Avis Technique non valide

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Avis Technique non valide
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
Composite coating for pools
and pool decks
Komposit-beschichtung für
pool und poolstrand
KHIRAL – Bassins et
plages
Titulaire :
Société SPPM
27-29 rue Raffet
FR-75016 PARIS
ue
Revêtement composite
pour bassin et plage de
piscine
no
nv
ali
de
Avis Technique 12/12-1607
Av
is
Te
ch
niq
Tél. : 01.40.09.70.15
Fax : 01.45.25.81.34
E-mail : [email protected]
Internet : www.sppm.fr
Commission chargée de formuler des Avis Techniques
(arrêté du 21 mars 2012)
Groupe Spécialisé n° 12
Revêtements de sol et produits connexes
Vu pour enregistrement le 10 juillet 2012
Secrétariat de la commission des Avis Techniques
CSTB, 84 avenue Jean Jaurès, Champs sur Marne, FR-77447 Marne la Vallée Cedex 2
Tél. : 01 64 68 82 82 - Fax : 01 60 05 70 37 - Internet : www.cstb.fr
Les Avis Techniques sont publiés par le Secrétariat des Avis Techniques, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB (http://www.cstb.fr)
 CSTB 2012
Le Groupe Spécialisé n° 12 « Revêtements de sol et Produits Connexes » de la
Commission chargée des Avis Techniques a examiné, le 8 mars 2012, le revêtement
composite pour bassins et plages de piscines KHIRAL – Bassins et Plages présenté
par la Société SPPM. Il a formulé sur ce procédé l’Avis Technique ci-après. Cet Avis
a été formulé pour les utilisations en France Européenne.
1.
Définition succincte
2.22
Durabilité-Entretien
Revêtement composé de verre ADVANTEX, silice et résine époxy,
visant les deux fonctions étanchéité et revêtement de sol en bassin et
plages de piscine tel que conçu et décrit au Dossier Technique.
Dans le domaine d’emploi défini au § 2 du Dossier Technique et dans
le respect des conditions d’entretien décrites aux § 23 et 24 et
d’hivernage rappelés au § 20, la durabilité du revêtement composite
KHIRAL peut être appréciée comme satisfaisante.
2.
Elle est toutefois subordonnée :
2.1
AVIS
Domaine d’emploi accepté
Il est identique au domaine d’emploi proposé au § 2 du Dossier
Technique.
Ainsi, sont visés :
 Les travaux neufs et de rénovation,
 Les bassins et plages de piscines situées en intérieur (terre plein ou
plancher intermédiaire),
 Les bassins et plages (sur terre plein uniquement) de piscines
situées en extérieur (toiture exclue) en climat de plaine,
 Les bassins dont l’eau est traitée au chlore,
 Les bassins dont l’eau est chauffée jusqu’à 40 °C ou avec eau de
mer.
Sont exclus :
 Les bassins et plages de piscines situées en extérieur en climat de
montagne,
 Les bassins et plages de piscines situées sur des toitures,
 Les plages de piscines sur galeries techniques en extérieur,
 Les bassins dont l’eau est traitée à l’ozone ou au brome.
Dans le cadre de ce domaine d’emploi, le procédé KHIRAL-Bassins et
Plages assure la double fonction étanchéité du support et revêtement
de sol, des zones de bassins, plages attenantes au bassin,
pataugeoires, pédiluves, goulottes, bacs tampons, margelles, escaliers
immergés…
2.2
2.21
Appréciation sur le procédé
Satisfaction aux lois et règlements en vigueur
et autres qualités d’aptitude à l’emploi
Réaction au feu
Les systèmes revendiqués ont fait l’objet de rapports de classement
européen de réaction au feu selon la norme NF EN 13501-1. Les
classements de réaction au feu obtenus sont les suivants : Bfl S1 pour
les systèmes KB1 (RA12-0084), KP1 (RA12-0084) et KP2
(RA12-0083).
Données environnementales et sanitaires
Il n’existe pas de FDES pour ce procédé. Il est rappelé que les FDES
n’entrent pas dans le champ d’examen d’aptitude à l’emploi du
procédé.
Prévention des accidents, maîtrise des accidents et
maîtrise des risques lors de la mise en œuvre et de
l’entretien
Les produits définis au § 4 du Dossier Technique disposent d’une Fiche
de Données de Sécurité (FDS). L’objet de la FDS est d’informer
l’utilisateur de ce produit sur les dangers liés à son utilisation et sur les
mesures préventives à adopter pour les éviter, notamment par le port
d’équipements de protection individuelle (EPI).
Glissance
Les systèmes ont fait l’objet d’essais de type réalisés au plan incliné
avec opérateurs pieds nus selon le référentiel de la norme XP P05-011
et à l’aide du dispositif FSC 2000.
Etanchéité
Compte tenu des résultats d’essais de laboratoire et des dispositions
de mise en œuvre retenues dans le Dossier Technique établi par le
demandeur, notamment pour ce qui concerne le traitement des points
singuliers et l’entretien, on peut estimer que l’étanchéité de l’ouvrage
final pourra être assurée normalement dans le temps.
 à une surveillance régulière visant à repérer d’éventuelles amorces
de dégradation localisées pouvant apparaître en cours d’usage, en
particulier au niveau des points singuliers ;
 à la rapidité
faiblesses ;
d’intervention
afin
de
réparer
ces
éventuelles
 à un bon niveau d’entretien.
La Société SPPM s’engage à remettre une notice d’entretien au Maître
d’ouvrage et de lui apporter son assistance technique pour l’entretien
en cas de demande.
Il appartient au Maître d’ouvrage et à l’exploitant de veiller à ce que la
fréquence minimale d’entretien préconisée (cf. § 23.31) soit respectée.
Dans le cas où l’entretien des voiles est prévu être réalisé au jet sous
pression, il appartient au Maître d’ouvrage et à l’exploitant de veiller à
ce que la pression maximale requise ne soit pas dépassée.
2.23
Fabrication
L’efficacité de l’autocontrôle du fabricant est satisfaisante.
2.24
Mise en œuvre
La reconnaissance et la préparation des supports ainsi que la
préparation et l’application des mélanges sont exclusivement réalisées
par des entreprises agréées par la Société SPPM au sens du § 7 du
Dossier Technique.
Dans le cas de travaux en extérieur, l’entreprise devra s’assurer que
les conditions sont réunies pour pouvoir utiliser les produits, et du
respect de la durée pratique d’utilisation qui résulte de la température
réelle rencontrée.
2.3
2.31
Cahier des Prescriptions Techniques
Exigences relatives aux supports
Ce type d’ouvrage fait l’objet de diverses exigences spécifiques
mentionnées au Dossier Technique, notamment en termes de cohésion
du support et d’adhérence du revêtement existant ; celles-ci doivent
être spécifiées dans les DPM.
La description des pentes en bassin est à la charge du lot gros-œuvre
et devra être spécifiée dans les DPM.
La description des pentes en plage doit être définie par le Maître
d’œuvre et spécifiée dans les DPM. Les plans doivent être remis à
l’entreprise de mise en œuvre du procédé KHIRAL.
Les pentes ainsi définies dans les DPM doivent être vérifiées à l’aide
d’un dispositif adapté avant application du revêtement.
En cas de présence de fissures dans le support de largeur supérieure à
1 mm ou de fissure avec désaffleur, une étude devra être réalisée par
un bureau d’étude spécialisé.
2.32
Glissance
Les DPM doivent prévoir les zones où une résistance à la glissance est
spécifiée ainsi que l’exigence requise par exemple par référence à la
norme NF EN 13541-1 et au tableau du § B.1.
Les contrôles réalisés en zone plane et en bajoyer, à la réception de
l’ouvrage fini, permettent d’assurer l’obtention du niveau de glissance
défini dans les DPM.
Un suivi périodique de cette caractéristique devra être défini et mis en
place par le Maître d’ouvrage et l’exploitant afin de répondre à
l’exigence d’entretien régulier et de réfection spécifiée au § 17 du
Dossier Technique.
2.33
Traitement des points singuliers
Le Maître d’ouvrage devra définir, dans le cadre d’une étude préalable,
les modes de raccordement aux accessoires concernés.
Le respect des dispositions décrites dans le Dossier Technique
nécessite le recours aux accessoires de raccordement correspondants.
Pour les évacuations situées en plage, le choix entre siphon ou
caniveau à fente doit être défini par le Maître d’œuvre et spécifié dans
les DPM.
2
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
2.34
Assistance Technique
La Société SPPM est tenue d’apporter son assistance technique sur
chantier à l’entreprise de mise en œuvre.
Pour chaque chantier, les fiches de contrôles annexées au Dossier
Technique, remplies par l’entreprise de mise en œuvre,
sont
obligatoirement remises à la Société SPPM pour validation.
Le contrôle de la résistance à la glissance dans chaque zone, tel que
défini aux DPM, est réalisé par l’entreprise SPPM avant réception du
chantier.
Conclusions
Appréciation globale
L’utilisation du système dans le domaine proposé est appréciée
favorablement.
Validité
2 ans, venant à expiration le 31 mars 2014.
Pour le Groupe Spécialisé n° 12
Le Président
Marc TESTAUD
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
3
Dossier Technique
établi par le demandeur
A. Description
3.
Références normatives
1.
 La FFN et la conception des piscines,
 Fascicule 74, annales de l’ITBTP n° 350,
Principe
 NFP 90 – 320,
Définition
 NF EN 15288 - 1 et 2,
KHIRAL est un revêtement composite, ultra mince, fusionnant 2
fonctions principales : étanchéité et revêtement de surface. Il est
composé de verre ADVANTEX®, silice et résine époxy. Son épaisseur
est de 4,5 mm. Il est destiné à :
 NF EN 13451 -1 à 11,
 revêtir les surfaces immergées des bassins de piscine. Le KHIRAL
constitue un revêtement d’étanchéité adhérent à la structure en
béton. Il est de classe C au sens du fascicule 74 ;
 revêtir les plages de piscine qui sont assimilées à des locaux
U3P3E2C2. Le KHIRAL est adapté à ce classement.
Il intègre les fonctions complémentaires suivantes :
 Résistance à la glissance : permet de respecter les différentes
glissances de la norme NF EN 13451-1 ;
 Hygiène : ne favorise pas le développement des microorganismes ;
 Nettoyabilité : l’entretien est défini dans une notice remise à la
réception du chantier.
Un système de raccordement par engravure permet
l’étanchéité des liaisons avec les inserts déjà scellés.
2.
d’assurer
Domaine et limitation d’emploi
Le revêtement KHIRAL est destiné :
 aux bassins de piscine. Il réalise une étanchéité de classe C au sens
du fascicule 74 n° 98-350.
- Bassin, pédiluve, goulotte, bac tampon, margelles, escaliers
immergés,
 Code du sport.
4.
Définition qualitative et quantitative
4.1
Présentation des versions du KHIRAL
Le procédé KHIRAL est un procédé d’étanchéité continu à base de
résines époxydiques sans solvant, préparées et appliquées directement
sur chantier. Un tissu de verre est incorporé à la mise en œuvre.
Les résines époxydiques sont à deux composants. Le durcissement des
mélanges est obtenu par une réaction entre composants qui entraîne
la polymérisation du produit. La durée d’utilisation est fonction du
volume de mélange, de la température des composants et de la
température ambiante.
4.2
Structure
4.21
Bassin
4.211
Complexe en radier
Tableau 1
Système
KB1
KB2
KB3
Destination
Eau de Ville
intérieur ou
extérieur
Thalasso
thérapie
Bain japonais
Bac tampon
Goulottes
- Eau traitée au chlore,
- Les bassins dont l’eau est traitée à l’ozone et au brome sont à
exclure.
Primaire
Saupoudrage à refus avec surplus de silice
 aux plages de piscine avec remontées en plinthe et raccordement
aux bassins.
Les conditions suivantes sont admises :
 Piscines situées sur terre plein ou en étage,
Support sec : KS 10 à 300 g/m²
Support humide : ETANPRIM SH à 350 g/m²
Couche de
base armée
 Piscine couverte ou extérieure,
Tissu VP 45 noyé dans 1,4 Kg /m² de
KS 20
Saupoudrage à refus avec surplus de silice
 Plages intérieures,
 Plages extérieures sur terre plein,
 Piscines extérieures en climat de plaine,
 Travaux neufs et de rénovation.
Couche de
masse
Regarnissag
e
 Usage public ou privé,
 Centres aquatiques :
- Normés de type GE, M, C (course, waterpolo, synchronisée,
plongeon),
- De type 1, 2, 3 de la norme NFEN 15288-1,
- Bassins ludiques,
Vernis
- Réception de toboggan,
4.212
 Bains japonais : eau chaude jusqu’à 40 °C,
600 g/m² du KS
30 incolore
600 g/m² du KS
100 incolore
Tableau 2
 Thalassothérapie : eau de mer,
 Balnéothérapie,
Primaire
KB1
KB2
KB3
Eau de Ville
Thalasso thérapie Bac tampon
Intérieur ou
Goulottes
Bain japonais
extérieur
Support sec : KS 10 à 300 g/m²
Support humide : ETANPRIM SH T à 350 g/m²
Projection à refus de silice
 Thérapeutique,
 Fosse à plongée.
Couche de base
armée
Ne sont pas visées :
Tissu VP 45 noyé dans 1,4 Kg /m² de
KV 20
 Les piscines et plages extérieures en climat de montagne,
 Les piscines et plages situées sur des toitures,
 Les plages extérieures sur galerie technique,
 Les plages avec plancher chauffant en dalle ou chape désolidarisée
isolée.
600 g/m² de
KF 210 coloré
Complexe en bajoyer
Destination
- Spa,
1 kg/m² du KS
100 coloré avec
incorporation de
1 kg/m² de silice
0,4/0,9
150 g/m² du KF 200
Système
- Pataugeoires,
1 kg/m² du KS 30
coloré avec
incorporation de
1 Kg/m² de silice
0,4/0,9
Saupoudrage à refus avec surplus de
quartz color
Les revêtements KHIRAL, en fonction de leurs différentes finitions,
conviennent aux principales utilisations suivantes :
Tissu VP 45 noyé
dans 1,4 kg /m²
de KV 20 ou
d’ETANPRIM SH T
Projection à refus de silice
Couche de
masse
Regarnissage
KV 30 coloré à
900 g/m²
KV 100 coloré à
900 g/m²
KF 210 coloré à
600 g/m²
Projection à refus de quartz color
600 g/m² du KV 40
incolore
0 / ²d
4
Tissu VP 45 noyé
dans 1,4 Kg /m²
de KS 20 ou
d’ETANPRIM SH
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
600 g/m² du KV
110 incolore
200
12/12-1607
4.22
Plages extérieures ou intérieures
4.4
4.41
Tableau 3
Caractéristiques d’identification des
constituants
Résine KS 10
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Système
Destination
KP1
KP2
Support sec ou humide
Pour dallage et
plancher collaborant
procédé Barrière
Support sec : KS 10
à 300 g/m²
Support humide :
ETANPRIM SH
à 350 g/m²
Primaire
ETANPRIM SH
à 350 g/m²
Tissu VP 45 noyé dans
1,4 kg /m² de KS 20
Tissu VP 45 noyé dans
1,4 kg /m²
d’ETANPRIM SH
Saupoudrage à refus avec surplus de silice
1 kg/m² du KS 30 coloré avec incorporation de
1 kg/m² de silice 0,4/0,9
Couche de
masse
Saupoudrage à refus de quartz color
Regarnissage
600 g/m² du KS 30 incolore
Vernis
150 g/m² du KF 200
4.23
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 5 en annexe.
4.42
Résine KS 20
Fonction : liant de stratification pour la couche de base armée.
Conditionnement : 10 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 6 en annexe.
4.43
Résine ETANPRIM SH
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Fonction : primaire pour support humide, liant pour tiré à zéro, pour
couche de base, ou pour mortier de résine pour le procédé barrière
TECTOPROOF.
Conditionnement : kit 5 et 25 kg, fut de 200 kg.
Epaisseur des systèmes
Système
Conditionnement : kit 15 kg.
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Saupoudrage à refus avec surplus de silice
Couche de
base armée
Fonction : primaire pour support sec (humidité < 4,5% selon DTU
54.1), liant pour tiré à zéro et mortier de résine.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
KB1, KB2, KP1, KP2
KB3
Cf. tableau 7 en annexe.
4.44
Résine ETANPRIM SH THIXO
Couche de base armée
2 mm
2 mm
Couche de masse +
regarnissage
2,5 mm
0,5 mm
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Total
4,5 mm
2,5 mm
Fonction : primaire pour support humide, résine pour le procédé
barrière TECTOPROOF pour relevé ou pente > 30 %.
4.3
Conditionnement : kit 25 kg.
Couche de préparation du support
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
 Tiré à zéro
Cf. tableau 8 en annexe.
Lorsque le support présente, après préparation, une forte rugosité
de surface (millimétrique), la texture fine est obtenue par la mise en
œuvre d’un tiré à zéro.
Il est réalisé à partir :
- soit d’un mélange du liant époxy du primaire et de silice type 1 ou
2 (voir § 4.4.17). Le rapport pondéral varie en fonction de la
rugosité entre 1 pour ½ et 1 pour 1 ;
- soit d’ETANPRIM SH THIXO
type 3.
+
éventuellement chargé de silice
Le bullage du béton en voile est annulé par le remplissage des bulles
à l’aide du STRATILAC ER ou EL ou ETANPRIM SH THIXO+.
 Mortiers de résine
Les mortiers de résine sont formés d’un liant organique (KS10 ou
ETANPRIM SH) et de sable de silice naturelle type 2 ou type 4 ou
coloré (quartz color).
Leurs caractéristiques dépendent du rapport pondéral liant/sable.
Note : Plus le rapport est élevé plus le mortier est étanche. Au-delà
