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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 13-26 24 Juin 2013
La citation de la semaine
Le chiffre 1 peut s'écrire en n'utilisant qu'une seule fois chacun des 10 chiffres de base :
148/296 + 35/70 = 1
Microsoft Office débarque sur iOS... par le biais d'Office 365
http://www.zdnet.fr/actualites/microsoft-office-debarque-sur-ios-par-le-biais-d-office-365-39791440.htm
La rumeur s'est finalement confirmée, après de multiples rebondissements : une application Office 365 gratuite
est apparue sur l'App Store d'iOS aux Etats-Unis... à condition d'être abonné.
Que manquait-il sur iOS jusqu'à présent, malgré les rumeurs, démentis et nouvelles rumeurs qui
circulaient depuis des années ? Office, la suite bureautique de Microsoft, la plus utilisée au monde.
Absence désormais réparée : Microsoft vient de publier sur l'App Store américain une version d'Office
dédiée à l'OS mobile d'Apple.
Pour l'heure, pas la peine de chercher l'application en Europe. Elle n'est tout simplement pas présente,
mais devrait prochainement arriver : les langues disponibles dans la description de la fiche Office Mobile
for Office 365 Subscribers sur l'App Store montrent qu'une bonne partie des langues européennes sont
déjà intégrées. Les App Stores européens devraient bénéficier de l'application dès la semaine
prochaine, rapporte CNET Etats-Unis. Pour la France, un communiqué de Microsoft annonce le 18 juin.
Service sur abonnement L'autre information que nous apprend cette fiche concerne évidemment le
modèle de monétisation choisi par Microsoft. Office Mobile for Office 365 Subscribers est proposée
gratuitement au téléchargement mais, comme le dit explicitement le titre, n'est utilisable que pour les
abonnés à Office 365. Il faudra donc débourser €99 / an ou €10 / mois pour accéder au service. Notons
tout de même qu'il n'y a pas de surcoût pour l'accès à la version mobile. Une fois le service payé pour
pouvoir y accéder depuis un PC, il suffira d'installer l'application sur iOS pour retrouver ses documents et
les éditer. Office Mobile sur iOS est réservé aux appareils sur iOS 6.1 ou plus. Il faut en outre disposer
d'un iPhone 4 au minimum, d'un iPod Touch 5ème génération, d'un iPad Mini ou d'un iPad au moins de
4ème génération. Microsoft précise également que l'application est optimisée pour l'iPhone 5.
Le changement de stratégie de Microsoft Pour Microsoft, c'est un changement de cap. Il limitait jusqu'à présent l'usage mobile
aux appareils sous Windows Phone, Windows RT ou Windows 8. Mais difficile de résister aux 350 millions d'utilisateurs d'iPhones : la
marge de progression est forte pour Microsoft, qui annonçait le mois dernier 1 million d'utilisateurs pour Office 365 dans le monde.
Avec 3,2% des parts de marché au niveau mondial, Windows Phone n'est décidément pas la plateforme de choix pour un éditeur
souhaitant faire monter ses solutions en niveau. En choisissant de faire reposer sa suite pour iOS sur Office 365, il évite de trop
disperser son marché en offrant une solution qui offrirait à Apple un argument supplémentaire pour vendre ses iPhone.
A noter que l'application n'est pas destinée à créer entièrement des documents depuis zéro. Le but est plus de permettre un accès
aux documents Word, Excel et PowerPoint, de les éditer pour corriger rapidement des erreurs et de les sauvegarder. Les fichiers
sont stockés sur SkyDrive, l'espace disque en ligne de Microsoft, et ne peuvent être synchronisés avec iCloud d'Apple.
Fujifilm annonce un capteur photo organique ultra performant
http://www.silicon.fr/fujifilm-annonce-un-capteur-photo-organique-ultra-performant-86955.html
Panasonic et Fujifilm annoncent avoir développé un nouveau type de capteur photo. Basé sur des matériaux
organiques, il serait beaucoup plus sensible à la lumière que les capteurs du marché.
Un capteur CMOS organique caractérisé par une dynamique (dynamic range) supérieure à celle des capteurs actuels du marché,
voilà ce que Panasonic et Fujifilm annoncent.
Dynamique plus grande et sensibilité accrue Précisément, la dynamique de ce capteur atteindrait 88 dB (soit un indice de
lumination de 29,3 EV) contre 46 dB (soit un indice de lumination de 15,3 EV) pour un capteur CMOS conventionnel.
C’est Fujifilm qui a développé le capteur organique tandis que Panasonic a concentré ses efforts sur l’aspect semi-conducteur
comme le circuit d’annulation du bruit. Outre la dynamique, il serait 1,2 fois plus sensible à la lumière, ce qui se traduira
par moins de bruit dans les zones sombres des images et moins de parties délavées dans les zones claires.
Les capteurs CMOS organiques peuvent en effet consacrer100% de
leur surface pour capturer la lumière, là où un blindage est
nécessaire entre les pixels sur les capteurs actuels. Plus de lumière
pour une surface de capteur identique se traduit par une sensibilité
augmentée de 20%.
Des photos plus fidèles en termes de couleurs
La lumière incidente pourra être captée avec un angle pouvant
atteindre 60° contre 30 à 40° pour les capteurs CMOS actuels. Une
couche organique de seulement 0,5 micron remplace le silicium utilisé
dans les capteurs CMOS dont l’épaisseur est de l’ordre de 3 µm.
Dans ces derniers, les photodiodes sont plus éloignées de la surface, ce
qui limite l’angle d’incidence de la lumière.
L’angle d’incidence accru du capteur organique se traduit ainsi par une meilleure discrimination des couleurs.
Une technologie bien avancée Les deux compagnies précisent avoir mis au point un procédé de fabrication mettant en œuvre
une membrane afin de protéger la couche organique de l’humidité et de l’oxygène.
Auréolé de tests de fiabilité passés avec succès, ce nouveau capteur sera notamment intégré dans des appareils photo numériques
et des téléphones mobiles. Toutefois, les deux compagnies n’ont pas communiqué sur une date de commercialisation et un possible
surcoût par rapport aux capteurs CMOS ou CCD actuels.
Après les écrans OLED basés sur une couche organique, ce sont peut-être les capteurs photo qui utiliseront une technologie
similaire. Et comme pour les écrans OLED, leurs caractéristiques pourraient les populariser.
HP ENVY Rove 20 : entre la tablette et le All In One20’’ pour 999€ en France
La gamme HP Envy se dote d’un nouveau terminal : le HP Envy Rove 20, un engin hybride de 20″ qui pourra
faire au choix tablette tactile ou ordinateur de bureau, le tout sous Windows 8.
Les spécifications de cette tablette tactile géante de HP sont les suivantes :
Ecran IPS de 20″ (1600×900), ce qui est plutôt faible pour une tablette de
cette taille, mais correct pour un PC ; Intel Core i3M ; 8 Go de RAM ;
1TB de stockage ; 3 ports USB 3.0 ; Sortie HDMI ; Extension SD (idéal
pour les photos ou rajouter de la mémoire) ; Connexion Wifi ; BlueTooth
4.0. L’autonomie n’est pas exceptionnelle : 3h15 annoncées. Mais en
même temps ça n’est pas gravissime : avec ses 5,567 kg sur la balance,
pas sûr que vous la transportiez beaucoup. Disons qu’elle fera de petits
déplacements dans la maison, et c’est à peu près tout.
HP l’annonce à 999€ en France, disponible fin juillet en France. Une telle configuration semble un bon compromis pour qui
souhaite renouveler un ordinateur de bureau semi-mobile, pouvant faire office de tablette d’appoint dans une maison.
Evi : un Français dans la foire d’empoigne des tabphones
http://www.silicon.fr/evi-francais-tabphones-86950.html
Engagé dans un virage stratégique sur le marché concurrentiel des terminaux mobiles, le Français Evi SAS
investit le segment des tabphones avec deux modèles Wallet de 5,7 et 6 pouces.
« Super Size Me ». A mi-chemin entre smartphones et tablettes, Evi prendt l’initiative sur le
marché des tabphones – ou « phablets » – avec deux modèles de 5,7 et 6’’ en milieu de gamme.
La SAS française, qui conçoit et développe depuis 2009 des tablettes tactiles, aborde un virage
stratégique dans la mobilité. Sur un marché très concurrentiel, elle diversifie ses horizons (et son
catalogue) en mettant à profit sa double compétence hardware et logicielle. A la croisée des
chemins, ses produits s’empreignent d’hybridité et acquièrent deux visages complémentaires :
l’agrément d’un téléphone mobile associé aux fonctionnalités d’une ardoise numérique.
Un marché concurrentiel C’est le principe même du tabphone, concept vedette dans les rangs
du dernier Mobile World Congress. Cette foire d’empoigne des fabricants télécoms a donné lieu à
de nombreuses officialisations : tandis que Samsung réaffirmait le succès de ses Galaxy Note,
ZTE faisait la part belle au modèle Grand ; Lenovo remettait un pied en Europe avec le K900 ; LG
mettait quant à lui en lumière l’Optimus G Pro à connectivité LTE.
La 4G n’est pas d’actualité chez Evi, qui préfère faire place nette, autour du système d’exploitation Android 4.2 « Jelly Bean », aux
écrans IPS et aux fonctionnalités multimédias, avec également des promesses en termes d’autonomie. Illustration avec le Wallet
HD, mastodonte de 217 g, mais relativement svelte (9,7 mm d’épaisseur) vu son écran 5,7’’ (1280 x 720), son double emplacement
SIM (un seul compatible 3G à 7,2 Mbit/s) et sa batterie amovible de 3600 mAh annoncée à 18 h d’autonomie en conversation.
Avec ou sans HD ? Les quatre cœurs ARM Cortex-A7 à 1,2 GHz du processeur MediaTek MT6589, les 8 Go de mémoire interne et
le capteur d’images de 8 mégapixels confirment ce Wallet HD dans son positionnement commercial, tarif de €399, disponible.
Même constat pour le modèle Wallet, qui relève la barre à 6’’, dans une configuration néanmoins plus modeste, reflet d’une quête
du rapport qualité-prix idéal. Pour €299, le terminal embarque en effet un processeur MediaTek bi cœur à 1,2 GHz (SoC MTK6577
avec solution graphique PowerVR SGX531 Ultra), 4 Go d’espace de stockage extensibles via une carte microSD (HC)… et 512 Mo de
RAM pour l’environnement Android 4.1. L’écran, toujours à technologie IPS, perd en résolution, à 854 x 480 points, tout comme
l’APN, à 5 mégapixels. Wi-Fi 802.11n et Bluetooth 2.0 sont toujours de la partie, au même titre que la 3G HSDPA à 7,2 Mbit/s.
System76 introduces new high-end Ubuntu Linux laptops
http://www.zdnet.com/system76-introduces-new-high-end-ubuntu-linux-laptops-7000016816/?s_cid=e539&ttag=e539
Want a gaming or workday ready-to-run Ubuntu Linux laptop? System76 has the gear you crave.
Thanks to Windows 8's Secure Boot, it's getting harder and harder for a nontechnical user to just get a new laptop and run Linux. System76, along with other
Linux PC vendors such as ZaReason, have a better idea: Just buy a laptop with
Linux already installed.
Pretty and fast: System76's Galago UltraPro is an Ubuntu Linux laptop
user's dream come true. System76, which specializes in Ubuntu Linux laptops,
desktops, and servers, is introducing two new Ubuntu laptops for gamers and
office and home workers: The Galago UltraPro and the Gazelle Professional.
Gamers? Yes, gamers. Games have always been available on Linux, but
with Steam now supporting Linux, gaming has never been bigger on Linux.
To power up those games, the UltraPro comes with a 4th-generation 2GHz Intel
Core i7-4750HQ processor with four cores. For graphics, the powerful laptop comes with Intel Iris Pro graphics backed by 128MBs of
eDRAM. Iris is Intel's answer for AMD and Nvidia's graphic processors. Intel claims that Iris boosts CPU performance by 10 % and
GPU performance by 50 % over previous generations of Intel graphics subsystems. 1720 g.
This, in turn, backs up a 14.1’’ 1080p HD LED backlit in-plane switching (IPS) display. The laptop also comes with Gigabit Ethernet,
802.11n Wi-Fi, HDMI, Display Port, three USB 3.0 ports, an SD card reader, and headphone and microphone jacks.
At the minimum, the Galago UltraPro comes with 4GBs of RAM and can handle up to 16GBs. For storage, the low-end begins at a
500GB 5,400 RPM SATA II drive. From there, you can move to a 256GB solid-state drive (SSD) or a single TB SATA II hard drive.
The low-end configuration will cost you $995, $1300 with 8GB RAM, 120GB SSD, 500GB hard drive.
The workday Gazelle Professional comes with your choice of fourth-generation Intel Core i7-4700MQ CPUs. These range in speed
from 2.4Ghz to 2.8GHz. In this system, graphics are powered by Intel's older integrated HD Graphics 4600. The graphics power a
minimum of a 15.6-inch 1080p HD LED backlit display with 1,920x1,080 resolution. Like the UltraPro, this laptop comes with Gigabit
Ethernet, 802.11n Wi-Fi, HDMI, Display Port, three USB 3.0 ports, an SD card reader, and headphone and microphone jacks.
The Gazelle starts with 4GBs up to 16GBs. The Gazelle also offers a wide variety of storage options. These start at a 500GB 7,200
RPM SATA II hard-drive and end at a 256GB solid-state drive (SSD) or a one TB SATA II hard-drive. Minimum configuration $799.
ORA - S© DIGITAL EYEWEAR PLATFORM
http://optinvent.com/see-through-glasses-ORA
A Breakthrough in Wearable Display Technology ! Société rennaise.
The ORA-S is a best in class hands free wireless see-through wearable display
platform in the form of digital eyewear allowing hands-free mobile computing
applications. It is based on Optinvent’s patented Clear-Vu display engine. ORAS will enable many yet unimagined “always-on” hands free mobile applications
including geo-localization (GPS), sports, messaging, situation awareness, and
more. It can be connected via a standard wi-fi connection to a smartphone or
tablet and will act as a hands-free wearable computer.
The virtual screen of the ORA-S has two configurations allowing both augmented reality and “dashboard” use modes where the
image is either directly in the field of view or in the periphery. The ORA-S is equipped with a camera, microphone, loudspeaker,
inertial sensors, ambient light sensor, photochromic lenses, and a high capacity rechargeable battery allowing long term autonomous
use. The ORA-S is bright, light, and unobtrusive and is a true see-through wearable AR display. This is a first viable product to
enable true hands-free augmented reality applications for both the consumer and professional markets.
Product Reference
Display
Field of View (diagonal)
Resolution
Brightness
Virtual Image Location
Corrective clip
Form Factor
Total Weight including battery
Battery Life (Li-Ion) w/ on board charger
Connectivity
Sound
Microphone
UI
Orientation Sensor
Camera
ORA
