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Consultation publique ouverte par le CSA pour la diffusion
de services de télévision par voie hertzienne terrestre
en mode numérique et en haute définition.
Réponses Philips
13 février 2007-02-02
2. LES CARACTERISTIQUES DES SIGNAUX ET DE LA RESSOURCE RADIOELECTRIQUE
2.1. Ressource radioélectrique
Comme cela a été mentionné précédemment, trois éléments permettent de dégager de la
ressource afin d’autoriser une diffusion de télévision hertzienne terrestre en haute
définition :
• un nouveau multiplex tel que le R5 entièrement consacré à la diffusion en HD ;
• l’exploitation des gains de compression sur un multiplex comprenant des
programmes payants en résolution simple, en remplaçant un ou plusieurs
programmes SD par des versions en haute définition ;
• l’utilisation éventuelle d’une partie du dividende numérique pour déployer des
multiplex supplémentaires de télévision haute définition, après l’extinction de la
diffusion analogique et une fois que les différents multiplex déjà déployés auront été
réaménagés vers les couches prévues lors de la CRR06, dans le cadre des
procédures prévues par la nouvelle loi.
2.1.1
Pour des réseaux dédiés à la HD, quels objectifs de couverture devraient être retenus à
terme ?
Le service de chaîne HD devrait à terme avoir la même couverture que les multiplexes
actuels en simple définition.
2.1.2
Peut-on envisager la présence sur un même multiplex de services en MPEG-2, en
MPEG-4 SD et en MPEG-4 HD ?
De la même façon que cela existe aujourd’hui entre mpeg2 SD et mpeg4 SD, il n’y a pas
de raison que cela ne soit pas possible aussi avec le mpeg4 HD.
Quelles sont les questions techniques posées par une telle composition, notamment pour
ce qui est du multiplexage statistique entre ces différentes catégories ?
La réponse incombe aux fabricants d'encodeurs dont Philips ne fait pas partie.
2.2 Résolution et répartition des débits
2.2.1
Parmi les différents types de postes de télévision permettant de recevoir de la haute
définition, la principale différence porte sur le nombre de lignes, en général 720 ou 1080.
Quel niveau de résolution doit être privilégié et pourquoi ?
Faut-il considérer des contraintes particulières, relatives à la résolution, qui tiendraient
compte notamment des caractéristiques du parc de récepteurs existants ?
Philips suggère de laisser les deux niveaux de résolution des écrans coexister.
Les écrans de résolution 768p sont largement suffisants pour le broadcast. Les écrans Full
HD (1080p) constituent une montée en gamme qui ne donneront toute leur mesure
qu’avec des sources vidéo 1080p (blu-ray…)
2.2.2
La HD en TNT n’est autorisée que par l’utilisation de la norme MPEG-4. La technique
de compression s’améliore régulièrement et le gain en débit qui en résultera permettra une
meilleure utilisation de la ressource spectrale. A quel rythme devrait intervenir cette
amélioration et selon quels critères peut-on la mesurer ?
On pourra s’aider du tableau suivant pour répondre à cette question.
Bande passante nécessaire en MPEG 4 (vidéo) compte tenu des progrès
liés aux techniques de compression.
SD
HD 720p
HD 1080i
HD 1080p
Fin 2007
Fin 2008
Fin 2009
Ce domaine des encodeurs se situe hors du champ d’activités du groupe Philips. Mais
l’expérience de ces dernières années montre clairement que les gains de compression ne sont
pas aussi rapides qu’espérés (cf également la démo du 10/02/2006 du HD-Forum au laboratoire
de la FNAC).
2.2.3
En fonction de vos réponses aux questions précédentes, quelles seraient les incidences
sur le nombre de services dans l’hypothèse d’un multiplex entièrement consacré à la HD ?
Quel scénario de démarrage doit alors être privilégié :
• Trois chaînes en HD avec des résolutions moindres, qui seront augmentées en
fonction du gain de compression ? Quel niveau de résolution de départ faut-il
adopter dans ce cas ?
•
Deux chaînes en pleine résolution, passant à trois lorsque le gain de compression
le permettra à qualité égale ?