de 1 pour 10, le mortier est poreux et nécessite un bouche pore de
fermeture. Par contre, le coefficient de dilatation thermique
augmente, il faut donc réduire l’épaisseur du mortier.
Fonction : primaire fortement thixotropé pour zone de béton bullée,
reprise de bulle type E(1) – échelle 7 ou plus de la norme P 18-503.
Conditionnement : kit 25 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 9 en annexe.
Rapport
pondéral
Utilisation
A
1/7
Scellement d’accessoire
d’épaisseur de 1 à 2 cm,
comblement de petites cavités
1/10
Réalisation de chape ou
rattrapage de défaut de
planéité centimétrique (2 à 3
cm), remplissage de cavité
C
1/14
Forme de pente jusqu’à 5 cm
d’épaisseur.
D
1/10
Réalisation de plinthes en
quartz coloré
Résine KS 30
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Fonction : liant de couche de masse et couche de regarnissage.
Conditionnement : kit 15 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 10 en annexe.
4.47
Résine KS 100
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant
résistant à l’eau de mer et à la chaleur.
Fonction : liant de couche de masse et couche de regarnissage.
Conditionnement : kit 25 kg.
Tableau 4 - Choix du mortier de résine
Type
Résine ETANPRIM SH THIXO +
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
4.46
 Débullage des voiles béton
B
4.45
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Liant
organique
Cf. tableau 11 en annexe.
4.48
Résine KV 20
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
KS 10 sur
support sec
ETANPRIM SH
sur support
humide
Fonction : liant de stratification pour la couche de base armée en
relevé et pente > 30%.
Conditionnement : kit 10 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 12 en annexe.
4.49
PRIMTOP 309
ou KV 40
Résine KV 30
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Fonction : liant de couche de masse en relevé et pente > 30%.
 ETANTOP 309 sur primaire ETANPRIM SH (uniquement en radier).
Conditionnement : kit 25 kg.
 Ouvrage rapporté conforme au § 9.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 13 en annexe.
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
5
4.410
Résine KV 40
4.419
ETANSIF 2000
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
Nature chimique : latex non ionique de styrène butadiène carboxylé.
Fonction : liant de couche de regarnissage en relevé et pente > 30%
et liant pour mortier en quartz color pour la réalisation des plinthes à
gorges.
Fonction : latex pour améliorer l’adhérence et les performances des
mortiers à base de liant hydraulique.
Conditionnement : kit 25 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 21 en annexe.
Cf. tableau 14 en annexe.
4.411
Conditionnement : bidon 3l, 10l et 30l.
4.420
Résine KV 100
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant
résistant à l’eau de mer et à la chaleur.
SYLOTHIX 53
Nature chimique : fibre de polyéthylène.
Fonction : liant de couche de masse en relevé et pente > 30%.
Fonction : agent thixotrope très puissant à base de fibres de
polyéthylène utilisé pour thixotroper les liants époxy. Le SYLOTHIX 53
permet le masticage des fissures et le comblement des petites cavités.
Conditionnement : kit 25 kg.
Conditionnement : sac 10 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
4.421
Cf. tableau 15 en annexe.
4.412
Procédé TECTOFLEX
Procédé de pontage souple de fissures et joints de dilatation composé :
Résine KV 110
D’une bande élastomère d’épaisseur 1 ou 2mm.
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
D’un adhésif époxy (ETANCOL 492 ou 303 ou STRATILAC EL).
Fonction : liant de couche de regarnissage en relevé et pente > 30%.
Cf. tableau 22 en annexe.
Conditionnement : kit 25 kg.
4.422
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 16 en annexe.
4.413
ETANTOP 309
Nature chimique, type : mortier hydraulique modifiés.
Fonction : ragréage de support.
Résine PRIMTOP 309
Conditionnement : sac 25 kg.
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant en phase
aqueuse.
Fonction : liant pour mortier en quartz color pour la réalisation des
plinthes à gorge.
Caractéristiques du mortier :
Cf. tableau 23 en annexe.
4.423
ETANCOL 492
Conditionnement : kit 10 kg.
Nature chimique : pâte époxy à deux composants sans solvant.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Fonction : adhésif structural époxy pour le procédé TECTOFLEX,
platine métallique, pour le calfeutrement des fissures et pour le
remplissage du profil EP4S.
Cf. tableau 17 en annexe.
4.414
Résine KF 200
Nature chimique, type :
composant solvantée.
Conditionnement : Cartouche de 400 ml et kit 5Kg.
résine
polyuréthane
aliphatique
bi-
4.424
Fonction : finition incolore.
ETANCOL 303
Nature chimique : pâte époxy à deux composants sans solvant.
Conditionnement : kit 5 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 18 en annexe.
4.415
Cf. tableau 24 en annexe.
Fonction : adhésif structural époxy pour le procédé TECTOFLEX,
platine métallique, pour le calfeutrement des fissures.
Conditionnement : kit 1 et 5Kg.
Stratilac EL
Cf. tableau 25 en annexe.
Nature chimique, type : pâte époxy bi-composant sans solvant.
Fonction : adhésif structural époxy pour le procédé TECTOFLEX,
platine métallique, pour le calfeutrement
des fissures, congés,
remplissage profil EP4S.
Conditionnement : kit 5 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
4.425
TF7
Nature chimique : Résine polyuréthane à deux composants sans
solvant.
Fonction : adhésif structural époxy pour le procédé TECTOFLEX et
collage du profil EP4S, prise rapide.
Cf. tableau 19 en annexe.
Conditionnement : Kit prédosé de 5 Kg ou double cartouches (2 fois
200 ml).
4.416
Cf. tableau 26 en annexe.
Stratilac ER
Nature chimique, type : pâte époxy bi-composant sans solvant.
4.426
Fonction : mastic époxy pour congé, fissure, remplissage profil EP4S.
Nature chimique : Résine polyuréthane à deux composants sans
solvant.
Conditionnement : kit 5 kg.
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
Cf. tableau 20 en annexe.
4.417
TF40
Fonction : adhésif structural époxy pour le procédé TECTOFLEX et
collage du profil EP4S, prise rapide.
Conditionnement : Kit prédosé de 5 Kg.
Silice naturelle
Cf. tableau 27 en annexe.
Nature chimique : sables extra-siliceux secs, roulés et calibrés.
Fonction : agrégats des systèmes KHIRAL.
Granulométrie :
type 1 : 0,1/0,6 (incorporation ou saupoudrage).
type 2 : 0,4/0,9 ou 0,4/0,8 (saupoudrage ou incorporation).
4.427
Tissu VP45
Nature chimique : Tissu en fils de verre ADVANTEX de masse
surfacique 350 g/m².
Fonction : armature pour le KHIRAL.
type 3 : 0,1/0,4 (incorporation).
Conditionnement : rouleau de 1,27 m ou 20 cm de large et 60 m de
long.
type 4 : 0,1/2 (mortier résine).
Cf. tableau 28 en annexe.
Conditionnement : sac 25 kg
4.418
4.428
Quartz color
Vandex Grout 20
Nature chimique : liant hydraulique.
Nature chimique : sables extra-siliceux secs, roulés et calibrés
colorés par enrobage dans une résine PU pigmentée.
Fonction : agrégats pour multicouches en quartz color.
Fonction : mortier de scellement par KHIRAL CF.
Conditionnement : sac de 25 kg.
Granulométrie : 0,7/1,3 mm.
4.429
Conditionnement : sac 25 kg.
Nature chimique, type : résine époxy bi-composant sans solvant.
6
Résine KF 210
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Fonction : liant pour couche de finition colorée.
 le nom et les coordonnées de la Société SPPM ;
Conditionnement : kit 25 kg.
 la référence du produit :
Caractéristiques de la résine, du durcisseur et du mélange :
- le code produit,
Cf. tableau 29 en annexe.
- la quantité en kg.
4.430
- le numéro de lot de fabrication,
SIKASIL - POOL
Nature: mastic silicone neutre monocomposant.
Fonction : calfeutrement en piscine (bassin, plage).
Conditionnement : cartouche de 300 ml.
4.431
Profil SCHLUTER DILEX-HKS
Nature: profilé à gorge en inox A4 dilatable.
Fonction : joint de dilatation en angle.
Conditionnement : barre de 2,50 m.
4.432
Equerre SCHLUTER SCHIENE E-V4A
Nature: Equerre en inox A4.
Fonction : arrêt KHIRAL pour bouche de soufflage.
- l’identification toxicologique et les phrases de risques,
- la date de péremption.
6.
La fabrication des constituants résine, tissu et sable est réalisée en
France, dans des usines certifiées ISO 9001 version 2000 sous cahier
des charges de la Société SPPM. Ils subissent les contrôles internes
suivants :
 Sur résine :
- Réception des matières premières en AQP avec production de
ulletins d’analyse avant livraison ;
- sur les produits finis :
□ viscosité,
Conditionnement : barre de 2,50 m.
4.433
Profil MIFASOL HO 38/14
Nature: profilé en aluminium avec bande souple.
Fonction : couvre joint de dilatation.
Conditionnement : barre de 4 m.
4.434
Gutta G139
Nature: Mastic-colle polyméthane à prise rapide.
Fonction : Collage du profil d’arrêt en plastique.
Conditionnement : Cartouche de 300 ml.
4.435
Mastic SIL 60
Fabrication des résines
□ durée de vie en pot.
 Sur sable :
- Par coupure.
 Sur tissu :
- Grammage et certificat qualité pour les fils.
7.
Exigences relatives à l’entreprise
La Société SPPM confie la mise en œuvre du procédé KHIRAL
exclusivement à des entreprises agréées qui doivent remplir plusieurs
conditions et notamment :
Fonction : Réalisation des joints d’étanchéité
 Disposer d’un personnel qualifié dans l’emploi des résines ainsi que
du matériel nécessaire pour la préparation du support, l’application
des produits et du matériel de contrôle défini dans le présent
Dossier Technique ;
Conditionnement : cartouche de 310 ml
 Posséder les qualifications QUALIBAT 3372 ou 3373 et 6243 ;
4.436
 Accepter les indications des techniciens SPPM, pouvant aller jusqu’à
la suspension des travaux si les conditions d’une bonne exécution
n’étaient pas réunies.
Nature : mastic silicone neutre
MS 108
Nature : mastic colle MS Polymer
Fonction : Réalisation des collages et joints d’étanchéité
Conditionnement : cartouche de 290 ml
4.5
4.51
Accessoires SPPM
KHIRAL PB
KHIRAL PB est un porte buse en PVC. Il est taraudé en 1" ou 2" pour
recevoir, d’un côté, des accessoires à visser (prise balai, buse de
refoulement…), de l’autre, une canalisation à coller.
4.52
KHIRAL CF
La Société SPPM dispose en permanence d’au moins un technicien
pouvant contrôler les supports et l’application des revêtements sur
chantier.
Elle met son assistance technique à disposition des applicateurs pour
la mise en route des premiers chantiers et la maîtrise des aspects
particuliers de ce procédé (reconnaissance et préparation des
supports, définition des travaux préliminaires nécessaires, points
particuliers, confection et mise en place des mélanges…).
La Société SPPM dispose d’un centre de formation pour les
applicateurs. Elle les forme aux contrôles et à l’application des produits
par deux méthodes :
KHIRAL CF est un caniveau à fente en acier inox 316L pour plage, de
faible encombrement (40 mm d’épaisseur). Il peut être incorporé dans
la forme de pente.
 Formation par
informatisé ;
Manufacturé en longueur standard de 3 m, il comporte de nombreuses
pièces spéciales (en Té, croix, about, piquage ….). Les caniveaux
possèdent des brides en extrémités permettant un assemblage par
boulonnage.
8.
4.53
KHIRAL AD
KHIRAL AD est un accroche-doigt en acier inox 316 L. Il est conforme
à la norme EN 13451-1.
Manufacturé en longueur standard de 3 m, il comporte des pièces
d’about fixées sur les têtes de bassin.
Les accroche-doigts possèdent des brides en extrémités permettant un
assemblage par boulonnage.
4.54
KHIRAL WG
KHIRAL WG est une goulotte en acier Inox 316 L de type Wiesbaden.
Il possède les mêmes accessoires et le même mode d’assemblage que
les accroches-doigts.
4.55
Collerette CK
Les collerettes CK sont des platines en acier inox de 25 mm de large,
soudées en continu sur un accessoire en inox, pour permettre le
raccordement en engravure de la base armée (exemple : insert ligne
d’eau, hublot, boitier, fixation d’échelle,…)
5.
Etiquetage
module
vidéo
pédagogique
validé
par
QCM
 Démonstration des mises en œuvre par un technicien.
Dispositions préalables à l’étude et à la
mise en œuvre
Il est rappelé que l’étude concernant la stabilité de l’ossature et des
éléments porteurs de l’ouvrage ne relève pas de la compétence de
l’entrepreneur.
La reconnaissance de supports, réalisée contradictoirement entre
l’entrepreneur, le maçon et le maître d’œuvre, a pour objet de vérifier
avant le début des travaux que les supports et les ouvrages annexes
sont conformes aux règles de l’art et au présent dossier technique, et
de définir les solutions constructives dans les cas non prévus,
notamment en rénovation.
Note : la réception des fissures est à faire après préparation du
support voir § 11.
8.1
Supports admissibles en bassin
La structure sera en béton armé calculé conformément au fascicule 74
avec un coefficient α ≤ 450 ; chapitre VI « cas particulier des
piscines ». Les actions à prendre en compte sont celles de l’article IV.5
en tenant compte des effets de la température pour le remplissage à
l’eau froide.
Cette reconnaissance est formalisée sur la fiche de contrôle n° 1 A et B
(identification, contrôle et réception du support).
Chaque emballage comporte une étiquette mentionnant :
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
7
8.11
Supports neufs
Cas des plages sur terre-plein
Le support est un dallage armé au sens du DTU 13.3 Partie 2.
Sur le béton de structure
Le KHIRAL peut être appliqué directement sur la structure en béton
armé âgée de plus de 28 jours. Le béton sera mis en œuvre
conformément au fascicule 74.
Ouvrages rapportés
Ils seront adhérents au support béton.
Fond de bassin
Bajoyer
Chape ou dalle de classe
C35 selon NF EN 206-1
cohésion 1,5 MPa épaisseur
mini 5 cm
Mortier de réparation généralisé de
classe R3 ou R4 suivant EN 1504-3
cohésion 1,5 MPa.
Epaisseur : consulter la fiche
technique du produit
MAPECEM PRONTO sur
barbotine d’adhérence
épaisseur mini : 3 cm
Béton projeté conforme à la norme NF
EN 14487-2 et aux recommandations
de l’ASQUAPRO
Mortier de résine
Mortier de résine
Type C sur primaire époxy
Epaisseur minimum 1 mm
Type C sur primaire époxy
Epaisseur minimum 1 mm
(prendre une version thixotrope pour
le liant époxy)
Chape avec une cohésion
superficielle de 1,5 Mpa*
Enduit réalisé par projection de
mortier type Weber Rep VM 216
* Pour obtenir une cohésion superficielle de 1,5 MPa le mortier de la
chape doit avoir la composition suivante :
- 450 kg/m3 de ciment CEM II de classe 32,5 R.
-
1400 kg/m3 de sable 0/4.
1 kg/m3 de fibre synthétique.
-
Le dosage en eau est 8.12
8.121
0,45
Revêtements en place
Carrelage collé ou scellé
Revêtement conservé
L’ancien revêtement peut être conservé s’il est en bon état et adhérent
au mortier de pose. Ces différents critères doivent être vérifiés par une
étude préalable à l’appel d’offres. Cette étude (également appelée
diagnostic) est définie à l’annexe 3 du Dossier Technique.
Revêtement déposé
Dépose du revêtement existant y compris les chapes et mortier de
pose pour retrouver le support béton.
8.122
Polyester
Les piscines en coques polyester peuvent présenter des désordres
souvent dus à des phénomènes d’osmose ou d’hydrolyse se
manifestant par la formation de cloques.
Elles peuvent se former à 3 niveaux différents :
- Type 1 : entre coating et le gelcoat ;
- Type 2 : entre le gelcoat et le stratifié ;
- Type 3 : à l’intérieur du stratifié.
La réparation des coques en polyester par le procédé KHIRAL se limite
aux désordres de type 1 et partiellement de type 2 (la surface des
altérations doit être inférieure à 5 % de la surface totale). Les
désordres de type 3 ne peuvent pas être réparés.
8.123
Autres revêtements
Résine époxy non armé
L’ancien revêtement peut être conservé s’il est en bon état et adhérent
au support. Ces différents critères doivent être vérifiés par une étude
préalable à l’appel d’offres. Cette étude (également appelée
diagnostic) est définie à l’annexe 4 du Dossier Technique.
Le type de liaison plage/bassin retenue doit permettre de garantir une
désolidarisation des dalles ou dallages constituant les plages
attenantes au bassin.
Le dispositif utilisé permet la reprise des efforts verticaux au droit de la
liaison et évite la transmission d’efforts horizontaux ou de moments de
flexion entre le bassin et les plages.
L’amplitude maximale des déplacements prévisibles au droit des joints
ainsi créés doit faire l’objet d’une étude particulière. Le dispositif
