Quel intérêt peut représenter un marché ou une halle pour votre ville ?

Pierre Durand-Jouteux
Consultants
Quel intérêt peut
représenter un
marché ou une halle
pour votre ville ?
C’est un service à votre population
Les personnes âgées ou non motorisées ont besoin des
marchés et halles pour bien vivre en centre ville.
Les marchés de plein air et les halles servent la vie au
jour le jour des centres ville et des quartiers en
assurant un approvisionnement en produits frais.
Lors des enquêtes consommateurs, les marchés
bénéficient d’un fort courant de sympathie, d’une forte
notoriété de convivialité et d’achat plaisir, ils sont une
attente forte de la population notamment des seniors.
C’est un lieu de rencontre, de mixité des
populations et donc de paix
sociale
Les marchés plaisent à la population, ils comblent un
vide social. Preuve en est qu’il y a souvent sur les
marchés attractifs (selon nos études) autant de
promeneurs que d’acheteurs. Si le marché est attractif,
réputé, les gens y viennent par plaisir !
A l’inverse de la grande distribution, les marchés sont
un lieu social où les ethnies et les catégories sociales
se côtoient et se retrouvent. Cela en fait le seul lieu
commercial facteur de convivialité et de paix sociale.
Les élus ne s’y trompent pas : lorsqu’ils veulent aller
à la rencontre de la population, les marchés ou la halle
sont un passage obligé.
La diversité des commerces, des métiers présents et
des produits proposés, facilite la connaissance et la
compréhension de l’autre.
Votre population et vos touristes sont à la recherche
d’authenticité (de racines ?), de terroir, de produits
locaux vendus par de vrais producteurs. Les marchés
ne sont-ils pas les mieux à même de les contenter ?
C’est un enjeu
économique
Les jours de marché, le centre ville ou les quartiers
alentour sont drainés par un flux de clientèle qui sans
eux n’y serait pas venu. C’est toute la vie du centre
ville et les commerces environnants qui en bénéficient
et qui parfois en dépendent.
Les marchés et halles sont complémentaires des
commerces sédentaires proches, ils sont un bon moyen
de rééquilibrage entre les formats de commerce
(centre ville / périphérie)
Les marchés ou les halles, méritent de mieux jouer
leur rôle de « locomotive » du centre ville pour
l’approvisionnement, la qualité de vie, le plaisir de
vivre dans la cité.
Par exemple : les marchés de FIRMINY (42), ville de 19
283 habitants en banlieue de St Etienne drainent en centre
ville et par semaine 19 à 20 000 personnes (chiffres établis
par comptage précis des flux), soit environ la population
communale !
Ils sont créateurs
d’emplois
L’exercice d’une activité sur les marchés est un
tremplin professionnel permettant une installation en
sédentaire (nous connaissons de très belles réussites
professionnelles).
Certains commerçants ou artisans maintiennent leur
activité sédentaire grâce aux marchés.
Pour les producteurs, grâce à la vente directe, les
marchés aident au maintien d’une ruralité locale.
A titre d’exemple, les marchés de la ville de St
Chamond (42), ville moyenne de 40 000 habitants
réalisent 10 millions d’euros de Chiffre d’Affaire /an,
pèsent 150 emplois directs + les emplois induits dans
les commerces de proximité. Ce n’est pas rien.
Ils sont une animation en centre ville
Beaucoup de Villes dépensent des sommes
importantes pour créer des animations diverses, or les
marchés créent (par eux-mêmes) une à plusieurs fois
par semaine des animations gratuites !
Il n’est pas rare qu’un marché attractif attire (en
quelques heures) 25% et plus de la population d’un
bassin de vie (selon nos études et par comptages
précis). Qui dit mieux !
Beaucoup de Villes ont bien mesuré cet impact et sont
très attachées à leurs marchés, surtout dans les zones
touristiques où il faut plaire et distraire…et donc
séduire pour préparer la réussite des saisons
suivantes !
C’est un élément de notoriété
Ils sont le symbole d’une ville accueillante, apaisée,
où il est facile d’aller à la rencontre des autres …
Dans les Villes touristiques, ils sont un élément
incontournable pour 60% des touristes (source
ACFCI).
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des études comparables, est soumise à autorisation préalable.
Pierre Durand-Jouteux
Consultants
Rentabiliser les investissements
de la Ville
Un marché ou une halle coûte à la collectivité.
L’objectif est en général d’arriver à couvrir les frais de
fonctionnement (directs et indirects).
Avoir un beau marché rentabilise cet investissement
en satisfaisant votre population et vos touristes.
L’argent public est ainsi bien employé.
Les difficultés
d'aujourd'hui et
de demain...
Les marchés n’échappent pas aux
règles de la concurrence
La grande distribution capte en France 65 % des
achats alimentaires des ménages et 50 % des achats
non alimentaires. Elle augmente, avec ses atouts, ses
parts de marché, au détriment des autres formes de
commerce.
