If Everybody had an Océan, Brian Wilson

Brian Calvin (Iced ginger) et le dessin de Daria Wilson...
> Hyperréalisme ; esquisse ; représentation naïve
> adéquation ou non des couleurs avec celles de la
réalité
> dimensions des œuvres (notion de l’art de la miniature)
> portrait / autoportrait
> se dessiner ; se photographier ; projeter une photo et
la retravailler ; photocopier ; déstructurer
> le portrait fantastique : Giuseppe Arcimboldo ;
le portrait surréaliste : René Magritte, Salvador Dali ;
le portrait cubiste : Pablo Picasso
La matière
En observant les deux œuvres de Jim Issermann
mélangeant moquette et peinture…
> travailler sur les mélanges de matières (moquette,
tissu, plastique, polystyrène, papiers de structures
différentes…) avec de la peinture
> travailler sur les oppositions brillant/mat ;
clair/sombre
Rythme et géométrie
En observant les mêmes œuvres de Jim Issermann,
ainsi que la grande composition algorithmique
présentée sur la mezzanine, le travail de Trevor Bell,
les toiles de Bridget Riley…
> travailler sur le rythme et son dynamisme, en
variant taille et couleur, en utilisant les outils de
dessin informatique
> travailler sur l’illusion optique, l’illusion du
mouvement
> se référer à L’Op Art et à Victor Vasarely, puis à
Daniel Buren
Les mobiles
En observant les trois « mobiles » de Pae White et
Discussion Island Tubular Bells de Liam Gillick…
> construire ; travailler sur l’équilibre fragile ; savoir
choisir avec pertinence les matériaux utilisés
> se référer aux mobiles d’Alexander Calder, aux
sculptures de Jean Tinguely, aux « cages » d’Alberto
Giacometti et aux peintures de Joan Miró
Les transformations « chimiques »
En observant la sculpture de Roger Hiorns et les
films de Jennifer West (lire les cartels)…
> fabriquer des potions magiques qui changeront le
matériau choisi par des interactions chimiques : huile,
encre, sel, savon, terre…
> tester sur des cartons, des diapositives, des films
plastique, du papier aluminium…
> transformer des objets manufacturés en œuvres
d’art ; se référer aux ready-mades de Marcel Duchamp
La série
En observant Pools de Ed Ruscha et LA Artists in their
Cars de Joe Goode…
> produire des séries sur un même thème, en variant
les procédés plastiques : photos, dessins,
assemblages, collections d’images, d’objets…
> se référer au travail d’Andy Warhol, de Jean-Pierre
Raynaud, mais aussi à la série des Nymphéas ou de
la Cathédrale de Rouen de Claude Monet
Début et fin
Le parcours de cette exposition commence par une
impression sur papier de Peter Blake, The Beach Boys, et
par le portrait de Brian Wilson par Richard Pettibone.
Il se termine par le portrait de Brian Wilson par Peter
Blake. Ce procédé est une double épanadiplose.
L’épanadiplose est la reprise à la fin d’une œuvre, du
motif, de l’évènement ou de la configuration initiale
décrite dans l’incipit.
> en arts visuels, comme en expression écrite, réitérer ce
procédé pour suggérer des boucles perpétuelles
> le repérer dans des poèmes, des romans… L’homme est
un loup pour l’homme. / Plaute ; L’enfance sait ce qu’elle
veut, elle veut sortir de l’enfance. / Jean Cocteau
Enfin on expose ...
Avec votre classe, vous avez visité cette exposition.
Nous vous proposons d’inventer, à l’instar des boîtes/
expositions disponibles au CAPC, un beach bag / sac de
plage expo. Celui-ci devra contenir des éléments en
référence aux œuvres présentées, à la musique des
Beach Boys, au surf, au Californian way of life des
années 60… Tous les matériaux et toutes les techniques
sont les bienvenus. Un seul impératif : le sac de plage
doit contenir votre expo de classe !
