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CHIMIE AU CONCOURS D’ENTRÉE MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE CHIMIE AU CONCOURS D’ENTRÉE MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE Élise Marche Professeur de Physique-chimie à L’École nationale de Chimie-Physique-Biologie de Paris Stéphane Louvet Professeur de Physique-chimie à L’École nationale de Chimie-Physique-Biologie de Paris 2e édition © Dunod, Paris, 2012 ISBN 978-2-10-058282-2 Avant-propos Cet ouvrage s’adresse aux candidats au concours d’entrée en école de MasseurKinésithérapeute. Son but est de présenter de façon claire et progressive l’ensemble des notions à connaître des programmes de Première et de Terminale scientifiques pour réussir le concours d’entrée en institut de formation en masso-kinésithérapie. La nature des épreuves de ce concours dépend de chaque école de formation qui organise son propre concours. Le nombre de candidats se présentant à chaque concours est extrêmement élevé, jusqu’à 4 000, pour un nombre de places allant de 20 à 80 par structure de formation. La sélection est donc drastique. L’épreuve de Chimie dure 30 minutes et peut se présenter sous forme de QCM, ou sous forme d’exercices rédigés, avec ou sans calculatrice. La particularité des QCM de chimie repose sur la rapidité, encore plus que pour les deux autres matières. Il faut donc s’entraîner en faisant et refaisant les QCM jusqu’à les maîtriser tous parfaitement. La rédaction des exercices doit être concise et faire apparaître l’essentiel. L’entraînement est donc indispensable et fondamental. V Table des matières Avant-propos V Partie 1 Structure de la matière 1. Les éléments © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit 4. L’équilibre chimique 2 1. Vocabulaire 2. L’organisation du cortège électronique 3. La classification périodique 2 3 4 QCM Exercices Corrigés 7 8 9 2. La réaction chimique : bilan de matière généralités 11 1. Corps purs simples et corps purs composés – mélanges 2. Les différentes sortes de grains de matière 3. Quantité de matière 4. La réaction chimique 11 12 13 15 QCM Exercices Corrigés 17 19 21 Partie 2 Cinétique chimique 3. Vitesse d’une réaction chimique Partie 3 Chimie des solutions aqueuses 28 1. Vitesse d’une réaction 2. Suivi cinétique d’une réaction 3. Interprétation microscopique de la cinétique chimique 28 30 QCM Exercices Corrigés 34 37 39 32 1. Une réaction chimique est-elle toujours totale ? 2. Comment expliquer l’existence d’un équilibre chimique en solution ? 3. Comment déterminer la composition d’un système chimique à l’équilibre ? QCM Exercices Corrigés 5. Les réactions acido-basiques 44 44 47 49 52 53 54 56 1. Quelles espèces les réactions acido-basiques mettent-elles en jeu ? 2. Que se passe-t-il lorsque l’on met en présence un acide et une base ? 3. Comment mesurer l’abondance des protons disponibles dans une solution aqueuse ? 4. Comment classer les couples acide/base 5. Que se passe-t-il si l’on mélange plusieurs acides et plusieurs bases ? 64 QCM Exercices Corrigés 66 68 71 6. Réactions d’oxydoréduction 1. Quelles espèces les réactions d’oxydoréduction mettent-elles en jeu ? 2. Que se passe-t-il lorsque l’on met en présence un oxydant et un réducteur ? 3. La réaction d’oxydoréduction 4. Les piles 56 57 59 62 77 77 78 80 82 VII Table des matières 5. Peut-on forcer une réaction d’oxydoréduction à se faire en sens inverse de son sens spontané ? Exercices Corrigés 7. Les équilibres de précipitation 88 90 96 102 102 103 QCM Corrigés 106 108 1. 2. 3. 4. Les méthodes d’analyse physique La pH-métrie La conductimétrie La spectrophotométrie QCM Exercices Corrigés 9. Dosages QCM Exercices Corrigés 109 110 112 114 VIII Les molécules de la chimie organique Nomenclature systématique Représentation des molécules organiques Isomérie 171 1. Définitions 2. Notion de chiralité 3. Relations de stéréoisomérie de configuration 171 172 175 QCM Exercices Corrigés 177 178 179 12. Spectroscopies IR, UV et RMN 180 1. Principe de la spectroscopie moléculaire d’absorption 2. Spectroscopie UV-visible 3. Spectroscopie IR 4. Spectroscopie de RMN 180 182 185 186 QCM Exercices Corrigés 191 191 193 13. Réactivité des molécules organiques 125 129 132 1. 2. 3. 4. 5. Polarité des liaisons Sites réactifs Les grandes familles de réactions chimiques Écriture des mécanismes réactionnels Un exemple de mécanisme réactionnel : la substitution nucléophile QCM Exercices Corrigés Partie 4 Chimie organique 1. 