Infos-théo n°51 - Université Catholique de Lyon

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Infos-théo n°51 - Université Catholique de Lyon
n° 51
INFOS-THEO
Décembre
2016
La lettre infos des étudiants de la Faculté de théologie
Université Catholique de Lyon
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d'abonnement/désabonnement :
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À NOTER DANS VOS AGENDAS
du 5 au 8 décembre : Vide-Bibliothèque sur le site Saint Paul
La Bibliothèque Universitaire organise sur le site Saint Paul une grande braderie
d'ouvrages de théologie (principalement), ainsi que d'histoire, d'art,…
Ces livres proviennent en partie de l'ancienne salle Podechard, et sont des exemplaires
en double, voire en triple, de ceux conservés à la Bibliothèque Universitaire.
Ils seront vendus à des prix très attractifs. Paiement par chèque, espèces ou carte
bancaire, les acquisitions sont à emporter immédiatement.
Grand'rue du campus Saint Paul
de 10h à 17h
jeudi 8 décembre : Fête de l'Immaculée Conception
La messe sera suivie du 3ème Café-Théo : café, thé, tisane à volonté, proposés par le
Bureau des Etudiants dans le hall du campus Carnot, devant la salle Saint Jean-Paul II.
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jeudi 15 décembre : Repas de Noël
Le Bureau des étudiants de la Faculté de théologie
vous invite, étudiants et enseignants, pour le temps
d'un repas partagé.
Nous proposons à chacun d'apporter un plat (salé ou
sucré) à partager ou une boisson. Retrouvez-nous
dans le hall du campus Carnot, la partie située en
contrebas à gauche de l'amphithéâtre Saint JeanPaul II, de 12h30 à 14h30.
jeudi 22 décembre : Lettre des chrétiens de Vienne et de Lyon à leurs frères
d'Asie et de Phrygie (177)
Présentation par Jean-Noël Guinot, ancien directeur de l'Institut des Sources Chrétiennes,
et François Richard, professeur des Universités, dans le cadre des jeudis de l'Antiquaille.
à 18h à L'Antiquaille-Espace Culturel du Christianisme à Lyon
49 montée Saint Barthélémy, 69005 Lyon
Entrée libre dans la limite des places disponibles - participation aux frais
lundi 16 et mardi 17 janvier : L'accueil des convertis au christianisme en Europe :
entre hésitation et intégration
Colloque international organisé par l'équipe de recherche Annonce, Dialogue et Cultures
Contemporaines (ADCC).
L’annonce de l’Évangile et le dialogue favorisent le phénomène de conversion au
christianisme. Mais la culture contemporaine sécularisée lui est plus ou moins favorable.
En France, par exemple, la laïcité veille à protéger l’espace public de l’influence des
religions mais aussi elle s’engage à garantir la liberté religieuse individuelle.
Les communautés chrétiennes insérées dans le contexte européen ont également un
rapport complexe aux convertis, allant de la méfiance à l’intégration. Comment les
Églises travaillent-elles l’accueil des conversions qu’elles suscitent ou constatent ?
L’axe de réflexion de ce colloque est la réception communautaire des conversions. Il se
situe en aval des recherches habituellement menées. En effet, la plupart des études
consacrées à la conversion s’attachent à la compréhension de ce phénomène. D’autres
études portent sur l’évangélisation, qui peut susciter ou non des conversions. Quels sont
les modèles théoriques et pratiques des communautés chargées d’accueillir les
conversions ? Quelles mises en perspective pourraient être envisagées avec des situations
de la culture contemporaine ? Quelles expériences de l’accueil des conversions peuvent
être analysées et confrontées ?
Amphi Jean-Paul II du campus Carnot
Gratuit pour les étudiants
Renseignements et inscriptions : [email protected] et au 04.72.32.50.63
mercredi 18 janvier : Le livre dans le Livre
Journée d'études sur la Bible, ouverte à tous, organisée par le département d'exégèse de
la Faculté.
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mercredi 25 janvier : Prière pour l'unité des chrétiens
Une célébration aura lieu le dernier jour de la Semaine de prière pour
l'unité des chrétiens à la chapelle Saint Irénée (campus Saint Paul) à
12h15. Il n'y aura pas de messe ce jour-là.