Une exposition des différents travaux aura lieu du 3 au
8 juin 2008 au CAPC, dans les Ateliers du regard. Un jury
primera les 3 premiers et un catalogue de l’exposition
leur sera offert.
Je reste à votre disposition pour toute information
complémentaire le mardi et le jeudi matin au CAPC,
Tél. 05 56 00 64 19, ainsi que le mercredi, à l’accueil des
Boîtes/exposition, Tél. 05 56 00 81 50, poste 8278.
[email protected]
Véronique Darmanté, enseignante mise à disposition au CAPC
Informations pratiques
CAPC
musée d’art contemporain
Entrepôt Lainé. 7, rue Ferrère - F-33000 Bordeaux
Tél. :+33 (0)5 56 00 81 50 - Fax. : +33 (0)5 56 44 12 07
[email protected]
Horaires
Tous les jours sauf les lundis et jours fériés,
11 h - 18 h, les mercredis jusqu’à 20 h.
Informations du public
Tél. : 05 56 00 81 50 ou 05 56 00 81 78
(visites de groupes)
Bibliothèque
Du mardi au vendredi, 14 h - 18 h
et le matin sur RDV 05 56 00 81 59
Recevez régulièrement par courrier électronique
la lettre d’information mensuelle.
[email protected]
www.bordeaux.fr
musée d’art contemporain
de Bordeaux
Pour accompagner
les classes des Cycles 2/3
If Everybody had an Ocean : Brian Wilson, une exposition
Du 17 novembre 2007 au 9 mars 2008
Cette exposition a pour fil conducteur la fascination qu’a exercée Brian Wilson, le mythique compositeur des
Beach Boys, sur plusieurs générations d’artistes. Les œuvres sont disposées de manière à narrer une histoire plus
ou moins fictive autour de la vie de Wilson. Fictive car la plupart de ces oeuvres n’ont pas été conçues
spécifiquement sur Wilson ou les Beach Boys. Elles ont été choisies ici pour évoquer plus particulièrement le sens
de la musique, le sentiment de la glisse, et les circonstances sociales, culturelles et psychologiques qui ont
contribué à leur essor.
Brian Wilson et les Beach Boys
Brian Wilson est né en 1942 en Californie. En 1961, avec ses 2 frères, son cousin et un voisin, il crée le groupe pop
des Beach Boys. Brian est le génie musical du groupe, groupe qui devient une formation majeure de l’Amérique des
années 1960, seul capable de rivaliser avec la vague anglaise emmenée par les Beatles. S’inspirant du surf et
profitant de la vague de la surf music en passe de devenir un phénomène musical, le groupe, entre 1962 et 1967,
produit une série de hits qui acquièrent rapidement une notoriété internationale, tel leur 1er 45 tours, Surf’in.
La créativité de Wilson atteint des sommets avec l’album Pet Sounds, considéré comme un des albums
majeurs de la musique pop. Les problèmes psychologiques plongeant Brian Wilson dans une léthargie
durable, le groupe a perdu, à la fin des années 60, sa place d’honneur dans la musique rock internationale.
Les Beach Boys ont toutefois connu quelques retours surprenants dans les décennies suivantes, ravivant
ainsi leur image de mythe californien vivant.
Avant la visite
Pour préparer la visite, deux documents sont
disponibles : l’Aide à la visite et l’ensemble des notices.
Ce document est accessible sur le site de l’Inspection
académique, www.ac-bordeaux.fr/pedago-ia33/
Il peut être adressé sur demande auprès de
[email protected] .
5ème pilier du socle commun de connaissances et de
compétences, la culture humaniste permet aux élèves
d’acquérir tout à la fois le sens de la continuité et de
la rupture, de l’identité et de l’altérité.
La culture humaniste contribue à la formation du
jugement, du goût et de la sensibilité.
Elle enrichit la perception du réel, ouvre l’esprit à la
diversité des situations humaines, invite à la réflexion
sur ses propres opinions et sentiments et suscite des
émotions esthétiques.