d’appui devra être dimensionné en tenant compte de ces
déplacements.
Le référentiel de calcul utilisé est la norme NF P 11-213-2 (DTU 13.3
Partie 2), dérogeant à l’article 1 en tant que support d’étanchéité.
L’espacement des joints respectera l’article 5.6.6.
Les sollicitations de retrait différentiel ne sont pas à prendre en
compte.
Les effets de la température sont à prendre en compte conformément
à l’annexe C article 3.2.1.5.
Pour la prise en compte du gradient thermique dû à l’ensoleillement, la
valeur recommandée par défaut C = 70°C/m est applicable aux
revêtements de coloris clair. Conformément à l’article 6.1 du DTU
59.1, les teintes sombres sont à proscrire (coefficient d’absorption
solaire > 0,7).
8.21
Supports neufs à base de liant ciment
Eléments porteurs
Plancher dalle avec continuité sur appuis :
Dalle pleine en BA (Béton Armé) coulée in situ
Dalle pleine coulée sur prédalles en BA (Béton Armé)
Dalle pleine coulée sur prédallles en BP (Béton Précontraint)
Plancher en béton coulé sur bacs acier collaborant avec continuité
sur appuis
Plancher constitué de dalles alvéolées en BP ou BA avec dalle
collaborante rapportée en BA, avec continuité sur appuis
Plancher nervuré à poutrelles en BA ou BP et entrevous de
coffrage avec dalle de répartition complète coulée en œuvre
Le KHIRAL peut-être appliqué directement sur ces éléments porteurs
âgés de 28 jours.
Les réservations nécessaires pour les siphons et caniveaux doivent
être prévues à la conception de l’ouvrage. Ce point est
particulièrement important pour les planchers collaborants et planchers
à dalles alvéolaires.
Ouvrages rapportés
Les ouvrages rapportés seront réalisés en adhérence sur l’élément
porteur âgé d’au moins 2 mois.
L’exigence de cohésion superficielle est de 1 MPa en ouvrage intérieur
et de 1,5 MPa en ouvrage extérieur.
Plage Intérieure
Plage extérieure
Dalle classe C20 non armée
Cohésion superficielle 1 MPa
Epaisseur mini : 5 cm
Dalle classe C25
Cohésion superficielle 1,5 MPa
Epaisseur mini 5 cm
MAPECEM Pronto sur barbotine
d’adhérence.
Epaisseur mini 1,5 cm
MAPECEM Pronto sur barbotine
d’adhérence.
Epaisseur mini 1,5 cm
Mortier de résine
Type C sur primaire époxy
Epaisseur minimum 1 mm
Mortier de résine
Type C sur primaire époxy
Epaisseur minimum 1 mm
Chape bénéficiant d’un Avis
Technique
Chape bénéficiant d’un Avis
Technique
ETANTOP 309 épaisseur :
4 à 50 mm
ETANTOP 309 épaisseur :
4 à 50 mm
En complément, un essai d’adhérence suivant FC n° 6 sera réalisé.
 Désolidarisation périphérique : joint sec.
Si σ ≥ 1,5 MPa, la résine en place est conservée.
 Joint de fractionnement : joint sec tous les 60 m² et au plus tous les
8 m linéaires.
Si σ < 1,5 MPa, elle est éliminée.
Fréquence voir § 19.
8.22
8.2
Il appartient aux DPM de définir, partant du brut béton, l'ouvrage à
construire :
Support admissible en plage
Il est rappelé que les éléments porteurs doivent être calculés avec les
charges d’exploitation indiquées à l’article VI.2.1 « actions variables »
du fascicule 74.
Sol en place
- le plan de pente,
- le raccordement aux avoisinants,
- la position des siphons, caniveaux et cloisons.
8
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Les DPM doivent tenir compte d’une épaisseur minimale indiquée dans
le tableau ci-dessous au point bas pour réaliser une forme de pente et
prévoir les décaissés nécessaires à la mise en place des siphons et
caniveaux.
Type d’ouvrage rapporté
Epaisseur minimale
Dalle
5 cm
MAPECEM Pronto
1,5 cm
Mortier de résine type C
0,1 cm
Chape spécifique
Voir AT
ETANTOP 309
4 mm
8.3
Exigences relatives au support
8.31
Caractéristiques des éléments porteurs
Bassin
Radier
Parement
Bajoyer
Sol
Plage
extérieure
Relevé
Sol
Il sera de
Il sera classé Il sera de Voir DTU ou Il sera lissé
type lissé au « parements
type lissé AT du support au sens du
sens du
DTU 13.3
soignés fins » au sens du
DTU 21
conformément
DTU 21
au § V.4.2.1 du
fascicule 74
n° 98 T.O et le
bullage
conforme au §
V.4.2.2
Carrelage de sol scellé ou collé
 Revêtement conservé
Plage Intérieure
Tolérance :
Un ancien revêtement peut être conservé si l’étude préalable a
conclu à la faisabilité de la mise en œuvre du procédé KHIRAL (voir
annexe 3).
Planéité
Flèche 2 m
7 mm
5 mm
7 mm
2 mm
2 mm
2 mm
Voir DTU
ou AT
du support
7 mm
Flèche 20 cm
≥ 1 MPa
≥ 0,5 MPa
≥ 1,5 MPa
 Revêtement déposé
Dépose du carrelage existant et des formes de pente éventuelles
pour retrouver le plancher béton.
Bullage
10 % de la
surface, bulle
maxi 1 cm²,
profondeur
maxi 5mm
Anciens supports à base de liant hydraulique
Après dépose de l’ancien revêtement (enduit de préparation de sol et
forme de pente comprise) ou ancien plancher non recouvert.
Dans tout les cas, on retrouve le support béton.
Les anciennes résines
2 mm
Désaffleur
Inférieure à
Inférieure à
des arrêts de 3 mm avec 3 mm avec un
un
linéaire
linéaire
inférieur
coulage
à 1 m par m²
inférieur à
1 m par m²
 Résine polyuréthane
Elle est complètement éliminée.
Cohésion
superficielle
 Résine époxy
Un essai d’adhérence suivant FC n°6 sera réalisé.
≥ 1,5 MPa
Durée
d’absorption
à la goutte
d’eau
Si σ ≥ 1 MPa la résine en place est conservée.
Si σ < 1 MPa elle est éliminée.
Fréquence voir § 19.
8.23
≥ 1,5 MPa
8.32
Relevés sur parois
Entre 60 et 240 secondes
Caractéristiques dimensionnelles des bassins
Supports minéraux
Les bassins normés (GE, M, C) auront des tolérances dimensionnelles
conformes à la règlementation de la FFN en tenant compte d’une
épaisseur de 4,5 mm pour le revêtement KHIRAL.
Le Cahier du CSTB 3567 classe les parois des locaux de piscine pour
l’exposition à l’eau en EC.
8.33
Type de support
Maçonnerie (béton –
enduit base ciment)
Nomenclature
du CPT
(cf. tableau 1)
S1 – S2 – S3
Degré d’exposition à
l’eau des locaux
Support
Age
Plancher porteur
28 jours
EC
Mur en béton
28 jours
admis
Chape, dalle, enduit
15 jours
Plaques de parement à
base de ciment ou de
ciment-silicate
Ce type de support doit
faire l’objet d’un Avis
Technique ou dans le
DTA qui précise le degré
d’exposition à l’eau des
parois
Carreaux de terre cuite
hourdés au ciment
Ce type de support doit
faire l’objet d’un Avis
Technique ou dans le
DTA qui précise le degré
d’exposition à l’eau des
parois
S12
Délai de séchage pour recevoir le KHIRAL
8.34
Cloisons (pour les joints)
7 jours
MAPECEM PRONTO
24 heures à 20°C
Mortier de résine
12 heures à 20°C
ETANTOP 309
12 heures à 20°C
Support humide, procédés barrière
En plage, les supports nécessitant un procédé barrière sont revêtus de
KHIRAL KP2 dans lequel le procédé barrière TECTOPROOF bénéficiant
de l’Avis technique N°12/10-1582 est incorporé :
Les dallages sur terre plein et plancher en bac collaborant reçoivent
systématiquement le KHIRAL KP2.
Pour les autres supports :
- sec en surface : on utilise le primaire KS10 ;
- humide en surface : on utilise le primaire ETANPRIM SH.
8.4
Pente (voir § 16.1) en plages de piscine
Un plan de pente doit être établi par le Maître d’œuvre.
Les pentes sont nécessaires et doivent respecter les prescriptions des
DPM Avant mise en œuvre du KHIRAL les pentes seront vérifiées à
l’aide d’un inclinomètre ou dispositif laser d’implantation ou de relevé
(voir fiche de contrôle n° 1A).
Les pentes minimales à respecter sont les suivantes:
 L’article A.322-21 du code du sport prévoit « pour éviter la
stagnation de l’eau, les pentes sont comprises entre 3 et 5 %. »
 L’arrêté du 1er Août 2006 précise que : les pentes admissibles aux
personnes handicapées doivent être inférieures à 2 %.
 L’article § 5.5.2 de la norme EN 15288-1 « exigences de sécurité
pour la conception » demande des pentes comprises entre 2 et
5 %.
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
9
 Pour éviter la stagnation d’eau entre les siphons la noue doit avoir
une pente minimale de 0,5% (annexe C de la NF P 10-203-1).
Note : les pentes de noue inférieure à 1,5% peuvent conduire à des
rétentions d’eau.
9.
Mise en œuvre des ouvrages rapportés
Préparation des mélanges
Dans un récipient contenant de l’eau de gâchage, verser doucement
l’ETANTOP 309 et mélanger pendant 3 mn à l’aide d’un agitateur
mécanique. La quantité d’eau de gâchage est de 4,5 à 5 litres d’eau
par sac de 25 kg d’ETANTOP 309.
Mise en œuvre
Si des formes de pentes ou un rattrapage d’épaisseur sont
nécessaires, ils peuvent être réalisés par la mise en œuvre des
ouvrages complémentaires adhérents décrits aux § 8.1 et 8.2.
Déverser au sol l’ETANTOP 309. L’étaler à l’aide d’une raclette crantée
à l’épaisseur désirée puis passer le rouleau débulleur (picots de 30 mm
minimum).
9.1
Pour les grandes surfaces, la mise en œuvre s’effectue à l’aide d’une
machine type PUTZMEISTER MP35. Le mélange est donc effectué
automatiquement et l’eau dosée à l’aide d’une pompe doseuse.
9.11
Radier bassin, plage
Réalisation d’une dalle traditionnelle adhérente
Sa mise en œuvre s’effectue comme suit :
Saupoudrage de silice de type 2 dans l’ETANTOP 309
 Mise en œuvre, sur support préparé par grenaillage ou rabotage,
application, sur un support préalablement humidifié, d’une barbotine
adjuvantée à l’ETANSIF 2000 (4 litres d’ETANSIF 2000 + 8 litres
d’eau + 25 Kg de ciment) ;
Avant la fin de prise (1 heure), l’ETANTOP 309 est saupoudré à refus
de silice de type 2.
 Application, sur la barbotine fraîche, de béton fabriqué in situ ou
livré en toupie ;
9.2
 Dressage à la règle puis talochage.
9.12
Réalisation d’une chape à prise rapide
MAPECEM PRONTO
Sa mise en œuvre s’effectue comme suit :
Le KHIRAL est appliqué après au moins 12 heures de séchage.
9.21
Les bajoyers
Béton projeté
Il sera réalisé par projection suivant les
l’ASQUAPRO et la norme NF EN 14487-2.
9.22
recommandations de
Mortiers de réparation généralisé
 Humidification à refus du support, sans film d’eau en surface ;
La surface peut être reprofilée à l’aide de mortier de classe R3 ou R4
type Madaprimo de chez WEBER ou Planitop 400 de chez MAPEI en
réparation manuelle ou VM211 ou 216 en projection par voie humide.
 Application d’une barbotine adjuvantée à l’ETANSIF 2000 (4 litres
d’ETANSIF 2000 + 8 litres d’eau + 25 kg de ciment) ;
9.23
 Préparation du support par grenaillage ou rabotage ;
 Préparation du mortier MAPECEM PRONTO en gâchant 2,2 litres
d’eau pour 25 kg de MAPECEM PRONTO. Le malaxage est réalisé à
l’aide d’un malaxeur à axe vertical ;
 Etalement du mortier sur la barbotine fraîche, dressage à la règle
puis serrage par talochage.
Au-delà de 6 cm d’épaisseur, réaliser la chape en 2 passes espacées
de 4 h minimum, après humidification et interposition de la barbotine.
Les reprises de coulage et les jonctions avec les zones conservées
seront enduites de barbotine.
Dans le cas d’un séchage supérieur à 24 h mais inférieur à 72 h le
primaire du KHIRAL est toujours réalisé à l’aide de l’ETANPRIM SH.
Au-delà de 72 h de séchage, tous les primaires peuvent être utilisés.
Par temps chaud, une application après 12 heures est possible si la
cohésion superficielle (FC N°2) de la chape MAPECEM PRONTO est
supérieure à 1,5 MPa.
9.13
Réalisation d’un mortier de résine
Sur le support préparé par grenaillage ou rabotage, application d’une
couche de primaire (ou de tiré à zéro) à base de résine KS10 ou
d’ETANPRIM SH sur support humide ou exposé à des reprises
d’humidité.
Pâte époxy
Les ragréages fins et les bouches porages seront réalisés à l’aide de
STRATILAC ER.
10. Principe du traitement d’un bassin et de
sa plage
10.1 Surfaces revêtues
Le revêtement KHIRAL en piscine revêt, en général, les parties
suivantes :
- radier,
- bajoyer,
- margelle,
- tête de bassin,
- goulotte,
- caniveaux de plage (éventuel),
- le JD séparant le bassin des plages,
- plage avec remontée en plinthe.
Le mortier de résine est appliqué sur le primaire frais.
Le mortier est obtenu par mélange du liant époxy retenu en primaire
et du sable type 4 dans le rapport pondéral de 1/14.
Le mélange sable/résine est réalisé pour de petites quantités à l’aide
d’un mélangeur électrique manuel, et pour les grosses quantités d’un
malaxeur à cuve fixe.
Le mélange est appliqué sur le sol puis régalé à la lisseuse.
L’épaisseur et la pente sont respectées par la mise en place de plats
métalliques servant de gabarit.
Le mortier est égalisé en déplaçant une règle aluminium sur les
gabarits.
Le mortier est serré puis lissé à l’aide d’une lisseuse inox.
Le KHIRAL est mis en œuvre au plus tôt 12 heures après réalisation du
mortier de résine.
9.14
Réalisation du bouche-pore
Pour les dosages supérieurs ou égaux à 1/10, le mortier de résine doit
être bouche poré avant la réalisation du KHIRAL. Le bouche pore est
réalisé à l’aide du primaire thixotropé au Sylothix 53.
Il est mis en œuvre, au minimum 12 heures après la mise en œuvre
du mortier de résine, à la raclette caoutchouc, à raison de 400 g/m².
9.15
Réalisation de l’ETANTOP 309
Préparation du support par grenaillage ou rabotage.
Application du primaire époxy ETANPRIM SH et saupoudrage à refus
avec surplus de silice de type 2.
Le lendemain : balayage et aspiration du sable non incrusté.
10
Schéma 1 - Principe de mise en œuvre avec une
goulotte finlandaise
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
10.2 Résistance à la glissance
11.13
10.21
Les anciens carrelages conservés (voir § annexe 3) sont préparés de la
manière suivante :
Partie horizontale
La résistance à la glissance est mesurée, dès la fin des travaux, à
l’aide du FSC2000 (fiche de contrôle n° 9).
10.22
Partie Verticale
Dans les bassins sportifs les murs d’extrémités comportent, pour le
virage des nageurs, une surface antidérapante (μ ≥ 0,40) allant de
80 cm sous le niveau de l’eau à 30 cm au dessus.
Les anciens carrelages
- Eliminer les carreaux cassés ou sonnant creux.
- Dégraisser par lessivage puis rincer à l’eau.
- Après séchage, déglacer la surface par ponçage diamanté ou
hydro sablage.
- Reprofiler ponctuellement à l’aide de mortier de résine en cas de
besoin.
- Les pâtes de verre seront systématiquement déposées y compris
les résidus de colle à carrelage.
Note 1 : pour les carrelages avec un relief antidérapant, le retirer soit
par usure au disque diamant soit à l’aide d’une surfaceuse de sol.
Après préparation, la cohésion superficielle du carrelage devra être
supérieure à 1MPa (fiche de contrôle n°2).
11.14
Polyester
La couche de finition sera systématiquement et complètement éliminée
par ponçage ou décapage à l’eau à une pression minimale de 100 bars
pour neutraliser et évacuer le liquide éventuellement présent dans les
cloques. Attendre ensuite le séchage complet de la coque.
Repérage des cloques de type 2 (cf. § 8.122) et élimination des
cloques à l’aide d’une ponceuse équipée d’un disque diamant.
Le ponçage est limité à la surface du stratifié (type 3 non visé
cf. 8.122)
Réparation de ces cloques à l’aide de plastrons rectangulaires de la
couche de base armée en recouvrant la partie saine sur au moins
15 cm (voir § 12.4.2).
L’ensemble de la surface sera recouvert d’une couche d’ETANPRIM SH
à raison de 400 g/m² suivit d’un saupoudrage de silice type 2.
Schéma 2 - Zone de virage
10.23
11.15
Les autres anciennes résines
Les résines conservées (voir § 8.1.2.3) seront préparées par ponçage
au disque diamant.
Marquages
Ils seront réalisés, soit en réalisant une couleur différente, soit dans la
couche de masse, soit en rapportant un film KF 210 coloré.
On distingue les marquages :
- de sécurité (paragraphe 5.6.2.1 de la NF EN 15288-1) : margelle,
bande « bleu foncé » sous le niveau de l’eau ;
- technique : lignes de nage, waterpolo, natation synchronisée…
11.16
Mise en conformité du support
Si les supports présentent des défauts de planimétrie ou des défauts
de pente, ils pourront être repris suivant l’importance des défauts par
l’une ou l’autre des techniques mentionnées au § 9.
11.17
Organisation du chantier
Ils seront conformes au règlement de la FFN.
La préparation de surface est réalisée au plus tard la veille de la
première application.
10.24
Le bassin doit être hors d’eau et hors d’air (pour les piscines
intérieures) durant toute la durée de stockage et de réalisation.
Plaques signalétiques
Les indications de profondeur sont réalisées à l’aide de plaques
signalétiques collées au TF7 au revêtement KHIRAL. Elles seront
conformes au § 5.3 de la norme EN 15288-1. Les chiffres auront une
hauteur d’au moins 70 mm.
Plots de départ : s’ils sont demandés, les numéros seront conformes à
l’annexe A de la norme EN 13451-1
