Recochem inc. Installations de Milton, Ontario
Transcription
Recochem inc. Installations de Milton, Ontario
Recochem inc. Installations de Milton, Ontario Final Plan de réduction des substances toxiques préparé en vertu de la Loi sur la réduction des substances toxiques Règlement de l’Ontario 455‐09 Préparé en décembre 2013 avec données de 2012 (Éthylène glycol, Butoxyéthanol, Nitrate de sodium et Nitrite de sodium) 1 | P a g e Plan de réduction des substances toxiques multi produits (Éthylène glycol, Butoxyéthanol, Nitrate de sodium et Nitrite de sodium) Recochem inc. : Recochem exploite des installations en Ontario depuis 1965. Ses activités comprennent principalement le mélange et le conditionnement de produits chimiques de consommation tels liquides lave-glaces, diluants à peinture et antigels automobiles. Recochem a développé un programme élaboré pour protéger la santé et la sécurité ainsi que l’environnement. Le programme comprend des procédures, des formations régulières pour ses employés et des audits réguliers de ses installations et de ses systèmes afin d’en assurer la conformité. Recochem achète et utilise les produits chimiques suivants qui sont signalés à Environnement Canada en vertu du règlement de l’INRP (Inventaire national des rejets de polluants) : Éthylène glycol, Butoxyéthanol, Nitrate de sodium et Nitrite de sodium. Comme ils sont signalés en vertu de l’INRP et de la Loi sur la réduction des substances toxiques, ils requièrent aussi la création d’un Plan de réduction des substances toxiques selon la Phase II de la Loi sur la réduction des substances toxiques de l’Ontario. Éthylène glycol (ÉG) : il s’agit du principal composant utilisé dans la fabrication de l’antigel / liquide de refroidissement automobile. Il est présent à environ 98 % dans la formulation du liquide de refroidissement concentré et à 50 % dans la formulation prête à l’emploi (50/50). L’ÉG procure au liquide de refroidissement une protection contre le gel et le débordement par ébullition. Butoxyéthanol : il est utilisé en très petite quantité comme détergent dans le liquide lave-glace. Nitrate de sodium : il est utilisé comme inhibiteur de corrosion dans l’antigel / liquide de refroidissement automobile. Nitrite de sodium : Il est utilisé comme inhibiteur de corrosion dans l’antigel / liquide de refroidissement automobile. Éthylène glycol Description du déroulement des opérations : L’Éthylène glycol est reçu sur les lieux dans des wagons. L’Éthylène glycol est ensuite transféré des wagons par pompage dans les réservoirs de stockage extérieurs à travers un réseau de tuyaux rigides et dirigé au moyen de valves opérées manuellement. Pendant cette opération de pompage, il ne se produit pas d’évaporation dans l’air, car l’éthylène glycol, en remplissant le réservoir, fait sortir l’air qui s’échappe pour faire place au liquide. Une fois les wagons vides, certains résidus d’ÉG restent pris dans les wagons que nous retournons au fournisseur. Nous avons estimé qu’un wagon vide contient encore environ 10 litres d’ÉG. Du réservoir de stockage, l’ÉG est pompé dans la Salle de mélanges où il est mélangé à des inhibiteurs de corrosion et à de l’eau pour produire l’antigel / liquide de refroidissement automobile. L’antigel / liquide de refroidissement concentré est transféré par pompage dans un réservoir de stockage extérieur ou directement dans la Salle de remplissage pour remplir les bouteilles. Les bouteilles sont remplies, et une capsule est posée sur la bouteille. Les bouteilles sont ensuite emballées dans des cartons, ainsi prêtes pour être expédiées. Le seul déchet généré l’est pendant le 2 | P a g e processus normal de changement de produit sur la ligne de production au cours duquel la tuyauterie et les tuyaux sont rincés à l’eau pour en éliminer l’antigel / liquide de refroidissement. Tout l’antigel / liquide de refroidissement de rinçage propre est retenu et réutilisé dans d’autres mélanges. Une quantité minimale d’antigel / liquide de refroidissement ne convenant pas à la production est entreposée dans des barils et envoyée pour élimination grâce à un recycleur de déchets certifié. Butoxyéthanol Description du déroulement des opérations : Le Butoxyéthanol est reçu dans des barils de 205 litres. Le Butoxyéthanol est ensuite transféré des barils par pompage directement dans le réservoir de mélange à travers un réseau de tuyaux rigides pour préparer le prémélange de liquide lave-glace (contient : détergent, colorant et de l’eau). Une fois les barils vides, nous estimons qu’un baril vide contient encore environ 250 mL de Butoxyéthanol qui mouillent le baril que nous retournons au fournisseur. Le prémélange de liquide lave-glace est pompé dans l’unité de mélange automatique où il est mélangé à de l’eau et du méthanol pour produire le liquide lave-glace. Selon le fabricant de cette unité de mélange, cette dernière comporte une erreur statistique calculée d’environ 0,25 % (nous avons assumé la moitié de cette erreur statistique calculée dans nos calculs). Les bouteilles sont ensuite remplies, et une capsule est posée sur la bouteille. Les bouteilles sont ensuite emballées dans des cartons, ainsi prêtes pour être expédiées. Le seul déchet généré l’est pendant le processus normal de changement de produit sur la ligne de production au cours duquel la tuyauterie et les tuyaux sont rincés à l’eau pour en éliminer le liquide lave-glace. Toute l’eau de rinçage propre est retenue et réutilisée dans d’autres mélanges de liquide lave-glace. Tout liquide lave-glace souillé est stocké dans des barils et envoyé pour élimination grâce à un recycleur de déchets certifié. Nitrate de sodium Description du déroulement des opérations : Le Nitrate de sodium pur est reçu sous forme de poudre dans des sacs de plastique de 22,68 kg. Le Nitrate de sodium est ensuite transféré manuellement dans un grand réservoir de mélange pour préparer l’antigel / liquide de refroidissement concentré. Le réservoir est gardé sous une pression négative pour empêcher toute poussière d’être relâchée dans l’air. Il reste une quantité minimale de produit dans le sac sous forme de poussière que nous ne pouvons pas éliminer. L’antigel / liquide de refroidissement est ensuite transféré par pompage dans un réservoir de mélange extérieur ou directement dans la Salle de remplissage pour remplir les