Revue de presse du 30 novembre au 4 décembre 2009
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Revue de presse du 30 novembre au 4 décembre 2009
www.progosa.com Revue de presse du 30 novembre au 4 décembre 2009 Vincent Bolloré vu du sol - bakchich.info - 02/12/2009 p. 3 « Venu de son lointain Finistère dans le but d’endosser le costume de Rupert Murdoch hexagonal, Vincent Bolloré, le copain nautique de Sarko 1er, n’en finit plus de gaspiller des arbres avec Direct Soir et Direct Matin Plus. Si leur lecture est à pleurer, les promenades effectuées incognito par Bakchich dans la tour Bolloré, sise à Puteaux (Hauts-de-Seine), sont, elles, plutôt marrantes. Si ce n’est franchement navrantes. » Kofi Yamgnane. Bolloré a-t-il cherché à l'écarter d'un "dîner celtique" ? - Le Télégramme - 01/12/2009 p. 5 « Interrogé sur ses rapports avec Vincent Bolloré, dont l'une des sociétés gère le port de Lomé, au Togo, le maire de Saint-Coulitz a indiqué qu'il avait été invité à un "dîner celtique" qui s'est tenu le 17 novembre chez l'industriel Vincent Bolloré, en région parisienne. […] Mais d'après Kofi Yamgnane, son nom aurait été effacé volontairement de la liste des invités. "Mon nom a été biffé", a assuré l'ancien maire de Saint-Coulitz. Et le candidat à la présidentielle togolaise d'affirmer que ce changement serait dû à une intervention de Vincent Bolloré en personne. » Kpatcha mouillé dans un trafic de cocaïne ? - republicoftogo.com - 01/12/2009 p. 7 « La DEA (Drug Enforcement Administration) serait sur le point de lancer un mandat d’arrêt international contre Kpatcha Gnassingbé, incarcéré au Togo depuis avril 2009 pour tentative de coup d’Etat. […] La DEA suspecterait Kpatcha d’être mouillé dans un trafic de cocaïne. » Mission africaine de Fodé Sylla : un mélange des genres dénoncé - Les Afriques 01/12/2009 p. 8 « Le réseau « Sortir du nucléaire » a dénoncé un mélange des genres dans la désignation par le ministre français de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, de Fodé Sylla, ancien président de SOS Racisme 1 et actuellement employé de l'entreprise Areva, pour accomplir une « mission » auprès des pays africains en vue du Sommet de Copenhague. L'association n'apprécie guère qu'une "mission de la diplomatie française soit littéralement fusionnée avec les intérêts de la multinationale Areva". "Il n'est pas difficile de comprendre que, quand M. Sylla suggère à un dirigeant africain de soutenir la France lors du Sommet de Copenhague, c'est en même temps la multinationale Areva qui laisse planer la menace de rétorsions économiques ou, au contraire, de récompenses". » Kouchner s'offre les services d'un sorcier de la communication - Marianne2.fr 02/12/2009 p. 9 « Bernard Kouchner, s'est offert les services d'un conseiller en communication. Le patron du Quai d'Orsay a opté pour le gourou du tout-Paris, Stéphane Fouks, le patron d'Euro-RSCG connu également pour son influence sur le continent africain. […] En mars dernier, la revue Stratégies consacrait une longue enquête à ceux que l'on appelle les « gourous blancs » démontrant que si sur la forme, les pratiques évoluent, la proximité de ces mercenaires de la communication avec les milieux de la diplomatie n'en demeure pas moins une vieille tradition de la Françafrique […] Il reste encore du chemin à faire si l'on en juge par les pratiques de certains Etats : la France qui après les belles promesses de Sarkozy a très vite retrouvé ses vieux réflexes. Ou des groupes privés. Ainsi de Bolloré. Cet industriel milliardaire et proche de Nicolas Sarkozy joue parfaitement de cette diplomatie d’influence. Son groupe détient une situation de quasi-monopole dans le