5 raisons
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5 raisons
5 raisons pour lesquelles vous ne devriez pas craindre la RFID Le nombre de déploiements en RFID démontre très bien que cette technologie peut faire la différence dans l’industrie de la mode. Il reste cependant des incertitudes concernant le prix d’une solution RFID et le bénéfice exact qu’elle apporte. L’objectif de Nedap Retail est d’éliminer la complexité et d’abaisser au maximum les obstacles initiaux. « Commencer est plus facile que ce que croient généralement les enseignes. Avec des expériences simples, il est facile de montrer ce que donne l’intégration réussie de la RFID », souligne Andreas Lorenz, Nedap Retail. En tant que directeur des ventes, il est déterminé à aller à l’encontre des différentes critiques formulées à propos de la RFID en en démontrant ses bénéfices concrets. Andreas Lorenz, Directeur des ventes, Nedap Retail en interview pour « RFID im Blick » Un inventaire précis grâce à la RFID, c’est la clé du succès dans l’industrie de la mode 1 Le prix des étiquettes « Un prix de 0.10€ par étiquette va faire diminuer mon ROI » Cette idée est très commune, et représente une conviction très étendue sur le marché, dit Andrea Lorenz : « Beaucoup d’enseignes pensent que les revenus acquis grâce à la RFID ne vont jamais compenser le prix supérieur des étiquettes RFID par rapport à une étiquette à code-barres. Approximativement 80% du profit généré n’est pas dû à l’amélioration de l’efficacité, mais à l’augmentation des ventes grâce à une disponibilité optimale des produits. L’augmentation des ventes est le levier le plus puissant du ROI, les nombreux projets et déploiements dans lesquels Nedap s’est engagé durant les 24 derniers mois le démontrent. Un chiffre d’affaires qui augmente de 3 à 10% est donc réellement possible, et cela est dû à l’amélioration de la disponibilité des articles. La RFID a le potentiel permettant d’augmenter le chiffre d’affaires des enseignes de 3 à 10%, et cela sans investissement majeur ni intégration complexe de technologies. 2 « La RFID va automatiquement augmenter les ventes des enseignes. Même avec une estimation conservative de progression de l’ordre de 5%, le coût des étiquettes et du matériel n’aura qu’un faible impact sur les revenus de l’enseigne. » Le magasin multi-étiquettes « Dans notre métier, nous vendons les produits de plus de 50 marques différentes. Si le fabricant ne nous envoie pas tous ces produits déjà équipés, l’utilisation de la RFID n’est pas rentable ». Beaucoup d’enseignes de mode sont réservées au sujet de l’implantation de la technologie RFID car elles pensent qu’équiper les produits demande un travail de mise en place important. Elles préfèrent attendre que les fabricants acceptent l’intégration à la source, pendant ou après le processus de production, d’une étiquette qui pourra être utilisée à travers toute la chaine d’approvisionnement. Andreas Lorenz a cependant une approche différente des chaines d’approvisionnement : « La plupart des enseignes ne remplissent pas leurs rayons directement après la livraison. Le succès du déploiement via un ré-étiquetage dans les magasins Adler indique clairement comment la RFID peut augmenter les ventes. En dépit d’un investissement en millions et de la création de travail supplémentaire d’étiquetage dans l’entrepôt central, Adler a amélioré son ROI plus vite que prévu. Depuis que la RFID a augmenté la disponibilité des articles et a réduit le nombre de produits indisponibles, les vendeurs peuvent vendre davantage d’articles en moins de temps. Les fabricants en retirent également un bénéfice puisqu’ils ont plus de commandes. La gestion des stocks par la RFID dans environ 170 magasins Adler Les équipements RFID Store !D de Nedap ont été installés aux caisses, à l’entrée des magasins mais aussi dans les zones de transition entre les entrepôts et les points de vente dans approximativement 170 magasins Adler. L’ensemble de l’inventaire du stock et des articles ont été gérés par la RFID depuis mi-2014, et les différences de stocks ont été réduites grâce à cette technologie. Le déploiement a seulement pris 8 mois, alors que le délai planifié initialement prévoyait 5 mois supplémentaires. Grâce à la meilleure disponibilité des produits dans la surface de vente, on estime une augmentation potentielle des ventes de 2,5%. 