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Samedi 27 Août 1938 Année - № 69 ABONNEMENTS Maine-et-Loire & Limitroplies Trois Mois . . . 5 fr. Six Mois . . . 9 fr. Un An . . . . LE En dehors des limitrophes: 2 2 f ' . E 0 — INSERTIONS Annonces, la ligne . 2 . 7 5 Réclames, — 2 fr. Faits locaux, — 2 . 5 0 20 r Journal Politiq^ et Littéraire D'Intérêt Local, d'Annonces judiciaires <& d'Avis Divers 16 fr. PARAISSANT RÉDACTION & C/G/ N a n t e s : 1 5 4 - 2 8 GD ei i ma 11 ne peut s'agir en aucun cas de ces obstructions philosophiques donl certains doctrinaires sont friands, mais qui s'appliquei'aient mal à une situation qualifiée par le Président du Conseil lui - m ê m e de dangereuse et m ê m e d'assez grave. L'opinion aura été particulièrement frappée par le passage du discours où les conséquences néfastes de la loi de quarante heures sonl longuement examinées. Constatations qui ne sont point nouvelles mais qui sont apportées celte fois par le chef au gouvernement bien décidé à remettre la France au travail. Le plan nous dira c o m m e n t . M. Daladier se trouve en présence d'une législation compliquée, où il devra trouver les éléments nécessaires au redressem e n t escompté. En tout cas la lecture des organes de presse d'un radicalisme aussi orthodoxe que peut l'être « L ' Œ u v r e » esl singulièrement significative. Sous la signature de M. René Plard, maire de la ville deTroyes, et qui revient de loin, car il appartint au parti communiste, nous lisons les échos d'un voyage que le maire de Troyes a fait en Allemagne. M. Plard écrit : « La volonté de travail des Allemands, eile s'affirme partout et à chaque instant. Cette volonté de travail a refait de l'Allemagne un puissant pays. La leçon doit nous profiler. » Dans le m ê m e article, M. René Plard rappelle les paroles prononcées par le président Herriot devant les élèves de l'Ecole de santé militaire de Lyon : « J e ne crois pas cT-u surmenage qui fait m o i n s de victimes que la paresse et le lâisser-aller. J e crois à la nécessité de l'efîorl constamment tendu, y El enfin, toujours dans «L'Œuvre», commentant les déclarations de Daladier, on peut lire uu éditorial excellent pouv une fois. L'auteur de l'article affirme préférer les déclarations de M. Daladier devant le micro à certains propos lénilifs que le président du Conseil tenait dix j o u r s plus tôt sur l'affaire de Marseille. EttfL ' Œ u v r e » écrit : « Il est entendu qu'il faut respecter le principe des lois sociales, mais il doit être également entendu qu'il est stupide, sous ce prétexte, et en tirant jusqu'à l'absurde les conséquences de ce principe , de c( tuer ce dont on vit ». Voici donc un ptîint, et le point capital, sur lequel l'orthodoxie radicale est entièrement en accord avec le sentiment des républicains de toute nuance, el en tièrement en désaccord avec les tenants socialisles ou c o m m u nistes du front populaire. Sans épiloguer l o n g u e m e n t , nous rappellerons simplement que depuis le début de l'affaire des quarante h e u r e s , lous les gens de bon sens ont écrit et prévu ce qui devait fatalement arriver. On aurait traité d'affreux réactionnaires les parlementaires de l'une ou l'autre des Chambres qui n'auraient pas j o i n t leur bulletin à celui des partisans de la nouvelle mystique. Devant une situation où la France, seule avec le Mexique, suivant la formule du Président du Conseil, connaît un régime de paresse, il importe d'agir, d'agir vite, el par tous les m o y e n s dont un gouvernement dispose. P I E R R E LE E A U S C H E R . IL FAUT CONTINUER M. Daladier, c o m m e ses prédécesseurs, répétait volontiers que l'accord complet existait au sein du cabinet q u ' i l présidait. Malgré cette aifirmation, on n'ignorait pas q u e l'attitude de MM. Ramadier e t Frossard n e paraissait pas de nature à favoriser une politique de redressement, d'ordre et de légalité. Trop ouvertement ces deux dignitaires regrettaient le front popidaire et entretenaient ses espoirs. Dès que MM. Ramadier et Frossard, auxquels appartenait normalement le règlem e n t de l'affaire de Marseille, eurent connaissance du discours vraiment patriotique et opportun de M. Daladier, ils lui o n t faussé compagnie. Les communistes, les cégétistes s'agitent. Il faut à tout prix que les intérêts des <( masses » passent avant ceux du pays ! M. Daladier s'aperçoit, après des déclarations qui onl obtenu l'assentiment de l'immense majorité des Français, qu'on ne peut pas redresser la situation avec les hommes qui l'ont compromise et auxquels les plus graves événements n ' o n t rien appris. Nous ne regrettons pas — es_l-V besoin N 1 S 4 1 MERCREDI ADiVIlNISTRATION Téléphone : 1-95 L'énergie de ton du discours de M. Daladier devant le micro ne peut prêter à confusion : le plan qu'il annonce sera un plan d'action. F O N D É DIRECTION: ~ 4 — ET PLACE GIROUARDRICHOU SAMEDI DU MARCHÊ-NOIR Les abonnements sont payables d'avance et l'acceptation de trois numéros engage pour une année. La quittance est présentée à l'abonné sans dérangement pour lui P o u r la Publicité extra-régionale, s'adresser à la Publicité A. GHI MOT,3, r. d ' A m b o i s e (coin r.Richelieu) P A R I S ( 2 e ) T é l . R i c h e l i e u 5 1 - 7 6 5 1 - 7 7 2lignesgroup. de le d i r e — le départ de MM. Frossard et Ramadier. L ' e n t r é e dans le cabinet de MM. Pomaret et do Monzie en renforcera l'homogénéité. Et nous pensons que M. Daladier sc trouvera plus à l'aise. Pour le choix des nouveaux ministres, il a montré de la décision, qu'il c o n t i n u e ! iTiiainiiiiiiiiiiiiniiiiiiiHiiiinnmn NOUVELLES EXPRESS Après les explications de M. Daladier, le groupe radical-socialiste approuve à l'unanimité la politique suivie par le Président du Conseil et notamment son point de vue au sujet de l'assouplissement des 4o heuTes. A la réunion du groupe socialiste, M. Blum déclare que le parti S.F.I.O. ne doit pas entraver la tâche du Gouvernement. A l'Union socialiste républicaine, on ne veut pcLs gêner le cabinet et l'on est hostile à la convocation des Chambres. Mais le groupe communiste veut demander de» explications pr*c'j>es à M. Daladier. Les délibérations de ta délégation des gauches n'ont pu aboutir hier. Une nouvelle séance a lieu aujourd'hui à i5 heures. Le conflit de Marseille parait en voie de règlement, à la suite d'un arrêté pris par M. de Monzie. A Jaffa, une bombe, lancée au de la foule, tue i8 personnes et en quarante. milieu blesse Jm SûMé trafiquants quatre nationale arrête à Paris d'armes de guerre. LE NUMÉRO : .iiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiïmlT uro et bioet № 1939 U U L'équilibre du bugget de 1989, dont l'élaboration se poursuit actuellement, sera des plus difficile à réaliser. L'augmentation des dépenses semble inévitable ,tandis que du côté des recettes u n accroissement n'est guère probabl,è. Lo problème budgétaire ne trouvera une solution définitive que lorsque notre activité économique sera redevenue normale. Les Administrations élaborent leurs propositions de dépenses pour l ' a n n é e prochaine. Après examen du Ministère des Finances, ces prévisions constitueront le projet de budget de l'exercice 1989. Pirojet dont le Parlement sera vraisemblablement saisi à la fin du mois de septembre si l'on veut permettre à la Commission des Finances de la Chambre d'en achever l'étude avant l'ouverlure de la session extraordinaire. Quels seront les traits dominants de ce budget ? Quelle