4 BP Bailliage et siège présidial de Rouen Introduction
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4 BP Bailliage et siège présidial de Rouen Introduction
4 BP Bailliage et siège présidial de Rouen Introduction Les archives provenant du greffe du bailliage et siège présidial de Rouen ont été regroupées dès 1788, au moment de la création des grands bailliages. Apparemment, elles étaient déjà dans un grand désordre et c'est dans cet état qu'elles furent versées aux Archives de la Seine-Inférieure. Une tentative de classement a été entreprise au XIXe siècle, qui fut assez fâcheuse : en effet, de nombreux registres ont été classés dans le bailliage civil alors qu'il s'agissait de registres criminels et vice-versa. De la même façon, certains registres provenant de fonds étrangers (vicomté de Rouen, maréchaussée de Rouen, bailliages du Havre, de Gournay-enBray, de Neufchâtel...) ont été inventoriés comme appartenant au bailliage de Rouen. Chose plus grave encore, de très nombreuses liasses ont été constituées artificiellement, comme les liasses intitulées "permis d'inhumer" qui contenaient en fait des plumitifs de délibérations de la Chambre de police. Le premier travail à entreprendre consistait donc à tenter de dégrossir un peu le fonds et de mettre au point un plan de classement sommaire : le plus simple était de partir des registres plumitifs et des petits cahiers plumitifs dispersés au hasard des liasses et qui ont été regroupés par sondage. C'est dire qu'il subsiste certainement à l'intérieur des liasses, des cahiers plumitifs qui viendront combler les lacunes qui existent encore dans les séries qui ont été constituées. Pratiquement, il a été difficile de mettre au point un plan de classement qui rende compte du fonctionnement de l'institution : c'est en effet l'une des institutions d'Ancien Régime les plus mal connues et dont les attributions ont été très variables selon les régions. En Normandie, il n'existe aucune étude sur la question, même rapide. De toute façon, l'institution était extrêmement floue, même pour les contemporains et aucun texte n'a pu être retrouvé qui aurait permis d'en connaître les rouages ; les plumitifs sont par ailleurs si secs et si pauvres qu'ils n'apportent aucun éclaircissement sur ce point ; sans doute, le dépouillement des liasses de procédure permettra-t-il de préciser plus nettement la compétence et les attributions du bailliage de Rouen. J'ai retenu le plan de classement adopté par Dupont-Ferrier distinguant au civil, le bailliage fonctionnant comme institution judiciaire (4 BP I-XV), comme institution militaire (4 BP XXX), comme institution administrative (4 BP XLV-LX) et au criminel, le bailliage fonctionnant comme institution judiciaire (4 BP C-CXX). De très nombreuses séries ont été constituées où l'on pourra éventuellement intégrer les liasses après qu'elles auront été inventoriées. Enfin, il existait, à partir de 1750 environ, un "bailliage vicomtal" et un "bailliage prévôtal" qui provenaient certainement de la fusion de la vicomté et de la prévôté de Rouen avec le bailliage, ordonnée par l'édit d'avril 1749. Malheureusement, il m'a été impossible de connaître précisément ces deux institutions. D'autre part, la vicomté de Rouen, théoriquement supprimée par l'édit d'avril 1749, semble avoir fonctionné jusqu'en 1790. Quelles pouvaient être alors les attributions du bailliage vicomtal ? Il a semblé préférable de laisser provisoirement de côté le "bailliage vicomtal" et le "bailliage prévôtal" dont la compétence apparaîtra sans doute plus précisément après le dépouillement total des liasses de procédure. Il existait en Normandie, dès 1149, des baillis ou commissaires envoyés par le roi dans les provinces pour veiller à l'observation des lois. Mais ce n'est que le 21 mai 1192 que fut érigée la juridiction de la vicomté et de la baillie appelée plus tard le bailliage de Rouen. Bien qu’existant depuis le XIIe siècle, le baillage de Rouen n’a pas laissé d’archives antérieures au XVIe siècle. L’édit de janvier 1551 (a.st.) prescrivit la création d’un siège présidial dans chacun des principaux bailliages. A Rouen, il y eut, dès le début, fusion des deux institutions et le bailliage porta désormais le nom de « bailliage et siège présidial de Rouen ». Toute la compétence changea et l’on différencia nettement les causes bailliagères et les causes présidiales. Personnel Dès le XVIe siècle, la réalité des fonctions bailliagères échappe au bailli et appartient au lieutenant général, gradé en droit et issu de la bourgeoisie. En 1523, il sera assité d’un lieutenant criminel (ordonnance de janvier 1523). Selon les années, peuvent également apparaître des lieutenants particuliers, civils ou criminels, dont l’existence est généralement éphémère. Les lieutenants sont assistés de « conseillers », anciens assesseurs des baillis, et qui sous François Ier avaient commencé à devenir propriétaires de leurs charges, transformées en offices. Le nombre des conseillers avait été fixé à sept par l’édit de janvier 1551. En fait, ce nombre a été très variable au cours des XVIe-XVIIIe siècle car la monarchie se réservait le pouvoir de créer des conseillers lorsqu’elle avait des besoins financiers importants. C’est ainsi qu’en 1579, les conseillers au bailliage et siège présidial de Rouen sont au nombre de quatorze (MM. Courant, Guérard, Duffour, Février, Lebrun, Corneille, de Brévedent, Duval, Lecerf, Garin, de Castignolles, Bazire, Dubosc, Duquesnay), alors qu’en 1751, ils sont réduits à huit (MM. Louis-François Le Gras, Jacques-Gabriel Roquette, François Cousture, J.Baptiste Baillard, Jacques Bourdon, Michel Baillard, Charles Vaubourg-Ruellon, Noël-Guillaume Ellye). Le groupe des gens du roi comprend invariablement un avocat et un procureur et parfois des substituts. Il faut encore ajouter un certain nombre de greffiers et d’huissiers qui assuraient les tâches techniques. Enfin, de très nombreux officiers relevaient du bailliage, qui étaient tenus de comparaître devant le lieutenant général deux fois par an au cours des assises mercuriales. Il ne semble pas que les conseillers aient eu pour leur part une spécialisation bien déterminée : les uns et les autres siègent indifféremment aux audiences civiles, criminelles ou de police. Seul le président de l’audience (le lieutenant général, ou de police, ou le lieutenant criminel) change selon la catégorie d’audience. Bailliage civil Bailliage fonctionnant comme institution judiciaire 1) Juridiction contentieuse La juridiction contentieuse s'exerçait soit dans des audiences ordinaires, soit dans des audiences extraordinaires. L'audience ordinaire avait lieu presque tous les jours de la semaine, le matin ou l'après-midi. Elle était présidée par le lieutenant particulier civil assisté d'un nombre de conseillers restreint. Les plumitifs d'audience : 4 BP I sont extrêmement sommaires : ils mentionnent exclusivement la date, le nom du président de l'audience et des conseillers, le nom des parties et l'intitulé des jugements : "il est dit que ..." On y retrouve aussi la transcription intégrale de l'assise, audience solennelle, qui avait lieu quatre fois par an les lundis d'après la SaintMichel, d'après les Rois, la Quasimodo et la Trinité. Les deux assises les plus importantes ou assises mercuriales étaient celles d'après la Quasimodo et celles d'après la Saint-Michel. Tous les officiers dépendant du bailliage étaient tenus d'y assister et de prêter serment à peine de six livres d'amende (1). Les audiences extraordinaires : pleds à masse, chambre du conseil, audience présidiale, audience sommaire, vacations. (1) Le premier jour de l'assise mercuriale comparaissaient successivement devant le lieutenant général : le lieutenant général de police, les lieutenants particuliers, les greffiers du présidial, le greffier de police, les huissiers du tribunal ; le second jour, les avocats et procureur du roi, le vicomte de Rouen ou son lieutenant, le procureur du roi à la vicomté, le vicomte de l'eau, le procureur du roi à la vicomté de l'eau, les enquêteurs et commissaires de police, les procureurs, les juges du ressort, les greffiers du ressort, les notaires de Rouen, les banquiers expéditionnaires en cour de Rome, les contrôleurs des banquiers, l'économe sequestre du diocèse de Rouen, le receveur des consignations, le commissaire aux saisies réelles, les jurés-experts vérificateurs des bâtiments de Rouen, les greffiers du bâtiment et de l'écriture, les cordeurs-mouleurs et visiteurs de bois de Rouen, les contrôleurs des cordeurs-mouleurs, les commis préposés par les contrôleurs, les jurés-vendeurs de poisson, les sergents nobles royaux ou sergents à masse, les contrôleurs prud'hommes de Rouen, l'essayeurmarqueur des ouvrages d'étain, le greffier des insinuations ecclésiastiques, les jaugeurs de mesures, les notaires des six sergenteries de Saint-Victor, Cailly, Saint-Georges, Blainville, Pont-Saint-Pierre, Pavilly, les sergents de ces six sergenteries et les sergents de Couronne ; le troisième jour les sergents royaux du bailliage et vicomté de Rouen, les huissiers de la vicomté de l'eau. a) Les pleds à masse : 4 BP II, leur fréquence a été variable tout le long des XVIeXVIIe siècles pour se fixer au XVIIIe siècle au rythme de deux journées tous les quinze jours, le vendredi et le samedi. "La dénomination des pleds à mace (ou plaids royaux à masse) semble avoir eu pour origine un bâton à tête ou figure d'or ou d'argent surmontée d'une couronne que l'on portait devant différents personnages dans certaines cérémonies publiques. Les fonctionnaires qui présidaient les pleds ou audiences avaient leur masse que portait un bas officier de justice appelé sergent (...). Il y avait dans le bailliage de Rouen un sergent noble à masse qui, exclusivement à tous les autres, y exerçait pour les affaires civiles concernant l'exécution d'un débiteur, la saisie de ses biens, l'assemblée de ses créanciers et l'adjudication en décret de ces mêmes biens, à laquelle procédait le bailli ou son lieutenant". On distingue les plumitifs des pleds à masse, registres tenus occasionnellement au XVIIe siècle et plus fréquemment au XVIIIe siècle où l'audience semble s'être davantage définie, procès-verbal de l'audience elle-même que l'on retrouve généralement dans les plumitifs d'audience civile, et les registres de décrets, dits aussi pleds à masse, où l'on trouve : 1°) les séances des pleds au cours desquelles étaient décrétés les héritages 2°) le dépôt au greffe par les particuliers de leurs titres de déclaration de ventes ou de saisies. b) La Chambre du Conseil : 4 BP III Les affaires présentant quelques difficultés étaient appointées et renvoyées au Conseil qui se réunissait deux ou trois fois par semaine, dans la Chambre du Conseil, sous la présidence du lieutenant général (d'où l'intitulé des séances : "en la Chambre du Conseil" ou tout simplement, "en la Chambre"). L'ensemble de la procédure y était écrite et les plumitifs donnent généralement une analyse détaillée des affaires traitées : entérinements de lettres de séparations civiles, de décrets d'héritages, d'actes d'adjuration, jugements en appel des jugements inférieurs. Jusqu'en 1760, la Chambre du Conseil pouvait juger "par jugement présidial et en dernier ressort", jusqu'à l'institution d'une chambre présidiale. c) L'audience présidiale : 4 BP IV Elle se tenait deux fois par semaine, le jeudi et le vendredi et n'appelle aucune observation particulière. d) L'audience sommaire : 4 BP V Cette audience, dont les premiers plumitifs n'apparaissent qu'en 1786, avait lieu le jeudi et le vendredi sous la présidence du lieutenant particulier civil, d'un ou deux conseillers et de l'avocat du roi pour juger en dernier ressort les causes inférieures à 100 sols. Les plumitifs sont extrêmement secs et mentionnent seulement la date, le nom des conseillers présents, celui des parties et l'intitulé des jugements. e) Les vacations : 4 BP VI Apparemment, il n'y avait pas au sein du bailliage de chambre des vacations. Il n'existe qu'un seul registre (1672-1673) intitulé "vacations", griffonné en tous sens et pratiquement illisible. A noter aussi le fonds du bailliage vicomtal conservé pour l'instant dans le fonds de la vicomté de Rouen : pleds d'héritages tenus à partir de 1747 devant le lieutenant général, plumitifs de la chambre vicomtale présidés à partir de la même date par le même et dont les délibérations cessent mystérieusement en 1760. Tout a été inventorié mais laissé tel quel car il est probable que le fonds de la vicomté de Rouen qui se poursuit bien au-delà de 1749 contienne d'autres documents relatifs au bailliage. 2) Juridiction non contentieuse et greffe Les différentes catégories de registres relevant de la juridiction non contentieuse et du greffe (4 BP X-XV) n'appellent aucune observation particulière. Bailliage fonctionnant comme institution militaire 4 BP XXX Des juges présidiaux relevaient tous les litiges soulevés par la convocation du ban et de l'arrière ban : "cognoistront nosdits juges présidiaux et non autres des procèz et différens meuz et à mouvoir, pour raison de ban et arrière ban, quand pour nous sera mandé et ordonné" (2). Bailliage fonctionnant comme institution administrative 4 BP XLV-LX Au Moyen-Age, le bailli était tenu de faire respecter les ordonnances royales et plus largement encore de veiller au maintien de la tranquillité publique. C'est dire qu'il devait avoir la haute main sur l'ensemble de la vie quotidienne de son ressort : tapages nocturnes, foires et marchés, arts et métiers, entretien des routes, etc. Enfin, c'est à la chambre que sont prononcés les "délibérés et sentences" rendus sur le requête d'un ou de plusieurs particuliers, ou du propre mouvement du lieutenant général de (2) Edit de Crémieu, 19 juin 1536, art. 3. police : rapports d'homologation des délibérations de corps de métiers, permissions des spectacles, diminution du prix du blé, de la chandelle, déclarations de grossesses (3). Entre 1740 et 1750, les audiences se spécialisent et se fixent mais les textes manquent pour permettre de préciser nettement les compétences des différentes audiences : - l'audience contentieuse : 4 BP LV/4 Elle se tient désormais le samedi ; sa compétence ne change pas : elle statue sur les différends entre particuliers (conflits au sein des corporations d'arts et métiers, notamment). - la Chambre : 4 BP LV/1 Son activité se limite aux délibérés et prononcés de sentences. - l'audience de police générale : 4 BP LV/5 Elle se tient tous les jours, reprend en gros l'ensemble des affaires jugées auparavant à la Chambre et notamment les approchements et contraventions des commissaires. Enfin, outre les fonctions de président des différentes audiences de police, le lieutenant général de police connaissait seul des contrats d'apprentissage et des lettres de maîtrises des communautés d'arts et métiers, enregistrés obligatoirement en sa présence, fonctions dévolues jusqu'en 1699 au lieutenant général civil et que reprendra tout naturellement au XVIIIe siècle le lieutenant général de police (4 BP L). Les dossiers de police se trouvent sous les cotes 4 BP 5869-5970 (4). Jusqu'en 1699, ces fonctions sont assumées par le lieutenant général civil ; par la déclaration d'octobre 1699 qui institue des offices héréditaires de lieutenants généraux de police dans toutes les villes où il y a Parlement, siège présidial ou toute autre juridiction royale, la police est définitivement instituée. Ces fonctions seront rachetées dans maints endroits du royaume par les officiers municipaux et rares seront les lieux où se maintiendront, comme à Rouen et à Paris, les lieutenants généraux de police. A Rouen, le lieutenant général, civil ou criminel assuma souvent la tâche de lieutenant de police : ainsi pour le premier lieutenant de police, Le Pesant de Boisguilbert, en 1699. La compétence des lieutenants de police est fixée par l'édit de novembre 1706 qui leur confie la connaissance des lois concernant le trafic des blés et grains, l'exécution des statuts d'arts et métiers, les règlements des manufactures, l'observation des dimanches et fêtes, les levées d'enfants exposés, les publications pour la récolte des fruits, les contestations et saisies de marchandises en raison de leur mauvaise qualité, la voirie, le nettoiement et l'éclairage des rues, etc. Il semble qu'avant 1699 ait fonctionné au sein même du bailliage de Rouen une chambre dite de police, présidée par le lieutenant général (cf. petit cahier plumitif de janvierjuin 1691 où l'on trouve mention : "en la chambre de police") (4 BP XLV 1). A partir de (3) A la fin du XVIIIe siècle, les déclarations de grossesses se feront en présence du procureur du roi ou de son substitut (cf. 4 BP LX 1). (4) En octobre 1699, création de l'office de lieutenant général de police. décembre 1699, la chambre de police proprement dite est institutionnalisée et fonctionne sous la présidence du lieutenant général de police assisté de quelques conseillers, choisis parmi les conseillers du bailliage (5) du lieutenant particulier criminel et de l'avocat ou du procureur du roi. De 1699 à 1717, il n'y a qu'un seul plumitif de police, où sont consignés à la fois les audiences et jugements contentieux réglant les affaires entre particuliers, et les audiences et jugements prononcés à la chambre, dans la chambre du conseil du bailliage ou l'hôtel du lieutenant général de police. La compétence de la chambre est mal déterminée : y sont portées les affaires importantes (maquerellage, tapage nocturne), les "approchements" des commissaires de police qui assignent tel ou tel individu des réceptions d'officiers (sergents royaux, tabellions, messagers, commis-receveurs de paix, etc) dont elle enregistre les lettres de provision. Bailliage criminel Le bailliage fonctionne alors exclusivement comme institution judiciaire. Ce n'est qu'à partir de 1523 que furent séparées les affaires civiles et les affaires criminelles par la création de l'office de lieutenant criminel. En fait, pour des raisons diverses, ce n'est qu'à partir de la fin du XVIe siècle que ce partage s'opéra effectivement. Le bailliage de Rouen se présente de façon infiniment moins complexe au criminel qu'au civil : d'une part, l'ordonnance d'août 1670 a bien réglementé les différentes procédures criminelles ; d'autre part, les affaires sont généralement plus détaillées dans les plumitifs (à l'exception des plumitifs d'audience criminelle) ce qui rend leur identification facile. On distingue : 1) L'audience criminelle : 4 BP C/1 qui se tenait une, deux ou trois fois par semaine au maximum, au XVIIIe siècle, le mercredi, le jeudi ou le vendredi, sous la présidence du lieutenant général criminel assisté de trois ou quatre conseillers et du procureur ou de l'avocat du roi. Les plumitifs sont malheureusement très succincts et il est difficile de connaître le type d'affaires qui y était porté : généralement, sont uniquement indiqués les noms des parties et l'intitulé du jugement, sans aucune autre précision. Le plus souvent l'affaire est tout bonnement renvoyée à une date ultérieure, ou encore les parties reçoivent l'ordre de faire parvenir leurs témoins. Seule l'affaire est détaillée lorsqu'un supplément d'enquête paraît nécessaire : les parties sont alors appointées à prouver leurs dires et l'énoncé du litige est transcrit point par point. Les parties se représentent alors à la chambre, semble-t-il, mais cela n'est pas certain, pour interrogatoire. Il semble donc que "l'audience" ne soit qu'une première étape de la procédure criminelle où l'on "ventilait" les affaires entre les différentes chambres ou juges compétents. (5) En 1701, il s'agit de MM. Le Danoys, Baillard, Grante, Faucon et Fiquet. Quatre fois par an, en l'honneur des fêtes de Noël, de Pâques, de la Pentecôte et de la Toussaint, on procédait à la "visitation des prisons" en présence du président et de deux ou trois conseillers au Parlement. Les prisonniers de la conciergerie du bailliage montaient dans la Chambre du Conseil, mais on n'a aucune autre indication sur cette coutume. Quoiqu'il en soit, les plumitifs d'audience criminelle comportent toujours mention de cette visitation des prisons. 