'inhumation, d'exhumation, de crémation. Article 2 : Le numéro de l'habilitation est : 12.69.02.082. Article 3 : La présente habilitation est valable jusqu’au 28/02/2013. Article 5 : Le Sous-Préfet de VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département du RHÔNE. Pour le Préfet et par délégation , le Sous-Préfet, Stéphane GUYON Arrêté préfectoral n°2012-1375 du 27 février 2012 Objet : habilitation dans le domaine funéraire. Article 1er :Monsieur Serge Boudrier, représentant légal des pompes funèbres dauphinoise est habilité pour la gestion et l'utilisation d'une chambre funéraire sise à Craponne, 20 rue Edouard Millaud. Article 2 : la durée de la présente habilitation, délivrée sous le n°12.69.246 est fixée à un an. Article 3 : le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département. Le chef de bureau de la réglementation générale Evelyne Roux d'Orazio Arrêté préfectoral n°2012-1521 du 19 mars 2012 Objet : habilitation dans le domaine funéraire. Article 1er : L'établissement dénommé Pompes Funèbres Joubert sis 153/157 avenue Barthélémy Buyer 69005 Lyon dont le reponsable légal est Monsieur Patrick Cartiser est habilité pour exercer sur l'ensemble du territoire national les activités funéraires suivantes : -organisation des obsèques, -transport de corps avant mise en bière, -transport de corps après mise en bière, -fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires, -soins de conservation, -opérations d'inhumation, -opérations d'exhumation, -opération de crémation. Article 2 : la durée de la présente habilitation, délivrée sous le n°12.69.234 est fixée à un an. Article 3 : le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département. Le directeur de la sécurité et de la protection civile Patrick Poquet Arrêté préfectoral n°2012-1480 du 9 mars 2012 Objet : habilitation dans le domaine funéraire. Article 1er : L'établissement secondaire "Alloin Fleurs" sis à Vaugneray, 17 place du Marché, et dont les responsables sont Monsieur Alain Alloin et adame Agnès Alloin est habilité pour exercer sur l'ensemble du territoire national les activités funéraires suivantes : -organisation des obsèques. Article 2 : la durée de la présente habilitation, délivrée sous le n°12.69.263 est fixée à un an. Article 3 : le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département. Le directeur de la sécurité et de la protection civile Patrick Poquet Avis HCL du 31 mars 2012, n° 2012-I Objet : Concours sur titres pour le recrutement de cadres de santé 77 Concours interne : Filière infirmière : 22 postes (17 IDE - 2 IADE - 1 IBODE - 2 PUERICULTRICES) Filière médico-technique : 1 poste (MANIPULATEUR D’ELECTRORADIOLOGIE MEDICALE) Concours externe : Filière infirmière : 1 poste (IDE) Peuvent faire acte de candidature : Pour le concours sur titres interne, - les fonctionnaires titulaires du diplôme de cadre de santé ou certificat équivalent, comptant au 1er janvier 2012 au moins 5 ans de services effectifs dans un ou plusieurs corps ; - les agents non titulaires de la FPH, possédant le diplôme de cadre de santé ou certificat équivalent, ayant accompli au 1er janvier 2012 au moins 5 ans de services effectifs en qualité de personnel de la filière infirmière, de rééducation ou médico-technique. Pour le concours sur titres externe, - les candidats titulaires des titres ou diplômes requis pour être recrutés dans les corps infirmiers, médico-techniques ou de rééducation et du diplôme de cadre de santé ou certificat équivalent, ayant exercé dans le secteur privé ou public, une activité professionnelle de même nature et équivalente à celle des agents appartenant aux corps précités pendant au moins 5 ans à temps plein ou une durée de 5 ans d’équivalent temps plein. Les demandes d’admission à concourir, précisant la filière, doivent parvenir au plus tard le 31 mai 2012, accompagnées de la copie des diplômes ou certificats détenus et notamment le diplôme de cadre de santé et d’un curriculum vitae établi sur papier libre. Elles doivent être adressées à la Direction du Personnel et des Affaires Sociales des HCL, Bureau des concours, 162 avenue Lacassagne - bât. B - 69003 LYON, auprès de laquelle tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus (tél. 04.72.11.92.39 ou 04.72.11.92.38). Le Directeur des Concours, de la Formation Et de la Gestion des Ecoles C. JOSEPHINE Décision de la commission départementale d’aménagement commercial Réunie le 17 janvier 2012, la commission départementale d’aménagement commercial a pris la décision suivante : a été accordée à la SA IMMOBILIERE EUROPEENNE DES MOUSQUETAIRES et à la SNC IMMO MOUSQUETAIRES CENTRE-EST l'autorisation de créer un ensemble commercial, d'une surface commerciale totale de 2 640 m², constitué d'un magasin de commerce de détail alimentaire, à l'enseigne INTERMARCHE, d'une surface de vente de 2 500 m², et trois boutiques de 40 m² de surface commerciale chacune et d'une boulangerie de 20 m² pour une surface totale de 140 m², situé lieudit Bellevue à Souzy. La commission départementale d'aménagement commercial prend acte du renoncement de la SNC IMMO MOUSQUETAIRES CENTRE-EST (anciennement nommée SNC ITM DEVELOPPEMENT CENTRE-EST) au bénéfice de l'autorisation d'exploitation commerciale accordée par commission départementale d'aménagement commercial du Rhône, le 23 avril 2009, pour la création d'un magasin de bricolage, à l'enseigne BRICOMARCHE, sur le même tènement sur la commune de Souzy. Attestation préfectorale relative à une demande d’autorisation d’exploitation commerciale La SAS ATAC a déposé le 15 juillet 2011 un recours auprès de la commission nationale d'aménagement commercial contre la décision du 14 mai 2011 de la commission départementale d'aménagement commercial du Rhône autorisant la SCI LE LITTORAL à modifier substantiellement un projet déjà autorisé situé zone d'aménagement concerté d’Epinay à Gleizé. Ce projet comprend un ensemble commercial, d’une surface de vente totale de 12 200 m², constitué de : - un supermarché, à l’enseigne SUPER U, d’une surface de vente de 2 489 m² ; - un pôle "culture-loisirs" de 2 à 5 cellules de vente, d'une surface commerciale totale de 1 800 m² ; - un pôle "univers du bébé et de l'enfant", de 1 à 2 cellules de vente, d'une surface globale de 800 m² ; - un pôle "équipement de la maison", de 2 à 5 cellules de vente, d'une surface de vente globale de 2961 m² ; - un pôle " magasin non-spécialisé, non-alimentaire", de 1 à 3 cellules de vente, d'une surface commerciale totale de 1 000 m² ; - un pôle "culture-loisirs", de 1 à 3 cellules de vente, d'une surface de vente totale de 850 m² ; - une galerie marchande d'une vingtaine de boutiques pour une surface de vente totale de 1 000 m² ; - un pôle mixte "équipement de la maison, alimentaire spécialisé hors produits locaux et culture-loisirs", de 5 et plus cellules de vente, d'une surface de vente globale de 1 300 m². En l'absence d'une décision de la commission nationale d'aménagement commercial, dans le délai de quatre mois prévu à l'article L.752-17 du code de commerce, le recours exercé par la SAS ATAC a été implicitement rejeté à la date du 15 novembre 2011. Le projet de la SCI LITTORAL est autorisé. Le texte de cette attestation doit être affiché pendant un mois à la mairie de Gleizé et sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Arrêté n° 2012-1583 du 20 mars 2012 Objet - autorisant les agents de la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement (DREAL) Rhône-Alpes, et les personnes auxquelles elle délègue ses droits, à occuper temporairement des parcelles de terrain sur les communes de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu, pour des opérations nécessaires à la mise en oeuvre de prescriptions d'archéologie préventive (sondages de diagnostic archéologique) dans le cadre du projet d'aménagement de l'échangeur 7 sur la RN 346 pour la desserte du Grand Stade à Décines-Charpieu sur les communes de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu par l'Etat. Article 1er – Les agents de la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement (DREAL) Rhône-Alpes et toute personne à laquelle cette dernière délègue ses droits sont autorisés à occuper temporairement des parcelles de terrain sur les communes de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu afin de permettre la réalisation de sondages de diagnostic archéologique pour la 78 mise en oeuvre de prescriptions d'archéologie préventive dans le cadre du projet de d'aménagement de l'échangeur 7 sur la RN 346 pour la desserte du Grand stade à Décines-Charpieu sur les communes de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu par l'Etat conformément aux états parcellaires et au plan parcellaire ci-annexés (1). Les accès aux parcelles de terrains se feront par les voies publiques présentes à proximité immédiate du projet et à travers les terrains constituant l'emprise du projet (cf. plan parcellaire). Article 2 – Aucune occupation temporaire ne peut être autorisée à l’intérieur des propriétés attenantes aux habitations et closes par des murs ou par des clôtures équivalentes suivant les usages du pays. Article 3 – Le présent arrêté et les pièces annexées (états parcellaires et plan parcellaire) seront notifiés par les maires de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu aux propriétaires des parcelles de terrain concernés. Article 4 – Après accomplissement des formalités prévues à l’article 3 du présent arrêté et en l’absence de toute convention amiable, préalablement à l’occupation des propriétés mentionnées à l’article 1er afin de procéder contradictoirement à un état des lieux, la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes ou les personnes auxquelles elle délègue ses droits, notifiera par lettre recommandée aux propriétaires intéressés le jour et l’heure où elle compte se rendre sur les lieux et les invitera à s’y trouver ou à se faire représenter pour cette formalité. Dans le même temps, la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes informera par écrit, les maires de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu de ces notifications. La visite des lieux ne peut intervenir qu’après un intervalle de 10 jours au moins suivant la notification. A défaut pour les propriétaires de se faire représenter sur les lieux, les maires de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu désigneront d’office un représentant pour opérer contradictoirement avec les représentants de la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes. Article 5 – A l’issue de la visite des lieux, un procès-verbal établissant les éléments nécessaires pour évaluer le dommage est dressé en trois exemplaires dont l’un sera déposé dans les mairies des communes concernées par l'autorisation et les deux autres remis aux parties intéressées. Si les représentants de la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes et les propriétaires concernés ou leurs représentants sont d’accord, les travaux peuvent commencer aussitôt. Un expert désigné dès le début de la procédure ou au cours de celle-ci par le tribunal administratif de Lyon à la demande de la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes sera chargé de dresser d’urgence le procès-verbal en cas de refus des propriétaires concernés de signer ce document ou en cas de désaccord sur l’état des lieux. Les travaux peuvent commencer aussitôt après le dépôt du procès-verbal. En cas de désaccord sur l’état des lieux, la partie la plus diligente conserve néanmoins le droit de saisir le tribunal administratif sans que cette saisine puisse faire obstacle à la continuation des travaux. Article 6 – A défaut d’un accord amiable sur l’indemnité, le tribunal administratif de Lyon peut être saisi par la partie la plus diligente, immédiatement après la fin de l’occupation temporaire pour obtenir le règlement de l’indemnité. Article 7 – Le délai d’occupation temporaire est fixé à 6 mois à compter de la date du présent arrêté. Article 8 – Le présent arrêté sera périmé de plein droit s’il n’est pas suivi d’exécution dans les six mois à compter de sa date. Article 9 – La présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône et affichée en mairies de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu ne peut être déférée qu’au tribunal administratif. Le délai de recours est de deux mois à compter de l'affichage en mairies. A peine d’irrecevabilité, la requête devant le Tribunal administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 10 – La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes et les maires de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté. (1) Le plan et les états parcellaires mentionnés à l’article 1er peuvent être consultés : - à la Préfecture du Rhône - en mairies de Chassieu, Décines-Charpieu et Meyzieu - à la Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes Pour le Préfet La Secrétaire Générale, Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1577 du 15 mars 2012 Objet : commission départementale de réforme des agents des collectivités territoriales et des établissements publics - Représentation des personnels Article 1er : Les agents dont les noms figurent dans le tableau annexé au présent arrêté, sont désignés pour représenter le personnel des collectivités territoriales à la commission départementale de réforme du Rhône ; Article 2 : Le mandat des représentants ci-dessus nommés prend fin lorsqu’ils cessent d’appartenir aux commissions administratives paritaires au titre desquelles ils ont été désignés ; Article 3 : L’arrêté préfectoral n° 5748 du 14 décembre 2011 est abrogé ; Article 4 : La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône est chargée de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs ; Pour le préfet, La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Les annexes sont à consulter à la DLPAD 1er bureau 79 Arrêté interpréfectoral n° 2012-1313 du 10 février 2012 Objet : statuts et compétences du syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et Affluents "SYRRTA" Article 1er – Les articles 1 à 13 de l’arrêté préfectoral n° 3 005 du 16 avril 2010 relatif à la création du SYRRTA sont remplacés par les dispositions suivantes : « Article 1er : Dénomination des membres En application des dispositions de l’article L 5711-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales, il est constitué entre : La Communauté de Communes du Pays d’Amplepuis Thizy (CCPAT),La Communauté de Communes des Pays entre Loire Et Rhône (COPLER), La Communauté de Communes du Pays de Perreux, La Communauté de Communes du Canton de Belmont de la Loire, La Communauté d’Agglomération du Grand Roanne, La Communauté de Communes de la Haute Vallée d'Azergues, La communauté de communes du Canton de Belmont de la Loire, Les communes de Saint Cyr de Valorges, Violay et Sainte Colombe sur Gand, le syndicat mixte fermé à la Carte dénommé Syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et Affluents (SYRRTA). Article 2 : Périmètre Le syndicat a vocation à intervenir sur l’ensemble des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan situés sur le territoire des collectivités et EPCI ci-dessus énoncés, à l’exception du site du Lac des Sapins. En application de l’article L5211-61 du CGCT, la Communauté de Communes du Pays d’Amplepuis Thizy et le Syndicat mixte pour l’aménagement du Lac des Sapins conservent leurs compétences respectives sur le site du Lac des Sapins (parcelles appartenant à la CCPAT ou au Syndicat mixte). La délimitation figure en annexe 1. Article 3 : Compétences La liste des blocs de compétences du syndicat est fixée ainsi qu'il suit. Le syndicat exerce en lieu et place de toutes les communes et EPCI membres, les compétences obligatoires et tout ou partie des compétences optionnelles suivantes : Compétences obligatoires Compétence 1 : Etudes liées à une démarche contractuelle sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Réalisation d’études préalables à la mise en œuvre d’une procédure contractuelle (Contrat de Rivières ou autres sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan, plans d’actions, programmes de mesure) et d’études de gestion à caractère global des milieux aquatiques ; Réalisation d’études hydrauliques et de ruissellement ayant une portée générale sur l’ensemble des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan et permettant la définition de travaux nécessaires à la prévention et la protection contre les inondations ; Compétence 2 : Mise en œuvre des actions pour la gestion des milieux aquatiques sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Elaboration des programmes pluriannuels de travaux de restauration et d’entretien du lit des cours d’eau et de leurs berges ainsi que des ouvrages hydrauliques associés aux cours d’eau hormis le lac des sapins, coordination et suivi de leur réalisation ; Gestion, animation, suivi des démarches contractuelles de gestion globale et concertée de l’eau et des milieux aquatiques, (tels que Contrat de Rivières en phase préalable ou en réalisation, ou autre procédure à venir) ayant pour objectif la gestion, la restauration et la mise en valeur des milieux aquatiques ; Mise en œuvre d’actions de communication et de sensibilisation au fonctionnement, à la protection et à la gestion des milieux aquatiques, y compris la pose et l’entretien des repères de crue, en direction de tous publics. Compétence 3 : Travaux de renaturation, de restauration et d’entretien Réalisation des travaux de renaturation, de restauration et d’entretien du lit, des berges et de la ripisylve des cours d’eau ainsi que des milieux aquatiques ayant un intérêt patrimonial et/ou fonctionnel, des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan prévu dans un programme pluriannuel de travaux. Réalisation des travaux d’aménagement des ouvrages hydrauliques (seuils, autres ouvrages) sur les cours d’eau des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan prévu dans un programme pluriannuel de travaux. Il est ici précisé que chaque établissement public ou collectivité membre du syndicat mixte conserve ses agents et en assure la rétribution. Compétences optionnelles Compétence 4 : Mise en valeur paysagère et touristique liée à l’eau et aux cours d’eau. Réalisation des travaux de mise en valeur paysagère et touristique liée à l’eau et aux cours d’eau. Les travaux concernés sont ceux qui s’inscrivent dans une démarche contractuelle concernant les cours d’eau sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Compétence 5 : Travaux hydrauliques pour prévenir les inondations liées à des débordements de cours d’eau Réalisation de travaux hydrauliques prévus et programmés dans le cadre des démarches contractuelles de gestion globale et concertée de l’eau et des milieux aquatiques, (tels que Contrat de Rivières en phase préalable ou en réalisation, ou autre procédure à venir) Ces travaux devront prévenir ou protéger contre le risque d’inondation sur les cours d’eau des bassins versant du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Cette compétence exclut la gestion des eaux pluviales. Compétence 6 : Acquisitions foncières de parcelles de bords de cours d’eau ou de zones humides nécessaires à la mise en œuvre de programmes et présentant un intérêt particulier pour la gestion des milieux aquatiques. Celles-ci seront réalisées dans le cadre d’une politique d’acquisitions foncières validée par le comité syndical et ne peuvent avoir qu’un caractère ponctuel pour des opérations très précises. Les structures membres ont transféré les compétences suivantes : Compétences 1 2 3 4 5 6 CCPA T COPLE R CC Perre ux CC Belmon t ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? Gran d Roan ne ? ? ? ? ? CC HVA Viola y Ste Colombe sur Gand ? ? ? ? St Cyr de Valorge s ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? 80 Article 4 : Prestation de service : Le syndicat peut assurer, à titre accessoire et ponctuel, dans le cadre de ses compétences et dans le respect du code des marchés publics, des prestations de service à la demande et pour le compte de collectivités territoriales non membres dont une partie du territoire est incluse dans les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Ces prestations interviennent dans le cadre d’une maîtrise d’ouvrage déléguée en application de la loi 85-704 du 12/07/1985 et concernent la compétence 3 (Travaux de renaturation, de restauration et d’entretien des milieux aquatiques des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan) ; la compétence 4 (Mise en valeur paysagère et touristique) et la compétence 5 (Travaux hydrauliques sur les cours d’eau). Le syndicat peut aussi être coordonnateur de commandes publiques de collectivités membres pour les achats se rattachant à son objet. Article 5 : Siège Le siège du syndicat mixte est situé à la Maison de l’Europe, 69 550 CUBLIZE. Il est établi une convention d’accueil entre l’EPCI hébergeant le siège et le syndicat. Article 6 : Durée Le syndicat mixte est constitué pour une durée illimitée. Article 7 : Comité Syndical Le syndicat mixte est administré par un comité syndical composé de 36 représentants titulaires. Les sièges sont répartis au prorata du nombre d’habitants* (population légale issue du recensement de 2006 des communes du bassin versant à l’exception de Roanne) pour moitié et du linéaire de cours d’eau de leur territoire sur le bassin versant pour l’autre moitié. Le nombre de sièges est réparti comme suit :11 représentants titulaires et 6 suppléants pour la Communauté de Communes du Pays d’Amplepuis Thizy, 9 représentants titulaires et 5 suppléants pour la Communauté de Communes du Pays entre Loire Et Rhône, 6 représentants titulaires et 3 suppléants pour la Communauté de Communes du Pays de Perreux, 4 représentants titulaires et 2 suppléants pour la Communauté d’Agglomération du Grand Roanne, 2 représentants titulaires et 1 suppléant pour la Communauté de Communes du Canton de Belmont de la Loire, 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la commune de Saint Cyr de Valorges, 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la commune de Violay, 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la commune de Sainte Colombe sur Gand, 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la Communauté de Communes de la Haute Vallée d'Azergues. Article 8 : Bureau Le comité syndical élit un bureau parmi ses membres titulaires. Les dispositions liées à son fonctionnement sont décrites dans le règlement intérieur. Article 9 : Contribution des membres Dépenses de fonctionnement d’administration générale du Syndicat Le coût des dépenses de fonctionnement et d’administration générale sont répartis de la façon suivante, au prorata du nombre d’habitants* (population légale issue du recensement de 2006 des communes du bassin versant à l’exception de Roanne) pour moitié et du linéaire de cours d’eau de leur territoire sur le bassin versant pour l’autre moitié. Communes ou EPCI CCPAT COPLER CC du Pays de Perreux CC du Canton de Belmont de la Loire Communauté d’Agglomération du Grand Roanne Saint Cyr de Valorges Violay Sainte Colombe sur Gand CC de la Haute Vallée d'Azergues Taux de participation (%) 34 ,79 28,90 18,03 3,43 10,35 0,48 1,84 1,09 1,09 Compétence 1 : Etudes liées à un Contrat de Rivières sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Le coût des dépenses pour la compétence 1 est réparti selon la clé de répartition présentée ci-dessus. Compétence 2 : Mise en œuvre des actions pour la gestion des milieux aquatiques sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Le coût des dépenses pour la compétence 2 est réparti selon la clé de répartition présentée ci-dessus. Compétence 3 : Travaux de renaturation, de restauration et d’entretien sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Le coût des dépenses pour la compétence 3 est supporté par les collectivités membres en fonction des travaux réalisés sur leur territoire. Compétence 4 : Mise en valeur paysagère et touristique liée à l’eau et aux cours d’eau Le coût des dépenses pour la compétence 4 est supporté par les collectivités membres en fonction des travaux réalisés sur leur territoire. Compétence 5 : Travaux hydrauliques Le coût des dépenses pour la compétence 5 est supporté par la ou les collectivités membres concernées. Si plusieurs collectivités se déclarent concernées, la clé de répartition est fixée, préalablement au lancement de l’opération, par délibération des membres concernés. Compétence 6 : Acquisitions foncières Le coût des dépenses pour la compétence 6 est réparti selon la clé de répartition présentée ci-dessus. Article 10 : Receveur Les fonctions de receveur seront exercées par le comptable du trésor public qui sera désigné par le Préfet sur proposition du Trésorier Payeur Général du département du siège du syndicat. 81 Article 11 : Adhésion d’un membre à une compétence optionnelle Chacune des compétences optionnelles des présents statuts peut être transférée au syndicat par ses adhérents, par une délibération de son organe délibérant, approuvée par le comité syndical et entérinée par arrêté préfectoral. Article 12 : Reprise d’une compétence optionnelle La reprise d’une compétence par une commune ou un EPCI ne pourra être réalisée avant une durée de 6 ans à compter du transfert au syndicat. La reprise se fait par une délibération de l’organe délibérant de la commune ou de l’EPCI, approuvée par le comité syndical et entérinée par arrêté préfectoral. Article 13 : Retrait du syndicat Chaque commune ou EPCI membre du syndicat ne peut solliciter son retrait du syndicat qu'après une durée de six années à compter de son adhésion au syndicat. Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le Directeur régional des finances publiques de la région Rhône-Alpes et du département du Rhône, le président du SYRRTA, les présidents des établissements publics de coopération intercommunale membres et les maires des communes membres sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures du Rhône et de la Loire. Pour le préfet du Rhône, la secrétaire générale Josiane CHEVALIER Pour la Préfète et par délégation Le Secrétaire Général Patrick FERIN Arrêté n° 2012- 1511 du 15 mars 2012 Objet : suppression du passage à niveau public n° 291 d e la ligne de chemin de fer de Paris à Marseille sur le territoire de la commune de BELLEVILLE. Article 1er - Le passage à niveau public n° 291 situé au km 46 3 671 de la ligne de chemin de fer de Paris à Marseille sur le territoire de la commune de Belleville, est supprimé. Article 2 – Le présent arrêté n’abrogera l'arrêté préfectoral du 10 novembre 1992 relatif au classement du passage à niveau n° 291 de la ligne Paris à Marseille qu’à la date du certificat attestant la suppression effective dudit passage à niveau. Article 3 – Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de son affichage. A peine d'irrecevabilité, toute requête formulée à l'encontre dudit arrêté, devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l'aide juridictionnelle. Article 4 – Cet arrêté sera affiché pendant un mois en mairie de Belleville et inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône. Article 9 - La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, le Maire de Belleville, le Directeur régional de R.F.F. (Région RhôneAlpes Auvergne), le Directeur de la S.N.C.F. (Infrapôle Rhodanien) sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Le Préfet, Pour le Préfet, La secrétaire Générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1384 du 2 mars 2012 Objet : déclaration d'utilité publique en vue de l'établissement des servitudes, les travaux de construction des déviations de « l'antenne de Villeurbanne » et de « la canalisation Meyzieu - Vaulx-en-Velin » sur le territoire de la commune de Décines-Charpieu, et impactant la commune de Meyzieu. Article 1er : Sont déclarés d'utilité publique en vue de l'établissement des servitudes, les travaux à exécuter pour la construction des déviations de "l'antenne de Villeurbanne" et de "la canalisation Meyzieu – Vaulx-en-Velin”, à Décines-Charpieu, impactant la commune de Meyzieu (Rhône), conformément au projet de tracé figurant sur la carte au 1/25.000 ème jointe en annexe (1). Article 2 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône et affiché en mairies de DécinesCharpieu et Meyzieu. Article 3 – Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de son affichage. A peine d'irrecevabilité, toute requête formulée à l'encontre dudit arrêté, devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l'aide juridictionnelle. Article 4 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement de Rhône Alpes, les maires des communes de Décines-Charpieu et de Meyzieu sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont une copie leur sera adressée. Pour le Préfet La Secrétaire Générale Josiane CHEVALIER (1) La carte annexée au présent arrêté peut être consultée dans les services de la préfecture du Rhône – direction des libertés publiques et des affaires décentralisées, de la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Rhône Alpes – service prévention des risques, ainsi qu'en mairies de Décines-Charpieu et de Meyzieu. 82 Arrêté préfectoral n° 1327 du 27 février 2012 Objet : Instituant les bureaux de vote et leur périmètre géographique, et répartissant les électeurs pour la commune de VILLEURBANNE Article 1er : Les dispositions des arrêtés n° 5150 du 13 août 2010 et n°3769 du 27 juin 2011 seront abrogées à compter du 1er mars 2012. Article 2 : Pour tous les scrutins qui se dérouleront à compter du 1er mars 2012, les électrices et électeurs de la commune de Villeurbanne seront répartis en 79 bureaux de vote dont le siège est fixé, ainsi qu'il suit : canton nord N° et siège du Bureau Répartition des électrices et électeurs de la commune 1 Bureau n° 110 – Centralisateur – Canton NORD Gymnase Tonkin 30, rue du Tonkin 2 Bureau n° 111 Gymnase Tonkin 30, rue du Tonkin 3 Bureau n° 112 Gymnase Tonkin 30, rue du Tonkin 4 Bureau n° 113 Gymnase Tonkin 30, rue du Tonkin 5 Bureau n° 120 Groupe Scolaire Tonkin 5, promenade de la Nigritelle Noire 6 Bureau n° 121 Groupe Scolaire Tonkin 5, promenade de la Nigritelle Noire - Boulevard Stalingrad n° 1 à 119 - Prolongement fictif jusqu’à la limite de la commune de Caluire - Boulevard du 11 novembre n° 2 à 24 et n° 1 à 27 - Avenue Roberto Rossellini n° 2 à la fin -Prolongement fictif de la Promenade du Lys Orangé jusqu’à l’allée Julien Duvivier - Rue Georges Méliès n° 7 à 9 - Rue Louis Guérin n° 30 à 48 - Rue Charlie Chaplin n° 1 à 5 - Ligne fictive dans le prolongement de l’avenue Roberto Rossellini allant jusqu’à la limite de la commune avec Caluire - Promenade du Lys Orangé côté impair - Rue du Tonkin n° 2 à 26 et n° 1 à 23 - Prolongement de la rue Phélypeaux rejoignant l’avenue Condorcet au n° 18 - Avenue Condorcet du n° 8 au 18 - Boulevard du 11 novembre du n° 48 à 72 - Ligne fictive partant du 50 Boulevard du 11 novembre jusqu’à la limite Nord de la commune avec Caluire - Limite de la commune avec Caluire comprise entre les deux lignes fictives - Rue Charlie Chaplin n° 7 à la fin - Ligne fictive reliant la rue Charlie Chaplin à la rue Jacques Brel - Rue Jacques Brel côté impair - Avenue Salvador Allende côté pair - Rue du Tonkin n° 28 à la fin - Promenade du Lys Orangé côté pair - Prolongement fictif de la promenade du Lys Orangé jusqu’à l’intersection des rues Guérin et Méliès - Rue Georges Méliès n° 4 à la fin - Rue Louis Guérin n° 33 à 39 - Avenue G. Berger partant de la limite de la commune avec Caluire rejoignant la rue parallèle à la rue Bonnet côté pair - Avenue Galline du n° 55 à 61 - Ligne fictive du 55 avenue Galline rejoignant la rue Garande - Prolongement rue Garande rejoignant la rue du Tonkin - Rue du Tonkin du n° 25 au 47 - Avenue Condorcet du n° 20 au 30 - Ligne fictive parallèle au Boulevard André Latarget - Avenue Pierre de Coubertin - Limite de la commune avec Rillieux la Pape bordant le canal de Jonage sur sa rive gauche et rejoignant l’avenue Roger Salengro au pont de Croix Luizet - Boulevard Stalingrad n° 121 à la fin - Limite du territoire de la commune entre le boulevard Stalingrad et le 13 avenue Dutriévoz - Avenue Dutriévoz du n° 1 à 13 - Cours André Philip n° 17 à 33 - Rue Henri Rolland sans numéro - Ligne fictive de la rue Jacques Brel jusqu’à l’avenue Dutriévoz - Rue Jacques Brel côté pair - Rue Henri Rolland - Cours André Philip n° 18 à 20 - Ligne fictive parallèle avenue Antoine Dutriévoz côté impair - Ligne fictive entre le 13 avenue Antoine Dutriévoz et le cours Emile Zola - Rue Gabriel Péri du n° 1 à 37 - Cours André Philip du n° 18 à 28 - Rue Bat Yam côté pair 83 7 Bureau n° 130 Groupe Scolaire Lakanal 11, rue Mozart 8 Bureau n° 131 Groupe Scolaire Lakanal 11, rue Mozart 9 Bureau n° 140 Complexe sportif Armand 20, rue Armand 10 Bureau n° 141 Complexe sportif Armand 20, rue Armand 11 Bureau n° 142 Complexe sportif Armand 20, rue Armand 12 Bureau n° 143 Complexe sportif Armand 20, rue Armand 13 Bureau n° 150 Groupe Scolaire Jean Moulin 3, rue Alfred Brinon 14 Bureau n° 151 Groupe Scolaire Jean Moulin 3, rue Alfred Brinon - Prolongement rue Garande entre l’avenue Condorcet et la rue du Tonkin - Avenue Salvador Allende du n° 13 au 15 - Place Jean Chorel côté pair et côté impair - Rue Bat Yam côté impair - Cours André Philip du n° 43 à la fin - Rue Gabriel Péri du n° 43 à 67 - Place Wilson du n° 18 à 21 - Avenue Condorcet du n° 38 à 56 - Avenue Gaston Berger rejoignant le Boulevard Laurent Bonnevay extérieur rejoignant la rue Bonnet - Rue Bonnet côté pair - Avenue Galline du n° 68 à la fin - Avenue Condorcet du n° 41 au n° 61 - Avenue Roger Salengro du n° 1 à 59 - Rue de la Doua côté pair - Ligne fictive rejoignant le Boulevard Laurent Bonnevay extérieur et intérieur avec la limite de commune - Avenue Roger Salengro n° 175 à la fin - Rue du Luizet n° 2 à 24 - Ligne fictive du 26 rue Croix Luizet rejoignant la rue de l’Espoir du n° 2 au 6 - Rue Jean-Baptiste Clément côté impair - Avenue Albert Einstein côté pair - Ligne fictive partant de l’intersection du Bd du 11 novembre à l’avenue Albert Einstein jusqu’à la limite Nord de la commune avec Caluire - Limite de la commune avec Caluire et avec la ligne fictive précédente - Limite de la commune avec Rillieux-la-Pape bordant le canal de Jonage sur sa rive gauche et rejoignant l’avenue Roger Salengro au pont de Croix Luizet - Avenue Albert Einstein n° 1 à 5 - Ligne fictive parallèle à la rue des Antonins le côté pair - Avenue Roger Salengro du n° 61 au 115 - Rue de la Doua du n° 1 à la fin - Avenue Roger Salengro n° 152 à la fin - Rue du 8 mai 1945 jusqu’au n° 36 - Ligne fictive parallèle à la rue Impasse des sœurs - Rue Armand côté impair - Rue Château Gaillard du n° 1 à 37 - Ligne fictive prolongement de la rue Armand côté pair - Rue des Antonins côté pair - Avenue Albert Einstein - Rue Jean-Baptiste Clément n° 2 à 40 - Place Croix Luizet n° 3 à 5 et n° 2 à 4 - Rue de l’Espoir du n° 2 à 6 - Rue du Luizet du n° 26 à la fin - Avenue Roger Salengro du n° 117 à 173 - Rue des Bienvenus du n° 1 à 23 - Rue Alexis Perroncel du n° 138 à 154 - Rue Château Gaillard du n° 61 à 65 - Rue Alexandre Dumas du n° 1 à 17 - Ligne fictive parallèle à la rue Octavie rejoignant l’impasse Octavie - Impasse Octavie côté impair - Rue du 8 mai 1945 du n° 38 à 66 - Impasse des Sœurs côté pair et côté impair - Ligne fictive passant par la rue Armand contournant le groupe scolaire Croix Luizet rejoignant la rue Château Gaillard sans inclure les n° 29 à 37 - Ligne fictive entre l’avenue Roger Salengro et le Boulevard Laurent Bonnevay extérieur jusqu’au rond point Croix Luizet - Boulevard Laurent Bonnevay - Ligne fictive contournant le groupe scolaire Jean Moulin (sans inclure les immeubles rue Alfred Brinon) - Rue du 8 mai 1945 du n° 1 au 89 84 15 Bureau n° 152 Groupe Scolaire Jean Moulin 3, rue Alfred Brinon 16 Bureau n° 160 Groupe Scolaire Château Gaillard 9, rue Pierre-Joseph Proudhon 17 Bureau n° 161 Groupe Scolaire Château Gaillard 9, rue Pierre-Joseph Proudhon 18 Bureau n° 170 CCVA 234, cours Emile Zola 19 Bureau n° 171 CCVA 234, cours Emile Zola 20 Bureau n° 180 Groupe Scolaire Lazare Goujon 50, rue Pierre Voyant 21 Bureau n° 181 Groupe Scolaire Lazare Goujon 13, rue de la Sérénité 22 Bureau n° 190 Gymnase de Cusset 382, cours Emile Zola 23 Bureau n° 191 Gymnase de Cusset 382, cours Emile Zola - Rue Alexis Perroncel du n° 147 à 169 - Rue Château Gaillard du n° 72 à 90 - Rue Alexandre Dumas du n° 4 à 20 - Rue Octavie du n° 62 à la fin - Impasse Octavie côté pair - Rue du 8 mai 1945 du n° 68 à 82 - Ligne fictive contournant le groupe scolaire Jean Moulin rejoignant le Boulevard Laurent Bonnevay - Boulevard Laurent Bonnevay - Rue Alfred Brinon côté pair et côté impair - Rue Michel Dupeuble du n° 1 à 45 - Rue Louis Fort du n° 1 à 19 - Rue des Bienvenus du n° 33 à 49 - Rue Louis Fort côté pair - Rue Michel Dupeuble côté pair - Rue du 8 mai 1945 du n° 90 à 104 - Rue Pierre Joseph Proudhon coté pair - Ligne fictive du 20 rue Pierre-Joseph Proudhon rejoignant le 117 rue Château Gaillard - Rue Joseph Gillet côté pair - Impasse Comby côté pair - Rue des Bienvenus du n° 53 au 69 - Ligne fictive parallèle à l’Impasse Comby, rue Joseph Gillet, rue Pierre-Joseph Proudhon - Rue Greuze du n° 2 à 28 - Ligne fictive parallèle à la rue du Champ de l’Orme côté impair - Rue Flachet du n° 2 à 24 - Rue Francis de Pressensé du n° 180 à 228 - Rue des Bienvenus du n° 71 à 87 - Avenue Commandant Lherminier côté impair - Cours Emile Zola du n° 217 à 265 - Ligne fictive parallèle à la rue Flachet du n° 26 à la fin - Ligne fictive parallèle à la rue Francis de Pressensé du n° 180 à 238 - Cours Emile Zola du n° 267 au 301 - Rue Greuze du n° 64 au 94 - Rue Château Gaillard du n° 134 à 176 - Rue Flachet côté impair - Rue Flachet du n° 26 à 44 - Ligne fictive parallèle à la rue Alfred Brinon côté pair rejoignant le Boulevard Laurent Bonnevay intérieur et la rue de Turin - Rue de Turin côté pair et côté impair - Rue Paul Gojon du n° 3 à 29 - Rue de la Coopérative côté impair - Rue du 8 mai 1945 du n° 122 à 160 - Ligne fictive parallèle à la rue Lançon - Rue Greuze du n° 1 à 29 - Rue du Champ de l’Orme du n° 5 à 41 - Rue Château Gaillard du n° 135 à 175 - Rue Greuze du n° 63 à 85 - Ligne fictive partant du 85 rue Greuze rejoignant le 294 rue Francis de Pressensé - Ligne fictive partant du 294 rue Francis de Pressensé rejoignant le 67 rue Pierre Voyant et le 38 rue Louis Galvani - Rue Louis Galvani du n° 14 à 38 - Rue Paul Gojon côté pair - Rue de la Coopérative côté pair - Rue du 8 mai 1945 du n° 183 à 191 - Rue Lançon côté pair et côté impair - Cours Emile Zola « prolongé » n° 351 à la fin - Rue Léon Blum n° 243 à la fin - Rue du Souvenir Français sans numéro - Bd périphérique sans numéro - Rue Victor Jara côté pair - Limite de la ville avec la commune de Vaulx-en-Velin - Rue Louis Galvani côté impair - Rue du 4 août 1789 n° 240 à la fin - Cours Emile Zola du n° 305 à 345 - Rue du 4 août 1789 du n° 239 à 285 - Rue Louis Galvani du n° 40 à 72 - Rue Mole côté pair et côté impair - Ligne fictive du 70 rue Pierre Voyant au 298 rue Francis de Pressensé - Ligne fictive du 298 rue Francis de Pressensé rejoignant le 85 rue Greuze -Rue Greuze sans numéro de voirie rejoignant le 305 cours Emile Zola 85 24 Bureau n° 195 - Bd périphérique sans numéro - Ligne fictive partant de l’avenue Albert Einstein jusqu’à la rue Saint Jean - Rue Saint Jean n° 1 à 7 - Ligne fictive longeant le stade des Peupliers jusqu’à la Petite Rue du Roulet - Ligne fictive passant à l’Ouest du centre social jusqu’à l’allée du Mens - Allée du Mens côté impair - Ligne fictive en limite de commune avec Vaulx-en-Velin Groupe scolaire Saint Exupéry 33, rue des Jardins 25 Bureau n° 196 - Rue Saint Jean côté pair Rue Saint Jean n° 9 à la fin Ligne fictive longeant le stade des Peupliers dans sa partie Est Ligne fictive longeant le stade Marie-Thérèse Eyquem dans sa partie Est Allée du Mens côté pair Limite de la ville avec la commune de Vaulx-en-Velin entre le prolongement de l’allée du Mens et de la Rue Léon Piat Le Canal de Jonage entre la Rue Léon Piat et la Rue Saint Jean Boulevard Laurent Bonnevay Groupe Scolaire Saint Exupéry 33, rue des Jardins canton centre 26 Bureau n° 210 – Centralisateur du Canton CENTRE Groupe Scolaire Descartes 16, rue Descartes 27 Bureau n° 211 Groupe Scolaire Descartes 16, rue Descartes 28 Bureau n° 212 Groupe Scolaire Descartes 16, rue Descartes 29 Bureau n° 213 Groupe Scolaire Descartes 16, rue Descartes 30 Bureau n° 220 Groupe Scolaire Jean Zay 16, rue Raspail 31 Bureau n° 221 Groupe Scolaire Jean Zay 16, rue Raspail 32 Bureau n° 222 Groupe Scolaire Jean Zay 16, rue Raspail - Rue Gabriel Péri du n° 2 au 54 - Rue Francis de Pressensé du n° 2 au 34 - Rue Eugène Manuel côté pair - Cours Emile Zola du n° 25 au 67 - Rue Alexis Perroncel du 25 au 45 - Ligne fictive parallèle à la rue Colin rejoignant l’avenue Roger Salengro - Avenue Roger Salengro du n° 62 au 70 - Ligne fictive rejoignant la rue Viret - Rue Francis de Pressensé du n° 53 au 79 - Ligne fictive parallèle rue Descartes et rue Francis de Pressensé rejoignant la rue Alexis Perroncel - Rue Francis de Pressensé du n° 33 au 49 - Rue Descartes du n° 35 au 65 rejoignant la rue Fr ancis de Pressensé - Rue Descartes rejoignant l’intersection avec la rue Alexis Perroncel - Rue Alexis Perroncel du n° 4 au 22 - Rue Gervais Bussière du n° 16 au 36 - Rue Gabriel Péri du n° 56 au 62 - Avenue Roger Salengro du n° 8 à 60 - Ligne fictive du 60 rue Roger Salengro rejoignant le 48 rue Alexis Perroncel - Rue Alexis Perroncel du n° 24 au 34 - Ligne fictive parallèle à la rue Alexis Perroncel rejoignant la rue Gervais Bussière - Rue Gervais Bussière du n° 4 à 4 - Ligne fictive parallèle à la rue Gervais Bussière côté pair - Rue Francis de Pressensé du n° 3 au 31 - Avenue Roger Salengro du n° 128 à 150 - Rue Château Gaillard du n° 2 à 28 - Rue des Bienvenus du n° 2 à 38 - Rue Alexis Perroncel du n° 96 à 132 - Rue Edouard Vaillant du n° 19 à 45 - Rue de la Filature du n° 25 à l’intersection de l a rue des Alliés du n° 1 au 17 - Rue Francis de Pressensé du n° 81 à 117 - Rue Billon du n° 2 à 34 - Rue Edouard Vaillant du n° 2 à 48 - Ligne fictive parallèle à la rue de la Filature du n° 17 au 43 - Rue des Alliés du n° 2 à 20 - Avenue Roger Salengro du n° 72 à 122 - Prolongement de l’avenue Roger Salengro à la rue Viret côté impair - Rue Viret du n° 1 à la fin - Rue Alexis Perroncel du n° 95 à 141 - Rue des Bienvenus du n° 40 à la fin - Ligne fictive parallèle à la rue Francis de Pressensé du n° 153 à 175 - Ligne fictive rejoignant du 151 rue Francis de Pressensé au 22 rue Raspail - Ligne fictive parallèle à la rue Raspail du n° 16 au 22 - Rue Edouard Vaillant du n° 50 au 72 86 33 Bureau n° 223 