Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible
le 26 août
Montréal, août 2014 – Jamais la voix d’Asa n’a été aussi précise,
aussi juste, aussi limpide émotionnellement. Toute la grâce
mélodique et tout l’envol tendre qu’ont lui connaît depuis toujours,
mais avec une précision plus troublante encore. Les chansons de
Bed of Stone, à paraitre le 25 août, parlent de bien plus que des
sentiments de Bukola Elemide, dite Asa. Elle épouse nos mélancolies,
nos rêveries, nos méditations, nos réflexions.
On a l’impression qu’elles étaient dans nos vies avant qu’Asa les
écrive et les chante. Et pourtant, elles sont nées de sa vie à elle, du
choc ressenti quand, en 2012, elle termine une très longue tournée.
« Il m’a fallu le temps de me remettre. J’avais tourné pendant deux
ans, j’avais tout donné tous les soirs, j’avais été la fille pleine de
force et d’énergie qu’on regarde sur scène pendant deux heures
puis qu’on félicite backstage et qui rentre seule chez elle, tout ça
sans me rendre compte à quel point c’était épuisant. » D’ailleurs, il
n’y a pas eu que la tournée suivant l’album Beautiful Imperfection
qui a dû l’épuiser. Avant, il y avait eu un premier album en 2007,
vendu à plus de 300000 exemplaires et couronné par le prix
Constantin, des centaines de concerts et l’album Live in Paris – le
parcours rêvé d’une révélation qui joue à saute-frontière et brouille
les catégories classiques.
Car Asa est une Nigériane née à Paris, devenue artiste à Lagos,
nourrie de soul old school, signée par un label français, et qui
embrasse à la fois folk, nu soul, reggae doux et chanson rêveuse –
une des plus enthousiasmantes découvertes de la décennie. Tous
les festivals réclament Asa, toutes les playlists de bon goût la
mettent aux places d’honneur. Un tourbillon, un bonheur, une folie.
ASA
Bed of Stone
http://asa-official.coml
https://www.facebook.com/asaofficial
https://twitter.com/Asa_official
Voyez le clip Dead Again : https://www.youtube.
com/watch?v=70xMepVMo3c
Source :naïve
Informations : Simon Fauteux
SIX media marketing inc.
514 544-7013
[email protected]
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
514.544.7013
www.sixmedia.ca
Après sa dernière tournée, elle n’arrive pas à rester chez elle, se
met à voyager tout en écrivant. Lagos, Berlin, les États-Unis,
Londres, Paris... « Je voulais être humaine de nouveau. Avoir des
contacts avec les gens, faire tout ce que j’avais voulu faire avant
d’avoir trente ans. Apprendre à nager, louer une voiture pour aller
de Nashville à New York puis de New York à Los Angeles, apprendre
à faire du skate et à conduire une moto. »
Tout du long, elle écrit de nouvelles chansons, co-écrit deux
chansons avec Piers Faccini, dont Bed of Stone, qui donnera son
titre à l’album. L’enregistrement a aussi été itinérant. Un premier
producteur ne lui convient pas. Puis elle part à Hastings, dans l’East
Sussex, chez Blair MacKichan, musicien et acteur qui a cosigné des
tubes de Will Young et Lily Allen. Presque tout l’album est prêt mais
elle veut retrouver Benjamin Constant, qui avait déjà arrangé ses
deux premiers albums studio. Partout, de nouveaux musiciens, de
nouvelles émotions. « Être la vieille dame qui tombe de skate au
milieu de gamins sur leurs planches, mettre les gaz à fond sur une
moto pour la première fois de ma vie, je ne l’écris pas forcément
dans mes chansons. Mais me sert, tout est là. »
Car il y a la vie d’Asa dans ses chansons, mais pas seulement. Il y a
la nôtre. Le vaste sujet de l’amour, l’élan spirituel, le besoin de faire
la fête ou de partager une tasse de thé avec deux amis… Et Dead
Again, le premier single, écrit en deux heures avec Blair, sur le coup
d’une trahison d’un proche qui fait bouillir Asa. Ou Love Found Me,
chanson qui dit la fin de la quête de l’être aimé, écrit de manière
prémonitoire peu avant que l’amour ne lui tombe dessus, pendant
l’enregistrement de l’album. Ou Gratitude, hymne d’action de
grâce qui dépasse toute appartenance religieuse et invite à se
tourner vers le créateur. Ou Satan Be Gone, sur un rythme de
parade new orleans, qui dit tous les combats contre le Malin,
l’alcool, la haine… Ou Eyo, écrit à Paris et qui reprend une mélodie
de parade des masques à Lagos, là-bas où la rue sait sourire. Tout
cela dit Asa et tout le chemin qu’elle a parcouru.
« J’ai mûri », dit-elle. Bientôt trente-deux ans et la maîtrise de toute
la palette – l’énergie, la faiblesse, la jubilation, l’abattement… Un
sommet.