transport maritime EuropeAfrique. Par le biais de diverses sociétés, il occupe une place déterminante dans les économies de Côte d’Ivoire, du Congo, du Gabon ou du Cameroun. En France, il possède plusieurs journaux gratuits, Direct Soir et Direct Matin, dans lesquels les visites des chefs d’Etats africains sont couvertes de façon parfois…étonnante. » Pour tout renseignement Stéphanie Erbs - 01 53 29 96 00 [email protected] 2 Vincent Bolloré vu du sol - bakchich.info - 02/12/2009 Quand Vincent Bolloré montre sa danseuse aux puissants, il dégouline de bonheur. Venu de son lointain Finistère dans le but d’endosser le costume de Rupert Murdoch hexagonal, Vincent Bolloré, le copain nautique de Sarko 1er, n’en finit plus de gaspiller des arbres avec Direct Soir et Direct Matin Plus. Si leur lecture est à pleurer, les promenades effectuées incognito par Bakchich dans la tour Bolloré, sise à Puteaux (Hauts-de-Seine), sont, elles, plutôt marrantes. Si ce n’est franchement navrantes. Vincent Bolloré Dessin de Kerleroux Choses vues chez Bolloré, passées et présentes. Subi. Philippe Labro, conseiller médias de Vincent, hurlant de bon matin, soit parce qu’il est de très bonne humeur (c’est souvent le cas), soit parce qu’il aime à pousser la chansonnette (ce qui est tout aussi fréquent mais totalement insupportable), soit parce qu’il y a un tas de bêtises dans le journal (ce qui est hélas le cas tous les jours). Heureusement pour lui, Direct 8 l’accapare. Vu. Bolloré himself faisant visiter la rédaction à ses amis du CAC 40. L’Oréal, Carrefour… Quand ce ne sont pas les politiques, Christine Albanel, Sarkozy (alors aspirant président), Hollande mais aussi –intérêts économiques obligent – des représentants de chefs d’État africains, accompagnés par Christian Studer, homme aux multiples casquettes et qui a la confiance de Vincent. Dans ces cas-là, la fierté de Bolloré n’est pas mince. Le boss pérore et dégouline de bonheur à montrer sa 3 « danseuse » aux puissants, à en raconter le fonctionnement et surtout à en livrer les chiffres de diffusion, de « prises en main » comme il aime le dire. Croisé. Jacques Séguéla, 75 ans paraissant 90 (mais avec une Rolex), ami du patron, qui pond tant qu’il peut des éditos infusés dans l’autobronzant. Il n’est pas rare non plus de tomber sur Yann Arthus-Bertrand, un ami de Bolloré lui aussi. Le premier voit du ciel que le second produit des voitures électriques. Ils s’entendent. Entendue. Madame Bolloré au téléphone. Préserver les intérêts de son mari est une tâche importante. En 2007, une belle double page sur Poutine président en a pris pour son grade. Et voilà donc madame qui coupe à tour de bras un article prêt à partir sous presse, via le directeur de la publication d’alors, Christian Studer. Les actes de caviardage sont fréquents dans la maison Bolloré, et pas qu’avec les papiers du Monde ou de Courrier international dont on entend parler régulièrement. Mais désormais, ce n’est plus elle qui tient les ciseaux. Constaté. Une majeure partie des effectifs employés à la fabrication des journaux (éditeurs, maquettistes, iconographes, photograveurs…), soit plus de quarante personnes, sont intérimaires. Tranquillité et flexibilité assurées. C’est bien, c’est beau, c’est Bolloré. 