2) La Chambre criminelle dont les séances se tenaient, bien sûr, dans la Chambre du conseil. On distingue : - les délibérations, 4 BP C/2, qui se tenaient à jours variables mais presque toujours le matin. Seule est mentionnée la présence du lieutenant criminel. La procédure est écrite et le lieutenant criminel examine le rapport de l'enquêteur-examinateur qui a été chargé d'instruire une affaire précise. Les "délibérations" semblent en fait être des ordonnances que rend le lieutenant criminel au vue de l'exposé d'une affaire : l'intitulé de l'acte est toujours ainsi libellé "Nous avons ordonné que ..." : permissions d'inhumer (R.P.R.), assignations des parties à comparaître, prises de corps, etc. On peut noter le nombre impressionnant d'affaires dites de "civilisation" portées devant le lieutenant criminel : voies de fait, injures, calomnies, banqueroutes frauduleuses, vols, rébellions contre les officiers du roi, maladies vénériennes, etc. En aucun cas, le lieutenant criminel ne peut rendre un jugement définitif puisqu'en matière criminelle la présence de plusieurs juges est indispensable. Les jugements étaient prononcés au cours d'une troisième catégorie d'audience, dont les plumitifs sont intitulés jugements. - les jugements, 4 BP C/3 L'audience avait lieu sous la présidence du lieutenant criminel, assisté de quelques conseillers et des gens du roi. Une fois de plus, la procédure est écrite et l'on mentionne toujours que l'on a procédé à la lecture des pièces du procès. Les parties et les témoins sont assignés à comparaître et leurs déclarations intégralement transcrites, avec leurs noms, qualités et signatures. Après l'audition des témoins, l'on procède à l'examen du rapport de l'enquêteur examinateur chargé de l'affaire et des conclusions du procureur du roi. C'est alors seulement que les juges délibèrent et rendent leur jugement définitif. - les jugements de compétence, 4 BP C/7 Par suite de la coutume des cas prévôtaux, les prévôts entraient très fréquemment en conflit avec les juges du lieu où s'était commis le délit : c'est au présidial qu'il appartenait de juger de la compétence ou de la non compétence du prévôt, trois jours au plus tard après le délit, en présence de sept juges au moins qui seront tenus de signer la minute (6). L'accusé était auparavant assigné à comparaître devant la chambre et les plumitifs jugements de compétence donnent transcription intégrale de son audition et des motifs du délit. (6) Cf. ordonnance criminelle d'août 1670, titre II, art. 13-21. Tutelles, curatelles et émancipations (7) Pour certaines études, il conviendra de compléter ce fonds par celui des tutelles et curatelles de la vicomté de Rouen (sous-série 5 BP, de 5 BP 5000-5130, de 1661 à 1749) (8). Ce supplément de classement effectué en 1975 fait suite à la campagne de classement menée en 1971 par Mlle Armelle Sabbagh. La "campagne" 1975 porte essentiellement sur les liasses qui se présentent avec de simples manchettes du XIXe siècle, très laconiques. D'où encore la présence de la lettre "P" dans les cotes ci-dessous, indiquant qu'il s'agit d'une cotation provisoire qui sera modifiée une fois classée la totalité du fonds. Pour éviter toute confusion avec les cotes employées par le classement de 1971, on utilisa des cotes commençant à 4 BP 5000. Tutelle Selon Houard, il y a trois sortes de tuteurs : - établi par le père du mineur, quand il ne laisse que des meubles ou de l'argent. - institué par la loi. - nommé par les magistrats. La tutelle se termine en Normandie, à 20 ans. a) Nomination du tuteur Le père, l'aïeul, le frère aîné sont tuteurs naturels de leurs enfants et petits enfants ou frères mineurs, sauf quand ils sont insolvables. Sinon le tuteur est choisi par les plus proches parents du pupille. "Tout homme qui a fait cession de biens ou qui est dans les liens d'une accusation criminelle, qui est dissipateur, de mauvaises mœurs ou imbécile, ne doit point être élu tuteur". Le tuteur est élu parmi ceux qui procèdent à l'élection. "La mère et l'aïeule ne peuvent être contraintes d'accepter la tutelle (...) ; quand la mère se remarie, les parents peuvent la faire destituer de la tutelle (...) ; s'il n'y a ni mère ni aïeule, ni aïeul ni frère, les voisins peuvent être élus tuteurs. On peut aussi nommer tuteur le père qui a des enfants de la parente des mineurs, quoiqu'elle soit décédée. "Celui qui a été élu tuteur doit, à ses périls et fortunes, nommer un plus proche parent, lequel sera tenu de gérer la tutelle en son lieu et place, s'il est héritier présomptif du pupille". (7) En marge les documents peuvent porter les mentions suivantes : "acte de tution", "advis de parents", "nomination de conducteur", "tutelle en forme d'autorisation", "délibération aux fins de mariage", "bénéfice d'âge" (abrégé "B.A."). Il y a aussi quelques comptes de tutelles. (8) Voir aussi le "Mémoire" partiellement transcrit sous la cote 6 BP 142, dans l'inventaire de la vicomté de l'eau de Rouen. Dans les trois jours après la mort du père, la mère ou l'aïeule doivent faire assembler les parents : 6 paternels, 6 maternels devant le juge. A défaut de parents, les voisins. "On peut même augmenter le nombre des parents de chaque côté, suivant l'importance des délibérations à faire. La mère et l'aïeule ne peuvent délibérer ; mais elles peuvent faire des représentations aux délibérants et au juge. Tous les ascendants, les frères et oncles du mineur, doivent être appelés à délibérer ; mais à l'égard des parents collatéraux en autres degrés, il suffit d'appeler l'aîné de chaque branche". Les nominateurs du tuteur sont garants de son administration et signent l'acte de tutelle. Le juge enjoint aux tuteurs de faire bon et valable inventaire. b) Pouvoirs du tuteur "On peut obliger le tuteur à rendre compte en abrégé de ses opérations dans tel délai qu'il plaît à la famille lequel ne peut être moindre que d'un an, et après le premier compte rendu, le tuteur n'en doit plus que tous les trois ans. Il y a des circonstances où il est essentiel d'aliéner les biens du mineur ; mais ils ne peuvent être vendus que par l'avis des parents (...) et encore faut-il que les délibérations prises à cet égard soient faites en présence du juge et des gens du roi, ou du fisc. Il y a plus : on doit proclamer les biens avec toutes les solennités et par affiches. (...) Si les enfants qui sont en tutelle ont des fiefs, le seigneur sur la demande du tuteur doit donner souffrance pour la foi et hommage jusqu'à la majorité et quand aux rotures, la souffrance est aussi due au mineur pour l'aveu. Mais le tuteur, en ce dernier cas, doit déclaration de la nature des biens, du nom et de l'âge des pupilles". "Les comptes de tutelle peuvent être rendus à l'amiable, en vertu de délibérations de parents. Mais si on les rend en justice, ils sont aux frais des mineurs, le tuteur n'en doit que l'avance". Voir au mot "mariage" du dictionnaire de Houard ce qui concerne les mineurs en ce domaine. Curatelle Toujours selon Houard, les parents doivent "mettre en sûre garde ceux de leur famille qui sont troublés d'entendement, de manière qu'ils ne fassent dommage à qui que ce soit, et quand les imbéciles ou furieux n'ont pas de parents, les voisins sont chargés de ce soin, à peine si eux ou leurs parents négligent de le remplir, d'être susceptibles des dommages et intérêts qui peuvent en être l'effet. Les gardiens ou curateurs (...) sont établis par la famille, en la même manière que les tuteurs, mais cette famille est absolument maîtresse de régler les conditions de l'administration (...). Les règles à observer pour l'interdiction des majeurs, sont les mêmes que celles établies pour la tutelle des mineurs". Il doit y avoir procès-verbal du juge "qui constate l'état de la personne et l'authenticité des actes de prodigalité, de démence ou de fureur". Le fils doit être préféré aux autres parents pour la curatelle de sa mère. "Tout acte portant interdiction doit être signé par des parents qui ont nommé le curateur. Il doit être lu et publié tant aux assises des juridictions qu'aux prônes des églises et issue de messes paroissiales, même aux plus prochains marchés des lieux du domicile des interdits (...) et le nom des interdits est ensuite inscrit et affiché aux tableaux des bailliages des villes et lieux dudit domicile (...). La curatelle étant revêtue de ces formalités ne peut cesser qu'en vertu d'un jugement aussi authentique que celui qui l'a prononcée". Emancipation Toujours selon Houard : - avant 1719 "Plein âge" : 21 ans "moindre" : 14 ans "A 14 ans, un mineur pouvoit ester en jugement pour réclamer une possession dont on le dépouilloit, faire des lots provisoires avec ses cohéritiers, disposer de ses meubles et faire commerce (...). Mais il ne pouvoit disposer irrévocablement de ses propriétés qu'à sa majorité de 21 ans (...). Tous les dons d'immeubles, les inféodations qu'il auroit faits avant cette époque auroient été nuls (...). Ces maximes regardoient les mâles ainsi que les filles, quant à la disposition des biens, lorsqu'elles n'avoient pas de frères. Mais quand elles en avoient, on ne connoissoit pas pour elles de "moindre majorité", puisque leurs frères ne leur devoient que la nourriture et l'entretien et qu'elles n'avoient la possession d'aucuns biens. Dans la suite, on s'aperçut que les filles qui n'avoient pas de frères et n'avoient point encore atteint l'âge de 21 ans, ne pouvoient qu'abuser de la liberté qui leur étoit accordée de disposer de leurs revenus et de leur mobilier (...). En conséquence, le souverain se détermina à exclure les filles de la grâce de l'émancipation qu'il ne refusoit jamais aux mâles (...)". L'émancipation "se faisoit (...) publiquement à l'audience par la simple déclaration du père". - "Par lettres patentes du 3 septembre 1719, les filles furent admises à impétrer lettres de bénéfice d'âge à 14 ans, et les garçons à 16. Le roi accorde même quelquefois maintenant (1780) les lettres aux filles à l'âge de 12 ans et aux garçons à 14. Mais il faut que les lettres en ce cas soient scellées du grand sceau et émanent directement du roi par M. le Chancelier (...)". Scellés, inventaires après décès, décrets d'héritages et baux judiciaires 4 BP 5201-5451, 5500-5570 Textes réglementant ce domaine : Ordonnance de Blois de 1579 Ordonnance de 1629 Arrêts du Parlement de Normandie des 2 août 1678 et 4 juillet 1680 Édit de mars 1702 Déclaration du roi du 11 décembre 1703 Arrêt du Parlement de Normandie du 22 juin 1708 Arrêts des 19 juillet 1717 et 2 mai 1721 Arrêt du Parlement de Normandie du 22 avril 1722 Arrêt du 11 mars 1731 Déclarations du roi des 9 avril 1736 et 9 mars 1751 Arrêts des 9 mars 1753 et 11 mai 1754 Arrêt du Parlement de Normandie du 24 mai 1757 Dates des principales réglementations au XVIIIe siecle (9) 1702 (mars) Un édit créé "des commissaires aux inventaires, avec droit exclusif d'y procéder quand ils en seroient requis" 1703 (11 déc.) Dans une déclaration, "le roi ayant réuni ces offices à ceux des notaires royaux, il autorisoit ces notaires, en cas de minorité et d'absence des héritiers, de banqueroute ou faillite des marchands, de procéder à l'apposition et levée des scellés et aux inventaires, encore qu'ils n'en fussent pas requis par les parties, parce qu'il était enjoint en ces cas aux Procureurs du roi ou fiscaux de requérir les notaires. De là ces notaires s'étoient crus en (9) Selon Houard. droit de se passer de toute réquisition, soit de la part du Ministère public, soit de celle des parties intéressées". 1751 Déclaration royale qui rappelle aux notaires la nécessité de la réquisition. 1757 (24 mai) "A l'erreur des notaires avoit succédé celle des Procureurs du roi ou fiscaux, sous le prétexte que la déclaration de 1703 les obligeoit de veiller à l'intérêt des mineurs ou des absents ; ils s'imaginèrent que lors même qu'il y avoit des requérants, ils devoient assister aux appositions des scellés et aux inventaires ; mais un arrêt du 24 mai 1757 réprima cette cupidité en annulant une sentence par laquelle un inventaire avoit été déclaré nul, faute par le notaire d'y avoir appelé le Procureur du roi, et en faisant défenses aux juges d'en rendre de pareilles à l'avenir". Selon Houard, "notre coutume" prescrit en divers cas les inventaires. A l'héritier bénéficiaire (...) ; Lorsqu'il y a un frère aîné, soit que ses frères soient majeurs ou mineurs ; Quand les frères prétendent la réduction du mariage de leurs sœurs ; Pour la sûreté des mineurs, dès qu'ils ont un tuteur nommé ; Lorsque le mari recueille une succession au nom de sa femme ; Si la femme ayant enfants passe à de secondes noces, afin que le mari, s'il a un don mobil, puisse en régler sans contestation la quotité avec les enfants de son épouse ; Et enfin, quand la femme stipule une séparation de biens par contrat de mariage. (...) L'article 390 de la coutume n'oblige pas le mari de faire constater, par un notaire ou sergent, les meubles qui échéent à sa femme constant le mariage (...). Il y a une circonstance où les juges, sur la réquisition des Procureurs du roi ou des hautes justices, pourroient prétendre le droit de faire faire inventaire malgré les héritiers ; c'est lorsqu'après le décès des curés, ils laissent des registres de baptêmes, mariages et sépultures ou des titres de biens de leur fabrique au supôt de leur succession. Les priseurs-vendeurs n'ont point d'action contre les notaires pour les obliger de les appeler aux inventaires, afin d'en faire la prisée ; les notaires ont la liberté de les faire euxmêmes (...) Les notaires royaux ont droit de faire les inventaires et les répertoires dans l'étendue des hautes justices, à l'exclusion des tabellions des seigneurs (...). Quand de deux héritiers majeurs et présents, l'un veut faire des inventaires devant notaires, et l'autre n'en veut pas, l'inventaire doit être fait aux dépens du premier (...). La présence d'un notaire ou autre officier public, ne donne pas un degré de crédibilité de plus à son acte car il n'est que le rédacteur de ce qu'on lui déclare, il ne fait mention que de ce qu'il voit. L'état de la maison où il opère lui est inconnu : au contraire, l'état dressé entre les enfants, est fondé sur les connoissances qu'ils ont de ce qui constituoit le mobilier de leurs père et mère (...). Si un frère n'a que des sœurs non réservées, il n'est pas obligé de faire inventaire, elles ne sont que créanciers. Le frère n'est tenu qu'à leur présenter, ou plutôt aux parents arbitres de leur légitime, un état de la succession qui en est passible, et elles ne peuvent refuser d'adopter cet état, si elles n'ont aucune preuve à donner de son inexactitude". On a préféré coter ici en 4 BP ces documents égarés. Cette cotation permet de les utiliser d'ores et déjà. Ils seront réintégrés plus tard dans leur sous-série ou série réglementaire, suivant la répartition ci-dessous : Vicomté de Rouen (5 BP) Tribunal de district de Rouen 4 BP 5235 5249 5250 5251 4 BP 5481 5565 5566 5848 5849 5857 Qualités de sentences 4 BP 5590-5678 Houard dans le Dictionnaire (...) de la Coutume de Normandie, 1782, à l'article "Qualités de sentence" énonce : "on appelle ainsi le récit sommaire de la procédure exercée entre les parties, qui forme le préambule des jugements. Par arrêt du 4 juillet 1721, il avoit été ordonné aux avocats et procureurs de s'entre communiquer les qualités de sentence avant d'en requérir la délivrance de la part des greffiers et par des lettres-patentes de 1769, titre II, article XXI, il est dit qu'après la signification des qualités des sentences et sommation de les arrêter dans les vingt-quatre heures expirées, la sentence sera délivrée sur les qualités données par le procureur qui en poursuivra l'expédition, et sur les conclusions qui seront sur le plumitif, à l'égard de la partie refusant de les arrêter, à moins qu'il n'y ait dans lesdites vingt-quatre heures significations portant que la partie entend contester les qualités". Affaires de police 4 BP 5869-5959 Création, rapports avec le bailliage, appel devant le Parlement "En octobre 1699, le roi créa en titre d'offices héréditaires des lieutenants-généraux de police dans toutes les villes où il y avoit Parlement, sièges présidiaux ou autre juridiction royale. Et au mois de novembre suivant, il fut créé des offices de procureur du roi, de greffiers, d'huissiers-audienciers et de commissaires en chaque siège de police. Mais les loix qui servent davantage à faire connoître l'autorité de ces tribunaux sont les déclarations du roi des mois de décembre 1700 et 6 août 1701. Elles veulent que l'appel des ordonnances et des jugements des lieutenants-généraux de police établis dans les lieux où auparavant leur création les appels des causes de police étoient portés directement au Parlement, continuent d'y être directement portés ; et elles font défenses aux officiers des bailliages et sièges présidiaux d'en suspendre l'exécution, à peine de nullité, de dommages et intérêts : au surplus, elles accordent aux lieutenants de police le deuxième rang après les lieutenants-généraux des bailliages et sénéchaussées en toutes assemblées publiques, et la préséance en l'absence de ces officiers". Compétence "L'édit du mois de novembre 1706, détermina ensuite leur compétence. Il attribue aux juges de police la connoissance des loix concernant le trafic des bleds et grains ; de l'exécution des statuts des arts et métiers ; des règlements des manufactures. Le Parlement de cette province a fait beaucoup de règlements utiles pour la manutention de la police (...)". Exemples donnés par Houard : La construction des cheminées de bois, leur nettoiement, la visite des fours, des étables et écuries. Transport du feu. Tir d'armes à feu et artifices pendant les cérémonies religieuses. Police du pain. Houard souhaiterait que les juges de police interviennent plus à fond dans les domaines de : L'imprimerie et la librairie. Les "loteries de bijoux ou autres effets". Le commerce des "poudres à tirer". Houard conclut : "Dans les villes écartées du Parlement, il se glisse beaucoup d'abus auxquels la Cour ne manqueroit pas sûrement de remédier si elle en étoit instruite (...). On seroit infini si l'on se reposoit sur chaque article de Police qui mérite une attention particulière. Nous terminerons nos observations par celle du plus célèbre, je ne dis pas le plus exact, de nos publicistes [Montesquieu] : "dans l'exercice de la Police, c'est le Magistrat plutôt que la loi qui punit". Il donne encore une liste des domaines où s'exerce la compétence du lieutenant de police : "De l'observation des dimanches et fêtes ; des irrévérences ou scandales commis dans les églises ; de la levée des enfants exposés, de leur nourriture et subsistance, des permissions demandées par les comédiens et opérateurs, des publications pour la récolte des fruits, des contestations et saisies des marchandises et denrées à raison de leur mauvaise qualité, de l'établissement des lanternes publiques ; du nettoiement des rues ; de la réception des médecins, chirurgiens et apothicaires". Modifications à cette compétence, concurrence du Parlement, de la municipalité de Rouen, de la vicomté de l'Eau "Dans la suite cependant il parut convenable de restreindre la compétence des sièges de police suivant la possession où étoient les juges hauts justiciers de l'exercer. On en a la preuve dans les lettres-patentes données sur l'arrêt du Conseil du 2 mars 1721, en faveur de M. le Prince de Rohan, des Prieur et Religieux de Grand-Mont et de Bonne-Nouvelle, conseigneurs du fauxbourg Saint-Sever de la ville de Rouen et de la Dame de la haute justice de Darnétal. Mais par arrêt du Conseil (10) contre lesquels l'arrêt de 1721 avoit été rendu, ont recouvré la police des manufactures établies dans les hautes justices de la banlieue de leur ville. La déclaration du roi, du 20 mai 1738, qui fixe les droits et fonctions de lieutenant de police de la ville de Rouen et ceux du vicomte de l'Eau de la même ville, en fournit une nouvelle preuve". On a souvent dans les dossiers ci-dessous les "procès-verbaux". Dans les dossiers de procédures se trouvent des "interrogatoires", "suppliques", "informations", "qualités" (11). Bibliographie BERTIN (M.N.), Introduction à la pratique judiciaire pour les sièges subalternes de Normandie, Caen, 1748, 459 p., in-8° Bibliothèque municipale de Rouen, Réglemens et ordonnances pour le papier (...), bailliage de Rouen, 14 mars 1636, s.l.n.d., in-4°, 16 p. (Nmm. 634) BLOSSIER (A.), Cahiers de doléances du bailliage de Honfleur CHENON (E.), Histoire générale du droit français public et privé des origines à 1815, Paris, 1926-1929, 2 vol., in-8° (10) [Omission] du 18 janvier 1724, les maires et échevins de Rouen... (11) Voir aussi 4 BP 5398-5595. CHERUEL, Dictionnaire historique des institutions, mœurs et coutumes de la France, Paris, 1899, 2 vol., in-4° DELAMARE, Traité de la police, Paris, Amsterdam, 1721-1738, 4 vol. in-4°, plans, horstexte (BHH 624/1-4) DELISLE (Léopold), "Mémoire sur les baillis du Cotentin", Caen, 1851, in-4°, 59 p. dans Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie, t. XIX, 1851, p. 61-119 DOUCET (R.), Les Institutions de la France au XVIe siècle. Tome I : Les cadres géographiques, les institutions centrales et locales, Paris, 1948, 450 p., in-8° DUPONT-FERRIER, Les officiers royaux des bailliages et sénéchaussées et les institutions monarchiques locales en France à la fin du Moyen-Age, Paris, 1902, 1043 p., in-8° FARIN, Histoire de la ville de Rouen, Rouen, 1738, 3 vol., in-8° FLOQUET (A.), Histoire du Parlement de Normandie, Rouen, 1840-1842, 7 vol., in-8° GUYOT, Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiale, Paris, 1784, 17 vol., in-8° HIPPEAU, Le gouvernement de Normandie, t. VII, p. 333-388, 399-409 HOUARD, Dictionnaire analytique, historique, étymologique, critique et interprétatif de la Coutume de Normandie..., Rouen, 1780-1782, 4 vol., in-8° Id., Principes généraux de droit normand, p. 403-404, 421 et suiv. HYSLOP (Mlle), "Cahier général du Tiers-Etat au grand bailliage de Rouen", dans la Révolution française, janvier-mars 1932 ISAMBERT, Recueil général des anciennes lois françaises, Paris, 1829, 30 vol., in-8° LEBEGUE, Thouret, 1910 LE PARQUIER (E.), Article paru dans la Société des Etudes locales dans l'enseignement public, groupé de la Seine-Inférieure, n°27, mai 1934-mai 1935 (revue cotée RH 168 aux Archives de la Seine-Maritime). Id., Cahiers de doléances des paroisses du bailliage de Neufchâtel-en-Bray. Id., Les assemblées électorales de 1789 dans les bailliages secondaires de la HauteNormandie" dans la Normandie historique, janvier 1906, p. 1-12 et de février 1906, p. 32-42 (12). MARION (M.), Dictionnaire des institutions de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, 1923, 564 p., in-8° (12) Les textes des paroisses, fournies par ce registre, ont été utilisés par M. Vernier pour donner la composition des bailliages, dans La Seine-Inférieure à l'époque de la Révolution. PERIAUX (N.), Histoire sommaire et chronologique de la ville de Rouen, Rouen, 1874, 1 vol., 706 p., in-8° ROUTIER (Ch.), Principes généraux du droit civil et coutumier de la province de Normandie, Rouen, 1748, 664 p., in-8° SOUBLIN (Léopold), Les grands bailliages de Haute-Normandie en 1789, Rouen, 1972, 102 p. (F 429) STRAYER (J.-R.), The royal domain in the bailliage of Rouen, Princeton, 1936, 275 p. VEYRAT (M.), Essai chronologique et biographique sur les baillis de Rouen de 1771 à 1790, Rouen, 1953, 303 p., in-8° VILAR-BEROGAIN, Guide des recherches dans les fonds d'enregistrement... ZELLER (G.), Les institutions de la France au XVIe siècle, Paris, 1948, 404 p., in-8° 4 BP Bailliage civil Compétence judiciaire Juridiction contentieuse AUDIENCES ORDINAIRES 4 BP I/1-48 Plumitifs d'audiences civiles 1653-1790 1 - 1653 (avril-septembre) 2 - 1657 (janvier-avril) 3 - 1657 (avril-septembre) 4 - 1658 (octobre)-1659 (avril) 5 - 1661 (octobre)-1662 (janvier) 6 - 1663 (mars-août) (13) 7 - 1663 (octobre)-1664 (mars) (13) 8 - 1664 (octobre)-1665 (avril) (13) 9 - 1665 (avril-septembre) (13) 10 - 1665 (octobre)-1666 (avril) (13) 11 - 1677 (avril)-1678 (janvier) 12 - 1678 13 - 1679 (janvier)-1680 (janvier) 14 - 1680 (janvier)-1681 (janvier) 15 - 1681 (juillet)-1682 (janvier) 16 - 1682 (décembre)-1683 (juillet) 17 - 1683 (juillet)-1684 (janvier) 18 - 1685 (juillet)-1686 (janvier) 19 - 1686 (janvier-juin) 20 - 1688 (janvier-juillet) 21 - 1694 (décembre)-1695 (mars) 22 - 1696 (avril)-1697 (mai) 23 - 1697 (mai)-1698 (avril) (13) On trouve dans ce registre où sont transcrits principalement les plumitifs d'audience civile, quelques séances de la Chambre du conseil. 24 - 1698 (avril)-1699 (mars) 25 - 1699 (mars)-1700 (avril) 26 - 1701 (mai-juillet) 27 - 1708 (juin)-1709 (décembre) 28 - 1715 (12 janvier)-1719 (22 septembre) (14) 29 - 1719 (10 décembre)-1723 (20 mai) (15) 30 - 1723 (21 mai)-1728 (15 avril) (16) 31 - 1728 (16 avril)-1734 (27 février) (17) 32 - 1734 (3 avril)-1739 (16 juillet) (18) 33 - 1739 (17 juillet)-1744 (25 septembre) (19) 34 - 1744 (6 octobre)-1748 (19 juillet) (20) 35 - 1748 (19 juillet)-1752 (10 novembre) (21) 36 - 1752 (20 novembre)-1757 (2 septembre) (22) 37 - 1757 (9 septembre)-1762 (17 février) (23) 38 - 1762 (19 février)-1766 (17 janvier) (24) 39 - 1766 (21 janvier)-1769 (10 mai) (25) (14) 11 cahiers : 1715 (2 janvier-25 mai) ; 1715 (28 mai-28 novembre) ; 1716 (22 avril-5 novembre) ; 1716 (6 novembre)-1717 (5 février) ; 1717 (6 février-2 juin) ; 1717 (4 juin-20 octobre) ; 1717 (21 octobre)-1718 (16 mars) ; 1718 (18 mars-9 juillet) ; 1718 (12 juillet-1er décembre) ; 1718 (2 décembre)-1719 (19 avril) ; 1719 (20 avril-22 septembre). (15) 11 cahiers : 1719 (10 novembre)-1720 (8 avril) ; 1720 (10 avril-9 août) ; 1720 (17 août-20 novembre) ; 1720 (22 novembre)-1721 (14 février) ; 1721 (15 février-23 mai) ; 1721 (24 mai-15 octobre) ; 1721 (16 octobre)-1722 (5 février) ; 1722 (6 février-22 mai) ; 1722 (1er juin-17 septembre) ; 1722 (19 septembre)-1723 (23 janvier) ; 1723 (28 janvier-20 mai). (16) 12 cahiers : 1723 (21 mai-24 septembre) ; 1723 (11 novembre)-1724 (26 janvier) ; 1724 (27 janvier) ; 1724 (18 mai-3 octobre) ; 1724 (4 octobre)-1725 (8 février) ; 1725 (9 février-20 juin) ; 1725 (20 juin-20 septembre) ; 1726 (21 février-10 juillet) ; 1726 (13 juillet-20 décembre) ; 1727 (10 janvier-5 mai) ; 1727 (10 mai-30 octobre) ; 1727 (7 novembre)-1728 (15 avril) ; 1747 (21 avril-20 octobre) ; 1747 (25 octobre)-1748 (21 mars) ; 1748 (22 mars-19 juillet). (17) 11 cahiers : 1728 (16 avril-21 octobre) ; 1728 (29 octobre)-1729 (1er avril) ; 1729 (7 avril-8 octobre) ; 1729 (13 octobre)-1730 (17 avril) ; 1730 (18 avril-14 octobre) ; 1730 (21 octobre)-1731 (14 juin) ; 1731 (20 juin-15 septembre) ; 1731 (2 octobre)-1732 (21 avril) ; 1732 (22 avril-17 décembre) ; 1732 (20 décembre)-1733 (15 juillet) ; 1733 (18 juillet)-1734 (22 février). (18) 8 cahiers : 1734 (3 mars)-1735 (31 mars) ; 1735 (18 avril-15 octobre) ; 1735 (19 octobre)-1736 (5 mai) ; 1736 (11 mai-1er décembre) ; 1737 (18 mai-5 décembre) ; 1737 (7 décembre)-1738 (22 mai) ; 1738 (23 mai-24 décembre) ; 1739 (5 janvier-16 juillet). (19) 9 cahiers : 1739 (17 juillet)-1740 (16 mars) ; 1740 (23 mars-10 septembre) ; 1740 (3 octobre)-1741 (11 mars) ; 1741 (23 mars-2 novembre) ; 1742 (3 avril-3 septembre) ; 1742 (2 octobre)-1743 (1er mars) ; 1743 (6 mars-2 août) ; 1743 (23 août)-1744 (6 mars) ; 1744 (11 mars-25 septembre). (20) 9 cahiers : 1744 (6 octobre)-1745 (25 février) ; 1745 (4 mars-7 juillet) ; 1745 (8 juillet)-1746 (14 janvier) ; 1746 (19 janvier-6 juin) ; 1746 (10 juin-14 décembre) ; 1746 (15 décembre)-1747 (21 avril). (21) 9 cahiers : 1748 (19 juillet)-1749 (23 janvier) ; 1749 (24 janvier-6 juin) ; 1749 (13 juin-19 novembre) ; 1749 (20 novembre)-1750 (16 juillet) ; 1750 (17 juillet-18 septembre) ; 1750 (5 octobre)-1751 (19 mars) ; 1751 (24 mars-15 octobre) ; 1751 (29 octobre)-1752 (11 avril) ; 1752 (13 avril-10 novembre). (22) 9 cahiers : 1752 (20 novembre)-1753 (13 avril) ; 1753 (2 mai-19 novembre) ; 1753 (22 novembre)-1754 (10 juin) ; 1754 (14 juin)-1755 (23 janvier) ; 1755 (23 janvier-27 juin) ; 1755 (27 juin)-1756 (23 janvier) ; 1756 (23 janvier-16 juillet) ; 1756 (20 juillet)-1757 (18 mars) ; 1757 (18 mars-2 septembre). (23) 9 cahiers : 1757 (9 septembre)-1758 (3 mars) ; 1758 (3 mars-31 août) ; 1758 (31 août)-1759 (16 février) ; 1759 (16 février-13 juillet) ; 1759 (13 juillet)-1760 (10 janvier) ; 1760 (11 janvier-26 septembre) ; 1760 (6 octobre)-1761 (3 mars) ; 1761 (3 mars-21 juillet) ; 1761 (21 juillet)-1762 (17 février). (24) 11 cahiers : 1762 (19 février-23 juin) ; 1762 (29 juin-10 décembre) ; 1762 (1er décembre)-1763 (12 avril) ; 1763 (13 avril-21 juillet) ; 1763 (21 juillet)-1764 (27 mars) ; 1764 (27 mars-6 juillet) ; 1764 (10 juillet-28 novembre) ; 1764 (28 novembre)-1765 (19 mars) ; 1765 (19 mars-12 juin) ; 1765 (14 juin-17 novembre) ; 1765 (22 novembre)-1766 (17 janvier). 40 - 1769 (11 mai)-1772 (7 octobre) (26) 41 - 1772 (8 octobre)-1775 (3 octobre) (27) 42 - 1775 (4 octobre)-1779 (12 janvier) (28) 43 - 1779 (13 janvier)-1781 (10 août) (29) 44 - 1781 (16 août)-1783 (30 avril) (30) 45 - 1783 (1er mai)-1786 (2 janvier) (31) 46 - 1786 (10 janvier)-1787 (8 octobre) (32) 47 - 1787 (10 octobre)-1789 (6 novembre) (33) 48 - 1790 (4 janvier-5 novembre) (34) AUDIENCES 4 BP II/1 EXTRAORDINAIRES Pleds à masse, plumitifs (35) 1587-1786 4 BP II/1bis-4 Pleds à masse, décrets d'héritages 1483-1676 1bis - 1483-1484 2 - 1630-1634 3 - 1648-1654 4 - 1673-1676 4 BP II/5 Décrets d'héritages, journal des diligences 1625-1640 (25) 4 cahiers : 1766 (21 janvier-30 avril) ; 1766 (2 mai-24 juillet) ; 1766 (7 août-23 décembre) ; 1767 (9 janvier-19 mai) ; 1767 (20 mai)-1769 (10 mai) (registre couvert en parchemin. (26) 3 cahiers : 1769 (11 mai)-1770 (1er octobre) ; 1770 (2 octobre)-1771 (2 octobre) ; 1771 (3 octobre)-1772 (7 octobre). (27) 3 cahiers : 1772 (8 octobre)-1773 (24 septembre) ; 1773 (4 novembre)-1774 (4 octobre) ; 1774 (5 octobre)1775 (3 octobre). (28) 4 cahiers : 1775 (4 octobre)-1776 (10 octobre) ; 1776 (10 octobre)-1778 (27 avril) ; 1778 (29 avril-5 octobre) ; 1778 (7 octobre)-1779 (12 janvier). (29) 5 cahiers : 1779 (13 janvier)-1780 (3 janvier) ; 1780 (10 janvier-13 avril) ; 1780 (14 avril-22 septembre) ; 1780 (2 octobre)-1781 (28 mars) ; 1781 (29 mars-10 août). (30) 5 cahiers : 1781 (16 août-14 novembre) ; 1781 (14 novembre)-1782 (7 janvier) ; 1782 (8 janvier-12 avril) ; 1782 (15 avril-1er octobre) ; 1783 (16 janvier-30 avril). (31) 7 cahiers : 1783 (1er mai-20 novembre) ; 1783 (21 novembre)-1784 (18 février) ; 1784 (1er mars-7 mai) ; 1784 (10 mai-24 septembre) ; 1784 (4 octobre-23 décembre) ; 1785 (3 janvier-1er août) ; 1785 (4 août)-1786 (2 janvier). (32) 7 cahiers : 1786 (10 janvier-2 mai) ; 1786 (3 mai-31 juillet) ; 1786 (3 août-17 novembre) ; 1786 (20 noembre)-1787 (29 janvier) ; 1787 (30 janvier-18 avril) ; 1787 (19 avril-20 juin) ; 1787 (21 juin-8 octobre). (33) 7 cahiers : 1787 (10 octobre-30 novembre) ; 1787 (3 décembre)-1788 (8 février) ; 1788 (11 février-30 mai); 1788 (6 octobre)-1789 (21 janvier) ; 1789 (22 janvier-3 avril) ; 1789 (20 avril-24 juillet) ; 1789 (3 août-6 novembre). (34) 3 cahiers : 1790 (4 janvier-14 avril) ; 1790 (15 avril-20 juillet) ; 1790 (2 août-5 novembre). (35) 2 registres parchemin : 1587-1589, 1619-1620 ; 2 cahiers : 1682-1684, 1768-1786. 4 BP II/6 Etat du décret d'héritage de Jacques Régnier, vivant marchand drappier demeurant en la paroisse de Saint-Ouen, à Rouen 1598 (5 décembre) 4 BP II/7 Etat du décret d'héritage du "fiefs, terres et seigneurie de Beaumont en domaine fieffé et non fieffé (...) et de plusieurs autres parties de rentes assies tant en ceste ville de Rouen que ailleurs, appartenant à noble homme Jehan de Vymont, sieur dudit lieu de Beaumont et eschevin de l'hôtel commun de ceste ville de Rouen" 1600 (29 avril) 4 BP II/8 Etat du décret d'héritage de Louis Fleury, vivant teinturier demeurant en la paroisse de Saint-Ouen à Rouen 1600 (21 juillet) 4 BP II/9 Etat du décret d'héritage des "fiefs et seigneuries de la Prée, Rocquemont et terres en rotures et rentes en dépendans" appartenant à Jacques Lermitte, escuier, sieur desdits lieux 1604 (18 juin) 4 BP II/10 "Etat du décret des héritages, maisons en natures qui furent et appartindrent a deffunct noble homme Me Jacques Bellet, vivant conseiller et procureur du roy en l'eslection de Rouen" 1605 (3 janvier) 4 BP II/11 "Adjudications de plusieurs parties de rentes et héritages qui furent et appartindrent à Richard Lhureux" 1605 (mai) 4 BP III/1-12 Chambre du conseil, plumitifs 1579-1790 1 - 1579 (septembre)-1580 (août) 2 - 1587 (avril)-1588 (août) 3 - 1597 4 - 1605 5 - 1609 6 - 1668 (avril)-1672 (juillet) 7 - 1677 (avril)-1679 (novembre) 8 - 1701 (février)-1709 (décembre) 9 - 1710 (janvier)-1714 (décembre) 10 - 1715 (juillet)-1719 (octobre) 11 - 1729 (juillet)-1756 (décembre) (36) 12 - 1764 (novembre)-1790 (septembre) (37) 4 BP IV/1-4 Audience présidiale, plumitifs 1760-1790 1 - 1760 (17 octobre)-1765 (11 mai) ; 1765 (11 mai-20 octobre) ; 1766 (9 janvier-19 décembre) ; 1767 (9 janvier-22 mai) ; 1767 (4 juin)-1770 (27 avril) ; 1770 (4 mai)-1773 (14 octobre) 2 - 1773 (21 octobre)-1775 (3 mars) ; 1775 (3 mars)-1776 (16 janvier) ; 1776 (16 janvier)-1777 (13 mars) ; 1777 (11 avril)-1779 (26 mars) ; 1779 (15 avril)-1780 (21 juillet) ; 1780 (16 novembre)-1781 (20 novembre) 3 - 1781 (22 novembre)-1783 (20 mai) ; 1783 (22 mai)-1784 (23 décembre) ; 1785 (11 janvier-22 juillet) ; 1785 (15 novembre)-1786 (21 juillet) 4 - 1786 (10 novembre)-1787 (6 mars) ; 1787 (8 mars-11 décembre) ; 1787 (13 décembre)-1788 (9 mai) ; 1788 (21 novembre)-1789 (17 novembre) ; 1789 (19 novembre)-1790 (5 novembre) 4 BP V/1-2 Audience sommaire, plumitifs 1786-1790 1 - 1786 (4 mai)-1787 (25 janvier) ; 1787 (1er février-13 décembre) ; 1787 (20 décembre)-1788 (19 juin) ; 1788 (26 juin)-1789 (30 avril) ; 1789 (30 avril-15 novembre) ; 1789 (22 novembre)-1790 (22 avril) 2 - 1790 (29 avril-26 août), 1790 (2 septembre-4 novembre), 1790 (11-25 novembre) 4 BP VI/1 Chambre des vacations 1672 (12 novembre)-1673 (10 juin) Juridiction non contentieuse et greffe 4 BP X/1-4 Insinuations (38) 1691-1731 1 - 1691 (janvier)-1692 (janvier) 2 - 1695 (novembre)-1696 (novembre) 3 - 1698 (janvier)-1699 (janvier) (36) 5 cahiers : 1719 (21 juillet)-1731 (6 octobre) ; 1744 (23 janvier-23 juillet) ; 1745 (21 juin-9 juillet) ; 1751 (28 juin-20 juillet) ; 1752 (12 avril)-1756 (14 décembre). (37) 6 cahiers : 1764 (7 novembre)-1767 (5 mai) ; 1767 (22 mai)-1776 (20 mars) ; 1776 (21 mars)-1781 (6 septembre) ; 1781 (5 octobre)-1784 (27 décembre) ; 1785 (12 janvier)-1788 (7 mai) ; 1798 (10 novembre)-1790 (23 septembre). (38) L'insinuation judiciaire est bien différente du contrôle des actes. 4 - 1725 (octobre)-1731 (août) 4 BP X/5 Enthérinement des lettres de séparation civile et des bénéfices d'inventaires (3 cahiers) 1770 (10 janvier)-1790 (15 octobre) 4 BP XII/1 Renonciations aux successions (39) 1748-1780 4 BP XV/1 Dépôts faits au greffe de pièces de procédures diverses (contrats de donations, décrets d'héritages...) 