11. Préparation du support
11.2 Traitement des fissures du support
Il s'agit là de la préparation des fissures préalablement à la réalisation
du revêtement.
11.21
Fissures contractuelles sans désafleur
d’ouverture maximale de 0,3 mm
Aucun traitement n’est nécessaire, le KHIRAL ponte ces fissures.
11.1 Préparation du support
Les supports sont préparés de manière à obtenir les cohésions
superficielles réclamées au § 8.31.
La préparation des surfaces dans les conditions décrites ci-après est
insuffisante pour faire apparaître les défauts internes de nonconformité du support. Ces opérations de préparation de surface n’ont
pour objet que d’optimiser l’adhérence du KHIRAL mais ne permettent
pas de faire ressortir les vices non apparents et non visitables du
support lui-même.
11.11
Les supports neufs
Les supports neufs sont préparés par grenaillage, ponçage diamanté
non lisse ou abrasif suivi d’une aspiration, d’un hydro sablage ou d’un
sablage à sec.
11.12
Les supports béton anciens
Les supports béton anciens sont préparés suivant leur état par un ou
plusieurs des moyens suivants :
- Ponçage diamanté non lisse puis aspiration,
- Grenaillage,
- Rabotage,
- Décapage eau haute pression puis séchage,
Schéma 3 - Traitement des fissures d’ouverture ≤ 0,3 mm
- Hydro sablage,
- Sablage à sec,
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
11
11.22
Fissures sans désafleur de largeur comprise
entre 0,3 et 1 mm
Elles seront obturées :
 Soit par injection d’une résine époxy fluide. La résine sera conforme
à la NF EN 1504-5 ;
 Soit par ouverture en V puis calfeutrement à l’aide des produits
suivants :
12.4 Application en partie horizontale
12.41
Primaire
Le primaire est appliqué sur support préparé conformément au § 11.1.
Application au rouleau d’une couche de primaire pur KS 10 ou
ETANPRIM SH ou à la raclette d’un tiré à zéro composé d’un mélange
de primaire et de silice dans le rapport pondéral maximal de 1/1. La
consommation dépend de l’état du support.
- Produit de scellement hydraulique conforme à la norme NF
P 18-821 en horizontal et mortier de réparation de classe R4 en
bajoyer.
12.42
- Mortier de résine époxy type A.
Afficher le tissu VP45 puis maroufler au rouleau ou à la spatule à
maroufler. Les laizes comportent en lisière un fil coloré pour
matérialiser les 5 cm de recouvrement qui assurent la continuité de
l’armature.
- Pâte époxy STRATILAC ER.
Couche de base armée
Appliquer au rouleau ou à la raclette une couche de liant KS20.
Laisser le tissu s’auto-imprégner du liant pendant 4 heures à 20 °C
minimum.
Après un délai d’attente d’au moins 12 heures, saturer le tissu d’une
2ème couche de liant de KS20.
Saupoudrer à refus de silice de type 2 ou de quartz color.
12.43
Couche de masse
Le mélange de la couche de masse est réalisé à partir du liant résine
KS30 ou KS100, pigmenté ou non, et de silice de type 2 en rapport
pondéral 1/1.
Le mélange est appliqué à l’aide d’une lisseuse. L’épaisseur sera
donnée par la silice calibrée du mélange.
Cette couche sera saupoudrée à refus de quartz coloré de
granulométrie 0,7/1,3. Après durcissement, l’excès de quartz coloré
sera balayé et aspiré mécaniquement.
Selon la rugosité recherchée, un écrêtage par ponçage pourra être
réalisé. Il sera suivi d’un dépoussiérage minutieux par aspiration.
Schéma 4 - Traitement des fissures
d’ouverture > 0,3 mm et ≤ 1 mm
11.23
Fissures de largeur supérieure à 1 mm ou avec
désafleur
Un support qui présente des fissures d’ouverture > 1 mm ou dont les
lèvres présentent un désafleur doit faire l’objet d’une étude par un
bureau d’études de calcul de structure pour vérifier sa stabilité. Cette
étude ne relève pas de la compétence de l’entreprise.
Pour obtenir les résistances à la glissance définis au § 10.2, il n’y aura
pas d’écrêtage.
12.44
Regarnissage
Application en 1 couche de 600g/m² de KS30 ou KS100.
12.45
Vernis de finition
Application au rouleau de 1 couche KF 200 à raison de 150 g/m².
12.46
Délai de recouvrement
12. Mise en œuvre des procédés KHIRAL
Pour les systèmes KHIRAL, le délai de recouvrement entre couches est
au minimum de 12 heures à 20 °C.
12.1 Hygiène et sécurité
12.5 Application en partie verticale
Tous ces produits doivent être utilisés conformément à leur étiquetage
et à la réglementation en vigueur.
12.51
Se reporter aux Fiches de Données de Sécurité des produits.
12.2 Stockage et conditions de pose
12.21
Stockage des produits
Les résines sont stockées à l’abri de l’humidité et d’une forte chaleur, à
une température comprise entre + 5 °C et 30 °C. Dans ces conditions,
la durée de stockage est de 2 ans pour les résines époxy et de 12 mois
pour les polyuréthanes.
12.22
Conditions d’ambiance
En bajoyer de bassin
Après application de la couche de base armée réalisée à l’aide du liant
KV20, mise en œuvre de la couche de masse KV30 ou KV 100 à l’aide
d’une lisseuse.
Saupoudrage immédiat et avant la fin de la DPU de la résine de quartz
coloré. Le quartz est projeté mécaniquement à l’aide d’une
« poudreuse ».
Le lendemain, écrêtage au disque abrasif, puis regarnissage à la
raclette caoutchouc à raison de 600g/m² de KV40 ou KV110.
Le jour suivant, application du vernis KF 200 à l’aide d’un rouleau à
raison de 150 g/m².
Température d’application minimale : 5 °C.
12.52
Température d’application optimale : 15 °C à 25 °C.
Après application de la couche de base armée réalisée à l’aide du liant
KV20.
Température d’application maximale : 40 °C.
Hygrométrie maximale de l’air : 85 % HR.
Température du support : + 5 °C ≤ Ts ≤ 35 °C.
Pas de condensation : la température du support doit dépasser de 3°C
celle du point rosée.
12.3 Confection des mélanges des résines
12.31
Choix de la résine
En partie horizontale, on utilise les résines KS.
En partie verticale, on utilise les versions thixotropées KV.
12.32
Mélanges
Ils sont conditionnés dans des kits prêts à l’emploi. Les mélanges
résine + durcisseur sont réalisés à l’aide d’un agitateur mécanique
dont la vitesse de rotation n’excède pas 300 tr/mn pour limiter
l’inclusion de bulles d’air. Pour éviter les risques de mauvais mélanges,
il est recommandé d’homogénéiser la résine de base (le cas échéant
additionné de pâte colorante) puis d’ajouter le durcisseur à la résine et
de le mélanger 3 à 5 mn jusqu’à uniformité de teinte.
12
En paroi verticale de bac tampon ou goulotte
Saupoudrage immédiat et avant la fin de la DPU de la résine de silice
naturelle
Le lendemain, écrêtage au disque abrasif puis regarnissage à la
raclette caoutchouc à raison de 600 g/m² de KF210.
12.6 Application en relevé de plage
La hauteur des relevés est d’au moins 10 cm.
Le primaire sera appliqué comme précédemment. Dans la version tiré
à zéro, le liant est thixotropé au SYLOTHIX 53.
Réalisation d’un congé en enduit STRATILAC EL.
La couche de base armée sera réalisée à l’aide de bande VP45 de
20 cm de large. Le recouvrement sur la partie courante est au
minimum de 5 cm.
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
12.61
Relevé avec une plinthe à gorge en quartz
color (plage intérieure)
Plinthe
Dans ce cas, on réalise une plinthe à gorge insérée entre les couches
de KHIRAL de la manière suivante :
12.7 Joint de fractionnement et de retrait
Les joints de fractionnement des chapes seront de préférence réalisés
en joint sec. Les joints par profilé plastique seront assimilés à des
joints secs. Les joints sciés seront calfeutrés à l’aide d’une pâte
époxydique.
- Application en relevé d’un primaire saupoudré de silice,
- Réalisation d’un congé en enduit STRATILAC EL,
- Couche de base en relevé, armée et saupoudrée de silice,
- Application au sol de la couche de base armée saupoudrée de
silice,
- Réalisation à l’aide d’une « truelle à gorge » d’une gorge en
quartz color arrondie à l’aide du mortier de résine type D,
- Réalisation au sol de la couche de masse avec du quartz color,
- Application en plinthe de 2 couches de la couche de regarnissage
KV40,
- Application au sol de la couche de regarnissage incolore,
- Application du KF 200.
Arrêt en tête
Il se réalise de 2 manières :
- bloqué sous l’arrêt de la faïence ( la faïence doit être posée avant
l’exécution du KHIRAL) ;
- par un profil d’arrêt surmonté d’un mastic sanitaire.
Schéma 7 : Joint de retrait et de fractionnement
Schéma 5 - Relevé en plinthe sous carrelage en plage
Schéma 8 - Joint de retrait et de fractionnement en rénovation
Cas d’un ancien carrelage conservé
12.8 Joint de dilatation
Les joints de dilatation doivent figurer sur les plans gros-œuvre.
12.81
En bassin
Sauf techniquement obligatoire (bassin de 50 m en zone sismique), les
joints de dilatation sont à proscrire en neuf.
Note : les zones sismiques sont limitées aux zones de sismicité 1 et 2
(en zone 2 uniquement les bâtiments en catégorie d’importance I et
II).
En rénovation, le joint sera à 2 étages. Il comprendra du bas vers le
haut :
- une tôle Inox collée d’un côté à l’aide d’une pâte époxy ;
- système TECTOFLEX en 2 mm ;
- base armée interrompue au droit du joint ;
- mortier de résine ;
- couche de masse.
Les exemples donnés ci-après sont limités à des joints de largeur maxi
de 20 mm.
Schéma 6 - Relevé en plinthe sous peinture en plage
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
13
Schéma 9 - Joint de dilatation en bassin
12.82
Liaison bassin/plage
Le KHIRAL sera interrompu de part et d’autre du joint qui sera ponté à
l’aide du système TECTOFLEX. Dans ce cas, un décaissé sera prévu
dans le gros œuvre.
Le choix du type de couvre joint de dilatation est défini dans les DPM
(profilé ou calfeutrement mastic).
Dans le cas d’un ancien carrelage conservé, ce dernier est déposé de
part et d’autre du joint de dilatation pour retrouver l’élément porteur.
Le joint entre plage et bassin est traité à plat. Le long de la tête de
bassin, il est à 90°.
Schéma 11 - Joint de dilatation - Pied de tête de bassin
Entre tête de bassin et plage
Dans chaque cas, une étude particulière doit être réalisée notamment
pour le raccordement des joints à plat et l’équerre. Les liaisons en T et
en croix sont réalisées avec des pièces préfabriquées de Tectoflex.
et
Les joints sont toujours constitués :
- du système TECTOFLEX.
- d’un joint mastic.
- d’une protection par mastic ou profil préfabriqué.
12.83
Joint de dilatation en plage
Les joints de dilatation en plage ne doivent pas recouper les fils d’eau.
La mise en œuvre est identique à la liaison bassin/plage.
Schéma 10 - Joint de dilatation bassin/plage
Schéma 12 - Joint de dilatation en plage avec couvre joint
manufacturé
14
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12/12-1607
Schéma 15 - Goulotte sur bajoyer
Schéma 13 - Joint de dilatation en plage avec cornière
métallique
13. Traitement des points singuliers en
bassin
13.22
Goulotte sur plage
De nombreux modèles existent mais 2 principaux sont utilisés :
13.221
Système « Wiesbaden »
C’est un système sans margelle, qui existe en céramique ou en inox.
13.1 Traitement des angles rentrants en bassin
Un congé Stratilac EL sera réalisé avant la pose du KHIRAL en bassin.
Schéma 16- Goulotte Wiesbaden céramique
Schéma 14 - Angle rentrant
13.2 Traitement des goulottes
On distingue deux familles de goulottes.
13.21
Goulotte sur parois
on retrouve surtout ces goulottes dans les piscines
construites avant 1968 et dans les piscines privées.
publiques
Schéma 17 - Goulotte KHIRAL WG en inox
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
15
13.222
Système « Finlandais »
C’est un système de goulotte brise vague avec margelle immergée
Schéma 20 - fixation des échelles avec boitier sans collerette
Schéma 18 : Goulotte Finlandaise
13.3 Accroche doigts
Conformément à l’article 5.6.1 de la norme EN 15288-1, les bords du
bassin doivent comporter un système de prise pour les doigts
conforme à la norme EN 13451-1. Ce système est réalisé à l’aide du
profil KHIRAL AD en inox 316 L. Le profil doit être situé à moins de
300 mm du niveau de l’eau. En présence d’une goulotte Wiesbaden,
l’accroche doigts est intégré dans la goulotte.
Schéma 21 -Fixation des échelles avec boitier
avec collerette CK
13.42
Escaliers intégrés
Ils seront conformes au § 5.6.3.2 de la norme FN 15288-1.
Schéma 19 - Accroche doigts KHIRAL AD
sur goulotte Wiesbaden
Les marches auront une résistance à la glissance conforme à la norme
NF EN 13451-1 (voir tableau du § B.1). Les arêtes de marche seront
arrondies (rayon ≥ 3 mm).
Les fixations des mains courantes seront réalisées à l’aide de
scellements chimiques.
13.4 Accès au bassin
13.41
Échelles, marches
Elles seront conformes à la NF 13451-2. Les fixations dans le bassin
sont à éviter.
Les mains courantes, pour accéder aux échelles ou marches, seront
fixées soit dans la margelle, soit dans la plage. Si un joint de dilatation
existe entre le bassin et la plage, la fixation de l’échelle devra s’écarter
d’au moins 15 cm du JD.
16
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Schéma 22 – Escaliers
13.5 Plots de départ
Schéma 24 - Plot de départ en béton armé
Ils doivent être conformes à la norme NF EN 13 451-4.
On distingue 2 types de plot de départ : les plots préfabriqués
amovibles ou fixes.
Ils sont fixés sur le revêtement KHIRAL à l’aide de fixation chimique.
13.6 Fixation chimique
Les fixations traversant le revêtement KHIRAL seront de type
« chimiques » ce qui assure la continuité de l’étanchéité. Dans ce cas,
l’élément à sceller constitué d’un insert mâle ou femelle doit être
assorti lors du montage d’une sujétion de raccordement
complémentaire constitué par exemple d’une collerette ou rondelle
solidaire. L’excès de résine sous la pression de la collerette doit
recouvrir le KHIRAL.
Schéma 23 - Plot de départ préfabriqué
13.51
Les plots en Béton Armé.
Le revêtement KHIRAL habille tout le plot.
La surface supérieure ainsi que la partie supérieure de la face avant
auront une finition antidérapante conforme à la norme NF EN 13451-1.
Les chiffres peuvent-être dessinés en rapportant une couche de KF 210
à l’aide d’un pochoir ou être intégrés dans la couche de masse
(§ 10.23).
Schéma 25 - Fixation chimique
13.7 Raccordement sur les pièces à sceller
13.71
Principe
Les pièces à sceller sont composées de deux parties :
 une canalisation qui est scellée ou prise au coulage du béton. Cette
canalisation est recouverte sur toute la longueur de sable de silice
collé ;
 un embout qui est vissé ou collé sur cette canalisation et qui
débouche dans le bassin.
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Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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Raccordement à l’aide du porte buse KHIRAL
Le porte buse KHIRAL (KHIRAL PB) est une pièce qui est insérée entre
l’embout et la canalisation. Il comporte une collerette solidaire qui
permet d’encastrer la base armée par engravure.
Raccordement sur la canalisation
Ce cas est fréquent en rénovation.
Une réservation de 5 cm x 5 cm est créée autour de la canalisation.
La base armée habille la réservation et se retourne sur la canalisation.
Raccordement platine en PE
Fréquent en thalassothérapie, le raccordement du KHIRAL sur des
platines en polyéthylène demande un traitement spécial :
 Flammage du PE et application du dégraissant MC 365 en fine
couche ;
 Application de la couche de base armée sans saturation ;
 Mise en place de vis inox tous les 10 cm (en quinconce) ;
 Application de la couche de saturation.
13.72
Bouche de refoulement / aspiration
Ces accessoires doivent être conformes à la norme NF EN 13451-3. On
distingue 4 types de bouches :
 Entrée d’eau par le fond ;
 Entrée d’eau par le bajoyer. Elles sont situées à une distance
comprise entre le niveau d’eau et 80 cm en dessous ;
 Sortie d’eau par le fond ;
 Sortie d’eau par le bajoyer. Elles sont situées à une distance
comprise entre le niveau d’eau et 80 cm en dessous.
Schéma 27 - Prise balai
Les bouches compatibles avec le revêtement KHIRAL doivent de
préférence être filetées mâle pour un vissage dans un insert taraudé.
13.8 Ligne d’eau
Le boitier de fixation des lignes d’eau doit supporter une traction de
15 kN (art. 4.2 de la NF EN 13451-5).
L’implantation doit permettre aux flotteurs d’extrémités de la ligne
d’eau d’être à la surface de l’eau.
La couche de base armée est soit ancrée sur une collerette solidaire du
boitier, soit habillée de la réservation.
Schéma 26 - Bouche de refoulement
13.73
Prise balai
