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Economie Avancée M1 Plan et références CARDI Olivier Université de Tours 2016-2017 Cours M1: Economie Avancée – Enseignant & Chargé de TD: Olivier Cardi. – Références principales du cours : – Chiang (1999) Elements of Dynamic Optimization. Waveland – Gourinchas and Rey (2014) External Adjustment, Global Imbalances, Valuation Effects. Handbook of International Economics, vol IV. – Heijdra (2009) The Foundations of Modern Macroeconomics. Second edition. Oxford. – Schmitt-Grohé, Stephanie et Martin, Uribe (2014) International Macroeconomics. Lecture notes. – Vegh (2013) Open Economy Macroeconomics in Developing Countries. MIT Press. – Pour revoir certaines notions fondamentales: – Gregory Mankiw (2013) Macroéconomie. 6ième édition. Ed. De Boeck. – Stephen Williamson (2013) Macroeconomics. 5th edition. Ed. Prentice Hall. – Olivier Blanchard, Francesco Giavazzi, et Alessia Amighini (2013) Macroeconomics: A European Perspective. Ed. Pearson. – Autres références : – Aghion, Philippe, et Alexandra Roulet (2011) Repenser l’Etat. Seuil. – Artus, Patrick et Marie-Paule Virard (2013) Les apprentis sorciers - 40 ans d’échec de la politique économique française. Fayard. – Landais, Camille, Thomas Piketty et Emmanuel Saez (2011) Pour une révolution fiscale. Seuil. – Pisani-Ferry, Jean (2013) La crise de l’euro et comment nous en sortir. Fayard/Pluriel. – Evaluation : – Note examen écrit et note orale. – L’examen écrit prendra la forme de questions de cours (QCM) et de deux exercices. – 4 fiches de TD: préparation obligatoire des questions de cours et du premier exercice des deux premières fiches de TD. 1 Questions traitées dans le cours A travers ce cours, nous présenterons les outils du raisonnement économique qui nous permettront de répondre à plusieurs questions: 1. Est-ce qu’un déficit public conduit à un déficit commercial? 2. Est-il possible d’engendrer une croissance persistante en l’absence de progrès technique? 3. Quelle technologie de production permet de résoudre le problème de rareté du travail lorsque le capital est accumulé de manière perpétuelle? 1 4. Est-ce que les systèmes de retraite par capitalisation et par répartition ont des effets identiques sur l’économie? 5. Existe-t-il un niveau d’investissement optimal du point de vue du bien-être et comment peut-on atteindre ce niveau optimal? 6. Est-ce que l’accès au marché mondial des capitaux permet d’élever les possibilités de consommation? 7. Est-ce que l’ouverture internationale des marchés des capitaux a affaibli le paradoxe de Feldstein et Horioka selon lequel l’investissement domestique est étroitement relié à l’épargne nationale? 8. Quelle est l’explication de l’accroissement de la dispersion des soldes courants dans la zone euro à partir du début des années 1990? 9. Quelle est la valeur du multiplicateur budgétaire et quels sont les déterminants du multiplicateur? 10. Qu’est-ce qui explique l’écart de taux d’épargne entre le Japon et les Etats-Unis? 11. Qu’est-ce qui explique les écarts d’heures travaillées entre la France et les Etats-Unis? 12. Pourquoi les pays ayant un endettement extérieur net et/ou un secteur échangeable de taille réduite connaissent-ils par la suite une dépréciation de leur taux de change réel? 13. Est-ce que les flux de capitaux étrangers s’investissent dans les pays où la croissance de la productivité est la plus élevée? 14. Par quel mécanisme l’entrée de capitaux étrangers dans un pays peut conduire à un taux de croissance de l’économie sous-optimale? 15. Est-ce optimal de mettre en place un contrôle des capitaux? 2 Le plan du cours Le cours comprend comprend trois chapitres. 1. Le premier chapitre présente les choix intertemporels en développant plusieurs versions du modèle à deux périodes : i) une économie de dotation, ii) un modèle à générations imbriquées avec des travailleurs et des capitalistes, iii) une offre de travail élastique, et iv) une économie ayant accès au marché mondial des capitaux. Dans un premier temps, on développe un modèle simple de choix intertemporels que l’on illustre avec la théorie de l’équivalence ricardienne avec une application à l’hypothèse des déficits jumeaux. L’objectif de ce premier modèle est de rappeler plusieurs notions fondamentales comme l’élasticité de substitution intertemporelle, le taux de préférence pour le présent, le taux marginal de substitution intertemporelle. Dans un deuxième temps, on introduit deux types d’individus, les travailleurs (jeunes) et les capitalistes (retraités) dans un modèle à générations imbriquées de type Diamond-Samuelson. On montrera que la croissance économique à long terme s’éteint mais qu’il est possible d’engendrer une croissance persistante