Mercredi 8 septembre 2010 Dossier de presse

Mercredi 8 septembre 2010
Dossier de presse
«Téléchargement illégal, pirates, délinquants du web, répression, crise du disque, Hadopi, licence globale …
que de mots barbares et effrayants pour simplement faire face à une révolution technologique qui remet en
cause un système économique.
A la punition, à la contrainte, à la culpabilisation ambiante, je préfère largement le vœu de Manu Chao écrit dans
le journal l’Humanité du 26/08/2009 « "...donc, ça passe par des utopies, une sorte de charte utopique entre le
public et les musiciens ». Les projets de loi actuels défendent 80 % des ventes mais 20% seulement des œuvres
musicales créées, donc essentiellement les œuvres éditées par les majors compagnies.
La filière disque/musiques enregistrées est en crise, le numérique est une révolution culturelle.
Les majors compagnies ont perdu une grande part du marché, mais parallèlement la filière « indépendante »
s’organise, se développe et profite des nouveaux supports et des nouveaux médias pour promouvoir ses œuvres
hors des circuits commerciaux traditionnels auxquels elle n’a pas accès pour des raisons le plus souvent pécuniaires.
Ce développement se fait avec une grande précarité financière, structuré en petites entreprises (souvent associatives ou scop), le soutien du bénévolat, de gros investissements en énergie humaine, l’économie dite sociale
et solidaire, l’aide des pouvoirs publics …
Nous avons néanmoins une mission culturelle de service et de salubrité publique.
Les « artistes/éditeurs/producteurs dits indépendants » sont les garants de la diversité et de l’innovation.
Nous devons tisser un lien étroit entre le public, les créateurs, les interprètes, les producteurs, les éditeurs, les
distributeurs, les diffuseurs. La solidarité dans l’ensemble de cette chaine est la garantie de la survie de cette
discipline artistique qu’est la musique, l’art le plus populaire et donc essentiel.
L’artiste musicien, comme l’agriculteur, contribue au lien social, à l’aménagement et à l’équilibre du territoire, il
développe le patrimoine et il nourrit (l’intellect). Comme pour l’agriculture, la qualité, la diversité, l’innovation ne
peuvent passer que par un autre système économique, un business « ethiquable », avec ses circuits courts, ses
ventes directes, ses marchés de plein air, sa charte de confiance et son lien étroit avec son public …
C’est à ce défi que veut s’atteler ce premier Forum des Musiques Indépendantes à Montpellier avec ses
conférences, son marché de plein air et ses concerts le 17 et 18 septembre 2010.
Professionnels (artistes inclus) et public se donnent rendez-vous pour construire le monde de demain,
dans une ambiance conviviale et festive !»
Daniel BOURGUET, directeur artistique
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Un nouveau temps d’effervescence pour la vie musicale montpelliéraine
«En accompagnant la première édition du Forum des Musiques Indépendantes, la Ville de Montpellier souhaite
témoigner son soutien à l’ensemble des acteurs de la filière Musique. Artistes et labels, lieux de diffusion et disquaires, porteurs d’imagination et découvreurs de talent, ils sont nombreux à défendre la diversité musicale avec
une énergie formidable et communicative.
Depuis quelques années, internet et les outils multimédias bouleversent la donne. Le téléchargement ébranle le
monde de la musique, et les réponses sont en train de s’inventer. Lorsque la Ville a décidé de racheter le Rockstore elle y a vu le moyen de soutenir les artistes - qui se rémunèrent de moins en moins par la vente de CD -,
mais aussi l’occasion de préserver au cœur de la ville un lieu où se crée la musique, où a lieu la rencontre entre
le public et les artistes. Dans les domaines culturels touchés par ces mutations technologiques, nous souhaitons
sensibiliser le public, donner à chacun l’occasion de découvrir la qualité et la diversité de la culture plutôt qu’encourager une approche consumériste du téléchargement. C’est une forme de réponse à la loi Hadopi qui ne
songe qu’à sanctionner…
Aujourd’hui, alors que les financements sont partout moins nombreux, il faut éviter le saupoudrage. Dans cet
esprit, avec les structures artistiques, nous souhaitions être dans un soutien fort des acteurs culturels du territoire
de la ville, aider davantage la création. C’est pourquoi nous avons mis en place le fond d’aide à la création musicale. Le guitariste Gérard Pansanel, le groupe The Chase et la chanteuse Cobson font partie des premiers à
en avoir bénéficié. De nombreux autres suivront. Car le but de notre action est de faire émerger de nouveaux talents, de partager l’excellence culturelle, avec pour ambition de susciter la curiosité et l’émotion.