1630-1789 4 BP XV/2 Dépôts des contrats de vente, 1772 (3 juillet)-1786 (28 février) ; dépôts des contrats d'hypothèques, 1786 (2 mai)-1790 (5 novembre) 1772-1790 4 BP XV/3 Productions 1757-1785 4 BP XV/4 Closions de sacs, pièces de procédures, rapports, décrets d'héritages (5 cahiers) 1756-1789 Compétence militaire 4 BP XXX/1-2 Ban et arrière ban 1594-1635 1 - 1594 2 - 1635 (39) Les renonciations aux successions se faisaient jusqu'en 1749 devant la vicomté. A distinguer : les renonciations à l'ordinaire : 1748-1756, 1767 ; 1785 (3 janvier), 1785 (11 janvier)-1790 (3 cahiers) ; les renonciations aux pauvres : 1768-1784, 1785-1790 (2 cahiers). Compétence administrative 4 BP XLV/1 Plumitif de la chambre de police 1691 (janvier-juin) 4 BP XLVI/1-5 Réceptions d'officiers et enregistrement des statuts d'arts et métiers 1593-1695 1 - 1593-1596 2 - 1630-1636 3 - 1657-1667 (mai) (40) 4 - 1667 (mai)-1676 (41) 5 - 1685-1695 (42) 4 BP XLVII/1 4 BP L/1-31 Parquet, "registre de messieurs les gens du roy au bailliage de Rouen, pour le faict des causes cyvilles ou le roy a inthérest, et approchement des métiers et réglemens de police" 1610 (décembre)-1622 (avril) Arts et métiers. "Registres des mestiers juréz devant M. le lieutenant général du bailliage de Rouen" 1630 (janvier)-1697 (décembre) 1 - 1630 2 - 1631 3 - 1632 (janvier-février) (fragments) 4 - 1633 (novembre-décembre) (fragments) 5 - 1642 (janvier-octobre) (mauvais état) 6 - 1645 7 - 1647 8 - 1648 9 - 1649 10 - 1651 11 - 1652 12 - 1653 13 - 1654 14 - 1655 15 - 1656 16 - 1657 17 - 1658 (40) A noter, le 25 octobre 1663 l'enregistrement des lettres patentes accordant privilèges aux ouvriers de la monnaie le 27 mai 1664 et l'enregistrement des provisions de M. de Montaurier, bailli de Rouen. (41) A noter, le 24 mars 1676 l'enregistrement des règlements faits par la communauté des quatre vingt dix porteurs de grains de Rouen. (42) A noter, le 13 septembre 1687 l'enregistrement de l'édit du roi du mois de juillet 1677 portant création des offices de notaires royaux en la province de Normandie ; le 5 novembre 1694 : enregistrement des articles des règlements des statuts des maîtres vinaigriers de Rouen. 18 - 1659 19 - 1660 20 - 1662 21 - 1663 22 - 1664 23 - 1668 ? (fragments) 24 - 1671 25 - 1679 (43) 26 - 1680 27 - 1691 28 - 1694 (janvier-octobre) 29 - 1694 (octobre)-1695 (décembre) 30 - 1696 31 - 1697 4 BP L/32-76 "Plumitifs pour l'enregistrement des métiers de Rouen devant M. le lieutenant général de police au bailliage de Rouen" 1701-1790 32 - 1701 33 - 1702 34 - 1703 35 - 1704 (juillet-décembre) (fragments) 36 - 1705 37 - 1706 38 - 1707 39 - 1708 40 - 1709 41 - 1710 42 - 1711 43 - 1712 44 - 1713 45 - 1714 46 - 1717 (octobre-décembre) (fragments) 47 - 1719 (janvier-juin) 48 - 1720 49 - 1721 (juillet-septembre) (fragments) 50 - 1724 (juillet-décembre) (fragments) 51 - 1726 52 - 1731 53 - 1737 54 - 1738 55 - 1739 56 - 1747 57 - 1749 (décembre) (fragments) 58 - 1752 59 - 1758 60 - 1760 (43) A noter aux premiers folios une liste des gardes des différents métiers relevant du bailliage de Rouen pour l'année 1679. 61 - 1761 62 - 1762 63 - 1768 64 - 1769 65 - 1774 66 - 1778 67 - 1779 68 - 1780 69 - 1781 70 - 1782 71 - 1783 72 - 1784 73 - 1787 74 - 1788 75 - 1789 76 - 1790 (janvier-octobre) 4 BP L/77 "Registre... pour servir à inscrire et registrer les déclarations de ceux et celles qui exerceront des professions libres en la ville, fauxbourgs et banlieue de Rouen, conformément à l'article 2 de l'édit du mois de février 1778 1779 (mars)-1789 (avril) 4 BP L/78 Cote réservée 4 BP LV1/1-7 Chambre de police, plumitifs d'audiences 1699-1779 1 - 1699 (1er décembre)-1702 (4 mai) 2 - 1702 (8 mai)-1704 (2 janvier) 3 - 1705 (janvier)-1708 (août) 4 - 1709 (6 novembre)-1718 (18 novembre) (44) 5 - 1720 (17 août)-1733 (31 octobre) (45) 6 - 1735 (6 avril)-1739 (13 août) (46) (44) 10 cahiers : 1709 (6 novembre)-1710 (12 mai) ; 1710 (30 octobre)-1711 (21 janvier) ; 1711 (1er juillet)1712 (1er mars) ; 1712 (1er mars-7 octobre) ; 1712 (8 octobre)-1713 (15 juillet) ; 1713 (18 juillet)-1714 (30 janvier) ; 1714 (3 février-31 octobre) ; 1715 (10 juillet)-1716 (6 février) ; 1717 (25 mai)-1718 (10 mai) ; 1718 (13 mai-18 novembre). Seuls les deux derniers cahiers sont consacrés exclusivement aux plumitifs de la chambre ; jusqu'alors et depuis 1699, les plumitifs concernent à la fois les audiences de la chambre et les audiences contentieuses (cf. introduction). (45) 9 cahiers : 1720 (17 août)-1721 (24 janvier) ; 1721 (18 juillet)-1722 (14 février) (cahier dans lequel on trouve à la fois les audiences contentieuses et les audiences de la chambre) ; 1722 (4 septembre)-1723 (12 juin) ; 1723 (14 octobre)-1724 (19 février) ; 1726 (14 juin)-1727 (9 janvier) ; 1727 (10 juin-29 octobre) ; 1728 (25 mars-14 août) ; 1731 (24 janvier-1er juin) ; 1731 (20 juin)-1733 (31 octobre). (46) 10 cahiers : 1735 (6 avril-2 juillet) ; 1735 (9 août-15 novembre) ; 1735 (22 novembre)-1736 (14 avril) ; 1736 (21 avril-24 juillet) ; 1736 (31 juillet-15 novembre) ; 1736 (21 novembre)-1737 (6 avril) ; 1737 (11 avril-16 juillet) ; 1737 (27 juillet-29 octobre) ; 1738 (24 avril-7 octobre) ; 1739 (20 mars-13 août). 7 - 1739 (14 août)-1779 (10 septembre) (47) 4 BP LV2/1 Chambre de police, réceptions (4 cahiers) 1707 (13 octobre)-1746 (7 juillet) 4 BP LV3/1 Chambre de police, délibérés et rapports (5 cahiers) 1701-1746 4 BP LV4/1-3 Plumitifs d'audience contentieuse 1718-1790 1 - 1718 (13 juillet)-1727 (18 juin) (48) 2 - 1727 (2 juillet)-1746 (5 novembre) (49) 3 - 1746 (4 juillet)-1790 (15 mai) (50) 4 BP LV5/1-2 Plumitifs d'audience générale 1753-1790 1 - 1753 (27 février)-1778 (22 juillet) (51) 2 - 1778 (29 juillet)-1790 (28 avril) (52) Bailliage criminel 4 BP C1/1-23 Plumitifs d'audience criminelle 1635-1790 1 - 1635 (janvier)-1638 (janvier) 2 - 1641 (janvier)-1644 (janvier) 3 - 1650 (février)-1652 (août) 4 - 1668 (mars)-1669 (août) (47) 7 cahiers : 1739 (14 août)-1740 (9 février) ; 1740 (12 juillet-24 novembre) ; 1741 (26 mai-22 août) ; 1742 (27 février-10 juillet) ; 1742 (31 juillet-27 novembre) ; 1749 (15 avril-23 novembre) ; 1775 (10 mars)-1779 (10 septembre). (48) 7 cahiers : 1718 (13 juillet)-1719 (11 janvier) ; 1719 (12 janvier-16 septembre) ; 1719 (22 septembre)-1720 (10 juillet) ; 1720 (11 juillet)-1721 (24 janvier) ; 1721 (29 janvier-16 juillet) ; 1721 (18 juillet)-1722 (14 février) (pour mémoire, voir 4 BP LV1/5) ; 1726 (16 mai)-1727 (18 janvier) ; 1727 (18 janvier-18 juin). (49) 8 cahiers : 1727 (2 juillet)-1728 (24 juin) ; 1729 (22 décembre)-1730 (10 juin) ; 1731 (6 juillet)-1733 (20 mars) ; 1736 (25 octobre)-1737 (9 novembre) ; 1739 (2 mai)-1740 (5 décembre) ; 1741 (14 janvier)-1743 (19 janvier) ; 1743 (26 janvier-16 mars) ; 1744 (19 décembre)-1746 (5 novembre). (50) 4 cahiers : 1749 (5 juillet-20 décembre) ; 1750 (10 janvier)-1752 (4 février) ; 1774 (2 mars)-1778 (14 janvier) ; 1787 (28 avril)-1790 (15 mai). (51) 5 cahiers : 1753 (27 février)-1754 (12 mars) ; 1756 (23 novembre)-1758 (22 décembre) ; 1772 (29 juillet)1774 (8 juin) ; 1776 (4 septembre)-1777 (17 septembre) ; 1777 (17 septembre)-1778 (22 juillet). (52) 3 cahiers : 1778 (29 juillet)-1779 (11 août) ; 1780 (23 août)-1784 (13 novembre) ; 1789 (2 décembre)-1790 (28 avril). 5 - 1669 (octobre)-1671 (7 mars) 6 - 1671 (9 mars)-1672 (juillet) 7 - 1674 (octobre)-1677 (mars) 8 - 1677 (avril)-1679 (29 août) 9 - 1679 (30 août)-1682 (9 novembre) 10 - 1682 (10 novembre)-1685 (11 octobre) 11 - 1685 (12 octobre)-1692 (28 août) 12 - 1692 (30 août)-1699 (30 juin) 13 - 1699 (juillet)-1705 (octobre) 14 - 1710 (janvier)-1730 (mai) (53) 15 - 1731 (juin)-1752 (août) (54) 16 - 1752 (11 août)-1758 (14 décembre) 17 - 1758 (15 décembre)-1763 (1er mars) 18 - 1763 (7 mars)-1770 (26 avril) 19 - 1770 (10 mai)-1774 (25 août) 20 - 1774 (15 septembre)-1779 (15 janvier) 21 - 1779 (21 janvier)-1783 (14 novembre) 22 - 1783 (20 novembre)-1787 (5 juillet) 23 - 1787 (6 juillet)-1790 (5 novembre) 4 BP C2/1-23 Chambre criminelle, délibérations 1632-1790 1 - 1632 (avril)-1635 (16 juillet) 2 - 1635 (18 juillet)-1639 (18 avril) 3 - 1654 (28 mai)-1658 (2 décembre) 4 - 1658 (3 décembre)-1664 (9 janvier) 5 - 1664 (15 janvier)-1668 (31 mars) 6 - 1668 (5 avril)-1671 (16 juillet) 7 - 1671 (17 juillet)-1674 (16 janvier) 8 - 1674 (31 janvier)-1677 (29 avril) 9 - 1677 (30 avril)-1679 (16 août) 10 - 1679 (17 août)-1683 (31 mars) (55) 11 - 1704 (5 juin)-1725 (22 septembre) 12 - 1725 (9 octobre)-1751 (19 mars) (56) (53) 9 cahiers : 1710 (3 janvier-3 décembre) ; 1710 (5 décembre)-1711 (21 octobre) ; 1713 (18 août)-1714 (2 juin) ; 1719 (31 mars-8 octobre) ; 1719 (19 octobre)-1720 (25 avril) ; 1721 (19 octobre)-1722 (21 octobre) ; 1722 (27 octobre)-1723 (25 septembre) ; 1728 (8 avril)-1729 (14 juillet) ; 1729 (16 juillet)-1730 (27 mai). (54) 12 cahiers : 1731 (1er juin-12 octobre) ; 1731 (13 octobre)-1732 (26 septembre) ; 1732 (17 octobre)-1733 (5 octobre) ; 1733 (6 novembre)-1734 (4 novembre) ; 1736 (5 décembre)-1737 (16 mai) ; 1741 (10 décembre)1742 (7 décembre) ; 1742 (14 décembre)-1744 (15 octobre) ; 1744 (21 octobre)-1747 (14 juillet) ; 1748 (20 mars-27 novembre) ; 1748 (28 novembre)-1749 (7 novembre) ; 1749 (11 novembre)-1751 (30 mars) ; 1751 (1er avril)-1752 (4 août). (55) 9 cahiers : 1704 (5 juin)-1705 (5 juillet) ; 1707 (19 décembre)-1709 (6 avril) ; 1710 (10 janvier)-1711 (21 octobre) ; 1713 (23 septembre)-1715 (7 février) ; 1715 (7 février)-1716 (4 juillet) ; 1717 (6 août)-1718 (12 octobre) ; 1718 (17 octobre)-1719 (16 octobre) (au dernier folio, noms des religionnaires décédés entre le 1er octobre 1719 et le 13 mars 1720) ; 1719 (24 octobre)-1721 (9 juillet) ; 1723 (10 décembre)-1725 (22 septembre). (56) 13 cahiers : 1725 (9 octobre)-1726 (28 décembre) ; 1727 (4 janvier-21 novembre) ; 1727 (3 décembre)1728 (15 octobre) ; 1731 (23 avril-21 décembre) ; 1737 (12 mars)-1738 (26 septembre) ; 1738 (6 octobre)-1742 (22 février) ; 1742 (3 mars)-1743 (31 décembre) ; 1744 (3 janvier-22 octobre) ; 1744 (26 octobre)-1747 (3 juillet) ; 1747 (4 juillet)-1748 (24 janvier) ; 1749 (5 avril-29 octobre) ; 1749 (29 octobre)-1750 (14 octobre) ; 1750 (15 octobre)-1751 (19 mars). 13 - 1752 (13 mai)-1756 (14 avril) 14 - 1756 (15 avril)-1760 (13 mai) 15 - 1760 (20 mai)-1765 (18 janvier) 16 - 1765 (24 janvier)-1769 (19 août) 17 - 1769 (19 août)-1776 (4 août) 18 - 1774 (17 août)-1779 (6 mars) 19 - 1779 (6 mars)-1782 (7 janvier) 20 - 1782 (12 janvier)-1784 (6 octobre) (57) 21 - 1784 (25 octobre)-1787 (1er mai) (58) 22 - 1787 (3 mai)-1788 (30 juin) 23 - 1789 (11 février)-1790 (17 mars) 4 BP C3/1-13 Chambre criminelle, jugements 1611-1790 1 - 1611-1612 (59) 2 - 1611-1612 3 - 1641 (juillet)-1647 (mars) 4 - 1668 (mars)-1671 (décembre) 5 - 1672 (janvier)-1677 (mars) 6 - 1699 (janvier)-1709 (décembre) 7 - 1710 (janvier)-1730 (mars) (60) 8 - 1733 (mars)-1750 (janvier) (61) 9 - 1752 (16 mai)-1762 (23 avril) 10 - 1762 (27 avril)-1774 (11 juillet) 11 - 1774 (12 juillet)-1782 (22 mars) 12 - 1782 (22 mars)-1787 (13 juillet) 13 - 1787 (16 juillet)-1790 (2 juillet) (62) (57) Les 50 derniers folios sont consacrés aux permis d'inhumer délivrés entre le 9 décembre 1773 et le 15 août 1780. (58) Les 50 premiers folios sont consacrés aux permis d'inhumer délivrés entre le 25 septembre 1784 et le 25 mai 1785. (59) Ces deux registres recouvrent la même période : il semble que 4 BP C3/1 soit la minute ; une partie des jugements seulement a été recopiée dans 4 BP C3/2 sans qu'il ait été possible de déterminer précisément quelle catégorie de jugements a été retranscrite dans le registre coté 4 BP C3/2. (60) 5 cahiers : 1710 (11 janvier)-1711 (19 février) ; 1719 (9 novembre)-1721 (5 juillet) ; 1721 (9 septembre)1722 (5 septembre) ; 1722 (17 septembre)-1725 (27 janvier) ; 1728 (27 août)-1730 (15 mars). (61) 5 cahiers : 1733 (11 mars)-1735 (8 juillet) ; 1735 (9 juillet)-1739 (21 mars) ; 1739 (16 avril)-1742 (19 octobre) ; 1744 (7 novembre)-1747 (2 décembre) ; 1747 (11 décembre)-1750 (15 janvier). (62) 4 cahiers : 1787 (16 juillet)-1788 (23 janvier) ; 1788 (25 janvier-4 décembre) ; 1788 (5 décembre)-1789 (2 avril) ; 1790 (18 mars-2 juillet). Parquet 4 BP C4/1-2 Réquisitoires 1696-1745 1 - 1696 (15 novembre)-1700 (10 mars) 2 - 1731 (10 novembre)-1745 (12 mars) 4 BP C5/1 Confrontations 1710 (12 juillet-12 septembre) 4 BP C6/1 Greffe (63) 1743 (novembre)-1780 (décembre) 4 BP C7/1 Jugements de compétence (64) 1723 (décembre)-1759 (septembre) 4 BP CX/1-3 Parquet, "registre des conclusions bailléz par M. le Procureur du roy" 1596-1632 1 - 1596 (avril)-1600 (octobre) 2 - 1610 (janvier)-1619 (septembre) 3 - 1620 (juin)-1632 (mars) 4 BP CXX/1 Registre non identifié 1632 4 BP CL/1-2 Registres de la communauté des procureurs 1645-1728 1 - 1645-1695 2 - 1695-1728 4 BP LX/1 Parquet : "registre... pour servir à recevoir les dénonciations et déclarations de grossesses" 1779 (18 novembre)-1790 (12 juillet) (65) (63) Dépôts, 1743 (22 novembre)-1761 (19 novembre) et distributions, 1768 (15 juillet)-1780 (8 décembre). (64) 10 cahiers : 1723 (10 décembre)-1727 (2 août) ; 1728 (5 juin)-1733 (21 mars) ; 1733 (23 avril)-1734 (10 juin) ; 1739 (13 juin)-1741 (30 mai) ; 1744 (14 juillet-11 septembre) ; 1744 (6 novembre)-1747 (9 octobre) ; 1747 (11 octobre)-1751 (21 mai) ; 1751 (25 mai)-1756 (3 juin) ; 1756 (11 décembre)-1758 (5 juin) ; 1758 (6 juin)-1759 (7 septembre). (65) Le registre précédent (1761-1779) se trouve sous la cote 4 BP 5470. 4 BP XC/1 Registre civil non identifié Tutelles, curatelles et émancipations 4 BP 5000-5170 1616-1789 5000 - 1616-1617, 1624, 1627-1636, 1638 5001 - 1640-1650 5002 - 1651-1655 5003 - 1656-1661 5004-5006 - Cotes réservées 5007 - 1662-1667 (66) 5008 - 1668-1670 5009 - 1671-1675 5010 - 1674-1675 (67) 5011 - 1675-1679 (68) 5011bis - 1676-1678 5012 - 1679-1680 5013 - 1681 (69) 5014 - 1682-1685 5015 - 1686-1689 5016 - 1690-1692 5017 - 1693-1695 5018 - 1696-1699 (70) 5019 - 1700 5020 - Cote réservée 5021 - 1702 5022-5026- Cotes réservées 5027 - 1708 5028 - 1709 5029-5030 - Cotes réservées 5031 - 1712 5032 - 1713 5033 - 1714 5034 - 1715 5035 - 1716 5036 - 1717 (71) (66) Un Thomas Corneille est mentionné en 1663 parmi les parents de deffunt Jacques Le Sac (ou Le Sal ?). (67) Tutelles Duhamel ; Duquesnoy ; Hénault, 1674 ; Le Febvre, 1675. (68) Tutelles Blachefort ; Morlet ; Vereul, marchand de Rouen ; Le Coq, marchand de Rouen ; Le Chartier. (69) Dont liste des "parents paternels et maternels de Catherine Cavelier, fille de deffunct Richard Cavelier et de Catherine de la Mettarye", 1681. (70) Dont "liste des parents paternels et maternels du sieur Marin Le Pigny, fils de feu Me Marin Le Pigny, vivant, docteur en médecine", 1698. 5037 - Cote réservée 5038 - 1719 5039 - 1720 5040-5042 - Cotes réservées 5043 - 1724 5044 - 1725 5045 - 1726 5046 - 1727 5047 - 1728 5048 - 1729 5049 - 1730 5050 - 1731 5051 - 1732 5052 - 1733 5053 - 1734 5054 - 1735 5055-5056 - Cotes réservées 5057 - 1738 5058 - 1739 5059 - 1740 5060 - 1741 5061 - 1742 5062 - 1743 5063 - 1744 5064 - 1745 5065 - 1746 5066 - 1747 5067 - 1748 5068 - 1749 (juin-décembre) (72) 5069 - 1750 5070 - 1751 5071 - 1752 5072 - 1753 5073 - 1753 5074 - 1754 5075 - 1754 5075bis - 1755 5076 - 1755 5077 - 1756 5078 - 1756 5079 - 1757 5080 - 1758 5081 - 1758 (73) 5082 - 1759 (71) Quelques pièces seulement dont une "liste de messieurs les nobles parents paternels et maternels de feu Messire Nicolas Voisin, chevalier, seigneur de Neufbosc, conseiller du roy en la Grande Chambre du Parlement et de noble dame Marie Madeleine Clerel de Rampan". (72) En juin 1749, le lieutenant particulier du bailliage est Jean-Pierre Borel. (73) On lit le 13 septembre 1758 "en la chambre du Conseil du bailliage de Rouen pour la réunion de la vicomté dudit lieu devant M. Morel, présence de Le Demandé, advocat du roy". 5083 - 1759 5084 - 1760 5085 - 1761 5086 - 1761 5087 - 1762 5088 - 1762 5089 - 1763 5090 - 1763 5091 - 1764 5092 - 1764 5093 - 1765 5094 - 1765 5095 - 1766 5096 - 1766 5097 - 1767 5098 - 1767 5099 - 1768 5100 - 1768 5101 - 1769 5102 - 1769 (74) 5103 - 1770 5104 - 1770 5105 - 1771 5106 - 1771 5107 - Cote réservée 5108 - 1772 5109 - 1773 5110 - 1773 (75) 5111 - 1773 (76) 5112 - 1774 5113 - 1774 5114 - 1775 5115 - 1775 5116 - 1776 5117 - 1776 5118 - 1777 (77) 5119 - 1777 5120 - 1778 5121 - 1778 5122 - 1778 5123 - 1779 5124 - 1779 5125 - 1780 5126 - 1780 (74) Dont émancipation de "demoiselle Marie-Louise de Rik de Fréville (...) née au Pont de Paix, isle et coste de Saint-Domingue" (quelques pièces seulement). (75) Dont, 16 juillet : "adjudication finalle des biens décrétés sur le sieur Nicolas Aubouin" ; 15 octobre : "adjudication finalle des biens ayant appartenu aux lignagers Louis Fontaine" (76) Comptes de tutelles et curatelles. (77) Dont, 17 janvier : "tutelle de l'enfant naturel du sieur Caqueray". 5127 - 1781 5128 - 1781 5129 - 1782 5130 - 1782 5131 - 1783 5132 - 1783 5133 - 1784 5134 - 1784 5135 - Cote réservée 5136 - 1786 5137 - 1786 5138 - 1787 5139 - 1787 5140 - 1787 5141 - 1788 5142 - 1788 (78) 5143 - 1789 5144 - 1789 5145-5170 - Cotes réservées Permis d'inhumer 4 BP 5171 Suppliques adressées au "lieutenant général criminel au bailliage et siège présidial" pour obtenir des permis d'inhumer (79) 1714-1723 4 BP 5172 « Registre pour servir à enregistrer touttes les ordonnances qui seront rendues, portant permission d'inhumer touts ceux a qui la sépulture ecclésiastique sera refusée au terme de l'article 13 de la déclaration du roy du 9 avril dernier », 1736 (80) 1737 (9 janvier)-1743 (8 janvier) 4 BP 5173-5200 Cotes réservées (81) (78) Le 13 juin : "en la Chambre du Conseil du Grand Bailliage de Rouen devant M. Corbin, présence du procureur du roy". (79) Parmi les décédés, des protestants. (80) 110 inscriptions. (81) Le registre suivant (1746-1788) se trouve aux Archives municipales de Rouen (Bibliothèque) sous la cote GG 897. Scellés, inventaires après décès, décrets d'héritages, baux judiciaires 4 BP 5201-5451 Scellés, inventaires 1702-1790 5201 - 1702-1703 5202 - 1704 5203 - 1705-1706 5204 - 1707-1708 5205 - 1709 5206 - 1709 5207 - 1710 5208 - 1710 5209 - 1711 5210 - 1712 5211 - 1713 5212 - 1714 5213-5216 - Cotes réservées 5217 - 1716-1717 5218 - 1718 5219 - 1719 5220 - 1719 5221 - 1720 5222 - 1720 5223 - 1721 5224 - 1721 5225 - 1722 5226 - 1722 5227 - 1723 5228 - 1723 5229 - 1724 5230 - 1724 5231 - 1725 5232 - 1725 5233 - 1725 5234 - 1726 5235 - 1726 (vicomté) 5236 - 1726 5237 - 1727 5238 - 1727 5239 - 1728 5240 - 1728 5241 - 1729 5242 - 1729 5243 - 1730 5244 - 1730 5245 - 1731 5246 - Cote réservée 5247 - 1732 5248 - 1733 5249 - 1733 (vicomté) 5250 - 1733 (id.) 5251 - 1734 (id.) 5252 - 1734 5253 - 1735 5254 - 1735 5255 - 1736 5256 - 1736 5257 - 1737 5258 - 1737 5259 - 1738 5260 - 1738 5261 - 1738 5262 - 1739 5263 - 1739 5264 - 1739 5265 - 1740 5266 - 1740 5267 - 1740 5268 - 1741 5269 - 1741 5270 - 1741 5271 - 1741 5272 - 1742 5273 - 1742 5274 - 1742 5275 - 1742 5276 - 1742 5277 - 1743 5278 - 1743 5279 - 1743 5280 - 1743 5281 - 1743 5282 - 1744 5283 - 1744 5284 - 1744 5285 - 1744 5286 - 1744 5287 - 1745 5288 - 1745 5289 - 1745 5290 - 1745 5291 - 1745 5292 - 1746 5293 - 1746 5294 - 1746 5295 - 1746 5296 - 1746 5297 - 1747 (82) 5298 - 1747 5299 - 1747 5300 - 1748 5301 - 1748 5302 - 1748 5303 - 1748 5304 - 1749 5305 - 1749 5306 - 1749 5307 - 1749 5308 - 1750 (83) 5309 - 1750 5310 - 1750 5311 - 1750 5312 - 1751 5313 - 1751 5314 - 1751 5315 - 1752 5316 - 1752 5317 - 1752 5318 - 1752 5319 - 1752 5320 - 1753 5321 - 1753 5322 - 1753 5323 - 1753 5324 - 1754 5325 - 1754 5326 - 1754 5327 - 1754 5328 - 1755 5328bis - 1755 5329 - 1755 5330 - 1755 5331 - 1756 5331bis - 1756 5332 - 1757 5332bis - 1757 5333 - 1757 5334 - 1758 5335 - 1758 5336 - 1758 5337 - 1758 5338 - 1759 (82) Quelques actes s'intitulent "répertoires simples". (83) En juin et septembre, des suppliques s'adressent "à Monsieur le lieutenant général du bailliage de Rouen pour la réunion de la vicomté". 