4 Kofi Yamgnane. Bolloré a-t-il cherché à l'écarter d'un "dîner celtique" ? - Le Télégramme - 01/12/2009 L'industriel Vincent Bolloré a-t-il cherché à s'opposer à la présence de Kofi Yamgnane le 17 novembre à un "dîner celtique", rendez-vous qui rassemble des décideurs bretons à Paris ? C'est ce qu'a affirmé sur Tébéo le candidat breton à l'élection présidentielle du Togo. L'organisateur du dîner conteste cette version et relève que Kofi Yamgnane a finalement participé à la soirée... Ancien maire de Saint-Coulitz, dans le Finistère, Kofi Yamgnane brigue la présidence du Togo, son pays d'origine. L'élection doit se tenir en février 2010. L'ancien sécrétaire d'Etat socialiste se présente contre l'actuel président Faure Gnassingbé. Interviewé le vendredi 13 novembre sur Tébéo, Kofi Yamgnane a répondu aux questions du président de la chaîne, Hubert Coudurier. L'entrevue a été diffusée lundi sur la toute nouvelle télévision locale bretonne. "Mon nom a été biffé" Interrogé sur ses rapports avec Vincent Bolloré, dont l'une des sociétés gère le port de Lomé, au Togo, le maire de Saint-Coulitz a indiqué qu'il avait été invité à un "dîner celtique" qui s'est tenu le 17 novembre chez l'industriel Vincent Bolloré, en région parisienne. Organisées par les journalistes Ronan Le Flécher et Yannick Le Bourdonnec, les "dîners celtiques" rassemblent plusieurs fois par an des grands patrons, hommes politiques, journalistes, écrivains, chanteurs, sportifs, et autres têtes d'affiche de la gastronomie. Mais d'après Kofi Yamgnane, son nom aurait été effacé volontairement de la liste des invités. "Mon nom a été biffé", a assuré l'ancien maire de Saint-Coulitz. Et le candidat à la présidentielle togolaise d'affirmer que ce changement serait dû à une intervention de Vincent Bolloré en personne. Kofi Yamgnane s'est finalement rendu au dîner Or, l'ancien maire de Saint-Coulitz était bel et bien présent le 17 novembre au repas organisé chez l'industriel breton. Il était accompagné de sa fille Amina Yamgnane qui a déjà participé à plusieurs "dîners celtiques" en région parisienne. "Nous sommes arrivés en retard, au moment du dessert, relate Amina Yamgnane. Mais je n'ai pas eu le sentiment que nous n'étions pas attendus. Mon père a même offert un crocodile en bois à Vincent Bolloré en guise de porte-bonheur et distribué des crêpes bretonnes à tous les convives." La fille de Kofi Yamgnane précise qu'elle et son père se sont inscrits pour participer à ce dîner et qu'ils se seraient retrouvés au départ sur la liste d'attente. Une version confirmée par Ronan Le Flécher, l'organisateur du dîner. "Tous les deux se sont inscrits tard et ont figuré quelques jours en 5 liste d'attente avant que ne se libèrent des places, assure Ronan Le Flécher. Ils étaient attendus avec les égards dus a leur rang." "Ce n'est pas Vincent Bolloré qui a fixé la liste" L'organisateur du dîner, qui est également responsable de la communication de Kofi Yamgnane, s'est dit "étonné" des propos tenus par le maire de Saint-Coulitz sur Tébéo. "Et ce n'est pas Vincent Bolloré qui a fixé la liste des invités, c'est l'association des Dîners celtiques." Une question demeure toutefois : que s'est-il passé entre le 13 novembre, jour de l'enregistrement de l'interview, et le 17 novembre, jour du repas ? La fille de Kofi Yamgnane devait joindre son père actuellement au Togo pour obtenir une explication. "Mais les communications sont difficiles, prévientelle. Cela fait une semaine que je n'ai pas eu de contact avec lui." Interrogé, le service de presse du groupe Bolloré n'a pas donné suite pour l'heure à nos sollicitations. 