L`UNION AGRICOLE DU FINISTERE DU SAMEDI 01 AU SAMEDI
Transcription
L`UNION AGRICOLE DU FINISTERE DU SAMEDI 01 AU SAMEDI
i 1?. M a i * l f m ET MARITIME Organe Républicain Démocratique et Régionaliste de l'Ouest P a r m l B a M & t \ AnaonoM «^MoUunH judieburet(taU*ne)... i f f «oteatairai. i f . . < • . . • 1 f.ac Lu eumoncu sort reçue» au bureau iu tournai et, A Parie, dam toutes le» Agence», On traite i forfait pour répétée» plutieur» foi». la» annonça 1 « 'DlraoUur t Léon L K S J L S O D I D Z Commerçants & Industriels Le Socialisme & la Propriété Rosée d'Argent (Populaire du 20/6/1923) Donc, selon le député socialiste, la petite propriété ne sera pas supprimée ; mais fatalement, un )our ou l'autre, les résulta s obtenus dans les exploitations socialisées amène raient les petits propriétaires à joindre leurs efforts et leurs biens aux efforts 4e la collectivité. Ceci est écrit en mal 1913. Mais nous nous permettons de douter do la sincérité le l'écrivain socialiste. Eh ^ffet pourquoi che o'if «.-il à amadouer ainsi le petit propriétaire ? Tout Simplement parae que sans lui, la révolution t ' e s t pas possible. Et le même citoyen Corn>p4PB4tf«rel nous le disait dans 1 Humanité du t b octobre 1920. « L*h socialistes des villes pourraient par tin •oap de Main, devenir les maîtres de leur cité, pwèéder les bétels de ville, les préfectures, las ministères, v o i r e m ê m e t ' E i y s é n ; avoir en nité du 9 juin 1920). Voici dono nos socialistes invités à se transmains la polioe et l'armée, leur triomphe feeioimer en aorouatea. De l'adresse, de l'adresse, rslt de eeurte durée si les masses rurales léur toujours de l'adresie... 'étalenthostiles... • Désormais, nons sommes fixés. Il sera bien Il estdono bien évident que si Compère-Moalffloile à no» socialistes, en dehors des injurel se fait le défenseur momentané de la petite propriété paysanne, ce n'est qne pour les be- re» dont ils se servent oontre nos amis et noua d'éluder la question. Ce qu'ils veulent, c'est la soins la oause, par calcul électoral, et pour suppression pure et Bimple de la propriété, tnieux assurer le triomphe de la révolution. mai» la crainte de l'eieoieur étant pour eux • t pour qu'il ne reste auoun doute sur les le oommenoemem de la sagesse, ils n'osent ntenUdns des socialistes, nons allons mettre pas avouer ouvertement leurs intentions. sous les yeux de nos lecteurs de longs extraits d'un article paru dans l'Humanité du 11 avril Nos cultivateurs, aveo juste raison ont le 1980 sous la signature d'un des membres les droit de se méfier. plus in&uentfl du parti Boclaliste, le citoyen Olivier BERTIIOCJ Itaoul Verfeull : a Oui, Compdre-Morel a raison : le socialisme, pour triompher, doit avoir l'appui ou tout au moins la neutralité bienveillante de la paysannerie... Cette neutralité bienveillante, « u même simplement Indifférente, n'existe p u à l'heure actuelle. Les habitants des campagnes, dans leur ensemblo, nous sont hostiEun abardaex a viz cost, du-hont, war ribl ar mor, les, il serait puéril de le nier... Le m o j d e MI «un ti plouz, nur barz yaounnk a s k r i v a . . . paysan appréhende notre a>rive« au p avoir A r pcoc'li a rena dre hull. Au hrol oa laoueu. Les paysans redoutent l'avènement du octaA n auat ou disviar. Ar vugulu ha, an c o n c i u gann. lisme, parée qu'ils n'Imagineut qu<- > -oru Itsme au pouvoir conl-querait toui biou Uu j Kalon ar bai a oa c u r u « . . ha konlakoud« o vignunod tmivernement révolutionnaire qni ferait oela i grada m e e'balen seac'k-korn. K vuzellou l i r a i t aussi w t bUayé. a j d a « mu» d i n * keantyi ar marc'kad) j tMMwlm«, VwrwUtion par " I f ( W « 4 ft « W o r t » , o I f « m A w & t . . . Pag© Bretonne GlLi-Arc'hant , On ftbon«m «n toil 4» «JtafM mais. frNTMM I0*UM*M, M M /vati T t U t P H O N B , N* • Admit TéUrrttkivu i Union, Quimperlé Nation des moyens de production et d échange Hen iwe doa evet dour eus feunteun burzudus varml lesquels se trouve la terre. a entan an eneou a garantez-bro. Buhez ar « Il y a intérêt d'autre part, k ce que le sol barz n'eo ket atao buhez frank, Peuraliesa e soit cultivé collectivement et à ce que dispabUnedan a r e i krisoe'h eget bini an diweza trouraisse, dans la mesuro du possible, le mor[c'her brag cellement actuel. Je sais tout cela, mais Je dis qu'il faut teair compte, pour le salut de la Lavaret a rean oa o skrlva... pa erruas an e dî eur plac'hig.. En • vugaleaj doa diskouezet eur Révolution elle-même, de certains états de Wella<*n evit Gliz-Arc'h.int. Hogen an c'heriou hag APPEL DE LA FÉDÉRATION «hoses, de certains états d'esprit. « La Révolution est sûre de durer et de ar brezel doa Iakaet ennan an digoun diouti. DE8 GROUPEMENTS INDUS- réussir... si elle sait désarmer et prévenir r ar meax, gant hi zad, e talc'he eun tiegez. TRIELS A COMMERCIAUX DU les dellances et les haines... Cest à cette be- NWea fell ket d'in ledanaat e C'hlac'har en eur venll sogne qu'il nous faut, dès à présent, nous FINI8TÈRE. evel ma ve dleet Gliz-Arc'hant. Eur berlezen oa. employer. Je ne crois pas, quant à moi, èi Setu aze krak ha berr mennoz an holl. l'hostilité permanente du paysan si nous sale ménager. Laissons-lui la terre qu'il — O tremen meus da wellet aze hag oun deuet Nous avoDS, les premiers, accepté vons travaille et nous gagnerons sa raison, & défaut en ti d'aa gourc'hemenni evit da gountaden le sacrifice des deux décimes. Sup- de son cœur. peua skrivet er gazeten !... Da drugarekat ran, e Opportunisme 1 objectera-t-on peut être mignonez, a greiz va c'halon. Paonaz eur pennadik ! portons ce sacrifice dignement. Cet opportunisme a été pratiqué en Russie. Il Si vous payez 1.000 francs d'im Goude int a gomzas eus a vil dra : ar vro, an n'est autre chose que du réalisme. dud, o bloaveziou kenta... ha tam ha tam sonnen • On ne passera pas du régime «apitaliste pôts, vous en payerez 1.200. Gela ar garantes a dregernas kement en o c'halonou régime socialiste sans que soient prises des ne veut pas dire que vous soyez au ma tauzas, d'an disparti, ar re man ar eil on egile. mesures de transition que l'orthodoxie conobligés d'appliquer la même règle damne peut-être, mais que la nécessité comKarantez peleacTi eraaout?. . Aman, kuzet • d'arithmétique à votre chiffre d'af- mandera ». j kalonou an dud yaouank!... Ne gredan ken tenna ménager le paysan, être opportuniste faires et, si vous faites 30.000 francs neSavoir ; va alan rak tad ar plac hig ne fell kot d'ezan pas pa»ler d'un socialisme qui comporte d'affaires, de porter ce chiffre a l'appropriation de la terre par la Nation. Evi- e timeztent. Goulen a ra eul labourer d o u a r . . . 36.000 pour payer vos 200 francs. demment, c'est la doctrine pooiaiiste, l'ortho- — Petra deus eilgeriet ar b a r z ? Gant, tad Glizdoxie condamne ee« demi-mesures. Mai« le [Arc'hant Du calme et de la tenue. salut de la révolution exige imperie sement •'man ar lurnez. Ra vezo evurus va muia karet Nous sommes en France, et DOUS le saorlflce momentané de la doctrine et de« gant eur c'houer, ha me. micherour reuzeudik, id- es xooidMstes. barz-baleer, a vezo evurus ive, tost d'ezi dre ma sommes des Français. R. Verfeuil oes'ar ê e pas en ¡-i beau chemin: [c halon. «es co illdenoes sont â enregi-tr«r. Voiai qu'il — Hag hi ? - N e lav r netra ! Onela 'ra hepken I revie t a la charg« dans ¡'Humanité du 28 iuia Avat an A w e n ' zo foug enni. Lavaret a rea 19^0 : dear'h d'ar burz : « Houg da c'hloax evit sallet Le» bo chevik* ent triomphé rarce qu'ils Dious Bri-iz hualet gant ar Fall«ntez hag an oui tu, très habilement, en bons opp -rtuntstes qu'ils sont qu nd o'est nécessaire, gAgDer a [Trubarderez I • Mal* pour amener lea p a y s « » ! à aes « opl nieas, et à aotr* parti, il a c eux les paysans. C'est ce qu'il faut faire en Taan C A R O F F Frauce... Atais pour amener les paysans A nos • faut pan tenr perler ceterae c e peut TH \I>U» TION « partor aux o o v i e r s de Grenelle ou opinions et d notre parti, il ne faut pas leur « 4e Ménilmentant. • parler comme on peut parler aux ouvriers de Raeal V E R F E U I L Grenelle ou de Menilmontant. I y a de» choses f B v m t t l i M 4 a eS « a i M i * ) . à leur due, la première est oeile-oi : le sociaUn matin du mois d'août, là-bas, sur le cia.ibme au pouvoir respectera la petite proDans notre p i r a t e r article * u r t tocialls bord de la mer. En une chaumière un jeune priété... Ce n'est pas tant que oela contraire à », n->u* avons donne de tei et la propriété barde l'crluait. La paix réf/nail partout Le ta doctrine... textes que i'auouni non"'Mini'c-ol"« un p u soleil était joyiux L'août tans ¿gai. Les « Le socialisme ne ne prepo-c pas de dé- enfants et les oiseaux chantaient. périmés Le< citations qu* nou. avions n..i pouiller les travailleurs du léger bien que pruntéel avaient au moin« le :n<-rlt" 'l'être Le cœur du barde ¿tait heureux... 't pourquoique» uns peuvent avoir, mais au contraire claires et nettes, ne laissant auoua dont* ;ur tout net amis croyaient que son cœur ¿tait de ieur donner le large bien-être qui le.nr ee que r é s e r v â t à no< cultivateur*, les révoglac¿ Ses livres restaient muettes devant la manque. Je pais bien qu'on aboutira A , e rélutionnaires, si on Jour ils devenaient les maîbeauté des femmes. Son esprit était plut haut, sultai que par la col eotivisatlon de .a protres du pouvoir. dans la Cour de l'Awen (la Muse). priété cessant d'être caplta.lste pour devenir •Mais voilà, la doctrine socialiste gône énorentln sociale. Mais cet:e transformation ne se mément nos révolutionnaires pour amener la Lui aussi ai ait bu l'eau merveilleuse qui fera pas en un jour, et elle serait compromise elasse paysanne à leurs Idées. Aussi tentent-Ils enflamme les âmes de l'amour du pays. La et peut-être même empêchée ai nous ne mépar de nouvelles formu'es do masquer le fond vie du barde n'est pas toujours une vie heunagions pas certains intérêts momentanément de leur pensée. Au oours de cet article, nous reuse. Plus souvent son destin est plus amer légitimes et certaines situations. Le salut de la •errons nos sooia istes aux prises entre eux, que celui du dernier laboureur. Révolution est à oe prix l'essayant à se mettre d'acconl sur ane forMénager momentanément certains Intérêts Je disais qu'il ¿crlvait... quand arriva mule mitigée, acceptable pour les aiversairas et eertainei» situations : voilà la doctrine sodans sa maison, une jeune fille. En son ent o m m e pour les partisan» de la propriété. cialiste. fance, il avait une préférence pour GlizM. Compère-Morel définit ainsi la doctrine Arc'hant. Cependant les villes et la guerre El pourtant, ne voyons-nous pas nos socia•oelallste : avaient mis en lui l'oubli d'elle. listes ilnistériens bondir, lorsqu'à travers le e Droit de propriété pour les petits exploidépartement, nous aill mons que ces Messieurs tants maintenus en possession de leurs lopins A la campagne, avec son pire, elle habitait tieununt deux langages : l'un pour les villes de terre, comme en Russie, en attendant qu'ils une maison. Je ne veux pas élargir son où UOB purs révolutionnaires flattent les haiviennent d'eux-mêmes, librement, sans conangoisse en vantant Qlii Arc hant comme il nes, ies appétits et les ambitions ; l'autre pour trainte, attirés par l'txoraple, sous l'inl iunce serait dù. C'était une perle. JoiLà sans détour le» campagnes, ea omottant de parler de la des résultats obtenus dans leurs exploitations l'opinion de tous. révolution et «n faisant miroiter aux cultivasocialisées, joindre leurs biens et leur* efforts teurs la douoeur d'une existence par la possession de leurs petites fermes. Ajoutons toutefois que le siuoère, mais brutal langage du citoyen Verfeuil fit scandale dans les milieux sooia.istes eux-mêmes. Comment, uu militant Boolallste, et non des moindres so permettait d'écrire ce que tout bon socialiste pense et pratique î C'était abominable. Ou n'avait pas idée d'un pareil gaffeur. Pour aUénuer uu peu l'effet déplorable de se* cyuiquof conseils, Verfeuil, en termos plus adouci?, nous donne sous une forme dlll'erente un même raisonnement. Ei cette « forme » la voioi i e Ii faut nous garder de leur parler (aux pay ans) un langage excessif ou qui leur parait tel. On peut présenter un même raisonnement, sous des formes différentes. Ce n'est pae de la loyauté, o'est de l'adresse ». (Huma- Itou ils P*ru*t 4h V m OiHAOriOH, IDMHltTHATIQ* * 4M/KM CM» A QUIMPERLK, Plaae Nervo, a* • M * I l t w é r t cintiMtun Supplément aux biens et aux efforts de la collectivité. • Ut «frMMMMRM M P*Un) Ammic, Mnf NUMI] VERRE On jmm f « i n w r AHM M M IM (HTMIM j w h m »«ora «N OriuMi «N nandcU-fxuU m iX^MTECR, M. Léon L I S E R R E f J m f i r N « «MIWHTU. toute 1 étendue du domaine bretonnant, sont peu à peu devenus dialectaux ou sous-dlalectaux, connus seulement les uns dans telle localité, les autres dans telle autre localité, et Inconnus surtout ailleurs. Tels sont par exemple kozgor a serviteurs » (autrefois « clan o, u famille » ) mil « bête » maintenant uniquement dans l'usag» à Sarzeau (Morbihan), braouao'h a terreur > et koaro'h « chanvre » resté en vannetais, heure « matin • aotenn or rasoir », «ter « sens, signification » , eerz « escarpé » en trécorois, kos (1) « taureau » ator a terre que l'on travaille la seconde année » et aroun a bruit, tapage » à Ouesant et à Molène, melz « intelligence » en Cornouaille, etc. Des centaines de mots exoellents, purement bretons et celtiques, sont dans ce cas. Parfois, après être devenus dialectaux et sous dialectaux, les mots celto-bretons sont sortis de l'usage. Tel • été la sort, par exemple, de goanag a espérance enep « face, visage » owerln « plèbe • et de bien d'autres que l'on retrouve dans le» textes moyen-bretons. Souvent ils ont été remplacés par des termes français : goanag pa. esperane, enep par bizaah, fas. Eutln un certain nombre de mots sortis de l'usage et que l'on ne retrouve pas dans les textes moyen-bretons sont conservés dans les nom? des lieux. Tels sont, par exemple, ledenez « presquîie » , psnn-tlr « cap » buorx < enclos pour les bêles à cornes » , gotrlva, o'hoariv,* « théâtre », koum, kom (2) (masc.) a vaitoii Cet emic-ttement actuel des ressoarces du bietou, émiettemeut qui frappe précisément lu partie la meilleure da son vocabulaire, caile qui ul vieui du celtique, est une seoonde oauee de faiblesse vis-à-vis du français. C'est uu appauvrissement qui facilite (qui justifie même aux yeux des Ignorants) l'Intrusion dt-s termes étrangers. La langue littéraire commune do.t réoupérer tous eee mots. C'est pai des aé las cie textes modèles sur des sujets intéressants destinés aux enfants des écoies, où cas mots reliés eutre eux par le solide clmeùt de la syntaxe seront commentés et expliqués eu note, que l'oa refera peu à peu de toute cette poussière nne langue véritable, riche, unie, cohéreute et forte, en un mot ca que le breton serait resté s'il n'avait pas été pendant dix siècles complètement abandonné par las olasses dirigeantes, par l'élite Intellectuelle de U Bretagne. Refaire u n eélite intellectuelle b r e t o n n a n t e . — Tout le monde est d'accord sur la nécessité et l'urgence d'enseigner le breton dans las écoles. Mais cela ne suffit pas. Maintenant plus que jamais en Europe une laDgue ne peut se maintenir et prospérer que si sa conservation, son développement et sa culture sont assurés par une élite. C'est l'existence d'une élite qui fait la force et l'unité du gailois, du polonais, du tchécoslovaque, du catalan. Une langue qui n est pas parlée par u.;e élite est sans aucun prestige (3) aux yeux du peuple qui la parole et son exis, tence, fut-elle enseignée dans les écoles, restera préoalre. O;, pour te moment, 11 n'y a pas d'élite intellectuelle bretounante. La presque totalité des bietounants cultivés le sont uniquement au point oe vuo français et langue frangalee. — En passant par là je t'ai vue et je suis Au point da vue bretou et langue bretonne, ils pour le conte que tu as ne s'é èvent pas au-dessus du simple paysan venu ts filldler publié dans le journal/ - Merci, amie, de illettié, et même souvent ils restent au-deetout mon cœur. Iiepose-toi, un instant! eous, parce que la culture étrangère qu'ils ont reçue a eu pour résultat de les débretonniser Après ils parlèrent de mille choses : du et de leur fuire en partie désapprendre leur pays, du monde, de leur enfance, et peu à langue. Il faut avoir le courage de constater peu la chanson de l'amour retentit tellement ce lait profondément attrlsiaut et mortifiant, en leurs cœurs que se fondirent au dépari, si l'on veut sérieusement y porter remède. ceux-ci l'un dans l'autre. Sans doute il se trouv. ça et là des bretonnauls qui, à leur culture française acquise à l'école Amour, oà es tu? Ici, caché dans le cœur au collège, au séminaire, ont réussi & ajouter des jeunes gens. Je n'ose plus respirer car le par leurs effoits personnels une culture brepire de la jeune fille ne v*ul pas qu'ils s unis tonne. Mais cr sont des exceptions, des Isolés sent. Il demande un laboureur. non pas seulement dans lenr propre pays' mais au sein de leur propre famille. — Qu'a ripondu le barde?... Avec le pire de Gliz-Acchant est la sagesse. Qu'elle soit Or quelques Intellectuels, prêtres ou laïques, bien heureuse, mon aimée, avec le laboureur, épars g« et là au milieu de la msdse paysanne, et moi, petit ouvrier, barde voyabond, je ne sulMsent pas. Ils sont impuissants parce serai heureux, près d'elle par mon cœur. qu'ils août trop peu nombreux, parce qu'ils Et elle?... Elle ne dit rien. Elle pleure. L'Awen au contraire est folle de joie. Elle disait hier uu barde : « Secoue ton chagrin pour regarder dit côté de la Bretagne entravée par le Mal et la Trahison. Pour redevenir des Bretons en et p it et en vé ité. Les deux paragraphes qui suivent sont empruntés à la revue « B r e i z A t a ô » Ils posent fort bien deux questions de la résolution desquelles dépend tonte restauratisn de l'Esprit breton. V o c a b u l a i r e Celto-llretoii. — L'absence pendant dix siècles d'une élite de langue b r e t o n n e et p a r suite, d'une littérature, o eu pour résultat, non seulement la s e g m e n t a t i o n dlal ctale qui est u n e p i e m f è r e cnu r d e f . i b .-s • MI tout f i i f ce d'une Ungut- ny.<nt m ti- o <-1 >'un'té <iu ti nç.i?. m o i r u r . " i|Tjl • I » «• il l ' I " | ) l l - i n ( iltu (juui loniéqui ut i'émleitement ou vooabuialre breton. Je veux dire par là qu'une foule de mots bretons d'origine purement MUl<n«i mutffiolo c q i b m « t troplcyfo dAQR A B O N N E M E N T S (VU AM «almperl« (Tille) Finistère et départemental llmii tropiiôs«»*« Autres d é p a r t e m e n t s . . . , . . . . . . il. Colonies et étranger 9 If 9-i 10 12 - dance en langue bretonne de La Villemarqué (4). Si l'ont veut relever le breton, lui assurer les travaux et la culture dont 11 a besoin pour vivre et prospérer, il faut viser à reformer une élite Intellectuelle bretonne, une société bretonne, c'est-à dire un groupement de familles aisées et Instruites de langue et de culturo bretonne. C'est dans les villes les plus privilégiées au point de vue bretonnant du Léon et du Bas-Tréguler qu'il faut d'aberd travailler à constituer cette élite. Une élite urbaine est absolument indispensable à la vie et à l'avenir de la langue bretonne (lire à ce sujet dans Dauzat La Vie du langage, chapitre intitulé 1« développement des langues nationales, les pages 196-204 traitant des conditions de la formation des dites langues avec exemple de la langue nationale eu Angleterre, France, Espagne, Allemagne, Italie) (CL le même auteur, Peyohologle du langage, Paris, 1912, les pp. 143-7]. Le Réveil Breton Dans notre dernier numéro du journal nous avons donné le sommaire du Réveil Breton, revue régionaliste qui sert aussi de bullatiô aux membres de la Fédération régionaliste de Bretagne. Ce numéro, des plus Intéressants, est vendu 3fr. (expédition franco) aux bureaux de l'Union Agricole et Maritime à Quimperlé. N O T A — Le Réoeil est fourni gratuitement, quatre fols l'an, aux personnes qui adhérent à ladite Fédération régionaliste, en payant la cotisation de 10 fr. par an, D I H U N A M B . — (Sommaire de Février 10U). Boute zo re ; Dereu-mistr ha mestrezed skol Breiz Izel ; Donezonou ; Ur lezen hag e sel er baizanted, fi. L . ; Petra e lar kloh en overcn, /. Kerilis ; En glom hag er jiboesour, dastumet get klaskoar ; A gleï hag a zeheu ; Goleu dé, Golvannig ; Arthur Rlchemont ha Jann d'Ark, J. Brangili. Gwenedis lennet « Dihunamb « ba hui eùé tnd ag er hanton Arheuaù. En destumadeu zou groeït aveltoh get skrivagnerlou er guel an. Skriù d'en eutru Andrew Mellac, 10, rue c du Gaz » en Orlant. Eur blead 20 reàl aveit Breih ; 2 skouid aveit Bro Frans ; eur skouid b& poar real aveit er broieu aral. L E FURETEUR BRETON Administrateur : 99, Boulevard Brune, {10 fr. par an) PARIS SOMMAIRE du n'72 qui oient de paraître :2 fr.50 B. P. : Les observations de Regnault Dorléans, écrivain breton. — T . Un autre Villiers de Isle-Adam. — G. Martin : Le premier contingent noir de l'armée française. Les « hussards américains » de Saint Domingue à Nantes en 1793. — J. de Cli* : La ville franche et le port de Morbihan (tfâG-lGiS). — La Bière. Réponses et Questions diverse». Gesta et légenda. Illustration : Fédram, la ché de l'île. ?. ' » . Le régionalisme et les arts régionaux bretons à. l'exposition de N a n t e s e n 1 0 2 4 . — Bien que ma compétence ne soit pas bien grande en cette matière, mais avec l'espoir d'enoourager mon ami, Louis Le Floch, toujours si dévoué à la cause Bretonne dans ane voie excessivement intéressante pour notre petite Patrie, j e dirai qu'il me semble particulièrement opportun d'adjoindre à l'Exposition Nationale de Nantes une exposition des arts régionaux bretons. Tout d'abord, la question du régionalisme, si controversée en France, et à laquelle les travaux assez récents du Congrès National de régionalisme et l'approche de l'Exposition Internationale des Arts appliqués modernes de Paris 1925 ont donné une ampleur nouvelle, a toujours présenté pour le cas particulier de la Bretagne, une importance exceptionnelle. L a situation ¿excentrique de. la province armoricaine, r&Uachée la dernière à l'ancien royaume sont isolés, parce qu'ils manquent de moyens de France, lui a valu de conserver jusqu'à nos d'action et d'étude (livres, revues, bibliothèjours une langue, des tncEurs, uu oaractère quej, parce qu'ils manquent de renseignements particuliers, et dq donner aux .produits de ses sur les meilleures méthodes d'action et de mille petites industries un cachet personnel travail, trop souvent aussi parce qu'ils manqui les faisait rechercher pour leur caractère quent do loisirs pour agir et pour travailler. souvent curieux et amusant. Eux disparus, rien ne reste, et leurs travaux, De ce régionalisme très prononcé, il faut que s'ils ont pu travailler, tombent dans l'oubli. <" — Et quand les travaux sont manuscrits, Ils sont (4) Nous avons communiqué oe passage à détruits par les parents et héritiers. Ainsi ont disparu certaines œuvres de G. Mliln et la M Pierre de la Villemarqué, flls du Barde, et demeurant à Keranaquer, en Quimperlé. presque totalité de l'oeuvre de Combeau, l'un Voiol oe qu'il nous fait l'honneur de nous des meilleui s écrivains du Léon. Détruite de communiquer : la même fwçon la très précieuse correspon- t Je lis dans le Breiï-Alao p- 387, sous co titre : R e - ( I ) L>e kos vient kole, kojen. Voir R e v , oelt". 1908, p 71 (article de 1.01b.) (>) K o u m bras, K o u m blhan, K o u m o u , K o m « A n a , i.D. Ua saint) Komou, Dome do lieux de09 le Finis- tire. ( ? ) Cstte question du f proaiigo » eat czpltale. Voir i ce •ujot lea page i o # " l i S dn le P a y o h o l o g l e d a s fOUlOG, de G t UOB (• T ediiion, ene, i f i f . D pruc meiurer 1* lerrmr d « regioi «lutea qui oai adop'4 le irangeig pour HtiKue ttici. lie <i<- teure COBK'6« CI de icura publications Mu«u itii f..;»a d. raieTor Ic bieiea eux yeux des populailoiie . .! . -I. •.. L ' J • Ii i- tua ¿ l u y u i l e r l e p r o o h a e n e o r e d e l a p a r t d e I a u t e u r d e o e p a r a g r a p h s qui f a i t o x a « * t e m e n t 1« m i m » q h o s e , . ^ Union AyHwlu faire une élite Intellectuelle bretonnante : a Et quend les travaux sont manuscrits, ils sont détruits par les parents et héritiers. Ainsi ont disparu e t c . . . » . Je déclare a»oir classé m o i - m ê m e tous les papiers d e mon père après sa mort s t m e o u e le 8 d ' é e m b r e <893. Je n'ai pas trouvé dans ses manuscrits de c o r r e s p o n d a n c e en langue bretonne. Je possède d'assez nombreuses lettres écrites par des amis en général e n français ou en bretoa ; ou par dis prêtres. Rien n'a été détruit d * mon vivant puisque j'ai tout Oc c o r r e s p o n d a n c e proprement dite lettre* d'un c6t-, réponse* d e 1 autre, II a'en exista pa«, autrement Je I aurai* déjA publ ée Mais d e * lettre* en breton, s a n s l a o o n t r e p a r t i e , int0re**«roBt-clle* beaucoup le p u b l i « quand il ( ' a g i t f t exemple d e lettre* c o n t e n a n t la publicatiaa d*a i n j i a l e e d e la p r o p o g e t l o » 4 r - t a f o i e a breton, ou de lettre* sur la Fondation da F a t z d a B r e i z ? . , , trttan ai8«C0f» S '' nous saohlons tirer parti : tout en étant une préparation, une aorte d'avant-proiet de ce q u e la Bretagne p o u r r a présenter à l'Exposition Internationale de Parti, la réalisation du programme des organisateurs doit de plus âtre pleinement approuvée parce qu'elle aura lieu a u seuil môme de l'Armorique, dans une de n o s grandes villes, aujourd'hui émanoipôe, mais qui conserve encore malgré le temps et les hommes, des vestiges de monument», des ruines de vieux châteaux, des ooutumes et un peu de cette ambiance qui donnent & notre terre natale son caractère profondément pittoresque. Elle engagera l'étranger à faire le premier pas vers cette contrée dont il admirera les plus beaux ou les plus curieux produits, dont 11 goûtera les plus délicieuses spécialités, vers oe pays de légendes, qu'il ne connaît sans doute pas encore. Evidemment, nul ne pourrait avoir la prétention de tracer s u r quelque coin du cours Saint-Pierre, une image de la Bretagne, telle qu'elle puisse donner aux visiteurs une impression parfaitement exacte de ce qu'il pourrait voir ohex nous. Mais dans le cadre du vieux Château, l'union entière de toutes les bonnes volontés mises au service de la cause bretonne, peut faire surgir une de ces expositions qui frappent, Intéressent ou ravissent les visiteurs. et les marquent d'Impressions et de aentlments profonds. Pour rendre plus attrayante cette image de notre pays, n'ayons crainte d'y accumuler toutes les choses curieuses de notre Histoire ou de la vie looales. Interrogeons le passé. Renseignons-nous sur les industries, les arts qui, dans notre région, o n t été autrefois prospères. Faisons-les revivre sous les yeux des ourieux, avec tout ce qu'elles avaient de traditionnel, dans un cadre approprié. C'est peut-ltre le moment de voir pourquoi elles ont périclité, et, les faisant de nouveau connaître, de leur rendre leur ancienne Vogue. Combien de main-d'œuvre se perd au jourd'hui, en tant que femmes, enfants, vieil lards, mutilés de guerre, qui pourrait rendre facilement la vie aux industries locales ruinées ou appauvries ? La braderie, la dentelle ont connu en Bretagne une période de pleine prospérité. Les eoktumes paysans étalent autrefois la plus ravissante floraison des travaux à l'aiguille et au crochet et les pardons étaient alors, grâce & la variété et à l'originalité des costumes, las plus oelles expositions de dentelles et de broderie. 