Serena Système de gestion et d`Echange de données des Réseaux
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Serena Système de gestion et d`Echange de données des Réseaux
Serena mission d’accès est liée à un identifiant utilisateur et éventuellement un mot de passe, tous deux à introduire à l’ouverture du logiciel. Chaque enregistrement comporte la date de création et celle de la dernière modification, et l’identifiant de l’utilisateur les ayant effectuées, ce qui permet d’améliorer la coordination du travail entre les différentes personnes chargées de la saisie. Système de gestion et d’Echange de données des Réseaux d’Espaces NAturels Le logiciel est multi-utilisateurs, avec les mêmes limitations que MS Access pour ce type d’opération. Dans ce cas, l’application doit être installée sur chaque PC, et les fichiers partagés doivent être placés sur le réseau local. Ajouter des champs utilisateurs externes « taxons » et « sites » L’utilisateur disposant de MS ACCESS et connaissant ce logiciel peut étendre les tables standard pour les taxons et les sites en créant ses propres champs dans les tables Ext_Taxo et Ext_Site fournies en standard dans chaque base de données. Pour des utilisateurs travaillant sur une thématique commune et désirant analyser l’ensemble de leurs données, on préférera la technique d’échange de données, qui contrairement à la réplication laisse les bases de données opérationnelles intactes. En effet l’agrégation s’effectue sur des données extraites puis « mises à plat », sans caractère relationnel. Les fichiers exportés sont agrégés dans un module spécial (OBSERVATIONS AGREGEES), qui permet lui-même des extraits et des exportations qui serviront à l’analyse des données. Des outils pour aller plus loin Associer aux données une documentation externe A un enregistrement quelconque des modules TAXONS, SOURCES, SITES, RELEVES ou OBSERVATIONS il est possible de lier un nombre quelconque de documents existant sous forme de fichiers et capables de s’ouvrir sur le PC par double-clic. Lancer des commandes externes Une commande externe est une fonction destinée à effectuer des opérations nécessitant des paramètres variables définis par l’utilisateur, et généralement plus complexes que les fonctions internes standard prévues dans le logiciel. Cette commande est stockée dans un fichier texte et se lance à partir menu Outils. On peut ainsi effectuer des comptages, ou lister les espèces présentes dans un extrait d’observations etc. Gérer des permissions d’accès, en mode mono ou multiutilisateur Le module UTILISATEURS permet de gérer les permissions d’accès/modification/création. La per- CONTACT : www.sciena.org/serena Réserves Naturelles de France BP 100 – 21803 Quétigny cedex 03 80 48 91 00 [email protected] [email protected] Pourquoi Serena ? Serena a été conçu pour répondre aux besoins des gestionnaires en matière de stockage à long terme de tout type de donnée naturaliste provenant des inventaires faunistiques et floristiques (ou d’autres sujets d’intérêt : objets inanimés, fossiles, minéraux). Serena répond à plusieurs objectifs : ● Permettre de retrouver les informations voulues, pour les présenter – ou les traiter de façon plus approfondie à l’aide d’Excel, de MS Access, d’un SIG (système d’information géographique) ou d’autres outils informatiques ou manuels. ● Communiquer l’information à un organisme central pour l’agréger et la traiter au niveau national. ● Permettre des échanges de données entre utilisateurs, ou entre un utilisateur et un organisme central ● Fournir aux utilisateurs le référentiel taxonomique et les autres données standard sans lesquelles on ne peut envisager des agrégations et des échanges. Qu’est-ce que Serena ? Serena n’est pas une simple base de données, c’est un véritable logiciel pour PC développé de manière professionnelle pour toutes les versions de Windows, d’utilisation facile grâce aux infobulles et à l’aide en ligne originale, et demandant très peu de connaissances informatiques.Un tutoriel s’affiche à la première ouverture, guidant l’utilisateur pas à pas. Le logiciel stocke les données dans des bases de données au format MS Access, de façon transparente pour l’utilisateur, qui n’a donc pas à connaître MS Access ni même à en disposer sur son ordinateur. Cette compatibilité assure