Cette prise qui permet de brancher le balai ou un robot de nettoyage
des parois est habituellement placée 30 cm au-dessus de la margelle
environ.
La prise doit être filetée mâle pour un vissage dans un insert taraudé.
Schéma 28 - Boitier de fixation des lignes d’eau
avec collerette CK
13.9 Hublot
Ils ont habituellement 2 fonctions :
 Surveillance sécurité et analyse du style des nageurs ;
 Eclairage par la mise en place d’un projecteur derrière le hublot.
Les hublots doivent disposer d’une platine périphérique pour recevoir
la base armée. Ils seront scellés dans une réservation gros-œuvre à
l’aide d’un mortier de scellement sans retrait conforme à la norme NF
EN 1504-6.
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Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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13.11 Haut parleur
Ils sont similaires aux projecteurs d’éclairage.
Schéma 29 - Hublot avec collerette CK
13.10 Projecteur d’éclairage immergé
Ils permettent surtout de nager en sécurité la nuit mais peuvent
également avoir des effets d’éclairage sur le plan d’eau.
On distingue les projecteurs :
 à incandescence,
 halogènes,
 fibres optiques.
Ils sont soit placés derrière un hublot (voir § 13.9), soit encastrés dans
le bajoyer. S’ils sont pris au coulage du béton, ils doivent comporter
une collerette solidaire pour permettre le raccordement de la base
armée ou permettre à la base armée de rentrer dans le boitier.
Schéma 31 - Haut parleur sous-marin
13.12 Evacuation fond de bassin
Dispositif installé au point bas de la piscine pour aspirer une partie de
la masse d’eau pour la recycler ou pour vidanger la piscine. Ce regard
doit être conforme à la norme NF EN 13451-3 et à l’article 4.9 de la NF
EN 13451-1.
On distingue 2 modèles :
 1 regard en béton fermé par une grille munie de percements de
Ø ≤ 8 mm
 Une boite préfabriquée (bonde de fond).
S’ils sont scellés dans une réservation, la base armée habillera cette
réservation.
Schéma 32 - Regard fond de bassin
13.13 Système anti noyade
Schéma 30 - Projecteurs sous marin
12/12-1607
Les caméras sont rapportées sur le revêtement KHIRAL et fixées par
chevilles chimiques.
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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Schéma 33 - Raccordement système anti-noyade
13.14 Fond mobile
Le KHIRAL habille la réservation.
Schéma 35 - Pédiluves PMR
15. Bac tampon
Placé à proximité de la piscine, il recueille en outre les eaux de
surverse des goulottes. Le bac tampon est équipé :
 d’une vidange,
 d’un trop plein,
 d’un évent de dégazage,
 d’une régulation de niveau,
 d’une trappe d’accès,
 d’une échelle.
Exposé à la pollution, il doit être nettoyé régulièrement. Le revêtement
adapté est le KHIRAL KB3 qui a une finition lisse.
16. TRAITEMENT DES POINTS SINGULIERS
EN PLAGE
16.1 Pente
Le plan de pente est réalisé en tenant compte :
 des exigences du § 8.4,
 du niveau du plan d’eau dans les bassins,
Schéma 34 - Ancrage pour fond mobile
14. Pédiluve
Le code de santé publique impose le passage obligatoire des baigneurs
dans un pédiluve contenant de l’eau désinfectante avant l’accès aux
bassins.
Les pédiluves pour PMR ont les caractéristiques minimales suivantes
(Saisine AFSSET n° « 2006/11 »).
 Hauteur d’eau maximale 15 cm,
 Longueur minimale 3 m,
 du niveau des locaux annexes,
 du type d’évacuation siphon ou caniveau à fente (voir annexes 6
et 7)
16.2 Raccordement sur siphon
Les siphons sont généralement disposés tous les 5 à 6 m environ en
partie centrale des plages dans une noue qui comporte une légère
pente de 0,5 % environ. Les pentes sont comprises entre 3 et 5 %
sauf au niveau de l’accès handicapé où elles sont limitées à 2 % (voir
exemple en annexe 5).
Note : pour les pentes voir § 8.4
Le raccordement sur siphons inox est réalisé avec le profil EP4S.
 Pente inférieure à 5 %.
Un pédiluve est équipé d’une arrivée d’eau, de préférence située au
dessus du relevé d’étanchéité et d’une vidange avec garde d’eau
amovible.
Le KHIRAL est relevé au minimum 10 cm au-dessus du niveau de
l’eau.
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Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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Schéma 36 - Raccordement siphon avec profil EP4S
Le raccordement sur siphon PVC se fait par pincement.
Schéma 38 - Etanchéité caniveau à fente et évacuation
Schéma 37 - Raccordement siphon PVC
16.3 Raccordement sur caniveau à fente
(KHIRAL CF)
Les caniveaux KHIRAL CF sont installés parallèlement aux bords du
bassin en une ou deux rangées suivant la largeur des plages. Une
simple pente de 3 à 5 % ramène les eaux de plage vers ces caniveaux
(voir exemple annexe 6).
Les caniveaux sont constitués d’éléments préfabriqués de 3 m
assemblés par un système de bride et contrebride et de pièces
spéciales (L, +, About…).
Les évacuations se font par piquage sous les caniveaux et sont
disposées tous les 6 m.
Schéma 39 - Caniveaux liaison par bride
16.4 Plinthe
Le KHIRAL est remonté verticalement sur au moins 10 cm (voir
§ 12.6) par rapport au niveau fini du revêtement.
16.5 Insert
Les gaines recevant les échelles, lignes de waterpolo et les drapeaux
sont scellées dans des réservations étanchées avec la base armée ou
par raccordement sur une collerette solidaire (avec collerette CK).
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Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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Schéma 42 - Avaleur de ligne d’eau
16.7 Bouche de soufflage
Les bouches de soufflage doivent être démontables pour leur
entretien. Le procédé KHIRAL s’arrête à la périphérie sur une cornière
adaptée collée à l’aide d’un adhésif époxy.
Schéma 40 - Gaine avec collerette CK
Schéma 43 - Bouche de soufflage
16.8 Insert pour sièges PMR
Les dispositifs de soulève-personne sont fixés au bord de plage dans
un insert adapté, qui comporte une platine pour recevoir la base
armée du KHIRAL.
Schéma 41 - Gaine sans collerette
16.6 Avaleur ligne d’eau
Le dispositif comportera le profil EP4S soudé en périphérie. Le
couvercle contient une réservation pour loger le revêtement KHIRAL et
assurer la résistance à la glissance.
22
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Schéma 44 - Insert PMR avec collerette CK
16.9 Raccordement sur menuiserie extérieure
Le KHIRAL se relève sur au moins 10 cm. La bavette de la menuiserie
vient le protéger en tête.
Au droit des portes, le KHIRAL s’arrête dans une engravure.
Schéma 46 - Arrêt sur porte extérieure
17. Résistance à la glissance
Un certificat de conformité est remis au Maître d’ouvrage. Il lui
appartient de faire mesurer périodiquement les rugosités et de prévoir
si nécessaire le renouvellement de la couche anti glissante.
Un contrat d’entretien est proposé par l’entreprise (voir § 24).
Lors de la réception du revêtement KHIRAL, la résistance à la glissance
est contrôlée de la manière suivante :
Les zones planes :
 Fond de bassin.
- Marche d’escalier.
- Fond de pédiluve.
- Plages.
Le contrôle est effectué à l’aide du FSC 2000, le coefficient du
frottement doit être conforme au tableau du § B.1.
 Les bajoyers
La rugosité sur les zones de retour de nage sera contrôlée
tactilement par comparaison à un étalon témoin.
18. Contrôle de la mise en œuvre
18.1 Contrôle des conditions d’ambiance (fiche
de contrôle n° 7)
La mise en œuvre du procédé KHIRAL exige que les conditions
suivantes soient satisfaites :
Pour les résines époxydiques
Schéma 45 - Relevé de menuiserie extérieure
Température ambiante Ta
:
Humidité relative
:
+ 10° C < Ta  40° C
Température du support
:
+ 5°C ≤ Ts ≤ 35°C
Température au point de rosée Td
:
Ts  Td + 3° C
HR  85 %
Le contrôle s’effectue à l’aide d’un psychromètre qui mesure les
paramètres Ta, HR, Ts et calcule Td
18.2 Contrôle de la polymérisation des couches
de KHIRAL
La bonne polymérisation des résines époxydiques se vérifie le
lendemain après la mise en œuvre, par sondage tactile. Le film
polymérisé est dur et légèrement collant. Une mauvaise polymérisation
se constate par une consistance molle, plastique et de la résine qui
« colle » à la peau. En cas de doute, faire une mesure de la dureté
shore D (FC n° 10).
Note : contrôle non formalisé sauf si la remise en eau s’effectue
plus de 5 jours après séchage du revêtement KHIRAL.
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
23
 dès que la température descend en dessous de 15 °C : on effectue,
bassin en eau, un nettoyage complet ;
18.3 Contrôle d’étanchéité (fiche de contrôle
n° 8)
Le contrôle de l’étanchéité est réalisé de la manière suivante :
Le contrôle de porosité est réalisé à l’aide d’un balai diélectrique. La
surface de la couche de base armée est balayée sous une tension de
7,5 kV. L’apparition d’un arc électrique et d’un signal sonore détecte la
présence d’une porosité dans l’étanchéité. Le pinhole est alors repéré
en le cerclant au crayon puis obturé à la pâte époxy.
Description
Matériel
1A
Réception
des
supports
hydraulique
en bassin
Mètre règle
inclinomètre
1B
Réception
des
supports
hydraulique
en plage
Mètre règle
inclinomètre
2
3
Cohésion
superficielle
Porosité à la
goutte d’eau
Dynamomètr
e à soufflet
Compte
goutte
Norme
Humidité
massique
Bombe au
carbure
5
Largeur des
fissures
Fisurotest
Fréquence
Observ.
Voir fiche
systémati
que
Avant
travaux
Voir fiche
systémati
que
Avant
travaux
DTU
Fascicule
74
DTU
Fascicule
74
NF P 18852/858
NF EN
1542
DTU 54-1
chronomètre
4
Spécifications
Méthode
B1 du
DTU 53-2
ou DTU
54-1
1,5 MPa Bassin
1 MPa - Plage
A chaque
coulage
du béton
et au
minimum
tous les
250 m²
60 < Am <
240
A chaque
coulage
du béton
et au
minimum
tous les
250 m²
Hm ≤ 4,5 %
En cas de
doute
pour
l’utilisatio
n du
KS10 ou
KS10T
lf< 0,3 mm
Toutes
les
fissures
1
mesure
=
3
Pastilles
1
mesure
=
5
Gouttes
6
Adhérence
NF P 18852/858
1 MPa plage
1,5 MPa bassin
HR < 85%
7
8
Conditions
d’ambiance
Continuité
de
l’étanchéité
Psychomètre
à 2 sondes
Balai
diélectrique
NF EN
ISO
13788
ASTM
D4787
10°C ≤ T1 ≤
40°C
Repérer
sur plan
les
fissures lf
> 0,3
mm
3
pastilles
=
Glissance
FSC 2000
Voir § B.1
Voir §17
Dureté
Shore D
Duromètre
NFEN
868
11
Epreuve à
l’eau
Jauge
graduée
Fascicule
74
Voit FT produit
Remise
en eau
Voir § 21
A la
demande
Le bassin sera rempli d’eau en respectant la procédure suivante
conforme à celle décrite à l’article XV.1.1.2. du fascicule 74
n° 98-3 TO.
 Obturer toutes les évacuations y compris celles de la goulotte,
21.2 Epreuves à l’eau
Conformément à l’article XV.1.1.2. du fascicule 74 n° 93-3 T0, le
constat doit être réalisé au bout de 10 jours d’immersion.
Deux types de contrôles sont effectués :
- humidité sur parois (à l’extrados de l’ouvrage).
Ils sont formalisés sur l’imprimé « Procès verbal des épreuves d’essais
à l’eau » joint en Annexe 1 fiche de contrôle n°11.
21.21
Stabilité du niveau d’eau
 Une jauge graduée en mm est fixée sur la structure de l’ouvrage. Sa
partie inférieure est immergée dans l’eau. On mesure les variations
du niveau toutes les 24 heures ;
 Le débit admissible Db est de 250 cm³ par m² de surface mouillée
(Sm ) par 24 heures ;
 On a donc en litre par 24 heuresDb = 0,250 Sm ;
=
3 allers
retour
10
21.1 Remplissage
Dès qu’il n’y a plus de perte d’eau par les canalisations, on vérifie la
stabilité du niveau d’eau suivant la procédure ci-dessous :
1
mesure
9
La mise en service du bassin et des plages peut avoir lieu après
5 jours de séchage du revêtement KHIRAL. Le délai de 5 jours peut
être réduit et la remise en eau peut-être réalisée dès que l’on a atteint
la dureté shore D maximale de la couche de masse. Si une épreuve à
l’eau est demandée, elle sera réalisée selon la procédure suivante :
Pendant le remplissage et durant les premiers jours qui suivent, le
Maître doeuvre fait vérifier l’étanchéité des canalisations, vannes, etc.
Local
chauffé :
1 fois par
semaine
Toute
surface
après
polyméris
ation
21. Mise en service, épreuve a l’eau
- stabilité du niveau d’eau.
1 mesure
bajoyer
en plage
tous les
250 m²
Voir fiche
 La pose d’une bâche d’hiver peut renforcer la protection au gel
(consulter les fabricants pour le choix et le type de bâche adapté à
la piscine).
Note : ne pas remplir d’eau froide un bassin soumis à une forte
chaleur.
1
mesure
T2 ≥ Td +3°C
 conformément aux commentaires de l’article VI.3 du fascicule 74,
par très grand froid, la couche de glace est à briser dès qu’elle
atteint 3 cm d’épaisseur ;
 Remplir jusqu’au dessus des goulottes.
1 mesure
fond de
bassin
Local non
chauffé :
matin,
midi
T2 ≥ 5°C
 lorsque le niveau de l’eau est descendu sous le niveau (10 à 20 cm)
des prises balai et de refoulement, avec vidange complète des
canalisations. Mettre des bouchons d’obturation sur les prises.
 Remplir le bassin en continu à la vitesse maximale de 1 m par jour,
Sol
résine
existant
Dynamomètr
e à soufflet
 on ajoute un produit d’hivernage pour éviter la prolifération des
algues (consulter les fabricants pour le mode opératoire) ;
 on dispose sur l’eau, à la périphérie du bassin, des flotteurs
compressibles pour éviter la pression de la glace sur un revêtement
KHIRAL ;
19. Récapitulatif des contrôles
N°
 l’eau est ensuite traitée par une chloration choc et un ajustement
de pH ;
20. Hivernage des piscines extérieures
Les bassins de piscines extérieures non chauffées doivent être mis en
« hivernage » dès que la température extérieure commence à
descendre en dessous de 15 °C (cf. Art. VI.3 du fascicule 74).
Deux techniques sont utilisées :
L’hivernage actif
Un système met l’eau en circulation pour éviter qu’elle ne gèle dès que
la température descend en dessous de quelques degrés.
 Si S est la surface du plan d’eau en m², la variation maximale e en
mm par 24 heures du niveau du plan d’eau est S.e = 0,250 Sm ;
 Si e est la variation relevée on aura e<e
;
Cette inégalité doit être satisfaisante au bout de 10 jours.
Sm
e<0,250
e en mm
S
S et Sm en m²
21.22
Présence d’humidité sur les parois
Les parois ne doivent pas présenter de suintements d’eau. Toutefois,
des tâches humides sans écoulement ne font pas obstacle à la
réception. En effet, la mise en eau provoque, en règle générale,
l’expulsion d’une partie de l’eau occluse dans les bétons avant mise en
place du revêtement KHIRAL. Le délai d’évacuation peut atteindre
1 mois.
L’eau occluse provient des anciennes fuites, des travaux de décapage
et de la mise en eau avant l’étanchéité.
Ce système doit être fourni et mis en place par une société spécialisée.
L’hivernage passif
Cet hivernage classique est réalisé :
24
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
22. Produits chimiques dans l’eau du bassin
Conformément au § 6.1.11 de la norme NF EN 15288-2, des produits
chimiques doivent être injectés dans l’eau du bassin afin que la qualité
de l’eau soit conforme à la réglementation en vigueur.
Le code de la santé publique impose une autorisation pour les produits
de traitement de l’eau. Ceux qui possèdent aujourd’hui une telle
autorisation et pour lesquels le procédé KHIRAL a été testé sont :
 Le chlore sous ses différents formes (chlore gazeux, eau de Javel,
hypochlorite de calcium) ;
 Les dérivés d’acide isocyanurique (parfois également surnommés
« chlore choc » pour l’acide diisocyanurique et « chlore lent » pour
l’acide triisocyanurique)
Des détails concernant les concentrations autorisées peuvent être
trouvées dans le guide de l’AFSSET intitulé Risques sanitaires liés aux
piscines - Évaluation des risques sanitaires liés aux piscines- Partie 1 :
piscines réglementées daté de juin 2010.
Le revêtement KHIRAL résiste aux produits ci-dessus dans le cadre
d’une utilisation normale.
- les conditions de stockage de ces produits et le local utilisé à cet
effet ;
- les règles de sécurité relatives à leur utilisation.
La gamme de produits de nettoyage proposée ici est issue de la
gamme de produits de DIVERSEY et a été testée sur le revêtement
KHIRAL.
23.31
Fréquence
La fréquence de chacune de ces opérations doit être définie pour
chaque zone et consignée dans le plan de nettoyage de la piscine. Un
exemple de fréquence est proposé ci-dessous. Il est à adapter en
fonction du type de piscine et de sa fréquentation.
Fréquences minimales conseillées des opérations d’entretien à adapter
au type d’établissement :
Opération
Lieu
Nettoyage
Désinfection
Pédiluves
23. Entretien des revêtements KHIRAL en
bassin
Détartrage