3 Réapprovisionnement « Notre secteur d’activité n’attache pas une grande importance à la disponibilité des articles ni à leur réapprovisionnement. Nous ne voyons donc pas de valeur ajoutée à l’utilisation de la RFID ». Les discounters de textile en particulier veulent éviter les stocks et ne veulent vendre que ce qui est en magasin. Les articles essentiels ne représentent qu’une petite partie de la gamme, ce n’est donc pas un contexte facile pour l’introduction de la technologie RFID. Mais même les discounters font face à de nouveaux challenges, remarque Andreas Lorenz : « En principe, aucune enseigne, que ce soit une marque de luxe ou un discounter, n’a d’intérêt à posséder beaucoup de stock. Dans l’approvisionnement par lot, il y a aussi un potentiel considérable pour la RFID : améliorer notre compréhension du comportement des consommateurs selon les régions. Quand le comportement des consommateurs change, cela sera notifié. Certains développements se concentrent sur l’augmentation de l’importance du multicanal. Si les enseignes veulent mettre en place des concepts tels que le Click & Collect, elles doivent pouvoir disposer d’un stock exact. La RFID est la technologie permettant d’obtenir l’inventaire le plus précis. Qui plus est, la RFID est aussi un investissement pour le futur : celui qui reconnait les nouveaux consommateurs, comprend leurs besoins et les satisfaits, remporte un très grand avantage compétitif. 4 Gestion des données « Les échanges de données entre les fournisseurs et les distributeurs sont chers, même sans RFID. L’intégration des données dans des systèmes individuels est encore trop compliqué ». Les systèmes ERP d’aujourd’hui fonctionnent rarement avec un numéro d’identification unique. La masse de données que la RFID collecte depuis les codes électroniques des produits, les codes EPC, est transférée au système ERP mais seulement une partie de ces données est visible. Pour exploiter pleinement les données, un middleware est nécessaire, explique Andreas Lorenz. « Pour utiliser le plus facilement possible la RFID, nous ne basons pas notre approche sur la gestion des données RFID dans le système ERP. Nous avons développé un Cloud dans lequel nous combinons les données RFID avec le numéro d’identification global de l’ERPs de l’article (généralement le code barre). Des traitements peuvent donc être faits sans avoir à lire les données RFID dans le système ERP. Lors des premières étapes de l’utilisation de ce système, il n’est pas nécessaire de mettre en place un grand projet informatique. Pour gérer un grand nombre d’étiquettes, l’investissement initial d’un simple lecteur d’inventaire «!D Hand» ainsi qu’un iPod pour la visualisation des données suffit. Ainsi l’enseigne peut procéder à des inventaires réguliers, synchroniser ses stocks et ainsi augmenter ses ventes sur une courte période. Si cela fonctionne, on peut alors commencer le déploiement de la technologie et automatiser le processus ». 5 Moods of Norway atteint une précision d’inventaire de plus de 98% L’enseigne de mode Moods of Norway a testé la solution Nedap pendant 4 semaines dans 2 magasins et a découvert qu’elle pouvait améliorer la précision de son inventaire à plus de 98%, même sur un temps de test court. Environ 70% des ventes de l’enseigne de mode norvégienne sont générées par le réapprovisionnement des rayons : les données précises d’inventaire sont donc cruciales pour assurer la disponibilité des articles. Ayant des résultats impressionnants, Moods of Norway a décidé d’intégrer la solution d’inventaire rapide de Nedap dans tous ses magasins. Prix de vente par article « La RFID n’est seulement profitable qu’à partir d’un certain niveau de prix de vente. Le prix moyen de tous nos produits est inférieur à cette valeur. » Un T-shirt à 2,99€, un jean à 5,99€ : ces prix sont pratiqués chez une large majorité de discounters. Etant donné que les marges sont petites, les enseignes ne sont pas intéressées par la RFID. « Si les produits, déjà proposés à bas prix, ne sont en plus pas vendus à cause d’une gestion imprécise de l’inventaire, ils vont alors être proposés à un prix encore plus bas et les discounters vont voir leurs profits réduire d’autant. Avec notre technologie innovante, l’efficacité peut être renforcée tout au long de la chaine d’approvisionnement et de vente. Avec la RFID, le temps et les efforts que prend la vente d’un article dans le magasin sont significativement réduits. Conclure moins de ventes à bas prix va automatiquement conduire à davantage de profit pour chaque produit. Cependant, la RFID