néanmoins la pérennité des données. Le logiciel permet de créer de nouvelles bases de données opérationnelles, et dispose d’une base-exemple. Serena est constitué de modules interconnectés et fonctionnant de façon similaire. L’élément central est l’observation : c’est l’ensemble de données relatives à un ou plusieurs individus d’une même espèce observés sur un site à une certaine date par un observateur associé à un validateur / déterminateur, dans le cadre d’un ensemble d’observations appelé relevé. Le logiciel bénéficie également d’un support par E-mail et téléphone, et d’un site internet pour la mise à jour de l’ensemble logiciel / référentiel / structure des bases. Des atouts pour la saisie des données Des référentiels communs complets et validés Serena dispose d’un référentiel taxonomique d’environ 165 000 taxons, qui bénéficie d’une gestion rigoureuse des synonymes et d’une représentation hiérarchique de la taxonomie, et qui inclut les statuts de protection. Ce référentiel est cohérent avec celui du Muséum National d’Histoire Naturelle au double point de vue de la taxonomie et des statuts de protection. de listes réduites. La répétition automatique des données est possible pour une saisie plus rapide et est également configurable. Une source de données peut être unique (un individu, une association) ou multiple, en étant ellemême composée de sources uniques. Des structures hiérarchiques pour les taxons et les sites Les modules TAXONS et SITES bénéficient d’une organisation hiérarchique des données, fondée sur des relations ascendant-descendant. Ainsi une espèce est le descendant d’un genre et un site inclus logiquement dans un autre est considéré comme un descendant de ce site. Ceci rend aisé pour les taxons la saisie à un niveau plus général (par exemple le genre ou la famille). La recherche et l’échange de données Des sélections de données faciles à réaliser Parmi les milliers ou centaines de milliers d’observations stockées, il est possible de sélectionner les enregistrements qui satisfont certaines conditions, par exemple toutes les observations d’oiseaux effectuées à une date donnée, etc., comme le permettent les « requêtes » familières aux utilisateurs de MS Access. Un masque de saisie unique pour tout type de donnée que ce soient des données naturalistes ou concernant des objets inanimés, qu’elles soient issues d’une simple observation, d’un inventaire précis avec protocole, d’un suivi scientifique et ce, quelle qu’en soit l’échelle de localisation (un point, un transect, une entité géographique). Les libellés des champs de saisie et les listes déroulantes de choix s’adaptent automatiquement au groupe taxonomique (par exemple nombre de poussins pour les effectifs d’oiseaux et nombre de pontes pour les effectifs d’amphibiens), et même à certains protocoles pour constituer des formulaires spécialisés. Une rationalisation des opérations Les modes création/modification sont distincts du mode consultation, il n’est donc pas possible de supprimer ou de modifier une donnée par erreur. Lors de la fermeture d’un module ou de l’application, les paramètres sont mémorisés automatiquement, ce qui assure à l’utilisateur une reprise aisée de son travail. Une fonctionnalité adaptée à la saisie en grand nombre Pour éviter des saisies répétitives, les espèces, les relevés, les sites et les observateurs/déterminateurs sont gérés dans des modules séparés – respectivement TAXONS, RELEVES, SITES et SOURCES, Dans les listes déroulantes l’utilisateur peut choisir le paramètre déterminant (par exemple nom latin ou nom vernaculaire au choix pour les taxons), et il est possible de sélectionner les espèces à partir En activant le module CARTES, il est possible d’afficher toute observation sur une carte qui aura été préalablement géoréférencée dans le logiciel. Inversement, il est possible de cliquer sur une carte géoréférencée pour importer directement les coordonnées du point d’observation dans la base de données. L’importation des coordonnées recueillies sur le terrain à partir d’un GPS est également possible. L’utilisateur a la possibilité d’ajouter et de modifier des choix dans les listes déroulantes pour personnaliser l’application et l’adapter à son mode de fonctionnement. Il peut de même créer et gérer ses propres champs de saisie dans