bouteilles. Les bouteilles sont ensuite remplies, et une capsule est posée sur chaque bouteille. Les bouteilles sont ensuite emballées dans des cartons, ainsi prêtes pour être expédiées. Tout l’antigel / liquide de refroidissement de rinçage propre est retenu et réutilisé dans d’autres mélanges. Une quantité minimale d’antigel / liquide de refroidissement ne convenant pas à la production est entreposée dans des barils et envoyée pour élimination grâce à un recycleur de déchets certifié. Nitrite de sodium Description du déroulement des opérations : Le Nitrite de sodium pur est reçu sous forme de poudre dans des sacs de plastique de 22,68 kg. Le Nitrite de sodium est ensuite transféré manuellement dans un grand réservoir de mélange pour préparer l’antigel / liquide de refroidissement concentré. Le réservoir est gardé sous une pression 3 | P a g e négative pour empêcher toute poussière d’être relâchée dans l’air. Il reste une quantité minimale de produit dans le sac sous forme de poussière que nous ne pouvons pas éliminer. L’antigel / liquide de refroidissement est ensuite transféré par pompage dans un réservoir de mélange extérieur ou directement dans la Salle de remplissage pour remplir les bouteilles. Les bouteilles sont ensuite remplies, et une capsule est posée sur chaque bouteille. Les bouteilles sont ensuite emballées dans des cartons, ainsi prêtes pour être expédiées. Tout l’antigel / liquide de refroidissement de rinçage propre est retenu et réutilisé dans d’autres mélanges. Une quantité minimale d’antigel / liquide de refroidissement ne convenant pas à la production est entreposée dans des barils et envoyée pour élimination grâce à un recycleur de déchets certifié. Éthylène glycol, Butoxyéthanol, Nitrate de sodium et Nitrite de sodium Diagramme des opérations : RÉCEPTION Receiving stage Raw material receiving process Raw material transferring process 4 | P a g e PRODUCTION EXPÉDITION Production stage Shipping stage Blending process Palletizing and storage process Filling process Shipping process Description des légendes du déroulement des opérations : A U P DIS DQL émission de vapeurs de méthanol dans l’air extérieur entrée de méthanol dans le processus produit « méthanol » passant au prochain processus élimination grâce à un recycleur garanti niveau de qualité des données (H-haut, AA- supérieur à la moyenne, A-moyen, U-incertain) Données de haut niveau : • Surveillance continue des substances toxiques selon une approche validée par une agence de réglementation. • Vérification élaborée et validée de la source pour un éventail de conditions d’opération. • Quantifications dérivées d’essais élaborés spécifiques. • Bilan massique pour les procédés où 100 % du bilan des matières sont comptés et dont la substance toxique ne subira pas de transformation chimique. Données de niveau supérieur à la moyenne : • Essais sur les sources pour une condition d’opération particulière. • Quantifications développées à partir d’essais sur une quantité modérée à grande de sources industrielles où la population de la catégorie de sources est suffisamment spécifique pour minimiser la variabilité. • Calculs / jugement techniques : quantifications dérivées de principes scientifiques et techniques fondamentaux. Données de niveau moyen : • Quantifications développées à partir d’essais sur une quantité raisonnable d’installations où la population de la catégorie de sources est suffisamment spécifique pour minimiser la variabilité. • Calculs / jugement techniques : quantifications dérivées de principes scientifiques et techniques fondamentaux et / ou de données pertinentes. • Source partiellement validée où les essais ne sont que partiellement validés pour une condition d’opération particulière. Données de niveau incertain : • Essais de source non validée pour une condition d’opération : taux d’émission estimés d’essais de source non validée. • Quantifications développées à partir d’essais sur seulement une petite quantité d’installations où il y a évidence de variabilité de la population de la catégorie de sources. • Calculs / jugement techniques : quantifications dérivées de calculs où l’intégrité scientifique et technique de l’approche est incertaine et qui sont considérées comme ayant une qualité incertaine des données. 5 | P a g e Données sur le bilan de masse de l’éthylène glycol 2012 (toutes valeurs en kilogrammes) kg Éthylène glycol utilisé >10 000 000 Éthylène glycol créé aucun Éthylène glycol contenu dans produits 6 | P a g e >10 000 000 Éthylène glycol : Raw material received in railcar • • • • • U (purchased in 2012) >10,000,000 kg DQL=A P >10,000,000 kg DQL=A Raw material transferring process To blending process U (stock from 2011) 100,000 To Lost as wet residue in railcar = 1000 To 10,000 kg L’éthylène glycol acheté est retracé au moyen du poids de chaque wagon indiqué sur la facture du fabricant. La respiration du réservoir est estimée à 0 vu que le glycol ne s’évapore pas à des températures de fonctionnement normales. Le processus de transfert est supervisé par un opérateur. Les déversements sont possibles si un tuyau brise, mais tout le système est contenu soit par la structure de la propriété (la propriété est conçue pour contenir tous les liquides déversés grâce aux pentes du terrain de la cour et un système de tuyauterie sous terre) ou par le mur de retenue de l’aire des réservoirs (entourant la plus grande partie du système de tuyauterie, tous les réservoirs de stockage extérieurs ainsi que le processus de mélange intérieur et l’équipement de remplissage). Aucun déversement dans l’eau ne peut se produire à notre emplacement, car il n’y a aucun plan d’eau sur la propriété ou à proximité. La perte de résidu mouillé dans le wagon est estimée. L’ÉG est pompé à travers des tuyaux rigides vers le réservoir de mélanges, et, quand le mélange est terminé, le liquide est pompé (à travers des tuyaux rigides) vers l’aire des réservoirs pour stockage ou vers le processus de remplissage des bouteilles. City water filtered Blending process EG from exterior storage Powdered Raw material added as corrosion inhibitors 7 | P a g e To exterior storage tank or Filling process • • • • • P U >10,000,000 kg >10,000,000 kg Based on # of bottles DQL=A DQL=A Filling process From Blending To palletizing (100,000 to process process 1,000,000kg measured