La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI

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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 12/41 8 Octobre 2012
La pensée de la semaine
« Plus je m’entraîne et plus j’ai de la chance. »
Arnold Palmer
Intel dévoile son Atom Z2760 pour les tablettes Windows 8
http://www.zdnet.fr/actualites/intel-devoile-son-atom-z2760-pour-les-tablettes-windows-8-39783007.htm#xtor=EPR-100
Le premier SoC issu de la plateforme Clover Trail équipera les tablettes Windows 8 d’entrée de gamme avec une
puce double cœur cadencée à 1,8 GHz.
Intel a officialisé hier l’arrivée du premier SoC basé sur la plateforme Clover Trail avec un processeur Atom Z2760. Gravé en 32
nm, il intègre deux cœurs et quatre threads cadencés à 1,8 GHz. La partie graphique est assurée par une puce PowerVR SGX 545 à
533 MHz qui prend en charge la lecture vidéo full HD 1080p. Comme il l’a fait pour sa plateforme mobile Medfield, Intel a défini un
design de référence pour les tablettes Windows 8 que plusieurs fabricants ont utilisé pour créer les premiers modèles qui sortiront
cette année. Parmi les spécifications, une épaisseur de 8,5 mm, un poids de 680 grammes et une autonomie allant jusqu’à 10
heures. Intel cite Acer, ASUS, Dell, Fujitsu, HP, Lenovo, LG, Samsung et ZTE comme partenaires officiels.
Un tarif aligné sur le prix des puces ARM ? Face à l’armada des tablettes ARM, le fondeur va miser et communiquer sur la
compatibilité de son SoC Atom avec l’architecture x86 et donc la plupart des programmes et applications existants pour Windows 7.
Aucun prix n’a été pour le moment communiqué concernant le Z2760, mais le site Anandtech estime qu’Intel devrait s’aligner sur
les tarifs des puces ARM dont le prix se situe entre 15 et $30 avec à la clé des tablettes Windows RT sous la barre des $600.
Archos 97 Xenon, une tablette abordable
http://fr.ubergizmo.com/2012/09/archos-97-xenon-tablette-abordable/
Si vous cherchez une nouvelle tablette sous Android qui ne va pas vous ruiner, il semble qu’Archos
aurait quelque chose dans la manche pour vous. Nommée Archos 97 Xenon, c’est une tablette sous
Android avec des spécifications modestes. Comprenant un écran 9.7” avec une résolution de
1024×768, l’Archos 97 Xenon fonctionne avec un processeur single-core 1.4GHz, 512Mo de RAM,
un APN 2 mégapixels sur la façade arrière, un APN VGA sur la façade avant, connectivité WiFi et
Android 4.0 Ice Cream Sandwich. Comme on l’a dit, ce sont des spécifications très modestes – qui
pourrait même être considéré comme obsolète par certains, mais si vous prévoyez de seulement
surfer, vérifier les emails et regarder occasionnellement de la vidéo, on ne voit pas pourquoi
l’Archos 97 Xenon ne peut pas faire le boulot ! Le prix et la disponibilité ne sont pas connus, mais
pour plus d’infos sur la tablette, allez sur le site web d’Archos pour les détails.
Apple Maps : Tim Cook fait son mea culpa
http://www.businessmobile.fr/actualites/apple-maps-tim-cook-fait-son-mea-culpa-39783041.htm#xtor=EPR-100
On savait qu'Apple Maps n'était pas à la hauteur des attentes des utilisateurs, mais désormais, Apple le reconnait.
La nouvelle application de cartographie d'iOS 6 n'est pas à la hauteur de Google Maps, présent sur les versions précédentes de
l'iPhone. Apple Maps est même plutôt catastrophique, puisque l'application est victime depuis une semaine d'un buzz négatif sur
le web. Les témoignages de ratés, les parodies et autres moqueries ont visiblement assez duré, puisque c'est le p-dg d'Apple en
personne, Tim Cook, qui a réagi dans une lettre ouverte à ses clients. Un mea culpa quasi sans précédent...
"Essayez des alternatives" L'information mérite le détour. Alors que Phil Schiller, le vice-président marketing d'Apple, a jugé
"normale" l'apparition de rayures sur le nouvel iPhone, le groupe a joué cartes sur table pour une fois en reconnaissait son
erreur de jugement sur Apple Maps (Plans en français). Pour Tim Cook, Apple n'a "pas tenu ses engagements" de produits "de très
haute qualité" avec son application de navigation. Rappelant que 100 millions d'appareils iOS utilisent déjà l'application, il a promis
que le groupe poursuivrait l'effort pour améliorer son produit. L'histoire aurait pu profiter à Google - s'il avait été prêt à sortir une
application sur l'App Store immédiatement - mais elle pourrait bénéficier à quelques applications tierces.
Tim Cook enjoint d'ailleurs clairement les possesseurs d'appareils sur iOS 6 à aller "essayer des alternatives en essayant des
applications de cartographie sur l'App Store, comme Bing, MapQuest et Waze, ou utiliser les cartes de Google ou Nokia en allant sur
leur site web et en créant une icône menant à leur application web." Apple qui conseille d'aller voir la concurrence ? Une première.
Windows8:listeetcaractéristiquesconnuesdestablettesattenduespourlelancementdel’OS
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/windows-8-liste-et-caracteristiques-connues-des-tablettes-attendues-pour-le-lancement-de-los-130138/?utm_source=Newsletter+Tablette-Tactile.net&utm_medium=email&utm_campaign=ff3b29bed3-RSS_EMAIL_CAMPAIGN
A moins d’un mois de la sortie officielle de Windows 8, le nouveau système d’exploitation de Microsoft, voici un point
complet sur les premiers modèles de tablettes Windows 8 qui verront le jour. De quoi y voir un peu plus clair.
Windows 8 sortira le 26 octobre prochain. Cette commercialisation sera accompagnée de la sortie de plusieurs modèles de tablettes
tactiles. La toute première devrait être la Microsoft Surface, suivi peu après par les modèles de Samsung, Asus, Lenovo, Dell et peut
être Acer et Sony (ces deux marques ne sont pas officiellement désignées pour faire partie des premiers constructeurs à sortir
une tablette Windows 8 mais elle ont quand même présenté un modèle annoncé peu après la sortie de l’OS).
Même si les caractéristiques des tablettes attendues sont proches, certains petits détails pourront faire la différence (mis à part
l’aspect esthétique). Certaines fonctionnent sous Windows 8, d’autres sous Windows 8 RT, avec ou sans dock clavier … Pour le
moment les tailles d’écran vont de 10,1″ à 11,6″. Les tablettes Dell et Lenovo sé duiront en priorité les professionnels.
Mieux que des mots, voici un tableau comparatif des tablettes Windows 8. Il a été réalisé avec les données connues à ce jour (d’où
le nombre assez important de “Non communiqué” pour certains modèles).
Samsung Galaxy Music : un smartphone pour les mélomanes
http://www.generation-nt.com/samsung-galaxy-music-smartphone-melomanes-android-actualite-1630942.html
Un certain Galaxy Music attendu chez Samsung commence à faire parler de lui.
Et contrairement à ce que laisserait penser le nom du joujou, il ne s’agirait pas d’un baladeur
multimédia à l'image des Galaxy Player, mais d’un smartphone à destination des mélomanes.
Animé par un couple processeur monocore 850 MHz + mémoire vive 512 Mo et fourni avec
le système Android 4.0 Ice Cream Sandwich (migration 4.1 Jelly prévue), l’engin proposerait
un écran tactile capacitif 3’’, 2 haut-parleurs en façade, 1 ou 2 cartes SIM.
Il offrirait aussi la technologie d’amélioration sonore SoundAlive, des touches physiques
dédiées aux fonctions musicales, un tuner FM et un accès au service de musique en
streaming Music Hub avec ses 15 millions de titres.
À noter enfin une mémoire interne de 4 Go, extensible au moyen d'une carte mémoire
MicroSD d'une capacité maximale de 32 Go.
Ouvrir une session Windows 7 sans le clavier
http://www.generation-nt.com/windows-clavier-visuel-tactile-defaillant-ouverture-session-astuce-1628982-1.html
Cette astuce va vous montrer comment il est possible d'ouvrir une session utilisateur Windows 7 lorsque l'on ne
dispose pas de clavier physique.