des listes spéciales : ce sont les pseudo-champs, qui s’exportent et s’importent comme les champs standard. C’est le cas par exemple des mesures biométriques, auxquelles on peut vouloir au cours du temps ajouter de nouveaux éléments (un nombre de plumes, une longueur du bec etc.). Cette valeur peut être une valeur numérique, une valeur alphanumérique, un choix non relationnel. Un utilisateur avancé peut utiliser le module qui permet de configurer le logiciel, par exemple : définir quelles sont les données obligatoires qui doivent être « réclamées » par le logiciel, ou encore quels sont les champs qui doivent changer d’objet en fonction des groupes taxonomiques ou du protocole/formulaire, ou même être déplacés ou masqués. Pour rechercher des taxons dans le module correspondant, outre les outils de sélection classiques, l’utilisateur dispose d’une recherche par similitude, capable de s’affranchir des différences dans l’orthographe ou les abréviations du nom complet du taxon. Intégration aisée de données anciennes Possibilité d’agréger des données de deux façons différentes Un des atouts majeurs de Serena est sans aucun doute de permettre d’échanger des données (au niveau observations) entre utilisateurs. Ceci peut s’effectuer de deux façons très différentes. Le module CARTES est très simple à utiliser et couvre la plupart des besoins courants. Il est donc tout à fait possible d’utiliser n’importe quel fonds de carte ou photo aérienne de son choix. On peut également associer à chaque site un polygone fermé ou une ligne brisée que l’on aura au préalable tracé sur une carte à l’aide du logiciel. L’adaptation aux besoins locaux Des outils performants de recherche de taxons Les tableaux de données provenant de bases prééxistantes peuvent être importées de manière automatique à la condition de faire au préalable un travail rigoureux de préparation à cette importation, pour faire correspondre les structures et les formats. Les erreurs de transfert sont identifiées par le logiciel et les enregistrements rejetés peuvent être aisément corrigés puis recyclés. Des fonctions simples de cartographie Les données de référence comportent également les principales typologies « Habitat » (CORINE Biotope, etc.), qui, comme le référentiel taxonomique, ne sont pas modifiables par l’utilisateur. Ce dernier peut néanmoins demander au support d’y ajouter des données (protections locales etc.) qui lui sont nécessaires, ce qui sera effectué après validation. La vue en tableau sert de point de départ à l’exportation des données vers un tableur (Excel, OpenOffice), vers MS Access sous forme de table, ou même vers un SIG à l’aide du format d’échange MIF/MID. Dans Serena, un extrait est un ensemble d’enregistrements sélectionnés répondant à certains critères que l’utilisateur a au préalable inscrits dans les champs utilisé pour la saisie. Dans le module SITES, les requêtes tiennent également compte des relations hiérachiques (recherche dans les sites-descendants). Par ailleurs la notion de relevé désigne un groupe d’observations ayant des éléments en commun, par exemple une « campagne d’inventaire Natura 2000 », et facilite la sélection des fiches d’observations. Vue en tableau et exportation des données sélectionnées La vue en fiche est celle qui correspond au masque de saisie, mais l’utilisateur peut d’un clic présenter l’ensemble des fiches sélectionnées sous forme de tableau. Le fait de lancer un extrait (sélection des lignes) puis de sélectionner des champs (colonnes) revient à définir une requête que l’on peut enregistrer dans un fichier. Contrairement à MS Access, ces manipulations se font sans aucun risque d’erreur, sans avoir à créer les liens entre les tables. La fonctionnalité des bases de données réparties permet de répliquer sur une base maîtresse les observations saisies dans des bases subordonnées. Dans ces dernières, les données de configuration et éventuellement d’autres données-clés, comme les sites, sont elles-mêmes répliquées à partir de la base maîtresse pour assurer leur cohérence. Des identifiants alloués aux bases de données rendent possible la traçabilité des enregistrements répliqués. Cette méthode est surtout applicable à l’intérieur du même organisme pour concentrer des données collectées dans des sites distants vers une base centrale.