Full Color Landscape Mode 4:3
24°
33 pixels / degree
~3000 Nits
Mode 1: 0° from center Mode 2: 20° from center
Provided
Sunglasses w/ photochromic lenses
70g
4hrs full on and 8hrs typical use
Bluetooth® 3 (BT 4 compatible) uUSB for charging and link
Through Included Speaker
Acoustic echo and noise cancellation
On-Off / Wake / Answer / Hang-up
9 axis (with tap mode)
Front Facing VGA
À l'avant-garde des technologies d'affichage
http://laster.fr/
LASTER Technologies a été créée par une équipe d'experts en optique et en traitement d'images au sein du CNRS en janvier 2005.
L'entreprise a pour but d'apporter les meilleures technologies d'affichage mobile aux secteurs industriel et Grand Public. Notre
équipe R&D a initié plusieurs partenariats et travaille en collaboration avec les meilleurs laboratoires de recherche en optique,
informatique et optronique en France et dans le Monde (Institut d'Optique, Laboratoire Aimé Cotton, Université Paris Sud 11, CNRS,
INRIA, Université Paris Descartes, IAP Fraunhofer Institute, IMT, VTT Technical Research Centre of Finland, Teckinker Fundacion...)
LASTER Technologies a développé et breveté la technologie EnhancedView TM, reconnue comme la technologie d'affichage de réalité
augmentée offrant la meilleure qualité optique à ce jour. Industrialisée sous la forme d'un module optronique, cette technologie peut
être intégrée dans de multiples produits : viseurs et afficheurs tête-haute professionnels, lunettes informatives, casques de moto et
de pompiers, masques de ski et autres eyeswear.
La technologie EnhancedViewTM Issue de plusieurs années de recherche en
collaboration notamment avec l’Institut d’Optique et l’Université Paris Sud, la
technologie EnhancedViewTM permet d’afficher aujourd’hui tout type d’informations
(textes, images, vidéos, 3D,...) sur un simple verre transparent.
Le principe de la technologie repose sur la courbure spécifique d’un dioptre semiréfléchissant qui renvoie l’image d’une source de lumière polychromatique collimatée
dans le champ de vision du porteur. Grâce aux propriétés particulières de nos verres,
il est ainsi possible d’obtenir un champ de vision augmenté extrêmement large (40° x
30° en standard) avec une résolution supérieure à 800 x 600 pixels. Ce qui
correspond à visualiser un écran flottant de 90 cm (34'') de diagonale à une distance
de 1 mètre et près de 270 cm de diagonale (88'') à une distance de 3 mètres !
Smart Vision Le Smart Vision est une paire de lunettes informative, compatible avec la majorité des
sources numériques (téléphones mobiles, PDA, DVD player portables, PC Portables, consoles de jeux).
Elles procurent une nouvelle expérience des médias et du divertissement pour une mobilité enrichie.
Résolution Ecran
Champ de vision
Diagonale écran à 2,7 mètres (9 feet)
Distance image (réglable)
Format image
Encombrement module optique (L x h x P)
Transmission des données en sans fil
Type d'informations affichable
Couleur
Caméra
800 x 600 pixels
40° x 30°
97,5''
30 cm à 3 m
4/3 ou 16/9
45 x 19.8 x 16 mm
Oui (option)
textes, images & clip vidéo
24-bit
oui
Lunettes connectées : GlassUp, la petite italienne qui veut faire de l'ombre à Google
http://www.france24.com/fr/20130614-lunettes-connectees-glassup-google-glass-concurrence-e3-2013-technologie-realite-augmentee
Google n’est pas le seul à travailler sur des lunettes connectées. Outre Samsung et Microsoft, la start-up
italienne GlassUp veut aussi percer dans ce secteur, et être la première à en commercialiser dès février 2014.
La société italienne GlassUp se lance à l'assaut du titan du Net, Google. La petite entreprise tente
en effet de marcher sur les plates-bandes du géant américain en visant sa dernière marotte, les
lunettes connectées. À l’instar des Google Glass, celles de GlassUp doivent permettre d’avoir
toujours à portée d’œil une somme d’informations comme les messages Facebook, les SMS, des
notifications d’appel ou encore des données GPS
GlassUp a profité du récent salon du jeu vidéo de l’E3, qui s’est tenu du 11 au 13 juin à Los Angeles, pour dévoiler en avantpremière ses prototypes et ce qui les distingue de son prestigieux concurrent. Différence de taille, contrairement aux Google Glass,
les GlassUp ne sont pas équipées d’un APN ou d’une caméra. “Nous voulons ainsi éviter les intrusions dans la vie privée des gens qui
risquent d’être inévitables lorsqu’on prend des photos en toute discrétion avec un appareil monté sur des lunettes connectées”
Musées, sportifs et architectes intéressés Les informations n’apparaissent pas non plus dans un coin des lunettes comme dans
le cas de Google. Elles s’affichent directement au centre des lunettes en transparence pour ne pas gêner la vue. “L’idée est d’éviter
les mouvements perpétuels du regard vers un coin des lunettes qui peuvent être déstabilisant pour l’utilisateur”, souligne Francesco
Giartosio. Mais sur le fond, les deux projets ne sont pas si différents. Les GlassUp pourront, comme les Google Glass, fonctionner
avec des applications installées sur son smartphone Android (Google) ou iPhone (Apple) qui communique via Bluetooth avec les
lunettes. Pour l’heure, des musées ont demandé à la société de plancher sur des solutions qui permettront d'afficher des
informations sur les œuvres exposées. Des sociétés de sport voudraient des applications pour montrer sur les lunettes les
battements du cœur pendant une course. Et des architectes aimeraient voir à travers ces lunettes les plans d’un bâtiment. “Ce n’est
qu’un début, nous allons rendre publiques toutes les informations permettant de développer des applications pour les GlassUp”
Preuve de l’intérêt du concept de lunettes connectées, d’autres entreprises - comme Samsung ou Microsoft - travaillent également
sur des projets similaires. Mais le petit Poucet italien semble le plus avancé de tous. “ Nous comptons sortir nos lunettes connectées
en février 2014”, assure le patron. Google a évoqué l’horizon 2014 sans plus de précision pour la sortie de ses lunettes du troisième
type et les autres n’ont pas donné de calendrier de commercialisation. Francesco Giartosio affirme même avoir eu l’idée de lunettes
connectées avant tout le monde. “J’y avais pensé six mois avant que Google n’en parle et quand il l’a fait, j’ai eu un moment de
frayeur. Mais je pense maintenant que l’arrivée d’un acteur de ce poids ne peut qu’être bon en termes d’intérêt médiatique et aussi
pour donner à mon projet plus de crédibilité auprès d’éventuels investisseurs”, raconte l'entrepreneur.
Si ces prototypes sont déjà utilisables, GlassUp doit lever de l’argent pour lancer la production industrielle. Pour ce faire, la société a
débuté, lundi 10 juin, une campagne sur le site de financement participatif Indiegogo qui vise à trouver €150 000 d’ici au 8 août.
Une somme qui permettra de faire fonctionner plusieurs mois cette société d’une vingtaine de personnes, “le temps de convaincre
d’autres investisseurs de prêter les $500 000 nécessaires pour finaliser la partie industrielle du projet”, affirme Francesco Giartosio.
Les lunettes seraient alors assemblées dans une usine en Chine, tandis que les composants les plus sensibles et complexes, comme
les verres, seront produits en Italie et en Allemagne. Elles seront, ensuite, vendues pour €399, bien moins que les Google Glass qui
devraient coûter près de €1500.
Nexus 7 II : ses caractéristiques filtrent via les documents de la FCC
http://www.generation-nt.com/asus-google-nexus-7-tablette-caracteristiques-fcc-actualite-1747732.html
La nouvelle tablette Nexus 7 a passé les certifications obligatoires de la FCC américaines, livrant quelques
informations sur ses caractéristiques.
La nouvelle génération de la tablette Nexus 7 sera également produite par Asus pour Google
et elle pourrait être dévoilée durant le mois de juillet. Une confirmation indirecte de ce
calendrier est fournie par sa présence dans les documents de la FCC (Federal Communications
Commission), dont les certifications sont généralement le dernier maillon avant la
commercialisation des produits quelques semaines plus tard. Le modèle identifié sous la
référence K009 est bien construit par Asus et fait référence à la marque Nexus. Les documents
confirment surtout que pour ce modèle, le fournisseur du processeur a changé : de la plateforme Tegra 3 de Nvidia, c'est un processeur quadcore SnapDragon S4 Pro qui est évoqué.
On trouve également mention d'une batterie 4000 mAh, d'un APN 5 megapixels au dos (la
première Nexus 7 n'a qu'un APN frontal 1,2 megapixel) et d'une compatibilité 4G LTE (la Nexus
7 actuelle n'a intégré que récemment un modem cellulaire).
Un lancement en juillet de la Nexus 7 II est probable. La spéculation sur un prix de $229 pour le modèle 16 Go se vérifiera ?.
Google expérimente le lancer de ballons dans la stratosphère
http://www.challenges.fr/high-tech/20130615.CHA0844/google-experimente-le-lancer-de-ballons-dans-la-stratosphere.html
Google a annoncé samedi le lancement expérimental dans la stratosphère de gros ballons gonflables pouvant
relayer une connexion internet vers des zones difficiles d'accès.
Baptisé "Loon" - un raccourci de "balloon" (ballon en anglais), qui signifie aussi "dingue" - le projet "a en
effet l'air, à première vue, complètement fou!", a reconnu auprès de l'AFP l'Américain Richard DeVaul, un des
directeurs du laboratoire GoogleX. Mais "Loon" repose aussi, selon lui, sur "des bases scientifiques solides"
qui ont permis d'établir avec succès de premières connexions au sol, en provenance d'une trentaine de
ballons flottant à 20 km d'altitude au-dessus de la Nouvelle-Zélande. "Nous travaillons au sol en partenariat
avec un fournisseur de services internet: des faisceaux de signaux sont envoyés vers le ballon, qui les
renvoie vers le sol en direction d'antennes ou boîtiers (placés par exemple sur les toits de maisons). Le
ballon a en quelque sorte une fonction de miroir" réfléchissant, explique Richard DeVaul. L'électronique
embarquée est alimentée en énergie par un panneau photovoltaïque.
Chaque ballon permet une connexion sur 40 kilomètres
Les débits proposés "sont équivalents à de la 3G, et chaque ballon (de 15 m de diamètre) permet une
connexion sur 40 km autour de lui", précise le Français Johan Mathe, un des ingénieurs en charge du projet.
La principale difficulté est de pouvoir contrôler la trajectoire des ballons pour éviter qu'ils ne soient ballottés
au gré des vents, et de les positionner au-dessus des zones souhaitées.
"Il y a plusieurs couches dans l'atmosphère : en fonction des vents et de leur force, on regarde les données météorologiques pour
savoir à quelle altitude on doit placer le ballon pour qu'il aille dans telle direction", souligne Johan Mathe.Et aucun risque qu'un avion
se retrouve nez-à-nez avec des ballons : ceux-ci évoluent "de façon très sécurisée, deux fois plus haut que les avions de ligne" et
leur position est signalée aux autorités aériennes, précise Richard DeVaul.
Le GoogleX Lab, un secret bien gardé Après la Nouvelle-Zélande, l'idée est d'élargir l'expérimentation à des pays se trouvant
également le long du 35e parallèle sud, comme l'Afrique du sud, l'Uruguay, l'Australie ou encore le Chili.
"L'idée est d'avoir un 'anneau' de ballons sur cette même latitude afin de proposer une couverture continue : nous pensons que 300
ou 400 ballons pourraient être nécessaires pour cela", ajoute M. DeVaul. Mais le projet est encore à un stade "beaucoup trop
expérimental pour déjà penser à une couverture de la planète entière!", s'exclame-t-il.
Très difficile aussi d'en savoir plus sur ce fameux laboratoire GoogleX, centre de recherche consacré aux projets "spéciaux" implanté
à Mountain View en Californie, et placé sous la direction de Sergey Brin, l'un des co-fondateurs de Google.
Deux tiers de la population mondiale n’a toujours pas accès à une connexion rapide
Ce laboratoire qui travaille dans le plus grand secret a déjà développé le projet Google Glass (les lunettes connectées à Internet) ou
encore des modèles de voitures sans conducteur, mais peu de choses filtrent sur les expérimentations qui y sont menées.
"C'est très secret, et nous ne parlons des projets qu'une fois qu'ils sont prêts", résume Richard DeVaul.
"Si vous voulez faire de l'innovation, il est très important d'avoir la liberté et la possibilité de se tromper. Enormément de choses que
nous essayons ne marchent pas. Et nous essayons, parce que cela vaut toujours la peine d'essayer. Mais je ne peux absolument pas
vous dire sur combien de projets de ce type nous travaillons actuellement!", sourit-il. Google rappelle que 2/3 de la population
mondiale n'a "toujours pas accès à une connexion rapide et bon marché, et qu'il reste beaucoup de chemin à parcourir.
iOS 7 : Le système d'Apple serait-il une version inachevée ?
http://www.generation-nt.com/ios-7-systeme-apple-serait-version-inachevee-actualite-1746612.html
Peu importe les opinions concernant iOS 7 en termes d’esthétique, le changement est radical et propose une
véritable coupure avec le design original d’Apple. Un changement qui n’aurait rien d’un accident .
2013 - 2016 : solutions stabilisées, usages innovants généralisés
http://www.zdnet.fr/actualites/2013-2016-solutions-stabilisees-usages-innovants-generalises-39791209.htm
Par Louis Naugès pour Entreprise 2.0 Après la période 2007 - 2012, qui a vu apparaître nombre d’innovations dans
les solutions informatiques, nous allons entrer, entre 2013 et 2016 dans une période de stabilisation de l'offre ;
elle permettra aux entreprises de déployer massivement toutes les innovations qui sont maintenant disponibles.
En informatique, les périodes de rupture de l’offre alternent avec des périodes de stabilisation et de généralisation des usages de ces
outils, devenus plus faciles à déployer grâce à leur raisonnable maturité.
En 2013, après une période de très fortes innovations, nous sommes entrés dans une période de « stabilisation de l’offre », et c’est
une excellente nouvelle pour les entreprises ; elles vont pouvoir concentrer leur énergie sur le déploiement massif des innovations
nées dans la période 2007 - 2012.
Rappel : les vagues précédentes : 1990 - 2000 et 2000 - 2007 Microsoft avait été le grand gagnant de la décennie 1990 2000 ; le PC Windows-Office est devenu le poste de travail de plus de 90 % des utilisateurs professionnels de l’informatique.
Les 2 autres grandes innovations :