en mettant en place un système de redistribution des capitalistes (les retraités) vers les travailleurs (les jeunes). Le modèle à générations imbriquées est également très utile pour évaluer les effets de la mise en place d’un système de retraite. On montrera qu’un système par capitalisation a un effet neutre sur l’économie alors qu’un système par répartition 2 réduit l’épargne et donc le niveau de vie à long terme. Dans un troisième temps, on développera un modèle à deux périodes avec offre de travail élastique et accumulation de capital. L’objectif de ce modèle est d’analyser les effets d’une hausse temporaire des dépenses publiques et d’un choc technologique transitoire. Ce cadre d’analyse peut être envisagé comme une introduction à la théorie des cycles réels. Dans un quatrième temps, on élargira le modèle à deux périodes à l’économie ouverte. Nous débuterons avec des rappels sur la définition de la balance courante en utilisant l’identité comptable entre la production finale et la dépense finale. Puis nous poursuivons en rappelant la construction de la balance des paiements (BdP) qui enregistre les flux de biens, de services, d’actifs non financiers, d’actifs financiers, d’actifs monétaires entre le pays domestique et le pays étranger. En se souvenant qu’un déficit courant peut être financé soit par une entrée de capitaux, soit par une baisse des réserves en devises, la BdP joue un rôle important puisque les études empiriques dont celle de Gourinchas et Obstfeld (2012) indiquent qu’un déficit courant important et une baisse marquée des réseves de change constituent de très bons indicateurs avancés d’une crise de change, ou de défaut de paiement, de bancaire. Un autre document comptable joue un rôle important, c’est la position extérieure nette. Ce document recense les actifs étrangers détenus par le pays domestique et sa dette extérieure. Ce document complète les informations de la BdP car en enregistrant des stocks plutôt que des flux , il permet d’évaluer l’importance de la dette extérieure nette, l’étendue de la dette à court terme, ainsi que le degré d’ouverture internationale sur le marché mondial des capitaux. L’objectif de l’extension du modèle de choix intertemporels à l’économie ouverte sera double. D’abord comprendre pourquoi l’accès au marché mondial des capitaux permet d’élargir les capacités de consommation. Ensuite, nous utiliserons le modèle pour comprendre les effets de la baisse des taux d’intérêt réels dans la zone euro et l’apparition concomitante d’une dispersion des soldes courants. 2. Dans le deuxième chapitre, nous élargissons le modèle de choix intertemporels à deux périodes à une infinité de périodes. Evidemment, l’individu vit une période finie mais on suppose qu’il cède la totalité de la richesse financière accumulée à ses héritiers et ainsi de suite de manière inifinie si bien que le modèle revient à analyser le comportement d’un consommateur et de ses héritiers au cours du temps. De la même façon que le modèle de Solow, la croissance est tirée par l’accumulation de capital. A la différence du modèle de Solow où le taux d’épargne est exogène, le modèle de Ramsey déduit le comportement d’épargne de l’arbitrage entre consommation présente et future. Cet arbitrage conduit l’individu à choisir un profil temporel de consommation qui est croissant avec le taux d’intérêt. A mesure que l’économie accumule du capital, la productivité diminue mais reste plus élevée qu’à long terme ce qui maintient le taux d’intérêt à un niveau suffisamment important et donc engendre une hausse de la consommation. Comme le choix d’épargne repose sur des comportements microéconomiques, il est naturel de se demander dans quelle mesure le modèle néoclassique appelé modèle de Ramsey-Cass-Koopmans permet de rendre compte du comportement d’épargne d’un pays. Nous verrons que contrairement à l’idée couramment admise, le niveau élevé du taux d’épargne au Japon ne s’explique pas par une faible préférence pour le présent mais par l’accélération du progrès technique, le niveau initialement faible du capital (entraı̂née par la destruction de capital lors de la deuxième guerre mondiale), et la faiblesse du taux d’imposition du capital; ces facteurs permettent d’expliquer jusqu’à 3 90% des variations du taux d’épargne au Japon. Chen, Imrohoroglu et Imrohoroglu (2006) montrent également que le taux d’épargne japonais aurait été proche de celui des Etats-Unis en l’absence de l’accélération du progrès technique et si le capital initial avait été équivalent. Le deuxième aspect qui va nous intéresser a trait au multiplicateur de dépenses publiques qui est habituellement déduit du modèle keynésien. La raison de cette analyse est que les faits empiriques font