Voir BO n°5 – Hors série- 12 avril 2007
Quelles que soient les conditions de visite (libre
ou avec un médiateur), le professeur est toujours
responsable de sa classe. Aussi, nous vous
recommandons une vigilance soutenue à l’égard
de vos élèves et une attention accrue aux règles
de comportement dans un musée (respect du lieu,
des œuvres, du public et du personnel).
Rappeler la signification de l’acronyme CAPC :
Centre d’Arts Plastiques Contemporains
art plastique : art producteur ou reproducteur de
formes, de volumes
contemporain : qui est du temps présent, actuel
> On verra au CAPC des œuvres produites par des
artistes vivants ou de la 2ème moitié du 20ème siècle.
Rappeler l’origine du lieu, sa destination première :
l’Entrepôt réel des denrées coloniales, construit en
1824 pour assurer un contrôle plus efficace sur la
transaction des marchandises.
Rappeler les fonctions du musée :
musée : établissement dans lequel sont rassemblées
et préservées des collections d’objets présentant un
intérêt historique, technique, scientifique, artistique
en vue de leur présentation au public.
3 fonctions essentielles : préservation du patrimoine ;
acquisition et constitution des collections ; étude et
entretien des collections.
Rappeler le vocabulaire du musée :
collection : réunion d’objets choisis pour leur intérêt
esthétique, leur valeur documentaire, leur rareté, leur
prix ; ensemble des œuvres appartenant à un musée.
galerie : lieu d’exposition et/ou de vente des œuvres.
cimaise : mur d’une salle d’exposition dans une
galerie ou un musée.
cartel : étiquette placée près d’une œuvre, précisant
le nom de l’artiste, le titre de l’œuvre, la date
d’exécution, les matériaux utilisés, la provenance…
Inventorier les différents types d’œuvres d’arts :
tableau, sculpture, photographie, installation, vidéo
numérique…
Identifier les critères particuliers de chaque type
d’œuvre :
tableau : support – bois, toile, carton… / type de
peinture – huile, acrylique, gouache… / signature /
cadre...
sculpture : matériau utilisé – terre, pierre, résine,
plastique…
photographie : noir et blanc /couleur
installation : mobilier / objets quotidiens / ambiance
sonore / ambiance lumineuse…
Identifier les différents genres en peinture :
portrait, paysage, nature morte, marine, scène de
genre…
Se préparer à la visite :
s’interroger sur ce que l’on va voir ; se créer un
« horizon d’attente » ; faire des hypothèses à partir
du titre de l’expo :
If Everybody had an ocean : 1ère phrase de la première
chanson des Beach Boys, Surfin’ / 1961
Si chacun avait un océan à travers les USA, alors,
chacun pourrait surfer comme en Californie…
Une découverte approfondie des expositions,
(par groupe de 10 enseignants maximum et sur
inscription), afin de préparer des visites libres avec
les classes, de favoriser les échanges, de répondre à
vos questions et d’élaborer un parcours adopté à vos
projets, est proposée les mercredis 12 décembre,
16 janvier et 13 février, à 14 heures.
Sites à consulter :
www.thebeachboys.com; www.photos.california.com ;
crdp.ac-bordeaux.fr
La visite
Ce qui entend le plus de bêtises dans le monde est
peut-être un tableau de musée.
Edmond et Jules de Goncourt
Des porte-blocs et des crayons à papier sont à votre
disposition sur demande. Pensez à apporter des
feuilles format A4.
Lors de la visite, pour chaque œuvre, on laissera aux
enfants le temps d’observer, de changer de points de
vue ; on repérera des solutions plastiques ; on pourra
faire des relevés des éléments significatifs de
l’exposition (des croquis, des photos numériques,
remplir une fiche d’identité pour chaque œuvre) ; faire
des photos en gros plan de certains éléments pour
jouer en classe à la photo mystère ; repérer des points
communs entre différentes œuvres ; se choisir une
œuvre préférée à l’issue de la visite.