n’est pas un remède universel. Nous examinons les bénéfices potentiels pour nos partenaires d’une manière impartiale, en se concentrant sur leur type de business, leurs systèmes et leurs processus, et parfois nous concluons que la RFID n’est pas adaptée à la situation ». Tél : +33 (0)1 61 03 03 02 Fax : +33 (0)1 61 03 03 24 Email : [email protected] 26 RFID im Blick | Edition February 2015 | 5 reasons the fashion industry should not fear RFID! Efficiency on the sales floor An accurate inventory through RFID is the key to success in the fashion industry RFID in the store 5 reasons the fashion industry should not fear RFID! RFID has the potential to increase turnover by between 3–10 % on the sales floor, without major investments or complex IT integration The number of roll-outs demonstrate the best evi- is easier than companies often think it is. Simple exdence for how RFID technology can make a diffe- periments can lay the way for the successful adoption rence in the fashion industry. There are, however, still of RFID,“ points out Andreas Lorenz, Nedap Retail. uncertainties in terms of how much an RFID soluti- As Sales Director, he is determined to counter the vaon costs and the exact benefits it brings. The goal for rious common criticisms which have been expressed Nedap Retail is to eliminate the complexity and make about RFID by explaining its concrete benefits. any initial hurdles as low as possible. “Getting started Andreas Lorenz, Sales Director, Nedap Retail in interview with „RFID im Blick“ „RFID will increase sales on the floor automatically. Even with an estimated, conservative revenue growth of five per cent, the normal cost of labelling and hardware will no longer have an impact on the business.“ 1 The Label Price “A cost of 10 Cents per label will undermine the ROI calculation.“ This view is quite common, and represents a widespread conviction in the market, says Andreas Lorenz: “Many companies believe that the improvements gained through RFID will never compensate for the additional cost of an RFID label over a barcode label. Approximately 80 % of the profit gained isn’t about efficiency improvements, but the sales increase achieved through improved product availability. Increasing sales are the most powerful lever in a ROI calculation. The numerous projects and roll-outs that Nedap has been involved with during the past 24 months demonstrate this. An increase in turnover of 3–10 % is realistically possible – and this is due to the improved availability of goods.“ Andreas Lorenz Sales Director Nedap Retail RFID inventory management in around 170 Adler stores The Store !D RFID hardware used by Nedaps has been installed at checkouts, shop entrances and in the transition areas between warehouses and sales floors in approximately 170 Adler branches. The entire storage and floor inventory of their branches have been documented and managed by RFID since mid-2014 and stock shrinkage has been reduced by RFID article surveillance. The roll-out took just eight months, five months earlier than scheduled completion. The potential increase of sales is estimated to be up to 2.5 per cent due to the more efficient system for replacing Adler’s fast-moving products. Source: English Edition February 2015, ISSN-Internet 2364-3390, www.rfid-im-blick.com 5 reasons the fashion industry should not fear RFID! 2 Replenishment “Our business model does not attach great importance to the availability of goods and their replenishment. Therefore, we see no added value in the use of RFID.“ Textile discounters, in particular, go for ‘push’ delivery in their stores and sell only what is on the shelf. NOS-products take up only a small proportion of the total product range. This is not an easy context in which to introduce RFID technology to increase sales. But even discounters are facing new challenges, notices Andreas Lorenz: “In principle, no retailer, whether a luxury label or a discount store, has an interest in large inventory. In push supply, there is also considerable potential for RFID to improve our understanding of the regional differences in consumer behaviour. When customer behaviour changes, it will be noted. Some developments point to the increasing importance of Omni-channelling. If retailers want to implement concepts such as ‘Click & Collect’, they must have accurate inventories. RFID is the technology that most effectively supports correct inventory management. What’s more, the technology is also an investment for the future: whoever recognises ‚new‘ customers, understands their needs and then fulfills them, gains a huge competitive advantage.