Vidange
Décapage
(machine)

23.1 Préambule


A la suite de la réception, les travaux d’entretien lors des vidanges
incombent au Maître d’ouvrage. Comme tous les ouvrages
d’étanchéité, ils comportent des visites périodiques au moins
semestrielles pour le bassin.
Bassin et
bac
tampon


Minimu
m:

2 fois
par an
Observations
Pour de fortes
fréquentations le
pédiluve doit être
nettoyé plusieurs
fois par jour.
Nettoyage par
brossage des parois
et des goulottes,
passage de
l’aspirateur ou du
robot.
Nettoyage du bac
tampon lors de la
vidange
semestrielle.
La Société SPPM fournit une notice d’entretien propre à chaque piscine.
23.2 Condition de service
 Plusieurs fois par jour
 Quotidien
Le personnel intervenant sur le revêtement KHIRAL doit être équipé de
bottes à l’exclusion de toutes chaussures munies d’antidérapants
métalliques.
 Hebdomadaire
 De mensuel à Semestriel
L’outillage ou le matériel d’entretien ne devra être ni contendant, ni
coupant.
Note : certains bassins (thérapeutiques par exemple) peuvent exiger des
fréquences plus élevées.
23.32
Nettoyage sans vidange
Les pieds d’échelles ou de l’échafaudage devront être munis de
caoutchoucs de protection.
Nettoyage du bassin : bajoyer, radier, goulotte et margelle immergée
doivent être brossés, aspirés ou passés au robot.
La fréquence de nettoyage doit être adaptée à la vitesse
d’encrassement de manière à éviter les gros nettoyages nécessitant
l’utilisation de moyens risquant de blesser le revêtement KHIRAL.
Nettoyage du pédiluve : utilisation du « JONTEC
DEGRAISSANT » de chez DIVERSEY de la manière suivante :
 Appliquer le produit à la brosse ou par aspersion.
Eviter les vidanges :
 Brosser le revêtement à l’aide d’une brosse dure.
- de trop longue durée (plusieurs semaines),
 Rincer abondamment avec de l’eau potable.
- lors de période de grand froid ou de forte chaleur en piscine
extérieure.
 Racler l’eau (utilisation d’une raclette).
La vidange doit s’effectuer en continu à la vitesse maximale de
1 m/24 h.
Les bassins extérieurs doivent être gardés en eau lors de la fermeture
(voir Article 20 hivernage).
Remise en eau :
- Si la température du bassin est chaude et que le remplissage est
réalisé à l’aide d’eau froide, et pour éviter les chocs thermiques,
refroidir les parois du bassin ;
- Attendre le matin pour une piscine extérieure soumise à la chaleur
du soleil ou asperger les parois d’eau froide pour les piscines
situées au-dessus d’un local technique chaud.
23.3 Entretien
L’entretien comprend une visite préalable des ouvrages (radier,
bajoyer, goulotte, margelle immergée, pédiluve) pour déterminer,
suivant l’importance de l’encrassement, les travaux nécessaires à
effectuer pour éliminer les salissures et les microorganismes présents
sur les différentes surfaces.
Il doit comporter deux phases distinctes :
- nettoyage et désinfection,
- détartrage.
Il faut que chaque responsable établisse un plan de nettoyage adapté
aux caractéristiques des différentes zones d’accueil du public. Le plan
doit comporter les indications suivantes :
- l’établissement, ainsi qu’un plan de repérage des locaux ;
produits
d’entretien
utilisés
et
le
nom
du
- le lieu d’application des produits ;
- la fréquence d’utilisation des produits ;
- le mode d’emploi de chacun des produits ainsi que leur mode
d’application ;
12/12-1607
Nettoyage lors des vidanges
Nettoyage et désinfection
 Prélavage et élimination des grosses salissures.
 Lavage avec brossage énergique.
 Rinçage et élimination des salissures et des produits de nettoyage.
- Remplir le bassin en continu à la vitesse maximale de 4 cm/h ;
- la nature des
fournisseur ;
23.33
STRIDE
Exemple d’application du détergent désinfectant « Sprint DS 5001 » de
chez DIVERSEY : dosage 50 ml pour 10 L de solution (0.5 %).
Augmenter localement la concentration pour les salissures tenaces.
Applications :
 Manuelle : doser le produit dans un pulvérisateur rempli d’eau.
Pulvériser la solution sur une chiffonnette propre et essuyer. Utiliser
une éponge pour les salissures tenaces. L’utilisation d’un balai à
poils durs type balai brosse est possible, mais le balayage à sec est
à proscrire.
 Machine (autolaveuse/monobrosse) :
Autolaveuse : Doser le produit dans le réservoir de l'autolaveuse
rempli d'eau et appliquer la solution au sol par étalement. Laisser
agir de 5 à 10 minutes, sans laisser sécher la solution au sol puis
mettre en fonction l’aspiration de l’autolaveuse pour enlever les
eaux résiduelles de lavage (travailler par bandes se chevauchant).
Monobrosse : Appliquer la solution de produit au sol puis frotter la
surface à nettoyer Laisser agir de 5 à 10 minutes. Puis frotter une
seconde fois et aspirer directement les eaux résiduelles au moyen
d’un aspirateur à eau. Rincer les surfaces traitées à l’eau, puis
utiliser de nouveau un aspirateur à eau ou racler les eaux
résiduelles.
Ne pas utiliser de disque abrasif (ni marron, ni noir) pour le
nettoyage mécanisé.
L’utilisation d’une machine est possible sur le fond de bassin. Les
voiles peuvent être nettoyés avec de l’eau sous pression (inférieure à
50 bars).
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
25
La gamme de produits de nettoyage proposée ici est issue de la
gamme de produits de DIVERSEY et a été testée sur le revêtement
KHIRAL.
Détartrage
 Application du produit détartrant.
 Rinçage.
Exemple d’utilisation du détartrant « SANI SID PUR-ECO » de chez
DIVERSEY :
 Dosage : de 0.5% à 8%
Application :
- Doser le produit dans un seau rempli d'eau ;
- Appliquer la solution sur la surface à l'aide d'une éponge ou d'une
chiffonnette ;
- Laisser la solution agir quelques minutes ou frotter la surface à
l’aide d’un balai à poils dur. Le balayage à sec est à proscrire.
Traiter localement les dépôts épais avec un tampon approprié ;
- Rincer abondamment à l'eau claire et laisser sécher.
Le contact du produit ne devra jamais dépasser 10 minutes, ni la
concentration maximale de 8%.
Un contact trop concentré et/ou trop long peut entrainer une
coloration permanente du revêtement KHIRAL.
Regard de fond de bassin
Retirer la grille d’aspiration, la nettoyer à l’eau claire pour éliminer
toutes les souillures organiques et minérales, brosser avec « JONTEC
STRIDE dégraissant », laisser agir 15 minutes puis rincer à l’eau claire.
Racler l’eau résiduelle vers les évacuations.
Le regard sera nettoyé comme le bassin.
Nettoyage des accessoires
Dans tous les cas de nettoyage des plages, les produits et eau de
rinçage devront être évacués soit par un aspirateur à eau (dans le cas
d’utilisation d’une machine de type monobrosse), soit aspirés par la
fonction d’aspiration d’une autolaveuse, soit évacués ou raclés vers les
siphons des plages. Ces eaux de lavage ne doivent JAMAIS entrer en
contact avec l’eau du bassin (selon le type de traitement de l’eau, des
réactions sont possibles entre l’eau du bassin et les eaux de lavages).
Ne pas utiliser de disque abrasif (ni marron, ni noir) pour le nettoyage
mécanisé.
24.2 Nettoyage et désinfection
Il y a lieu de se référer aux fiches techniques et Fiches de Données de
Sécurité des produits pour obtenir les recommandations relatives aux
précautions de manipulation et d’élimination des produits cités ciaprès.
24.21
Partie courante
Fréquence
La fréquence de chacune de ces opérations doit être définie pour
chaque zone et consignée dans le plan de nettoyage de la piscine. Un
exemple de fréquence est proposé ci-dessous. Il est à adapter en
fonction du type de piscine et de sa fréquentation.
Fréquences conseillées des opérations d’entretien à adapter au type
d’établissement :
Opération
Nettoyage
Les accessoires (buse, hublot, éclairage, garde corps, barre de
maintien…) sont habituellement en matière plastique ou en inox.
Lieu
Les matières plastiques se nettoient avec les mêmes produits que le
KHIRAL.
Vestiaires

