Mystère au Caire : Orientations pédagogiques Le Musée du Caire et

Transcription

Mystère au Caire : Orientations pédagogiques Le Musée du Caire et
Mystère au Caire : Orientations pédagogiques Le Musée du Caire et la salle des « Trésors de Tanis » (p. 9 – 10 et 51 ‐ 54): L’idée de fonder un musée dans la capitale du pays date de 1835. Sous l’impulsion de Méhémet‐Ali, ce projet veut mettre fin au pillage des trésors archéologiques de l’Egypte. Pendant plus de vingt ans, les objets provenant des fouilles sont disséminés dans plusieurs édifices. Il faut attendre 1858, avec Auguste Mariette (égyptologue français), pour que soit réellement créé un service National des Antiquités. Il trouvera sa place dans l’actuel Musée des Antiquités nationales du Caire, installé dans les anciens locaux d’une compagnie fluviale. L’actuel édifice est le résultat d’un projet français d’architecture, qui comprend une centaine de salles sur deux niveaux. Parmi ces différentes salles, organisées de manières chronologiques, se trouve la salle numéro 2 du premier étage. C’est ici que sont conservés les différents objets découverts lors des différentes campagnes de fouilles effectuées à Tanis. On y trouve, entre autres, de très nombreux bijoux (pectoraux et colliers, bracelets de poignets et de chevilles, pendentifs), mais aussi armes, vaisselle, masques funéraires en or, sarcophages (en granit noir, en or et argent), vases canopes pour contenir les viscères… La présence de tous ces objets s’explique par la croyance des anciens Egyptiens, qui voulait que les morts soient enterrés avec leur mobilier et les affaires dont ils pourraient avoir besoin dans leur vie dans l’au‐delà. http://www.insecula.com/salle/MS01416.html (visite virtuelle de la salle consacrée aux trésors de Tanis au Musée du Caire – usage privé) Découverte du tombeau de Toutankhamon (p.24) : L’archéologue britannique Howard Carter découvrit, après cinq années de fouilles sans succès, la première tombe pharaonique inviolée de l’histoire de l’Egyptologie, en 1922. En réalité, elle avait été forcée à deux reprises durant l’Antiquité, mais les voleurs n’emportèrent que quelques objets facilement transportables et laissèrent la tombe avec presque tous ses objets d’origine. Pour réaliser ces fouilles, Carter fut financé par lord Carnarvon, riche comte anglais, qui acheta une concession en Egypte afin de la faire fouiller. Carter découvrit tout d’abord une série de marches enfouies sous le sable, qui descendait vers une paroi rocheuse. Il s’agissait du tombeau de l’avant‐dernier pharaon de la prestigieuse XVIIIe dynastie, Toutankhamon. Howard Carter mit près de dix ans à sortir les différents objets contenus dans ce tombeau et à l’inventorier. Toutankhamon fut un petit pharaon, mort avant vingt ans. C’est la découverte de sa sépulture, recelant tous ces incroyables trésors, qui le rendit célèbre dans le monde entier. Dans les années qui suivirent l’ouverture du tombeau, de nombreuses personnes proches de l’entourage d’Howard Carter décédèrent. Le premier à succomber fut le canari de lord Carnarvon, dévoré par un cobra. On vit dans cette mort un mauvais présage car cette espèce 1 de serpent avait pour fonction de protéger les pharaons. C’est la raison pour laquelle ils étaient présents sur les couronnes, les masques funéraires. Ces décès (plus d’une vingtaine recensés) sont aujourd’hui scientifiquement expliqués. Lors de l’inhumation du pharaon, on plaça des aliments pour qu’il puisse se nourrir éternellement dans sa vie dans l’au‐delà. Toutefois, après plusieurs millénaires, ces aliments développèrent des moisissures hautement toxiques pour l’homme, et parfois même mortelles. C’est cette série de morts « mystérieuses » qui donna sa substance