Groupe Scolaire Jean Zay 16, rue Raspail 34 Bureau n° 224 Groupe Scolaire Jean Zay 16, rue Raspail 35 Bureau n° 230 Groupe Scolaire Emile Zola 117, rue Dedieu 36 Bureau n° 231 Groupe Scolaire Emile Zola 117, rue Dedieu 37 Bureau n° 232 Groupe Scolaire Emile Zola 114, cours Emile Zola 38 Bureau n° 233 Groupe Scolaire Emile Zola 120, cours Emile Zola 39 Bureau n° 240 Groupe Scolaire Edouard Herriot 106, rue Hippolyte Kahn 40 Bureau n° 241 Groupe Scolaire Edouard Herriot 104, rue Hippolyte Kahn 41 Bureau n° 242 Groupe Scolaire Edouard Herriot 104, rue Hippolyte Kahn 42 Bureau n° 243 Groupe Scolaire Edouard Herriot 104, rue Hippolyte Kahn 43 Bureau n° 250 Groupe Scolaire Anatole France 128, rue Anatole France - Ligne fictive parallèle à la rue Branly côté pair - Ligne fictive parallèle au cours Emile Zola du n°151 au 183 - Passage Saint Charles - Rue Francis de Pressensé du n° 114 à 124 - Rue Billon côté impair - Rue Alexis Perroncel du n° 83 à 93 - Ligne fictive parallèle à la rue Edouard Vaillant du n° 50 au 72 - Ligne fictive parallèle à la rue Raspail du n° 16 au 22 - Prolongement rue Charles Gounod joignant la rue Francis de Pressensé - Rue Francis de Pressensé du n° 153 à 175 - Avenue du Commandant Lherminier côté pair - Rue Anatole France n° 145 - Ligne fictive au cours Emile Zola du n° 189 à 215 - Rue Branly du n° 2 à 24 - Cours Emile Zola du n° 20 à 50 - Rue des Charmettes du n° 14 à 58 - Petite rue de la Viabert du n° 27 à 41 - Limite de commune avec Lyon de la place Charles Hernu et intersection Petite rue de la Viabert - Cours Emile Zola n° 52 au 88 - Rue de la Bastille du n° 2 à 16 - Rue Dedieu jusqu’au n° 96 - Rue d’Alsace jusqu’au n° 21 inclus - Ligne fictive du 36 rue d’Alsace rejoignant le 34 rue Alexandre Boutin rejoignant le 38 rue Jean-Claude Vivant rejoignant l’intersection de la Petite rue de la Viabert - Rue des Charmettes du n° 25 au 57 - Rue Francis de Pressensé du n° 38 au 112 Passsage Saint Charles Cours Emile Zola du n° 75 à 153 bis Rue Eugène Manuel - Cours Emile Zola du n° 90 à 150 Rue Dedieu du n° 98 à 148 Rue de la Bastille du n° 1 à 3 - Petite rue de la Viabert du n° 20 à 32 - Ligne fictive traversant le 57 rue des Charmettes aboutissant au 40 rue d’Alsace - Rue d’Alsace du n° 40 au 68 - Rue Louis Becker du n° 53 au 59 - Limite de commune avec Lyon démarrant du 53 rue Louis Becker rejoignant le 20 Petite rue de la Viabert - Cours de la République du n° 17 au 49 et du n° 46 au 62 - Rue Louis Becker du n° 61 à 97 - Rue d’Alsace du n° 23 au 73 - Ligne fictive parallèle à la rue Dedieu côté pair rejoignant le 17 cours de la République - Rue Louis Becker du n° 60 à 120 - Rue Hippolyte Kahn du n° 110 à la fin - Cours Tolstoï du n° 1 à 55 - Limite de commune avec Lyon rejoignant le cours Tolstoï et la rue Louis Becker - Ligne fictive parallèle au cours de la République du n° 17 au 49 - Cours de la République du n° 51 au 65 - Rue Louis Becker du n° 99 au 103 - Rue Hippolyte Kahn du n° 70 au 108 rejoignant le 74 rue Anatole France - Ligne fictive parallèle à la rue Anatole France du n° 71 au 83 rejoignant la rue Racine Rue Racine du n° 2 au 8 Ligne fictive parallèle à la rue Dedieu du n° 114 au 148 - Cours Emile Zola du n° 153 au 181 - Allée Léon Meïs - Rue Anatole France du n° 99 au 115 - Ligne fictive du 99 rue Anatole France rejoignant la rue Racine - Rue Racine du n° 1 au 7 87 44 Bureau n° 251 Groupe Scolaire Anatole France 128, rue Anatole France 45 Bureau n° 252 Groupe Scolaire Anatole France 128, rue Anatole France 46 Bureau n° 253 Groupe Scolaire Anatole France 128, rue Anatole France 47 Bureau n° 254 Groupe Scolaire Anatole France 128, rue Anatole France 48 Bureau n° 260 Gymnase Léon Jouhaux 21/23, rue Charles Montaland 49 Bureau n° 261 Gymnase Léon Jouhaux 21/23, rue Charles Montaland 50 Bureau n° 262 Gymnase Léon Jouhaux 21/23, rue Charles Montaland 51 Bureau n° 270 Palais du Travail Place Lazare Goujon 52 Bureau n° 271 Palais du Travail Place Lazare Goujon 53 Bureau n° 272 Palais du Travail Place Lazare Goujon - Cours Emile Zola du n° 183 à 205 - Allée Léon Meïs - Rue Anatole France du n° 114 au 124 - Rue Paul Verlaine du n° 17 au 51 - Ligne fictive parallèle 53 au 57 rue Paul Verlaine - Rue du 4 août 1789 du n° 65 au 67 - Ligne fictive parallèle à la rue Clément Michut du n° 2 au 50 - Rue Anatole France du n° 126 à 132 - Ligne fictive parallèle à la rue Docteur Ollier côté impair - Rue du 4 août 1789 du n° 69 à 85 - Rue Clément Michut du n° 2 à 50 - Cours Emile Zola n° 196 à 198 - Rue Anatole France le n° 136 bis - Rue Paul Lafargue du n° 2 à 66 - Rue du 4 août 1789 du n° 87 à 89 - Rue Docteur Ollier côté pair et côté impair - Cours Emile Zola n° 200 à 230 - Rue de France côté impair - Rue du 4 août 1789 du n° 93 à 111 - Rue Paul Lafargue côté impair - Rue Paul Verlaine du n° 32 au 70 - Cours Tolstoï du 101 au 111 - Rue Charles Montaland du n° 1 au 35 - Rue du 4 août 1789 du n° 66 au 72 - Rue Paul Verlaine du n° 53 au 57 - Rue du 4 août 1789 du n° 74 à 102 - Avenue Auguste Blanqui du n° 2 à la fin - Cours Tolstoï n° 113 à 129 - Rue Charles Montaland côté impair - Ligne fictive parallèle à la rue Charles Montaland côté impair - Rue du 4 août 1789 n° 104 à 110 - Rue Camille Koechlin côté impair - Rue Persoz n° 1 à 19 - Cours Tolstoï n° 135 à 151 - Avenue Auguste Blanqui côté impair - Rue Anatole France du n° 71 au 83 - Rue Racine du n° 26 au 60 - Rue Louis Becker du n° 121 au 139 - Rue Hippolyte Kahn du n° 61 au 91 - Rue Anatole France du n° 94 au 112 - Rue Paul Verlaine du n° 16 au 26 - Rue Louis Becker du n° 141 au 151 - Rue Racine du n° 25 au 61 - Rue Hippolyte Kahn n° 79 - Cours Tolstoï du n° 57 au 99 - Ligne fictive parallèle à la rue Paul Verlaine du n°32 au 70 - Rue Louis Becker du n° 132 au 164 canton sud 54 Bureau n° 310 – Centralisateur du Canton SUD Groupe Scolaire Louis Pasteur 25, rue Docteur Frappaz - Rue Persoz n° 2 à 30 ainsi que n° 21 à 23 - Ligne fictive partant du 98 du 1er mars contournant l’immeuble « 83 rue du 1er mars » - Rue de la Baïsse n° 32 et 36 - Impasse Martin - Rue du Progrès du n° 48 à 50 - Ligne fictive parallèle rue du Docteur Frappaz du n°13 au 67 - Rue du Docteur Frappaz du n° 1 au 11 - Cours Tolstoï du 153 au 171 88 55 Bureau n° 311 Groupe Scolaire Louis Pasteur 25, rue Docteur Frappaz 56 Bureau n° 315 CCVA 234 cours Emile Zola 57 Bureau n° 320 Groupe Scolaire Jules Ferry 7, rue de la Baïsse 58 Bureau n° 321 Groupe Scolaire Jules Ferry 7, rue de la Baïsse 59 Bureau n° 322 Groupe scolaire Jules Ferry 16, rue du Progrès 60 Bureau n° 323 Groupe scolaire Jules Ferry 16, rue du Progrès 62 Bureau n° 331 Gymnase de Cusset 382, cours Emile Zola 63 Bureau n° 340 Groupe Scolaire Jean Jaurès 33, rue Lafontaine 64 Bureau n° 341 Groupe Scolaire Jean Jaurès 33, rue Lafontaine - Place Jules Granclément n° 57 à 59 - Ligne fictive parallèle rue Frappaz du n° 11 à 1 1 - Rue Docteur Frappaz du n° 13 à 67 - Ligne fictive du n° 67 rue Docteur Frappaz rejoig nant le Boulevard Eugène Réguillon à l’angle du n° 90 - Ligne fictive rejoignant le 87 rue Léon Blum - Rue Léon Blum du n° 1 au 87 - Cours Emile Zola du n° 234 au 272 - Rue Louis Goux côté pair - Rue du 4 août 1789 du n° 121 au 165 - Rue de France du n° 10 au 32 - Rue Camille Koechlin du n° 4 au 20 - Rue du 4 août du n° 128 au 166 - Ligne fictive parallèle rue de la Baïsse du n° 24 au 26 et du - Rue du 1er mars 1943 du n° 73 à 81 - Ligne fictive parallèle rue Persoz n° 21 à 23 n° 38 au 40 - Rue du 4 août 1789 du n° 194 au 214 - Ligne fictive longeant la rue Charles Robin côté pair - Ligne fictive partant début rue Chevreul rejoignant la rue Docteur Frappaz - rue Docteur Frappaz du n° 69 au 89 - rue du Progrès du n° 71 à l’intersection avec le jardin Alfred Sauvy - Impasse Martin ligne fictive rejoignant l’impasse Martin - Rue de la Baïsse du n° 24 à 30 et du n° 38 au 40 - Cours Emile Zola n° 350 à 360 Rue Pierre Baratin n° 2 à 40 Boulevard Eugène Réguillon du n° 55 à 77 Rue Victor Basch du n° 21 au 39 Rue Chevreul du n° 4 à 36 - Cours Emile Zola du n° 274 au 338 - Square Dietrich - Petite rue Pasteur du n° 11 à 37 - Rue Chevreul du n° 1 à 7 - Ligne fictive parallèle à la rue Victor Subit côté pair - Rue du 4 août 1789 du n° 167 au 219 - Cours Emile Zola n° 390 à la fin - Rue Léon Blum n° 202 à la fin - Rue de la Poudrette n° 2 à 84 - Ligne chemin de fer Est sans numéro - Ligne fictive parallèle au boulevard Laurent Bonnevay - Rue Léon Blum n° 167 à 241 - Rue Frédéric Faÿs n° 7 au 53 - Ligne fictive traversant la cour de l’école Ernest Renan et rejoignant le cours Emile Zola - Cours Tolstoï n° 2 à 46 Avenue Marc Sangnier du n° 2 à 26 Ligne fictive parallèle au square de la Roseraie Limite de la commune avec Lyon - Cours Tolstoï n° 48 au 88 Rue Richelieu n° 1 à 17 Rue Lafontaine n° 32 à 37 Allée de l’Enfance côté pair Allée du couchant côté impair Rue Frédéric Passy Avenue Marc Sangnier rejoignant le Cours Tolstoï 89 65 Bureau n° 342 Groupe Scolaire Jean Jaurès 33, rue Lafontaine 66 Bureau n° 343 Groupe Scolaire jean Jaurès 33, rue Lafontaine 67 Bureau n° 350 Groupe Scolaire Antonin Perrin 53, rue Docteur Papillon 68 Bureau n° 351 Groupe Scolaire Antonin Perrin 53, rue Docteur Papillon 69 Bureau n° 352 Groupe Scolaire Antonin Perrin 53, rue Docteur Papillon 70 Bureau n° 360 Gymnase Eugène Fournière 8, rue Eugène Fournière 71 Bureau n° 361 Gymnase Eugène Fournière 8, rue Eugène Fournière 72 Bureau n° 362 Gymnase Eugène Fournière 8, rue Eugène Fournière 73 Bureau n° 363 Gymnase Eugène Fournière 8, rue Eugène Fournière 74 Bureau n° 370 Groupe Scolaire Berthelot 6, rue Berthelot - Cours Tolstoï du 90 au 122 - Ligne fictive parallèle à la rue Richelieu côté impair - Ligne fictive parallèle à la rue Lafontaine rejoignant l’allée de l’Enfance - Allée de l’Enfance côté impair - Allée du Levant côté impair - Rue Florian du 30 au 32 - Rue Lafontaine jusqu’au 51 - Rue Louis Braille du n° 1 au 15 - Limite de la commune avec Lyon - Ligne fictive parallèle au square de la Roseraie prolongeant la rue Frédéric Passy n° 4 à 12 - Rue Richelieu du n° 29 au 39 - Ligne fictive entre le 44 et le 2 de la rue Frédéric Mistral - Passage Edouard Aynard côté impair - Route de Genas de 7 à 53 - Rue Galilée côté pair - Rue Jean Jaurès jusqu’au n° 14 - Rue Florian n° 56 - Ligne fictive démarrant après le square Florian parallèle à l’immeuble rejoignant le 39 rue Richelieu - Rue Frédéric Mistral côté impair - Allée du Couchant n° 4 et 6 - Ligne fictive rejoignant l’Allée du Levant - Rue du Levant du 2 au 28 - Rue Florian - Rue Lafontaine n° 58 et 60 - Ligne fictive parallèle à la rue Louis Braille rejoignant la rue Jean Jaurès au n° 59 - Rue Jean Jaurès du 61 à la fin - Ligne fictive parallèle traversant les immeubles Place Jules Grandclément côté impair rejoignant le Cours Tolstoï - Cours Tolstoï de 124 à 171 - Ligne fictive partant du 124 Cours Tolstoï rejoignant la rue Jean Jaurès parallèle à la rue Louis Braille côté impair - Rue Arago n° 1 à 39 - Rue Jean Jaurès n° 54 à la fin - Place Jules Grandclément du n° 7 à 15 - Ligne fictive commençant après le 14 Place Jules Grandclément rejoignant le 11 Boulevard Honoré de Balzac contournant les immeubles parallèles à la rue Eugène Fournière et des 2 Frères traversant le Boulevard Honoré de Balzac Ligne fictive parallèle à la rue de la Fraternité côté pair rejoignant le 117 Route de Genas - Rue de la Solidarité côté impair - Rue Aynès côté impair rejoignant l’intersection rue Charrin - Rue Francis Chirat côté impair - Place Jules Grandclément du 17 au 55 - Avenue Général Leclerc côté pair - Route de Genas n° 145 à 157 - Ligne fictive commençant après le 14 Place Jules Grandclément contournant les bâtiments attenants à la rue Eugène Fournière traversant le Boulevard Honoré de Balzac - Ligne fictive parallèle à la rue de la Fraternité côté pair - Route de Genas du n° 125 à 137 - Rue de la Solidarité côté pair - Rue Aynès - Rue Charrin côté pair intersection avec la rue Francis Chirat - Rue Francis Chirat côté pair - Rue Galilée du n° 5 au 15 Route de Genas du n° 55 à 89 Rue Arago du n° 6 au 42 Rue Jean Jaurès du n° 16 à 52 - Avenue Général Leclerc du n° 1 à 49 - Rue Léon Blum du n° 2 à 96 - Ligne fictive démarrant du 96 rue Léon Blum rejoignant le 50 rue Antoine Primat et rejoignant la rue de la ligne de l’Est 90 75 Bureau n° 371 Groupe Scolaire Berthelot 6, rue Berthelot 76 Bureau n° 380 Groupe Scolaire Jules Guesde 49, rue Jules Guesde 77 Bureau n° 390 Gymnase Albert Camus 40, rue Séverine 78 Bureau n° 391 Gymnase Albert Camus 40, rue Séverine 79 Bureau n° 392 Gymnase Albert Camus 40, rue Séverine - Avenue Général Leclerc du n° 53 au 63 - Route de Genas du n° 161 au 237 - Rue Cyprian côté pair - Rue Léon Blum du n° 98 au 110 - Ligne fictive parallèle à l’Avenue Général Leclerc côté impair rejoignant la ligne de l’Est - Ligne de l’Est - Rue Léon Blum n° 110 à 186 - Rue de Cyprian côté impair - Route de Genas n° 241 à 257 - Boulevard Laurent Bonnevay - Boulevard Laurent Bonnevay - Ligne de chemin de fer de l’Est - Rue Jean Bertin côtés pair et impair - Rue de la Poudrette n° 86 à 110 - Rue Alfred de Musset côté impair - Rue Séverine n° 2 à 10 - Rue Nicolas Garnier n° 1 à 37 - Rue Yvonne Chanu n° 167 à la fin - Rue Yvonne Chanu n° 168 à la fin - Rue Nicolas Garnier n° 2 à 60 - Rue Henri Legay n° 70 à la fin - Rue Louis Teillon côté pair - Rue de la Poudrette n° 186 à la fin - Route de Genas n° 259 à la fin - Boulevard Laurent Bonnevay - Rue Alfred de Musset côté pair - Rue de la Poudrette n° 112 à 184 - Rue Louis Teillon n° 9 à la fin - Rue Henri Legay côté impair - Rue Nicolas Garnier n° 39 à la fin - Rue Séverine n° 17 à 21 Article 3 : Pour les élections cantonales, le bureau centralisateur du Canton NORD est le bureau de vote n°1-11 0, sis au Gymnase du Tonkin – 30 rue du Tonkin. Le bureau centralisateur du Canton CENTRE est le bureau de vote 26 - 210, sis au Groupe Scolaire Descartes – 16 rue Descartes. Le bureau centralisateur du Canton SUD est le bureau de vote n° 54 - 310 , sis Groupe Scolaire Louis Pasteur - 25 rue Docteur Frappaz. Pour les autres scrutins, le bureau centralisateur de la commune de Villeurbanne est le bureau de vote n°1-110 , sis au Gymnase Tonkin – 30 rue Tonkin à Villeurbanne. Article 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication au recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du Rhône. A peine d’irrecevabilité, toute requête formulée à l’encontre dudit arrêté devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 5 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône et le maire de Villeurbanne sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la mairie de Villeurbanne et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Josiane CHEVALIER Arrêté n° 2012-1471 du 9 mars 2012 Objet - Autorisant les agents de la société des Autoroutes du Sud de la France et toute personne à laquelle cette société aura délégué ses droits à occuper temporairement les parcelles de terrain cadastrées AV 235, AV 198, AV 236, AY 35, AY 46 et CR sur la commune de JOUX afin de permettre le stockage et la mise en dépôt des excédents de matériaux issus des terrassements du chantier dans le cadre du projet de construction de la section Balbigny - La Tour de Salvagny de l'autoroute A89. Article 1er – Les agents de la société des Autoroutes du Sud de la France et toute personne à laquelle cette société délègue ses droits sont autorisés à occuper temporairement les parcelles de terrain cadastrées AV 235, AV 198, AV 236, AY 35, AY 46 et CR sur la commune de JOUX pour une superficie totale de 8ha 09a 93ca afin de permettre le stockage et la mise en dépôt des excédents de matériaux issus des terrassements du chantier conformément à l’état parcellaire et au plan parcellaire ci-annexés (1). L’accès aux parcelles de terrains sera assuré à partir directement de l'emprise du chantier ainsi que par la voie d'accès à l'autoroute depuis la RD 14. Article 2 – Aucune occupation temporaire ne peut être autorisée à l’intérieur des propriétés attenantes aux habitations et closes par des murs ou par des clôtures équivalentes suivant les usages du pays. Article 3 – Le présent arrêté et les pièces annexées (état parcellaire et plan parcellaire) seront notifiés par le maire de JOUX aux propriétaires des parcelles de terrain. 91 Article 4 – Après accomplissement des formalités prévues à l’article 3 du présent arrêté et en l’absence de toute convention amiable, préalablement à l’occupation des propriétés mentionnées à l’article 1er afin de procéder contradictoirement à un état des lieux, la société des Autoroutes du Sud de la France ou la personne à qui elle délègue ses droits, notifiera par lettre recommandée aux propriétaires intéressés le jour et l’heure où elle compte se rendre sur les lieux et les invitera à s’y trouver ou à se faire représenter pour cette formalité. Dans le même temps, le président des Autoroutes du Sud de la France informera par écrit le maire de JOUX de ces notifications. La visite des lieux ne peut intervenir qu’après un intervalle de 10 jours au moins suivant la notification. A défaut pour les propriétaires de se faire représenter sur les lieux, le maire de JOUX désignera d’office un représentant pour opérer contradictoirement avec les représentants des Autoroutes du Sud de la France. Article 5 – A l’issue de la visite des lieux, un procès-verbal établissant les éléments nécessaires pour évaluer le dommage est dressé en trois exemplaires dont l’un sera déposé à la mairie de JOUX et les deux autres remis aux parties intéressées. Si les représentants des Autoroutes du Sud de la France et les propriétaires concernés ou leurs représentants sont d’accord, les travaux peuvent commencer aussitôt. Un expert désigné dès le début de la procédure ou au cours de celle-ci par le tribunal administratif de Lyon à la demande de la société des Autoroutes du Sud de la France sera chargé de dresser d’urgence le procès-verbal en cas de refus des propriétaires concernés de signer ce document ou en cas de désaccord sur l’état des lieux. Les travaux peuvent commencer aussitôt après le dépôt du procès-verbal. En cas de désaccord sur l’état des lieux, la partie la plus diligente conserve néanmoins le droit de saisir le tribunal administratif sans que cette saisine puisse faire obstacle à la continuation des travaux. Article 6 – A défaut d’un accord amiable sur l’indemnité, le tribunal administratif de Lyon peut être saisi par la partie la plus diligente, immédiatement après la fin de l’occupation temporaire pour obtenir le règlement de l’indemnité. Article 7 – Le délai d’occupation temporaire est fixé à 9 mois à compter de la date du présent arrêté. Article 8 – Le présent arrêté sera périmé de plein droit s’il n’est pas suivi d’exécution dans les six mois à compter de sa date. Article 9 - La présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône ne peut être déférée qu’au tribunal administratif. Le délai de recours est de deux mois à compter de l'affichage dans les mairies. A peine d’irrecevabilité, la requête devant le Tribunal administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 10 – La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, le président de la société des Autoroutes du Sud de la France et le maire de JOUX sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera affiché à la mairie de JOUX, publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et notifié aux propriétaires intéressés. (1) Le plan parcellaire mentionné à l’article 1er peut être consulté : - à la Préfecture du Rhône - à la mairie de JOUX - à la société des Autoroutes du Sud de la France Pour le Préfet La Secrétaire Générale, Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 1500 du 14 mars 2012 Objet : Institution de la commission de recensement des votes dans le cadre de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 ami 2012. Article 1er : Il est institué, dans le département du Rhône, à l'occasion de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, une commission de recensement des votes. Article 2 : Cette commission est composée comme suit : 1er tour : Président : - Monsieur Paul André BRETON, président du Tribunal de Grande Instance de Lyon Membres : - Madame Florence PAPIN, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon - Madame Danielle GIRARD-ZAMPINO, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon 2ème tour : Président : - Monsieur Bernard CHIFFLET, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membres : - Madame Carole BATAILLARD, juge d'instruction au Tribunal de Grande Instance de Lyon - Madame Anne-Sophie DE LAMARZELLE, juge d'instruction au Tribunal de Grande Instance de Lyon Article 3 : La commission composée comme indiqué ci-dessus, se réunira les lundis 23 avril et 7 mai 2012, à partir de 7h00, à la préfecture du Rhône - salle Jean Moulin - 106, rue Pierre Corneille - Lyon 3ème. 92 Article 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication au recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du Rhône. A peine d’irrecevabilité, toute requête formulée à l’encontre dudit arrêté devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 5 : La secrétaire générale de la préfecture et le président de la commission instituée pour chaque tour de scrutin sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont une copie sera adressée à chacun des membres et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet, La secrétaire générale, Josiane CHEVALIER Arrêté n° 1498 du 12 mars 2012 Objet : Institution de la commission locale de contrôle dans le cadre de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012. Article 1er : Il est institué, dans le département du Rhône, à l’occasion de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, une commission locale de contrôle, ainsi composée : Président : - M. Etienne RIGAL, vice-président au Tribunal de grande instance de Lyon. Suppléante : - Mme Anne-Marie DEPARDON, vice-présidente au Tribunal de grande instance de Lyon. Membres : - Melle Michèle TAILLARDAT, directeur des libertés publiques et des affaires décentralisées à la préfecture du Rhône, - M. Nacer BERNOU, inspecteur à la direction régionale des finances publiques de Rhône-Alpes et du département du Rhône, - M. Pierre-Henri VERNET, représentant la direction départementale de La Poste. Secrétaire : - Mme Sandrine CANDELA, chef du bureau des institutions locales à la préfecture du Rhône. Article 2 : La commission siègera à la Préfecture du Rhône, 106 rue Pierre Corneille 69003 Lyon. Article 3 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication au recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du Rhône. A peine d’irrecevabilité, toute requête formulée à l’encontre dudit arrêté devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 4 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône et le président de la commission de propagande sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et dont une copie sera adressée à chacun des membres. Le préfet, La secrétaire générale, Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 1501 du 14 mars 2012 Objet : Institution des commissions de contrôle des opérations de vote dans le cadre de l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012. Article 1er : Il est institué, dans le département du Rhône, à l’occasion de l'élection présidentielle, cinq commissions de contrôle chargées, dans les communes de plus de 20 000 habitants, de veiller à la régularité de la composition des bureaux de vote, ainsi qu’à celle des opérations de vote, de dépouillement des bulletins et de dénombrement des suffrages, et de garantir aux électeurs, ainsi qu’aux candidats en présence, le libre exercice de leurs droits. Article 2 : La première commission chargée des villes de LYON, SAINTE-FOY LES LYON, OULLINS et SAINT GENIS LAVAL sera ainsi composée : • Pour le 1er tour de scrutin : Présidente : Mme Mireille QUENTIN DE GROMARD, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Christelle GOMEZ, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : M. Edmond DUCLOS, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléant : M. Gérard GAUCHER, premier vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : Monsieur Christian JEHL, chef de bureau à la préfecture du Rhône Suppléante : Mme Audrey BARJON, attachée du ministère de l'Intérieur. • Pour le second tour de scrutin : Présidente : Mme Yolande ROGNARD, vice-présidente, secrétaire générale au Tribunal de Grande Instance de Lyon 93 Suppléante : Mme Angélique PINO, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : Mme Bénédicte BOISSELET, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléant : M. Jean-Louis COR, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : M. Monsieur Christian JEHL, chef de bureau à la préfecture du Rhône, Suppléant : M. Gérard PAILLET, chef de bureau à la préfecture du Rhône. Article 3 : La deuxième commission, ayant pour compétence territoriale les communes de BRON, SAINT-PRIEST et VENISSIEUX, aura la composition suivante : • Pour le premier tour de scrutin : Présidente : Mme Dominique DEVIGNE, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Françoise COMMEIGNES, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : Mme Isabelle BELLAHCENE, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléant : M. Michel-Henri PONSARD, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : Melle Aurélie DARPHEUILLE, chef de bureau à la préfecture du Rhône. Suppléante : Mme Audrey BARJON, attachée du ministère de l'Intérieur. • Pour le second tour de scrutin : Président : M. Michel RISMANN, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Viviane LE GALL, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : M. Jean-Daniel PIFFAUT, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Cécile WOESSNER, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : Melle Aurélie DARPHEUILLE, chef de bureau à la préfecture du Rhône Suppléant : M. Gérard PAILLET, chef de bureau à la préfecture du Rhône. Article 4 : La troisième commission, ayant pour compétence territoriale les communes de CALUIRE-ET-CUIRE, VILLEURBANNE et RILLIEUX-LA-PAPE, aura la composition suivante : • Pour le premier tour de scrutin : Président : M. Olivier GOURSAUD, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Marie-Claude SEUZARET, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : Mme Patricia GONZALEZ, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Muriel BLIN, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : Mme Béatrice BESANCON-MATILE, chef de bureau à la préfecture du Rhône Suppléante : Mme Audrey BARJON, attachée du ministère de l'Intérieur. . • Pour le second tour de scrutin : Président : M. Jean-Marc BEURTON, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Clara GRANDE, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : M. Marc-Emmanuel GOUNOT, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Catherine COR, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : Mme Marie-José BOURDAIS, chef de bureau à la préfecture du Rhône Suppléant : M.Gérard PAILLET, chef de bureau à la préfecture du Rhône. Article 5 : La quatrième commission, compétente pour les communes de DECINES-CHARPIEU, MEYZIEU et VAULX-EN-VELIN, aura la composition suivante : . • Pour le premier tour de scrutin : Présidente : Mme Dominique TERNY, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Cécile NAINANI, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon 94 Membre : Mme Isabelle BLOCH, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléant : Mme Sandrine MOTHE, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : M. Gérard PAILLET, chef de bureau à la préfecture du Rhône Suppléante : Mme Audrey BARJON, attachée du ministère de l'Intérieur • Pour le second tour de scrutin : Président : Mme Florence AUGIER, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Florence BARDOUX, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Lyon Membre : M. Patrick AUDUGE, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Lyon Suppléante : Mme Claire CASTAING, juge au Tribunal de Grande Instance de Lyon Secrétaire : Mme Audrey BARJON, chef de bureau à la préfecture du Rhône Suppléant : M. Gérard PAILLET, chef de bureau à la préfecture du Rhône Article 6 : La cinquième commission, chargée de la commune de VILLEFRANCHE-SUR-SAONE, sera ainsi composée : • Pour le premier tour de scrutin : Président : M. Denis KENETTE, président du Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Suppléant : M. Jacques LALEURE, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Membre : M. Benjamin VERNOTTE, juge au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Suppléante: Mme Sonia MAFFIOLI, juge de l'application des peines au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Secrétaire : Madame Jocelyne VERDIERE, attachée de préfecture à la sous-préfecture de Villefranche sur Saône Suppléant : M. Denis MARSAL, secrétaire général à la sous-préfecture de Villefranche sur Saône • Pour le second tour de scrutin : Président : M. M. Jacques LALEURE, vice-président au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Suppléante: Mme Sonia MAFFIOLI, juge de l'application des peines au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Membre : Mme Béatrice DEJEAN DE LA BATIE, juge au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Suppléant: M. Benjamin VERNOTTE, juge au Tribunal de Grande Instance de Villefranche sur Saône Secrétaire : Monsieur Denis MARSAL, secrétaire général de la sous-préfecture de Villefranche sur Saône. Suppléante : Madame Jocelyne VERDIERE, attachée de préfecture à la sous-préfecture de Villefranche sur Saône Article 7 : Ces commissions seront installées à compter du mercredi 18 avril 2012. Article 8 : Les quatre premières commissions siègeront à la préfecture du Rhône, Bureau des institutions locales, salle 428, les dimanches 22 avril et en cas de second tour 6 mai 2012, à partir de 8 H 00. La cinquième commission se réunira à la sous-préfecture de Villefranche-sur-Saône, les dimanches 22 avril et en cas de second tour 6 mai 2012, à partir de 8h00. Article 9 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication au recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du Rhône. A peine d’irrecevabilité, toute requête formulée à l’encontre dudit arrêté devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 10 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le sous-préfet de l’arrondissement de Villefranche-sur-Saône, les présidents des commissions et les maires des communes intéressées, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Le préfet, La secrétaire générale, Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 1499 du 12 mars 2012 Objet : Fixation de la date limite de remise des déclarations pour le département du Rhône par les candidats à l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012 Article 1er : Les déclarations imprimées devront être livrées par chaque candidat au plus tard aux dates et heures ci-après : 1er tour de scrutin : mardi 10 avril 2012 à 12h00. 95 2nd tour de scrutin : lundi 30 avril 2012 à 12h00. Article 2 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication au recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du Rhône. A peine d’irrecevabilité, toute requête formulée à l’encontre dudit arrêté devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 3 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône est chargée de l'exécution du présent arrêté, qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture. Le préfet, La secrétaire générale, Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1378 du 24 février 2012 Objet : proposition de modification du périmètre de la Communauté de Communes de l'Est Lyonnais Article 1er : Le projet de périmètre de la Communauté de Communes de l'Est Lyonnais comprend les communes suivantes : Colombier-Saugnieu, Genas, Jons, Pusignan, Saint-Bonnet de Mure, Saint-Laurent de Mure, Saint Pierre de Chandieu, Toussieu. Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le président de la Communauté de Communes de l'Est Lyonnais et les maires des communes concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet, la secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1380 du 24 février 2012 Objet : proposition de modification du périmètre de la Communauté de Communes de la Région de Condrieu Article 1er : Le projet de périmètre de la Communauté de Communes de la Région de Condrieu comprend les communes suivantes : Ampuis, Condrieu, Echalas, Les Haies, Loire-sur-Rhône, Longes, Saint-Cyr sur le Rhône, Saint-Romain en Gier, Sainte Colombe, Trèves, Tupin et Semons. Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le président de la Communauté de Communes de la Région de Condrieu et les maires des communes membres concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet, la secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1381 du 24 février 2012 Objet : proposition d’un nouveau périmètre de syndicat intercommunal Article 1er : Le projet de périmètre de syndicat intercommunal issu de la fusion entre le Syndicat intercommunal de Gendarmerie de Tassin La Demi Lune et le Syndicat intercommunal du Lycée de l'Ouest Lyonnais comprend les communes suivantes : Tassin la DemiLune, Charbonnières les Bains. Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le président des syndicats intéressés et les maires des communes concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet, la secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1379 du 24 février 2012 Objet : proposition de modification du périmètre de la Communauté de Communes du Pays de l'Ozon Article 1er : Le projet de périmètre de la Communauté de Communes du Pays de l'Ozon comprend les communes suivantes : Chaponnay, Communay, Marennes, Saint-Symphorien d’Ozon, Sérézin-du-Rhône, Simandres, Ternay. Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le président de la Communauté de Communes du Pays de l'Ozon et les maires des communes concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet, la secrétaire générale Josiane CHEVALIER 96 Arrêté préfectoral n° 2012-1382 du 24 février 2012 Objet : proposition d’un nouveau périmètre de syndicat mixte Article 1er : Le projet de périmètre du syndicat mixte issu de la fusion du syndicat mixte ACCOLADE et du syndicat mixte de l'Ouest Lyonnais comprend les EPCI suivants : Communauté de communes du pays de l’Arbresle, Communauté de communes de la vallée du Garon, Communauté de communes des vallons du Lyonnais, Communauté de communes du pays Mornantais. Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le président des établissements publics de coopération intercommunale intéressés, les maires des communes concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Pour le préfet, la secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté n° 2012 – 766 du 6 mars 2012 Objet : Cahier des charges relatif à l’agrément des associations pour la domiciliation des personnes sans domicile au titre de l’aide médicale de l’Etat. Article 1 : Le cahier des charges relatif aux organismes sollicitant un agrément pour l’élection de domicile dans le cadre de l’aide médicale de l’Etat est joint en annexe. Article 2 : L’agrément est délivré aux associations pour une durée de trois ans, renouvelable. Article 3 : La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du département du Rhône. Le Préfet de la région Rhône-Alpes, Préfet du Rhône Jean-François CARENCO ANNEXE DE L’ARRETE N° 2012 - 766 CAHIER DES CHARGES RELATIF AUX ORGANISMES SOLLICITANT UN AGREMENT POUR L’ELECTION DE DOMICILE AU TITRE DE L’AIDE MEDICALE DE l’ETAT Textes de référence : - Articles L. 251-1 à L. 254 -1 du code de l’action sociale et des familles ; - Décrets n°2005-859 et 2005-860 du 28 juillet 2005 relatifs à l’aide médicale de l’Etat ; - Circulaire DSS/2A/2011/351 du 8 septembre 2011 relative à des points particuliers de la réglementation de l’aide médicale de l’Etat ; Préambule : En application des dispositions de l’article L 251-1 du code de l’action sociale et des familles: « Tout étranger résidant en France de manière ininterrompue depuis plus de trois mois, sans remplir la condition de régularité mentionnée à l’article L 380-1 du code de la sécurité sociale et dont les ressources ne dépassent pas un certain plafond a droit, pour lui-même et les personnes à sa charge, à l’aide médicale de l’Etat (AME), sous réserve, s’il est majeur, de s’être acquitté, à son propre titre et au titre des personnes majeures à sa charge, du droit annuel mentionné à l’article 968 E du code général des impôts ». Les personnes ainsi mentionnées, qui ont droit à l’AME et se trouvent sans domicile fixe, doivent, pour bénéficier de cette aide, élire domicile soit auprès d’un organisme agréé à cet effet soit auprès d’un centre communal ou intercommunal d’action sociale. L’agrément est donc obligatoire pour les organismes qui souhaitent mener une activité de domiciliation. Il constitue un acte de reconnaissance par l’Etat que l’organisme demandeur remplit bien les conditions requises pour assurer la mission de domiciliation. La demande d’agrément doit obéir au présent cahier des charges. L’agrément est accordé par décision du représentant de l’Etat dans le département pour une durée de trois ans renouvelable. I – Dispositions relatives à l’organisme demandant un agrément A. organismes pouvant demander l’agrément B. les associations à but non lucratif qui mènent des actions contre l’exclusion ou pour l’accès aux soins et qui offrent par le nombre, l’expérience, la qualité de leurs responsables et de leur personnel salarié ou bénévole des garanties suffisantes ; C. les établissements mentionnés au 8° de l’article L. 312-1 du code de l’action sociale et des familles ; D. L’association candidate doit faire la preuve que son organisation est régulière depuis 3 ans et à jour de ses obligations déclaratives, fournir son rapport annuel d’activité et ses comptes annuels. Son aptitude à assurer la mission sera analysée, ainsi que l’adéquation des infrastructures, de l’équipement et des moyens humains mis à disposition (personnel suffisant en qualité et quantité), des moyens financiers durablement disponibles, d’un dispositif permettant d’assurer le suivi des dossiers dans le temps. E. • éléments constitutifs du dossier de demande d’agrément L’organisme demandeur devra transmettre au représentant de l’Etat un dossier comportant les éléments suivants : adresse, statuts et raison sociale de l’organisme ; • récépissé délivré par la préfecture et extrait de la publication au Journal Officiel ; • nature des activités exercées depuis un an et public concerné ; • indication du cadre géographique pour lequel l’agrément est sollicité ; 97 • éléments permettant d’apprécier l’aptitude de l’organisme pour lequel l’agrément est sollicité. Un projet de règlement intérieur devra être fourni décrivant l’organisation de la mission de domiciliation et les procédures retenues pour la gestion du courrier (horaires de réception, etc…). II – Contenu de la mission de domiciliation La mission de domiciliation doit être exercée à titre gratuit et ne donne pas lieu à rémunération. Elle concerne les personnes visées à l’article L. 251-1 du code de l’action sociale et des familles. L’organisme qui sollicite un agrément doit : A. vis-à-vis des personnes domiciliées • mettre en place un entretien individuel avec le demandeur durant lequel il lui sera présenté les dispositions du règlement intérieur, ainsi que les procédures de radiation. Un nouvel entretien aura lieu lors des renouvellements. • enregistrer les demandes. • délivrer une attestation d’élection de domicile. • mettre en place un dispositif de suivi et d’enregistrement des visites des personnes. • apporter assistance aux demandeurs dans la constitution de leur dossier. A. vis-à-vis des services de l’Etat • transmettre chaque année au préfet (direction départementale de la cohésion sociale) un rapport succinct sur son activité de domiciliation, comportant les indications suivantes : nombre de domiciliations en cours, nombre d’élections de domicile effectuées dans l’année, nombre de radiations, moyens matériels et humains mis en œuvre par l’organisme, difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du cahier des charges. Ce rapport devra être transmis au représentant de l’Etat au plus tard le 31 janvier suivant l’année écoulée. III – durée et renouvellement de l’agrément L’agrément est délivré pour trois ans, renouvelable. Trois mois avant la fin de l’agrément, l’organisme devra en demander le renouvellement. Pour ce faire, il devra présenter un bilan de son activité pour la période considérée ainsi que les perspectives envisagées pour l’exercice de la même activité. L’agrément ne sera pas renouvelé si le représentant de l’Etat constate des écarts entre l’activité exercée pendant la période de validité et les préconisations du cahier des charges. La décision de refus d’agrément doit être expressément motivée. IV – retrait d’agrément Le retrait d’agrément pourra être prononcé par le représentant de l’Etat dans le département en cas de manquement grave d’un organisme agréé à ses obligations, et après que ce dernier a été mis en mesure de présenter ses observations. La décision de retrait d’agrément doit être expressément motivée. Arrêté n° 2012 – 767 du 9 mars 2012 Objet : Agrément d’une association pour la domiciliation au titre de l’aide médicale de l’Etat. Article 1 : L’Association CABIRIA dont le siège social est situé 5, quai André Lassagne 69001 Lyon est agréée pour la domiciliation des personnes sans domicile fixe au titre de l’aide médicale de l’Etat (AME). Article 2 : L’agrément est attribué pour une durée de trois ans à compter de la signature du présent arrêté. Article 3 : L’agrément peut être retiré avant le terme prévu en cas de manquement grave aux engagements définis par le cahier des charges. Article 4 : La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du département du Rhône et qui sera notifié à l’association. Article 5 : Un recours contre cette décision peut être formé dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, devant le Tribunal Administratif de Lyon, 184 rue Duguesclin – 69433 LYON Cédex 3. Le Préfet de la région Rhône-Alpes, Préfet du Rhône et par délégation Le Préfet délégué pour l’égalité des chances Alain MARC Arrêté préfectoral n°2012-1611 du 22 mars 2012 Objet : agrément au titre du sport accordé à diverses associations Article 1 : L’agrément ministériel, prévu par l’article L121-4 du Code du sport, est accordé aux associations ci-dessous désignées : 69.12.1477 VELO CLUB DE CORBAS Mairie Place Charles Jocteur 69960 CORBAS 98 69.12.1478 BOXING CLUB DECINOIS 47, avenue Edouard Herriot 69150 DECINES-CHARPIEU 69.12.1479 LOISIRS – SPORTS DES SOURDS DE VILLEFRANCHE SUR SAONE PAYS DU BEAUJOLAIS (L.S.S.V) Salle mutualiste 116, boulevard Vermorel 69400 VILLEFRANCHE SUR SAONE Article 2 : Le directeur départemental de la cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté. Pour le Préfet, Le directeur départemental de la cohésion sociale, Et par délégation, Le chef du service Sport et Vie Associative, Michel DÉVRIEUX Arrêté n° 2012-768 du 26 mars 2012 Objet : Agrément pour la domiciliation des personnes sans domicile stable. Article 1 : L’Association Forum Réfugiés, sise 28 rue de la Baïsse à Villeurbanne (69612) est agréée pour la domiciliation des personnes sans domicile stable pour une nouvelle période d’un an à compter du 1er janvier 2012. Cet agrément est limité à la domiciliation des personnes admises dans le cadre du projet expérimental de relogement de familles de migrants roumains et signataire du contrat d’engagement prévu à cet effet. Article 2 : L’agrément peut être retiré avant le terme prévu en cas de manquement grave aux engagements définis par le cahier des charges. Article 3 : La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône ; le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture du département du Rhône et qui sera notifié à l’association. Article 4 : Un recours contre cette décision peut être formé dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, devant le Tribunal Administratif de Lyon, 184 rue Duguesclin – 69433 LYON Cedex 3 Le Préfet de la région Rhône-Alpes, Préfet du Rhône et par délégation Le Préfet délégué à l’égalité des chances Alain MARC Arrêté Préfectoral n° 2012-1595 du 21 mars 2012 Objet : Dérogation aux règles de construction en matière d’accessibilité aux personnes handicapées. Autorisation de travaux AT 12 057 concernant la rénovation des trois chambres adaptées aux personnes à mobilité réduite de l’hôtel IBIS LYON NORD situé Porte de Lyon – 69570 DARDILLY Demandeur : Monsieur Gérard DELETTREI, représentant la société SIGIDEL – Porte de Lyon – 69570 DARDILLY Article 1er : Monsieur Gérard DELETTREI, représentant la société SOGIDEL, est autorisé à réaliser les travaux conformément aux plans du projet en dérogeant à l’article R.111-19-8 du code de la construction et de l’habitation qui impose le respect de la réglementation accessibilité. Les trois chambres adaptées comportent en dehors du débattement de porte et de l’emprise du lit de 1,40mx1,90m, un espace libre de 1,50m de diamètre, une ruelle de 1,50m sur le grand côté du lit, une ruelle de 0,77m sur le petit côté du lit et une ruelle de 0,48m sur l’autre grand côté du lit. Article 2 : Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, Madame la Secrétaire Générale de la Préfecture et Monsieur le Préfet délégué pour la Défense et la Sécurité sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Le Préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Pour le Préfet et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires et par délégation Le Directeur Départemental Adjoint Denis SCHULTZ Outre les recours gracieux et hiérarchique qui s’exercent dans le même délai, un recours contentieux peut être introduit auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A peine d'irrecevabilité, la requête devant le tribunal administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35€ à moins que le requérant ne bénéficie de l'aide juridictionnelle. Arrêté préfectoral n° 2012-546 du 19 mars 2012 Objet : imposant des prescriptions spécifiques a la traversée de la Brevenne au lieu dit les grenadiers sur la commune de Fleurieux sur l’arbresle . Article 1er : objet de la déclaration 99 Il est donné acte au SYNDICAT RIVIERE BREVENNE TURDINE représentée par Monsieur Paul PERRAS de sa déclaration en application de l'article L 214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, concernant : La traversée de la Brévenne au lieu dit les Grenadiers à Fleurieux sur l’Arbresle Ces travaux rentrent dans la nomenclature des opérations soumises à déclaration au titre de l’article L 214-3 du code de l’environnement. Les rubriques du tableau de l’article R214-1 du code de l’environnement concernées sont les suivantes : Rubrique Intitulé Régi me 3.1.5.