Si vous utilisez le système d'exploitation Windows 7 sur une tablette tactile ou si votre clavier physique vient à être défaillant, voici
comment faire pour saisir quand même le mot de passe permettant de vous connecter à votre session utilisateur.
En
bas
à
gauche
de
l’écran
d’identification,
une
petite
icône
circulaire. Taper ou cliquer sur celle-ci.
S’ouvre alors une petite fenêtre avec
différentes options.
Cocher la case devant celle nommée "
Saisir sans le clavier (Clavier visuel) ".
Un clavier virtuel apparaît.
Il ne reste alors qu’à utiliser le doigt, le
stylet ou la souris pour entrer le sésame.
La montre éthylotest de Tokyoflash
http://www.linternaute.com/homme/mode-accessoires/la-montre-ethylotest-de-tokyoflash.shtml
Tokyoflash a présenté un concept de montre digitale capable de mesurer votre taux d'alcoolémie.
Vous êtes un fêtard, mais vous êtes fâché avec les alcootests, pas assez
tendance selon vous... Le bureau de design des montres futuristes
Tokyoflash a trouvé la solution en créant ce garde-temps digital capable de
mesurer votre taux d'alcoolémie et de vous signaler si vous êtes dans le
rouge avant de reprendre le volant.
Son écran LCD est tactile et permet d'activer cette fonction un peu
particulière. Il suffit alors de soulever un petit clapet situé sur le côté du
cadran et de souffler dans l'objet. Les résultats apparaissent alors sur l'écran.
Trois paliers vert, jaune et rouge en fonction de votre niveau d'alcoolémie.
Asus et Google travailleraient sur une version low cost de la Nexus 7
http://www.clubic.com/tablette-internet-mid/actualite-513561-asus-google-travailleraient-low-cost-nexus-7.html#ixzz27rSnxJvi
Selon Digitimes, Asus et Google prépareraient une version low cost de leur tablette Nexus 7, pouvant être
commercialisée sous les $100 d'ici à la fin de l'année. Une autre version, plus mince, pourrait l'accompagner.
Digitimes, qui cite des « sources industrielles », explique que Google et Asus se prépareraient à une rude
concurrence en fin d'année, notamment en raison du lancement attendu d'un iPad mini de 7’’. Les deux firmes,
qui ont lancé fin août leur tablette dans des versions 8 et 16 Go pour respectivement 199 et €249, n'auraient
pas dit leur dernier mot pour 2012.
On trouverait ainsi au programme une version plus fine du modèle actuel, qui serait proposé aux USA au prix
de $199– le tarif de l'actuelle version 8 Go aux Etats-Unis – mais également un modèle qui couterait $99.
A ce stade de la rumeur, impossible de savoir ce que pourrait impliquer une taille baisse de prix : Digitimes se
contente de préciser que, pour ces nouvelles versions, Asus se serait tourné vers le fabricant taïwanais
HannStar Display pour ses écrans.Le site Digitimes n'est pas toujours d'une fiabilité exemplaire quand il s'agit
de spéculer sur de futurs produits, mais cette rumeur pourrait motiver certains acheteurs potentiels de
patienter un peu avant d'investir dans une tablette.
EDF dévoile de nouvelles ambitions dans la mobilité électrique
http://www.cleantechrepublic.com/2012/09/28/edf-annonce-de-nouveaux-partenariats-dans-la-mobilite-electrique/
A l’occasion de l’ouverture du Mondial de l’automobile, EDF a dévoilé, hier et aujourd’hui, une série de partenariats
et de nouvelles offres dans la mobilité électrique.
Infrastructures de recharge et services aux conducteurs Cet après-midi, l’opérateur historique signait ainsi
sur son stand un accord entre sa filiale Sodretel et Schneider Electric. Un duo qui a pour ambition de proposer une
solution d’infrastructure de recharge « clé en main » aux acteurs de la grande distribution. Dans le même temps, Sodretel annonçait
un second partenariat avec MopEasy pour travailler conjointement sur des solutions d’autopartage. Dernier partenariat du jour : Plug
& Move. Cette plateforme web et smartphone - développée en partenariat avec AXA Assistance, Europcar, Navteq et Schneider
Electric – doit devenir le « couteau-suisse » des conducteurs électriques en proposant des services comme la géolocalisation des
véhicules, le tracé d’itinéraire ou la disponibilité des bornes de recharge.
Miser sur la location moyenne durée Au-delà de ces accords stratégiques avec des acteurs référents de la mobilité électrique,
EDF annonce également son arrivée sur le marché de la location de véhicules. Sa filiale E.Lease proposera ainsi de louer une
automobile « propre » pour une durée comprise entre un et vingt-trois mois. « L’objectif est de permettre aux automobilistes curieux
ou aux acheteurs potentiels de véhicules électriques de pouvoir franchir le pas sans s’engager » explique l’énergéticien
Avec FieldTrip, Google dessine les contours d'un monde hyperconnecté
http://www.01net.com/editorial/574055/avec-fieldtrip-google-dessine-les-contours-dun-monde-hyperconnecte/
Première étape vers un monde connecté en permanence, où l’information est non seulement toujours accessible
mais aussi poussée vers l’utilisateur, l’application FieldTrip débarque sur Android et bientôt sur iOS.
Envie de tout savoir sur l’endroit où vous vous promenez lorsque vous êtes en voyage ou sur le quartier que vous
fréquentez tous les jours, et sans le demander ? La nouvelle application Android, baptisée FieldTrip le permet.
Vous êtes dans un parc, FielTrip vous propose une mine d'informations historiques puis vous affiche des critiques
sur le restaurant du coin de la rue. Pour réussir ce petit tour de force, l’application bien sûr vous géo localise et
fonctionne en permanence afin de vous offrir des notes pertinentes issues de données sociales et des bases de connaissance
arpentées par le moteur de Google. Toujours connecté avec Google Pour être opérationnelle, FieldTrip a besoin d’être connecté en
continu à Internet. Ce qui n’est pas forcément le cas de tous nos smartphones sous Android (une version iOS devrait arriver sous
peu), quand nous sommes à l’étranger notamment. Pour autant l'application FieldTrip, de manière plus immédiate et concrète que
les lunettes du Project Glass, montre dans quelle direction Google veut se tourner. Son contrôle et sa gestion de flux de données
considérables lui ouvrent des portes pour des usages impressionnants. Et faire des utilisateurs des personnes omniscientes tant
qu’elles pourraient être hyper connectées. Ces services sans doute appréciables – mais accompagnés de publicités mobiles servies
par Google – laissent des questions en suspens. Sur la protection de la vie privée par exemple. Sur le plaisir de découvrir par hasard
une petite place, un lieu, une statue... Bref, sur le rôle de plus en plus important et central que Google occuperait dans nos vies.
"Ne jamais cesser d'explorer...", un credo pour une application qui vous apporte tout sur un plateau, sans exploration.
Le plan de Google pour hacker l'iPhone
http://www.zdnet.fr/blogs/one-more-thing/le-plan-de-google-pour-hacker-l-iphone-39783062.htm
Apple, dans la dernière mouture de son iOS, dégage Google de deux manières : plus d'application vidéo YouTube, plus de Maps.
Objectif : redevenir maitre chez soi, ne plus laisser cet inopportun développeur d'Android trainer parmi les deux applications les plus
utilisées de l'iPhone et lui apporter de l'audience.
Sur le papier, ça se tient : Apple reprend la main comme à son habitude et développe une solution maison dont il va pouvoir
maitrise l'expérience utilisateur. Si Apple développe son "Plans" c'est qu'il veut pouvoir y intégrer Siri, avoir une vue 3D, un guidage
GPS, et surtout une application qui soit au même niveau qu'Android.
Et c'est en fait exactement ce que voulais Google. En se faisant sortir des applications officielles de l'iPhone, Apple reprend la
main mais redonne sa liberté à un concurrent notable, qui développe une stratégie implacable pour "hacker" iOS :
Acte 1 : développement tout azimut d'applications pour iOS. Google, qui ne jurait que par le HTML5, se met à l'Objective C et sort
Drive, Google+...