à la légende de la malédiction du pharaon, et à sa soif de vengeance envers ceux qui osèrent le réveiller après un sommeil de près de 3500 ans… La malédiction de Toutankhamon, documentaire de France 5 disponible en cinq parties sur Daily Motion : http://www.dailymotion.com/video/x3yrdg_la‐malediction‐de‐toutankhamon‐1‐su_tech http://www.dailymotion.com/video/x3yrhw_la‐malediction‐de‐toutankhamon‐2‐su_tech#rel‐page‐4 http://www.dailymotion.com/video/x3yrma_la‐malediction‐de‐toutankhamon‐3‐su_tech#rel‐page‐3 http://www.dailymotion.com/video/x3yrpm_la‐malediction‐de‐toutankhamon‐4‐su_tech#rel‐page‐1 http://www.dailymotion.com/video/x3yrsi_la‐malediction‐de‐toutankhamon‐5‐su_tech#rel‐page‐1 http://fr.wikipedia.org/wiki/Mal%C3%A9diction_du_pharaon Deux capitales pharaoniques (p.39 – 40): Thèbes fut sans doute la plus célèbre des différentes capitales administratives et économiques de l’Empire égyptien. C’est ici que l’on peut, aujourd’hui encore, observer et visiter le plus grand temple du pays, le temple de Karnak, sur la rive Est. Il comporte une dizaine de cours, de très nombreuses chapelles dédiées à des divinités et un lac sacré, qui sont autant d’agrandissements réalisés au cours des différents règnes. C’est au moment où Thèbes était capitale que régnèrent plusieurs des plus célèbres pharaons de l’Histoire (Hatchepsout la femme‐pharaon, les Thoutmosis, les Aménophis, Toutankhamon, Ramsès II…) et que l’Empire atteignit son apogée. Au‐delà de la ville, c’est le domaine des morts sur la rive Ouest de Thèbes. Cette orientation cardinale s’explique par le fait que c’est de ce côté que le soleil se couche et que la nuit ‐ le royaume des défunts – débute. Il s’étend sur une vaste plaine suivie de montagnes, où l’on trouve les temples des millions d’années de ces mêmes pharaons, ainsi que leurs tombeaux (Vallée des Rois, Reines et Nobles). Thèbes fut utilisée comme capitale de l’Empire durant près d’un millénaire. Tanis fut bâtie durant les XXIe et XXIIe dynasties, lors de l’un des derniers sursauts de la splendeur égyptienne, et fut utilisée comme capitale pendant trois siècles et demi. Elle fut construite sur le même plan, la même organisation et avec les mêmes temples consacrés aux dieux (notamment Amon, Mout et Khonsou, la Triade thébaine). L’une des différences majeures avec son aïeule du sud, c’est que, pour la première fois, les souverains se firent inhumer dans l’enceinte‐même du temple principal, et non pas à l’écart de la ville, comme c’était le cas à Thèbes, avec la Vallée des Rois, des Reines et des Nobles. En effet, la vallée 2 thébaine fut le théâtre d’innombrables pillages et ce dès l’Antiquité. Soucieux de préserver leurs sépultures intactes, les pharaons de Tanis choisirent donc de se faire enterrer sous le temple principal. Ici, les pilleurs de tombes ne pouvaient y pénétrer, car l’enceinte du temple était sacrée. Puis, dans les siècles et les millénaires qui suivirent, l’emplacement fut oublié… Jusqu’aux découvertes de Pierre Montet et de son équipe. http://fr.wikipedia.org/wiki/Tanis#La_Th.C3.A8bes_du_Nord http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A8bes_%28%C3%89gypte%29 http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9cropole_royale_de_Tanis http://affinitiz.net/space/tanis/type/image/?orderBy=creationDate (site internet des équipes de fouilles sur le site de Tanis, avec rapport d’activités et photos) http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article.php?pArticleId=12&pChapitreId=23269 Les dynasties égyptiennes (p. 52): Le découpage en trente dynasties de pharaons est un découpage datant du IIIe siècle avant notre ère par le prêtre égyptien Manéthon, dans son travail sur l’Histoire de l’Egypte antique, Ægyptiaca. Les