La grande distribution est toujours « au combat », elle
n’a de cesse de rebondir, d’innover et de développer
des critères de confiance auprès des consommateurs,
de créer de nouveaux outils de séduction : prix,
promotions ….
La grande distribution attire la clientèle en périphérie,
au détriment de la vie des cœurs de villes et des
recettes fiscales des villes centre.
Des difficultés structurelles inhérentes
au statut juridique des conditions d’exercice
du commerce
Sur les marchés ou les halles, c’est une activité privée
qui s’exerce sur le domaine public.
Le Maire est gestionnaire du domaine public, il lui
appartient de prendre les décisions pour assurer la
réussite et la pérennité de ses marchés et halles
La gestion déléguée ne change pas les fondements
juridiques de cette autorité.
A l’inverse : les commerces sédentaires et la grande
distribution gèrent leur entreprise en toute autonomie
puisqu’il s’agit d’une activité privée qui s’exerce sur le
domaine privé.
Des difficultés d’organisation, de
marketing et d’adaptation
Chaque jour vos marchés doivent recruter de
nouveaux clients, pour compenser ceux qui, avec
l’âge, n’y viennent plus.
Les marchés recrutent leurs clients fidèles à l’âge de
40 / 50 ans. Ces nouveaux clients sont beaucoup plus
exigeants en qualité, prix, hygiène et commodités que
leurs aînés…
Les marchés et halles, figés dans leur routine
quotidienne, ont souvent « un train de retard ». Ils ne
s’adaptent pas assez aux évolutions de la
consommation et aux attentes de la clientèle la plus
jeune. Pire, souvent ils ne l’acceptent pas !
Difficultés de
communication
Créer un dialogue de qualité entre les différents
acteurs (vendeurs, commune, population).
Rechercher des solutions et accepter d’en débattre
même sur « les sujets qui fâchent ». Bien
communiquer suppose de bien connaître le métier, les
problèmes et aspirations de l’autre…et de les
comprendre !
Trouver le meilleur consensus et réussir tous
ensemble.
Pour leur avenir, les marchés et halles
ont besoin d’être soutenus
Les emplois des vendeurs des marchés et halles sont
fragiles car il n’y a pas de stratégie de gestion de
l’offre.
Il y a un manque fréquent de professionnalisme de
certains vendeurs des marchés, car beaucoup
viennent à ce métier par défaut, sans qualification ni
projet.
La plupart des marchés sont peu professionnalisés, ils
fonctionnent par tradition.
Souvent les vendeurs des marchés restent très
individualistes, sans actions collectives.
Il y a un manque global d’organisation.
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Pierre Durand-Jouteux
Consultants
Trouver des solutions d'avenir
Il n’y a pas de solutions toutes prêtes,
chaque Ville, chaque quartier, est un cas particulier.
Quel que soit le mode de gestion (délégation, convention ou régie municipale),
le Maire à en charge la gestion du domaine public.
Une « démarche qualité totale » sur vos marchés, halles et foires
va vous permettre de réussir une politique municipale de commerce et services
en centre ville et dans les quartiers
Nos Communes clientes ont constaté :
Que les études généralistes que tout un chacun peut faire (y compris des étudiants) ne sont pas d’une
grande utilité.
Que la simple approche marketing ou d’urbanisme ne suffit pas non plus car la problématique des
marchés et halles est complexe : il faut du savoir-faire, du « savoir-être », beaucoup d’expérience et
d’éléments de comparaison acquis dans des contextes variés.
Que la compétence des chargés d’études doit donc être globale et prouvée par des références et des
résultats personnels vérifiables y compris auprès des professionnels des marchés et halles
Que représentent les références et compétences
d'un bureau d'études
Les références de l’année sont exploitables pour vérifier le respect du cahier des charges, la qualité du
dialogue avec tous les partenaires du projet, le sérieux et le professionnalisme apparent des
Consultants… Mais, on ne sait rien des résultats obtenus !
Les références de 2 ans sont exploitables pour les aspects de communication, de concertation, pour
évaluer la pertinence des préconisations d’investissements, de faisabilité des actions. Mais, on ne sait
toujours rien des résultats obtenus !
Seules les références de plus de 4 ans ont de l’importance !
Il faut attendre ce délai pour vraiment apprécier la qualité de l’expertise et du conseil, car vous savez que la
réussite en toutes choses demande du temps. Il faut :
Analyser les résultats de l’étude, les préconisations faites et le plan d’action à 3/5 ans, …
Prendre les décisions d’investissement de gestion, de stratégie, …
Engager les réformes ou les travaux en regard, former les personnels…
Se réunir, se concerter, négocier, souvent il faut aussi conduire un travail pédagogique, …
Tout cela étant réalisé, il faut attendre encore au moins 1 à 2 ans pour évaluer les résultats
et la pertinence du travail du cabinet d’étude !
Depuis 1991, nous sommes des experts reconnus
Nous mettons à votre service notre savoir faire de spécialiste
et notre expérience sur 700 marchés et halles en France.
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