5339 - 1759 5340 - 1759 5341 - 1760 5342 - 1760 5343 - 1760 5344 - 1761 5345 - 1761 5346 - 1762 5347 - 1762 5348 - 1763 5349 - 1763 5350 - 1764 5351 - 1764 5352 - 1765 5353 - 1765 5354 - 1766 5354bis - 1766 5355 - 1767 5356 - 1767 5357 - 1767 5358 - 1767 5359 - 1768 5360 - 1768 5361 - 1768 5362 - 1769 (84) 5363 - 1769 5364 - 1769 5365 - 1769 5366 - 1770 (85) 5367 - 1770 5368 - 1770 5369 - 1771 (86) 5370 - 1771 5371 - 1771 (87) 5372 - 1772 5373 - 1772 5374 - 1772 5375 - 1773 5376 - 1773 5377 - 1773 5378 - 1774 5379- 1774 (84) Dont le 28 septembre : "répertoire et apposition de scellés après le décès du sieur Louis-Charles Marcotte, greffier de la Chambre de Tournelle". (85) Dont le 7 décembre : "répertoire et apposition de scellés après le déceds du sieur Etienne Saguer, débitant de tabac, rue Percière". (86) Dont le 14 décembre : "répertoire et apposition de scellés après le décès de messire Louis-Charles Guedier de Saint-Aubin, chevalier, conseiller du roy en la Grande Chambre du Parlement de Normandie, demeurant cour Saint-Ouen". (87) Dont le 8 octobre : "répertoire après détention de Charles Morand, à l'hôpital général, pour cause de folie". 5380 - 1774 5381 - 1775 5382 - 1775 5383 - 1775 5384 - 1776 5385 - 1776 5386 - 1777 5387 - 1777 5388 - 1777 (19 février-19 novembre) (88) 5389 - 1778 5390 - 1778 5391 - 1778 5392 - 1778 5393 - 1779 5394 - 1779 5395 - 1779 5396 - 1780 5397 - 1780 5398 - 1780 (89) 5399 - 1780 5400 - 1781 5401 - 1781 5402 - 1781 5403 - 1782 5404 - 1782 5405 - 1782 5406 - 1783 5407 - 1783 5408 - 1783 (90) 5409 - 1783 5410 - 1784 5411 - 1784 5412 - 1784 5413 - 1784 5414 - 1785 5415 - 1785 5416 - 1785 5417 - 1785 5418 - 1786 5419 - 1786 5420 - 1786 5421 - 1786 (91) (88) "Répertoire et apposition de scellés après le décès de M. le président de Rouville, demeurant rue de l'Hôpital, paroisse Sainte-Croix-Saint-Ouen", "second président à Mortier du Parlement de Normandie". (89) En 1780, le 18 mars par exemple, Charles-François Savin s'intitule "advocat en la Cour, conseiller du roy, commissaire-enquêteur civil et criminel et de police au bailliage, ville et vicomté de Rouen, six sergenteries et hautes justices en dépendant, ayant droit d'assistance aux inventaires et suitte d'iceux". (90) Des feuilles imprimées, représentant des scènes pieuses, des illustrations de paraboles... et surtout les patrons de confréries servent de chemises aux cahiers d'inventaires. (91) Dont le 19 décembre : "répertoire simple après le décès du nommé Pierre-Ambroise Le Comte, américain noir et coeffeur de femmes, demeurant rue Percière". 5422 - 1787 5423 - 1787 5424 - 1787 5425 - 1787 5426 - 1787 5427 - 1788 5428 - 1788 5429 - 1788 5430 - 1788 5431 - 1788 5432 - 1788 5433 - 1789 5434 - 1789 5435 - 1789 5436 - 1789 5437 - 1790 5438 - 1790 5439 - 1790 5440 - 1790 5441 - 1790 5442 - 1722 (10 octobre)-1746 (18 décembre) (92) 5443 - Bénéfices d'inventaires, 1756, 1760 5444-5448 - Cotes réservées 5449 - Renonciations à successions (vicomté), 1737, 1741-1747 5450 - id., 1748-1760 5451 - id., 1761-1790 (93) 4 BP 5452-5454 Cotes réservées Enfants abandonnes, visites de cadavres 4 BP 5455 Procès-verbaux de découverte d'enfants abandonnés 1711-1723 4 BP 5456-5464 Cotes réservées (92) "Inventaire général de toutes les minuttes d'apposition de scellés et répertoires faits après déceds de différentes personnes par maistre Prevel depuis sa réception et par ordre de datte". (93) 8 cahiers : 1761 (23 janvier)-1765 (7 mars) ; 1765 (15 mars)-1767 (30 octobre) ; 1767 (6 novembre)-1769 (20 juin) ; 1769 (26 juin)-1775 (26 avril) ; 1775 (28 avril)-1781 (29 mars) ; 1781 (27 avril)-1784 (8 octobre) ; 1785 (1er janvier)-1788 (18 juillet) (les deux derniers cahiers présentent des formulaires imprimés et s'intitu- lent : "registre servant à insinuer les renonciations". On a en marge de l'acte la date de l'insinuation, qui renvoit aux registres des "insinuations suivant le tarif" du bureau de Rouen, classés dans 2 C) ; 1788 (24 juillet)-1790 (26 octobre). 4 BP 5465-5466 Procès-verbaux de visites de cadavres 1785-1789 5465 - 1785-1787 5466 - 1788-1789 4 BP 5467-5469 Cotes réservées 4 BP 5470 Registre des dénonciations et déclarations de grossesses (94) 1761 (9 janvier)-1779 (12 novembre) 4 BP 5471-5479 Cotes réservées Appréciations 4 BP 5480-5481 "Registres des appréciations du bailliage de Rouen servant pour l'estimation des rentes seigneurialles, foncières et autres" 1694-1790 5480 - 1694-1785 5481 - 1786-1790 (95) 4 BP 5482-5499 Cotes réservées Héritages 4 BP 5500-5570 Décrets d'héritages (96) 1615-1793 (94) (137 feuillets). Le registre suivant (1779-1790) se trouve sous la cote 4 BP LX. (95) Sur l'avant dernier feuillet : "appréciations servant à l'estimation des rentes seigneuriales, foncières et autres pour les termes de Pasques, Saint-Jean, Saint-Michel et Noël de l'année 1790, faittes au tribunal de district, département de la Seine-Inférieure de Roüen, devant M. Boullenger, juge dudit tribunal en présence de M. Le Clert, commissaire du roy, les sept et 12 mars 1791". (96) Sous cette rubrique se trouvent aussi des actes qualifiés de "etats de meubles", "baux judiciaires", "adjudications de biens", "envois en possession", "conversions de baux judiciaires", "bail conventionné", "conversion judiciaire", "conversion de bail", "interposition des biens et héritages", "convertion de bail conventionnel en bail judiciaire", "bail judiciaire à la folle enchère", "vente forcée", "licitation", "proclamation d'abondant". 5500 - 1615, 1625, 1630 ?, 1636, 1638-1639, 1652, 1658, 1662-1663, 1674, 1678-1679 (97), 1681, 1686, 1689-1691, 1696-1697, 16991700, 1702-1703, 1707, 1709-1710, 1716-1718 5501 - 1720-1723, 1725-1726, 1729-1739 5502 - 1741-1742, 1744-1749 5503 - 1750-1755 5504 - 1756-1757 5505 - 1758-1759 5506 - 1760-1762 5507 - 1763-1765 5508 - 1766 5509 - 1767 5510 - 1768 5511 - 1768 5512 - 1769 5513 - 1769 5514 - 1770 5515 - 1771 5516 - 1771 5517 - 1772 5518 - 1772 5519 - 1772 5520 - 1773 5521 - 1774 5522 - 1774 5523 - 1775 5524 - 1775 5525 - 1775 5526 - 1776 5527 - 1777 5528 - 1777 5529 - 1778 5530 - 1778 5531 - 1778 5532 - 1779 5533 - 1779 5534 - 1779 5535 - 1779 (98) 5536 - 1780 5537 - 1780 5538 - 1781 5538bis - 1781 5539 - 1782 5540 - 1783 5541 - 1783 5542 - 1784 (99) 5543 - 1784 (97) Une lettre en hollandais. (98) Dont une abondante correspondance adressée à "Monsieur Durdan, huissier, rue de la Savonnerie, à Rouen". (99) Des dossiers portent la mention "crime". Ainsi "Crime, état de meubles Beaudouin". 5544 - 1785 5545 - 1785 5546 - 1785 5547 - 1785 5548 - 1786 5549 - 1786 5550 - 1786 5551 - 1786 5552 - 1787 5553 - 1787 5554 - 1787 5555 - 1788 5556 - 1788 5557 - 1788 5558 - 1789 5559 - 1789 5560 - 1789 5561 - 1789 5562 - 1790 (100) 5563 - 1790 5564 - 1790 5565 - 1791 (101) 5566 - 1792-1793 5567 - 1675 (102) 5568 - 1777 (103) 5569 - 1786-1789 (104) 5570 - 1788 (mars-avril) (105) 4 BP 5571-5589 Cotes réservées Qualités de sentences 4 BP 5590-5678 Sentences 1744-1791 5590 - 1744, 1746-1748 (106) 5591 - Civil, 1749 (100) Dont comptes du commissaire aux saisies réelles, Allard. (101) Tribunal de district de Rouen, dont un registre portant une liste d'état de meubles et de décrets de 1784 à 1791. (102) Décret des biens de "Messire Louis de Giffard, chevalier, seigneur de la Pierre et aultres lieux". (103) Liquidation de la succession de "Jacques Larchevesque, décédé à Yvetôt le 24 juillet [1776]". (104) Liquidation de la succession de Jean-Baptiste Gaudoit, marchand de bois à La Neuville-Champ-d'Oisel. (105) "Répertoire après le décès du sieur Jean-Baptiste Lefevre, maître cartier dominotier et marchand d'estampes, demeurant rüe du Plastre, paroisse de Saint-M du sieur (106) Pièces isolées, dont "Crime" pour 1746. 5592 - Criminel, 1749 5593 - Civil et criminel, 1750-1752 5594 - 1754-1756 (107) 5595 - 1757 (108) 5596 - 1757 (109) 5597 - 1757 5598 - 1758 5599 - 1759 5600 - 1760 5601 - 1760 5602-5604 - Cotes réservées 5605 - 1762 5606-5614 - Cotes réservées 5615 - 1766 5616 - 1766 5617 - Crime, 1766 5618 - Id., 1767 5619 - Id., 1768 5620 - Id., 1769 5621 - 1769 5622 - 1769 5623 - 1770 5624 - 1770 5625 - Crime, 1770 5626 - Id., 1771 5627 - Id., 1772 5628 - 1772 5629 - 1772 5630 - Crime, 1773 5631 - Id., 1774 5632 - 1774 5633 - Présidial, 1774 5634 - 1774 5635 - Crime, 1775 5636 - 1775 (110) 5637 - 1775 5638-5644 - Cotes réservées 5645 - Présidial, 1778 5646 - Bailliage, 1778 5647-5649 - Cotes réservées 5650 - Bailliage, 1780 5651 - Bailliage, 1780 5652 - 1781 5653 - 1781 5654 - 1781 (107) Pièces isolées pour 1755-1756. (108) Beaucoup d'actes portent la mention "police". Il s'agit d'actes concernant des communautés d'arts et métiers. (109) Plusieurs actes portent "bailliage, vicomté" ou "bailliage vicomtal". (110) Bailliage "devant M. Borel, lieutenant particulier civil". 5655 - Présidial, 1781 5656-5664 - Cotes réservées 5665 - Bailliage, 1785 (111) 5666 - Id., 1785 ( 112) 5667 - 1786-1787 5668-5671 - Cotes réservées 5672 - Bailliage, 1788 (novembre-décembre) 5673 - Présidial, 1788 5674 - Bailliage et présidial, 1789 5675-5676 - Cotes réservées 5677 - Bailliage et présidial, 1790 5678 - Tribunal de district de Rouen, 1791 (juillet-septembre) Dossiers criminels 4 BP 5690-5854 Criminel 1617-1791 5690 - 1617 (11 janvier)-1618 (5 décembre) 5691-5699 - Cotes réservées 5700 - 1640-1645, 1663 5701-5704 - Cotes réservées 5705 - 1687 5706 - 1688-1689, 1697, 1699 5707 - 1700, 1704 5708 - 1705 5709 - 1705 5710 - 1706 5711 - Cote réservée 5712 - 1707 5713 - 1708 5714 - 1708 (octobre)-1709 (octobre) 5715 - 1710 5716 - 1710 5717 - 1711 5718 - 1711 5719 - 1712 5720 - 1713 5721 - 1714 5722 - 1715 5723 - 1716 5724 - 1717 (111) Sur les actes, on trouve : "bailliage", "bailliage, assises", "pleds a masse". A noter le 17 juin l'affaire du paiement d'un "moulin à broyer les émeaux et ingrediens" d'une "manufacture de fayence". (112) On lit parfois : "bailiage, tenant les pleds royaux masse". 5725 - Dossiers de l'assassinat de la dame d'Arcanchy, rue Etoupée, à Rouen, 1717-1728 5726 - 1718 5727 - 1719 5728 - 1720 5729 - 1720 5730 - 1721 5731 - 1722 5732 - 1723 5733 - 1724 5733bis - Registre d'audiences criminelles, 1724 (22 septembre)-1726 (9 février) (113) 5734 - 1725-1726 5735 - 1727 5736 - 1728 (114) 5737 - 1729-1734 5738 - 1735 5739 - 1736 5740 - 1737 5741 - 1737 5742 - 1738 5743 - 1739 5743bis - "Testament de mort de Pierre Taurin", 1739 (10 juillet) 5744 - 1740 5745 - 1740 5746 - 1741 5747 - 1742 5748 - 1743 5749 - 1744 5750 - 1745 5751 - 1746 5752 - 1747 5753 - 1748 5754 - 1749 5755 - 1750 5756 - 1751 5757 - 1752 5758 - 1752 5759 - 1753 5760 - 1754 5761 - 1755 5762 - 1756 5763 - 1756 5764 - 1756 5765 - 1757 5766 - 1758 5767 - 1758 (113) Complète les registres classés plus haut. (114) Dont expertise faite par "Jean Thibault, écrivain juré à Paris, expert vérificateur des écritures au Parlement de Normandie, demeurant à Rouen". 5768 - 1758 5769 - 1759 5770 - 1760 5771 - 1761 5772-5779 - Cotes réservées 5780 - 1764 5781 - Registre d'audiences du présidial criminel, 1765 (14 janvier)-1767 (22 mai) 5782 - Cote réservée 5783 - 1766 5784 - 1766 5785 - 1766 5786 - 1767 5787 - 1768 (septembre) 5788-5791 - Cotes réservées 5792 - 1771 5793 - Cote réservée 5794 - 1772 5795 - 1772 5796 - 1773 5797-5798 - Cotes réservées 5799 - 1775 5800 - 1775 5801 - 1775 5802 - 1776 5803 - 1776 5804 - 1777 5805 - 1778 5806 - 1778 5807 - 1779 5808 - 1779 5809 - 1780 5810 - 1780 5811 - 1780 5812 - 1781 5813-5814 - Cotes réservées 5815 - 1782 5816 - 1783 5817 - 1784 5818 - 1784 5819 - 1784 (115) 5820 - 1784 5821 - 1784 5822 - 1785 5823 - 1786 5824 - 1787 5825 - 1788 5826 - 1788 5827 - 1788 (115) Quelques pièces maréchaussée de Rouen. 5828 - 1788 5829 - 1788 5830 - 1788 5831 - 1788 5832 - 1789 5833 - 1789 5834 - 1789 5835 - 1789 5836 - 1789 5837 - 1789 5838 - 1789 5839 - 1789 5840 - 1789 5841 - 1789 5842 - 1789 5843 - 1790 5844 - 1790 5845 - 1790 5846 - 1790 5847 - Bailliage et tribunal de district, 1790 5848 - Tribunal de district, 1790 5849 - 1791 (116) 5850 - "Etat des paroisses ressortissants du présidial de Rouen, avec le texte du nom des bailliages dans lesquels elles sont enclavées (117) 5851-5852 - Cotes réservées 5853 - Plumitifs criminels, 1783-1790 (118) 5854 - Enregistrement de lettres de rémission, 1703 (9 mars)-1709 (28 septembre) Police 4 BP 5869-5990 Affaires de police 1703-1791 5869 - 1703 5869bis - 1704 5869ter - 1705-1707 (116) Dont "grosses du procès et jugement en dernier ressort rendu au tribunal de district de Neufchâtel, qui confirme le jugement du tribunal de district de Rouen, qui a condamné le nommé Madelaine, dit Gondouin, à 3 ans de galères". (117) R. signifie Rouen, P.t.D., Pontaudemer, P.l., Pontlévêque, P.d.l., Pontdelarche. Tableau des paroisses dépendantes du bailliage et vicomté de Rouen, tant en totalité qu'en partie. Celles qui sont dépendantes en partie des hautes justices sont marquées 1/2, et celles qui en dépendent en totalité sont marquées H.J." (1 feuille imprimée en carton, s.d.). (118) 4 cahiers : 1783 (27 septembre)-1784 (15 avril) ; 1789 (3 avril-7 juillet) ; 1789 (8 juillet)-1790 (22 février) ; 1790 (23 février-14 mai). 5870 - 1715, 1717, 1719 5871 - 1721 5872 - 1722 5873 - 1723-1724 5874 - 1725 5875 - 1726-1727 5876-5877 - Cotes réservées 5878 - 1729 5879-5880 - Cotes réservées 5881 - 1731 5882 - 1732 5883 - 1732 5884 - 1733 5885 - 1734 5886 - 1735-1736 (119) 5887-5889 - Cotes réservées 5890 - 1739-1740 (120) 5891 - 1741 (121) 5892 - Cote réservée 5893 - 1743 5894 - 1744 5895 - 1745 5896 - 1746 5897 - 1747-1749 5898-5899 - Cotes réservées 5900 - 1750 (122) 5901 - 1751 5902 - 1752 5903 - 1753 5904 - 1754 5905 - 1755 5906 - 1756 5907 - 1757 5908 - 1758 (123) 5909 - 1759 5910 - 1760 5911 - 1761-1763 5912 - 1764 5913 - 1765 (124) 5914 - 1768 5915 - 1769 5916 - Délivrances de "billets d'injonction", procès-verbaux par les "commissaires enquêteurs et de police" Jean Cottart et CharlesFrançois Savin, 1769 (119) Quelques pièces seulement pour 1736. (120) Une pièce seulement pour 1739. (121) 4 pièces seulement. (122) A noter le 20 avril : « procès-verbal des papiers du greffe ». (123) Dont affaire d'insultes renvoyée du Parlement au lieutenant de police. (124) En 1765, une affaire évoquée au Conseil du roi. 5917 - Id., commissaire Pierre-Alphonse Yvelin de Béville, 1769 5918 - 1770 (125) 5919 - 1771 5920 - 1772 5921 - 1772 5922 - 1773 5923 - 1773 5924 - 1773 5925 - 1774 5926 - 1775 5927 - 1775 5928 - 1776 5929 - 1776 5930 - 1777 5931 - 1777 5932 - 1778 5933 - "Procès-verbaux de Me Lemoine, commissaire", 1778 5934 - 1779 (126) 5935-5938 - Cotes réservées 5939 - 1780 5940 - 1781 5941 - 1780-1782 (commissaire Savin) 5942 - 1780-1782 (commissaire Renard) 5943 - 1780-1782 (commissaire Dubost) 5944 - 1780-1782 (commissaire Le Gentil) 5945 - 1782 (divers commissaires) 5946 - 1783 (id.) 5947 - 1783 (id.) 5948 - 1784 (id.) 5949 - 1784 (id.) (127) 5950 - Suppliques au lieutenant général et procès-verbaux de commissaires, 1784 5951 - Id., 1785 5952 - Id., 1785 5953 - Id., 1787 (128) 5954 - Id., 1787 5955 - "Informations", 1788 5956 - "Plaintes", "informations", "qualités", 1788 5957 - "Plaintes de M. Renard" [commissaire], 1788-1789 5958 - "Informations", "qualités", 1789 5959 - "Informations", "qualités", 1790 (129) 5960 - Registre coté et paraphé "par nous Jacques Billard de Nainville, es-cuyer, conseiller du roy, lieutenant général de police au bailliage, ville et vicomté de Rouen, pour servir à enregistrer les (125) Deux pièces seulement. (126) Un dossier seulement. (127) "Plaintes", "procès-verbaux" surtout. (128) Surtout des "plaintes", procès-verbaux de commissaires. (129) Une supplique est encore adressée, en mars 1790, au "lieutenant général de police du bailliage, ville et vicomté de Rouen". forfaitures arrêtées par les marchands orphèfres de cette ville", 1739 (5 janvier)-1791 (20 juin) (130) 5961 - Registre servant à enregistrer les déclarations de ceux qui tiennent billard, nommés par l'ordonnance de M. le lieutenant général de police du cinq octobre dernier et de celle du 30 avril dernier, en exécution de l'arrêt de la cour du 27 avril dernier", 1787 (3 mai)1790 (26 janvier) (131) 5962 - Livre des ouvriers", travaux et salaires de menuisiers, serruriers et charpentiers, 1775 (avril-décembre) (132) 5963 - Affiches imprimées : "sentences de police du bailliage de Rouen", 1732-1733, 1750-1753, 1757, 1763-1766, 1789. 