égyptologues d’aujourd’hui ont rajouté deux dynasties, la zéro et la XXXIe. Ce découpage a été réalisé afin de faciliter le travail des historiens – dès l’Antiquité ‐ et la compréhension dans la durée de l’un des plus longs empires de l’histoire de l’Homme. En effet, et malgré de nombreuses guerres avec les pays environnants, les conquêtes, les troubles religieux, cet empire se maintint pendant trois millénaires. Les historiens ont également effectué un autre type de découpage, celui des périodes. Il en est couramment admis neuf, parmi lesquelles l’Ancien Empire (construction des pyramides de Gizeh) et le Nouvel Empire (temple de Karnak, vallée des Rois). Chacune de ces périodes se composent de plusieurs dynasties de pharaons. http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_l%27%C3%89gypte_antique http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheshonq_Ier Pierre Montet et les fouilles de Tanis (p. 53): Pierre Montet, égyptologue français (1885 – 1966), mit au jour, pour la seconde fois dans l’Histoire de l’Egyptologie, des tombes pharaoniques inviolées. Cependant, ses découvertes eurent très peu de retentissement en Europe comparé à celui provoqué par la découverte du tombeau de Toutankhamon par Howard Carter quinze ans auparavant. Cela est dû à une « malchance » du calendrier. En effet, les découvertes les plus prestigieuses de Pierre Montet à Tanis eurent lieu en 1939 – 1940, alors que débutait la Seconde Guerre mondiale en Europe. 3 Toutefois, les fouilles entreprises sur ce site continuent aujourd’hui encore et révèlent chaque année de nouvelles découvertes. http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Montet http://affinitiz.net/space/tanis/type/image/?orderBy=creationDate (site internet des équipes de fouilles sur le site de Tanis, avec rapport d’activités et photos) Les vases canopes et les rites funéraires en Ancienne Egypte (p. 59): Les rites funéraires des anciens Egyptiens étaient réalisés dans le but de permettre au défunt d’entamer une nouvelle vie – dans les meilleures conditions possibles – dans l’au‐
delà. Dès 3 000 avant notre‐ère, les premières manifestations spectaculaires de ce culte au défunt furent la pyramide à degré de Djoser à Saqqarah et les pyramides du plateau de Gizeh. Par la suite, les tombeaux prirent différentes formes, notamment avec les excavations dans les parois rocheuses de la Vallée des Rois, Reines et Nobles, à l’Ouest de Thèbes. La momification était réservée aux puissants et aux riches personnalités de l’Empire. On pratiquait sur le défunt une incision afin de prélever différents organes qui auraient pu faire pourrir le corps. Ces organes – à savoir les poumons, les intestins, l’estomac et le foie – étaient placés dans les vases canopes, protégés par des génies, fils d’Horus. Le cœur restait toutefois en place car on pensait que cet endroit renfermait « l’âme » du défunt. Le cerveau était prélevé par le nez grâce à un crochet. Ensuite, le corps était soumis, pendant soixante‐
dix jours, à une déshydratation intensive avec l’utilisation de natron, substance naturelle à très forte teneur en sel qui absorbe toute humidité. Puis la dépouille était enveloppée dans de très longues et fines bandes de lin, dans lesquelles on cachait généralement des amulettes. L’ensemble était recouvert de résine. On plaçait alors un masque funéraire sur le visage momifié du pharaon, et son corps était ensuite glissé dans un sarcophage ouvragé (le plus souvent, lors du Nouvel Empire, en or ou argent). Ce cercueil orfévré était à son tour placé dans un ou plusieurs sarcophages en pierre (de type granitique). Quant au mobilier funéraire, on plaçait auprès du défunt tout ce dont il aurait pu avoir besoin dans sa prochaine