sera l'ampleur des difficultés que le Ministre des Finances devra surmonter dans sa préparation. Par ailleurs, la question va se poser bientôt de savoir si doivent êlre satisfaites certaines revendications formulées, à la suite de la hausse du coût de l'existence, en matière de traitements, de salaires, de retraites et d'allocations de chômage. Bref, il est difficile de chiffrer, ^ l'heure présente^ et d ' u n e manière exacte, le volume total des augmentations de dépenses pour le budget de 1989, on peut craindre qu'il s'élèive à plusieurs milliards malgré c( la révision stricte de toutes les dé- penses de l ' E t a t » annoncée par le Ministre des Finances à l a veille do l a dernière émission des bons de la Caisse Autonome de la Défense Nationale. Nous persistons donc à penser que le problème budgétaire ne trouvera u n e solution sérieuse et définitive que le jour ofi le problème des prix sera résolu et lorsque notre activité économique, grûce à des impulsions plus énergiques, cessera d'accuser une régression continue. Léon BARETY. (Le Capital) §§§ Le conflit touristique franco-italien L'Italie ayant supprimé les passeports pour la France, le Gouvernement français, par une légitime rétorsion, a introduit le système du visa, ce qui rend pratiquement fort difficile le passage des Alpes. Cxitte querelle a jeté une grande perturbation dans les milieux touristiques et beaucoup de gens se sont affolés. En définitive, ni l a France, n i l'Italie, n'ont grand chose à gagner dans cette histoire, à tous points de vue déplorable. (>ù va-t-on si l'on se met à « contingenter » les touristes comme des bétes, des carottes ou des, navets! Dans l'intérêt des deux pays, il estj à souhaiter que le conflil s'apaise rapidement et q u ' u n arrangement intervienne. » * * Ou a voulu voir dans la décision du Gouvernement Italien, u n e mesure de caractère politique et les commentaires de certains journaux italiens, très montés contre la France, pourraient faire croire que M. Mussolini a voulu <( p u n i r » notre^ pays. Chez nous, certains sont allés à supposer que, comme l'Allemagne, l'Italie, en retenant ses sujets, se préparait à de redoulables éventualités. La vérité est, heureusement, moins tragique. Redressons d'abord u n e erreur. Aucune mesure officielle n ' a élé prise e n Italie contre les touristes se rendant en France. Il n'y a pas eu d'interdiction légale. On s ' e s t contenté de « d é c o u r a g e r » pratiqujèm e n t les voyageurs. C'est une nuance. • * Quant à la véritable raison, qui a dicté au gouvernement fasciste, son attitude — fort déplaisante pour la France — elle sem-ble être surtout financière et économique. L'Italie surveille très étroitement sa balance des comptes et, pour payer ses achats de matières premières à l'extérieur, elle a besoin des devises q u e les touristes étrangers — dont beaucoup sont des Français — laissent dans la péninsule. Or, depuis les trois dévaluations du franc — qui ont m i s la lire à 1,98 — l e courant touristiquO était en passe de se renverser. 11 y avait désormais plus d'avantages pour les Italiens à venir en France, pays h monnaie avariée, que pour les Français à se rendre en Italie. Et il est de fait •qu'on avait noté, ces derniers temps, un nombre considérable de demandes de passeports émanant d'Italiens désireux de passer leurs vacances en France, afin, 'de profiter de notre change très bas. I l est probable que le gouvernement lialien, soucieux de l'équilibre de sa balance des comptes s'est inquiété de ce mouvement. D'où la décision de Rome qui a appelé la réplique de Paris. Au lieu de s'emballer, comme beaucoup de gens l'ont fait et de jeter l ' h u i l e sur l'e feu mieux vaut expliquer, car une françhô explication, peut conduire à un lion accord. Qnter-France).- Les erreurs ont la vie dure Dans le Populaire, lo citoyen .lean l.cbas, ancien ministre S.F.I.O. s'élève contre le jirincipe d'un assouplissement aux 'io heures. Il reprend h son conqile le fameux slogan : Failes d'abord travailler los .'|o heures. Voici eu effet ce qu'il écrit : Pourquoi grossir encore 1 e nombre d'heures supplémentaires quand la i)lu])art des établissements ne travaillent pas /10 heures par semaine i* Pourquoi plus d'heures supplémentaires dans les industries textiles, par exemple, quand l'enquête des insiiecteurs du travail nous apprend que le chômage parliel atteint près de /17 % des ouvriers. Ce raisonnement imjjrossionne beaucoup les lecteurs qui ont oublié de réfléchir. 11 est pourtant sans valeur et u n e simple comparaison suffit à montrer son absurdité. Supposez une aulo qui u plafonne » à la vitesse de 60 kilomètres à l'heure. C'est 1q m a x i m u m que son polit moteur l'autorise à faire, en ligne droite et en palier. Quelle sera sa vitesse moyenne sur un long parcours .s 5o~ à l'heure, et peut-être moins. La voiture sera forcément u en cl>Oiua,go partiel ». Et le conducteur vous rira au nez si vous lui demandez de ((faire travailler ses soixante kilomètres-heures » sur le trajet Paris-Marseille. n faut être socialislo et lecteur du Populaire, pour s'étonner qu'avec la loi des ,'io heures, la durée moyenne du travail en France soil londiée ii 35 heures et parfois moins. C'est (Confondre tout simplement vitesse m a x i m m n et vitesse moyenne. Tartarin dans les Alpes Trois ministres devaiiMit faire l'ascension du Mont-Blanc. Deux se dégonflent, Pcc a î r e ! Le troisième, M. J e a n Zay, s'est entraîné. 11 a fait l'ascension ( ? ) du Mont.loli et du Mont-Tondu, montagnes dites (( 5 vaches » parce que les bestiaux sont l'aise pour y pâ,turer. Quel exploit! M. .lean Zay a vainement tenté l'asceiision du Mont Blanc. Bigre 1 Quand il fait beau (( faire le Mont Blanc» est u n e promenade quo dédaignent les vrais alpinistes, parce qu'elle est fastidieuse et sans danger. M. .lean Zay ne se couvrc-t-il pas de ridicule en tolérant que ses excursions e n montagne soieni célébrées commo des e.xploits! Tartarin dans les Alps esl toujours vivant. INFORMATIONS ylt; PARLEMENT Dans les couloirs du Palais-Bourbon, hmdi, on aperçut peu de députés. Mais ceux qui s'y rencontrèrent,, el qui appartiennent soit au parti radical, soit aux partis nationaux, s'accorda.i!ent pour approuver les déclarations de M. Daladier; le remaniement ministériel ne surprit personne; tout le monde était au courani cfes positions prises par MM. Frossard et Daladier, en re qui concerne la loi des quai'ante heures. LE RENOUVELLEMENT DE DE NOTRE FLOTTE COMMERCE Dès maintenant, l'on peut apprécier les résultats considérables de l'un des premiers Chromque Locâle веан décrets-lois que M. de Chappedeluine a-fuit adopter par le Gouvernement : celui qui, en vue de favoriser le renouvellement de notre flotte de commerce, a augmenté dans une proportion très sensible, la dotation du crédit maritime. Les allocations accordées à ce litre pour bonification d'intérêts, du i""' mai au i.') août 1988, s'élèvent à plus de 3:i millions, soit par rapport au chiffre de la période correspondante de 1987, une augmentation de 3 i o % . LA Le prix du blé pour la campagne 19881989 a été fixé ù la. somme de 3o4 francs !r quintal, pour le poids spécificpie d'e à LA LOTERIE En présence du préfet et du maire, une entrevue a eu lien à la Préfecture, entre un eprésentant du Syndicat des ouvriers de 'Usine à Gaz et le directeur de la compagnie. Un accord a été conclu décidant de soumettre le conflit à la commission nationale de