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités étant de nature à détruire les frayères, les zones de croissance ou les zones d'alimentation de la faune piscicole, des crustacés et des batraciens : 1°) Destruction de plus de 200 m2 de f rayères (A), 2°) Dans les autres cas (D) Décla ration Arrêtés de prescriptions générales correspondant article 2 : prescriptions techniques Les prescriptions suivantes sont insérées : - Le travail de la pelle mécanique sera « irrégulier » dans la forme de la berge afin d’apporter une hétérogénéité à la structure. Le décaissement doit permettre le décapage d’une partie des rhizomes de renouée limitant son développement le temps que la ripsylve s’intalle de façon pérenne. - La destination des terres contaminées sera précisée avant le démarrage des travaux et ne devra pas occasionner l’apparition de nouveaux foyers de renouée en des lieux jusqu’ici indemmes. - L’évacuation de la terre contaminée se fera par des camions bennes par le radier artificiel sous le seuil des Grenadiers. La circulation répétée des engins dans la parcelle pouvant entraîner des départs de matières en suspension dans la Brévenne, la voie d’accès sera protégée par un paillis réalisé avec les branchages délaissés lors du débardage. La piste sera ainsi créée avant le démarrage des travaux. - Le pétitionnaire doit s’assurer de la reprise végétative et contrôler le développement de la renouée par arrachage manuel des jeunes pousses et fauchage sur une durée de trois années minimum. Il suivra également la stabilité des berges retalutées après les crues survenues durant ce délai. Article 3 : droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 4 : publicité Conformément aux dispositions réglementaires en vigueur : 1) une copie du présent arrêté sera affichée en mairie de FLEURIEUX SUR L’ARBRESLE avec une copie de la déclaration et du récépissé délivré pendant un délai d’au moins un mois. 2) Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture 3) Ces documents seront mis à disposition du public sur le site internet de la préfecture pendant au moins 6 mois. Article 5 : voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de son affichage en mairie de FLEURIEUX SUR L’ARBRESLE dans un délai de deux mois par le déclarant et dans un délai de un an par les tiers dans les conditions de l’article R. 514-3-1 du code de l’environnement. Si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue dans les 6 mois après publication, le délai de recours continue à courir pendant 6 mois à compter de la mise en service du IOTA. Article 6 : exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au pétitionnaire et dont copie sera adressée à l’office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA) et au maire de FLEURIEUX SUR L’ARBRESLE, chargés de l’affichage prévu à l’article 4 du présent arrêté. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-547 du 19 mars 2012 Objet : imposant des prescriptions spécifiques à la communauté de communes du haut beaujolais concernant le confortement du pont du Bacot sur la Grosne occidentale commune de Saint Christophe la montagne Article 1er : objet de la déclaration Il est donné acte à la communauté de communes du Haut Beaujolais de sa déclaration en application de l'article L 214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, concernant : confortement du pont du Bacot sur la Grosne Occidentale sur la commune de ST CHRISTOPHE LA MONTAGNE. Ces travaux rentrent dans la nomenclature des opérations soumises à déclaration au titre de l’article L 214-3 du code de l’environnement. Les rubriques du tableau de l’article R214-1 du code de l’environnement concernées sont les suivantes : Rubrique Intitulé Régi me Arrêtés de prescript ions générale s correspo ndant 100 3.1.5.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités étant de nature à détruire les frayères, les zones de croissance ou les zones d'alimentation de la faune piscicole, des crustacés et des batraciens : 1°) Destruction de plus de 200 m2 de frayères (A), 2°) Dans les autres cas (D) Décla ration Article 2 : prescriptions techniques Les prescriptions suivantes sont insérées : Protection des berges : Par recours en priorité à la technique de génie végétale (implantation sur l'ensemble de la berge de végétaux vivants) et en cas d'impossibilité, à la technique mixte (enrochement du pied de berge et implantation de végétaux en partie haute). Les ouvrages ne doivent pas réduire la section d'écoulement naturelle du cours d'eau. Dans le cas d'une technique mixte, les espèces végétales doivent être choisies parmi les espèces naturellement présentes sur les berges et les rives des cours d'eau, ou écologiquement adaptées (hélophytes, aulnes, saules...). Les plantations de végétation à système racinaire peu profond ne permettant pas une bonne stabilité de berges et pouvant entraîner des perturbations importantes de l'écoulement des eaux en cas de déracinement, notamment le peuplier, sont proscrites. De plus, il faut assurer un suivi attentif de l'évolution des végétaux et veiller à ce que leur croissance ne constitue pas d'obstacles à l'écoulement des eaux ni de risques d'embâcles. Précautions en phase chantier : L’objectif est d’éviter l’émission de matières en suspension (MES) dans l’eau vers l’aval car elles colmatent les habitats et perturbent la physiologie des espèces piscicoles : il s’agit d’une obligation de résultat. Le Chantier doit être isolé en dehors de la période d'assec naturel du ruisseau par la mise en place d’une canalisation ou dérivation temporaire de l'eau et par la pose de batardeaux et filtre de type botte de paille, sacs de sable, ou bidim. D’autre part, tout rejet de matières polluantes ou de toxiques est proscrit. En cas d’emploi de béton, les laitances de ciment et les eaux de lavage des toupies et matériels seront rejetées hors du cours d’eau. Des bâches de protection sont disposées dans le lit asséché pour récupérer les projections de ciment. Périodes d intervention : du 15 mai au 30 octobre en 1ère catégorie piscicole (sauf si technique végétale pure avec contrôle strict de l'entraînement des sédiments fins dans l'eau). Si le déclarant veut obtenir la modification de certaines prescriptions spécifiques applicables à l’installation, il en fait la demande au préfet, qui statue alors par arrêté. Le silence gardé par l’administration pendant plus de trois mois sur la demande du déclarant vaut rejet. Article 3 : droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 4 : publicité Conformément aux dispositions réglementaires en vigueur : 4) une copie du présent arrêté sera affichée en mairie de SAINT CHRISTOPHE LA MONTAGNE avec une copie de la déclaration et du récépissé délivré pendant un délai d’au moins un mois. 5) Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. 6) Ces documents seront mis à disposition du public sur le site internet de la préfecture pendant au moins 6 mois. Article 5 : voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de son affichage en mairie de SAINT CHRISTOPHE LA MONTAGNE dans un délai de deux mois par le déclarant et dans un délai de un an par les tiers dans les conditions de l’article R. 514-3-1 du code de l’environnement. Si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue dans les 6 mois après publication, le délai de recours continue à courir pendant 6 mois à compter de la mise en service du IOTA. Article 6 : - exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au pétitionnaire et dont copie sera adressée à l’office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA) et au maire de SAINT CHRISTOPHE LA MONTAGNE, chargé de l’affichage prévu à l’article 4 du présent arrêté. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté n°2012-1237 du 22 février 2012 Objet : Modification de l'arrêté préfectoral n°2006-3911 modifié du 16 juin 2006 relatif à la composition du comité local d'information et de concertation autour des sociétés RHONE GAZ à SOLAIZE et TOTAL Raffinage Chimie – Plateforme de FEYZIN Article 1er : Composition L'article 2 de l'arrêté préfectoral n°2006-3911 mod ifié en date du 16 juin 2006 portant création du CLIC autour des établissements susvisés, est modifié comme suit : « Article 2 : Le comité est composé de 30 membres nommés pour une durée de trois ans renouvelable, répartis en 5 collèges suivant la liste cidessous : 1) Collège « Administrations » • Le Préfet, ou son représentant ; 101 • Le Directeur de la Sécurité et de la Protection Civile – service interministériel de défense et de protection civile – ou son représentant ; • Le Chef de Service Départemental d'Incendie et de Secours du Rhône ; • Le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Rhône-Alpes (DREAL Rhône-Alpes) – service chargé de l'inspection des installations classées – ou son représentant ; • Le Directeur Départemental des Territoires du Rhône – service prévention, aménagement, risques – ou son représentant ; • Le Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi – service chargé de l'inspection du travail – ou son représentant ; • Le Délégué Territorial de l'Agence Régionale de Santé (ARS) Rhône-Alpes ou son représentant. 2) Collège « Collectivités Territoriales » • Madame la vice-présidente chargée des risques naturels ou technologiques, ou son représentant, titulaire et Madame la viceprésidente chargée de l'élaboration et du suivi du plan local d'urbanisme, ou son représentant, suppléante ; • Monsieur Yves BLEIN, maire de Feyzin, ou son représentant ; • Monsieur Michel GUILLOUX, titulaire et Madame Josette ROUGEMONT, suppléante, conseillers municipaux de la commune de Feyzin ; • Madame Mireille DUMONT, conseillère municipale de la commune de Solaize ; • Monsieur Serge PERRIN, adjoint au maire de Saint Fons ; • Monsieur Henri DOLMAZON, titulaire et Monsieur Gérard RONY, suppléant, conseillers municipaux de la commune d'Irigny ; • Monsieur Emmanuel BRUN-PICARD, titulaire et Madame Christine PETIT-MINGAT, suppléante, conseillers municipaux de la commune de Vernaison. 3) Collège « Riverains » • • • • Monsieur Jacques GEOFFROY, titulaire, domicilié à Feyzin ; Monsieur Daniel GADOUD, titulaire, domicilié à Feyzin ; Monsieur Pascal LACOMBE, suppléant, domicilié à Feyzin ; Madame Catherine CLANCY, domiciliée à Irigny. 4) Collège « Exploitants » • • • • • • Monsieur Jean-Pierre PONCIN, Directeur de la plateforme de Feyzin ; Madame Isabelle ROY, Secrétaire Générale de la plateforme de Feyzin ; Monsieur Laurent MAYOR, Chef Service Sécurité de la plateforme de Feyzin ; Monsieur Jean-Charles MARIOTTI, chef Département ESIQ de la plateforme de Feyzin ; Monsieur Jean-Claude TANTARDINI, chef du centre RHÔNE GAZ – Etablissement de Feyzin - à Solaize ; Madame Bérénice MARCK, RHÔNE GAZ – Etablissement de Feyzin - à Solaize. 5) Collége « Salariés » • • • • • Monsieur Thierry TORDJMANN, secrétaire du CHSCT de la plateforme de Feyzin ; Monsieur Xavier VACHON, membre du CHSCT de la plateforme de Feyzin ; Monsieur Laurent PRADELLE, membre du CHSCT de la plateforme de Feyzin ; Monsieur Olivier DUFFY, membre du CHSCT de la société RHÔNE GAZ – Etablissement de Feyzin – à Solaize ; Monsieur Abdelkader ALLALI, membre du CHSCT de la société RHÔNE GAZ – Etablissement de Feyzin – à Solaize ; Madame Jacqueline VOTTERO, Conseillère Générale du canton de Saint Fons, participe au CLIC avec voix consultative. Le reste sans changement. » Article 2 : Mesures de publicité 1. Une copie du présent arrêté sera déposée en mairies de FEYZIN et SOLAIZE, à la direction départementale des territoires du Rhône (Service Planification, Aménagement, Risques – Unité Procédures Administratives et Financières) et pourra y être consultée. 2. Un extrait du présent arrêté sera affichée en mairies de FEYZIN, SOLAIZE, SAINT FONS, IRIGNY et VERNAISON ainsi qu'au siège de la Communauté Urbaine de Lyon (COURLY) pendant une durée minimale d'un mois. Procès-verbal de l'accomplissement de cette formalité sera dressé par les soins du maire et du président de la COURLY, à l'issue de cette période. 3. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du Rhône. Article 3 : Délais et voies de recours Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication. A peine d'irrecevabilité, toute requête formulée à l'encontre dudit arrêté devant le Tribunal Administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35 € à moins que le requérant ne bénéficie de l'aide juridictionnelle. Article 4 : Exécution Chaque membre déclare avoir pris connaissance, par sa signature, du présent arrêté et s'engage à en respecter les termes. La Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, ainsi que les directeurs des administrations mentionnés à l'article 2 sus-visé sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont une copie sera adressée : • à l'ensemble des membres du comité ; 102 • • aux maires des communes précitées ; à l'exploitant. Pour le Préfet La Secrétaire Générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-544 du 13 mars 2012 Objet : imposant des prescriptions spécifiques à la SCI Gauthier Chaumat concernant la création et l’exploitation d’un doublet de forages géothermiques au 270 rue de Créqui – Société modern city records 69007 Lyon commune de Lyon 7eme Titre I : OBJET DE L’AUTORISATION Article 1 : Objet de l’autorisation Il est donné acte à la SCI GAUTHIER CHAUMAT de sa déclaration en application de l’article L. 214-3 du code de l’environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, concernant la création et l'exploitation d'un doublet de forages géothermique au 270 rue de Créqui à Lyon 7ème. Les ouvrages constitutifs à ces aménagements rentrent dans la nomenclature des opérations soumises à déclaration au titre de l’article L. 214-3 du code de l’environnement. La rubrique définie au tableau de l’article R. 214-1 du code de l’environnement concernée par cette opération est la suivante : Rubrique 1.1.1.0. Intitulé Sondage, forage, y compris les essais de pompage, création de puits ou d’ouvrage souterrain, non destiné à un usage domestique, exécuté en vue de la recherche ou de la surveillance d’eaux souterraines ou en vue d’effectuer un prélèvement temporaire ou permanent dans les eaux souterraines, y compris dans les nappes d’accompagnement de cours d’eau (D). Régime Arrêtés de prescriptions générales correspondant Déclaration Arrêté du 11 septembre 2003 Article 2 : Caractéristiques des ouvrages Le futur dispositif de captage-rejet de l’installation est constitué d’un forage de captage C1 et d’un forage de rejet R1, distants d’environ 20 m et localisés au niveau du sous-sol enterré à l’intérieur des bâtiments. Les deux forages sont réalisés depuis le terrain naturel à une côte d’environ 164,5 m NGF. Les coordonnées Lambert II du forage de captage C1 sont : • X = 795.464 km • Y = 2 086.658 km • Z = 164,5 m NGF (sous-sol N-1) Les coordonnées Lambert II du forage de rejet R1 sont : • X = 795,457 km • Y = 2 086,648 km • Z = 164,5 m NGF (sous-sol N-1). Le forage de captage est équipé d’une pompe immergée d’une capacité de 9 m3/h. La pompe est munie d’un clapet anti-retour. Titre II : PRESCRIPTIONS Article 3 : Prescriptions spécifiques Le déclarant devra respecter les prescriptions générales définies dans les arrêtés dont les références sont indiquées dans le tableau cidessus et qui sont joints au présent arrêté. Article 4 : Exploitation 4.1 - Conditions techniques imposées aux rejets et à l'usage de l'ouvrage Les rejets doivent répondre aux conditions suivantes : A) Conditions générales • TEMPERATURE La température de rejet doit être inférieure à 30 °C et supérieure à 5° C. Le réchauffement autorisé (en mode CLIM) correspond à un écart maximum de 8°C entre les températures e n entrée et sortie. Le refroidissement autorisé correspond à un écart maximum de 10°C entre les températures en entrée et sortie. B) Conditions particulières Le débit prélevé ne devra jamais dépasser 9 m3/h. Le débit rejeté ne devra jamais dépasser 9 m3/h. La qualité de l'eau rejetée, hormis la température, ne devra pas différer de celle prélevée. Les analyses devront montrer que les valeurs d'un même paramètre mesuré sur le rejet ne diffèrent de plus de 10%. Le pétitionnaire doit garantir la température de l'eau rejetée. En cas de dépassement, le pétitionnaire s'engage à réguler le fonctionnement de l'installation pour rester sous la limite autorisée ou à l'arrêter dans le cas où cela s'avérerait impossible. 4.2 - Contrôle des installations A) Contrôle des eaux prélevées et rejetées Le pétitionnaire doit assurer le contrôle de son prélèvement et de son rejet. Les fréquences et les paramètres à mesurer (appareil en fonctionnement) sont indiqués dans le tableau suivant : 103 Paramètres Acquisition de données (hors arrêt et 1ère heure de fonctionnement après démarrage) Toutes les valeurs sont horodatées Prélèvement Rejet Débit * Acquisition continue à pas horaire * Conservation des valeurs min, max. et moyenne Volume pompé * Volume pompé sur 24 h * Cumuls hebdomadaires des volumes pompés Heures * Cumul hebdomadaire des heures de fonctionnement des pompes Température * Acquisition continue à pas horaire dans le puits ou en entrée échangeur * Conservation valeur min., max. et moyenne hebdomadaire * une moyenne mensuelle * Acquisition continue à pas horaire au point de rejet ou en sortie échangeur * Conservation 2 valeurs synchrones aux mesures min. et max du prélèvement et de 3 valeurs min., max. et moyenne hebdomadaires et moyenne mensuelle Conductivité (suivi impératif en termes de pollution) * Acquisition continue à pas horaire dans le puits ou en entrée d'échangeur * Conservation valeur min., max. et moyenne par 24 heures * Acquisition continue à pas horaire dans le puits ou en sortie échangeur * Conservation 2 valeurs synchrones aux mesures min. et max du prélèvement et de 3 valeurs min., max. et moyenne par 24 heures Pour assurer ce suivi, l'installation devra être équipée des appareils de mesure suivants : • pour les débits, il est prévu un dispositif de mesure du débit en continu installé sur la canalisation, de type électromagnétique, avec un seuil de précision de +/- 1% du débit prélevé ; • la mesure de la température et de la conductivité de l'eau prélevée doit être effectuée avant et après l'échangeur. Le matériel de mesure peut-être intégré dans la canalisation (dans une dérivation ou directement dans la canalisation) constamment en charge ou placé directement dans le forage principal de pompage ou de rejet ; • pour la température, la conductivité et la hauteur d’eau dans les ouvrages, il sera prévu une sonde pouvant mesurer les variations de température, les variations de hauteur d’eau, et la conductivité. Le seuil de précision des appareils de mesure sera de : • + 0,1°C pour la température, • + 10 mm pour le niveau d’eau. • + 10 µS/cm pour la conductivité électrique L'exploitant devra consigner sur un registre et sous forme d'un fichier informatique • les périodes de fonctionnement de l'installation ; • les résultats des mesures effectuées ; • les entretiens, contrôles et remplacement des moyens de mesures ; • les incidents survenus. Les résultats des mesures devront être conservés 5 ans par le déclarant. B) Contrôles inopinés L'administration se réserve le droit de procéder à des vérifications inopinées supplémentaires, notamment en cas de présomption d'infraction aux lois et aux réglementations en vigueur ou de non conformité aux dispositions de la présente autorisation et à la charge exclusive du permissionnaire sans limitation. Pour ce faire, le permissionnaire doit, sur leur réquisition, mettre les fonctionnaires du contrôle à même de procéder à toutes les mesures de vérification et expérience utiles et leur fournir le personnel et les appareils nécessaires. Les mesures doivent pouvoir être faites dans de bonnes conditions de précision. Le pétitionnaire doit également mettre immédiatement à leur disposition les enregistrements des paramètres mesurés. Les agents des services publics, notamment ceux chargés de la police de l'eau, doivent constamment avoir libre accès aux installations autorisées. L'accès aux points de mesure ou de prélèvement sur l'ouvrage d'évacuation doit être aménagé, notamment pour permettre l'amenée du matériel de mesure. Article 5 : Transmission de l'auto-surveillance Le pétitionnaire sera tenu d’adresser au service chargé de la police de l'eau semestriellement dans le délai d’un mois à dater de la fin du semestre, un rapport de synthèse des résultats du suivi prescrit accompagné de données informatisées, et signalant les anomalies constatées et les moyens mis en œuvre pour y remédier. Article 6 : Modifications des prescriptions Si le déclarant veut obtenir la modification de certaines des prescriptions spécifiques applicables à l'installation, il en fait la demande au préfet, qui statue alors par arrêté. Le silence gardé par l’administration pendant plus de trois mois sur la demande du déclarant vaut décision de rejet. Article 7 : Mesures correctives et compensatoires Les moyens de protection : Les deux forages C1 et R1 sont scellés à la dalle béton au moyen d’une collerette d’étanchéité. Un hors sol de 1 m pour R1 et de 0,1 m pour C, fermé par une bride étanche boulonnée est aménagée ; Les têtes de forage sont étanches afin d'éviter les infiltrations d'eaux potentiellement contaminées. Aucun échange direct entre l'eau de nappe et le circuit primaire n’est réalisé. Les moyens de surveillance : 104 Un compteur volumétrique est mis en place sur le forage de captage pour la mesure du débit instantané de pompage ainsi que le volume pompé. Les forages de captage et de rejet sont équipés de sondes permettant de relever la température, la conductivité et le niveau de la nappe. La pompe est équipée d’un clapet anti-retour. La maintenance est assurée par une entreprise spécialisée. Titre III - DISPOSITIONS GENERALES Article 8 : Conformité au dossier et modifications Les installations, objet du présent arrêté sont situées, installées et exploitées conformément aux plans et contenu du dossier de demande de déclaration non contraires aux dispositions du présent arrêté. Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d’utilisation, à la réalisation des travaux ou à l’aménagement en résultant, à l’exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de déclaration initiale doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet qui peut exiger une nouvelle déclaration. Article 9 : Début et fin des travaux – Mise en service Le pétitionnaire doit informer, sous un mois, le service de police de l'eau instructeur du présent dossier des dates de démarrage et de fin des travaux et, le cas échéant, de la date de mise en service de l'installation. Article 10 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 11 : Autres réglementations Le présent arrêté ne dispense en aucun cas le déclarant de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations. Article 12 : Publication et information des tiers Une copie de cet arrêté sera transmise à la mairie de la commune de LYON 7ème arrondissement, pour affichage pendant une durée minimale d’un mois. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Ces informations seront mises à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône durant une durée d’au moins 6 mois. Article 13 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de son affichage à la mairie de la commune de Lyon 7ème dans un délai de deux mois par le déclarant et dans un délai d'un an par les tiers dans les conditions de l’article R. 514-3-1 du code de l’environnement. Si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue dans les 6 mois après publication, le délai de recours continue à courir pendant 6 mois à compter de la mise en service du IOTA. Article 14 : Exécution La Secrétaire générale de la préfecture du Rhône, Le maire de la commune de Lyon, Le directeur départemental des territoires du Rhône, Le directeur du Service Navigation Rhône-Saône, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié au pétitionnaire et dont une ampliation sera tenue à la disposition du public dans chaque mairie intéressée, chargée de l’affichage selon l’article 12 du présent arrêté. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-541 du 24 février 2012 Objet : autorisant au titre des articles l 214-1 a 6 du code de l’environnement les voies navigables de France à réaliser des travaux d'allongement du sas de l'écluse de Rochetaillée-sur-Saône sur les communes de Rochetaillée-sur-Saône et Couzon au mont d’or Titre I : OBJET DE L’AUTORISATION Article 1 : Objet de l’autorisation Voies Navigables de France représenté par son directeur, ci-après désigné sous le terme « le pétitionnaire », est autorisé en application de l’article L. 214-3 du code de l’environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à réaliser les travaux d'allongement de l'écluse de ROCHETAILLEE-SUR-SAONE. Les rubriques définies au tableau de l’article R. 214-1 du code de l’environnement concernées par cette opération sont les suivantes : Rubrique 3.1.2.0 Intitulé Régime Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le profil en long ou le Autorisation profil en travers du lit mineur d’un cours d’eau, à l’exclusion de ceux visés à la rubrique 3.1.4.0 ou conduisant à la dérivation d’un cours d’eau : a) Sur une longueur de cours d’eau supérieure ou égale à 100 m (A). b) Sur une longueur de cours d’eau inférieure à 100 m (D). Le lit mineur d’un cours d’eau est l’espace recouvert par les eaux coulant à pleins bords avant débordement. 105 3.2.1.0 Entretien de cours d’eau ou de canaux, à l’exclusion de l’entretien visé à l’article L.215- Déclaration 14 du code de l’environnement réalisé par le propriétaire riverain, du maintien et du rétablissement des caractéristiques des chenaux de navigation, des dragages visés à la rubrique 4.1.3.0 et de l’entretien des ouvrages visés à la rubrique 2.1.5.0, le volume des sédiments extraits étant au cours d’une année : 1. Supérieur à 2 000 m3 (A) 2. Inférieur ou égal à 2 000 m3 dont la teneur des sédiments extraits est supérieure ou égale au niveau de référence S1 (A) 3. Inférieur ou égal à 2 000 m3 dont la teneur des sédiments extraits est inférieur au niveau de référence S1 (D) L’autorisation est valable pour une durée qui ne peut être supérieure à 10 ans. L’autorisation prend également en compte les éventuels sous produits et leur devenir. Article 2 : Caractéristiques des ouvrages Les installations, ouvrages, travaux, activités relatifs à l'allongement du sas de l'écluse de ROCHETAILLEE-SUR-SAONE, sont en tous points conformes au dossier présenté par le pétitionnaire et consistent en : • l'allongement de l'écluse, avec une longueur utile passant de 184,5 m à 195 m. Deux variantes techniques des travaux sont proposées par le pétitionnaire : une structure préfabriquée et amenée sur le site par flottaison ou la réalisation de l'extension de l'écluse sur le site. • la création d'un mur-guide, en rive gauche de l'écluse, d'une longueur d'environ 90 m et la création de l'estacade d'une longueur de 18 m en rive droite de l'écluse. La technique de construction du mur-guide est de type « poutre fondée sur pieux ». Cette technique implique le forage du substratum rocheux pour la mise en place de 18 tubes de 5 m de haut reliés par des poutres continues horizontales. Un plan vertical est ensuite formé par la mise en place de plaques en béton armé de 45 cm d'épaisseur pour permettre le glissement des bateaux. Les pieux sont enfoncés de 3,50 m dans le rocher. Aux extrémités du mur, les pieux sont enfoncés d'environ 6 m dans le rocher. Un parvis/belvédère est aménagé entre la berge et le mur-guide, avec la mise en place d'un garde corps en partie haute du mur guide. La construction de l’estacade dans le prolongement du bajoyer rive droite de l'écluse allongée se fait suivant le même principe de « poutre sur pieux ». • le remplacement de la rampe à bateaux La rampe à bateaux actuelle est rendue inutilisable par la mise en place du mur-guide. En remplacement, une nouvelle rampe, avec les mêmes caractéristiques que la rampe actuelle, est intégrée dans le perré à l'extrémité aval du mur-guide. Les travaux de construction du mur-guide et de la rampe se feront depuis la berge en rive gauche. L'estacade sera réalisée par voie d'eau, depuis un ponton flottant. Titre II : PRESCRIPTIONS Article 3 : Prescriptions spécifiques Le pétitionnaire doit prendre l'attache du Service régional de l'archéologie (Direction régionale des affaires culturelles), par écrit, deux mois avant le début des travaux, afin que ce service puisse contrôler l'absence effective de vestiges archéologiques. Le pétitionnaire s'engage à signaler immédiatement toute découverte fortuite de vestiges archéologiques au Service régional de l'archéologie ainsi qu'au service police de l'eau, conformément à l'article L.531-14 du code du patrimoine. En cas de découverte de vestige archéologique, le maître d'ouvrage stoppera immédiatement les travaux. 3.1 - Mesures de protection en phase chantier Le pétitionnaire prend toutes les précautions nécessaires afin de prévenir les pollutions accidentelles et les dégradations et désordres éventuels de toute nature que les travaux ou les ouvrages pourraient occasionner au cours des travaux ainsi qu'après leur réalisation. Les travaux sont réalisés avec le souci constant de l'environnement et des milieux aquatiques. En particulier : • les matériels et matériaux sont entreposés sur des aires spécialement aménagées à cet effet ; • le stockage d'hydrocarbures est interdit à proximité des sites. Les produits polluants et dangereux sont stockés dans des réservoirs étanches et dans des bungalows fermés ; • tout matériau polluant mis en évidence à l'occasion des travaux est immédiatement extrait du site du chantier pour être acheminé vers une décharge adaptée ; • des aires imperméabilisées, avec bassin étanche de rétention des eaux de ruissellement, sont mises en œuvre pour le stationnement et le lavage des engins, stockage des produits polluants, etc. Tout rejet dans le milieu de ces eaux de ruissellement est interdit ; elles sont récupérées par une entreprise spécialisée ; • les déchets du chantier sont évacués régulièrement et conformément à la réglementation en vigueur ; • les huiles usées de vidange et les liquides hydrauliques sont évacués dans des réservoirs étanches ; • des kits antipollution sont disponibles sur les différentes zones de chantier ; • le périmètre du chantier est strictement délimité et respecté. Le périmètre est à spécifier 1 mois avant le début des travaux au service police de l'eau pour validation et information ; • le matériel et les engins de chantier doivent être homologués et conformes à la réglementation en vigueur. L'arrêt immédiat des travaux est obligatoire en cas de pollution. 3.2 – Opérations de pompage L'intégralité des eaux pompées dans la Saône lui sont restituées, en aval immédiat, sans que celles-ci ne subissent des altérations, des transformations ou qu'elles ne fassent l'usage d'une quelconque utilisation. Le débit maximal des pompes est inférieur à 400 m3/h. 3.3 – Gestion des sédiments Les sédiments dragués lors des travaux, d'un volume de 1100 m3, sont restitués dans la Saône au niveau des fosses de clapage qui se trouvent entre le PK 0 et le PK 11,4 en aval et entre le PK 19,9 et le PK 28,8 en amont du barrage de Couzon. Les matériaux terrassés sont chargés sur des chalands ou barges à clapets. Les fosses de clapage sur la Saône sont identifiées et validées au titre de l'arrêté inter-préfectoral n°2009-2509 du 9 avril 2009 autor isant des opérations de dragage d'entretien du chenal de navigation et ses ouvrages annexes sur la Saône du Corre à la confluence du Rhône. 3.4 – Gestion de la navigation Le pétitionnaire effectue les travaux d'allongement de l'écluse de ROCHETAILLEE-SUR-SAONE, qui nécessitent une coupure de la navigation, pendant les périodes de chômage de la navigation (10 jours par an) afin de ne pas porter atteinte au bon fonctionnement de cette dernière. 3.5 – Remise en état du site Les zones de cheminements des engins seront restaurées par un décompactage localisé des sols. Les terrains remaniés sur la zone d'installation du chantier seront enherbés par des semences endémiques et des massifs arbustifs à vocation ornemental seront plantés. L'aménagement du parvis-belvédère, compris dans le projet, est destiné à obtenir une meilleure intégration architecturale des ouvrages. Les passes à castor sont maintenues en place. 106 Article 4 : Moyens d'analyses, de surveillance et de contrôle (y compris autocontrôle) L'impact des travaux sur la qualité des eaux superficielles fera l'objet d'un suivi à la charge du pétitionnaire. Le pétitionnaire impose à l'entreprise chargée des travaux, la vérification du maintien de la qualité de l'eau pour le paramètre « Matière en Suspension (MES) » et/ou turbidité sur la base du SEQ-Eau1 pour les « classes et indices de qualité de l'eau par altération ». Une station de surveillance de la qualité des eaux sera mise en place pendant la période globale des travaux. Elle sera implantée à une distance de 20 m en amont de l'atelier de dragage, de la zone de pompage ou du lieu de clapage dans l'axe du chenal et 500 m à l'aval de l'atelier de dragage, de la zone de pompage ou du lieu de clapage dans l'axe du chenal du chantier en rive droite et en rive gauche. Lors du clapage des sédiments, le pétitionnaire impose à l'entreprise chargée des travaux le suivi de la température et de l'oxygène dissous par des contrôles à l'aval du point de restitution des matériaux, en complément du suivi de la turbidité et/ou des MES. Conformément à l'article 8 de l'arrêté du 30 mai 2008, les seuils à respecter pour le suivi de l'oxygène dissous sont : Seuils 1ère catégorie piscicole 2ème catégorie piscicole Oxygène dissous (valeur ≥ à 6 mg/l ≥ à 4 mg/l instantanée) Les prélèvements et les mesures seront assurés en continu ou toutes les heures pendant les travaux. En cas de changement des conditions hydrologiques ayant un effet sur la concentration en MES de nouvelles mesures seront réalisées. Les résultats seront transmis au service police de l'eau sous forme d'un rapport hebdomadaire. La différence de concentration en MES et/ou la turbidité des eaux rejetées entre l'amont et l'aval des stations de mesures ne devra pas être supérieur à 15 %. En cas de dépassement de cette valeur consigne, les travaux seront stoppés jusqu'à un retour à la normale. Article 5 : Moyens d'intervention en cas d'incident ou d'accident Le pétitionnaire mettra en place un Plan Assurance Environnement décrivant notamment les mesures de prévention des risques de pollution accidentelle liées à l'utilisation et à la manutention d'engins ainsi que les mesures à mettre en œuvre. Le document sera soumis à l'avis du service police de l'eau deux semaines avant le début des travaux. Le contrôle et la mise en application des mesures de prévention des incidents et accidents sont entrepris par un coordonnateur de sécurité et de protection de la santé (CSPS). Il doit signaler tout incident afin que les mesures d'interventions soient prises rapidement et que les impacts sur les sols, les eaux superficielles et/ou les eaux souterraines soient les plus limités. Les plates-formes ainsi que les engins seront dotés de kits antipollution afin d'intervenir rapidement en cas de pollution accidentelle du cours d'eau. En cas de pollution, les communes concernées, le service police de l'eau et les services de l'ONEMA devront être immédiatement prévenus. En cas de montée du niveau des eaux de la Saône, le pétitionnaire devra prendre les mesures nécessaires pour limiter les impacts du chantier sur la qualité du milieu. Il imposera à l'entreprise adjudicataire d'être en mesure d'évacuer les engins et les installations de chantier en moins de 12h. Article 6 : Mesures correctives et compensatoires 6-1 - Suivi de la qualité Lors des opérations de dragage un suivi de la qualité des eaux de la Saône est réalisé, dont les conditions sont fixées à l'article 4 et sont conformes à l'arrêté inter-préfectoral n°2009-2509 du 9 avril 2009 autorisant des opérations de dragage d'entretien du chenal de navigation et ses ouvrages annexes sur la Saône du Corre à la confluence du Rhône. 6-2 - Pêche de sauvegarde En concertation avec l'ONEMA et la fédération de pêche du Rhône, le permissionnaire met en place une pêche de sauvegarde lors de la mise à sec de la zone d'implantation afin de ne pas piéger de poissons. 6-3 - Gestion des espèces invasives Le pétitionnaire s'engage à mettre en place un repérage de terrain avant le début des travaux afin d'établir la présence ou non d'espèces végétales invasives. En cas de présence avérée, un traitement spécifique sera réalisé de manière à ne pas favoriser l'expansion de ces espèces invasives par dissémination accidentelle des rhizomes, graines ou boutures. 6-4 – Limitation du bruit Un panneau implanté en limite de la zone du chantier indique la durée des travaux, les horaires et les coordonnées du responsable du chantier. Les riverains sont informés des phases de chantier les plus bruyantes. Les engins et le matériel de chantier doivent générer un bruit acceptable dans l'état des techniques (Norme CEE). Le matériel et les engins sont maintenus en bon état. En dehors des périodes de chômage de la navigation, les travaux se déroulent la semaine (lundi au vendredi) et en journée (8h à 20h). Pendant les périodes de chômage de la navigation, les travaux se déroulent en continu pendant 10 jours (cycles quotidien de 3 × 8h). Le pétitionnaire s'engage à : • organiser une réunion publique d'information en concertation avec la commune de ROCHETAILLEE-SUR-SAONE, au plus tard, une semaine avant l'engagement de la campagne de travaux ; • mettre en place un dispositif de repli (nuitées d’hôtel) pour les personnes sensibles aux bruits nocturnes lors des opérations de vibrofonçage / battage, pendant les périodes de chômage de la navigation 6-5 – Gestion des déchets Aucun déchet dangereux n'est généré lors du chantier. Seul des déchets de type ménagers ou assimilés sont produits en faible quantité et font l'objet d'une gestion selon les principes suivants : • espace réservé pour les bacs de tri ; • identification des filières de valorisation ; • interdiction de brûlage des déchets et de l'écobuage. Article 7 : Prescriptions générales relatives à certaines rubriques Le permissionnaire doit respecter les prescriptions générales définies dans : • L'arrêté du 30 mai 2008 fixant les prescriptions générales applicables aux opérations d’entretien de cours d’eau ou canaux soumis à autorisation ou à déclaration en application des articles L.214-1 à L.214-6 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.2.1.0 de la nomenclature annexée au tableau de l’article R.214-1 du code de l’environnement. • L'arrêté du 9 août 2006 relatif aux niveaux à prendre en compte lors d’une analyse de rejets dans les eaux de surface ou de sédiments marins, estuariens ou extraits de cours d’eau ou canaux relevant respectivement des rubriques 2.2.3.0, 4.1.3.0 et 3.2.1.0 de la nomenclature annexée au décret n° 93-743 du 29 mars 1993. • Le décret n° 2006-1099 du 31 août 2006 relatif à la lutte contre les bruits de voisinage et modifiant le code de la santé publique ; 107 Titre III - DISPOSITIONS GENERALES Article 8 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux ou activités, objets de la présente autorisation, sont situés, installés et exploités conformément aux plans et contenu du dossier de demande d'autorisation sans préjudice des dispositions de la présente autorisation. Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant, à l'exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet, conformément aux dispositions de l'article R. 214-18 du code de l'environnement. Article 9 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l'État exerçant ses pouvoirs de police. Faute par le pétitionnaire de se conformer aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du permissionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s'être conformé aux dispositions prescrites, le permissionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par la présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement. Article 10 : Durée de l'autorisation La présente autorisation est accordée pour une durée de 3 ans à compter de la notification du présent arrêté. Avant l'expiration de la présente autorisation, le pétitionnaire, s'il souhaite en obtenir le renouvellement, devra adresser au préfet une demande dans les conditions de délai, de forme et de contenu définis à l'article R 214-20 du code de l'environnement. Article 11 : Déclaration des incidents ou accidents Le pétitionnaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le maître d'ouvrage devra prendre ou faire prendre toutes dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le pétitionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement. Article 12 : Accès aux installations Les agents chargés de la police de l'eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l'environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté. Article 13 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 14 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le permissionnaire de faire les déclarations ou d'obtenir les autorisations requises par d'autres réglementations. Article 15 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Un avis au public faisant connaître les termes de la présente autorisation sera publié à la diligence des services de la Direction Départementale des Territoires (DDT) - SFEB du Rhône, (165 rue Garibaldi 69003 Lyon), et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du Rhône. Un extrait de la présente autorisation énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché pendant une durée minimale d'un mois dans les mairies des communes de ROCHETAILLEE SUR SAONE .et COUZON AU MONT D’OR. Un exemplaire du dossier de demande d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Direction Départementale des Territoires (DDT) du Rhône, ainsi qu'en mairies de ROCHETAILLEE SUR SAONE .et COUZON AU MONT D’OR. pendant deux mois. La présente autorisation sera tenue à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône pendant une durée d'au moins 1 an. Article 16 : Voies et délais de recours La présente autorisation est susceptible de recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la notification par le pétitionnaire, dans un délai de un an par les tiers suivant la publication ou l’affichage de la décision dans les conditions de l'article L.514-6 du code de l'environnement. Si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue dans les 6 mois après publication ou affichage, le délai de recours continue à courir pendant 6 mois à compter de la mise en service de l’installation. Article 17 : Exécution La Secrétaire Générale de la préfecture du Rhône, le Chef du service navigation Rhône Saône, le Directeur départemental des Territoires du Rhône, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au directeur de VOIES NAVIGABLES DE FRANCE, et dont copie sera adressée aux maires de ROCHETAILLEE SUR SAONE .et COUZON AU MONT D’OR, chargés de l’affichage prévu à l’article 15, ainsi que pour information : o aux conseils municipaux des communes visées ci-dessus o au commissaire enquêteur o au président du tribunal administratif o au chef du service départemental de l’ONEMA la secrétaire générale Josiane CHEVALIER 108 Arrêté préfectoral n° 2012-542 du 24 février 2012 Objet : autorisant au titre des articles l 214-1 a 6 du code de l’environnement la communauté urbaine de Lyon a construire le pont Schuman et procéder aux opérations de requalification de l'avenue Birmingham, des voiries serin/entrepôts et des quais gilet et gare d'eau sur la commune de Lyon Titre I : OBJET DE L’AUTORISATION Article 1 : Objet de l’autorisation La communauté urbaine de Lyon est autorisée en application de l’article L. 214-3 du code de l’environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à réaliser la construction du pont Schuman et à procéder aux opérations de requalification de l'avenue Birmingham, des voiries Serin/Entrepôts et des quais Gilet et Gare d'eau sur la commune de Lyon. Les rubriques définies au tableau de l’article R. 214-1 du code de l’environnement concernées par cette opération sont les suivantes : Rubrique 2. 1. 2. 0. 2. 1. 5. 0. 2.2.3.0 3. 1. 1. 0. 3. 1. 2. 0. 3. 1. 3. 0. 3. 1. 4. 0. 3. 2. 1. 0. 3. 2. 2. 0. Intitulé Déversoirs d'orage situés sur un système de collecte des eaux usées destiné à collecter un flux polluant journalier : 1° Supérieur à 600 kg de DBO5 Rejet d'eaux pluviales dans les eaux douces superficielles ou sur le sol ou dans le sous-sol, la surface totale du projet, augmentée de la surface correspondant à la partie du bassin naturel dont les écoulements sont interceptés par le projet, étant : 1° Supérieure ou égale à 20 ha Rejet dans les eaux de surface, à l’exclusion des rejets visés aux rubriques 4.1.3.0, 2.1.1.0, 2.1.2.0 et 2.1.5.0 : 1° Le flux total de pollution brute étant : b) Compris entre les niveaux de référence R1 et R2 pour l'un au moins des paramètres qui y figurent Installations, ouvrages, remblais et épis, dans le lit mineur d'un cours d'eau, constituant : 1° Un obstacle à l'écoulement des crues Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le profil en long ou le profil en travers du lit mineur d'un cours d'eau, à l'exclusion de ceux visés à la rubrique 3. 1. 4. 0, ou conduisant à la dérivation d'un cours d'eau : 1° Sur une longueur de cours d'eau supérieure ou ég ale à 100 m Installations ou ouvrages ayant un impact sensible sur la luminosité nécessaire au maintien de la vie et de la circulation aquatique dans un cours d'eau sur une longueur : 2° Supérieure ou égale à 10 m et inférieure à 100 m Consolidation ou protection des berges, à l'exclusion des canaux artificiels, par des techniques autres que végétales vivantes : 2° Sur une longueur supérieure ou égale à 20 m mais inférieure à 200 m Entretien de cours d'eau ou de canaux, à l'exclusion de l'entretien visé à l'article L. 215-14 réalisé par le propriétaire riverain, du maintien et du rétablissement des caractéristiques des chenaux de navigation, des dragages visés à la rubrique 4. 1. 3. 0 et de l'entretien des ouvrages visés à la rubrique 2. 1. 5. 0, le volume des sédiments extraits étant au cours d'une année : 1° Supérieur à 2 000 m 3 Installations, ouvrages, remblais dans le lit majeur d'un cours d'eau : 1° Surface soustraite supérieure ou égale à 10 000 m 2 Régime Autorisation Autorisation Déclaration Autorisation Autorisation Déclaration Déclaration Autorisation Autorisation 109 Article 2 : Caractéristiques des ouvrages Le projet s'inscrit dans un contexte d'amélioration de la circulation des différents modes de déplacements (automobiles et modes doux) en assurant la continuité des déplacements en transports en commun et modes doux à la sortie du second tube du tunnel sur l’avenue de Birmingham et en optimisant les déplacements tous modes afin de réduire l’impact de la circulation routière du secteur. Les aménagements portent sur la réalisation et la construction d'un nouveau pont sur la Saône (Pont Schuman) et le réaménagement des quais Gillet, de la Gare d'eau, de l'avenue de Birmingham et du secteur Serin/Entrepôts. Les structures existantes en rive droite amont seront supprimées. Il s’agit de l’ancien quai sablier qui sera réaménagé sur une longueur de 130 m environ. Un dragage de la Saône sera réalisé afin de disposer d’un tirant d’eau de 4 m sous le niveau de retenue normale dans le fuseau de navigation et sur une bande de 5 m latéralement à cette limite. Pont Schuman : La construction du nouveau pont sur la Saône a pour but de permettre la liaison entre les quartiers de Vaise (Lyon 9ème) et le quartier Serin (Lyon 4ème). La structure du pont comprendra une pile centrale permettant de créer deux chenaux de navigation. Secteur de Birmingham (avenue de Birmingham/quartier des Entrepôts) : Les installations prévues sur ce secteur sont : • un passage piéton au débouché du pont Clémenceau, l'allongement du site propre bus du second tube du tunnel et accompagné d'une piste cyclable bidirectionnelle et d’un trottoir piéton ; • un élargissement de l’ilot central entre les voies et l’installation d’une strate végétale entre les platanes existants; • la création d’une contre allée le long de l’avenue avec une desserte de l’ilot en sens unique et l’aménagement d’une zone en plateau avec son prolongement en placette et un parvis Chemin de Serin Il est envisagé au niveau du croisement chemin de Serin/quai Gillet une sécurisation des traversées piétonnes avec l’aménagement d’un carrefour (en T + shunt), mais aussi la création d’un espace public au pied des commerces. Ouvrages d’assainissement Les ouvrages d’assainissement pour l’avenue de Birmingham, quartier des Entrepôts et ilot Serin sont la réalisation d’un réseau de collecte des eaux pluviales chemin Serin, le raccordement des eaux claires du tunnel de la Croix Rousse et la déconnexion des eaux pluviales du réseau unitaire existant puis le raccordement au déversoir d’orages existant. Pour cela, un collecteur d’eaux pluviales sera réalisé sur l’ensemble de l’avenue de Birmingham, coté nord. Le reste du réseau collectera les eaux de voirie de l’avenue pour être ensuite raccordé sur le réseau existant du Quai Joseph Gillet au droit de la rue des Entrepôts. Le branchement d’eaux usées pour la rue des Entrepôts sera repris pour être raccordé plus au sud sur un regard de dérivation et pour la rue Serin, le réseau unitaire existant sera déconnecté des eaux pluviales de la rue et des bâtiments existants. Un nouveau collecteur d’eaux pluviales sera créé et se raccordera sur un déversoir d’orage existant. Un dessableur sera réalisé en amont de ce déversoir d’orage existant pour le traitement des eaux pluviales avant leur rejet à la Saône.Titre II : PRESCRIPTIONS Article 3 : Prescriptions spécifiques 3.1 Rejet dans les eaux superficielles: Le rejet dans les eaux superficielles des eaux d'exhaure du chantier pourra se faire tant que la concentration des eaux pompées en matière en suspension ne dépassera pas 50 mg/l. Une mesure quotidienne au droit des travaux devra permettre de vérifier que cette prescription est respectée. Au delà de cette concentration, les eaux seront rejetées vers le réseau d'assainissement communautaire. Quelle que soit la concentration en matières en suspension, les eaux d'exhaure des batardeaux seront rejetées vers le réseau communautaire dès lors que la hauteur d'eau en fond de batardeaux sera inférieure ou égale à 1 mètre. Le dessableur, permettant de piéger les particules fines et les métaux lourds avant rejet à la Saône, est satisfaisant sous réserve d'un bon entretien. 3.2 Évacuation des eaux de ruissellements en phase chantier: Les plateformes de stockage, base vie, les aires d'évolution devront être étanchées et les eaux de ruissellement seront collectées et évacuées vers le réseau public d'assainissement après passage dans un dispositif décanteur déshuileur. Tout stockage d'un liquide susceptible de créer une pollution des eaux ou des sols doit être associé à une capacité de rétention dont le volume doit être au minimum équivalent au volume stocké. 3.3 Évacuation des eaux de ruissellement de la plateforme et des ouvrages en exploitation: Les eaux de ruissellement sont collectées et rejetées au réseau communautaire. L’entretien des ouvrages et réseaux d’assainissement sera réalisé par les services de la Direction de l’Eau du Grand Lyon. Les boues de curage, matières de vidange et les sables, issus de l’entretien des réseaux d’assainissement seront évacués selon la réglementation en vigueur et les filières prévues par le règlement d’assainissement du Grand Lyon. Les sous-produits d’assainissement seront traités à la station d’épuration de Pierre-Bénite qui traite les produits de curage de réseau d'assainissement (égouttés ou non), les déchets de dessablage issus de stations d'épuration urbaines et les déchets de séparateurs à graisses. La station est équipée d’une filière de traitement des sables : criblage puis lavage pour valorisation d’une part et traitement des eaux de lavage par la filière « eau » de la station d’épuration. La fréquence des entretiens de chaque ouvrage correspond à celle pratiquée par les services techniques du Grand Lyon (inspection visuelle régulière et après chaque événement pluvieux important). Les opérations d’entretien seront consignées dans un cahier tenus à jour et indiquant la fréquence et la nature de l’entretien, les quantités et la destination des produits évacués. 3.4 Prévention et nuisances: L'ensemble du site est maintenu propre et les bâtiments et installations entretenus régulièrement. Les accès aux différents réseaux de distribution seront maintenus et les différents services gestionnaires et concessionnaires seront contactés 1 mois avant le début des travaux afin de connaître les prescriptions techniques. Tout brûlage à l'air libre est interdit. Les installations sont construites, équipées et exploitées de telle façon que leur fonctionnement ne puisse être à l'origine de nuisances susceptibles de compromettre la santé ou la sécurité du voisinage ou de constituer une gêne pour sa tranquillité. Conformément à l’arrêté n°11-288 du 26 aout 2011 du préfet de la région Rhône Alpes, un diagnostic archéologique devra être fait sur le terrain dont les conditions d'exécution sont définies dans le même arrêté. En cas de découverte de vestiges archéologiques, le maître d'ouvrage stoppera immédiatement les travaux et informera la DRAC. Le maître d'ouvrage sera tenu de communiquer au préfet et aux maires concernés, un mois avant le démarrage des travaux, les éléments d'information utiles sur la nature du chantier, sa durée, les nuisances sonores attendues, ainsi que les mesures prises pour limiter, réduire ou compenser ces nuisances. Au vu de ces éléments, le préfet pourra prescrire, par arrêté préfectoral, des conditions particulières de fonctionnement du chantier. Une information sur le déroulement du chantier sera mise en place à destination des riverains du projet au moins un mois avant le début des travaux. L'emprise des travaux devra être définie 1 mois avant le début des travaux, et la circulation des engins de travaux publics devra se faire au sein de cette emprise sauf cas exceptionnel. Toutes modifications des conditions de circulation imposées par les différentes phases de chantier devront être accompagnées d'une signalisation adaptée et réglementaire. Les interruptions de circulation devront être accompagnées d'un fléchage d'itinéraires provisoires présenté et validé par le gestionnaire de la voirie. L'organisation du chantier prendra en compte le passage éventuel de convois exceptionnels. 110 Les travaux fluviaux feront l'objet d'un avis d'information à la batellerie un mois avant le début des travaux. Le balisage des travaux fera l'objet d'un avis contradictoire par le gestionnaire du domaine fluvial. Une vigie dotée d’une radio VHF sera mise en place au niveau du chantier afin de gérer le trafic des bateaux en approche. Pour la phase de mise en place des travées, l’opération sera effectuée pendant la nuit ou le week-end. 3.5 En cas d'alimentation de la base vie du chantier par le réseau public d'eau potable: Un dispositif de protection du réseau contre les retours d'eau doit être prévu conformément aux dispositions de l'article R1321-57 du code de la santé publique. La mise en place d'un système de disconnexion doit être effectuée. 3.6 Gestion des matériaux: Les prélèvements effectués concernent des sédiments en eau et des matériaux (sédiments, sols et roches) issus des berges. L'ensemble des échantillons ont été analysés vis-à-vis de : • l’arrêté du 9 août 2006 relatif aux niveaux à prendre en compte lors d’une analyse de rejets dans les eaux de surface ou de sédiments marins, estuariens ou extraits de cours d’eau ou canaux, etc. ; • l’arrêté du 30 décembre 2002 relatif au stockage de déchets dangereux ; • l’arrêté du 28 octobre 2010 relatif aux installations de stockage de déchets inertes (ISDI) et la décision n°2003/33/CE du 19/12/02 établissant les critères et les procédures d’admission des déchets dans les décharges, conformément à l’article 16 et à l’annexe II de la directive 1999/31/CE. Les résultats de ces analyses ont montré des traces de polluants dans les sédiments du site qui ne pourront pas être clapés en rivière. Les sédiments seront évacués et pris en charge dans les filières adaptées. Le maître d'ouvrage devra, au moins un mois à l'avance, fournir au service en charge de la police de l'eau le lieu de traitement des matériaux qui ne seront pas restitués, leurs quantités et leurs moyens de transport pour information et validation. Les travaux pour la réalisation du pont Schuman engendrent l'extraction de matériaux des berges et du lit de la Saône. Afin d'obtenir une mesure des éventuels effets du chantier par la remobilisation et le transfert vers l'aval de micro-polluants associés aux matières en suspension, un prélèvement de sédiments de surface à fins d'analyses de micro-polluants au niveau du point de suivi aval devra être immédiatement réalisé avant le début des travaux, à l'issue des dragages et remodelages de profils et à l'issue des travaux. Les paramètres ciblés sont à minima les métaux, PCB et HAP, avec un seuil de quantification de 5µg/kg de matière sèche ou moins par congénère pour les PCB. Les résultats des prélèvements devront être transmis au service police de l'eau sous 8 jours. En fonction de l’occurrence éventuelle de la mise à jour d'un horizon contaminé et suite aux solutions apportées, des mesures complémentaires au niveau des zones contaminées devront être prises. Ces mesures devront faire l'objet d'une information et d'une validation auprès du service police de l'eau sous 15 jours. Article 4 : Moyens d'analyses, de surveillance et de contrôle (y compris autocontrôle) Un suivi qualité des eaux rejetées sera assuré lors de la phase chantier. Un prélèvement mensuel et une analyse physico-chimique (température, pH, hydrocarbures, métaux) seront effectués au point de rejet au réseau. Un rapport de synthèse des résultats sera transmis trimestriellement au service chargé de la police de l'eau. Un état des volumes pompés et rejetés sera tenu à disposition du service chargé de la police de l'eau et transmis trimestriellement. Article 5 : Moyens d'intervention en cas d'incident ou d'accident L'évacuation des eaux de ruissellement du chantier sera munie d'un dispositif permettant son obturation en cas de fuite de liquide et sa rétention dans le périmètre jusqu'à son pompage et son évacuation vers un centre technique adapté. Un plan d'alerte en cas de crue et un plan d'intervention en cas de pollution accidentelle pendant les travaux seront mis en place. Ils seront soumis à l'approbation du service de police de l'eau 15 jours avant le début des travaux. Les dispositions, en cas de pollution accidentelle liée à un déversement de produits toxiques dans la traversée du pont, doivent être précisées dans une note à transmettre au service police de l'eau pour information et validation, un mois avant l'exploitation de l'ouvrage. En cas de crue, le service de police de l'eau devra être immédiatement informé. Article 6 : Mesures correctives et compensatoires Une stricte délimitation des emprises du projet doit être entreprise afin d’éviter toute pénétration des engins et toute implantation des installations de chantier au droit d’espaces végétalisés sensibles. Des replantations sont réalisées afin de compenser les abattages nécessaires à la réalisation du projet. Les arbres à abattre le seront avant la période de nidification. Le projet prévoit la plantation de 148 arbres. Toutes les plantations choisies devront avoir une origine locale pour lutter contre le développement des espèces invasives. Un plan de prévention sera établi 1 mois avant le début des travaux et dragages avec moyens requis lors de l’intervention, les contraintes associées et les accès au site des travaux, les risques liés aux dragages et à l’environnement de travail, un plan d’alerte en cas de crue de la Saône, les mesures de prévention à mettre œuvre pour éliminer ou réduire les risques. Un coordonnateur sécurité et protection de la santé veillera à l’application du code de travail et des règles de sécurité définies dans le plan de prévention. Le chantier sera rendu inaccessible au public par des panneaux d’information et des barrières de chantier. La conformité à la réglementation sur les objets bruyants sera respectée. Les plages de travail autorisées seront strictement respectées et des mesures de niveau sonore seront régulièrement effectuées par un laboratoire afin de contrôler que les seuils admissibles ne sont pas dépassés. Article 7 : Prescriptions générales relatives à certaines rubriques Le pétitionnaire doit respecter les prescriptions générales définies dans : • l'arrêté du 28/11/07 fixant les prescriptions générales applicables aux installations, ouvrages, travaux ou activités soumis à déclaration en application des articles L214-1 à L214-6 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3120 (2°) de la nomenclature annexée au tableau de l’article R214-1 du code de l’environnement; • l'arrêté du 13/02/02 fixant les prescriptions générales applicables aux consolidations, traitements ou protections de berges soumis à déclaration en application des articles L214-1 à L214-3 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3140 (2°) de la nomenclature annexée décret 93-743 du 29/03/93 modifié; • l'arrêté du 30 mai 2008 fixant les prescriptions générales applicables aux opérations d’entretien de cours d’eau ou canaux soumis à autorisation ou à déclaration en application des articles L. 214-1 à L. 214-6 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.2.1.0 de la nomenclature annexée au tableau de l’article R. 214-1 du code de l’environnement; • l’arrêté du 9 août 2006 relatif aux niveaux à prendre en compte lors d’une analyse de rejets dans les eaux de surface ou de sédiments marins, estuariens ou extraits de cours d’eau ou canaux, etc.; • l’arrêté du 30 décembre 2002 relatif au stockage de déchets dangereux ; • l’arrêté du 28 octobre 2010 relatif aux installations de stockage de déchets inertes (ISDI) et la décision n°2003/33/CE du 19/12/02 établissant les critères et les procédures d’admission des déchets dans les décharges, conformément à l’article 16 et à l’annexe II de la directive 1999/31/CE; • l’arrêté n°11-288 du 26 aout 2011 par le préfet de la région Rhône Alpe sur l'établissement d'un diagnostic archéologique devra être fait sur le terrain dont les conditions d'exécution sont définies dans le même arrêté. Titre III - DISPOSITIONS GENERALES 111 Article 8 : Durée de l'autorisation La présente autorisation est accordée pour une durée de 5 ans. Article 9 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux ou activités, objets de la présente autorisation, sont situées, installées et exploitées conformément aux plans et contenu du dossier de demande d'autorisation sans préjudice des dispositions de la présente autorisation. Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant, à l'exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet, conformément aux dispositions de l'article R. 214-18 du code de l'environnement. Article 10 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l'État exerçant ses pouvoirs de police. Faute par le permissionnaire de se conformer aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du permissionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s'être conformé aux dispositions prescrites, le permissionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par la présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement. Article 11 : Déclaration des incidents ou accidents Le permissionnaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le maître d'ouvrage devra prendre ou faire prendre toutes dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le permissionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement. Article 12 : Conditions de renouvellement de l'autorisation Avant l'expiration de la présente autorisation, le pétitionnaire, s'il souhaite en obtenir le renouvellement, devra adresser au préfet une demande dans les conditions de délai, de forme et de contenu définis à l'article R 214-20 du code de l'environnement. Article 13 : Remise en état des lieux Si à l'échéance de la présente autorisation, le pétitionnaire décide de ne pas en demander le renouvellement, le préfet peut faire établir un projet de remise en état des lieux total ou partiel accompagné des éléments de nature à justifier celui-ci. Article 14 : Accès aux installations Les agents chargés de la police de l'eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l'environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté. Article 15 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 16 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le permissionnaire de faire les déclarations ou d'obtenir les autorisations requises par d'autres réglementations. Article 17 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Un avis au public faisant connaître les termes de la présente autorisation sera publié à la diligence des services de la Direction Départementale des Territoires (DDT) - SFEB du Rhône, (165 rue Garibaldi 69003 Lyon), et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du Rhône. Un extrait de la présente autorisation énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché pendant une durée minimale d'un mois dans les mairies des communes de Lyon 9ème et Lyon 4ème. Un exemplaire du dossier de demande d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Direction Départementale des Territoires (DDT) du Rhône, ainsi qu'en mairies de Lyon 9ème et Lyon 4ème pendant deux mois. La présente autorisation sera tenue à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône pendant une durée d'au moins 1 an. Article 18 : Voies et délais de recours La présente autorisation est susceptible de recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la notification par le pétitionnaire, dans un délai de un an par les tiers suivant la publication ou l’affichage de la décision dans les conditions de l'article L.514-6 du code de l'environnement. Si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue dans les 6 mois après publication ou affichage, le délai de recours continue à courir pendant 6 mois à compter de la mise en service de l’installation. Article 19 : Exécution La Secrétaire Générale de la préfecture du Rhône, le Chef du service navigation Rhône Saône, le Directeur départemental des Territoires du Rhône, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au Président de la Communauté urbaine de Lyon, et dont copie sera adressée au sénateur-maire de LYON et aux maires des arrondissement des 4ème et 9ème chargés de l’affichage prévu à l’article 17, ainsi que pour information : o aux conseils municipaux et d’arrondissements des communes visées ci-dessus o au délégué régional Rhône Alpes de l’office national de l’eau et des milieux aquatiques o au directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement Rhône-Alpes, La secrétaire générale Josiane CHEVALIER 112 Arrêté préfectoral n° 2012-540 du 28 février 2012 Objet : autorisant l’utilisation de sources lumineuses pour les comptages nocturnes de gibier. Article 1 : La fédération départementale des chasseurs du Rhône est autorisée à organiser, toute l’année sur l’ensemble du département du Rhône, des comptages de gibier durant la nuit, à l’aide de sources lumineuses. Les personnes ayant suivi la formation au comptage nocturne, organisée par la fédération départementale des chasseurs du Rhône, sont habilitées par cet arrêté annuel, pour encadrer des opérations de recensement nocturne de lièvre. Ces comptages seront réalisés selon les conditions décrites aux articles suivants Article 2 : Le circuit de comptage nocturne est validé par le service technique fédéral. La FDCR communique à la DDT et à l’ONCFS, son protocole ainsi que les itinéraires prévisionnels avant le démarrage des opérations de comptage. Article 3 : Les comptages sont effectués sous la responsabilité des personnes habilitées à l’article 1 conformément au protocole. Si l’itinéraire prévoit une pénétration dans l’enceinte de propriétés, une autorisation écrite des propriétaires est nécessaire. Article 4 : Conformément au code de la route, tous les participants doivent être assis et attachés au moyen d’une ceinture de sécurité homologuée. Le nombre de participants à l’intérieur du véhicule ne dépasse pas le nombre de places assises mentionnées sur la carte grise du véhicule. Article 5 : Afin de pouvoir circuler à vitesse lente, ces véhicules sont munis de feux spéciaux conformes à un type agrée. Ce sont soit des feux tournants (gyrophares), soit des feux à tube à décharge, soit des feux clignotants émettant de la lumière jaune orangée. Article 6 : La brigade de gendarmerie territorialement compétente, le chef de service départemental de l’office national de la chasse et de la faune sauvage du Rhône, le maire de la commune et la société de chasse concernée sont prévenus 10 jours avant chaque comptage. Article 7 : Les personnes habilitées à réaliser des comptages nocturnes sont en mesure de présenter le présent arrêté ainsi que le protocole de comptage comportant une carte de l’itinéraire emprunté, à toute réquisition des agents habilités au titre de la police de la chasse Article 8 : A la fin de chaque période de comptage, un compte-rendu détaillé est présenté par le responsable des comptages, sous 72 Heures à la fédération départementale des chasseurs qui en fera un bilan pour la Direction Départementale des Territoires à l’issue de l’ensemble des opérations. Le manque de compte-rendu entraîne la radiation du responsable des opérations de la liste des personnes habilitées à effectuer des comptages nocturnes. Article 9 : Chaque année, un compte-rendu détaillé des comptages réalisés à l’aide de source lumineuse est présenté par la fédération des chasseurs au directeur départemental des territoires. Article 10 : Le présent arrêté annule et remplace l’arrêté n°2005-1282 du 18 janvier 2005. Article 11 : Le présent arrêté est notifié au président de la fédération départementale des chasseurs du Rhône, au chef du service départemental de l’office national de la chasse et de la faune sauvage, au commandant de groupement de gendarmerie et inséré au recueil des actes administratifs du Rhône. L’adjoint au chef de service Denis FAVIER Arrêté n° 2012-1334 du 28 février 2012 OBJET - Autorisation d’accès aux propriétés publiques et privées situées sur les communes du département du Rhône dans le cadre des travaux nécessaires à l'implantation et à l'entretien des réseaux géodésiques et de nivellement, à la constitution et la mise à jour des bases de données géographiques, à la révision des fonds cartographiques et aux travaux relatifs à l’inventaire forestier national effectués par l’Institut national de l’information géographique et forestière sur le territoire des communes du département du Rhône. Article 1er – Les agents de l’Institut national de l’information géographique et forestière chargés des opérations de géodésie, de nivellement, de gravimétrie, de stéréo-préparation, de levé ou de révision des cartes et de l'installation de repères et bornes, et de l'inventaire forestier national, les géomètres privés opérant pour le compte de l’Institut national de l’information géographique et forestière et le personnel qui les aide dans ces travaux, sont autorisés à circuler librement sur le territoire de l’ensemble des communes du département du Rhône et à pénétrer dans les propriétés publiques ou privées, closes ou non closes, à l’exception des maisons d’habitation. Concernant les opérations de l’inventaire forestier national, les agents pourront pratiquer au besoin dans les parcelles boisées, les haies, les alignements, les terres plantées d’arbre épars ou à l’état de landes ou de broussailles, des coulées pour effectuer des visées ou chaînages de distances à planter des piquets, à effectuer des mensurations ou des sondages à la tarière sur les arbres, à apposer des marques de repère sur les arbres ou les objets fixes du voisinage. Article 2 – L’introduction des agents et personnes mentionnés à l’article 1 ne pourra avoir lieu qu’après accomplissement des formalités prescrites par la loi du 29 septembre 1892 modifiée. Les personnels en cause seront munis d’une copie du présent arrêté qu’ils seront tenus de présenter à toute réquisition. Pour les propriétés non closes, l’introduction ne pourra intervenir qu’à partir du 11ème jour de l’affichage du présent arrêté dans la mairie de la commune où sont situées les propriétés. Pour les propriétés closes, l’introduction ne pourra intervenir qu’à l’expiration d’un délai de cinq jours après notification individuelle du présent arrêté à chaque propriétaire concerné, ou en son absence, au gardien de la propriété. A défaut de gardien connu demeurant sur la 113 commune, le délai de cinq jours ne courra qu’à partir de la notification au propriétaire faite en mairie. Ce délai expiré, si personne ne se présente, les ingénieurs, géomètres ou agents pourront entrer avec l’assistance d’un magistrat du tribunal d’instance compétent. Article 3 - Mesdames, Messieurs les maires des communes traversées sont invités à prêter au besoin leur concours et l'appui de leur autorité aux personnels désignés à l'article ci-dessus. Ils prendront les dispositions nécessaires pour que les personnels susmentionnés chargés des travaux puissent, sans perte de temps, consulter les documents cadastraux et accéder à la salle où ils sont déposés. Les agents de la force publique chargés de la surveillance des points géodésiques sont également invités à prêter leur concours aux agents de l’Institut national de l’information géographique et forestière en tant que de besoin. Article 4 - Conformément aux dispositions de la loi du 6 juillet 1943 susvisée, l'implantation à titre permanent de certains signaux, bornes et repères sur une propriété publique ou privée, ainsi que la désignation d'un édifice en tant que point géodésique permanent feront l'objet d'une décision du directeur général de l’Institut national de l’information géographique et forestière notifiée au propriétaire concerné et instituant une servitude de droit public dans les conditions définies par les articles 3 à 5 de ladite loi. Article 5 - En vertu de l'article 6 de la loi du 6 juillet 1943 susvisée, la destruction, la détérioration ou le déplacement des bornes et repères signaux donne lieu à l'application des dispositions de l'article 322-2 du Code pénal et au paiement des dommages-intérêts éventuellement dus à l’Institut national de l’information géographique et forestière Chargés d'assurer la surveillance des bornes, piquets, repères, signaux et points géodésiques les agents de la force publique dresseront procès-verbaux des infractions constatées et les maires des communes concernées signaleront immédiatement les détériorations à l’Institut national de l’information géographique et forestière - Service géodésie nivellement - bureau des servitudes - 73, avenue de Paris - 94165 SAINT-MANDE CEDEX. Article 6 - La présente autorisation est valable pour cinq ans à compter de la date du présent arrêté. Article 7 - La présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône ne peut être déférée qu’au tribunal administratif. Le délai de recours est de deux mois à compter de l'affichage dans les mairies. A peine d’irrecevabilité, la requête devant le Tribunal administratif devra être accompagnée d’un timbre fiscal de 35 euros à moins que le requérant ne bénéficie de l’aide juridictionnelle. Article 8 - Mme la Secrétaire Générale de la Préfecture du Rhône, Mmes et MM. les Maires des communes de l'ensemble du département du Rhône, M. le Directeur général de l’institut national de l’information géographique et forestière, M. le Commandant du Groupement de Gendarmerie Départementale du Rhône, M. le Directeur Départemental de la Sécurité Publique du Rhône, sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et dont une copie sera communiquée à M. le Président du Tribunal Administratif de Lyon. Pour le Préfet, La Secrétaire Générale, Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-548 du 23 février 2012 Objet : portant modification de l'agrément N° 201 0-NS-069-00007 délivré par arrêté préfectoral du 16 août 2010 à l’entreprise ORTEC ENVIRONNEMENT, localisée à VENISSIEUX (69200), pour la réalisation d’opérations de vidange, de transport et d’élimination des matières extraites des installations d’assainissement non collectif. Les dispositions de l'arrêté n°2010-5202 du 16 août 2010 sont modifiées comme suit : Article 1 : Objet de l’agrément L'entreprise ORTEC ENVIRONNEMENT agence de Vénissieux, ayant son siège au 6 rue Antonin Dumas ZI, SIRET : 389 675 018 00 219, SIREN : 389 675 018, Établissement : 00219, est agréée pour réaliser les vidanges des installations d’assainissement non collectif et prendre en charge le transport et l’élimination des matières extraites dans les départements de Rhône,de l'Ain, de la Loire et de l'Isère . La quantité maximale annuelle de matières de vidange visée par le présent agrément est de 1000 m3. Les filières d’élimination validées par le présent agrément sont les suivantes : • Station d’épuration de Vienne (SYSTEPUR) pour un volume maximal quotidien de 20 m3/jour. • Station d’épuration de Pierre Bénite (Communauté Urbaine de Lyon) pour un volume maximal quotidien de 200 m3/jour. • Station d’épuration de Bourg-en-Bresse (Ville de Bourg-en-Bresse) sous réserve de la limite d'acceptation sur le site de 10 camions par jour. • Station d’épuration de Mâcon (SITEAM) pour un volume maximal quotidien de 30 m3/jour. • Centre d'élimination de Point Sa à Viriat dans l'Ain • Station d’épuration de Saint Etienne la Fouillouse L'ensemble des autres dispositions de l'arrêté restent inchangées : Article 2 : Suivi de l’activité Le bénéficiaire de l’agrément doit respecter les prescriptions générales définies dans l’arrêté du 7 septembre 2009 susvisé Conformément aux éléments fournis dans le dossier de demande d'agrément le bénéficiaire de l’agrément établit pour chaque vidange un bordereau de suivi des matières de vidange composé de 4 volets. Le volet n°1 est conservé par le produ cteur lors de la prise en charge de son produit par le prestataire d'assainissement. Le volet n°2 est conservé par l’unité de traitemen t ayant accepté le sous produit. Le volet n°3 est retourné au producteur après traiteme nt. Le volet n°4 est conservé par le prestataire d' assainissement. Le bénéficiaire de l’agrément adresse au service en charge de la police de l’eau, chaque année avant le 1er avril, un bilan d’activité de vidange de l’année antérieure. Ce bilan comporte a minima : • Les informations concernant le nombre d’installations vidangées par commune et les quantités totales de matières correspondantes ; • Les quantités de matière dirigées vers les différentes filières d’élimination ; • Un état des moyens de vidange dont dispose le bénéficiaire de l’agrément et les évolutions envisagées. 