2. 3. 4. 167 168 169 125 140 142 146 10. Généralités sur la chimie organique QCM Exercices Corrigés 109 118 120 122 1. Pourquoi effectue-t’on des dosages en Chimie ? 2. Quels sont les différents types de dosage ? 3. Comment peut-on détecter l’équivalence d’un dosage... 163 11. Stéréoisomérie 1. Définitions 2. Système à l’équilibre 8. Méthodes d’analyse physique en chimie 5. Techniques expérimentales en chimie organique 14. Les hydrocarbures 154 154 156 161 162 195 195 196 198 199 201 202 203 204 206 1. Généralités 2. Réactions avec les alcènes 206 207 QCM Exercices Corrigés 211 211 213 Table des matières 15. Les alcools 215 Corrigés 227 1. Présentation 2. Passage aux alcènes et aux dérivés monohalogénés 3. Oxydations 215 QCM Exercices Corrigés 219 219 221 1. Présentation des acides carboxyliques et de leurs dérivés 2. L’équilibre d’estérification-hydrolyse 3. Saponification 228 229 232 223 QCM Exercices Corrigés 234 235 236 16. Les composés carbonylés 216 218 1. Présentation 2. Oxydation 223 224 QCM Exercices 225 225 17. Les acides carboxyliques et leurs dérivés Index 228 239 IX Pour bien utiliser 15 ools Les alc tation sen 1. Pré H xyle Ool ? on hydro ène. n alco e foncti rog ortant un rbone ou d’hyd e comp ca organiqu s atomes de ule léc de e mo lié à l est un -même Un alcoo tétragonal lui ne un carbo Le cours Le cours complet présente les notions de chimie au programme du concours. De nombreuses illustrations ainsi que des remarques pédagogiques enrichissent le cours et vous aident à mieux le comprendre. liée à ce qu’u Qu’estît égaappara upee −OH gro Le group s d’autres e dan tels qu lement nnels fonctio carboxyliques ments s de t un aci s reconnaî celui de énols. On e le carbone ou des qu s au fait porte que de alcool nnel ne nce simple vus fonctio de covale ou d’hyliaisons s de carbone me des ato e. gèn dro C l est Cn n alcoo rale d’u le géné La formu O H . H2n+1OH ées) ? s alcoolis alcools s boisson contiennent cool de x on des thanol (al Les végétau s fonctions s. turel. L’é t de l’état na n des jus sucré s comporten istent à cre tio ex su nta ols les A ...), par ferme up d’alco alcools. Beauco par exemple, enthol, vitamine nir des , t d’obte (m rmettan se forme terpéniques ls nthèse pe des alcoo ies de sy reuses vo mb no alcool ... de iste part, il ex D’autre l’eau ? donc à es dans ne attire laire, solubl l’oxygè po rogène, nc un groupe sont-ils ls e l’hyd o res. La do qu f co ati xyle est es-mêmes polai ène onég Les al e hydro rog s électr ell up yd plu au gro l’h nt Le s d’e ne et netteme n O − H. ec les molécule ire (le carbo diminue quand ène est la liaiso L’oxyg nité av e apola des alcools l et le ons de air affi no e ctr ntr nn tha co é éle l’é ilit au e bo lui les nfère un lcool est elle, vité). La solub◦ le méthanol, du butan-1-ol co lui i ilité ce qu e de l’a onégati à 25 C, carboné la même électr e augmente : ns l’eau, la solub 6 g.L−1 ... chaîne rboné -1-ol de ons da u près ca rti an pe e à ex po t aîn pro −1 lle de l’h ayan la ch , ce en toutes eur de solubles n-1-ol 23 g.L la longu -ol sont nta propan-1 −1 , celle du pe est 79 g.L uve-t- © Dunod – La pho tocopie non aut orisée est un délit Où tro 215 Chapitre 5 • Les réactions acido-basiq ues QC M Sans cal culatric e Les QCM Chaque chapitre propose plusieurs QCM en partie extraits d'annales de concours pour vous familiariser à ce format d’épreuves. 66 X 1. Type AP-HP Soit une solution C = 1 0 × 10 −3 de monoacide AH de mol.L –1. avec l’ea À cette tem con u est tota La transf le si : ormation centration pérature, le pH d’u de cet aci a. pH = ne solutio a. [H O + de 3 3 n neutre ] = 1,0×1 –7 b. pH = est tel que 0 mol.L –1 b. [H O + 4 : 3 ] = [HO – c. pH < ] c. [H O + 3 3 ] = 1 pK d. l’acide e 2 d. pH = est fort 7,0 e. H + e. pH = 3O > C. 6,4. 