Philips privilégie fermement un démarrage avec deux chaînes en pleine résolution
afin de répondre pleinement aux attentes de qualité d’image des consommateurs.
2.2.4
Quel scénario de démarrage envisagez-vous pour une migration de services payants en
SD vers la HD ? A quelle échéance ? Pour combien de services ?
Sans objet pour Philips
2.2.5
Par une délibération du 25 juillet 2006 (publication au Journal officiel du 22 août 2006), le
Conseil a fixé la quantité de débit affectée à chaque service actuellement diffusé sur la
TNT :
• services en clair et plages en clair obligatoires des services payants (MPEG2) :
165 millièmes
• chaînes payantes autres que sport (MPEG-4) : 145 millièmes
• chaînes payantes sport (MPEG-4) : 200 millièmes.
Il revient donc au Conseil de fixer cette quantité pour les services HD. En fonction de vos
réponses aux deux questions précédentes, quelle est selon vous la quantité de débit en
millièmes qui devrait être affectée à un service HD ?
500 millièmes au démarrage, en accord avec notre réponse 2.2.3
333 millièmes dès que les gains de compressions le permettront.
2.2.6
Pour chaque service HD, quelle répartition devrait-être recommandée entre les différentes
composantes (audio, vidéo et données associées) ?
Il est important de pouvoir assurer la promesse de la télévision Haute Définition, d’abord
par la qualité d’image, ensuite par la qualité du son (multicanal), et enfin les services
associés.
° 10/11 mb/s pour la vidéo (MPEG4/AVC) – 7/8 mb/s à terme (2008 ?)
° 512 kb/s pour deux audio multicanaux (2x 256kbs VO et VF)
° 100 kb/s pour les services associés (sous-titre s DVB, téléchargements…)
2.2.7
Faut-il réserver de la ressource pour des données indépendantes ? Dans quelle
proportion?
Oui pour le téléchargement indispensable des mises à jour des terminaux (minimum
50kb/s par mux).
Il faut également garder de la place pour la voie de signalisation SI/PSI ainsi que les
EMM/ECM en cas de service payants.
2.3 Audio
En l’absence de prescription explicite relative au codage audio pour la HD dans l’arrêté
du 24 septembre 2001 modifié, le multicanal (5.1, 7.1, etc.) est souvent considéré comme
indissociable de la télévision HD.
2.3.1 Quelles normes conviendrait-il d’utiliser pour le transport de la composante audio en
télévision HD ?
Le transport de l'audio doit suivre la promesse de la Télévision Haute Définition à savoir le
son multicanal. Afin que le consommateur puisse bénéficier de ce service, il doit être
équipé d'amplificateur audio gérant le son multicanal. Les normes actuelles (AC3 et
HE AAC) doivent être privilégiées.
2.3.2
Faut-il considérer, comme pour les DVD, la possibilité de plusieurs voies sonores
différentes et simultanées (VO/VF/Commentaires/Audiovision/etc.) ? Comment cette
solution peut-elle être concrètement mise en oeuvre et pour quelles applications ?
La Haute Définition doit être perçue comme un service PREMIUM par rapport aux offres
TNT en simple définition. Il faut donc transmettre plusieurs voies sonores (VF/VO)
(cf. réponse a la question 2.2.6) pour les services vidéo type films. Evidemment la
ressource doit être disponible.
2.4 Protection du contenu et droit à la copie privée
2.4.1
La mise à disposition de contenu haute définition doit-elle se faire dans un contexte
sécurisé ?
Les tests d'interopérabilité mis en oeuvre par les constructeurs ont mis en évidence les
problèmes liés à l'algorithme de protection du contenu HDCP. HDCP est la principale
raison de non interopérabilité entre les produits. Il est indispensable que le consommateur
puisse avoir une image en haute définition non dégradée (à l'inverse de ce que demande
le consortium AACS américain qui n'autorise pas de transmission HD sur les sorties
analogiques YPbPr). La sécurisation du contenu doit donc se faire en fonction du contenu
broadcasté. D’autre part, les usages actuels des consommateurs en SD (time shift, pause
live TV, enregistrements programmés…) devraient être également disponibles en HD.
Dans ce cas, quelles normes conviendrait-il d’écarter ou de retenir (HDCP,
DTCP, etc.) ?