Acte 2 : arrivée de Chrome sur iOS, concurrent de Safari. Pour la 1ère fois, il va être possible de contourner Apple et ses limitations :
en effet, c'est désormais Chrome (si vous l'avez installé) qui sera ouvert par défaut par les autres applications Google iOS.
Acte 3 : Google structure un app-store digne de ce nom regroupant jeux, livres, applications. Google Play est né.
Acte 4 : Google fait exprès de ne plus mettre à niveau son application Maps pour iOS, les nouveautés étant réservées à Android, et
traine les pieds pour répondre aux besoins d'Apple. Alors que le contrat n'est pas arrivé à son terme, Apple rompt avec Google.
Acte 5 : YouTube viré de la plateforme iOS par défaut, Google sort immédiatement une application YouTube beaucoup plus riche
que celle d'Apple. Celle-ci devrait s'ouvrir si elle est appelée depuis un produit Google (même cas que Chrome).
Acte 6 : Maps. Google est devant un dilemme : sortir, tout comme YouTube, une application concurrente, ou justement ne rien
faire, laisser Apple s'embourber et réserver ses cartes uniquement pour Android. Je pense que la deuxième voie a de fortes chances
de voir le jour. Pourquoi être un énième outil de cartographie non appelé par défaut par iOS si l'outil peut-être beaucoup plus
performant ailleurs, sur sa propre plateforme ? Certes, il y aura des pertes d'audience. Mais elles pourront être compensées partant
du principe que leur service de cartographie est solidement implanté. De plus, dans le cas de YouTube et de Maps, la monétisation
de ces services devient possible ce qui n'était pas le cas tant qu'ils étaient par défaut les outils d'Apple.
En clair, Google a tout intérêt à ne plus être le partenaire d'Apple maintenant qu'Android est bien implanté, ce qui leur laisse le choix
de "coloniser" iOS en prenant la Pomme à revers sur le terrain des apps et ainsi hacker le système de l'iPhone et de l'iPad. Car, une
fois que vous aurez gouté à l'expérience Android sur iOS, pourquoi ne pas switcher ?
Criteo, le petit français qui taquine Google à coups de clics
http://www.liberation.fr/economie/2012/09/30/criteo-le-petit-francais-qui-taquine-google-a-coups-de-clics_849896
Le 26 septembre, Criteo annonçait une levée de fonds de €30 M, auprès de Yahoo Japan, Adams Street and Bessemer et SAP
Ventures. Un petit record pour une start-up française. Objectif : partir à la conquête de l’Asie. En juin, elle s’offrait un centre de R&D
de 10 000 m2 au design épuré, rue Blanche. Avec vue à 360 degrés sur Paris depuis la terrasse, au 6ème étage. Et inauguration en
grande pompe par Fleur Pellerin, la ministre déléguée chargée des PME, de l’Innovation et du Numérique.
Ciblage. Criteo a le vent en poupe dans le business de la publicité sur Internet. Et pour cause : elle s’est spécialisée dans le
retargeting, ou comment prévoir le comportement consumériste des internautes, à partir d’un algorithme analysant leurs habitudes
de navigation. Pour ce faire, la société sème des cookies publicitaires, ces petits mouchards en ligne qui traquent nos mouvements
sur la Toile… Grâce à ses services, un site marchand peut diffuser ses publicités ciblées vers des internautes qui ont déjà visité des
pages similaires sur d’autres sites. Criteo, qui a ouvert son centre de R&D à quelques rues du siège de Google France, vient taquiner
le géant américain sur son terrain de prédilection, le ciblage publicitaire. «On est proche de Google en termes de business model,
puisqu’on vend des clics, et que l’on est une entreprise dans le domaine de la pub, avec une forte dose de technologies», admet
Jean-Baptiste Rudelle, qui vient de rentrer en France après 3 ans passés en Californie à développer sa filiale américaine.
Cette activité est devenue très rentable. Criteo, qui souffle tout juste ses sept bougies, aligne des performances qui donnent le
tournis pour une start-up hexagonale :$ 200 M (€155 M) de chiffre d’affaires en 2011 (contre 60 M en 2010 et 9 M en 2009),
réalisés à 80% à l’export, des bureaux dans 15 pays, 600 salariés (contre 70 en 2009), 250 recrutements prévus cette année, dont
100 ingénieurs… Un joli succès pour Jean-Baptiste Rudelle, qui avait déjà lancé une première start-up en 1999, K-Mobile, spécialisée
dans le téléchargement de sonneries de portables, très à la mode alors…
Pourtant, tout n’a pas été rose dans l’aventure Criteo. Au début, l’entreprise a beaucoup tâtonné et n’a pas généré de CA avant
2008. Après avoir testé le business de la recommandation personnalisée auprès des visiteurs de sites d’e-commerce, Criteo a donc
changé de modèle pour se concentrer sur la publicité ciblée.
Débauché. Les financiers ont suivi comme un seul homme, du «ROI» (retour sur investissement) plein les yeux : avant les €30 M
de la semaine dernière, la société avait déjà réalisé 3 levées de fonds. Le coffre-fort plein pour financer ses projets de
développement, Jean-Baptiste Rudelle dit vouloir s’entourer «des meilleurs», quitte à aller les chasser chez Yahoo ou Google. L’an
dernier, il a ainsi recruté comme président de la branche américaine Greg Coleman, ancien directeur des ventes de Yahoo et patron
du Huffington Post, débauché Laurent Metzger chez Kelkoo, et Julien Simon chez Pixmania.
Megabox, le nouveau site de Kim Dotcom qui va révolutionner l’industrie musicale
http://dailygeekshow.com/2012/09/29/megabox-le-nouveau-site-de-kim-dotcom-qui-va-revolutionner-lindustrie-musicale/
Le créateur de Megaupload revient avec un tout nouveau site. Après avoir été arrêté et traîné en justice par le FBI, il
fait son grand retour et c'est toute l'industrie musicale qui retient son souffle. Megabox se dévoile un peu plus grâce
aux deux vidéos tweetées par Kim Dotcom en personne.
Depuis quelques semaines maintenant, Kim Dotcom, le créateur allemand du site de partage de fichiers Megaupload affole la
toile. Promettant une riposte de grande envergure à la fermeture de son ancien site, il annonçait la couleur avec ce message posté
sur Twitter « Je sais ce que vous attendez tous. Ça arrive. Cette année. C'est juré. Plus gros. Plus rapide. Mieux. 100 % sûr et
impossible à stopper". Après s'être auto-proclamé "méchant de James Bond", Kim a diffusé les premières images de ce que sera son
nouveau site sous forme de making-of, Megabox.
Son projet est de créer un site d'écoute de musique en streaming à l'instar de Deezer ou encore Spotify, avec une possibilité de
stocker les musiques tout comme iTunes. Jusque-là, rien de révolutionnaire. Mais là où Kim Dotcom compte frapper fort, c'est en
promettant aux artistes qui souhaiteront s'auto-promouvoir et s'auto-distribuer sur son site, de se voir reverser 90% des revenus de
leurs titres. Un vrai coup de tonnerre pour les labels qui auront certainement du mal à pouvoir avancer des arguments de poids face
à une telle offre. Megabox serait normalement en majeure partie financé par les publicités.
Popinator, le distributeur de pop-corn pour les geeks
http://dailygeekshow.com/2012/09/29/popinator-le-distributeur-de-pop-corn-pour-les-geeks/
Pourquoi se fatiguer à lancer du pop-corn en l'air, pour l'attraper à la façon d'une otarie, lorsqu'une machine peut le
faire pour vous ? Popinator c'est l'invention qui révolutionnera vos après-midi devant la télé !
Il y a des projets comme celui-là, qui sont faits pour rendre la vie de l'homme meilleure. Avant de voir
apparaître un jour un frigo qui lancera des bières, la société Popcorn India a inventé une machine
lanceuse de pop-corn ! Popinator, c'est un peu l'ami que vous n'avez jamais eu, celui qui met du popcorn dans votre bouche lorsque vous êtes trop occupé à jouer aux jeux vidéo.
À la simple prononciation du mot "Pop", ce lanceur de maïs soufflé repèrera, grâce à deux micros
intégrés, votre voix et dirigera son canon vers votre bouche pour y envoyer le pop-corn. Fabuleux non ?
La volonté de la société était de changer notre manière de manger du pop-corn afin de la rendre plus fun.
