Sur le podium au fil du temps : Barbie et la mode
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Sur le podium au fil du temps : Barbie et la mode
Le Musée de la Maison de Poupée de Bâle présente : Sur le podium au fil du temps : Barbie® et la mode Du 21 octobre 2006 au 9 avril 2007 L’exposition temporaire du Musée de la Maison de Poupée de Bâle présente plus de 200 poupées Barbie habillées par l’artiste parisienne Claude Brabant. Avec ses costumes faits à la main, fidèles aux originaux dans les moindres détails, elle transforme la célèbre Barbie en extraordinaire poupée de mode. L’exposition donne un aperçu des différentes époques de la mode : de l’âge de pierre, en passant par Madame de Pompadour, jusqu’aux robes de mariées de célébrités du XXe siècle et aux toutes dernières tendances d’aujourd’hui. La présentation rend hommage à la haute couture et au prêt-à-porter. Certaines poupées Barbie portent des modèles de créateurs bâlois renommés : tailleurs et robes de soirée de Fred Spillmann, « couture-à-porter » de sa nièce Daniela Spillmann et créations du grand couturier Raphael Blechschmidt. En vedette à l’exposition : deux modèles originaux des toutes dernières collections de Daniela Spillmann et de Raphael Blechschmidt, ainsi que deux robes originales de Fred Spillmann et leur copie miniature portée par Barbie. Avec Barbie pour mannequin, le Musée illustre de façon expressive le développement de la mode féminine au fil des âges. Depuis que l’homme est sur terre, les vêtements ont toujours joué un rôle important. Il y a plus d’un million d’années, les hommes préhistoriques en portaient déjà. Conçus d’abord pour protéger des rigueurs du climat, ils sont devenus avec le temps des ornements qui reflètent l’esprit de leur époque : ainsi, suivant l’évolution de la position de la femme dans la société, on voit aussi ses vêtements changer. L’expression « mode » vient du latin « modus ». La mode inclut les vêtements, la coiffure et les accessoires. Elle correspond au goût dominant de son temps. Au Moyen Âge, la mode exprime l’appartenance à une catégorie sociale. Elle suit des prescriptions très strictes. Certaines couleurs ne peuvent être portées que par certaines classes ou castes. Aujourd’hui encore, ce genre d’ordonnances vestimentaires est toujours en vigueur dans certaines religions et régions. Toutefois, la mode contemporaine est avant tout un moyen de personnalisation et l’expression d’un style de vie. Madame Claude Brabant, une artiste exceptionnelle Claude Brabant vit et travaille à Paris. C’est depuis 1980 qu’elle s’intéresse aux poupées. Elle commence ainsi par créer des poupées en tissu. Au début des années 90, elle achète une Barbie aux Galeries Lafayette – c’est la naissance d’une grande passion : madame Brabant entreprend de dessiner ses propres vêtements pour Barbie. Comme elle s’est toujours beaucoup intéressée à la mode et à l’histoire de la mode, elle copie les vêtements de personnages célèbres en s’appuyant sur des peintures à l’huile, des livres d’art et des visites dans les musées. Elle fait des découvertes au Louvre et surtout à l’Albert Museum de Londres où elle peut acquérir des patrons de robes anciennes. Créer un vêtement nécessite d’innombrables recherches préalables et beaucoup de préparation. Il est extrêmement difficile de trouver à chaque fois l’étoffe adaptée. La plupart du temps, les motifs sont beaucoup trop grands pour une poupée Barbie. C’est pourquoi nombre d’entre eux doivent être brodés à la main sur le tissu. Madame Brabant confectionne d’abord un modèle fidèle à l’original dans une étoffe ordinaire qu’elle coud et essaie sur sa Barbie. Si le vêtement sied parfaitement, elle le découd afin de l’utiliser comme patron pour le vêtement définitif créé