11 fut un temps ou chaque Bretonne, depuis la lentille demoiselle portant robe à volants et hennin, Jusqu'à la bergère en sabot*, savait Hier, broder, faire de la dentelle. Aujour d hui, oes arts périclitent. La tapisserie bretonne a connu également un long m o m e n t de prospérité. Qa en admire •noore aujourd'hui de maglflques spécimens dans de nombreux musées, et le nom de • point it Nantts » est un vestige de la réputation que s'étalent acquise nos artisans de Jadis. Comme la dentelle, elle disparaît. L'exposition de Nantes sera l'oocasion de ressusciter ces formes de l'art populaire dont nul ne méconnaît la saveur et dont chacun déplore ia disparition. P l u s près de nous, étudions les arts qu'il nous est donné de voir encore aujourd'hui. Je n insisterais pas sur les arts architecturaux « p u i s le menhir de granit sombre, piqué de lèpre verte et d'or, dretsé tout droit au milieu ues landes, Jusqu'aux calvaires, Jusqu'aux • t ' i s e s , J u s q u ' a u x antiques manoirs de pierre fle taille aux tours surmontées de créneaux «rou.ants, aux larges murailles flanquées a «enanguettes, dont on ne peut hélas, songer • transplanter les nobles silhouettes sur une plaee publique. Je ne m'étendrai pas non plus s u r 1 a r t du meuble sculpté, auquel la Sûreté • u ® 0 » « • nos antlqnes chines a contribué puissamment à donner les formes nettes, simples, mais belles, si ce n'est pour demander que I on écarte l'imitation trop lâche et qu'on insiste s u r les exemples faisant effet du plus p u r style régional. One bonne place devra fitre réservée aux industries de la faïence et de la porcelaine, aveo une intéressante page d'histoire véoue oe cet art t le vieux tourneur d'écuelles en terre rouge devra précéder le tourneur de Kaolin ; enfin, un atelier moderne enseignerait aux curieux les seerets de l'industrie des faïences de Quimper. N'oublions pas pour terminer de chatouiller ÏÎkEi étraD . f e r s en exposant aussi la rannoation de nos produits culinaires si réputés : les poissons, les spécialités de bonbons, •nHn, les orlpes. Ah, que Je suis sûr que ces Crtpes dorées, qu'une gentille fouesnantaise ferait sauter dans la poôle, sauraient décider • l u s d un un g o u r m e t à venir passer l'été en Bretagne. Les orépes en dentelles, d'autre part n'ont pas leur égal dans le monde. Ce sont là quelques idées encore bien imprécises ; mais que chacun se mette à l'œuvre • I , répondant à l'appel du Comité, s'applique K „ ! V ? U » f " 1 * c o n 8 t i t u " h Nantes, 1 mage de la Bretagne, la plus belle et la plus Vivants, afin qu'elle soit plus aimée. ... Clet LOUARN. GIBOULEES fcoe b u I n » html En re«é ! L«f.r. fl»«.,i | 0 „|g e , rUMIO» M rayai» Im cbimpi. U ciel brume« U Ml, I * aurt, Im t*iii, w.f.iti l««lneu* On lerpuiias WIIUDU ««« la tournant* alltfa I jW«qoM la Tlaux Pfathui Joat u rigueur abrè/ra ala (aiioaa-lul U oitua ta ailla col» ambreux «t, tant Mlall ««'Il an, u fait aa vam la ai*««. fumalwai 1m piutita fujaat i«ua 1m aroadt« A»sIom Im aafaat. j.leux da no. faabalta, Mais «ta I Natra rooéa ait ceurts at va flair. Sa loe» ! aa larn t «a tlat an «plrM aaranlfai I Bstt la baujuat I C'ait Mars «ai fait, t»le| unit AytîI, <al n formai la paît« au* «iboulèis. Paul PHILIPPON Les Dits d'un Paysan Le» assolements Connaissant la dominante des différentes plantea qu'il enltlve et la natnre de son aol, Il •et aisé à l'agriculteur d'établir un assolement rationnel pour aea onltures. L'assolement est l'alternance des cultares «nr nn m i m e sol. Deux plantes qui ont la « 6 m e dominante ne devront pas, en principe, ae succéder Immédiatement sur le même sol. Cette pratique n'est possible qu'en restituant a n sol les éléments nutritifs enlevés par la culture précédente. C'est done la condamnation d'un Uficheux assolement enoore pratiqué dans certaines •a ni pagnes et particulièrement dans le Morbihan, lequel consiste à faire succéder un seigle * un seigle et & continuer pendant des U Q f c s cette culture sur le m i m e 8 qJ. en Intercalant seulement, tous les trois ans. une avoine ou un sarrarin entre deux seigles et en ne donnant au sol, comme fumure, que le teil s tu, au fumier composé en majeure partie d'ajonc et genSt mélangé« & u n pan de famlar et & beau coup de mottes enlevées à la surface des bil lous et pleines de racines de chiendent et d'oseille. Il faudra que le cultivateur tienne compte pour l'établissement de ses assolements, de la natnre du sol, des exigences des plantes et aussi de leur mode de végétation. Les céréales, par exemple, sont des plantes épuisantes et salissantes. Epuisantes parce qu'elles occupent le sol très longtemps et exigent une quantité Importante de tous les éléments nutritifs du sol pour prospérer; salissantes, parce que leur mode de culture ne permet guère la destruction des mauvaises herbes qui poussent A leur ombre. Les plantes sarclées, au contraire, permettent le nettoyage du sol par des binages répétés et des sarclages, et les légumineuses, dont la végétation est rapide et envahissante, étouffent tout ce qui pousse sur le sol qu'elles occupent. Ces planies sont pour cela dénommées nettoyantes. Elles sont, de plus, améliorantes en ce sens quYlies vivent surtout d'azote atmosphérique qu'elles emmagasinent m ê m e e n q u a n tité supérieure à leur consommation, laissant ainsi dans le sol une réserve d'un des éléments les plus indispensables à la végétation. L'agriculteur avisé aura donc Intérêt à établir son assolement de façon qu une plante nettoyante succède à une plante salissante, afin do contrarier, autant que possible, le développe ment et la propagation des mauvaises herbes. L'assol- ment met l'agriculteur dans l'obligation de s'intéresser à plusieurs cultures. Sa situation rappiochée ou éloignée de» centies d'écoulement des produits de la ferme sera un élément de plus à considérer dans l'établissement d'un assolement lémunérateur. L'assolement ratlonel doit fatalement aboutir à la disparlt.on de la Jachère nue encore pra tiquée dans quelques fermes, sous prétexte de laisser reposer la terre. L'assolement, bien compris, est pour le sol le meilleur des repos, puisqu'il lui permet de récupérer, par certaines cultures, les éléments que des cultures précédentes lui ont enlevés. Un bon assolement vaut une demi-fumure. La Jachère ne sera utile que dans le cas où on voudrait nettoyer le sol des mauvaises herbes (chiendent, avoine ù chapelets, oseille) qui l'envahissent. Dans ce cas, il est évident qu'une année de Jachère pendant laquelle le soi est retourné plusieurs fois, routé, hersé, rel té, est salutaire pour une t rre envahie par les mauvaises herbes. C'est le seul cas où cette opération soit avantageuse. Il existe plusieurs types d'assolements. Je ne parlerai pas de l'assolement biennal, dans lequel le blé succède invariablement tous les deux ans à des plantes sarclées ou à des légumineuses. Cet assolement est très épuisant et il ne peut donner de résultats convenables que par un apport important d'engrais naturels et commerciaux. L'assolement triennal est moins épuisant, mais ne constitue pas encore le type à conseiller dans les fermes d'une certaine étendue. Il consiste à cultiver, la 1" année des plantes sarclées remplacées la 2' année par une céréale d'hiver, laquelle sera remplacée, elle-même, la 3' année, par une céréale de printemps, peur revenir la 4* année k une plante narciée. L'assoiement quadriennal comporte ia 1" an née, une plante sarclée; la 2' année, une céréale ; la 3« année, un trèfle au fourra e annuel; la 4« année, une céréale de printemps, pour revenir, la 6« année, au point de départ. Cet assolement pratiqué uans les granJes fermes de certaines régions de France, n'est guère en usage chez nous En Bretagne, suivant les débouchés, U est établi plusieurs types d'assolement. J'en slgualirai deux : 1* celui des cultivateurs qui fournissent les marchés de grands centres, ainsi composé : 1" sole : pommes de terre, petits pois, haricots, betteraves ou rutabagas. 2» sole : froment, seigle ou avoine. 3« soie : trèfle incarnat, vesce, jarosss eu serradelle. 4* sole : choux pommés, choux fourragera, choux fleurs ou choux de Bruxelles. 6* soie : pommes de terre, etc... Des cultures dérobées de navets fourragère, de coiea, de moutarde blanche, de vesce, de seigle fourrager etc... sont pratiquées entre ces cultures, les disponibilités en engrais le permettent. > Les fermes éloignées des centres urbains pratiquent souvent l'assolement suivant : 1" sole : pommes de terre, betterave, rutabrga ou sarrazin. 2« sole : froment, seigle ou avoine. S' sole : trèfle incarnat ou serradelle. 4» sole : choux fourragera ou colza d'hiver. 6' sole : pommes de terre, etc... Si l'ensemble des terres d'une ferme est d'une fertilité A peu près uniforme et susceptible de recevoir toutes les cultures, le cultivateur aura intérêt à partager ses terres en 4 ou 6 séries égales, suivant qu'il désire faire do l'assolement quadriennal ou quinquennal, et à établir entre ces séries un roulement approprié. S'il dispose d'une superficie telle qu'il ne peut tout cultiver convenablement, fauta de main-d'œuvre, Je lui conseille d'adopter l'assolement suivant qui lui donnera les meilleur« résultats t 1" sole : pommes de terre, betterago, rutabagas. ou autres EHoa plantes sarcléec, ou sarrazin. 2* sole i b é. seigle ou avoine. 8* sole : partie trèfle I n c a r n a t ; partie iuxerne ou trèfle violet. 4» sole : après trèfle incarnat,, choux fourrage», navets ou colsa. sole : pommes de terre, et«;,,. La partie de la 3* sole réservée au t r l l e violet constituera la Jachère cultivée. Cette culture pourra occuper le aol pendant 2 ans 1/2. La 3« année on enfoniera la dernière coupe de trèfle, avec une fumure minérale appropriée et on aura ainsi la terre idéale p o « r a n * culture ue froment. S'il s'agit de luserne, elle pourra occuper plus longtemps le sol. Mais qu» oe soit après trèfle ou après lueerne, on évitera bien de fumer au fumier de ferme en défrichant, car, alors, le blé verserait certainement. Le trèfle violât ainsi que la luzerne enilchls sent le soi en azote. Grâce à leur« racines pivotantes, ils puisent surtout leur nourriture dans le sous-sol, laissant disponibles pour les oultures suivantes les éléments nutritifs de la couche arable. Par suite de leur végétation rapide et de leurs coupes répétées, les mauvaises herbes se reproduisant par graines, ne peuvent arriver ft se développer complètement. Ce «ont donc des plantes essentiellement a m é liorantes et nettoyantes et leur culture est à conseiller vivement dan» toutes les frime» d une certaine importance. Elles mettent également à la disposition du fiUltivatyur une mpsse considérable d'excellent fourrai« vert et sec permettant l'élevage (Tua, plus nombreux bétail et pur conséquent, la production d'une plus grande qua tité de fumier, base de toute culture Intensive. BROAD. Pour Assurances Incendie, Accidents, Vie D . A . S . Tribunal Correctionnel de Quimperlé *dp^sseHousk;eui8Fum°'Pont- Audienoe du S7 février Chronique Régi-<nale Tarir d e s C h e m f a s d u F e r . — Son augmentation partira du 10 mars. C h a m b r e d e C o i n m e r e e d e Quimp e r . — Le Ministre du Commerce et de l'Industrie adresse la lettre suivante à la Chambre de Commerce ; Paris, ¡e 23 Février 1924. Le Ministre du Commerce et de I industrie à Monsieur Le'Piésideut de Iv Chambra de Commerce de Quimper. Pa ml (es me.ures employé» pour amener la baisse du franc, une prati iua fréquemment usitée consiste, pour l'étranger il acheter en France, sur le marché a terme, des matières premières produite» à l Etranger fto les que la laine, le coton, le cuivre etc,„.) . n ne déposant, comme couverture qu'une minime somme représentant seulemeut une (fraction de la valeur de la marchandise. Ceux de nos nationaux qui consentant des ventes ft terme duns ces conditions se couvrent le plus souvent du rl»que quM courent en faisant ces opérations ; ils «e portent acheteurs dans les pays d'oilglne, d'une quantité de marchandises correspondante à celle qu'ils ont vendue. Or, ils «.ont tenus de décaisser, ponr des sommes considérables, en devises étrangères, qui sortent de Frauce *v*nt même qu« le montant des achat* faits par les étranger« n'ait été acqu té. Il en résulte une demande Inusitée de devises étrangères el une b ils e correspondante du franc, dont l'acheteur éiranger béuitlcie lorsque le terme fixé pour ses achats est arrivé . Il importe de parer immédiatement à ces maneiuvres dont l'effet à une répercussion de» plus dangereuses sur la valeur de notre devise nationale En conséquence, Je vous prie de vouloir bien dénoncer ces pratiques aux industriels, négociants et courtiers de votre cireonscrip ion. II T a lieu de les inviter, de la manière la plus pressante, à exiger, toutes les fois que des achats seront faits aupiés d'eux par de- étrangers, ia couverture totale et préalable du montant de ces achats. Je ser«i «bilgé ,ie me tenir au courant des mesures que vous ..urez prise» et. le cas échéant, des instructions que vous aurez adressées pour que des pratiques aussi dangereu.-es que celles signalée» ci dekus ne soient plu» désormais poasibi.es. Je suis assuré que vous été« vous-même trop profoudéuient pénétré de l'impéileuse nécésslté qui s'a tache à assur ;r la d fense de notre devise natlanale, p )ur ne pas prendre immédiatement, en vous inspirant des directives ci dessus, les mesures que mon Département considère comme particulièrement urgentes. •idSi Quimperlé- — Vagabondage. — Le mardi 19 février, (es gendarm s trouvèrent dan* le bol« de KCrisole, Loul- Hénaff, natif de Gourin et le mirent en état d'arrestatlo". pour vagabondage. Héniff, qui est un falbl ' d'esprit comparait devant ses juges à l'audience de ce jour. Ceux-ci l rom>ncent un acquittement en sa faveur, le célit n'étant pas suillsainment établi. — Lt T<>ullec Jean, garçon boulanger, dont le casier judiciaire est dijà orné de 16 condamnations pour vol et vagabondage est poursuivi pour mendicité et défaut de carnet antrhopométrique. Il sa voit condamner à un mois de prison. — Le Strat J e m . garjon meunier, ayant aussi b condamnations, dont la dernière remontant è décembre 1923 où le tribunal de Lorient, lui avait infligé 40 jour» de :>rison pour vagabondage, c o m p t a i t aujourd'hui pour 'e mime motif devant Itsjug^s d-i Qu>mp* lé, qui lui octroient 1 moW de prison. mm PUNOS - MUSIQUE - INSTRUMENTS iiaitan Fondit to u. i860 'X-ACCORDKOB CI PIANOS DE LA MAISON (, Cours it la BÔve PLKYXJ TELEPHONE 4-21 MnaanaaMaMMaaaHHMMM Foire» de la Sem* ne Lundi i mars 19U. — Brasparts, Brest, Brlec Châteauneuf. Croion. Hôpital-Camfrout, Pena-\ P^onéveï Poraay, Ploudlry, Plouyé, Ploaévet, Pouldergat. Poullaouen, Pontivy. Mardi 4. — Arxano, Lecronan, St PierreQnilblgnon, Mebrand, Quistiaie, PlounévezMoédec. Mercredi t. - Bannalee, Daoutas. Blllant, Lanallls, La foigeët. Ploulg-eau, Naisln, Ingnlniel. Jeudi $ - Chftteau'ln Hue goat. La RocheMau-lce. M«sp»ul, Piouguia, Pont Croix P o i t l'Abbé. S»int Thégon'iec. Locmlne Calanhel. Vendredi 7 - Pouldavid, Saint-Sauveur, Plumâliau. Béga d. Samedi S - Morlaix, Pi meseat. Quimperlé 9, R u e d a s K o o l e a , f Q T J I M P B R L É Montres-Chronomètres de Précision Lll» — L O \ 4 à L \ E S 0>IÉ(»A - U\H POP - ZÉNITH RÉVEILS : 15 Fr. Carillons Wesmlnster : 350 Fr. BIJOUTERIE - OrioLt - 3WCva.r»t X X X I K BAL A GRAND ORCHESTRE Par la Musique symphonique Violons ils Lorient Ouverture du Bal i 1 8 heure« Pêohe fluviale. La société de pêche v La (iaule bannaieccolse • a immergé, le 21 février. 20 000 « u f s fécondés de truites, dans les rivière* du pays. Tout le monde a Intérêt à réprimer ie braconnage qui détruit une richesse nature le de la région. Une surveillance active de nos rivières et ruisseaux sera exercée par les garder de la société qui n'hésiteront (pas à poursuivra les braconniers de profession et même lea amateurs qui. au moment des foins, déssèchent les ruisseaux et détruisent tous les poissons sans distinction de taille. Melgven Médaille d'honneur agricole» » U. J . Crall, a obtenu cette médaille p a r arrété en date du 17 février. Taupes Fouines Martres Putois Renards Loutres Lapins R. de C. Quimperlé N° 514 achetés au plus haut prix par sont H. HOTTE, 18, n e Savary. Quimperlé S B A A S S S Moèlan . . , Carne*» de mariage». A I j . .. — IM lundi 8 mars Simple Police. - A l'audience du ai à > heures, en l'église paroissiale de Moê'an sera Février courant tes condamnations suivantes béni le mai i»ge de Mile Isabelle Quillon. de ont été prononcées : ivresse. 4 ; tapage nocturne. Ke sécol, avec M. Joseph Carleu de Salat-Ta4 ; défaut d'éclairage (voitures et (bicyclettes) s mec, et de Mlie Marie Anne Le Dœuff, de Ke12 ; d vigation d chi n, 1 ; divagation de bétail | r a m p e l u n , avec M. Matburln QulUou. de Ker« 1 ; embarras de la voie publique, 2 ; uriner sur séco . Les rep«s f e r o n t servis chez M. Lan« la rue, 4 ; mauvais traitement envers un anidrem à Merrien. Tous aos voeux de bonheur. mal domestique, 1 ; défaut de plsque, 1. Ser-rio» pharmaceutique. — Demain, dimanche, le Service Pharmaceutique sera assuré par la Pharmacie QUI BOURG, rue Sa* vary. Gentleman Irlandais M. Tanguy LANGRÉE S a l l e L o u i s MONCHICOURT 4HOMNKMKRT A LA LECTURE MUSICALE K4déné - BIJOUTERIE - Le Mardi-Gras 4 Mars courant — Echange Pacage. — Pour avoir enfreint l'article J8, du décret du 31 décembre 19z2, le 31 février, sur le pacage des animaux sur la vole publique, Françoise, de Keryoff, a récolté un pro eés-verbal. Jau ; »lté,lef«Beau voyez Choix a4eai ,„,„4 u et lee Prix de la Ville de Bannaleo LORIENT Aecord* — Réparations littéraire el commercial et l e ç o n « d « violoncelle. S'adresser à M. K. J. Ma« Geofhegai, Ty-Brei*, Morlaix. Avant d'acheter convo jué 'a section locale de la Ligue des Droits de l'homme, le dimanche 3 février, et 9*n« doute i<prês un discours bien senti. Il flt t o t e r un ordre du Jour demandact RUS parlementaires républicains 11 de repousser les m e sure? actuellement en discussion devant les Chambres, c'est-à-dire de s'unir aux socialjstea et aux communlst-'s pour faire éohec au Gouvernement au risque de provoquer une catastrophe financière. Voilà où en arrivent defl Lomm-s qui par ambition ou anticléricalisme, 8'affliiont ft des ligues plu9 ou moins maçonmsantes. Ils perdent toute indépendance ; Ils deviennent entre le& mains de la frano-maçonnerie de véritables esclaves qui doivent être prêts à toutes ies besognes. M. Tanguy en sait quelque chose. x.X. O L L I V A U X FAOTEUR A v i s d u S e r v i c e V i c i n a l . — Pour parmettre Its travaux de cylindrages, et surtout afla d'éviter tout acciiem, la route dis la gare, entre le quai et in pont de Moi an, eat barrée depuis vendredi dernier, t» février, et es pendant une dizaine de jours. un B I J O U une M O N T R E ] Union commerciale et industrielle — L'assemblée générale, annue le des memb es de l'Union commerclals et Industrielle de r a r r o a d l s ^ m e n t de Quimperlé, se tiendra Le samedi 1** mars prochain. & 20 heures, à la Mairie de Quimperlé, «aile des Mariages. Ordre du jour : Admission de nouveaux membres ; compte rendu moral et financier de la Société pour l'année 1923 ; compte rendu de la réunion de la Chambre de Commerce de Quimper du 16 février l^Stt. concernant les mesu es à prendre pour la défense du franc et. les nouvet ux ImpO s projetés ; vœux divers à émettre, ouverture à toutes propositions. Baunale* et le» c o a a a a i « é « f . — Oq n'a pas oubliéf que M. Tanguy, déférant aux ordres de la frano-maçonnerie, fonda naguère à Bannalee, une section locale de la Ligue des Droits dt l'homme. Il en devint le Président et choisit comme secrétaire l'instituteur Karsulec dont les idées communistes n'étaient un secret pour personne. M. Tanguy affirmait ainsi sa sympathie pour les doctrines de désordre qui ont couvert la Russie de r u h e « et de sang. Ses sentiments n'ont pas rlia'>j-é. Il s'est, „ oh lui-même de nous le fa„ l roi-ver lor« de la réunion qu'il a présiiûe le ol>na>iohe 3 février, à la Mairie. De uis qu'il est question des élootions, les radioaux et radicaux-socialistes sont divisés. Toujours d'accord quand il s'agit de < manger du curé ou d'entraver l'action bienfaisante de l'Eglise; ils sont moine unanimes dans les questions qui touchent aux intérêts supérieurs du p, ys. Quelques-uns conservent enoore un oertain patriotisme et uo peuvent se résoudre à faire obstruotion au moment où la f r a n o a a tant besoin du oonoours de tous ses enfants. C'est la raison qui a décidé M. Adolphe Chéron et quelques autres parlementaires à se séparer de leurs amis et ù rompre avec le parti radical Mais la plupart des radioaux et radioaux socialistes demeurent obstinés dans leurs erre m e n t s ; ils s ' a p p ^ e n t a constituer le bloo des gauches avoo les socialistes -it les communistes. iM d'acco i aveo eux ils font opposition au* mesures d<>jà prises ou proposée» actuellement par lo gouvernement pour le relèvement de nos Ûnanoes. Ils semblent vouloir entraîner la Franoe à la banqueroute pour y déohalner la guerre olvile et y introduire ensuite le bolohevlsmo. La Ligue des Droits de l'homme ne pouvait manquer d'Intervenir et d'emblée elle s'est ialliért au bloc des gauohcs. aooep'ant ainsi d> rnaroher dans it* sillage de» internationaliste. 4 D'ailleurs pouvalt-ll en éire autrement? Pou vait-o - compter Hur Iti patMotinme d'une Liguqui im3 fait gioire d'avoir défendu Dreyfu.\ Caillai«, Malyy, Mariy? d b w n u t m mot d ' o f l w , M» Tanguy ï v W J RIEC-SUR-BELON MARDI 4 MARS AU 80IR A l'oooasion du C&rn&val Bal à grand Orehestr« SALLE ROUAT Pont-Ave» Cidre». — Cidre vieux : 159 & 169 fr. la barrique ; eldre nouveau : 300 à 220 fr. ; cidre pour la distillerie : 100 fr. Les prix s'entendent nu, rendu à destination ; II faut encore «Jolie r les droits de régie. Le cidre nouveau est rare ; anssl le vlenx cidre trouve preneur & des prix assea élevés malgré sa médiocrité. (La Revue VInhale). Nétez Réunion de» chef» de famille ca- tholique». — Dimanche, 24 février, à deux heures de l'après-midi, a'est tenue, à Nérea, U réunion annuelle des chefs de famille catholiques du doyenné de Riec-aur-Bélou. Le nouveau président, M. Demimuid Treuïlle de Beaullou, a voulu, en entrant en fonction, donner lul-mlme la conférence. Après avoir lu le procèi verbal de la dernière séance, M. le Président a tenu, pendant nne heure, sous le eharme de sa parole elalrc et a t u a d e , 139 auditeurs, venus de tontes les paroisses du doyenné, parmi lesquels noas avons remarqué M. le Rectecr de Névez, M. le Curé de Rlce* sur-Béljn, MM. les Reetenrs de Moèlan et do Pont Aven, M. le D* Le Lonôt, maire de P o n t Aven ; M. «tienne de Solnalnlhac, ¡du Selon j M. René Rodallee, de Kerllsqnldle ; M. Tanguy, de Kerlaouen; M. Bonrhls, de KernN valgae, M. Louis Nicolas, gl», de Kernatoas, etc. Le sujet de la conférence était : L'éducation des enfants. « L'enfant, nous dit, en snbs* tanee, le conférencier, l'enfant Sst t Dien, d'abord ; les parents ne sont qne des délégués... Avant tout, l'éducation doit dono être chrétienne, le but de 1« r i e étant de gagner le Ciei. Pour ce qui regarde (es science» profanes, l'important est. non pas de boarrer le cervea« de l'enfant de toutes sortes de connaissances précises sur ce qui peut lui être utile dans U carrière qu'il doit s u i v r e . . . ». fin terminant, le conférencier fait l'éloge de l'exeellente revue, ïïaole et Famille, oit tes parents peuvent trouver tous les renseignement« nécessaires, pour les aider dans leur tâche, et prie M. Olivier, de Pont-Aven, secrétaire de l'Association, de prendre les noms d -s nouveaux abonnés. Kernével Bri» de c a r r e a u x . — Le 10 février dernier, veas 17 heure«, les npousés Rejrf L e JBlhan, 18 aos. KcragfetU; r f f c O w p r , deVjjMm S-ult» aelaJRécrioxiAle A c t e t d » mftfchandlc «s par d * s K t r ^ t y e r « . L e procureur général, près la Cottr de Renne», ayant fait procéder à une enquête près des maires et des personnalités agricoles de l'arrondissement, il eu résulte qu'il n'a été constaté, nulle part, de faits de hausse provenant d'acheteurs étrangers et notamment d'Allemands. Plusieurs enquêté« se contestent d'attribuer la hausse & l'élévation perstotefite des tarifs de transport. Ç#U$iep r u r a l e s è t u r b a i n e s du F l a & M t a e . ^ (Acte de prêt). — « Avtz-vous besoin de MWO fr. pour compléter votre bétail, deflû.000 fr. podr achever de payer votre feime que vous avez achetée à bon compte, adressezvou» 4 la Caisse rurale de votre Commune ; 1« CodmU de la Caisse jugera votre cas, et peut voua donner cet argent, vous demandera d» signer un acte ainsi conçu : « Le soussigné Yves Kerdanvad, cultivateur & Lesloo'h commune de Steirodet, et Corentlne Dizéol, son épouse qu'il autorise (o'est dono qu'Yves est marié), également soussignée, reconnaissent avoir reçu de la Caisse rurale de Steirodet la somme de trois mille francs, pour être employée h augmenter leur cheptel. Cette somme rapportera des intérêts à 6 fr. 0/o payables au 1 * Janvier, et sera remboursée par annuités de 800 fr. et le reste la cinquième année. Ils donnent en garantie le cautionnement solidaire de Guillaume Avalou, cultivateur à Mesguen, en Steirodet, également soussigné.- Fait et signé 4 Steirodet, le 8 mars 1924 •>. Là-dessus un petit timbre de 3 fr. également paraphé, et vous emportez la somme qui vous permettra de réaliser, aveo les fourrages que vous avez si abondante, un bénéfice de 600 fr. l'année et plus. Quelle belle Invention, dites-vous I. S b l oui, faites en en votre profit. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Souabaut, 7, rue Vis, Qulmper ou à l'abbé L s Mel, viealre à Kerfeunteun, ou & M. de Massol, Lannlron, Ergué-Armel. Assises du Flnlstèr*. - La s e s s i o n des assises du Finistère pour le 2* trimestre de 1924 s'ouvrira le lundi 28 avril, & Quimper, sous la présidence de M. Dollia du Fresnel, conseiller à la cour d'appel qui sera assisté de MM. Gérontes, juge etDonnart, juge suppléant au tribunal de Quiznper. V. C. I. — Réunion, aujourd'hui samedi, a «0 heures, salis de la Mairie. DP Prat-Bescond 10, rue Brouzio, QU1MPERLE ont l'honneur d'informer leur clientèle qu'elles viennent de reoeveir un G r a n d Cbolx de Tissus, dans les dernières Nouveautés, pour la saison, ainsi que les garnitures en alons, boudes, boutons et toute leroerie fantaisie. Grand assortiment de Costumes, R o b e s et Manteaux pour Enfants. Lingerie, Layettes. i C e r s s j o s et V a r e u s e s p o u r S »«•M. Chemises, Cols, p o u r Hommes. Cravattes, ExfoilioB de toute Confection sur Mesures TRAVAIL SOIGNÉ P R I X M O D É B â S kflufe ounrt tous lis Dimanches L ' a r g e n t soelaltsto et les radloaux. En vain, M. Coffrant défend-il le parti radi cal de toucher à,l'argent allemand. Nous avons expliqué la dsrslirs fois, avec textes d l'appui, c o m a e n * Frlédrleh Adler et Tom Schaw, lnvtttnl les partit ouvrier* de tous les pays à prélever éu fond» tar hors calites, à organiser d*t eolbcU» générale* et d consacrer ces rest q u c e s 4 la caftte du toclalismc en Allemagne tin Front». Çà c'est autrement précis et intéressant que la caisse de Rédéné et pour qui eqnoait l s cartel, préparé entre socialises et rsdlestu, la i n c l u s i o n est claire. VQiei ce q u » * 1 _ . « oujci i*. „«»wpu . ministère radical-socialiste, comprenant, si,possible, plusieurs socialistes, voilà *» que les Allemands sont arrivés & souhaiter dt toutes leurs forces, comme les prémices et la Jojteos« préparation de leur revanche. voeu*... ç'esfc quelque chose, mais ce n'Mt |»oint assez. Ba l'occurence, les vœux sont accompagnés de bonnes espèces sonnantes et tn^«siMintMi recueillies par vole de souscription publique chez les Allemands que l'on dépeint comme insolvables. Certes,t tous les coalisés' du- cartel des gauches ne reçoivent pas les aahsldss avec un égal égoïsme. M. Herrlot et soi» entourrage immédiat affectent des mines digoutfes. Il faut être socialistes pour pratiquer à un tel degré l'Internationalisme ûtnan«Isr* MalLlt* radicaux mettent tout de même la nudn dans la main pleine d'argent allemand, des socialistes prébendés par le Vorwaerts. Aueun donle n'est possible pour les Français : tout bulletin de vote accordé au mois de mal prochain, & un eandldat radical, socialiste ou communiste, constituera au appoint & la cause allemande. Electeurs français, lorsque l'heure sonnera de mettre votre bulletin de vote dans l'nme, songes que tout suffrage donné aux amis de M. Herriot ou bien aux socialistes servirait la cause de l'Allemagne qnl ne veut pas payer ses dettes et qui poursuit sa revanche militaire. Joseph DENAIS. Qulmperlé Zë Catholique C o f f r a n t . — M. Cof- frant s'ébahit devant les affirmations de Maurice Barrés, pour qui le Catholicisme est l'essence même du Patriotisme. M. Coffrant no nous donne pas, lui, de définition du catholicisme. Il se contente de nous dire que la Religion Catholique est composée de croyants comme lui, tandis que le parti catholique comprend les cléricaux comme moi. On le volt, c'est simple I Mais qu'est au juste un clérical ? Je crains bien que ce ne soit guère autre choss que ce que le catliéchlsmc nous dit du caUiollqm, lequel, simple individualité, est uni à son curé, lequel est . uni à l'évôqueS Ieqnel «n dernier llau est uni an Pape, hiérarchie plue on moins rldncnlisée pa,r les croyante au genre de Coffrant. M. Coffrant, 3sns doute muni de ses degrSa théologiques, à défaut du diplôme de licencié en droit qu'il ne pnt décrocher, nous doit une définition plus originale du « catholique ». 11 nous démontrera l'évolution du m o t . . . comment depuis Jésus-Christ pour arriver à Camille, le nom et la chose ont changé de signification. 11 précisera l'époque où les clercs (prêtres, évêques, pape) devinrent pour le3 vrais croyants des rouages Inutiles, dont on ne doit jamais manquer de dénaturer les actes, et contre lesquels tous moyens sont bons s'il s'agit do détruire le respect que leur portent les populations. Certes, M. Coffrant rend â l'Eglise de signalés services, en émondant son arbre vieilli, et il ne faudrait pas s'étonner que le Pape, enfin rendu à la raison, n'emploie le bel et grand Camille, comme chasse-gueux à St-Plerre de Rome, afin d'en expulser tous ces compromettants cléricaux. De Garibaldien le voici devenu gendarme pontifical. Ne lui ménageons pas l'avancement 1 * Notre théologien nous fixera uussl sur ce qu'il entend par République, mot que que M. Le Lonédcc traduirait, sans doute, evec nous, par Rea Publloa : Chose Publique, appartenant à tous. M. Le Louédec croit avoir des lettres et se trompe : noua aussi. Cette Chose n'est pas Publique. Elle appartient à un petit nombre, et surtout point à ces damnés catholiques! Tulle la conception radicale, tel le dogme de M. Coffrant... Inclinons nous. Mais, nous aurons besoin de toute notre attention pour bien saisir la relation nécessaire existant entre « catholiques » et « traîtres d la Patrie, embusqués, profiteurs» Dire que chez les ca'holiques, il n'y a t point eu de défaillances, serait sans doute, exagéré, mais les leur attribuer toutes en bloc, pour décerner un brevet d héroïsme aux libres-penseurs, parce que libres penseurs, paraîtra sans doute hasardé. La rédaction du Bonnet Rouge, par exemple, était-elle catholique ? et les défaitalstes du Quotidien le sont ils ? Et ne peut-on penser, avec quelque raison que la guerre et l'état catastrophique permanent qui en découle ne sont plutôt dûs aux intrigues de la juiverie Internationale et de cette finance cosmopolite qui, pour en finir avec la France, attaque notre crédit, et s'apprête à arroser ses auxiliaires naturels, les radicaux - socialistes, avec les fonds de la trahison ? g. Patronage» laîquos ! — La semaine dernière j e m'étais permis de faire remarquer oomment la nouvelle appellation de patronage laïque appliquée à l'fissor Quimperlois dénotait la prétention de vouloir embrigader d'office dans cet essai da patronage, tous lea eiôves des écoles publiques. J e m'attenlais à une réplique sérieuse, mon attente a été déçue. L'Echo s'est borné & répéter ses lieux communs. J e dois dire tout de même que mon attention a été retenue par la première phrase. J'ai voulu en pénétrer le sens, en essayant de voir comment « des défauts peuvent arriver â percer chez quelqu'un les yeux de ceux qui osent le regarder ». J e n'y ai vu que du bleu. Un jour ou l'autre, il faudra réunir en volume les phrases lapidaires échaopâes êi la p:umn de M. Coffrant. Ce volume suffi-a oertes 4 ,e faire entrer à l'Aoadémie. Ce sera poar lui UDO situation qui cadrera bien aveo ses préteniiouu I Mais passons. J e relève au passage cette affirmation si souvent contredite par les faits, que l'écoie laïque respecta ia oonscience des enfants et la liberté des parents. Qu'on relise les discours d'inauguration de l'Essor, on verra que le laïcisme est essentiellement anticatholique aussi bien qu'anticlérical. D'ailleurs, qui no sait que chaque jour l'enseignement, sous toutes ses formes, peut fournir à un professeur antireligieux l'occasion d'essayer de communiquer à ses élèves, ses théories antireligieuses. Evidemment 11 fallait que M. Coffrant, pour disculper ses amis, entonne une fols de plus son refrain sur la pression cléricale. Refrain démodé autant que ridiculo dans la bouche de gens qui, paroe qu'ils disposent du pouvoir, ont entre les mains tous les moyens de pression et d'arbitraire. Nous les entendons crier qu'on les étranglo, au moment môme où on les voit s'installer, comme des coucous dans les maisons confisquées aux catholiques. Ils crient quand Ils entendent u.i prêtre rappeler aux parents catholiques, le devoir do fairo donner a leurs enfants, une éducation chrétienne; et toujours pour se défendre, ils accuseront les catholiques dos fautes dont ils se sontent coupables. Mais, comme à Quirnperlé il serait facile de contr, la fausseté des faits qu'ils allèguent. ,'la Lli ^ r . » V " ' >••< . , , , . „ „ ,) „ „ llo SB wvont ctvttc lo OU -au ^eapu ia ruaooaaoo dénie „er ur. oanard auquel les intéressés ne tarderont pas à couper les ailes. Pour ce qui concerne les patronages il sorait pourtant facile de Jouer un sale tour à tous ces cléricaux, ce sorait de citer des noms de jeunes gens qui seraient obliges d'y rester malgré e u x . Nos laïques ne peuvent pas comprendre qu'on puisse rester libromont dans une œuvre catholique. C'est qu'ils ne comprendront Jamais la différence totale qui existe à ce point de vue entre les deux genres do goupements. Dans le groupe laïque, on se stnt obligé d'inBcriro d'office les élèves d'école primaire supérieure ot les fils de fonctionnaires. Dans les patronages Catholiques oe sont les Jounos gens oux-mêmes qui vont s'insorlre librement et qui quittent aussi librement le Jour où ils ne veulent pas observer les conditions d'admission. Le grand moyen d'action des laïquos, o'est la pression et l'abus du pouvoir. Pour le montrer il n'est pas nécessaire d'allor à Cascadeo. N'en avons nous pas des exemples sous les yeux à, Qulmperlé? Toute l'action laïque à. Quimparté est elle autre chose qu'un abus de pouvoir? Confiscation des Ursulines, pression exuroée sur los fonctionnaires pour lesobligerè mettre leurs enfants dans dos écoles ou les patronages laïques, obligation faite à dos élèvn.