On peut dire que le pari est réussi haut la main avec cette invention. D'ailleurs chez DGS, on espère
qu'elle sera commercialisée un jour pour s'amuser un peu plus pendant les réunions ;) .
Les premiers utilisateurs de Windows 8 préfèrent déjà Seven
http://www.zdnet.fr/actualites/les-premiers-utilisateurs-de-windows-8-preferent-deja-seven-39783073.htm#xtor=EPR-100
D’après un sondage réalisé auprès d’utilisateurs de Windows 8, Windows 7 reste pour 53% d’entre eux leur OS
préféré. Et d’après Gartner, les entreprises ne doivent être distraites par Windows 8, qui ne devrait pas équiper plus
de 20 à 25% des postes professionnels. Un avenir à la Vista.
Windows 8 prendra-t-il auprès des utilisateurs ou les changements d’interface feront-ils qu’il sera boudé ? Une première réponse
a peut-être été fournie par les membres de Forumswindows8.com, un site d’aide et de support consacré à Windows 8.
D’après un sondage réalisé sur le site et totalisant 50.000 votes, le système d’exploitation préféré de ces déjà utilisateurs de
Windows 8 n’est justement par cette dernière version de l’OS Microsoft, mais Windows 7.
Windows 8 : pas mieux que Vista en entreprise Et Seven se démarque nettement puisqu’il est cité comme l’OS préféré de 53%
des répondants, devant Windows 8 avec 25%, qui précède de peu XP avec 20%. Du côté des entreprises, selon Steve Kleynhans
et Michael Silver de Gartner, celles dont les postes sont sous XP devraient passer à Windows 7 et ne pas viser Windows 8.
« Faite votre migration Windows 7, et ensuite vous pouvez commencer à expérimenter et barboter avec Windows 8, mais ne laissez
pas Windows 8 faire dérailler votre projet de mise à jour vers Windows 7 » recommande Steve Kleynhans.
L’analyste mise sur une adoption de Windows 8 par les entreprises relativement modeste. « Windows 8 obtiendra 20 à 25% des
utilisateurs professionnels, au mieux, avant qu’il ne soit remplacé par le système suivant. » C’est un avenir à la Vista donc que prédit
Kleynhans à Windows 8 pour l’entreprise.
HP ElitePad 900 : une tablette Windows 8 modulable pour l'entreprise
http://www.clubic.com/tablette-internet-mid/actualite-513789-hp-elitepad-900-smartjackets-modulable-windows-8.html#ixzz287leVwGj
HP a annoncé l'« ElitePad 900 », une tablette Windows 8 destinée aux entreprises et misant pour ce faire sur sa
résistance et ses possibilités d'extension au travers de « SmartJackets ».
À l'instar des ordinateurs portables de la famille EliteBook, cette tablette bénéficie d'une
coque en aluminium moulé et d'un écran Gorilla Glass 2, qui lui valent une certification MILSTD-810G garantissant notamment sa résistance aux chutes d'environ un mètre.
Cet écran offre d'ailleurs une diagonale de 11,6’’ et une définition WXGA (1280 x 800
pixels), soit un ratio 16:10 qui se fait rare mais qu'affectionnent les férus de productivité.
L'ensemble mesure 9,2 mm d'épaisseur pour 680 g.
Cette première « ElitePad » repose sur une plateforme Intel Clover Trail, incarnée en
l'occurrence par un Atom Z2760 (double cœur cadencé à 1,8 GHz) et associée à 2 Go de
mémoire vive et à un SSD de 32 ou 64 Go. Cette configuration offre un compromis
intéressant entre performance et autonomie, de 10 h selon le fabricant.
En matière de connectivité, un modem 3G et/ou 4G est proposé en option, en plus du Wi-Fi
et du Bluetooth. Un logement microSD côtoie le logement SIM pour étendre l'espace de
stockage. On trouve également un capteur frontal à 2 millions de pixels, pour des
visioconférences jusqu'en Full HD 1080p, ainsi qu'un dorsal à 8 millions de pixels.
L'« ElitePad » dispose enfin d'un connecteur propriétaire, qu'exploitent déjà un grand nombre d'adaptateurs (carte SD, USB, HDMI,
VGA, Ethernet et même port série), mais aussi et surtout diverses « SmartJackets ». L'une d'elle, la « Productivity Jacket », munie
d'un clavier et d'une batterie supplémentaire, permet de la convertir en ordinateur portable. Une autre, l'« Expansion Jacket »,
ajoute batterie et connectique. Une « Docking Station » permet enfin de l'utiliser avec le confort d'un ordinateur de bureau.
L'« HP ElitePad 900 » sera commercialisée aux États-Unis à partir du mois de janvier 2013, pour des tarifs encore non communiqués.
Sharp va produire des écrans de smartphone d'une résolution de 443 ppp
http://www.businessmobile.fr/actualites/sharp-va-produire-des-ecrans-de-smartphone-d-une-resolution-de-443-ppp-39783095.htm#xtor=EPR-100
En difficulté financière, Sharp serait en retard sur la production d'écrans pour l'iPhone 5... Mais Sharp
pourrait signer un retour gagnant avec de nouvelles dalles de 5 pouces à la résolution alléchante.
Apporter aux smartphones la qualité des écrans LCD habituellement postés sur les bureaux. Sharp en a fait le vœu, et a commencé
à produire au Japon des dalles de 5’’ d'une définition de 1920 par 1080 pixels, avec une résolution record de 443 points par pouce.
Selon notre confrère ZDNet, le rythme de croisière dans la production sera atteint dès octobre, à l'usine Sharp de Kameyama.
Nouveau procédé industriel "En fournissant des dalles LCD ultra-précises, Sharp va soutenir la demande croissante en
smartphones dans le monde, et contribuer à la production de smartphones avec une qualité d'image de meilleure en meilleure,"
affirme le fabricant dans un communiqué. Pour atteindre ce niveau de détail, Sharp mise sur un nouveau procédé industriel. Cela
permettrait une densité 1,3 fois supérieure à la concurrence selon lui. Ce type de résolution est normalement réservé aux écrans
plus grands, mais le procédé utilisé et une nouvelle conception pourraient permettre son apparition sur nos appareils nomades.
Difficultés financières Ces dalles full-HD de 5’’ devraient être dévoilées au public et à la presse lors du salon japonais CEATEC, qui
se tiendra à partir de demain à Chiiba, près de Tokyo. Leur arrivée pourrait permettre de démocratiser une qualité d'écran jamais
vue. Rappelons que Sharp produit actuellement les écrans 4’’ de l'iPhone d'Apple. En difficulté sur le plan financier, il a été
accusé de ralentir la production d'iPhone 5, mais le constructeur le dément vigoureusement.
Reconnaissance de visages : Google rachèterait Viewdle
http://pro.clubic.com/entreprises/google/actualite-514011-reconnaissance-visages-google-racheterait-viewdle.html#ixzz287zJuoP1
Google souhaiterait investir davantage dans la reconnaissance de visages et se rapprocherait de la société Viewdle.
Si le logiciel Picasa dispose d'un mécanisme permettant d'identifier automatiquement les personnes présentes au sein de ses photos,
Google pourrait améliorer cette technologie, voire la porter sur son réseau communautaire en rachetant la société Viewdle.
Fondée en Ukraine en 2006 et basée en Californie, celle-ci mélange la réalité augmentée à la reconnaissance de visages et dispose
de plusieurs brevets technologiques en la matière. Viewdle a conçu quelques applications pour Android et, selon le blog Techcrunch,
qui rapporte l'affaire, l'équipe testerait actuellement son kit de développement sur iOS. Viewdle a également développé une
application baptisée Viewdle Desktop permettant d'ajouter un libellé sur les photos et vidéos du réseau de Facebook.
En octobre 2010, la société annonçait avoir levé la somme de $10 M auprès de la firme américaine Best Buy. Parmi ses autres
investisseurs, nous retrouvons Research In Motion ou Qualcomm.
Ce ne serait pas le premier investissement du genre pour Google. En 2006, il a fait l'acquisition de la société allemande Neven Vision
puis, en juillet 2011, de PittPatt, toutes deux spécialisées dans les technologies similaires. Google n'est cependant pas la seule
société à s'intéresser à ce domaine. Son éternel rival Facebook a récemment racheté Face.com pour un peu moins de $60 M.