La vague ERP, emmenée par SAP, a tout submergé sur son passage.

Linux, le premier grand succès du mouvement Open Source.
Il ne s’est pas passé grand-chose d’intéressant du côté de l’offre dans la première moitié des années 2000 ; les entreprises en ont
profité pour confirmer et stabiliser leurs choix techniques. Les migrations de versions de logiciels étaient les seuls changements.
Période de rupture : 2007 – 2012 La période 2007 - 2012 a vu naître un très grand nombre de ruptures majeures dans l’offre et
l’arrivée de nombreuses solutions innovantes, dans tous les domaines des infrastructures et des usages. J peux citer :

Les postes de travail mobiles : smartphones, tablettes, PC portables.

Les réseaux sans fil haut débit, 3G+ et LTE.

Les clouds publics industriels : Amazon Web Services, Google...

Les usages transverses SaaS : CRM, RH, budgets, Business Intelligence, BPM ...

Les solutions de « participatique » sur le Cloud.

SoLoMo : Social, Local et Mobile, les bases des nouveaux usages.....
Ces ruptures ont donné naissance à des produits et solutions qui ont atteint, en 2013, un niveau de maturité raisonnable.
Postes de travail : des prix en forte baisse J’ai une autre bonne nouvelle à vous annoncer : nous allons assister, au cours des 2
à 3 prochaines années, à une forte baisse du prix de vente des postes de travail professionnels utilisés dans les entreprises, comme
le montre ce tableau. En 2013, il faut encore débourser :

Entre 300 € (Nexus 4 8 Go) et 900 € (iPhone 5 64 Go) pour un smartphone.

Entre 200 € (Nexus 7 8 Go) et 1 100 € (Surface Pro avec clavier) pour une tablette.

Entre 300 € (Chromebook Samsung) et 1 500 € (MacBook pro Retina) pour un PC portable.
Il existe bien sur des produits moins chers et plus chers, mais ces chiffres représentent des fourchettes raisonnables de ce
qu’achètent aujourd’hui les entreprises. Projetons-nous fin 2015 ; j’ai estimé, dans le tableau ci-dessus, les nouvelles fourchettes des
prix de vente de ces familles de postes de travail. Le « panier moyen » devrait baisser d’environ 50 %, avec des performances en
hausse. C’est quand même une excellente nouvelle pour les entreprises. Quand je terminais ce billet, ARM, le fournisseur des
processeurs pour la très grande majorité des smartphones et tablettes, confirme mes hypothèses avec l’annonce de Cortex A12, une
nouvelle famille de processeurs quadri cœurs pour les smartphones à ... 200 $.
Période de déploiement intensif : 2013 – 2016 Des milliers d’entreprises innovantes ont montré la voie : la majorité des
entreprises peut, tranquillement, prendre exemple sur leurs succès et déployer ce qui fonctionne déjà très bien chez les innovateurs.
Les briques de base de cette R2I, Révolution Industrielle Informatique, sont bien connues :

Des réseaux sans fil haut débit, à coût raisonnable.

Des postes de travail mobiles, à coût raisonnable.

Toute la puissance de calcul dont on a besoin sur des Cloud publics, à coût raisonnable.

Des centaines de services SaaS, à coût raisonnable.