2. Type 6. Type AP-HP Efom Soit une On consid solution d’acide AH ère trois est 3,8. solutions dont le pK La premiè aqueuses a du cou re de même ple associ a. L’espè de concen est une solutio pH = 2,7 n d’a é ce A – pré tration 5,0 . e monoc domine ×10 –3mo cid b. L’espè La second hloroétha pour pH l.L –1 ce AH pré noïque e = 5,2 tration 2,5 est une solution domine c. L’espè –1 pour pH d’a ×1 ce AH pré cide éth 0 mol.L –1 = 2,0 anoïque domine La troisiè d. Aucun de pou concenme r e des esp pH = 4,3 est une concentrat èces AH pour pH ion 2,0×1 –3 solution d’acid et A – ne =7 e chlorh 0 mol.L –1 prédomine e. Si le ydrique a. Tou pH est aci de s les acides de alors mine. ci-dessus l’espèce b. Tou 3. Type sont forts s les acides acide pré AP-HP doci-dessus c. Seul Soit l’équa sont faib l’acide chl les orh AH(aq) + tion de la réactio d. ydrique L’acide mo H n associ est un aci noc ée A –(aq) + K associ 2 O(l) de hlo à la for roéthanoï l’acide éth transfo t H 0+ ée à la réa que est plu anoïque ction est 3 (aq) . La constante rmation : e. L’acid s fort que définie par d’é a. [AH e éth la relation quilibre ] / ([A –]× monochlo anoïque est plu [H3 0 +]) : b. ([A – s fort que roéthanoï ]×[H3 0 + Données que. l’acide ]) / ([AH]× : log 2 ≈ c. ([A – 0 30 ; log [H2 O]) ]×[H3 0 + 2 5 ≈ 0 ]) / [AH 7. Type d. ([AH]× ] 40 ; log Saint Mi 5 0 ≈ 0 [A –]) / [H + chel A. Une 70. e. 10 –pKa 30 ] sol (ou formi ution aqueuse inc 4. Type AP-HP que) pré olore S sente un obtenue 0 d’acid Soient deu e métha en diluant pH = 3. noïque x sol réa 10 Un uti ction lim foi e solution ons d’acid considéré itée de con s la solution S es es de mê S1 est l’ac ave 0 sta ide la réactio à la même tem nte c de l’ea méthanoï pérature. me concentratio n entre u. Une que et l’ea d’équilibre K l’acide et n et L’avancem solution A se pro u. a. Le pH duit entre d’acide l’eau est ent final dont : de la sol le plus fai de ution S ble pour b. Le tau a. La val 1 est sup la x d’a eur du pH érieur à 3 est la plu b. La val la solutio vancement final s faible est plus n S0 eur du pH grand dan c. Le crit est la plu c. La val s ère d’é s grande eur du pK d’avancem volution sponta a associ faible é au cou née prévoi ent plus ple est la d. Le quo élevé dan t un taux d. La val plus s S1 tien eur du pK S1 est sup t de réaction ini a associ grande tial dans é au cou érie ur à la consta ple est la la soluti e. L’acid e. La con on nte KA plus e méthanoï centratio B. La con que est un n en ion petite. centration s oxoniu acide faib volumiqu m est la le. 5. Type e C0 dan plus Montpelli a. 5 cm s la solutio ol.L –1 er À 70 ◦C, n S0 est le pKe est b. 6×10 –4 : égal à 12, mol.L –1 8. c. 5×10 –3 mol.L –1 d. 5 mm ol.L –1 e. 6 mm ol.L –1 cet ouvrage Exercic es © Dunod – La pho tocopie non aut orisée est un délit Les exercices exercices Les Chaque chapitre propose des exercices en partie extraits d’annales de concours, classés par niveaux de difficulté (sur une échelle de trois). De l’application immédiate des connaissances de Première et de Terminale, ils vous porteront jusqu’aux exercices-types du concours. 12. Ca lcu d’eau co ler la quantité Exercic es nte de moléc nue dans 3,0 de matière (nombre ules. g de ce de moles volume liquide, ) de gaz puis le da cet éch 13. Qu nombre antillon ns les CNTP elle est a-t-on dis ? III ? la masse 2. On a sous po de 13,7 obtenu ur prépa 250 mL mmol de tration rer C d’u chlorure soluté uti = 48 × 10 −2 ne solution de 14. On de fer molL −1 lisée ? considè soude de atmosp re trois ? Quell hé corps pu e est la concenplomb rique égale à rs, masse 20. Un Pb(s) ; dio de 1,013×1 5 à 20 ◦C et à e sol uti la 0 Pa : xygène on solution Pour ch O2(g) . éthanol pression qui conti d’acide sulfur acun d’e C2 H6 O densité iqu quantité ux est d = ent 96 % en ma e du comm (l) ; de matiè , calculer la erce est 1 83. sse de H ma re égale Calculer une à 0,100 sse et le volum 2 SO4(l) et dont sulfuriqu la concentratio mol. 15. On e d’une la n molai e. re de la constitu dispose d’un solution é de 50 échantill % de cu en acide 21 on Calculer . de Le sulfat ivre et 50 % de 10 g d’un all e de cu qu contenu les quantités ’il ivre est hy iage nickel en de matiè es dans est CuSO draté, ce sol anhydre est un masse. cet éch re de ide est solide bla antillon cuivre ble d’eau ass 4 , xH2 O où x . et de nic 16. L’a est le no u et sa formu nc. Lorsociées à kel ir le chim mbre de une mo On pré 80 % de est composé ique mo le de Cu pa d’e diazote SO4 (s). les de molécule de cuivr re 100 mL d’u en volum nviron 20 % s e a. Calcu de dioxy e. Une me à partir de ne solution ler gène et aqueuse sure de 10 g de ces corps les quantités de concen de sulfat de matiè concen sulfate tra tra 20 ◦C et purs dans un re respe e tio de tio n molai n pe cuivr [Cu 2+(aq e bo ctives de à une pre )] = 40 re d’ions cuivr rmet de déter e bleu. chacun ssion ég uteille de 1,0 b. En dé Détermi de × 10 −1 mi e L ale