dans un tissu recherché. Madame Brabant attache une grande importance aux moindres détails. Elle n’utilise que les matériaux les plus nobles : fils d’or, fourrure d’hermine et soie précieuse. Elle fabrique à la main tous les accessoires, comme les chaussures, sacs et bijoux. La plupart des différentes pièces de vêtement sont également cousues à la main. Enfin, la coiffure est réalisée avec une grande minutie en fonction de l’époque correspondante. Mais ce n’est pas tout : pour pouvoir confectionner les chapeaux compliqués des diverses époques, madame Brabant a suivi un cours professionnel. Créer un modèle de vêtements pour Barbie exige jusqu’à 100 heures de travail. Au fil des années, madame Brabant s’est vu décerner plusieurs prix pour ses créations extraordinaires, à l’occasion d’expositions de poupées de mode. L’exposition temporaire permet de suivre le changement complet de Barbie suivant l’esprit du temps – bien qu’il s’agisse toujours de la même poupée. Les créateurs de mode bâlois et Barbie Comme on trouve aussi parmi les 200 poupées Barbie de Madame Brabant quelques modèles (à partir de 1910 env.) de célèbres couturiers français comme Dior, Chanel ou Courrèges, l’idée est née de demander à des créateurs bâlois connus d’habiller Barbie. Grâce à la généreuse collaboration de Daniela Spillmann et de Raphael Blechschmidt, l’exposition présente quelques poupées Barbie portant des modèles de leurs toutes dernières collections. On peut également admirer plusieurs créations de Fred Spillmann (1915–1986), célèbre créateur et enfant terrible de Bâle. Ce fameux excentrique habillait dans les salons de sa maison am Rheinsprung des personnalités de renom venues du monde entier. Marlene Dietrich et Grace Kelly ont fait partie de sa clientèle. C’est lui qui a créé pour Joséphine Baker le légendaire costume en plumes. Il est décédé en 1986, à l’âge de 71 ans, peu avant son 100e défilé de mode. Vingt ans après sa mort, il reste inoubliable. Il y a dix ans, Daniela Spillmann, nièce de Fred Spillmann, se lance dans la mode. Depuis trois ans, elle présente deux fois par an am Rheinsprung ses collections de « couture-à-porter ». Pour ces créations, Daniela Spillmann travaille des tissus haut de gamme ; le résultat est de la haute couture à porter. Elle dessine pour la femme d’aujourd’hui des vêtements d’une élégance raffinée, sans fioritures, d’un grand confort et d’une remarquable finition. Le credo de Raphael Blechschmidt a toujours été clair : la mode doit être élégante et portable. Avec ses deux collections annuelles, il présente à son domicile de la Bäumleingasse des vêtements qui se distinguent par leur coupe sobre et leurs tissus choisis, souvent créés spécialement pour lui. Raphael Blechschmidt attache une importance toute particulière aux lignes du col, à la découpe des manches et des décolletés. Chaque pièce est fabriquée à la main, exclusivement en Suisse. Concours et ateliers En collaboration avec Mattel Suisse, un concours est organisé pendant l’exposition, ainsi que des ateliers pour les enfants. Les garçons et les filles reçoivent une poupée Barbie gratuite pour laquelle ils créent leurs propres vêtements, sous la direction de spécialistes. A l’issue de l’atelier, ils peuvent emporter poupée et vêtements. Tout ce qu'il leur faut, c’est un peu de patience. Dates des ateliers, de 14 h 00 à 18 h 00 Samedi 04.11.06 et dimanche 05.11.06 Samedi 18.11.06 et dimanche 19.11.06 Samedi 09.12.06 et dimanche 10.12.06 Samedi 16.12.06 et dimanche 17.12.06 Samedi 06.01.07 et dimanche 07.01.07 Samedi 13.01.07 et dimanche 14.01.07 Samedi 27.01.07 et dimanche 28.01.07 Samedi 10.02.07 et dimanche 11.02.07 Samedi 10.03.07 et dimanche 11.03.07 Samedi 24.03.07 et dimanche 25.03.07 Samedi 31.03.07 et dimanche 