La norme est fonction de la connexion utilisée:
- HDCP pour HDMI
- Solution à définir sur la sortie YPbPr (macrovision ? CGMS ?)
- Solution DTCP pour les connexions numériques haute définition entre le décodeur HD et
les enregistreurs externes HD Blu-ray (via IEEE1394 par exemple).
2.4.2
L'article L.331-11 du code de la propriété intellectuelle, introduit par la loi n° 2006961
du 1er août 2006 relative au droit d’auteur et aux droits voisins dans la société de
l’information (DADVSI), a chargé le CSA de s'assurer que les éditeurs et distributeurs
de services de télévision ne recourent pas à des mesures techniques qui auraient pour
effet de priver le public du bénéfice de l'exception pour copie privée. Quels moyens
envisagez-vous de mettre en oeuvre afin d'assurer le respect de cette obligation ?
Sans objet pour Philips
3 MODELE ECONOMIQUE
La diffusion de programmes en HD est déjà une réalité sur le satellite et l’ADSL et fait
l’objet d’expérimentations sur le câble. La diffusion en HD sur les réseaux de la TNT
représente donc un moyen supplémentaire de mise à disposition de contenus en HD qui
seront disponibles sur ces différents réseaux.
Le Conseil souhaite cependant mieux appréhender la position des acteurs sur ce que
seront ces contenus et ces services ainsi que sur le modèle économique qui devrait
prévaloir.
3.1 Services et contenus
3.1.1 Avez-vous un projet pour un service TNT en HD ?
Quels éléments d’information pouvez-vous d’ores et déjà fournir au Conseil sur celui-ci ?
Sans objet pour Philips
3.1.2
Combien de services de télévision HD sont nécessaires pour assurer le succès de
l’offre au démarrage ?
2 services de qualité au démarrage (qualité d’image HD, de son multicanal, et qualité des
contenus…) par multiplex.
Quelle devrait être la répartition entre services gratuits et services payants ?
Afin de se différencier de l'offre satellite et de l'offre câble, il est indispensable de diffuser des
chaînes gratuites en HD. Surtout si la HD doit être le prochain standard de transmission
numérique.
A cet égard, le modèle susceptible d’assurer le développement le plus rapide de la haute définition
est-il celui de la télévision payante ou celui de la télévision gratuite ?
Du fait du succès de la TNT et que 70% de français ne souhaitent pas s’abonner à un bouquet
payant, Philips pense que le modèle gratuit est à favoriser.
3.1.3 Le nombre de services et leur répartition doivent-ils évoluer après l’extinction de
l’analogique ?
La libération de fréquences analogiques doit favoriser l'apparition de nouvelles chaînes HD.
3.1.4 Le projet de loi impose au Conseil de tenir compte de « l’offre de programme dont les
formats sont les plus adaptés à la haute définition et les plus à même d’encourager la
réception de services en HD par le plus grand nombre ». Selon vous, quels sont les
types de programmes qui, notamment au regard de leur attractivité, répondent le
mieux à cette définition ?
Suite à des tests consommateurs, Philips pense que les programmes suivants sont dans l'ordre
les plus aptes à encourager la réception de service HD:
1. Evènement sportif
2. Films
3. Documentaires
4. Série télévisée.
3.1.5 L’interactivité, pour l’instant non exploitée sur la TNT en SD, présente-t-elle un intérêt
particulier en HD ? Pour quels types d’applications ?
L'interactivité n'est pas perçue comme impérative pour la transmission de programme HD. La
priorité doit être donnée à la qualité d'image, la présence de son multicanal, une signalisation 16:9
correcte.
Au démarrage de la HD, les programmes directement captés et produits en haute
définition ne suffiront probablement pas à alimenter les grilles de plusieurs services.
Une solution consiste à convertir des programmes SD pour qu’ils soient ensuite diffusés
en HD. Une autre solution consiste à ne diffuser en HD que les programmes
effectivement captés et produits en HD et à conserver une diffusion en SD des autres
programmes plutôt que de les convertir. Dans les deux cas, il convient de faire croître
progressivement la diffusion en HD de programmes effectivement captés et produits en
HD.