Un temps de prière œcuménique est proposé autour de la Parole en
présence du Pasteur Pierre Blanzat, avec Jean-François Chiron et notre
aumônier Arnaud Alibert. Ce temps de prière sera suivi à 13h d'un repas
partagé et d'un temps de réflexion avec le pasteur sur le thème des 500
ans de la Réforme et du thème de l'année : "Nous réconcilier, l’amour du
Christ nous y presse." (2 Co 5,14-20)
Pour l'organisation du repas partagé, merci de vous inscrire au moyen du
lien suivant :
https://goo.gl/forms/YeWg4E7EEAgfWMrp2
PUBLICATIONS
La grâce - Histoires de liberté, d'Isabelle Chareire
L'aventure chrétienne commence avec le don d'une présence
incarnée dans l'histoire des hommes et du monde. Ce don gratuit fait
appel à notre liberté et au respect des médiations. Cette liberté qui
prend chair, c'est l'expérience de la grâce. Soulignant l'importance de
la gratuité, Isabelle Chareire nous entraîne ainsi dans un parcours
exceptionnel, tout à la fois théologique et littéraire, à la découverte
de l'amour totalement inconditionnel de Celui vers qui s'élèvent nos
demandes et nos appels.
THEOPHILYON XXI-2 - Que ton Nom soit sanctifié. Réflexions sur le blasphème
Au sommaire de ce numéro, des articles de Philippe Abadie et d'Isabelle
Chareire, pour situer en son avers et son revers les enjeux de la parole
blasphématoire, ceux d'Elisabeth Boncour, Jérôme Cottin et Brigitte
Basdevant qui éclairent la question à partir de champs d'étude mystique,
esthétique et juridique, une réflexion de Jean Massonnet sur le sens positif
que, du point de vue chrétien, l’on peut attribuer au "non" juif à Jésus, les
diverses communications données à l'occasion du départ en retraite de Marie-Etienne Bély
et le compte-rendu du colloque "Maître Eckhart écrivain" rédigé par Elisabeth Boncour.
CELA S'EST PASSÉ
samedi 5 novembre : Journée culturelle et spirituelle à Paray le Monial
Pourquoi Paray-le-Monial ? Il est certain que beaucoup d’étudiants de notre Faculté, et
spécialement les séminaristes de la province, connaissent bien ce lieu de grâce et de
rassemblements estivaux ; mais alors que s’achevait l’année de la Miséricorde, comment
ne pas proposer de s’y rendre ensemble pour découvrir un peu plus les grâces données à
Marguerite-Marie Alacoque, à l’école du Cœur de Jésus ? C’est ainsi que nous sommes
partis au petit matin de la place Bellecour, ce samedi 5 novembre, étudiants et
enseignants de nombreuses nationalités et des divers cycles de formation, dans un bus en
destination de la Bourgogne romane.
Arrivés en Saône-et-Loire, et plus précisément dans le Brionnais, Philippe Abadie, grand
connaisseur des églises de la région, nous mettait en appétit en détaillant les lieux
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magnifiques près desquels nous passions. Cela nous a bien préparés à visiter à Anzy-leDuc, dont le clocher octogonal, les divers portails et surtout les superbes chapiteaux,
notamment un Jonas sortant de la bouche du poisson, en une attitude d’acrobate, et une
rencontre de deux personnages se tenant par la barbe ont suscité l’admiration générale.
De là, toujours en Brionnais, nous avons rejoint Montceaux-l’Etoile, dont l’église du
XIIème s. porte au tympan, comme celle d’Anzy-le-Duc, une magnifique Ascension. La
mandorle du Christ est portée par deux anges dont les genoux sont pliés. Ils vont
sûrement sauter hors du tympan pour nous rejoindre, nous qui les observons !
Ayant ensuite rejoint Paray, nous avons pu célébrer l’eucharistie chez les dominicaines
avec le Père François Fraizy, qui a longtemps enseigné le grec biblique et le Nouveau
Testament dans notre Faculté. Le repas a été l’occasion de belles discussions entre nous
et avec les sœurs dominicaines, ainsi qu’avec un petit groupe de la communauté du
Chemin Neuf, de passage à Paray.
Marchant tranquillement depuis le monastère des dominicaines, nous sommes arrivés
d’abord devant la chapelle où repose saint Claude de la Colombière, jésuite qui a
soutenu sainte Marguerite-Marie, et de là, étant passés devant la chapelle des
Apparitions (monastère de la Visitation), nous sommes parvenus devant la splendide
basilique du Sacré-Cœur, que nous avons d’abord contemplée de l’extérieur avant d’y
entrer, toujours sous la houlette de l’expérimenté Philippe Abadie, qui nous a conduits
jusqu’à la tribune qui surmonte le narthex, d’où la vue sur ce chef d’œuvre roman était
remarquable. Un temps libre a ensuite été donné, permettant de revisiter tel ou tel lieu
parodien (car tel est le gentilé de Paray-le-Monial), de prier dans divers lieux, avant de
nous retrouver pour un retour sans encombres sur la métropole rhodanienne. Un grand
merci à tous ceux qui ont contribué au succès de cette belle journée !
François Lestang
lundi 5 décembre : A la découverte des trésors de Sources Chrétiennes
Une soirée organisée par l'UCLy et l'association des Amis de Sources
Chrétiennes à l'occasion du changement de direction de l'unité de recherche
Sources Chrétiennes.