left over stock for Calculated error from the ABU 10,000 To Calculated error 100,000 kg from the Filler DIS 10,000 To 100 To 100,000 kg 1000 kg Les changements de produits se font en rinçant l’unité de mélange automatique et les canalisations de remplissage avec de l’eau. L’eau est ensuite collectée dans des cuves gardées dans la Salle de remplissage (cuves conçues pour collecter les déversements potentiels). Le liquide dans les cuves est recyclé dans le prochain mélange du même produit à une date ultérieure. La quantité produite est retracée au moyen de nos registres d’inventaire et de production. L’erreur statistique calculée de l’unité de mélange automatique est basée sur les données du fabricant. L’erreur statistique calculée de la remplisseuse est basée sur les mesures d’échantillons effectuées à intervalles réguliers pendant le processus de production. DGL=AA. L’éthylène glycol éliminé est estimé selon la quantité de liquide usé mélangé collecté annuellement par le transporteur de déchets (0,01 % de la production). 8 | P a g e Données sur le bilan de masse du Butoxyéthanol 2012 (toutes valeurs en kilogrammes) kg Butoxyéthanol utilisé >10 000 000 Butoxyéthanol créé aucun Butoxyéthanol contenu dans produits 9 | P a g e >10 000 à 100 000 Butoxyéthanol : A evaporation 0 kg DQL=U U (purchased P in 2012) 10,000 To 100,000 kg 10,000 To DQL=A 100,000 kg Raw material To blending process transferring Raw material received in drums process U (stock from 2011) 100 To 1000 kg Lost as wet residue in drums = 10 To 100 kg DQL=U • Le Butoxyéthanol acheté est retracé au moyen du poids de chaque baril indiqué sur la facture du fabricant. • Évaporation : le produit ne s’évapore pas du baril. • La perte est estimée. Evaporation at filler 0 kg P DQL=U U 10,000 To 100,000 kg Based on # of bottles 10,000 To 100,000 kg DQL=A DQL=A Filling process From Blending To palletizing (100 to 1000 kg process process measured left over stock for 2013 ) Calculated error from the ABU 10 To 100 kg Calculated error DQL=A from the Filler DIS 100 To 1000 kg 1 To 10 kg DQL=A DQL=A • La quantité produite est retracée au moyen de nos registres d’inventaire et de production. • L’évaporation de la remplisseuse est de 0 vu que ce produit ne s’évapore pas. • L’erreur statistique calculée de l’unité de mélange automatique est basée sur les données du fabricant. • L’erreur statistique calculée de la remplisseuse est basée sur les mesures d’échantillons. • Le Butoxyéthanol éliminé est estimé (0,01 % de la production). 10 | P a g e Données sur le bilan de masse du Nitrate de sodium 2012 (toutes valeurs en kilogrammes) kg Nitrate de sodium utilisé >10 000 à 100 000 Nitrate de sodium créé aucun Nitrate de sodium contenu dans produits 11 | P a g e >10 000 à 100 000 Nitrate de sodium : No lost to the air, trapped into a dust collector creating a negative pressure in the blending tank U (purchased in 2012) 10,000 To 100,000 kg P DQL=A 10,000 To 100,000 kg DQL=A Raw material transferring To blending process process Raw material received in bags on pallets, The powder is manually U (stock transferred into the tank from 2011) 100 To 1000 kg DQL=A Lost as residue in bags = 10 to 100 kg DQL=U • Le Nitrate de sodium acheté est retracé au moyen du poids de chaque sac indiqué sur la facture du fabricant. • La perte de résidu dans le sac est estimée. P U 10,000 To 100,000 kg Based on # of bottles 10,000 To 100,000 kg DQL=A DQL=A Filling process From Blending To palletizing (1045 kg measured process process left over stock for 2013 ) Calculated error from the ABU 10 To 100 kg Calculated error DQL=A from the Filler DIS 100 To 1000 kg 1 To 10 kg DQL=A DQL=A • La quantité produite est retracée au moyen de nos registres d’inventaire et de production. • L’erreur statistique calculée de l’unité de mélange automatique est basée sur les données du fabricant. • L’erreur statistique calculée de la remplisseuse est basée sur les mesures d’échantillons. • Le Nitrate de sodium éliminé est estimé (0,01 % de la production). 12 | P a g e Données sur le bilan de masse du Nitrite de sodium 2012 (toutes valeurs en kilogrammes) kg Nitrite de sodium utilisé >10 000 à 100 000 Nitrite de sodium créé aucun Nitrite de sodium contenu dans produits 13 | P a g e >10 000 à 100 000 Nitrite de sodium : No lost to the air, trapped into a dust collector creating a negative pressure in the blending tank U (purchased in 2012) P 10,000 to 100,000 kg 10,000 To 100,000 kg DQL=A DQL=A Raw material To blending process transferring Raw material received in bags process The powder is U (stock from 2011) 1000 to 10 000 kg Lost as residue in bags DQL=A = 10 to 100 kg DQL=U • Le Nitrate de sodium acheté est retracé au moyen du poids de chaque sac indiqué sur la facture du fabricant. • La perte de résidu dans le sac est estimée P U 10,00 to 100,000 kg Based on # of bottles 10,000 to 100,000 g DQL=A DQL=A Filling process From Blending To palletizing (10 to 1000 kg process process measured left over stock for 2013 ) Calculated error from the ABU 10 to 100 kg Calculated error DQL=A from the Filler DIS 100 to 1000kg 1 to 10 kg DQL=A DQL=A • La quantité produite est retracée au moyen de nos registres d’inventaire et de production. • L’erreur statistique calculée de l’unité de mélange automatique est basée sur les données du fabricant. • L’erreur statistique calculée de la remplisseuse est basée sur les mesures d’échantillons. • Le Nitrite de sodium éliminé est estimé (0,01 % de la production). 14 | P a g e Sept catégories pour réduire l’usage de substances toxiques (Éthylène glycol) 1. Substitution de matière ou de produit de base Remplacer l’éthylène glycol (ÉG) par du propylène glycol (PG) i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à >10 000 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée à >10 000 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Éventail de points de congélation et d’ébullition réduit (moins efficace que l’ÉG; il faut utiliser plus de PG que d’ÉG pour obtenir la même échelle de température). Rentabilité : non réalisable. Le PG est beaucoup plus dispendieux que l’ÉG. Pendant quelques années, Recochem a offert un antigel / liquide de refroidissement au PG, et nous avons dû le retirer du marché à cause de son prix trop élevé. 