conciliation. Aucune sanction ne sera prise. Le travail a repris piquet de grève a été ^ NATIONALE •C'esl dans le cadre des Hospices de Beau ne, si célèbres pur leur cru renommé, que sera effectué le prochain tirage de la Loterie nationale^ le G septembre. LE COURS DES VINS La semaine qui vient de s'écouler n'ap porte aiiciui changement sur le marché des vins. Les cours restent soutenus et on en regislra [>eu de transaction. Les dernière:: pluies ont été favorables ' à la récolte. §§§ L'ODIEUSE DUPERIE Ce qu'il y a d'effrayant dans la campa gne belliciste des communistes, c'est qu'i, y a une masse de pauvres diables qui lisent L'Humunitô et sont convaincus que celtcci travaille pour la paix. Les affiches du parli réclament aux Français, qui ont besoin de rester armés, de contribuer à le défense des hordes innombrables de Chinois. Notre argent et nos armes doivent partir en Espagne et nous devons voler au secours des Tc/iécostovaques, sans même attendre la fin des négociations. C'est In folie du suicide et du sang. POUR LA TCHECOSLOVAQUIE On se montre assez surpris dans les milieux biien informés français des nouvellepubliées jeudi matin par ta presse britannique an.n.onçant que, au cours de leur réunion, d'hier, M. Nevillc Chamberlain, lord Halifax el .^ir John Simon avaient décidé que le Gouvernement brilannicpie fc rait proehainemenl une déclaralion renouvelasnt les assurances de l'Angleterre à la France au cas où celle-ci serait entraînée dans un conflil en vertu des engagements •lis-à-vis de la Tchécoslovaquie. FEUILLETON de L'Echo Saumurois № 19 - 27 Août de JANE de la Société, q u i se tient ii leur disposition pour leur donner ton» renseignements utiles. ET REGIONALE REUNION AMICALE DES OFFICIERS DE RÉSERVE MEMENTO HEBDOMADAIllE Arrondissement Pharmacies de service : Ûemain dimanche : M. BABIN, rue Nalionale. M. AMIllAULT, rue d'Orléans, LA GREVE DE L'USINE A GAZ DE PERPIGNAN EST TERMINÉE 77 fci/«- §§§ DOCKERS Lundi 29 août : BLE Bien que les discussions au sçin du Conseil national de l'Office du blé organi.':me indépendant du tJ-titiislère de l'Agriculture — ne soient pas publiques, il a])paraît que de sérieuses divergences de vues se sont produites entre ses membres qui parviendront difficilement à réaliser une entente générale. DES A Marseille^ les entrepreneurs de m m w tention aussi bien que les dockers protestent contre le projet de réglementation du travail da Port par voie de décret rendu par le ministre des Travaux publics. D'autre part, signaile Lo Capital, les délégués mineurs du bassin d'Anzin se sont prononcés pour la grève générale si leurs revendications ne sont pas acceptées. §§§ LE PRIX DÛ SITUATION NOIILAND (SUTTB) La passion de J e a n n o u pour les ileurs élail infinie. 11 Irouvail loujours le temps de parer la maison de variétés de roses, des pi\oiues, d'œillets, do cyclamens. Toutes les saisons avaient leurs couleurs lendres ou violentes, toutes parfumaient la demeure aimée où .leaunou avail cru ne jamais revenir, Conunent, eu dehors des heures de travail, dans les vignes el dans les serres, il trouvait lo moyen de mettre des fléurs dans loules les caisses qui égayaient les fenêtres, ce fut toujours un mystère. Le petil bureau, al'ienant à ce qui était aujourd'hui la clunubre de Tliérèse, n'était jamais sans fleurs ; il y eu avait chaque jour de nouvelles, des plus belles, des jilus joyeuses. Lo dimanche, anniversaire du retour de J e a n n o u au foyer, Thérèse, assise devant sa fenêtre, avait posé sur s t s genoux l e UvDs qu'elle lisait. Il avait plu, mais le soleil couchant éclaircissait le ciel et u n e douce lumière rosiei s'étendait sur toutes choses. On sentait que ' immédiatement, enlevé. Lo iiiiiiiiiiiiKiiiiiiniiiimiiniiuiiiim Après les Manœuvres Allemandes L'Allemagne, pour ses manœuvres annuelles, réunit I million 700.000 h o m m e s ; Mobilise autobus et c a m i o n s particuliers; Ulilise tout ce dont elle dispose c o m m e moyens de Iransjioit publics ou privés; Fait travailler plusieurs centaines de milliers d'iiommes à des terrassements et conslruclions mililaires; Installe, dans tous les coins du pays, d'immenses réservoirs de vivres et, pour les remplir, réquisitionne les récolles. La France ne doit pas faiblir. Aucun sacrifice n e doit être refusé pour maiiatenir l'équilibre entre les forces en présence., Les Français doivent comprendre q u ' i l s disposent d ' u n e magnifique armée, et !a démonstration des manœuvres alpines du Galibier esl là pour le leur rappeler. Mais il faut sans relâche a u g m e n t e r les moyens défensifs dont celte armée dispose : avions et canons anti-aériens, pour décourager les agressions aériennes et défendre les populations civiles; tanks, artillerie louryJe, ctiars d'assaut, etc., etc... Cela coûte cher et l ' E t a t doit se procurer les ressources qu'exigent ces dépenses indispensables. L'émission des Bons de la Caisse Autonome de la Défense Nalionale a pour objet de les fournir. L a France réussira à m a i n t e n i r la paix, à conserver ses libertés, à sauvegarder le patrimoine et le bien-être de chacun si elle esl forte, donc si elle a porlé à; un niveau très élevé sa puissance militaire. Garage demain dimanche : M. BOUTIN, rue d'Orléans, ne 8-4 g. 78. 8r, télépho- A NOS LECTEURS D'accord avec nos Confrères locaux nhus sommes dans l'obligation, pour permettre l'application des congés à notre personnel, de, différer la parution de notre prochain numéro du mercredi 81 août. Le service partir du reprendrez S A M E D I 3 régulièrement à S E P T E M B R E Nous sommes persuadés que nos lecteurs el] abonnés comprendront les raisons de cette nécessité. N. D. L. R. §§§ Almanach de Saumur et de Maine-et-LiIre AVIS AL'l COMMEIRgANTS Ceux des comii érçauts qui auraient des modifications ou changements d'adresse à faire apporter à l'édition de notre Almanach-Annuaire pour 1989, sont priés de nous les adresser sans retard, 4, place du Marché-Noir. DECLARATION D'ASSOCIATION L'Officiel du 24 août publie : I I août 1988. Aéro-Club Saumurois. B u t : encourager la locomotion aérienne dans toutes ses applications et propager le tour i s m e aérien. Siège .social : 7, rue Bodin, à Saumur. BUREAU DE m BIENFAISANCE La Commission administrative remercie vivement M. Robert Milliat, sous-préfet de S a u m u r qui, à l'occasion de la naissance de son fils Bernard, a fait un don pour les pauvres. §§§ DEFENSE PAYSANNE Saint-Hilaire-Saint-Florent Il ne s'agit pas de compter sur les autres pour faire l'effort financier indispensable. On demande aux épargnants de souscrire avant qu'il soit trop lard. Il faut que, tous, ils fassent leur devoir et qu'ils emploient toutes les disponibilités qui ne leur sont pas immédiatement nécessaires à souscrire aux) Bons de la Défense Nalionale. Les m e m b r e s de la Société Agricole de Détense paysanne et coirire les parasites de cultures de Saint-Hilaire-Saint-Florenl, qui désirent assister au grand Congrès organisé par le Comité départemental d'action et de Défense paysanne de Maine-et-Loire, qui se tiendra à Sablé, le 5 septembre, sonl priés de le faire savoir au secrétaire la végéi,alion, repue, élirait voluptueusem e n t ses feuilles sous les seuls rayons que ce jour ail donnés. Comme les plantes. T h é . rèse songeait en se baignant dans la pâleur de tout ce rose, elle songeait à l'itdassable bonté de ses hôtes, au bien-être dont on l'entourait depuis sa venue dans c e i i e d ^ meure, à la gêne