Les inserts et accessoires en inox se nettoient généralement avec les
mêmes produits que le revêtement KHIRAL.
Casiers

Désinfect°
Détartrage
Décapage

Après chaque classe pour les
piscines scolaires et en
fonction de la fréquentation
pour les piscines publiques


Fréquence à adapter selon la
fréquentation. Ne pas oublier
de nettoyer les siphons de
sol : ôter le cache, nettoyer et
désinfecter à l’eau de javel.

Fréquences à adapter selon la
fréquentation

Fréquence à adapter selon la
fréquentation. Ne pas oublier
de nettoyer les siphons de
sol : ôter le cache, nettoyer et
désinfecter à l’eau de javel.
Quelques précautions sont tout de même à observer :
 En cas de surface polie, frotter avec un chiffon doux dans le sens du
polissage. Eviter l’utilisation de laine de fer ou d’objet dur
susceptible de rayer la surface de l’inox ;
 Eviter tout contact avec un autre élément métallique ;
 Ne pas utiliser l’eau du bassin pour nettoyer les inserts en inox,
mais utiliser de l’eau du robinet (voire de l’eau déminéralisée pour
les surfaces inox avec finition très lisse) ;
 Eviter tout contact avec des produits contenant du chlore (eau du
bassin en cas de traitement au chlore, eau de Javel, …) ;
 Rincer abondamment à l’eau du robinet (ou eau déminéralisée) à la
fin du nettoyage. Si possible, sécher à l’aide d’un chiffon pour éviter
les traces.
Les accessoires vissés sur les portes buses KHIRAL PB seront dévissés
lors
de
l’entretien
semestriel.
Les
parties
en
contact
(accessoires/KHIRAL) seront brossées et désinfectées.
Pour les accessoires comportant des parties amovibles ou des grilles,
suivre les instructions des fabricants.
24. Entretien des revêtements KHIRAL en
plages
L’entretien est à la charge de l’utilisateur des locaux. On trouvera ciaprès des dispositions générales applicables aux piscines courantes à
caractère privatif ou collectif. L’entretien consiste à éliminer les
salissures et les micro organismes présents sur les différentes
surfaces.
Il doit comporter deux phases distinctes :
- nettoyage et désinfection ;
- détartrage.
Il faut que chaque responsable établisse un plan de nettoyage adapté
aux caractéristiques des différentes zones d’accueil du public. Le plan
doit comporter les indications suivantes :
- l’établissement, ainsi qu’un plan de repérage des locaux ;
produits
d’entretien
utilisés
et
le
nom

Zones de
circulation

Plages


 Plusieurs fois par jour
 Hebdomadaire
 Quotidien
 De mensuel à Semestriel
Nettoyage et désinfection
 Prélavage et élimination des grosses salissures.
 Lavage avec brossage énergique.
 Rinçage et élimination des salissures et des produits de nettoyage.
Exemple d’application du détergeant désinfectant « Sprint DS
5001 » de chez Diversey : dosage 50mL pour 10L de solution
(0.5%). Augmenter la concentration pour les salissures tenaces.
Applications
24.1 Préambule
- la nature des
fournisseur ;
WC et
douches
du
- le lieu d’application des produits ;
 Manuelle : doser le produit dans un pulvérisateur rempli d’eau.
Pulvériser la solution sur une chiffonnette propre et essuyer. Utiliser
une éponge pour les salissures tenaces. L’utilisation d’un balai à
poils durs type balai brosse est possible, mais le balayage à sec est
à proscrire.
 Machine (autolaveuse/monobrosse) :
Autolaveuse : Doser le produit dans le réservoir de l'autolaveuse
rempli d'eau et appliquer la solution au sol par étalement. Laisser
agir de 5 à 10 minutes, sans laisser sécher la solution au sol puis
mettre en fonction l’aspiration de l’autolaveuse pour enlever les
eaux résiduelles de lavage (travailler par bandes se chevauchant).
Monobrosse : Appliquer la solution de produit au sol puis frotter la
surface à nettoyer Laisser agir de 5 à 10 minutes. Puis frotter une
seconde fois et aspirer directement les eaux résiduelles au moyen
d’un aspirateur à eau. Rincer les surfaces traitées à l’eau, puis
utiliser de nouveau un aspirateur à eau ou racler les eaux
résiduelles. Ne pas utiliser de disque abrasif (ni marron, ni noir)
pour le nettoyage mécanisé.
- la fréquence d’utilisation des produits ;
Détartrage
- le mode d’emploi de chacun des produits ainsi que leur mode
d’application ;
 Application du produit détartrant.
- les conditions de stockage de ces produits et le local de stockage ;
 les règles de sécurité relatives à leur utilisation.
26
Observations
(machine)
 Rinçage.
Exemple d’utilisation du détartrant « Sani Sid Pur-Eco » de chez
Diversey : dosage de 0,5 % à 8 %.
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Application
 Doser le produit dans un seau rempli d'eau.
 Appliquer la solution sur la surface à l'aide d'une éponge ou d'une
chiffonnette.
 Laisser la solution agir quelques minutes ou frotter la surface à l’aide
d’un balai à poils dur. Le balayage à sec est à proscrire. Traiter
localement les dépôts épais avec un tampon approprié.
 Rincer abondamment à l'eau claire et laisser sécher.
Le contact du produit ne devra jamais dépasser 10 minutes, ni la
concentration maximale de 8 %.
Un contact trop concentré et/ou trop long peut entrainer une
coloration permanente du revêtement KHIRAL.
24.22
Siphons et caniveaux
Les inserts avec éléments escamotable seront régulièrement aspirés et
désinfectés.
24.3 Nettoyage approfondi du revêtement
KHIRAL en plages
Lorsque le sol est très encrassé ou comporte des tâches tenaces, il
peut être rénové à l’aide de JD ACTIVAL.
Appliquer JD ACTIVAL à la concentration maximale de 5 % dans les
zones encrassées.
Laisser agir puis brosser à l’aide d’une brosse à poils durs.
Rincer abondamment à l’eau potable.
Racler (utilisation d’une raclette).
24.4 Détachage
24.41
Désinfection
Nettoyer et rincer à l’eau claire les surfaces pour en éliminer toutes les
souillures organiques, minérales, etc.
Doser l’eau de javel à 12° chlore dans la proportion de 0,5 l de javel
pour 10 litres d’eau froide, ou utiliser le détergent dégraissant « Sprint
DS 5001 » de chez Diversey.
Laisser agir pendant 10 minutes et puis rincer abondamment à l’eau
pure froide pour éliminer toute trace de chlore au contact de l’inox.
Traces laissées par frottement de semelles et
roulettes en caoutchouc
C'est surtout dans les premiers temps que le sol peut être marqué par
des transferts de caoutchouc.
Un bon entretien, avec un produit détergent neutre type « JONTEC
ASSET », les élimine normalement peu à peu.
24.42
Ne jamais utiliser d’eau chaude pour cette désinfection.
Dépôts ponctuels de goudrons, bitumes, fuel
ou taches rebelles
Employer, pur, sur les dépôts localisés, un nettoyant spécifique type
«SPRINT SPITFIRE». Pulvériser et frotter. Rincer.
Nettoyage
 Se munir de gants de protection, d’une éponge et d’un seau.
 Pour avoir accès à la cuvette il faut enlever la rosette qui sera
nettoyée séparément.
 Eponger l’eau stagnante dans la garde d’eau.
24.43
Traces de ciment, plâtre et enduits
Nettoyer à l'aide d'un mélange eau tiède + détergent acide non
moussant «SANI CALC D5», dilué à 10 %. Brosser, puis rincer.
 Retirer les déchets se trouvant au fond de la cuvette.
24.44
 Nettoyer soigneusement la cuvette. Toute apparition de point
suspect doit être gommée à l’aide de produits de nettoyage et de
passivation. Il est conseillé de faire appel à des professionnels. Il
faut naturellement éviter le contact d’éléments ferreux (brosse
métallique, toile émeri usagée, tampon Jex, etc.) et de tout ce qui
est susceptible de provoquer des rayures.
Les chewing-gums peuvent être retirés à l'aide d'une bombe
réfrigérante (TAPI GUM) et/ou d'une brosse métallique ainsi qu'une
spatule.
 Rincer abondamment avec une eau potable (non chargée en
chlorure) si possible chaude.
 Compléter la garde d’eau et recomposer le siphon sans oublier la
cloche ou le panier.
 Renouveler la garde d’eau aussi souvent que nécessaire pour éviter
le croupissement ou l’évaporation.
24.23
Caniveau à fentes
Le caniveau est nettoyé de la manière suivante :
 Tous les jours, nettoyage par le haut à l’aide d’un jet bouton. On
part du milieu des 2 évacuations vers l’évacuation.
 Toutes les semaines, aller sous la piscine pour nettoyer les débris
accumulés dans les siphons par dévissage du tampon par le
dessous.
 Tous les 6 mois, désinfection et nettoyage du caniveau à l’aide d’un
furet de nettoyeur HP. Un accessoire est fourni pour faciliter
l’introduction du furet.
24.45
Chewing-gum
Traces d’émulsions vinyliques ou acryliques
Verser sur les tâches un décapant type « JONTEC N° 1 ». Laisser agir
5 minutes, brosser, puis aspirer ou essuyer. Sinon Sprint Spitfire.
Rincer
Dans le cas de traces importantes, utiliser un produit décapant type
« JONTEC n°1 » avec une méthode mécanisée (monobrosse).
Appliquer, brosser puis rincer.
24.46
Autres traces tenaces
II suffit de déterminer logiquement, selon la nature de la tache, quel
est le produit apte à la dissoudre sans altérer le support.
Dans tous les cas, si vous avez besoin de plus amples informations
concernant l'entretien spécifique du KHIRAL, consulter la Société
SPPM.
25. Maintenance / Réparation
Les accessoires (échelle, insert, avaleur de ligne d’eau…) sont
habituellement en matière plastique ou en inox.
Les fonctions revêtement et étanchéité du procédé KHIRAL ne peuvent
être durablement satisfaites que si les bassins sont surveillés
régulièrement au cours de leur exploitation et si leur usage est
conforme à leur destination initiale. Il comporte des visites périodiques
de surveillance au moins une fois l’an. L’entreprise applicatrice
propose systématiquement un contrat d’entretien. Le Maître
d’ouvrage peut leur confier cette prestation
Les matières plastiques se nettoient avec les mêmes produits que le
KHIRAL.
25.1 Bassins
Les inserts et accessoires en inox se nettoient généralement avec les
mêmes produits que le revêtement KHIRAL.
Au cours de ces visites seront en particuliers vérifiés les points
suivants :
Quelques précautions sont tout de même à observer :
Intérieur du bassin, goulotte
24.24
Accessoires
 En cas de surface polie, frotter avec un chiffon doux dans le sens du
polissage. Eviter l’utilisation de laine de fer ou d’objet dur
susceptible de rayer la surface de l’inox.
 Eviter tout contact avec un autre élément métallique.
 Ne pas utiliser l’eau du bassin pour nettoyer les inserts en inox,
mais utiliser de l’eau du robinet (voire de l’eau déminéralisée pour
les surfaces inox avec finition très lisse).
 Eviter tout contact avec des produits contenant du chlore (eau du
bassin en cas de traitement au chlore, eau de Javel,…).
 Rincer abondamment à l’eau du robinet (ou eau déminéralisée) à la
fin du nettoyage. Si possible, sécher à l’aide d’un chiffon pour éviter
les traces.
Pour les accessoires comportant des parties amovibles ou des grilles,
suivre les instructions des fabricants.
12/12-1607
- Etat général du revêtement.
- Présence de fissures, éclats, coupures, cloques, dégradations.
- Raccordement sur tous les inserts : fissures, décollements, rouille.
- Etat des scellements : déchaussement, rouille.
- Etat des surfaces antidérapantes.
Extérieur du bassin
- Si le bassin est visitable par l’extérieur (présence de galerie
technique)
- Fuites au droit des inserts.
- Présence de fissures infiltrantes ou non.
En cas de défaut constaté, le Maître d’Ouvrage fera
entreprendre sans délai les réparations nécessaires en
conformitées avec les prescriptions décrites ci après.
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
27
Réparation
25.33
Les revêtements KHIRAL sont réparables. La réparation s’effectue de la
manière suivante :
Toujours reprendre le KHIRAL de façon judicieuse, soit en créant une
forme géométrique (carré, triangle, rectangle), soit en changeant de
mélange de coloris pour démarquer.
 Repérer la zone constatée et la délimiter avec un scotch en mordant
d’au moins 10 cm sur la zone saine. La zone saine aura une forme
polygonale simple (carré ou rectangle).
 Enlever la partie déposée et poncer jusqu’à retrouver l’armature.
Reprise localisée du revêtement
Pour ce :
 Tronçonnage au pourtour de la zone à réparer ;
 Restaurer l’armature puis refaire la couche de masse.
 Dépose du revêtement par tout moyen manuel, piquage, rabotage
suivant les surfaces et les délais ;
Modification des ouvrages ou des accessoires
 Démolition du support s’il est défectueux ;
En cas de modification qui dégradent le revêtement, il y a lieu
d’appeler l’entreprise pour réassurer la continuité de l’étanchéité et de
la finition.
Si de nouveaux scellements doivent être réalisés, ils doivent être
effectués à l’aide de résines époxydiques. L’étanchéité du scellement
est de la responsabilité de l’entreprise qui a effectué les travaux.
25.2 Plages
Les fonctions sol et étanchéité du procédé KHIRAL Plage ne peuvent
être durablement satisfaites que si les ouvrages sont surveillés
régulièrement au cours de leur exploitation et si leur usage est
conforme à leur destination initiale.
L’entretien comporte des visites périodiques de surveillance au
moins une fois par an.
Au cours de ces visites seront en particulier vérifiés les points
suivants :
 Sol : rayures, fissures, éclats, coupures, dégradations, la glissance.
 Plinthes : angles cassés, éclats, décollements, état des mastics,
 Dés et socles : éclats, décollements, fissures, état des mastics de
calfeutrement.
 Pieds d’huisserie : éclats, décollements.
 Joint de dilatation : épaufrures, désaffleures, décollements, état des
mastics.
 Scellements : déchaussements, rouille.
 Siphons et caniveaux : leur bon fonctionnement,
raccordement au KHIRAL : fissures, décollements.
l’état
du
Note : tout changement d’évacuation nécessite la reprise du
KHIRAL.
 Raccordement aux autres revêtements : fissures, décollements.
Zones difficilement accessibles : socle ou dés sous matériel, les
recoins. Les zones doivent être systématiquement nettoyées et
vérifiées.
En cas de défaut constaté, le Maître d’Ouvrage fera entreprendre sans
délai les réparations nécessaires en conformité avec les prescriptions
décrites ci-après.
Note : Quel que soit le type de réparation, celle-ci aura un aspect et
une texture différente du revêtement existant.
Les travaux de maintenance nécessitent l’utilisation de solvant et des
temps d’attente pour la polymérisation des résines, ils ne peuvent être
réalisés que pendant un arrêt d’exploitation.
Les mastics doivent être régulièrement déposés et remplacés.
Note : En cas d’urgence, une dégradation peut être reprise pendant la
nuit à l’aide de résines méthacrylates (système KHIRAL KP5 non décrit
dans le présent Avis Technique), consulter la Société SPPM.
25.3 Dégradations localisées affectant
l’épaisseur du revêtement
25.31
Rayures profondes ne nécessitant pas de
reprise du revêtement
La cause doit d’abord être recherchée et éliminée par l’utilisateur.
 Ragréage localisé à l’aide d’un mortier de résine ;
 Application du KHIRAL suivant la méthodologie décrite dans le
présent dossier technique. La couche de finition doit chevaucher
d’environ 1 cm les parties non déposées au pourtour de la reprise.
25.4 Dégradations superficielles
Rechercher d’abord la cause de la dégradation puis l’éliminer ou la
traiter.
Le traitement s’effectue de la façon suivante :
 Nettoyage de l’ensemble de la surface : il doit être adapté au degré
d’encrassement. Il doit permettre de dégraisser le revêtement et
d’éliminer les taches tenaces.
 Ponçage mécanique de l’ensemble de la surface jusqu’à la base
armée.
 Renouvellement du multicouche (couche de masse et regarnissage).
25.5 Rénovation de la couche de résistance à la
glissance
Si au cours d’une visite périodique de surveillance, il s’avère que les
couches de finition doivent être renouvelées, il faut suivre la procédure
suivante :
 Mesurer le coefficient de glissance à l’aide du FSC2000.
Si la valeur est inférieure aux valeurs requises, il y a lieu de
renouveler la couche antiglissante. Dans ce cas, faire appel à
l’entreprise qui a mis en œuvre le revêtement KHIRAL ou à la
Société SPPM.
Pour rénover la couche de résistance à la glissance, procéder comme
suit :
 Nettoyer la surface à l’aide du JD ACTIVAL et laisser sécher.
 Poncer au disque diamant la surface pour revenir à la couche de
masse.
 Aspirer la poussière à l’aide d’un aspirateur industriel.
 Appliquer une nouvelle couche de masse et un regarnissage (voir
§ 12.4).
Nota : un contrat d’entretien avec mesure périodique de la
glissance peut être conclu avec l’entreprise.
25.6 Scellements
La mise en place de scellements après l’exécution du KHIRAL assure
seule la continuité du revêtement et nécessite le recours à un produit à
base de résine synthétique satisfaisant les exigences de la norme NF P
18-822.
Dans ce cas, l’élément à sceller constitué d’un insert mâle ou femelle
doit être assorti lors du montage d’une sujétion de raccordement
complémentaire constitué par exemple d’une collerette ou rondelle
solidaire. L’excès de résine sous la pression de la collerette doit
recouvrir le KHIRAL.
Note 1 : l’étanchéité au droit des scellements est de la responsabilité
de l’entrepreneur réalisant le scellement.
Note 2 : pour que le scellement assure la continuité de l’étanchéité, le
diamètre de forage doit être le plus faible possible compatible avec la
bonne mise en œuvre du système de fixation (voir schéma 25).
La rayure doit être stoppée de la manière suivante :
 Ponçage ou tronçonnage pour ouvrir légèrement les rayures.
B. Résultats expérimentaux
 Coulage de la couche de regarnissage.
B.1
 Nettoyage et dégraissage au MEC de l’intérieur de la rayure.
25.32
Fissures
Résistance à la glissance suivant Annexe E de
la NF EN 13451-1
Les fissures structurelles affectant le support porteur ne sont pas
traitées dans ce paragraphe.
Rechercher préalablement l’origine de la fissuration et l’éliminer.
Les fissures ouvertes sont traitées de la façon suivante :
 Base armée non dégradée : Tronçonnage pour ouvrir légèrement la
fissure et garnissage à l’aide d’un mastic.
 Base armée partiellement dégradée : Il y a nécessité de reprise de
la base armée.
Tronçonnage du KHIRAL de part et d’autre de la fissure.
Traitement de la fissure et reprise du KHIRAL.
28
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
FSC
2000
Groupe
d’évaluation
Zones horizontales de bassin de profondeur
d’eau comprise entre 800 mm et 1350 mm
μ ≥ 0,40
12°
Zones horizontales de bassin de profondeur
d’eau comprise entre 0 mm et 800 mm
μ ≥ 0,40
18°
Zones de bassin inclinées jusqu’à 8°, de
profondeur d’eau comprise entre 0 et 1350
mm
μ ≥ 0,40
18°
Zones de bassin inclinées jusqu’à plus de
8°, de profondeur d’eau comprise entre 0 et
1350 mm
μ ≥ 0,42
24°
Bordures de bassins émergées
μ ≥ 0,40
18°
Margelles
μ ≥ 0,42
24°
Plots
μ ≥ 0,42
24°
Escaliers d’accès à l’eau
μ ≥ 0,42
24°
Rampes d’accès à l’eau
μ ≥ 0,42
24°
Pédiluve
μ ≥ 0,42
24°
Plages
μ ≥ 0,40
18°
Résistance au glissement
B.2
Autres Résultats
Cf. tableau ci-après.
C. Références
A ce jour, plus de 10 000 m² ont été réalisés en France.
Résultats expérimentaux - Tableau des résultats (autres résultats)
N°
Essai
1
2
Caractéristique
d'aptitude à l'emploi
Résistance à la
fissuration
de la couche d'étanchéité
Spécifications
Méthode d'essai
KB1
NF EN 1062-7 annexe C § C2
Etat initial et après vieillissement chaleur
NF EN 14891 § A 6.5 - 14 jrs à +70°C
NF EN 1062-7 annexe C § C2
Etat initial et après vieillissement chaleur
NF EN 14891 § A 6.5 - 14 jrs à +70°C
KB2
Catégorie 3 :
KP1
KP2
≥ 1,5 mm
Essai fonctionnel interne
Endurance aux mouvements des supports (500 cycles avec une charge de 2,5 T et
500 cycles à 3,4 tonnes) état initial
Revêtement non fissuré et non
décollé
Essai fonctionnel interne
Endurance aux mouvements des supports (500 cycles avec une charge de 2,5 T et
500 cycles à 3,4 tonnes)après vieillissement suivant NF EN 14891 § A 6.5 - 60 jrs à
+ 70 °C
Revêtement non fissuré et non
décollé
5
Essai fonctionnel interne
Endurance aux mouvements des supports (500 cycles avec une charge de 2,5 T et
500 cycles à 3,4 tonnes) après vieillissement température - 14 jrs à - 20°C
Revêtement non fissuré et non
décollé
6
NF EN 14891 § A.6.3 adaptée
Après immersion 60 jrs dans l'eau à 23 °C
3
4
7
Résistance à la
fissuration
de la couche d'étanchéité
+ la couche du
revêtement de sol
Adhérence en traction
directe
8
9
10
≥ 1,5 MPa (100% cohésive béton)
Après immersion 60 jrs dans l'hypochlorite de sodium concentré (9,6 %)
à 40 °C
Après immersion 60 jrs dans l'eau de mer artificielle à 40 °C
Etanchéité autour des
pénétrations
11
12
Après immersion 60 jrs dans l'eau à 40 °C
Annexe G de l'ETAG 022
Catégorie 2
NF EN 13892-6Etat initial
Après vieillissement dans l'hypochlorite de sodium concentré (9,6 %) - essai n° 7
Dureté de surface
13
SH70 ( ≥ 70 N/mm²)
Après vieillissement dans l'eau de mer artificielle à 40°C - essai n° 8
14
Choc coupant
Essai CSTB
Système étanche
15
Résistance chimique aux
produits de traitement
NF EN 13529
C2
16
Résistance chimique aux
produits d'entretien
NF EN 423
C2
17
Tenue au cycle Gel/Dégel
NF EN 1348 - § 8.5
+ Adhérence suivant NF EN 1542
2,4 MPa
19
Résistance au
Rayonnement UV en
présence d'humidité
TR 010 de l'ETAG 005 Irradiance totale 400 MJ/m² + caractéristiques
mécaniques suivant NF EN ISO 527-3 à 23 °C
Contrainte à rupture : 20 MPa
Allongement : 4,8 %
20
Adhérence sur support
humide
NF EN 13578
100% cohésive béton
21
Etanchéité sous contrepression d'eau
NF P 18-862
22
Réparation
NF EN 14891 § A 6.3
23
Essai de développement
des champignons
ISO 846 méthode A
Aucun développement
24
Essai de développement
des bactéries
ISO 846 méthode C
Aucun développement
25
Réaction au feu
NF EN 13501-1
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
/
/
/
≥ 2 MPa
≥ 1,5 MPa (100% cohésive béton)
En cours
au cstb
29
Annexes au Dossier Technique
Annexe 1 – Fiches de contrôles
30