5964 - Pièces imprimées diverses : arrêts du Parlement de Rouen, arrêts du Conseil d'Etat du roi, déclaration du roi, arrêt de la Cour des Monnoies, "approbation du lieutenant-de-Maire au département de la police" sur le projet d'"établissement public approuvé par la municipalité de Paris : liquidation des offices supprimés", 1790 (27 août) 5965 - Ville de Dieppe : statuts des corps de métiers et pièces y relatives : apothicaires et épiciers ; batiers-boureliers ; boulangers ; chandeliers ; chapeliers ; chaudronniers ; cloutiers ; corroyeurs ; étaimiers ; fruitiers ; maréchaux ; menuisiers ; merciers ; merciers-drappiers ; orfèvres ; peigniers ; serruriers ; "taillandiers ou mareschaux en blanche et noire oeuvre" ; tapissiers et fripiers ; tisserans ; tonneliers ; "tourneurs, rouetiers, tamisiers, futaillers, poulieurs, cofretiers" (sentence imprimée du bailliage de Dieppe, 12 juillet 1740) ; vitrier ; voiliers. "Arrest du Conseil au sujet du mesurage des sels" ; "contrôle du poids, édit de création du mois de mars 1637" ; "extrait des registres du Conseil d'Etat du 28 février 1714 concernant les raquits des rentes dues aux religionnaires" ; lettres de Nicolas de Saulx-Tavannes, archevêque de Rouen, réglant la destruction du cimetière de la chapelle du prieuré de la "communauté des religieuses bénédictines dittes de Saint-Léonard, établies dans la ville de Dieppe", 1740 (8 juin) (133) 5966 - Registre de "rapors", 1723 (10 juin)-1727 (27 février) 5966bis - Registre plumitif, 1718 (17 novembre)-1719 (28 avril) 5967 - Registre de "police contentieuse", 1723-1774 (134) 5968 - Registres de "police générale", 1759-1766 (135) 5969 - Plumitifs de la chambre ?, 1724-1735 (136) (130) 1 cahier de 32 feuillets. (131) 1 cahier de 7 feuillets manuscrits. (132) Registre tenu tête-bêche, 12 et 10 feuillets. (133) Manuscrits et imprimés. (134) 6 cahiers : 1723 (18 juin)-1724 (17 février) ; 1725 (22 juin)-1726 (16 mai) ; 1729 (26 février-19 août) ; 1754 (6 avril)-1760 (26 janvier) (registre coté et paraphé "par nous Jacques-Adrien Varnier, conseiller du roy, lieutenant général de police au bailliage, ville et vicomté de Rouen, pour servir à enregistrer toutes les causes qui seront rendues à l'audience de la police contentieuse et à porter tousles jugements qui interviendront". (135) 3 cahiers : 1759 (9 janvier)-1760 (2 juin) (registre coté et paraphé "par nous Jean Picart, escuyer, conseiller du roy, lieutenant particulier civil et de police au bailliage, ville et vicomté de Rouen, pour servir à enregistrer les causes qui seront portées à laudience de la police généralle". 5970 - Registre coté et paraphé "par nous Jean-Pierre Borel, conseiller du roy, lieutenant particulier civil et de police pour servir à enregistrer les dépôts des choses saisies et approchées et les clausions et productions qui se feront au greffe de la police du bailliage, ville et vicomté de Rouen, 1762 (13 mai)-1769 (10 août) 5971-5979 - Cotes réservées 5980 - Enregistrement : provisions d'offices, 1704-1737 (137) 5981 - Enregistrement, 1730-1743 (138) 5982 - Id., 1732-1744 (139) 5983 - Id., 1737-1767 (140) 5984 - Enregistrement de lettres de séparation civile, 1767 (26 juin)1770 (9 janvier) (141) 5985 - Enregistrements, 1768-1790 (142) 5986 - Demande de réceptions à des offices, réceptions, séparations civiles (1753), 1729-1735, 1737, 1739-1742, 1744-1748, 1750, 1752-1769, 1771-1773 5987-5988 - Cotes réservées 5989 - 1726, 1738 (143) 5990 - "Plumitifs pour les compétences du Présidial de Rouen", (...) 1759 (13 septembre)-1765 (12 janvier) ; "de la chambre présidiale prevostalle", 1767 (18 juillet)-1776 (20 mai) ; id., 1776 (6 juin)1779 (6 octobre) ; 1779 (8 octobre)-1782 (18 avril) ; 1782 (13 mai)-1786 (13 octobre) ; 1786 (30 octobre)-1789 (16 janvier) (136) 8 cahiers : 1724 (29 novembre)-1725 (6 avril) ; 1725 (7 avril-12 octobre) ; 1725 (14 octobre)-1726 (16 janvier) ; 1732 (15 février-13 juin) ; 1732 (20 juin-6 septembre) ; 1734 (6 février-14 mai) ; 1734 (10 juillet)-1735 (21 août) ; 1734 (17 septembre-24 décembre). (137) 2 registres non reliés : 1704 (15 octobre)-1709 (14 décembre) ("en la Chambre du Conseil") ; 1710 (2 janvier)-1737 (4 décembre) ("en la Chambre du Conseil". (138) 4 registres non reliés : 1730 (18 mars)-1731 (22 septembre) ("en la Chambre du Conseil") ; 1731 (3 octobre)-1732 (26 novembre) ("en l'assise du bailliage" ; 1731 (4 octobre)-1735 (5 décembre) ("en la Chambre du Conseil") ; 1732 (28 novembre)-1743 (9 avril) (pour le bailliage de Rouen seulement). (139) 4 registres non reliés : 1732 (5 décembre)-1735 (15 décembre) ; 1736 (11 janvier)-1738 (9 juillet) ; 1738 (7 octobre)-1742 (10 janvier) ; 1742 (16 janvier)-1744 (24 juillet) ("en l'assise du bailliage"). (140) 3 registres non reliés : 1747 (1er décembre)-1753 (4 mai) ("en l'assise du bailliage") ; 1753 (11 mai)-1757 (20 juillet) ("en l'assise du bailliage" ou "devant Monsieur Borel, lieutenant particulier civil", par exemple, le 2 juillet 1756 ; 1757 (6 octobre)-1767 (27 décembre) "en l'assise du bailliage". (141) 1 cahier de 18 feuillets, tous manuscrits. (142) 4 registres, dont 3 non reliés : 1768 (28 janvier)-1770 (12 juin) (provision d'offices ; contrat de mariage : ainsi le 12 juin 1770, entre le comte d'Assat et Marie-Jeanne Baptiste de Baumer, "acte d'incommodité", acte d'incommunauté) ; 1770 (2 juillet)-1774 (15 juillet) ; 1774 (5 octobre)-1785 (22 juillet) ; 1785 (22 juillet)-1790 (14 octobre) (feuillet 33 : provisions de Me Delabarre, notaire au bailliage de Rouen ; feuillet 58 : "lettres patentes du roy portant établissement de la Chambre des vacations du Parlement de Rouen", 5 octobre 1788 ; feuillet 75 v° et suivants : Etats généraux de 1789 ; feuillet 102 : "sentence d'interdiction de la personne du sieur Poulain Grandchamps", 1790 (1er juin). (143) Deux registres, non communicables, car trop abîmés, ...1728..., ...1738... Etats généraux de 1789 Elections au bailliage de Rouen (144) 4 BP 6000 Bailliages d'Andely, Charleval, Chaumont (145), Lyons, Pont-de-L’arche, Vernon. Assignations et procurations ecclésiastiques. Assignations remises aux curés, bénéficiers et communautés religieuses des deux sexes et procurations de ceux des assignés qui ne peuvent comparaître personnellement à l'assemblée des trois ordres à Rouen, le 15 avril. 4 BP 6001 Bailliage d'Auge à Pont-l'Evêque. Assignations aux ecclésiastiques et aux nobles. Outre les assignations individuelles, il y a un état exact de ces assignations et une liste de 122 paroisses du bailliage avec, pour chacune, le nom du ou des curés, des bénéficiers et des seigneurs ayant fief 4 BP 6002 Bailliage d'Auge à Pont-l'Evêque. Procurations ecclésiastiques. Parmi les procurations, celle des Dominicains de Pont-l'Evêque, au nombre de 12 ; des sœurs de l'Annonciade de Honfleur : 10 ; des religieux du prieuré de Beaumont-en-Auge : 9 ; le prieur est dom Alexis-Jean Ruault, le futur Conventionnel ; des religieux du Val-Richer : 7 ; du prieuré de SainteBarbe-en-Auge, ordre de Saint-Augustin : 5. La liasse contient aussi le cahier du curé de Saint-Laurent-du-Mont (146) et une note non signée qui demande aux députés, qui seront élus aux Etats généraux, de protester contre un abus qui se produit dans le pays d'Auge : la transformation des terres de labour en prairies. 4 BP 6003 Bailliage de Gisors. Assignations aux ecclésiastiques et aux nobles. Cette liasse, très volumineuse, contient toutes les assignations individuelles aux curés, bénéficiers, titulaires de chapelles, possesseurs de dîmes, seigneurs de paroisse et possesseur de fiefs ; en outre, la minute d'une lettre du lieutenant général du bailliage, Vinot de Préfontaine, le 9 avril, au lieutenant général du bailliage de Rouen ; elle donne quelques détails sur l'assemblée préliminaire du Tiers Etat, les 31 mars et 6 avril avec les noms des députés élus pour l'assemblée du grand bailliage (147) ; enfin, le cahier du curé de la paroisse des Noyers (148). (144) Le grand bailliage de Rouen était formé du bailliage particulier de Rouen, des bailliages secondaires de Honfleur, Pont-Audemer, Pont-de-l'Arche, Pont-l'Evêque et des cinq bailliages ou hautes justices assimilées d'Andely, Charleval, Gisors, Lyons, Vernon, qui composaient l'ancien grand bailliage de Gisors, réuni à celui de Rouen en 1772. Il comptait plus de 350.000 habitants, et il était, avec le bailliage du Cotentin, le plus étendu et le plus peuplé de la Normandie. L'inventaire des liasses a été publié par E. Le Parquier. (145) Cette indication est erronée, il n'y a pas eu de bailliage de Chaumont en 1789. (146) Calvados, arrondissement de Lisieux, cantopn de Mézidon. (147) Les assemblées des paroisses ont été tenues les 22, 25 et 29 mars. Les commissaires chargés de rédiger le cahier se trouvent dans le registre que nous analysons à la suite de ces liasses. (148) Les Noyers (Eure), arrondissement des Andelys, canton de Gisors. 4 BP 6004 Bailliage de Honfleur. Procurations ecclésiastiques. Cette liasse renferme aussi une liste d'assignations à faire aux ecclésiastiques et aux nobles possédant fiefs, et une copie collationnée du procès-verbal de l'assemblée préliminaire du Tiers Etat du bailliage les 2 et 3 avril (149) 4 BP 6005 Bailliage de Pont-Audemer. Assignations et procurations ecclésiastiques. Quelques documents intéressants : nomination d'un procureur par les officiers 12 livres de la cathédrale de Lisieux, possesseurs d'une dîme à Brionne, par les Carmélites de Pont-Audemer, au nombre de 16, par les Ursulines : 18, par le principal, procureur et quatre grands boursiers du collège de Lisieux [à Paris], par l'abbaye du Bec-Hellouin : 19 religieux ; par les chanoines réguliers de Corneville : 7 ; par le prieur commandataire du prieuré de Saint-Philbert-sur-Risle ; par les deux abbayes de Préaux, celle de Saint-Pierre (hommes) : 9 signatures, et celle de SaintLéger (femmes) : 11 signatures. Il y a enfin un cahier, le cahier du curé de La Haye-de-Routot (150). 4 BP 6006 Bailliage de Rouen. Assignations et procurations ecclésiastiques. Liasse très volumineuse qui nous fournit des renseignements précis sur le nombre et les noms des ecclésiastiques séculiers et réguliers du bailliage de Rouen. On y trouve la nomination des députés du clergé des paroisses de la ville (151), les procurations des communautés religieuses d'hommes et de femmes. Le clergé paroissial et les communautés se sont contentés de reproduire dans leurs procurations, les termes des lettres de convocation et de l'ordonnance du lieutenant général du bailliage. Cependant, le clergé de Sainte-Croix-Saint-Ouen a fait cette restriction "persuadés qu'ils sont que les Etats généraux n'entreprendront en aucune manière sur l'exercice de l'autorité qui appartient aux provinces privilégiées". Les Dominicaines, dites les Emmurées, qui ont pour prieure dame Catherine de la Rue d'Iclon, ont donné à leur procureur, qui est leur directeur, le R.P. Albert Beaumont, des instructions précises et curieuses, qui sont comme l'écho des idées particularistes et aristocratiques du Parlement de Rouen. Il a pouvoir de faire et négocier ce qu'il avisera être utile "au maintien des droits, coutumes, franchises, libertés et à la hiérarchie judiciaire du duché de Normandie, sans que, sur le prétexte du bien général, il puisse être attenté à sa constitution, [de] demander la suppression des assemblées fiscales et de leurs bureaux ou commissions, établies dans cette province sous le nom d'assemblées provinciales, et le rappel de nos anciens Etats ainsi que leur tenue annuelle. "Déclare que ladite communauté n'entend donner une adhésion générale au réglement annexé aux lettres de convocation et en demande (149) Le cahier est conservé dans le registre que nous analysons à la suite de ces liasses. M. Blossier a publié ce procès-verbal et ce cahier d'après un autre texte qui se trouve aux Archives municipales d'Honfleur (cf. Cahier de doléances du bailliage d'Honfleur, p. 159-164). (150) Eure, canton de Routot. (151) L'assemblée la plus nombreuse est celle de Saint-Godard, 26 présents, parce qu'elle comprenait le principal et les professeurs du collège, le directeur et les professeurs du séminaire de Joyeuse. Ce furent du reste le principal du collège, Grenier et le directeur du séminaire, Le Picard, qui furent nommés députés. Parmi les professeurs du collège, Nicolas Bignon, professeur de seconde, qui fut à Rouen un des chefs du parti girondin. acte. "Enfin aviser tout ce peut concerner les besoins de l'Etat... en respectant les propriétés de chacun et les droits et chartes des villes et provinces, promettant lesdites dames délibérantes d'agréer et approuver tout ce que ledit sieur, leur député, aura fait... le chargeant expressément d'insister pour l'opinion par ordre et non par tête et de protester se retirer dans le cas où il en serait autrement". Il y a encore dans cette liasse une note du curé de Beaumont-le-Hareng, un fragment du cahier du curé du Val-Martin (152) et le cahier du curé de Fontaine-sous-Préaux. 4 BP 6007 Pièces mêlées. Cette liasse contient d'abord quelques documents manuscrits, sans importance, relatifs à l'assemblée préliminaire du bailliage d'Arques. Pour le bailliage de Rouen, nous y trouvons, outre de nouvelles assignations et procurations ecclésiastiques, quelques documents intéressants : une lettre du roi du 10 mars 1789 réglant que le bailliage de Charleval, omis dans le réglement du 24 janvier, sera bailliage secondaire du grand bailliage de Rouen ; une autre du 5 avril portant que, pour donner satisfaction à la ville de Rouen, sur huit députés au Tiers Etat, la ville en aura trois nommés directement par ses 80 députés à l'assemblée générale du grand bailliage (153) ; une lettre de Barentin du 10 avril : le roi verrait avec plaisir que, sur les cinq députés accordés aux campagnes du grand bailliage, il y eût deux députés du bailliage particulier de Rouen ; le cahier de Mouchard, curé de SaintPierre-les-Cercueils, diocèse d'Evreux (154). 4 BP 6008 Assemblée du clergé. Procès-verbal et minutes du cahier. Pièces diverses imprimées et manuscrites : les brochures de Thouret, l'"Avis des Bons Normands" et "la Suite de l'avis", avec l'"Essai d'un cahier de pouvoirs et instructions" ; le réglement fait par le roi pour l'exécution de ses lettres de convocations aux Etats généraux dans les bailliages de Rouen et de Charleval et dans les hautes justices seigneuriales d'Andely, Gisors, Lyons, Vernon, 1789 (10 mars) (155). Le but est de conserver au bailliage de Charleval son droit de représentation et aux autres hautes justices l'avantage d'une convocation également rapprochée ; le règlement fait par le roi pour l'exécution de ses lettres de convocation aux Etats généraux dans les bailliages de Bellême et de Mortagne, 1789 (28 février) ; procèsverbal de l'assemblée de l'ordre de la noblesse du bailliage de Rouen, 1789 (156) ; une copie imprimée de l'Expédition de l'acte de déclaration de partie de la noblesse du grand bailliage de Rouen, faite à la requête du comte de Blangy, le 27 avril 1789, signée par lui et les notaires Le (152) Il n'est pas signé mais il se trouve avec la procuration manuscrite de ce curé et paraît bien de la même écriture. Beaumont-le-Hareng, Seine-Inférieure, canton de Bellencombre ; Le Val-Martin réuni à Bocasse, canton de Clères ; Fontaine-sous-Préaux, canton de Darnétal. (153) Cette lettre provoqua de vives protestations des députés des campagnes à l'assemblée préliminaire ; la lettre de Barentin, du 10 avril, paraît destinée à leur donner quelque satisfaction mais elle amena elle-même d'autres difficultés. En fait, le bailliage particulier de Rouen, en dehors des trois députés de la ville, n'eut qu'un député, Lefort, de Canteleu. (154) Aujourd'hui Saint-Pierre-les-Fleurs (Eure), canton d'Amfreville-la-Campagne. (155) Ces hautes justices étaient un démembrement du grand bailliage de Gisors, réuni à celui de Rouen en 1772. (156) Rouen, Seyer, 56 p. Gingois et Delabarre, 1789 (157). C'est une protestation contre le refus de la majorité de l'ordre de renoncer à ses privilèges pécuniaires. Elle est souscrite par 108 nobles, en leur nom personnel ou au nom de ceux dont ils ont les procurations, auxquels viennent encore se joindre le duc d'Harcourt et deux autres nobles ; courte réflexion sur l'expédition de l'acte de déclaration (158). C'est une défense du droit de la noblesse de ne pas payer la taille ; cahier des pouvoirs et instructions à remettre aux députés de l'ordre de la noblesse du bailliage de Rouen, 1789 (159). Le cahier, 66 articles, est suivi du texte latin et français de la Charte aux Normands et de ses confirmations ; cahier des doléances, remontrances et instructions de l'assemblée du Tiers Etat de la ville de Rouen..., 1789 (mars) (160) ; deux exemplaires imprimés du cahier de doléances du clergé du bailliage de Rouen, de format et d'impression différente. Pièces manuscrites : le procès-verbal de l'assemblée du clergé, 1789 (15 avril) (161), avec signature du président, le cardinal de La Rochefoucauld, et des secrétaires, Morel, curé de Critot, et Le Dannois, curé de Rumesnil ; minute du cahier avec ratures et signatures des commissaires (20 seulement sur 28) (162) ; les protestations du clergé et de la noblesse de Gisors contre la suppression de leur grand bailliage en 1772 ; la protestation d'un certain nombre de communautés religieuses contre la représentation insuffisante qui leur a été accordée par le réglement du 24 janvier. Parmi elles : La Madeleine, Saint-Ouen, Bonne-Nouvelle, Fécamp, Bonport, Préaux. Le ton est modéré : "jaloux de conserver l'unité, ils ne veulent se porter à aucune démarche qui pourrait paraître contraire à l'ordre et à la paix". Parmi les signataires, Dom Davoult, prieur de Saint-Ouen, qui va être député aux Etats généraux, de Bonne, prieur de la Madeleine, Quennouel, procureur de l'abbaye de Fécamp, le prieur de Bonne-Nouvelle, etc ; la protestation du Chapitre de la cathédrale du 14 avril devant les notaires Varengue et Marc, contre la représentation insuffisante attribuée au Chapitre par le règlement du 24 janvier. Elle est souscrite de Jacques-François-Augustin de Carrey, grand vicaire de Saint-Gervais, doyer, et de 40 chanoines. A cette protestation est jointe la signification faite par huissier à l'assemblée du clergé le 17 avril, le discours d'un des représentants du Chapitre et la proposition faite le 16 à cette assemblée par les députés du Chapitre. Ils prétendaient que le règlement du 24 janvier était insolite et que, par conséquent, il aurait dû être revêtu de lettres patentes et vérifié par le Parlement, et ils demandaient la nomination de commissaires pour l'examiner. L'assemblée ne voulut pas recevoir leur proposition, et ils durent se contenter de la faire signifier par huissier le lendemain à un des secrétaires. Ces différentes pièces furent annexées au procès-verbal ; nombreuses adhésions à la protestation du Chapitre, notamment celles des mandataires des évêques de Bayeux et de Lisieux, des collégiales (157) 30 p., sans nom d'imprimeur. (158) 14 p., sans nom d'imprimeur. (159) Seyer, 104 p. (160) 56 p., sans nom d'imprimeur. (161) Cinq cahiers de papier, en tout 57 feuilles. (162) 11 feuilles. d'Andely, Vernon, La Saussaie (163) , aux documents relatifs au clergé est annexée une pièce très intéressante, qui n'existe pas aux Archives de la ville. C'est la protestation, signifiée requête de plusieurs électeurs, composant l'assemblée générale du Tiers Etat du bailliage principal de Rouen, bailliages secondaires et sergenteries réunies, 1789 (20 avril), à la requête de MM. (les noms sont écrits à la main) Marin Morel, laboureur, demeurant à Pibeuf, sergenterie de Cailly ; Alexandre-Romain Crochon, avocat et député de la ville et bailliage de Pont-Audemer ; David Pain, marchand et député de la paroisse de Saint-Aignan, écarts de PontAudemer et François Roger fils, marchand de Rouen et député de la ville de Rouen (164). Ils protestent contre la participation du maire, des échevins et anciens échevins à l'élection des 80 députés de la ville, les 30 et 31 mars, contre celle du procureur et de l'avocat pensionnaire, ce dernier (il s'agit de Thouret), n'étant même pas originaire de Rouen, et contre l'arrêt du Conseil du roi du 5 avril qui a permis aux 80 députés de la ville de ne point se réduire au quart et de nommer directement trois députés aux Etats généraux. Ils refusent donc de donner adhésion aux opérations faites et à faire pour la nomination des députés, et ils leur refusent leurs pouvoirs (165). 