Biographie I REMEMBER WHEN (UNIVERSAL), sortie le 25 février

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Biographie I REMEMBER WHEN (UNIVERSAL), sortie le 25 février
Biographie
I REMEMBER WHEN (UNIVERSAL), sortie le 25 février 2013
Une rencontre, puis une autre, et encore une autre … : la jeune carrière de Kellylee Evans est jalonnée de
rendez-vous qui ponctuent une trajectoire accélérée vers le public et vers le succès. Comme si la pétillante
native de Toronto donnait immédiatement envie à ceux qui l’entendent et la croisent, de partager cette
chance avec le plus grand nombre. Pour saisir l’histoire d’I Remember When, son nouvel album, il faut
remonter deux ans en arrière. Lors de la soirée You & The Night & The Music 2010, la chanteuse rencontre
Sébastien Vidal, chargé de la programmation sur l’antenne de la radio TSF Jazz et au Duc des Lombards.
Quelques temps plus tard, à New York, celui-ci présente à la jeune chanteuse, Eric Legnini, pianiste à la
croisée des styles et aussi producteur. Les deux hommes, épatés par le « peps » de la jeune interprète, lui
proposent une session à son image. Kellylee Evans est une artiste totalement dans son époque, il leur
semble naturel de lui offrir la possibilité d’enregistrer un disque en harmonie avec une personnalité qui
épouse autant la curiosité à 360° des gens de sa génération, une personnalité capable de reprendre des airs
signés Eminem, John Legend ou Kanye West et de les amener à elle, dans son monde où jazz, soul, hip
hop ont tout à voir. Et d’y ajouter quelques classiques d’hier « If I Was Your Woman », d’adapter elle-même
le décalé « And So We Dance » (« Alors on danse » dans la V.O. signée Stromae) et de glisser plusieurs
thèmes, fruits de sa collaboration avec Eric Legnini.
« La connexion avec Sébastien (Vidal) et Eric (Legnini) s’est faite simplement. Nous sommes de la même
génération, nous avons tous les trois été nourris par la musique des mêmes artistes. Eric (Legnini) a une
incroyable discothèque de vieille soul. Sébastien (Vidal) connait le jazz, son histoire et son actualité.
Lorsqu’on s’est lancé dans l’aventure, c’est comme si on avait enclenché la machine à souvenirs. On a
réécouté plein de disques qui nous étaient chers. » Restait à donner corps et cohérence à un répertoire
éclectique, qui convoque des styles et des périodes aussi éclatées. « On peut parler d’un traitement et d’une
esthétique soul jazz, car je suis entourée d’un groupe de musiciens avec lesquels je me produis depuis un
moment. Il y a Eric Löhrer (guitare), Sylvain Romano (basse), Fabrice Moreau (batterie) et bien sur pour la
session, Eric Legnini aux claviers. Mais il y a aussi un esprit assez hip hop dans ce disque. On a d’ailleurs
utilisé des samples sur plusieurs titres. Et puis on en a créé d’autres, originaux. » A l’arrivée, le catalogue
des qualificatifs qui avaient servi à dépeindre Miss Evans risque de s’enrichir. Preuve de l’envergure de cette
artiste surtout pas prête à se laisser engoncer dans des habits trop étriqués pour elle. La canadienne, qui
maitrise de mieux en mieux le français – « je m’y suis remise sérieusement, j’adore apprendre les langues »
-, avec même un léger accent parisien charmant, est trop dynamique et vivante pour se priver d’être
complètement une fille des années 2000. Même si c’est le jazz qui l’a découverte et révélée, et lui permet
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aujourd’hui d’exprimer toute sa spontanéité, notamment sur scène où elle brille par sa façon de se mettre le
public dans la poche tant par la chaleur de ce timbre soulful qui rappelle quelques devancières, que par le
piquant de sa communication immédiate aux autres. Elle devait être fait pour ça, se dit-on immédiatement.