à 1,0 du ner x. molL −1 de la solution ner la 13×10 5 remplie d’air puis leu ire les masse obtenue . à Pa. s de ces r pourc : entage 22. On en masse deux gaz dans Données dispose la boute dans l’a de deux ille, ir. Une sol Volume : solution ution A molaire s C ion de de A = 80 iques : Vm = 24 × 10 −2 nitrate de cu 0 Lmo −1 gaz à 20 ◦C Un ivr −1 mo e Masse e II de l ; soluti lL et 1013 vo concen C B = 40 on B de sul × 10 5 tration Masse lumique de l’é fat Pa : −2 volumiqu tha On mélan × 10 mol −1e de cuivre e du plo nol : 0789 g −3 II de co L ge un vo cm mb : 11 ncentra lume V volume ,34 g.cm –3 ; tion 17. Le A = 50 V . gé cm 3 de Calculer B = 150 cm 3 rose, uti raniol est l’u sol de soluti ution A les conc lisé en n avec un on le mélan entratio parfume des constitu 13 730 ge et vé ns molai B. ants rie Pa rifier l’é res des géraniol , on mesure la . A 260 ◦C, sou de l’essence lec ion troneutr de s : 0,480 masse 23. Ty alité du présents dans volumiqu s une pression g.L –1. Exprime pe C. mélange de e de la r et calcu . vapeur A. Un lab E.E.R.R.F (sa ler la ma de ns calcu sse mo II (de ma orantin prépare latrice) laire du 18. Un sse une sol géraniol e m = 67 molaire 13 ution de . par le sol grande partie 5 –1 g.m ch 5 de lor g eil sont ol ) en de ce co d’eau dis nues da absorbé s radiations ult introduis ure de cuivre mposé till ns la str es par les rav ée an da t une ma ns un vo (on sup geable atosphère gazeux, molécule iolettes émise lors de po qu . la dissol se la variatio lume V = 50 sse est égale i contient l’é L’ozone est un s d’ozone co s 0 mL 1. Écrir ution). n de vo nteà 48 g.m –1 lément ox e l’équati corps pu lume né ygène. ol . r on de dis gli1. Qu’es 2. Calcu Sa masse simple, solution t-ce qu ler la co molaire de ce co ’un corps cette sol ncentra 2. Dédu mp osé uti pu tio r simple on. ire du tex n molai . re en sol ? te la for 3. En dé uté mule bru duire les apporté te de l’o sentes. 19. concen de zone. trations 1. Calcu en espèce B. Ce ler la qu mê s ioniqu contenu aqueuse me laboranti es prée dans antité de ma n de tiè 12 mL de calciu chlorure de prépare 500 d’une sol re d’acide ch mL d’u cal lorhy ution à ne soluti nombre m hydraté de cium à partir 1,5 mo –1 drique de 11 g de for on mo mu l.L . Qu les de le Ca de chlorure el de calciu molécules d’e Cl2 , xH2 O où chlorure chlorure au m est alors solide. La co associées à un x est le ncentra la même tion mo e mole de que cel laire en le trouv ion ée précéd emment. 19 és Corrig s apparcte : a. on corre les onde iofréfaible, rad Affirmati uise est parle de 3 rgie req io, on N, l’éne des ondes rad RM magnéEn a. : maine niveaux et d. t au do tions re deux ctes : b. tiennen tions ent des transi lui ons corre endrer de des transi ces. ng s e, c’estit Affirmati en pa d’e iqu qu t sub is chim etten lécule ule ma 1 cement nvironnement : La mo I.R. perm de la moléc pla s b. dé es. ion nels cléair de l’e nal, nteradiat ndre le vant co é du sig vibration ctroniques. a. : Les tiques nu faut pas confo l, qui dépend ne éle et le sol na ux états l’intensit c. : Il ne sition du sig , c’est-à-dire résonnent. entre de des transitions que la cellule ions I.R. donc po ne ir iat i ion re t qui tons qu s les rad bant dans la zo faire sub Il est nécessai à-dire la e et l’intégrat un solvan nc re de pro rbent pa : iqu , il faut sor es, ils b. et c. antillon n’abso chimiques ab électron gne sur le nomb spectroscopies étudié, il faut do es ux ioniqu bent sta e ch ns sei cri res s sor aniqu aut quenc nant l’é pas de liaiso qui ren l sont de ns O-H qui ab e les e pour les domaine de fré les molécule org utérés : KC nt mm et de Co squ e s le ma liaiso possè d. : ts de NaCl pas dan H, intense de des stique. 1 ne. Commlise des solvan sorption ule (liaisons Ccaractéri nt. L’eau possè n’absorbe t sans hydrogè uti rium, 2D. –1 , cette ab es, on ne le deuté la moléc un solvan gène sont rar convien 0 et 3 500 cm isotope, rption de dro 00 par son atomes es d’abso entre 3 sans hy ité et des remplacé e –1 es band ène est e. multiplic pre, une band on rog sa éventuell cét yd 0 cm , de l’h 72 L’a pro ction : b. t e vers 1 O-H ...) e liaison, en fon ence qui lui est liaison. Réponse se et fin le propène son qu ne 4 nde inten l et Le d. : Chaqu ille à une fré éristique d’u te une ba C=O, l’éthano liaison C=O. s osc caract ée présen de ison engagé est donc e caract nt pas Le spectr que