-, de verser des cotisations pour un group4 dout ils no veulont pas, faveurs accordées aux amis que l'on place dans les postes avautag ux, profits personnels que l'on retire comme libraire des sorvices municipaux, publications d'arrêtés contra oeux qui no plaisent pas. D'ailleurs la question qui nous ocoupe a déjà fait l'objet de réclamations puisque nous voyons un député M. Pouziu poser cotte question à M. 1e Ministre de l'Instruction Publique en novembre 1923 : « Est-il exact qu'une circulaire ordonne aux directeurs d'établissements universitaires de créer dans leur établissement une sooiété sportive dont seraient obligés de faire partie les élèves mêmes externes ? Or le mlnistro a répondu » que l'obligation de faire partie de l'assoolation sportive d'un établissement d'enseignement n'est pas Awteùte et Maritime d u imposée aux élèves et que l'affiliation à des sociétés sportives extra-universitaires, n'est pas interdite ». Comme peur nos laïques il n'y s a oempteç que ce qui est administratif, j e livre cette réponse à leurs réflexions. X... •oï" FAITES-VOUS E. L HABILLER CHEZ MM E G U E N N O f J TAiLLKUR 2, place des Capuolns QVIMPERLÉ BONNE COUPE \ j BONNE QUALITE Mel'lsur marché que partout ailleurs Essor Quimperlois. — A l'occasion de la matinée de bienfaisance organisée dimanche 24 par le patronage laïque, on peut féléciter les acteurs et actrices groupés autour de MM. Vazel et Biétry pour lexcellente inte--prôtation qu'ils ont donnée de l'œuvre de Dickens, Nicolas Nicklebiy. Comme toujours, l'assistance a foit goûté vision et violoncelle de M. Rousï-elie et de Mie Richoux. Nous répéterons avec un Journal local, combien sont détestables, en tout temps, i'accoustique de la salle des Halles, et «n hiver, la température de pôle nord qui y régna. Les acteurs de Dimanche n'ont certes oas été sani le remarquer. S'ils s'unissaient à nous, pour persuader la municipalité l'abandonner l'expropriation dus Ursu'hes et de coanan'er c 1 qu'il faudrait de* 400.000 frano-« sa Tiflis, ii exhausser les halles, d'un oei et ooafortabh étage, c'est-à-dire d'une ,-a'lo do fêtes, comme il en faut une à Quirnperlé ? . . . A propos dos Vrsuliues. M FranSois Ropert, conseiller municipal, nous prie de dire que dans le vote émis parle Conseil relativement & l'offre de 400.000 francs, aux ayants droit, il s'est abstenu ainsi que MM. Jelm Peyron, Salie et Génot. Dont acte «t respectueuses félicitations. Au « Quotidien a. — Pour l'édification des rares acheteurs quimperlois du Quotidien, dussent MM. Coffrantet Le Louédec, vendeurs de ce journal, gémir de mon Indiscrétion, signalons sa campagne en faveur de la revision du procès de Goidski, ce juif polonais du Bonnet Rouge, condamné à 8 ans de travaux forcés, en 1917, par le 8« Conseil de guerre. L'ex-lévite Gueraut que nous vîmes à QulmperlS, répand sur le sort de ce traître, des larmes pleines d'onetion, comme on sait en verser à ia Liaue des Droits de l'Homme. f HORLOGERIE, BIJOUTERIE, ORFÈVRERIE |J. LE~G0FF H09L00ER 2, PLACE GAMBETTA (Haut de la rue Savarf) Q U I M P E R L Ë i i MONTRES PENDULES, REVEILS A TOUS LES PRIX BAGUES, PROMESSES, ALLIANCES BOUQUETS FLEURS O'ORANQERS POUR MARIEES C A D E A U X P O U R MARIAGES R . du C, Qulmperlé n- 1838 CV\\V\\\\V\\\\\\V\ AkWWVWVWWWVuC Méchants bruits. — M. Pierre Boulben, bottier, ru« des Ecoles, engagé pour la durée de la guerre, fut réformé nv 2, en septembre 1910, d'abord i titre temporaire, puis finalement à titre définitif SI M. tyoulben s'en était donné la peine, s'il avait f a i l l e s démar ches nécessaires, s'il ne s'otalt soigneusement abstenu de toute demande, il eut «té pensionné comme tout le monde. Mal*, n'ayant pas cru devoir présenter aucune réclamation, il ne touche en réalité, nulle pension ou allocation à ' <tre mi itaire ou civil. Ceci dit, pour mettre u j terme aux bruits malveillants, que d s gens intéressés ont fait eirVAer sur so i co npte et ip r e o r ^ n t a u t comme à charge ù ses conci toyen*. Mocaër, Tnuliou, Tramcnurt. Guernec, Gué guen, Le Goff, Gouzien, Tréguler. Le coup d'envoi sera donné à 14 heures. {Communiqué) Grand bal travesti, — Dimanche soir à l'occasion du carnaval,aura Ueu sous les halles Saint-Michel, un bal travesti organisé par l'U. S. Q. Prix d'entrée : 2 francs. C.P. S M. — Les jeunes gens s'étani liait Inscrire pour passer l'examen du C. P. S. M. sont priés de bien vouloir fournir d'urgence au secrétaire de 1U. S. Q. les renseignements suivants : Nom et prénoms, date et lieu de naissance, (Commune, Canton, Département) classe de recrutement, cainton de recrutement, et n- dans ce canton, bureau de recrutement, domicile de la famille, brevets demandés. latat-Civil. — Naissances. — DeniseMario Le' Théon, 4, rue la Motte-Piquet. — AnnoUe-?erriae-Ro3alie Jolis, Loge-Daniel. — Yvette-Marie-L'juiso Prat, rue CornicDuchâae. — Hubert-Jean-Louis Février, h Rosoado. — François-Louis-An toi ne Eaizin, au Bea .bols. — Marcel Quinio, & Toui anTerriennou. Publications de Mariages. — Jean-GuiiiaumeMarte Tou.liou, mécanicien, au Poteau Vert et Mane-Louiso-Josf.puiue Lienry, couluriôre, au bou-g d-j Guidai. - Guillaume Madec, sabotier, au bourg de Gui iel et Marie Françoise Le D ire, sans profession, à Guidel. — Victor Honoré, hor.og'ir. 12, rue de l'Hôpital et Lôa-Maria Aadroia, sans profession, à Guiugamp. Décès — Marie-Marguerite-Constance L* M<juë , 29 ans, sans virofession, -'puuse PierroMaruj Dani.il, 2, ru i A i i;au — Louis t Evea, 75 ans, a l'H »spici. - F rançon La G-un, 71 ans, cultivateur à r H ) - p ' j j . - Marie-Marguerite Guillou 4a a n s eé.iiwtaire, 10, p'.inv; àiia'»Michei. - Joséphine M >:la, tii an-«, ménagère, a l'Hospice. — Julien draagou,o 34 ans, cultivateur à Cioh irs-Ûirnoôt, époux da Giéunntine Richard, a Kergant, décédé à l'Hospice. Horlogerie Bijouterie A. HORLOGER DJP LOMÉ L A U R É A T DU J U R Y D'ETAT QUIMPERLÉ « LE PLUS GRAND CHOIX POUR MARIAGES E »fcli.LUUK MARCHÉ Dépositaire des Principalet marques de montres LIP UNIC OMÉGA |me é e E l l é jureeV'rifeTa ouôt' sa*-eM' IHflUlUUU M  DIfiD U ?femme Tour d'Auvergne, provient le oublio qu elle a repria ses occupations et se rendra, comme par le passé, à tout appel. ^fl.UES <Sr MUNITIONS DE Arzano Abonnés de » JDihunamb v. — Les abonnés de la revue bretonne Dihunamb " «ont priés d'adresser à M. Mellac, 10, rue du Gaz, Lorient, le montant de leur année en cours, !?oit3 francs. Etat- Civil. — Naissances : Roger Le Gluatieo, da Kerygunn. — Valentin C o r n i c , de K e r i a r e c . — B e r n a d e t t e Henriot, de Buzedou. Promesses de mariages : J u l i e n Moûta- g n e r , de f o n t Scortr, et Helène Cloarec, de K e r v e n . — F r a n ç o i s Corderooh de S t Dudeo, et Louise Esvan, de T r e u s o o i t . — P i e r r e D i i i >1, drt Poat-Scorft « t J e a Q a e Le Goff, de K e r y h u e l . Etat-Civil. Guilligomare'k - Naissances. - Mathurin Loriû'.-au, de K*,rouann^o. — Pierre Gloaneo, de Kerlt;gan. Mari« Le Lan, de Coat-er-houoh. — Agnès Ev^no, de Ker.oq u a t . — Mévenna Larolu, de Kerlfrgan. Décès. — Germain Le Gall. d • Kèriouaoh. — Maurice i u i g o u r s , du b o u r g . — Agnes Guilloux, de Kerloquet. Rédéné La caisse ??? Ce n'est pas de celle da M. Harin qu'il s'agit, mais de eeUe que s'est colléa sur le ventre, ne brave Coffrant et sur laquelle 11 tape i. tour de bras pour attirer les baJauds. « Camelote royaliste I réaction cléricale! ranl tau! p a u ! vrran! » Au moment où le parti rat'cal pactise aveo les communistes qui ont, plein les mains, l'argent de Shaw et d'Aider, il est. bon de détourner l'attention. Il n'y a qu'un petit ennui, c'est que la caisse de Ré lé né n'exis •« p is le moindremeut. Voici en effet ce que nous écrit le Directeur du Comité de propagande des Bons Journaux, propagande rendue plus intense, en effet, depuis le Congrès de la Bonne Presse : Rédéné, 19 février. C h r o n i q a » sportive. — Lorient Sports (2) bat U. S. Q. mixte) par 3 buts â 0. Dimanche dernier l'U. S. Q. ne put opposer à Lorient Sports qu'une équipe mixte aomposéa de I joueurs de 1' équipe et 6 de seconde. Cette équipe &t malgré tout, très bonne contenance devant les (orientais qui durent s'employer à fond pour marquer leurs 3 buts. La défense qulmparlolse et la ligne de demie, jouèrent avee un courage digne d'éloges. Le Goff et Guernae fournirent une trôs Jolie partie et c'est à eux que l'on doit de n'avoir pas enregistré un score plus élevé. Tréguler dans les bois fit du bon travail et les 3 buts rentrés ne peuvent lui être Imputés. La ligne d'avants composée de Jeunes Joueurs, manqua de cohésion «t seul Buzénat s y Ut remarquer par ses efforts personnels. Cl dessous la composition de 1 équipe : Royer, Euïénat, L. Tréguler, J . Daniel, R. Daniel, AuffnSdou, Guernoc, Mottaln, Le Goff, Ropert, J . Tréguier. Monsieur le Directeur, On tient à vous donner quelques rense gnements à p opos de la a prétendue caisse noire de Rédéu,'! ». L'Echo l/R Bretagne pré end que des tracts auraient été distribués dans le-i communes voisi'.es. C'est un pur mensonge, ies tracts ont été distribues ùans quelques in.tUo.n^ ¿ u déué. 30 eu tout. Par le -<ot « l i b é r a l i t é * » on n'a pas voulu dire du „• jut qu'il y avait ici une caisse et qu'on invitait la population à y déposer des sou^ ; mais on invitait la population à acheter les bons journaux, i s'abouuer aux bons journaux qui piéchcnt 1 union da tous les Français. Or l'Union Agricole a toujaurs prêché cette union désirée et a toujours aussi défendu le droit. Veuillez croire. Monsieur le Directeur, aux sentiments dévoués de l'auteur des tracts causant tant de foin. Le Directeur du Comité, Nous n'avons donc pas à répondre à des questions Idiotes et à des Insinuations enfantines. Si les propagandistes de Rédéué me font l'honneur de me considérer comme un Journaliste défendant les idées d'ordre et d'union entre les citoyens, m'en vais j e leur défendre de prendre intérét à la diffusion do ce journal ? N'est ce pas votre correliglonnalre politique, le Citoyen de M. Le Bail, qui insère, comme e'est son droit et cela très fréquemrneut, cet appel : < Lisez et faites lire le Oltoyen s. U. S. Q. (1) eontre équipe nigre du a Libéria ». — Ce mutch tant atteudu de lu population Quimperlolse aura ieu, demain dimanche, 2 mars. No is connaissons dès à présent la com positiou de l'équipe nô«re. Son capltaiue Lou verture Jouant au postn de demi e ntre est le pilier du l'équipe. Officier eu second ù bord du « Libéria ». ce joueur est un descendant direct de Toussaint Louverture, le fameux défeuseur de Saint-Domingue. Kiritara, Kouii-Bali et Dinl-Garbanaba sont internationaux dans leur pays Aussi 11 est Inutile d'inslstor sur la valeur de cette équipe dont nous donnons cidessous la composition : Kiritara, Amadou, Koull Bail, Bafouios. Gri-Gri, Breï ma-Diop, Louverture, Fil de Ba*, Dinî-Garbanaba, Rakoto, Kaliba. A eette équipe, l'U. S. Q. opposera l'équipe ci-dessous, la plus forte qu'elle puisse aligner & l'heur« actuelle ? Euzépat, Ropert, Roger, Si l'avant-dernler numéro ne contlent.-M pas cette Invite pressa tel a Profitez dis maintenant pour faire propager le Citoyen a Nous pensons bien que la meilleure méthode de propagande est l'iibonnement, et que pour l'obtenir il faut le solliciter. Le Citoyen fait il & un acte en soi hlâmxble ? Vous ne faites jamais cela vous, ou vos amis pour vous, À Vkcho ? N'empêche qu'avec tout cela, voici la cinquième fois que nous posons nos questions : Depuis l'avènement de la municipalité actuelle, quelle maison fournit exclusivement les imprimés ù la mairie ? L imprimerie de l'Union Agricole a '-elle, depuis cet avènement, été mise à même de présenter ses prix ? , Une telle adjudication est elle ou non légale? Ne doit on pas attribuer pour cause à l'absence d'adjudicattan, le fait que M. le ilaire, déjà imprimeur, t'est fait Libraire et Papetier ? M. Pierre Bouibe i n entend nullement par 8& iropre co 'dulte blftmer la grande majorité île nos réf'irmés de auerre, m*ls, ayant le mérite de ne rien coAtur à la Natioa, il entend qu'on le reconnaisse. Saint-Thurien P ê c h e , — J e a n . . . , 22 ans, domestique, à Kertsu, le 24 février,-avait tendu six jj^oès flfe fond, dans l'isole au lieu dit Poat-'Crearâi. Le lendemain quand vers 7 h. 30, Il rëlirïtl ses lignes, il eut la désagréable surprise de les voir confisquer par les gendarmes qui le guettait et il s'en fut tout, penaud, non sans avojr été gratifié d'un prooès verbal. CHASÎE Bannalec Grand mariage. — Mercredi 27 février, a 11 heures, en l'église paroissial«. Mademoiselle Noëlia Biger, fille du sympathique notaire, épousait le docteur Lefranc, ancien Interne des hôpitaux de Paris, chirurgien du Sanatorium de Roscoff. • L'église était magnifiquement décorée par les soins des employés de M Paul Le Oraad, de Quirnperlé, Madame Le Grand y mit la dernière main. Toutes sortes de plantes vertes et de fleurs blanches (oeillets, lilas blancs, boules de neige, azalées, acca da. karitia, drasena, phénix, formaient un ensemble eharmant. Un long cortège d'invités, de pjerentt et d'amis rem glissaient l'église et la tribune eiiemême était comble, lorsque au bras de M* Biger, s'avança la Jeune mariée, tout« charmante sous ses loDgs voiles blancs, et M. Lafrane accompagné de sa sciur Mme Païen, de Piérin (Côtes <iu Nord). La bénédiction nuptiale fut donnée par M. 1« chj"olne Lvfranc. de Malestrolt, oncle du ¡>ôu\eiiu mnFié. Dans une touchante allocution U rappe la la grandeur du mariage chrétien. Une nouvelle vie s'ouvra devant •ous.dit-U, aux Jeunes époux, vous aller former une bnioa dans les liens sont indissolubles en ce monde. Vous vous proposes d'être heureux ensemble. Pour cela, vous voulez toujours vous aimer et vous aider mutuellement. Le meilleur nioyeu d'atteindre votre but c'est de deman<ler sincèrement à Dieu de s'associer avec vous', afin que sa bénédiction ne soit pas une sorte de formalité, mais une réalité ». Et M. le chanoine Lefranc, rappelle que c« n'est que dans l'observation de la loi d« Dieu, dans la fidélité aux pratiques rellgienees qu'est la source du vrai bonheur. Pals, aprèaun éloge délicat de la nouvelle mariée, élevée chez le* religieuses de Nantes, où elle a laissé le melN leur souvenir, de ses habitudes chrétiennes, Il nous donne quelques détails du docteur Lefranc qui a toujours m-né une vie conscacrée au travail et à l'accomplissement du devoir. A ta mobilisation, dragon & Nantes, il partit immé< diatement pour le front. Pendant le recul fran« gais à la Fère-en Tartenolse, désigné pour garderies blessée français, qui allaient être fait prisonniers, avant l'arrivée des Bochea, il réussit à les faire évacuer grtee A son sangfroid. Sa belle conduite lii valut la croix d« guerre. Depuis. 11 a appliqué son intelligence et «or énergie à se créer une situation enviée, et le ?Spè itil SieEie a ViûaOïfc à'iïïft'îàVSÛÏ SpÊc'A\t le Sanatorium de Roscoff, dont le doctera Lefranc coutribue à issurer la renommée et It succès. «s Maintenant il ne sera pins seulà lutter contr« les difficultés de la vie ; sa compagne le secondera; elle lui créera un intérieur oft il se reposera où 11 sera heureux : « Chera Jeunes gent, dit M. le chanoine en terminant, puisque tout vous présage un avenir heureux, serves les desseins de la Providence, répondez & ses vues, menez une vie sérieuse et utile à tous dans l'accomplissement de tous vos devoirs, et vous trouverez un bonheur durable môme en cett« vie ». M. Joncour, curé de Bannalec, célébra ensuite ia messe. Le service d'honneur était fait par M. André Chardon et Mlle Simonne Cenévet; M. Raymond Coadou et Mlle Elise Daniel; M. Emile Barat et Mlle Yvette Canévetj M. Ren« NIhouaze et Mlle Yvonne Coadou. Les témoins de la mariée était M. Coadou minotier, aux Gorrêts, en Qulmperlé,etcelul du marié, M. Albert Lefranc, industriel & Sury. Cantal (Loire), frôre du marié. Au cours de la cérémonie plusieurs morcenux de musique le Déluge de Saint-Saint. l'Adagio de la Sonate Pathétique de Beethoven sorlio de Boëlman exé utés par violon, violoncelle et harmonium, p usieura chants, un Aoe Maria et un O Salutarit de Oounod, exécutés par Mme Jeanne de Guardla professeur de chant, à Lorient. A la sortie, aux abords de l'Eglise, il y avait foule sur la place pour le défilé. Un banquet de 40 convives, eut lieu chez M. ' Biger. Aux nouveaux mariés nous renouvelons nos souhaits de bonheur et nos compliments à notre ami M* Biger. Cloliars-Carnoët Auto contre cycliste. — Dahs l'aprèa- mldi de vendredi, S2 février, M. Brangoulo, 34 ans, prepriétaire à Kergant, s'en revenait & bicyclette dn marché dé Qulmperlé. Arrivant & Ker Anna, il aperçut une .charrette stationnant aur l'accotement droit 4« la route, M» fin«? Vitré £b Protection du Tricot à lm main — Au c o u r s de l'assemblée générale de r « Union des Industriels et Commerçants vitréens » M. J e a n Choleau, f a b r i c a n t de b o n n e t e r i e à Vitré, p r é s i d e n t de la Fédération régionaliste- de Bretagne » a exposé la proposition de loi de M. Victor Constant, d é p u t é d.e la Loire, relative à la protection de la dentelle à la m a i n et son extension à la p r o t e c t i o n du trioot à la main. La question intéressait plu» particulièr e m e n t Vitré qui, do tous t e m p s a été un c e n t r e d e s p l u s i m p o r t a n t s de la fabrication à l'aiguille d'articles de laines, et en particulier de l'article e n f a n t s . Les Chambres de Commerce, dit le conf é r e n c i e r , les associations syndicales ont émis des avis contradictoires s u r l'opport u n i t é de la proposition de M. Constant, m a i s il y a u n e forte m a j o r i t é en f a v e u r de la protection de la dentelle à la m a i n . En s e p t e m b r e d e r n i e r , M. Choleau avait saisi de la question la « Fédération régionalisé de Bretagne », au cours de son congrès de Quimper. Celle-ci, où sont nomb r e u s e s les a d h é r e n t e s dentellières, s'est r a n g é e à l'avis de M. Constaut et, inno JrjroM*« — Rencontré & la Grande Lande, vation, a d e m a n d é que la m e n t i o n disen Clohars-Carnoèt, le 21 février, à 10 heure.0, tinotive porte indication du lieu de fabrien état complet d'ivresse, par les gendarmes, cation. Louis..., de Kerez, en Quimperlé, a reçu le M. Taurines, député, r a p p o r t e u r de la royal oadeau d un p. v. proposition de loi, a déposé u n texte qui donne satisfaction, et à M. Constant et Me é l a n aux Chambres de Commerce du Puy et Au Tribuuml. — Mercredi 27. à l'audience régionaliste civile. M* Frédéric Barbe, fils, nommé notaire d'Alencon, et à la « Fédération à MoéUn, p*r décret présilentiei, eu d*te du de Bretagne ». 19 février 1924, & la suite de la démission de Ne peut-on, dit M. Choleau, faire un M* Barbe, son père, a prêté sermeut eu cette r a p p r o c h e m e n t e n t r e la dentelle à la m a i n qualité. .VI* Btrbe, père, exerça les fondions et le tricot à la main, toutes deux i n d u s notariales de 1886 à 19M. succédant lui m£me & sou père qui les occupa de 1847 à 1880, après tries du foyer, toutes deux d o n n a n t aux o u v r i è r e s q u i s'y livrent u n salaire apson beau frère. M' Gorré juer, nommé eu 1835, préciable ? Ne peut-on faire u n a u t r e r a p et qui, de Lothéa, transporta l'étude à Moëian. p r o c h e m e n t e n t r e les f r a u d e s dont sont Paisse le Jeune notaire, qui continue cette honorable liguée d'officiers ministériels, vavictimes le tricot à la main et la dentelle quer lui aussi de longues années à sou o£Qcel à la m a i n ? Qu'on n'aille pas oroire surtout q u e n o u s avons l'intention de dresPont-Aven ser l'un oontre l'autre le tricot m é c a n i q u e O r a n d * Cmrmlcmde. — Le mardi i et le trioot main ; l'un et l'autre s o n t nébars, une grande oavalcade est organisée à cessaires, ils r é p o n d e n t à des besoins et Pont Aven : à des g o û t s différents. A 14 heures. — Défilé de travestis avec le C o m m e n t défendre le tricot à la m a i n ; concours de la Lyre Pont AvennoUe. cette i n d u s t r i e qui, à Vitré, e u t autrefois A l'issue du délité, danses bretonnes au son du biniou. des j o u r s de gloire et de prospérité sans Le soir, à 20 heures, Orand bal travesti. égale, et qui, a u j o u r d ' h u i enoore, oooupe u n e p a r t i e i m p o r t a n t e de la population Nixon feminine MtMt-Ciril. — Naissance. — J e a a n e En d e m a n d a n t h MM. Constant et TauThairon. Kôrigazul. rines d ' a j o u t e r aux textes de leur pro position de loi et r a p p o r t les m o t s ; trioot Kornévol à la main. Mon*ce» à s a huiteier. — M* Baron, Un a u t r e moyen qui p o u r r a i t se concihuissier k Banaaleo, s'étant présenté, le lier aveo le p r e m i e r serait la création par 18 fétrier, vers lô h. «0, chez Ie3 ôuoux u n e « f u t u r e Chambre syndioale de la Laurent, de Lande-Calvez, pour piaoar.ler bonneterie de Vitré » d'une m a r q u e ool une afflohe relative & saisie mobilière, lective syndioale qui, en facilitant la disfut reçu assez mal par les saisis. Sitôt tinction e n t r e les deux m o d e s de fabriqu'il eut exposé le but de sa visite, Mme cation serait en m ê m e temps, u n e réLaurent, 51 ans, s'adressa & son mari clame p e r m a n e n t e p o u r le t n o o t de Vitré. oorame p o u ç r e n o o u r a j a r : « Allons AlM. Cnoleau oonolut en s o u h a i t a n t q u ' u n fred 1 », puis elle maroha sur l'offloier j o u r proohe les n o m b r e u x f a b r i c a n t s do ministériel, le traitant de voleur. Elle bonneterie de Vitré s'unissent en v u e de ajouta qu'avant la vente, elle préviendrait M. le Prooureur de la République afin la proteotion et de la vulgarisation des produits si r e n o m m é s J e leur vieille Inqu'il visita les lieux, objets du litige aveo dustrie. le voisin Nioolas. Puis elle tenta d'arraMon f o r t l ' A m a u r y cher l'affiche qu'il s'apprêtait à coller à la porte. L'huissier observa qu'il n'avait Le b a t t e do Léon Darochec. — point peur. Alors, Laurent, lui-môme, L'Inauguration de ce buste, qui sera l'œuvre du bon scu pt ur breton, Louis Nicot, aura h o m m e de 52 ans, loin de «»aimer son irHeu, au prochain Pardon, le premier dlmanritable épouse, intima à M. Baoon, l'ordre de sortir. Mme Laurent profitant de oe eh« île juin 1924. Faire parvenir les souscriptions au trésorier, que l'offloier ministériel tournait le dos, M. Duvanel, artiste peintre, t , rue Leelerc, Palui envoya une poussée en l'injuriant de ris (14'j ou au journal La Bretagne à Pari», 11, plus belle. Ses olameurs attirèrent la prérue Saint Augustin, Asnières. sence du oharron de Lan Kerouao, M. Ponr tom renseignements s'adresser au SeYves Durand, 51 ans, qui travaillait à crétaire du Ceinlté : Docteur Larcher, 1, rua dn Lanrintin, à 100 métrés de là, oh-z M. NiDôme, Paris (lfl«). •olas. Malgré le témoigaage de oe dernier, Parts l e s époux Laurent alllrment avoir traité A n Cercle Celtique. — Dimanche 17 l'huissier aveo la plus grande douoeur et février aux salons du Progrès, rue Lccourbe, s'ôtre opposés très poliment à l'apposidanses bretonnes et nndernus, chants bretons tion de l'afûohe l et françnls. Beaucoup le blgondènes et da eastelîlnolses. Chants français et bretons, o«s derniers p»r MM. Le Cuaff et Le Roy. Bu somme Querrlen très intéressante matinée. A « a * lumière. — François, 18 ans, cultivateur à Oennec, ci -jalt qu'à son âge on lyon ; " voyait assez clair pour se passer de lanterne. Lei <lmrn de S etagne. — M. Sullian Le 25 février à 19 h, 20, les gendarmes ne l'en Collin, dt légué de la F. R. B. pour la Lgonnalie ttsdktai ?23 de sti oreUh, lonqa'Hs !s rez- a présHé le 17 février, au restaurant Oaud, le eontrêrent, sur la route de U. C. en Trémeven. banquet-/hiver de cette soelété bretonne. Une t p trtie de coucert a suivi, au ir 'tirant de laQu' û p s r quelle M. Yves Pavec a donné la; ¿oie celtique. l a i a a o i * a * du 80• C e s — Les an Cannes dans poilus du 89' territorial sont Invités & asV i l l a JBxoeltior. — Lettre suit Incessister à la réanlon qal se tiendra, salle Bersamment. nard, me Bile Frôron & Quimper, le dimanche 8 mars prochain, A 10 heures du matin. Ordre dn Jour : renouvellement du bureau, organisation du banquet, questions diverses. gonlo prit la gauche, et entendant une auto corner derrière lui, bien que la route fut assez large. Instinctivement 11 voulut traverser pour prendre «Làreft«. A ce moment il fut happé par l'auto du 1> Leiort, qui maigri b sang-froid da chauffeur, ne put éviter la collision. Le panne Brangaulo dût probablement cogner la tîta an radiateur et vint s'affaler anr le garde erotie. Anatltôt son anto arrlté, le D< Le/ort, eonstata que la victime était dans le coma et teignait de l'oreille: Aidé de personnes qui se trustaient A proximité, il transporta la victime, pat son auto, chez M. Bernard, adjoint-maire, au bourg, où les premiers soins lui furent prodigués. Le lendemain. M. Brangouto fut dirigé sur l'hôpital de Quimperlé, oû les praticiens qui le soignaient avaient bon espoir de le sauver, mais malheureusement, la fatalité s'en étant mêlée, la victime ayant une congestion polmonaire, tout espoir fut perdu. Aussi succombait elle mercredi dans l'après-midi, laissant nne jenne veuve dans le désespoir et 3 petits orphelins en bas fige, l'aîné ayant daus les 3 ans. M. Brangonlo est le neveu de M. Joseph Tanguy, le sympathique conseiller d'arrondisment et. gendre de M. Joseph Ricturd, ancien adjoint au Maire de Clohars-Carnoët, disparu à.'Salonique,. pendant la grande guerre. A sa veuve éplorée. aux familles Brangoulo, Tanguy et Richard, l'Union Agricole offre ses pins sincères condoléances. exemptées de la taxe sur le chiffre d'affaires et sont, ou contraire, expréssément visées par l'art 63 de la loi du 25 juin 1920, En conséquence, l'arrê'.é entrepris a Cté annulé et la contrainte dCcercís centre 1* bailleur a été déclarée valable. Il a été demandé au ministre : I a Si l'impôt sur le chemin d'affaires (art. 63 et 64 de la loi du 25 juin 1920) est applicable aux villas ou immeubles loués dans les stations balnéaires ; 2- SI le propriétaires de villas ou immeuble? loués meublés dans les stations balnéaires, est passible, lui rentier, d'une patente de loueur meublé. Le ministre a répondu ; « qu'ils soient ou non assujettis & l'impôt cédu'aire sur les bénéfices industriels et commerciaux et agissant en qualité de propriétaires ou de locataires, les loueurs de villas ou dappartement meublés sont redevables de l'mpfit sur le chiffre d'affaires aux taux de 3 0/0 ou de 10 0/0 si leurs villas ou appartements ont été classés dans la deuxième ou première catégorie par les commissions compétentes. Cette règle qnl procède des dispositions de l'article 63 de la loi du 25 juin 1920, alinéa 1' et 2', se trouve confirmée par le texte impératif voté par la Chambre des députés dans sa première séance du 21 )uin 1921 au cours de la discusión du projet de loi tendant à modifier certaines dispositions relatives & la taxe sur le chiffre d'affaires. « En ce qui concerne les loueurs de villas ou d'appartements meublés non classés, 11 conconvient de distinguer entre ceux qui sont cotisâmes & l'impôt sur les bénéficces Industriels L ' a s c e n s i o n d e l a livre.— La livre de et commerciaux, comme tenanciers d'établis48 en avril 1922 monte à 72, en janvier 1923, sements aménagés spécialement pour la locaà 85,6 en décembre 1923, pour atteindre 96 et tion et auxquels un personnel de service est affecté, et ceux qui ne le sont pas. Les premiers plus en janvier 1924. Elle a clôturé jeudi à tombent sur le coup de l'art. 59 de la loi du 25 104 francs. juin 1920 et sont sommls à l'impôt sur le chifLa Limitation d e s Exportations. — fre d'aflaires au taux de 1, 10 0/0 ; les seconds Le Journal officiel a publié hier matin un dé- en sont exempts, comme n'appartenant à aucret rendu snr la proposition du ministre des cune des catégories de redevables visés par le finances, et instituant des droits de sortie ad dit article. valorem de 10 0/0 sur les chevaux, juments, et « Conformément à la jurisprudence du Conpoulains, & l'exception des animaux de race seil d'Etat le propriétaire visé dans la question ^ Inscrits au livre généalogique, chevaux destinés doit être considéré, comme exerçant la profesà la boucherlâ, mules et mulets, Anes et fines- sion dp « loueur de chamcbre ou appartements ses ; 16 0/0 sur les fromages de toute sortes et meublés », et 11 est redevable, par suite, des les légumes secs } de 10 0/0 sur les légumes droits prévus par le tarif des patentes pour frais et d* 8 0/0 sur les fourrages. cette profession. Le Journal officiel a publié un autre décret, Du Journal de Dinard rendu sur la proposition du ministre du commerce, prohibant la sortie des laines et cotons C l a s s e 1 0 3 4 . — Le premier contingent et de leurs déchets, mais ne visant pas ces fils de la classe 1924 sera appelé à partir du et tissus et leurs produits manufacturés. 10 mal. a Le ministre de l'Agriculture rappelle de nouveau que les exportations de bétail sont interdites depuis le 6 avril 1923 et qu'en dehors PARLEMENT de la France, de ses colonies et de la Sarre compiise dans 1b territoire douanier français, aucune exportation ne serait tolérée par l'adChambre ministration des douanes qui est chargé d'exerLea projets financiers du gouvernement, cer à cet égard la surveillance la plus vigivotés par la chambre, ne devant devenir délante ». finitifs qu'après le vote du Sénat, l'Union «. » Agricole en donnera alors le texte. Les Allemands continuent de rafler en Franœ - La Chambre s'occupe de la répression de bestiaux, chevaux, denrées alimentaires. Le la hausse illicite. La Chambre discute un progouveruemenl élève les taxes sur certains produits exporté«. Est ce suffisant en face de la jet de loi ayant pour but de modifier les art. baisse du franc ? Ne pourrait-on interdire toute 412 et 42'J uu code pénal et d'Instituer la déclaration obligatoire des ententes commerciales sorti* de denrées ali mentaires, pendant un, deux, trois mois ? Est-ce trop demander aux ou industrielles, M. Engerand s'élève contre ce rétablissement déguisé de la législature de 1916 expéditeurs de s'abstenir pendant ce temps de La meilleur moyen dit-il, de combattre la vie s'enrichir aux dépens de leurs concitoyens, et chère est d'intensifier la production et de reve de se prêter à l'^ff ilement organisé par nos en nlr & l'époque où ta France se bufiisalt & elle nemln de tontes -ortes eu coï icldnnca avec les même. M Constant proteste contre toute déterélections, ufin da pousser la Nation d m s les mination du bénéfice chez les commerçants. bra- de» Partis de Gauche partisans de toutes Lu prix d« la vie n'est établi que par le gros Us abdications ? manufaetudrr et le pro lucteur II ajoute que c'es; au con>o.':joiatenr à faire la police de la A la dr<tc du 26, U ministre de '.'Agriculture vie chèm. A tretols ou m.rchaudalt. La classe démrni qu'au une sortie de bétail *>t eu lieu, ouvrière a perdu ces saines habitudes; des mé•n raison de l'inierdiotion visée plus haut. nagères achètent à prix élevés aes denrées que Dont aote I • les bourgeois n'osent et d ailleurs ni peuvent \ t t e n t i o u a u x p i è e e s s u i s s e s t — plus aborder ». Cela déch Une les colères des socialistes et la constatation est pourtant juste. Uu certain nombre de pièces suisses de 0 fr 10 — Le Gouvernement et la Chambre se refucirculent en ce moment. Comme elles sont sent & instituer un débat sur la mort do Phiassez semblables par la couleur et la dimension à nos anciennes pièces de 0 fr. 50, o.i ne sau- lippe Daudet, à la suite d'une interpellation Buisson, président de la Ligue des Droits de rait trop y faire attention. l'Homme et du Citoyen, toute heureuse de L a v i e c h è r e . — Il n'est pas qu'au seul i occaslou qui se présente pour donner à croire romè.ls contre la vie chère. Ses causes sont aux popnlatlons, dans la personne dn Royaliste complexes. L'une d'elles est la préférenec attriDaudet, que sa sollicitude s'étend & tout le buée paf toutes les ménagères, tous les gourmonde. Daudet est en effet un gros morceau et mets R tel ou tel morceau et le dédain affiché cela fera bleu dans nne discussion, pour M. pour tel. ou tel autre. A Bruxelles, nn maître Guernut. de la cuisine française, Panl Bouiilard, aborSénat dant le douloureux problème du beefsteack, a Lô Sénat vote une loi sur les incompatibimontré qu'il y avait un moyen de le résoudre. lités parlementaires, interdisant à tout foncC'est de ne pas manger toujours de beefsteack, tionnaire public da faire partie des Assemrien que du b«efstoack,.. C'e. t do ne pas déblées parlementaires, ainsi qu'à tous ceux daigner ce que les sots appellent l?s v bas morexerçant une fonction dans une société financeaux ». C'est do permettre aux bouchers de vendre intégralement leurs bœufs, leur; • mou- cière faisant appel à l'épargne et au crédit. Parmi ces fonctionnaires, 11 n'est fait exceptous et leurs veaux. C'est de ne pas« croira tion que pour les ministres et souB.