Ce n’était pas écrit, mais c’est pourtant ce que se sont dits d’autres musiciens croisés sur son chemin. Après
avoir chanté dans des chorales, puis dans de petites formations sans prétention, Kellylee Evans s’était
consacrée à ses études en philosophie du droit et en littérature. Jusqu’à ce que le contrebassiste Lonnie
Plaxico, séduit lors d’une jam à l’Ottawa Jazz Festival, l’encourage à enregistrer une démo, et à se présenter
à la prestigieuse Thelonious Monk Jazz Vocal Competition, à Washington. « Je suis passée directement de
chanteuse sous la douche, aux planches du Kennedy Center », confie-t-elle en s’amusant. En s’amusant,
elle sera faite deuxième d’un concours de réputation internationale par un jury constitué de Quincy Jones, Al
Jarreau et Flora Purim. « A la maison, j’avais été bercée par la musique de Nina Simone. Etudiante, j’ai
commencé à écouter Ella Fitzgerald, Sarah Vaughan, Carmen McRae et Abbey Lincoln. Puis j’ai aussi
grandi avec les hits de Michael Jackson. Et je reste une fan de musique, je suis allée écouter Kanye West et
Jay Z, j’adore Coldplay, Maria Callas … »
En 2007, Kellylee Evans signe Fight Or Flight, son premier opus. Suivront Good Girl en 2010 et Nina en
2011, hommage à Nina Simone qui la révèle au public français. On la situe dans un entre-deux, entre jazz et
soul, entre Lizz Wright et Erykah Badu. I Remember When signale à tous ceux qui seraient encore tentés de
lui coller une étiquette que Kellylee Evans a une signature, celle d’une jeune femme rayonnante, qui n’a pas
froid aux yeux et séduit à chaque étape de cette aventure qu’elle croque à pleines dents. « J’ai hérité de ma
mère une vraie joie de vivre. Quand je suis sur scène, je suis heureuse, je me dis que j’ai beaucoup de
chance. Qu’il s’agisse d’un concert en ouverture de Tony Bennett ou de Dianne Reeves dans un grand
festival, ou dans une petit club face à trente personnes. »
« My Name Is »
« Elle m’a été inspirée par deux chansons d’Eminem. « My Name Is » et « Stan ». On réduit souvent le rap à
un flow, mais c’est un défi d’écrire des textes aussi forts, des chroniques et des instantanés si saisissants. »
« One More Lover »
« Elle m’a été inspirée par Snoop Dogg. Je suis partie d’une rime, comme en font les ados dans une cour
d’école. Puis d’un son west coast. »
« I Remember When »
« A l’origine, Eric avait écrit la musique pour un artiste de hip hop français. J’ai commencé à penser à un
texte qui fonctionne sur ces rythmes. C’est finalement devenu le titre de l’album. »
« Built To Fly »
« C’est une de mes favorites. On a utilisé le sample de « Big Ego’s » de Dr Dre, une chanson qui évoque
toute la mythologie du rap, ces artistes qui se mettent en valeur. J’ai juste imaginé que nous serions des
super héros à notre manière. Et j’adore la culture des comics. »
« And So We Dance »
« Je l’ai découverte en France et je l’ai faite écouter à des amis qui trouvaient l’air intrigant, attirant, mais ne
comprenaient pas les paroles. J’ai décidé de l’adapter. Ce n’est pas une traduction. En fait, j’aimais surtout
cette mélodie : les gens en club ne résistent pas, ils se mettent à danser. Nous l’avions déjà reprise en live
avec mon groupe : le public adore. »
« If I Was Your Woman »
« Je l’ai découverte via Alicia Keys, avant de revenir à la version de Gladys Knight. La ligne de basse est
obsédante. C’est un honneur de reprendre ce standard. »
« Lose Yourself »
« Une autre chanson d’Eminem, la première que j’ai souhaitée reprendre sur ce projet. Elle est universelle,
qu’on aime ou pas le rap, ces paroles touchent tout le monde. »
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« Only You »
« Musicalement, c’est dans une veine très classique soul funk. Quant aux paroles, elles racontent une
personne qui s’aime plus qu’elle n’aime les autres. Ce qui arrive souvent, non ?»
« Jungle »
« On a repris un sample de « The Message » de Grandmaster Flash. Et ce mot « jungle » qui revient de
façon entêtante au début du thème m’a lancée sur ce texte.»
« Ordinary People »
« Sébastien (Vidal) aimait beaucoup cette composition, on l’a modifiée, tout en gardant la beauté du
message qu’elle porte. »
« You Got Me »
« Le thème contient des éléments d’un titre de A Tribe Called Quest, « Electric Relaxation », où un gars
parlait à une fille. C’est un peu la réponse. »
« Amazing »
« C’est un morceau de Kanye West. Ca file la pêche, c’est un peu euphorisant : plus on l’écoute, plus on le
chante, plus on se persuade qu’on est extraordinaire, intouchable … »
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