incompréhensible q u ' e l l e éprouvait sous le regard de J e a n n o u . E l elle se pencha sur les fleurs nuigiii;iques. — J e n'ai aucune raison de me sentir m a l à l'aise devant ce garçon, se disait-elle, il m e traite comme sa sœur, je m a n q u e de suuplicité.. Un coup timide frappé à la porte la fit sursauter. — Entrez, dit-elle doucement. La porte s'ouvrit, mais personne ne par- la^ Thérèse f i t volte-face et trouva, indécis, au milieu de la pièce, J e a n n o u Boiscagnes en personne, J e a n n o u tout rougissant qui tenait dans ses mains une petite caisse fraîchement peinte el de laquelle s'élançaient, héraldiques et immaculés, de superbes arums. Il les soignait en cachette depuis des semaines, les arrosant, les protégeant tendrement contre les mille petits insectes susceptibles de souiller la pureté des coupes blanches et des longs cœurs d'or. — C'est pour vous. Mademoiselle, dit-il, où vais-je les poser ? —Gomme vous êtes b o n i s'écria Thérèse, touchée de tant de délicatesse; ces arums sont les plus beaux que j'aie jamais vus. J a m a i s encore elle ne s'était Irouvée si près de J e a n n o u . Le ciel rose el bleu pâle, les quelques nuages gris qui s'altardaienl taisaient, par la fenêtre ouverle derrière elle, uu fond lel que Raphaël n ' e n s u t jamais peindre. Le j e u n e h o n m i e fut ébloui; il b a l b u t i a : — Ce II esl rien. Mademoiselle, mais ce sont vos fleurs, elles sonl belles el pures coiuma vous, elles vous ressemblent... Permettez-moi de vous les offrir pour qu'elles vivent auprès de vous en... e n . . . h o m m a g e de... de... m o n amour 1 Les derniers mots étaient à peine perceptibles, mais Thérèse les entendit. Elle vit briller les bons yeux de J e a n n o u comme ils brillaient le soir où il a v a i t comparé ses joues auxi roses du grand vase. Le' sang l'empourpra. Aucun mot ne lui vint. 11 lui parut aussi cruel de repousser cet h o m m e que de piétiner les arums, blancs, et pourt a n t . . . Pourtant, il fallait dire une fois pour toutes, à Jeannou Boiscagnes, qu'elle ne voulait point de lui. 51 bon, si doux filt-il, elle ne pourrait jamais l'aimer assez j o u r l'épouser. de Saumur E n exécution d ' u n e n o t e é m a n a n t de l ' E t a l - M a j o r de la 9® Région, les m e m b i e s do l'Amicale sonl informés q u ' i l est fait appel aux Officiers de Réserve pour le contrôle international du t r a f i c m a r i t i m e vers l'Espagne. Ceux d ' e n t r e e u x qu'intéresserait cette question peuvent s'adresser au Secrétariat général, 28, r u e du Temple, où ils prendront connaissance de la circulaire donn a n t tous renseignements. Cette circulaire concernb spécialemen|l les Officiers de Réserve el en retraite o u assimilés. — Agés dè m o i n s de 60 ans ; — De t o u l grade à p a r t i r de capitaine ; — Ayant u n e connaissance suffisante de la l a n g u e anglaise. •-•-• Un deuil cruel éprouve douloureusement notre camarade, le capitaine Merle. Lo Président et les m e m b r e s de l'Amicale lui adressent l'expression de leur sympathie attristée. §§§ CARNET DE L'ECHO NAISSANCE Nous avons le plaisir d'apprendre que M. Robert Milliat, sous-préfet de S a u m u r , vienl d'être père d ' u n c h a r m a n t petit garçon qui a reu le p r é n o m de Bernard. E n cette agréable circonstance, nous présentons à M. le Sous-Préfet et à Mme Robert Milliat, nos sincères félicitations et formons les meilleurs voeux de b o n h e u r pour le bébé.; NECROLOGIE. Nous apprenons avec regret le décès de Mme Merle, m è r e de M! Albert Merle, le bijoutier très c o n n u , demeurant à S a u m u r , rue d'Orléans, et veuve du regretté M. Louis Merle q u i assura longtemps avec tant de dévouement la charge si délicate de trésorier du Syndical d'Initiative. daille d ' h o n n e u r des socîSlés musicales et chorales est attribuée a u x ^nusiciens dont les noms suivent, savoir : Maine-et-Loire V MM. Hulin Adolphe, à Baugé; Ozouf Auguste, à S a u p i u r ; Rideau Joseph, à Angers. Nos bien sincères félicitations. -—§§§- D I N E R DU VIN-D'ANJOU DANS LK SAU.\11JR0IS Nous sommes persuadés que cette septième excursion du V i n d ' A n j o u , organisée, cette année, s u r les c o t e a u x du Layon et à travers le S a u m u r o i s par les soins de l'actif M. Texier, délégué g é n é r a l de l'Association en Anjou, laissera u n souvenir durable dans la m é m o i r e de tous les participants. A MONTRiEUIL ET A DOUÉ Au cours de la randonnée, o n aperçut, avec arrêt agréable, la stature élégante du château de Montreuil, d o m i n a n t le Thouet a u x rives verdoyantes et pittoresques. Là, après la visile, sous la conduite de M de G r a n d m a i s o n , n o u s descendîmes aux caves où u n vin d ' h o n n e u r était servi et au cours duquel M. Pierre Bricard, président du « Vin d ' A n j o u », élevé à la dignité do chevalier de l'Ordre des Sacavins prêta s e r m e n t s u r le portrait de Rabelais, accroché au m u r de la cave, lieu de réunion des m e m b r e s de la confrérie : « Devant n o t r e père à tous, j e j u r e dei respecter les statuts de l ' o r d r e des Sacavins. Quand m o n verre sera plein, je la viderai; q u a n d il sera vide, j e le pleindrai. » Cette c o u r i e el a m u s a n t e cérémonie terminée, la caravane sc reforma et atteignit Le Puy-Notre-Dame o ù une visite rapide de l'église était prévu. Le déjeuner E n f i n , à i 3 heures 3o, les excursionnistes étaient à Doué-la-Fontaine, où ils se m i r e n t à lable, à l'hôtel de la Boule-d'Or. Le m e n u était appétissant. Les vins étaient offerts par MM. Roussîer, Hacault, Roulleau, de Geoffre, la maison Chapin et Landais; q u a n t a u x liqueurs, elles étaient offertes, c o m m e d ' h a b i t u d e , par la maison Cointreau. Médaille d'honneur des sociétés musicales et chorales On notait à la table d ' h o n n e u r ; M. Pierre Bricard, président du et Vin d ' A n j o u » ; à sa droite, MM. de Grandmaison, sénateur, Hacault, Bernier, ancien président du ((Vin d ' A n j o u » ; à sa gauche, MM. de Grandmaison, député, de Geoffre, viceprésident du Conseil g é n é r a l de Maine-etLoire, Georges Bricard et Rlchefeu, ancien président du (( \ i n d'Anjbu ». A l'issue du déjeuner, M. Pierre Bricard prononça u n e délicate alîocution. E n t e r m i n a n t , le président a n o t a m m e n t remercié M. de Grandmaison, sénateur, de son liospitalité si cordiale puis M. de Geoffre. M. Henry Coulant improvisa u n e courte, mais spirituelle réplique. E t M. G. de Grandmaison se félicita de l'heureuse circonstance qui amenait les ((Vin d ' A n j o u » dans le Saumurois. • Par arrêté du 6 août 1988, pris en exécution de la loi du 24 juillet 1924, la mé-, A 18 heures 20, e u l lieu la première disilocalion, et c ' e s t au n o m b r e de douze que môme d'être franche. Les yeux de la j e u n e fille se remplirent de larmes devant l ' a i r m a l h e u r e u x du pauvre J e a n n o u . Celui-ci n e cherchait plus à poser sa caisse immaculée. D ' u n mouvem e n t lent, il se tournait vers la porte, prêt à emijorter, avec son c œ u r lourd, les fleurs si pures q u ' i l voulait symboliques. Alors, Thérèse reprit sa place dans son fauteuil. Elle était à la fois m a l h e u r e u s e et jierplexe. — A-t-on j a m a i s entendu u n h o m m e remercier u n e f e m m e da cette façon et s'én aller très calme, très naturel, c o m m e si elle ne venait pas de lui dire qu'elle refu-i sait de l ' é p o u s e r P a u v r e