-nscrétaires qu'il n'y a dausK-n bœuf qua du filet on du ii'JS'S.V Ç'f^t justement là. è n ot» ivi^. nin'jl rxizskssk, dsas :>P resa qxs ds resz&!cps, -> y avait réforme à faire: la stabi, 4( ^ ministédans un mouton t «e du gigot. C ent de revenir è la vieille culsln» da nos pères et de faire rielle aurait tout à gagner, si les* ministres étaient pris en dehors du Parlement. mijoter sur le feu de braves ragokts dé Socratiques. de bonnes daubes nourrissantes et onctueuses, de bons sautés de veau et de fins EXTERIEUR mire ton». Les enquêteurs anglais et américains se sont L o c a t i o n s . — Par circulaire du Garde rendu compte que seule l'Allemagne débardes Sceaux, ministre de la Justice, en date du rassée de sa dette intérieure par l'avilissement 2 février 1924, il est fait savoir que 1RS loca- du marck et en présence d'une dette extérieure taires dont l'entréo en jouissance est posté- pour réparations, de 132 milliards, a voulu rieure t. l'année 1914 et désirant connaître faire échouer leur plan. quoi loyer était payé par leurs prédécesseurs, M. Mac-Dounald reniant son ministre de l'inU n r e p r o c h e qui s e r e t o u r n e c o n - celte année-là, doivent adresser au Juge de térieur, après les scènes gallophobes de mardi, paix de leur canton une requête motivée, afin t r e s o n a u t e u r , — Plus de 0 milliards de aux Communes, assure vouloir exécuter le bénéfices de guerre ont été recouvrés depuis 1020. d'en obtenir ordonnance les autorisant à se traité do Vcr-ailles. Cependant, sa décision de faire délivrer, par l'Enregistrement, un extrait — a Avant de deman 1er de nouveaux impôts, réduire à 5 0/0 la taxe de 26 0/0 sur les imporrelatif à leur location. Il sera payé à cette faites payer ceux qui existent. • Ainsi s'expritations allemandes en Angleterre, cause un véadministration 1 fr. pour recherche de chaque mait M. Herriot, chef du parti radical, à la ritable émoi chez les industriels britanniques. année et 0 fr. 50 pour chaque extrait, outre le séance de la chambre du 20 Janvier dernier. L'Angleterre perd ainsi une vingtaine de milpapier timbré. Sous une forme très générale, le conseil de M. lions de livres sterling par an, et abandonne Herriot est très acceptable, et nombreux sont V i l l e s m e u b l é e s . » Le loueur de villas son point de vue protectionniste. De plus, elle les simples citoyens qui, comme vous et mol, meublées qui ne fait pas une profession de cette peut craindre l'importation chez elle, de marsont tentés de lui donner raison. location est-il redevable do l'impôt sur les bé- chandises allemandes & bon marohé. Mais un examen plus attenlli des faits et la néfices. insdustrlels et commerciaux et de la — La démission du cabinet Theumis ouvre suite des débats parlementaires nous appren- taxe sur le chllre d'affaires? une crise grave en Belgique, et aura son retennent qne certaines situations sont moins simtissement en France. La convention économiC'est cette question que le conseil d'Etat vient ples que le laisserait croire le eonseil de M. de trancher à l'occasion du recours d . n t il était que franco-belge est à terre. Ou parle cepenHerriot. dant d'une combinaison dans laquelle, sur les saisi pat le ministre des finances contre un Le Ministre des Finances ne fit aucune dif- arrêté du conseil de préfecture de la Charente- Instances du Roi, rentrerait M. Theumis et l'on ficulté à avouer que 6.464 millions de bénéfices Inférieure, déclarant non imposable M. Masslou assure que les sentiments francophiles des de guerre n'avait pas été payés. Mais il indiBelges ne sont pas entamés. qui avait loué la villa meublée qu'il possède à quait en mOme temps comment se décompoRoyan. sait cet arriéré. Le passage vaut d'être cité, Le conseil d'Etat déclare dans EOQ arrêt Mercuriale du 22 février 1924. — d après le Journal officiel du 27 janvier : qu'aux termes de l'art 59 de la loi du 25 juin T a u r e a u , le kilo. 3.00 à 0.00 ; bœuf de Cet arriéré comprend : 1920 l'impôt sur le chiffre d'affaires est dd, no« 2.600 millions non recouvrés en vertu de tamment par les personnes qui habituellement bouoherie, le kilo, 3.&0 à 0.00 ; vaohe de l'article 15 de la loi du 31 Décembre 1918, qui bouoherie, 2.40 à 2.50 ; vaohes laitières, ou oocaslonnément, accomplissent des actes a, eu effet suspensif aux pourvois devant la relevant des profession assujetties è l'impôt sur 500 à 1.000 ; g é n i s s e s et vaohes pleines, Comisslon supérieure. les bénéfices industriels et commerciaux insti600 à 1.600 ; poro, le kilo, 5.20 k 5.60 : 643 millions non recouvrés en vertu de l'artué par l'art. 1- de la loi du 31 juillet 1917. Il m o u t o n , 3.50 à 3,60 ; v e a u , 4.40 à 4.70 ; ticle 3 de la loi du 7 mars 1921, accordant un ajoute, d'une part, que les bailleurs de villas f r o m e n t , les 100 kil. 98 à 100 ; seigle, 72 & effet suspensif aux demandes de taxes. meublées sont égslement passibles du dit im400 millions faisant l'objet de sursis en vertu pôt alors mâma qu'ils n'assuraient pas le ser- 75 : orge, 88 à 90 ; s a r r a s i n , 88 à 90 avoine, 63 & 65 ; p o m m e s de t e r r e , les de l'article 19 de la loi da 20 Juin 1990. vices des lieux loués et d'autre part, que les Au total, actuellement, 5,643 millions non affaires afférentes au logement n« sont paa 100 kil. 50 à 52 ; foin, les 500 kil. 165 à 175 ; AU JOUR LE JOUR Ploneseat J l s a i f * de miduillet, — Dimanche 17 ffvrier, M. P. Trémlntln, maire, a remis, ft l'issue de la grand'messe, la médaille d'hon» nenr et dn Travail de la Marine Marchande, & deux Je nos vieux lonps de mer : M. Louis Kermo&l, de Ponlfoen, 73 ans, dont 57 de navigation ; M. René Pieyber, de Goas-Vlan, 40 ans de navigation. Félicitations & ces denx braves. Languldio Bibliothèque acolmire. — M. Joseph Quillerme, maire de Laognldlc, du Comité de Direction de la F. R. B. nous communique la délibération suivante dn Coaseli municipal, digne de servir d'exemple à toutes les muni cipalltés bretonnes : Connaissance est donnée au Conseil d'une demande des instituteurs et institutrices de Langroix qui sollicitent une subvention communale en faveur de la bibliothèque scolaire dés écoles de cette iooalité. Le Conseil après en avoir délibéré, vote, & cet effet, un erédlt spécial de 100 fr. au titre de l'exercice 1924, en exprimant le vœu que cetia bibliothèque serve de préférence au développement moral et professionnel des enfants, par 1'aahat des ouvrages techniques et historiques concernant notamment les travaux manuels, les travaux agricoles et horticoles, la Langue, les coutumes et l'histoire de la Bra» recouvrés en vertu de dispositions législatives diverses. Il faudrait ajouter encore encora 1 milliard environ qui. na peut être perçu en vertu de la Ici ricenic'du SOjuin 1923, par laquelle Bjons avons accordé aux mobilisés la faculté de demander le rembouraemement des Impositions établies sur les affaires qu'ils avaient pu faire au lendemain même de leur démobilis.atloD. Voilà ce que comprend l'arriéré, dont on fait toujours état. Mais si l'on veut bien regarder n,on seulement ce qui reste & recouvrer, mais aussi ce qui! a été recouvré, on constatera, monsieur Herriot, que de 1916 & 1$19, pendant la période où se réalisaient les bénéfices de guerre, il n'a été encaissé que la somme dérisoire de 1. 328 millions, alors, qu'avec la législature actuelle, depuis 1920 jusqu'au 31 décembre 1923, a été perçue la somme considérable de 9 . 446 millions. C'est donc nous qui avons recouvré les bénéfices de guerre. Voua ne pouvez pas soutenir le contraire. Encore un argument auquel le Bloc des Gauches devra renoncer. Il espérait bien exploiter ce non paiement sur les bénéfices de guerre. Mais voilà que le reproche se retourne contre lui. il eu est d'ailleurs ainsi de presque tous les griefs que M. Herriot, ses amis et ses associés formulent & l'adresse des hommes et dos partis qui but travaillé à là restauration nationale. Il est bon, croyons-nous, que nos amis et nos propagandlses connaissent les chiffres cidessus et sachent quel cas il faut faire des conseils de M. Herriot. A. ALBARET paille, 110 à 120 ; son, les 100 kil. en gros, 62 ; au détail, 70 ; f a r i n e du pays, 128 à 130 ; de l'extérieur, 131 à 133 ; b e u r r e , la livre, salé, 6.75 à 7.25 ; doux, 6,00 à e.EQ ; œ u f s , ia douzaine, 4.00 à 4.50 ; p o u lets, la couple, vieux, 26 à 2S ; j e u n e s , 15 à 17 ; oidre p u r j u s , 160 à 170 : o r d i n a i r e , ordinaire, 120 à 140. MAISONS D'ARTISTE^ EN BRETAGNE La « Vie à la Campagne » consacre dans son numéro 248, sous la signature de son directeur Albert Maunjene, deux Monographies admirablement Illustrées à denx Maisons d'Artistes ; Çlairefontalne, Logis d'Artiste Parisien à Madame Maufra à Karostin-en-Saint-Pierre, Qulberon (Morbihan) et Ty Santez Anna, Maison d'un Enlumineur. La première monographie vous montre comment un peintre a tiré parti d'une des rustiques Maisons » de paille » d'un village de la presqu'île de Quiberon, en la rendent suffisamment confortable pour être habitée d'abord l'Eté, pui3 toute l'année et comment il a arrangé intérieurement cette Maison avec des meubles régionaux et des bibelots, mis en valeur avec ce goût très tin du citadin qui se compose un intérieur aux champset considère les productions rustiqv.es et objets d'autrefois aveo tout i'intérêt qu'elle» comportent. Dans la deuxième monographie vous voyez comment mystique dans sa foi passionnée de breton, un délicat imagier qui, dans ses œuvres, perpétue la tradition moyennageuse et affectionne ia massivité des intérieurs de manoir aux robustes architectures intérieures, a composé le oadre de sa vie familiale dans un décor de façades de lits clos, de coffres, de berceaux et de rudes ustensiles ménagers qui font, dans une reconstitution intégrale d'un logis d'Armor du XVIII* une manière de petit musée privé. La "Vie à la Campagne" a d'ailleurs publié dans sa série Numéros exeptionnels un Admirable Volume-Album ; Maisons et Meubles Paysans et Bourgeois (200 gravures, prix û francs.) dout iei quelques exemplaires qui demeuent s'épuisent rapidement. "Vie à La Campagne" consacre en outre dans chacun de ses Numéros, une description illustrée à une Maison des Champs, (Cottage, Villa, Gentilhommière, Château, etc.) ses Jardins, ses Elevages, ou Culture, etc. Les adaptions dont elle a été l'objet comme centre d'activité d'un domaine rural ou comme exemple concret de la mise en valeur d'une exploitation. Vous lirez de plus |avec intérêt par ces temps de via chère et de Production Intensive profitable, toute une série de préoieux conseils, par le Texte et par l'Image, à la façon du Cinéma, qui grave ô jamais le sujet dans la mémoire. Vous constaterez que « Vie à la Campagne >» remplit intégralement son Rôle de Conseiller et de Réalisateur immédiat des Productions, des Revenus et des Economies. Prix un numéro 248. — 3 fr. 50. Librairie Hachette, 79 Boulevard St-Germain, Paris (VI-). LA REVUE HEBDOMADAIRE Publie dans son numéro du S3 Février -192u Après les funérailles de Lénine, par A. do Monzie, sénateur du Lot. Jusqu'au bout de la chaîne (I), par Joseph Conrad. Conférences de la Société des Conférences Ce qu'en penserait Louis XIV, par M. Louis Bertrand. BALZAC. IV. Le Roman dt la vie " L'Etrangère ", par M. André Bellessort. Abonnement pour la durée des conférences Trois mois, 1B francs Abonnement avec primes pendant la durée des conférences Six mois, 28 fr. — Un an, 52 fr. PLON, 8, rue Garancière - PARIS Le numéro : 1 fr. 50 LA MODE PRATIQUE le Journal I! vrainunt tique delà Femme moderne <t praet ile la Maison. Chaque N° de Ofr.5o contient : U n à B o n - P r i m e échanger contre J e 1 fr. ¿es produits alimentaires i i première marque. Avec Us patrons de la Mode Pratique, vous Jcrtz toutes vos robe LA MODE PRATIQUE rapporte 100 fois ce qu'elle coûte. 79, B-J St-Germain, PARIS. * R C..S,b.,65.S,.- LE PLUS MODERNE DES JOURNAUX SB EXCELSIOR illa § tré rvolidUn à 29 MU. PUBLIE LE DIMANCHE C Un Magaña« illustré es conteurs j 1 EXCELSI0R-D1MANCIIÌ o n k 9A k ordinaire et ¿U I I [ e Magazine rèmis c e n t . r t a m s w¡w,.™.!!!SÍ" j i EXCELSIOR pumt In Dip«rt<m»»«t». Trab a a b 1S fr. [Six mol, S4 (r. | Un un 65 fr. H i , „ i , y àBtCELSIOR.DIMA.KCHEi hi» it Umm nm lm M tEXCELSIOR T n b aria S fr. t e I Sb m*!, 4 fr. SO I Un « S f>. fltium— apfcU to N* onfiodra im JhoootL, M à BCCELSfOR-WMANCHR t Un « 11 fr «¿fc.^rtWCM*«.-»!M».*—A-fc** mm scieur de long, de Rouzlc-Pofts.et J o s e p h Colin, meunier a n Moulin R e n é , tous de Nizon, ent r è r e n t RU débit FlaÔ, à l a Croix-KerangfllCornée, en Kernévcl. S o a d a l n . un c o n s o m m a t e u r , Joseph Hervé, du Lentéo. dans la m6ir.fi somtmune. vint t r o u v e r L e B l h a n e t l u i û t m o l r qu'il était « capable pour lui. I l l ' i n vita, iia plus, il s o r t i r . L o r s q u e les deuz c h a m pions furent s u r l a route, A r m a n d P o r t a i , beau*frèra d u débitant, décocha deux coups de poing ft Le B l h a n , en pleine figure. Celui-ci M s e défendit point. De r e t o u r a u débit, P o r t a i attribua e n c o r e des coups de poing à Qoaper et le mit à la porte, i l le suivit ensuite Bar la route, lui bailla un s u p p l é m e n t de coups de poing e t le terrassa. Hervé e t P o r t a i o n t eaaeé des c a r r e a u x en se b a t t a n t e t Le Blhan ausal, si bien que L e FlaO veut faire payer la a i s e a u x trois Jeunes gens cités plus haut, y c o m p r i s Colin, qui n'avait pris aucune part & la s e i n e . Ils y c o n s e n t i r e n t tous trois. DRAPERIES • • • • • HAUTES NOUVEAUTÉS A. LE DÉROUT Tailleur pour Ville Q U I M P E R L É & Campagne (Maison Le Roch) Sca^r Smut — collier. Surpris le 21 février, •ans collier le chien de J o s e p h de K e r g r o a c ' h , • rapporté un petit verbal à son m a î t r e . Vml de lapina. — R i v l e r Charles, de Kernescop, a porté plainte c o n t r e i n c o n n u s qui dans la nuit du 13 au 14 février, a é t é v i e Mme d'un vol de 2 femelles de l a p i n s et de 14 petits lapins Agés de 3 e t 4 s e m a i n e s . R i v l e r M t l m e son préjudice & 100 f r a n c s . Ad»\v\\\\\\\\\\vv\\\\\\\\\\\v\\\\\\\\\\ Alexandre CUZIAT Chirurgien-Dentiste de la Faculté de Médecine de Paris 81, Ni Smrj QUIMPERLÉ Consultations tous les jours à QUIMPERLÉ, sauf le MERCREDI à BANNALEC. Qulmper Déport dm M. Cmxmumrmttm. — Vendredi soir, 22 février, au Cercle du Poilu, u n banquet réunissait les m e m b r e s de VU. B. C. en u n r e p w d'adieu offert & M. Cazenavette, p r o c u r e u r de l a R é p u b l i q u e , appelé au parq u e t de la Seine. A u d e s s e r t , M. l'abbé Cadiou, vioe président, c h e v a l i e r d e la Légion d'honneur, retraga l'œuvre du P r é s i d e n t , m a gnifia s a fidélité à la devise de l'Association • Brtudeur atao / • et lui décerna los titres de Président d'Honneur e t de B r e t o n . Success!- v e m e n t , prirent la parole MM. S t r e l l u , secrét a i r e g é n é r a l , colonel Dizot, a b h " Henry, vioalre à B r i e c , M. R o u y e r , publiciste à Q u i m perlé. M Garediwotte rendit & son tour h o m mage à l a Bretagne et aux Bretons. « L a B r e t a g n e aera t o u j o u r s , dit-il, u n s t e r r e de b e a .té e t de Icy&utê, la t e r r a des c œ u r * fidèles, de la volonté et de la fcénacltô indomptables, J e m'enorgueillis d'avoir été, pondant la g r a n d e t o u r m e n t e , un m o d e s t e soldat b r e ton ; c'est a v e c r f g r e t que ¡je quitte m o m e n t a n é m e n t la t e r r e b r e t o n n e , qui s e r a peut-ôtre, un J o u r , le b ^ v r e sû,r e t déftnitlf où, j e v i e n drai c h e r c h e r l e r e p a s a u milieu de m e s a m i s b r e t o n s », Pour le costume local. — Deux cent cinquante j e u n e s filles du Blgorre o n t fondé l'Association da Rioeil. E l l e s n e porteront plus a u x fêtes que l e traditionnel c o s t u m e p y r é n é e n . . . Chaque année, le s e r m e n t qu'elles en o n t fuit sera répété au pied du vieux chflteau de Lourdes. E n Bretagne, l e port du costume b r e t o n , dans les grandes occasions de la vie, n'a réuni j a m a i s que très peu d'adhérents e t d'adhérentes. depuis 1898, année du Béveil de la Bretagne. Quelque soin i l s apportèrent à rester dans une note sobre, bien que riche, l'épithête de déguisé s ne leur fut pas ménagée. E t pourtant, lorsqu'on visitait, à Quimper, d i m a n c h e dernier, l'exposition de poupées bretonnes, organisée au théûtre par ies Dames et Demoiselles des P . T . T . , exposition très soignée, c o m m e exactitude et présentation, on ne pouvait que soupirer après l e J o u r où nos computriotes sa m e t t r o n t bien dans la tête que, c o m m e les Slaves e t les B a l k a n i q u e s , en général, on peut faire usage du costume courant pour l'oi dlnaire de la vie et s'astreindre au c o s t u m e national dans les grandes c i r c o n s tances. Quelle allure nos élégants traditionnalistes l u i donneraient 1 Mais, pour avoir réellement le droit de le porter, le p r e m i e r des devoirs à r e m p l i r est d'apprendre sa langue nationale et m ê m e de la réapprendre et de la c o m p l é t e r . Nous s o m m e s c e r t a i n s que le personnel des P o s t e s e * t , en général, b r e t o n des pieds à la t ê t e . . . Que pour le prochain bal des P. T . T . les danseuses portent la c o s t u m e et ne dausent qu'avec des cavaliers bretons et parlant b r e t o n c o m m e elles. S o c i é t é d e s C o u r s e s . — L& Société des c o u r s e s do Quimper a fait depuis q u e l q u e s a n n é e s un g r o s eil'ort pour l ' a m e n e r a la période de prospérité actuelle, m a i s une récente circulaire de la Société sportive d ' e n c o u r a g e m e n t m e n a c e de lui retirer s e s allocations s'il n'est pas fait u n eflort s u r le propre b u g i a t de la S o c i é t é des c o u r t e s pour d o n n e r u n e s u b v e n t i o n équivalente à c e l l e de la S p o r t i v e ( s u b v e n t i o n de 5000 francs). Foire Exposition de (¿uiitipcr et de l'Ouest de la F r a n c e . — Ln premié re Foire J í s p o s i i i o n qui se tiendra <Ju 13 au 21 A r r i l à Quimper ea* appelée couicin nou» J e disions dans notre précédents articles à obten i r un succès magnifique. E n effet, les demandent affinent n e toutes parts, e t nous s o m m e s ob Iges de foire c o n naître aux m a i s o n s qui seraient susceptibles de venir grossir ie n o m b r e des E x p o s a n t s Vendeurs de se Imiter, i o s places é i a n t assejz rest r e i n t e s P o u r ce motif, te Comité d'initiative Sera obligé dans quelques J o u r s du u c plus a c cepter aucune d e m a n d e , quoique l'emplacem e n t soit assez grand pour donuer satisfaction aux demandes arrivées j u s q u ' à ce j o u r . Nous faisons r e m a r q u e r aux exposants Vendeurs, que la F o i r e Exposition aura lieu dur a n t toute l a semaine de Pilques. P a r t a n t du dimanche 13, j o u r des R a m e a u x , m a r d i 15, Grande F o i r e Annuelle ; J e u d i 17, inauguration Officielle ; Vendredi 18, distribution des récompenses, dimauche 20, j o u r de P â q u e s , et lundi 21, lundi de Pilques. Pendunt toute cette semaine la foule sera considérable pour visiter l ' e n s e m b l e de l a Foire Exposition de l'Agriculture, de l ' I n d u s trie et du c o m m e r c e . T o u s E x p o s a n t s et Visiteurs e m p o r t e r o n t un bon souvenir de Dotre ville. Nous apprenons au dernier m o m e n t , que certaines m a i s o n s d'appareils e t d'installations électriques uuus feront des surprises féeriques, vraiment dignes de Quimper. Tours Xes Bretons d e Touraine. Psrîs s la Stlle <rarc&G. — Tuée- a Fédération Bretonne de Touraine ». Au cours de sa p ¡ e i n i ó r e réunion, elle a désigné c o m m e p r é s i d e n t notre exellent a m i ie Docteur P e r q u i s ( d e Merdrignuc) e t c o m m e s e c r é t a i r e général le Docteur Lemagourou. t ' ê m p ! c ; ! régulier «U> t*M4Mtír.ñfel¿< dore Botrel 8 ' s i t fait e n t e n d r e à P a r i s lu d i manche 24 février, dans la salle des C o n c e r t a du boulevard R*<pall, 101, à H h e u r e s e t le mardi ÎG, à 15 h e u r e s , î t l a S a l l e Gaveau, r u e La Boétie au profit de la « Chapelle de la Re- SlMÔH de la Marne » ; cette dernière connaissance e ci t s d i c p c n c s b ï e p o u r séance à laquelle assistaient les m a r é c h a u x e t généraux vainqueurs de la Marne f a t présidée p a r Mgr Charost a r c h e v S q u e de Rennes e t o b tint 'o p'us légitime s u c c è s . [ l'hygiène, Z,a Bretagne à Paris. — Notre coufrùre et ami Louis Beaufrére d i r e c t e u r d e la Bretagne tï Paris vient d i t r a n s p o r t e r s e s b u reaux. 8 rue P e r n e l l e IV% face & la t o u r S a i n t Jacques. t REMERCIEMENTS as o o A M A N DM A R I E qui donne au Cidre labelle couleur MÉDAILLE rroa EXPOSITION AMAND M A R I E INTCRNATIOuaif. si le cidre s'engraisse file.setue ou d u r c i t RÉSULTATS MERVEILLEUX -E ai ¡o S « i¿ "S a J co £ b ES — — * 8 § e Ä s |il . 2 II —esce*— ¡5 g áH N IO -a(= ¿ V¿ S h ìu M. & M. M A U D U I T , l e u r s E n f a n t s e t t o u t e la F a m i l l e remercient bien sincèrement les personnes qui ont assisté aux obsèques de Mademoiselle Odette MAUDUIT déoédée à Quimperlé le Jeudi 21 Février 1924, dans sa 23 e année, munie des Sacrements de l'Eglise. Ainsi que celles qui leur ont témoigné leur sympathie en cette douloureuse circonstance. De Profundis !... e m1 I I CULTIVATEURS Employez la Poudre et la Mixture Amanrt M A R I E en mémo temps, au moment, du Brasaage. Votre cidre «era excellent touto l'annéo et pourra trta bien s e conaorvor les années suivantes. pinDCC destinés h la consommation, trè» vite fermenUlUîlCO tant avec le Ferment AMANI) MARIE n- 1. — 8 fr. dose pour 1.000 h 1.800 litres. que vous désirez distiller le pins tôt possible L I l ' U l . o seront très vit« fermentés avec le Ferme AMAND MARIE n- 2. - 8 £r. dose pour l.ÛQO.à 1.200 m m f r i C Ï M f r D P demandée pour E.P.S. IIJIijLiIJjUEj fllles> Quimperlé. Bonnes références exigées. Accepterait veuve avec fillette. ON DEMANDE Un Commis de Bureau Itr&a. à l'ÜMO.X AGRICOLE NETTOYEZ vos tonneaux, Barriques, Futailles avec le Stérilisant AMAND M A R I E . — Tou9 les mauvais germa» seront détruits — L e Flaçon pour 1.000 ix 1.200 litre«. 10 fr. — e 1/2 flaçon, 6 b. EAU-DE-VIE Colorée Bonifiée et Meilleure avec le BONIFIOATEUR AMAND MARIE. — 0 fr, dose pour 20 litre«. CABINET A. D E M A R T H E Docteur en Chirurgie Dentaire U. S.A. BEURRE DiplOmé de l'E. D. F. de Paris Le Colorant pour Beurre AMAND IK MUE est le plus apprécié. — Achetez-le. — 4 Cr. le grani. <laçon. Késult*ts immédiats Nombreuses e t imjrillibles références En vente : L a b o r a t o i r e A M A N D M A R I E , à VIRE (Calvados), e t d a n s l e s P h a r m a o l e a QUIBOURQ, HABRIAL et L E NAOUR. à OUI P E R L E ; I L I O U , a SCAfiR e t L E 8 8 A R O ft HANNAI.KÎ" Dentiste de l'Hôpital Civil 4, rue Thiers - QUIMPERLÉ Soins de Bonehe et Pose de Dests en tons genres iOR et PLATINE EXTRACTIONS R e o 'du Oom. T r l b . de Vlr«. N- 8 0 •^•t-.i' ^«^jcCTwicwMcgtwiijBiiii^ m> w.jWMiy.Jiwwn. jMWti.M^fW^-jBWiy^a^^sw^ftaor. MAISON DB CONFIANCE I VENDANT L E M E I L L E U R MARCHÉ Ch. C O R 17, Rue Savary, DE LA RÉGION QUIMPERLÉ P O U R L'HIVER S CAPES & MANTEAUX pour le Costume breton. PARDESSUS tout faits et sur mesure. Tous les genres do VÊTEMENTS IMPERMÉABLES TISSUS pour Robes et Manteaux. CHALES pure laine des Pyrénées et le plus grand choix de F O U R R U R E S . Ch. Ces moteurs peuvent être considérés oomme les meilleur! mi lmu pin» iemmomiqneB des moteurs existant actuellement sur le marohé. Les soins apportés h leur fabrication, ainsi que le ohoix des matières premières employées, noua permettent do les livrer aveo UNE GARANTIE DB 8 ANNEES. Nous avons toutes les pièces de rechange en Magasin et pouvons «89orer rapidement toutes réparations de ces moteurs. Nos olients pourront voir tous les jours un de oes moteurs en fonctionnement, dans nos magasins. Nous tenons aussi à la disposition des olients qui le désireraient dos moteurs marques " LISTER. ". DOULEUR Vente publique de Meubles Le D I M A N C H E 2 M A R S 1 9 2 4 , à treize heures, et jours suivants, s'il y a lieu, au lieu de Parc-AnHéol (route de Quimper), en Quim)erlé, il sera prooédé par M" PEYRON, notaire à Quimperlé, à la vente amiable, publique et aux enchères des objets suivants : Bureau ohéne sculpté, chaises oannées, fauteuils, pendule, canapéit, chaises de salon, jardinière genre Sèvres, grande et petite glaces, bahut, bureau bois de rose, étagères, cadres divers, gardesmanger, fusils, lits divers, matelas, bibliothèque, livres, une pendule genre Louis XVI, armoire, meule èi aiguiser, fûts et bouteilles vides, un établi, outils pour soulpteurs et tailleurs de pierres, baquets, échelles simples et doubles, casiers à bouteilles, outils de jardinage et quantité d'autres objets. C O U V E R T U R E S , COUVRE-PIEDS, EDREDONS. à 15 C.V •i A des prix trè» avantageux. SANS Installation et Tbârapeutfqug aodernes BONNETERIE pour Hommes, Dames et Enfants. Les Etablissements SAVARY, DENTAIRE Etude de M® P E Y R O N , notaire à Quimperlé, 12, quai Brizeux de 3 á 1 2 Chevaux. n'ils sont à sa disposition pour lui fournir des moteurs à essence, de t o i l e t t e « i8 b e a u i ê Paris — Les n o m b r e u x Bretons de T o u r a i u e possédaient, avant guerre, u n e 'association d u n o m de l'Ajonc dont le siège était a T o u r s ; Nous s o m m e s heureux d'apprendre que grfiae aux elïjru» de quelques B r e i o u s de T o u r s une nouvelle association groupera b i e n t ô t nos compatriotes de T o u r a i u e qui sout aux e n v i r o n s de 10 à 15. 000. Cette nouvelle société portera l e n o m de Etablissements SAVARY MOTEURS Hotfal Nous apprenons aveu une vive s a t i s f a c t i o n , que M. J o s e p h Pelié, Chevalier de la L é g i o n d'Honneur, P v é s i i c n i d'Initiative de la F o i r e Exposition de Quimper, Président d¿ l a F é d é ration Mutualiste a u F i n i s ère, Directeur de la Bretagne Commerciale, aura le plaisir de nous faire uue Conférence sur « Les B i e n f a i t s d e s F o i r e s E x p o s i t i o n s . » qui se font eu F r a n c e e t à l'étranger. Nous aviserons l e s intéressés sous q u e l ques j o u r s de la date et du lieu où doit se t e n i r la dite Conférence. L a situation û n a n c i e r e a c t u e l l e de la Société La Fédération des Bretons de Touraine se des courses de Q u i m p e r , en raison des g r o s s e s p r o p o s e de venir en aide aux compatriotes dans dépenses taites pour a m é n a g e r l'hipodrome à le besoin, de reveiller et de cultiver le sentiûtre un des plus b e a u x de la région de l'ouest, m e n t national p a r le rappel des traditions brene p e r m e t pas de prélever s u r ses r e s s o u r c e s tonnes. propres une pareille s o m m e . Auxsi ie C o m i t é Chuque année, des p r i x seront accordés a u x des courses, réuni le m a r d i 36 février, a déci lé de faire appel à la b o n n e volonté des c o m m e r enfants a p p r e n a n t l'histoire de Bre ague ou l a ç a n t s e t industriels de Quimper, pour a r r r i v e r langue, dans les familles b r e t o n u a u t e s , a u x & réaliser une s o m m e équivalente a la s u b v e n personnes portant le costume breton habitueltion de la Société sportive d ' e n c o u r a g e m e n t . lem nt. Un service solennei s e i a céléb é égaleNous c o m p t o n s s u r uu g é n é r e u x effort d e s m e n t tous ies ans pour ies b r e t o n s m o r t s & la c o m m e r ç a n t s e t industsiels de Q u i m p e r p >ur guerre. m a i n t e n i r ie bon renon de la Société des cour- , La Fédération compte installer un b u r e a u d e s e s de Quimper. I r e n s e i g n e m e n t q u i sera a n n e x é à son f o y e r I breton. Lt Comité S" RIVIÈRE k C ¡ \ (Quimperlé). T o u s nos vœux accompngnent l a nouvelle société et félicitations aux organisateurs. C O R B I E R R E 10 0/0 en sus. Le Notaire, PEYRON. Etude de M* P A R B E A U , notaire à Larient, 2, rue Poissonnière. Suivant contrat reçu par M» PARBEAU, notaire i Lorient, le 13 féTISSUS & CONFECTIONS vrier 1924, Monsieur Emile-Frédéric ROSE, entrepreneur de transports, LITERIE demeurant au Pouldu, commune de Glohars Garnoët, veuf de Madame VETEMENTS SUR MESURE Joséphine GLOANNEG, ayant agi lant en son nom personnel q . ; e Registre du Commerce comme tuteur naturel et légal spécialement autorisé du mineur I « 608 SUCCURSALES 11 Plouay, Post-Avcii, M a n , C l i t a - M Georges ROSE, son fils, a cédé à QUIMPERLÉ Madame Miohelle-Louise LE PORZ, propriétaire, demeurant à. Guidel, veuve de Monsieur Pierre-Louis mesm BER0U> le fonds de commerce d'enIreprise de transports automobiles, OFFICE ARVOR A VENDRE exploité au Pouldu, pour la ligne à essence, 2 HP \/2. de Quimperlé à cette localité comro très bon état, pour prenant : ZT O Caoutohoutage des anciennes roues (arríes 1 • La clientèle et l'achalandage ; oause chang. d'inst a 2- Le bénéfice de tous traités et S'ad. GUILLOU, bou marohés de transports passés aveo M langer, rue Ellé. MACHINES AGRICOLES QTLIMPERLE l'administration d é p a r t e m e n t a l e pour la ligne en question. Fabrique de Roues caoutchoutées L. LÀ UN A Y C O R N O Charron-Forgeron Moteur U Moteurs — Machines à bois AUaniina ensemble ou par lots Tout Matériel Mécanique & Etoctrlque R I E C - S U R - B É L O N MONTAGE DES MACHINES VENDUES B A T T K U 8 E 8 - V A N N E U 8 E S . - Les Etablissements SAVARY informent leur clientèle qu'elle pourra voir dans leurs magasins des Bmt( • • • • « - V a a a s u s i & doublm nettoyage, munies des derniers perfecUûndnn Un lit ordinaire, somtionnements, batteuses dont ils peuvent garantir l'excellent fonctionneVBIIlliU m i e r ; foudre et fut». ment et le parfait nettoyage, et qui pourront être aotionnées par un des Clapote pour voiture anglaise 8 5 x 7 5 . perlé. S'adresser «in bureau du tnoteara 10 C.Y. décrits oi-dessus. S'adresser à Mme Le Noc, rue Journal. Clohurs (Quimperlé). % V P I l d l ' P poiir cause de sa nté P A U O H E U S K 8 — Les Etablissements SAVARY sont à la disposition * t t l I U I t/ b o n m a t é r i e l « l e à a c h e t e r vieux p i a - A Terrain à Vendre S r ^ Â Ï - n o » . S'adresser au bu té&u du j o u r n a l . f o r g o . S'adre/ser jourual. a u b u r e a u <Ju ¿ 8UHUID i» une maison sise rue de Brémotid d'Ars n- 2, comprenant «j u rez-de-chaussée 3 grands magasins à l'usage de oommeroe de vins. Au i , r et 2" étage, 1« grandes piôoes avec vestibules. Caves et greniers, cour, éouries. 