La possibilité d’assurer une excellente sécurité et confidentialité, à un coût raisonnable.
Chaque entreprise peut, doit, aujourd’hui, définir sa stratégie d’innovation dans les usages pour les trois ans qui viennent, en faisant
son « marché » parmi cette très grande panoplie de solutions disponibles.
Sur le plan financier, ces innovations dans les usages vont permettre d’accélérer le basculement d’une approche CAPEX,
investissements, vers une démarche en priorité orientée vers des budgets OPEX, de fonctionnement. Tous les dirigeants assisteront
aussi avec plaisir à une baisse de leurs coûts informatiques.
Si, Directeur Général ou DSI de mon entreprise, je devais définir une cible 2016 raisonnable en quelques mots simples, ce serait :
100 % de mes clients, 100 % de mes collaborateurs peuvent, depuis n’importe quel objet mobile, accéder, en tout lieu, chaque fois
qu’ils le souhaitent, à l’ensemble des services qu’ils sont en droit d’attendre de mon entreprise.
L’après 2016 Les innovations de rupture qui vont à nouveau ébranler le monde de l’informatique devraient pointer le bout de leur
nez à partir de 2016. Quelles seront les prochaines innovations de rupture qui vont nous permettre de travailler autrement, de
proposer de nouveaux services innovants à nos clients externes et à nos collaborateurs ?
Chacune, chacun d’entre nous a des idées sur ces sujets : on aura d’autres occasions d’en reparler.
Microsoft offre 10000 tablettes Surface RT à des enseignants américains
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/microsoft-offre-10-000-tablettes-surface-rt-a-des-enseignants-americains-141104/
Microsoft vient de faire une nouvelle bonne action ! L’entreprise américaine vient de faire don de 10000 tablettes
Surface RT à des enseignants américains.
Le domaine de l’éducation a toujours été secteur important pour les géants de
l’informatique. Que ce soit Apple avec ses réductions réservées aux étudiants, son
AppStore (et BookStore) dédié ou son lobbying déguisé dans les universités, ou Google
avec sa nouvelle ouverture à l’enseignement via son Play Store, le recrutement dès le plus
jeune âge des petites têtes blondes a toujours été une prise privilégiée dans la guerre à la
concurrence.
Microsoft n’y est pas non plus étranger avec ses offres Office Etudiant
pendant des dizaines d’années, et que dire de sa stratégie de push de Windows au sein
des familles, du monde professionnel et donc aussi du monde étudiant.
Enfin, pour revenir à notre sujet du jour, Microsoft fait partie de l’ISTE, l’International
Society for Technology in Education, un organisme qui tente de favoriser l’accès à la
technologie (informatique, logiciel) dans le secteur de l’enseignement. A ce titre, Microsoft
a donc décidé d’offrir 10 000 tablettes à des enseignants. C’est un très beau cadeau pour ces enseignants … sauf que ce n’est pas
n’importe quelle tablette que Microsoft a décidé d’offrir. Il s’agit de Surface RT, sa tablette et son système décrié. Le but non caché
est évidemment de faire un peu de promotion autour de son produit, et de son engagement dans l’avenir en favorisant
l’apprentissage et l’enseignement au travers de sa tablette.
Les Google Glass mises à nu dévoilent toute la technologie qu’elles renferment
http://dailygeekshow.com/2013/06/17/les-google-glass-mises-a-nu-pour-vous-devoiler-toute-la-technologie-quelles-renferment/
On parle beaucoup des Google Glass mais que cachent-elles à
l’intérieur ? Quels composants sont utilisés pour faire fonctionner ce
super concentré de technologie ? Et bien on vous donne la réponse sur
DGS !
Tout d’abord, il faut savoir que les chanceux qui ont été désignés pour les recevoir
ont du aller les chercher dans les « Glass Studios » où les employés de Google
apprennent aux « élus » à configurer et utiliser leur nouvel objet. Le site Internet
« Catwig » a mis la main sur une paire de cette manière et a décidé de les
démonter pour voir de quoi elles sont faites.
Une seule vis suffit pour maintenir tous les composants en place mais il n’est pas
possible de tout enlever sans abîmer irrémédiablement les Google Glass…
Technologie mobile et mobilité, MOBIQUITÈ, véritable enjeu pour la ville de demain
http://www.atelier.net/trends/articles/technologie-mobile-mobilite-veritable-enjeu-ville-de-demain_421068
La technologie mobile n’est pas encore maitrisée par les collectivités territoriales. De nombreux projets et
décideurs du secteur public s’intéressent de plus en plus à la question.
La nécessité d’adoption des technologies mobiles au sein des entreprises et des organismes n’est plus à remettre en cause. Plusieurs
études ont déjà prouvé les bienfaits que pouvaient apporter ces technologies sur le rendement d’une organisation ou sur les
capacités des employés à travailler de manière plus participative avec leurs collaborateurs. A l’occasion du 24eCongrès du Coter
Club, qui s’est tenu le 4 juin 2013 à Saint-Etienne, Markess International s’est intéressé aux usages mobiles et ubiquitaires dans
l’organisation d’une ville, à la fois du point de vue des utilisateurs, les citoyens, et d’une des parties prenantes, les collectivités
territoriales. Il apparaît que si les collectivités territoriales veulent mettre en place des services numériques afin de se diriger vers
une ville intelligente et donc connectée, « les modalités d’adoption des technologies mobiles font encore face à des contraintes
d’ordre organisationnel », indique à L’Atelier Aurélie Courtaudon, analyste chez Markess International.
Organisation et mobilité « Les collectivités doivent changer. Elles ont besoin d’arrêter de fonctionner en silo et de revoir leur
mécanique interne. » Dans l’étude « L’Evolution du poste de travail à l’ère de la mobilité », que Markess mène en ce moment, 50%
des décideurs des collectivités territoriales déclarent privilégier pour l’instant la mise en œuvre de services de paiement en ligne et
d’applications à l’intention des citoyens comme le support fourni par les services de géolocalisation de services publics. Cette
démarche de numérisation s’inscrit dans une approche citoyenne de la ville intelligente où, avant toute chose, les services doivent
répondre aux besoins des utilisateurs-citoyens.
La mobiquité, cheval de bataille de la ville intelligente Le concept de mobiquité, l’accès instantané à Internet depuis
n’importe quel lieu et n’importe quel type d’appareil, serait au cœur des considérations des collectivités territoriales pour engager les
villes vers la mobilité. « Il n’y a pas de contraintes technologiques pour le moment, fait remarquer l’analyste, mis à part l’installation
d’une infrastructure à très haut débit. Nous possédons déjà les outils technologiques nécessaires. » L’organisation en silo, citée
précédemment, est aussi un frein à l’utilisation des technologies mobiles. « Il faut faire des choix technologies adaptables à toutes
les parties prenantes », conclut Aurélie Courtandon. Ces points de vue ne sont pas sans rappeler l’approche soulevée par Carlos
Moreno qui affirmait récemment à L’Atelier que « l’on doit concevoir les services en s’adaptant au citoyen ».
Oracle Introduces New Smart Grid, Meter Solutions
http://www.smartmeters.com/the-news/3992-oracle-introduces-new-smart-grid-meter-solutions.html
Oracle has introduced new solutions to help utilities get the most out of their Advanced Metering Infrastructure (AMI). Oracle reports
its Utilities Customer Care and Billing 2.4 enables utilities “to offer integrated program management, more net energy metering
options and prepaid metering for AMI, virtually eliminating the need to integrate to other systems. Together with the integration and
interoperability with Oracle Utilities Meter Data Management, Oracle offers utilities a solution to the issues typically faced when
integrating Customer Information System (CIS) and Meter Data Management (MDM) systems.”
Other Oracle Utilities product launches include Operational Device Management 2.0, which helps utilities manage smart grid asset
change, configuration, and inventory; AMI vendor adapters for Smart Grid Gateway 2.0; Customer Self Service 2.0.1, a Web selfservice platform; and the recent acquisition of DataRaker offers a cloud-based analytics platform that enables electric, gas and water
utilities to leverage data. Bryan Lewis, Santee Cooper’s manager of retail services says, “We are looking forward to upgrading to
Oracle Utilities Customer Care and Billing 2.4. We are really going to benefit from the new rating capabilities coming in this release.
With its improved flexibility and ability to have reusable rule groups, this will allow us to greatly streamline our billing process and
enable us to be even more responsive to the customer.”
Oracle Utilities senior vice president and general manager Rodger Smith adds: “Oracle Utilities Meter Data Management 2.1 and
Oracle Utilities Customer Care and Billing 2.4 represent the latest updates of many product innovations delivered to our customers in
the last year. Oracle Utilities is committed to providing solutions with new business features and enhanced technical architecture that
will help position utilities for success today and the future, while increasing flexibility and reducing the total implementation cost.”
Smartphones : FUJITSU conquiert l’Europe des séniors
http://www.itespresso.fr/smartphones-fujitsu-conquiert-europe-seniors-65533.html
Confronté à la saturation du marché des smartphones au Japon, Fujitsu internationalise son approche et gagne
l’Europe avec le concours d’Orange, qui distribuera le Stylistic S01, un modèle expressément dédié aux seniors.
Confronté à la satiété du marché japonais, Fujitsu internationalise sa stratégie sur le marché des
smartphones et investit l’Europe avec le concours d’Orange, qui va distribuer le modèle Stylistic S01, dédié
aux seniors. Orange intègre actuellement dans son catalogue ce terminal Android dont le périmètre de
commercialisation se limite initialement à la France, dans le cadre d’un pilote à durée indéterminée.
En fonction des premiers retours, les expérimentations pourraient s’étendre au Royaume-Uni et à l’Espagne.
Fujitsu veut croire en une hausse de la demande en bien technologiques chez les seniors et établit plusieurs
marchepieds qui convergent en une logique : « réduire la fracture numérique ».
Illustration avec l’écran tactile de 4 pouces (WVGA, 800 x 480 points), qui embarque un panneau à retour d’effet
: pour valider un appui, il est nécessaire d’exercer une pression de même intensité que sur un clavier physique.
Cette technologie dénommée « Pre-Touch » et comparable à du résistif permet, selon le fabricant télécoms
nippon, d’améliorer la précision du pointage et d’éviter les pressions accidentelles.
Inscrite dans cette même logique d’accessibilité, la surcouche propriétaire appliquée à Android 4.0 « Ice Cream
Sandwich » présente des icônes contrastées et de gros caractères.
L’offre applicative suit, avec un podomètre, une alarme à déclencher en cas d’urgence et un outil de récapitulatif des « statistiques
vitales ». A noter que Fujitsu ne propose pas encore sa propre logithèque.
Quelques caractéristiques sont héritées du téléphone « Raku-Raku » (en français, « simple d’utilisation ») du même constructeur,
notamment un égaliseur audio dynamique qui adapte la plage audible en fonction de l’âge de l’utilisateur. Le microphone intègre par
ailleurs une technologie de réduction du bruit ambiant. Et le Stylistic S01 est compatible avec les appareils auditifs.
Positionné en milieu de gamme, il dispose d’un processeur Qualcomm Snapdragon S2 (SoC MSM8255) mono-cœur cadencé à 1,4
GHz, d’un APN de 8 mégapixels et de 4 Go de mémoire interne, extensibles via une carte microSD(HC).
Sa connectivité sans fil inclut le Wi-Fi 802.11n, le Bluetooth 4.0, un GPS et la 3G HSPA à 7,2 Mbit/s.
Particularité du châssis, épais de 11 mm, il répond aux normes IP5X et IP8X, qui garantissent une immunité face aux projections
d’eau – et à l’immersion temporaire – ainsi qu’aux microparticules de poussière.
En façade, on retrouve un bouton physique, préféré aux commandes tactiles.
Lancé en partenariat avec Orange pour €419 hors subvention ou €89,90 moyennant souscription d’un forfait Origami Zen 500 Mo à
€29,90 / mois (engagement de deux ans), le Stylistic bénéficie de visibilité par rapport à d’autres terminaux destinés aux séniors.
Son lancement commercial s’assortit d’offres promotionnelles chez l’opérateur.
Le “Pack accompagnement smartphone” est ainsi proposé à €1 au lieu de €49 jusqu’au 9 octobre prochain. Il consiste en un cours
particulier de 20 minutes donné en boutique afin de présenter les fonctions de base du terminal. Orange propose également à ses
clients trois mois d’appels vers son service technique (3907), via une touche dédiée incluse au téléphone.
Bull remporte un contrat de €40 M avec l'armée
http://www.challenges.fr/entreprise/20130617.CHA0858/bull-remporte-un-contrat-de-40-millions-d-euros-avec-l-armee.html
Le groupe informatique Bull a remporté un contrat d'environ € 40 M avec la Direction générale de l'armement (DGA) pour équiper
l'ensemble des unités terrestres de l'armée d'un système d'information unifiant ses nombreux équipements hétérogènes.
Bull a expliqué dans un communiqué publié lundi 17 juin avoir proposé à la DGA de recourir à des méthodes et des technologies du
monde civil, en les durcissant pour répondre au besoin des militaires. Cette solution, a-t-il relevé, permet de maîtriser la dépense et
réduire le coût futur d'utilisation, tout en laissant des marges d'évolution pour s'adapter aux besoins futurs.
Le système d'information du combat Scorpion (SICS) équipera dès 2016 l'ensemble des forces terrestres. L'obtention d'un tel
contrat, "significatif", confirme la stratégie de Bull "de fournir à ses clients des solutions globales au plus près de leurs usages, en
s'appuyant sur ses expertises complémentaires, la sécurité et l'intégration de solutions complexes", pour son PDG Philippe Vannier.