114 Ce document comprend en annexe une attestation signée par le responsable de chaque filière d’élimination indiquant notamment la quantité de matières de vidange livrée par le bénéficiaire de l’agrément. Le bénéficiaire de l’agrément tient à jour un registre, classé par dates, comportant les bordereaux de suivi des matières de vidange ainsi que les bilans annuels d’activités. Ce document est tenu en permanence à la disposition du préfet et de ses services. La durée de conservation des bordereaux de suivi et des bilans annuels est de dix années. Article 3 : Contrôle par l’administration Le préfet et ses services peuvent procéder à la réalisation des contrôles nécessaires à la vérification de l’exactitude des déclarations effectuées par le bénéficiaire de l’agrément et contrôler le respect de ses obligations au titre de l’arrêté du 7 septembre 2009 susvisé et du présent arrêté. Ces opérations de contrôle peuvent être inopinées. Article 4 : Modification des conditions de l’agrément En cas de modification ou de projet de modification de la quantité maximale annuelle de matières de vidange agréée et/ou de la (des) filière(s) d’élimination, le bénéficiaire de l’agrément sollicite auprès du préfet une modification des conditions de son agrément. Article 5 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 6 : Autres réglementations Le présent arrêté ne dispense en aucun cas le bénéficiaire de l’agrément de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations. Article 7 : Durée de l’agrément La durée de validité de l’agrément est fixée à dix ans à compter de la date de signature de l'arrêté. A l’expiration de cette période, l’agrément peut être renouvelé pour une même durée maximale de dix ans, sur demande expresse du bénéficiaire. La demande de renouvellement de l’agrément est transmise au service en charge de la police de l’eau au moins six mois avant la date limite de fin de validité de l’agrément initial. Cette demande est accompagnée d’un dossier comportant l’ensemble des pièces mentionnées à l’annexe I de l’arrêté du 7 septembre 2009 susvisé actualisées. Lorsque les modalités ci-dessus sont respectées, la validité de l’agrément initial est prolongée jusqu’à notification de la décision préfectorale concernant la demande de renouvellement. Le préfet peut toutefois décider de retirer cette prolongation temporaire d’agrément conformément à l’article 9 ou en cas de manquement du demandeur à ses obligations dans le cadre de l’instruction de son dossier de demande de renouvellement d’agrément. Article 8 : Suspension ou suppression de l’agrément L’agrément peut être retiré ou modifié à l’initiative du préfet dans les cas suivants : • En cas de faute professionnelle grave ou de manquement à la moralité professionnelle ; • Lorsque la capacité des filières d’élimination des matières de vidange ne permet pas de recevoir la quantité maximale pour laquelle le bénéficiaire a été agréé ; • En cas de manquement du bénéficiaire aux obligations de l’arrêté du 7 septembre 2009 susvisé, en particulier, en cas d’élimination de matières de vidange hors des filières prévues par l’agrément ; • En cas de non-respect des éléments déclarés dans la demande d’agrément. En cas de retrait ou de suspension de l’agrément, le bénéficiaire ne peut plus assurer les activités mentionnées à l’article 2 du présent arrêté et est tenu de prendre toute disposition nécessaire pour veiller à ce que les matières de vidange dont il a pris la charge ne provoquent aucune nuisance et de les éliminer conformément à la réglementation. Le bénéficiaire dont l’agrément a été retiré ne peut prétendre à un nouvel agrément dans les six mois à compter de la notification de la décision de retrait. Article 9: Publication et information des tiers Cet arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Une liste des personnes agréées est publiée sur le site Internet de la préfecture. Article 10 : Voies et délais de recours Outre les recours gracieux introduits dans le même le délai, le présent arrêté est susceptible de recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Article 11 : Exécution La Secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-532 du 23 janvier 2012 Objet : modifiant l'arrêté préfectoral n° 2011- 403 0 du 26 septembre 2011autorisant la destruction d’habitat d’espèces protégées de faune dans le cadre de la réalisation de la ZAC Berliet sur la commune de Saint Priest Article 1 e Les mesures compensatoires, de l'article 1 de l'arrêté préfectoral N° 2011-4030 du 26 septembre 2011, sont complétées comme suit : • Les surfaces à reconstituer pour l'avifaune visées au dernier alinéa de l'article 1 correspondent aux 6,4 hectares de surfaces recréées in situ entre les sites C1,C2,C3 et C4 au sein de la ZAC de Berliet, cumulées avec les 6,5 hectares de celles du site situées à proximité de la ZAC de la Fouillouse, soit une surface totale de 12,9 hectares. La reconstitution de surfaces d'habitats favorables réalisée sur le site à proximité de la ZAC de la Fouillouse consiste en une surface mutualisée pour les amphibiens et la fauvette grisette de 6,5 hectares et une surface dédiée à l'oedicnème criard de 5 hectares (soit un total de 11,5hectares). • les trois mares, décrites au 3ème alinéa de l'article 1, à réaliser sur le site à proximité de la ZAC de la Fouillouse, ont une surface cumulée maximale de 50 m2. Article 2 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de deux mois à compter de sa notification. 115 Article 3 : La Secrétaire Générale de la préfecture du Rhône, le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement, le Directeur Départemental des Territoires, le Chef du service départemental de l'ONEMA, le chef su service départemental de l'ONCFS, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié au Grand Lyon, à la société NEXIMMO 42, à la ville de Saint Priest et publié au recueil des actes administratifs du Département du Rhône. Le directeur départemental des territoires du Rhône Guy LÉVI Arrêté préfectoral n° 2012-537 du 5 mars 2012 Objet : autorisant la capture et le transport de poissons en tout temps à des fins sanitaires, scientifiques et écologiques Article 1 : bénéficiaire de l’opération Nom : Bureau d’études GREBE Siège social : 23 rue Saint Michel – 69007 LYON Article 2 : objet Le Bureau d’études GREBE est autorisé à capturer et à transporter du poisson à des fins scientifiques et de sauvetage dans les conditions et sous les réserves précisées aux articles suivants du présent arrêté. Article 3 : responsable de l'exécution matérielle Chargé d’études : M. Bruno GONTIER Intervenants susceptibles de participer aux opérations : Mme Sonia BAILLOT M. François BOURGEOT M. Bruno GONTIER M. Emmanuel MICHAUD Mme Anne MORGILLO M. Arnaud OLIVETTO M. Philippe PROMPT Mme Jeanne RIGAUT Article 4 : validité La présente autorisation est valable à compter de la date de signature du présent arrêté jusqu’au 31 décembre 2012. Article 5 : lieu et modes de capture autorises Sur l’ensemble des cours d'eau de première et de deuxième catégories piscicoles du domaine privé du département du Rhône : Pêche de sauvetage ; Capture du poisson à des fins scientifiques : réalisation de pêche d’inventaire ou de sondage dans le cadre d’environnements particuliers (études piscicoles, études d’impact…) ; Les pêches seront effectuées au moyen d'un matériel de pêche électrique de marque EFKO, modèle FEG 8000 et de type « Héron », « Martin Pêcheur » (marques déposées DREAM électronique).Elles pourront également être conduites à l’aide de filets verticaux ou de filets suédois (benthiques et pélagiques). Dans le cas d’un chantier de pêche électrique, le matériel devra être conforme à la législation française relative à la sécurité des travailleurs (arrêté du 2 février 1989). En outre, un chantier de pêche électrique doit obligatoirement être encadré physiquement par un responsable désigné à l’article 3 qui devra avoir reçu une formation spécifique sur les règles de sécurité à observer en la matière et être titulaire d’un brevet de secourisme. » Article 6 : destination des poissons captur2s Les poissons capturés seront remis à l'eau vivants sur le lieu de capture ou à proximité en conformité avec les indications d'un représentant de l’ONEMA. Quelques individus pourront être conservés à des fins d’analyse. Article 7 : préservation des espèces sensibles Afin de préserver les espèces très sensibles comme les écrevisses à pieds blancs sur certains sites de pêches, le matériel en contact avec l’eau (anodes, épuisettes, fils, bottes, bassines…) devra être scrupuleusement désinfecté après chaque station ceci pour éviter un éventuel transfert d’agents pathogènes d’un point de pêche à l’autre. Le produit utilisé ne doit pas présenter de danger pour l’eau et le milieu aquatique. Le produit DESOGERME SANICHOC en pulvérisation utilisé par l’ONEMA est autorisé. Article 8 : accord du (des) détenteur(s) du droit de pêche Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s'il a obtenu l'accord du (des) détenteur(s) du droit de pêche. Celui-ci est joint à l'original de la déclaration prévue à l'article 9 du présent arrêté. Article 9 : déclaration préalable Une semaine au moins avant chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d'adresser une déclaration écrite précisant le programme, les dates et lieux de captures, ainsi qu'une copie de la présente autorisation au service départemental de l’ONEMA et au président de la fédération départementale des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique. Article 10 : compte rendu d’ex2cution Dans un délai de six mois après l'exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d'adresser un compte rendu précisant les résultats de captures aux mêmes destinataires que la déclaration préalable prévue à l'article 9. Ce compte rendu doit être conforme au modèle type proposé par l’ONEMA. Article 11 : fichier informatique Le compte rendu d’exécution devra, également, être adressé aux mêmes destinataires prévus à l’article 9, sous format PDF et les tableaux sous format EXCEL. Ce compte rendu informatique devra contenir au minimum les champs suivants : organisme, cours d’eau, commune, date, objet de la pêche, XLBII station, YLBII station, longueur station, largeur station, temps de pêche, matériels utilisés, nombre d’anode, n° de passage, code espèce, taille individuelle, poids individuel, sexe et effectif. 116 Les coordonnées Lambert II correspondent à la limite aval exacte de la station ; la largeur est celle du lit mouillé au moment de la pêche ; la colonne effectif correspond soit à une unité, soit au nombre de poissons d’un lot se référant à une gamme de tailles de poissons mesurés individuellement. Article 12 : présentation de l’autorisation Le bénéficiaire, ou le responsable de l'exécution matérielle de l'opération, doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de la police de la pêche. Article 13 : retrait de l’autorisation La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées. Article 14 : exécution Le directeur départemental des Territoires, le chef du service départemental de l’ONEMA, ainsi que le bénéficiaire de la présente autorisation, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. Ampliation du présent arrêté sera également adressée à : M. le président de la fédération des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique, M. le délégué régional de l’ONEMA, M. le secrétaire général de la préfecture, M. le chef du service de la navigation Rhône-Saône. Le chef de service Laurent GARIPUY Arrêté préfectoral n° 2012-522 du 12 janvier 2012 Objet : mettant en demeure M. GRIMALDI Ange Antoine de déposer un dossier de régularisation concernant des travaux de busage et remblai au lieu dit « Combe Jolie » commune de TERNAY, entrepris sans la déclaration requise au titre du code de l'environnement Article 1 : M. GRIMALDI Ange Antoine demeurant route de Communay lieu dit « Combe Jolie » 69360 TERNAY, est mis en demeure de déposer un dossier de déclaration comportant les éléments figurant à l’article R.214-32 du code de l’environnement au titre des rubriques : 3.1.1.0. Installations, ouvrages, remblais et épis, dans le lit mineur d'un cours d'eau, constituant : 1° Un obstacle à l'écoulement des crues (A) ; 2° Un obstacle à la continuité écologique : a) Entraînant une différence de niveau supérieure ou égale à 50 cm, pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (A) ; b) Entraînant une différence de niveau supérieure à 20 cm mais inférieure à 50 cm pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (D). Au sens de la présente rubrique, la continuité écologique des cours d'eau se définit par la libre circulation des espèces biologiques et par le bon déroulement du transport naturel des sédiments. 3.1.2.0. Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le profil en long ou le profil en travers du lit mineur d'un cours d'eau, à l'exclusion de ceux visés à la rubrique 3.1.4.0, ou conduisant à la dérivation d'un cours d'eau : 1° Sur une longueur de cours d'eau supérieure ou ég ale à 100 m (A) ; 2° Sur une longueur de cours d'eau inférieure à 100 m (Déclaration). Le lit mineur d'un cours d'eau est l'espace recouvert par les eaux coulant à pleins bords avant débordement. 3.1.3.0. Installations ou ouvrages ayant un impact sensible sur la luminosité nécessaire au maintien de la vie et de la circulation aquatique dans un cours d'eau sur une longueur : 1° Supérieure ou égale à 100 m (A) ; 2° Supérieure ou égale à 10 m et inférieure à 100 m (Déclaration). A titre conservatoire et dans l'attente de l'instruction de la procédure de déclaration susmentionnée, M. GRIMALDI Ange Antoine est tenu de cesser tout apport de remblais pouvant modifier le profil du cours d'eau ou son régime d'écoulement. Article 2 : M. GRIMALDI Ange Antoine est tenu de respecter les dispositions de l’article 1 dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. Article 3 : En cas de non respect des prescriptions prévues par les articles précédents du présent arrêté, M. GRIMALDI Ange Antoine est passible des sanctions administratives prévues par l’article L. 216-1-II du code de l’environnement, ainsi que des sanctions pénales prévues par les articles L. 216-9, L. 216-10 et L. 216-12 du même code. Article 4 : Les obligations faites à M. GRIMALDI Ange Antoine par le présent arrêté ne sauraient exonérer celui-ci de solliciter les autorisations éventuellement nécessaires au titre d’une autre législation. Article 5 : Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 6 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Article 7 : Le présent arrêté peut être déféré au Tribunal Administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois pour le pétitionnaire, de 1 ans pour les tiers dans les conditions prévues au I de l'article L. 514-6 du même code. Article 8 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône et le directeur départemental des territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à M. GRIMALDI Ange Antoine, et dont copie sera adressée au maire de TERNAY. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER 117 Arrêté préfectoral n° 2012-527 du 23 janvier 2012 Objet : mettant en demeure le GROUPE CAPELLI de déposer un dossier de régularisation concernant des travaux d'aménagements le long du ruisseau de la Fée des eaux commune de VERNAISON, entrepris sans la déclaration requise au titre du code de l'environnement Article 1 : Le Groupe CAPELLI demeurant 2 bis chemin du Coulouvrier - ZI du Tronchon - 69544 CHAMPAGNE AU MONT D'OR, est mis en demeure de déposer un dossier de déclaration comportant les éléments figurant à l’article R.214-32 du code de l’environnement au titre des rubriques : 3.1.2.0. Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le profil en long ou le profil en travers du lit mineur d'un cours d'eau, à l'exclusion de ceux visés à la rubrique 3.1.4.0, ou conduisant à la dérivation d'un cours d'eau : 1° Sur une longueur de cours d'eau supérieure ou ég ale à 100 m (A) ; 2° Sur une longueur de cours d'eau inférieure à 100 m (Déclaration). Le lit mineur d'un cours d'eau est l'espace recouvert par les eaux coulant à pleins bords avant débordement. 3.2.2.0. Installations, ouvrages, remblais dans le lit majeur d'un cours d'eau : 1° Surface soustraite supérieure ou égale à 10 000 m² (A) ; 2° Surface soustraite supérieure ou égale à 400 m² et inférieure à 10 000 m² (D). Au sens de la présente rubrique, le lit majeur du cours d'eau est la zone naturellement inondable par la plus forte crue connue ou par la crue centennale si celle-ci est supérieure. La surface soustraite est la surface soustraite à l'expansion des crues du fait de l'existence de l'installation ou ouvrage, y compris la surface occupée par l'installation, l'ouvrage ou le remblai dans le lit majeur. 3.1.5.0. Installations, ouvrages, travaux ou activités, dans le lit mineur d'un cours d'eau, étant de nature à détruire les frayères, les zones de croissance ou les zones d'alimentation de la faune piscicole, des crustacés et des batraciens ou dans le lit majeur d'un cours d'eau, étant de nature à détruire les frayères de brochet. : 1° Destruction de plus de 200 m2 de frayères (A) ; 2° Dans les autres cas (Déclaration ). Article 2 : Le Groupe CAPELLI est tenu de respecter les dispositions de l’article 1 dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. Article 3 : En cas de non respect des prescriptions prévues par les articles précédents du présent arrêté, Le Groupe CAPELLI est passible des sanctions administratives prévues par l’article L. 216-1-II du code de l’environnement, ainsi que des sanctions pénales prévues par les articles L. 216-9, L. 216-10 et L. 216-12 du même code. Article 4 : Les obligations faites au Groupe CAPELLI par le présent arrêté ne sauraient exonérer celui-ci de solliciter les autorisations éventuellement nécessaires au titre d’une autre législation. Article 5 : Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 6 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Article 7 : Le présent arrêté peut être déféré au Tribunal Administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois pour le pétitionnaire, de 1 ans pour les tiers dans les conditions prévues au I de l'article L. 514-6 du même code. Article 8 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône et le directeur départemental des territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au Groupe CAPELLI, et dont copie sera adressée au maire de VERNAISON. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-539 du 7 mars 2012 Objet : autorisant le défrichement de 1,1461 hectare de terrain à Craponne et Francheville Article 1er : est autorisé le défrichement, au profit du syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (SYTRAL), d’une superficie totale de 1 hectare 14 ares 61 centiares de bois dans les parcelles cadastrales et sur les terrains du domaine public de la communauté urbaine de Lyon figurant dans le tableau suivant : Commune Section Numéro de parcelle Surface cadastrale (en Ha) Surface à défricher (en Ha) CRAPONNE AO 32 0,3530 0,0118 CRAPONNE AO 37 0,6136 0,0119 CRAPONNE AO 38 0,1337 0,0085 CRAPONNE Total CRAPONNE Domaine public de la Communauté urbaine de Lyon (Chemin de la Tourette - non cadastré) 0,7703 0,8025 118 FRANCHEVILLE BB 16 0,2415 0,1305 FRANCHEVILLE BB 201 0,0040 0,0040 FRANCHEVILLE BD 65 0,2740 0,1183 FRANCHEVILLE BD 66 0,0212 0,0212 FRANCHEVILLE BD 67 0,0004 0,0004 FRANCHEVILLE BD 68 0,1790 0,0381 FRANCHEVILLE BD 71 0,1708 0,0131 FRANCHEVILLE BD 73 0,1120 0,0086 FRANCHEVILLE BD 77 0,2079 0,0094 Total FRANCHEVILLE 0,3436 Total Général 1,1461 Article 2 : La durée de validité de cette autorisation est de 5 ans à compter de sa délivrance. Article 3 : Le défrichement devra être exécuté conformément à l'objet figurant dans la demande et en respectant les prescriptions de la notice d'impact, notamment en terme de période d’intervention vis à vis de la protection de la faune présente sur le site et de revégétalisation des talus susceptibles d’érosion. Article 4 : Conformément à l’article R312-6 du Code forestier le présent arrêté devra être affiché sur le terrain de manière visible de l’extérieur ainsi qu’en mairie de Craponne et de Francheville quinze jours au moins avant les opérations de défrichement. Cet affichage devra être maintenu sur le terrain pendant la totalité de ces opérations et en mairie pendant une durée de deux mois. Article 5 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours gracieux auprès de la préfecture du Rhône, dans un délai de deux mois à compter de la date de notification ou être déférée devant le tribunal administratif de LYON dans les mêmes conditions de délais. Article 6 : Le Directeur départemental des territoires est chargé de l'application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratif du département du Rhône et notifié : - au syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (SYTRAL), - à monsieur le maire de la commune de Craponne, - à monsieur le maire de la commune de Francheville. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté Préfectoral n° 2012-1469 du 7 mars 2012 Objet : Dérogation aux règles de construction en matière d’accessibilité aux personnes handicapées. Autorisation de Travaux n°12 030 concernant l’aména gement d’un local à l’enseigne « ONLYOGA » dans un bâtiment existant situé 5 rue Saint Claude à LYON 9ème. Demandeur : Mme Christine LELONG - 118 rue Saint Georges 69005 LYON Article 1er : Mme Christine LELONG est autorisée à réaliser les travaux conformément aux plans du projet en dérogeant à l’article R.11119-8 du code de la construction et de l’habitation qui impose le respect de la réglementation accessibilité. L’accès au local « ONLYOGA » pourra s’effectuer par un escalier de 6 marches depuis le rue Saint Georges et par un accès secondaire comportant une seule marche avec possibilité de mise en place d’une rampe amovible depuis le passage sous le porche situé rue Terraille. Un interphone sera installé au niveau de l’accès rue Saint Georges et un autre interphone sera installé au niveau de l’accès secondaire sous le porche afin de permettre à une personne en fauteuil roulant de se signaler afin d’être prise en charge par le personnel de l’établissement. Article 2 : Outre les recours gracieux et hiérarchique qui s’exercent dans le même délai, un recours contentieux peut être introduit auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A peine d'irrecevabilité, la requête devant le tribunal administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35€ à moins que le requérant ne bénéficie de l'aide juridictionnelle. Article 3 : Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, Madame la Secrétaire Générale de la Préfecture et Monsieur le Préfet délégué pour la Défense et la Sécurité sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Le Préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Pour le Préfet et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires et par délégation Le Directeur Départemental Adjoint Denis SCHULTZ 119 Arrêté Préfectoral n° 2012-1470 du 7 mars 2012 Objet : Dérogation aux règles de construction en matière d’accessibilité aux personnes handicapées. Autorisation de Travaux n°12 039 concernant l’aména gement d’un hôtel à l’enseigne COOL & BED au 32 quai Arloing à LYON 9ème. Demandeur : M. Mathieu CORDEBAR - 52 rue du Dauphiné 69003 LYON et Pierre GOUDABLE - 27 rue des Rancy 69003 LYON Article 1er : MM. Mathieu CORDEBAR et Pierre GOUDABLE sont autorisés à réaliser les travaux conformément aux plans du projet en dérogeant à l’article R.111-19-8 du code de la construction et de l’habitation qui impose le respect de la réglementation accessibilité. L’accès à l’hôtel « COOL & BED » pourra s’effectuer par l’intermédiaire d’un escalier ou d’un appareil élévateur qui sera d’usage permanent et conforme aux normes en vigueur. Article 2 : Outre les recours gracieux et hiérarchique qui s’exercent dans le même délai, un recours contentieux peut être introduit auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A peine d'irrecevabilité, la requête devant le tribunal administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35€ à moins que le requérant ne bénéficie de l'aide juridictionnelle. Article 3 : Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, Madame la Secrétaire Générale de la Préfecture et Monsieur le Préfet délégué pour la Défense et la Sécurité sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Le Préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône Pour le Préfet et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires et par délégation Le Directeur Départemental Adjoint Denis SCHULTZ Arrêté préfectoral n° 2012-550 du 7 mars 2012 Objet : autorisant la destruction de spécimens d'espèces animales protégées la capture ou l'enlèvement de spécimens d'espèces animales protégées par la direction départementale des territoires du Rhône Article 1 : Dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais, porté conjointement avec l'État, la société Foncière du Montout, le SYTRAL, le Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise, la Communauté urbaine de Lyon, la Direction Départementale des Territoires du Rhône, la Direction Départementale des Territoires du Rhône domiciliée 165 rue Garibaldi – 69401 LYON Cedex 03 est autorisée à : • détruire des spécimens d'espèces animales protégées à savoir : - 170 individus de lézard des murailles, - 40 individus de lézard vert, - quelques individus de couleuvre verte et jaune. • capturer ou enlever environ 10 individus de l'espèce Couleuvre verte et jaune (Hierophis viridiflavus), en réalisant les engagements énoncés dans le dossier de demande de dérogation au titre de l'article L.411-2 du code de l'environnement dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais complétés des recommandations du Conseil National de la Protection de la Nature (CNPN). Article 2 : Le demandeur devra respecter les dispositions suivantes : Mesures de réduction d'impact :( carte mesures de réduction Etat 1A) - mise en défens du chantier : clôture des chantiers à l’Ouest de la rocade, aménagement de secteurs attractifs pour faciliter la récupération des animaux et aménagement de secteurs (tas de pierre) pour le relâcher des individus de couleuvre verte et jaune mise en œuvre par Grand Lyon, - conservation du bosquet dans les emprises du complément nord de l'échangeur 7 (2000m²). - conservation d'un linéaire de haies de 200 ml - abattage des arbres hors saison de la reproduction des oiseaux (début mars-fin août) - une attention toute particulière devra être portée sur les impacts de la pollution lumineuse sur la faune Mesures d'accompagnement et de compensation :( carte mesures compensation Etat 1B) - techniques d'assainissement favorables à la faune (grenouille verte notamment), - création de 2 passages à faune : l'un sous la RN 346, l'autre sur la RD302 - développement des haies à hauteur de 200 % avec : 2,1 ha de bandes enherbées et de haies (2000ml). - développement de boisements de plus de 5000 m2, sur 1,84 ha pour la Direction départementale des Territoires du Rhône ; Mesures de suivi et de gestion : • accompagnement de la réalisation des chantiers par un écologue - établissement d'un conseil technique scientifique chargé du suivi des travaux, et de la bonne mise en oeuvre d'un suivi des mesures compensatoires prises en vue de la conservation des espèces impactées, et de leurs suivis sur au moins 10 ans, • mise en place d'une gestion écologique des espaces naturels conservés ou crées. • Le suivi des espèces et des milieux devra également inclure les suivis des groupes comme les insectes et notamment les Lépidoptères hétérocères. • L'état initial, les bilans des suivis et les études réalisés sont transmis à la DREAL Rhône Alpes, à la DDT du Rhône, ainsi qu'à l'expert délégué faune du CNPN. Article 3 : Le bénéficiaire (et ses mandataires) doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de destruction d’habitat des espèces protégées, de la destruction d'individus ,de leur transfert pour les espèces citées à l’article 1 Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de l’environnement. Article 4 : La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées. Elle est valable jusqu'au 31 décembre 2016, 120 Article 5 : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de LYON dans un délai de 2 mois à compter de sa notification ou de sa publication. Il peut faire l'objet d'un recours gracieux devant le préfet du Rhône ou hiérarchique devant le ministre en charge de l'environnement dans le même délai. Article 6 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, le Chef du service départemental de l'ONCFS, le chef du service départemental de l'ONEMA, le Commandant du groupement de gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône, notifié à la Direction Départementale des Territoires du Rhône et dont copie sera adressée : au Ministère en charge de l’environnement (MEDDTL) a la Direction Régionale de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes à la Direction Départementale des Territoires du Rhône au service départemental de l'ONCFS du Rhône au service départemental de l'ONEMA du Rhône Annexe 1 : carte réduction Etat 1A, carte compensation Etat 1B, tableau synthèse, carte d'assemblage Le Directeur Départemental Guy Lévi Arrêté préfectoral n° 2012-551 du 7 mars 2012 Objet : autorisant la destruction, l'altération, ou la dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées par la foncière du Montout Article 1 : Dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais porté conjointement avec l'État, la société Foncière du Montout, le SYTRAL, le Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise, la Communauté urbaine de Lyon, la société Foncière du Montout domiciliée, 350 avenue Jean-Jaures – 69361 LYON Cedex 07 est autorisée pour les travaux dont elle assure la maîtrise d'ouvrage à • détruire, altérer, ou dégrader des sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées à savoir le Bruant Jaune (Emberiza citrinella), • Détruire après avoir pris toutes les mesures de précaution un maximum de : - 100 individus de Crapaud calamite (Bufo calamita) - 200 individus de Lézard des murailles (Podarcis muralis) - 125 individus de Lézard vert (Lacerta bilineata) - 50 individus d'orvet (Anguis fragilis) en réalisant les engagements énoncés dans le dossier de demande de dérogation au titre de l'article L.411-2 du code de l'environnement dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais complétés des recommandations du Conseil National de la Protection de la Nature (CNPN). Article 2 : Le demandeur devra respecter les recommandations du CNPN qui lui incombe dans le cadre de la mise en œuvre du programme à savoir : Mesures de réduction d'impact : (carte mesure de réduction Foncière du Montout 4A) • Conservation d'une partie du boisement du Montout (0,8 ha). • Abattage des arbres hors saison de la reproduction des oiseaux (début mars-fin août) • Adaptation de la période d'intervention en fonction de la sensibilité des espèces. • Porter une attention particulière à la pollution lumineuse et adapter l'éclairage en conciliant l'enjeu de sécurité publique et la préservation des espèces. • Limitation des collisions d'animaux, en particulier dans le cadre de la réalisation du stade qui comprend de grandes surfaces verticales en verre. Ce critère devra être pris en compte dans la conception architecturale des bâtiments. • Évacuation du tas de briques effectuée à la fin de l'été en période d'activité des espèces leur permettant de fuir la zone de chantier. • surveillance du chantier notamment du fait de la création d’ornières et micro-flaques favorables au crapaud Calamite : plan de sauvegarde et déplacements des populations en place • Une attention toute particulière devra être portée sur les impacts de la pollution lumineuse sur la faune, ainsi que sur les risques de collision sur les structures en verre mal adaptées. Mesures de compensation et d'accompagnement :(carte mesures de compensation Foncière du Montout 4B) • Création de nouveaux boisements sur une surface de 0,76 ha avec des unités de plus de 5000m² avec installation de nichoirs artificiels afin de compenser la jeunesse des peuplements et donc l'absence de lieux de nidification pour les oiseaux. • Développer 0,9 ha d'habitat favorable au Crapaud Calamite (Noue sèche, Noue parking) • Techniques d'assainissement favorables à la faune, avec aménagement de systèmes de flaques temporaires favorables au Crapaud Calamite. • Espaces de stationnement enherbés et arborés (à l’exception des zones à risque de pollution : parking des forces de l’ordre et supporters adversaires, parking régie,…). Mesures de suivi et de gestion : • accompagnement de la réalisation des chantiers par un écologue • établissement d'un conseil technique scientifique chargé du suivi des travaux, et de la bonne mise en oeuvre d'un suivi des mesures compensatoires prises en vue de la conservation des espèces impactées, et de leurs suivis sur au moins 10 ans, • mise en place d'une gestion écologique des espaces naturels conservés ou crées. • Le suivi des espèces et des milieux devra également inclure les suivis des groupes comme les insectes et notamment les Lépidoptères hétérocères. • Gestion sylvicole du bois de Montout, favorable à la reproduction des espèces de ce type de milieu L'état initial, les bilans des suivis et les études réalisés sont transmis à la DREAL Rhône Alpes, à la DDT du Rhône (service environnement), ainsi qu'à l'expert délégué faune du CNPN. 121 Article 3 : Le bénéficiaire (et ses mandataires) doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de destruction d’habitat des espèces protégées, de la destruction d'individus, de leur transfert pour les espèces citées à l’article 1. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de l’environnement . Article 4 : La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées. Elle est valable jusqu'au 31 décembre 2016. Article 5 : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de LYON dans un délai de 2 mois à compter de sa notification ou de sa publication. Il peut faire l'objet d'un recours gracieux devant le préfet du Rhône ou hiérarchique devant le ministre en charge de l'environnement dans le même délai. Article 6 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, le Chef du service départemental de l'ONCFS, le chef du service départemental de l'ONEMA, le Commandant du groupement de gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône, notifié à la Foncière du Montout et dont copie sera adressée : au Ministère en charge de l’environnement (MEDDTL) à la Direction Régionale de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes (DREAL) au service départemental de l'ONCFS du Rhône au service départemental de l'ONEMA du Rhône Annexe 1 : carte réduction Foncière du Montout 4A, carte compensation Foncière du Montout 4B, tableau de synthèse , carte d'assemblage Le Directeur départemental Guy Lévi Arrêté préfectoral n° 2012-552 du 7 mars 2012 Objet : autorisant la destruction, l'altération ou la dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux d'espèces animales protégées, la perturbation intentionnelle de spécimens d'espèces animales protégées, la destruction de spécimens d'espèces animales protégées, la capture ou l'enlèvement de spécimens d'espèces animales protégées par la communauté urbaine de Lyon Article 1 : Dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais porté conjointement avec l'État, la société Foncière du Montout, le SYTRAL, Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise, la Communauté urbaine de Lyon, domiciliée Hôtel de communauté, 20 rue du Lac BP 3103 – 69399 LYON Cedex 03 est autorisée pour les travaux dont elle assure la maîtrise d'ouvrage à : • détruire, altérer ou dégrader des sites de reproduction ou aire de repos du Crapaud calamite (Bufo calamita), de l'Oedicnème criard (Burhinus oedicnemus), de l'Ecureuil roux (Sciures vulgaris), de la Mésange boréale (Parus montanus), du Bruant jaune (Emberiza citrinella) et de la Huppe fasciée (Upupa epops) et du hérisson (Erinaceus europaeus) • capturer ou enlever un maximum de 10 individus de l'espèce Couleuvre verte et jaune (Hierophis viridiflavus). • Détruire, après avoir pris toutes les mesures de précaution ,un maximum de : • 100 individus de Crapaud calamite (Bufo calamita), • 200 individus de Lézard des murailles (Podarcis muralis), 25 individus de Lézard vert (Lacerta bilineata), • moins de 10 individus de Couleuvre verte et jaune (Hierophis viridiflavus), • moins de 50 individus d'Orvet (Anguis fragilis). • Perturber les populations d'oiseaux protégés présents sur le site soit : • quelques couples de Huppe fasciée (Upupa epops), • quelques couples de Mésange boréale (Parus montanus), • quelques couples de Bruant Jaune (Emberiza citrinella), • quelques couples d'Oedicnème criard (Burhinus oedicnemus). en réalisant les engagements énoncés dans le « Dossier de demande de dérogation au titre de l'article L.411-2 du code de l'environnement” dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais complétés des recommandations du Conseil National de Protection de la Nature (CNPN). Article 2 : Le demandeur devra respecter les dispositions suivantes : Mesures de réduction d'impact : carte Grand Lyon mesure de réduction 2A) • déplacement des bassins du Grand Lyon et de la population de crapauds calamites présents • abandon de la voirie LY-6, (en rouge sur carte réduction), mise en place de mesures d'évitement du site de reproduction de la huppe fasciée par une adaptation du tracé du prolongement de la rue Elisée Reclus; • conservation de boisements : préservation du coeur du boisement du Biézin, Abattage des arbres hors saison de la reproduction des oiseaux qui s'étale de mars à fin août • conservation d'un linéaire de haie d'au moins 1400 ml • conservation de prairies en gestion extensive pour une surface de 5000m², • porter une attention particulière à la pollution lumineuse et adapter l'éclairage en conciliant l'enjeu de sécurité publique et la préservation des espèces. • adaptation de la période d'intervention en fonction de la sensibilité des espèces, • Mesures de sauvegarde pour les amphibiens : pêche et transfert des populations dans les bassins recréés, mares et flaques, • création de 2 passages à faune sous le site propre • Mise en défens du chantier : clôture des chantiers à l’Ouest de la rocade, aménagement de secteurs attractifs pour faciliter la récupération et aménagement de secteurs (tas de pierre) pour le relâcher des individus de couleuvre verte et jaune Mesures compensatoires et mesures d'accompagnement:(carte 2B et 3B Grand Lyon mesures de compensation) • Création de nouveaux boisements sur une surface de 2,7 ha avec des unités de plus de 5000m2 avec installation de nichoirs artificiels afin de compenser la jeunesse des peuplements et donc de l'absence de lieux de nidification pour les oiseaux. 122 • Création de 5300 mètres linéaires de haies et bandes enherbées (soit 7,9 ha de corridor composé de haies et bandes enherbées) favorables aux oiseaux (bruant jaune, mésanges...) et aux reptiles: lézard vert et lézard des murailles, orvet fragile mais également à la petite faune mammifères : hérissons • Création de prairies favorables notamment aux oiseaux (huppe faciée, Bruant jaune) sur une surface de 14,5ha par convention sur 18 années avec les exploitants agricoles, dont 5000m2 acquis par le Grand Lyon • Création d'habitats favorables pour l'Oedicnème criard avec suivi de son efficacité sur 10 ans, - gestion de 2 zones refuge aux Panettes (2 ha) - aménagement et gestion spécifique d’une parcelle BO32 (2 ha) dont 0,9ha spécifiques - entretien de 10ha des parcelles gérées favorablement pour l'Oedicnème criard, une validation du cahier des charges sera faite par un écologue, avec un conventionnement sur 18 années. • suivi spécifique de l’espèce et adaptations des mesures en fonction des résultats • Création d'aménagements spécifiques pour le crapaud calamite dans les emprises (secteur Panettes) sur 2 ha et hors emprise sur la parcelle (BO32) maîtrisée par le Grand Lyon sur 2 ha • développement du potentiel de colonisation avec aménagement de systèmes de flaques temporaires favorables au crapaud Calamite, sur le secteur Voltaire et nord Chassieu • techniques d'assainissement favorables à la faune, • maintien ou amélioration des fonctionnalités au travers de la conservation et de la création de corridors écologiques. • création de 6 bassins techniques propices à l’implantation de la grenouille verte. • création d'espaces de stationnement enherbés et arborés sur secteur des Panettes (carte 3B) Mesures de suivi et de gestion : • accompagnement de la réalisation des chantiers par un écologue • établissement d'un conseil technique scientifique chargé du suivi des travaux, et de la bonne mise en oeuvre d'un suivi des mesures compensatoires prises en vue de la conservation des espèces impactées, et de leurs suivis sur au moins 10 ans, • mise en place d'une gestion écologique des espaces naturels conservés ou crées. • le suivi des espèces et des milieux devra également inclure les suivis des groupes comme les insectes et notamment les Lépidoptères hétérocères. • L'état initial, les bilans des suivis et les études réalisés sont transmis à la DREAL Rhône Alpes, à la DDT du Rhône (service environnement), ainsi qu'à l'expert délégué faune du CNPN. • la pérennité foncière des mesures compensatoires devra être assurée et traduite dans les documents d'urbanisme ; Article 3 : Le bénéficiaire (et ses mandataires) doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de destruction d’habitat des espèces protégées, de la destruction d'individus, de leur transfert pour les espèces citées à l’article 1. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de l’environnement. Article 4 : La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées. Elle est valable jusqu'au 31 décembre 2016, Article 5 : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de LYON dans un délai de 2 mois à compter de sa notification ou de sa publication. Il peut faire l'objet d'un recours gracieux devant le préfet du Rhône ou hiérarchique devant le ministre en charge de l'environnement dans le même délai. Article 6 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, le Chef du service départemental de l'ONCFS, le chef du service départemental de l'ONEMA, le Commandant du groupement de gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône, notifié à la communauté urbaine de Lyon et dont une copie sera adressée : au Ministère en charge de l’environnement (MEDDTL) à la Direction Régionale de l’Environnement de l'Aménagement et du logement de Rhône-Alpes à la Direction Départementale des Territoires du Rhône au service départemental de l'ONCFS du Rhône au service départemental de l'ONEMA du Rhône Annexe I : carte Grand Lyon réduction 2A, cartes Grand Lyon compensation 2B et 3B , tableau de synthèse, carte d'assemblage Le Directeur départemental Guy Lévi Arrêté préfectoral n° 2012-553 du 7 mars 2012 Objet : autorisant la destruction de spécimens d'espèces animales protégées par le syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise Article 1 : Dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais porté conjointement avec l'Etat, la société Foncière du Montout, le Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise, domicilié 21 boulevard Vivier Merle BP 3044 – 69399 LYON Cedex 03 est autorisé à : • détruire des spécimens d'animaux d'espèces animales protégées (cerfa n°13 616*01) à savoir : • 50 lézards des murailles (Podarcis muralis) • 15 lézards verts (Lacerta bilineata). • Capturer ou enlever des individus de lézard vert (protocole de déplacement du lézard et surveillance du chantier) en réalisant les engagements énoncés dans le dossier de demande de dérogation au titre de l'article L.411-2 du code de l'environnement dans le cadre des travaux d'aménagement du programme Grand Stade de l'Olympique Lyonnais complétés des recommandations du Conseil National de Protection de la Nature (CNPN). Article 2 : Le demandeur devra respecter les dispositions suivantes : Mesures de réduction d'impact :(carte SYTRAL mesures de réduction 5A) -abattage des arbres hors saison de la reproduction des oiseaux (début mars-fin août) -déplacement des individus de lézard vert vers les zones aménagés pour ces reptiles par le Grand Lyon 123 Mesures de suivi et de gestion : -suivi spécifique en phase chantier de l'extension de la ligne T3 et accompagnement de la réalisation des chantiers par un écologue • établissement d'un conseil technique scientifique conjoint chargé du suivi des travaux, et de la bonne mise en oeuvre d'un suivi des mesures compensatoires prises en vue de la conservation des espèces impactées, et de leurs suivis sur au moins 10 ans, • mise en place d'une gestion écologique des espaces naturels conservés ou crées. • Le suivi des espèces et des milieux devra également inclure les suivis des groupes comme les insectes et notamment les Lépidoptères hétérocères. • L'état initial, les bilans des suivis et les études réalisés sont transmis à la DREAL Rhône Alpes, à la DDT du Rhône (service environnement), ainsi qu'à l'expert délégué faune du CNPN. Article 3 : Le bénéficiaire (et ses mandataires) doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de destruction d’habitat des espèces protégées, de la destruction d'individus, de leur transfert pour les espèces citées à l’article 1. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de l’environnement. Article 4 : La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées. Elle est valable jusqu'au 31 décembre 2016, Article 5 : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de LYON dans un délai de 2 mois à compter de sa notification ou de sa publication. Il peut faire l'objet d'un recours gracieux devant le préfet du Rhône ou hiérarchique devant le ministre en charge de l'environnement dans le même délai. Article 6 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le directeur départemental des territoires du Rhône, le Chef du service départemental de l'ONCFS, le chef du service départemental de l'ONEMA, le Commandant du groupement de gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône, notifié au Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise et dont copie sera adressée au Ministère en charge de l’environnement (MEDDTL) à la Direction Régionale de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes à la Direction Départementale des Territoires du Rhône au service départemental de l'ONCFS du Rhône au service départemental de l'ONEMA du Rhône Annexe I : carte SYTRAL réduction 5A, tableau de synthèse, carte d'assemblage Le Directeur départemental Guy Lévi Arrêté préfectoral n° 2012-1314 du 1er mars 2012 Objet : Portant création d’une zone de protection de biotope de la prairie du Tupinier sur la commune de Grézieu la Varenne Article 1 : objectifs et définition du site de protection Afin de garantir l’équilibre biologique des milieux et la conservation des biotopes nécessaires à l’alimentation, la reproduction, le repos et la survie des espèces végétales et animales protégées, est instaurée une zone de protection du biotope sur la prairie dite « du Tupinier », d’une surface de 8,93 ha, correspondant à la parcelle cadastrale n° 1759 de la commune de Grézieu la V arenne. (plan en annexe) Les activités agricoles sont maintenues sous réserve des mesures de protection énoncées ci-après : Article 2 : mesures d’interdiction Afin de sauvegarder l’intégrité des équilibres des milieux nécessaires à l’alimentation, à la reproduction, au repos et à la survie de la faune et de la flore sauvage, sont mises en place les interdictions suivantes : Pour les travaux agricoles : le retournement de prairie, son décapage et sa régénération par travail superficiel du sol la création d’une prairie artificielle le gyrobroyage ou le fauchage pendant la période du 1er avril au 1er septembre (gyrobroyage interdit en tout temps dans les zones du Rosa gallica) ; l’emploi des produits phytosanitaires et des amendements calciques (chaux) ; Pour les travaux sur ligneux : l’arrachage des haies ; la taille des haies entre le 1er février et le 30 mai, correspondant à la période de nidification des oiseaux ; le brûlage des végétaux sur pieds ou coupés ; le boisement de la prairie naturelle humide répertoriée sur le plan annexé au présent arrêté de biotope ; Pour la protection des équilibres biologiques de la zone humide (cf plan) : les affouillements ; la destruction et l’assèchement par drainage ; le curage, le drainage, le comblement des fossés, l’assèchement de la prairie humide ; le curage des mares pendant les périodes sensibles (du mois de février au mois de septembre) ; Pour les usages autres du site : le fait d’abandonner, déposer, jeter, verser tout produit ou matériau susceptibles de nuire à la qualité des eaux de mares, de l’air, et de la terre du site protégé ; le fait d’abandonner, déposer, jeter papier, boite de conserves, bouteilles, ordures, déblais ou détritus de quelconque nature que ce soit ; le fait de porter ou d’allumer un feu ; la pratique des sports motorisés ainsi que des activités de bivouac, camping ou toute autre forme dérivée ; Article 3 : mesures d’encadrement Afin de sauvegarder l’intégrité des équilibres des milieux nécessaires à l’alimentation, à la reproduction, au repos et à la survie de la faune et de la flore sauvage, sont mises en place les obligations suivantes : Pour la zone humide (représentée sur plan en annexe): le curage des mares ne peut être effectué qu’avec une fréquence quinquennale au maximum ; l’habitat naturel des amphibiens constitué par les points d’eau à usage d’abreuvoir pour les animaux d’élevage devra être conservé par des moyens contractuels de gestion appropriés ; 124 Pour l’usage en pâturage extensif : le chargement en animaux d’élevage est limité en tout temps pour être compatible avec le biotope à un maximum de 0,7 UGB par hectare ; l’accès des animaux devra être réduit sur la partie ouest de la prairie humide pendant la période de floraison des orchidées, soit d’avril à juillet ; la fertilisation en azote minéral est au maximum de 30 unités/ha/an ; Pour les travaux agricoles : les activités agricoles continuent à s’exercer par les propriétaires et leurs ayant-droits conformément aux usages et régimes en vigueur pour l’exploitation des fonds, sous réserve du respect des interdictions à l’article 2 ; Pour la chasse et la pêche : Les activités de chasse et de pêche continuent à s’exercer dans les conditions règlementaires Article 4 : signalisation Des panneaux de signalisation et d’information indiquant les références du présent arrêté préfectoral seront disposés, de façon appropriée, autour du périmètre de la zone de protection, par la mairie de Grézieu la Varenne. Article 5 : infractions Toute infraction au présent arrêté sera punie des peines prévues aux articles L 415-3 et R415-1 du code de l’environnement. (contravention de 4ème classe). Article 6 : publicité Le présent arrêté fera l’objet des mesures de publicité prescrites par les lois et règlements. Il sera affiché en mairie de Grézieu la Varenne, publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Rhône et dans 2 journaux régionaux et locaux diffusés dans tout le département. Article 7 : recours Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de deux mois à compter de la date d’accomplissement des formalités de publicité précisées à l’article 6. Article 8 : application - Madame la Secrétaire Générale du Rhône, - Monsieur le Directeur Départemental des Territoires du Rhône, - Monsieur le Maire de la commune de Grézieu La Varenne, - Monsieur le Commandant du Groupement de Gendarmerie du département, - Monsieur le Chef du service départemental de l’ONCFS, - Monsieur le Chef du service départemental de l’ONEMA, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera transmise aux propriétaires et utilisateurs du site concerné. La Secrétaire Générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1418 du 9 mars 2012 Objet : Imposant au Syndicat d'Assainissement Confluent Saône Azergues des prescriptions complémentaires à l'arrêté n° 2008-1403 du 16 janvier 2008 portant renouvellement de l'autorisation d'exploitation du système d'assainissement de Anse , relatives à des mesures de surveillance de la présence de micro-polluants rejetés vers les milieux aquatiques Article 1 : Objet Le Syndicat d'Assainissement Confluent Saône Azergues doit respecter, pour son installation de traitement des eaux usées de l'agglomération d'assainissement de Anse, Ambérieux et Lachassagne,située sur le territoire de la commune Anse, d’une capacité nominale de traitement de 900 kg DBO5/j, les prescriptions du présent arrêté préfectoral complémentaire, qui vise à fixer les modalités de surveillance des rejets de substances dangereuses dans l’eau afin d’améliorer la connaissance qualitative et quantitative des rejets au milieu naturel de ces substances. Les prescriptions de l’arrêté préfectoral n° 2008-1 403 du 16 janvier 2008 sont complétées par celles du présent arrêté. Article 2 : Surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées vers les milieux aquatiques Le Syndicat d'Assainissement Confluent Saône Azergues est tenu de mettre en place une surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées au milieu naturel par son installation dans les conditions définies ci-dessous. Le Syndicat d'Assainissement Confluent Saône Azergues doit procéder, ou faire procéder, dans le courant de l’année 2012 à une série de 4 mesures permettant de quantifier les concentrations moyennes 24 heures des micro-polluants mentionnés en annexe 1 dans les eaux traitées rejetées par la station au milieu naturel. Ces mesures constituent la campagne initiale de recherche. En complément de la transmission des données au format SANDRE, un rapport annexé au bilan des contrôles de fonctionnement du système d’assainissement, prévu à l’article 17 de l’arrêté du 22 juin 2007, comprend l'ensemble des résultats des mesures indiquées ciavant, des commentaires et d’éventuelles explications sur les résultats obtenus et leurs variations. Ce rapport doit notamment permettre de vérifier le respect des prescriptions techniques analytiques prévues à l’annexe 2 du présent arrêté. Le bénéficiaire de l’autorisation poursuit, ou fait poursuivre, les mesures au cours des années suivantes dans les eaux rejetées par la station au milieu naturel, au nombre de 3 mesures par an, au titre de la surveillance régulière, pour les micro-polluants considérés comme significatifs. Sont considérés comme non significatifs, les micro-polluants de la liste ci-dessous mesurés lors de la campagne initiale et présentant l’une des caractéristiques suivantes : • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont strictement inférieures à la limite de quantification LQ définie dans le tableau en annexe 1 pour cette substance. • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont inférieures à 10*NQE prévues dans l’arrêté du 25 janvier 2010 ou, pour celles n’y figurant pas, dans l’arrêté du 20 avril 2005, et tous les flux journaliers calculés pour le micro-polluant sont inférieurs à 10% du flux journalier théorique admissible par le milieu récepteur. Ces deux conditions devant être réunies simultanément. • Lorsque les arrêtés du 25 janvier 2010 ou du 20 avril 2005 ne définissent pas de NQE pour le micro-polluant: les flux estimés sont inférieurs au seuils de déclaration dans l’eau prévus par l’arrêté du 31 janvier 2008 relatif au registre et à la déclaration annuelle des émissions polluantes et des déchets. Le débit d’étiage de référence pris en compte pour le calcul du flux admissible est le débit mensuel minimal de référence de fréquence quinquennale (QMNA5) de la masse d’eau dans laquelle a lieu le rejet. Le QMNA5 est de 0,620 m3/s (source : station de mesures DIREN n°U4644010 Azergues Lozanne) 125 Tous les trois ans, l’une des mesures de la surveillance régulière quantifie l’ensemble des micro-polluants indiqués dans la liste mentionnée en annexe 1. La surveillance régulière doit être actualisée pour les trois années suivantes en fonction des résultats de cette mesure et de la surveillance régulière antérieure selon les principes détaillés au paragraphe précédant. L’ensemble des mesures de micro-polluants prévues aux paragraphes ci-dessus sont réalisées conformément aux prescriptions techniques de l’annexe 2. Les limites de quantification minimales à atteindre par les laboratoires pour chaque molécule sont précisées dans le tableau en annexe 1. Les résultats des mesures relatives aux micro-polluants reçus durant le mois N, sont transmis dans le courant du mois N+1 au service chargé de la police de l'eau et à l'agence de l'eau dans le cadre de la transmission régulière des données d’autosurveillance effectuée dans le cadre du format informatique relatif aux échanges des données d’autosurveillance des systèmes d’assainissement du Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau (SANDRE). Les données correspondant à la campagne initiale seront également transmises en version papier au service police de l’eau. Article 3 : Prescriptions techniques applicables aux opérations de prélèvements et d’analyses 3.1 : Les mesures des micro-polluants recherchés devront être réalisées par un ou plusieurs laboratoires titulaires de l’agrément prévu à l’arrêté du 29 novembre 2006 portant modalités d’agrément des laboratoires dans le domaine de l’eau et des milieux aquatiques au titre du code de l’environnement ou accrédités COFRAC. Le laboratoire d’analyse(s) choisi devra impérativement remplir les deux conditions suivantes : • être accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17025 pour la matrice « Eaux Résiduaires», pour chaque micro-polluant à analyser. L’exploitant de la station de traitement des eaux usées doit s’assurer de l’obtention effective de cette accréditation, notamment par la demande, avant le début des opérations de prélèvement, des informations suivantes : numéro d’accréditation, extrait de l’annexe technique sur les micro-polluants concernés. • respecter les limites de quantification listées à l’annexe 1 pour chacun des micro-polluants. 3.2 : Les prélèvements et analyses réalisés en application du présent arrêté doivent respecter les dispositions de l’annexe 2 du présent arrêté. 3.3 : L’exploitant du système de traitement adresse le programme de mesures chaque année au service police de l’eau et à l’agence de l’eau pour acceptation. Article 4 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 5 : Sanctions Toute infraction aux dispositions du présent arrêté relève des articles R.216-12 et des articles L.216-1 à L.216-13 du code de l’environnement. Article 6 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Un avis au public faisant connaître les termes du présent arrêté sera publié à la diligence des services de la direction départementale des territoires du RHONE, et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du RHONE. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour affichage pendant au moins un mois au maire de la commune de Anse, Ambérieux et Lachassagne. Cette formalité sera justifiée par un procès verbal. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône. Article 7 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours est maintenu jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Article 8 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le Directeur départementale des territoires de du Rhône, le Directeur du service de la navigation Rhône Saône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au Syndicat d'Assainissement Confluent Saône Azergues, et dont une copie adressée aux maires des communes visées à l’article 6 chargés de l’affichage, et aux conseils municipaux de ces communes pour information. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1419 du 9 mars 2012 Objet : Imposant au Syndicat Intercommunal d'Assainissement du Bassin de l'Arbresle des prescriptions complémentaires à l'arrêté n° 2009/2778 du 04 juin 2009 portant autorisation au titre de l'article L214-3 du code de l'Environnement DU système d'assainissement de l'Arbresle relatives à des mesures de surveillance de la présence de micro-polluants rejetés vers les milieux aquatiques Article 1 : Objet Le Syndicat Intercommunal d'Assainissement du Bassin de l'Arbresle doit respecter, pour son installation de traitement des eaux usées de l'agglomération d'assainissement de l'Arbresle, Eveux, Nuelles, Bully, Sain Bel, Savigny, Saint Germain sur l'Arbresle et Fleurieux sur l'Arbresle, situées sur le territoire de la commune l'Arbresle, d’une capacité nominale de traitement de 827 kg DBO5/j, les prescriptions du présent arrêté préfectoral complémentaire, qui vise à fixer les modalités de surveillance des rejets de substances dangereuses dans l’eau afin d’améliorer la connaissance qualitative et quantitative des rejets au milieu naturel de ces substances. Les prescriptions de l’arrêté préfectoral n° 2009/2 778 du 04 juin 2009 sont complétées par celles du présent arrêté. Article 2 : Surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées vers les milieux aquatiques Le Syndicat Intercommunal d'Assainissement du Bassin de l'Arbresle est tenu de mettre en place une surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées au milieu naturel par son installation dans les conditions définies ci-dessous. Le Syndicat Intercommunal d'Assainissement du Bassin de l'Arbresle doit procéder, ou faire procéder, dans le courant de l’année 2012 à une série de 4 mesures permettant de quantifier les concentrations moyennes 24 heures des micro-polluants mentionnés en annexe 1 dans les eaux traitées rejetées par la station au milieu naturel. Ces mesures constituent la campagne initiale de recherche. En complément de la transmission des données au format SANDRE, un rapport annexé au bilan des contrôles de fonctionnement du système d’assainissement, prévu à l’article 17 de l’arrêté du 22 juin 2007, comprend l'ensemble des résultats des mesures indiquées ci- 126 avant, des commentaires et d’éventuelles explications sur les résultats obtenus et leurs variations. Ce rapport doit notamment permettre de vérifier le respect des prescriptions techniques analytiques prévues à l’annexe 2 du présent arrêté. Le bénéficiaire de l’autorisation poursuit, ou fait poursuivre, les mesures au cours des années suivantes dans les eaux rejetées par la station au milieu naturel, au nombre de 3 mesures par an, au titre de la surveillance régulière, pour les micro-polluants considérés comme significatifs. Sont considérés comme non significatifs, les micro-polluants de la liste ci-dessous mesurés lors de la campagne initiale et présentant l’une des caractéristiques suivantes : • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont strictement inférieures à la limite de quantification LQ définie dans le tableau en annexe 1 pour cette substance. • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont inférieures à 10*NQE prévues dans l’arrêté du 25 janvier 2010 ou, pour celles n’y figurant pas, dans l’arrêté du 20 avril 2005, et tous les flux journaliers calculés pour le micro-polluant sont inférieurs à 10% du flux journalier théorique admissible par le milieu récepteur. Ces deux conditions devant être réunies simultanément. • Lorsque les arrêtés du 25 janvier 2010 ou du 20 avril 2005 ne définissent pas de NQE pour le micro-polluant: les flux estimés sont inférieurs au seuils de déclaration dans l’eau prévus par l’arrêté du 31 janvier 2008 relatif au registre et à la déclaration annuelle des émissions polluantes et des déchets. Le débit d’étiage de référence pris en compte pour le calcul du flux admissible est le débit mensuel minimal de référence de fréquence quinquennale (QMNA5) de la masse d’eau dans laquelle a lieu le rejet. Le QMNA5 est de 0,200 m3/s. Tous les trois ans, l’une des mesures de la surveillance régulière quantifie l’ensemble des micro-polluants indiqués dans la liste mentionnée en annexe 1. La surveillance régulière doit être actualisée pour les trois années suivantes en fonction des résultats de cette mesure et de la surveillance régulière antérieure selon les principes détaillés au paragraphe précédant. L’ensemble des mesures de micro-polluants prévues aux paragraphes ci-dessus sont réalisées conformément aux prescriptions techniques de l’annexe 2. Les limites de quantification minimales à atteindre par les laboratoires pour chaque molécule sont précisées dans le tableau en annexe 1. Les résultats des mesures relatives aux micro-polluants reçus durant le mois N, sont transmis dans le courant du mois N+1 au service chargé de la police de l'eau et à l'agence de l'eau dans le cadre de la transmission régulière des données d’autosurveillance effectuée dans le cadre du format informatique relatif aux échanges des données d’autosurveillance des systèmes d’assainissement du Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau (SANDRE). Les données correspondant à la campagne initiale seront également transmises en version papier au service police de l’eau. Article 3 : Prescriptions techniques applicables aux opérations de prélèvements et d’analyses 3.1 : Les mesures des micro-polluants recherchés devront être réalisées par un ou plusieurs laboratoires titulaires de l’agrément prévu à l’arrêté du 29 novembre 2006 portant modalités d’agrément des laboratoires dans le domaine de l’eau et des milieux aquatiques au titre du code de l’environnement ou accrédités COFRAC. Le laboratoire d’analyse(s) choisi devra impérativement remplir les deux conditions suivantes : • être accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17025 pour la matrice « Eaux Résiduaires», pour chaque micro-polluant à analyser. L’exploitant de la station de traitement des eaux usées doit s’assurer de l’obtention effective de cette accréditation, notamment par la demande, avant le début des opérations de prélèvement, des informations suivantes : numéro d’accréditation, extrait de l’annexe technique sur les micro-polluants concernés. • respecter les limites de quantification listées à l’annexe 1 pour chacun des micro-polluants. 3.2 : Les prélèvements et analyses réalisés en application du présent arrêté doivent respecter les dispositions de l’annexe 2 du présent arrêté. 3.3 : L’exploitant du système de traitement adresse le programme de mesures chaque année au service police de l’eau et à l’agence de l’eau pour acceptation. Article 4 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 5 : Sanctions Toute infraction aux dispositions du présent arrêté relève des articles R.216-12 et des articles L.216-1 à L.216-13 du code de l’environnement. Article 6 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Un avis au public faisant connaître les termes du présent arrêté sera publié à la diligence des services de la direction départementale des territoires du RHONE, et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du RHONE. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour affichage pendant au moins un mois aux maire des communes de l'Arbresle, Eveux, Nuelles, Bully, Sain Bel, Savigny, Saint Germain sur l'Arbresle et Fleurieux sur l'Arbresle. Cette formalité sera justifiée par un procès verbal. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône. Article 7 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours est maintenu jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Article 8 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le Directeur départementale des territoires de du Rhône, le Directeur du service de la navigation Rhône Saône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au Syndicat Intercommunal d'Assainissement du Bassin de l'Arbresle , et dont une copie adressée aux maires des communes visées à l’article 6 chargés de l’affichage, et aux conseils municipaux de ces communes pour information. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER 127 Arrêté préfectoral n° 2012-1420 du 9 mars 2012 Objet : Imposant au Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la Vauxonne des prescriptions complémentaires à l'arrêté n° 2003/1483 du 28 mars 2003 portant renouvellement de l'autorisation de rejets des effluents de la station d'épuration de Saint-Étienne-des-Oullières, modifié par l'arrêté n°2009-7438 du 16 décembre 200 9 relatives à des mesures de surveillance de la présence de micro-polluants rejetés vers les milieux aquatiques Article 1 : Objet Le Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la Vauxonne doit respecter, pour son installation de traitement des eaux usées de l'agglomération d'assainissement de le Perréon, Saint-Étienne-des Oullières, Saint-Étienne-la-Varenne, Salles-Arbuissonas-en-Beaujolais, Vaux-en-Beaujolais, situées sur le territoire de la commune Saint-Étienne-des-Oullières, d’une capacité nominale de traitement de 1 944 kg DBO5/j, les prescriptions du présent arrêté préfectoral complémentaire, qui vise à fixer les modalités de surveillance des rejets de substances dangereuses dans l’eau afin d’améliorer la connaissance qualitative et quantitative des rejets au milieu naturel de ces substances. Les prescriptions de l’arrêté préfectoral n° 2003/1 483 du 28 mars 2003 , modifié par l'arrêté n°2009-7 438 du 16 décembre 2009 sont complétées par celles du présent arrêté. Article 2 : Surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées vers les milieux aquatiques Le Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la Vauxonne est tenu de mettre en place une surveillance de la présence de micropolluants dans les eaux rejetées au milieu naturel par son installation dans les conditions définies ci-dessous. Le Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la Vauxonne doit procéder, ou faire procéder, dans le courant de l’année 2012 à une série de 4 mesures permettant de quantifier les concentrations moyennes 24 heures des micro-polluants mentionnés en annexe 1 dans les eaux traitées rejetées par la station au milieu naturel. Ces mesures constituent la campagne initiale de recherche. En complément de la transmission des données au format SANDRE, un rapport annexé au bilan des contrôles de fonctionnement du système d’assainissement, prévu à l’article 17 de l’arrêté du 22 juin 2007, comprend l'ensemble des résultats des mesures indiquées ciavant, des commentaires et d’éventuelles explications sur les résultats obtenus et leurs variations. Ce rapport doit notamment permettre de vérifier le respect des prescriptions techniques analytiques prévues à l’annexe 2 du présent arrêté. Le bénéficiaire de l’autorisation poursuit, ou fait poursuivre, les mesures au cours des années suivantes dans les eaux rejetées par la station au milieu naturel, au nombre de 4 mesures par an, au titre de la surveillance régulière, pour les micro-polluants considérés comme significatifs. Sont considérés comme non significatifs, les micro-polluants de la liste ci-dessous mesurés lors de la campagne initiale et présentant l’une des caractéristiques suivantes : • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont strictement inférieures à la limite de quantification LQ définie dans le tableau en annexe 1 pour cette substance. • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont inférieures à 10*NQE prévues dans l’arrêté du 25 janvier 2010 ou, pour celles n’y figurant pas, dans l’arrêté du 20 avril 2005, et tous les flux journaliers calculés pour le micro-polluant sont inférieurs à 10% du flux journalier théorique admissible par le milieu récepteur. Ces deux conditions devant être réunies simultanément. • Lorsque les arrêtés du 25 janvier 2010 ou du 20 avril 2005 ne définissent pas de NQE pour le micro-polluant: les flux estimés sont inférieurs au seuils de déclaration dans l’eau prévus par l’arrêté du 31 janvier 2008 relatif au registre et à la déclaration annuelle des émissions polluantes et des déchets. Le débit d’étiage de référence pris en compte pour le calcul du flux admissible est le débit mensuel minimal de référence de fréquence quinquennale (QMNA5) de la masse d’eau dans laquelle a lieu le rejet. Le QMNA5 est de 0,011 m3/s. Tous les trois ans, l’une des mesures de la surveillance régulière quantifie l’ensemble des micro-polluants indiqués dans la liste mentionnée en annexe 1. La surveillance régulière doit être actualisée pour les trois années suivantes en fonction des résultats de cette mesure et de la surveillance régulière antérieure selon les principes détaillés au paragraphe précédant. L’ensemble des mesures de micro-polluants prévues aux paragraphes ci-dessus sont réalisées conformément aux prescriptions techniques de l’annexe 2. Les limites de quantification minimales à atteindre par les laboratoires pour chaque molécule sont précisées dans le tableau en annexe 1. Les résultats des mesures relatives aux micro-polluants reçus durant le mois N, sont transmis dans le courant du mois N+1 au service chargé de la police de l'eau et à l'agence de l'eau dans le cadre de la transmission régulière des données d’autosurveillance effectuée dans le cadre du format informatique relatif aux échanges des données d’autosurveillance des systèmes d’assainissement du Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau (SANDRE). Les données correspondant à la campagne initiale seront également transmises en version papier au service police de l’eau. Article 3 : Prescriptions techniques applicables aux opérations de prélèvements et d’analyses 3.1 : Les mesures des micro-polluants recherchés devront être réalisées par un ou plusieurs laboratoires titulaires de l’agrément prévu à l’arrêté du 29 novembre 2006 portant modalités d’agrément des laboratoires dans le domaine de l’eau et des milieux aquatiques au titre du code de l’environnement ou accrédités COFRAC. Le laboratoire d’analyse(s) choisi devra impérativement remplir les deux conditions suivantes : • être accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17025 pour la matrice « Eaux Résiduaires», pour chaque micro-polluant à analyser. L’exploitant de la station de traitement des eaux usées doit s’assurer de l’obtention effective de cette accréditation, notamment par la demande, avant le début des opérations de prélèvement, des informations suivantes : numéro d’accréditation, extrait de l’annexe technique sur les micro-polluants concernés. • respecter les limites de quantification listées à l’annexe 1 pour chacun des micro-polluants. 3.2 : Les prélèvements et analyses réalisés en application du présent arrêté doivent respecter les dispositions de l’annexe 2 du présent arrêté. 3.3 : L’exploitant du système de traitement adresse le programme de mesures chaque année au service police de l’eau et à l’agence de l’eau pour acceptation. Article 4 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 5 : Sanctions Toute infraction aux dispositions du présent arrêté relève des articles R.216-12 et des articles L.216-1 à L.216-13 du code de l’environnement. Article 6 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. 128 Un avis au public faisant connaître les termes du présent arrêté sera publié à la diligence des services de la direction départementale des territoires du RHONE, et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du RHONE. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour affichage pendant au moins un mois aux maire des communes de le Perréon, Saint-Étienne-des Oullières, Saint-Étienne-la-Varenne, Salles-Arbuissonas-en-Beaujolais, Vaux-en-Beaujolais. Cette formalité sera justifiée par un procès verbal. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône. Article 7 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours est maintenu jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Article 8 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le Directeur départementale des territoires de du Rhône, le Directeur du service de la navigation Rhône Saône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la Vauxonne, et dont une copie adressée aux maires des communes visées à l’article 6 chargés de l’affichage, et aux conseils municipaux de ces communes pour information. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1421 du 9 mars 2012 Objet : Imposant au Syndicat Intercommunal d'assainissement de la Haute Vallée du Garon des prescriptions complémentaires à l'arrêté n° 2003-1776 du 30 avril 2003 portant renouvellemen t de l'autorisation de rejet de la station d'épuration de Messimy ,relatives à des mesures de surveillance de la présence de micro-polluants rejetés vers les milieux aquatiques Article 1 : Objet Le Syndicat Intercommunal d'assainissement de la Haute Vallée du Garon doit respecter, pour son installation de traitement des eaux usées de l'agglomération d'assainissement de Messimy, Soucieu-en-Jarrest et Thurins,située sur le territoire de la commune Messimy, d’une capacité nominale de traitement de 720 kg DBO5/j, les prescriptions du présent arrêté préfectoral complémentaire, qui vise à fixer les modalités de surveillance des rejets de substances dangereuses dans l’eau afin d’améliorer la connaissance qualitative et quantitative des rejets au milieu naturel de ces substances. Les prescriptions de l’arrêté préfectoral n° 2003-1 776 du 30 avril 2003 sont complétées par celles du présent arrêté. Article 2 : Surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées vers les milieux aquatiques Le Syndicat Intercommunal d'assainissement de la Haute Vallée du Garon est tenu de mettre en place une surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées au milieu naturel par son installation dans les conditions définies ci-dessous. Le Syndicat Intercommunal d'assainissement de la Haute Vallée du Garon doit procéder, ou faire procéder, dans le courant de l’année 2012 à une série de 4 mesures permettant de quantifier les concentrations moyennes 24 heures des micro-polluants mentionnés en annexe 1 dans les eaux traitées rejetées par la station au milieu naturel. Ces mesures constituent la campagne initiale de recherche. En complément de la transmission des données au format SANDRE, un rapport annexé au bilan des contrôles de fonctionnement du système d’assainissement, prévu à l’article 17 de l’arrêté du 22 juin 2007, comprend l'ensemble des résultats des mesures indiquées ciavant, des commentaires et d’éventuelles explications sur les résultats obtenus et leurs variations. Ce rapport doit notamment permettre de vérifier le respect des prescriptions techniques analytiques prévues à l’annexe 2 du présent arrêté. Le bénéficiaire de l’autorisation poursuit, ou fait poursuivre, les mesures au cours des années suivantes dans les eaux rejetées par la station au milieu naturel, au nombre de 3 mesures par an, au titre de la surveillance régulière, pour les micro-polluants considérés comme significatifs. Sont considérés comme non significatifs, les micro-polluants de la liste ci-dessous mesurés lors de la campagne initiale et présentant l’une des caractéristiques suivantes : • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont strictement inférieures à la limite de quantification LQ définie dans le tableau en annexe 1 pour cette substance. • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont inférieures à 10*NQE prévues dans l’arrêté du 25 janvier 2010 ou, pour celles n’y figurant pas, dans l’arrêté du 20 avril 2005, et tous les flux journaliers calculés pour le micro-polluant sont inférieurs à 10% du flux journalier théorique admissible par le milieu récepteur. Ces deux conditions devant être réunies simultanément. • Lorsque les arrêtés du 25 janvier 2010 ou du 20 avril 2005 ne définissent pas de NQE pour le micro-polluant: les flux estimés sont inférieurs au seuils de déclaration dans l’eau prévus par l’arrêté du 31 janvier 2008 relatif au registre et à la déclaration annuelle des émissions polluantes et des déchets. Le débit d’étiage de référence pris en compte pour le calcul du flux admissible est le débit mensuel minimal de référence de fréquence quinquennale (QMNA5) de la masse d’eau dans laquelle a lieu le rejet. Le QMNA5 est de 0,011 m3/s (source : Suivi annuel de la qualité du milieu) Tous les trois ans, l’une des mesures de la surveillance régulière quantifie l’ensemble des micro-polluants indiqués dans la liste mentionnée en annexe 1. La surveillance régulière doit être actualisée pour les trois années suivantes en fonction des résultats de cette mesure et de la surveillance régulière antérieure selon les principes détaillés au paragraphe précédant. L’ensemble des mesures de micro-polluants prévues aux paragraphes ci-dessus sont réalisées conformément aux prescriptions techniques de l’annexe 2. Les limites de quantification minimales à atteindre par les laboratoires pour chaque molécule sont précisées dans le tableau en annexe 1. Les résultats des mesures relatives aux micro-polluants reçus durant le mois N, sont transmis dans le courant du mois N+1 au service chargé de la police de l'eau et à l'agence de l'eau dans le cadre de la transmission régulière des données d’autosurveillance effectuée dans le cadre du format informatique relatif aux échanges des données d’autosurveillance des systèmes d’assainissement du Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau (SANDRE). Les données correspondant à la campagne initiale seront également transmises en version papier au service police de l’eau. Article 3 : Prescriptions techniques applicables aux opérations de prélèvements et d’analyses 3.1 : Les mesures des micro-polluants recherchés devront être réalisées par un ou plusieurs laboratoires titulaires de l’agrément prévu à l’arrêté du 29 novembre 2006 portant modalités d’agrément des laboratoires dans le domaine de l’eau et des milieux aquatiques au titre du code de l’environnement ou accrédités COFRAC. Le laboratoire d’analyse(s) choisi devra impérativement remplir les deux conditions suivantes : • être accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17025 pour la matrice « Eaux Résiduaires», pour chaque micro-polluant à analyser. L’exploitant de la station de traitement des eaux usées doit s’assurer de l’obtention effective de cette accréditation, notamment par la 129 demande, avant le début des opérations de prélèvement, des informations suivantes : numéro d’accréditation, extrait de l’annexe technique sur les micro-polluants concernés. • respecter les limites de quantification listées à l’annexe 1 pour chacun des micro-polluants. 3.2 : Les prélèvements et analyses réalisés en application du présent arrêté doivent respecter les dispositions de l’annexe 2 du présent arrêté. 3.3 : L’exploitant du système de traitement adresse le programme de mesures chaque année au service police de l’eau et à l’agence de l’eau pour acceptation. Article 4 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 5 : Sanctions Toute infraction aux dispositions du présent arrêté relève des articles R.216-12 et des articles L.216-1 à L.216-13 du code de l’environnement. Article 6 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Un avis au public faisant connaître les termes du présent arrêté sera publié à la diligence des services de la direction départementale des territoires du RHONE, et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du RHONE. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour affichage pendant au moins un mois au maire de la commune de Messimy, Soucieu-en-Jarrest et Thurins. Cette formalité sera justifiée par un procès verbal. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône. Article 7 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours est maintenue jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Article 8 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le Directeur départementale des territoires de du Rhône, le Directeur du service de la navigation Rhône Saône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au Syndicat Intercommunal d'assainissement de la Haute Vallée du Garon , et dont une copie adressée aux maires des communes visées à l’article 6 chargés de l’affichage, et aux conseils municipaux de ces communes pour information. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté préfectoral n° 2012-1422 du 9 mars 2012 Objet : Imposant à la Communauté de Communes des Hauts du Lyonnais des prescriptions complémentaires à l'arrêté du 23 Décembre 1997 portant renouvellement de l'autorisation de rejets dans la Coise de la station d'épuration de Saint-Symphorien-sur-Coise située au lieu-dit « Pont français » modifié par l'arrêté n°2 008-5612 du 20 novembre 2008 relatives à des mesures de surveillance de la présence de micro-polluants rejetés vers les milieux aquatiques Article 1 : Objet La Communauté de Communes des Hauts du Lyonnais doit respecter, pour son installation de traitement des eaux usées de l'agglomération d'assainissement de Coise, Pomeys, Saint-Martin-en-Haut et Saint-Symphorien-sur- Coise,située sur le territoire de la commune Saint-Symphorien-sur-Coise située au lieu-dit « Pont français », d’une capacité nominale de traitement de 972 kg DBO5/j, les prescriptions du présent arrêté préfectoral complémentaire, qui vise à fixer les modalités de surveillance des rejets de substances dangereuses dans l’eau afin d’améliorer la connaissance qualitative et quantitative des rejets au milieu naturel de ces substances. Les prescriptions de l’arrêté préfectoral du 23 Décembre 1997 , modifié par l'arrêté n°2008-5612 du 20 novembre 2008 sont complétées par celles du présent arrêté. Article 2 : Surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées vers les milieux aquatiques La Communauté de Communes des Hauts du Lyonnais est tenu de mettre en place une surveillance de la présence de micro-polluants dans les eaux rejetées au milieu naturel par son installation dans les conditions définies ci-dessous. La Communauté de Communes des Hauts du Lyonnais doit procéder, ou faire procéder, dans le courant de l’année 2012 à une série de 4 mesures permettant de quantifier les concentrations moyennes 24 heures des micro-polluants mentionnés en annexe 1 dans les eaux traitées rejetées par la station au milieu naturel. Ces mesures constituent la campagne initiale de recherche. En complément de la transmission des données au format SANDRE, un rapport annexé au bilan des contrôles de fonctionnement du système d’assainissement, prévu à l’article 17 de l’arrêté du 22 juin 2007, comprend l'ensemble des résultats des mesures indiquées ciavant, des commentaires et d’éventuelles explications sur les résultats obtenus et leurs variations. Ce rapport doit notamment permettre de vérifier le respect des prescriptions techniques analytiques prévues à l’annexe 2 du présent arrêté. Le bénéficiaire de l’autorisation poursuit, ou fait poursuivre, les mesures au cours des années suivantes dans les eaux rejetées par la station au milieu naturel, au nombre de 3 mesures par an, au titre de la surveillance régulière, pour les micro-polluants considérés comme significatifs. Sont considérés comme non significatifs, les micro-polluants de la liste ci-dessous mesurés lors de la campagne initiale et présentant l’une des caractéristiques suivantes : • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont strictement inférieures à la limite de quantification LQ définie dans le tableau en annexe 1 pour cette substance. • Toutes les concentrations mesurées pour le micro-polluant sont inférieures à 10*NQE prévues dans l’arrêté du 25 janvier 2010 ou, pour celles n’y figurant pas, dans l’arrêté du 20 avril 2005, et tous les flux journaliers calculés pour le micro-polluant sont inférieurs à 10% du flux journalier théorique admissible par le milieu récepteur. Ces deux conditions devant être réunies simultanément. • Lorsque les arrêtés du 25 janvier 2010 ou du 20 avril 2005 ne définissent pas de NQE pour le micro-polluant: les flux estimés sont inférieurs au seuils de déclaration dans l’eau prévus par l’arrêté du 31 janvier 2008 relatif au registre et à la déclaration annuelle des émissions polluantes et des déchets. 