g a r ç o n ! Mais la situation devenait impossible dans celle maison. Elle n e devail plus continuer à vivre chez les Boiscagnes. — J e ne puis demeurer sous le mêmei loil que lui. Ce serait cruel, ce serait lui rappeler sans cesse m o n refus. Il n e faut pas que je reste ici... Il ne faut pas... Lorsque Ninette frappa à la porte, quelques heures plus tard, pour demander à la jeune fille la raison de son absence du dîner familial, elle trouva Thérèse toute congestionnée par les larmes. Stupéfaite, Mme Boiscagnes c r a i g n i t d'abord que la (( demoiselle » ne f û t malade. — Mon D i e u ! mon Dieu 1 Mademoiselle! Quesl-ce q u ' i l y a d o n c ? Vous avez la fièvre, bien s û r ! Vous êtes toute r o u g e ! Vous avez [ileuré ! Où avez-vous mal ? J e ne vous ai j a m a i s vue c o m m e cela I 11 faut que Sylvia aille chercher le médecin, vile. — Non, n o n . je vous en prie. Madame Boiscagnes, ne dites rien à personne, je ne suis pas malade... J e . . . je n e descendrai point ce soir... J ' a i u n peu mal à la tête, c'est tout. J e descendrai, c o m m e d ' h a b i t u de^ demain m a t i n . suivre^ La défunte s'est éteinte mercredi soir, à l'âge de 68 ans, à la suite d ' u n e courte mais pénible maladie. Nous offrons à ses ent'anis cl petils-enfants l'expression de nos sympathiques condoléances. * * * On nous l'ail pari égalemeul de ia niorl d'un autre concitoyen, M. Raymond HuIrel, négociant eu tissus, de la vieille maison Hutrel-Bidault, si avantageusement connue dans la région, décédé à la suite d ' u n e courie maladie. Les obsèques ont ou lieu co m a t i n samedi ;>7 août, à 9 heures 3o, en l'église SaintiMcolas. DISTINCTION HONORIFIQUE — Laissez-moi les fleurs, laissez-les moi. Monsieur Boiscagnes, je serai heureuse de les avoir auprès de moi, m a i n t e n a n t que vous m e comprenez. Comme vous avez été bon de les faire pousser pour moi l Elle posa la m a i n sur la caissette. — Merci, dit .leannou toul bas, comme s'il eût été trop é m u pour se faire entendre, elles ne diront rien... Qu'elles soient simplement là, près de vous... — J ' e n aurai beaucoup de plaisir, répondit la j e u n e fille, s'efforçant de parler naturellement, c o m m e si ce don nouveau ressemblait à tous c e u x que .Teannou lui avail déjà faits. Elle débarrassa u n e tablette pour qu'il y posât sa caisse, et, pendant q u ' i l se penchait une dernière fois vers les fleurs, elle) parla avec une volubilité insoupçonnée chez elle. Il y eut, dans la voix de Thérèse, un son J e a n n o u l'écoula. Quand elle ne sut inaccoutumé de dureté quand elle dil : plus quoi dire, il la regarda gravement^ — J e ne puis vous laisser m e donner ces puis il répéta de son ton habituel, cette fleurs avec une telle pensée. Monsieur Boisfois, c o m m e si rien ne s'était passé : sagnes. J e regrelle de vous faire de la peiv j — Merci, Mademoiselle. ne, mais je vous dois et je dois à mol- ' Et il sortit. * • LA JEANNE-D ARC DE SAUMUR VOTRE DEVOIR ET VOTRE INTÉRÊT EXIGENT QUE VOUS SOUSCRIVIEZ AUX BONS DE LA CAISSE AUTONOME DE LA DÉFENSE NATIONALE Section de L'entraînement des joueurs de football qui avait été prévu pour le dimanche 28 août, ne commencera par suite de circonstances diverses que le dimanche suivant 4 septembre. H est rappelé que pour cette date, tous les joueurs devront être munis de leur équipement, en vue des rencontres ultérieures. * DURÉE : 18 MOIS D'INTÉRÊT • 3 . 5 0 EXEMPTS DE TOUTES O/O A MILLOCHEAU Coupe POT GÉNÉRAL SUR LE REVENU T I T R E S AU P O R T E U R , C O U P U R E S A P A R T I R LA BOULE DE FORT Société du Soleil-Levant LE CHALLENGE <( MAISON BALME » Les résultats des éliminatoires de 21 août sont les suivants : Cercle Saint-Florent bal La Villefranche, I I à 7. Bel-Air b a t Union de Saint-Florent,, 11 à 3. Cercle Saint-Nicolas bat Saint-Joseph de Nantilly, 11 à o. L'Union Hue Brault bat Amis Réunis Bagneux, 11 à 10. La Maison-Neuve Saint-Lambert b a t Bon Vigneron, I I à 5. Cercle Saint-Pierre b a t Croix des Sables, n à 2. Cercle de la Visitation b a t .Jioyeux du Chapeau, 11 à 8. Soleil-Levant b a t Jardiniers Saint-Lambert, I I à 3. Sont convoqués demain 28 août : à 8 h . . Cercle Saint-Pierre contre La Visitation; 9 h . , Cercle Saint-Nicolas contre Le Bel-Air ; 10 h . . Cercle Saint-Florent contre La Maison-Neuve ; 11 h . , Soleil-Levant contre l'Union R u e Brault. CIRQUE BUREAU LE CIRQUE SANS BLUFF Présente cette année la plus sensationnelle exhibition sportive qu'il soit possible de voir à ce j o u r avec Charles Rigoulot l ' h o m m e le plus fort du monde, le plus célèbre athlète de tous les temps, l ' h o m m e qui a étonné le m o n d e sportif, le seul homme au monde détenteur de 07 records de force, le seul h o m m e au m o n d e qui a soulevé le poids pliénoménal et incroyable de 282 kilogs. Et un véritable combat de lutte libre entre RIGOULOT et Emile RIVOLLIER.. Public, BUREAU est le Cirque qui ne vous a jcunaîs trompé, celui qui présente toujours les plus beaux programmes, les plus nouveaux, les plus attrayants, avec les meilleurs artistet d'Europe. Un programme BUREAU, c'est une garantie qui ne se discute pas. A S a u m u r , u n e soirée de gala, le Mardi C Septembre. L a Foire-Exposition de L a v a l La 12® Foire-Etxposition de Laval aura lieu en 1989 du i 5 au 28 Avril. Après le grand' succès remporté par la Foire de 1988, cette' manifestation est assurée de réunir un grand n o m b r e de vendeurs et d'acheteurs. Nous conseillons aux industriels et com- merçants qui désirent y participer de bien vouloir retenir leurs stands dès m a i n t e n a n t Pour tous renseignements, s'adresser aux bueraux de la Foire, 2, rue de la Paix, à' Laval. FRANCS Etat-Civil de Saumur du 24 au 27 août 1988 NAISSANCES Bernard Milliat, 33, Monique Giboureau, René. Bernard Lamoureux, Yvette Ménochet, 27, fuite, cependant que Gandin proférait des menaces à son égard. Caudin interrogé, a réiwndu éva.-iivcment aux gendarmes. Procès-verb;d lui a doue été dressé. L'hippodrome de la Boite-Molière n'estil pas u n des plus iigréahles cl un des mieux aménagés depuis sa nouvelle transformation ? §§§ Le programme, arrêté par le comité, est très sportif, il comportera quatre épreuves au trot, une course de haies, et une course plate, avec 21.000 francs de prix. Engagements j u s q u ' a u 28 août pour les galopeurs et j u s q u ' a u 24,. août pour les trotteurs. Rjenseignements el, avant-programmes au Secrétariat à La Pommeraye, téléph. : i 5 : COURSES rue Beaurepaire. 