2" Use grande remise, sise rue Ellé n3- Un jardin avec sortie rue Ellé. Pour tous v{ nseignements s'adresser à Mme GUIlLfi&MB» * « moulin du Ter, Plœmeur (Morbihan). 3 1 Le matériel servant à l'exploitation du dit fonds, Aveo entrée en jouissance du 1 « février 1924. Les oppositions au paiement du prix d» la présente vente devront être formées au plus tard dan» les dix jours qui suivront la présent© insertion renouvelant oe'le parua dans le même journal le 16 février 1924. Elles seront reçues en l'étude de Ma PARBEAU, notaire à Lorient. Pour deuxième insertion, Signé : P A R B E A U , " AUX TRAVAILLEURS " RIVALINBOURC'HIS R « f l i t t P « du O Q m m c r o » mmm en tous 18, rue Savary ,18 genres QUIMPERLÉ dans tous les Articles d'Hiver L a Jaunes Enfants A • J ? w ! Y I Mutuelle du S r u " K » ! l i u ^ 0 l t a t l 0 n * E " L E V E C 0 > en Beuzec« M â H û ^ n ^ . v * 0 , «P?up ,e 5 J i » . ? . 2 2 Ï R r " « K ' j J J Î Ï f * 8 ldl» A V R J L '»•¿¿W * * x m v ' RIOU. . a A l a n s 1 U M a i s o n s e 2 0 , t o t a l e d e 3 6 l e C o s t u m e d e ^ C A P E S B r e t o n a r a p l u i e » e u N T O m r e PHARMACIEN DE i E \ A O U R Tous Articles de Sports, Foot-îill, Tennis ^ l l e de nombreuses E M A I S O GUUERS « T E S V O I R T CLASSE DE LA F A C U L T É DE P A M S AMMBN WTERKK BSS n m m M IVLHIa DE T'UNATIRSMÉ T è l è p h o n . n- 7 ÇUIMPBftLB « , C a n n e s RNACIE ' \ V ' S â d o n n a n c e m î m m M DICAMKNT8 « » L É W I Q O B S HK H BOR ISTERIK SPÉCIALITÉS CHlrlS, Bt m i m m t BASSINS— 9 0 V C HIB PULVÉRISATEURS FULMIGATEURJB H Y P O D E R M I E AMPOULES KÉDICAMENTKUSEI A TOUTIS FORMULES SERUM» YACCIKS efe. FWifTS, BIÉÎÏTie» DBS ORSONNAftCES SB MM. L E S M C T L U X M Lau«« & Piles eiratrtQM* A L D N S u c e ' An¡;n9 H'on Augereau rontain6S. b L 3 Place Carnoi RASOIRS Ordinaires & Móeaciqiies (Gillette, Le Coq, etc.) arbres de diverses d e irais, L O R I E «a—MB lauaBaaa , L o u i s um DE COUTLLLERIE FIN £ (Canifs. Ciseaux, etc, etc.) Cette Propriété conviendrait, tant pour l'agrément que Jur 1 insta lation d'une Usine, d'un Hôpital, d'un Sanatorium, Pension de Famille, etc. ( Tl'une i P la Patrie, d e P R I X SPECIAUX POUR à VOITURES D'EMI TS f a b r i c a t i o n DOCTEUR Ti'MVNil très toigite r i â o u t d p««r un S p ^ l x l U t c Vaste Etang avec chute d'eau 8er> l a ANC.» GHEK DE LABGHATOIR» _ Parapluies " T O M P O U C I " (dernière création) MONTAGES, RECOUVRAGES & RÉPARATIONS h e c t a r e s U n e belle M a i s o n bourgeoise, avec de nombreuses dépend a n c e s , d o n t u n v a s t e Bâtiment comportant 4 étages ; très 01 h S l M SÏÏIP '¡»«er fruitier, clos de mur ; beaux Vergers, belles P r a i r i e s , Carrières de granit, Ferme attenante, etc, La Réserve est plantée cle très beaux essences. R u e ^^BBMBMBHEMMIAI COMPRENANT : aména d e de fiaptômo VE HS E -LE I Avec succursale i 5, rue des P 7 Toilettes BERIKAVX PLUMES & DUVETS c h a r g e 1 (Maison fondée e n 1877) D E M A N D E , p o u r Q u i m p e r l é et environs, Personne retraitée. Jeune h o m m e ou dame, ayant q a e l S u e 3 l o i s i r s ' P ° u r e m p l i r les fonot i o n s d e s o u s a g e n t et d ' e n c a i s s e u r . [ S ' a d r e s s e r à M. d u B o u ô l i e z , A s s u i ranoes, à Kerléven, prés Hennebont. 0 N tfrès Ielle Propriété d'Agrément c o n t e n a n c e I M PA l e s À VENDRE! chambres* 1 GENRES ASSURANCE CONTRELÏNCENDIE 6 d ' u n e EN TOUS ûperHiéâblfis p o u r .Etude d e M * R I O U , nal.aire à Pont-Croix. Seos Litern Soieries est le mieux assorti 1801, Qulmperl* Hommes, TIffi A G i E S C O t N \ F I Q A s N P C R I PRODUITS VÉTÉRINAIRES X E D R O G U E R I E IMDUSXRIXILLX BT ABRIGOLE RECHERCHES CH'MIQUBS BIOLOGIQUES BACTÉRIOLOGIQUES R. du C. Lo rient, N- 6414 SITUÉE DANS UN DES PLUS BEAUX PAYSABES DE BRETAGN: EN BORDURE DE LA MER m J F S . A . î ï . ' . * v F i l a î H amples * R E L )> renseignements, G U I C H E T rue Vis, à (Maison s'adresser B E R N H E I M Pin«mints Auptlquii l »ntlVitlquM COTOINS GAZES — CATGUTS C*IL«S DE FLORENCE à Frères Quimper, AcheterHÌ Ptèe*s de rechange. 7 , r u e M e l l a c , Q u i m p e r l é L O R I E N T R. du C. Quimperlé. N- 94 L e s nouveaux Modèles R E N A U L T (obtiennent le succès mérit«*, grâce à leurs qualités de souplesse, de confort |el d'élégance. les Forces Motrices de l i é ; p o p \ é t é A n o n y m e Q U I M a u P B C a p i t a l R L Ê d e 1 3 2 0 . 0 0 0 EXPOSITION Toutes Fournitures et Installations de Matériel LUSTRER1E Mapisifl d'ExposîtioR et Enregistrement des Demandes J » r i s c L E M o d é r é » 10, plaoe Hervo F O R M A L , — Q T r a , \ r e t i l t r è s U I I V A p p r e n t i s s a g e I P E : R g r a t u i t L . E a u x ET G R A N D R L O G E O R r I f è v B r I J e O r i U T L r . D E R I J h f t 25, R u « des Fontaines E O U M SPORT» O aux ¿Maison Jean TREGUIER, ufo??. * Presser yij.t^TÎ^^^^^ !TÎUrH. « S ' N a ^ f i n m A î v >, 1 U I M P E R L E genres <.~K" 6 B,/". M n » ré-ultat, que voat o'avm pos le droit de dése» perer. et vou» deve», sans p l u s larder, «'airo mie cure avoc 1« J O U V C N C B d * l'Abbe s o u a y , Téléphone 1 - 2 8 o ' ô s t l e a a l u t d e l& •b,"u" t meilleurs r a n ET TOUS d Fomice * • / • • 1 « • / • , 14 « / * p o u r la e h a s s e . L S 3 ACCESSOIRES DE C I A S S E Ia M Î a ^DÏÏÏÏÏKÏ,™ mma. OUMONTIER, A Houcn st Irouve 3«ai>â toc t ePharmacie s les P h » i «HAcies; le (lacou. 6 f r a n c , pu., unpov 0 Cr. OC..oui : 6 ti? 6 0 . et» E T DU T I R »TOC la G ^ RBW.IHE8 qui S O U P F r . c z de Pég(ee l-véç^». «lires, accompagnés!* d. doule.iri daaf le vnotre et portrsii et te» Mira: ds Migra,nie, d. Maux (TlU>omxe. ae Constipation. Vtrt.p,,. Eiourùl^e-w,», Vuri«». Hémorroïdes. 4tc. Vous qui craignez 1. C o y „ t i o n . le. C h a t e u r . , V . ^ . et tous les nccidenis du R e t o u r d ' A i r e , '«lies u u « A u JOUVEMOB d , l'Abbé Î O U R » QTL, , o a . GÎÉ,LR. V ^ M M L < ^ * Bka c r i e r b Vérlh'bl» 1(1 P R À SOURY LA JOUVENCE SI LÂBBE SOURY F U S I L S , C A R A B I N E S «t P I S T O L E T S B R O W N I N G à Répétition REVOLVERS à MJLRÎZLRT de tou* Mj-MtèmoM MUNITIONS, COURAGE JOUVENCE S EL'ABBÉ M « " / • p o u r tir d e p r é c i s i o n . C h o i x d e lO'îVEKCB dt i k M SOURY s i l i D C M O N T I E N C o u t e l l e r i e ibs , ™ ' » » . C o u t e a u x de poche, Couteaux d e tabla et d e ouisina, Ciseaux p o u r B r o d e u s e s , C o u t u r i è r e s , C o i f f e u r s , T a i l l e u r s , eto. R a s o i r s à m a m et R a o i r s d e s û r e t é , Gilette, A p p e l a , e t e . , T o n d e u s e > d e t o u s m o d è l e s , P e i g n e s d e rf c h a n g e n n prix 7, — R u e---d e s Ecoles " —• Q L O R I E N T - •> ACCESSOIRES ¿o\ L Lï^ c D R e fc REPARATIONS é * Plieei de Rflcbange pour ALFA-UVAL. MELOTTE el toutes autres Marques ET tous « r U ^Isto un m:aide , gauvé des œîmer8 d e, ^ tnullicurouses condamnée» & uo n.«.rlyif pBrpétuel, uu remède simple « ihcu« qui vous puérira lArement, *aas poitor» ni opérations, c'est la Fusil» DARNE, CHARLIN& DARNE Fils Atnâ Machines Agricoles, Charrues Brabant, Herses Cultivateurs, etc. ECHANGES de '. , ' s Viiti.'^MiiSjU. w v. t w . - V mtiémir» pour lm Région d»a PHONOGRAPHES Brani choix d'Ecrimeuses : S T Y L E S A c h e t e u r s AR11ES, C O U T E L L E R I E , e * D E T O U S d « m t t a d U s biMrieii^aSc MétrHa, Flbrom«, H é m o r r e c U » , ftulte» d® Couoltst, O v a r i U t , Yurr.cur», P . r U e t,lof»oh«., etc., CHAMP ASSORTIMENT DE BICYCLETTES DE TOUTES MARQUES MA0HINE8 A TRICOTER D E M E U B L E : * REPRENEZ Brand Choix d'Articles ponr Mariages — Articles pour Cadeaux MACHINES A COUDRE ÉGALE R. du C. Quimperlé N - B7 Q V I M P Ë R L É E C H O I X ; » A . r a a a \ x r i e r - C o - u . t « X i © r O MARCHÉ A QUALITÉ UVRAISON FRANCO PAU AUTOMOBILE DANS LA RÉGION « o i ^ n é Maison Jean TREGUIER H A U MEILLEUR Chambres a coucher, Salles à manger, Meubles de Bureau Literie, Glaces, Tentures, Petits Meubles fantaisie M. « u O. N 1 1 8 4 8 , Oulmpsrlé 1, r u e D«S E c o l e » . — L O R I E N T M a i s o n r e n o m m é e » y a n t 3 0 a n s d'existonoe Sièges |Au Garage Jérôme TREGUIER Electrique Moteurs, Appareils d'Eclairage et de Chauffage ftez]Mme & ESSAI 31. R u e du Morbihan - C'EST LES A C H E T E R DE C O N F I A N C E f r a n c s C F i r L i B t è r e ) - I U SCULPTEUR tous g e n r e s et toutes forces c o m m e avant g u e r r e . P r i x Modéré« vu l a Qualité. S E L L I N , ses Meubles A La plus solide st l a plus perfectionnée. Y . A TARICES «1IWTURB8 G A B I K I T D'APPLICATION Agence de Quimperlé : Garage Jérôme TRtGUIEB Charrue Brabant DELAHAYE A «hsisir BANDAGES BAS ("teleph. R . d u C. Quimperlé, N* 746 Réparations d'Arme» de tous systèmes, Affûtage da Coutellerie A r t i c l e s auxTîoSétéBArliCleé y w 0 t d e ¿ » p o r t e - U a i l ' T e Q n i s - • w r i u i s . B o x e , ete. P r i x s p é e i a u a mr vos mmmt ADHITNKHT VOTI» E » v « l g r a t n H d e n o seMalagties, A r m e s , Munitions et » p o r t » II. du t . , L e r l t n t B I S Q U I W P S R U t Uirertour-Uéntnt : LSUN LU MUiU Oertlflé par r i s t p r U n a v V a w u r li^aiisatlun <tc la sl«aatnre m M.ÎTIE AN Mairie da <JQIN:perté i M A MARITIME Organe Républicain Démocratique et Régionaliste de l'Ouest F * r * l M « A t Altitono«« « t l M o U m « « A i M i o e a judiclairee (la ll*ne),.. i f r A u o i o e e volontaire* 1 f» H i t l m i l tt locale 1 MO Us •nnonut font reguu «« buret* it« lowrntl tt, & Parii, d*tu touts» let Agmca. On mnte i forfait pour riptides vlwtieurs fait. let mnoneu 1« SJLiMJDDX D l r e o t e u r i Léon L I M I R R I ËÎDAOtlOH, ADMIMIMTIUTIOK * ÀKHOMOMt A Q U I M P M L I , PI«M Her»©, O* • Mi T É L l P H O N I , N' • Adrw* TiUgrtkv)n» i U n i o n . Q u I m p O P l è Mm riwMMMii « f i l m i A w w i mmf m i w ] Itona tl*p*rtr*t 4» i" m 4m i l it «JUfM mMt. On rebonn» m taran imjmrml. On jmM falmMP tfMl**Mttl, MM /Y*ii itmt MM <M fcttrMM* M «MOT« M idNUMt M WUmiat-pOltS M SiTMlMT, •I. Léon LK SERRE yiwi I i t n « 9»tm^4rU, ABONNEMENT« ( W U Voimperlé (ville) •^.««••••B* Finistère et département« limij trophea Autres départements • i t i i l i t í * Colonies et étranger.. . 9H 10 12 - — Ayez pitié de moi — Si je trouve trop dur Je rends gr&ces à Dieu de l'avoir mis sur barde Taldir venait de faire paraître une revue Si l'on ne trouvait p l u t , dans ion décor mystique, aller toujours après vous — Ayez pitié de moi. mon chemin, sou amitié me fut d'un grand mensuelle entièrement rédigée eu breton. Elle Ni menhir, ni d o l m e n . réconfort aux heures sombres elle fut àussl Si l'on n'entendait plus le c h a n t mélancolique avait nom « Ar Vro ». Nous nous déiectious à S il vient à moi refuser (de) grimper sur mon ma sauvegarde bien souvent, et c'est en y sonDes rustiques monlins sur les bords de l'Aven I la lecture de la prose et des vers qu'elle puCalvaire - Ayez pitié de moi — S'il vient à geant que j'écrivis un jour : bliait. Nous décidâmes d'adresser & son direcSi la hache frappait les ehScet millénaires mon ûme pauvre se noyer dans le doute — teur, nos premières productions. Jaffrennou Yaun KaUoo'h, da galon oa leun a garantez De ce pays breton, Ayes pitié de moi. les accueillit avec bonne grfice, se montra très Ha da ene henvel ouz garreg da enez, Si la foudre tombait sur ces liauz légendaires indulgent pnur nos écrits. Le premier nom des Que sont chaque clocher et chaque clocheton ! S'il vient à moi donner ma malédiction à Enni a lugerne eur sklerijeun dispar, J e a n - P i e r r e Calloo'h e bretonnants de Sainte Anne d'Auray » qui ma pauvreté — Ayez pttté de moi — S'il vient En eur sellet outi, va spered, en arvar Si l'aile d'un bateau, j a t e b . barque ou goélette, parut dans « Ar Vro » (en février "j905), fut War vor diroll ar bed, a dec'has aliez à moi. ô mon Dieu, nier votre amour — Ayez Au gré de l'Océan, c<-lui de Job an Drouz \or, au bas d'un conte Diouz ar garreg a laz, gant bras trubarderez. pitié de moi ! Na ae balançait plus ainsi qu'une mouette, En parlant Ici de Jean-Pierre Calloc'h — intitulé a Er Bolom Ixan s qui avait obtenu un En octobre 1905 11 entre au grand séminaire Dans le t e n t où se perd le cri du goéland I flme religieuse et forte, cœur noble et généreux, second prix au concours des « Récits de Noël ». de Vannes, en compagnie de trente de ses conP o u r l e r e l è v e m e n t n a t i o n a l d e l a Il resterait toujours quelque l j r e touchante Imagination délicate et brillante — je <e vouD»ns le numéro de mars de la même revue disciples. Il me fait part de sa détermination Un Brizeux, u n Botrel, drais songer qu'à l'ami dont je suU hépirè et à nous lûmes un petit urtlcie du même auteur et me prie de ne pas l'oublier dans mes pri- B r e t a g n e . — Une généreuse Galloise, Pour chanter tendrement la comp'ainte émouvante Miss Alix Mallt Williams, dé3irant faquinte ans d'iatlmité. d'émotions partages annonçant la parution de • Dihunamb » revue ères. Il termine sa missive par ces phrases Que l'Océan rredonne ainsi q u ' u n ménestrel. qui ne oonnurent pas es refroidissements d'un foudée par Loeïz Hcrtieu et Mellac. pour les breton es : « War Ar Hobl, war Dihunamb, voriser pratiquement les œuvres, les •eut Jour. Car sa vieille beanté, le poète la garde, Bretons du Morbihan. Et je me permets ici, de sociétés f t les hommes qui luttent aveo war Ki oaz an Morbihan, » u'tun eus gwelet Comme un amant jalouz... Je le vis pour la première fols un .voir d'ocrectifier une petite erreur commise par Léon neme keierer mat diwarbenn pez hon mignon dévouement pour l'enseignement du Ecoutez, comprenez le chant berceur d u b a r d e : tobre de l'an 1900. dans lu cour du Petlt-SémlLe Berre, dans la remarquable étude qu'il a Trouz-Mor : a Evit Doue hag ar Vro! » Daoust Breton, la diffusion de l'Esprit celtique, La Bretagne si noble est dans son ebant si doux ! naire de Sainte-Anne d'Âuray. I av*li onze ans, consacrée à Jean-Pierre Calloc'h voir le " Réhug ar memes tra a vezo gret evit va hlul-me : le main-tien de nos Traditions, a daigné Fernand E R O U A R T était déjà grand, robuste et comm<- wilié dans veil timon " Juillet Août- eptembre 1921A « Eoid ar Feiz I u hig a vo c'hoarlet en Ruez verser en banque une somme importante 1« granit de l'Ile de Qrolx, laquelle il avait l'heure où naissait « Dihunamb », mon ami ar Gioac'h bben mlz du. Labourât a ran start qu'elle a chargé le Barde Taldir de parquittée le matin même, pour répondre aux ain'était p.s abbé. Il faisait sa rhétoiique.à warm. (Lettre du iO septembre 1905) Il serait tager au mieux. Une première réparti•Ira dess.ens et, ci oyait il, à l'appei de Dieu, Sainte-Anne d'Auray, il avait quinze au* et intéressant de retrouvir le manuscrit de cette car 11 avait le désir d être prêtre. tion de fonds a été faite entre : salua p i r un poème, dédié au Barde Laboureur pièce qui fut jouée par les Jtunes gens de l'Ile Il se mit au travail avec ardeur, et doué d'une (Loeïz Herrieu), la naissance de la pubicatlou. de G oix Le Gorsed des Druides et des Bardes ; mémoire et d'une (acuité d'assimtiatlou éton Le numéro de juin 1905 d' « Ar Vro » le con L'Union Agricole et Maritime n'a cessé de La Fédération Régionaliste (Unvaniez La langue brotonne l'intéresse plus que ja santés, 11 obtint, dès le début de ses études, tient; il a pour titre « Dihunamb » et est siArvor) ; L'Union Régionaliste (Kevredigez tenir ses lecteurs au courant du fonctionnemais. De Vakncs 11 m'écrit le 1" janvier 1906 ; 1m meilleurs notes en français, latin et grec. gné« Bleiinor » pseudonyme que lejeuae poèia d Je te promets bien uue si le Bon Dieu me Breiz) - Le Comité de Défense des Intérêts ment et de l'évolution de la Mutualité dans Pendant les années scolaires 1901-1902, je adoptait. Il est regrettab e q .e cette belle fait, un jour, lagiàce d'être prêtre, 11 n'y aura Bretons; Les Bleun brug et Feiz ha Breiz-, notre département. Elle a fait connaître aussi n'eus guère de relations avec lui. C était une poésie, de même qu'une autre intitulée a Hu rôle que cette institution, fondée et admipas beaucoup de p êtres à aimer Breiz lzel, Le oongrès Panceltique de Quimper 1924; le habitude, & Sainte-Anne d'Auray, de se grouper neeh » (Ar Vro, avril 1905}— la première écrite nistrée par des travailleurs, entend joner autant qu» mol... Je viens de termiaer nae entre écoliers d'une même région ; les OroisllLa Revue Dihunamb, à Lorient ; La Revue dans la loi sur les assurances sociales dont le par Bleimor — ne figurent pas dans le recueil man ère de drame, sur la descente des Anglaislons faisaient bande à part, de mime, les Fide ses poèmes : A Genoux. Brihez Brtiz, à Brest; La Revue Arvorig, Parlement a été saisi, dans les conditions que Hollandais à Groix, en 1696, le 14 juillet, an nistérlens, dont j'étais. Notre amitié date de 1903. nous avons Indiquées. Pour pouvoir collaborer à ces diverses re soir, (cc-t 'hlstolie). Duguay Trouln y joue le à Guingamp ; La Revue Breiz Atao, à A cette époque, nous faisions notre seconde et Rennes ; La Revue les Annales de Bretagne ; Or, la discussion de cette loi — de ce projet vues, Calloc'h s'adonna â l'étude des différents rfile de libérateur d'une famille Uroistllonne, oseupions, généralement tous deux, les prede loi — a été ajournée. dialectes bretons. Pendant ses vacances, il étu Le journal l'Union Agricole ; La Bretagne livrée par un traître de Juif aux ennemis de la mières places, en dissertation française. Ce fait La Fédération mutualiste du travail, présifol. Ma pièce est populaire, dans les grandes Touristique, St-Brieuo ; Breuriez-veur ar nous rapprocha et fut le principe de cette Inti- dlalt le breton de l'Ile de Groix, notait les dée par M. Robert Perdon, profondément expressions bretonnes grolslllonnes, recueillait largeurs, sans purisme et sans emphase. Je Brezoneg (Académie bretonne); St-Brieuo mité que lea mêm- a aspirations, les mêmes émue de cette décision, vient de protester, vais tâcher de la faire représenter à Groix, k Emgleo St-Iltud ((Société d'éditions breamoars, aussi les mêmes privations, les mêmes des tsrmes bretons an usage dans son Ile et en avec véhémence, contre une telle procédure P&ques prochaines, mais je crains bien de ne tonnes) St-Pol-de-Léon ; Le m o n u m e n t de Inquiétudes devaient re&serrer dans 1a suite et composait un vocabulaire que j'ai eu le plaisir qu'aucune raison ne justifie et qui ne tend de retrouver aptès guerre. En avril 1905, Il pouvoir réussir, faute d'acteurs. Je ne t'en nope être d ' a v a l grand charme. C'est a ce mo Bleimor. qu'à retarder indéfiniment l'octroi aux tram'exprimait, dans une de ses lettres, 1« regret promets paa un exemplaire, ma pièce ne sera ment qne J'assistai à l'éveil de la vocation On exanimera impartialement-les devailleurs d'un droit qui ne peut leur être disde ne pouvoir m'éerlre a dans notre vieille pas imprimée et ne sortira d'ait eurs pas de poétique de mon ami. Je pos^dals un petit mandes de subvention d'autres œuvres cuté. Groix. Job, (l'abbé Joseph Larboulette) veut à ouvrage traitant de la prosodie française; langue de Brels, mais je ne la possède pas Voici les principaux passages de l'ordre du encore assez à fond pour lui faire exprimer méritantes ayant insorit la défense du toutes forces la faire jouer chez lui. Ça le reCalloc'h le lot et sitôt la Muse le visita. U jour qu'elle a adopté : « Le projet de loi sur toutes les nuances de pensées que je veux garde. Je doute, quant à mol, qu'elle y soit breton à leur programme, dans la meécrivit, en français, des vers qui firent l'admiles assurances sociales ne pouvant être applidire ». Et dans cette mèaie lettre, il me mettait comprise et y est du succès. Kenavo, Bloavee sure des crédits disponibles. ration de ses maîtres et de ses condisciples. qué qu'après nn vote de la Chambre des Déen garde contre les idées du a Sillon » qui matl Prie pour mol, comme je prie pour toi i>. J'ai conserve pieusement quelques poôines (Communiqué) putés, du Sénat et la publication d'un règlecommençai à s'infiltrer parmi la jeunesse breSa pièce fut jouée, en avril 1907, à Groix, il datant de ce temps-là. ment d'administration publique peut être mis tonne : a Ce n'est pas sans tristesse que je t'ai me l'aunonce, en ces termes : « Ma pièce « Er L'Union Régionaliste Bretonne tint, si j'ai en discussion immédiatement. Sa date d'applivu planter là, le vieux compagnon de tes luttes Flamanked o & été représentée trois fols à bonne mémoire, en ltíüO, ses assises à QuimL'Union Agricole s'est vu attribuer cent cation restant éloignée, 11 sera possible, d'ici écollàres pour le Roi, mais enfla puisque Groix et le sera bientôt à Plouhinek par les perlé. An conrs des fêtes magnifiques qui y f r a n c s . . . Nous en remeroions vivement là, d'envisager les modalités utiles pour troul'amour de Brefs te reste tout aussi fort qu'aus Pautred Sant Geneg ». Je la mets actuelleenrent lien, j'entendis la vieille Mac'harit Fulup trefuls, et l'amour du Christ, nous avons enTaldir, qui sait apprécier notre œuvre, ver les ressources néesssaires d'autant que ment en breton de Vannes pour 'a présenter an et les bardes de Tg Kaniri Bretz chanter en core, Dieu merci quelques attaches communes et cela d'autant plus que l'intervention celles-ci se trouvent assurés dans la proporconcours de l'Union Régionalisle Bretsnne. » breton, je vis représenter le «Mystèrede Saintet de toi seul dépendra qu'elles soient solides. ° de Miss Alix Malt Williams nous ramène tion de 99 0/0 par le projet lui-même. Ayant appris par « un journal frauduleux» ma Gwtnolé j» et « Ar Vesventi », par la troupe de Il m'expliquait pourquoi il ne pouvait adhén r a La Fédération mutualiste du travail se réussite au P. C. N., Il ne félicite de moa sucau dolmen de Merthyr, où nous fûmes Plonjean. Et Je sentis naître en mol un vif aux opinions de Marc bangnler — l'avenir lui sonvenant : 1* de toutes les déclarations faites cès et ajoute : a Cela va te donner dn loisir reçu barde, on 1901, par l'archidruide successivement, amour pour la Bretagne et pour la langue bredonna raison : < Sangnler a une confiance Illile 9 décembre 1922, à la Sorpendant les vacances pour travailler, aveo tonne. Je résoins d'infnser un peu de cet amour Hufa-Môn, et où nous fîmes connaissance bonne, par M. Mlllerand, président de la Rémité« dans ie peuple. J'aime le peuple, le bon nous, de ton bord, au relèvement de la patrie I Jean-Pierre Calloc'h. J'avais au collège, parmi des patriotes galloises qu'étaient les de- publique ; le 24 juin 1023, à Lyon, par le peuple de France, profondément, parce que je bretonne. Il serait ofilciel que Mgr Dubourg mes livre de classe quelques ouvrxges bretons, le sais bon au fond, mais quand je songe aussi moiselles Williams, d'Aber-Clydaoh, Talministre actuel dn Travail, à la séance de clô • les oeuvres de Brlaeux, le Bartaz Dreix de la à sa variabilité, à cette légèreté caractéristique est nommé à Rennes. Un atout de p us et un y-bont on-Usk. Nous ne nous doutions ture du 13« congrès n a t i o n a l e la Mutualité ; fort dans notre jeu » (lettre du 30 juin 1900 . Vlllemarqné, Beprtd Brtitad de Luxel et les de notre nation, eh bien! franchement j'hésite de tous les engagements pris antérieurement certes pas, alors, que notre propagande premières poésies de Taldlr : An Hirvoudou, à faire de lui, le maître absolu de sa destinée. Le U avril 19J7, je reçois une missive veà Lille, Valence, Strasbourg, Montluçon, Moucellique dût recevoir de l'une d'elles, à An Deten dlr. C'étaient là des ceuvres prohibées, Bt d'ailleurs toutes ces questions de politique nant de Itergonan en Plouharnel [Morbihan), Quimperlé, vingt-trois ans plus tard, le lins, etc., et par les différents ministres du I Sainte-Anne d'Auray, car 11 était défendu, française deviennent à mes yeux d'une petitesse u Goaret a peus, moarfat. e omb bat lakeet, tri précieux encouragement que nous rece- Travail, le pj.sldent et le rapporteur de la d'avoir en sa possession, des livres ne portant mlz-so, er mez deus hon K oerdl e Gwened- » inimaginable, quand il s'agit de notre Breiz commi9slon des assurances sociales; MM. Jourpas le « Nihlt Obstat s du Supé leur. Je me aimée : Doue rag holl, mes Breiz warlee'h : et Le gouvernement de Combes, venait en effet, vons aujourd'hui et qui tranche sur l'in- dain, Daniel Vincent, Peyronnet ; le rapporrappelle qne pour avoir enfreint cette défense e'est nne véritable Joie pour mol que de peuser de faire chasser, par les gendarmes, da leur différence hélas I trop commune de nos teur du projet de loi sur les assurances so— nn surveillant découvrit un jour, dans le demeure, les clercs du Grand S minaire de oompatriotos pour les choses de la Bre- ciales ; se refuse à croire que tous ces engaque sur ce point tu es en pleine communion eaaler de Calloc'h, les Orientale* de Victor Vannes, et l'ancienne abbaye bénédictine de tagne. d'idées avec ton vieux Jean-Pierre (lette du gements et déclarations, aujourd'hui méconHago — mon ami fut puni d'un pain sec et 30 avril 1906). Kergonan, leur donnait asi e. Au lendemain de nus par leurs auteurs mêmes, ne soient plus Cette indillérence des meilleurs Bretons d'an Joar de retenue après la distribution des l'inveutaire de la chapelle du Séminaire, CalAu cours des grandes vacances de 1905, lors met les plus déterminés propagandistes que des chiffons de papier. prix. Malgré le règlement, Je communiquai ces loc'h, encore sous le c.iup de l'indignation dont d'un voyage à Lo> lent, il achà e le Bartaz Taldir La Fédération mutualiste du travail deœuvres bretonnes A Jean Pierre, et dès la predéoordalt son cœur, au souvenir du saciilège dans l'impossibilité de publier par ce de Jaffrennou : « J'ai lu ce livre, m'ecrit-ll, et mande donc instamment au gouvernement, à mière lecture, 11 s'enthousiasma pour U langue commis, écrivit une magnifique poésie que temps de papier très cher, les œuvres la commission j'en al é é chaimé. Il y a là dedans, les banades assurances sociales et au de ses pires. J'ai sous les yeux. qu'on leur réclame de tout côté, sans Parlement de revenir sur leur décision et de lités de la littérature irançaise — qui oct le Elle est dédiée au « Grand Outragé » et Les premières années de ce siècle virent le leur donner les moyens matériels d'y tenir les promesses faites précédemment au mérite d'êtsejtral ées en langue bretonne. — commence par cette strophe : réveil dn sentiment breton qui a continué à se subvenir. L.'B. Cest le petit nombre. Le reste du livre est pays et que l'ensemble des travailleurs attend, manifester, dans l'ordre Intellectuel social et essentiellement celtique pour le fond et la avec une impatience qui pourrait devenir danC'est fait I Ils ont souillé ton seuil de leur présence, éoonomlqne sous l'énergique impulsion des forme. C'est la partie Intéressante de l'ouvrage. B u h e z - B r e l z . — (Somviaire de février 1 $S4) gereuse, la solution sans cesse retardée ». Le képi sur la tête et le fusil au poing, VaVie, Loth, JaSrennou, Le Berre, Herrleu, J'ai In aussi avec beaucoup d'intérêt les deux — Breiz dilezot : lioè Bro Erechi Maronad Nous ne voulons pas ajouter un mot à l'orIls ont vaincu, puis insulté notre impuissance, Mellac, l'abbé Le Bayon, Cholean et d'autres préraees d'en-téte. Celle de Le Gofllc me piail Kouimik Arvor ; Taldlr ; La langue nationale dre du jour si énergique adopté par la FédéLe eiel était trop haut et les chouans trop loin. qui ont en nne Influence Indéniable snr la forau Pays de Galles ; Tywl Jones ; Sousoriptlon davantage, elle a paru dans la < Quinzaine ». ration mutualiste du travail. Nous en reparJLfoa P A X 1 UJt mation bretonne de Calloo'h, do même quelpour le monument Calloo'h ; KouBb va c'haLes traductions en vers frangals, sauf une ou lerons. . Docteur en Médecine, ques professeurs dn Petit Séminaire de SainteJoseph PELLE, lon, Al Lay ; L'Art Celtique (suite) J. Bouilli ; deux, sont assez... h u m l . . . h u m ! . . . (Lettre (A Suivre) Anne d'Auray, parmi lesquels je citerai l'abbé du 20 août 1903). Un dernier mot à Mêven Mordiern, J. Loth / Président de l'Union Mutualiste Le Maréchal qui, sous le nom d'emprunt de La Reine Anne (suite) : Le Quyader; Bllzig du Finistère (à Brest) A ta Un de Juillet 1905, après avoir obtenu le « Blel Lann Vans » venait d'éorlre < Konsk (Kendalo'h) : Fanch al Lay ; Une oellule de dlplOme de bachelier ès-lettres, nous quittâmes P a g e B r e t o n n e Broi» l$*l» que nous chantions en chœur penl'organisme breton (suite) Ch. Le Goflic ; Les le petlt-sêmlnalre de Sainte Anne-d'Auray, où dant nos promenades. L'exemple étant contaéorivaiuR bretons du Pays de Vannes (M. La première assemblée semestrielle de 1924 nous avions vécu des jours heureux sous gieux, J'adressai, pendant les vaettnces de NOury) P. O. ; La Bretagne vue par un gallois des présidents et des délégués des sociétés de l'égide de maîtres aussi savants que dévoués. Pttques 1903, d Calloc'h, qui séjournait à Qrolx, (suite) : i)' Diverrès i Chronique, bibliographie secours-mutuel, de retraites et d'entr'aide, quelques mauvais vers bretons, les premiers Jesn-Plerro, désirait entrer au grand-sémi* (Rin ich Gros) ; biihoat inwllet Dlreolion : P. Mocaà'r, 17, rue de Breit, Lan- affiliées ft l'Union Mutualiste du Finistère, nairo de Vannes ; J'avais l'Intention de ms que J'ai écrits. U me répondit : « Ta bouquines derneau. aura lieu le dimanche 9 mars, à 9 heures du roudre à hennés nour y commencer des études le breton. Je voudrais aussi pouvoir le faire, Msr itoulennaa dlaltuia • peu dó ici ksihel matin, & la salle de la Mutualité, & Brest. Annéo, i2 fr. ; Etranger, 20 francs. de médecine. Mais a ant de nous béparer» mais Je n'ai pss de livres de Cornouallies; J'ai Hou péet truhft éotitin Ordre dn jour : 1' Lecture du procès-verbal nous Jurtaies, au pied de lu statne de la paMai da dV|B ha k o u e h t l n b latdd er pitied <té I Lorient Jeudi dernier. Dans mes pérégride ta 2« assemblée générale de 1923 ; 2- exposé tronne de In Bretagne, d'être fidèles à cette amitié Hou p<ot trubô douctn nations laborieuses k la devantnre des libraires, de la situation morale et financière ; S* rapD'UN " « L E DE fiUERRE" * BOTREL J'ai fini par découvrir le • Bartaz Taldlr * de née an eotlège. Nous tînmes p.irole, En quelque Mai goanna ma halon h a mar kollaa me netb port de la commission de contrôle ; 4* compte lien que le destin nous conduisit, l'oubli ne se JaSTennou avec la traduction en vers français, Hou p4et iruhé d e h r l a rendu de l'assemblée générale de la Fédéradressa Jamais entre nous. Calloc'h m'adressa Noire ami Théodore Botrel donnait l'autre écossais, anglais, ete... que sais-Je mol ! Je ne Mar k a r a s r i galet mont beprtd ar Hou lerb fréquemment des lettres chaque fois que les soir une •• T elllée bretonne" i Lille. Le s accès tion ; 5' désignation du lieu de l'assemblée Hou póet trulli dlQeia. l'ai paa acheté, mais je ms le procurerai tût ou en fut considérable Bn plus des " Etudiants générale d'octobre ; 6' renouvellement du tiers tard. I l tu vas I Lorient, ses vacances-ci, tu le circonstances nous éloignèrent l'un de l'antre. Mar da d'eia ba dicati plgneln ar ma b a l r a r Il me faisait part de ses Joies, de ses trisbretons " des Facultés catholiques qui firent au sortant des membres du Bureau ; 7- modifitrouveras A la librairie de l'Arsenal... s (Lettre Hou p4et trutil dohein cations aux articles 9, 14, 22 et 23 des statuts ; tesses, de ses ponsées, de ses désirs. C'est en barde errant une belle ovation, un Jeune aveudn M avril 1903). Mai da d e l à Inéanti peur em veubeln en s r t a r 8* nomination des membres de la commission puisant danB ces souvenirs que J'apporte ma gle de guerre flamand — qui villégiatura, Hou piet Iruhé dohein Bn lvM, année de notre rhétorique, nous contribution à l'histoire de sa vie si brève et de contrôle ; 9- affaires diverses. l'an derniers, mu Pays des Monlins — euf la découvrîmes un condisciple qui partageait nos pourtant si admirable, toute remplie par Etant donné l'Importance de l'ordre du jour» Mar da d'eia ba raie ma malloh d'eia feulante délicate et touchantt psnsie d'envoyer à Botrel sentiments à l'égard dn breton. Il devint incon- l'amour de Dieu et de son pays. On ne saurait Hou piei truhò dohein les société sont Instamment priées de se faire • les émouvantes strophes que Voici ; Mar da d'ein, o mem Doua, nahein Hou taxante tinent notre ami. C'était Joseph Larboulette, représenter. mieux comparer, comme l'a fait Léon Le Berre, Hou piet truhé dohein ! Ah I si les ajoncs d'oi en désertaient las pentes, de Pleuhlnee, aujourd hul prêtre dans le diocèse Pour le Bureau : l'fime de Calloc'h qu'à « un monaetirc, à une Bleimor (J.