A l’image de Montpellier, notre politique culturelle doit être en mouvement, innovante, généreuse. Elle doit continuer à rayonner par sa créativité, par la place qu’elle donne à l’actualité des arts et aux lettres. Carrefour convivial
de projets et d’artistes, lieu de partage et de rencontre, de confrontation et d’expériences, le FMI apportera désormais à la vie musicale montpelliéraine un nouveau temps de réflexion et d’effervescence, que nous nous réjouissons d’accueillir.»
Hélène MANDROUX,
Maire de la Ville de Montpellier
Michaël DELAFOSSE,
Adjoint au Maire, délégué à la Culture
Forum des Musiques Indépendantes
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Forum des Musiques Indépendantes de Montpellier
Vendredi 17 et samedi 18 septembre 2010
Pourquoi ce forum ?
La production phonographique indépendante représente 35% du marché du disque. Malgré sa contribution à la
diversité culturelle, elle reste dans une économie précaire et la place qu'elle occupe dans les média et la distribution est faible voire inexistante.
La diversité de la production musicale se nourrit de la diversité des structures : les producteurs indépendants
sont autant de personnalités, libres d’assumer des choix artistiques variés, présents sur des registres musicaux
très diversifiés.
Pourtant, les mutations du marché du disque rendent encore plus difficile la survie de cette offre diversifiée et la
capacité des structures à pérenniser leurs actions.
L'objet CD n’est plus rentable et reste très cher à produire. Pourtant il reste une étape nécessaire voire indispensable au développement d’un groupe.
Les frais de promotion, les rapports complexes avec les médias, la place de plus en plus importante prise par la
communication, impactent durement les structures à petite économie.
L’industrie du disque est donc en pleine mutation et depuis plusieurs années nous voyons de nouveaux modèles
économiques apparaître. Y a t-il une voie « équitable » pour la production musicale ?
Sous l’appellation « disque » est englobée ici dans son ensemble la production enregistrée de la musique, quel
que soit le support final, qu’il soit physique ou numérique.
Bien sûr, même si le Forum des Musiques Indépendantes est tourné vers la production enregistrée, la musique
reste et restera un art de la scène.
Les organisateurs espèrent pouvoir attirer de nombreux autres acteurs culturels pour voir et entendre les artistes
sur scène, car la scène est le vecteur principal de la vie d’un groupe de musique, et c’est aussi à l’issue des
concerts que le marché indépendant du cd est le plus porteur.
Les buts de la rencontre :
a S’interroger sur un nouveau modèle économique « équitable » et sur le rôle de chacun (institutionnels,
labels indépendants, réseaux de distributions, sociétés de distribution, vente numérique, vente par correspondance, presse, radios...) afin de pérenniser l’avenir des labels indépendants.
a Dialoguer avec le public sur la réalité de la production musicale, le rôle d’Internet, le téléchargement
libre et/ou payant, l’avenir de la création et de la diversité de l’offre.
a Faire la promotion de la scène indépendante régionale et au-delà en invitant les réseaux indépendants
des régions limitrophes.
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Le Forum des Musiques Indépendantes
Un marché du disque, des concerts, un forum
Le marché du disque :
Pendant deux jours, sur les allées de l’Esplanade Charles de Gaulle de Montpellier, entre la place de la Comédie
et le Corum, se tiendra un marché du disque .
Les stands seront occupés par des disquaires, des fanzines, des webzines, des radios et autres médias alternatifs, des labels, des éditeurs, des distributeurs, des festivals et diffuseurs et aussi des artistes autoproduits.
Les professionnels présenteront leurs coups de cœurs, vendront leurs œuvres, dans un esprit de convivialité et
d’échange musical.
Face à une offre très limitée dans les rayons des supermarchés et une promotion sélective sur les ondes des radios commerciales, l’idée de ce marché est de créer la rencontre directe et physique entre la diversité et la richesse de la création musicale et le grand public.