4 BP 6009 Affaires générales : protestations annexées au procès-verbal de l'assemblée du Tiers Etat du bailliage principal de Rouen et de ses secondaires du 16 avril 1789 et jours suivants ; protestations du clergé et de la noblesse du bailliage de Gisors contre la suppression de leur grand bailliage ; 46 signatures dont celle de Dubosc de Radepont, maire de Rouen, comme procureur du duc de Penthièvre ; protestation des députés du bailliage de Pont-Audemer contre l'arrêt du Conseil du 5 avril en faveur de la ville de Rouen et contre le fait qu'on ne veut pas accorder de droit un député à leur bailliage (166) ; protestation signifiée requête de plusieurs électeurs... (167). Mais cet exemplaire, outre la signature des quatre requérants, contient les signatures manuscrites de 64 autres électeurs du Tiers Etat ; protestations et observations des procureurs à la Cour des comptes et finances de Normandie, signifiées par huissier le 16 avril (168) ; protestation du collège et communauté des huissiers du Parlement de Rouen, 16 avril. Ils protestent contre le mode de convocation qui les a empêchés de défendre leurs propres intérêts (169), contre la participation des anciens échevins, du procureur et de l'avocat (163) Eure, arrondissement d'Evreux, canton d'Amfreville-la-Campagne. Mais cette dernière adhésion avait été surprise, et le député du Chapitre de La Saussaie fut chargé par ses collègues de protester contre elle. (164) 13 p., sans nom d'imprimeur. (165) Leur protestation était en partie basée sur le Réglement du 15 juin 1767 pour l'administration de la ville de Rouen. Mais ils oubliaient que ce réglement avait été aboli en fait par les lettres patentes du 10 mars 1773. Cf. dans le Précis des travaux de l'Académie de Rouen de 1933, p. 123-140, une étude sur ce Réglement. M. Lebègue n'a pas connu cette curieuse Protestation ; il ne la mentionne pas dans sa thèse si documentée sur Thouret. (166) Le bailliage de Pont-Audemer eut cependant son député : Lereffait, propriétaire et laboureur à Rougemontier, qui fut un des huit députés du Tiers Etat du grand bailliage de Rouen aux Etats généraux. (167) Voir 4 BP 6008. (168) Extrait du registre de leur communauté, 15 p., sans nom d'imprimeur. (169) La municipalité, en accordant, sur leur demande, aux huissiers des différentes juridictions le droit de députer directement à l'assemblée de la ville, avait décidé aussi qu'ils ne feraient tous qu'un seul corps. pensionnaire à la nomination des députés de la ville et contre plusieurs articles du cahier de la ville (170). Protestations annexées au procès-verbal de l'assemblée des trois ordres du 15 avril : protestation du duc de Penthièvre, seigneur haut justicier de la vicomté de Roumare, contre l'assignation à lui donnée le 19 mars, pour assister à l'assemblée de ce jour, attendu que la vicomté de Roumare est membre du comté d'Eu et que les habitants ont été convoqués à l'assemblée du bailliage d'Abbeville. Signée de Duc Bosc de Radepont, porteur de sa procuration ; protestation de Haillet de Couronne contre la qualification donnée à M. de Pommeraye de seigneur de Grand-Couronne (171) ; protestation des procureurs du Parlement, en date du 4 avril contre la présence et le vote des anciens échevins à l'assemblée de la ville et contre plusieurs articles du cahier (172) ; protestation de la noblesse de l'ancien bailliage de Gisors contre..., texte manuscrit avec les signatures ; pièces concernant le Chapitre. Ce sont les mêmes que celles de 4 BP 6008. En plus, une lettre à la noblesse pour lui annoncer le dépôt de l'acte de protestation, appel et opposition et deux actes de signification par huissier de la protestation, l'un au lieutenant général, l'autre au procureur du roi au bailliage. Documents électoraux proprement dits : tous ces documents sont manuscrits. C'est le dossier complet des opérations électorales des assemblées de la ville, du bailliage particulier et du grand bailliage de Rouen. Il est constitué par les documents authentiques portant, selon le cas, les signatures du président, des secrétaires, des commissairesrédacteurs et des comparants ; délibération de l'assemblée du Tiers Etat et nomination des 80 députés de la ville de Rouen les 26, 29, 30 et 31 mars, avec les signatures des comparants (173) ; cahier des doléances, remontrances et instructions de l'assemblée du Tiers Etat de la ville de Rouen, avec les signatures des comparants (174) ; procès-verbal de l'assemblée générale et préliminaire des députés du Tiers Etat de la ville et faubourgs de Rouen, bourgs, paroisses et communautés de campagne du ressort de la juridiction ordinaire du bailliage particulier de Rouen, tenue en la grande salle des Consuls de cette ville les 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 11 avril (175). A ce procès-verbal est annexée la liste du quart des députés élus pour l'assemblée du grand bailliage. Sergenterie de Couronne : 13 ; de Pavilly : 16 ; de Pont-Saint-Pierre : 24 ; de Saint-Georges : 19 ; de (170) Article 35 : Réforme des formes judiciaires pour simplifier les procédures, abréger les lenteurs, diminuer les frais ; article 38 : suppression de la vénalité des offices de magistrature ; article 40 : nomination d'arbitres parents dans les contestations pour les successions, d'arbitres ordinaires pour petits dommages ; article 41 : extension de la compétence sans appel des juges royaux, des présidiaux, des juges consuls ; article 42 : création d'une chambre souveraine pour juger en appel et sans frais les affaires de commerce. (171) Haillet de Couronne était lieutenant criminel au bailliage de Rouen et secrétaire perpétuel pour les lettres de l'Académie de Rouen, où il a joué un rôle intéressant. (172) Articles 31, 38, 40, 41 et 42. L'article 31 dit que les lois votées par les Etats généraux n'auront besoin que du concours de la volonté nationale et de l'autorité royale pour être valables et obligatoires dans tout le royaume.ce qui supprime l'obligation de l'enregistrement par les Cours souveraines. Les autres articles sont les mêmes que dans la protestation des huissiers. (173) 19 p. non numérotées. Ce procès-verbal et le cahier sont transcrits et signés aussi sur le registre des délibérations du Conseil des vingt-quatre. Archives municipales, Reg. A 40, et il existe une autre copie de ce procès-verbal aux mêmes Archives, tiroir ou carton 217. (174) 23 p. non numérotées, 95 articles. (175) 45 p. cotées et paraphées avec les signatures des comparants, 112 articles. Il y en a un autre exemplaire original, paraphé et signé, aux Archives nationales, série C23 (139) et une copie collationnée série Ba 76. Saint-Victor : 22 ; Darnétal et faubourgs : 8. Il manque les députés de celle de Cailly ; procès-verbal des séances de l'assemblée générale des trois Etats du bailliage principal de Rouen des 15, 25 et 27 avril 1789 (176) ; liste par ordre et par bailliage de MM. présents et qui se sont fait inscrire lors de l'assemblée générale des trois Etats du bailliage principal de Rouen du 15 avril 1789, avec les notes des procurations dont ils ont dit être chargés (177) ; liste par bailliage de MM. de l'ordre de la noblesse présents, avec les notes des pouvoirs dont ils ont dit être chargés (178) ; procès-verbal de l'assemblée de l'ordre de la noblesse, signé du président et du secrétaire (179) ; cahier des pouvoirs et instructions à remettre aux députés de l'ordre de la noblesse du bailliage de Rouen, signé le marquis de Mortemart, président, Le Mercier, secrétaire (180) ; procès-verbal de l'assemblée générale des députés du Tiers Etat des villes, bourgs, paroisses et communautés de campagne situés dans toute l'étendue de l'arrondissement du bailliage principal de Rouen et de ses secondaires, tenue en la grande salle de la juridiction consulaire de la ville, les 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22 et 23 avril 1789 (181) ; cahier de pouvoirs, doléances, remontrances et instructions de l'assemblée générale du Tiers Etat du bailliage principal de Rouen et de ses secondaires, arrêté à la séance du 21 avril 1789 (182). Il ne diffère du cahier de la ville et de celui du bailliage particulier de Rouen que par le nombre plus grand des articles : 117 contre 95 et 112, et par des modifications plus ou moins importantes dans un certain nombre d'articles des deux autres cahiers ; procès-verbal de l'assemblée de la noblesse du bailliage principal de Rouen du 20 juillet convoquée sur la demande du marquis de Mortemart et en vertu de l'ordre du roi du 27 juin. Avec ce procès-verbal, lettre du marquis de Mortemart au lieutenant général du bailliage, Boulanger, pour qu'il convoque la noblesse ; procès-verbaux et cahiers de neuf paroisses des faubourgs et de la banlieue de Rouen : Boisguillaume, bourg de Darnétal comprenant les trois paroisses de Saint-Ouen, de Longpaon, Saint-Pierrede-Carville, Saint-Léger-du-Bourg-De-nis qui ont rédigé un cahier commun, Mont-aux-Malades, Saint-Aignan, Saint-André-hors-la-Ville, Saint-Gervais, Saint-Gilles-de-Répainville, Saint-Hilaire, Saint-Paul (183). (176) 18 pages cotées et paraphées. Il y en a une copie collationnée aux Archives nationales, Ba 76. (177) 33 p. non numérotées. (178) 25 p. (179) 29 p. non numérotées. (180) 16 p. cotées et paraphées [et non 14, comme le porte le cahier ; il y a deux pages qui sont comptées deux fois], 66 articles. En plus, une "page unique" : cahier d'instructions particulières : 5 articles. (181) 36 p. cotées et numérotées, dont 4 pages et demie de signatures. Il en existe un exemplaire manuscrit aux Archives nationales Ba 76. (182) 37 p. cotées et numérotées, avec les signatures à partir de la p. 31. Ce cahier n'a pas été imprimé à l'époque comme ceux du clergé et de la noblesse, et il n'en existe aucun exemplaire aux Archives nationales. On le croyait définitivement perdu, et on l'avait, encore tout récemment, cherché vainement à Londres. M. Lebègue écrivait dans sa thèse sur Thouret, en 1910 : "Nous ne possédons malheureusement pas ce cahier du bailliage principal ; il est même fort douteux qu'on le retrouve jamais". Cf. aussi l'article de Mlle Hyslop sur le Cahier général du Tiers Etat au grand bailliage de Rouen, dans la Révolution française, janvier-mars 1932, pp. 42-49. (183) On peut s'étonner de ne voir figurer ici ni Saint-Sever, ni Maromme, ni Déville. Saint-Sever faisait partie de la sergenterie de Couronne, et ses députés ont tenu à comparaître avec ceux de cette sergenterie. Déville et Maromme faisaient partie de la sergenterie de Saint-Georges. 4 BP 6010 Sergenterie de Cailly, cahier de doléances. 45 paroisses ayant procèsverbaux : Bierville ; Blainville, aujourd'hui Blainville-Crevon ; Boisd'Ennebourg ; Bois-l'Evêque ; Boulay-sur-Andelle ; Cailly ; Catenay ; Colmare, aujourd'hui réuni à Yquebeuf ; Crevon, réuni à Blainville ; Critot ; Ecales-sur-Cailly ; Epinay, réuni à Saint-Aubin, aujourd'hui SaintAubin-Epinay ; Ernemont[sur-Buchy] ; Esteville, aujourd'hui EstevilleTouffreville ; Fontaine-sous-Préaux ; Le Héron ; Longuerue ; Montmain ; Morgny ; Morville ; Pierreval ; Préaux ; Quévreville-la-Milon ; Rebais, aujourd'hui Rebets ; Rocquemont ; Roncherolles-en-Bray ; Roncherollessur-le-Vivier ; Rouvray ; Rue-Saint-Pierre (La) ; Salmonville-l'Eage [ou la Rivière-], réuni à Saint-Germain-des-Essourts ; Salmonville-laSauvage, réuni à Grainville-sur-Ry ; Saint-Aignan-sur-Ry ; Saint-Andrésur-Cailly ; Saint-Arnoult, réuni à Blainville-Crevon ; Saint-Aubin-laRivière, réuni à Epinay, aujourd'hui Saint-Aubin-Epinay ; Saint-Aubinsur-Cailly, réuni à Vieux-Manoir ; Saint-Germain-sous-Cailly ; SaintJacques-sur-Darnétal ; Saint-Jean-sur-Cailly, réuni à Saint-André-surCailly ; Saint-Martin-du-Vivier ; Saint-Nicolas-de-Vertbois, réuni à Quincampoix ; Vieux-Manoir ; Vieux-Rue [La] ; Vimont ; Yquebeuf (184). On voit dans le procès-verbal de l'assemblée préliminaire que neuf autre paroisses avaient été convoquées à Rouen : Beaumont-sous-Buchy, réuni à Rocquemont ; Boissay-sur-Ry ; Chef-de-l'Eau ; Elbeuf-surAndelle ; Héronchelle ; Ma-thonville ; Mauquenchy ; Montérolier ; Saint-Martin-du Plessis, réuni à Estouteville-Ecalles. Toutes ces paroisses, sauf Boissay, ont comparu à Neufchâtel, et leurs cahiers se trouvent dans les liasses de ce bailliage. Ernemont, convoqué à Neufchâtel et à Rouen, a tenu deux assemblées et rédigé deux cahiers, qui ont du reste d'étroits rapports et qui appartiennent au groupe de Buchy. 4 BP 6011 Cahiers de doléances de la sergenterie de Pavilly. Chiffre des paroisses : 29 (185). Il manque un procès-verbal, celui de Saint-Etienne-le-Vieux. An-cretiéville, réuni à Saint-Victor-la-Campagne, aujourd'hui Ancretiéville-Saint-Victor ; Auzouville-l'Esneval ; Beautot ; Bertrimont ; Bourdainville ; Bretteville ; Butot ; Cidetot, autrefois Sudetot, réuni à Mesnil-Panneville ; Cideville ; Ectot-l'Auber ; Emanville ; Fresquienne ; Fretteville, réuni à Ancretiéville ; Goupillières, Gueutteville ; Hardouville, réuni à Mesnil-Panneville ; Hugleville-en-Caux ; Limésy ; Mesnil-Durécu, ap. Mesnil-Panneville ; Pavilly ; Renfeugères, réuni à Goupillières ; Saint-Etienne-le-Vieil, réuni à Auzouville-l'Esneval ; Saint-Martin-aux-Arbres ; Saint-Ouen-du-Breuil ; Saint-Victor-laCampagne, réuni Ancretiéville ; Sainte-Austreberthe ; Saussay (Le) ; (184) Toutes ces paroisses avaient fait partie de l'ancienne vicomté de Rouen. En 1789, elles appartenaient au bailliage et à l'élection de Rouen, au grand archidiaconé et aux doyennés de Cailly, Ry et Périers. Elles sont comprises aujourd'hui dans les cantons de Buchy, Clères et Darnétal. (185) Cette liasse avait été retrouvée il y a deux ans. Une liste des paroisses, qui se trouve dans la liasse en donne 30 mais c’est parce qu’elle compte à tort comme paroisse Crosfy, hameau et chapelle succursale d’Hugleville. Il y a du reste, dans la liste même, une note rectificative à ce sujet. Toutes ces paroisses faisaient partie de l’élection de Rouen : quatorze appartiennent aujourd’hui au canton de Pavilly, dix au canton de Yerville, deux à celui de Tôtes et une à celui de Clères. Sierville ; Yerville. Dans cette liasse, il y a aussi une liste des paroisses et un état des assignations faites aux ec-clésiastiques et aux seigneurs de fiefs et des notifications aux syndics des paroisses. 4 BP 6012 Sergenteries de Pont-Saint-Pierre et de Saint-Georges. Cahiers de doléances. Sergenterie de Pont-Saint-Pierre. 42 procès-verbaux et cahiers (186) : Amfreville-sous-les-Monts ; Auzouville-sur-Ry ; Le Becquet (Saint-Crespin-du-Becquet, aujourd'hui réuni à Belbeuf) ; Belbeuf ; Bonsecours ; Boos ; Cantelou-le-Bocage, réuni à Renneville ; Celloville, réuni à Saint-Aubin-la-Campagne, aujourd'hui Saint-AubinCelloville ; Croisy, aujourd'hui Croisy-sur-Andelle ; Epreville-sur-Ry, réuni à Martainville, aujourd'hui Martainville-Epreville ; Le Fayel, réuni à Vandrimare ; Fleury ; Fontaine-le-Châtel, réuni à Saint-Germain-desEssourts ; Franqueville [Notre-Dame-de-] ; Franqueville [Saint-Pierrede-] ; Franquevillette ; Gouy ; Grainville-sur-Ry ; La Haye [en Lyons] ; Letteguives ; Martainville-sur-Ry, aujourd'hui Martainville-Epreville ; Mesnil-Esnard [Le], aujourd'hui Le Mesnil-Raoul ; Mivoie [La], réuni à Amfreville, aujourd'hui Amfreville-la-Mivoie ; La Neuville-Champ-d'Oisel ; Perriers-sur-Andelle ; Perruel ; Pitres ; Pont-Saint-Pierre [SaintNicolas-de-] ; Pont-Saint-Pierre (Saint-Pierre-de-], qui forment aujourd'hui le bourg de Pont-Saint-Pierre ; Radepont ; Renéville, aujourd'hui Renneville ; Romilly ; Ry ; Saint-Aubin-la-Campagne , réuni à Celloville, aujourd'hui Saint-Aubin-Celloville ; Saint-Denis-le-Thiboult ; Saint-Germain-des-Essourts ; Senneville ; Servaville, aujourd'hui Servaville-Salmonville ; Vandrimare ; Vascoeuil , Ymare (187). Dans cette liasse il y a aussi le procès-verbal des notifications faites aux syndics et fabriciens des bourgs et paroisses de la sergenterie, le mardi 17 mars, par J.-B. Hubert, huissier royal du Châtelet, résidant à Rouen ; le procèsverbal des assignations faites le 20 mars par le même aux communautés religieuses et aux nobles ; et enfin, la publication à son de trompe, le 1er avril, de l'ouverture de l'assemblée du Tiers-Etat du bailliage de Rouen devant le lieutenant général du bailliage, par J.-François Fabulet, huissier audiencier au bailliage. Sergenterie de Saint-Georges. Cahiers de doléances. Il y a 29 procès-verbaux et cahiers ; il ne manque qu'une seule paroisse, Roumare, qui relevait du duc de Penthièvre, comte d'Eu et qui, pour cette raison, a comparu à Abbeville (188). Liste des paroisses : Ambourville ; Barentin ; Berville-sur-Seine ; Bondeville [Notre-Damede-] ; Bondeville [Saint-Denis-de-], réuni à Notre-Dame ; Boscherville [Saint-Martin-de-Boscherville] ; Canteleu ; Déville ; Duclair ; Hautotsur-Seine ; Hénou-ville ; Le Houlme ; Jumièges ; Malaunay [Saint- (186) D'après le procès-verbal de l'assemblée préliminaire, trois autres paroisses avaient été appelées à comparaître à Rouen : Les Authieux, près Buchy, Ampenois ou Bourg-Baudouin, Gournets. La première a comparu à Neufchâtel ; les deux autres, dans le bailliage de Charleval, où elles avaient été aussi convoquées. (187) Toutes ces paroisses faisaient partie du bailliage et de l'élection de Rouen. Elles appartiennent aujourd'hui aux cantons de Boos, Darnétal, Argueil (Croisy et La Haye), Buchy (Saint-Germain-des-Essourts), SeineInférieure et, dans l'Eure, aux cantons de Fleury-sur-Andelle (Amfreville-sur-les-Monts, Fleury, Letteguives, Perriers, Perruel, Radepont, Renneville, Romilly, Pont-Saint-Pierre, Vandrimare), de Lyons (Vascoeuil) et de Pont-de-l'Arche (Pitres). (188) La protestation du duc de Penthièvre contre l'assignation qui lui a été donnée, ainsi qu'au curé et aux habitants de Roumare, se trouve dans la liasse 4 BP 6009, où nous l'avons mentionnée. Nicolas-de-] ; Maromme ; Mesnil-sous-Jumièges [Le] ; Montigny ; Notre-Dame-des-Champs, réuni à Malaunay ; Posville, réuni à Pissy, aujourd'hui Pissy-Pôville ; Quevil-lon ; Sahurs ; Saint-Jean-du-Cardonnay ; Saint-Pierre-de-Manneville ; Saint-Thomas-la-Chaussée ; Val-de-la-Haye ; Varengeville [Notre-Dame-de-], réuni à Saint-Pierre-de-Varengeville ; Varengeville [Saint-Pierre-de-] ; Vaupalière [La] ; Yainville (189). Une liste d'assignations aux ecclé-siastiques, nobles et syndics comprend 30 paroisses et non 31, comme le porte par erreur une note inscrite en tête de la liste. 