-P, CALI.OCH.) Si l'on n'r voiait plu» de Vannes, et .qui illustre la littérature breLe Secrétaire ginéralt de ce» lauru celtique» dont le» disciples de A travers Ua genêts, lea capricleuaaa sentea TRADUCTION tonne sous le pseudonyme de Job an Drout , Kalm KHI et d'illud parsemèrent nos eûtes », de 3. PIRIQU. lit les chemln.4 courir eatre de MauU u l u s I Yor. Tous trois, nous résotftmes d'étudier la ces moustlers s'élevaient, chaque jour, la prière vieille langue maternelle. Je réussis à me pro- et le chant. Je n'ai pu découvrir, dans ses SI ta flot Itumoyant na contait pin« sa peine A la brisa de tner, enrer la êrammairt bretonne de l'abbé Hingant Soua dialecte da Croix : inédit lettres, nn seul mot de révolte contre le ProOu si U vent d'Ouest, retenant son haleine, et loe Leaique» fmnçalt breton et breton franSi je demande repeser lorsqu'il est nécessaire vidence, même aux Jours les pins mauvais qu'il Ne refilait plus u voix A ce troublant concert 1 i fois de Le Gonidee. Calloo'h découvrit la Oramtraversa, et ils furent nombreux. Il se soumet marchir — Avez pille de mol — S ii vlen,t A mafce bretonne dn di ileete de Vannes, par lee avee résignation aux épreuves qne le Maître lui moi (me) salir dans la vas s du péehi — Aysz 81 U source qui rive an flafic de lajcnontsgin 0ëjtf t de remonté d« Guingamp» — nfehée OnlUevlc et Le OoC. Ge furent nos pro- «ntole et M oeese dé rfpéter t S* t a r i u a i t un jour, pttté (te mot. Le 12 mars, à 8 heures, prêè It gkre de Roa« fits» MAM. mit O futt dfcutro «rue nOat S'il ne restait plus rteo de l'sntiqua B « u » o « „ porden, le dépôt acb^ttra t jkdjftlrtonf et que nous vQellons imiter, .Le U j R i t i tra«a jreit Heu Irvul sbeh(Fift-tt-Ginm*) 8 « m ftmbw '*ct>*!> d 4« »on Bot» i ' A m w 1 Si faiblit mon c«wr et i< je perds ma force 8b j j g é r c contient un Supplément HISTOIRE DU ' NE AMITIÉ Chronique Mutualiste Hou péet truhê dohein Ayez pitié de moi Chronique Régionale i ' l n nombre limité, dea chevaux de selle de 4 ans, particulièrement qualQes (dragons, légères, artilleurs tète, artilleurs selle, cob- artUleurs) ; S- Des olievaux d'Attelage de 4 à 8 an«, trait léger ; taille 1 .n. 62 à 1 m. 00 ; poids moyen 900 kilos. 3- I n nombre limité, des chevaux d'attelage d e 4 f e 8 « n i , t r a i t moyen: taille t m. 54 à 1 m. 5 poids moyen 575 kilos. — Trait lourd, taille 1 m. 54 & 1 m. 64 ; poids moyen 6 » kilos. Chevaux hongres et juments nés en 1916, 1917,1918,1919,1980. A s s e m b l é e G é n é r a l e du g r o u p e d a s C a i s s e s R u r a l e s et Ouvrières du Finistère et de l a Caisse Centrale d e C r é d i t . — Le nombre des délégués des Caisses Rurales du Groupe du Finistère réunis ft Landerneau pour l'Assemblée Générale annuelle a montré que l'oeuvre est bien vivante La réunion était présidée par Monsieur Le Vicaire Général Cogneau. Président du Groupe. Bien des ehoses Intéressantes ont été dites, appel a été (kit & chacun pour la propagante ; elle a été peu active en 1923 où l'on s'est Burtout consacré & la fondation de la Caisse Centrale. Cependant 5 caisses nouvelles ont été créées: A Esquivlen, à Henvle, & Landévarzeo, A Trénécc et a Combrlt. Ou rapport de l'Inspecteur nous avons reten u les chiffres suivants : caisses inspectées, 14 ; total des mouvements de fonds ; 2.600.000 (dont 666.000 pour Gulpavas, 667.000 pour Briec 096.000 qour Kerfeuteun) total 1.165,000 francs, total des passifs, 1.130,000 Ces chiffres mettent en évidence l'importance des affaires traitées par les caisses rurales et l'étendue des services qu'elles rendent. Us montrent également que les communes qui n'ont pas de Caisse Rurale se privent d'une organisation qui est de la plus grande utilité Ils s e peuvent done que les Inciter à en fon. der. L'utilité de la caisse rurale est Incontestable. Pour ses emprunts elle encourage l'épargne et la détourne de certains placements dont le moins qu'on puisse dire est qu'ils sont hasardeux ; par ses prêts, elle facilite l'occasion & la propriété, le perfectionnement des exploita tlons et aide le pdlt artisan aussi bien que le gros propriétaire enfin, elle donne aux prêteurs et aux emprunteurs le maximum de garantie. L'assemblée générale du groupe a été suivie de celle de la Caisse Centrale de Crédit du Finistère. Celle-ci est très Jeune, en pratique, •lie n'a que quelques mois d'existence, mais les Caisses Rurales ayant compris de suite combien elle leur est utile, elle a eu des débuts qui assurent son succès pour l'avenir. Son mouvement de fonds a été de 700.000 fr. •Joutons qu'au 16 février le mouvement pour 1924 a atteint en un mois et demi : 400.000 fr. L'ensemble des ces résultats permet de juger ce que l'on peut attendre du Crédit Mutuel organisé, d'après ces principes de Caisses Rurales. Souhaitons au groupe du Finistère de poursuivre sa tAche et de savoir d'attirer des dévouements nouveaux amenant des fondations nouvelles, car l'avenir moral et économique de la France repose snr le développement de l'esprit d'association et snr celui des ouvres sociales. Il n'est pas exagéré de dire que les (laisses Rurales sont au premier rang de celleel. m i * * * * * * * * * * * * * * v o y s z le B e a u C h o i x • t les P r i x d e la - BIJOUTERIE- LANGRÉE M P ï ï R L É Rflontres-Chronomàtres de Précision UP - LO\GL\F,S OMÉGA. * UNIC P O P — ZfiNlTH R É V E I L S : 15 Fr. OâPilloni Wesmlnster : 350 Fr. BIJOUTERIE ITiar — O r i s i t — • • • • • HAUTES NOUVEAUTÉS A. LE DEROUT Tailleur pour Ville I Campagne Q U I M P E R L É (Mm Le Rocb) A V I S , — L'Administration des chemins de fer de l'Etat a l'honneur de rappeler an public que|l'art. 71 du décret du 11 Novembre 1917 in terdit notamment d'entrer dans les voitures sans avoir pris u a billet, ainsi que d'occuper une place d'une classe supérieure & celle à laquelle le billet donne droit ou d'effectuer un parcours supérieur à celui que comporte ce billet, sans avoir préablement payé le suplément. L'inobservation de ces prescriptions formelles ayant donné lieu à des plaintes nombreuses, M. les voyageurs sont informé que toute infraction constatée donnera lieu à un procès verbal et fera l'objet de poursuites correctionnelles. Qulmperlé Rue des Kooles, 6 I D R A P E R I E S foire« dm 1« Semaine Lundi 10 mars 19»4. — Landudec, P l u m e r got, Pont-Scorff. Mardi 11. — La Feulllée, Plabenneo, P o n t Aven, P uvigner. Mercredi 1t. - Cbftte.aulin, Landivisiau, Molgvtm, Plougouven, Scaôr, Bubry. Jeudi 1t. — Carhaix, Ouipavas, Hanveo, Moélan, Pieyber-Ghrist, Pionéour-Lanvern, Langoélan. Samedi 13. — L&nderneau, Le Faou, Morlaix, Quimper, Insinzao. un B I J O U une M O N T R E U Nous noua permettrons de faire remarquer que durant et après la guerre, l'Union Agricole et t plutieurt fois revenue sur cette question du reboisement en Bretagne, par le pin sylvestre, maritime, ou Douglas, selon les conditions des lieux, en vue, non pas de fournir l'Angleterre de poteaux de mines, mais pour alimenter des usines de papier, autres que le papier à ciga rette, et s'affranchir ainsi de l exportation étrangère des pûtes. Depuis six ans, Montagnes Noires, Monts d'Arrêt, dtnes de toute sorte, eussent fourni un contingent sérieux qui per mettrait aux propriétaires de journaux de souffler, un peu sur la durs route qui partit de 30 fr. les cent kilos de papier journal pour arriver à 1S0 fr... D'autre part, si les bureaux nous avaient permis, en supprimant des formalités, en donnant à des projets d'électrification, la réalité des encouragements prodigués du haut de la Tribune, la région de Quimperli aurait, vu ses besoins en charbons, pétroles essences, etc., diminuer de sérieuses façons / Que d autres régions eussent subi le même sort l On ne verrait pas la livre anglaise à t06 fr. 50 / . N o t a r i a t . — L'examen des candidats notaires du département du Finistère, aura lieu & Quimper, au siège de la Chambre des notai res de cet arrondissement, rue Toni-al Laér n* 6 le Jeudi 3 Avril 1024, à neuf heures du matin. Les candidats devront faire parvenir leur dossier à Monsieur le Président de la Chimbre des notaires de l'arrondissement de Quimper* le dimanche 30 Mars 1034 au plus tard. Avant d'acheter Q grand profit pour notre cabotage, en lui don nant des frets d'aller avec assurance de frets de retour en charbon. Or, si l'on exploite tous les bols de pins, qui auront bientôt disparu, on ne se préoccupe pas de resemer ou replanter, Il y aura donc, sans tarder, un arrêt forcé des exportations et un manque de fret qnl pèsera sur notre armement U Importe de remarquer, en plus, que tous les pins s'embarquent comme poteaux de mines, alors que les plus gros se débitaient au* trefois en planches de couvertures ou planches de caisses pour l'emballage des boîtes de oon serves alimentaires, d'où l'obligation de faire venir ces bois de très loin, et augmentation du prix de revient. La Chambre, Justement préoccupée de cette situation, grosse de conséquences, Emet le vcqu : Que M. Le ministre du Commerce s'enteade avec son collègue de l'Agriculture pour parer à ce danger et trouver les moyens les plus propres à obtenir le reboisement en plus mari times des terrains impropres à d'autres cultures, et qui deviendraient par là une source de richesse pour notre département. ZLfEixrat R e b o i s e m e n t . — Au cours de sa dernière réunion, la Chambre de commerce, de Qnimper, sous la présidence de M. Emanuel Delàeluse, assisté de MM. Alavolne, Le Page, Canet, Sériera, Bonduelle, Habrlal, Moysan et Rivière, a pris la délibération suivante : An nombre des moyens proposés pour le relèvement du franc figure avec raison l'intensification des exportations dans les pays & change élevé. Cest en se procurant de la sorte des de» visas étrangères que l'on ramènera notre monale à sa vraie valeur. U Importe donc de veiller à ce que les arttfiles faisant l'objet de nos exportations, non seulement ne viennent pas à manquer, mais croissent chaque jour en nombre. U se fait actuellement dans nos ports bretons des expéditions considérables de poteaux de gUaes pour l'Angleterre. Ces expéditions, en f l u qu'elles faVeriieat le commerce, sont d'un Conaeil Munioipal. — Dimanohe matin. à » h. 30. le Conseil s'est réuni sous la présidence de M. Le Louédec, maire. Etalent présents : MM Tanguy. B. Legrand, Honoré, Génot, Peyron, Bernard, Quyader. P. Le Grand, Le Gall, Morren, Tamio, Keraudren. M. Bernard est désigné comme secrétaire de séance. - Caisse d'Epargne. — Les comptes de la Caisse d'Epargne, pour l'année 1923, ayant été approuvés par le Conseil des Directeurs, le Conseil ratifie, — Les pouvoirs de MM. Prosper Le Mao, Le Bourhls, Tanguy, Texier «t Morsau sont renouvelés. — M. Coatval remplacera M, Bossé, démissionoalre. — M. 0 . Legrand, conseiller municipal, est appelé, en cette qualité, à remplacer M. Jean Peyron, également démissionnaire. Hospiee et Bureau de Bienfaisance. — Le Conseil approuve certains crédits complémentaires votés par les Commissions administratives. Achat de terrain. — Après avis de la Commission des Travaux, le Conseil décide de céder, ti M. Le Thœuff, propriétaire au Licbern, un terrain en bordure de la route. Le prix en est fixé à 2 fr. M le métré carré. Crédits complémentaire». — Le maire demande au Conseil, de vouloir bien approuver, pour couvrir oertains crédits dépassés, le vote d'une somme de 41.180 franos Cette somme, dit-Il, est couverte par dos disponibilités de trésorerie. Le Conseil approuve. Expropriation des Urtulines. — Cette expropriation devant entraîner divers frais, le Maire demande 1'ouverlure d'un crédit de 1.000 francs. Adopté. Demande Ansquer. —Mme Ansquer, femme de servioe è l'école des filles, fait savoir au Conseil, qu'ayant été alitée pendant un mois, son service a été assuré par une autre personne qu'elle a payée. Elle demande dono que Bon traitement lui soit maintenu, pendant cette pqrte « t tempe, Le ftmjivil lai a e w r d » «»tfof»'otWn, i Compteurs d'eau — D'-ccori &vec i* Gom mission dtis Kinancei-, l'Ansembl-'-e d' Oidi nue les recettes provonaat d« lu vente dm co ^pteurs d'eau sera imputée s u r l'article M du budget 1V23, (travaux remboursable^. Cette reoette aura sa contre-partie en dépense à l'artlole 83 du budget. Quant à la dépense relative aux divers accessoires et aux appareils d'essais, qui s'élève & 823 fr 40. elle sera imputée sur l'article S4 du budget (servioe d'entretien). Honoraires. Après avis de la Commission des Finances, le Conseil approuve le paiement des honoraires de M' Bot, avoué, s'élevant & la somm • da 650 francsBordereau Q. — Le Conseil élève de 100 francs à 200 fraqos, le traitement du préposé en chef deTootroi pour i'ótabUsseme it de ce bordereau. Déplacement. — M. Courrier, conducteur des travaux de la ville, »'étant rendu & Paris pour étudier la question des compteurs Aster, le Conseil lui alloué une sómma de 100 francs pour dépenses diverses. Cette somme sera prise s u r l'article 33, du budget (service des eaux). Pupilles de la Nation. — Le Maire donne lecture d'une lettre de M. Driart, demandant à ce que l'indemnité acoordee aux Puollles de la Nation, soit portée de 800 francs à 1200 francs. La Commission des Qnaaces ayant donn* un avis défavorable, (le Conseil maintient la subvention d" fl!)0 francs. Sapeurs-pompiers. — L'assemblée vo^a le oredii necessaire a l'acHai d'une tenue pour le oa.'ltaine de <a Cie des Sapeurs-Pompiers. Non-valeur. — Le Conseil admet en nonv a h u une somme -le 123 franos, pour prestations, jugée irrécouvrable. Haras. — Mme veuve Guillou, propriétaire de la station des H<ras, demande te maintien d'une indemnité complémentaire de 200 francs. Approuvé Entretien des villes et villages. — P a r suite de t établissement du nouveau pian de la ville, le Maire demande à ce qu'une somme de 9000 franc* seit votée pour diverses dépenses. Le Conseil donne un avis favorable. Radiophonie. — Le M*Ire donae lecture d'une lettre d'ua Directeur d u a» Société de radiophonie, demandant à ce que 1- Conseil muni* Cipal vote une somme de 2 300 francs pour l'installation d'un appareil à la Mairi*. La Commission dos Finances, ayant rejeté, le conseil suit son t-xemplo, se basant s u r ce que cet appareil n'est d aucune utilité (appareil transformant des radiations thermiques ou lumineuses en énergie méoaaique ou sonore). Indemnité de logement. — L'indemnité de logement legiemauuiro est Hooordde à M. Calvez instituteur. Cantines Scolaires. — Le Conseil décide que deux f u n nos de pius seront affeotéaa au service des caatln-H- l u ecoles. Demande d augmentation de traitement.— Les femmes de servioo des BOOIMS voionl leur traitemeut mensuel por.') de 150 fr. à <00 f anos. Salle de théâtre — M Houorr! «lemandn à Itisialier une saiWi de tii-à-.re à Quimpurié, mais à une conoliiion o'col que a vi>ie lui acoo-de une subventioa anuuetl« da fi :.00 fr. pendant 15 ans. La Commission des finances a do.tné un avis favorable de principe, Quimperie manquant de salle confortable pour les troupes de passags. Après lecture par le Maire, des conditions de M. Honoré, M. Peyron fait observer que dans le traité à passer, il y a quelque chose qui lui semble un peu anormal, en ce sens que la Ville, votant une subvention doit pas« s e r i a p r e m i è r e ' e t que M. Hoaoré ne devra pas donner la priorité & une troupe de passa** si la Ville, le même Jour, avait besoin de la salle. Il serait juste de mettre dans les clauses que le propriétaire, lorsqu'une troupe devra passer, sera dans l'obligation de d mander au maire, s'il peut disposer de la salle ce jour-là. M. le Maire. — C'est une convention à laquelle M. Honoré se conformera, sans aucun doute. M. P. Le Grand. — Je demande le renvoi de oeite affaire aux commissions compétentes. M. Peyron. — Sans nous opposer a ia proposition de M. Honoré, qui ne peut que donner satisfaction & la population, 11 serait bon qu'il fournisse des plans et devis qui seraient soumis à la Commission des Travaux qui les eiudieraient, puis ia Commission des Finances statuerait sur l'indemnité demandée par M. Honoré, que je reconnais être très raisonnable. M Ke'audren. — On n« peut pas engager une somme sans garantie, m u s croyei vous, Monsieur le Maire, que les finances de la Ville puissent faire fac* à cette dépense T M. Liot noas disait encore hier : • Pas de dépenses nouvelles pour cette année •. AI. Peyron. — I-:t-ce que en encaissent les reoettee, nous ne pourrions pas rentrer dans nos fonds T M. Houoré demande 6.000 francs, Il est à presumer que si les entrées aoua restent, la Ville n'aura guère de frais. M le Maire. — C'est une affaire comprise en CE sens. Du reste, M. Honoré nous démontre, dans sa demande, les frais énormes supportés par la Ville, toutes les fois qu'il y a une séance aux Halle*. M. Keraudren. — Ce n'est pas lui qui peut nous démontrer cela. Après cette discussion, à laquelle quelques autres conseillers ont présenté certaines observations, le Conseil adoste en principe la proposition Honoré mais renvoie l'affaire à la Commission des Travaux pour étudier tes plans «t devis. L'ardre du Joar étant épuisé, M. P. Le Grand demande qu'une démarche soit faite auprès de l'Administration dea Postes pour hâter lea travaux actuellement en cours à l'effet d a nouveau service télégraphique souterrain. U demande également au Mairw de prendre un arrêté interdisant le passage de la rue Isole aux automobilistes. M. CWnot, au nom de l'Pnton Commereiai« et Industrielle, qui, dans sa dernière réunion, a émis le vssu que le oadran de l'église de la Haute-Ville soit éclairé, demande au Maire de faire le nécessaire auprès du Directeur d* l'usine à gas. Le nécessaire se"a fait. M. E. Legrand, demande un meilleur éelairage de la rue Ducoaldio. A ce sujet, le Maire donne des explications au Conseil.qul manifeste & l'unanimité son mécontentement sur l'éoiairage de la Ville. Le Conseil est loin de prendre à partie le Directeur de l'usine de Qulmperlé, qui, raute de personnel, ne peut faire mieux, mais bien la haute Direction, qui ne fait pas le nécessaire pour que le service soit assuré consolenoiousement. M. Bernard fait observer que l'an dernier, & la session de février, il avait été décidé en principe, qu'un crédit serait porté au budget Additionnel pour que les sapeurs-pompiers soient munis d'un complet cuir pour les inoendles M. le Mai'e répond que o^tte dépense e«t inserì te au budget additionnel, si les ressources le permettent. % « n p W r « r o u a d * o t en w t fe qrxwtftm d u V fcctrur, Le M ùrn ni répond que l'adir inistration d^s postes «¡jcore rfp : adn à la lettre qu'il iui » adress a , La séance est ensuite levée et le Consei se îéunit en comité secret. P. B . . . * « * N D. L. R. — V nous semble que le Conseil Municipal délibérant sur la demande de M Ho noré pouirait stipuler que la subvention à lui comentie pour 15 ans. serait suspendue de plein droit, au jour où la Ville s'étant fait construire une Salle de fêtes, au dessus des Halles, ou ailleurs, en recevrait les clefs, tous travaux terminés. Il ne faudrait pas renouveler les imprudences de stipulations consenties jadis, à aes sociétés exploitantes, telle la Société du Qai. qui prolonge des services forcés, au delà, de la période om ce a dits services devaient normalement expirer L.B. I T Prat-Bescond 10, rus Brouzic, QUIMPERLE ont l'honneur d'informer leur clientèle qu'elles viennent de recevoir un G r a n d Choix d e T U s a s , dans l«s dernières Nouveautés, pour la saison, ainsi que les garnitures en galons, boucles, boutons et toute Mercerie fantaisie. Grand assortiment de Costumes, Robes et fants. Manteaux pour En- Lingerie, Layettes. C o r a a g e a et Vareni pour JDamea. C h e m i s e s , Cols, pour Hommes Maison de Confiance fondée en 1902 Horlogerie Bijouterie Exécution de toote Confection sur Mesures L GANDUBERT HOHLOdER Cravatte«, TRAVAIL P R I X SOIGNÉ IV/LOIXÊIW&JS DIPLÔMÉ i-.VURÉ VT DU JU'tY O'ET VI Magasin ouvert tous tes Dimanches QUIMPERLÉ ^ ^ A A A A A A a LE PLUS GRAND CHOIX POUR MARIAGES E »IKILLEI K M \ K < l i f t Dépositaire, des marques de LIP UNIC Principales montres OMÉGA ions ARMES ét MUNITIONS DE - -m CHASSE *r G*rn»t d» mariage. — Le lundi 17 mars, a 10 heures, e s l'égli e paroissiale de Sainte-Cr<'ix. sera béui le mariage de Mlle Anna Coroller, place de Lov gnon, avec M Emile Ravallec de Kertanguy, en Mollac. Les repas seront servis chez M. Landrein, boalevard de la Gare. Tous nos v a u x de bonheur. S m W o « ph*rm«o«afiqa0. — Demain, dimanche, le service pharmaceutique sera assuré par la Pharmacie LE NAOUR. place Cainot. Trévoux Inemmdi» p a r imprudence. — Au Gullly-ar-men le 20 février, le petit domestiqua de Mme Herlédan. Jean-Louis Troadec, U ans se coucha vers 21 heures, dans la grange ser vant d'écurie. Le lit se trouvait à gauche, en entrant dans le bfltlment. contenant de la paille. Jean Louis avait suspendu une lampe tempête A une vieille fourcha non emmanchée, plantée dans le mur à c6té du Ht. S'étant endormi sans avoir éteint, il fut révei'lé par la fumée. La lampe était tombée, le pét-ole s'était répandu et la paille avait pria feu. Effrayé l'enfant ra massa la lampe. la jeta lehor». puis alla au puits tirer un sean d'eau, mais il ne put y par venir, et les Inmmes montaient toujours Affolé 11 réveilla ses patrons, mais l'incendie avait déjà atteint le toit du grenier. On réussit k faire sortir de l'étable 20 bêtes à cornes. Au bout d'une demi heure enviroa, le toit s'est effondré et les 10.000 kilos de foin furent con sumés. Une assur»iice globale an Soleil de 15.000 francs dont 1000 pour le fourrage cou vr« le sinistre s'élevant à 4000 francs. Le hangar appartient & M. Furie, de Beux. Le jeune Troadec subit lui-même un préjudice de 60 fr, envi on. par lu p?rte dVffets d'habillement. P K A U X Taupes Fouines Martres Putois Renards Loutres Lapins G £ S R. de C. Quimnerlé N'$14 I B I B Melgven A.A. K S • sont achttés au plus haut prix par M. HOTTE, 18, rue Savary, Quimperli Abandon d'attelage. — Où es-tu, Joseph, Paotr Meil N^o ? demandait la gendarme, le 27 février, ft 17 h. 45, devant le débit Philippe. Aussitôt Joseph sortit de «s cabaret pour boire l'amère potion du procès-verbal que lui tendait un gendarme, celui ci venait de trouver le véhicule du dit Joseph, abandonné, las roues non enrayées et <• cheval non attaché. Né vez Droits BUT l e ael étranger. — L'éq M^ge du bateau de Néve« qui avait d û acquitter 8.000 fr. de droits» do douane, sur 1« sel embarqué par lui au Portugal, lira avec plaisir cet extrait d'une lettre adressée par M. le Ministre des Pnancies, à M. I n k a n , député du Finistère. M. Inizan avait dès le commercement de d é c e m b r e dernier, appalé l ' a t t e n t i o n d u m i n i s t r e sur cette affaire : « Jai décidé d'autoriser, à titre exceptionnel, le paiement des droits sur la base du tarif minimum (6 fr. par 1000 kg) bien quen droit strict, la taxe applicable soit, depuis la dénonciation de l'accord 'rancovortugais celle qui figure au tarif général 18 fr, les 100 kg Dans ces conditions la tonne de sel étranger reviendrait maximum à 85 (60 + S5 = Sâ fr j prix qui se rapprocherait sensiblement du coût minimum de sels français (90 fr/ J'ajoute que les intéressés devront être informés que cette facilité ne leur sera pas re» nouvelée. et qu ils auront à prendre leurs dispositions avant l'ouverture d« la prochaine campagne de piche, pour constituér des èelt étrangers en entrepôt dans deux ports d'armement ou dans les ports français se trouvant sur la route qu'ils suivent pour se rendre au Maroc. Veuillez agréer etc.., b Ministre le Directeur S'gni : MARGERIE " — " — Alexandre CUZIAT Chirurgien-Dentiste de la Faculté Briê d• clôture. — D'un commun accord, Il avait été convenu entre M. Daëron Louis, maréchal-ferrant, et aes voisins, les époux G que ces derniers céderaient au premier une partie libre de leur maison au lieu de la moitié d'une cave de la dite maison Un procès fut fait par l'huissier. Le 19 février dernier, M. Daëron ayant reçu dn charbon, déposa f.a marchandise dans la par le convenue et où se trouvait le matériel for'In des époux G puis mis un cadenas avec chaîne â la port» d'entrée. L<>. 22 février il trouva à la porte de sa maison d'habitation, cad»*nas et chaîne, Ses soupçourt se portant sur les é . o u x G . . . , 11 il •a dépqpé M « ftairto k la g t n d a r i s t r t ee q a j « ou» • • r i non «D(jutte, de Médecine 31, roi Savary de Paria QUIMPERLI» Consultations t o u s les j o u r s èt QUIMPERLÉ, sauf le MERCREDI à BANNALEC. IMelgven Pas de guides... le 27 février, 115 h., près de Kerancorneo, dans les mains de René, du Goariot, en Iiernével, trannquillement assis au-devant de sa voiture de sable attelée de trois chevaux, dont deux de front. Prooôsveroai A l i Heures, près de Ty Nevea, en Lanirec, avatar, à Louis Gaon, et à Jean Boussard, charretiers de la maison Bondrielle, qui lui n'avait que doux chevaux. Louis s u r s un autre, P. V. pour défaut de plaque d'identité. Seaêr PorBomn» à 2a a a i i t o , — M. Corentin Jainet expéditeur de volailles et oiufs a ex« pedié, durant février et par six fols, de la marchandise à un commerçant d'Auberviliers, pour une somme totale de 1.960 f r . 30. Inquiet du silence gardé *ur ses demandes d* payement M. Jamet, envoya à plusieurs repri-os, son frère, garde republioaia, à la Caserne du Château d'Eau, réclamer aAn argent Mais, la militaire trouva, c h u q i î f f o i s , pt<rte cio.>»e. De plus, il apprit que cnevaux <-t voitures eiaient vendus, les emp oyés enK^Ueaet ics c; «aller» a'Aubervilliers muni* d'autres fournisseurs. Il a porté plainte. •«T FAITES-VOUS E . Bannalee Cheaae a n tuail. — Joseph floaper se moqne des règlements sur la ehasse. Propriétaire à Kerbore'h il ne vint pas au marché de Qulmperlé, le vendredi 21. mais, vers les midi • t demi. 11 ss mit en chasse aux environs de sa „emenre. Le gendarme passant lui demanda S'il était autorisé è détruire pies et eorbeaux. Il répondit que non, mais qu'il allait en demander la permission à M. le Préfet. Hélas, c'était trop tard 1 —n-i-rn-roynwàwin L E 2, HABILLER CHEZ G U E N N O U TAILLEUR plaoe des Oapuolns QUIMPERLÉ BONNE C8DPE i | BONNE QUALITE Mel'leur marché que partout allleura Quimper Congrèa eucharistique. — Dimanche 21 février, s'est terminé le Congrès eucarlstique cantonal. Durant la semaine, Mgr Lnmérasd, protonotaire apostolique a donné I«s instrnstions à St-Mathleu et à la Cathédrale, et à ln salle Jeanne d'Are eurent lieu les s chances d'études. Le jeudi une grande procession d'en* fants des écoles (4175 enfants) et d'un groupe d'enfants de chœur (180), parmi lesquels ceux de Ste-Croix de Qulmperlé, sous la conduit« de M. l'abbé Jaco ot, et des élèves du GrandSéminaire fut le cent r * d'une pieuse attraction* Le Dim; nche après vêpres, rouvelle procès» sion, avec cette fois le concours des grottpes de Jeunesses Catholiques et des cliques de noa patronages. On remarquait lea clairons dea I JbrçleB* aux ordres de H- i'abbé JLf Roux Snr U parcours, 1« Parc, le quml 4a SttTr, le« n u , s !» t* t r V «i 6 p 1 r f ® ®~ » » w o| |D: : CTI-S • < 5 S i . C 5*8 c P ©.© 5 C D g « »J.X2 CD- >T © a p- P p. o n ©o D fty r» I g ® 1i ^ ®£ S S'I® : " ££ c! • 2 ®"E p < • t* O ( r * 5 50 ' |PwO? § î O p eu,. ' •8 ' S Crî a D p 03 M2 »-•Do B2§ «® s® ? — at -ES* > ' CTf, „3 «? 1P ' : a » ri > XJ <5 rr o p _ £ a r ®'e" B p »—« » C3 / o JTCL m p Vp O ' VI "O -I a c a m ni "rj e <1 _ 2 «Î « w, o "î ° ¡r p-»> rt » K-i 2 c? î •g, O g - g n\ " D <i | g B £ S' » a « o S »-g - a M « r* r* a"« K S- » m S g <> t « T- o cn®' P " ti, n> î O (t (5 . W. RT FT Q, U3 • w a _ c î n Os 'S* -•s» s« ~ ri ^M a M iêo c 'g 2 •M 3 03 . ^ C ? tu w MS-® s n Ô" & ®.S"<> p p 5 Ï ®P . 2CO. S 1 ; ifl M gag® P rtf» P -p W 2: ® S » Cr p ® P Oc •" -î « ® © r» © . co « p ® c® © « S ^ © ® 3? « U M © © M P O • CD 2 W P r» P et) W} O d3BB C O c ® 73 O © ' 3 C O os P o S 3 o 3 © | s - © g a o r< c OX ' • a ta P . ® ^ » p o ""g Ci N c •• S. » S ' » © P O CD C3 / CD D. oc = CD M » GO 63 o» SET® 2. s- s ® Q 03 P. (t i - x a m1 I CD P CD CD Ci •o P t r o ° > O Û 3 C " ïS "a¡J 2. P — « B a n î O I w —n o <—i ? § Ei » M o „ , ce 3 «D»ce C P O ® g g | A ? ||13 aS'pc ° T"â &^ M © w 3 p -i i C" N "n « » ® P œ I c «— M- 3 p 1 —• P x CD. î S S ° © © p -p « M p 3 53 ® » S . - P c 7 3J O^ ' -I «S• g«. S S t/i3 ^I MI ui 3Q S.S 3 ! »o co 5 © I» I r»- P) cr ® p •r1« P OC P CD n _. OJ agn- e « p o © g Si P î " ' •î p. '® ° g"' P Q> 2. CD' p en : 3p « ®P c* •— en P • ©> ^ : rr tt p' ~ ». ST P^ 2. ^ © ** P C/3 • p -P T3 SJQ X T PP O S- CL 3 p* ©: C P © px K5 • O ©. P en © 2 CL p G O î 1 ft B 2.» © en c/3 OOQ ; P en © P» P © © ' i s f g ît3 o Î T en - , _ P a o. « o* a> rr. £ 3 §8 a. o. © o c x s = 3 a P. P P O — Si P ft P q.u ta ^ © Ô' C.C © s: 2. o 2 c - 3 o 2. — p*. λ P ;6 T o o j a j i » CD O D ^2© S • 3 ©Dïp-~> p. cr P P , p 2. © ' © t . CL K. B g S'6 © ® 5.3 e fcr v» CD m O ^p •M t? 3 S CL 53 C • © a> ÎriTi r* CL rri © © en p. (4 ^ © » B P Uï ©3 >-i -p » © — S.C © B & 2. ®- V N ©p o g ©• O " CL A A © e» 3 a» © i g o * jr B -© S fmt arrw> •p T3 î g, P g o ' P » a» « S a 2. : sr g j « ^ - g 2 m — p<o p p ^ CL — P q- rs T3 s§ » •o O P -« C » C« ~ -î B* P W. S' B ' o » 3 ¿r P « o S! O.M «a •3 p si tî w f » i t g 2. «» " ^ n p S. 2? C B S - ff&l ©L a0»r 2®rB g erro P g p » » B 2 -i j "P î ©r* î " B ®> S* ® « CX CiS. P' (B M» •-) •. g ® p B g5 « i-t- BP M 0 p r M „4 _ „ -ï © A § o® < £L v> B © P . M W> a © O i t © © «M S » ° g* o " " « f* •6 « p P 1 ^ « ** fi p ©. P* B rt»^ •î » B Î2 2 «T S g,* ^ w 2 ® © , a o -3 p p fl rr B Si' ® jy o Ç-tJ S M 2 © U-i; n> W B gK* »/» » -î g .