Exposer et vendre une production discographique actuelle en marge des lobbyings sur un marché de
plein air sera un véritable défi à relever !
Tous les lieux sont à moins de 10 mn à pied de la gare et du tramway
Les concerts :
En salle (Salle Rabelais, Rockstore, Antirouille) et en plein air (Kiosque Bosc), 11 groupes de la scène régionale
sont programmés pendant ces deux jours. Ces groupes sont soit des groupes professionnels ayant au moins un
album à leur actif, soit des groupes « découverte », en passe de le devenir.
La singularité de cette programmation est qu’il n’y a pas de têtes dites « d’affiches ».
Le forum :
Pendant deux jours, la médiathèque centrale d’agglomération Emile Zola et la salle Rabelais accueilleront professionnels et public pour débattre, échanger autour des musiques indépendantes.
Voir dans le programme ci-après le détail des ateliers, rencontres, conférences
Forum des Musiques Indépendantes
17 et 18 septembre 2010
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Programme détaillé du F.M.I
Vendredi 17 septembre 2010
10h-19h : Esplanade Charles de Gaulle
Marché du disque libre (stands de labels, disquaires indépendants, autoproduits, fanzines, webzines, lieux de
diffusion, festivals de Montpellier et médias)
Rencontres avec les artistes / Salon de thé sous la tente Berbère
12h : Inauguration du F.M.I / Apéritif vigneron
13h00-18h : Ateliers débats à la Médiathèque centrale d’agglomération Emile Zola / Mise en place de bornes
d’écoute
u Quels dispositifs locaux/régionaux pour soutenir la filière de la musique enregistrée ?
La subvention des projets est la réponse des collectivités locales, l’Etat apportant une réponse fiscale avec
le crédit d’impôt. Y a-t-il d’autres leviers pour soutenir les labels, et plus généralement le développement
artistique ?
u
Le rôle et la place des médias dans l’industrie musicale
La promotion et la diffusion des musiques enregistrées sont étroitement liées aux radios, télés, fanzines, webzines… Rôle culturel de découverte ou purs partenariats commerciaux souvent coûteux ? La liberté de
critique et les besoins de financements publicitaires sont-ils compatibles ? Quelles missions pour le service
public ?
u Hadopi / ACTA / Piratage : où en est-on ?
Après Hadopi et sa difficile mise en œuvre, quels effets peut-on attendre ? Qu’est-ce qu’ACTA et quelles vont
être ses conséquences ? Quel rôle joue l’UE ? L’application de la directive service en droit français dès le
1er janvier 2011 va-t-elle impacter la filière du disque ?
Concerts au Rockstore
20h00-20h45: Schöne Connerie / http://www.steamprod.com/shone-connerie
21h00-21h45: Iaross / www.myspace.com/iaross
22h00-22h45: Bangril / http://www.myspace.com/bangril
Samedi 18 septembre 2010
10h-19h : Esplanade Charles de Gaulle
Marché du disque libre (stands de labels, disquaires indépendants, autoproduits, fanzines, webzines, lieux de
diffusion, festivals de Montpellier et médias)
Rencontres avec les artistes / Salon de thé sous la tente Berbère
12h30 : Apéritif vigneron, en partenariat avec Pascal Frissant (Château Coupe Rose, Lacaunette)
15h00-16h00 : Show Case COBSON à la Médiathèque centrale d’agglomération Emile Zola
11h30-18h : Shows Cases au Kiosque Bosc / 5 groupes de musique sélectionnés par les Fédérations Régionales
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17 et 18 septembre 2010
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Salle Rabelais
16h30 : Show case – Maguelonne Vidal
17h30 : Conférence plénière / Le commerce équitable au secours de la musique ?
Entreprises associatives ou coopératives, circuits courts, ventes directes, promotion via le web,y a-t-il une voie
possible pour un développement durable des projets musicaux ?