Selon plusieurs sources, l'acquisition serait finalisée en fin de semaine. Elle est estimée entre 30 et €45 M.
How Smart Chargers Could Change Future Power Grids
http://www.technologyreview.com/view/429423/how-smart-chargers-could-change-future-power/
Intelligent laptop chargers that switch on only when electricy demand is low could reduce the risks associated
with the unpredictabilty of wind and solar power
When it comes to electricity grids, matching supply and demand is a tricky business. Utilities need to have spare capacity on standby
to provide additional power whenever it is needed and that's expensive. What's more, the problem is set to get worse given the
growing reliance in many parts of the world on wind and solar energy, which is often unpredictable and cannot be switched on to
match demand. There are essentially two ways to tackle this. The first is to invest in more infrastructures, such as additional
conventional power stations or energy storage devices such as batteries, and to switch these on when they are needed.
The second is to use power more intelligently. One idea is to shift electrical consumption to times when demand is low. In other
words controlling demand rather than supply. In this way, demand can be made to more closely match the supply.
Indeed, there are various examples of this in operation now. The British supermarket chain Sainsbury's is currently fitting its network
of refrigerators with so-called "demand control" technology that will aim to switch them on when electricity demand is low. The
supermarket's aim is to save around 100,000 tons of carbon dioxide-equivalent emissions in the next 10 years.
Today, Stefan Hild at the University of Glasgow in Scotland and a few pals demonstrate how simple it is to do the same kind of thing
with laptop battery charging, a process that can often be done at night when demand is low anyway.
These guys point out that when the grid's nominal operating frequency is 50 Hz, the frequency tends to drop when demand is high
and rise when demand is low. So it's straightforward to design a simple circuit that can detect these changes and switch a laptop
charger on or off respectively. In fact, more sophisticated control would be relatively straightforward. Operates could easily publish
the state of the grid on the Internet or transmit information by modulating the grid frequency itself. Laptop computers, of course,
are in a good position to process this kind of data and act on it. Hild and co have tested their idea by building smart charging circuit
and declare that it works well on an ordinary laptop. They have also examined the historical record of frequency changes over the
grid and say demand control technology should keep a laptop at least 40% charged with normal use.
Of course, the great benefit is not for the laptop owner but for the electricity grid and the country as a whole. Hild and co say that
making this technology widely available will have a significant impact on the cost of operating electrical grids in future.
"This will contribute significantly to the stability of the electricity grid, help to mitigate the power production fluctuations from
renewable energy and avoid the high cost of building and maintaining conventional power plants as standby reserve," says Hild.
Arnaques aux smartphones: Les opérateurs tirent la sonnette d’alarme
http://www.20minutes.fr/economie/1014589-arnaques-smartphones-operateurs-tirent-sonnette-dalarme
Plus de 100.000 fraudes depuis le début de l'année déplorent un opérateur...
Trop cher un smartphone dernier cri? Pour contourner le problème, des milliers d’utilisateurs prennent un mobile haut de gamme
subventionné auprès d’un opérateur moyennant un abonnement 24 mois avant de filer dare-dare chez un concurrent pour profiter
d’une offre SIM-Only. Illégal, le procédé est une plaie pour les opérateurs qui voient s’accumuler les factures impayées. Un patron
interrogé par Les Echos estime au moins à 100.000 le nombre de fraudes constatées le début de l’année pour tous les acteurs du
secteur. «Certains mentent sur leur identité ou ferment leur compte bancaire après avoir reçu leur terminal. Mais la plupart du
temps, il s’agit de Monsieur Tout-le-monde qui veut un iPhone ou un Galaxy à moindre prix». Et les opérateurs sont désarmés face à
l’ampleur du phénomène qui concernerait jusqu’à 15% des ventes sur certains modèles de téléphone. «Pour un iPhone 5 à €679
sans subvention, qui passe à €199 avec un engagement de ans à €69 euros, l’arnaque vaut la chandelle», note Les Echos. Mais il est
difficile de faire à chaque fois une procédure de recouvrement pour récupérer le préjudice.
Cependant, Orange, Bouygues Telecom et SFR ne désarment pas. Le premier prend l’empreinte de la carte Bleue pour tous ses
nouveaux abonnés. SFR, depuis peu, a mis en place une offre de remboursement. Si le prix affiché de l’iPhone 5 est de €189, le
client doit effectuer un premier paiement de €339 avant que l’opérateur ne rembourse €150 dans les 2 mois qui suivent. De son
côté, Bouygues réfléchit à une riposte. La DGCCRF a été saisie du dossier.
L’union européenne dévoile son programme spécial cloud
http://www.itespresso.fr/union-europeenne-devoile-programme-special-cloud-57232.html
La Commission européenne a présenté de nouvelles stratégies pour pousser l’adoption de solutions cloud par les
entreprises et les administrations.
Après avoir réaffirmé en juin le nécessité d’une réforme structurelle de l’économie numérique, l’exécutif européen a présenté ses
propositions visant à « libérer le potentiel du cloud computing en Europe ». Il s’agit d’inciter davantage d’administrations et
d’entreprises de tous secteurs à adopter les solutions dédiées à l’informatique distribuée, note Silicon.fr.
« Le cloud computing peut changer la donne de notre économie. Sans action à l’échelle de l’UE, nous resterons cloisonnés dans les
bastions nationaux et nous passerons à côté de milliards d’euros d’économies. Nous devons atteindre une masse critique et fixer un
unique ensemble de règles pour toute l’Europe », a déclaré Neelie Kroes, VP de la Commission en charge de la stratégie numérique.
Les mesures dévoilées le 27 septembre par Neelie Kroes et son homologue en charge de la justice, des droits fondamentaux et de la
citoyenneté, Viviane Reding, sont les suivantes :
- étudier l’existant et définir, d’ici à 2013, les normes techniques nécessaires à l’interopérabilité, la portabilité des données et la
réversibilité pour les utilisateurs du cloud
- soutenir les systèmes de certification à l’échelle de l’UE pour les fournisseurs de services cloud fiables
- mettre en œuvre un modèle type de conditions contractuelles « sûres et équitables », dont les niveaux de service
- créer un partenariat européen du cloud associant États membres et entreprises qui bénéficiera du pouvoir d’achat du secteur public
(soit 20 % de toutes les dépenses informatiques)
Parallèlement au nouveau cadre de protection des données et à la stratégie européenne de cyber-sécurité prochainement dévoilée,
l’élaboration de règles communautaires en matière de cloud computing constitue une condition préalable à la mise en place d’un
« véritable » marché unique du numérique.
Les mesures pro-cloud soutenues par l’exécutif européen sont censées permettre la création de 2,5 millions de nouveaux emplois et
contribuer à hauteur de €160 Mrd / an au PIB de l’UE, soit environ 1%, d’ici à 2020.
IPv6 : l’administration américaine devrait rater ses objectifs
http://www.lemagit.fr/projets/secteur-activite/industrie-distribution/2012/10/01/ipv6-ladministration-americaine-devrait-rater-ses-objectifs/
Il y a 2 ans, Vivek Kundra, alors DSI de la Maison Blanche, fixait des objectifs ambitieux aux administrations fédérales américaines :
celles-ci devaient, d’ici la fin de l’exercice fiscal 2012, avoir mis à jour leurs serveurs et services ouverts au public pour qu’ils utilisent
de manière opérationnelle et native IPv6. Les applications internes communicant avec l’extérieur avaient elles jusqu’à la fin 2014.
Las, selon le National Institute of Standards and Technology (NIST), l’objectif fixé alors semble encore bien lointain : seulement 16
% des domaines seraient prêts pour IPv6, avec 37 % de plus en cours de mise à niveau. Côté services, c’est pire : 32 % sont
opérationnels en IPv6 et 2 % sont en cours de mise à niveau. Mais rien n’est planifié pour 66 % des services exposés au public.
Web et surtout e-mail sont à la traine : par exemple, seuls 99 domaines de messagerie sont prêts, sur un total de 697 dont 583 ne
font l’objet, actuellement, d’aucun travail de mise à niveau. Mais si blâmer l’administration américaine est facile, l’industrie ne semble
guère mieux faire… Selon le NIST, sur la base de 1069 domaines testés outre-Atlantique, seul 1 % est prêt pour IPv6 et 28 % sont
en cours de mise à niveau. Ce qui en laisse 71 % ne faisant l’objet d’aucun effort de migration. Et le monde universitaire ne montre
guère plus l’exemple avec 72 % de domaines – sur 346 testés – laissés pour compte, pour le moment.