01.04.07 « Qui crée le plus beau vêtement pour Barbie ? » Tel est le titre du concours organisé dans 2 catégories pendant l’exposition temporaire. Catégorie A : enfants jusqu’à 12 ans, catégorie B : adultes et enfants à partir de 13 ans. Les participants ont une double chance de gagner, car le jury est composé d’une part par les visiteurs du Musée de la Maison de Poupée et d’autre part par des professionnels de la mode. Dans les deux catégories, des prix attractifs attendent les gagnants. Chaque participant/e peut conserver la poupée Barbie mise à sa disposition et reçoit en plus un lot de consolation. Les formulaires de participation au concours sont disponibles au Musée de la Maison de Poupée, Barfüsserplatz. Horaires d’ouverture Musée, boutique et café : tous les jours de 10 à 18 heures Entrée CHF 7.–/ CHF 5.– Gratuit pour les enfants jusqu’à 16 ans, s’ils sont accompagnés par des adultes. Pas de supplément pour l’exposition temporaire. L’ensemble du bâtiment est accessible en fauteuil roulant. Musée de la Maison de Poupée de Bâle Steinenvorstadt 1 4051 Bâle Téléphone +41 (0)61 225 95 95 Fax +41 (0)61 225 95 96 www.puppenhausmuseum.ch Barbie® – l’histoire d’une légende « Lilli », l’ancêtre de Barbie Les poupées de mode et les poupées à habiller possèdent une longue tradition. Elles existent déjà au Moyen Âge, longtemps avant Barbie. Mais aucune n’a jamais polarisé autant l’attention que la petite blonde venue d’Amérique. Or, Barbie a des racines en Allemagne. C’est le caricaturiste Reinhard Beuthin qui esquisse le 24 juin 1952, dans une colonne encore vide du Bild-Zeitung, une femme correspondant à l’idéal masculin de la jolie garce lascive : formes épanouies, très longues jambes, queue de cheval, talons aiguilles et minijupe (10 ans avant l’apparition effective de celle-ci). Cette femme, très appréciée des lecteurs, apparaît désormais tous les jours dans le journal, accompagnée d’un texte piquant. C’est la naissance du personnage de « Lilli ». Lilli ne tarde pas à connaître un tel succès que d’astucieux stratèges en marketing décident d’exploiter son potentiel et de lui donner une dimension nouvelle. Dès 1955 est créée « l’ancêtre » de Barbie : sous contrat avec la société Hausser Elastolin de NeustadtCoburg, le modéliste Max Weisbrodt dessine la poupée Lilli et Martha Maar, la belle-mère de Rolf Hausser, se charge de ses vêtements. Le 12 août 1955, l’affaire est lancée. La poupée Lilli est disponible sur le marché allemand au prix de DM 19.90. A l’origine, elle mesure 30 cm, par la suite elle existera aussi dans une version de 18 cm. « Bild-Lilli » est posée sur un socle portant le logo rouge du Bild-Zeitung ou l’inscription « Bild-Lilli ». Son corps est en plastique légèrement transparent. Chaque Lilli dispose déjà d’une garde-robe très complète, proposée dans une boîte cylindrique. Mais les vêtements ne sont pas encore vendus séparément. Chaque poupée arbore également le Bild-Zeitung en miniature. On vend d’abord Lilli dans les magasins d’articles pour fumeurs, car elle est considérée comme une petite mascotte tentatrice pour les adultes. Elle n’est disponible que plus tard dans les magasins de jouets. La naissance de Barbie C’est en 1958 que Ruth Handler découvre dans une vitrine de Lucerne l’une de ces poupées Lilli à laquelle elle offrira une « nouvelle naissance » en tant que Barbie à la foire des jouets de New York en mars 1959. Dans un atelier-garage du sud de la Californie, Ruth et Elliot Handler fondent en 1945 avec Harold Mattson une nouvelle firme du nom de « Mattel », acronyme de Mattson (MATT) et Elliot (EL). Les premiers produits sont des cadres. Mais Elliot développe parallèlement une autre activité. Avec des chutes de cadres, il fabrique des meubles de poupées. Devant leur