Fleur Pellerin chez Mozilla: le logiciel libre, "garant de la souveraineté numérique"
http://www.zdnet.fr/actualites/fleur-pellerin-chez-mozilla-le-logiciel-libre-garant-de-la-souverainete-numerique-39791458.htm
La fondation éditrice de Firefox a fêté cette semaine ses nouveaux locaux parisiens. À cette occasion, la ministre
de l’Économie numérique a prononcé un bel hommage au logiciel libre.
Jeudi 13 juin en soirée, Mozilla inaugurait officiellement ses nouveaux locaux, boulevard Montmartre dans le 9e arrondissement de
Paris. Des locaux de grande taille (1.100 m2) et somptueux, au premier étage d'un ensemble fraîchement restauré, l'hôtel de MercyArgenteau, du XVIIIe siècle.
Un superbe édifice, d'abord demeure de l'ambassadeur d'Autriche, construit en 1778 et dont Le
Parisien du 21 septembre 2012 indiquait qu'il a été "tour à tour ambassade, salle des fêtes, école internationale de mode".
J'avais lu des articles et vu des photos des, mais quand on y est la hauteur démesurée sous plafond, les dorures et les surfaces sont
encore plus frappantes. Dans le salon Garnier (attribué à l'architecte de l'Opéra de Paris), on se sent loin du garage californien de
l'informatique de jadis. Le loyer n'est pas communiqué, mais Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, précise que les contraintes
(en partie classé monument historique, on ne peut y percer aucun trou et modifier aucune structure) l'ont rendu compétitif.
Soirée libriste Faut-il le préciser, un beau concentré du monde libriste et apparenté était présent jeudi soir; April, Aful, Framasoft,
Wikimédia France, Vecam, CNLL, groupe thématique logiciel libre (GTLL) du Pôle Systematic, le laboratoire Preuves, Programmes et
Systèmes (PPS) de l'université Diderot Paris 7, Linuxfr, French Data Network (FDN).
Le logiciel libre "remet en cause les rentes de situation" La ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de
l'Économie numérique, Fleur Pellerin, a ensuite tenu un discours (transcrit ici par Framablog) de vibrant hommage au logiciel libre,
au "véritable patrimoine de connaissance qu'est le code". Contre la dépendance à un seul acteur, c'est "un véritable garant de la
souveraineté numérique", qui "remet en cause les rentes de situation". Voici son discours en vidéo:
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=V-IThhbyCiM
"Au-delà des innovations et des technologies permises par le Web, des acteurs comme Wikimedia ou la fondation Mozilla ont
démontré que l’innovation et le progrès peuvent aussi passer par le partage, l’absence de propriété."
Après avoir rappelé "la croissance soutenue" du secteur des logiciels libres et ses prévisions de création d'emplois, ainsi que le projet
du gouvernement de quartiers numériques dans une quinzaine de villes, la ministre a affirmé que "le gouvernement prête une
attention toute particulière à l’utilisation des logiciels libres", citant la circulaire du Premier ministre sur le sujet en septembre 2012.
New material could lead to cheaper, more eco-friendly LEDs
http://www.gizmag.com/silicon-led-rare-earth-element-alternative/27933/
LED light bulbs may be more energy-efficient and longer-lived than their incandescent equivalents, but they’re also considerably
more expensive. This is largely because rare earth elements (REEs) are used in their phosphors. There are hazards involved in the
mining and processing of REEs, plus China is responsible for almost the entire world’s supply, becoming pricey. Now, however,
scientists have come up with a plentiful alternative material more environmentally friendly, and should drive down the price of LEDs.
In regular LED bulbs, the REE-based phosphors are used to soften the LED’s
existing blue-ish light. University of Washington spinoff company LumiSands has
developed a material that reportedly does the same thing, but that also converts
the light to a color temperature closer to that of natural sunlight. What's more,
the material is made from cheap, abundant silicon.
The company produces the material by etching nanoparticles from a silicon wafer,
then embedding them in an ultra-thin membrane. When subsequently exposed to
an LED light source, the nanoparticles glow red. The combination of the LED’s
own blue light and the red from the silicon results in a soft, warm sun-like light.
According to LumiSands CEO Chang-Ching Tu, the whole process can be done in a
laboratory, and should be easy to scale up for commercial production.
The company is now looking into methods of getting the nanoparticles to fluoresce in additional colors such as yellow and green, for
use in LEDs that emit a neutral white light. It seeks industrial partners, and hopes to begin production in no more than a year.
Supercalculateur : la Chine première superpuissance mondiale avec Tianhe-2
http://www.zdnet.fr/actualites/supercalculateur-la-chine-de-nouveau-premiere-superpuissance-mondiale-avec-tianhe-2-39791483.htm
Tianhe-2 affiche 33,86 pétaflops de puissance de calcul, le plus puissance supercalculateur au monde, et il est
chinois. Mais 252 des 500 plus puissants ordinateurs au monde sont américains, contre 66 pour la Chine.
Ce n’est plus une première pour la Chine, mais plutôt une confirmation de sa capacité à concevoir des supercalculateurs de très
grande puissance. Ainsi, pour la 2ème fois, le pays déloge les US de la première place du classement Top500 des supercalculateurs.
Grâce au Tianhe-2 et à ses 33,86 pétaflops de puissance de calcul, la Chine devance nettement le système Cray Titan du prestigieux
laboratoire américain d’Oak Ridge et ses 17,59 pflops. Comment ? En combinant notamment, 3,12 millions de cœurs de processeurs
(Intel Xeon IvyBridge et Xeon Phi).
Pour autant, l’avantage du nombre reste sans conteste du côté américain. Sur les 500 supercalculateurs du classement, 252 sont en
effet basés aux Etats-Unis, contre "seulement" 66 pour la Chine. La France elle en compte 23, soit 2 de plus que lors de la
précédente édition du Top500 (11/2012). Mais au-delà d’une rivalité Chine/Etats-Unis, le classement illustre l’accroissement continu
de la puissance des supercalculateurs. Exemple : on dénombre 26 systèmes pétaflopiques dans le monde, contre 23 il y a six mois.
Par ailleurs, les 500 supercalculateurs représentent une puissance de calcul totale de 223 pétaflops. En novembre dernier, lors
de la précédente édition du classement, cette puissance était 162 pflops. L'augmentation est donc d'un peu plus de 37%.
Les 12 plus puissants supercalculateurs de France
http://www.top500.org/statistics/sublist/
Rmax
(TFlop/s)
Rpeak
(TFlop/s)
Power
(kW)
Pangea - SGI Altix X, Xeon E5-2670 8C 110,400
2.600GHz, Infiniband FDR SGI
2,098.1
2,296.3
2,118
CEA/TGCC-GENCI
Curie thin nodes - Bullx B510, Xeon E5- 77,184
2680 8C 2.700GHz, Infiniband QDR Bull SA
1,359.0
1,667.2
2,251
25
Commissariat a l'Energie Atomique (CEA)
Tera-100 Bull
S6010/S6030 Bull SA
1,050.0
1,254.5
4,590
37
CNRS/IDRIS-GENCI
BlueGene/Q, Power BQC 16C 1.60GHz, 65,536
Custom IBM
715.6
838.9
328.8
Rank Site
System
11
Total Exploration Production
15
Cores
bullx
super-node 138,368
Rmax
(TFlop/s)
Rpeak
(TFlop/s)
Power
(kW)
Zumbrota - BlueGene/Q, Power BQC 16C 65,536
1.60GHz, Custom
IBM
715.6
838.9
328.8
Météo France
Bullx DLC B710 Blades, Intel Xeon E5 v2 25,800
12C 2.700GHz, Infiniband FDR Bull SA
500.3
557.3
401
123
Airbus
HP POD - Cluster Platform 3000 BL260c 24,192
G6, X5675 3.06 GHz, Infiniband HP-
243.9
296.1
130
GENCI-CINES)
Jade - SGI ICE 8200EX, Xeon E5450 4C 23,040
3.000GHz, Infiniband SGI
237.8
267.9
1,064
161
CNRS/IDRIS-GENCI
Ada - xSeries x3750 Cluster, Xeon E5- 10,624
2680 8C 2.700GHz, Infiniband FDR IBM
191.9
229.5
243.7
188
Government
Cluster Platform 3000 BL2x220, L54xx 2.5 24,704
Ghz, Infiniband Hewlett-Packard
179.6
247.0
192
Commissariat
(CEA)/CCRT
177.5
203.9
260
205
EDF R&D
168.8
191.3
510
Rank Site
System
38
EDF R&D
54
a
l'Energie
Cores
Atomique airain - Bullx B510, Xeon E5-2680 8C 9,440
2.700GHz, Infiniband QDR Bull SA
Ivanhoe - iDataPlex, Xeon X56xx 6C 2.93 16,320
GHz, Infiniband IBM
Des collégiens testent une tablette éducative « made in France »
http://www.01net.com/editorial/597793/des-collegiens-testent-une-tablette-educative-made-in-france/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20130617
Même si la tablette Ted a été présentée à Futur en Seine, elle est testée en Saône-et-Loire depuis le mois de mars.
Elle doit guider les collégiens sur la voie du numérique.
Il y a quelques années, Unowhy lançait Qooq, une tablette qui servait de véritable coach
culinaire grâce aux 2500 recettes interactives qu’elle contenait. Dans le cadre de la classe
numérique créée pour Futur en Seine, l’entreprise française a présenté 14 juin 2013, en
partenariat avec Editis, deuxième groupe d'édition français, la Tablette pour l'éducation
digitale (Ted). Cette tablette, actuellement testée par une soixantaine d’élèves de 6 e dans les
cours d'anglais et d'histoire-géographie au sein de deux collèges de Saône-et-Loire, sera
également expérimentée dans huit autres collèges du département à la rentrée dans des
cours de français et de mathématiques. En janvier 2014, ces dix établissements seront
rejoints par cinq autres collèges du département. Au total, le projet concernera plus de
8 500 élèves des classes de 6e, 5e et de 4e.
Du contenu éducatif et sécurisé La tablette Ted est dotée d'un casque avec micro qui permet aux élèves de s'enregistrer et aux
professeurs de les écouter ensuite. Elle dispose aussi d'un stylet, un lecteur audio-vidéo, une calculatrice et un accès internet (Wi-Fi
ou ethernet) contrôlé par l'enseignant. Mais plus qu’une tablette, Ted est une solution complète puisqu’elle comporte des logiciels
ainsi que du contenu éducatif et entièrement sécurisé.
Ted a été sélectionnée dans un appel à projet sur les investissements d'avenir, et développée avec le laboratoire de l'université de
Poitiers Techné, avec le soutien du Conseil général de Saône-et-Loire, le Centre régional de documentation pédagogique (CRDP) de
Bourgogne et le rectorat de Dijon. « Nous proposons des contenus en fonction des différents usages, chaque enseignant a sa façon
, a expliqué à l'AFP Sylvain Fayol, directeur innovation d'Editis Education et Référence (Bordas, Le Robert, Nathan, Paraschool...).
Découvrez l'utilisation de cette tablette au sein du collège Jean Vilar à Châlons sur Saône en vidéo :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=wwUONdayHRg
IBM remodèle DB2 pour concurrencer Hadoop
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-ibm-remodele-db2-pour-concurrencer-hadoop-54016.html
Enrichie de plusieurs technologies d'accélération, la version 10.5 de DB2 pourrait remplacer des bases de
données en mémoire ou éviter l'installation d'un datawarehouse, selon IBM. Et contribuer ainsi à diminuer le
coût de certains projets. Une annonce qui intervient peu de temps après celle de Microsoft sur l'intégration
d'Hekaton à SQL Server 2014.
IBM vient d'ajouter à sa base de données DB2 un ensemble de technologies
d'accélération pour exécuter en mémoire le traitement d'importants volumes
de données. Sous le nom de BLU (pour Big data, Lightening fast -à la vitesse
de l'éclair- et Ultra easy), ces technologies regroupent des fonctions de
traitement //, d'exécution en colonnes, de déduplication et de compression de
données. L'objectif est de permettre un fonctionnement optimisé en mémoire,
a expliqué Tim Vincent, VP et CTO d'IBM pour les logiciels d'Information
Management. Les technologies BLU vont aussi contribuer à éliminer de
nombreux ajustements manuels effectués sur les requêtes SQL pour doper les
performances. Selon IBM, la version 10.5 de DB2 pourra diviser par 25 les
temps d'analyse de données, voire davantage.
Avec ces améliorations, il ne sera plus nécessaire d'installer de façon distincte une base de données en mémoire -comme TimesTen
d'Oracle, par exemple- pour procéder à la fois à des analyses rapides et à des traitements transactionnels. Du point de vue des
coûts, « nous n'allons pas vous obliger à dimensionner votre base pour que tout tienne en mémoire », pointe Tim Vincent.
DB2 10.5 comme alternative à une plateforme Hadoop Sur le web, IBM montre comment un système 32 cœurs utilisant les
technologies BLU peut exécuter une requête sur un jeu de données de 10 To en moins d'une seconde. « Dans ces 10 To, vous
interagissez peut-être avec 25% de ces données dans le cadre des opérations quotidiennes. Et vous n'avez besoin de conserver que
25% de ces données en mémoire », détaille Tim Vincent. « Aujourd'hui, vous pouvez acheter un serveur doté de 1 To de mémoire
vive et de 5 To de stockage SSD pour moins de $35 000 ». En utilisant DB2, il sera aussi possible de se passer d'un entrepôt de
données distinct et de réduire ainsi les coûts, considérant que le nombre d'administrateurs de base de données disponibles est
généralement plus important que celui des experts en datawarehouse. Dans certains cas, cela pourra même constituer une
alternative à une plateforme Hadoop, qui plus est, plus facile à maintenir, assure le CTO de l'activité Information Management.
Une table de métadonnées pour réduire l'utilisation CPU Parmi les technologies BLU figure un algorithme de compression qui
stocke les données de telle façon que, dans certains cas, celles-ci n'ont pas besoin d'être décompressée pour être lues. Tim Vincent
explique qu'elles sont compressées dans l'ordre dans lequel elles sont stockées, ce qui signifie que des opérations telles que l'ajout
d'une clause WHERE (où) à une requête pourront être exécutées sans décompresser le jeu de données.
Autre gain de temps : le logiciel conserve une table de métadonnées qui liste les valeurs clés hautes et basses pour chaque page ou
colonne de données. Ainsi, lorsqu'une requête est exécutée, la base peut vérifier si les valeurs recherchées se trouvent sur la page.
« Si la page n'est pas en mémoire, on ne va pas la lire et si elle s'y trouve, il n'est pas nécessaire de l'amener via le bus vers le