2. Conception et reformulation du produit Utilisation d’une autre matière que l’ÉG ou le PG pour fabriquer l’antigel / liquide de refroidissement i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à >10 000 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau. Non disponible (quelques polyalcools pourraient s’évaporer, plus que l’ÉG). iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée à >10 000 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Notre recherche a démontré qu’il n’existe aucun autre produit chimique qui donne le même rendement que l’ÉG pour l’antigel / liquide de refroidissement. Toutes les autres options requièrent l’usage d’une plus grande quantité de produits chimiques pour atteindre la même efficacité. De plus, il existe des standards de l’industrie qui requièrent que l’antigel / liquide de refroidissement soit fait d’ÉG ou de PG. 15 | P a g e Rentabilité : non réalisable, toutes les autres substances possibles sont plus dispendieuses et ne sont pas produites en quantités suffisantes pour satisfaire à la demande. 3. Modification de l’équipement ou des procédés Utilisation d’une alarme de haut volume dans les réservoirs de stockage pour empêcher les déversements par débordement i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable, déjà réalisé (aucun gain). Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 4. Prévention des déversements et des fuites Utilisation d’un clapet de non-retour sur tous les tuyaux i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 100 et 1 000 kg collectés et recyclés dans les mélanges. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable, mais l’utilisation d’un clapet antiretour entraîne un problème d’expansion thermique de l’éthylène glycol dans les canalisations et les tuyaux, ce qui brise les joints quand le liquide se dilate. Rentabilité : non réalisable. Période de récupération anticipée : 11 ans 16 | P a g e 5. Réutilisation ou recyclage sur les lieux Réutilisation ou recyclage sur les lieux Cette activité est déjà pratiquée, tout l’éthylène glycol collecté en dehors du processus de remplissage normal (rinçage de la tuyauterie, reprises de production, déversements, etc.) est réutilisé dans la production. i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable, déjà réalisé (aucun gain). Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 6. Meilleure gestion de l’inventaire ou des techniques d’approvisionnement Une meilleure gestion de l’inventaire comprend le comptage des matières premières, l’installation d’un compteur pour contrôler le volume reçu par wagons. i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Une meilleure précision de notre inventaire de matières premières serait la seule amélioration. Rentabilité : non réalisable. Période de récupération anticipée : aucune récupération possible. 17 | P a g e 7. Pratiques de formation ou de meilleure exploitation Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable (aucun gain). Rentabilité : réalisable (déjà fait). Période de récupération anticipée : 2 ans La formation chez Recochem inc. est considérée comme extrêmement importante pour tous les employés manipulant des matières dangereuses. Recochem a développé un programme élaboré de formation qui traite de santé et de sécurité ainsi que de questions environnementales comme la prévention et la gestion des déversements. 18 | P a g e Liste des options déterminées comme étant techniquement réalisables : 9 Utiliser une alarme de haut volume dans les réservoirs de stockage pour empêcher les déversements par débordement. 9 Utiliser des clapets antiretour sur tous les tuyaux (même si réalisable, cette option amène le problème de l’expansion thermique de l’éthylène glycol dans les canalisations et les tuyaux, ce qui brise les joints quand le liquide se dilate). 9 Réutiliser ou recycler sur place. 9 Gérer l’inventaire de façon plus précise, par ex. compter les matières premières. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements. Liste des options déterminées comme étant techniquement et économiquement réalisables : 9 Utiliser une alarme de haut volume dans les réservoirs de stockage pour empêcher les déversements par débordement Cette option est déjà en place, et sert à prévenir les déversements par débordement lors du transfert des liquides. Cette option ne réduira pas la quantité d’éthylène glycol contenue dans le produit sortant des installations. La réduction d’éthylène glycol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Réutiliser ou recycler sur place Cette option est déjà en place, et la technologie nous permet de récupérer une quantité maximale d’éthylène glycol. Les déchets générés par ce processus représentent moins de 0,01 pour cent, ce qui est acceptable. Cette option ne réduira pas la quantité d’éthylène glycol contenue dans le produit sortant des installations. La réduction d’éthylène glycol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements Cette option est déjà en place depuis plusieurs années. Le programme de formation se poursuit d’année en année pour nous assurer que les employés n’oublient pas et pour implanter des changements si nécessaire. Les déchets générés par ce processus ne pouvant être réutilisés représentent moins de 1/10e d’un pour cent, ce qui est acceptable. La formation déjà en place aide à prévenir les gros déversements qui pourraient avoir un impact négatif sur notre programme environnemental. Cette option ne réduira pas la quantité d’éthylène glycol contenue dans le produit sortant de nos installations. La réduction d’éthylène glycol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 19 | P a g e Sept catégories pour réduire l’usage de substances toxiques (Butoxyéthanol) 1. Substitution de matière ou de produit de base Remplacer le Butoxyéthanol par de l’Éther méthylique de dipropylène glycol i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. L’Éther méthylique de dipropylène glycol et les autres Éthers glycoliques sont moins efficaces que le Butoxyéthanol de notre formulation. Il faudrait utiliser une concentration plus élevée d’Éthers glycoliques. Rentabilité : non réalisable. L’Éther méthylique de dipropylène glycol et les autres Éthers glycoliques sont beaucoup plus dispendieux que le Butoxyéthanol. (Le liquide lave-glace est notre produit fini, et le produit ne pourrait être vendu plus cher.) 2. Conception et reformulation du produit Utilisation d’une autre matière que le Butoxyéthanol pour fabriquer le liquide lave-glace i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Notre recherche a démontré qu’il n’existe aucun autre produit chimique qui donne le même rendement que le Butoxyéthanol ou les Éthers glycoliques pour le liquide lave-glace. Rentabilité : non réalisable. Toutes les autres substances connues pouvant être utilisées sont plus dispendieuses. (Le liquide lave-glace est notre produit fini, et le produit ne pourrait être vendu plus cher.) 20 | P a g e 3. Modification de l’équipement ou des procédés Utilisation d’une balance numérique avec contrôle de pompage automatique i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 100 à 1000 kg (on estime que 1 % de l’utilisation peut être une erreur de l’opérateur quand la balance mécanique est utilisée.) ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée entre 100 et 1 000 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Rentabilité : non réalisable. Période de récupération anticipée : 21 ans 4. Prévention des déversements et des fuites i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Recochem a en place un programme de prévention des déversements et des fuites comprenant des inspections planifiées et des entretiens préventifs. Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 21 | P a g e 5. Réutilisation ou recyclage sur les lieux Réutilisation ou recyclage sur les lieux Cette activité est déjà pratiquée, tout le Butoxyéthanol (dans le liquide lave-glace) collecté en dehors du processus de remplissage normal (rinçage de la tuyauterie, reprises de production, déversements, etc.) est réutilisé dans la production. i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable, déjà réalisé. Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 6. Meilleure gestion de l’inventaire ou des techniques d’approvisionnement Une meilleure gestion de l’inventaire comprend un meilleur suivi des ajustements aux formulations i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Une meilleure précision de notre inventaire de matières premières serait la seule amélioration Rentabilité : réalisable. Aucun coût, aucun nouvel équipement requis. 22 | P a g e 7. Pratiques de formation ou de meilleure exploitation Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. Un déversement accidentel pourrait coûter cher à la compagnie. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable). Rentabilité : réalisable (déjà fait). La formation chez Recochem inc. est considérée comme extrêmement importante pour tous les employés manipulant des matières dangereuses. Recochem a développé un programme élaboré de formation qui traite de santé et de sécurité ainsi que de questions environnementales comme la prévention et la gestion des déversements. 23 | P a g e Liste des options déterminées comme étant techniquement réalisables : 9 9 9 9 9 Utiliser une balance numérique avec contrôle de pompage automatique. Faire la prévention des déversements et des fuites. Réutiliser ou recycler sur place. Gérer l’inventaire de façon plus précise, par ex. compter les matières premières. Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements. Liste des options déterminées comme étant techniquement et économiquement réalisables : 9 Prévention des déversements et des fuites De bonnes méthodes d’hygiène des lieux sont nécessaires pour prévenir les fuites et les déversements. Cette option est déjà en place et est maintenue grâce à des inspections régulières et des sessions de formation avec les employés. Cette option ne réduira pas la quantité de Butoxyéthanol contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Butoxyéthanol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Réutiliser ou recycler sur place Cette option est déjà en place, et la technologie nous permet de récupérer une quantité maximale de Butoxyéthanol. Les déchets générés par ce processus représentent moins de 0,01 pour cent, ce qui est acceptable. Cette option ne réduira pas la quantité de Butoxyéthanol contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Butoxyéthanol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Une meilleure gestion de l’inventaire comprend un meilleur suivi des ajustements aux formulations Cette option requiert plus de formation pour les employés. Cette option ne réduira pas la quantité de Butoxyéthanol contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Butoxyéthanol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements Cette option est déjà en place depuis plusieurs années. Le programme de formation se poursuit d’année en année pour nous assurer que les employés n’oublient pas et pour implanter des changements si nécessaire. Les déchets générés par ce processus ne pouvant être réutilisés représentent moins de 1/10e d’un pour cent, ce qui est acceptable. La formation déjà en place aide à prévenir les gros déversements qui pourraient avoir un impact négatif sur notre programme environnemental. Cette option ne réduira pas la quantité de Butoxyéthanol contenue dans le produit sortant de nos installations. La réduction de Butoxyéthanol contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 24 | P a g e Sept catégories pour réduire l’usage de substances toxiques (Nitrate de sodium) 1. Substitution de matière ou de produit de base Remplacer le Nitrate de sodium par un autre sel inorganique i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Le Nitrate de sodium est utilisé comme inhibiteur de corrosion dans les antigels pour moteurs diesel. La formulation du constructeur automobile FEO (Fabricant d’équipement d’origine - OEM) le spécifie. Il n’y a pas de produit chimique de remplacement direct disponible sur le marché. Rentabilité : non réalisable. Le Nitrate de sodium est très peu cher en comparaison à tout autre produit de remplacement potentiel. Vu que le constructeur automobile FEO le spécifie, le développement d’une substitution coûterait possiblement des centaines de milliers de dollars en recherche et en essais avant toute approbation par le FEO. Il n’y aurait aucune possibilité de récupération pour le remplacement du Nitrate de sodium. 