6 Kpatcha mouillé dans un trafic de cocaïne ? - republicoftogo.com - 01/12/2009 La DEA (Drug Enforcement Administration ; l’administration américaine en charge de la lutte contre le narcotrafic) serait sur le point de lancer un mandat d’arrêt international contre Kpatcha Gnassingbé, incarcéré au Togo depuis avril 2009 pour tentative de coup d’Etat. Cette information est publiée par le site Sahel intelligence La DEA suspecterait Kpatcha d’être mouillé dans un trafic de cocaïne lui ayant rapporté des dizaines de millions de dollars, selon le site. 7 Mission africaine de Fodé Sylla : un mélange des genres dénoncé - Les Afriques - 01/12/2009 Le réseau « Sortir du nucléaire » a dénoncé un mélange des genres dans la désignation par le ministre français de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, de Fodé Sylla, ancien président de SOS Racisme et actuellement employé de l'entreprise Areva, pour accomplir une « mission » auprès des pays africains en vue du Sommet de Copenhague. L'association n'apprécie guère qu'une « mission de la diplomatie française soit littéralement fusionnée avec les intérêts de la multinationale Areva ». « Il n'est pas difficile de comprendre que, quand M. Sylla suggère à un dirigeant africain de soutenir la France lors du Sommet de Copenhague, c'est en même temps la multinationale Areva qui laisse planer la menace de rétorsions économiques ou, au contraire, de récompenses. » Fodé Sylla (43 ans) a été chargé, en octobre dernier, de lancer des programmes de développement et de formation dans les pays d'Afrique pour le groupe nucléaire Areva. Fodé Sylla s'en défend. Il a déclaré ne pas voir « ce que le nucléaire a à voir là-dedans », et il « trouve que c'est méprisant vis-à-vis de l'Afrique de le penser ». 8 Kouchner s'offre les services d'un sorcier de la communication - Marianne2.fr 02/12/2009 Réduit à exercer le ministère de la parole, Bernard Kouchner, s'est, comme il se doit, offert les services d'un conseiller en communication. Le patron du Quai d'Orsay a opté pour le gourou du tout-Paris, Stéphane Fouks, le patron d'Euro-RSCG connu également pour son influence sur le continent africain. Précisément, un domaine où le ministre a complètement perdu la main. Bernard Kouchner a-t-il à ce point le moral dans les chaussettes pour s’attacher les services d’un nouveau gourou de la com’ ? Le ministre des Affaires étrangères s’est en effet offert un orfèvre en la matière, un homme de réseaux : Stéphane Fouks, président d’Euro-RSCG Worldwide, le fils « spirituel » de Jacques Séguéla. Tout un programme... L’info, diffusée sur Twitter par le journaliste Renaud Revel, chargé des médias à l’Express, ne précise pas si c’est le conseiller en communication politique ou le lobbyiste en « affaires africaines » dont le ministre des affaires étrangères s’est entiché. Car si Stéphane Fouks conseille ou a conseillé beaucoup d'élus socialistes (DSK, Fabius, Manuel Valls), si son agence travaille pour bon nombre de ministres, pas mal de grands patrons, il est également un lobbyiste influent sur le continent africain. Secteur précisément où Kouchner a perdu tout pouvoir depuis la montée en puissance de Robert Bourgi, avocat et véritable conseiller Afrique de l’Elysée, ou encore de Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée, parfois surnommé le « Foccart de Sarkozy ». Contacté par Marianne2.fr, le journaliste Antoine Glaser, directeur de la Lettre du Continent confirme que « Kouchner a complètement perdu la main sur les dossiers africains. Il ne s'occupe plus de rien » et ajoute qu'effectivement « Stéphane Fouks est très actif sur le continent » mais sans s'avancer sur le rôle que le publicitaire pourrait jouer auprès du ministre. « Fouks est très proche de Gbagbo, mais il agit dans des domaines très précis, je ne sais pas s'il peut être utile à Kouchner pour retrouver une quelconque influence diplomatique ». En mars dernier, la revue Stratégies, spécialisée dans la communication, consacrait une longue enquête à ceux que l'on appelle les « gourous blancs » démontrant que si sur la forme, les pratiques évoluent, la proximité de ces mercenaires de la communication avec les