apparaı̂tre qu’une hausse des dépenses publiques est associée à un accroissement marqué des heures travaillées, une éviction de l’investissement et un accroissement modéré du PIB réel. Bien que le modèle keynésien soit en mesure d’expliquer l’éviction de l’investissement, il ne permet pas de comprendre pourquoi les heures travaillées augmentent. Dans le modèle néoclassique, la hausse des heures travaillées s’explique par la hausse attendue des impôts qui pousse l’individu à offrir davantage de travail de façon à éviter une baisse trop forte de son revenu disponible. Contrairement au modèle keynésien, le modèle néoclassique détermine un multiplicateur budgétaire qui est croissant avec l’élasticité de l’offre de travail, la durée de la relance, et la part de l’investissement dans l’économie. Ces facteurs explicatifs ont été mis en évidence par Baxter et King (1993). Le dernier point que nous aborderons a trait à la relation entre offre de travail et imposition mis en évidence par Prescott (2004). Les faits empiriques suggèrent que les pays où le nombre d’heures travaillées est le plus important sont également ceux où l’imposition est la moins élevée. Plus précisément, il apparaı̂t qu’un américain travaille 50% de plus qu’un français en moyenne entre 1970 et 1996. Alors que la productivité horaire y est aussi élevée dans les deux pays (une productivité horaire élevée détermine un salaire réel important et donc une offre de travail forte), le taux d’imposition est de 59% en France et de seulement 40% aux Etats-Unis. En calibrant le modèle, Prescott (2004) montre que les écarts de coin fiscal entre la France et les USA expliquent remarquablement bien les écarts d’heures travaillées entre les deux économies. 3. Dans le troisième chapitre, nous allons élargir le modèle néoclassique à l’économie ouverte. L’objectif est triple : i) comprendre les mouvements du taux de change réel, ii) analyser l’allocation du capital entre les pays émergents, iii) étudier l’effet de l’entrée de capitaux étrangers sur la croissance économique et évaluer dans quelle mesure la mise en place d’un contrôle des capitaux permet de contrecarrer les effets néfastes d’un déficit courant trop élevé. Dans un premier temps, nous allons nous intéresser à une nouvelle variable économique qui joue un rôle important en économie internationale : c’est le taux de change réel. Le taux de change réel représente le prix des biens domestiques en termes de biens étrangers exprimés dans une même monnaie. D’après la parité des pouvoir d’achat (PPA) impliquant l’égalité des prix des biens exprimés dans une même monnaie devrait être respectée (sous l’hypothèse de libre-échange), le taux de change réel devrait rester fixe. Toutefois, les données montrent que la PPA n’est pas respectée mais s’avère très utile pour évaluer dans quelle mesure une monnaie est sur- ou sous-évaluée. Les données suggèrent également qu’une fois exprimée en taux de croissance, la PPA relative selon laquelle le taux de dépréciation d’une monnaie est égale au différentiel d’inflation entre le pays domestique et le pays étranger prédit correctement l’évolution du taux de change en longue période. 4 La question que l’on est amené à se poser a trait aux raisons du non respect de la PPA. Evidemment, comme le respect de la PPA repose sur l’existence du libre-échange et donc la possibilité pour le consommateur d’arbitrer entre deux zones géographiques pour l’achat des biens, le non respect de la PPA absolue pourra s’expliquer par les barrières tarifaires. Une autre explication a trait à l’existence de biens qui ne sont pas échangés ce qui rompt évidemment la relation prédite par la PPA. Ces biens sont appelés biens non échangeables. Lorsque l’on considère l’existence de deux types de biens, les biens échangeables et non échangeables, l’indice de prix à la consommation est maintenant défini comme une moyenne pondérée des prix de ces deux biens. Et le pays où les prix domestiques sont plus élevés que les prix étrangers, infirmant ainsi la PPA absolue, est le pays où le prix relatif des biens échangeables est plus important. Cette appréciation du prix relatif non échangeable a une origine bien connue: l’écart de productivité entre le secteur échangeable et non échangeable; et comme le niveau de technologie dans le secteur échangeable est bien plus élevé dans les pays riches que dans les pays émergents, les prix sont plus élevés que dans les économies en rattrappage économique. En d’autres termes, bien que la PPA pour les biens échangeables est respectée, l’existence de biens ne faisant pas l’object d’un commerce international et dont le secteur de production réalise des gains de productivité plus faibles que le secteur produisant des