On s’exprimera sur les effets obtenus, sans pour
autant s’enfermer dans un décodage formel des
images. Il s’agit simplement de s’assurer que les élèves
parviennent à construire un socle commun de
compréhension et qu’ils sont susceptibles de passer
sans difficulté de l’élaboration de cette signification à
sa verbalisation.
Mouvements artistiques clés
L’assemblage
Cette pratique a débuté dès 1912 avec les constructions
cubistes de Picasso ; elle fut la base de composition des
objets surréalistes, prit un essor considérable dans les
années 50 et 60 et continue à être utilisé intensivement
par les jeunes artistes.
L’art conceptuel
Ce terme est apparu à la fin des années 60. Quand un
artiste utilise une forme conceptuelle d’art, cela
signifie que tout ce qui concerne la programmation ou
les décisions, est accompli d’avance et que l’exécution
est une affaire de moindre importance. Ainsi, certaines
œuvres conceptuelles sont seulement constituées
d’écrits ou d’instructions. Lawrence Weiner, Joseph
Kosuth sont des artistes conceptuels référents.
Parallèlement à cette pratique, sont apparus le Land
Art (Richard Long) et l’arte povera (Mario Merz).
Le Minimalisme
Le Minimalisme ou Art minimal est une forme
extrême de l’Art abstrait qui s’est développé aux EtatsUnis dans les années 60. L’idée est que l’art doit avoir
sa propre réalité et ne pas être l’imitation d’autre
chose ; les œuvres sont souvent constituées de
matériaux modernes, industriels ; les formes
géométriques sont simples. Les principaux artistes de
ce courant tridimensionnel sont Dan Flavin, Sol Lewitt,
Robert Morris et Richard Serra ; Frank Stella est un
peintre minimaliste très important.
Le Pop art
C’est le nom donné aux Etats-Unis et en Grande
Bretagne à une pratique artistique inspirée par la
culture populaire et commerciale, en réaction contre
les orthodoxies dominantes en art, initiée dans les
années 50 et au pic de sa gloire dix ans plus tard. Les
artistes chefs de file sont Roy Lichtenstein et Andy
Warhol aux USA ; Peter Blake et David Hockney en
Angleterre. En Europe, un mouvement similaire fut
appelé Nouveau réalisme.
Thèmes clés et questionnements afférents
Art et musique
Considérant le choix inusité d’un musicien vivant
comme modèle d’une exposition artistique, se pose
le questionnement sur les relations entre art visuel
et musique ; entre les mots, les images et la
musique. Comment chacun peut révéler ou résumer
le sens du temps et de l’espace ? Comment l’art et la
musique créent des mythologies autour d’une
période ou d’une époque ? Contrairement à d’autres
musiciens, Brian Wilson et les Beach Boys n’ont pas
eu de connexion directe avec le monde de l’art. Peu
d’œuvres de l’exposition font une référence directe à
eux ; c’est plutôt la sensibilité de Wilson qui est
partagée par les artistes présentés.
Le studio d’enregistrement
Brian Wilson est connu comme étant le maître du
studio d’enregistrement, souvent décrit comme un
laboratoire. Que peut offrir un studio dans le
processus créatif d’un artiste ?
La bonne chanson pop
Selon Brian Wilson, une « bonne chanson pop »
demande de l’énergie, une impulsion créatrice dans la
mélodie et un vocal important. Qu’est-ce qui
caractérise une bonne peinture ou sculpture ? Est-il
possible de transférer la définition de Wilson à l’art
visuel ?
De plus, pour Wilson, il est important que le public
trouve de l’amour dans les chansons. L’art visuel
peut-il prétendre au même objectif ?
Pop et sous-cultures
Nombre d’artistes présentés travaillent à partir de
langages visuels et de matériaux disparates ; ainsi on
peut trouver des références aux jeux vidéos, à la BD,
aux produits de consommation, aux drogues, aux
célébrités d’Hollywood ou aux groupes révolutionnaires.