Le langage de programmation Rebol passe en open source… trop tard ?
http://www.silicon.fr/carl-sassenrath-rebol-programmation-79187.html
Original et novateur, Rebol n’a pas su convaincre en son temps. Son créateur, Carl Sassenrath, souhaite aujourd’hui
le libérer sous licence open source. Mais il est concurrencé par l’offre d’un Français…
Carl Sassenrath est un développeur de génie, auquel nous devons quelques belles réalisations. Il a ainsi été l’architecte du
système d’exploitation Amiga OS… et le créateur de Rebol, un langage de programmation unique en son genre.
Cette offre est intéressante à plus d’un titre :

l’utilisation des protocoles réseau y est pratiquement transparente ;

la création d’interfaces graphiques se veut particulièrement accessible ;

la possibilité de créer des langages dédiés rend Rebol extensible à l’infini…
… Le tout dans un interpréteur de très petite taille.
Hélas, Rebol a souffert de deux principaux défauts : un manque de communication de la part de son créateur et son caractère
propriétaire. Deux problèmes majeurs à une époque où les développeurs misent sur les communautés et l’open source. Et cela sans
compter les retards à répétition de la v3.
Après plus d’une année de silence, Carl Sassenrath semble prêt à ouvrir le code source de Rebol (à priori, sous licence GPL 2).
L’objectif avoué de la manœuvre est de relancer l’intérêt du public pour son offre, et son approche de la programmation.
La révolution viendra-t-elle de France ? Toutefois, il semblerait que ce dernier mouvement de la part du talentueux, mais peu
avisé (il a aussi été le créateur de l’Amiga CDTV), créateur de Rebol, arrive un peu tard. Un clone, Red, est en effet en gestation
depuis mai 2011. Créée par le Français Nenad Rakocevic (un champion du Rebol, aussi connu sous le nom de Dockimble), cette
solution se veut particulièrement puissante : compilation à la volée, traitements parallèles, serveur web intégré, etc.
Un rapprochement est-il envisageable entre les deux projets ? Non. De fait, si Carl Sassenrath choisit la licence GPL 2 pour Rebol 3,
la communauté Red ne pourra pas en profiter, puisque son projet est placé sous licence BSD. Un transfert de code de Rebol vers
Red n’est donc pas envisageable.
Why Facebook's Search Engine Won't Be Anything Like Google's
http://www.technologyreview.com/news/429427/why-facebooks-search-engine-wont-be-anything-like/
Trying to match Google's immense index of the Web would be very costly—but Facebook could instead build
search on top of the data we've already given it.
When Facebook founder Mark Zuckerberg mentioned during an interview last month that he wanted to build a search engine,
headline writers instantly put leading search engine Google on notice. Yet, while Larry and Sergey are probably watching closely, the
technology and data at Facebook's disposal suggest the company will most likely create something fundamentally different from
Google's search service. Facebook lacks the comprehensive index of the Web that it would need to equal Google's ability to match
queries with Web pages—and it would have to invest a lot to create one.
However, flush with cash from its IPO this summer, the world's largest social network already has its own unique stockpile of data—
courtesy of its users' social lives—that could power a new kind of search engine altogether. By mining users' updates about
vacations, music listening interests, online habits, and more, Facebook Search could be better at answering subjective questions,
about what products, experiences, and businesses you might be interested in, than a traditional search engine.
"It would be very hard to create a general search engine to match Google," says Apostolos Gerasoulis, a professor at Rutgers
University who helped lead work on search technology at Ask Jeeves after the company acquired his search engine Teoma in 2001.
Trying to replicate Google's approach would require Facebook to spend considerable sums developing and deploying software "bots"
capable of crawling billions of Web pages every day to gather a comprehensive index of the Web, he says. "Because Google is so
big," says Gerasoulis, "they have data for the long tail"—the uncommon queries for which relatively few pages are a match.
OPEN WEBOS 1.0 : HP cherche un nouvel élan dans la mobilité
http://www.itespresso.fr/open-webos-hp-cherche-nouvel-elan-os-mobilite-57268.html
Soutenu par HP via sa filiale GRAM, le système d’exploitation Open webOS est disponible en version 1.0. Il est
articulé autour des technologies Web et développé avec le concours de la communauté open source.
En quête d’un levier de relance sur le marché de la mobilité, HP annonce la disponibilité d’Open webOS 1.0, système d’exploitation
développé avec le concours de la communauté open source. Le groupe high-tech américain, constructeur par essence, prend la
casquette d’éditeur pour investir à nouveau les segments des smartphones comme les tablettes. Mais les équipes de la filiale
GRAM, qui s’est vu confier le projet fin août, n’excluent pas l’éventualité d’étendre la colonisation aux PC.
Bull présente un téléphone mobile ultra-sécurisé
http://www.businessmobile.fr/actualites/bull-presente-un-mobile-ultra-securise-39783194.htm#xtor=EPR-100
Ce terminal est protégé de bout en bout et vient sur le terrain de prédilection de RIM/Blackberry.
Dans le domaine de la mobilité, il faudra désormais compter avec un nouvel acteur : le français Bull. Le spécialiste
des systèmes ouverts ne va évidemment pas partir à la conquête du grand public avec un énième terminal Android.
Le groupe vise, avec sa filiale Time Reversal Communications les entreprises sensibles et les organisations officielles
(gouvernements, ministères...) avec un mobile ultra sécurisé baptisée 'sphone'. "Sphone est le premier téléphone
mobile à sécurité matérielle native offrant une protection intégrée contre l'intrusion, le vol de données personnelles
et le vol de terminal. sphone sécurise de bout en bout les communications, qu'elles soient orales ou SMS, mais aussi
les données locales, stockées dans le téléphone comme l'annuaire, le journal des appels ou la mémoire de masse".
Voix et SMS cryptés Le téléphone sécurisé embarque nativement un moteur de sécurité en cours de certification
EAL4+ selon les Critères Communs, qui met en œuvre des algorithmes de chiffrement et de signature de haut niveau
de sécurité ainsi qu'une authentification forte. La sécurité est ainsi intégralement maîtrisée par l’organisation, et ne
dépend pas de tiers, ajoute Bull. Les communications sécurisées du sphone sont entièrement contrôlées, hébergées
et administrées par son service informatique et sécurité. Le système comprend par ailleurs une solution de Device
Management, permettant d’administrer à distance les terminaux. La solution sphone comprend un système central composé d’une
passerelle sécurisée, d’un CardManager et met en œuvre une Infrastructure à Gestion de Clés. La passerelle sécurisée permet
l’interconnexion de tous les terminaux mobiles du système, la connexion aux serveurs et au central téléphonique de l’organisation
(PBX). Le CardManager héberge (ou s’interface avec) l’Autorité de Certification et administre la sécurité des utilisateurs.
Avec cette offre, Bull vient concurrencer frontalement l'univers RIM/Blackberry qui met également en avant la protection de son
infrastructure avec des échanges cryptées, des solutions de protection multiples et des certifications officielles en pagaille.
Un feature-phone à OS propriétaire Mais pour Franck Gréverie, Executive VP de la Business Line Security Solutions de Bull., "les
solutions de communication sécurisée existantes ne proposent que des applications à installer sur des téléphones ou smartphones
du commerce. Ces solutions ne couvrent pas toutes les menaces pour les utilisateurs comme la voix et les SMS. Ayant développé
l'intégralité du téléphone, depuis le matériel jusqu'à l'applicatif, nous avons pu intégrer un moteur de sécurité de haut niveau et
certifié, tout en garantissant les performances du produit final. Nous avons travaillé sur l'ensemble du système d'exploitation en
sécurisant les modules pouvant servir de support aux différentes menaces".