4 BP 6013 Bailliage d'Andely (53 paroisses) (190) : deux listes d'assignations aux ecclésiastiques et aux nobles pour comparaître à l'assemblée du grand bailliage le 15 avril ; des assignations individuelles aux chapitres et communautés religieuses ; l'état des villes, paroisses et communautés laïques du bailliage ; le cahier de doléances du Tiers Etat ; le procèsverbal de l'assemblée préliminaire. Bailliage de Charleval (8 paroisses) : lettre du lieutenant général, 3 avril ; procès-verbal et cahier qui ne forment qu'une seule pièce ; liste d'assignations. Bailliage de Gisors (59 paroisses) : procès-verbal de l'assemblée préliminaire ; cahier de doléances. Bailliage d’Honfleur : cahier de doléances. Bailliage de Lyons (42 paroisses, dont 10 firent défaut) : procès-verbal de l'assemblée préliminaire et cahier de doléances qui ne forment qu'une seule pièce ; lettre du bailli ; "tableau et état des villes, bourgs et paroisses du ressort et étendue du bailliage de Lyons, ensemble des chapitres, abbayes, communautés, bénéficiers, curés, décimateurs, trésors, fabriques, des nobles possédant fiefs et hautes justices, et autres ayant fiefs dans l'enclave dudit bailliage de Lyons et qui en ressortissent par leurs causes en première instance et d'appel" ; liste d'assignations aux ecclésiastiques et aux nobles. Bailliage de Pont-Audemer (160 paroisses) : cahier de doléances du Tiers Etat ; procès-verbal de l'assemblée préliminaire ; lettre du lieutenant général du bailli ; état des assignations aux ecclésiastiques et aux nobles. Bailliage de Pont-de-L’arche (78 paroisses) : procès-verbal de l'assemblée préliminaire ; cahier de doléances ; liste des paroisses du ressort. Bailliage de Pont-l'Evêque (120 paroisses) : cahier de doléances, procès-verbal de l'assemblée préliminaire. Bailliage de Vernon (33 paroisses) : procès-verbal de l'assemblée préliminaire ; cahier de doléances ; lettre du lieutenant général ; état des paroisses du bailliage ; original des assignations aux ecclésiastiques et aux nobles. (189) Toutes ces paroisses appartenaient au bailliage et à l'élection de Rouen. Elles font partie aujourd'hui, pour la plupart, des cantons de Duclair et de Maromme, quelques unes de ceux de Grand-Couronne et de Pavilly. (190) Pour compléter ces renseignements nous croyons devoir analyser aussi ce document très important conservé aux Archives du département, connu et utilisé depuis longtemps. Voir dans la Normandie historique de janvier 1906, pp. 1 à 12, et de février 1906, pp. 32 à 42, E. Le Parquier : "Les assemblées électorales de 1789 dans les bailliages secondaires de la Haute-Normandie". Les textes des paroisses, fournies par ce registre, ont été utilisés par M. Vernier, pour donner la composition des bailliages dans La Seine-Inférieure à l'époque de la Révolution. C'est un registre factice, où ont été reliés ensemble les procès-verbaux et les cahiers des assemblées du Tiers Etat des 9 bailliages secondaires ou juridictions assimilées du grand bailliage de Rouen. Il contient en outre des listes d'assignations aux ecclésiastiques et aux nobles, des listes de paroisses et des lettres des baillis ou lieutenants généraux des bailliages. Mais il n'y a pas un seul cahier de paroisse. 4 BP 6014-6091 Divers 1639-1756 6014 - 1641 6015 - 1643 6016 - 1660 6017 - 1644 6018 - 1643 6019 - 1641 6020 - 1639 6021 - 1639 6022 - 1640 6023 - 1661 6024 - 1661 6025 - 1662 6026 - 1646 6027 - 1648 6028 - 1649 6029 - 1647 6030 - 1664 6031 - 1645 6032 - 1644 6033 - 1664 6034 - 1645 6035 - 1643 6036 - 1667 6037 - 1667 6038 - 1656 6039 - 1655 6040 - 1653 6041 - 1663 6042 - 1663 6043 - 1662 6044 - 1650 6045 - 1649 6046 - 1669 6047 - 1670 6048 - 1683 6049 - 1670 6050 - 1672 6051 - 1671 6052 - 1686 6053 - 1686 6054 - 1668 6055 - 1682 6056 - 1682 6057 - 1678 6058 - 1756 6059 - 1682 6060 - 1687 6061 - 1670 6062 - 1675 6063 - 1667 6064 - 1673 6065 - 1673 6066 - 1676 6067 - 1676 6068 - 1681 6069 - 1668 6070 - 1658 6071 - 1666 6072 - 1680 6073 - 1672 6074 - 1668 6075 - 1672 6076 - 1677 6077 - 1690 6078 - 1666 6079 - 1679 6080 - 1741 6081 - 1690 6082 - 1689-1690 6083 - 1691 6084 - 1687 6085 - 1696 6086 - 1688, 1691, 1728 6087 - 1692 6088 - 1681 6089 - 1740 6090 - 1734-1746 6091 - 1717-1718 4 BP 6092 Plumitifs 1709-1719 4 BP 6093-6099 Divers 1688-1698 6093 - 1689 6094 - 1698 6095 - 1688 6096 - 1688 6097 - 1689 6098 - 1688 6099 - 1697 4 BP 6100 Conseil 1740-1743 4 BP 6101-6106 Divers 1640-1739 6101 - 1734-1735 6102 - 1719-1726 6103 - 1727-1733 6104 - 1640 6105 - 1739 6106 - 1739 4 BP 6107 Prix des céréales, 1675. Tarifs des bureaux établis pour le dépôt des saisies mobilières, 1675. Exorcisme pour folie, 1669. Peste, 1669. Arts et métiers, 1635, 1642, 1646, 1650, 1653, 1749, 1771, 1778, 1790... 1635-1790 4 BP 6108-6157 Divers 1684-1759 6108 - 1738 6109 - 1736 6110 - 1701 6111 - 1703-1706 6112 - 1702 6113 - 1700 6114 - 1685 6115 - 1685 6116 - 1707-1708 6117 - 1684 6118 - 1685 6119 - 1698 6120 - 1699 6121 - 1711-1712 6122 - 1713-1715 6123 - 1716 6124 - 1716 6125 - 1741 6126 - 1693 6127 - 1687 6128 - 1696 6129 - 1693 6130 - 1694 6131 - 1695 6132 - 1754 6133 - 1756 6134 - 1754 6135 - 1755 6136 - 1757 6137 - 1757 6138 - 1758 6139 - 1755 6140 - 1753 6141 - 1753 6142 - 1753 6143 - 1753 6144 - 1758 6145 - 1752 6146 - 1754 6147 - 1759 6148 - 1758 6149 - 1748 6150 - 1749 6151 - 1749 6152 - 1749 6153 - 1750 6154 - 1746 6155 - 1746 6156 - 1747 6157 - 1750 4BP 6158 Civil et vicomtal. Procédures 1752 4 BP 6159 Feuilles d'audiences 1751 4 BP 6160 Enquêtes 1751 4 BP 6161 Feuilles d'audiences 1752 4 BP 6162-6166 Divers 1745-1763 6162 - 1750 6163 - 1745 6164 - 1763 6165 - 1745 6166 - 1745 4 BP 6167 Taux du carrefour du petit Bouvreuil 1746 4 BP 6168-6174 Divers 1635-1786 6168 - 1748 6169 - 1760 6170 - 1759 6171 - 1786 6172 - 1760-1761 6173 - 1722-1723, 1730, 1732-1734 6174 - 1635 4 BP 6175 Affaire Cutin, curé de Saint-Godard 1751 4 BP 6176-6218 Divers 1692-1772 6176 - 1748 6177 - 1746 6178 - 1752 6179 - 1743 6180 - 1744 6181 - 1692 6182 - 1759 6183 - 1759 6184 - 1761 6185 - 1761 6186 - 1761 6187 - 1742 6188 - 1761 6189 - 1742 6190 - 1742 6191 - 1742 6192 - 1741 6193 - 1744 6194 - 1744 6195 - 1761 6196 - 1762 6197 - 1710 6198 - 1762 6199 - 1762-1763 6200 - 1762 6201 - 1763 6202 - 1763 6203 - 1764 6204 - 1763 6205 - 1766 (n°2) 6206 - 1765 (n°3) 6207 - 1765 (n°2) 6208 - 1767 6209 - 1764 6210 - 1765 6211 - 1766 6212 - 1767 6213 - 1766 6214 - 1767 6215 - 1764 6216 - 1764-1767 6217 - 1772 6218 - 1772 4 BP 6219 Conseil 1771 4 BP 6220-6232 Divers 1768-1773 6220 - 1770-1773 6221 - 1771 6222 - 1770 6223 - 1770 6224 - 1771 6225 - 1772 6226 - 1769 6227 - 1768 6228 - 1769 6229 - 1768 6230 - 1768 6231 - 1770 6232 - 1767 4 BP 6233 Civil 1768 4 BP 6234-6300 Divers 1652-1788 6234 - 1768 6235 - 1767 6236 - 1782 6237 - 1773 6238 - 1781 6239 - 1781 6240 - 1781 6241 - 1780 6242 - 1780 6243 - 1779 6244 - 1780 6245 - 1782 6246 - 1778 6247 - 1779 6248 - 1779 6249 - 1779 6250 - 1777 6251 - 1777 6252 - 1777 6253 - 1777 6254 - 1779 6255 - 1776 6256 - 1782 6257 - 1777 6258 - 1777 6259 - 1652 6260 - 1781 6261 - 1784 6262 - 1787 6263 - 1787 6264 - 1785 6265 - 1787 6266 - 1787 6267 - 1785 6268 - 1787 6269 - 1787 6270 - 1788 6271 - 1788 6272 - 1785 6273 - 1788 6274 - 1786 6275 - 1786 6276 - 1783 6277 - 1786 6278 - 1786 6279 - 1783 6280 - 1786 6281 - 1786 6282 - 1784 (civil) 6283 - 1784 6284 - 1784 6285 - 1782 6286 - 1785 6287 - 1782 6288 - 1784 6289 - 1784 6290 - 1786 6291 - 1784 6292 - 1784 6293 - 1784 6294 - 1784 6295 - 1784 6296 - 1780 6297 - 1779 6298 - 1778 6299 - 1740-1748, 1756-1767 6300 - 1783 4 BP 6301 Crimes 1772-1784 4 BP 6302 Civil 1783 4 BP 6303 Régie de biens saisis et décrets 1773 4 BP 6304-6306 Divers 1782-1783 6304 - 1782 6305 - 1782 6306 - 1783 4 BP 6307 Arts et métiers XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6308-6316 Divers XVIIe s.-XVIIIe s. 6308 - 1783 6309 - XVIIe s. 6310 - 1782 6311 - 1741 6312 - 1783 6313 - 1782 6314 - 1783 6315 - XVIIIe s. 6316 - 1789 4 BP 6317 Chambre du conseil 1767-1769 4 BP 6318-6319 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6318 - XVIIe-XVIIIe s. 6319 - 1699 4 BP 6320 Arts et métiers 1747-1748 4 BP 6321 Divers 1787-1788 4 BP 6322 Procureur 1743 4 BP 6323-6324 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6323 - XVIIe-XVIIIe s. 6324 - 1637 4 BP 6325 Maréchaussée 1774 4 BP 6326-6331 Divers 1719-1788 6326 - 1788 6327 - 1719-1784 6328 - 1718-1721 6329 - 1774 6330 - 1782 6331 - 1780 4 BP 6332 Police, jeux de paume, billards, enfants exposés, fous XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6333-6337 Divers 1774-1785 6333 - 1785 6334 - 1776 6335 - 1785 6336 - 1776 6337 - 1774 4 BP 6338 Civil 1779 4 BP 6339 Divers 1776 4 BP 6340 Affaires civiles 1775-1780 4 BP 6341-6359 Divers 1587-1790 6341 - 1785 6342 - 1775 6343 - 1786 6344 - 1776 6345 - 1773 6346 - 1774 6347 - 1774 6348 - 1789 6349 - 1587-1790 6350 - 1636 6351 - 1638 6352 - 1789 6353 - 1637 6354 - 1775 6355 - 1774 6356 - 1659 6357 - 1789 6358 - 1776 6359 - 1788 4 BP 6360 Ventes de meubles de M. Lainey 1752 4 BP 6361 Divers 1635 4 BP 6362 Prisée ? des meubles et effets de la succession de M. Hays Delamotte (Barnabé, Eustache) 1788 4 BP 6363-6365 Divers 1632-1788 6363 - 1656 6364 - 1788 6365 - 1632 4 BP 6366 Peste 1630-1669 4 BP 6367-6371 Divers 1774-1785 6367 - 1781 6368 - 1785 6369 - 1775 6370 - 1774 6371 - 1774-1776 4 BP 6372 Civil, sentences 1778 4 BP 6373 Divers 1777 4 BP 6374 Civil 1719 4 BP 6375-6390 Divers 1633-1778 6375 - 1778 6376 - 1778 6377 - 1660 6378 - 1655 6379 - 1659 6380 - 1633 6381 - 1777 6382 - 1633 6383 - 1661 6384 - 1636 6385 - 1653 6386 - 1777 6387 - 1674 6388 - 1777 6389 - 1778 6390 - 1778 4 BP 6391 Conseil 1789 4 BP 6392 Divers 1634 4 BP 6393 Présidial 1727 4 BP 6394-6395 Divers 1642 6394 - 1642 6395 - 1642 4 BP 6396 Minutes 1790 4 BP 6397 Conseil 1779 4 BP 6398 Divers 1788 4 BP 6399 Conseil 1744-1746 4 BP 6400 Présidial, rapports 1734 4 BP 6401 Divers 1731 4 BP 6402 Chambre du conseil 1788 4 BP 6403-6405 Divers 1630-1665 6403 - 1665 6404 - 1631 6405 - 1630 4 BP 6406 Sentences 1778 4 BP 6407 Divers 1665 4 BP 6408-6409 Conseil 1638-1789 6408 - 1638 6409 - 1789 4 BP 6410 Minutes XVIIe s. 4 BP 6411 Chambre du conseil 1788 4 BP 6412 Conseil 1772-1775, 1777-1778 4 BP 6413 Criminel et divers 1766-1767, 1773, 1776-1778 4 BP 6414 Conseil 1730-1731, 1733-1734 4 BP 6415 Criminel 1759-1786 4 BP 6416 Procès-verbaux des registres de baptêmes, mariages et sépultures de diverses communes 1765-1775, 1777-1785 4 BP 6417 Poterat, église Saint-Sever, "100 filles pour Cayenne" XVIIIe s. 4 BP 6418-6421 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6418 - 1744-1747 6419 - 1629, 1638, 1674-1675, 1680-1682, 1690 6420 - XVIIe-XVIIIe s. 6421 - 1673 4 BP 6422 Divers, XVIIe-XVIIIe s; inventaire des lettres et écritures mises au greffe de Rouen par haute et puissante dame, Mme la Duchesse d'Estouteville contre Nicole Du Bosq, religieuse de l'abbaye du Bec XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6423 Divers 1675, 1677-1679 4 BP 6424 Police 1770 4 BP 6425 Héritages, bail 1751-1752 4 BP 6426-6428 Divers 1664-1777 6426 - 1734, 1750, 1771, 1773, 1777 6427 - 1664-1675, 1720, 1728, 1750-1751 6428 - 1749 4 BP 6429 Requêtes de ceux qui sont décédés dans la religion prétendue réformée 1746-1748 4 BP 6430 Curatelle 1769 4 BP 6431-6432 Divers XVIIIe s. 6431 - XVIIIe s. 6432 - 1751-1777, 1785 4 BP 6433 Lettres de rémission 1710 4 BP 6434 Divers 1744-1746 4 BP 6435 Appréciations faites pour l'estimation des rentes seigneuriales 1720-1742 4 BP 6436 Divers 1784-1788 4 BP 6437 Procédures diverses XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6438 Divers XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6439 Décrets d'héritage 1759-1760, 1762-1763 4 BP 6440 Inventaire après décès 1712 4 BP 6441 Bénéfices d'inventaire 1702, 1704-1705, 1716 4 BP 6442 Tutelle 1769 4 BP 6443-6444 Divers 1710-1790 6443 - 1733, 1758, 1779-1782, 1789 6444 - 1710, 1752, 1790 4 BP 6445 Registre de renchères depuis le 14 mars 1760 jusqu'au 30 juillet 1773 1760-1773 4 BP 6446 Plumitif des rapports du bailliage commencé le 3 octobre 1757 et fini le 19 juillet 1764 1757-1764 4 BP 6447 Civil, plumitif 1768 (21 avril)-1790 (22 janvier) 4 BP 6448 Civil, audiences des pauvres 1680-1682, 1684-1686 4 BP 6449 Minutes XVIIe s. 4 BP 6450 Arts et métiers, apothicaires, épiciers 1719 4 BP 6451 Bénéfices d'inventaires 1772 4 BP 6452 Acte de dépôt, registre de clausion et distribution 1763-1790 4 BP 6453 Divers 1648-1649, 1658-1660, 1662-1665, 1694 4 BP 6454 Conseil 1771 4 BP 6455 Divers 1768-1770 4 BP 6456 Déclarations de défrichement 1766-1790 4 BP 6457 Présidial XVIIIe s. 4 BP 6458 Criminel 1675, 1732, 1735 4 BP 6459 Divers 1726 4 BP 6460 Chambre criminelle 1742-1745 4 BP 6461 Criminel 1717-1718 4 BP 6462 Compte 1790 4 BP 6463 Divers 1639, 1661, 1666-1667, 1669-1670, 1689 4 BP 6464 Compte 1790 4 BP 6465 Présidial XVIIIe s. 4 BP 6466 Compte 1790 4 BP 6467 Présidial 1749-1760 4 BP 6468 Divers 1751, 1766-1767 4 BP 6469 Compte 1790 4 BP 6470 Conseil 1767 4 BP 6471 Divers 1640, 1642, 1644-1647, 1663 4 BP 6472-6479 Présidial XVIIIe s. 6472 - XVIIIe s. 6473 - 1788-1789 6474 - 1765 6475 - 1764-1777 6476 - 1785 6477 - 1727 6478 - 1765 6479 - 1722-1726 4 BP 6480 Minutes 1775-1780 4 BP 6481 Dossiers divers, minutes XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6482-6483 Présidial 1728-1740 6482 - 1728-1729 6483 - 1740 4 BP 6484 Dossiers divers XVIIe ?-XVIIIe s. 4 BP 6485-6489 Minutes 1789-1790 6485 - 1790 6486 - 1790 6487 - 1790 6488 - 1789-1790 6489 - 1790 4 BP 6490 Présidial XVIIe s. 4 BP 6491 Minutes 1790 4 BP 6492 Divers 1790-1793 4 BP 6493 Minutes 1775-1780 4 BP 6494 Divers 1779-1789 4 BP 6495 Minutes 1647-1759 4 BP 6496 Consignations XVIIe s. 4 BP 6497 Arts et métiers XVIIIe s. 4 BP 6498 Divers XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6499 Présidial 1730-1731 4 BP 6500 Décrets d'héritages 1685-1790 4 BP 6501-6502 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6501 - XVIIe-XVIIIe s. 6502 - XVIIIe s. 4 BP 6503 Présidial XVIIIe s. 4 BP 6504 Présidial, plumitif 1740-1749 4 BP 6505 Arts et métiers XVIe-XVIIIe s. 4 BP 6506-6507 Divers 1657-1664 6506 - 1664 6507 - 1657 4 BP 6508 Imprimeurs XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6509-6511 Divers 1650-1654 6509 - 1651 6510 - 1650 6511 - 1654 4 BP 6512 Expédition d'une vente de bois, sergenterie de Pavilly s.d. 4 BP 6513-6521 Divers 1545-1762 6513 - 1658 6514 - 1669 6515 - 1710-1711 6516 - 1671 6517 - 1545 6518 - 1742-1743 6519 - 1760 6520 - 1762 6521 - 1683-1687, 1695 4 BP 6522 Procès-verbaux d'architectes-experts (?) 1756 4 BP 6523 Fermiers des droits sur les cuivres, fontes et cartes 1745 4 BP 6524 Procès-verbaux d'architectes-experts en particulier Le Brument 1765-1770 4 BP 6525-6526 Divers XVIIIe s. 6525 - 1759 6526 - XVIIIe s. 4 BP 6527 Enquêtes 1760 4 BP 6528-6529 Divers XVIIIe s. 6528 - 1783 6529 - XVIIIe s. 4 BP 6530 Ventes 1789-1790 4 BP 6531 Sergenterie de Pavilly : ventes 1789-1790 4 BP 6532 Criminel, 1663. Contre-enquêtes, 1638, 1788 1638-1788 4 BP 6533 Divers XVIIIe s. 4 BP 6534-6537 Plumitifs des plaids d'héritages 1756-1790 6534 - Vicomtal, 1772-1790 6535 - Civil, 1756-1772 4 BP 6536-6537 Plumitifs d'audiences (vicomtal) 1750-1762 6536 - 1758-1762 6537 - 1750-1758 4 BP 6538-6540 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6538 - 1683-1727 6539 - 1638-1641 6540 - XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6541-6566 Divers 4 BP 6567 Cahier de doléances d'Isneauville 4 BP 6568-6569 Divers XVIe-XVIIIe s. 6568 - XVIe-XVIIIe s. 6568bis - 1776-1778 6569 - XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6570 Inventaire concernant les héritiers de Martin Liesse, 1762 ; divers, XVIIeXVIIIe s. XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6571 Lettres au procureur Bradechat, XVIIe s; divers, XVIIe-XVIIIe s. XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6572 Divers XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6573 Procédures XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6574 Divers XVIIIe s. 4 BP 6575 Titres particuliers et divers XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6576 Décrets d'héritages, XVIIe s; inventaire après décès, 1784 et divers, XVIIe-XVIIIe s. XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6577-6578 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6577 - XVIIe-XVIIIe s. 6578 - XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6579 Criminel XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6580-6581 Divers XVIIe-XVIIIe s. 6580 - XVIIe-XVIIIe s. 6581 - XVIIe-XVIIIe s. 4 BP 6582 Criminel 1788 4 BP 7000-7020 Procès-verbaux de visites des architectes-experts (191) 1739-1793 7000 - 1739-1743 (prairies de Caudebec-les-Elbeuf, abbaye de l'IsleDieu) 7001 - 1744-1745 7002 - 1748-1754 7003 - 1755 (château de Bellestre, couvent d'Etrepagny) 7004 - 1757 7005 - 1759 7006 - 1759-1760 7007 - 1761 7008 - 1762 7009 - 1763 7010 - 1763 (abbaye de Fécamp) 7011 - 1763-1764 7012 - 1764 7013 - 1765 (évêché d'Avranches) 7014 - 1766 7015 - 1767 7016 - 1768-1769 7017 - 1758, 1769 (maisons et églises dépendant de l'abbaye de SaintWandrille et de l'Isle-Dieu) 7018 - 1770-1772 7019 - 1774-1777 7020 - 1790-1793 (191) Liste chronologique des architectes : 1739-1745, Defrance (Jean-Pierre), Lebrument (Jean-Baptiste), Loyer de Montjay (Nicolas) ; 1748-1754 : de Montjay, Lebrument, Aubé (Adrien), Delalande (Jacques Charles), Loyer, Defrance ; 1755 : Defrance, Lebrument ; 1758 : Aubé (André), Defrance (J.-P.), Gallot (Louis), de Monchay (Nicolas de), Loyer (Nicolas), Thibault (Charles) ; 1759-1760 : Aubé, de Montjay (Gallot), Thibault (Charles), Defrance ; 1761 : Defrance, Thibault ; 1762-1763 : Defrance, Thibault, Lalande, Aubé (Adrien), Lebrument, Delalande ; 1768 : Delalande, Lequerif (François) ; 1769 : Delalande (J.) ; 1773 : Quinel de la Potterie (Pierre Armand) ; 1774-1777 : Hardy (Louis Augustin), Lebrument, Delalande, Gilbert (Louis) ; 1791 : Lebrument (J.B.), Delalande (Jacques, Charles).