< iï O'r» M CJ * p O rt ~ O ^ Mi p a i H £ • ^ CL g. - J 5 B •a a a é. 0 1 a ^ ® u a a » r* M W3® © « P. ® • © w^ S c » o T ^ CL 1 « Q o O _ P m ® " l O * s i ® B ET O P P C /i î © 5. M g S 3 • To 3 —B . i l « rt- 1 • 8 SI CD 3 en —• 2 ©< Ci CD-p Ci < K) © N » Js« • -I O o p j? S © c: o •i p a © •d t ' o p •î 3 Si M fU H N4 «r w S •5* p CT5 •> © H «Î r o i CO 0 ta ce 0 C > t o. ts HD N C rc> C/J « rr M» D t> £ C es O 1 * (t T P' P CJ5 cri" © «« s* H* I CD CD « • S' P t i î ï s S" ° e . îCiD-wP»D-? ST. « a .«•s. a n 1 © =~ o o h f>-, g ® s O o. B£= o 0 p fl ô _ G P ^ CD' "O "P _ ^ T CL CD» ClCD • ' «i » =• P • "" 1 n ^ ? P M " t t m• .S 1 en — P p 0 5 (î B "> 7= P as P e. p p p s To <t C - » « « P C- CL ® p 5* i-* 2® E2. IP p T 2. P ~ cc © ® r> ® £ - W O CD ^ M CL CO O P . a o n JÇ <u © ©c p r> ©* - S£. O " I" 2 cï . _ l - g " z: xi o cl^s a c c s ^ 2 p O> ta CL O P as • EL A CO Î î CD « CD & n a c '» a g" S ® r, ^: p p i CD 2 P »• '(5 Pi- 7S ° p o p- X • p rO- CD I o o p •a o » P o £ l 5 Q- o ^ P S - P » i1 ©. p ® P ~ o -o © • c «fûrç p 3.« o o CL « ? 1 R g ^ 22.! s 2-T3 g" : i 5T „» ÏT o * • I © D© C 2. ' g « ^ : _ c rr P 2 i • ® © p OQ S" P S-Kt» •o • 0 r ® c JT P C- Ki © S. ^ tk 3 t a o r- S- ©2 p3 ' © "J t^ o 3• e. S 48 'p © ÏT a ' o- a cj a [w U. C s 5 O (t) »»• g* i» S - Cw ^ '-r • a >• P P P ® D s ï S s L'tCL ©—© C X© ^ Î •"> C~ rr s- S fr ^ ®-© 2 ^ TQ C 3 S CD ÔQ Œ + " 7 More a ? » s a o eus p 3 ® » fcJ CD œ -p cts p p o "t P o? P M CD C ! tr CD rr ^ ' o H» ^ T 2 B P P CD P 1 c-• 3 c 2 -a ^ "j -, y, CL rj r i P «S P CD ' >- 'î a ^ ® o O C S. « . - " O p: P - r i cx> P Q- s:n> — ^ r S 5 o H î P a O CD C3 / «t co CT. | • E. P « © T3© p P w 2! « îs. o s fT« K s- • M W B sert> B r* tfl Û<i 3 • S B n (A « frE ^ C » S " S« B » n. — s» s et « 2 H v> -> O C S« 3 a gtfS B » t 5 "o * 0 P Tw S2. — m« 5n » o § B B XJ T3 2 • n a 2 ® r+ g. « 3n n 1 (D i ce £ M CD "P et P P o o ^ £. m. 3. o c a n o S S . «I © a P h- ^ --1- C CD- a crq p». S? ÏT i • •• 1 (O r* n v. 73 tr o _ P P P P TQ et, o >3 « c CD' tr ÇD CD C z: r: • » Î CD G G a 2. p 2. B p. 5 P CD 88 p T? S- " O «6.5 a 2. ® P p s* sr w c C D © ®3 ®Z 5 ^ P © "S « C o. M c"© fcr O © — «î p s .g CD o so 'c cr mœ c ï c 3 CD C1D» CD CD- W o P ït CD 5. fST" a g r ^ 2. o o M era? s» a3' B ' p n "o M P o pD Q.XJ G 5 ® Pi ç'a -Ol Di î on >P U aj C T( D P S C (0 c* P £.0» a ' ^CDM P CD >—» o P>-<» _ 05 9» — œ a Ç» CD N> r o ® ® »g £ G- O P 3 o a CD r oM* « °2.2. P P § B as C3 / r S & r» P S ' . l © P-4 VI '/T. » 5 • 5 Cr d CD- 2 c MftB O ¡5, B * P »g 2.3 • * H ftp" CL © © BM. ^ < f» (J i© r ap sp 1 5/1 r 2 P® ' S i "b •S* ' » ^© "1 ! Û a "S fli !" M ® ® _ o 2" C n i rr. ® p S B î P tr î .B* 3 2iî'ft .oo •A R w r«- © © « 5 « a 3 ® ? 3 B M ©® H Km m © © " " -P CL 7" P U3 2 . 22 S. o f »rv? . p** CL O O o B ^ p p © P »3 =•• 2 < _ S"! 2- a 3 ® 8 ^ C. w Bf *p* P © B' B V) P ^ 00 îM. f» o ^ S.' u m us y» ©« ft p ©> p" es: p ©> ai © a » a B — P. P A © CD — © o p o © 5T r, r» P. © © a O P «— © ïP.- s. ce © > 3"* p: ^ 3 S g CD.»Z. ®_ .0 Cfi p J HM © 3 ^RW. M. P aI wo p© r* ' © D 7 ® UI S © © © * 05 2.-Û I © c ? £. P 2. p i . o» S?. <CD* ~ • Ci -® c ? W © © CL "5 © ¡u £ ~ S _ D ja r j * c >o >3 » p B a 5 rti P ~ © M. LA — P p w fV ^ o g. B Sf r» © E © • c^ ©' © 3 2 p 1 o n, SL ® 3 M' o rr. ct> p• T Vf. «— m L ? i p s j l ü 2 » 5T Ç CN L (p V s S o g - Ü. 1 ä S __ t T •a 5 • • 5 _ 5 ® ñ PJ ft, O • S T * S iD í H » .1 o ? ©> Ä n g ^ l CL & ? -a 3 . sr h— • 2 g o l e s» -o S g B » ? ® ® ® s'5?! g» i s® r & e - B g f r ? 1 en " « r S B <t\ . < i M Í ®t O^ p gA. 8 «. r» s ç ® l ® ® 1 g© «fa ®pj S1 < e • e 8 g an D «s o CB C O ? 5 . » "O W » • l a 8 « g « B Ä «« fin w B p- p " a B D S-® 5.3 ® » 5 O ü Í» g c o i 2 < o SD r» p © P _ B n « bst»-® p S ; ? ® P» . ;• s ers S3 s § ^ e r © ^ 2. 5? P. p;& r> P-'O i» Äo B 2- < M C. i i¡ ! n «-2S N- ®» O I a.» a g w) © - B W V) « «,»! S;B ; _ 0i » 8 5 g;« ': U P 1 B ©» S S» S ' B » © p s» "Oa - p.00 s "> 2a M M g en A =5 S 3. g a Ct-T © O <t •a < ^ 1-ssp 9eu . ~© -t® SÄ n Sp gB ^ »d bf w « o «' -»J a 2b » Pw «pi ; 2- o w sr 3 Î5- Q g - o>- *tn o m* r. P w " 5» O — 8 S (D O _ « Mi O W e. ® © o E l ' o » 7 5 2B p0 Cf "Z < a> 3 B co a. w rf^ o W .. Ç» B p t Sp Bs a» gB w® CT> H» • • W § J^ â 8 ©' CD CO O • poM 00 a> ce' g 00 OS pr o = « 8 • i ^3 TLg co Ä O' _ rc co cc' S % en "o ^ l o d 2 X' «« kB 2 B. M ™ I ® Í P. s- p: P M (t !» 2 . 2 S" gB ** ^ S ** p2 P I p, «S r i l S M » B S "O P « Œg s.• s ® i • ICD« B Q B - r~ O g'1 M O 5 © 2., CrD• .Ol 2 En t f 1i 1 S ' i l g S» b i 1. . Nt » o n« , 5T 4,' 6 «i 8 W P 2. p r* r* CB m P. ®>2 2 p: 1 H P « 5 P E 3„ m (Dì « 'S c S*' 2 o- g b. » 3 c S sr « ? B O i L n 2 4 ** » D — et rjj T3 .-r ¡/¡ •o 2 22. p*® o » r ? . OÏBID« ' O h n c. i 3 i 2 H-> ( , rf S et P r . , . •• f * a 5 - l s = ô - f s 2 ir iSt SD a n CO I © B ^s p © B £s . S2 Bo § 8ce Aa pA. 2W rrg Ol. •a B 1 »»S* 2 ? / 0 O 3 fs* S? »» 'Sf «g. 3 © 2 a " P ? m a •» 2. 2 . 5- c a ? n A w " r n g-gsSgg-g£ S C« ^ O « B 5 "O B « " S S A» pc I sp B a H W B * © . g 8u jP- »8 n3 . en ' sr a A 2» 2 B « H o 0W ft» 3T S 8, ce ¡> cd» P< H S 3 g. g. a g s: • d a S© a p a a H g p ? B ÜIO2 B g j z « ce S £ 0 Ç P ^ 2 » »O a< pp H, _ a1 a* r* - 2 . sr » « gr ; St O Äp ïO A- I ©.© £ = 2 . 2 p' « B B ? A B S. A "g »X " » A g g B M p. wta cd A (D ' Pr*- B j® A2 ö n »1 ? g g R: 0 s r | S " | 1 1 ® A A S 10 S | Sg" »5 en en g S O r* M « i B B • At S . h. S g B * »a 5" »» d A g s 8 g - & 2 P p » a g S N I « î â g ä- S S 5 1 a . ? B sa ny sp oB s« « OKI g ss O) » 2 o o P w Pg ÄP Z & = 3 B «w ere X' ® p© ce 03* S* O g p •g ® "g g ere » ^ s . :g g ä » © S g ^ oai co 6 m ? coC £ • c¡ . o5 H " B S t r P » tfi • M ft Mb ^ S rt gA . " s B 2 • w I ^ Í p ». ® tu ÇD « p »c op w «i P Oc H op w« pO I l l s • "4 " f t 2 S « S Ì o. 1 „ s ^ s k-u i B S l i i T pn ' KÄ ET p- p ? « s. O.C P © r? B0 3 CD M CD O S O 1 B- M ^ P I I I o CD p 2CD — B Oa g g- a c cd en CD C ' a P ^ _ C D > _ g- » S « M pT 9» S . ® "» «io» rf © o J S P" rr Bp m en Í S B ®" Z ? o p p UD f^wi ^ "1 1 ^ (B ^ © s - o- S CD2 . CD © 2 1 ® B « © ®p- oc ^• Í —Da> "B a« «-• < 2 - ® 2 3 CL »fr* — p» — —I © 09 UÌ 13 Î5 5 C • 3 E® ® 0 O a © - 2s® ^ C o P i »— 3 2?« a o J 1 CB B ï r co p Ç< fB* <© Ö r* a 2 . © « O O 5 T3 00 ^ £ œ B § ? S' © ® B I rr "O gr © PfflO _ CDi -t..-' S ' M CD ^J P "I ß Ä I ® S 3 - B § S-O 0 « : ? O ® a o r i ® s ® «2 So Î . ÎST"P " P - S 0B m œ 5 ®(*5 « «I TJ C g S S " » B ® 2 "i (0 P o pj ' P P 5 £ »r ® 5.Ä - ¥ ® © © O — m œ £ ^ 2 - S - op ® - w . O © co S V , B P B ? < "M 0 b S sr. O© g«. en pe s» ® 5 <0 g ft® e a . - er _ S cdOQ " » Sr* £L 2 P en ! 2 . r» '"J S WP P 9 b 2P^. Ç< ®B po s= £T 5 T> © ® ^ »1 g s O £3* S t © ® o W p. S g S-s? I s p 1 S B § p B © p 0 ^ ^ s ré P S0 P1 SC - P r> ^ O0©Q Os ©<* P © © o i— en en © P BJ P • © - i OQ en 2 o 3 & ¡r g a «S § g | g , ©œ S» p , p»H œ c >- lu Í L S « tr • j S* " p» k a p ^ r a* al. s I t D •»« a co < p- o B " Ci CD H. £ e » ^ ft) O C • ® ^ * 5. i —• CD P m —2 ® en ©• ÛOy to B5 P5 ^ ffi CD* r ^ j cd ^ O CA •• PJ 2 lt 2. » s» Cï T3 c -(3 O O O *. S < ® g o 57 <! CS tf > P " D 2. = • • c ® cr I I p-o f E g © 73£ 2 ° â— g® s p< ï ®CA ^ nB £ > — ™2 o . i Si i f » " 2 «•« 2P B0 < CR s? 3 w M D O- O & a g , P 2 •• | l | ® s a ¿S •- Ii t fA • « 2 S00 »u, .1^ S ^ 2,52.0 EJ g 5 n « B B ? s P— . — wo to r op- go b S 5 •B o r g o AS S " An CL t«3 S 2P ni " - «n 93 5i SH SA AS ' S S2.P sr S . 0) B ? s» « « §„ S gl s- £ W c>» (A (T " u P Ï » S © © a M A f i 9 B g f t p8 M C5 g -1 fgf & $ O A o s9C8^;S.co©ìi. » 5 . 8 5 B ^ ET. w £ ** © n « S =r s í g i » » g l S s - * s . *re m S I! S s 0s - » s r j 6 S S i^-S § l i t : b i g Ctr> • y Î S 209 - V3 s o' 1 g p s? © 2 © ® ® £ a fi —"" -s P «-«• O - â » C œ Sî. 2- 3L O 2? • I» » - g o 5» x hrt 5 ® ® g§ B s-® ® :s® S g- 2. ® Q - o © Skîîài " 2. ^ «r * f gr. P- "TJ p 1 S» P> 3 . 3 . 8 ÎTS- • g : " S ! ? C® £te •• aO Ê- a•3 ' © £S Ss• B S s r0 a g " s •5 5o% ^¿ a 60 £ oA» r» o y S nia S a ® g < § ® ? S - Pi g» "m <?,- 2w so- 8 » A • o » £ P g. ! J M í 8 2 ® o 0 s i 5s p a co co* f » 0. • 8B • ce P S i l A P t) 5b JB 1 < S Ç » « P S a ® —" ®2 »f>«o> • V I s CA - n CD «« o I P B D © — Z ce » i P« Pes. 3Ä P2 s ; n ~ £ p- £ S £ . 0 s. U M, B c . A r B ^ ñ Q H« S e . 22.. g - a » 2 c - ® oc» •2. o* » es : - o> A a . Q S - P - o 2, O CD. q CO • Pi* 2 f g l ^ I ^ l l s © ? © m» S r i î î ^ - h o >_. t» © S a" m 31 » X ^ en P <5 O ^ cdH »7- am P a i e d» t r o u p e . Il sera procédé le 14 mars 1924, & la Mairie de Qulmper, à la passation d'un marché pour la fourniture du pain de troupe dans cette place. Effectif de base : 680 Pour tous renseignements, s'adreeaer & la Sous-Intendance Militaire de Qulmper. Lea déclarations d'Intention de soummlssion* lier doivent parvenir à cette Sous-Intendance avant la 9 mars, 18 heures. • N l i l M t a t e M PIAMOS - MUSIQUE - INSTRUMENTS Moitoa Fondit M t86o G. O L L 1 V A U X PAOTIUR DE PIANOS •I-ACCORDBOB DB LA MAISON PLBYB( 4, Cours de U Un LORIENT Accord» — Réparation* Paris V a r o qui ? - M. Raymond Poincaré présidera, le 30 mars, le banquet de clôture du congrès du parti républicain démocratique et social dont il est président d'honneur. A cette occasion, le président du Conseil prononcera le grand discours de politique g é nérale qui est attendu dans les milieux parlementaires avec la plus grande impatience, avec une plus grande, encore, si possible, par tout le pays. U faut, en effet, que M. Poliioaré choisisse entre l'Union Républicaine Nationale et le Bloo des Gauches. La première a fait la majorité qui lui a permis de réaliser sa politique extérieure. Le aeoond ne tend qu'à supprimer cette politique et ses conséquences et à faire le Jeu de|l'Allemagne. Cependant, profitant de la faiblesse du l'Union Républicaine qui n'a pas su exiger le renvoi de Mauri ou-y, des Préfets favorisent les menées des Gauches, M. Polnoaré laisse faire. L'écheo de ceux qui l'ont défendu, alors que le* Radicaux et Socialistes se coalisaient contre lui, de ceux qui ont bravé l'impopularité à la veille de* élections, pour preudre les mesuras fiscales qu'il solicitait, l'échec enfin de gens lionnétes et propres, lui serait-il indifférent? Il est temps qu'il le dise, j et que l'on sento en France, que le gouverne ment est avec les Bons Bergers, contre les Mercenaires stipendiée par la caisse d'Adler et • JUIN PROCHAIN • OUVERTURE £ t < o m b * a a d o Troilua d e Mon' ! d r a g o n . — Il est fort probable que. lorsqu'il nous reviendra de Parla, oft les démarches de M le Préfet l'ont consigné pour le moment ehez l'antiquaire, qui a'en était rendu acquéreur, il ne rejoindra pas son ancien emplacement, p r i s du vieux clocher de Beuzlt. & la Ûranée-Palud, où il se trouvait dans la propriété privée de Kerloret Il semble qu'il sera réédlfié à l'entrée du Musée départemental de Qulmper, où tout le monde sera admis A le visiter. Trédanlel M a r i a g e . — Le 19 février dernier, a été béni, en l'église de Trédaniel et dans l'intimité, le mariage de Mlle Jeanne Coroller, fllle de l'émlnent chroniqueur d'Histoire Bretonne M. Coroller, en son vivant président de la section de Littérature et d'Histoire de la P. R B. récemment décédé, et de Madame née de Facy de Beaumont, aveo M. Lhasaln du ûuerny. La nouvelle mariée est e l l e - m ê m e une des personnalités les plus dévouees du m o u v e ment breton, fille compte parmi les meilleurs auteurs féminins de Bretagne, et ses travaux d'Htatoire ont rendu à la Cause de signalés aervioea. Au nouveau foyer breton qui s'e«t fondé nos meilleurs vœux, ha ra vezo da viken, gant ar priejou nevez, spered ar Quenn ha skiant eut he galvtdiges A B N T G. LANDREIN, propriétaire Uae IIîm è Pniv t P ar Paille (avoine & blé) pressée Bu foin pressé et faottelé SS ri » CHARBONS de t o u t e U a a— s « = X RÉSULTATS MERVEILLEUX . 3 2. 1 s s II co 1 •p 8 ¡m8 t* S 45 § § e 1 ON DEMANDE Un Commis de Bureau à, m \ I O \ AGRICOLE bm l L'emploi régulier d e l'inimitable P \ U m 3 u e v o n f l désira distiller le plus tôt possible uluiiLjt) g a r o nt trè» vite fermentés avec le Ferme AMAND MARIS a 1 2. — 8 £r. dosa pour 1.000 à 1.S00 Itre». NETTOYEZ • o s tonneaux, Barrique«, Futailles avec le Stérilisant AMAND MARIE. — Tous les mauvais germe« «*rOnt détruit» — Le Flaçon pour 1.000 à 1.200 litres. 10 fr. — e 1/8 flnçcn, 6 fr. Le Havre f r a n c s , aux clauses et conditions du oahier des charges dressé par ledit M' BIGER, notaire, déposé en cet iudispensable Monsieur Pierre GADOHET ———— II I A \ E \ D U E à essence, 2 HP 1/2, très bon état, pour cause chang. d'inst. S'ad. GUILLOU, boulanger, rue Ellé. Moteur Résultats Immédiats et in» jUUibles De la part de la Famille Nombreuses CflDn torpédo, 4 places, très peu roulé, I Ulllf état neuf, belle occasion, avanta geuse. A V e n d r e pour double emploi. S'ad. Librairie de l'Hermine, 41, rue du Casino. Dmard. OFFICE ARVOR H — — — — — — « BEURRE Le Colorant pour Beurre AMAND h. \RIE est le plu« apprécié. — Achetei-le. — 4 fr. le granu laçon. Da P r o f u n d i s 1 pour Il'hygiène, u toilettera b e a u t é EAU-DE-VIE " Colorie Boniflée et Moilleure avec le BONIFICATEUR AMAND MARIE. — 6 fr, dose pour 20 litres. et de X a Brotmgn». — L'Assemblée générale du 37 Février avait réuni, chose extraordinaire au Havre, une assemblée nombreuse. Après lecture des expoxls administratifs et financiers de MM. Le Folles et Bourdon, secrétaire général et trésorier général de cette association régionale et philanthropique, on procéda au renouvèllement du tiers du Comité, puis M. Ernest Kérambrun. avocat et président de la soéiëté. remit au Docteur Co'y vice-président un superbe objet d'art, acquit par une souscription p pulalre, faite & l'occasion de la no- CRÈME SIMON rinCEQ destinili à la consommation, tris vite fermenUlUnW tant avec lee Feiment AMAND MAR1E D 1. Feiment AMA S b. dose pour 1.000 à 1.200 litre». SERVICE ANNIVERSAIRE = M •° si imimim-mtmimtètèimt silecidre s'engraisse PARIS file.setue lOIOJsSBS ou durcit INTERNATIONALE t Catégorie LIVRAISON A DOMICILE CULTIVATEURS Monsieur Benjamin GADORET I•o L. LA U N A Y h références En vente : Laboratoire AMAND MARIE, fc VIRE (Calvados), et dans les Pharmaolea QUIBOURQ, HABRIAL et LE NAOUR. & OUI PERLE ; ILIOU. H SC.AER et LE88ARO à BANNAI.KC R e o -du O o m . T r l b d e Vira. N 3 0 QV1MPERLE S no 3 ® a Moteurs — Machines a bois Tout Matériel Mécanique & Electrique MONTAGE DES MACHINES VENDUES en son étude à Bannaleo où toute per* 3- Un jardin aveo sortie rue Ellé. â UpnfiPR i ° ! l e chienne Lavrack, ur e sonne peut en prendre communicaPour tous r nseignements s'adres n iDliUI O deux ans. S'adresser à apprenti plombier. tion Elle se fera à éteinte de f-'ux, au plus oflrant et dernier enchéris- ser è Mme GUILLERME. au moulin M. Corbière, rue Savary, Quimperlé. S'adresser Usine à Gaz, Quimperlé. seur, en la présence comme en du Ter, Plœmrur (Morbihan). l'absence de M. RenéTALLEC, culti4 vateur, demeurant et domicilié à Etude de M LE GAIJ.IC, notaire à Rosporden Kerloa en la commune de Bannaleo, appelé h y assister en sa qualité de subroge-tuteur de la mineure Anns-Olive Euphrasie-Françoise LE GOC et du mineur Jnsfph René LE par Adjudication Volontaire GOC ci-dessus qualifiés. LE JEUDI 20 MARS 1924 Dressé par l'avoué poursuivant d U heurts soussigné. A Quimperlé, le 7 mars 1924. Oll demande ^ A V e n d r e r«n Etablissements SAVARY Slé RIVIÈRE & C1', (Quimperlé). P. PITON. A Upnifnp ensemble ou par lots. n Vulllll D j» u n e maison sise rue de Brémond d'Ars n- 2, comprenant au rez-de-ohaussée 3 grands magasins à l'usage de commerce de vins. Au 1" et 2* étage, lü grandes pièces aveo vestibules. Caves et greniers, oour, écuries. 2* Une grande remise, sise rue Ellé n- Une Propriété M O T E U R S située au lieu de BOT-PME en Saint-Yvi de 3 à 12 Chevaux. en bordure de la route Nationale, comprenant : Deux Maisons oontigues et un Conrill de 15 ares environ, planté de pommiers en plein rapport. Mise à Prix : 10.000 Fr. Pour tous renseignements, dresser à M* LE GALLIC. s'a- MAISON DE CONFIANCE TBNDAMT LE MlILLKUR MARCHÉ DB LA RÉGION Ch. CORBIERRE 17, Bu» Savary, QUIMPERLÉ POUR L'HIVER ; CAPES A MANTEAUX pour 1« Costvme brston. PARDESSUS tout faits at sur mrsar«. Tous Usg«nr«s d« VÊTEMENTS IMPERMÉABLES TISSUS pour R«bM «t Manteaux. CHALES pur* laine des Pyrénées et le plus grand choix de FOURRURES. BONNETERIE pour Hommes, Dames et Enfants. COUVERTURES, COUVRE-PIEDS, EDREDONS. Tribunal, 4.009 fr. CETTE VENTE a été ordonnée ar jugement du tribunal oivil de luimperlé, rendu en la chambre u conseil dudit tribunal, le 10 janvier 1924, enregistré. Elle est poursuivie à la requfite de : 1* Mme Marie TANGUY, veuve de Joseph LE GOC, cultivatrice, demeurant et domiciliée à Kerguyader, en la oommune de Bannaleo ; 2- M. François LE Goo, époux de Marie-Jeanne H EU HT, cultivateur, demeurant et domicilié à PontGuen, en la oommune de Bannaleo ; 8- M. Joseph LE GOC, époux de Olive HEURT, cultivateur, demeurant et domioilié & Keramboyeo, en la commune de Kernôvel ; i• M. Jean OLLIVIER, oultivateur, demeurant et domioilié à Keroué-K^ryannic, en la oommune de flannaleo, agissant en sa qualité de tuteur datif de la mineure Anna Olive-Euphrasie Françoise LE GOC, sa niéoe, née du mariage de Henri LE GOC veo Marie-Jeanne OLLIVIER les «IX dértrtt* 15' Mme M»rte-Rçtne* Î DOULEUR a l'honneur de prévenir le public qu'il trouvera dans ses Magasins : dhmbUntlom couverte en ohaume, ouvrant au midi par une porte et une fenêtre. 2* C i * p e t i t * e o a r i » oourerte en chaume, t u pignon oouohant de ladite maison. 3* Un» petite cour au midi des dits b&timents. 4' Et v a oourtil nommé ar gla ten, ayant fossés couchant el nord et turon midi. Cette propriété donne du nord sur ohemin, du levant sur propriété BOURHI3, du midi sur ohamp à M. René VALEGANT, et du oouohant •ur champ à M. Louis EVEN. Elle figure au plan oadaHtral «ou» le n' 515 P, de la aeotion F et oontiect sous fonds environ onse ares soixante sept centiares. x i e SANS 7, rue Clohars, Q U I M P E R L É Employez la Poudre et lu Mixture Arnaud MARIE en ratm* tempi, au moment, du Brauage. Votre cldr« sera excellent toute l'année et pourra tri* bien M conserver le« année« suivantes. • m m m m m m m w m r n m m m Tingt-n»uf M a r i mil n»nt cmnt Quimperlé. ringt qumtr», k treize heures, sur de B a n n a l e o . la Mise A prix de quatre mille mmiMom ¡OR et PLATINE Ainsi que oelles qui leur ont témoigné leur sympathie en cette douloureuse circonstance. Vastes Salles pour Mariages Banquets k Repas de Familles comprenant : 1* Soins de Bouche et Pose de Beats en tous genres Madame Veuve LE BOUIC Sur la mise àjrix de 4.000 Fr. UNE P E T I T E PROPRIÉTÉ P R A T COMMERÇANT QUIMPERLÉ fiF.DA.LLE D'OR ^ I M M A Ï Ï Ï ? EXPOSITION AMAND M A R I E Vous êtes priés d'assister au service anniversaire qui sera célébré, en l'église paroissiale de Rieo-surBélon, le Lundi 10 Mars 1W24, à 10 heures du matin, à la mémoire de E A KEKOUYADER. M. de l'Hôpital Civil S^igAHAND MARIE Les Familles LE QOUIC & P E R RON remercient bien sincèrement U s personnes qui ont assisté aux obsèques de QUIMPERLÉ PROPRIÉTÉ E Arrondistement de Canton et Commune Dentiste 4, rue Thlers - qui donne au cidre labelle couleur REMERCIEMENTS Restaurant de la Gare LE SAMEDI 29 MARS 1924 D I E PETITE Docteur en Chirurgie Dentaire II. S.A. Diplômé de l'E, D. F. de Paris De Profundis I... Etude de M* PITON, avoué Pauline GOAPER, veuve en pre& Quimperlé, 12, rue de Quimper mier mariage de Henri LE GOC et épou*e actuelle de M. Valentin MARC et ledit M. Valentin MARC, son mari, cultivateurs, demeurant ensemble et domiciliés à Ty-Névez» PAR LIC1TATION JUDICIAIRE Kermoal, en la commune de BanEl l'étude et par le ministère de M* BI3ER naleo, agissant en leur qualité de tutrice et de co-tuteur du mineur mtaira à Bannaiec Joseph-R 'né LE GOC, né du maringe de Henri LE GOC, déoéde,aveo ladite Marie-Reine Pauline GOAPER. à 13 heures son épouse survivdnte, tous ayant our avoué constitué, près le triunal oivil de Quimperlé, M* Pierre PITON, avoué, demeurant à Quimperlé, rue de Quimper, n- 12. aveo à KERBUYADER en Bannaleo élection de domioile en son étude, sise en sa demeura. LA VBNTB de l'immeuble oidessus désigné aura lieu au bourg Bannaleo, en l'étude et par le Désignation de l'Immeuble à vendre : de ministère de M* BIGER, notaire demeurant à Bannaleo, le S a m e d i Département du Finistère. V A. DEMARTHE Instillation st ThârapautLquo modernes t du. Landerneau DEMTAIRE décidée à Quimperlé le Lundi 3 Mars 1924, dans sa 85« année, munie des Sacrements de l'Eglise. ABONNEMENT A LA LECTURE MUSICAL» 4-21 CAXtlNMT EXTRACTIONS Shaw. — Echange TELEPHONE mination au grade de chevalier de la Légion d'honneur pour sa brillante coduite au front. La soirée ae termina, par une partie concer-r tante ou MM. Charles Castln, du grand théâtre du Hivre, le Docteur Julien Le Noën, de (Concarneau, Delpit, Géo Nattale, Rlvoal, Mme Jégo et Mlle Marie Louise BelleDger se firent applaudirent dans des oeuvres de Théodore Botrel, Yves Le Stanc, Jos Parker, Léon Durocher Ambrolse Thomas etc. Charles Bellanger récita le Biniou des Tranchées, de O.-L. Aubert, directeur d e l à Bretagne Touristique et nos compatriotes se séparèrent après le chant du Bro go? ma tadou, du barde Jaffrennou Taldlr. 2.76 B.OO St-Mathlcn, du Chapean-Rouge et Kéreon, lea malsons étalent pavoisé^a au* couleurs national«* Le St-Sacrement porté par Mgr Duparc, fit halte à St-Mathleu. U soir, ft la Cathédrale, allocution très goûtée de Sa Grandeur qui remercia Mgr Lemérand et le nomma chanoine d'honneur de la Cathédrale. Ch. Les Etablissements SAVARY, qu'ils sont h sa dlspositian pour lui fournir des moteurs à essence, de 8 à 12 C.V., à. des prix trôs avantageux. Ces moteurs peuvent ótre considérés comme J « i meilleurs et lac économiques des moteurs existant actuellement sur le marché. Les soins apportés à leur fabrication, ainsi que le choix des matières ^ m i ^ M ^ m j t i o y é e s , nous permettent de les livrer aveo UNE GARANTIE pin» CORBIERRE T I S S U S & S U R M E S U R E Registra du Commeroa SUCCURSALES à Plouay, Pont-Aven, loëln, C l o h a i v M N» 668 QUIMPERLE m Nous avons toutes les pièces de rechange en Magasin et pouvons assurer rapidement toutes réparations de oes moteurs. Nos oliente pourront voir tous les jours un de ces moteurs en fonctionnement, dans nos magasins. Nous tenons aussi à la disposition des clients qui le désireraient des moteurs marques " L I S T E R ". C O N F E C T I O N S L. I T E R I E V & T E M E N T S ^ A ì m B A T T E U S E S - V A N N E U S E S . - Les Etablissements SAVARY informent leur clientèle qu'elle pourra voir dans leurs magasins des B a f tanaaa- Vanaanaaa A doubla nmttoyage, munies des derniers perfectionnements, batteuses dont ils peuvent garantir l'excellent fonctionnement et le parfait nettoyage, et qui pourront être actionnées par un des moteurs 10 C.V. déorits ci-dessus. FAUCHEU8ES. — Les Etablissements S AVA RY sont à la disposition d w W t r i o u l ^ u r s j ^ r kUÇ t a w w r ^ m o w ^ a a o e - e s précédentes JñraekeUfef RIVALIN BOURC'HIS >MHMI ASSURANCE CONTRE L'INCENDIE Mutuelle du Mans QUI M PERLÉ COMMUNE PHARMACIEN A.NOIKN 20, Rue de la Patrie, LORIENT l i Tous Articles de Sports, Foot-Ball, Tennis COLLIERS DE CHIENS, FOUETS, etc. A I S O N D E C O N F I A N C R . du C . L o r l e u t , N- 6414 Agence de Quimperlé : Garage Jérôme TRÉGU1ER1 Modérée —Travail très soigné Quimperlé <s> Apprentissage Pièces de rechange. ET & ESSAI gratuit aux l u 0ar«a « t l a plac» Alsaoo-Lorraine (derrière le* o a s t r n u d'infanterie) Téléphone a - 1 • L O H I K X T R du O. N- 1 2 3 D R u e K E t J M des Fontaines jD po'itaire à L O R I E N T O X — Téléphone pour la Région ! Fabrique d'Agglomérés pour la construction î ON PARLE BRI. do tout ayatèmoa »Jd|«r U Vêrifible J0ÜVENCE J e l'Abbi SOORY a v e c ta g l g a n t a r c DUUONTIEn Grand Choix de Coutellerie 133 h n r m imprimes Réparations d'Armes de tous systèmes, Affûtage de Coutollerle. Articles die Nport« Munitions e t Sports R . du O . , L ë r l t n t tous lee j o u r s d e s milliers o c U JOUVENOe do l'âbM 90URY, préparée fi la P h a r m a e l . Mag. O UM O N TI SR, A Rouan, M trou*o dans t o u t e s l e s P h a r m a c i e s ; le nacou, 6 fnuic», plu» Impôt O Ir. 6 0 , total : U fr. O O . Canifs, Couteaux de poche, Couteaux de table et de ouisine, Ciseaux pour Brodeuses, Couturières, Coiileurs, Tailleurs, eto. Rasoirs à main et Ra oirs de sûreté, Gilette. Appolo, eto., Tondeuses de tous modèles, Peignes rte rechange Envol gratuit de nos oatalugues, Armes, WF en toute confiance, car elle désespérées. p o u r j a 0has&e. à BA.RILLRT f « i f t r e t portfail JOUVENCE de l'Abbé SOURY o »/» pour tir ée préoislon. Tous les Articles de Foot-Ball,Tennis, Escrime, Boxe, eto. PrKap. oiaux aux sociétés. TON ta J O U V E N C i 0 9 " A b l ^ SOURY 0 « peut jamais être nuisible -, elle e u ient à tous las ten»pér»rr.entt. Toute persom.. >,ui souffre d une m a u v a i « circulation da saoa, soit Varice», Phlébites, HésaorroMe», soit de l ' & t o m a c ou des Nerfs, soit malaises du RETOUR O ' â û Î , Quleu'-s, Vapeur», Etouû'emuits, doit «mplciyar la pliant» MUNITIONS, ET TOUS LES ACCESSOIRES DE CHASSE ET S E TIR PLATRES BLANCS FINS, de Paris. Plâtre à mouler, Lattes, Briques, Tuiles, Ardoises, ilbro-oiment, Carreaux pour fours de boulanger» et autres produits réfraotaires, Carreaux céramiques divers, eto.; eto. La J O U V E N C E d a l ' A b b ô S O U R Y e s t f?j!« eipressgmont pour j u i i - i r toutes VJ maladifs de la femme. Elle le» guérit bien porte qu'elle débarrasse l'intérieur de tous 'es éléments nuisibles ; «lie fait circuler le sang, décongestionne les vrgaora, e n même temps j o elle les cicatrise. 1 - 2 8 Portland Couronne ; Portland Beaumont provenanoes. uniquement c o m p o s t de riantes inoffetuives jouissant de propriétés a n n ' 1 " ' 6 9 ^ ° n t ^ l 5 t u " 1 < i c s e l « P ^ r i m e n t é e s pendant a e longues de» G r a n d C h o i x d ' I I a i k i m a r l e » » o t F u s i l s fc c l i t o n s , F u s i l s C a r n a d i e r s , Fusils G r a s t r a n s f o r m e REVOLVERS A QUALITÉ ÉOALE | J O U V E N C E de l'Abbé SOURY Fusils DARNE, C H A R U N & DARNE Fils Atnô u&raDines 6 •/•> 0 a/a> 1 2 MARCIii Toute femme qui f o t . f i dVn t.-ouHn q u i c o n q u e d e ta H e a i t n i e t i o n , Kèçles ¡rréguliires ou douloureuses, en avance ou en retard, Perte» blanche*, tl&la.ile3 intérieures, Métrite, Fibrome, Salpingite, OvariU. S a l u a de £0-!cb4», guérira sûrement sans g u i ) sou besoin d « ppisarii' i ua® e p é r j t i o o . rieu qu'en faisant ussçe d a h TOUS MATÉRIAUX DE PREMIÈRES MARQUES . CHAUX HYDRAULIQUES, éminemment hydrauliques, de toutes AUMEILLEUR 9 F U S I L 8 , OARABINE8 et P I S T O L E T S B R O W N I N G à Répétition C i m e n t à p r i s e r a p i d e d e l a P o r t e de F r a n c e , e n b a r i l s BANDAGES A YARICES CEINTURES CABINET D'APPLICATION Acheteurs ^rm.-u.rier-C©-vitali«r 2 5 , BAS im ARMUS, COUTELLERIE, SPORTh Slntr« ORTHOPÉDIE h! VRAIS ON FRANCO PAR AUTOMOBILE DANS LA RÉGION R . du C . Q u i m p e r l é , N - 9 4 Rue Marc-Pourpe (ancienne rue des Glacis) ÜROGUEKIE INDUSTRIELLE ET AGRICOLE Chambres à coucher, Salles à manger, Meubles de Bureau Literie, Glaces, Tentures, Petits Meubles fantaisie Sièges de tous genres Y. SELLIIM, 7, rue Mellac, Quimperlé Maison J.-A. F I C H E PRODUITS VÉTÉRINAIRES | ÛRAND CHOIX DE MEUBLES DE TOUS 8TYLE3' H. du C. Q u i m p e r l é N- 87 L , . L E S OCCULISTES Acheter!!! ses Meubles QUIMPERLE Prix Modéré« vu l a Qualité. ACHETEZ VOS MATÉRIAUX MM DES ORDONNANCES^.. DE Maison renommée ayant 8 0 ans d'existence ¡lu Garage Jérôme TRÉGDIER La plus solide et la plus perfectionnée. À ohoisir tous genres et toutes foroes comme avant-guerre. Entrepôt Général de Matériau» de Construction EXÉCUTION LORIESMT - 31, Rue du Morbihan — LORIENT C'EST LES ACHETER DE CONFIANCE Les nouveaux Modèles RENAULT obtiennent le succès mérité, grâce à leurs qualités de souplesse, de coufort et d'élégance. EXPOSITION Charrue Brabant DELAHAYE TIÓUÉMÉDICALE M P Ï Ë I J Ï BRETON (Finistère) Toutes Fournitures et Installations de Matériel Electrique Moteurs, Appareils d'Eclairage et de Chauffage LUSTRERIE R . d u O. N ' I M S , ÁRTICAS D'HYGIÈNE I Parsemants Aseptiques & Antiseptiques COTONS GAZES — CATGUTS CHLNS DE FLORENCE Société Anonyme au Capital de 320.000 francs SPriac ACCESSOIRES JLISATION S'adresser á MM. HAREL & QUICHET (Maison BERNHCIM Frères at Fils,) 4, rue Vis, à Quimper. bliezJVIme LE FORMAL, 10, place Hervo QUIMPERLE BASSINS — DOUCHES PULVÉRISATEURS FULMIGATEURS RECHERCHES CHIMIQUES BIOLOGIQUES BACTÉRIOLOGIQUES Et diverses autres propriétés, situées dans le Finistère. Magasin d'Exposition et Enregistrement des Demandes : LABORATOIRE D'ANALYSES E DE PARI» D E S HOPITACX n" 7 M H D'ORDONNANCES AMPOULES MÉDICAMENTEUSES A TOUTES FORMULES SERUMS VACCINS COMMUNE DE TOURCH Plusieurs Parcelles de Terre et Prairies, dépendant de la Ferme du DRENEC, libres à la Saint Michel prochaine. QTXTMSPIEmLlS] Téléphone lampes & Piles Electriques VOIR NOs ETALAGES & i\Os P R I X M INTERNE PARIS DE L ' u M V K R S I T É HYPOÖERNIE RASOIRS Ordinaires & Mécaniques (Gillette, Le Coq, etc.) COMMUNE DE MOELAN La Ferme des Grandes-Salles, 13 hectares environ, libre fe la Saint-Michel. — ANCHE!» M DICAMENTS GALÉNIQUES HERBORISTERIE SPÉCIALITÉS RAYON DE COUTELLERIE FINE (Canifs. Ciseaux, etc, et?,) PRIX SPECIAUX POUR SOCIETES DE LABORATOIRE 3 Place Carnol ^ftvec succursale 15, rue des Fontaines, Ane"8 M80n AugereauJ DE PEUMER1T CHEF DOCTEUR Travail très soigné exécuté par un Spécialiste Les Forces Motrices de lié MERES D B M S D E 1 " C L A S S E D E LA F A C U L T É D E * Parapluies " TOM P O U C E " (dernière création) MONTAGES, RECOUVRAGES & RÉPARATIONS Le fonds du domaine congéable de Kerlaouonan, exploité par MM. Briec et Le Gallic, 30 hectares 50 environ. PLUMES & DUVETS Louis L E I\AOUR Suce r Parapluies, Ombrelles, Cannes COMMUNE DE MELGVEN L a petite Ferme de Croissant-Bouillet, C hectares environ, Ubre à la Saint-Michel prochaine. B E R t : AUX (Maison fondée en 1877) î pièces, grenier, puits, I l n ' M t p a t r é p o n d u aux deIj^j lavoir jardin, en borm a n d a s da r e n s e i g n e m e n t s qui dure de la route de Quimfia aontisnnent pas un t i m b r * perlé, près Mofilan. S'adresser Mme paur répansa. Lollichon, à Lann-Pors-Moëlan. • COMMUNE DE BEUZEC-CAP-SIZUN La Ferme de Kerlevesq, fonds et droits réunis, 16 hectares environ, Literie PARAVERSE ON DEMANDE, pour Quimperlé et les environs, Personne retraitée, Le devoir de tout vrai Breton est jeune h o m m e ou dame, ayant quel4e s'iûsorire à la Fédération Régio- ques loisirs, pour remplir les fonctions de sous agtjnt et d'encuisseur. nalitte de Bretagne, S'adresser à M. du Bouëliez, AssuS'adresser au trésorier A. MELLAC, ! ranoes, à lierléven. prés Hennebont. 10, rue du Gaz, Lorient. COMMUNE DE MILIZAG La Ferme de La Garenne. 