cm – llast623 – cinéma classique hollywoodien validation plan du

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CM – LLAST623 – CINÉMA CLASSIQUE HOLLYWOODIEN
Jeudi 10h30-12h30, amphi E2
Marguerite Chabrol – 2011 / 2012
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VALIDATION
♦ Contrôle des connaissances : 1 épreuve finale
Examen partiel le jeudi 31 mai 2012 (2h) : 3 questions générales à traiter en 40 min chacune
portant sur une des 3 parties du cours.
♦ Examen dérogatoire
1 DST (2h). Pendant la semaine des examens. Questionnaire (en 3 points) sur le même principe.
NB : il n’y a pas de cours le jeudi 16 février.
PLAN DU COURS
Introduction
I. Autocensure et style classique
Films obligatoires : Design For Living (Sérénade à trois) de Lubitsch et Notorious (Les
Enchaînés) de Hitchcock.
1) Histoire de la censure cinématographique américaine
2) La « Lubitsch Touch » et le Code Hays
3) Effets du Code sur le style hollywoodien classique
II. Hollywood vu par Hollywood
Films obligatoires : Sunset Boulevard (Boulevard du crépuscule) de Wilder et Sullivan’s
Travels (Les Voyages de Sullivan) de Sturges.
1) Sunset Boulevard, quintessence du classicisme hollywoodien ?
2) Le « métafilm » et la mythologie hollywoodienne
3) Postérité dans le cinéma américain contemporain
III. Les Européens à Hollywood
Films obligatoires : Fury de Lang et La Scandaleuse de Berlin de Wilder
1) Héritages culturels européens
2) Un exemple, la trajectoire d’une star, Marlene Dietrich
3) L’Amérique vue par les Européens
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BIBLIOGRAPHIE
SUR LE CINÉMA HOLLYWOODIEN CLASSIQUE
Irène BESSIERE (dir.), Hollywood, les fictions de l’exil, Nouveau Monde, 2007.
* Jean-Loup BOURGET, Hollywood, La norme et la marge, Nathan Université, 1998.
Jean-Loup BOURGET, Hollywood, un rêve européen, Armand Colin Cinéma, 2006.
Jean-Loup BOURGET & Jacqueline NACACHE (dir.), Le Classicisme hollywoodien, Presses
Universitaires de Rennes, 2009.
Noël BURCH, Revoir Hollywood, La nouvelle critique anglo-américaine, Nathan université, 1993.
Marc CERISUELO, Hollywood à l’écran, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2000.
* Jean-Pierre ESQUENAZI, Hitchcock et l’aventure de Vertigo. L’invention à Hollywood, CNRS
Editions, 2001.
Charlotte GARSON, Le Cinéma hollywoodien, Cahiers du cinéma / Sceren CNDP, 2008.
* Jacqueline NACACHE, Le Film hollywoodien classique, Nathan, Université, coll. 128, 1995.
* Jacqueline NACACHE, Hollywood, l’ellipse et l’infilmé, L’Harmattan, 2001.
Bertrand TAVERNIER, Jean-Pierre COURSODON, 50 ans de cinéma américain, Nathan, 1991.
Patricia-Laure THIVAT (dir.), Dossier « Image cinéma », Ligeia n° 61-64, juillet-décembre 2005.
Thomas WIEDER, Les Sorcières de Hollywood. Chasse aux rouges et listes noires, Ramsay poche
cinéma, 2008 [ed. originale 2006]
SUR LA CENSURE
* Francis BORDAT, « Le Code Hays. L'autocensure du cinéma américain », in Vingtième Siècle.
Revue d'histoire, Volume 15, Numéro 15, 1987, pp. 3-16. (Article disponible sur www.persee.fr)
Olivier CAÏRA, Hollywood face à la censure : discipline industrielle et innovation cinématographique
1945-2004, CNRS Editions, 2005.
Jean-Luc DOUIN, Dictionnaire de la censure au cinéma : images interdites, PUF, 1998.