immense succès, l’entreprise se réoriente vers la production de jouets. Elliot Handler ne tarde pas à racheter ses parts à Mattson. Ruth Handler remarque avec quelle passion sa fille joue avec des poupées découpées dans du papier : elle ne se lasse pas de les habiller et les déshabiller. Ruth envisage alors de créer une poupée à habiller en trois dimensions qui permettrait aux petites filles de donner libre cours à leur imagination en imitant le monde des adultes. Lorsqu’elle voit la poupée Lilli à Lucerne, lors de son voyage en Europe, elle sait tout de suite à quoi va ressembler sa poupée. Elle s’occupe aussitôt d’acquérir les droits dont elle obtient l’intégralité à l’issue d’un an de négociations acharnées. A présent, il s’agit d’adapter Lilli au marché américain et avant tout de lui trouver un nom. C’est vite fait. Ruth Handler choisit en effet le diminutif de sa propre fille Barbara Joyce : Barbie. Mais le travail des modèles en vinyle pose de sérieux de problèmes. Il faut effectuer de coûteux voyages au Japon où la poupée doit être produite pour le marché américain. La première Barbie est finalement fabriquée par Pony Ltd. sous la direction de Mr. Yamasaky. L’histoire de « Lilli » s’achève et la carrière de « Barbie » commence. Barbie, la poupée de mode à habiller « Barbie » fait ses débuts officiels sur le marché américain le 9 mars 1959 à la foire des jouets de New York. Sous le numéro de série 850, elle est présentée comme un « teen age fashion model ». Barbie mesure 29,5 cm. Disponible en version blonde et brune, elle porte le maillot de bain à rayures noires et blanches, les lunettes de soleil et les chaussures légendaires qui vont la rendre célèbre. On trouve gravé sur son dos: Barbie ™ Pats.Pend MCMLVIII By Mattel Inc. Dans l’emballage de vente, une brochure présente la garde-robe de Barbie pour tenter l’acheteur. La Barbie blonde ne tarde pas à devenir la favorite incontestée. Comme « Lilli », « Barbie » est une poupée à habiller à la silhouette épanouie. Le succès inouï de Barbie (plus de 350 000 exemplaires vendus dès la première année) surprend les responsables de Mattel eux-mêmes. Barbie assure à la firme une position de leader dans la branche des jouets et enthousiasme des générations de petites filles. Ruth Handler développe une stratégie tout à fait astucieuse pour Barbie. Conformément à son credo, Barbie doit préparer les petites filles de façon ludique à leur future vie d’adulte. En 1961 apparaît Ken, le meilleur ami de Barbie. Cette poupée à habiller est baptisée du nom du fils de Ruth et Elliot Handler, elle a des cheveux bruns et porte ses propres collections de mode. Bientôt, Barbie et Ken sont rejoints par leur amie « Midge » (1963) et la sœur de Barbie « Skipper » (1965). La poupée afro-américaine « Christie » est la première à représenter un autre groupe ethnique dans la gamme de Mattel. Elle est suivie de « Theresa » (1968) et de « Kira » (1990), les amies latino-américaine et asiatique de Barbie. Lorsque la firme Mattel décide en 1964 de lancer Barbie en Europe, elle choisit d’abord l’Allemagne pour établir sa première filiale. Année après année, les designers de Mattel dessinent près de 150 articles de confection, chaussures incluses, pour le corps de rêve de Barbie. Mais des couturiers de renom comme Oscar de la Renta et de célèbres maisons comme Dior, pour ne citer qu’eux, n’ont pas manqué de créer des modèles pour Barbie. De grands bijoutiers eux-mêmes lui ont consacré des créations. En 2001, Barbie devient une star de cinéma. Elle est la vedette du premier film « Barbie: cassenoisettes ». Ce film d’animation, entièrement réalisé par ordinateur, a la durée d’un film standard. La première TV a lieu en novembre 2001. Comment imaginer aujourd’hui une