“ 5 27 The multi-label store “In our business we sell the goods of more than 50 different brands. If we do not receive all these goods from the manufacturer already tagged, the use of RFID is not profitable.“ Many fashion companies are cautious about implementing RFID technology as they believe that tagging goods is high maintenance. They prefer to wait until manufacturers agree to tag their goods, during or after production, with a label that can be used throughout the supply chain. Andreas Lorenz, however, has a different perspective, from other end of the supply chain: “Most retailers don’t replenish their goods directly from delivered shipping boxes onto their shelves. Classic pre-retailing is applied in almost every 3 | Edition February 2015 | RFID im Blick stationary retail strategy. The successful roll-out of the multi-label house Adler fashion stores is the best example of how RFID has increased sales. Despite an investment of millions and the creation of additional work tagging items in the central warehouse, Adler had an improved ROI much earlier than calculated. Since RFID increases the availability of goods and reduces the amount of unavailable products, dealers can sell more goods in less time. Reorders lead to more sales for the manufacturers as well.“ 4 Data management “The exchange of data between suppliers and distributors is expensive even without RFID. The integration of the data into individual systems is still too complicated.“ Today’s ERP systems rarely work with unique identification numbers. The mass of data, which RFID collects from electronic product codes, short EPCs, is transferred to the ERP systems but is only partly visible. In order to fully exploit the available data, a middleware is required, explains Andreas Lorenz. “However, to make the use of RFID as easy as possible, our approach is not based around managing the RFID data in the ERP system. We have developed a cloud solution in which we combine the RFID data with the global article ID number of the ERPs. So adjustments can be made without reading the RFID data into the ERP system. Especially in the early stages of using this system, there really is no need to set up a large IT project. When used with a collection of labels, there will be a low initial investment for the handheld reader “!D Hand” and an iPod for data visualisation, and this means a retailer can do regular inventories, synchronise inventories and increase sales over a short period. If this works, then a roll-out can be prepared to answer the required degree of automation.“ The sales price per item “RFID will only be profitable after a certain sales price per item is achieved. The average price of all our products is below this value.“ T-shirts for 2.99 Euros, a pair of jeans for 5.99 Euros – these prices are common at large-scale textile discounters. As the margins are small, retailers aren’t interested in RFID. “If the goods are already at a low price, and are not sold due to inaccurate inventory management, they will get even cheaper and discounts will reduce the profits again. With IT and innovative technology along the entire supply chain, enhanced efficiency can be achieved. With RFID, the time and effort it takes to sell an item in the store is significantly reduced. Having fewer discount sales will automatically lead to more profit per item. Let’s face it, that is how RFID technology pays off.“ However, RFID is not a universal remedy. “We look at the potential benefits for our partners in an impartial way, focusing on the type of business model and their systems and processes, and sometimes conclude that RFID will not make sense.“ ‘Moods of Norway’ reaches more than 98 per cent inventory accuracy The fashion label Moods of Norway tested the Nedap solution for four weeks in two stores and discovered that they could improve inventory accuracy to more than 98 per cent, even over a short testing time. About 70 per cent of the Norwegian fashion label’s sales are generated by replenished products, so highly accurate inventory data is crucial to ensure the availability of goods. Given the impressive results, Moods of Norway decided to introduce Nedap‘s RFID-Fast Stock Taking solution in 14 of its stores. Source: English Edition February 2015, ISSN-Internet 2364-3390, www.rfid-im-blick.com