Concerts à l’Antirouille
21h-22h : Le Comptoir des fous / http://www.steamprod.com/le-comptoir-des-fous
22h30-23h30: New Orleans not dead avec Oncle Strongle / http://www.myspace.com/onclestrongle
Lieux
Rockstore
20, rue de Verdun - Montpellier
/// Entrée 10€ - 5€ Pass’Culture - Gratuit pour les participants
http://www.rockstore.fr
Antirouille
12, rue Anatole France - Montpellier
/// Entrée 10€ - 5€ Pass’Culture - Gratuit pour les participants
www.myspace.com/antirouillemusicbar
Médiathèque centrale d’agglomération Emile Zola
218, boulevard de l’Aéroport International – Montpellier
/// Entrée gratuite
http://mediatheque.montpellier-agglo.com
Kiosque Bosc
Sur les allées de l’Esplanade Charles de Gaulle (entre la place de la Comédie et le Corum)
/// Entrée gratuite
Centre Rabelais
29, boulevard Sarrail - Esplanade Charles de Gaulle (entre la Comédie et le Musée Fabre)
/// Entrée gratuite
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Label de Mai est un label montpelliérain distribué par Mosaic Music,
qui a déjà produit les deux opus de Bangril. Son dernier album, paru le
25 mai dernier, chroniqué par la presse régionale et nationale, est diffusé
sur plus de cent radios associatives, dont FIP en juillet 2009.
Il a également produit le premier album de Chanteurs Latins, sorti et
présenté au JAM le 28 novembre dernier. Le troisième album de Spi et
la Gaudriole est en cours de production, tout comme le deuxième album
solo de SPI (OTH, Les naufragés, la Gaudriole).
Ce label est une des activités de l’association montpelliéraine de
Bouche à Oreille, structure œuvrant pour la production et la promotion
du spectacle vivant.
Cette entreprise associative emploie deux salariés et 78 intermittents
du spectacle, et administre quinze groupes de musique de Montpellier
et sa région.
Contact : www.fmi-montpellier.org.
En partenariat :
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Les artistes présentés
IAROSS
www.myspace.com/iaross
2006 Après avoir joué dans plusieurs groupes étudiants, Nicolas fonde le groupe Solstice, projet dans lequel il
compose et écrit des chansons, textes déclamés, quelquefois chantés.
2007 Il rejoint le collectif d'artistes tram/e/ et participe à l'album de Rimbaud. Sur scène, il rejoint Gatsby.
2008 Le groupe Solstice sort son premier album mais l'aventure s'arrête rapidement. Nicolas se lance alors dans
son projet solo : Iaross.
2009 Il poursuit son travail avec Gatsby, notamment sur scène (festival « Quand je pense à Fernande » à Sète,
« Festival des 2 cités » à Carcassonne …) et se consacre à la sortie de son premier EP.
En 4 titres, ce jeune artiste, compositeur interprète multi-instrumentiste, dévoile un univers très personnel. Influencé autant par le grand Léo que par Noir Désir ou Miossec, Iaross construit ses chansons autour de son violoncelle, de sa guitare et de son piano. L'utilisation de phrases musicales mises en boucle, permet à ses morceaux
d'être à la frontière entre musique répétitive, voire tribale, et chanson libre.
Dans cet EP, chansons d'amour évidentes et brûlots politico-poétiques dessinent la personnalité tourmentée
d'un artiste prolifique, ancré dans une chanson française intemporelle dont il sait s'affranchir.
Sur scène, Iaross s'entoure de ses instruments fétiches qu'il enregistre in vivo… un spectacle d'où on ne ressort
pas indemne.
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BANGRIL
http://www.myspace.com/bangril
"Un monde si beau..." est un très bel album de chansons, qui s'écoute avec beaucoup de plaisir, qui sent bon le
soleil et la fête du sud même quand les textes abordent des sujets sérieux, voire graves. Les thèmes de prédilections restent l'échange, la libre circulation des hommes, l'ouverture vers l'autre, mais aussi les liens avec la
terre, les racines, la famille.
Bangril une chanson francophone d'auteur, une musique "folk-rock-blues-ska-reggae-slam" colorée, métisse,
aux parfums des suds. Les chansons de Bangril sont de la famille de "la nouvelle scène française".
Bangril est une chanson francophone qui ne se prive pas de refrains en arabe (voir la subtile adaptation de "Une
jolie fleur" de Brassens), des couplets en anglais et français mélangés (hommage à Janis Joplin dans Me and
bobby Mc Gee), ou un texte en 4 langues (français, espagnol, arabe, kabyle) dans "La chanson des deux rives".