3.1.6 Quelle solution doit être privilégiée par le Conseil ?
Compte tenu de l’expérience actuelle de la HD qui montre une vraie déception des
téléspectateurs, Philips ne souhaite pas voir des programmes SD convertis en Haute Définition.
La promesse liée à la haute définition doit être tenue, à savoir une image de qualité, native Haute
Définition, et un son de qualité, multicanal, afin de ne pas décevoir les téléspectateurs.
3.1.7 Lors d’une diffusion en HD d’un programme qui n’a pas été capté ou produit en HD,
faut-il en informer le téléspectateur afin d’éviter une perception négative (comme par
exemple les indications concernant les programmes analogiques en stéréo et en 16/9) ?
Par quel moyen ?
Dans la mesure du possible la diffusion de programmes SD convertis en HD devra être évitée. Si
on doit convertir la SD en HD, il est indispensable de prévenir le consommateur par un logo, que
la source n'a pas été captée en HD (voir l'exemple des CD audio type AAD, ADD, DDD).
3.1.8 Dans la perspective d’une montée en charge dans les grilles des programmes effectivement
captés et produits en HD, quel calendrier faut-il recommander ou éventuellement exiger lors des
appels aux candidatures ?
Sans objet pour Philips
3.1.9 Quel est l’état actuel d’équipement HD de votre chaîne de production ?
En 2007, la quasi totalité des Flat-TV Philips 16/9 mis sur le marché sont des produits HD-Ready.
3.1.10 Si les programmes SD ne sont pas convertis et s’ils sont diffusés en l’état, à quel usage
peut-on alors affecter la ressource temporairement libérée ?
Scénario non envisageable.
Le développement de la HD est susceptible d’avoir un impact sur l’ensemble de la
chaîne de valeur de la télévision. La mise en oeuvre de nouvelles techniques de captation,
de traitement et de restitution engendre en effet une série de coûts additionnels à
chacune des étapes de cette chaîne. En outre, des investissements marketing significatifs
seront nécessaires pour permettre une adoption rapide de la haute définition par le
grand public.
3.2 Production de contenus
Sans objet pour Philips
3.2.1 Quels sont les surcoûts identifiables liés à la production des programmes en HD ?
3.2.2 En termes d’équipement de production et de traitement, quel est le niveau minimum
d’investissement pour une chaîne HD ? Quelle est la durée d’amortissement de ces
matériels ?
3.2.3 Pouvez-vous détailler le surcoût de production selon le type de programme concerné ?
Et son évolution possible à la fin 2011 ?
On pourra s’aider du tableau suivant pour répondre à cette question.
% de surcoût par rapport
à la production du même
programme en SD
Cinéma
Sport
Documentaire
En 2007
Fin 2011
3.2.4 Les améliorations des techniques de compression mentionnées à la question 2.2.2
nécessitent des mises à jour logicielles et probablement, lors de ruptures
technologiques, le changement de matériels ou d’une partie du matériel. Quelle
incidence ces évolutions techniques auront-elles sur les coûts de production ?
3.2.5 Quelles sont les synergies avec d’autres supports (satellite, xDSL, câble, FTTx, etc.)
dont les contenus HD prévus pour une diffusion hertzienne terrestre peuvent
bénéficier, notamment en termes de coûts de production et de traitement ?
3.3 Déploiement et diffusion Sans objet pour Philips
3.3.1 Dans le cas d’un multiplex consacré à la HD sur le réseau R5 envisagé en annexe, quel
est votre scénario de déploiement des infrastructures de diffusion ? On pourra s’aider
du tableau suivant pour répondre à cette question.
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Phase 4
Durée de la phase
Nombre de sites
Couverture de la
population en %
Sans objet pour Philips
3.3.2 En fonction de votre réponse aux questions 2.2.3, 2.2.4 et 3.3.1, quelle est l’évolution
prévisible des coûts de diffusion à consentir par un service HD dans le cas d’une
diffusion sur le réseau R5 ? Dans le cas d’une migration d’un service payant SD vers
HD ? On pourra s’aider du tableau suivant pour répondre à cette question.