En effet, Bernard Meunier (qui ne part pas à la retraite, dites-le bien autour de vous !)
cède la responsabilité du laboratoire de recherche à Guillaume Bady, accompagné dans
sa fonction par Laurence Mellerin pour la partie édition numérique.
Elie Ayroulet a rendu hommage au savoir-transmettre de Bernard Meunier, en témoignant
de sa qualité de pédagogue qui a su rendre vivante et vivifiante l'étude des Pères de
l'Eglise, à la manière des Pères eux-mêmes, avec le sens du travail en équipe, et toujours
attentif à une ambiance de travail fraternelle.
Dans son exposé, Bernard Meunier a montré son attachement à Sources Chrétiennes, son
admiration pour toutes les bonnes volontés qui ont collaboré avec persévérance, depuis
près de 75 ans, et qui ont permis à cette structure lyonnaise d'édition de surmonter
beaucoup d'obstacles. "Chaque volume de la collection est un petit miracle, de par le
travail en amont de l'auteur-traducteur, puis des réviseurs successifs, de l'éditeur, de
l'imprimeur. Mais chaque œuvre antique est déjà un miracle, pour avoir traversé les
siècles jusqu'à nous, grâce au travail patient et essentiel des copistes." Avant de nous
livrer les petits secrets de dix ouvrages marquants édités durant ses dix années passées à
la direction de Sources Chrétiennes.
Guilaume Bady a présenté tous les projets à venir. Notamment la parution de Quinze
homélies "nouvelles" de Chrysostome, et la traduction d'une série d'homélies inédites
d'Origène sur les Psaumes, suite à une découverte très récente de nouveaux manuscrits.
Affaire à suivre donc, et à encourager. Il est possible d'adhérer à l'Association des Amis de
Sources Chrétiennes sur la page www.sourceschretiennes.net.
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DES NOUVELLES
Jean-Claude Kabeza : Bienvenue en Finlande !
J'ai été ordonné le 15 octobre, bien entouré de mes frères
séminaristes du Prado. Je suis actuellement vicaire dans la
paroisse Sainte Brigitte de Turku. Je vous présente d'une
manière brève notre Eglise.
L'Eglise catholique finlandaise est minoritaire, parce que toute
la Scandinavie est Luthérienne. Actuellement le nombre de
catholiques avoisine 15000 personnes. Statistiquement, nous
avons au environ de 80 différentes nationalités. Nous avons un
seul diocèse avec 8 paroisses à travers tout le pays.
Contrairement à l'Eglise luthérienne et l'Eglise orthodoxe qui
sont les églises d'Etat, qui sont subventionnées par l'Etat avec
l'impôt de l'Eglise, nous catholiques, nous vivons beaucoup plus
par les aides qui nous viennent de l’extérieur. Actuellement, le
nombre des fidèles augmente chaque année par la conversion des Luthériens qui
deviennent catholiques, ainsi que par les étrangers qui viennent travailler. Notre
presbyterium est constitué par une trentaine de prêtres, qui viennent de partout dans le
monde. Notre diversité nous permet aussi d'assurer les accompagnements dans les
différentes langues. Les principales langues sont le finnois et le suédois qui sont les
langues nationales, puis viennent l'anglais et d'autres langues européennes et asiatiques.
Bientôt des langues africaines aussi. En janvier, je commence moi aussi l'apprentissage du
suédois car je suis dans une paroisse qui a aussi à faire avec les suédophones.
Merci pour vos prières et soyez les bienvenus en Finlande.
TEMOIGNAGE
Marie-Hélène Robert : La présence du Christ, une présence unificatrice et féconde
C’est dans une famille catholique, simple et unie, que j’ai
grandi, à Colombes, en région parisienne.
J’ai suivi une formation en lettres modernes, à la Sorbonne, qui
m’a rendue attentive à ce que chaque personne cherche à dire,
avec ses mots, ses images, attentive à cette intériorité qui
cherche à rejoindre d’autres intériorités pour les élever dans des
espaces inédits et ouverts sur un horizon qui n’en finit pas de
donner accès à plus grand que soi. Cette exploration littéraire
m’a fait prendre conscience de la note unique et si belle de
chaque personne. Mais je ne voyais pas quelle pourrait être la
mienne.
La recherche de ma vocation aura duré sept ans. C’est long ! Je savais à 20 ans que
j’avais donné ma vie à Dieu, puisqu’il me l’avait demandée avec tant de délicatesse,
mais je ne voyais pas quelle forme prendrait ce don. "Jésus, toi qui m’appelles, montremoi où tu veux que je te rejoigne. Donne-moi une place dans ton Eglise, la plus petite,
celle où je te serai fidèle jusqu’au bout." La prière, l’accompagnement, les engagements
dans l’Eglise, les contacts avec diverses congrégations religieuses ont éprouvé et mûri
mon désir de me consacrer à Dieu. Les diverses rencontres de communautés religieuses
m’ont appris à vérifier que c’était bien le Seigneur que je cherchais, et non une sorte de
réalisation de moi-même. Mais, de lieu en lieu, je ne trouvais toujours pas mon lieu.