130 Le débit d’étiage de référence pris en compte pour le calcul du flux admissible est le débit mensuel minimal de référence de fréquence quinquennale (QMNA5) de la masse d’eau dans laquelle a lieu le rejet. Le QMNA5 est de 0,035 m3/s (station de mesures DIREN n°K0663310 La Coise Larajasse Nézel). Tous les trois ans, l’une des mesures de la surveillance régulière quantifie l’ensemble des micro-polluants indiqués dans la liste mentionnée en annexe 1. La surveillance régulière doit être actualisée pour les trois années suivantes en fonction des résultats de cette mesure et de la surveillance régulière antérieure selon les principes détaillés au paragraphe précédant. L’ensemble des mesures de micro-polluants prévues aux paragraphes ci-dessus sont réalisées conformément aux prescriptions techniques de l’annexe 2. Les limites de quantification minimales à atteindre par les laboratoires pour chaque molécule sont précisées dans le tableau en annexe 1. Les résultats des mesures relatives aux micro-polluants reçus durant le mois N, sont transmis dans le courant du mois N+1 au service chargé de la police de l'eau et à l'agence de l'eau dans le cadre de la transmission régulière des données d’autosurveillance effectuée dans le cadre du format informatique relatif aux échanges des données d’autosurveillance des systèmes d’assainissement du Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau (SANDRE). Les données correspondant à la campagne initiale seront également transmises en version papier au service police de l’eau. Article 3 : Prescriptions techniques applicables aux opérations de prélèvements et d’analyses 3.1 : Les mesures des micro-polluants recherchés devront être réalisées par un ou plusieurs laboratoires titulaires de l’agrément prévu à l’arrêté du 29 novembre 2006 portant modalités d’agrément des laboratoires dans le domaine de l’eau et des milieux aquatiques au titre du code de l’environnement ou accrédités COFRAC. Le laboratoire d’analyse(s) choisi devra impérativement remplir les deux conditions suivantes : • être accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17025 pour la matrice « Eaux Résiduaires», pour chaque micro-polluant à analyser. L’exploitant de la station de traitement des eaux usées doit s’assurer de l’obtention effective de cette accréditation, notamment par la demande, avant le début des opérations de prélèvement, des informations suivantes : numéro d’accréditation, extrait de l’annexe technique sur les micro-polluants concernés. • respecter les limites de quantification listées à l’annexe 1 pour chacun des micro-polluants. 3.2 : Les prélèvements et analyses réalisés en application du présent arrêté doivent respecter les dispositions de l’annexe 2 du présent arrêté. 3.3 : L’exploitant du système de traitement adresse le programme de mesures chaque année au service police de l’eau et à l’agence de l’eau pour acceptation. Article 4 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 5 : Sanctions Toute infraction aux dispositions du présent arrêté relève des articles R.216-12 et des articles L.216-1 à L.216-13 du code de l’environnement. Article 6 : Publication et information des tiers Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Un avis au public faisant connaître les termes du présent arrêté sera publié à la diligence des services de la direction départementale des territoires du RHONE, et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département du RHONE. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour affichage pendant au moins un mois aux maires des communes de Coise, Pomeys, Saint-Martin-en-Haut et Saint-Symphorien-sur- Coise. Cette formalité sera justifiée par un procès verbal. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site internet de la préfecture du Rhône. Article 7 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours est maintenu jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Article 8 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le Directeur départementale des territoires de du Rhône, le Directeur du service de la navigation Rhône Saône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à la Communauté de Communes des Hauts du Lyonnais, et dont une copie adressée aux maires des communes visées à l’article 6 chargés de l’affichage, et aux conseils municipaux de ces communes pour information. La secrétaire générale Josiane CHEVALIER Arrêté Préfectoral n° 1413 du 6 Mars 2012 Objet : suspension de la mise sur le marché, retrait, rappel et destruction d’adaptateurs secteur/usb référence yt-5v0.5a IMPORTES PAR SARL KYOZEN implantée 49 rue Pasteur 69780 MIONS (SIREN : 523 934 743) Article 1er : Dès la publication du présent arrêté au recueil des actes administratifs, la SARL KYOZEN, 49 rue Pasteur 69780 MIONS, procédera à la suspension de la mise sur le marché des adaptateurs secteur/USB référence YT-5V0.5A fabriqués par la société chinoise Shenzen Yongte Electronic Ltd, Article 2 : Dès la publication du présent arrêté au recueil des actes administratifs, la SARL KYOZEN procèdera au retrait de la vente et au rappel des 130 unités déjà commercialisées. Article 3 : Dans un délai de 1 mois à compter de la publication du présent arrêté au recueil des actes administratifs, la société KYOZEN procèdera à la destruction de l’ensemble des adaptateurs YT-5V0.5A, détenus en stock et rappelés. Article 4 : La Direction Départementale de Protection des Populations du Rhône sera tenue informée des retours de marchandises et sera avertie au moins 48h à l’avance des dates retenues pour procéder à la destruction des produits. Article 5 : Les frais afférents aux opérations mentionnées aux articles 1, 2, 3 et 4 sont à la charge de la SARL KYOZEN. 131 Article 6 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié à l'opérateur par les services de la direction départementale de la protection des populations et publié au Recueil des actes administratifs. Le Préfet, P/o Le Directeur Départemental de la Protection des Populations du Rhône Vincent MARSEILLE Arrêté préfectoral n° 2012-1403 du 7 mars 2012 Objet : modifiant l’arrêté préfectoral n° 2009-3767 portant constitution du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques Article 1er : L’arrêté préfectoral n°2009-3767 du 8 juillet 20 09, est modifié ainsi qu’il suit : III) Neuf représentants d’associations agréées de consommateurs, de pêche et de protection de l’environnement, de membres de professions ayant leur activité dans les domaines de compétence de la commission et d’experts dans ces domaines : 3) Au titre des experts : Titulaire : M. Manuel MARQUIS, représentant expertise « qualité de l’air », désigné par le comité pour le contrôle de la pollution atmosphérique dans le Rhône et la région lyonnaise (COPARLY). Suppléante : Mme Marie-Blanche PERSONNAZ, désignée par le comité pour le contrôle de la pollution atmosphérique dans le Rhône et la région lyonnaise (COPARLY). Le reste sans changement ». Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture et le directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture, et notifié : aux sous-préfets des arrondissements de Villefranche sur Saône et de Lyon, au président de l’association des maires du département, au président de la chambre d’agriculture, au président de la chambre des métiers, aux présidents des chambres de commerce et d’industrie de Lyon et de Villefranche sur Saône, au président de la fédération départementale des associations agréées de pêche, au directeur de COPARLY, au président de la fédération Rhône-Alpes de protection de la nature, au directeur départemental des services d’incendie et de secours, à l’ingénieur en chef du service de la navigation Rhône Saône, à chacun des membres de conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques. Pour le Préfet, La secrétaire Générale Adjointe Marie-Thérèse Delaunay ARRÊTÉ n° 1385-2012 du 8 mars 2012 Objet :Autorisant les déviations de la canalisation de transport de gaz naturel « antenne de Villeurbanne », et de "la canalisation Meyzieu – Vaulx-en-Velin” sur le territoire de la commune de Décines-Charpieu, impactant la commune de Meyzieu. Article 1er : Sont autorisées la construction et l'exploitation par GRTgaz, des déviations de "l'antenne de Villeurbanne" et de "la canalisation Meyzieu – Vaulx-en-Velin” sur le territoire de la commune de Décines-Charpieu, impactant la commune de Meyzieu, et réalisées conformément au projet de tracé figurant sur la carte annexée au présent arrêté. Article 2 : L'autorisation concerne les ouvrages de transport décrits ci-après : 1° Canalisations Désignation des ouvrages Déviation de "l'antenne de Villeurbanne" Longueur approximative (kilomètres) 113 m Pression maximale de service (bar) 40 bar 120 m 40 bar Déviation de "la canalisation Meyzieu - Vaulx-en-Velin" Diamètre extérieur réel (mm) DN 150 (diamètre extérieur réel 168,3 mm) DN 300 (diamètre extérieur réel 323,9 mm) Observations / / 2° Ouvrages de traitement, de compressio n Désignation des ouvrages Sans objet Situation géographiques (commune d'implantation) / Puissance (kWh) / Observations / 3° Postes de livraison, et/ou postes de d étente 132 Désignation des ouvrages Sans objet Situation géographique (commune d'implantation) / Capacité m3 (n)/h / Observations / La présente autorisation ne préjuge pas de l'application d'autres réglementations qui seraient nécessaires pour l'implantation des ouvrages mentionnés au présent article. Article 3 : Les ouvrages autorisés seront construits sur le territoire de la commune de Décines-Charpieu, dans le département du Rhône. Article 4 : La construction des ouvrages autorisés devra être entreprise dans un délai de deux ans à compter de la publication du présent arrêté. Article 5 : La mise en service des ouvrages devra se faire conformément aux dispositions de l'article 32 du décret du 15 octobre 1985 modifié susvisé et de l'article 12 de l'arrêté du 4 août 2006 modifié susvisé. Article 6 : La présente autorisation est accordée aux clauses et conditions du cahier des charges annexé à l'autorisation ministérielle AM-0001 accordée par arrêté du 4 juin 2004 et établi conformément au cahier des charges type approuvé par le décret n° 52-77 du 15 janvier 1952 modifié susvisé. Article 7 : Le pouvoir calorifique du gaz transporté sec à la température de 0 degré Celsius et sous la pression de 1,013 bar est compris entre 10,5 et 12,8 kWh par mètre cube pour le réseau acheminant du gaz à haut pouvoir calorifique. En cas de circonstances exceptionnelles et pour une durée limitée, la limite inférieure pourra être abaissée à 9,3 kWh. La composition du gaz transporté sera telle qu'il ne puisse entraîner d'effets dommageables sur les canalisations concernées par la présente autorisation. Toute modification dans les caractéristiques du gaz transporté, telles qu'elles sont définies ci-dessus, doit être autorisée par le service du contrôle. Dans ce cas, le titulaire de l'autorisation de transport de gaz devra assurer aux utilisateurs une équitable compensation des charges supplémentaires résultant pour eux de cette mesure. Article 8 : La présente autorisation est accordée sans limitation de durée. Elle pourra être suspendue pour une durée limitée ou retirée par le ministre chargé de l'énergie en cas de non respect des obligations prévues au cahier des charges type tel qu'approuvé par le décret du 15 janvier 1952 modifié susvisé ou de manquement aux obligations de service public des opérateurs de réseaux de transport de gaz définies par le décret du 19 mars 2004 modifié susvisé. Article 9 : La présente autorisation est incessible et nominative. En cas de changement d'exploitant, l'autorisation ne pourra être transférée que par décision du ministre chargé de l'énergie. Article 10 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône et affiché en mairies de Décines-Charpieu et Meyzieu. Article 11 : Tout recours contre le présent arrêté devra être introduit auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa date de publication au recueil des actes administratifs de la préfecture pour les tiers et dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour l'exploitant. A peine d'irrecevabilité, la requête devant le tribunal administratif devra être accompagnée d'un timbre fiscal de 35 euros. Article 12 : La secrétaire générale de la préfecture, le directeur départemental de la protection des populations, le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement et les maires des communes de Décines-Charpieu et de Meyzieu sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont une copie sera adressée au directeur de GRTgaz. Pour le Préfet, La Secrétaire Générale, Signé Josiane CHEVALIER Décision du directeur de l’unité territoriale du Rhône du 21 mars 2012 portant organisation du service d'inspection du travail, en application de la décision du DIRECCTE Rhône-Alpes du 25 février 2010 Article 1er : Les directeurs adjoints inspectant et inspecteurs du travail sont affectés comme suit : Nom de l’agent Grade N° de section Jean-François GICQUEL Inspecteur du Travail Joël LOUIS Directeur adjoint 1 Esther PICARD Inspectrice du Travail Nathalie BLANC Inspectrice du Travail 3 Josiane COLLET Inspectrice du Travail 4 Valérie LHOMMEE Inspectrice du Travail 5 Isabelle BOUAYAD Inspectrice du Travail 6 Alexandra ABADIE Inspectrice du Travail 7 2 133 Annabelle SAZ Inspectrice du Travail Philippe FEYEUX Inspecteur du Travail 8 9 Brigitte CUNIN Inspectrice du Travail 10 Anne-Line TONNAIRE Inspectrice du Travail 11 Mélanie GIMENEZ Inspectrice du Travail 12 Martine MERET Inspectrice du Travail 13 Sylvie GAUTHIER Inspectrice du Travail 14 Denis METAXAS Françoise BROCARD Marie-Françoise GACHET Anne-Marie JUST Jean-Michel BONNET Marie-Pierre LONGIN Anne PEYSSONNEAUX René CHARRA Bernard GAUTHIER Philippe BARTHELEMY Ian DUFOUR- GRUENAIS Anne-Lise PERON Inspecteur du Travail Inspectrice du Travail Inspectrice du Travail Inspectrice du Travail Inspecteur du Travail Inspectrice du Travail Inspectrice du Travail Directeur adjoint Inspecteur du Travail Inspecteur du Travail Inspecteur du Travail Inspectrice du Travail 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 Par exception à cette règle de compétence territoriale ou matérielle, chacun de ces directeurs adjoints inspectants ou inspecteurs du travail est habilité pour intervenir sur l'ensemble du département : - afin de faire cesser toute situation de danger grave et imminent pour la sécurité ou la santé des salariés, sur tout chantier de bâtiment ou de travaux publics portant sur des immeubles par nature ou par destination, et à mettre en œuvre les procédures administratives ou judiciaires prévues par le code du travail ; - afin de diligenter dans les agences de travail temporaire les investigations nécessaires à la bonne conduite des enquêtes initiées dans les entreprises utilisatrices de sa section ; - afin de poursuivre dans les établissements concernés les investigations nécessaires à la bonne conduite des enquêtes de travail illégal initiées dans les entreprises de sa section et ce, en lien avec la 23ème section, dans toute la mesure du possible ; - sur toutes opérations de retrait ou confinement d'amiante friable. Ces interventions feront l'objet d'une information, si possible préalable, de la section territorialement compétente. A l’exception de l’aéroport Saint-Exupéry, le contrôle des entreprises, établissements ou sites relevant d'une installation classée pour la protection de l'environnement soumis à autorisation au titre du Code de l'Environnement, dits « SEVESO seuils haut et bas », existant et à venir dans le département du Rhône ainsi que tous les autres établissements présents sur leur site à titre temporaire ou permanent relève exclusivement de la compétence de la section 22, sous réserve des dispositions de l’article 2 relatif à l’organisation des remplacements. Article 2 : Le remplacement de tout directeur adjoint inspectant ou inspecteur du travail, d'une durée de moins de 4 semaines, sera assuré, selon les besoins du service, par l'un ou l'autre des directeurs adjoints inspectant ou inspecteurs du travail désigné à cette fin par le Directeur départemental, parmi les agents dont les noms suivent : - ABADIE Alexandra BARTHELEMY Philippe BONNET Jean-Michel BLANC Nathalie BOUAYAD Isabelle BROCARD Françoise CHARRA René COLLET Josiane CUNIN Brigitte DUFOUR-GRUENAIS Ian FEYEUX Philippe GACHET Marie-Françoise GAUTHIER Bernard - GICQUEL Jean-François GIMENEZ Mélanie JUST Anne-Marie LHOMMEE Valérie LONGIN Marie-Pierre LOUIS Joël MERET Martine METAXAS Denis PERON Anne-Lise PEYSSONNEAUX Anne PICARD Esther SAZ Annabelle TONNAIRE Anne Line GAUTHIER Sylvie Article 3 : Les directeurs adjoints inspectant et inspecteurs du travail, chefs de service, sont assistés par le ou les contrôleurs du travail placés sous leur autorité. Le directeur adjoint inspectant affecté à la section n° 2 est également assisté par un inspecteur du t ravail qui dispose de l'indépendance et des prérogatives attachées à sa fonction telles qu’elles découlent de la convention n° 81 de l’OIT et du code du travail. Sans préjudice de l'article 2, les remplacements du directeur adjoint inspectant et de l'inspecteur du travail sont assurés prioritairement par l'un ou l'autre. Le territoire de la 2ème section est réparti de la façon suivante : 2ème arrondissement 7ème arrondissement 134 DAI : Ouest du Cours Charlemagne (n° pairs de ce cours compris) et au Nord du secteur, jusqu'au Cours de Verdun Gensoul compris (place Carnot exclue) et le Centre d'échange de Perrache. IT : Est du Cours Charlemagne (n° impairs de ce cours compris) et au Nord du secteur, jusqu'au Cours de Verdun Récamier compris (place Carnot exclue). DAI : Sud de l'arrondissement, délimité au nord par la rue Antonin Perrin, l'avenue Debourg (jusqu'à l'avenue Jean Jaurès), la rue Simon Fryd et la rue Challemel Lacour, voies comprises, à l'exception du Port Edouard Herriot. IT : Nord du secteur, au-delà de ces voies, jusqu'à l'avenue Berthelot exclue. Par exception à cette règle de compétence territoriale, le directeur-adjoint inspectant et l’inspecteur du travail affectés à la section 2 sont habilités pour intervenir sur tous les chantiers du bâtiment ou des travaux publics sur l’ensemble du département en suppléance, en renfort ou en soutien de toute autre section du département, à l’initiative de son responsable ou d’un membre de la direction chargé de la mise en œuvre de la politique travail. Article 4 : Les agents de contrôle de la section participent aux actions collectives prévues par les programmes d'actions définis aux niveaux national, régional ou départemental. Une attention toute particulière sera portée à la prévention des accidents du travail et des pathologies liées au travail, et d'une manière plus générale aux conditions de travail susceptibles d'altérer la santé et la sécurité des salariés. Article 5 : Les agents de contrôle rendent compte de leur activité selon les modalités prescrites. Chaque section apporte sa contribution à l'élaboration de l'aperçu départemental sur les relations du travail. Article 6 : Les conditions d'exécution des missions précitées, les suggestions de modification juridique et d'action collective à mettre en œuvre, ainsi que toutes difficultés dans leur accomplissement devront être portées à ma connaissance. Article 7 : Le directeur de l’unité territoriale du Rhône est chargé de l'exécution de la présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. Fait à Villeurbanne, le 21 mars 2012 Le directeur de l’unité territoriale du Rhône Directeur régional adjoint Pascal BODIN Décision du directeur de l’unité territoriale du Rhône de la Direccte Rhône-Alpes du 21 mars 2012 Objet : Subdélégation de signature de Monsieur Pascal BODIN, Directeur de l’Unité territoriale du Rhône de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de Rhône-Alpes dans le cadre des compétences propres déterminées par des dispositions spécifiques du code du travail, du code rural, du code de l’éducation et du code de l’action sociale et des familles, de Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes. Article 1er : Subdélégation de signature est donnée à Mesdames et Messieurs : COLLET Fabienne, directrice du travail, secrétaire générale POSTEL-VINAY Ivan, administrateur civil, adjoint au directeur de l’Unité territoriale du Rhône BAYLE Eric, directeur-adjoint du travail, membre de l'équipe de direction BUISAN Sylvie, directrice-adjointe du travail, membre de l'équipe de direction DEBBARI Elisabeth, directrice-adjointe du travail, membre de l'équipe de direction JAN Annie, directrice-adjointe du travail, membre de l'équipe de direction LATELTIN Xavier, directeur-adjoint du travail, membre de l'équipe de direction LAVAYSSIERE Jean-Marie, directeur-adjoint du travail, membre de l'équipe de direction MARECHAL Véronique, attachée principale, membre de l’équipe de direction CHARRA René, directeur-adjoint du travail inspectant LOUIS Joël, directeur-adjoint du travail inspectant ABADIE Alexandra, inspectrice du travail BARTHELEMY Philippe, inspecteur du travail BLANC Nathalie, inspectrice du travail BONNET Jean-Michel, inspecteur du travail BOUAYAD Isabelle, inspectrice du travail BROCARD Françoise, inspectrice du travail COLLET Josiane, inspectrice du travail CUNIN Brigitte, inspectrice du travail DUFOUR-GRUENAIS Ian-Patrick, inspecteur du travail FEYEUX Philippe, inspecteur du travail GACHET Marie-Françoise, inspectrice du travail GAUTHIER Bernard, inspecteur du travail GAUTHIER Sylvie, inspectrice du travail GICQUEL Jean-François, inspecteur du travail GIMENEZ Mélanie, inspectrice du travail JUST Anne-Marie, inspectrice du travail LHOMMEE Valérie, inspectrice du travail LONGIN Marie-Pierre, inspectrice du travail MERET Martine, inspectrice du travail METAXAS Denis, inspecteur du travail PERON Anne-Lise, inspectrice du travail PEYSSONNEAUX, Anne inspectrice du travail PICARD Esther, inspectrice du travail SAZ Annabelle, inspectrice du travail TONNAIRE Anne-Line, inspectrice du travail 135 BLANC Isabelle, contrôleur du travail, chef du service « accords-épargne salariale » Pour signer, dans le cadre de leurs attributions et compétences et dans les conditions précisées ci-après, les décisions suivantes : Cote A1 NATURE DU POUVOIR Texte A – DISCRIMINATIONS Code travail égalité professionnelle entre les femmes et les hommes Opposition au plan pour l’égalité professionnelle B – CONSEILLERS PRUD’HOMMES B1 Délégataires de signature du L.1143-3 D.1143-6 Code travail Scrutin Avis au Préfet sur la liste et la circonscription des bureaux de vote L.1441-32 D 1441-78 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. du Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction C – RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE C1 C2 C3 C4 C5 D1 E1 E2 E3 E4 Licenciement pour motif économique Réduction du délai de notification des licenciements aux salariés L.1233-41 D.1233-8 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Constat de carence de plan de sauvegarde de l’emploi L.1233-52 Directeurs du travail, administrateur civil, D.1233-11 et directeurs adjoints du travail et attachée 13 principale membres de l’équipe de direction Avis sur une irrégularité de procédure dans un projet de L.1233-56 Directeurs du travail, administrateur civil, licenciement pour motif économique D.1233-12 et directeurs adjoints du travail et attachée 13 principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Propositions pour compléter ou modifier le plan de sauvegarde de L.1233-57 Directeurs du travail, administrateur civil, l’emploi D.1233-13 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Autre cas de rupture Décisions d’homologation et de refus d’homologation des L.1237-14 Directeurs du travail, administrateur civil, conventions de rupture du contrat de travail R.1237-3 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction du D – CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE DETERMINEE ET CONTRAT DE Code travail TRAVAIL TEMPORAIRE Conclusion et exécution du contrat Dérogation à l’interdiction de conclure un contrat de travail à L.1242-6 et Directeurs du travail, administrateur civil, durée déterminée ou un contrat de travail avec une entreprise de D.1242-5 directeurs adjoints du travail et attachée travail temporaire pour effectuer certains travaux dangereux L.1251-10 et principale membres de l’équipe de D.1251-2 direction, directeurs adjoints du travail L.4154-1, inspectants et inspecteurs du travail. D.4154-3 et D.4154-6 Code du E – GROUPEMENT D’EMPLOYEURS travail Groupement d’employeurs n’entrant pas dans le champ d’une même convention collective Opposition à l’exercice de l’activité du groupement d’employeurs L.1253-17 et Directeurs du travail, administrateur civil, D.1253-7 à directeurs adjoints du travail et attachée D.1253-11 principale membres de l’équipe de direction Groupement d’employeurs pour le remplacement de chefs d’exploitation agricole ou d’entreprises artisanales, industrielles ou commerciales ou de personnes physiques exerçant une profession libérale. Décision d’agrément ou de refus d’agrément du GE R.1253-22 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Demande de choisir une autre convention collective R.1253-26 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction. Retrait de l’agrément R.1253-27 et Directeurs du travail, administrateur civil, R.1253-28 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction 136 F – EXERCICE DU DROIT SYNDICAL Code travail du Délégué syndical F1 Décision de mettre fin au mandat de délégué syndical G – INSTITUTIONS REPRESENTATIVES DU PERSONNEL G1 G2 G3 G4 G5 G6 G7 G8 G9 G10 G11 H1 I1 I2 L.2143-11 et Directeurs du travail, administrateur civil, R.2143-6 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Code du travail Délégués du personnel Décision imposant l’élection de délégués de site et, en l’absence L.2312-5 d’accord, fixant les modalités électorales R.2312-1 et Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Décision de répartition du personnel dans les collèges électoraux L.2314-11 et Directeurs du travail, administrateur civil, et de répartition des sièges entre les différentes catégories de R.2314-6 directeurs adjoints du travail et attachée personnel principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Reconnaissance du caractère d’établissement distinct ou de la L.2314-31 et Directeurs du travail, administrateur civil, perte de la qualité d’établissement distinct. R.2312-2 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Comité d’entreprise Reconnaissance du caractère d’établissement distinct ou de la L.2322-5 et Directeurs du travail, administrateur civil, perte de la qualité d’établissement distinct. R.2322-1 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Décision accordant la suppression du comité d’entreprise L.2322-7 et Directeurs du travail, administrateur civil, R.2322-2 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Surveillance de la dévolution des biens R.2323-39 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Répartition du personnel dans les collèges électoraux et L.2324-13 et Directeurs du travail, administrateur civil, répartition des sièges entre les différentes catégories de R.2324-3 directeurs adjoints du travail et attachée personnel principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Comité central d’entreprise Nombre d’établissements distincts et répartition des sièges entre L.2327-7 et Directeurs du travail, administrateur civil, les différents établissements et les différentes catégories R.2327-3 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Comité de groupe Répartition des sièges entre les élus du ou des collèges L.2333-4 et Directeurs du travail, administrateur civil, électoraux R.2332-1 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Désignation du remplaçant d’un représentant du personnel ayant L.2333-6 et Directeurs du travail, administrateur civil, cessé ses fonctions R.2332-1 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Comité d’entreprise européen Décision accordant la suppression du comité d’entreprise L.2345-1 et Directeurs du travail, administrateur civil, européen. R.2345-1 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Code du H – PROCEDURE DE REGLEMENTS DES CONFLITS COLLECTIFS travail Commission départementale de conciliation Avis au préfet pour la nomination des membres des commissions R.2522-14 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Code du I – DUREE DU TRAVAIL, REPOS ET CONGES travail Durées maximales du travail Dérogation à la durée hebdomadaire maximale de 48h L.3121-35 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Dérogation à la durée hebdomadaire maximale de 48h L.713-13 et Directeurs du travail, administrateur civil, (professions agricoles) R. 713-32 du directeurs adjoints du travail et attachée Code rural et principale membres de l’équipe de de la pêche direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. maritime 137 I3 I4 I5 I6 I7 J1 K1 K2 K3 K4 L1 M1 M2 Dérogation à la durée hebdomadaire maximale moyenne de 44h L.3121-36 et Directeurs du travail, administrateur civil, calculée sur 12 semaines consécutives R.3121-24 à directeurs adjoints du travail et attachée R.3121-28 principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Dérogation à la durée moyenne hebdomadaire de 44h calculée L.713-13, R. Directeurs du travail, administrateur civil, sur 12 semaines consécutives (professions agricoles) 713-26 et R. directeurs adjoints du travail et attachée 713-28 du principale membres de l’équipe de code rural et direction, directeurs adjoints du travail de la pêche inspectants et inspecteurs du travail. maritime Contrôle de la durée du travail Recours hiérarchique contre la décision d’inspecteur du travail R.713-44 du Directeurs du travail, administrateur civil, relative à l’enregistrement des heures de travail effectuées Code rural et directeurs adjoints du travail et attachée de la pêche principale membres de l’équipe de direction maritime Aménagement du temps de travail Code du travail Suspension pour des établissements spécialement déterminés, R.3122-7 Directeurs du travail, administrateur civil, de la faculté de récupération des heures perdues suite à une directeurs adjoints du travail et attachée interruption collective du travail, en cas de chômage principale membres de l’équipe de extraordinaire et prolongé dans une profession direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Congés payés Désignation des membres des commissions instituées auprès L.3141-30 et Directeurs du travail, administrateur civil, des caisses de congés payés du BTP D.3141-35 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Code du J – REMUNERATION MENSUELLE MINIMALE travail Allocation complémentaire Proposition au préfet de versement direct aux salariés de la part L.3232-9 et Directeurs du travail, administrateur civil, de l’état R.3232-6 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction du K – ACCORDS D’INTERESSEMENT OU DE PARTICIPATION ET Code travail REGLEMENT D’UN PLAN D’EPARGNE SALARIALE Accusé de réception des dépôts : - des accords d’intéressement L.3313-3, Directeurs du travail, administrateur civil, L.3345-1, directeurs adjoints du travail et attachée D.3313-4 et principale membres de l’équipe de D.3345-5 direction, le contrôleur du travail chef du service Accords-Epargne salariale. - des accords de participation L.3323-4, Directeurs du travail, administrateur civil, L.3345-1, directeurs adjoints du travail et attachée D.3323-7 et principale membres de l’équipe de D.3345-5 direction, le contrôleur du travail chef du service Accords-Epargne salariale. - des plans d’épargne salariale et de leurs règlements L.3332-9, Directeurs du travail, administrateur civil, L.3345-1, directeurs adjoints du travail et attachée R.3332-6 et principale membres de l’équipe de D.3345-5 direction, le contrôleur du travail chef du service Accords-Epargne salariale. Contrôle lors du dépôt Demande de retrait ou de modification de dispositions illégales L.3345-2, R. Directeurs du travail, administrateur civil, 713-26 et R. directeurs adjoints du travail et attachée 713-28 principale membres de l’équipe de direction du L – DISPOSITIONS PARTICULIERES A CERTAINES CATEGORIES DE Code travail TRAVAILLEURS Local dédié à l’allaitement Autorisation de dépasser provisoirement le nombre maximal R.4152-17 Directeurs du travail, administrateur civil, d’enfants pouvant être accueillis dans un même local. directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Code du M– AMENAGEMENT DES LIEUX ET POSTES DE TRAVAIL travail Risques d’incendies et d’explosions et évacuation Dispense à un maître d’ouvrage R.4216-32 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Dispense à un établissement R.4227-55 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Code du N– PREVENTION DES RISQUES LIES A CERTAINES OPERATIONS travail 138 N1 N2 Prescriptions techniques applicables avant l’exécution des travaux de BTP Dérogations aux règles d’accès au chantier ou de raccordement à R.4533-6 un réseau d’eau potable et d’électricité R.4533-7 Risques particuliers dans les établissements pyrotechniques Approbation de l'étude de sécurité O– MISES EN DEMEURE ET DEMANDES DE VERIFICATION et Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Art. 85 du décret 79-846 du 28 septembre 1979 Code du travail O1 Mises en demeure Sur les principes généraux de prévention et obligation générale L.4721-1 de santé et sécurité O2 Recours Contestation de la nature, de l’importance ou du délai imposé R.4723-5 d’une demande d’analyse de produit d’un inspecteur du travail O3 Dispositions pénales Avis au tribunal sur le plan de réalisation des mesures propres à L.4741-11 rétablir des conditions normales de santé et de sécurité au travail Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction, directeurs adjoints du travail inspectants et inspecteurs du travail. Code du travail Attribution d’une aide à l’exercice d’une activité non salariée ou à L.5213-12 Directeurs du travail, administrateur civil, l’apprentissage directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Proposition de désignation de deux représentants des R.241-24 du Directeurs du travail, administrateur civil, organisations syndicales à la Commission des droits et de Code de directeurs adjoints du travail et attachée l’autonomie des personnes handicapées principale membres de l’équipe de l’action sociale et des direction familles du Q – INDEMNISATION DES TRAVAILLEURS INVOLONTAIREMENT PRIVES Code travail D’EMPLOI P –TRAVAILLEURS HANDICAPES P1 P2 Q1 Q2 R1 S1 S2 S3 Détermination du salaire de référence pour les travailleurs R.5422-3 migrants Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Détermination des périodes où il n’y a pas lieu à indemnisation L.5424-7 et Directeurs du travail, administrateur civil, des heures perdues pour intempéries, du fait de l’arrêt habituel de D.5424-8 à directeurs adjoints du travail et attachée l’activité de l’entreprise de BTP D.5424-10 principale membres de l’équipe de direction Code du R– APPRENTISSAGE travail Contrat d’apprentissage Suspension du contrat d’apprentissage avec maintien de L.6225-4 à Directeurs du travail, administrateur civil, rémunération. L.6225-6 directeurs adjoints du travail et attachée Autorisation ou refus d’autorisation, de reprise du contrat R.6225-9 à principale membres de l’équipe de Interdiction, pour une durée déterminée, de recrutement de R.6225-11 direction nouveaux apprentis ou de jeunes en contrats d’insertion en alternance. Code du S –FORMATION PROFESSIONNELLE travail Contrat de professionnalisation Retrait du bénéfice de l’exonération des cotisations sociales L.6325-22 et Directeurs du travail, administrateur civil, R.6325-20 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Titre professionnel Code de l’éducation Désignation du jury du titre professionnel et des certificats R. 338-6 Directeurs du travail, administrateur civil, complémentaires directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Délivrance du titre professionnel, des certificats de compétence et R.338-7 Directeurs du travail, administrateur civil, complémentaire directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Code du T – PROFESSIONS DU SPECTACLE, DE LA PUBLICITE ET DE LA MODE travail Mannequins et agences de mannequins 139 T1 T2 U1 U2 V1 V2 Avis au préfet sur la demande de délivrance de la licence L.7123-14 et Directeurs du travail, administrateur civil, d’agence de mannequins R.7123-8 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Enfants dans le spectacle, les professions ambulantes, la publicité et la mode Instruction de la demande d’autorisation individuelle d’embauche L.7124-1 et Directeurs du travail, administrateur civil, d’un enfant de moins de 16 ans R.7124-4 directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Code du U – TRAVAIL A DOMICILE travail Demande de vérification de la comptabilité du donneur d’ouvrage R.7413.2 Directeurs du travail, administrateur civil, directeurs adjoints du travail et attachée principale membres de l’équipe de direction Avis au Préfet sur la composition de la commission R.7422-2 Directeurs du travail, administrateur civil, départementale compétente pour donner un avis sur les temps directeurs adjoints du travail et attachée d’exécution principale membres de l’équipe de direction du V – CONTRIBUTION SPECIALE POUR EMPLOI D’ETRANGER SANS TITRE Code travail DE TRAVAIL Engagement de la procédure préalable à la décision de l’OFII et L.8253-1, Directeurs du travail, administrateur civil, avis sur la détermination de la contribution L.8253-7 et directeurs adjoints du travail et attachée R.8253-3, principale membres de l’équipe de R.8253-5 et direction R.8253-11 Engagement de la procédure préalable à la décision de l’OFII et L.8254-4, Directeurs du travail, administrateur civil, avis sur la possibilité de faire application de la règle de Solidarité R.8254-7 et directeurs adjoints du travail et attachée financière du donneur d’ordre D.8254-11 principale membres de l’équipe de direction Article 2 : Le directeur de l’unité territoriale du Rhône de la DIRECCTE est chargé de l'exécution de la présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Le Directeur de l’unité territoriale du Rhône, Directeur régional adjoint Pascal BODIN Arrêté du Directeur académique des Services de l'Education nationale Objet: liste des représentants désignés au comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail spécial Article 1er : Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail spécial placé auprès du Directeur Académique des Services de l’Education Nationale du Rhône est constitué comme suit: A) Représentants de l’Administration : - le Directeur Académique des Services de l’Education Nationale, président - le Secrétaire Général de la Direction des Services Départementaux de l’Education Nationale B) Représentants des personnels : a) Membres titulaires - Mme Françoise MOULINIER (FSU), école maternelle Jules Guesde – Villeurbanne - M. Eric STODEZIK (FSU), lycée Rabelais – Dardilly - Mme Anne-Marie BRUCKERT (FSU), collège Paul Emile Victor – Rillieux la Pape - M. François JANDAUD (FSU), collège Jean Perrin – Lyon 9e - Mme Sylvie CARON-WERQUIN (UNSA), école élémentaire du Mont Blanc – Rillieux la Pape - Mme Marie-Christine MORAIN (SGEN-CFDT), école maternelle François Truffaut – Villeurbanne - M. Sylvain DEPAIX (FO), école Primaire de Joux – Joux b) Membres suppléants - M. Sébastien POUPET (FSU), lycée professionnel Flesselles – Lyon 1er - Mme Catherine CORDIER (FSU), collège Utrillo – Limas - M. John ROUX (FSU), lycée Jean-Paul Sartres – Bron - M. Georges THIBAUD (FSU), SEGPA du collège Victor Schoelcher – Lyon 9e - M. Philippe CARON (UNSA), maternelle Saint-Exupéry et maternelle Painlevé – Lyon 3e - Mme Emmanuelle CHEMMAM (SGEN-CFDT), collège les Iris – Villeurbanne - M. Dominique SENAC (FO), SEP Becquerel, lycée polyvalent Chaplin-Becquerel – Décines Charpieu Article 2 : Le médecin de prévention, le conseiller de prévention départemental, l’inspecteur santé et sécurité au travail ainsi que l’agent chargé du secrétariat administratif, assistent aux réunions du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail spécial départemental. Article 3 : Le Président peut se faire assister, en qualité de personne qualifiée, de tout membre de l’administration exerçant des fonctions de responsabilité et intéressé par les questions ou projets de textes soumis à l’avis du comité. Article 4 : En cas d’absence du Directeur Académique, la présidence du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail spécial départemental est assurée par son représentant. Article 5 : Le présent arrêté de composition du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail spécial départemental entre en vigueur à compter du 1er février 2012. 