biens échangeables va élever le prix relatif non échangeable. Ce mécanisme mis en évidence par Balassa (1964) et Samuelson (1964) prédit également que les pays réalisant d’importants gains de productivité dans le secteur échangeable vont également connaı̂tre une appréciation du taux de change réel. A côté de l’impact du différentiel de productivité, d’autres facteurs expliquent les mouvements du taux de change réel comme la position extérieure nette d’un pays ou la taille du secteur échangeable. Lane et Milesi-Ferretti (2004) montrent que les pays connaissant une position extérieure nette négative et/ou ayant un secteur échangeable de taille relativement faible connaı̂tront une dépréciation de leurs prix relativement à ceux de ses partenaires. Nour poursuivons ce chapitre en établissant les prédictions du modèle de croissance néoclassique en économie ouverte en nous inspirant du chapitre de Handbook de Gourinchas et Rey (2014). La prédiction majeure du modèle est que des pays en rattrapage technologique (c’est-à-dire dont la productivité globale des facteurs croı̂t plus vite que celle de la frontière technologique) connaissent une balance courante déficitaire et donc des entrées de capitaux permettant de financer un taux d’investissement élevé et un taux d’épargne faible. Les prédictions du modèle vont à l’encontre des résultats empiriques lorsque l’on considère le flux net total de capitaux étrangers mais sont confirmées lorsque l’on considère seulement le flux net de capital en direction du secteur privé. L’explication est que les pays connaissant une croissance rapide de leur productivité, pour empêcher une appréciation du taux de change réel et stimuler l’expansion du secteur échangeable, mettent en place un contrôle des capitaux (élevant le taux d’épargne) et favorisent l’accumulation de titres étrangers (élevant les réserves en devises). Le dernier point que nous abordons a trait à la crise récente des pays en rattrapage économique comme l’Espagne. L’une des causes avancées de la crise qui a frappé l’Espagne est l’entrée de capitaux étrangers qui a été facilitée par l’intégration financière et monétaire aboutissant à une baisse des taux d’intérêt et donc du coût des capitaux étrangers. L’objectif est de comprendre le mécanisme reliant l’entrée de capitaux et 5 la crise espagnole. L’explication que nous allons présenter est celle proposée par Benigno et Fornaro (2014) qui mettent en avant le rôle positif pour la croissance de la taille du secteur échangeable qui engendre des externalités technologiques. L’idée est que la croissance de la productivité du secteur échangeable détermine la croissance de l’économie et constitue le secteur qui développe des produits innovants et permet un rattrapage de la productivité par rapport à la frontière technologique, à la différence du secteur non échangeable dont les gains de productivité sont faibles: plus la taille du secteur échangeable est faible, moins la croissance de l’économie est forte. Une baisse du taux d’intérêt mondial incite à consommer davantage en empruntant aux pays étrangers qui ont un surplus d’épargne à placer (Allemagne, France). Comme les biens échangeables peuvent être importés, l’économie va financer leurs achats par un déficit courant et va donc réallouer l’emploi vers le secteur non échangeable. La taille du secteur échangeable va se réduire, le pays connaı̂t alors un ralentissement technologique et donc de sa croissance économique, et enregistre un déficit courant. Cet afflux de capitaux étrangers pourra avoir un effet négatif sur le bien-être si l’ampleur des externalités technologiques liées à la taille du secteur échangeable est suffisamment forte. Ce résultat justifie donc la mise en place d’un contrôle des capitaux prenant la forme d’une imposition sur les entrées de capitaux (augmentant le taux d’intérêt de r à r . (1 + τ )). 6 Economie Avancée M1 CARDI Olivier Université François-Rabelais (Tours) 2016-2017 Table des matières Chapitre 1 Déroulement des travaux dirigés, évaluation, références et plan du cours xix 1.1 Objectif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xix 1.2 Déroulement du cours et des TD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xx 1.3 Les références . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xx 1.4 Questions traitées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xxii 1.5 Le plan et le contenu du cours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xxiii Chapitre 2 Choix intertemporels dans une économie à deux périodes 1 2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2.2 Le modèle à deux périodes en économie fermée et l’équivalence ricardienne . . 