7, place du Roi27, rue Seigneur. r u e Seigneur. PUBLICATIONS DE MARIAGES George Adraste, ouvrier en chaussures, 3, rue de l'Ile-Neuve, et J u l i e t t e Boutte, sans profession, domiciliée à Bourlin (Pasde-Calais), résidant avenue de la Gare, Saumur. Albert Pourias, ouvrier champignonniste à Brion et Angèle Ricoult, domestique, domiciliée à Brion et résidant, 63, r u e StNicolas, à Saumur. DECES Raymond Hulrel, époux Fourault, 64 ans, 29, quai Carnot, Saumur. J u l i e Bellanger, veuve Girard, 91 ans, 20, r u e Saint-Nicolas. Célestine Guillon, veuve Merle, 68 ans, 23, rue Fardeau. Théophile Puichaud, époux Menier, 77 ans, 20, rue de Lorraine. Augustine Tiroir, 79 ans, 27, rue Seigneur. §§§ AVIS DE DÉCÈS Madame Raymond HUTREL ; Mademoiselle Marie-Anne HUTREL ; Madame J u l e s HUTREL ; Monsieur Georges HUTREL ; Madame MAiRTET-BUDAULT ; Monsieur Fernand BIDAULT ; Monsieur Pierre PLOUZEAU ; Les Familles HUET- MARIET, BIDAULT et PLOUZEALl, Ont la douleur de faire part de la perte qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur Raymond H U T R E L Négociant leur époux, père, fils, frère, neveu et cousin, décédé, m u n i des Sacrements de l'Eglise, le 24 août' 1988, dans sa 55® année, à son domicile, 29, quai Carnot, à Saumury La Cérémonie religieuse a eu lieu ce malin, en l'église Saint-Nicolas, sa paroisse. Madame René BRETON ; Monsieur et Madame Jean SIAUVE ; Monsieur René BRETON, Ont la douleur de faire part de la perte cruelle q u ' i l s viennent d'éprouver en la |)prsonne de Les engagements seront reçus chez M. Falloux, rue Saint-Jean, j u s q u ' a u vendredi 2 septembre. Droit d'engagement : 10 francs. SPORTING-CLUB SAUMUROIS Les joueurs du S. C. Si. sont avisés que; l ' e n t r a î n e m e n t commencera le mercredi 3i août, à partir de 18 heures. Les séancqsl d ' e n t r a î n e m e n t auront lieu les mercredi, jeudi, de chaque semaine, à partir de 9 heures. Les jeunes gens désireux de pratiquer ,1a prochaine saison sous les couleurs du S. C. S. pourront se faire inscrire au terrain d'entraînement. CYCLOTOURISTES SAUMUROIS C'est demain dimanche q u ' a u r a lieu notre concentration amicale à Thouars. U|n premier départ est prévu pour les cariipeurs lo samedi, à 17 heures 3o. Le dimanche m a t i n , départ à 7 heures précises. Espérons que le beau temps sera de la partie afin que les participants soient nombreux et cette manifestation thouarsaise' réussie. Nous rappelons que le prix All-Right de cyclotourisme aura lieu le 4 septembre, i\ Angers. Retenons cette date dès m a i n t e n a n t ainsi que le 18 septembre, jour de notre brevet C. T. S. de 100 kilomètres. Cette épreuve était fixée au n septembre et fut reportée pour raison majeure. LIGUE AERONAUTIQUE DE SAUMUR Pendant qu'à Vernoil-Ie-Fourrier, dimanche dernier, le Potez 36 donnait le baptême à plus de 5o nouveaux m e m b r e s honoraires, les futurs pilotes de la section d'Aviation populaire avaient organisé un stand de propagande à la Foire-Elxposition de Baugé. Comme à Saumur, le public a été vivem e n t intéressé par les travaux de nos jeunes modelistes. Un chiffre éloquent entre tous : en 48 heures, Ics quatre représentants de la S . A. P. ont distribué plus de 7.000 tracts de •propagande. Ils o n t en outre jeté les base» pour la création de deux sous-sections de modèles réduits et recruté plusieurs adhérents pour les sections vol à voile et mécaniciens c^'avions. La Ligue estime en effet qu'il faut, comme dans les pays étrangers, intéresser tous les jeunes gens à l'aviation. De m ê m e que ce n'est pas quelques «as» qui forment l ' a r m é e do l'air, ce n'est pas un record battu par un appareil u n i q u e qui initiera bon nombre de jeunes à l'aviation. Ce qu'il faut c'est une masse de bons pilotes. E n adhérant à la section d'Aviation populaire, de nombreux jeunes gens atteindront ce but. Propagande et action, telle est la devise de la L. A. S. Monsieur René B R E T O N , leur époux et père, pieiisoment décédé à Saiiil-Martii\-(lo-]a-Place, le 24 août 1988, dans sa 69® année. L'Inhumation a eu lieu le vendredi 26 aoCll, !l Saint-Martin-de-la-Place (M.-et-L.). Carrière septembre 1988, à i4 heures (légales^ 1. — Prix des Souscripteurs (trot m o n t é ou attelé). — 600 francs. Distance : 2.000 mètres. — 2. — Prix du Gouvernement (trot attelé). 1.800 francs. Distance : 2.i5o mètres. 3. —' Prix du Loir (trot monté ou attelé). —, 4.5oo francs. Distance ; 2 . 7 0 0 mètres. 4. — Prix des Eleveurs et de l'Association d'Encouragement à la Littérature, à l'Agriculture et aux Arts (trot monté ou attelé). — 900 francs. Distance : 2 . 8 0 0 mètres. 5. — Prix de la Société d'Encouragement (pour l'amélioration du Cheval français de demi-sang, trot monté). — 6.000 francs. Distance : 2.100 mètres. 6. — Prix des Amis de Durtal (trot monté ou attelé). — 2.000 francs. Distance : 2.85o mètres. Le pari mutuel fonctionnera sur l'hippodrome. iiiiiiiirimîiiiliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii I ¿ . F a i t a - ^ ä Hivec LES VOLS DANS L E CANI'ON DE DOUÉ A la suite de l'enquête de la brigade do gendarmerie ooncernant les cambriolages commis à Concourson, voire mûme ii Douéla-Fonlaine, les coupables viennent d'être arrêtés : Maurice Chevalier, n é le 17 janvier igig à Montreuil-Bellay, ouvrier mécanicien ii Rochefort-sur-Loire, et b i e n , c o n n u de la localité, où il a résidé de nombreuses années. Louis Bretault, sans profession, né le 28 juillet 1916, à Savennières, où il résidait chez ses parenfs. Baptiste Doll, jardinier, né le 7 novembre 1916 à Ploujean (Finistère), camarade de Chevalier, ayant travaillé à Doué et habitant à Angers. TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE SAUMUR Audience du 25 aoiU Il avait oublié de rendre le vélo. — Leroy Fernand, 87 ans, scieur, sans doniicilo fixe, avait emprunté un vélo à M. Poquereau, de Doué; ayant oublié de le rendre, Leroy comparaît devant le Tribunal qui lo condamne à deux mois de prison. Egalement poursuivi pour vagabondage, Leroy est condamné à quinze jours de prison avec confusion des deux jieines. Le coiti des va.gabonâs. — Proust Victor, 61 ans, ouvrier agricole, sans domicile fixe, déjîi condamné plusieurs fois, est poursuivi pour mencîîcité, vagabondage, lin mois de prison. — Pour le m ê m e motif, Olivier Yves, 46 ans, nomade, sans domicile fixe, condamné également trois fois, purgera un mois de prison. Prestation de serment. — M. Itulu Alfred, du Coudray, a prôlé serment comme garde-chasse de Ha Société de Chasse du Coudray-M acou ard. Elle promet... — La n o m m é e M... M..., 16 ans, sans profession, fi Vernantes, déji\ condamnée, est poursuivie pour vols. Après réquisitoire de M. le Procureur et plaidoirie de M® (iislicr, le Tribunal l'acquitte comme ayant agi sans discernement mais elle sera confiée au Bon Plastour jusquà 21 ans. Il ne se présente pas. — Jouas Marcel, 3i ans, journalier à Souzay, inculpé de vol do scie, ne se présente pas à l'appel de son nom. 25 francs d'amende par défaut. Outrages à la pudeur. — Lo nommé Alexandre Hamon, 83 ans, journalier à Ambillou-Qiiltcau, comparait à la barre pour outrages à la pudeur que d'ailleurs l'inculpé reconnaît. Le Tribunal ayant prononcé le huis-clos, condamne Hamon à uu an de prison. — Poin- une m ê m e conduite et sous l'inculpation d'outrages publics h la pudeur, le nommé Mi'archand Auguste, :)5 aus, d'Ailonnes est condamné ii 2 mois de prison avec sursis. Attention aux timbres oblitérés. — Mme Blond Germaine, épouse Jousse, 4o ans, do Doué-la-Fontaine, est ])oursuivie i)0ur emploi do lijubre posie oblitéré. Son mari se présenle à la barre. A|)rès un réquisitoire très modéré de M. le Procureur et jjlaidoirie de M® Gazeau, lo Tribunal relaxe la femme Blond. En famille. — T. J . , 87 ans, des Vcrchers, est poursuivi pour violences sur la personne de Bcrsand Raymond, T6 ans. L'inculpé nie énergiquement et préti'nd m ê m e que c'est lo père du j e u n e Raymond qui aurait frappé son fils. M® Bauchard représente la partie civile et M® Gazeau défond T. Après en avoir délibéré, lo Tribunal condamne T. à 5o francs d'amende et la parlio civile obtient 800 francs. Tous les trois ont recoimu les faits el ont passé des aveux complets au sujet des vols de Concourson mais ils n i e n t énerg*iq u e m e n t les vols de Doué. Le voleur en fuite. — Jean Barreau, s/i ans, chiffonnier, sans domicile fixe, poursuivi pour vol de ferraille, ne