vie (cf. le trésor de Toutankhamon), mais également des ouchebtis, petits personnages chargés de réaliser les basses besognes dans l’au‐delà à la place de leur maître. http://fr.wikipedia.org/wiki/Vase_canope http://www.legypteantique.com/momies.php#part‐4 http://fr.wikipedia.org/wiki/Momification_en_%C3%89gypte_antique 4 Le pectoral retrouvé par Emilie : symbolique dans les bijoux de Tanis (p. 110): Le scarabée : il s’agit le plus souvent de la représentation du dieu Khépri, manifestation du soleil matinal. L’assimilation de l’astre diurne à cet animal (le scarabée bousier), provient de son habileté à faire des boules avec les excréments qu’il trouve, afin d’y pondre ses œufs. Les Anciens Egyptiens ont vu, dans cette forme sphérique, la manifestation d’un dieu solaire. Les déesses face à face : il s’agit le plus souvent des déesses sœurs Isis et Nephtys, respectivement épouses d’Osiris et de Seth. Isis est considérée comme une magicienne car elle a redonné la vie à son époux le temps d’engendrer leur fils Horus. Nephtys est, quant à elle, très souvent associée à sa sœur dans son rôle de veille des défunts. L’œil d’Horus (ou œil oudjat) : dans les bijoux de Tanis, on les trouve sur des bracelets, portés par paires (pour obtenir deux yeux), qui représentent les yeux du soleil, et donc le dieu faucon Horus, garantissant ainsi éternité au défunt. Le pectoral retrouvé par Emilie est une invention de l’auteure. Toutefois, le bijou s’inspire très largement du collier du pharaon Psousennès Ier, découvert en 1940 par Pierre Montet. Sur celui‐ci, on peut observer dans le rectangle supérieur du pectoral un scarabée flanqué de deux cartouches dans lesquels sont inscrits les noms royaux du monarque. Autour de l’animal, Isis et Nephtys, protectrices du défunt, déploient leurs ailes. Articulée par une charnière, la partie inférieure présente au centre deux cobras royaux dressés. De chaque côté se trouve une barque dans laquelle voguent, à gauche, le pharaon et Osiris, et à droite, le pharaon et un oiseau. L’ensemble est retenu par une chaîne d’or et de perles, terminée à l’arrière par une fleur de lotus fermée. http://fr.wikipedia.org/wiki/Bousier_sacr%C3%A9 http://fr.wikipedia.org/wiki/Isis http://fr.wikipedia.org/wiki/Oudjat http://www.insecula.com/salle/MS01416.html (visite virtuelle de la salle consacrée aux trésors de Tanis au Musée du Caire – usage privé) Orientations bibliographiques : ‐ Encyclopaedia Universalis : Tanis (par Yves Koenig) ; L’Egypte antique : Civilisation, l’Art (par Annie Forgeau) ; Karnak (par Jean Leclant) ; L’Egypte antique : Civilisation, la Religion (par Jean Vercoutter) ‐ Tanis, l’or des pharaons, Collectif. ‐ Dictionnaire de l’Antiquité, PUF, sous la direction de Jean Leclant. ‐ Guide illustré du Musée égyptien du Caire, Collectif. ‐ Art et archéologie : l’Egypte ancienne ‐ Manuel de l’Ecole du Louvre, Christiane Ziegler et Jean‐Luc Bovot. ‐ Préhistoire et Antiquité, sous la direction d’Alain Schnapp. ‐ L’Egypte : les hommes, les dieux, les pharaons, Rose‐Marie et Rainer Hagen 5 Français : Compréhension de texte ‐ Mots fléchés : (les noms composés seront accolés) 1 ‐ Noms des vases dans lesquels les Egyptiens plaçaient les viscères de leurs défunts : CANOPES (chapitre 14). 2 ‐ Nom de famille de l’égyptologue qui découvrit les tombeaux pharaoniques de Tanis : MONTET (chapitre 6). 3 ‐ Nom de la capitale dont s’est inspirée Tanis lors de sa construction : THEBES (chapitre 9). 4 ‐ Matière dans laquelle est sculpté le scarabée du pectoral : LAPIS LAZULIS (chapitre 24). 5 – De quel pharaon Helmi se pense‐t‐il l’héritier ? CHECHONQ (chapitre 21). 6 – Quel monarque suscita la naissance de la malédiction des pharaons ? TOUTANKHAMON (chapitre 6). 