C’était à la fois douloureux et magnifique parce que j’entrais dans une connaissance plus
profonde de l’Eglise, de son trésor.
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La messe quotidienne est devenue mon lieu d’élection, de consolation, et de conversion.
J’ai enseigné le français dans un lycée puis dans un collège, avec amour, avec bonheur.
J’aimais voyager, rencontrer. J’aimais apprendre et comprendre, en discuter. Je suis
allée à Lourdes plusieurs fois par an pour animer des rencontres de jeunes. J’étais proche
des sans-abris que je croisais à Paris, comme des jeunes de l’aumônerie en paroisse, avec
qui je suis toujours en contact. Je suivais aussi des cours de théologie au Centre Sèvre
pour mieux comprendre l’auteur sur lequel je travaillais en 3ème cycle de lettres, un
cistercien du 14ème siècle. Tout un champ s’ouvrait.
Lors d’un voyage au Mali avec une amie, j’ai rencontré une communauté internationale
de Pères Blancs. L’un allait dans les villages dire le chapelet avec les femmes, un autre
distribuait du riz à tous ceux qui s’approchaient, un père vivait dans une stricte ascèse,
qui témoignait de l’unique nécessaire, le quatrième centrait sa vie missionnaire sur
l’Eucharistie. Deux séminaristes étaient avec eux, visiblement heureux eux aussi. J’ai été
très touchée que les membres de cette communauté nous accueillent 10 jours en ouvrant
leur prière, leurs repas, leurs conversations, leurs apostolats avec une grande simplicité
et sans être arrêtés par leurs disparités. Ils en faisaient même un tremplin, au-delà des
petits agacements, reconnaissant que le Seigneur peut "passer" par différentes voies pour
rejoindre ceux qu’il veut. La présence du Christ était presque palpable. Une présence
unificatrice et féconde.
Ce voyage m’a décidée à entrer dans une congrégation missionnaire. En fait, j’étais prête
à tout, très confiante en ce que le Seigneur voulait faire en moi et par moi si je me
remettais entièrement dans ses mains. Je me suis appuyée sur le conseil d’un père
rédemptoriste rencontré au pavillon missionnaire de Lourdes : "Ne faites pas le tour des
congrégations missionnaires ! Allez par exemple chez les sœurs de Notre Dame des
Apôtres. Je les connais un peu. Si vous n’y voyez rien contre la foi et les mœurs, restezy ! Le Seigneur s’occupera du reste !"
Après le postulat en Côte d’Ivoire et le noviciat à Lyon, mon institut m’a demandé de me
former en théologie. J’ai accueilli cette demande avec gratitude, j’avais tant de
questions, et je m’y suis engagée avec autant de détermination que de souplesse. Après
la maîtrise, j’ai été envoyée en Egypte et au Tchad. Ces deux expériences m’ont
beaucoup marquée, elles m’ont tout à la fois profondément questionnée, même
déstabilisée, et affermie.
Au retour, j’ai prononcé mes vœux définitifs. L’institut m’a demandé de faire un
doctorat en théologie et je me suis progressivement investie dans la faculté : Profac, les
cours de lettres, de formation humaine puis l’enseignement de la théologie, la direction
d’étude, la recherche, l’écriture.
Je cherche à vivre au mieux cette mission, en l’offrant à Dieu, et donc en me rendant
libre face à ce qu’il désire lui-même donner à chacun, étudiant ou collègue, comme et
quand il le veut. Libre, parce que cela ne m’appartient pas. Et cela me permet de
dépasser bien des contradictions. Certains ont peut-être vu la devise brodée dans mon
bureau : "Si j’en étais encore à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur de JésusChrist." (Ga 1,10) !
La parole qui m’a décidée et qui me tient jour après jour : "Frères, soyez toujours dans la
joie, priez sans relâche, rendez grâce en toute circonstance : c’est ce que Dieu attend de
vous dans le Christ Jésus. N’éteignez pas l’Esprit, ne repoussez pas les prophètes, mais
discernez la valeur de toute chose. Ce qui est bien, gardez-le ; éloignez-vous de tout ce
qui porte la trace du mal. Que le Dieu de la paix lui-même vous sanctifie tout entiers, et
qu’il garde parfaits et sans reproche votre esprit, votre âme et votre corps, pour la venue
de notre Seigneur Jésus Christ. Il est fidèle, le Dieu qui vous appelle : tout cela, il
l’accomplira." (1 Th 5,16-24)
Marie-Hélène Robert
A très bientôt...
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