se présenlo pas à la barre : 16 francs d'amende. S u r l'indication de Chevalier, q u i fut ar-, rêté au garage Plassais, à Rochefort, où il travaillait, les louis d'or, pièces d'argent et les bijoux, ainsi q u ' u n attirail complel de cambrioleur, des lampes électriques, furent trouvés dans u n e boîte en fer, cachée dans un tas do ferrailles, derrière le garage, ainsi q u ' u n pistolet automatique 6/35, chargé de deux balles, dont Doll était porteur au m o m e n t des vols. Les mauvais voisins. — Bonneau MarieLouise, épouse Rouaull, 44 ans, cultivatrice à Bron, doit répondre d ' u n e affaire de coups qu'elle aurait jwrlés à M. Branchu Eugène. D'après les débals, il résidte que la f e m m e Rouault et Branchu vivent en mauvaise intelligence. Après plaidoirie de M® Bauchard, elle écope 25 francs d'amentle. Doll,^ qui se prélassait au soleil, fut également cueilli à Rochefort, par les gendarmes de Doué, qui s'étaient déplacés dans une auto mise gracieusement à leur disposition par M. Dutin, garagiste à Doué. Bretault fut arrêté au domicile de ses parents. Les trois compères sont donc de bonne prise el devront répondre de leurs méfaits à dame Justice. IL GliFLE... SA BELLE-MERE Ces jours derniers, Mme Beillard, nee Esnault Jeanne, 61 ans, ménagère à SaintClément-des-Levées, Courses de La Pommeraye de la COURSES AU TROT Dimanche u Falloux Lo 4 septembre se disputera sur les courts du Tennis-Primerose, la coupe Falloux, épreuve de simple messieurs, réservée aux joueurs non classés et n'ayant jamais gagné une épreuve. DE D U R T A L Hippodrome Tennis Primerose TAXES L E U R S M O B I L I È R E S E T DE L'IM- nous reprimes le chemin d'Angers par Bistré et Saumur. Arrôt uu passage à l'église d© TrèvesCunault et à ig h . 45, les derniers excur-i sionnistes se séparaient, en se félicitant du succès de la journée et en se donnant rendez-vous pour l ' a n n é e prochaine. • Les élèves de la préparation militaire sont priés de se présenter chez le capitaine Guérin, r u e Saint-Jean, pour retirer leur brevet, pour leur permettre d'aller au recrutement du I«'' au 3 septembrjî choisirj leur régiment. S P É C I A L E S F R A P P A N T L E S VA- DE 1 0 0 Football manche 4 septembre, une grande réunion qui ne manquera pas de retenir l'attention ties turlistes et d'allirer dans l'accueillante localilé une loule de visiteurs de toute la région. a porté plainte contre son gendre, Gaudln Joseph. Revenant de conduire son frère à la gare, Encouragée par le gros succès remporté quelle ne fut pas sa surprise de rencontrer l'an dernier par sa première réunion, après son gendre qui s'élança sur elle et la gifla son classement officie], la société des cour- ' de telle façon qu'elle tomba à terre. &e reses de La Ponnneraye prépare pour le dilevant, elle ramassa son chape,ih et pri^ la Bris de clôture. — Louis-Paul Léger, 2 5 ans, domestique de culture chez M. Augusle Cherbonnier, est poursuivi ])our bris de clôture chez son patron. En effet. Léger qui était ivre, voulut pénétrer chez M. Cherbonnier mais, c o m m e la porte se trouvait fermée, il l ' a fait sau-i ter, pénètre dans la maison et casse deux assiettes. H doit donc répondre de ces gestes'devanl le Tribunal. M® Bauchard présente la défense de l'inculpé, qui n'en n ' e s t pas moins condamné à 8 jours de prison avec sursis et 16 francs d'amende sans sursis. Il fallait s'arrâter. — Le j e u n e G.. Yves, 16 ans, ouvrier peintre îi So\ilanger, ayant été prié de s'arrêter par les gendarmes, ne crut pas devoir obéir ; il est donc poursuivi pour refus d'obtention. Jl est condamné à a5 francs d'amende avec sursis, plus 5 francs pour le délit. (à suivre). SOCIÉTÉ NATIONALE DES CIIExMINS DE FER FRANÇAIS Eludes de M"" ROULANT) et BÉZY, huissiers à S a u m u r . VENTE pra autorité de LES CHEMINS DE FER justik:e SÉCURITÉ • • RÉGULARITÉ • LE DIMANCHE 28 AOUT 1988 • R A P I D I T É • À 18 lieures (heure légale) Vous de Matériel Agricole^ et de B e s t i a u x Au Plongeon Commune de VARENT^ÎES-sur-LOlRE au domicile des Brault époux .ti>si>i"afiiii[imi!imiiiiiiiiiiiiiii ASiSISTANGE JUDICIAIRE Décision provisoire du 5 mars 1988. Décision définitive du 0 avril 1988. Etude de M° Raoul R.\IL'CHAR1> avoué, 12, rue du Marché-Noir, à S a u m u r (M.-et-L.) DIVORCE D ' u n j u g e m e n t rendu par défaut par le T r i b u n a l civil de première instance de S a u m u r , en date du six m a i m i l neuf cent trente-liuit, enregistré ; Entre : Madame Yvonne Michel, épouse de Monsieur Emile MO'NVOISIN, demeurant 25, rue du Pressoir, à S a u m u r , Et : " i Monsieur Emile MON'VOISIN, domestique agricole, demeurant à Preslos, commune de Dislré (Maine-et-Loire). Il appert : Que le divorce d'entre les époux MO'NVOISIN-MICHEL, a été prononcé au profit de la f e m m e avec toutes ses conséquences de droit. Pour exlirait certifié conforme, par youé soussigné. A S a u m u r , le 22 août 1988, R. BAUCHARD. Cabinet de M" A. BOUVET, syndic-liquidateur, 2З, rue du Temple, ii S a u m u r . ADJUDICATION LE MERCREiDI 81 AOUT 1988 à iG heures 80 LENFANTIN, notaire, 28, ¡place de la Bilange et par le ministère de M" THIBAULT, notaire sera procédé à Saumur, i l à l'Adjudication B'UN Fontls de commerce d'épicerie mercerie, café et cliarbons Exploité à SAUMUR, Kue Waldeck-Rousseau, n° 46 par M. Gouraud Comprenant : Grande licence , clientèle, achalandage, droit aux baux, ainsi que le matériel servant à son exploitation. Jouissance immédiate pour le commerce de charbon et à compter du 20 septembre 1988 pour l'épioerie, la mercerie et le c«fé. ШЗБ A PRIX : 2 5 , 0 0 0 francs. Marchandises en sus à reprendre à dire d'experts. Pour tpus renseignements, s'adresser au notaire ou au liquidateur. 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La Flèche, La Suze Renseignez-vous dans les gares pour les destinations et les durées de validité. Rue DupJiot, 14. Travaux Administratifs et Commerciaux et de Luxe PARIS i Spécimen graUiil coiiire 0 fr. 20 pour p-ai.-: rie port sur dfwnnde à Vadministralior. : P. RICHOU. Le Gérant RELIURE Imprimerie Girouard HORAIRE et -:- CARTONNAGE -:- REGISTRES Richoa. DES d'identité Renseignez-vous dans les gares. — S.N.C.F. DE STATIONS 785 993 747 737 769 t> Chartres . Courtalain 6 32 Ц 55 7 15 7 21 7 28 7 35 7 40 7 48 8 02 8 08 8 G8 8 12 8 17 8 29 8 49 9 13 9 41 10 4 11 10 12 12 14 6 Chât-du-L. Chât-la-V. Noyant-M. Linières-B, Vernantes. Blou SAUMCR (0) — dép. 4 17 Nantilly ar. • • . • — dép. • • • * Chacé-Var. Brézé-St-C. Montreuil. • • • • Thouars a. 4 46 — dép. 5 19 Airvault... 5 48 Parthenay. 6 21 Niort 7 50 Saintes 10 50 Bordeaux . 13 49 • » • • « • . • .. .. ,, ,, • • IÓ 10 10 10 10 10 11 11 11 11 13 14 16 799 • • 22 28 28 32 36 46 05 08 33 55 20 54 31 Les Sables. 9 » 13 57 La Rocheli' 7 55 18 11 Royan 10 53 12 44 14 51 6 7 10 10 11 11 11 11 11 11 11 11 11 12 12 12 12 15 15 16 17 19 21 RAP. 13 45 27 5U 10 16 23 31 36 44 50 57 59 04 10 25 48 00 35 11 34 45 45 .. .. 9 14 10 33 12 2Ó 13 17 13 18 .. 13 39 13 55 14 02 14 15 17 19 527 713 8 9 10 13 13 14 14 14 14 14 14 17 17 17 17 17 17 18 705 (1) 779 BAP. RAT , 02 42 48 29 52 12 18 25 32 38 46 14 20 20 24 29 41 01 721 fXFR. 25 38 29 33 .. •• .. .• 6 33 22 37 18 48 22 8 14 iè 7 55 7 51 L I G N E STATIONS PARIS - 197 2773 OMN. Paris (Orsay) 0 22 T o u r s . . . dep 5 23 Langeais 5 Port-Boulet. 6 06 Varennes Saumur.. arr é 21 — dép. 6 26 St-Martin.... St-Clément .. Les Rosiers.. La Ménitré... Angers.. .arr. 7 02 Nantes... arr. 8 46 St-Nazàire. . . 