2. Conception et reformulation du produit Utilisation d’une autre matière que le Nitrate de sodium comme inhibiteur de corrosion automobile i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Il existe déjà sur le marché des formulations d’antigel automobile sans Nitrate de sodium. Comme mentionné ci-dessus, le Nitrate de sodium est l’inhibiteur de corrosion prescrit dans l’antigel / liquide de refroidissement pour moteur diesel 25 | P a g e à cause de son efficacité à protéger les pièces en fonte. Cette formulation est requise par les constructeurs automobiles FEO. Rentabilité : non réalisable. Le Nitrate de sodium est très peu cher en comparaison à tout autre produit de remplacement potentiel. Vu que le constructeur automobile FEO le spécifie, le développement d’une substitution coûterait possiblement des centaines de milliers de dollars en recherche et en essais avant toute approbation par le FEO. Il n’y aurait aucune possibilité de récupération pour le remplacement du Nitrate de sodium. 3. Modification de l’équipement ou des procédés Utilisation d’une machine dont le sac se vide et équipée d’un aspirateur pour assurer qu’il ne reste aucun résidu de poudre dans le sac i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 à 100 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Rentabilité : non réalisable. Période de récupération anticipée : 160 ans 4. Prévention des déversements et des fuites i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Recochem a en place un programme de prévention des déversements et des fuites comprenant des inspections planifiées et des entretiens préventifs. Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 26 | P a g e 5. Réutilisation ou recyclage sur les lieux Réutilisation ou recyclage sur les lieux Cette activité est déjà pratiquée, tout le Nitrate de sodium (dans le liquide de refroidissement) collecté en dehors du processus de remplissage normal (rinçage de la tuyauterie, reprises de production, déversements, etc.) est réutilisé dans la production. i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable, déjà réalisé (aucun gain). Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 6. Meilleure gestion de l’inventaire ou des techniques d’approvisionnement Une meilleure gestion de l’inventaire comprend un meilleur suivi des ajustements aux formulations i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Une meilleure précision de notre inventaire de matières premières serait la seule amélioration Rentabilité : réalisable. Aucun coût, aucun nouvel équipement requis. 27 | P a g e 7. Pratiques de formation ou de meilleure exploitation Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. Un déversement accidentel pourrait coûter cher à la compagnie. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable (aucun gain). Rentabilité : réalisable (déjà fait). La formation chez Recochem inc. est considérée comme extrêmement importante pour tous les employés manipulant des matières dangereuses. Recochem a développé un programme élaboré de formation qui traite de santé et de sécurité ainsi que de questions environnementales comme la prévention et la gestion des déversements. 28 | P a g e Liste des options déterminées comme étant techniquement réalisables : 9 Utiliser une machine dont le sac se vide et qui est équipée d’un aspirateur pour assurer qu’il ne reste aucun résidu de poudre dans le sac 9 Faire la prévention des déversements et des fuites. 9 Réutiliser ou recycler sur place. 9 Gérer l’inventaire de façon plus précise, par ex. compter les matières premières. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements. Liste des options déterminées comme étant techniquement et économiquement réalisables : 9 Prévention des déversements et des fuites De bonnes méthodes d’hygiène des lieux sont nécessaires pour prévenir les fuites et les déversements. Cette option est déjà en place et est maintenue grâce à des inspections régulières et des sessions de formation avec les employés. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrate de sodium contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Nitrate de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Réutiliser ou recycler sur place Cette option est déjà en place, et la technologie nous permet de récupérer une quantité maximale de Nitrate de sodium. Les déchets générés par ce processus représentent moins de 0,01 pour cent, ce qui est acceptable. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrate de sodium contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Nitrate de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Une meilleure gestion de l’inventaire comprend un meilleur suivi des ajustements aux formulations Cette option requiert plus de formation pour les employés. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrate de sodium contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Nitrate de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements Cette option est déjà en place depuis plusieurs années. Le programme de formation se poursuit d’année en année pour nous assurer que les employés n’oublient pas et pour implanter des changements si nécessaire. Les déchets générés par ce processus ne pouvant être réutilisés représentent moins de 1/10e d’un pour cent, ce qui est acceptable. La formation déjà en place aide à prévenir les gros déversements qui pourraient avoir un impact négatif sur notre programme environnemental. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrate de sodium contenue dans le produit sortant de nos installations. La réduction de Nitrate de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 29 | P a g e Sept catégories pour réduire l’usage de substances toxiques (Nitrite de sodium) 1. Substitution de matière ou de produit de base Remplacer le Nitrite de sodium par un autre sel inorganique i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Le Nitrite de sodium est utilisé comme inhibiteur de corrosion dans les antigels pour moteurs diesel. La formulation du constructeur automobile FEO le spécifie. Il n’y a pas de produit chimique de remplacement direct disponible sur le marché. Rentabilité : non réalisable. Le Nitrite de sodium est très peu cher en comparaison à tout autre produit de remplacement potentiel. Vu que le constructeur automobile FEO le spécifie, le développement d’une substitution coûterait possiblement des centaines de milliers de dollars en recherche et en essais avant toute approbation par le FEO. Il n’y aurait aucune possibilité de récupération pour le remplacement du Nitrite de sodium. 