d’une lia nd ion de ba rpt ssè e po un sti delà d’abso caractéri nés car ils ne terait en outre–1 une bande au , mi sen 0 cm es par un donc éli propène pré vers 1 60 isons C-H porté du liaison nt qu’en spectre double ns ce de lia C-H n’absorbe : a. et c. la s tio sen de cte nsi pré s tra –1 e à la ristique ons corre liaisons rent de ctronique cm lié Ici, les Affirmati engend possède de 3 000 ublement lié. uche éle e. mais il e vers visibles 2 –1 do s U.V.d’une co rgi n C=O, nd carbone 0 cm . rs e liaiso large ba radiation électron passe plus haute éne de 3 00 les valeu ssède un donnerait une de a. : Les un dessous tique po iques : qui e couche able pour toutes utant plus cide acé e liaison O-H vers un électron e d’a val L’a rgi est ion se éne cis ert un de basse de Beer-Lamb is on a un pré re est grand, on alement cm–1 . ég lai loi 500 nde, ma tion mo b. : La 3 000-3 gueur d’o d’extinc ion. de la lon e le coefficient visibles. d’absorpt qu ximum radiations U.V.grande nc au ma les place do n’absorbe pas au L’e : c. se e (inver re d’ond nées la le nomb on –1 et en ord ) abscisse, transmise ., on a, en rimé en cm ineuse ctre I.R exp Sur un spe eur d’onde) e d’intensité lum gu de la lon nce (pourcentag stique transmitta en %. –1 caractéri –1 1 720 cm 000-3 500 cm exprimée O de vers 3 te une ban nde large vers 5 e C présen e ba C Le spectr n C=O et un iso OH de la lia Corrigés Corrigés LesQCM QCM et et exercices exercices sont sont tous tous intégralement intégralement Les corrigés. Des commentaires pédagogiques corrigés. vous guident pas à pas. QCM es Exercic H hex-1-ène 193 thanoïque acide mé hexane XI Partie 1 Structure de la matière 1 Les éléments 1. Vocabulaire Qu’est-ce qu’un élément chimique ? Un élément chimique est ce qui est commun à un corps simple et à tous ses composés. Ce facteur commun est constitué par le noyau des atomes ou ions monoatomiques d’un même élément. En effet, une réaction chimique correspond à un réarrangement des électrons externes des entités mises en jeu. Chaque élément sera donc caractérisé par la donnée de son numéro atomique Z, lequel correspond au nombre de protons que contient le noyau de l’élément. Remarque : en physique nucléaire, au contraire, les transformations affectent les noyaux. Les éléments chimiques ne sont donc conservés que pour les réactions chimiques, et non pour les transformations nucléaires. Par exemple, l’élément fer est contenu dans le métal fer ainsi que dans les ions fer (II) Fe2+ et fer (III) Fe3+ . Ainsi, quand on dit qu’il y a du fer dans les épinards, on entend bien sûr par là la présence, dans le légume, des ions et non du métal. Chaque élément possède un nom et un symbole commençant par une lettre majuscule, éventuellement suivi d’une lettre minuscule. La lettre majuscule correspond le plus souvent à la première lettre du nom français ou latin de l’élément. Par exemple, l’élément carbone a pour symbole C, l’élément chlore pour symbole Cl, et l’élément sodium Na (du latin natrium). Remarque : les données du symbole, et du numéro atomique Z d’un élément sont redondantes. Qu’est-ce qu’un isotope ? Des isotopes sont des corps dont les noyaux atomiques possèdent des nombres identiques de protons, mais des nombres de neutrons différents. Ils appartiennent donc au même élément. Par exemple, l’hydrogène 11 H, le deutérium 21 H et le tritium 31 H sont trois isotopes. Remarque : la dénomination isotope provient du grec isos topos signifiant littéralement « même lieu ». En effet, deux isotopes appartenant à un même élément occuperont donc la même case dans la classification périodique des éléments. Deux isotopes diffèrent donc par leur nombre de masse A. En conséquence, la masse molaire d’un élément donné sera déterminée en tenant compte des proportions respectives des différents isotopes de cet élément. 