10 07 Le Croisic . . . 11 06 6 7 7 7 7 7 8 8 8 8 S TOURS 27 00 27 36 45 53 02 08 14 22 53 199 - 181 RAP. SAUMUR 179 - 2777 OMN. EXPR. 6 55 8 8.30 8 01 10 36 11 20 13 8 22 11 44 13 8 38 12 03 14 14 8 5Ó 11 28 12 19 14 8 51 11 30 12 21 14 14 14 14 12 42 15 9 22 12 00 13 05 15 10 28 13 00 14 31 11 39 14 11 17 03 12 24 15 03 17 42 ANGERS 187 RAP. 45 05 38 07 16 25 35 45 51 59 07 41 - 12 45 15 04 17 17 18 18 16 04 18 16 05 18 19 19 19 19 16 36 19 17 46 18 59 19 53 25 57 24 33 42 53 02 8 14 22 53 14 18 19 19 SaumurOrl. Port-Boulet Avoine Chinon 1803 6 35 7 31 7 39 7 SO - PORT-BOULET 18C9(5!l809(6 1837 15 9 28 11 28 16 9 37 11 37 16 9 50 11 50 17 - 195 193 32 17 25 •¿i 39 22 45 2 33 42 19 38 0 07 2 56 04 3 12 21 51 58 2Í 21 07 "i 35 40 22 02 2 35 41 23 10 0 1 STATIONS 3î|Chinon 35 i Avoine 58 Port-Boulet 14 SaumurOrl. CHINON '3 2'7 3 29 '3 i 5 6 7 STATIONS 1802 4836{5|4836(4 6 7 7 7 57 09 27 45 13 13 14 14 » 33 07 25 La Direction du Journal déciine toutes resconsaoUités pour les erreurs matérieilcs qui pourraient s'être giisséet dans cet horaire. A moins d'indication contraire, les htures indiquées sont toujours les neures de départ. 46 05 17 48 50 de Saumur^ 1« é 43 7 42 8 27 . ! !. .. •. 9 47 10 50 '9 Ói 9 08 9 22 1 i ió 44 и и 11 21 И 27 И 31 11 35 И 41 И 48 И 56 12 03 12 12 12 20 12 28 12 50 14 03 16 38 18 11 19 29 12 05 12 11 • • . . .. .. .. .. .. '9 38 9 40 •. .. .. .. . •« 10 11 12 13 .. .. .. — DOUÉ 1857 1863 11 12 13 13 13 13 50 51 08 13 19 27 16 18 18 18 18 18 54 03 25 31 37 49 Montreuil d. S 40 9 42 Loudun Moncontour 10 05 11 18 Poitiers 13 14 14 15 45 23 45 50 19 19 20 21 07 52 17 35 6 7 7 8 8 8 2774 OMN. Le Croisic . . . 3 19 St-Nazaire... Nantes., dép, 3 41 Angers., dép. 5 La Ménitré... 6 6 '4 Ó9 Les Rosiers.. St-Clément .. 6 4 13 St-Martin ... 6 Saumur. arr. 6 — dép. 6 6 Varennes 6 •4 ié Port-Boulet . 7 6 00 Langeais 7 7 32 T o u r s . . . arr. 12 Paris (Orsay). 8 30 185b (1) Le samedi seulement (2) Le lundi seulement, sauf le 6-6 et le 15-8. (?) Sauf le jeudi. 32 31 12 22 .. • . • .. .i ..1 Í2 40 12 41; .»•« •. • . 768 992 780 EÏLPR. 720 EXPR. •. .• i j . . •» •• ..• •. .. 16 55 18 10 1 13 - 36 05 12 — 178 EXPR. 5 6 7 8 17 23 31 9 35 9 45 55 21 56 '9 35 12 ANGERS 1865 38 ' 6 20 32 7 20 • . 40 8 29 36 9 35 ió 1 11 11 11 11 04 10 05 11 05 10 06 11 11 12 12 57 ió 53 13 35 15 35 17 STATIONS EXPR. - .• .. 2i. 19 Montreuil d. 1 182 EXPR. 2782 9 10 12 48 ; 13 17 24 29 35 43 Í3 49 13 59; 4 53 6 15 .. .. .... T E MAIR^, 188 11 12 13 13 08 23 02 26 16 34 18 18 34 19 05 25 9 30 13 38 9 40 13 14 48 58 '9 51: 14 15 10 06 14 30 11 02, 15 44 54' 02 08 Z4i 26 19 19 19 19 20 20 EXPR. 13 14 15 16 16 ., .. Í7 17 17 17 18 21 192 RAP. Jeudi s e u l e m e n t . (5) Saul le mardi et le jeudi. (6) Le mardi et le jeudi. 22 31 46 ni 58 - 22 10 22 45 1 32 1 39 2 12 2 14 3 24 •5 24 6 52 PARIS 2786 I O.L. OMN. 196 19 27 2) 43 42 20 32 22 44 43 22 10 U 13 50 1 35 46 19 51 23 18 1 55 • . • . 20 21 . . • • 1 . 20 29 20 39 .• 20 45 Ó7 2Ó 14 20 54 23 48 2 15 09 20 15 21 09 23 51 2 21 21 20 "2 37 23Í . • • • 21 36 2 57 42, 22 05 05 21 Ó9 22 38| 0 39 3 21 7 10 15 23 45 08 06 21 ' 34 51 16 17 18 19 .. •. SAUMUR 1868 39 01 39 15 TOURS EXPR. 36 41 . . . . 10 21 Í4 15 14 52 15 02 15 09 15 17 53 15 27 55 15 37 15 50 16 04 16 46 34' 07, Í4 44' 17 25| 47j 17 47, 21 15 1856 0 8 8 9 - OMN. » . 1852 M.V. 6 6 6 6 7 8 SAUMUR POITIERS 1854 20 50 Poitiers .. 21 49 Moncontour 22 04 L o u d u n . . . . Montreuil a. (4) 2778 1 A. L. EXPR. MONTREUIL — Certifié par l'imprimeur .Vu pftT nou8^ Maire de Saiimur, pour légalisation de la signature du gérant, Uñtel-ie-Ville 18 07 26 55 02 22 30 35 38 38 45 2728 788 9 34 11 .15 13 1Ó l e 59 19 25 10 25 19 07 14 Ь5 9 5Ó 2Ó 1Ó 8 30 9 38 15 30 18 30 10 25 12 25 14 14 17 32 20 41 11 43 13 49 16 57 21 08 23 23 12 31 14 34 17 51 22 13 0 15 14 53 18 11 22 34 Í3 08 15 18 18 42 22 03 'Ó 51 13 15 15 20 18 57 23 10 0 58 13 33 15 37i 19 20 1 16 . . . . 15 45; 19 30 • • 15 5ol 19 35 • . . .15 52 19 39 15 53 19 40 Í3 5Ó 15 59 19 47 23 42 1 37 13 52 17 13 19 50 1 40 IV 20 19 59 . . . • 17 25 20 04 17 31 20 11 . • . .17 38 20 19 17 44 20 26 18 01 20 47 Í4 54 18 19 21 08 2 50 9 17 .• .. STATIONS L.O. 17 37 55 01 07 16 Angers St-L. Martigné... 15 20 20 35 Doué-la-F°'. 15 45 20 48 lesVerchers. 18 24 20 56 leVaudelnay 18 42 Montreuil a. 1810 é 7 7 7 8 8 8 8 8 8 8 722 724 RAP. •5 Í5 NANTES ANGERS SAUMUR 798 778 RAP. D ' O R L E A N S 19 36 20 37 "i Ói 19 38 20 38 1 06 19 19 20 21 22 728 536 RAP. 6 11 NANTES 13-189 15-191 2781 EXPR RAP. 704(2) 702 Bordeaux.. Saintes.... Ф • . . Niort Parthenay. . . . 1 Airvault... rhouars a. . . . . — dép. 5 35 5 55 Montreuil. 6 05 Brézé-S'-C. 6 10 Chacé-Var. 6 13 ^Jantilly a. 6 U Nantilly d. SAÜMUR(O) 6 20 — dép. 7 07 7 16 Vivy 7 21 Blou 7 28 Vei-nantes. 7 36 Linières-B. 7 43 Noyant- M. 8 01 Chât.-la-V 9 07 Chât.-du-L Courtalain 10 40 Cliartres... 11 53 Paris arr. 13 17 .. .. 17 22 18 19 784 522 Royan La Rochel" Les Sables. .... .... . . . • .. .. 16 03 16 09 FER A L'E STATIONS RAP. .. •« .. .. 15 30 15 3i 18 . 22 37 17 2J 789 757 13 »! 21 bO 22 44 14 39 23 i8 0 13 15 45 19 02 1 17 ' 2 15 . . . . 19 21 .. .. • . « . 19 38 .. .. 19 44 .. • . . . 19 52 . . * • . . . . 19 58 20 03 ». • • 18 34 20 10 2 24 •3 24 2 29 18 35 20 42 3 26 . . . . 20 48 20 49 . • . .20 52 .. .. . . . . 20 57 .. . 2 51 18 55 21 06 19 12 21 24 3 10 4 05 19 18 21 26 3 24 4 12 . • . .21 51 . , . , 19 56 22 14 4 C8 20 34 22 57 5 01 ' 5 59 7 54 7 13 21 47 9 S6 14 12 » 15 16 17 44 44 11 03 781 DE R o y a n — L a R o o h e l l e — L e s S a b l e s — B o r d e a u x — S a u m u r — P a r i s (Montp.. P a r i s (Montp.) — S a u m u r — B o r d e a u x — L e s S a b l e s — L a R o c h e l l e — R o y a n de présentatic^ CHEMINS L I G N E AGRICOLES est délivré Place S ^ T a r M W ^ Chaque numéro contient famille délivré du i®"" Octobre au 81 Mars d'un 4 loisirs 4o % de réduction. — Validité : 3i jours Ce billet f i Améliorations STATIONS quand vos travaux d'automne et d'hiver Vous pourrez L'Imprimerie à utiliser de départ le mômie j o u r — iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiïfnïTi pensez NOUVELLE PRÉSENTATION LES BILLETS DE MARCHÉ délivrés chaque Samedi toute l ' a n n é e au départ de toutes tes gares situées s u r les sections de lignes de — Port-Boulet à Tours, — — Port-de-Piles à Tours, — — Montrichard à Tours — — : — Loches à Tours — : — pour TOURS 5 o % de Réduction Renseignements aux gares intéressées de la Société Nalfiormle des Chemins — de Fer Français (S. N. G. F.) — Les a Billets dè Marché» sont valables, sous réserve des conditions normales d'admission, à l'Aller dans tous les trains p e r m e t t a n t l'arrivée avant i 4 heures ; au Retour, à partir de 10 heures, dans tous les trains p e r m e t t a n t le retour à la g a r e — Ш LITHOGRAPHIE н TYPOGRAPHIE s l'a- Etude de M® LENFANTIN, notaire à S a u m u r , 2З, place de la Bilange. E n l'étude de № intérêt H la VOUS OFFRENT : • avec VOYEZ 1 ™ . Vivy Longué . . . . Les Hayes. Brion Jum'« 1 Chartrené.. Baugé Qefs La Flèche. LA A LA 8 8 8 9 9 9 9 9 9 FLËOHE La Flèche d Clefs Baugé Chartrené... Brion-Jum'" Les Hay^es... Longue VivT Sanmur arr. soustigné^ 6 6 6 6 7 7 7 7 7 36 48 59 06 11 17 25 31 43 FLÈCHE 14 32 1 • • • • 14 42 14 53 1Б .. 15 05 • « • • 15 10 15 20 • • • • 15 35 15 47| . . . . 1 . . .. .• •• A SAUMUR 21 35 50 57 03 07 15 26 37 17 17 17 18 18 18 18 18 18 20 35 56 03 11 15 27 38 48 .. .. .... •• .•