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FILMOGRAPHIE
Cette filmographie est indicative et mentionne les principales références des films qui seront cités
en cours. Les films obligatoires sont rappelés en gras.
Frank CAPRA, It Happened one Night (New York – Miami, 1934) ; Mr Smith Goes to Washington
(M. Smith au Sénat, 1939) ; It’s a Wonderful Life (La Vie est belle, 1946).
Joel & Ethan COEN, O Brother Where Art thou ? (O’ Brother, 2000)
George CUKOR, What Price Hollywood ? (1932) ; Camille (Le Roman de Marguerite Gautier,
1936) ; Two-Faced Woman (La Femme aux deux visages, 1941) ; A Star Is Born (Une étoile est
née, 1954)
Michael CURTIZ, Casablanca (1942)
Stanley DONEN / Gene KELLY, Singin’ in the Rain (Chantons sous la pluie, 1952)
John FORD, Stagecoach (La Chevauchée fantastique, 1939)
Tay GARNETT, The Postman Always Rings Twice (Le Facteur sonne toujours deux fois, 1946)
Howard HAWKS, Scarface (1932), Gentlemen Prefer Blondes (Les Hommes préfèrent les
blondes, 1953)
Alfred HITCHCOCK, Notorious (Les Enchaînés, 1946) ; I Confess (La Loi du silence, 1953) ;
Verigo (Sueurs froides, 1958) ; Psycho (Psychose, 1960) ; Marnie (Pas de printemps pour Marnie,
1964) ;
Howard HUGHES, The Outlaw (Le Banni, 1943)
John HUSTON, The Maltese Falcon (Le Faucon maltais, 1941)
Gregory LA CAVA, My Man Godfrey (1936)
Fritz LANG, Fury (1936) ; Beyond a Reasonnable Doubt (L’Invraisemblable vérité, 1956) ;
Rancho Notorious (L’Ange des maudits, 1952)
Ernst LUBITSCH, Design for Living (Sérénade à trois, 1933) ; Trouble in Paradise (Haute Pègre,
1932) ; Bluebeard’s Eigth Wife (La Huitième Femme de Barbe-bleue, 1938) ; Angel (Ange, 1937) ;
To Be Or Not To Be (1942)
David LYNCH, Mulholland Drive (2001)
Rouben MAMOULIAN, Queen Christina (La Reine Christine, 1933)
Joseph L. MANKIEWICZ, A Letter to Three Wives (Chaînes conjugales, 1949) ; The Barefoot
Contessa (La Comtesse aux pieds nus,1954).
Vincente MINNELLI, The Bad and The Beautiful (Les Ensorcelés, 1952)
Max OPHULS, Letter from an Unknown Woman (Lettre d’une inconnue, 1948)
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Otto PREMINGER, Laura (1944) ; The Moon Is Blue (La Lune était bleue, 1953) ; The Man with
the Golden Arm (L’Homme au bras d’or, 1955)
Robert SIODMAK, The Killers (Les Tueurs, 1948)
Douglas SIRK, The Tarnished Angels (La Ronde de l’Aube, 1957)
Preston STURGES, Sullivan’s Travels (Les Voyages de Sullivan, 1941)
Jacques TOURNEUR, Cat People (La Féline, 1942)
Charles VIDOR, Gilda (1946)
Josef VON STERNBERG, Blonde Venus (La Vénus blonde, 1932), The Devil is a Woman (La
Femme et le pantin, 1935)
William WELLMANN, A Star Is Born (Une étoile est née, 1937)
Billy WILDER, Double Indemnity (Assurance sur la mort, 1944) ; A Foreign Affair (La
Scandaleuse de Berlin, 1948) ; Sunset Boulevard (Boulevard du crépuscule, 1950) ; Some
Like it Hot (Certains l’aiment chaud, 1959)
Fred ZINNEMANN, From Here to Eternity (Tant qu’il y aura des hommes, 1953)