2 2 • L’organisation du cortège électronique 2. L’organisation du cortège électronique Comment se répartissent les électrons du cortège électronique ? L’atome, électriquement neutre possède autant d’électrons qu’il y a de protons dans son noyau. Les Z électrons de l’atome sont répartis sur des couches électroniques d’énergie différentes. Un modèle simplifié permet de décrire la structure des atomes et des ions monoatomiques possédant jusqu’à 18 électrons. Dans ce modèle, les couches électroniques successives sont désignées par des lettres majuscule et une contenance maximale : • • • la couche K contient au maximum 2 électrons ; la couche L contient au maximum 8 électrons ; la couche M contient au maximum 18 électrons (mais dans ce modèle simplifié on en mettra au maximum 8). Donner la structure électronique d’un atome dans son état fondamental, c’est indiquer sur quelles couches électroniques se trouvent les électrons de manière à ce qu’il ait la plus faible énergie possible : on remplit les couches électroniques par ordre d’énergie croissante (la couche K, puis la L, puis la M) en ne dépassant pas le nombre d’électrons maximum autorisé par couche. Quand une couche est pleine, on remplit la suivante. Par exemple, pour le carbone Z = 6 ; il y a donc 6 électrons à répartir. La structure électronique s’écrira : (K)2 (L)4 . Que sont les électrons de valence ? © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit On appelle électrons de valence, électrons externes ou électrons périphériques, les électrons de la dernière couche électronique occupée. Pour le carbone, il s’agit des électrons se trouvant sur la couche L. Le carbone possède donc 4 électrons périphériques. Ces électrons sont ceux qui sont responsables de la réactivité chimique d’un élément. Qu’est-ce qu’un ion monoatomique ? Un ion monoatomique est obtenu à partir de l’atome par gain ou perte d’un ou plusieurs électrons. La formation de ces ions s’explique souvent en considérant la structure électronique de l’atome. En effet, les atomes tendent à acquérir une structure externe à 2 ou 8 électrons (c’est la règle du duet ou de l’octet). Un atome peut perdre les électrons de sa couche externe, il donne alors un cation ou gagner des électrons afin de remplir complètement sa couche externe, il donne alors un anion. 3 Chapitre 1 • Les éléments Par exemple, le Lithium (Z = 3) de structure électronique (K)2 (L)1 donnera Li+ (2 électrons périphériques, règle du duet) ; le fluor (Z = 9) de structure électronique (K)2 (L)7 donnera l’anion fluorure F- (8 électrons périphériques) 3. La classification périodique Quel est l’historique de la classification périodique ? C’est le chimiste russe Dimitri Mendeleiev qui, en 1869, établit une classification périodique des éléments. L’ordre adopté à l’époque était basé sur le fait qu’il apparaissait une périodicité des propriétés des éléments en les classant par masse croissante. On sait à présent que ce sont les électrons qui régissent la réactivité, les éléments sont donc classés dans la classification actuelle par numéro atomique croissant. Néanmoins, la classification d’origine est assez proche de l’actuelle (pour ce qui est des éléments qu’elle contenait à l’époque), mais surtout il est à noter que Mendeleiev avait eu la bonne intuition de laisser des « trous » dans sa classification, lacunes correspondant à des éléments encore inconnus à l’époque mais dont il prévoyait la réactivité ! Comment la classification périodique est-elle organisée ? La classification se présente sous la forme d’un tableau à sept lignes ou périodes et dix-huit colonnes. À chaque colonne correspond une famille d’éléments qui rassemble des éléments de réactivité analogue. En effet, tous les éléments d’une même famille ont la même structure électronique externe. Les lignes, ou périodes, possèdent un nombre d’éléments croissants au fur et à mesure que l’on avance dans le tableau : il s’agit donc d’une classification périodique de période variable. Le numéro de la période à laquelle appartient un élément correspond à la valeur maximale prise par le nombre quantique principal pour cet élément. Pour les éléments des colonnes I, II puis XIII à XVIII, l’unité du numéro de la colonne correspond au nombre d’électrons de valence que possède cet élément. Pour les éléments des colonnes III à XII (appelés éléments de transition) le numéro de la colonne fournit directement le nombre d’électons externes de l’élément. Remarque : deux lignes de 14 éléments chacunes figurent sous la classification. Elles correspondent à des éléments appelés respectivement les lanthanides et les actinides. Ces deux lignes devraient en fait s’intercaler entre les troisième et quatrième colonnes du tableau respectivement à la sixième et septième période. On a préféré les placer en dessous pour se limiter à un tableau à 18 colonnes plutôt qu’à 32 colonnes. 