Identification, contrôle et réception du support n° 1 A – Plage

Identification, contrôle et réception du support N° 1 B – Bassin

Cohésion superficielle N°2

Contrôle de porosité du béton n° 3

Humidité massique du support n° 4

Mesure de fissure au fissurotest n° 5

Contrôle d’adhérence n°6

Contrôle des conditions d’ambiance n° 7

Contrôle au balai di électrique n° 8

Contrôle de glissance n° 9

Contrôle de la dureté shore n° 10

Epreuve à l’eau n° 11
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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Annexe 2 - Tableaux des caractéristiques des produits
Tableau 5 - KS10
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Incolore
Incolore
Masse volumique à 23 °C
NF EN ISO 2811-1
1,15 ± 2 % g/cm3
1,05 2 % g/cm3
VISCOSITE A 23 °C
NF EN ISO 3219
1910 ± 20 % mPa.s
500 ± 20 % mPa.s
65,7
34,3
RAPPORT PONDERAL D’EMPLOI
Mélange : Résine + Durcisseur
COULEUR
Interne
MASSE VOLUMIQUE
NF EN ISO 2811-1
1,11 ± 2 % g/cm3
VISCOSITE A 23 °C (200S-1) Pas
NF EN ISO 3219
1170 ± 20 % mPa.s
DUREE PRATIQUE D’UTILISATION
(DPU)
NF EN ISO 9514
TEMPS
Interne
HORS POISSE
incolore
à 10 °C
80 min
à 15 °C
70 min
à 20 °C
40 min
à 25 °C
30 min
à 35 °C
15 min
à 10 °C
19 h
à 15 °C
13 h
à 20 °C
6h
à 25 °C
5h
à 35 °C
3h
Résine
Durcisseur
Tableau 6 - KS20
Désignation
Normes
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Jaune pâle
Jaune
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,34 ± 2 % g/cm3
0,99 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
4400 ± 20 % mPa.s
490 ± 20 % mPa.s
74
26
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,23 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
2510 ± 20 % mPa.s
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
12/12-1607
NF EN ISO 9514
Interne
A 10 °C
6h
à 15 °C
3 h 40
à 20 °C
95 min
à 25 °C
60 min
à 35 °C
30 min
à 10 °C
30 h
à 15 °C
24 h
à 20 °C
12 h
à 25 °C
7h
à 35 °C
8h
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
45
Tableau 7 - ETANPRIM SH
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Blanche
Incolore
Extrait sec
NF EN ISO 3251
> 99%
76 %
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,14 ± 2 % g/cm3
1,01 ± 2 % g/cm3
100
58
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Extrait sec
NF EN ISO 3251
> 99 %
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,1 ± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
Durée Pratique d’Utilisation
NF EN ISO 9514
(DPU)
Temps
Hors Poisse
Interne
2000 ± 20% mPa.s
A 10 °C
5 h 20
à 15 °C
3 h 30
à 20 °C
90 min
à 25 °C
36 min
à 35 °C
20 min
à 10 °C
24 h
à 15 °C
16 h
à 20 °C
9h
à 25 °C
4 h 30
à 35 °C
Dureté shore D à 7 jrs
3h
NF EN ISO 868
> 60
Tableau 8 - ETANPRIM SH THIXO
Désignation
Méthode
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Blanche
Incolore
Extrait sec
NF EN ISO 3251
> 99 %
76 %
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,12 ± 2 % g/cm3
1,01 ± 2 % g/cm3
100
56
Rapport d’emploi : en poids
Résine
Durcisseur
Mélange : Résine + Durcisseur
Extrait sec en %
NF EN ISO 3251
> 99 %
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,1 ± 2% g/cm3
Viscosité
NF EN ISO 3219
5000 ± 20% mPa.s à 23°C
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
Dureté shore D à 7 jrs
46
NF EN ISO 9514
Interne
NF EN ISO 868
à 10 °C
5 h 20
à 15 °C
3 h 30
à 20 °C
1 h 20
à 25 °C
27 min
à 35 °C
16 min
à 10 °C
24 h
à 15 °C
16 h
à 20 °C
9h
à 25 °C
5 h 45
à 35 °C
3 h 15
> 60
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Tableau 9 - ETANPRIM SH THIXO+
Désignation
Méthode
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Blanche
Incolore
Extrait sec
NF EN ISO 3251
> 99%
90 %
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,13 ± 2% g/cm3
1,01 ± 2% g/cm3
100
56
Rapport d’emploi : en poids
Résine
Durcisseur
Mélange : Résine + Durcisseur
Extrait sec en %
NF EN ISO 3251
> 99 %
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,1 ± 2% g/cm3
Viscosité
NF EN ISO 3219
31 000 ± 20% mPa.s à 23°C
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
NF EN ISO 9514
Temps
Interne
Hors Poisse
Dureté shore D
à 10 °C
5 h 20
à 15 °C
3 h 30
à 20 °C
1 h 40
à 25 °C
45 min
à 35 °C
18 min
à 10 °C
24 h
à 15 °C
17 h
à 20 °C
9h
à 25 °C
4h
à 35 °C
3h
NF EN ISO 868
à 7 jrs
> 60
Tableau 10 - KS 30
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Incolore
Incolore
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,15 ± 2 % g/cm3
1,05 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
1910 ± 20 % mPa.s
500 ± 20 % mPa.s
65,7
34,3
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Incolore
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,11 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
1170 ± 20 % mPa.s à 23°C
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
12/12-1607
NF EN ISO 9514
Interne
à 10 °C
80 min
à 15 °C
70 min
à 20 °C
40 min
à 25 °C
30 min
à 35 °C
15 min
à 10 °C
19 h
à 15 °C
13 h
à 20 °C
6h
à 25 °C
5h
à 35 °C
3h
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
47
Tableau 11 - KS100
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
liquide
liquide
Couleur
Interne
incolore
incolore
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,11 g/cm3
1,02 g/cm3
Viscosité à 23 °C
NF EN ISO 3219
1700 ± 20 % mPa.s
500 ± 20 % mPa.s
100
40
Rapport d’emploi en poids
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
Viscosité à 23 °C
NF EN ISO 3219
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
NF EN ISO 9514
Interne
incolore
1100 ± 20% mPa.s
à 10 °C
260 min
à 15 °C
120 min
à 20 °C
60 min
à 25 °C
38 min
à 35 °C
19 min
à 10 °C
26 heures
à 15 °C
18 heures
à 20 °C
14 heures
à 25 °C
10 heures
à 35 °C
4 heures
Tableau 12 - KV20
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Blanche
Jaune
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,32 ± 2 % g/cm3
1,04 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
4950 ± 20 % mPa.s
2970 ± 20 % mPa.s
72
28
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Blanche
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,22± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
4380 ± 20% mPa.s
A 10 °C
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
48
NF EN ISO 9514
Interne
6h
à 15 °C
3h20
à 20 °C
80 mn
à 25 °C
55 min
à 35 °C
30 min
à 10 °C
26h
à 15 °C
15h
à 20 °C
10h
à 25 °C
7h
à 35 °C
8h
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Tableau 13 - KV30
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Pâte
Liquide
Couleur
Interne
coloré
Jaune
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,15 ± 2 % g/cm3
1,05 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23 °C
NF EN ISO 3219
180 000 ± 20 % mPa.s
590 ± 20 % mPa.s
66,3
33,7
Rapport d’emploi en poids
Couleur
Interne
Coloré
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,12 ± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
NF EN ISO 9514
Temps
Interne
Hors Poisse
170 000 ± 20% mPa.s
A 10 °C
75 min
à 15 °C
60 min
à 20 °C
30 min
à 25 °C
20 min
à 35 °C
10 min
à 10 °C
5h
à 15 °C
3 h 30
à 20 °C
2 h 30
à 25 °C
2h
à 35 °C
1 h 30
Tableau 14 - KV40
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Visqueux
Liquide
Couleur
Interne
Incolore
Jaune
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,17 ± 2 % g/cm3
1,05 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
26900 ± 20 % mPa.s
520 ± 20 % mPa.s
66,6
33,7
Rapport d’emploi en poids
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Incolore
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,13 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
6430 ± 20% mPa.s
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
12/12-1607
NF EN ISO 9514
Interne
à 10 °C
60 min
à 15 °C
40 min
à 20 °C
30 min
à 25 °C
20 min
à 35 °C
10 min
à 10 °C
5h
à 15 °C
3 h 30
à 20 °C
2 h 30
à 25 °C
2h
à 35 °C
1 h 30
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
49
Tableau 15 - KV100
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Pâte
Gel
Couleur
Interne
Blanche grisâtre
incolore
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,21 ± 2 % g/cm3
1,02 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23 °C
NF EN ISO 3219
400000 ± 20 % mPa.s
17000 ± 20 % mPa.s
100
32
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
Viscosité à 23 °C
NF EN ISO 3219
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
NF EN ISO 9514
Interne
Blanche
170 000 mPa.s
à 10 °C
220 min
à 15 °C
105 min
à 20 °C
60 min
à 25 °C
40 min
à 35 °C
20 min
à 10 °C
29h
à 15 °C
21h
à 20 °C
16h
à 25 °C
10h30
à 35 °C
4h
Durcisseur
Tableau 16 - KV110
Désignation
Normes
Résine
Consistance
Interne
Liquide
Liquide
Couleur
Interne
Incolore
Incolore
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,317 ± 2% g/cm3
1,036 ± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
25600 ± 20% mPa.s
2900 ± 20% mPa.s
72
28
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Blanc
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,22 ± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
50
NF EN ISO 9514
Interne
7000 ± 20% mPa.s
à 10°C
150 min
à 15°C
75 min
à 20°C
45 mn
à 25°C
32 min
à 35°C
22 min
à 10°C
21h
à 15°C
17h
à 20°C
14h
à 25°C
11h
à 35°C
4h
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Tableau 17 - Primtop 309
Désignation
Norme
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
liquide
liquide
Eau
Mélange
liquide
Couleur
Interne
Jaune pâle
Ambre claire
Blanc laiteux
Masse volumique à 23 °C
(g/cm3)
EN ISO 2811
1,14 ± 0,2 %
1,06 ± 0,2 %
Viscosité à 20 °C (mPa.s)
EN ISO 12092
950 ± 2 0%
550 ± 20 %
Extrait sec sur mélange
après 3 heures à 105 °C
EN ISO 3251
700 ± 20 %
72,5 ± 2 %
Rapport d’emploi (kg)
100
DPU
NF EN ISO 9514
à 20°C
Temps Hors Poisse
Interne
93
60
2 heures (formation d’un gel)
+ 5 °C
7h
+ 10 °C
6h
+ 15 °C
+ 23 °C
4h
3 h 30 min
Caractéristique mélange pondéral 1/10 PRIMTOP 309 + Quartz color
Caractéristiques
mécaniques
après
durcissement de
7 jours à 20 °C
Résistance à la rupture
5,8 ± 0,6 MPa
Traction
EN ISO 527
Allongement à la rupture
Module d’Young
0,10 ± 0,02 %
5400 ± 300 MPa
Résistance
21,1 ± 0,1 MPa
Compression
EN ISO 604
Déformation
Module d’Young
3,9 ± 0,9 %
1900 ± 600 MPa
Flexion
EN ISO 178
Résistance à la rupture
7,0 ± 1,0 MPa
Flèche à rupture
Module de flexion
0,18 ± 0,09 %
non mesurable
Tableau 18 - KF 200
Désignation
Normes
Résine
Durcisseur
Consistance
Interne
Liquide fluide
Liquide fluide
Couleur
Interne
Incolore
Masse volumique
Jaune pâle
3
NF EN ISO 2811-1
0,96 ± 2% g/cm
1,05 ± 2% g/cm3
100
47
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Jaune pâle
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,02 ± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
220 ± 20% mPa.s
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
Temps
Hors Poisse
NF EN ISO 9514
Interne
A 10 °C
45 min
à 15 °C
35 min
à 20 °C
28 min
à 25 °C
22 min
à 35 °C
12 min
à 10 °C
5h
à 15 °C
4h
à 20 °C
3 h 30 min
à 25 °C
2 h 30 min
à 35 °C
1 h 15 min
Tableau 19 - ENDUIT STRATILAC EL
Caractéristiques
Méthode
Résine
Durcisseur
Aspect
Interne
Pâte
Pâte
Pâte
Couleur
Interne
Saumon
Blanc
Saumon
Rapport d'emploi en poids
Interne
40
60
Densité à 23 °C
NF EN ISO 2811-1
1,81 ± 2 %
NF EN ISO 9514
1h30
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU) à 20 °C
12/12-1607
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
Mélange
51
Tableau 20 - ENDUIT STRATILAC ER
Norme
Résine
Durcisseur
Consistance
Désignation
Interne
Liquide épais
liquide
Mélange
liquide
Couleur
Interne
Pigmentée
Jaune pâle
pigmentée
Densité à 20 °C (g/cm3)
EN ISO 2811
1,81 ± 2%
Viscosité à 20 °C (mPa.s)
EN ISO 3219
2000 à 4000
Extrait sec sur mélange après 3 heures
à 105 °C
EN ISO 3251
>99%
Rapport d’emploi
Poids (kg)
60
40
Volume
50
50
DPU à 23 °C sur 100 cc (5kg)
Dureté shore D à 7 jours
EN ISO 9514
1h30
EN ISO 868
72
Tableau 21 - ETANSIF 2000
Aspect
Normes
Liquide
Interne
Blanc laiteux
Densité à 20 °C
ISO 1675
1,01  0,01
Extrait sec à 105 °C
ISO 1625
47.0  1.0 %
Viscosité BROOKFIELD (LVF, 60 ppm)
ISO 1652
30 – 200 mPa.S
pH
ISO 1148
9,5 – 10,5
Normes
TECTOFLEX
Couleur
Tableau 22 - TECTOFLEX
Désignation
Symbole
Effort à la rupture
Ff rupture
Allongement à la rupture
εf rupture
Endurance aux mouvements sur les cycles
de traction de 25% à 225%
500 daN/m
NF EN ISO 527-3
600 %
Aucune rupture ni décollement
Essai VERITAS
n° CN53B960134V
Amplitude de dilatation avec L largeur non
collée
A
Résistance au pelage avec dégraissant MC
365
R
Guide UEAtc
R = 4,5 kN/m
Adhérence par traction directe avec
dégraissant MC 365
σ
NF EN ISO 4624
σ = 3 MPa
Guide technique spécialisé
du CSTB mars 1982
Système étanche après 5000 cycles
Système d’étanchéité de joints de dilatation
A = 1,25 L
Tableau 23 - ETANTOP 309
Caractéristiques mécaniques et physiques
Densité à 4,5 litres d’eau
1,7 ± 0,1.
Résistance à la compression à 28 j
> 40 MPa.
Résistance à la traction/flexion à 28 j
> 10 MPa.
Module d’élasticité dynamique à 28 j
1,07 104 MPa.
Résistance à l'abrasion Taber H22, à 1000 tours
Poinçonnement statique
29,20 (1/100ème mm)
Poinçonnement dynamique 160 cm
Épaisseur
7 mm.
4 mm minimum
Tenue à la sous-pression
2 MPa.
Facteur de résistance à la diffusion de la vapeur d’eau
Classement au feu
52
< 2 g.
µ = 135.
M0
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Tableau 24 - ETANCOL 492
Norme
Mélange
Aspect
Désignation
Interne
Pâteux
couleur
Interne
Gris
NF EN ISO 3219
300 000  40 % mPa.s
NF EN 2811
1,50  5 % g/cm3
NF EN ISO 868
80
82
NF EN 1542
> 2 MPa (rupture béton)
NF EN 13578
> 2 MPa (rupture béton)
NF EN ISO 3251
> 99 %
NF EN ISO 9514
1 h1 5
Norme
Mélange
Viscosité à 23 °C
Masse volumique à 23 °C
Dureté shore D à 23 °C
24 heures
2 jours
7 jours
83
Adhérence sur béton sec
Adhérence sur béton humide
Extrait sec
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU) à 23°C
Tableau 25 - ETANCOL 303
Désignation
Aspect
Interne
Pâte
Couleur
Interne
Gris clair
Jauge Daniel
Ne coule pas
Thixotropie
Dureté shore D à 23 °C
24 heures
2 jours
7 jours
67
70
71
NF EN 868
Masse volumique
Extrait sec
NF EN ISO 2811-1
1,67  5 % g/ cm3
NF EN ISO 3251
> 99 %
DPU à 23 °C (100 cc)
NF EN 9514
23  3 minutes
Adhérence sur béton sec sablé
NF EN 1542
> 2 MPa (rupture béton)
NF EN 13578
> 2 MPa (rupture béton)
Adhérence sur béton humide
Tableau 26 - TF7
Méthode
TF7
R
D
Aspect
LIQUIDE VISQUEUX
LIQUIDE MIEL
Couleur
GRIS
BLANC
Viscosité Brookfield à 23 °C en mPa.s
NF EN ISO 2555
52 000  20 %
38 000  20 %
Masse volumique à 23 °C (g/cm3)
NF EN ISO 1675
1,67  3 %
1,19  3 %
Rapport de mélange en
Poids
100
71
Volume
100
100
Dureté Shore A à 2 jours
MELANGE
70
NF P 98-285
DPU pour 100 cm3 – 23 °C
7 – 8 MIN
Tableau 27 - TF40
Méthode
TF40
R
D
Aspect
LIQUIDE VISQUEUX
LIQUIDE MIEL
Couleur
GRIS
BLANC
Viscosité Brookfield à 23 °C en mPa.s
NF EN ISO 2555
55 000  20 %
40 000  20 %
Masse volumique à 23 °C (g/cm3)
NF EN ISO 1675
1,66  3 %
1,18  3 %
100
100
71
100
Rapport de mélange en
Dureté Shore A à 2 jours
Poids
Volume
NF P 98-285
DPU pour 100 cm3 – 23 °C
12/12-1607
MELANGE
70
40 – 50 MIN
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
53
Tableau 28 - Tissu VP45
Orientation des fils
Masse surfacique en g/m²
1ère nappe de fils
Nature
-45°
175
2ème nappe de fils
+45°
175
Tissu VP45
350
Caractéristiques des fils de verre
Nature du matériau
Verre Advantex
Diamètre du filament
12,7 µm
Section d’un filament
1,2667 10-4 mm²
Résistance à la traction
3160 - 3187 MPa
Module d’élasticité en traction
66,8 – 74,50 GPa
Allongement à la rupture
4,6 %
Tableau 29 - KF210
Désignation
Consistance
Couleur
Normes
Résine
Durcisseur
Interne
liquide
liquide
Interne
colorée
jaune
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1.67 ± 2 % g/cm3
1.02 ± 2 % g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
14000 ± 20 % mPa.s
620 ± 20 % mPa.s
80
20
Rapport pondéral d’emploi
Mélange : Résine + Durcisseur
Couleur
Interne
Masse volumique
NF EN ISO 2811-1
1,48 ± 2% g/cm3
Viscosité à 23°C
NF EN ISO 3219
6040 ± 20% mPa.s
A 10 °C
Durée Pratique d’Utilisation
(DPU)
NF EN ISO 9514
Temps
Hors Poisse
54
Interne
6h
à 15 °C
3 h 15
à 20 °C
85 min
à 25 °C
50 min
à 35 °C
25 min
à 10 °C
23 h
à 15 °C
18 h
à 20 °C
10 h
à 25 °C
6h
à 35 °C
5h
Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
12/12-1607
Annexe 3 - Etude préalable de reconnaissance d’un
carrelage scelle ou colle en bassin
L’étude préalable a pour objet de définir les zones à éliminer ou conserver en vue de recevoir le procédé KHIRAL.
L’étude comporte :
 Un repérage des bassins et une identification de leur activité
 Repérage des accessoires et identification
 Un examen et relevé des pathologies
 Des sondages destructifs
 La faisabilité et les traitements des désordres
1.
Repérage des bassins
A partir d’un plan existant ou à établir repérer les bassins à traiter en indiquant leur activité (Centre aquatique, thalassothérapie…)
 Si une partie de l’extrados du bassin est visitable repérer les fuites
 Les zones suivantes seront distinguées : fond de bassins, bajoyer, goulotte, margelle immergées, escaliers
 Le mode de traitement de l’eau : chlore, brome, ozone…
 Température de l’eau
 Nature des produits de nettoyage et d’entretien
 La présence d’un joint de dilatation
 Nature des carreaux céramiques, pâte de verre.
 Mode de fixation : collé, scellé (fréquent scellé en fond de bassin et collé en bajoyer)
 En fond, le type de relief pour l’antidérapance et l’épaisseur du relief
2.
Repérage des accessoires et identification
 Bajoyer : bouche de refoulement, prise balai, hublot, éclairage, haut parleurs ….
 Fond de bassin : bouche de refoulement, bande de fond, regard (voir s’il est carrelé). ..
 Goulottes :
- Type (sur paroi, Wiesbaden, Finlandaise….
- Etat des évacuations, présence d’antivortex.
 Escaliers :
- Fixation des garde corps.
3.
Repérage des pathologies
Zone par zone on relève et photographie les défauts suivants en les reportant sur le plan :
 L’état de surface du carrelage
- Les carreaux cassés, enfoncés, décollés
- Vérification que les carreaux ont bien été posés par double encollage (absence de sillons).
- Les fissures en mesurant leur ouverture au fissurotest, les désafleurs, leur tracé et position par rapport au joint du carrelage (suit les joints
ou carreaux fissurés)
- Etat des joints (creusé, dilaté…)
- Les zones ayant subis des chocs (bouteille de plongée)
- Les zones ayant subies des réparations et leurs états
- L’état et position des joints de fractionnement
- La position des joints de dilatation (ils seront déposés)
- Examen sonique de la surface en délimitant au feutre les zones cloquées y compris au droit des fissures, joints de fractionnement
- Vérification par traction de l’adhérence des carreaux (1 mesure par bajoyer = 4 mesures ; 2 mesures en fond de bassin).
 L’état des goulottes
- Type de goulottes : béton peint, céramique, carrelage, inox, PVC.
- Fissure, écaillage, décollement, éléments cassés.
 Les accessoires
- Démonter les parties amovibles, vérifier leur état (casse, rouille….) aussi bien côté bassin qu’à l’extrados.
- L’état du carrelage à la périphérie.
- L’etat du scellement des garde corps d’écolier ou barre de maintien (bassin thérapeutique).
 Extrados visitables
- Les zones d’infiltration (humides ou traces sèches)
- Les fissures plancher
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4.
Sondages destructifs
 Au droit de carreaux cassés et systématiquement au droit des accessoires, un sondage destructif sera réalisé jusqu’à l’élément porteur.
 On relèvera les éléments suivants :
- Epaisseur du carrelage et mode de fixation (collé, scellé)
- L’absence de sillons de colle
- Identification des sous couches existantes, leurs épaisseurs et état (dure, fiable...)
- Présence et nature de l’étanchéité existante
- Au droit des joints de dilatation
- Autour des cornières des grilles en fond de bassin.
5.
Faisabilité
Toutes les pathologies sont reportées sur le plan
 Bassin, on calcul le pourcentage X en surface de défauts, on ne compte pas la périphérie des accessoires qui sera systématiquement réparée
X> 5 % toute la zone est déposée
X≤ 5 % la zone est réparable
 Fissure avec désafleur d’ouverture supérieure à 1 mm et visible en sous face une analyse structurelle doit être réalisée par un bureau d’étude
de calcul béton armé
 Les accessoires en mauvais état qu’il faut changer.
6.
Traitements
a)
Autour des accessoires
b)
Carreaux défectueux, zone cloquée
Le suivi d’un schéma de raccordement doit être réalisé à chaque type d’accessoire
Tronçonnage autour de la zone en comptant au moins 1 carreau de plus et dépose jusqu’à l’élément porteur puis réparation au mortier de
résine
c)
Joints creusés
Ils seront remplis à la pâte époxy.
d)
Fissures
Fissure d’ouverture < 0,3 mm : on ne fait rien
Fissure sans désafleur d’ouverture > 0.3 mm le carrelage ne sonnant pas creux de part et d’autre de la fissure : ouverture de la fissure par
tronçonnage sur l’épaisseur du carrelage puis calfeutrement à la pâte EPOXY
Fissure avec désafleur
Fissure d’ouverture > 1 mm faire appel à un bureau d’études
e)
Goulottes
Une étude suivi d’un schéma de raccordement
f)
Arrêt du KHIRAL
Soit le KHIRAL revêt les plages soit il s’arrête en haut de bassin. Dans ce dernier cas, une étude doit être réalisée qui précisera la ligne
d’arrêt : goulottes, JD plage/bassin… Dans tous les cas, le carrelage sera déposé pour réaliser l’arrêt sur l’élément porteur.
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Annexe 4 - Etude préalable de reconnaissance
d’une résine existant en bassin
L’étude préalable a pour objet de définir les zones à éliminer ou conserver en vue de recevoir le procédé KHIRAL.
L’étude comporte :
 Une identification de la résine en place
 Un repérage des bassins et une identification de leur activité
 Repérage des accesoires et identification
 Un examen et relevé des pathologies
 Des sondages destructifs
 La faisabilité et les traitements des désordres
1.
Identification des résines
 Résine souple type polyuréthane, elle sera complètement éliminée
 Résine époxy dure
 Polyester
2.
Repérage des bassins
A partir d’un plan existant ou à établir repérer les bassins à traiter en indiquant leur activité (Centre aquatique, thalassothérapie…)
Si une partie de l’extrados du bassin est visitable repérer les fuites
Les zones suivantes seront distinguées : fond de bassins, bajoyer, goulotte, margelle immergées, escaliers
Le mode de traitement de l’eau : chlore, brome, ozone…
Température de l’eau
Nature des produits de nettoyage et d’entretien
La présence d’un joint de dilatation
Nature des carreaux céramiques, pâte de verre.
Mode de fixation : collé, scellé (fréquent scellé en fond de bassin et collé en bajoyer)
En fond, le type de relief pour l’antidérapance et l’épaisseur du relief
3.
Repérage des accessoires et identification
 Bajoyer : bouche de refoulement, prise balai, hublot, éclairage, haut parleurs ….
 Fond de bassin : bouche de refoulement, bande de fond, regard (voir s’il est carrelé). ..
 Goulottes :
- Type (sur paroi, Wiesbaden, Finlandaise….
- Etat des évacuations, présence d’antivortex.
 Escaliers :
- Fixation des garde corps.
4.
Sondages destructifs
 Au droit des zones décollées, boursoufflées, fissurées et systématiquement au droit des accessoires et des joints de dilatation, un sondage
destructif sera réalisé jusqu’à l’élément porteur.
 On relèvera les éléments suivants :
- Epaisseur de la résine
- Identification des sous couches existantes, leurs épaisseurs et état (dure, friable...)
- Présence et nature de l’étanchéité existante
- Autour des cornières des grilles en fond de bassin
 Faisabilité
Toutes les pathologies sont reportées sur le plan
- Par bassin, on calcul le pourcentage X en surface de défauts, on ne compte pas la périphérie des évacuations qui sera systématiquement
réparée
X> 10 % toute la zone est déposée
X≤ 10 % la zone est réparable
- Fissure avec désafleur d’ouverture supérieure à 1 mm et visible en sous face une analyse structurelle doit être réalisée par un bureau d’étude
de calcul béton armé
- Les accessoires en mauvais état et ceux qu’il faut changer.
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 Traitements
a)
Autour des accessoires
Le suivi d’un schéma de raccordement doit être réalisé à chaque type d’accessoire
b)
Zones boursoufflées, cloquées
Tronçonnage autour de la zone en comptant 20 cm de plus et dépose jusqu’à l’élément porteur puis réparation au mortier de résine
c)
Flaches
Ils seront annulés par un ragréage au mortier de résine
d)
Fissures
Fissure d’ouverture < 0,3 mm : on ne fait rien
Fissure sans désafleur d’ouverture > 0.3 mm le revêtement ne sonnant pas creux de part et d’autre de la fissure : ouverture de la fissure
par tronçonnage sur l’épaisseur du revêtement puis calfeutrement à la pâte EPOXY
Fissure avec désafleur ou d’ouverture > 1 mm
tronçonnage sur 10 cm de part et d’autre de la fissure : dépose jusqu’à l’élément porteur puis remplissage au mortier résine
Fissure d’ouverture > 1 mm faire appel à un bureau d’études.
Fissure cloquée : dito précédemment
Fissure correspondant à une fissure de plancher : demander avis au bureau d’études
e)
Goulottes
Une étude suivie d’un schéma de raccordement.
f)
Arrêt du KHIRAL
Soit le KHIRAL revêt les plages, soit il s’arrête en haut de bassin. Dans ce dernier, cas une étude doit être réalisée qui précisera la ligne
d’arrêt : goulottes, JD plage/bassin… Dans tous les cas, le carrelage sera déposé pour réaliser l’arrêt sur l’élément porteur.
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Annexe 5 - Vue 3D d’une piscine
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Annexe 6 - Vue avec siphon inox
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Annexe 7 - Vue avec caniveau à fente
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Remplacé le : 25/03/2014 par le n° 12/14-1667
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