5 2.2.1 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 2.2.2 Le gouvernement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 2.2.3 Le choix intertemporel de manière analytique . . . . . . . . . . . . . . 6 2.2.4 L’interprétation du choix intertemporel . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 2.2.5 Le taux de préférence pour le présent . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 2.2.6 L’élasticité de substitution intertemporelle . . . . . . . . . . . . . . . . 10 2.2.7 L’épargne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 2.2.7.1 Rôle du taux de préférence pour le présent . . . . . . . . . . 11 2.2.7.2 Cas : Y2 = 0 et σC 6= 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 2.2.7.3 Cas général : σC 6= 1 et Y2 > 0 . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 2.2.8 La neutralité des outils de financement des dépenses publiques . . . . 14 2.2.9 Le résultat de l’équivalence ricardienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 i Table des matières 2.2.10 L’analyse graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 2.2.11 Les déficits jumeaux et l’équivalence ricardienne . . . . . . . . . . . . 17 2.2.11.1 Déficits jumeaux aux Etats-Unis . . . . . . . . . . . . . . . . 17 2.2.11.2 Un argument affaiblissant l’équivalence ricardienne : les contraintes de financement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 2.3 2.4 2.5 2.2.11.3 L’équivalence ricardienne dans la zone euro . . . . . . . . . . 22 2.2.11.4 L’équivalence ricardienne dans les données . . . . . . . . . . 25 2.2.12 La méthode du Lagrangien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 2.2.13 La démarche sous-jacente au Lagrangien . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 2.2.14 L’interprétation du multiplicateur de Lagrange . . . . . . . . . . . . . 28 Le modèle à générations imbriquées de Diamond-Samuelson . . . . . . . . . . 28 2.3.1 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 2.3.2 Les firmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 2.3.3 L’équilibre sur le marché des biens et services . . . . . . . . . . . . . . 33 2.3.4 Stabilité de la dynamique de l’économie . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 2.3.4.1 L’analyse de l’équation dynamique non linéaire . . . . . . . . 34 2.3.4.2 L’analyse de l’équation dynamique sous forme log-linéaire . . 37 2.3.5 L’extinction de la croissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 2.3.6 L’efficience de l’équilibre de long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 Croissance endogène dans un modèle à générations imbriquées . . . . . . . . . 44 2.4.1 Le cadre d’analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 2.4.1.1 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 2.4.1.2 Les firmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 2.4.1.3 L’équilibre sur le marché des biens et services et l’équation d’accumulation du capital . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 2.4.2 Le taux de croissance de l’économie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 2.4.3 Les conditions d’une croissance endogène : système fiscal de redistribution et σ > 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 Application du modèle à générations imbriquées au choix d’un système de retraite 54 2.5.1 Typologie des systèmes de retraite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ii 54 Table des matières 2.6 2.7 2.5.2 Système de retraite par capitalisation (fully-funded) . . . . . . . . . . 55 2.5.3 Système de retraite par répartition (PAYG) . . . . . . . . . . . . . . . 56 Le modèle d’équilibre général à deux périodes avec offre de travail élastique : une introduction au modèle du cycle réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 2.6.1 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 2.6.2 Les firmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 2.6.3 L’équilibre sur le marché des biens et services . . . . . . . . . . . . . . 64 2.6.4 La résolution du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 2.6.5 Les effets d’une hausse de la productivité . . . . . . . . . . . . . . . . 67 2.6.6 Les effets d’une hausse des dépenses publiques . . . . . . . . . . . . . 71 Balance courante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 2.7.1 Equilibre comptable en économie fermée . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 2.7.2 Equilibre comptable en économie ouverte . . . . . . . . . . . . . . . . 75 2.7.2.1 Flux internationaux de capitaux et la balance commerciale . 76 2.7.2.2 Le Produit National Brut . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 2.7.2.3 Balance courante et identité comptable . . . . . . . . . . . . 77 Four Alternative Ways of Viewing the Current Account . . . . . . . . 