7 – Quel est le nom de la pièce dissimulée dans l’appartement des jumeaux ? CABINET (chapitre 5). 8 – A quel endroit les jumeaux font‐ils la connaissance d’Audrey ? MUSÉE (chapitre 13). 9 – Que découvrent les jumeaux dans l’appartement de Helmi ? TEMPLE (chapitre 19). 10 – Dans quelle structure travaille leur père ? AMBASSADE (chapitre 1). 11 – Que découvre Emilie au plafond du cabinet ? TRAPPE (chapitre 15). 12 – Nom de la mosquée près de laquelle la famille Duret va dîner : AL AZHAR (chapitre 9). 13 ‐ Nom de la ville où se passe l’aventure des jumeaux : LE CAIRE (chapitre 1). 14 – Nom de l’animal trouvé dans le dernier vase : SCORPION (chapitre 14). 15 – Cercueil égyptien : SARCOPHAGE (chapitre 13). Conjugaison : ‐ Chapitre 15, page 67 : « Elle s’assit sur le rebord du meuble, en prenant bien soin de pousser les différents ouvrages qui s’y trouvaient empilés. Elle réfléchissait en se passant la main dans les cheveux puis posa les mains de part et d’autre de ses cuisses, fixant de ses yeux clairs le mur opposé. Quelque chose retint tout à coup son attention… ». Vous réécrirez ce passage en remplaçant le pronom « elle » par le pronom « elles ». N’oubliez pas d’effectuer toutes les modifications nécessaires. ‐ Chapitre 7, page 28 : « Cet homme paraissait vraiment malade… Émilie tenait à en apprendre davantage sur lui et les circonstances de ces fouilles. Encore un peu sous le coup de l’émotion qu’avait engendrée la lecture de ce cahier, elle décida d’éteindre la lumière. La journée avait été particulièrement dense en surprises et en découvertes ! » Soulignez tous les verbes de cet extrait en indiquant leurs temps, puis vous le réécrirez en le conjuguant au présent. 6 Grammaire : ‐ Chapitre 20, page 91 : « Les statues représentaient essentiellement des dieux, reconnaissables à leurs têtes animales. Ils continuèrent d’avancer, et traversèrent la colonnade avant d’arriver dans un espace plus dégagé. Justin se dirigea vers les nouvelles statues : elles paraissaient beaucoup plus récentes que les précédentes, et leurs visages ressemblaient à de véritables portraits… » Retrouvez, dans ce passage : • Un COD • Un complément circonstanciel de lieu • Un adverbe • Trois adjectifs qualificatifs • Un attribut du sujet ‐ Chapitre 7, page 28 : « Encore un peu sous le coup de l’émotion qu’avait engendrée la lecture de ce cahier, elle décida d’éteindre la lumière. » Quel est le sujet de « avait engendrée » ? Justifiez l’accord du participe passé « engendrée ». Expression écrite et/ou orale : L’étude de ce texte pourra ouvrir sur la préparation de dossiers ou d’exposés sur plusieurs thèmes concernant la civilisation de l’Égypte antique. Suggestions : ‐ Dieux et religion (mythologie osirienne, triade thébaine) ‐ Rites funéraires et représentations (fresques murales, mobilier funéraire, tombes…) ‐ Le temple de Karnak ‐ Le Nil, source de vie durant l’Antiquité ‐ L’UNESCO sauve des temples menacés d’engloutissement (temple de Philae, d’Abou Simbel) ‐ Les capitales pharaoniques : Thèbes, Memphis, Tanis, Pi‐Ramsès, Amarna… ‐ L’orfèvrerie : bijoux, couronnes, masques funéraires, sarcophages… ‐ Égyptologues célèbres : Howard Carter, Pierre Montet, Christiane Desroches‐Noblecourt… 7 Sorties : Découverte de vestiges de l’Empire pharaonique dans les musées français : ‐ Musée du Louvre, Paris. ‐ Musée de l’archéologie Méditerranéenne, Centre de la Vieille Charité, Marseille. ‐ Musée Georges‐Labit, Toulouse. ‐ Collection archéologique du Musée Calvet – Musée lapidaire, Avignon. ‐ Musée d’Art et d’Archéologie, Guéret. ‐ Musée de Tessé, Le Mans. ‐ Musée des Beaux‐Arts, Lyon. ‐ Musée des Beaux‐Arts (de l’Evêché), Limoges. http://www.bubastis.be/art/musee/musee.html ‐ Obélisque de la place de la Concorde, Paris. 8