2. Conception et reformulation du produit Utilisation d’une autre matière que le Nitrite de sodium comme inhibiteur de corrosion automobile i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 dans l’air, le sol ou l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenu dans le produit sortant des installations, est estimée entre 10 000 et 100 000 kg. Techniquement réalisable : non réalisable. Il existe déjà sur le marché des formulations d’antigel automobile sans Nitrite de sodium. Comme mentionné ci-dessus, le Nitrate de sodium est l’inhibiteur de corrosion prescrit dans l’antigel / liquide de refroidissement pour moteur diesel 30 | P a g e à cause de son efficacité à protéger les pièces en fonte. Cette formulation est requise par les constructeurs automobiles FEO. Rentabilité : non réalisable. Le Nitrite de sodium est très peu cher en comparaison à tout autre produit de remplacement potentiel. Vu que le constructeur automobile FEO le spécifie, le développement d’une substitution coûterait possiblement des centaines de milliers de dollars en recherche et en essais avant toute approbation par le FEO. Il n’y aurait aucune possibilité de récupération pour le remplacement du Nitrite de sodium. 3. Modification de l’équipement ou des procédés Utilisation d’une machine dont le sac se vide et équipée d’un aspirateur pour assurer qu’il ne reste aucun résidu de poudre dans le sac i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée entre 10 à 100 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Rentabilité : non réalisable. Période de récupération anticipée : 156 ans 4. Prévention des déversements et des fuites i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Recochem a en place un programme de prévention des déversements et des fuites comprenant des inspections planifiées et des entretiens préventifs. Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 31 | P a g e 5. Réutilisation ou recyclage sur les lieux Réutilisation ou recyclage sur les lieux Cette activité est déjà pratiquée, tout le Nitrite de sodium (dans le liquide de refroidissement) collecté en dehors du processus de remplissage normal (rinçage de la tuyauterie, reprises de production, déversements, etc.) est réutilisé dans la production. i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable, déjà réalisé. Rentabilité : réalisable, déjà réalisé, aucun coût puisque l’équipement est déjà utilisé. 6. Meilleure gestion de l’inventaire ou des techniques d’approvisionnement Une meilleure gestion de l’inventaire comprend un meilleur suivi des ajustements aux formulations i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable. Une meilleure précision de notre inventaire de matières premières serait la seule amélioration Rentabilité : réalisable. Aucun coût, aucun nouvel équipement requis. 32 | P a g e 7. Pratiques de formation ou de meilleure exploitation Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements i. La réduction de la quantité de substance utilisée, si la substance est utilisée dans les installations, est estimée à 0 kg. ii. La réduction de la quantité de substance créée, si la substance est créée dans les installations, est estimée à : sans objet. iii. La réduction des décharges de substance dans l’air, au sol ou dans l’eau, si la substance est déchargée dans l’air, au sol ou dans l’eau, est estimée à 0 kg dans l’air, le sol et l’eau. Un déversement accidentel pourrait coûter cher à la compagnie. iv. La réduction de la quantité de substance contenue dans un produit sortant des installations, si la substance est une substance de l’Inventaire national des rejets de polluants autre qu’une substance identifiée comme un contaminant atmosphérique principal ou composé organique volatil dans l’avis de l’INRP et est contenue dans le produit sortant des installations, est estimée à 0 kg. Techniquement réalisable : réalisable (aucun gain). Rentabilité : réalisable (déjà fait). La formation chez Recochem inc. est considérée comme extrêmement importante pour tous les employés manipulant des matières dangereuses. Recochem a développé un programme élaboré de formation qui traite de santé et de sécurité ainsi que de questions environnementales comme la prévention et la gestion des déversements. 33 | P a g e Liste des options déterminées comme étant techniquement réalisables : 9 Utiliser une machine dont le sac se vide et qui est équipée d’un aspirateur pour assurer qu’il ne reste aucun résidu de poudre dans le sac 9 Faire la prévention des déversements et des fuites. 9 Réutiliser ou recycler sur place. 9 Gérer l’inventaire de façon plus précise, par ex. compter les matières premières. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements. Liste des options déterminées comme étant techniquement et économiquement réalisables : 9 Prévention des déversements et des fuites De bonnes méthodes d’hygiène des lieux sont nécessaires pour prévenir les fuites et les déversements. Cette option est déjà en place et est maintenue grâce à des inspections régulières et des sessions de formation avec les employés. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrite de sodium contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Nitrite de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Réutiliser ou recycler sur place Cette option est déjà en place, et la technologie nous permet de récupérer une quantité maximale de Nitrite de sodium. Les déchets générés par ce processus représentent moins de 0,01 pour cent, ce qui est acceptable. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrite de sodium contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Nitrite de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Une meilleure gestion de l’inventaire comprend un meilleur suivi des ajustements aux formulations Cette option requiert plus de formation pour les employés. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrite de sodium contenue dans le produit sortant des installations. La réduction de Nitrite de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 9 Revoir la formation des employés des Mélanges et de la Production en insistant sur la prévention des déversements Cette option est déjà en place depuis plusieurs années. Le programme de formation se poursuit d’année en année pour nous assurer que les employés n’oublient pas et pour implanter des changements si nécessaire. Les déchets générés par ce processus ne pouvant être réutilisés représentent moins de 1/10e d’un pour cent, ce qui est acceptable. La formation déjà en place aide à prévenir les gros déversements qui pourraient avoir un impact négatif sur notre programme environnemental. Cette option ne réduira pas la quantité de Nitrite de sodium contenue dans le produit sortant de nos installations. La réduction de Nitrite de sodium contenu dans le produit sortant de nos installations n’est pas une option considérée dans notre plan. 34 | P a g e Renseignements sur les installations : Installations Substance identifiée en vertu du Plan de réduction de substances toxiques Numéro de registre C.A.S. Personne ressource Employé de plus haut rang Numéro de licence du planificateur de réduction de substances toxiques concernant la section 18.2 Numéro de licence du planificateur de réduction de substances toxiques concernant la section 19.1 Coordonnées spatiales des installations selon l’UTM Compagnie mère canadienne Adresse de la compagnie mère 35 | P a g e Recochem inc. 8725 Holgate Crescent, Milton, Ontario L9T 5G7 905 878-5544 Éthylène glycol, Butoxyéthanol, Nitrate de sodium, Nitrite de sodium Éthylène glycol (107-21-1), Butoxyéthanol (111-76-2), Nitrate de sodium (7631-99-4) et Nitrite de sodium (7632-00-0) Robin Le Sage, directeur, Conformité et information technique, 905-878-5544 Directeur général, 905 878-5544 Jim Anderson, M.Ing., ing., TSRP0127 Jim Anderson, M.Ing., ing., TSRP0127 Zone : 17 Est : 587 990 Nord : 4 821 311 Recochem inc. 850, montée de Liesse, Montréal, Québec H4T 1P4 Énoncés du Plan de réduction de substances toxiques : Substances incluses dans les plans des installations Énoncé de l’intention de réduire Objectifs du Plan Énoncé sommaire du Plan Objectifs de réduction Description de la substance Option à mettre en place pour réduire la substance toxique Recommandations et analyse raisonnée du planificateur Éthylène glycol (107-21-1), Butoxyéthanol (111-76-2), Nitrate de sodium (7631-99-4) et Nitrite de sodium (7632-00-0) Recochem inc. n’a pas l’intention de réduire son usage d’Éthylène glycol, de Butoxyéthanol, de Nitrate de sodium et de Nitrite de sodium; une réduction représenterait une contrainte pour notre production. Recochem inc. n’a pas l’intention de réduire son usage d’Éthylène glycol, de Butoxyéthanol, de Nitrate de sodium et de Nitrite de sodium. Cet énoncé sommaire reflète précisément le contenu du plan de réduction de substance toxique pour l’Éthylène glycol, le Butoxyéthanol, le Nitrate de sodium et le Nitrite de sodium, préparé par Recochem inc. pour ses installations de Milton, Ontario, Canada en date du 30 mars 2013. Recochem inc. n’a pas l’intention de réduire son usage d’Éthylène glycol, de Butoxyéthanol, de Nitrate de sodium et de Nitrite de sodium. L’Éthylène glycol, le Nitrate de sodium et le Nitrite de sodium sont utilisés dans la production de l’antigel / liquide de refroidissement automobile. Le Butoxyéthanol est utilisé dans la production de liquide lave-glace formulé par Recochem inc. None Ébauche du Plan : • • • • • • 36 | P a g e La comptabilisation des articles et l’approche sont raisonnables pour le bilan massique. Après avoir détaillé sept catégories de réductions, il faut démontrer (a) leur faisabilité technique, (b) si techniquement réalisable, leur rentabilité. Résumer la quantité réelle de réduction en matière d’utilisation, d’émission, de contenu dans le produit de ces sept articles. (L’ébauche du document montre des pourcentages principalement pour l’utilisation et l’émission, et devrait remonter aux quantités comptabilisées. Si techniquement réalisable, et la rentabilité est vérifiée, vous devez fournir des chiffres comme les coûts réels des matières substituts, les coûts du nouvel équipement, les coûts de formation du personnel, etc. Une analyse économique doit fournir une analyse de la récupération. Avez-vous déjà considéré l’air comprimé pour nettoyer la tuyauterie, ou rincer la tuyauterie et réutiliser cette matière? Énoncés de certification à préparer pour l’Éthylène glycol, le Butoxyéthanol, le Nitrate de sodium et le Nitrite de sodium : besoin d’énoncés sommaires du plan, énoncés d’intention, objectifs de réduction, option de réduction de substances toxiques à mettre en place. Plan final : • Énoncés de certification à préparer pour l’Éthylène glycol, le Butoxyéthanol, le Nitrate de sodium et le Nitrite de sodium : besoin d’énoncés sommaires du plan, énoncés d’intention, objectifs de réduction, option de réduction de substances toxiques à mettre en place. 37 | P a g e Position de Recochem inc. sur le Plan de réduction de substances toxiques Recochem apprécie les efforts du ministère de l’Environnement pour informer et guider les entreprises de l’Ontario dans leurs efforts pour réduire leur utilisation et leurs émissions des produits toxiques ciblés. Dans le cas de l’Éthylène glycol (No CAS 107-21-1), du Butoxyéthanol (No CAS 111-76-2), du Nitrate de sodium (No CAS 7631-99-4) et du Nitrite de sodium (No CAS 7632-00-0), Recochem manipule et utilise ces produits chimiques comme matière première principale, et, comme telle, n’a pas l’intention de réduire son volume annuel. Recochem a accumulé 60 années d’expérience dans la manipulation sécuritaire des substances susmentionnées pour la sécurité de ses employés et de l’environnement. Après avoir enquêté des options potentielles à ces substances, il a été déterminé que nos coûts directs et indirects demeureraient les mêmes vu que toutes les alternatives disponibles ne changeraient pas nos exigences en matière d’infrastructure, d’entretien, d’aspect réglementaire et de santé et sécurité qui demeureraient plus ou moins les mêmes. De plus, les autres possibilités enquêtées sont plus dispendieuses et dans certains cas, moins efficaces ou inexistantes. Par conséquent, Recochem n’apportera aucun changement à ses processus dans un avenir rapproché, mais continuera d’étudier les nouvelles matières premières et les nouveaux processus en développement et qui pourraient améliorer nos processus et profiter à l’environnement avec un minimum de compromis en matière de qualité, d’efficacité et de sécurité offertes par notre produit. 39 | P a g e