Côté textes, une belle plume originale, humaniste, à la fois poétique et réaliste, directement inspirée de la vie de
ses contemporains et de la marche du monde.
Côté musique, les mélodies sont efficaces, les rythmes sont actuels, énergiques, et même festifs. Si Spi (ex
leader d'OTH) est "modestement" à l'harmonica, son empreinte n'est pas négligeable dans l'efficacité des arrangements.
Avec "Un monde si beau...", Bangril signe son deuxième album (premier album Kaïna paru en 2004). Un album
qui a le son du groupe, d'une équipe qui a forgé son univers musical en 5 ans de concerts. Un univers musical
métisse à l'image des musiciens du groupe, résolument tourné vers la méditerranée, d'une rive à l'autre …
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SCHONE CONNERIE
http://www.steamprod.com/schone-connerie
Hip Hop Quadragénaire, rappeur solitaire, rappeur solidaire !
A 40 ans, il se découvre rappeur, fun engagé sans complexe et sans tabou !
Tout seul avec un micro HF et un sampler
Ce rappeur, sorti de nulle part, a des choses à dire... et pas des moindres : de la provoc', de la déconne, un
esprit rock et de l'humour, ambiance Canard Enchaîné ! Hip Hop marrant et pamphlétaire, c'est peut être du "rap
de vieux", mais c'est carrément d'actualité !
Schöne Connerie cache aussi Pierrot, auteur-chanteur-leader du groupe Stevo’s Teen.
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Le comptoir des fous
http://www.steamprod.com/le-comptoir-des-fous
Le Comptoir des Fous est une formation de Swing'N'Roll qui fusionne les sonorités New Orléans, soul et
Rythm’N’Blues à la chanson française.
Créé en Mai 2007, Le Comptoir des Fous propose un spectacle décoiffant et poétique avec une énergie débordante. Entouré d’une section cuivre, d’un pianiste déluré et d’un contrebasse-batterie au swing déjanté, un jongleur de mots nous chante avec humour les histoires souvent racontées autour d’un verre, prés d’un comptoir.
Un spectacle musical, une mise en scène, des costumes, une création lumière, tout est fait pour mettre en valeur
les personnages d’une taverne fantaisiste où se prépare la Fête des fous…
Entrez dans l’univers du Comptoir des Fous et découvrez une ambiance feutrée jazzy avant de basculer dans
une folie Rythm’N’Blues… qui feront de cette soirée un moment inoubliable.
Le single "J'ADORE" se trouve sur la compil' ZIC DE ZINC vol3 de Wagramroots qui est sortie en février 2008
et sélectionné par PHILIPPE DUFREIGNE pour Les talents RMC. Avec la sortie de son premier album Vol.1, le
groupe continue les concerts et part désormais à la recherche de partenaires pour le Vol.2. qui sera accompagné
d’une BD.
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Oncle Strongle
http://www.myspace.com/onclestrongle
Mais d'où vient cet ONCLE STRONGLE? Peut-être du bayou, pas très loin de la Nouvelle Orléans, quelques
part en Louisiane, ou encore de Chicago ou de Harlem. Car dès les premières notes de la bande-son, on plonge
dans l'ambiance enfumée d'un bar clandestin, période de la prohibition.
De bars en bistrots, de fêtes de rue en festivals, les six protagonistes de l'histoire se forgent une solide pratique
de la scène, reprenant des standards puis développant leurs compositions, créant leur propre grain et une indéniable personnalité musicale.
« New Orleans Not Dead » a été leur leitmotiv pendant de nombreuses tournées et le sextet garde toujours le
swing entrainant, le son et le look des années 30. Chacun des musiciens apportant son baluchon, on trouve
dans leur marmite une pincée d'afro-beat, des morceaux de mambo, un zeste de balkans... le tout passé à la
moulinette swing!
Ainsi ce ragoût cajun se parfume d'ingrédients venus d'ailleurs, et prend toute sa consistance avec une bonne
rasade de rock’n’roll.
Groupe de scène par excellence, Oncle Strongle fait son cinéma en live, comme un cartoon déjanté en noir et
blanc, et emballe tous les
publics avec
une énergie
que ne laisse
pas présumer
leur formation
acoustique.
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Direction de la Communication
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Tél 04 67 34 70 45