Validé et utilisé au niveau gouvernemental, sphone fait partie d’une solution de sécurisation de toutes les communications incluant
e-mails, intranet et serveurs de fichiers, ajoute Bull. Si le terminal répond à des exigences fortes en matière de sécurité, il risque
néanmoins de décevoir sur l'expérience utilisateur. Ce sphone n'est pas un smartphone mais un simple feature-phone motorisé par
RTOS, un système d'exploitation propriétaire. S'il est 3G+, il n'offre pas de navigateur Web et d'accès aux applications tierces.
Alors que les smartphones règnent en maître, y'a-t-il un avenir pour les feature phones en entreprise, même sécurisés ? Interrogé
sur cette question, Bull nous indique travailler sur une version de smartphone Android sécurisé pour mi 2013.
La Fnac élargit sa gamme de liseuses Kobo
http://www.01net.com/editorial/574795/la-fnac-elargit-sa-gamme-de-liseuses-kobo/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20121004
L'enseigne de produits culturels proposera demain deux nouvelles liseuses Kobo. Une
idée cadeau pour les fêtes.
A l'orée des fêtes de fin d'année 2011, la Fnac lançait sa liseuse Kobo (€99,90 ). Avec
elle, l'enseigne française comptait concurrencer Amazon et son Kindle. Jeudi 4 octobre, la
Fnac propose 2 nouveaux modèles : la Kobo Mini (€79,99 ), une liseuse format poche, et
la Kobo Glo, une liseuse à l'écran lumineux (€129,90). Divers accessoires seront
également disponibles afin de personnaliser l'appareil.
Avec son partenaire canadien Kobo, la Fnac propose depuis 2011 un catalogue de plus de 2,7 millions de titres dont 260 000 en
français, et toutes les nouveautés de la rentrée littéraire 2012 proposées par les éditeurs. La première liseuse Kobo s'est écoulée à
60 000 exemplaires sur les 6 premiers mois de sa commercialisation, indique l'enseigne de produits culturels.
Oracle on path to become the Apple of the enterprise
http://www.zdnet.com/oracle-on-path-to-become-the-apple-of-the-enterprise-7000005216/?s_cid=e539
Oracle looks set on becoming the Apple of the enterprise.
At Oracle OpenWorld in San Francisco this week the company has used every keynote speech and press briefing to put across one
message: with the advent of a fleshed-out cloud, Oracle is in a position to make almost every hardware and software component
that an enterprise may need. No other enterprise company can do this, Oracle says.
"We have service where we [can] patch the entire thing from the database all the way to the firmware in the controllers," John
Fowler, Oracle's executive vice president of systems, said in a keynote speech on Wednesday.
The closest company to Oracle in terms of this approach is not one of its standard rivals - SAP, HP, IBM - but Apple.
Oracle is aiming to be able to sell a customer the hardware on which they perform computing and storage, the software to run jobs
onto it, and a raft of cloud services which they can store their data in and use to update their software. To me this approach is the
same as Apple's, which designs its own hardware, writes the OS which its systems use, and, via the App store, controls a
widespread developer ecosystem. The similarities go further when you look at what both companies do with their respective
component ecosystems. Like Apple, the majority of vendors that Oracle procures components from are bound by non-disclosure
agreements, preventing them from crowing about having kit in the latest engineered system. In the same way that companies like
LSI and Fusion-io are not able to confirm whether their technology is used within Oracle's systems, Apple component suppliers
cannot officially claim to be inside an iPhone or a Mac computer. (There are exceptions, as Intel, but they are few and far between.)
Exadata leads the way The strategy comes across most clearly in the updated range of Exadata systems. With these bits of kit,
Oracle have "been able to optimize all the pieces to work together – much like an iPhone is an 'engineered system'," Scott Swigart,
co-founder of Cascade Insights, a market intelligence firm said.
"Here the argument is about price per performance. Oracle claims that for X dollars you could buy a bunch of HP gear, and
configured it yourself, but you wouldn't get the same performance as if spent the same X and just bought an Exadata."
Though sales have been disappointing for its hardware, the customers that do use it seem to like it.
"The first time I heard about this engineering of hardware and software together I thought that sounds like a good idea. Having
seen it in reality and lived with it now I can see it does pay dividends," Marc Terry, managing director of commercial services
for VocaLink, said. VocaLink uses Exadata systems to help it process transactions between tens of thousands of UKcash machines
and banks, along with handling the BACS system which is used to pay the majority of wages in the United Kingdom. He described
the hardware as being both "cost-effective" and an "exceptionally high-performance system." When asked about worries over lockin, he indicated that if Oracle maintains a combination of good service and strong hardware, he would remain a customer.
"If the technology is reliable and it doesn't break and we get performance because it's engineered together and that outweighs the
potential from having multiple sources, then we'd go with that," he said.
From Oracle's perspective, I imagine the motivation to create a 'red-stack' is that this gives the company the greatest degree of
control over not only its products, but its customers as well. Once everyone is on a standard platform that you own, then driving
major changes becomes a lot easier. In the same way Apple chucked out Google Maps in the latest iOS and replaced them with its
own software, Oracle is able to remotely patch its systems to suit its future purposes.
A risky strategy However, history is littered with enterprises that have failed to handle both software and hardware. Today HP's
CEO Meg Whitman told analysts that because she had inherited a bloated company, profits would be down next year and it could be
years until HP's various business divisions recovered. In the mid-2000s IBM, conscious of the types of problems that have
subsequently befallen HP, got out of one of its hardware lines by selling its personal computer business to Lenovo. Similarly, Dell
tried briefly to get into tablets, failed, and has regrouped around core services.
Ultimately, for Oracle to become the enterprise equivalent of Apple it will need to focus around a few key products and relentlessly
iterate on the design of them to please customers, otherwise it risks over-extension. Even Apple has fallen foul of this – at the end
of 2010 the company got out of its minor 'Xserve' server business. Amazon may be 'the iPhone of the cloud', but Oracle wants to be
the Apple of the enterprise. Whether it can tie everything together and still impress customers remains to be seen, but judging by
the announcements we have heard this week, it is committed to this strategy.
Samsung : une annonce le 11 octobre, un Galaxy S III mini en approche ?
http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-514313-samsung-11-galaxy-iii-mini-approche.html#ixzz28LRN1ObM
Une invitation envoyée par Samsung à des journalistes allemands annonce un événement qui se déroulera le 11 octobre prochains.
Des indices présents sur le document attisent la rumeur concernant un éventuel Galaxy S III mini.
Dévoilée par le site allemand Mobiflip, l'invitation demande de se « préparer pour une petite sensation ». « Quelque chose de petit
va faire une grande entrée » explique le document, envoyé par courrier. Samsung tiendra donc une conférence de presse le 11
octobre prochain pour présenter une « petite » nouveauté, probablement par la taille.
Les spéculations vont bon train, concernant notamment un éventuel Galaxy S III d'une taille inférieure au modèle de 4,8’’ actuel. La
rumeur n'est d'ailleurs pas nouvelle et faisait déjà parler d'elle en août dernier, évoquant alors un modèle de 4’’.
Il faudra patienter encore quelques jours avant de savoir ce que Samsung prévoit de dévoiler à l'occasion de cette conférence de
presse, alors que, de son côté, Apple pourrait dévoiler son iPad mini le 17 octobre. Le mini semble avoir le vent en poupe !
Google obtient un brevet sur la smartwatch
http://www.clubic.com/internet/google/actualite-514301-google-obtient-brevet-smartwatch.html#ixzz28LT13XDE
Google obtient des droits sur un brevet initialement déposé en octobre 2011 et décrivant une montre connectée.
Après les lunettes Android, Google pourrait envisager de concevoir une montre « intelligente ». Dans
ce document, les ingénieurs expliquent que cette montre dispose d'un processeur, d'une interface tactile
ainsi que d'un appareil photo et d'un transmetteur sans-fil. Google ajoute que la partie supérieure du
cadran de la montre est constituée d'un socle amovible se transformant en écran.
Lorsqu'il est dans sa position relevé, l'écran retourne ainsi des informations sous la forme d'une couche de
réalité augmentée. Le principe s'apparente donc aux téléphones capables de présenter des offres
promotionnelles en fonctions de la position géographique de l'utilisateur. L'on pourrait imaginer une
personne parcourant un magasin et relevant l'écran de sa montre connecté au smartphone. Après avoir
pointé l'appareil photo vers un objet particulier, il serait en mesure de comparer les autres tarifs aux
alentours pour ce même objet en exploitant le GPS du téléphone.