78 2.7.3.1 Current Account Deficits As Reflections of Trade Deficits . . 78 2.7.3.2 Current Account Deficits As Reflections of Trade Deficits . . 79 2.7.3.3 The Current Account As the Gap Between National Income and Domestic Absorption . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79 The Current Account As The Gap Between Savings and Investment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 2.7.4 L’enregistrement comptable des échanges extérieurs . . . . . . . . . . 80 2.7.5 La position extérieure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 La définition du solde courant et la soutenabilité de la dette externe . . . . . 86 2.8.1 Est-ce possible d’enregistrer un déficit commercial récurrent ? . . . . . 86 2.8.2 Est-ce possible d’enregistrer un déficit courant de manière perpétuelle tout en satisfaisant la condition de solvabilité intertemporelle ? . . . . 89 La détermination du solde courant dans un modèle à deux périodes . . . . . . 93 2.7.3 2.7.3.4 2.8 2.9 iii Table des matières 2.9.1 Les firmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 2.9.2 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 2.9.3 L’équilibre en économie fermée et ajustement face à un choc temporaire négatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 2.9.4 Analyse en termes d’équilibre sur le marché des capitaux . . . . . . . 100 2.9.5 L’équilibre dans une petite économie ouverte . . . . . . . . . . . . . . 101 2.9.6 Détermination de l’équilibre dans une petite économie ouverte . . . . 108 2.9.7 Comparaison économie fermée et économie ouverte . . . . . . . . . . . 109 2.9.8 La baisse des taux d’intérêt dans les années 1990 et les déséquilibres de la balance courante dans la zone euro dans les années 2000 . . . . . . 110 Chapitre 3 Choix intertemporels en horizon infini : le modèle de Ramsey 1 3.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3.2 Optimisation dynamique en temps continu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 3.2.1 5 Quelques rappels de mahématiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1.1 La dérivée d’une intégrale : règle de Leibniz pour dériver les intégrales définies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 L’intégration par parties . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 3.2.2 Les préférences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 3.2.3 La contrainte budgétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 3.2.4 La formulation du problème d’optimisation intertemporelle en horizon fini . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 3.2.5 La contrainte budgétaire intertemporelle . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 3.2.6 Le choix intertemporel : La méthode du Lagrangien . . . . . . . . . . 8 3.2.6.1 Application du calcul des variations . . . . . . . . . . . . . . 9 3.2.6.2 Application de la méthode du Lagrangien au choix intertemporel à horizon fini . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 Le problème d’optimisation intertemporelle en horizon infini . . . . . . 13 3.2.7.1 La formulation du problème . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 3.2.7.2 Le Hamiltonien et les conditions du premier ordre . . . . . . 15 Le modèle de Ramsey . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 3.2.1.2 3.2.7 3.3 iv Table des matières 3.4 3.3.1 La structure du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 3.3.2 Le consommateur représentatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 3.3.3 Les firmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 3.3.4 L’Etat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 3.3.5 L’équilibre sur le marché des biens et services . . . . . . . . . . . . . . 21 3.3.6 La caractérisation de l’équilibre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 3.3.6.1 Le modèle non linéaire et le diagramme de phases . . . . . . 21 3.3.6.2 Détermination du sentier stable . . . . . . . . . . . . . . . . 23 3.3.6.3 Efficience de l’équilibre dans le modèle de Ramsey . . . . . . 25 Chocs d’offre et de demande dans le modèle de Ramsey . . . . . . . . . . . . 26 3.4.1 Etape 1 : Log-linéariser le système . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 3.4.2 Etape 2 : Déterminer les valeurs propres . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 3.4.3 Etape 3 : Déterminer les vecteurs propres . . . . . . . . . . . . . . . . 27 3.4.4 Etape 4 : Déterminer les trajectoires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 3.4.5 Etape 5 : Déterminer les solutions de K(t) et C(t) . . . . . . . . . . . 30 3.4.6 Etape 6 : Tracer le diagramme de phases du modèle linéaire . . . . . . 