Coûts de diffusion
Diffusion sur le
réseau R5
Migration de SD
vers HD
Sans objet pour Philips
Année 1
Année 2
Année 3
Année 4
3.4 Réception, terminaux et distribution
3.4.1 Quelle sera selon vous l’évolution des prix de détail moyens des équipements de
réception HD ? On pourra s’aider du tableau suivant pour répondre à cette question.
2 007
TV intégrant
un tuner pour
la réception
numérique
terrestre
2008
2009
2010
TV HD avec
tuner TNT sans
décodage
MPEG-4
TV HD avec
tuner avec
décodage
MPEG-4
Adaptateur MPEG-4
(sans contrôle d’accès)
Décodeur MPEG-4
(avec contrôle d’accès)
3.4.2 A partir du lancement d’une offre, quelle pourrait être l’évolution de l’équipement des
foyers en terminaux (définis au point 3.4.1) permettant la réception de la TNT HD
gratuite ? On pourra s’aider du tableau suivant pour répondre à cette question.
2007
2008
2009
2010
2011
Nombre de foyers
équipés de terminaux
permettant la réception
des programmes en HD
gratuite
Cumul foyers équipés :
.
3.4.3 Quelles pourraient être les perspectives d’abonnements aux offres payantes HD en
TNT ? On pourra s’aider du tableau suivant pour répondre à cette question.
Année 1
Nombre de foyers
abonnés à une offre de
TV HD en TNT
En % des foyers
équipés
de terminaux HD
Année 2
Année 3
Année 3
Année 4
3.4.4 Comment l’ensemble des coûts additionnels identifiés sur la chaîne de valeur
pourront-ils être amortis, et à quelle échéance ?
Sans objet pour Philips
Dans le cas de chaînes gratuites en simulcast : quelle proportion d’audience
additionnelle serait nécessaire ?
Sans objet pour Philips
Dans le cas de nouvelles chaînes gratuites : quelle proportion d’audience totale
serait nécessaire ?
Sans objet pour Philips
Dans le cas de chaînes payantes : combien d’abonnés et à quel prix ?
Sans objet pour Philips
3.4.5
Quels efforts d’information spécifiques faudrait-il consentir pour assurer le succès
rapide de l’offre de télévision haute définition sur la TNT ?
° Grande chaîne nationale (TF1, FranceTélévision) e n HD sur la TNT gratuite avec comparatif de
qualité d'image par rapport à la SD
° Campagne publicitaire sur lesdites chaînes analog iques ou TNT
° Vulgarisation de la HD de manière très claire
En particulier, les labels actuellement utilisés par les industriels et les détaillants (« Compatible HD
», « HD Ready », « HD TV », « Full HD ») vous paraissent-ils à même de favoriser l’adoption
de la HD par les consommateurs ?
Il faut se focaliser sur les labels EICTA "HD-Ready" et "HDTV".
3.4.6 Quelles offres commerciales spécifiques de la part des éditeurs, des industriels, et/ou
des distributeurs commerciaux sont susceptibles d’encourager l’équipement des
consommateurs ?
Cela relève de la stratégie commerciale des entreprises.
3.4.7 Faut-il coordonner le lancement de la HD en France avec la tenue d’un événement
particulier ? Si oui, lequel ?
C'est en effet un facteur de vente important.
Les manifestations sportives sont les plus à même de favoriser le lancement de la HD à savoir:
° Rugby World Cup 2007
° EURO 2008
° Roland Garros 2008
° Beijing Summer Olympic 2008
3.4.8 Dans quelle mesure les autres équipements domestiques (caméscopes, consoles de jeu,
lecteurs de salon HD) permettant l’usage de services en haute définition peuvent-ils
contribuer à la pénétration de la télévision HD dans les foyers ?
Tout périphérique HD (Blu-ray…) peut bien évidemment contribuer de façon efficace à la
pénétration de la HD.
3.4.9 En dehors des éléments listés précédemment, y a-t-il selon vous d’autres facteurs
susceptibles de déterminer le succès de la télévision HD ?
1 La qualité des contenus en HD
2 Diffusion en HD par une chaîne majeure (France Télévision, TF1) en clair
3 La facilité d’accès des consommateurs (plug & play / idem TNT)

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