Le marché des smartwatch reste relativement peu développé. Reste à savoir si une telle montre sera commercialisée par Google
Apple songerait à abandonner les processeurs Intel
http://www.zdnet.fr/actualites/apple-songerait-a-abandonner-les-processeurs-intel-39783216.htm#xtor=EPR-100
Apple réfléchirait à une alternative pour équiper ses Mac et MacBook. AMD, puces ARM... ?.
Selon un article de Bloomberg Businessweek consacré à la stratégie à long terme d’Apple, on réfléchit sérieusement à se passer
des processeurs d’Intel pour les gammes Mac et MacBook. Il ne s’agirait pas d’une décision arrêtée et la transition, si elle devait se
faire, n’interviendrait pas à court terme.
Mais plusieurs options seraient sur la table, à commencer par un passage à la concurrence chez AMD. Il y a également la solution
ARM avec un puce dessinée par Apple comme les processeurs A5 et maintenant A6 qui équipent les iPhone et les iPad.
Pour Apple, trouver une alternative à Intel serait un moyen de mieux différencier ses ordinateurs portables et de bureau de la
concurrence PC sous Windows.
Ce que pèse internet dans l'économie mondiale : $4600 Bn
http://www.challenges.fr/high-tech/20121004.CHA1644/l-ocde-quantifie-le-poids-grandissant-d-internet-dans-l-economie-mondiale.html#xtor=EPR-7-[Quot18h]-20121004
Selon l'OCDE, le chiffre d'affaires des 250 plus grandes entreprises du secteur des technologies de l'information et
des Télécommunications a atteint $4.600 Bn en 2011.
Internet est devenu une "infrastructure vitale" pour l'économie mondiale, selon une étude de l'OCDE publiée jeudi 4 octobre.
Données à l'appui, l'institution montre sur près de 300 pages que le secteur des technologies de l'information et des
Télécommunications (TIC) est un moteur de croissance sur lequel il faut désormais compter.
Plus spécifiquement, la croissance dans le domaine de l'internet a tiré vers le haut les TIC dans leur ensemble. Et pour cause. Près
de 70% des foyers au sein des 34 pays membres sont désormais connectés. Selon Ericsson, près de 50 milliards de smartphones ou
tablettes seront connectés à internet dans le monde d'ici 2020. "Nous sommes entrés dans la deuxième phase de la connectivité à
internet, explique Taylor Reynolds, l'économiste responsable de cette étude. Après l'ère de la connexion des ordinateurs, nous
sommes dans celle de la mobilité et nous abordons la troisième phase qui touchera tous les appareils".
14 millions d'emplois créés en 2011 La high tech fait du bien à l'économie. Pour preuve, 14 millions de personnes dans le
monde ont trouvé en 2011 un emploi grâce au secteur, soit 6% de plus par rapport à l'année précédente. Au sein des pays de
l'OCDE, près de 15 millions de personnes travaillaient dans les TIC en 2009, soit près de 6% des emplois privés. Si l'on regarde sur
une plus longue période, l'emploi a crû de 2% par an entre 2000 et 2011 dans les TIC. Qui dit mieux ? La Finlande et La Suède font
office de bons élèves. La France se retrouve juste au-dessus de la moyenne, devant le Royaume-Uni, l'Allemagne ou les USA.
250 firmes qui pèsent $4.600 Bn Pour son étude, l'OCDE a dressé une liste des 250 firmes qui pèsent le plus au sein des TIC. 10
sont françaises, 6 allemandes, 8 britanniques. Pas grand-chose par rapport aux 49 japonaises, 18 taïwanaises et 82 américaines...
Mais pour l'institution, "la France, l'Allemagne, les Pays-bas et le Royaume-Uni sont les pays européens les plus susceptibles d'abriter
les entreprises du top 250". Si leur chiffre d'affaires a baissé de plus de 3% au cœur de la crise en 2009, à près de $4.000 Bn, leurs
revenus ont repris du poil de la bête en 2011, pour atteindre $4.600 Bn, une hausse de 5% par rapport à 2010. En matière de R&D,
les entreprises du top 250 ont dépensé en moyenne près de $1,2 Bn en 2011, soit 6% de plus que l'année précédente.
Au terme de cette enquête, l'OCDE conclut que presque toutes les entreprises sont désormais connectées à internet (plus de 95%
pour les deux tiers des pays membres), et la moitié des employés en Europe ont accès à internet au bureau. Il n'empêche, l'ecommerce n'est pas encore entré dans les mœurs. En France notamment, il représente près de 15% du chiffre d'affaires des
entreprises ayant plus de 10 employés. Pour Taylor Reynolds il s'agit sans aucun doute de la prochaine étape : "il faut faire tomber
les barrières qui freinent cette évolution. Le focus doit changer pour savoir comment en profiter pleinement".
Informatique en Prépas : rattrapons notre retard !
http://pro.01net.com/editorial/574735/informatique-en-prepas-rattrapons-notre-retard/#?xtor=EPR-3-[NL-01net-Pro-Quotidienne]-20121004
L’enseignement de l'informatique en classes préparatoires scientifiques est beaucoup trop négligé. Il est grand
temps de l'améliorer et de recruter des informaticiens pour cela.
Quelle formation en informatique faut-il donner aux élèves préparant les concours aux écoles d’ingénieurs ? Cette question est
aujourd’hui en discussion au ministère de l’Education nationale, mais aussi dans les différents ministères dont dépendent ces écoles.
Une décision concernant les programmes des classes préparatoires, en particulier ceux d’informatique, est attendue ce mois-ci.
Consolider l'enseignement de l'informatique en classes préparatoires
Aujourd’hui, un ingénieur a besoin de maîtriser ce domaine et ce, quelle que soit sa spécialité. D’abord, il exerce son métier dans un
environnement chaque jour plus numérique, et une simple compétence dans l’utilisation d’outils informatiques est insuffisante. Il lui
faut assimiler les quatre composantes clés du cœur de l’informatique que sont les données numérisées, les algorithmes, les
machines et les langages. Mais aussi maîtriser la « pensée informatique » qu’il retrouvera sans arrêt sur sa route, par exemple dans
l’organisation d’une tâche particulière au sein du workflow ou dans la conception d’un système d’information.
Dans un monde hyper compétitif, l’informatique est souvent à la base de l’innovation et de la conquête de nouveaux marchés. S’il
est encore nécessaire de s’en convaincre, on pourra mentionner, par exemple, la part d’informatique embarquée dans un téléphone
intelligent, une voiture ou un scanner IRM. Ce constat est partagé par les industriels et par l’ensemble des écoles d’ingénieurs.
Face à cela, un étudiant en classe préparatoire bénéficie aujourd’hui de bien moins d’heures d’informatique qu’un étudiant en licence
scientifique ! Il a pourtant un volume annuel d’heures d’enseignement bien supérieur. Le nouveau programme est une occasion de
rattraper le retard existant pour maintenir notre formation d’ingénieur parmi les meilleures du monde.
Il faut des professeurs dédiés à l’enseignement de l’informatique
Si sur ce premier point, il semble facile de se mettre d'accord. Nous en soulèverons un second, plus controversé. Dans les lycées, les
collègues en charge de l’enseignement de l'informatique en classes prépas sont des spécialistes des mathématiques, de physique ou
des sciences... Ils font des efforts considérables pour enseigner cette discipline. Mais comme cela se fait dans les universités du
monde entier, l’informatique doit être enseignée par des informaticiens, comme les maths le sont par des mathématiciens, la
physique par des physiciens, etc. Bien entendu, la mise en place d’un tel enseignement pose des problèmes, du fait du manque de
professeurs informaticiens dans ces classes. Des solutions de transition doivent être envisagées ; mais un objectif à court terme doit
être l’application du principe de l’enseignement de l’informatique par des spécialistes.
Voici donc deux principes simples que l’on aimerait retrouver dans le programme des classes préparatoires aux écoles d’ingénieurs :
un enseignement d’informatique consolidé et même étendu dans les classes préparatoires, et réalisé par des informaticiens.
De nombreuses écoles d’ingénieurs viennent de s’associer à un texte collectif qui va dans ce sens.
A lire sur http://www.societe-informatique-de-france.fr/actualite/2012/lettre_soutien_informatique.pdf