31 3.4.7 Etape 7 : Déterminer les effets transitoires de chocs permanent et temporaire de demande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 3.4.7.1 Choc permanent de dépenses publiques . . . . . . . . . . . . 31 3.4.7.2 Choc temporaire de dépenses publiques . . . . . . . . . . . . 33 Etape 8 : Déterminer les effets transitoires de chocs permanent et temporaire d’offre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 3.4.8.1 Les effets d’un choc technologique permanent . . . . . . . . . 35 3.4.8.2 Les effets d’un choc technologique temporaire . . . . . . . . . 36 Le comportement d’épargne dans le modèle de Ramsey . . . . . . . . 38 3.4.9.1 Les déterminants du taux d’épargne à long terme . . . . . . 38 3.4.9.2 La trajectoire du taux d’épargne lors de la convergence vers l’équilibre de long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 L’analyse de la dynamique du taux d’épargne après un choc technologique permanent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 3.4.8 3.4.9 3.4.9.3 v Table des matières 3.4.9.4 3.5 3.6 3.7 3.8 L’analyse de la dynamique du taux d’épargne après un choc technologique temporaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 La théorie du cycle réel : le modèle de Ramsey avec offre de travail élastique . 42 3.5.1 La structure du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 3.5.2 L’équilibre de court terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 3.5.3 L’équilibre de long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 Les effets d’une hausse des dépenses publiques dans le modèle de Ramsey . . 45 3.6.1 Diagramme de phases dans le modèle de Ramsey avec σL = 1 . . . . . 45 3.6.2 Le multiplicateur de dépenses publiques à long terme . . . . . . . . . 47 3.6.3 Les effets transitoires d’une hausse permanente des dépenses publiques 48 3.6.4 Les effets transitoires d’une hausse temporaire des dépenses publiques 50 Les effets d’un choc technologique dans le modèle de Ramsey . . . . . . . . . 51 3.7.1 Les effets d’un choc technologique permanent . . . . . . . . . . . . . . 51 3.7.2 Les effets d’une hausse transitoire de la productivité et la réaction des heures travaillées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 Analyse quantitative des effets de chocs de demande et de chocs d’offre dans le modèle de cycle réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 3.8.1 La calibration du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 3.8.2 Analyse quantitative des effets et fonctions de réponse . . . . . . . . . 57 Chapitre 4 Le modèle néoclassique en économie ouverte 1 4.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4.2 Position extérieure nette et taux de change réel : Lane et Milesi-Ferretti (2004) 3 4.2.1 Un modèle à deux secteurs en économie ouverte . . . . . . . . . . . . . 3 4.2.1.1 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4.2.1.2 Les entreprises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 4.2.1.3 l’équilibre sur le marché des biens et services . . . . . . . . . 8 4.2.2 La résolution graphique du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 4.2.3 Les résultats empiriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Le modèle néoclassique en économie ouverte et l’énigme de l’allocation du capital : Gourinchas et Jeanne (2013) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 4.3 vi Table des matières 4.3.1 Le cadre d’analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 4.3.2 L’équilibre en éocnomie fermée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 4.3.2.1 L’énigme de Lucas (1990) relative à l’allocation du capital entre pays riches et pays émergents . . . . . . . . . . . . . . 19 Le taux d’intérêt d’équilibre à long terme en économie fermée 21 L’équilibre en économie ouverte : la direction et l’ampleur des mouvements de capitaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 Résultats empiriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 4.3.2.2 4.3.3 4.3.4 4.3.4.1 La mesure de la croissance de la productivité et des flux de capitaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 La corrélation entre la croissance de la productivité et les flux de capitaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 Une proposition d’explication à l’énigme de l’allocation du capital dans les pays émergents : la désincitation à l’épargne . . . . . . . . . . . . . 30 4.3.4.2 4.3.5 4.4 Les effets néfastes sur la croissance économique de l’entrée de capitaux étrangers 34 4.4.1 Motivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 4.4.2 Un modèle en économie ouverte à deux secteurs . . . . . . . . . . . . . 