4 3 • La classification périodique Quelles sont les principales familles de la classification à connaître ? Les éléments de la première colonne (hormis l’hydrogène dont la réactivité est très particulière) constituent la famille des alcalins. Ces éléments, possédant un éléctron externe sont des métaux mous très réducteurs. Ils s’oxydent donc très facilement en un cation monoatomique chargé une fois positivement. Les éléments de la deuxième colonne constituent la famille des alacalino-terreux. Ce sont également des métaux bon réducteurs qui vont facilement donner un cation monoatomique deux fois chargé positivement. Les éléments de la dix-septième colonne constituent la famille des halogènes. Les corps simples associés à ces éléments sont des molécules diatomiques constituant de bons oxydants. Les anions monoatomiques, chargés une fois négativement, associés à ces éléments donnent des solides peu solubles par réaction avec les ions argent (I) (contenus, par exemple, dans le nitrate d’argent). Les éléments de la dix-huitième colonne constituent la famille des gaz nobles. Dans les condition usuelles de température et de pression ce sont des gaz monoatomiques avec une certaine inertie chimique. Remarque : plus anciennement, les éléments de la dix-huitième colonne étaient également appelés gaz rares, ou encore gaz inertes. Quelles grandes tendances peut-on dégager de la classification ? Plusieurs grandes tendances peuvent être dégagées de la lecture de la classification périodique des éléments : • • les trois quarts des éléments sont des métaux, les non-métaux se situent dans la partie la plus à droite de la classification ; l’électronégativité est une grandeur sans dimension traduisant l’aptitude d’un atome à attirer à lui les électrons. Elle croît de la gauche vers la droite et du bas en haut de la classification périodique. L’élément le plus électronégatif est le fluor (premier membre de la famille des halogènes. (Notons que l’on ne définit pas d’électronégativité pour les gaz nobles). 5 6 9,01 Be 40,08 39,10 44,96 47,90 50,94 52,00 58,93 58,70 63,55 65,4 10,81 Ra 88 226,03 Actinides : Lanthanides : Fr 89 Ac 227,03 57 La 138,91 89-103 57-71 39 Y 88,91 21 Sc Th 90 232,04 Ce 58 140,12 Rf 104 261 72 Hf 178,49 40 Zr 91,22 22 Ti 91 Pa 231,04 59 Pr 140,91 Ha 105 262 73 Ta 180,95 Nb 41 92,91 23 V 92 U 238,03 Nd 60 144,24 Sg 106 263 74 W 183,85 Mo 42 95,94 Cr 24 Np 93 237,05 Pm 61 145 Re 75 186,21 43 Tc 98,91 Mn 25 54,94 Pu 94 244 Sm 62 150,4 Os 76 190,2 Ru 44 101,07 26 Fe 55,85 Am 95 243 Eu 63 151,96 77 Ir 192,22 Rh 45 102,91 Co 27 Cm 96 247 Gd 64 157,25 78 Pt 195,09 Pd 46 106,4 28 Ni Bk 97 247 Tb 65 158,93 Au 79 196,97 Ag 47 107,87 Cu 29 98 251 Cf Dy 66 162,50 Hg 80 200,59 Cd 48 112,41 Zn 30 99 252 Es Ho 67 164,93 81 Tl 204,4 49 In 114,82 Ga 31 69,7 13 Al 26,98 5 B 20,01 C Fm 100 257 68 Er 167,26 Pb 82 207,21 50 Sn 118,69 Ge 32 72,59 14 Si 28,09 6 Remarque : dans la résolution des exercices, on gardera trois chiffres significatifs pour la masse molaire atomique 87 223 55 Ba 56 137,33 132,90 Cs 38 Sr 87,62 Rb 37 85,47 19 Mg 12 Na 11 Ca 20 24,30 22,99 K 4 3 non-métaux 14,01 Md 101 258 Tm 69 168,93 83 Bi 208,98 51 Sb 121,75 33 P As 74,92 15 32,97 7 N 16,00 Po No 102 259 Yb 70 173,04 84 209 52 Te 127,60 34 S Se 78,96 16 32,06 8 O 18,00 F At Lr 103 260 Lu 71 174,97 85 210 53 I 129,90 35 Br 79,90 17 Cl 35,45 9 Rn 86 222 Xe 54 131,30 Kr 36 83,80 Ar 18 39,95 Ne 10 20,18 Li He 4,00 6,94 métaux 2 H 1 1,00 Chapitre 1 • Les éléments Exercices QCM 1. Parmi ces affirmations concernant le noyau atomique, lesquelles sont correctes ? ❑ a. Le noyau est constitué de nucléons, particules chargés positivement. ❑ b. Par définition, le numéro atomique est le nombre d’électrons de l’atome. ❑ c. Le noyau est constitué de protons et d’électrons. ❑ d. Le nombre de masse est le nombre total de nucléons dans le noyau. ❑ e. Un noyau de numéro atomique Z et de nombre de masse A possède (A – Z) neutrons. ❑ f. Le numéro atomique Z est caractéristique de l’élément chimique. 2. Parmi ces affirmations concernant la structure de l’atome, lesquelles sont correctes ? ❑ a. L’atome est constitué d’un noyau neutre et d’électrons chargés négativement. ❑ b. La masse de l’atome est essentiellement concentrée dans le noyau. ❑ c. Dans un atome, il y a autant d’électrons que de protons dans le noyau. ❑ d. Un ion monoatomique s’obtient à partir de l’atome par perte ou gain d’un ou plusieurs électrons. ❑ e. Les réactions chimiques affectent les noyaux des atomes. 