processeur et de griller des cycles de CPU pour analyser toutes les valeurs de la page », explique Tim Vincent. « Cela permet d'être
beaucoup plus efficace sur l'utilisation des processeurs et de la bande passante ».
Avec le traitement en colonnes, une requête peut s'arrêter uniquement sur les colonnes sélectionnées d'une table plutôt que de
consulter toutes les lignes, ce qui utiliserait davantage de mémoire. « Nous avons mis au point un algorithme très efficace pour
déterminer quelles colonnes et quelles rangées de colonnes il va falloir mettre en mémoire », précise le CTO.
BLU, pierre angulaire de l'IaaS SmartCloud Sur le versant matériel, le logiciel dispose de capacités de traitement parallèle qui
permettent de distribuer une instruction sur plusieurs processeurs en utilisant le jeu d'instructions SIMD (single instruction multiple
data) disponible sur les puces Intel et PowerPC. Le logiciel peut exécuter une requête sur autant de colonnes que le système peut
placer dans un registre. Le registre est l'exemple le plus efficace que le système fait de l'utilisation de la mémoire.
Cray pousse Hadoop dans ses supercalculateurs
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-cray-pousse-hadoop-dans-ses-supercalculateurs-54011.html
Le fabricant de supercalculateurs va coupler ses systèmes CS300 avec la distribution Apache Hadoop d'Intel.
Cray va intégrer les capacités d'analyse de données big data du framework Open Source Hadoop à ses plates-formes de calcul
intensif. Le constructeur va coupler ses supercalculateurs en cluster CS300 avec la distribution Intel Distribution for Apache
Hadoop. Le système Hadoop sera livré avec l'OS Linux, un outil de gestion de la charge de travail, l'application Cray Advanced
Cluster Engine (ACE) et la distribution Hadoop Intel. « De plus en plus d'entreprises ont recours à Hadoop pour d'autres usages que
le stockage et le reporting de base. Mais, alors qu'elles développent des algorithmes de plus en plus complexes et qu'elles doivent
tirer toujours plus de valeur de leurs systèmes Hadoop, elles sont également amenées à pousser les limites de leurs architectures »,
a expliqué Bill Blake, CTO de Cray. « Les entreprises ont désormais les moyens d'adapter leur usage du framework Hadoop,
indépendant de toute plateforme, tout en profitant des avantages des architectures sous-jacentes de Cray et d'Intel ».
Selon Steve Conway, analyste chez IDC, « la convergence du HPC intensif et de l'analytique haut de gamme est en train de donner
naissance à un nouveau marché autour du big data, identifié comme marché de l'analyse de données haute performance ou High
Performance Data Analysis par IDC », et selon lui « la plupart de ces charges de travail sont et seront exécutées par des clusters ».
Comme l'a précisé le constructeur, les systèmes Cray CS300 intègrent des outils logiciels compatibles avec la plupart des
compilateurs et utilitaires commerciaux ou Open Source du marché, et peuvent faire tourner des applications complexes. En début
de semaine dernière, IDC a annoncé que le marché des supercalculateurs serait très attractif cette année, malgré un glissement des
ventes au premier trimestre. Le consultant estime que jusqu'à la fin de l'année 2013, le marché du calcul haute performance va
s'intensifier, tiré par le déploiement de gros systèmes à travers le monde.
Sculpteo, le "do It yourself" à la française
http://www.journaldunet.com/web-tech/start-up/imprimante-3d-start-up/sculpteo-do-it-yourself.shtml
Coques d'iphone, puzzles, portes clé, décorations, miniatures... La start-up française Sculpteo
imprime en 3D ce que ses clients imaginent. Des objets uniques et personnalisés en plastique, résine
ou céramique. L'internaute peut commander des objets déjà réalisés par d'autres ou bien transférer
son propre fichier 3D à imprimer. Sculpteo surfe sur un marché en plein effervescence. En décembre
dernier, la jeune pousse a levé deux millions d'euros, notamment auprès de XAnge Private Equity,
une filiale de la Banque postale, rentrée au capital à hauteur de 1 million d'euros. Le but : renforcer le
développement commercial et les fonctionnalités du produit, et accroître la présence de la start-up
aux Etats-Unis. http://www.sculpteo.com/fr/
SAMSUNG s’engage sur la piste du SSD PCI EXPRESS
http://www.itespresso.fr/samsung-engage-piste-ssd-pci-express-65589.html
Samsung destine aux ordinateurs portables ultra-fins et au monde de l’embarqué un SSD au format M.2, sur
interface PCI Express, avec des débits de 1400 Mo/s en lecture séquentielle.
Stations de travail mobiles, ordinateurs portables ultra-fins et systèmes embarqués sont les principales cibles du SSD Samsung
XP941, interfacé en PCI Express. Au format M.2 (ex-NGFF), le premier atout du produit reste sa compacité : à 80 x 22 mm pour
6 g, il est plus léger que l’Intel 525 Series en mSATA et surtout près de 10 fois moins volumineux qu’un disque flash de 2,5’’.
Le bon point est que cette réduction d’empreinte ne se fait pas au détriment des performances. Le dispositif étant connecté sur 4
lignes PCIe Gen 2 x2, les débits sont plus que doublés face aux SSD les plus performants du marché.
Sur la NAND 1x nm (probablement de type MLC « Multi-Level Cell ») associée à un contrôleur propriétaire compatible AHCI, les
débits en lecture séquentielle atteignent 1400 Mo/s.
A titre comparatif, le SATA 3 plafonne à 600 Mo/s. Seul le SATA Express, attendu pour mi-2014, pourrait dépasser ce seuil.
Samsung ne fournit pas plus d’éléments, hormis des capacités de 128, 256 et 512 Go, mais en écriture, les gains devraient être
moins significatifs, notamment en termes de latence. Si la production de masse débute actuellement, un constructeur high-tech a
déjà implémenté le SSD XP941 dans certains de ses ordinateurs portables. Il s’agit d’Apple, dont la gamme MacBook Air offre des
débits néanmoins bloqués à 730 Mo/s, deux des quatre lignes PCIe n’étant pas connectées.
SMARTER COMMERCE : IBM fait son shopping en réalité augmentée
http://www.itespresso.fr/ibm-smarter-commerce-realite-augmentee-54722.html
Avec Smarter Commerce, IBM immisce la réalité augmentée dans l’expérience du consommateur, qui peut
obtenir une mine d’informations sur des produits en les photographiant avec un smartphone.
Popularisée par les Google Goggles, la réalité augmentée devient partie intégrante de l’expérience du consommateur
avec IBM Smarter Commerce, pour l’heure en phase de test aux Etats-Unis.
L’outil a vocation à afficher des informations à propos d’un objet photographié ou simplement cadré via le capteur intégré à la
majorité des smartphones et tablettes numériques. Cette solution, encore à l’état de prototype, n’est pas sans rappeler Flow, un
service signé d’Amazon, dévoilé à l’automne dernier et similaire à bien des égards.
Une fois le produit détecté et analysé, apparaissent sur l’écran du terminal mobile des données tels son prix ou sa composition, mais
aussi des éléments plus complexes comme le taux de composantes recyclables dans l’emballage.
Le système interprète également – là réside d’ailleurs l’une de ses principales plus-values – un certain nombre d’informations comme
les promotions ponctuelles et les éventuelles ruptures de stock à anticiper. IBM confère à cet ensemble un degré de
personnalisation par lequel l’utilisateur peut créer un profil et y définir des préférences liées à sa religion (prohibition de certaines
denrées), son régime alimentaire (allergies, intolérances), la taille de son foyer (portions individuelles ou familiales), etc.
Un assistant de configuration simplifie le processus, moyennant enregistrement préalable via un numéro de téléphone ou une carte
de fidélité. Le tout s’articule autour d’une application mobile voulue autonome, à savoir qu’il n’est pas nécessaire d’apposer sur les
produits des pastilles d’identification. Ni de codes-barres, d’ailleurs. A noter un travail particulier sur la qualité d’image, pour
s’accommoder des capteurs basse résolution et en tirer le potentiel pour aller au-delà des flash codes et des pastilles NFC.
Il incombera toutefois aux distributeurs d’équiper en conséquence leur système informatique avec la composante Smarter
Commerce. Outre-Atlantique, plusieurs chaînes commerciales auraient manifesté leur intérêt vis-à-vis du projet. Pour appuyer ce
succès revendiqué, les équipes d’IBM évoquent le renouveau du shopping en point de vente physique.
« C’est moins contraignant que les QR codes et les codes-barres. Le geste est plus naturel« , résument les intéressés, qui évoquent
à demi-mot un levier de fidélisation du client et un moyen de pister ses habitudes de consommation.
Samsung to release 'LTE-Advanced' high-speed Galaxy S4
http://www.zdnet.com/samsung-to-release-lte-advanced-high-speed-galaxy-s4-7000016949/?s_cid=e539&ttag=e539
Samsung boss teases the world with the promise of a device most networks aren't ready for yet.
Samsung is to release a version of its Galaxy S4 flagship device that can handle LTE-Advanced, a variant of
LTE that promises speeds twice the rate of standard 4G. It could be some time before anyone outside of
South Korea can use it, however. Samsung co-CEO JK Shin told Reuters on Monday that it will launch an S4
with a chip that supports LTE-Advanced, the 3GPP standard that offers theoretical maximum download speeds
of 3Gbps and uploads speeds of 1.5Gbps. The new higher-speed S4 will be available in South Korea as early
as next month and the company is in talks with several overseas carriers to support the phone, according
to the report. Reuters says the device will use an LTE-Advanced chip from Qualcomm. Shin is only quoted as
saying Samsung will be the first to market with a commercial "advanced 4G" smartphone, however.
Qualcomm earlier this year announced its Gobi-based chipsets with the LTE-Advanced tag, which it said
supported peak download speeds of up to 150Mbps (compared to 42Mbps for its 3G chips). Perhaps more
importantly, it also supports LTE-Advanced's carrier aggregation feature, which, as the name suggests, allows
differerent tranches of bandwidth to be meshed together to create an aggregate bandwidth (say, five chunks
of 20Mhz could be turned into 100Mhz) and so higher speeds.
Network equipment providers like Ericsson showed how LTE-Advanced could be used to deliver900Mbps downlink in 2011, while
South Korean carrier SK Telecom was one of the first carriers to demo the technology last year, and is now pressing ahead with
plans to deploy it later this year.
Another possible candidate for Samsung's new Galaxy S4 is Russian carrier Yota, which launched LTE-Advanced network last year.
gScreen SpaceBook dual-screen laptop is up for pre-order
http://www.gizmag.com/gscreen-spacebook-dual-screen-laptop/19250/
It's been nearly two years since the first photos of the dual-screen gScreen
SpaceBook laptop were unveiled. It looks like the waiting for its release is
nearing an end, however, with the 17’’ SpaceBook now available for pre-order
on gScreen's website. The SpaceBook is a large laptop equipped with a pair of
slide out 17’’ full HD displays, offering a huge panoramic workspace.
Unlike the Lenovo W700ds workstation, the SpaceBook's second display is not
just a smaller-sized extension of the main screen. Its displays are equal in size
and work simultaneously, just like the pair of 10.1’’ screens in Kohjinsha's DZ.
The gScreen SpaceBook 17’’ laptop comes in two versions in terms of hardware.
One version features a dual-core Intel Core i5-560M 2.66GHz CPU and 4GB of
DDR3 memory clocked at 1333MHZ, whereas the second one is powered via a quad-core Intel Core i7-740QM 1.73GHz CPU along
with 8GB of DDR3 memory clocked at 1333MHz. The rest of specs are the same for both versions, and include two LED-backlit
screens working at 1920 x 1080 pixel resolution, NVIDIA GeForce GTS 250M 1GB discrete GPU and 500GB HDD, as well as a
magnesium alloy lid-frame. There's no Blu-ray or SSD option at the moment. Of course, such a huge screen makes the device
significantly less portable, with the weight as high as 4.5 kg.
The Core i5 version is priced at $2,395 while the Core i7 version costs $2,795. Both are available to U.S. and Canada-based
customers only. The gScreen website says that pre-orders require a 50 % deposit for the order to be secured.
Samsung may have key role in ARM server stakes
http://www.zdnet.com/samsung-may-have-key-role-in-arm-server-stakes-7000016859/?s_cid=e539&ttag=e539
It's a bit unclear whether there are enough large horses to make ARM servers commonplace in the data center. If
Samsung entered the market either to manufacture processors or launch systems, the game would change.
Data centers are increasingly eyeing servers with ARM-based processors for power savings and lower costs uniquely designed for socalled hyperscale environments. But before ARM servers really take off, there will have to be a chip manufacturer that can rival Intel
and its x86 architecture. That leading horse could be Samsung.
Andrew Feldman, vice president of AMD's server business unit, indicated that the chipmaker is betting heavily on ARM
processors and its server and systems know-how to become a larger enterprise player. Feldman also made an ARM server
prediction: By 2016 and 2017, ARM servers will have double digit market shares.
Should ARM servers get that much traction in data centers, it would be a boon to AMD. After all, Nvidia is the only other large ARM
player talking about servers right now. If you take the current ARM server pecking order and apply it to the future, you'd have to
assume that AMD, Nvidia and a few startups would drive market share gains. In other words, it's a bit unclear whether there are
enough large horses to make ARM servers commonplace. AMD has the most enterprise experience.
However, Feldman said he expects Samsung and maybe Qualcomm to step up into the ARM server game. The Samsung possibilities
are worth pondering. To wit:

Samsung already makes PCs so it has manufacturing scale to some degree

It has its Exynos mobile applications processor

Samsung has the memory manufacturing operations

The company also is a semiconductor fabrication player

Samsung has a lot of experience with ARM

And the company does hit the enterprise in a few areas

Add it up and Samsung could either provide ARM chips for servers or it could make the systems. In any case, the theory
that ARM servers will become a data center staple would be greatly helped by Samsung.
The game for ARM servers would also depend on a large data center player, say Google, Facebook or Amazon, porting applications
to an ARM architecture. If the big guns went to ARM servers, enterprises would at least look at the option. Enterprises may take a
long look though, since porting applications to ARM would be tricky. ARM servers are likely to be the domain of cloud providers for a
while. It's likely that Samsung would become an ARM server processor player over a systems maker. To make systems, the Korean
conglomerate would have to partner with the likes of VMware and others. Samsung approaches business customers from a bringyour-own-device perspective. Data centers may be out of focus for Samsung. On the chip front, Samsung could be a dangerous
counterweight to Intel by partnering with players such as Lenovo, Dell and HP. The likely move would be to tackle servers in Korea,
then China and then mature markets. Instead of Intel Inside, you'd have Samsung inside. In the ARM processor game, Samsung has
all the parts to change the server market dynamics. What's unclear is whether the company has the will.
Onion Pi : un Raspberry Pi pour garder l'anonymat sur le Net
http://www.clubic.com/antivirus-securite-informatique/virus-hacker-piratage/anonyme-internet/actualite-566352-onion-pi-raspberry-pi-garder-anonymat-net.html#ixzz2WeUefGXt
Combiner un Raspberry Pi, un adaptateur Wi-Fi USB et l'installation de Tor sur le support, tel est la proposition
de l'Onion Pi un petit ordinateur destiné à surfer sur Internet en toute confidentialité.
Proposé par Adafruit, le kit Onion Pi à monter soi-même est proposé au tarif de $95. Pour ce prix,
l'utilisateur reçoit un Raspberry Pi modèle B doté d'un port Ethernet, de 2 ports USB et 512 Mo de
RAM, un petit boîtier Adafruit, un adaptateur Wi-Fi USB, une carte SD de 4 Go avec Raspbian 7
préinstallé et tout le câblage nécessaire. L'utilisateur doit installer le logiciel Tor (The Onion
Router) qui permet d'accéder au réseau mondial décentralisé du même nom, et qui permet de
surfer sur Internet en conservant son anonymat. L'objectif de l'Onion Pi est de créer un proxy
permettant à une ou plusieurs machines de bénéficier des avantages de Tor.
« Branchez le câble Ethernet à n'importe quel Box de FAI à la maison, au travail, dans un hôtel ou
dans un événement. Ensuite, branchez le connecteur USB du Pi à un ordinateur ou une prise
murale. Le Pi va démarrer et créer un nouveau point d'accès sans fil sécurisé, appelé Onion Pi. Une connexion à ce point d'accès
ouvrira automatiquement la voie à une navigation anonyme sur Internet, via le réseau Tor » explique Adafruit.
Le site précise que des connaissances en code et Linux peuvent être un avantage non négligeable pour configurer convenablement
le système, mais propose tout de même la marche à suivre pour se lancer. Adafruit verse un don à Tor pour chaque Onion Pi vendu.
Five apps to make the Linux desktop business-ready
http://www.techrepublic.com/blog/five-apps/five-apps-to-make-the-linux-desktop-business-ready/
Takeaway: With the right apps could Linux run your business desktop PCs? Jack Wallen thinks so.
It used to be quite the challenge to make a Linux desktop business-ready. Most every business depended upon
niche, proprietary software that simply could not be run on anything but Windows. However, times have
changed and so much of business is now handled through a web browser. Add to that how much the Linux
platform has matured and you have the makings for a big win on the open source front.
If you’re still one of those who think it not possible to conduct your everyday business from Linux, I’m here to
tell you those days are over. With the help of five applications, you can enjoy the power, stability, reliability,
flexibility, and security of Linux. You’ll be surprised how common these tools are. Let’s take a look. Five Apps
1. Chrome So much of business is handled through a web browser. Why not use one of the fastest browsers on the market?
Google Chrome not only has speed behind it, it also offers a host of add-ons to further extend Chrome’s usefulness. The only caveat
is the lack of ActiveX available for Linux. The lack of ActiveX is not on Chrome’s shoulders - the tool simply doesn’t exist for Linux.
There is one solution for this - IEs4Linux. By using Wine, you can get IEs4Linux working and, with a bit of work, can even get
ActiveX involved in the mix. Outside of ActiveX, Chrome will stand tall as a business-ready browser to make Linux fully capable.
2. Thunderbird Most would say there is no replacement for Outlook. Prior to discovering both Exquilla andLightning Exchange
Provider, I would have agreed. With the addition of those two plugins (along with the Lightning plugin) it is now possible for you to
connect with your Exchange server. For more information on how to set up Exquilla, check out my article “Connect the Thunderbird
Email Client to your Exchange Server“. Once you have the extensions in place (and Thunderbird connected to your Exchange
server), you’ll never miss Outlook again.
3. Scribus If you have a need to create professional looking PDF documents (and most businesses do), Scribus is a must have. Sure
you can create a document in LibreOffice and easily export it to PDF, but with Scribus you’re dealing with a professional-grade layout
tool. Layers, transparencies, frames, CMYK support, ICC profile support, PDF, EPS, SVG import, and much more can help you create
professional brochures, pamphlets, interactive PDFS (with fields and forms), training manuals, and even books.
4. LibreOffice No business desktop is complete without an office suite. As far as Linux is concerned, there are two major options:
LibreOffice and Kingsoft Office. Though I prefer the Kingsoft Office word processor, it lacks one of the major tools necessary for
businesses - a database. With LibreOffice, you get everything you need: Word processor, Spreadsheet, Presentation, Drawing,
Formula, and Database. And with LibreOffice’s add-on system, you can expand the office suite well beyond the default capabilities.
5. VirtualBox Finally, there might well be times when you have a piece of proprietary, niche software that simply must be run on
Windows. When that happens, you can load up a virtual machine inside of VirtualBox and run nearly any OS you choose. Mac users
have been doing this with Parallels for a while now, so what’s stopping Linux users from enjoying a multiple-platform environment?
Nothing. And with VirtualBox virtual machines, you ensured you never have to worry about not being able to run the tools you need.
There is a downside; you need to have enough resources (RAM especially) and a valid license for the Microsoft operating system.
Bottom line The way business is done has changed. Modern desktops are no longer as much about platform as they are about
connectivity. With a browser and a few handy tools, you can have Linux running your business desktops faithfully and reliably. Of
course, not every business is created equal. There are needs that cannot be met with certain platforms (or a single platform). In
those cases, you’ll be glad you have a tool like VirtualBox to level the playing field.
Genymotion, un nouvel émulateur Android
http://www.programmez.com/actualites.php?id_actu=13543&xtor=EPR-144
C’est à l’occasion de la DroidCon qui se tient actuellement à Paris que Genymobile, jeune société française spécialiste du monde
Android, a souhaité dévoiler Genymotion, son nouvel émulateur Android dans sa version bêta.
Genymotion est un projet visant à une émulation fluide d'Android sur PC. Il permet ainsi d'afficher sur un ordinateur, au travers de
machines virtuelles, des terminaux mobiles et de simuler un certain nombre de fonctionnalités : GPS, réseau, simulation de
l’écran,.... Ce projet est né en 2011 alors qu’il existait déjà sur le marché un émulateur Android inclus dans le SDK (kit de
développement) et des moutures x86 d'Android mais ces solutions n’étaient pour Genymobile pas assez stables et non optimisées
pour tous les PC. Ainsi, Genymobile a décidé de développer sa propre solution de virtualisation d'Android. Après 2 années de
développement, la version bêta de Genymotion voit aujourd’hui le jour.
« Nous sommes très fiers aujourd'hui de lancer ce nouvel émulateur qui a bénéficié d'un buzz incroyable lors de sa phase de
développement. Genymotion est le résultat de nombreux mois de travail et de développement, avec comme objectif premier de
proposer aux développeurs mobiles et à ceux souhaitant faire des démonstrations d'applications Android, une solution simple et
efficace, le challenge semble réussi ! » déclare Daniel Fages, CTO de Genymobile, à l'initiative de ce projet.
Une version professionnelle sera disponible à partir d’octobre 2013.
EDF adopte l'offre de téléphonie éco-recyclée du distributeur à valeur ajoutée ITANCIA
http://www.boursier.com/actualites/news/edf-a-adopte-l-offre-de-telephonie-eco-recyclee-du-distributeur-paneuropeen-a-valeur-ajoutee-itancia-535150.html?sitemap
EDF a adopté l'offre de téléphonie éco-recyclée du distributeur paneuropéen à valeur ajoutée ITANCIA, pour sa fiabilité, ses tarifs
ultra-compétitifs et son respect de l'environnement. Le groupe EDF compte plus de 156.168 collaborateurs à travers le monde,
mobilisés autour des métiers de la production et de l'ingénierie, des réseaux, de la vente et du trading.
Souhaitant optimiser ses investissements en téléphonie, EDF a arrêté son choix sur les solutions du groupe ITANCIA, précurseur sur
le marché européen dans le domaine du matériel reconditionné. Depuis plus de vingt-et-un ans, ITANCIA est un distributeur à valeur
ajoutée proposant des équipements professionnels téléphoniques et réseaux remis à neuf, et sous garantie. Pour répondre à ce
marché, EDF a choisi cette offre innovante qui s'appuie sur une structure bien organisée, certifiée ISO 9001 et 14001, avec un
processus véritablement industriel, composé de plus 80 techniciens experts.
Selon Philippe Pottier, Pilote de sous-traitance chez EDF, "Notre objectif initial était de diminuer, de contrôler et d'anticiper nos coûts
d'achat en téléphonie. C'est la raison pour laquelle nous avons fait appel aux solutions éco-recyclées d'ITANCIA".
Les banques restent fidèles à Cobol, plus performant que Java
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-banques-restent-fideles-a-cobol-plus-performant-que-java-54032.html
Selon Bill Curtis, l'un des gourous de la qualité logicielle et pionnier du modèle de développement CMM, Cobol
est plus sûr et plus performant que des langages plus récents.
Pour Bill Curtis, connu pour avoir piloté le modèle de développement CMM (capability maturity model), les banques vont conserver
leurs applications Cobol monolithiques parce que celles-ci ne présentent pas les mêmes problèmes de sécurité et de performance
que Java. Et cela, malgré les pannes importantes subies au cours des derniers mois, par exemple en avril dernier à la Llyods Banking
Group et, en mars, à la Royal Bank of Scotland, cette dernière ayant coûté des centaines de milliers de livres sterling au groupe
bancaire. Des critiques avaient alors visé le système informatique jugé dépassé.
Bill Curtis, aujourd'hui directeur du CISQ, Consortium for IT Software Quality, est également responsable technique (chief scientist)
de la société Cast, qui est spécialisée dans l'analyse et la mesure des applications. Il a expliqué à notre confrère de Computerworld
UK Derek du Preez que si les banques rencontraient régulièrement des problèmes avec leurs systèmes Cobol, c'était parce que ces
programmes n'étaient pas morcelés en modules plus petits, structure qui réduit le nombre d'anomalies. « Les programmes Cobol
sont extrêmement complexes, la taille moyenne d'un module est de 600 lignes de code, alors que celle d'un composant Java est en
moyenne de 30 lignes », a rappelé Bill Curtis à nos confrères en remettant en mémoire que de nombreuses applications Cobol ont
été conçues avant que l'on s'oriente résolument vers la modularité. « Avec Cobol, il y a une forte corrélation entre la taille du
système et la densité des défauts. C'est exponentiel. » Plus le système est grand, plus il y a de défaut sur cent lignes. On ne
retrouve pas cela avec Java et les autres langages modernes, note le responsable technique. La différence, c'est que la modularité
casse cette corrélation parce que les composants sont plus petits.
Ce serait un cauchemar de tout réécrire en Java Pour Bill Curtis, cette situation représente un problème pour les banques
parce que la plupart de leurs systèmes exploitent des « monstres Cobol sur mainframe », mais que ce serait désastreux de les
redévelopper en Java. « Si vous essayez de tout réécrire de cette façon, ce sera un cauchemar. Cela peut se faire, mais
en traversant une période où le taux de défauts va monter en flèche », assure Bill Curtis. Selon lui, les vieux systèmes Cobol, en
dépit des problèmes qu'ils présentent, sont en fait plus sûrs et plus performants quand on les compare aux langages modernes tels
que Java. Il donne deux raisons à cela. Cela tient d'une part au fait que les systèmes Cobol ne sont pas exposés à Internet, et
d'autre part, à un déficit de compétences au sein de la communauté de développeurs Java.
« Il y a un langage qui présente un taux de sécurité supérieur à n'importe quel autre langage et c'est Cobol », affirme le responsable