39 4.4.2.1 Les ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 4.4.2.2 Les firmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 Bouclage du circuit économique et la résolution de l’équilibre de court terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 4.4.4 La solution du stock de connaissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 4.4.5 La solution du stock d’actifs étrangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 4.4.6 Les effets d’une baissse temporaire du taux d’intérêt mondial : Une analyse quantitative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 4.4.6.1 Paramètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 4.4.6.2 Convergence vers l’équilibre de long terme . . . . . . . . . . 45 4.4.3 4.4.7 Les effets d’une baisse du taux d’intérêt mondial : Une analyse graphique 47 4.4.8 Les effets d’une baisse du taux d’intérêt mondial : Résultats analytiques 48 4.4.8.1 Les variations à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 4.4.8.2 Détermination de la variation de la valeur d’équlibre de l’utilité marginale de la richesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 vii Table des matières 4.4.8.3 La réaction du solde courant à court terme . . . . . . . . . . 50 4.4.8.4 L’ajustement du stock de connaissance . . . . . . . . . . . . 50 Taux d’intérêt faible et la malédiction de l’entrée de capitaux étrangers : Une analyse quantitative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 4.4.10 Une solution de second rang à la malédiction des ressources financières : le contrôle des capitaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 4.4.9 Chapitre A Appendice du chapitre 2 55 A.1 Appendice de la section 2.2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 A.2 Appendice de la section 2.3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 A.2.1 Détermination de la solution de court terme de l’épargne . . . . . . . 55 A.2.2 Détermination de la contrainte de ressources du planificateur . . . . . 56 A.3 Appendice de la section 2.6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 A.3.1 L’équilibre général et la détermination des solutions . . . . . . . . . . 57 A.3.2 L’introduction d’une offre de travail élastique à la période 1 avec un choc de productivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 A.3.3 La résolution du modèle avec dépenses publiques . . . . . . . . . . . . 59 A.3.4 L’introduction d’une offre de travail élastique à la période 1 avec un choc de dépenses publiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Chapitre B Appendice du chapitre 3 63 B.1 Détermination de la valeur de marché de la firme . . . . . . . . . . . . . . . . 63 B.2 Déterminations des solutions du modèle linéaire à anticipations rationnelles . 64 B.2.1 Déterminer les solutions générales de X̂1 (t) et X̂2 (t) . . . . . . . . . . 64 B.2.2 Déterminer les solutions de K̂(t) et Ĉ(t) . . . . . . . . . . . . . . . . . 64 B.2.3 Détermination des réactions initiales après un choc permanent de dépenses publiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 B.2.4 Détermination des réponses des variables après un choc temporaire de dépenses publiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 B.2.5 Détermination des réponses des variables après un choc technologique permanent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67 B.2.6 Détermination des réactions initiales après un choc temporaire de productivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 viii B.3 Détermination des solutions générales après un choc temporaire avec une offre de travail élastique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 B.3.1 Linéarisation du modèle de Ramsey avec offre de travail élastique . . . 70 B.3.2 Détermination des valeurs propres et des vecteurs propres . . . . . . . 71 B.3.3 Détermination des fonctions de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 B.3.4 Les effets d’une hausse permanente de la productivité dans le modèle de Ramsey avec offre de travail élastique . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 B.4 Les effets à long terme de chocs permanents de dépenses publiques et de productivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 B.5 Modèle de Ramsey avec offre de travail élastique : détermination des solutions pour les chocs temporaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77 B.5.1 Linéarisation du modèle de Ramsey avec offre de travail élastique . . . 77 B.5.2 Détermination des valeurs propres et des vecteurs propres . . . . . . . 78 B.5.3 Détermination des solutions formelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79 B.5.4 Détermination des réactions initiales après un choc temporaire des dépenses publiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 B.5.5 Détermination des réactions initiales après un choc temporaire technologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82 ix