Ils se préoccupent d’environnement, de design,
d’écologie et de problèmes sociaux et politiques.
L’art des années 60 a mis en avant plusieurs
problématiques : qu’est-ce qui est le plus important,
l’objet artistique ou l’idée de sa conception ? les beaux
arts ou l’artisanat ? l’œuvre originale ou sa duplication ?
l’artifice ou la réalité ?
L’assemblage
Dans ces créations, Brian Wilson a souvent inclus des
bruits d’animaux, le bruit de l’eau et des vagues ; il a
remplacé des instruments classiques comme les
cymbales par des bidons métalliques. Ces collages et
mixing peuvent être comparés aux créations
d’assemblages et de fabrication de ready-mades
caractéristiques des années Pop art. Alors qu’une
nouvelle culture consumériste apparaissait, les artistes
jouaient avec des matériaux de pacotille, des
techniques industrielles, pour créer des œuvres qui
dans un même temps, célébraient et critiquaient le
nouveau mode de vie.
L’océan
Un des thèmes dominants de l’exposition est l’idée
métaphorique de la mer et des paysages marins. Cette
exposition a été créée à la Tate St Ives, lieu dominant la
Baie de Porthmeor en Cornouailles. L’océan évoque
l’immensité, la liberté, le mouvement et l’énergie.
La plage célèbre la vie à l’extérieur, l’été, la nudité, un
espace social et sexualisé pour des gens qui ont envie
de s’amuser. Mais l’océan évoque aussi l’insondable
profondeur, le mystère, le sommeil. D’ailleurs, Brian
Wilson n’a jamais surfé car il a peur de l’eau !
Utopie/dystopie
Comme l’océan symbolise à la fois la liberté et le
danger, le « rêve californien » et la culture jeune ont
un revers. Tour à tour, Brian Wilson a connu un
succès précoce et une descente dans le monde des
drogues et de la maladie mentale –à 24 ans, il vivait
déjà en reclus-. Los Angeles a longtemps été connue
comme la ville du « lever du soleil et du sombre »,
oscillant entre les couleurs de l’Eden et des nuances
plus amères symptomatiques du chaos. Cette
exposition explore ainsi l’ambivalence du rêve
hollywoodien, la dualité entre l’utopie du monde
parfait et la dystopie qui propose le pire.
Pendant et aprés
On observe ; on se questionne ; on fait…
La couleur
Le parcours de cette exposition est guidé par les
cimaises de couleurs. Ce parcours figure la vie de
B.Wilson, de sa période de gloire dans le bleu de l’océan
et le jaune du soleil, en passant par le doute
psychédélique mauve, jusqu’aux années sombres –bleu
de Prusse- de la maladie et de la drogue. On notera
également les couleurs des vitres des fenêtres de l’étage
; les couleurs des câbles et des fils des mobiles de Pae
White ; les rais de lumière qui zèbrent la nef.
> couleurs froides / chaudes ; travail sur le nuancier
> évocations symboliques des couleurs ; transmettre
une émotion avec une couleur
> créer sa propre palette ; inventer sa couleur
préférée et la nommer
> se référer à des artistes qui ont travaillé le monochrome : Yves Klein , Kasimir Malevitch, Pierre Soulages
La typographie
En observant les œuvres de Sister Corita Kent…
> retravailler des slogans publicitaires, les détourner ;
écrire « à l’envers » ; imprimer ; découper ; fabriquer
des tampons ; expérimenter diverses polices de
traitement de texte en variant taille, italique, gras,
majuscules/minuscules…
> mélanger mots et lettres avec des images
et de Kaz Oshiro…
> travail sur l’élision des voyelles ou sur le lipogramme
(texte d’où sont délibérément exclues certaines lettres
de l’alphabet) ; cf. La Disparition de Georges Perec
Le portrait
En observant les œuvres de Peter Blake (Our sweet love),
Richard Pettibone, Martial Raysse, Kaye Donachie (Lilit)