milieux de la diplomatie n'en demeure pas moins une vieille tradition de la Françafrique : «les liens entre politique et communication restent étroits », confiait à Stratégies un consultant français. « Les vrais-faux contrats, dont les montants sont substantiellement gonflés pour financer des partis, des personnalités ou les intérêts de tel ou tel dirigeant africain, restent évidemment en vigueur». Stéphane Fouks désamorce le sujet et assure réaliser un travail de conseil en communication tout à fait ordinaire: « Je connais Bernard depuis 20 ans, on a souvent fait des trucs ensemble. On a pas 9 vraiment besoin de le conseiller. Il se conseille lui-même. On l'aide à donner du sens à sa politique étrangère sur des dossiers comme l'Afghanistan, l'Europe. C'est plus une mission de fond que de forme » explique-t-il. L'Afrique: un eldorado de la communication L’Afrique n'en reste pas moins un continent incontournable à plus d’un titre. Pour le quai d’Orsay bien sûr, mais aussi pour tous ces gourous de la communication pour lesquels les campagnes électorales constituent un véritable eldorado –Thierry Saussez, l’actuel directeur du Service d’information du Gouvernement et Séguéla en savent quelque chose… C'est par exemple Euro RSCG qui avait orchestré les campagnes très contestées de l’ancien président togolais Eyadéma en 1998 et en 2003, répondant à une demande indirecte de l’Etat français. Car participer à l’élection d’un chef d’Etat africain est souvent une assurance de contrats juteux en retour. En juillet, le journal Jeune Afrique écrivait : « officiellement, Euro RSCG assure être en pourparlers pour la signature d’un contrat de promotion de l’image du pays à l’international. On peut néanmoins difficilement imaginer que le groupe de communication ne cherche pas à s’occuper de la campagne du candidat Gbagbo ». Un scrutin qui doit avoir lieu début 2010. Stéphane Fouks s’est rendu plusieurs fois en Côte d’Ivoire pour rencontrer Laurent Gbagbo: « Il n'y a rien de mystérieux là-dedans, on fait au contraire un travail en rupture avec les anciennes pratiques. On applique des idées assez simples pour prouver qu'on peut faire de la communication en Afrique. Travailler à restaurer l'image d'un pays comme la Côte d'Ivoire, c'est un enjeu important pour contribuer à favoriser son développement » explique-t-il à Marianne2.fr. Un travail en rupture avec les pratiques « de Papa » ? Certes. Il reste néanmoins encore du chemin à faire si l'on en juge par les pratiques de certains Etats: la France qui après les belles promesses de Sarkozy a très vite retrouvé ses vieux réflexes. Ou des groupes privés. Ainsi de Bolloré. Cet industriel milliardaire et proche de Nicolas Sarkozy joue parfaitement de cette diplomatie d’influence. Son groupe détient une situation de quasi-monopole dans le transport maritime Europe-Afrique. Par le biais de diverses sociétés, il occupe une place déterminante dans les économies de Côte d’Ivoire, du Congo, du Gabon ou du Cameroun. En France, il possède plusieurs journaux gratuits, Direct Soir et Direct Matin, dans lesquels les visites des chefs d’Etats africains sont couvertes de façon parfois…étonnante. Philanthrope comme personne, il met régulièrement la main à la poche pour des associations ou des fondations. Ainsi du Réseau Education pour tous en Afrique de Gabriel CohnBendit. Vincent Bolloré est également PDG du groupe de communication Havas, le deuxième plus grand groupe publicitaire français notamment grâce à l'agence Euro-RSCG...Secteur industriel, médias, publicité, humanitaire, politique, de puissantes ramifications qui constituent autant de sphères d'influences, que de risques de mélange des genres. 10