scientifique. Pourquoi ? Non seulement parce qu'il fonctionne sur des mainframes moins exposés au web, mais aussi parce qu'ils ont
été passés au crible par des générations d'informaticiens dans une industrie où la sécurité reste la question centrale. « L'autre chose
que nous savons sur ces programmes, c'est que, comparés à Java, ils sont vraiment très performants. Java présente toutes sortes
de problèmes de performance alors que les systèmes Cobol sont très rapides. » Les banques les ont peaufinés pendant des années
pour qu'ils s'exécutent de façon très efficace : haut débit, rythme de transactions élevé, environnements mainframe. « Certains
langages plus récents ne sont pas ajustés de cette façon. Selon nos données, certaines applications Java présentent de nombreux
problème de performance », note-t-il. Une partie de ceux-ci peuvent être dus à la structure du langage, mais d'autres, selon Bill
Curtis, viennent du fait que les personnes qui développent en Java ne sont pas toujours les mieux formées.
Analyser le code pour mieux le comprendre Quoi qu'il en soit, pour maîtriser les pannes et les défauts, les banques devraient
analyser leur code pour savoir exactement comment il fonctionne, estime Bill Curtis. Le problème du secteur de la finance, c'est que
ses systèmes ont été conçus il y a de nombreuses années et que nombre d'entre eux sont utilisés avec une connaissance réduite sur
les raisons qui ont conduit à le développer de cette façon. « Ces programmes sont vieux, dépassés, et ceux qui les ont construits
sont probablement morts. Et comme de bien entendu, il n'y a pas de documentation. Ils sont monstrueusement complexes, très
difficiles à maintenir et à comprendre », rappelle Bill Curtis. « Ce qu'il faut, c'est en analyser le code », ajoute-t-il.
Cast et d'autres fournisseurs le font, ajoute-t-il. « Il faut vraiment en connaître la structure. C'est constitué de différentes choses
intégrées ensemble pour former ce qu'on appelle une application. Je serai très surpris si le groupe bancaire RBS ne faisait pas cela.
En fonction de ce que donne l'analyse, on peut alors cibler certaines parties et en réécrire certains éléments. »
Xavier Niel va bien racheter la Halle Freyssinet pour en faire un temple numérique
http://www.challenges.fr/high-tech/20130619.CHA1060/xavier-niel-va-bien-racheter-la-halle-freyssinet-pour-en-faire-un-temple-numerique.html
Soutenu par la Caisse des dépôts, le projet de transformation de ce bâtiment parisien historique en incubateur
nécessitera un investissement de €130 M.
Dans le petit monde du numérique français, c'est un secret
de Polichinelle, déjà ébruité par le Monde. Le projet de
grand incubateur numérique à la Halle Freyssinet, dans
Paris 13e, sera financé en grande partie par Xavier Niel.
Contacté par Challenges, le fondateur de Free, prudent, dit
n'avoir "aucun projet abouti" en ce sens. Mais plusieurs
sources, à la ville de Paris et à Bercy notamment, nous
l'ont confirmé. Les détails restent à finaliser, pour une
annonce officielle qui pourrait intervenir d'ici juillet.
L'investissement est très important. Le rachat de l'ancien
bâtiment ferroviaire -qui ne peut laisser indifférent le
passionné de spéléologie urbaine qu'est Niel- coûtera €70
M. Propriété de la SNCF, il sera, selon le schéma convenu
entre les parties, racheté d'abord par la municipalité
parisienne, qui dispose d'un droit de préemption. La ville
de Paris, qui effectuera des travaux de voirie autour du
site, revendra ensuite la halle au milliardaire. Sa
rénovation, pour la transformer en "vitrine internationale" comme le veut Fleur Pellerin, exigera environ €60 M. Dès le départ, la
ministre de l'Economie numérique avait assuré que le projet serait "financé par un pool d’investisseurs français, avec un appui
possible de la Caisse des dépôts et consignations". La CDC interviendra bien dans le financement total de €130 M, à "un niveau
minoritaire mais pas insignifiant", explique une source proche du dossier à Bercy. La forme juridique que prendra cette participation
n'a pas encore été tranchée. Par ailleurs, un doute subsiste: Xavier Niel sera-t-il soutenu par d'autres investisseurs privés ? "Ce n'est
pas impossible", répond-on à Bercy. Quoi qu'il en soit, le patron de Free sera le principal investisseur.
Ubuntu Phone reçoit le soutien de 8 opérateurs mobiles
http://www.clubic.com/os-mobile/actualite-566572-ubuntu-phone-recoit-soutient-8-operateurs-mobiles.html#ixzz2WjqvcbeZ
L'éditeur Canonical entend bien trouver sa place sur le marché des smartphones et annonce avoir signé quelques
partenariats afin d'accélérer le développement de son OS mobile.
Depuis quelques années Canonical peaufine une nouvelle stratégie visant à s'installer sur
l'ensemble des écrans, qu'il s'agisse des ordinateurs, des télévisions connectées, des
smartphones ou encore des tablettes. En janvier, l'éditeur d'Ubuntu levait le voile sur une
version mobile de sa distribution GNU/Linux optimisée pour les smartphones.
6 mois après avoir lancé un appel auprès des sociétés potentiellement intéressées par ce
projet, Canonical accueille 8 partenaires qui siégeront au sein du conseil Ubuntu Touch
Advisory Group. Deutsche Telekom, Everything Everywhere (Orange+T-Mobile), Korea
Telecom, Telecom Italia, LG UPlus, Portugal Telecom et SK Telecom ont ainsi manifesté
leur intérêt pour Ubuntu Phone. A cela s'ajoute un espagnol qui pourrait être Telefonica.
Ces membres plancheront sur plusieurs aspects relatifs à Ubuntu Phone, qu'il s'agisse des problèmes techniques, du développement
d'un écosystème d'applications, d'une place de marché, d'un mécanisme de paiement ou encore des moyens possibles pour
différencier l'OS des nombreux autres existants. Reste à savoir si ce soutien sera suffisant. Rappelons que quelques-uns de ces
opérateurs sont également intéressés par d'autres projets parallèles tels que Firefox OS, Tizen ou encore Sailfish OS.
Bull va livrer un nouveau supercalculateur à Météo-France
http://www.silicon.fr/bull-va-livrer-un-nouveau-supercalculateur-a-meteo-france-87134.html
D’une puissance utile de 500 téraflops, le prochain cluster de Météo-France sera le premier en Europe à utiliser
des processeurs Intel Xeon E5-2600 v2. Une réalisation signée Bull.
Le constructeur français Bull vient d’annoncer la fourniture d’un cluster d’une puissance de 500 téraflops à Météo-France. Cette
machine sera installée à Toulouse. Ce supercalculateur comprend 1080 nœuds de calcul bullx B710 BLC, intégrant chacun deux
processeurs Intel Xeon E5-2600 v2, de la mémoire DDR3 à 1866 MHz et des liens Infiniband FDR. Le tout affiche une puissance
maximale théorique de 560 téraflops. Bull n’utilise pas ici d’accélérateurs de calcul. Cette machine propose ainsi une puissance
facilement exploitable (le ratio entre puissance brute et puissance utilisable est de 89,3%).
Des techniques bien rodées Ce choix induit toutefois des conséquences négatives en termes de consommation électrique. Mais la
firme française a plus d’un tour dans son sac pour pallier ce problème.
L’utilisation de puces Ivy Bridge gravées en 22 nm (une première en Europe) permet tout d’abord de diminuer les besoins du cluster.
Le système de refroidissement liquide offre également de réduire la consommation électrique.
Des apports qui permettent de faire chuter les besoins en énergie de 40% par rapport à un datacenter classique, indique Bull.
« La modélisation en météorologie et en climatologie nécessite des supercalculateurs faisant preuve d’une efficacité exceptionnelle.
Le premier système européen équipé du futur processeur Intel Xeon E5-2600 v2 utilise un système de refroidissement liquide de
pointe qui aide considérablement à atteindre ce haut niveau d’efficacité requis, résume le Dr Rajeeb Hazra, VP General Manager
Intel Technical Computing Group. L’étroite coopération entre Bull et Intel a contribué à créer l’innovation qui aidera Météo-France à
résoudre les problèmes les plus difficiles. »
Google s’apprête à déployer son codec vidéo VP9
http://www.journaldugeek.com/2013/06/19/google-sapprete-a-deployer-son-codec-video-vp9/
Comme prévu et annoncé lors de l’I/O 2013, Google est sur le point de finaliser son codec vidéo VP9qui succède donc à VP8 et que
vous devrez retrouver assez rapidement dans Chrome et Youtube. Pour ceux qui n’auraient pas tout suivi, ces codecs s’inscrivent
dans le projet WebM de Google afin que le web ne soit plus pollué par des technologies propriétaires. En gros, pour la vidéo, Google
cherche à détrôner le H.264 (qui est quelque part propriétaire) et n’y est toujours pas arrivé depuis… Le gros avantage de VP9 par
rapport au H.264, c’est le fait qu’il est 50% plus optimisé pour une même qualité vidéo, ce qui devrait réduire de moitié la bande
passante utilisée à terme.
Une batterie de secours pour éviter de tomber en panne de smartphone
http://www.20minutes.fr/high-tech/1174267-20130615-batterie-secours-eviter-tomber-panne-smartphone
Pour éviter que votre smartphone ne vous fasse le coup de la panne, s’équiper d’une batterie de secours s’avère
judicieux. La nouvelle PowerPack 5200 mAh de PNY a presque tout pour elle…
La batterie de votre smartphone ne passe pas le cap de la journée ? Le coup de la panne a tôt fait de virer au
cauchemar lorsque l’on est en déplacement, sans accès à une prise de courant. Pour s’en prémunir, rien de plus
pratique qu’une batterie d’appoint pour recharger le mobile défaillant. Parmi les très nombreux modèles
disponibles sur le marché, la nouvelle PowerPack 5200mAh de PNY dispose de nombreux atouts.
Deux charges simultanées possibles Le premier est sans conteste la compacité de de chargeur d’appoint qui
se recharge en USB sur un ordinateur. Sous sa coque en aluminium brossé résistant aux chocs, le petit accessoire
(94 x 41 x 21 mm) se fait oublier dans une sacoche, voire une poche. Autre force : il dispose de deux sorties USB
pour recharger simultanément deux appareils compatibles, comme un smartphone ou une tablette. Enfin, un petit
afficheur indique constamment le pourcentage de charge de la batterie. A l’essai, cela s’avère très pratique pour
savoir de quelle quantité d’énergie elle dispose encore vraiment.
Emopulse Smile SmartWatch goes up for pre-order
http://www.gizmag.com/emopulse-smile-smartwatch/27984/
Many of the communication devices that attempt to make the jump from our hands to our wrists tend to follow
the same form factor as mechanical watches (think Pebble or the much-rumored Apple iWatch, for example). The Smile
SmartWatch from Emopulse is quite a different proposition. If the company manages to transform its working prototype into an
actual commercial product, the Smile will be a smartphone, entertainment and gaming hub, social network and news feed, personal
assistant, digital watch, and a stunning piece of wrist bling all rolled into one futuristic device.
Basically a twin-display smartphone you can wrap around your wrist and wear like a bracelet, the
working prototypes are reported to have made use of experimental flexible displays. The first batch
were monochrome, but the latest are full-color OLED. The upper screen auto activates as the arm is
raised, while the lower screen turns on when it's pointed upwards by twisting the wrist. The displays
are housed within an aluminum enclosure, topped by waterproof and shock-resistant glass from Schott.
"We have two manufacturers of flexible screens at the moment and each of them is in a hurry to be
the first on the market," says Nick Koloskov, who has been working on the device for the last 4 years.
"Our partners guaranteed us a delivery of flexible screens by the end of the year (this is the main
reason why we have not released products at the beginning of this year)." Koloskov told us that the
Smile will be no Pebble, and should have a display more comparable to the quality offered by the
iPhone. Each display will have a screen size "the same as 3 icon rows on the iPhone 4S screen."
The Smile runs an algorithm-based, custom Linux AI OS, and uses biosensors embedded in the device
to gather information about its wearer and uses the data to help automate certain processes.
The device will be powered by the yet-to-be-released low-power, high-speed OMAP 5 processor from Texas Instruments, which has
built-in graphical processing for high-definition playback that should be able to comfortably cope with on-wrist gaming. The Smile
boasts 2 GB of system memory, and either 128 or 256 GB of included solid state memory. Other key specs include a nano-SIM card
slot, allowing the device to act as an LTE-ready smartphone in its own right, or be paired with an existing smartphone via Bluetooth.
In addition to being Wi-Fi-capable, it's also said to be NFC-capable for instant, single-touch device connectivity.
The Smile goes one better than modern smartphones by offering 3 integrated cameras and three microphones. There's a facetracking webcam at the top of the main display for web chats and video-conferencing. The top edge packs a 12-megapixel snapper
for recording 1080p video, while a third camera "designed with unique optics" is mounted on the side of the smartwatch.
Buying flowers for a colleague is the example given by Emopulse. The first time that the Smile is requested to seek out a florist and
make a purchase, it will offer a number of suggested outlets. Subsequent requests can then be automated based on the actions
taken in the first instance. Of course, you could just opt to use menu-driven onscreen navigation to organize your life instead.
To get these futuristic devices onto the wrists of consumers, Emopulse has launched an Indiegogo crowd-funding campaign, where
two flavors of the Smile SmartWatch are available for pre-order. Pledge levels start of $480 for the 128 GB models. They're
available in black with blue, come in four sizes, and in left- or right-handed orientation. A 256 GB version costs $550.