chambre d’enfant sans Barbie ? Grâce à ses vêtements et à la couleur de sa peau, elle est parfaitement assimilée dans plus de 45 pays. Elle est devenue un culte et un mythe. Adorée par des millions de petites filles, Barbie est aussi un objet de collection convoité et une source d’inspiration pour les créateurs de mode, les cinéastes et les stars de la pop. En tant qu’objet convoité, une Barbie originale de 1959, dans un parfait état et dans sa boîte d’origine, peut aujourd’hui se vendre à plus de 4 500 euros. Lorsque la génération qui a joué avec les premières poupées Barbie devient adulte dans les années 80, Barbie a d’un seul coup une foule de grands admirateurs, toujours prêts à faire collection. Conscient du potentiel de ce marché, Mattel lance en 1986 la Blue Rhapsody, la première Barbie en porcelaine. Une beauté intemporelle Bien qu’elle reste au fond toujours la même, Barbie se développe au fil des années pour s’adapter aux modes nouvelles. Tous les sept ans environ, son visage est redessiné pour répondre aux nouveaux canons. Au début, la poupée était rigide, aujourd’hui elle est de plus en plus flexible. Elle ferme et ouvre les yeux, plie les genoux et peut même parler. Avec le temps, son statut social aussi évolue. Ainsi, depuis les années 80, Barbie fait plus sérieusement carrière. Elle a été entre autres mannequin, ballerine, infirmière, médecin, hôtesse de l’air, astronaute, créatrice de mode, professeur d’université, chirurgienne, athlète olympique et même pilote de jet de combat. Influencée par la mode, la musique et le cinéma, comme par la politique et le sport, Barbie reflète toujours l’esprit du temps et témoigne du style de vie et des préoccupations de générations entières. Sans cesse à la pointe des dernières tendances, la Barbie des années 90 joue sur tous les registres du design et du sport fun. Quelques faits et chiffres qui témoignent du succès de la poupée Barbie - Déjà en 1959, il a été vendu 351 000 Barbie au prix de $ 3.00. - De 1959 à nos jours, il a été vendu plus d’un milliard de Barbie (amis et membres de sa famille inclus). Il est vendu chaque seconde deux Barbie dans le monde. - Il a été fabriqué et vendu jusqu’ici plus d’un milliard de vêtements et de chaussures pour Barbie. - Barbie est vendue dans plus de 150 pays au monde. - Chaque année, on dessine et vend 150 nouveaux vêtements de mode pour Barbie. - Barbie possède la plus grande collection de chaussures du monde – plus d’un milliard de paires. - Les petites Américaines entre trois et dix ans possèdent en moyenne huit Barbie. - Les petites Italiennes possèdent en moyenne sept Barbie, les petites Françaises et les petites Allemandes cinq. - Pour les vêtements de Barbie, on a travaillé jusqu’à nos jours plus d’un million de mètres de tissu. Mattel est à ce titre l’un des plus grands fabricants de vêtements du monde. - Année après année, on dessine une bonne centaine de Barbie, amis et membres de sa famille inclus, et nombre de produits spéciaux. - Jusqu’à aujourd’hui, Barbie a fait l’objet de plus de 500 retouches. Les traits de son visage ont changé à de nombreuses reprises. C’est en 1998 qu’elle a été commercialisée pour la première fois avec un nouveau look et un nouveau visage. - Le monde animal de Barbie compte des chiens, des chevaux, des poneys, des chats, un perroquet, un chimpanzé, un panda, un lionceau, un dauphin, une girafe et un zèbre. Elle possède en tout une quarantaine d’animaux. - Le parc des véhicules de Barbie comporte divers cabriolets, des tout-terrains, des berlines, des calèches, des traîneaux, des scooters, un beachmobil et toujours le tout dernier mobile home et le plus récent VTT. - Dans le cadre de la série « Dolls of the World », Barbie incarne jusqu’à présent plus de 45 nations.