3. Parmi les propositions ci-dessous, laquelle caractérise l’atome 59 28 Ni ? ❑ a. 28 protons, 28 neutrons, 31 électrons. ❑ b. 28 protons, 31 neutrons, 28 électrons. © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit ❑ c. 59 protons, 28 neutrons, 59 électrons. ❑ d. 28 protons, 31 neutrons, 31 électrons. ❑ e. 59 protons, 28 neutrons, 31 électrons. 4. Parmi ces affirmations concernant les isotopes du chlore, lesquelles sont correctes ? 35 17 Cl et 37 17 Cl ❑ a. L’isotope 35 17 Cl possède 17 protons. ❑ b. L’isotope 35 17 Cl possède 35 neutrons. ❑ c. Les deux isotopes ont le même nombre de protons. ❑ d. Les deux isotopes ont le même nombre de neutrons. ❑ e. Les deux isotopes n’ont pas les mêmes propriétés chimiques. 5. Parmi ces affirmations concernant l’actuelle classification périodique des éléments chimiques, lesquelles sont correctes ? ❑ a. Les éléments sont classés par masse atomique croissante. ❑ b. Une ligne de la classification est appelée famille. ❑ c. Les éléments appartenant à une même ligne possèdent les mêmes propriétés électroniques. ❑ d. Les éléments appartenant à une même colonne ont la même structure électronique externe. 6. Parmi les affirmations suivantes concernant les familles chimiques, lesquelles sont correctes ? ❑ a. La première colonne de la classification périodique constitue la famille des alcalins. ❑ b. La dernière colonne de la classification périodique constitue la famille des halogènes. ❑ c. Les alcalins donnent facilement des anions monovalents. ❑ d. Les halogènes donnent facilement des anions monovalents. ❑ e. Les alcalino-terreux ont deux électrons périphériques ❑ f. Les halogènes ont 9 électrons périphériques. 7. À propos des édifices polyatomiques ❑ a. Une liaison covalente est la mise en commun, par deux atomes, de deux électrons. ❑ b. Généralement, les atomes s’associent en molécules de manière à acquérir une structure électronique externe à 6 électrons. ❑ c. La formule de Lewis représente tous les électrons d’un édifice polyatomique. ❑ d. La formule de Lewis de la molécule d’eau présente quatre doublets. ❑ e. Dans la formule de Lewis de l’eau, l’oxygène porte trois doublets non liants. 8. La classification périodique. ❑ a. Dans la 1re colonne de la classification périodique, se trouvent les gaz rares. ❑ b. La deuxième colonne contient les alcalinoterreux. ❑ c. Tous les éléments d’une même colonne ont la même configuration électronique. ❑ d. Lorsque deux éléments se trouvent dans une même colonne du tableau périodique, ils ont des propriétés chimiques voisines. ❑ e. La dernière colonne contient les halogènes. 7 Chapitre 1 • Les éléments 9. Les éléments. On considère les atomes ou ions suivants : 4 35 40 2+ 2 Be; 17 Cl; 20 Ca . ❑ a. L’atome de chlore possède 16 électrons. ❑ b. L’atome de béryllium possède 5 protons. ❑ c. L’ion calcium possède 18 électrons. ❑ d. L’atome de calcium possède 20 protons. ❑ e. Le béryllium se trouve dans la deuxième colonne du tableau périodique. Exercices 10. Dans la nature, l’abondance isotopique du chlore 35 est 75 % et celle du chlore 37 est 25 %. Calculer la masse molaire moléculaire de l’élément chlore. 13. L’aluminium et l’oxygène peuvent s’unir pour former un oxyde d’aluminium Al2 O3 qui contient, en masse 52,9 % d’aluminium. Calculer la masse atomique de l’aluminium, on supposera celle de l’oxygène connue. 11. Donner la structure électronique des atomes suivants dans leur état fondamental. En déduire le nombre d’électrons périphériques que possède chacun de ces atomes et l’ion monoatomique qui aura tendance à se former. 14. Un noyau atomique a pour charge Q = 8, 0 × 10−19 C et pour masse m = 1, 84 × 10−26 kg. Déterminer son numéro atomique Z et son nombre de masse A. En déduire sa structure. Be (Z = 4) ; F (Z = 9) ; Na (Z = 11) Cl (Z = 17) 12. Le magnésium a pour numéro atomique Z = 12. À partir de l’écriture de sa structure électronique, préciser sa position dans la classification périodique. À quelle famille appartientil ? Quel ion monoatomique est-il susceptible de donner ? 8 15. Le cuivre naturel est composé de deux isotopes stables dont les masses molaires atomiques sont respectivement 63 et 65 g · mol–1 . 1. Indiquer la constitution des noyaux de chacun des isotopes, sachant que Z = 29. 2. Indiquer l’abondance de chacun des isotopes dans le mélange isotopique naturel de masse molaire 63,54 g · mol–1 .