140 Article 6 : Le Secrétaire Général de la Direction des Services Départementaux de l’Education Nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté. Le Directeur Académique Des Services de l’Education Nationale Jean-Louis BAGLAN Etablissement : Maison d'arrêt de Villefranche sur Saône Arrêté portant délégation de signature, le 19 mars 2012 Article 1 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Mme Chrystelle CROISE en qualité de Directrice Adjointe, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 2 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Mme Emilie VANNUCCI en qualité de Directrice Adjointe, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 3 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. René ALLOING, en qualité d'Attaché d'Administration du Ministère de la Justice, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 4 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Pierre MASCLAUX en qualité de Lieutenant, Chef de détention, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 5 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Mme Anne BRUNET CLAUSSE, en qualité de Lieutenant du bâtiment B, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 6 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Gwenaël JOLY, en qualité de Lieutenant du bâtiment J, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 7 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Cyril AGIER, en qualité de Lieutenant du bâtiment A, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 8 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Melle Jessica SICRE, en qualité de Lieutenant Responsable du services communs, ateliers et service général, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 9 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Melle Mathilde CARRILLO, en qualité de Lieutenant Responsable du Quartier arrivants, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 10 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Francis BIBI en qualité de Major, planificateur, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 11 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Philippe CHIAVAZZA, en qualité de Major, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 12 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Gilles WAGNER, en qualité de Major, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 13 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Christophe GILBERT, en qualité de Major, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 14 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Madame CARRA Chrystelle, en qualité de première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 15 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Madame DUCHENE Katia, en qualité de première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 16 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Monsieur Jean-Louis GENIAUT, en qualité de premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 17 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Monsieur Jean-Marie BASSET, en qualité de premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. 141 Article 18 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Thierry MOINARD en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 19 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Cyril GUILLOT en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 20 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Noël REPLAT en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 21 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Jérôme SARTIS, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 22 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Vincent TREILLON, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 23 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Serge QUIQUET, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 24 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à M. Christian LAVENIR en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 25 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Madame Christelle DOUDON en qualité de Première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 26 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Monsieur Eric PAGES en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Pour le Directeur, Par intérim, l'Adjointe au Directeur Cécile RODDE Etablissement : Maison d’arrêt de LYON CORBAS Décision portant délégation du 16 mars 2012 Article 1 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Danièle BOILLĖE, en qualité de Directrice, Adjointe au Chef d’établissement, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 2 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Emmanuel GERMAIN, en qualité de Directeur adjoint, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 3 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Franca ANNANI, en qualité de Directrice adjointe, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 4 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Florence DUCLOS, en qualité de Capitaine pénitentiaire, Chef de détention, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 5 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Gabriel GODARD, en qualité de Capitaine pénitentiaire, Adjoint au chef de détention, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 6 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Patricia BARRACO, en qualité de Capitaine pénitentiaire, responsable de l’UHSI, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 7 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Jean-Christophe WIART, en qualité de Capitaine pénitentiaire, responsable de l’UHSA, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 8 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à David GAMPER, en qualité de Capitaine pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. 142 Article 9 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Solange BERTRAND, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 10 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Louise MASSON, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 11 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Jane VIENNEY, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 12 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Max MONTEIL, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint, Article 13 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Saïd LOUDNINE, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint, Article 14 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Lidy MENEGAZZO, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint, Article 15 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Etienne COUROUBLE, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 16 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Farid MACHOU, en qualité de Lieutenant pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 17 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Philippe PICHOT, en qualité de Major pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 18 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Jean-Louis LEFEBVRE, en qualité de Major pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 19 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Laurent NEVEU, en qualité de Major pénitentiaire, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 20 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Nathalie AUBIN GARDE, en qualité de Première surveillante, adjointe de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 21 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Hubert DOBRECOURT, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 22 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Paul MONTEIRO, en qualité de Premier surveillant, adjoint de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 23 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Jérôme MOUNIER, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 24 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Laurence PAYEBIEN, en qualité de Première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 25 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Alain PERON, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 26 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Mboma Mburu BANGA, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 27 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Michel CHARVERON, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 28 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Franck DELTOUR, en qualité de Premier surveillant, adjoint de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 29 : 143 Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Sylvie DUMAS, en qualité de Première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 30 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Frédéric BLANC, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 31 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Didier ROTH, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 32 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Orlando MARATRAT, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 33 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Stéphane RICHARDOT, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 34 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Pascal SIGHROUCHNI, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 35 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Didier ALLEGRE, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 36 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Richard TALICHET, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 37 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à John EWEKA, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 38 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Yvon BOUVIER, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 39 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Katie TISON, en qualité de Première surveillante, adjointe de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 40 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Georges NOGUES, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 41 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Isabelle GANDY-TROUILLETON, en qualité de Première surveillante, adjointe de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 42 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Joseph BIEZUN, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 43 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Youssef ALIGUECHI, en qualité de Premier surveillant, adjoint de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 44 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Yvan ESCOTTE, en qualité de Premier surveillant, adjoint de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 45 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Rafik BOUDJEMA, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 46 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Stéphane OLLIE, en qualité de Premier surveillant, adjoint de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 47 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à GIRALT Daniel, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 48 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Sofyan MENNANA, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. 144 Article 49 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Nicolas MOINE, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 50 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Xavier GABARROT, en qualité de Premier surveillant, adjoint de bâtiment, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 51 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Saoudi BRABEZ, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 52 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Emmanuel CHAMBAUD, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 53 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Laurent JOINEL, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 54 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Franck BERAUD, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d'établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 55 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Sandrine BONHOMME, en qualité de Première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 56 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Marie BOURRAT, en qualité de Première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 57 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Hervé TOFFANIN, en qualité de Premier surveillant, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Article 58 : Délégation permanente de signature et de compétence est donnée à Gaëlle MEHU, en qualité de Première surveillante, aux fins de signer au nom du chef d’établissement, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint. Le Chef d’établissement, Julien MOREL D’ARLEUX Le tableau est à consulter dans le service concerné Avis de concours sur titres (en interne) pour le recrutement de deux cadres de santé (filière infirmière) Un concours sur titres aura lieu au Centre Hospitalier Le Valmont, en application de l’article 2 du décret 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pouvoir deux postes d’infirmiers cadres de santé (filière infirmière) vacants dans cet établissement. Peuvent se présenter au concours sur titres interne les candidats titulaires du diplôme de cadre de santé ou certificat équivalent relevant des corps régis par les décrets du 30 novembre 1988, n° 89-609 du 1 er septembre 1989 et n° 89-613 du 1 er septembre 1989 susvisés, comptant au 1er janvier de l’année du concours, au moins cinq ans de services effectifs dans un ou plusieurs des corps précités, pour 90 % des postes ouverts. Peuvent se présenter au concours sur titres externe les candidats titulaires des diplômes ou titres requis pour être recrutés dans les corps régis par les décrets du 30 novembre 1988, n° 89-60 9 du 1er septembre 1989 et n° 89-613 du 1 er septembre 1989 susvisés, et du diplôme de cadre de santé ou certificat équivalent au sens de l’article 2 du décret n° 95-926 du 18 août 1995 portant création d’un diplôme de cadre de santé, ayant exercé dans les corps concernés ou équivalents du secteur privé pendant au moins cinq ans à temps plein ou une durée de cinq ans d’équivalent temps plein, pour 10 % des postes ouverts. Les candidatures doivent être adressées par écrit (le cachet de la poste faisant foi) à Monsieur le Directeur du Centre Hospitalier Le Valmont, BP 16, 26760 MONTELEGER, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au recueil des actes administratifs. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux de concours. Arrêté inter-préfectoral du 06 mars 2012 Article 1 - BENEFICIAIRE DE L'OPERATION Nom : Voies Navigables de France (VNF) Adresse : 2 rue de la Quarantaine – 69005 Lyon cedex 5 Article 2 - OBJET Dans le cadre de la procédure d'autorisation au titre du code de l'environnement des travaux d'allongement de l'écluse de Rochetailléesur-Saône, une pêche de sauvetage est nécessaire avant la mise à sec du batardeau. Voies Navigables de France est autorisé dans le cadre des travaux d'allongement de l'écluse de Rochetaillée-sur-Saône : 145 • à capturer du poisson à des fins écologiques, pour en permettre la sauvegarde, • à transporter le poisson dans les conditions et sous les réserves précisées aux articles suivants du présent arrêté. Article 3 - RESPONSABLE DE L'EXECUTION MATERIELLE Sont désignés comme responsables de l'exécution matérielle des opérations : • Monsieur Christophe MORA, technicien hydrobiologiste, Compagnie Nationale du Rhône ; • Monsieur Mathieu ROCLE, technicien hydrobiologiste, Compagnie Nationale du Rhône ; • Monsieur Lionel MERIC, technicien hydrobiologiste, Compagnie Nationale du Rhône ; • Monsieur Jean-Luc FONTAINE, pêcheur professionnel. Article 4 - VALIDITE La présente autorisation est valable 2 ans à compter de la date de signature du présent arrêté. Article 5 – LIEUX ET MOYENS DE CAPTURES AUTORISES La présente autorisation concerne, la Saône, au niveau de l'emprise de la zone de travaux de l'écluse de Rochetaillée-sur-Saône. Sont autorisés les moyens de capture suivants: • pêche électrique, le matériel de pêche électrique devra être conforme à la législation française relative à la sécurité des travailleurs (arrêté du 2 février 1989)et l'encadrement du chantier sera assuré par un responsable désigné à l'article 3 qui devra avoir reçu une formation spécifique sur les règles de sécurité à observer en la matière et être titulaire d'une qualification de secouriste ; • pêche aux filets non maillant (carrelet, senne, respectant la réglementation en vigueur) ; • nasses. Article 6 – ESPECES AUTORISEES Toutes les espèces sont autorisées à la capture. Article 7 – DESTINATION DES POISSONS CAPTURES Lors des pêches scientifiques ou de sauvetage, les poissons capturés seront identifiés, mesurés et pesés Les poissons capturés seront remis vivants dans le milieu naturel à l’exception des espèces susceptibles de causer des déséquilibres biologiques visées à l’article L 432-10 du code de l’environnement, des espèces non mentionnées dans la liste des espèces représentées dans les eaux visées à l’article L 431-3 du même code et des espèces en mauvais état sanitaire. Les espèces susceptibles de causer des déséquilibres biologiques et en mauvais état sanitaire seront détruites. Article 8 – ACCORD DU(DES) DETENTEUR(S) DU DROIT DE PECHE Le bénéficiaire de la présente autorisation ne peut exercer les droits qui lui sont accordés par la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche. Celui-ci est joint à la déclaration préalable prévue à l'article 9 du présent arrêté. Article 9 – DECLARATION PREALABLE Le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d'adresser une semaine au moins avant chaque opération, une déclaration écrite précisant le programme, les dates et lieux de capture, ainsi qu'une copie de l'information préalable prévue à l'article 8, aux destinataires indiqués ci-dessous : • Le Directeur du Service Navigation Rhône Saône ; • le Chef du service départemental de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques du(des) département(s) concerné(s); • Le Président de la Fédération Départementale pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique. Article 10 – COMPTE RENDU D'EXECUTION Dans le délai d'un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser un compte rendu (sous format informatique) précisant les résultats des captures aux destinataires indiqués à l’article 9 ainsi qu'à: • ONEMA - délégation interrégionale Rhône-Alpes située: Parc de Parilly - Chemin des Chasseurs – 69500 BRON Ce compte rendu doit être conforme au modèle type (annexe) proposé par l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques. Article 11 – RAPPORT ANNUEL Dans un délai de six mois après l’exécution de l’autorisation, le bénéficiaire de la présente autorisation adressera un rapport de synthèse (sous format informatique) sur les opérations réalisées en indiquant les lieux, dates, objets et résultats obtenus, aux destinataires cités à l’article 9 ainsi qu'à: • ONEMA - délégation interrégionale Rhône-Alpes située: Parc de Parilly - Chemin des Chasseurs – 69500 BRON Article 12 – PRESENTATION DE L'AUTORISATION Le bénéficiaire ou la personne responsable de l'exécution matérielle de l'opération doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de la Police de la Pêche. S'il ne peut le faire ou s'il s'y refuse, il s'expose à la peine d'amende prévue pour les contraventions de la 3e classe. La personne qui participe à l'exécution d'une opération de capture ou de transport s'expose aux sanctions prévues par la législation et la réglementation de la pêche en eau douce si le bénéficiaire de l’autorisation ou la personne responsable de l'exécution matérielle de l'opération n'est pas présent sur les lieux. Article 13 - RETRAIT DE L'AUTORISATION La présente autorisation est incessible. Elle peut-être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n'en respecte pas les clauses ou prescriptions qui lui sont liées. Article 14 – PUBLICATION Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures concernées par l'application de la présente autorisation. Article 15 – VOIE DE RECOURS Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent sa notification: 146 • par recours gracieux auprès de l'auteur de la décision ou hiérarchique auprès du ministre. L'absence de réponse dans un délai de deux mois fait naître une décision implicite de rejet qui peut être elle-même déférée au tribunal administratif dans les deux mois suivants ; • par recours contentieux devant le tribunal administratif. Article 16 - EXECUTION Mme la secrétaire général de la Préfecture du Rhône, le Directeur du Service Navigation Rhône-Saône, les président de la fédération départementale pour la pêche et la protection du milieu aquatique du Rhône, le délégué interrégional Rhône-Alpes de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, ainsi que le bénéficiaire de l'autorisation sont chargés, chacun en ce qui les concernent, de l'exécution du présent arrêté. Le Préfet de la Région Rhône-Alpes Préfet du Rhône et par délégation, le chef du service navigation Rhône-Saône par intérim Frédéric LASFARGUES Arrêté préfectoral n°2012-1362 du 24.02.2012 Objet : Habilitation de SCOP Article 1er : La société TRANSIT MELODY 13 boulevard Edmond Michelet 69008 LYON est habilitée à prendre l’appellation de Société Coopérative Ouvrière de Production ou de Société Coopérative de Travailleurs ou à utiliser cette appellation ou les initiales « S.C.O.P. » ou « S.C.O.T. », ainsi qu’à prétendre au bénéfice des dispositions prévues par les textes législatifs ou réglementaires relatifs aux Sociétés Coopératives Ouvrières de Production. Article 2 : Cette même société pourra prétendre au bénéfice des avantages prévus aux articles 53 et 91 du code des marchés publics. Article 3 : L’habilitation, accordée en vertu du présent arrêté, à la société visée à l’article 1, est valable, sous réserve des dispositions des articles 2 et 4 du décret n° 93-1231 du 10 novembre 1993 relatif à la reconnaissance de la qualité de Société Coopérative Ouvrière de Production, à compter de la date d’inscription en tant que Société Coopérative Ouvrière de Production au registre du commerce, et jusqu’à radiation prononcée dans les conditions prévues par les articles 6 et 7 du même texte. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE, pour le directeur de l’Unité territoriale du Rhône l’attachée principale Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1098 du 23 Février 201 2 Objet : Déclaration des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2007 – 1678 pris précédemm ent en date du 22 janvier 2007. Article 2 : l’association intermédiaire HUITIEME DIMENSION, domiciliée 154 rue Professeur Beauvisage 69008 Lyon, ayant satisfait aux formalités de déclaration, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 397604281, à assurer la fourniture de prestations de services à la personne, sur le territoire national et notamment, dans le département du Rhône. Article 3 : Le présent récépissé de déclaration prend effet à compter du 1er Janvier 2012. La déclaration n’est pas limitée dans le temps. Article 4 : l’association intermédiaire HUITIEME DIMENSION est autorisée à effectuer au domicile des particuliers les activités visées ci – dessous en tant que prestataire : - entretien de la maison et travaux ménagers petits travaux de jardinage y compris les travaux de débroussaillage - prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - garde d’enfants de trois ans et plus à domicile - soutien scolaire à domicile - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile - soins et promenades d'animaux de compagnie à l'exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes Article 5 : Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 6 : La déclaration peut être retirée à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 7 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1099 du 23 février 201 2 Objet : Déclaration des organismes de services à la personne 147 Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2007 – 2325 pris précédemm ent en date du 6 avril 2007. Article 2 : l’association VIVRE ET VIEILLIR AU VILLAGE, domiciliée à la Mairie de Dardilly, place de la Bayère 69570 Dardilly, ayant satisfait aux formalités de déclaration, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP398212225, à assurer la fourniture de prestati ons de services à la personne, sur le territoire national et notamment, dans le département du Rhône. Article 3 : Le présent récépissé de déclaration prend effet à compter du 1er janvier 2012. La déclaration n’est pas limitée dans le temps. Article 4 : l’association VIVRE ET VIEILLIR AU VILLAGE est autorisée à effectuer au domicile des particuliers les activités visées ci – dessous en tant que prestataire : - entretien de la maison et travaux ménagers - garde d’enfants de trois ans et plus à domicile - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 6 : La déclaration peut être retirée à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 7 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1100 du 23 Février 201 2 Objet : Déclaration des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2007 – 1612 pris précédem ment en date du 11 janvier 2007. Article 2 : l’entreprise PROP’NET SERVICES A DOMICILE, domiciliée 55 avenue Carnot 69580 Sathonay Camp, ayant satisfait aux formalités de déclaration, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 492113071, à assurer la fourniture de prestations de services à la personne, sur le territoire national et notamment, dans le département du Rhône. Article 3 : Le présent récépissé de déclaration prend effet à compter du 12 Janvier 2012. La déclaration n’est pas limitée dans le temps. Article 4 : l’entreprise PROP’NET SERVICES A DOMICILE, domiciliée 55 avenue Carnot 69580 Sathonay Camp est autorisée à effectuer au domicile des particuliers les activités visées ci – dessous en tant que prestataire : - entretien de la maison et travaux ménagers petits travaux de jardinage y compris les travaux de débroussaillage - prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » Article 5 : Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 6 : La déclaration peut être retirée à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 7 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1101 du 24 février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2011 – 5112 pris précédemm ent en date du 25 Octobre 2011. Article 2 : la SARL 100 SASS’ SERVICES, domiciliée 22 rue Victor Hugo 69220 Belleville), ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 533065983, à assurer la fo urniture de prestations de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que prestataire. Article 3 : la SARL 100 SASS’ SERVICES est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers 148 - petits travaux de jardinage y compris les travaux de débroussaillage - prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - garde d’enfants de trois ans et plus à domicile - soutien scolaire à domicile ou cours à domicile - soins d’esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - livraison de repas à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile - collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile - livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - assistance informatique et Internet à domicile - soins et promenades d'animaux de compagnie à l'exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes - maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire - assistance administrative à domicile - accompagnement des enfants de 3 ans et plus dans leurs déplacements, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile Article 4 : la SARL 100 SASS’ SERVICES est agréée pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes, des enfants âgés de moins de trois ans, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur le département du Rhône, - Garde d'enfants à domicile moins de 3 ans - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées (y compris les activités d'interprète en langue des signes, de technicien de l'écrit et de codeurs en langage parlé complété) - Garde-malade, à l'exclusion des soins - Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette prestation est incluse dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacance, pour les démarches administratives, comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Accompagnement dans leurs déplacements, des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : la SARL 100 SASS’ SERVICES, domiciliée 22 rue Victor Hugo 69220 Belleville est déclarée et agréée à compter du 7 Févier 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : La déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1102 du 23 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2008 – 1083 pris précédemm ent en date du 22 Août 2008. Article 2 : L'entreprise Monsieur COUSSAT Laurent, responsable de l’entreprise POUR VOUS SERVIR, domicilié 504 avenue du Huit Mai 1945 69300 Caluire, bénéficiaire de l'agrément « simple » de l’Etat sous le n° N/220808/F/069/S/087, est autorisé, confor mément aux dispositions des articles R. 7232-1 à R. 7232-17 du code du travail, à assurer des prestations de services à la personne relevant de l’agrément « simple » sur le territoire national et notamment le département du Rhône . Article 3 : Le présent agrément a pris effet au 22 Août 2008 et reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. L’extension d’activités prend effet au 20 Novembre 2011. Article 4 : Monsieur COUSSAT Laurent est agréé pour effectuer au domicile des particuliers les activités visées ci – dessous en tant que prestataire : Entretien de la maison et travaux ménagers (1) Petits travaux de jardinage y compris les travaux de débroussaillage (2) Prestations de petit bricolage dites " hommes toutes mains "(3) Garde d'enfants à domicile de plus ou moins de 3 ans (4) Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions (6) - Collecte et livraison à domicile de linge repassé à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile (8) 149 - Accompagnement dans leurs déplacements des enfants de moins ou plus de trois ans en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile (14) Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile (15) Assistance informatique et internet à domicile (16) Soins et promenades d'animaux de compagnie à l'exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes (17) Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire (19) Assistance administrative à domicile (20) Article 5 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1103 du 24 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : la SARL AADB – AIDE A DOMICILE DU BEAUJOLAIS, domiciliée 43 – 45 rue François Meunier Vial 69400 Villefranche sur Saône, ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 533771168, à assurer la fourniture de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que prestataire et mandataire. Article 2 : la SARL AADB – AIDE A DOMICILE DU BEAUJOLAIS est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - soins et promenades d'animaux de compagnie à l'exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes - assistance administrative à domicile Article 3 : la SARL AADB – AIDE A DOMICILE DU BEAUJOLAIS est agréée pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur le département du Rhône ainsi que sur le département de l’Ain, - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux - Garde-malade, à l'exclusion des soins - Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette prestation est incluse dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacance, pour les démarches administratives, comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Accompagnement dans leurs déplacements des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 4 : la SARL AADB – AIDE A DOMICILE DU BEAUJOLAIS est déclarée et agréée à compter du 16 Février 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 5 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 6 : La déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 7 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1335 du 24 février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2006 – 2556 pris précédemm ent en date du 10 Décembre 2006. Article 2 : Le SERVICE MUNICIPAL D’AIDE MENAGERE DE SAINT DIDIER AU MONT D’OR, domicilié 34 avenue de la république 69370 St Didier au Mont d’Or, ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 150 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisé sous le n° SAP 2169019 42, à assurer la fourniture de prestations de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que prestataire . Article 3 : Le SERVICE MUNICIPAL D’AIDE MENAGERE DE SAINT DIDIER AU MONT D’OR est déclaré effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - livraison de repas à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile - collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile Article 4 : SERVICE MUNICIPAL D’AIDE MENAGERE DE SAINT DIDIER AU MONT D’OR, domicilié 34 avenue de la république 69370 St Didier au Mont d’Or est agréé pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur le département du Rhône, - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux - Assistance aux personnes handicapées (y compris les activités d'interprète en langue des signes, de technicien de l'écrit et de codeurs en langage parlé complété) Article 5 : SERVICE MUNICIPAL D’AIDE MENAGERE DE SAINT DIDIER AU MONT D’OR, domicilié 34 avenue de la république 69370 St Didier au Mont d’Or est déclaré et agréée à compter du 1er Janvier 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : La déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1336 du 24 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2007 – 2471 pris précédemm ent en date du 6 avril 2007. Article 2 : l’association AD’AGE 43 rue Coste 69300 Caluire, ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 414297937, à assurer la fourniture de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que mandataire. Article 3 : l’association AD’AGE est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions Article 4 : l’association AD’AGE est agréée pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes, en tant que mandataire, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur le département du Rhône, - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux - Garde-malade, à l'exclusion des soins - Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette prestation est incluse dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Accompagnement dans leurs déplacements des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : l’association AD’AGE est déclarée et agréée à compter du 1er Janvier 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : la déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi 151 et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1337 du 24 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2011 – 4519 pris précédem ment en date du 22 Août 2011. Article 2 : la SARL ASSADIA SERVICES A LA PERSONNE, domiciliée 136 Cours Lafayette 69003 Lyon, ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 512094137, à assurer la fourniture de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que prestataire et mandataire. Article 3 : la SARL ASSADIA SERVICES A LA PERSONNE est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - garde d’enfants de trois ans et plus à domicile - soutien scolaire à domicile ou cours à domicile - accompagnement des enfants de 3 ans et plus dans leurs déplacements, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile Article 4 : la SARL ASSADIA SERVICES A LA PERSONNE est agréée pour assurer au bénéfice des enfants âgés de moins de trois ans, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur les départements du Rhône (69), de Paris (75) et des Hauts de seine (92) - Garde d'enfants à domicile moins de 3 ans - Accompagnement dans leurs déplacements des enfants de moins de trois ans en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : la SARL ASSADIA SERVICES A LA PERSONNE est déclarée et agréée à compter du 22 Février 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : La déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1338 du 24 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2011 – 2223 pris précédemm ent en date du 24 Mars 2011. Article 2 : la SARL A2MICILE LYON 1, domiciliée 15 rue Antoinette 69003 Lyon, ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 489336099, à assurer la fourniture de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que prestataire . Article 3 : la SARL A2MICILE LYON 1 est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers - petits travaux de jardinage y compris les travaux de débroussaillage - prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - garde d’enfants de trois ans et plus à domicile - soutien scolaire à domicile ou cours à domicile - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - livraison de repas à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile - livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - accompagnement des enfants de 3 ans et plus dans leurs déplacements, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile Article 4 : la SARL A2MICILE LYON 1 est agréée pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes et des enfants âgés de moins de trois ans, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur le département du Rhône, - Garde d'enfants à domicile moins de 3 ans - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux 152 - Assistance aux personnes handicapées (y compris les activités d'interprète en langue des signes, de technicien de l'écrit et de codeurs en langage parlé complété) - Garde-malade, à l'exclusion des soins - Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette prestation est incluse dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacance, pour les démarches administratives, comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Accompagnement dans leurs déplacements, des enfants de moins de trois ans des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : la SARL A2MICILE LYON 1 est déclarée et agréée à compter du 10 Février 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : La déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1339 du 24 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : Le présent arrêté préfectoral annule et remplace les arrêtés préfectoraux n° 2007 – 1606 pris précé demment en date du 11 Janvier 2007 et n° 2007 – 2556 du 16 Avril 2 007. Article 2 : l’Association pour le Maintien et l’Aide à Domicile Rhône Sud - AMAD RHÔNE SUD, domiciliée 28 rue Longarini 69700 Givors ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du Code du travail, est autorisée sous le n° SAP 779697614, à assurer la fourn iture de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que prestataire et mandataire. Article 3 : l’Association pour le Maintien et l’Aide à Domicile Rhône Sud - AMAD RHÔNE SUD est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers - soins d’esthétiques à domicile pour les personnes dépendantes - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - assistance administrative à domicile Article 4 : l’Association pour le Maintien et l’Aide à Domicile Rhône Sud - AMAD RHÔNE SUD est agréée pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur le département du Rhône, - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux - Garde-malade, à l'exclusion des soins - Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette prestation est incluse dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacance, pour les démarches administratives, comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Accompagnement dans leurs déplacements des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : l’Association pour le Maintien et l’Aide à Domicile - AMAD RHÔNE SUD, domiciliée 28 rue Longarini 69700 Givors est déclarée et agréée à compter du 1er Janvier 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : La déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône 153 la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL Arrêté préfectoral n° 2012 – 1340 du 24 Février 201 2 Objet : Agrément des organismes de services à la personne Article 1er : le présent arrêté préfectoral annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2007 - 3501 pris précédemm ent en date du 8 Juin 2007. Article 2 : l’association SERVICE DE MAINTIEN A DOMICILE DE VILLEFRANCHE SUR SAONE, domiciliée 114 rue de Belleville sur Saône ayant satisfait aux formalités de déclaration et d’agrément, conformément aux dispositions des articles L. 7232 à L. 7323-8 et des articles R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, est autorisée sous le n° SAP 351216734, à assurer la fourniture de services à la personne exclusivement au bénéfice des particuliers, en tant que mandataire. Article 3 : l’association SERVICE DE MAINTIEN A DOMICILE DE VILLEFRANCHE SUR SAONE est déclarée effectuer les activités suivantes sur l’ensemble du territoire national : - entretien de la maison et travaux ménagers - préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - assistance administrative à domicile. Article 4 : l’association SERVICE DE MAINTIEN A DOMICILE DE VILLEFRANCHE SUR SAONE est agréée pour assurer au bénéfice des personnes âgées de plus de 60 ans, des personnes handicapées ou dépendantes, les activités soumises à agrément, exclusivement, sur les départements du Rhône (69) et de l’Ain (01), - Assistance aux personnes âgées ou autres personnes qui ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception d'actes de soins relevant d'actes médicaux - Garde-malade, à l'exclusion des soins - Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette prestation est incluse dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au travail, sur le lieu de vacance, pour les démarches administratives, comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile - Accompagnement dans leurs déplacements des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à la condition que ces prestations soient comprises dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile Article 5 : l’association SERVICE DE MAINTIEN A DOMICILE DE VILLEFRANCHE SUR SAONE, domiciliée 114 rue de Belleville sur Saône est déclarée et agréée à compter du 1er Janvier 2012. L’agrément reste valable pour une durée de cinq ans. La demande de renouvellement de l’agrément devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d'agrément selon les dispositions légales et réglementaires en vigueur à cette période. Article 6 : Les activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale. Article 7 : la déclaration et l’agrément peuvent être retirés à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Article 8 : Le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône de la DIRECCTE Rhône-Alpes est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Rhône. pour le préfet et par délégation du DIRECCTE pour le Directeur de l’Unité Territoriale du Rhône la Chef du service Développement de l’emploi et des qualifications Véronique MARECHAL 154