40 hectares environ. GENRES La Maison se charge de La fabrication de] CAPES pour le Costume Breton dans tous les Articles d'H,iver POUR LE PAY8 ! A VENDRE Efl TOUS Imperméables Soieries est le mieux assorti AU Hammes, Jaunes Gens Enfanís en tous genres 18, rue Sàvary , 1 8 R « U t r ê «lu C o m m e r c e N' 1 8 0 1 , Q u i m p e r l é 1 V A M Ì P B U n ] l t ordinaire, sonil i ivUUl D mier; foudre et fats. Capote pour voiture anglaise 8 5 x 7 5 . S'adresser & Mme Le Noo, rue Clohars (Quimperlé). Liras " AUX TRAVAILLEURS 40HB8SE2-V0D« n d« W Nimni I umili QUHKIPlttLt IQBIPIUf AünlüUÜ Directeur-Gérant : L&ON L U BERRK Certifié par l ' I m p r i m e u r Vn p o u r l é g a l i s a t i o n d e l a s i g n a i t » « « " n t ^ en Mairie d« Quimperlé u,u- .i.M P_B _ R L Ê . - iIffljPrli m p r i m e r i e da l ' O M H 4 f Hoofs t t M a r U f i h t , uofiivmi 41é Année -BPH LE Niimíro COUÏXZE CENTIMES i I JC îtes .1984 ET MARITIME í&rgane Républicain Démocratique et Régionaliste de l'Ouest P * r m l M M . t Annonoes e t R6olam«s Ainonces Judiciaires (la ligne».. 1 fr Annonces volontaires If láclame« en local» . 1 f.2C Les annonces sont reçues CM bureau du tournai et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite i forfait vour répétées vlusieurs fois. les annonça tout Le mouvement breton prend chaque jour plus d'ampleur; les énergies les plus diveises y roncouient, si diverses que je p-évois une prochaine scission. Alors, si je suis encore la, Lire en supplément, la CttO/sJI- je t'appellerai et lu viendras, n'est ce pas que Q U E E L E C T O R A L E , le raid so- tu viendras? corde cum Ltonis, avec un cœur de lion, te joindic au petit groupe de jeunes cialiste de samedi et dimanche, la I; g«'iis que nous voulons former et que se donréponse de M. Cadic, Plaire de nera pour mission de défendre jusqu'au bout, sans lâcher pied, la c îlture Citlio ique et celQuerrien. au Citoyen Quiniou. tique eu Bretagne. Pius tard, nous parlerons longuement de touies ces choses. Je compte Fur toi, pour être mon frère d'armes, dans ces .1 I i 1 ! V batailles que nous ferons et qu'on nOMs fera il 11 très iudes. Gourenner, lemm da bluen! .11 terminait cette longue missive, par ces phrases Jeaii-Pterre Calloe'h bre:onnes : « Kenavo, Léon ker. Kred mat [Suite) emon ganld a greiz kalou en da bo^niou. Me ive am eus bet deiziou ha noziou ka et ha lui, aboue ni beus kuiteet dou-r beniget Sautez Et sa lettre se continuait ainsi : « Avel ar Anna. Mes Doue ha Zent hor Bro, an deus va vuez en deus la gaset te ivez. siouaz ! pell c'houfortet bepred. Me o fed hirio evidout, ha dlouz da vroig Kloh ars, pell inemb diouz sant Léon, d i batrom ive. Skriv eul llzcr hlr, Breiz-Izel, rak NaoneJ dija n'eo ken Breizdigor da galon d in, lavaf d'in da boaniou. En Izel. An esper am eus koul kou le e kuTZ eur c'halon karantezus c lcouezo da gomzou. c'hoas da vro e.vel araok, hag en aheg d'an Ha na vern pe ra a zigouesso ganid te, pe dra se e skrivan d'id, evit ma teuîmp <la ganin, kred start emon bepred da vignon da vout, e karantez Brcizig, mignoned start viken en Doue ha Brciz, Yann ». (Lettre du evel kent. FizUns am eus eunout da glevut Il avril 1910). va mouez ha du reskont dezi.. Digas a ran L'Union Régionaliste Bretonne tint ses assid'id gant al lizer mau. leor Erwan Berthou <r Dre an Delen hag ar C horn-lloud ... Brao tre ses d'nlver, eu 1910 à Vitré. A cette occasion, il fait la connaissance de JaflYennou, Le Berrc, eo, evidoun m ; ato, te tien miro en envor deus da vlgnoa koz Bleimor . . Kiss a ran Delafargue « Les congressistes n'étaient pas ive d'an Aotrou n Eitourbillon, 'vit K. B. B. nombreux, me raconte-t-il. mais cela n'a pas mal marché ma gré tout. L'exposition des eur zon, dio werz l u va fez-c'hoa 1 » En deu p o iuits bretons a été très suivie U-s séances Ycnour. » Il terminait sa lettre en me diviut publiques aussi, c.ù tout le monde se levait qu'il recevrait : « mo.irf.t .l'ar c'henta ;»a quand éclatait le a Rro Goz ma Zadou «... dorn miz here an urzlou vihauna (ordres Ici ma situation de bureaucrate me donne pas mineurs). Eur beden, an deiz-se, va Léon mal de loisirs que j'emploie à compulser les ker evit an ueb n ' i n k i i u ket, dirag Duue, c « Annales de Bretagne » extraits de la bibliovignon : « Ar Gou enuer Da vignon da thèque municipale de Vitré, des vo urnes bre vlken en hor Zalver J . C. : Bleimor. » tons que me prête Jean C .oleau, notre éconoIl comptait revoir son Ile, aux grandes vamiste de VU. R. B. J e continue à recueillir cances de 1907; il dut i r-parer le brevet élédes documents pour ma future « Histoire de mentaire, à Kergonan, avec quatre vingts d e llle de Groix »... Je suis en correspondance ses condisciples, afin d'être instituteur lih e avec le cointe de Lantivy au sujet des Etats de dans une paroisse mortdhat.naise. « Pegouls e Bretagne. Qu'est ce que tu penses de la ques ielimp eudro d'an Enez kurrt, kuzet duze en tion ? It me parait qu'il y a quelque chose à dremwel etouez ar tvagt-nnou ? •> Pour tromper faire de ce côté. » It me donne des nouvelles l'attente, 11 chante le « Bro goz ma Zadou «MU de nos anciens condisciples de Sainte Anne milieu d'un bois de sapi s « natit peva voar d'Auray, p usiears d'entre eux viennent de re n'ugent Gall lia Hreto Da vigtiuu gane cevoir lu prêtrise. ar pozlo ), holl ar ce-* 1 a gemeie au d h k a i : Lui aussi, désirait gravir les degrés de l'autel, Pegen kaerI » olT ir le Saint Sacrifice de la messe dans ces Le Grand-Séminaire le garde deux années. Il petites chapelles de nos campagnes : est le plus jeune des élèves. Gomme il lui faut eucore vivre une vingtaine de mois avant d'en Bout er beleg gredus arsau doh an noter trer à la caserne, ses maîtres lui trouvent un li kenig en aburh, o douster I poste de professeur dans une institution libre O douster ! de Paris. Le votià dans ta C<pitaie il ne se plaît gué e dans cet'c immense ville « aux Cette douceur, il ne la connaî ra pas. Un rè tourmentes fataies ». L'étude et la p 1ère occuglemeut inexorable commun aux grands sémipent sa pensée. Au sortir des sanctuaires piinaires bretons, lui interdit les Saiuts-Ordres. vllégiés de Paris, il aiine à diriger ses pas veis 11 m t confie les motifs de son exc.usiou dans les quais de la Seine, pour y fouilier .es boî es une lettre datée du 20 août 1911... des bouquinistes. Il expédie au r e c e u r de Groix « Je vais rentrer dans le monde, gagner du quantité de livres, pour constituer une bibliopain pour mes frères et soeurs et pour ma mère thèque paroissiale. Il consulte les Archives qui attuiut ses 00 ans et ne peut guère pius tra Nationales, y recherche des document» en vue vaitler pour les nourrir. A ma sortie de caserne d'écrire une histoire de I lu- de Groix. Il possé je préparerai mon brevet pour devenir probadait avant la déclaration de la guerre, un vo.u b i e m m t instituteur libie, peut-être à G o u . . . mineux cahier reufe inrnt le fruit .te ses découLe motif de mou excludo r n'a rien de désho vertes; il s'en est servi pour retracer la v c de : norant, tu le vols... Ma mèie n'en sait rien En Eutru Uzel, person G roi (IG95 17l7j publiée encore, ou va lui apprendre la triste nouvelle par tranches dans la Croix de l'Ile de Groix, en ces jours-ci. Quel coup pour e l l e ! J e te de1908. En cas de mort, m'a t-ii répété, je veux mande, cher Léon, un bout de prière pour les qne ces documents soient remis au D' Vincent, miens et moi. Je vais en avoir tant besoin, médecin militaire qui rédigea j idis une notice (juand même, avec ia grâce de Dieu, je ne me sur l'Ile de Groix. J'ignore ce que sont devenues découragerai pas. » Il était bien de cette race : ces pièces précieuses, si pati mment recueillies. Que rien ne peut dompter quand elle a dit : Au printemps de 1909, il quitte la Capitale pour se rendre au collège Salut Joseph, de [je veux. Unizeux) Reims. Là, il occupe un modeste poste et pour Il quitte la caserne, à la fin de septemh e oublier ses misères, il écrit des poésies pour 1911 Son rêve d'être instituteur libre, dans son Dihunamb, des artic'es po^r le Réveil lireton île, ne se réalisera pas non plus. L'exil loin de Loeïz Herrieu et Mellac, pour la Croix du de la Bretagne, l'attend. Le 2 février 1912 il Morbihan du r'-gretté Xavier Iiostin, le fou me fait savoir qu'il se trouve à l'Institution gueux polémiste catholique qui vient de mouSaint Joseph de Mesnlères ^Seinr Infé iuuiv). rir. C'est à Reims que vire t le jour : l'urdonel « Ayant commis la bêtise de venir ici, sans fixer d'emb hun offanseu, pièce en un acte, dont j'ai à l'avance et d'une façon formelle les condi retrouvé le manuscrit et « Jiudiunt Groai.pc Er tinns de mon entrée dans la maison, j e me Menak Tudi, hoari souehus e pe.up loden .. dont suis vu au bout du compte, forcé d'accepter la je ne possède que quelques feuillets. plac ; du comptable qui venait de partir. Et me En octobre 1909, il me fait « assavoir » qu'il voici depuis novembre, alignant chiffre s u r est depuis un mois à Vitré, soldat de 2' c asse, chiffre, fourré jusqu'au cou dans la comptabi au 70' d Infanterie, 7' compagnie. J'en ai pour llté, en partie double dont je n'avais pas même deux ans dans cette abjecte caserne, infernale idée avant d'y venir. Je ne sais pas si j'en ai école de dégradation des Bretons... et des davantage depuis. C'est un travail écrasant. autres. Je ne suis pas malheureux : bons chefs, Pas une minute de repos, même le dimanche. bons camarades. Mais quelle immoralité I... Je n'ai pu faire qu'un article de journal depuis J'ai demandé à faire le cours des illettrés, et je le que je suis là, alors que j'en avais fait d'iuuomfais, en breton, à quarante bretonnants. Prie brables à la cascrnc... l u as du savoir que pour que Je leur fasse un peu de bien, au point t'Hermine était morte. C'est ce qui m'a fait de vue chrétien et breton. Cest dé'icat, car il transporter mes pénates au « Clocher lireton » m'est interdit de leur parier de lelig on. Mais : dont je compte devenir plus tard ie collaborateur assidu, puisque notre projet de revue à « Le breton dans les mots brave l'autorité... » nous, momentanément du moins, a éclioué La Icître qu'il m'adressa, le 11 avril 1910, faute de ressources. » jour de ma fêle, serait A citer tout entière. Il a Nous avions, en tiTci conçu le dessein de fou • versé en elle, tous le« trésors de son cœur der une revue mcusuclle pour le pays de Cord'ami. Ayant appris que je souffrais phy iquenouallles, sur le modelé de Dihunamb. Elle ment et surtout moralement, il trouve les plus aurait eu pou; titre ; Ar C'horn Boud. douces expressions pour me réconforter, pour A cette époque, es Séparatistes bretons, Le m'encourager. Il me fait parvenir le remar Mercier d'Eriu, Louis Le Houx,etc. tentent de le quablc livre de Blanc de Saint Bonnet : La conquérir à leurs Idées, li raille spirituelleDouleur. « Ce livre, me confle-t-li, avec mon ment la doctrine de ces «frères de Bretagne Imitation, me suit partout. Il est un peu dûr ù égarés dans le brouilla d », leu démontre le lire, mais les pensées sont si belles, elles te danger que ferait courir à notre chère province feront du bien. » Il me demande où j'en suis la réalisation de leurs conceptions. « Au point de mes études : « J'ai hâte de te voir revenu oe vue breton, le seul auquel Je me sols j a en Bretagne. Alors, nous reprendrons, quelmais placé pour écrire Ici, (Pa/s Breton du PU ques uns des rêves d'adolescent commencés à juin l'JU), le séparatisme est plus qu'une chl Sainte-Aune, rCves do résurrection et de granmère Irréalisable, c'est un rdve Indéniable, une deur pour U Patrie aimée, sauf Dieu, plus que nuée pour parler le langage k la W O de, c'cat Bs Numéro contient un Supp'enwt I) l a S J L 3 4 J D D I «¿MHMMMU M p*Unt 4'CMMM, muf CMMN] limu tu purum du J « m im i f it >JU|M meto. On rubonnt «» bnrtc* injcurmU. ON ptut «'«TNWR lt«limint, MM irait ton* leu« Ut bnrmu» it put «w tntort a » « t r a u « n i u n mandat-potu «* Dirttítur, W. Léon LE SERRE platt l i r w » OnUmptrU. D l r a o u u p s Léon LE » K R I M nÍDAtrriOM, ADMIMISTHATIOP « AMKQHOBM A QUIMPERLE, Pia«« Nervo, o* • Ma R I L I P H O N I , N» m Aértu. Tilifraakuiu, , Union, QulmP«Flè une erreur proioude et tune te'q il iaut co:n ba tre. Inlassablement, nous la combattrons ! » Il s'ennuie grandement à Mesnières, et désire trouver un poste • Paris qui lui permettrait de pré,.are une lietncc quelconque, l'h stoire prob a b e m e n t ; après réussite, il essaierait de se caser en Bretag e, comme inofesseur secondaire libre : « J'aurais aussi du temps pour écrire les livres bretons et français que je rêve ». Il me prie de l'aider à découvrir la situation qu'il doit occuper. Après trois ans de séparation, je le revois à Paris, en juillet 1912, il retourne en Bretagne. Il avait grandi, mesurait 1 m. 35, avait le buste large, la tête puissan e, avec la mâchoire inférieure légèr. ment proéminente, le regard clair, la ligure énergique, une physionomie de penseur et de lutteur. Un pli de souffrance marquait le fiont. Il avait conservé son enthousiasme de jadis, avait foi dans l'avenir. Il me tient compagnie tout un apiès-midl et m'ap prend la prochaine parution, à Lorient, d'une revue d'Action Bretonne, « la plus vivante de toute la Bretagne, à sympathie catholique ». Yves Le Dioerderen aurait la direction principale; elle s'appellera <• Briitia », c'est le nom vieux celtique de la Bretagne, d'après d'Arbois de Jubainville et René Le Roux qui font autorl:é dans la matière. Les principaux collaborateurs seront Nleven Mordiern et ton serviteur. De confiance, j'ai fait mettre ton nom de guerre parmi ceux des collaborateurs. Un peu plus taid. Il m écrivait de Groix i « Le premier numéro de Britlia va paraître. Tu connais sa ligne de direction. Le jour où, elle cessera d'être ce qu'il est entendu qu'elle sera, j'ai dit à Diberder que je tue séparerai publiquement de lui N us ferons, en doctriue et en littérature bretonne tout le catholicisme et les actes de foi que nous voudrons. La revue ne recevra aucun article qui puisse porter ombrage à l'orthodoxie la plus stricte. Cela a été dit et redit. Ma colla boration n'a été acquise qu à ce prix ». Et voici que j e reçois, en septembre 1912. coup sur coup pto:>ieurA m i s s i v e s d e J e a n - Pierre. « Je n-' retourne plus i Mesnières. Vols au gslop, s'il y a encore quelque poste vacant à l'Ecole supérieure de Commerce et présente moi. comme candidat. Réponds-moi, illico. C'est t r è s pressé ». Continuant mes étud s de médecine, à Paris, j'étais alors interne dans ce grand établissement d'instruction de l'Avenue de la République. En l'absence du directeur, le sympathique M, Wiriath, je m'adresse à MM. Dupuis et Etevé sous directeur et surveillant général. Je leur expose la requête de mon ami, et sur ma recoinmanda'ion sans même l'avoir vu, ils acceptent sa collaboration. Léon PA.LAV2L Docteur en Médecine, (A Suivre) Bretonne B ï t E I Z i V T A O ! Da studierien bretón Raozon, liadvodet goude ar Brezal vraz Ar broadou braz, gant fulor, Evid difenn « ar gir Euor » O deuz 'n cm daget pevar bloaz Ha kalz pe neubeud int bet waz ; Mez d' o heu , ar broiou dister Zo eat ive d'ar brezel ter. Poloniz lia Bohemianed, Rournaniz ha Greslined, Finia diz ha Tud Lettoni, Armenianiz, tud Arabi, Ukruniz ha Yoogo-Slaved Vid o frankiz a oa savet. Eur bern poblou, dlsanve dcc'h, Hirio a zo kiset d an nec.'h, Mez iaou mk int vid ar Frankiz N:Í n'int ket daré en peb G 2 ; Gant al liberte, vid c'hoari, A reont peb a reveulzi. Er c'heid-zc, en Kuz Heol ar Bed E ma pobladou ar C'helicd O deuz skuiilet o gwad dre holl Vid harz ar Frankiz dond da goll : Tud ar Sitos lia tud Iverzon, Tud Keumri hag ar Vro vreton. Hlnt en om gann war bep tachen Pa zo cun gwasket da zlfcun ; Vid ar re all c labouront O hunan en cm ankoueont; Pi-'u nn cuz gwclet ar gwenan O tibí i o mel o hunan ? D'ar gear e tistro' r Brciz id Karget a lore... lmg a wad, Mond a ra d'e dammlk labour En p e n ar bed, vel eur Gcdour, E dal war ar memez ero Ec'h adkrog c vuez c'houcro. Mez ar ouenii ze zo nivarvel I Reveulzi, Kerne/, na Br<zil N'ali hlj il anc'i war he men, Heurta, bouia. ze a zo veo I Petra ra d'eomp an hanó? Ar Frankiz zo'ii hou c'halono. Evcl ma oa Volt an taol chao Hon B eiz a chorno Breit atao, Varc'hoa* e vo vel ma oa kent, Med he spered, kresket e vent, A tintro. uhel ha digor, Evel eur Tour-Tan war ar mnr. Jaffiennou TALDIR MeUrz içlp TRADUCTION Bretagne toujours ! Aux Etudiants Bretons de Rennes, regroupés après la grande Guerre. Les grandes nationt, avec furie, pour défendre le « point d'Honneur « se sont battues quatre ans et peu ou beaucoup toutes ont souffert ; mais à leur suite, les petites nations sont allées aussi à la guerre. Polonais et Bohèmes, Roumains et Grect, Finlandais et Lettons, Arméniens et Arabes, Ukrautens et Yougo-Slaves, pour leur liberté se sont levés. Des tas de peuples, inconnus hier, aujourd'hui sont portés aux nues, mais ils sont un peu jeunes pour la Liberté, ils ne sont pas mûrs pour elle ; de leur liberté, en guise de jouet, ils font chacun une révolution. Pendant ce temps, à l'Occident du monde, les peuplades des Celtes ont répandu partout leur sang pour empêcher la Liberté de sombrer ; les gens d'Ecosse et d'Irlande, les gens de Galles et ceux de Bretagne. Ils vont se battre sur fous les champs-clos où quelque opprimé appelle au secourt ; ils travaillent pour autrui et s'oublient euxmêmes ; a-t-on jamais vu les abeilles manger leur propre miel ? Le Breton retourne chez lui chargé de lauriers... et dt sang, il reprewl son petit travail au bout du monde, tel un guetteur, et le front courbé sur le même sillon, sa vie amère recommence. Mais cette race-là tion. ni Famine, est immortelle! ni Guerre ne peuvent Révolul'ébran- 1 A B O N N E M E N T S (V« IM «almperlé (ville) 9(V Finistère e t départements limll Irophes 9 Autres départements.. ••••••••¿i* 10 ColonleB et étrange* 12 » Heure d'été. — Elle entrera en vigueur, dans la nuit du 29 au 30 mars, pour la France, la Belgique et la Hollande. L'Angleterre n e s'exécutera que dans la nuit du 12 au 13 avril T r a i n d e m a r é e » — Depuis le i " mars, un train de marée supplémentaire quittera Quimper, le soir, à 17 heures, avant le train 130 et emportera la m a r é e pour les au-delà de Redon vers Nantes et le Centre. Le train 130 emportera désormais la marchandise pour les au-delà de Nantes vers Bordeaux, au départ de Douarnenez. Le train de marée d u soir facilitera l'évacuation des arrivages de la matinée et des premières heures de la soirée, spécialement des merlans. Horaire du train ; Départ Quimper, 17 h. ; Lorient, 18 h. 50 ; Auray, 19 h . 45 ; Redon, 21 h. 7 ; Savenay, 21 h. 54 ; Nantes, 23 h. 11. • • « Le syndicat des mareyeurs et expéditeurs de Bretagne et de Vendée a tenu son assemblée générale samedi dernier 1«' mars, à Brest, sous la présidence de M. Henri Gadel, président du Syndicat. Au cours de cette réunion, diverses questions concernant la corporation ont été étudiées. Société archéologique du Finistère — Dans sa dernière séance. M. Le Guennec préseute de la part de son collègue M. Le Goaziou. un rarissime opuscule imprimé à Paris en 1576 par Jacques Kerver. C'est une traduction en langue bretonne du fameux catéchisme du Père Canisius, triductioa faite dans le but d'arrêter les progrès des doctrines calvinistes. Cette traduction ainsi que celle d'un autre petit catéchisme pronal qui lui fait suite, est l'œuvre d'un prêtre carhaisien, Gilles de Saisy-Kérampuill, recteur de Ctéden Pouer et seigneur de Bigodou, près Morlaix. Gilles de Kérampuill a également composé des « Heures Bretonnes » doQt on connaît seulement deux exemplaires. Il est mort à Rennes en 1573. L'Union Agri. cole en a récemment parlé. M. Troalen, agent-voyer d'arrondissement, Telle elle était avant le coup-de-chîen, telle signale la menace de destruction qui pèse sur notre Bretagne reste Bretagne toujours. Demain les ruines de l'église de Saint-Colomban à elle sera comme hier ; mais son esprit, élargi, Quimperié. La Société est d'avis d'attirer sur ce brillera, haut et ouvert, comme un Phare sur point l'attention de M. le Maire de Quimperié. la mer. M. Troalen annonce d'autre part la récente trouvaille au cours des travaux d'adduction d'eau, au Rouas, d'une cachette de fondeur contenant des armes de bronze qui ont été déposées, partie dans un coffre du chantier et partie au bureau même de M. Troalen. C'e.t S u r les b o r d s d u r u i s s e a u a l l o n s r i r e r c e soir I . . . ce dernier lot que nous avons vu. Il y a là de L ' b i » e r a est f a n p t u s d o u i et in p a i i s i p r o f o n d e . N o u s i r o n s l e n t e m e n t , le c c e j r e m p l i d ' e s p o i r très beaux spécimens de l'art celtique des Nos baisers se u l c l a n t à la r u m e u r d e l o n d e Gaëls du IX' au III- siècles : des haches, des pointes de lances et de flèches, un morceau S u r les b o r d s d u r u i s s e a u a l l o n s r ê » e r c e s o i r ! . . . très reconnaissable de cuirasses, parsemé de Nos pas s arrêteront s o u s l'égide d u s a u l e la répétition des cercles de l'Existence, un glaive L ' o m b r e nous vêtira d ' u n cdaste m a n t e a u noir El t u m e l t r a s ton I r o n t a u c r e u x d e m o n é p a u l e identique à ceux du Musée de Dublin le tout naturellement en bronze, coulé, pour les haS u r les b o r d s <iu r u i s s e a u a l l o n s r ê i e r c e s o i r . . . ches et les pointes, dans des moules de boue J e c h a n t e r a i p o u r toi l ' a m o u r e u s e c h a n s o n desséchée ; pour le débris plus délicat de la Et p o u r m é n a g e r d e m a i n l ' h e u r d e n o u s r e v o i r cuirasse, dans un moule de cire. Tous ces S o u f f r e q u e j * te m è n e « u s e u i l d e t a m a i s o n . . . objets, qui Jont en bronze, étaient réunis dans ENVOI : une petite cachette située à 0°40 ou 0~50 de E c o u t e ce q u e d i t l a b r i n s I profondeur, Les recherches faites à l'entour S a h a r p e te p o r t e u n b a i s e r . . n'ont pas donné de résultat. M. Troalen a fait U n p a r l u m dont la s e n t e u r grise part à M. Waquet de sa découverte. S u r ta Itrra »a se p o s e r I M. Troalen a également fait part de la déM e s s a g e r d i s c r e t et f i d i l e V e r s loi s ' e n r c l e à tire d ' a i l e , couverte de pierres sculptées dans le parapet Le s o u i l l e a r d e n t d e m a f e r r e u r . . . effondré du quai Brizeux, b la suite da l'inciAs t u s e n t i sa d o u c e h a l e i n e dent de la camionnette, accident relaté par T r a T e r s a n t le m o n t e t l a p l a i n e 1 Union Agricole. M. Troalen a bien voulu nous S ' a r r ê t e r s u r ton i r o n t r ê t e u r ? communiquer à ce sujet, les renseignements PAULUS puisés dans une notice rédigée en 1877 par M. Rames, ip-u-2) A. de Miniac, ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées. Voici ce qu'en dit expressément M. de M niac : « Après ces vicissitudes (La Ligue) une période de calme permit à la ville de s'étendre et au commerce de se développer. Vers 16X0, les murailles furent démolies et les matériaux qu on en tira servirent à la construction de reL e s C h â t e a u x d e T u u r a f n e e t d u vêtements des berges des rivières et d'un quai U l ê s o i s e u a u t o m o b i l e . — Quatre cirde navigation qui occupe l'extrémité amont du cuit« au départ de Tours (placo de la Gare.) pont actuel »>. Deux circuits au départ do Bloi» (Place de la Ces lignes appellent plusieurs réserves. Gare), du t " avril au 19 octobre 1924. D'abord les remparts démolis en 1680, ne deEn vuo do permettre la visite rapide et pravaient être qu'un simple mur de ville et non tique des plus intéressants ohateaux des de sérieuses fortilleations. En effet une e n bords de la Loire, lu Compagnie d'Orléans quête relevée en 19'21, par notre collaborateur organise les circuits ci-après : Daniel Bernard, à la Chambre des Comptes de Au départ do Tours. — A) Tours, Loches, Bretagne, & Nantes (1) et remontant à 1495, déChenonceaux, Amboise, T<»urs. Prix par montre clairement qu'à cette époque, les remplace : 34 francs. Départ à i) heures. Retour parts n'étaient déjà plus en maint endroit, vers 18 h. 45 ; b). Tours, Viilandry, Azay-Iequ'un souvenir lointain. Peut-être des parties RidPau, Chir.on, Ussé, Langçois, Cinq-Mars, en subsistaient-elles dans la basse-ville, tout Luyues, Tours. Prix p a r pUce : 35 francs, proche du monastère, en 1680. C'est d'ailleurs drpart à 9 heures. Retour vers 18 h. 30 ; C). vers cette époque que Dom Charrier, abbé Tours, Chenonceaux, Amboise, Tours. Prix commendetaire de Saiute Croix, entreprend la par place : '25 francs. Départ à 13 heures. réédiiicatlon de l'abbaye, jusque là de style roRetour vers 18 h. 30; d). T o u r s , Luynes, man, et en fait un beau spécimcn de l'archiCinq-Mars, Langeais. Azay lo-Rtdea.u, Viilantecture classique. Dès lors, on s'explique la dry, Tours. Prix par place : 20 franev. Départ présence dans le parapet, de débris de cornià 13 heures. Retour ver« 18 h. 30 ches sculptées, provenant sans doute des d é Au départ do Blois — 1. Blois, Cboverny, molitions de l'abbiyc et mélangées à celles des Ohambord. Blois. Prix par piace : 15 Jrancs. remparts. Départ fi 13 heures. Retour vers 17 h e u r e s ; II. M. Waquet soumet le programme de deux B.ois, Chatnbord, Chevorny. Chaumont, Blois. excursions projetées pour la belle saison. L'une Prix par place : 22 francs. Départ à 18 h e u r e s , aura lieu dans la région de Concarneau, Pontdelour vers 18 h. 45. P o u r la location des Aven et Bmnalec ; la deuxième fera visiter les places iun franc par place) ot l'indication d e s monuments des communes de Briec, Edern, jours de mise en marche, s'adresser : a u x Lango en et Landudec. Il est à désirer que les gares de Tours ot de Blois ; aux Bureaux spéexcursionnistes s'inscrivent plus nombreux ciaux du Service automobile, 8, boulevard que l'année dernière où leur nombre trop resBê-anger, Tours et 2, Place Viotor-Hu^o, treint a causé un certain préjudice aux flaau* Bloia ; à la gare de Pans-Quai d'Orsay ; à ces de la société. l'Agence de la Compagnie d'Orléans, 16, Boulevard des Capuciues, a u Bureau do Rensei(I) Et non ani Archives du Finistirt, comme nous gnements, 126, Boulevard RasRail, Paris. ' Citions dit ptr erreur dans le Quille itn Touriste, édite pt( It «jndiwl d'imtiRtiM. ler sur son roc : il est vain de secouer, de pousser ! Que nous importe le nom ? La Liberté habite dans nos coeurs. Sur les bords du ruisseau Chronique Régionale U n e e x c u r s i o n h i s t o r i q u e . — La a Société Cambrienne » d'Archéologie doit se rencontrer 1« 19 août prochain avec la locléti Poiymathlque du Morbihan pour visiter avec elle les grands monuments préhistoriques de Carnac et de Lohmarlalc er, Cette excursion scientifique aura Ueu sous la direction de M. Salomon Relnach membre de l'Institut de France, conservateur du Uusie des Antiquités nationales d* Saint-Qermaln-en-Laye. x x x x x x i x x i x y ^ x y x x y x x Avant d'acheter un BIJOU une MONTRE -, v o y e z le B e a u C h o i x et le9 P r i x de la - BIJOUTERIE- LANGRÉE 6, Ru* d e s Kooles, 6 Q T J I M P H E L É Montras-Chronomètres de Précision •UP - LO\GI\ES OMÉGA — U M C P O P — ZÉNITH RÉVEILS : 15 Fr. Oarlllons Wesmlnster : 350 Fr* BIJOUTERIE F i s — O r i a t — des trois dernières années diminaée de 10 0/Q. que des pommes de terre de primeur accnm pagnées d'un certificat émanant d'un groupe ment professlonel habilité à cet effet par le directeur des services agricoles du département sISge du département. ¿> Les droits sur l e s t r a n s p o r t s d e p o m m e s . —• Le double décime ne sera pas appliqué aux droits sur les cidres et aux droits de circulation s ni les pommes à cidre. MM Alexandre Duval et Join-Lsmbert, députés de l'Eure, avalent, par un amendement au projet de loi soumis à la Chambre, demandé que le double décime ne frappe pas les droits de circulation sur les cidres et fruits à cidre. En offet une loi du 22 février 1918 a Boumls les fruits à oldre et à poiré oiroulant hors du oanton de récolte et des cantons limitrophes, ou ^ destination des villes de plus de 4 000 habitants, aux mêmes droits et formalité que les oidres et poirés. Sur l'intervention do M. Alexandre Duval cet amendement a été admis. Las droits qui pèsent déjà si lourdement sur les acheteurs de pommesda nos (Villes no seront donc pas augmentés, si le Sénat admet comme le Gouvernement et la Chambre, l'initiative des députés de l'Eure. E x p o r t a t i o n d e s c h e v a u x . — La Chambre syndicale du commerce des chevaux de France porte le déficit de notre effectif che valin & 100.000. Le diott de sortie de 10 0/o ad valorem, institué le 16 février est Insuffisant et iuopérant contre les ravageurs de nos foires. Il faut porter ce droit 4 30 0/o au minimum et l'exiger en or, comme nous avions été obligés de le payer nous-mêmes pour les chevaux achetés en Amérique il y a huit ans. Main d'oeuvre I r l a n d a i s e . — A titre d'essai, un premier contingent sera réuni pour être réparti dans quelques départements, purml lesquels se trouve celui de l'Orne. Aucun Irlandais ne consentira s'expatrier pour gagner des salaires Inférieurs & ceux qui suivent : 150 4 200 fr. plus nourriture et le logement pour un homme adulte ; 120 4 1S0 fr. pour un jeune homme ; 100 4 120 fr. pour une temme. f o i r e s de la S e m a i n e Lundi 17 mzrs. — Douarnonez, Ouilvlnec, •uimiliau, Lanmeur, Ploudalmczeau, Sizun, Qourin, Auray. Mardi 19. — Lambézelleo, Peumerit, Plouénour-Ménez, Telgruc, Le Faoufit, Plouray, Hostrenen. Mercredi 19. — Dirinon, Ploaré, RelecqKerhuon, Kernascléden, Bubry (St-Yves), Le Vieux-Marché. Jeudi 20. — Chateauneuf, Huelgoat, Plou guerneau, Plounôvez-Lochrist, Pont-Croix, Hosporden, Eté', Lézardrieux. Vendredi 31. — Loqueffret. Samedi SS. — Loe-Eguiaer-Saint-Thégonneo, Pouldreuzio, Le Saint. M u r â t Gentleman Irlandais leçons anglais donnerait •XXXXXXMXX P r e r o f s t i o a do f e r a t f * . — Le décret du 9 novembre 1919, article premier alinéa premier« accorde une prorogation de bail d'une année à tous les fermiers et métayers mobilisés qui n'ont été mis à même de reprendre sur place la direction de leur exploitation que pos térteurement au 1" septembre 1917, & la seule condition que leur bail prenne (In ou ait corn aeneé I courir dans la période du 1** janvier au Si décembre 1920. Ce texte ne fait aucune distinction entre les baux qui ont commencé à courir avant la déclaration de guerre et ceux qui ont été conclus ultérieupement. (Cour de Cassation, 9 janvier Î92't L e t r i c o t à l a m a i n . — Nos lecteurs eL ceux du Rioeil Breton liront avec Intérêt le rspport de M. Choleau sur la protection de la dentelle & la main {et sur l'extension de la proposition Constant.au tricot à la main. Ce rapport lu au Congrès de la F. R. If , à Qui m per, en septembre, a été également communiqué 4 l'assemblée générale de Ylnion des in duitriel» à Vitré. M. Choleau Intervient, de plus, prës des Chambres de commerce, groupements professionnels, députés, autorités compétentes etc., et reçoit en ce qui concerne la protection du tricot à la main d'excellentes promesses des députés Constant et Taurines. Les coupures des C h a m b r e s de c o m m e r c e » —-, Des réclamations sont parTenues de Lorlent 4 la Chambre de Commerce au sujet du refus d'accepiatlon par quel ques commerçants ainsi que par certaines administrations, des coupures de 2 fr., i fr., cin quante centimes, émises soit par la Chambra de Commerce de Lorlent et du Morbihan, soit par le» autre» Chambre» de Commerce de France. Nons croyons devoir rappeler à ce sujet que les billets en question ont toujours cours et doivent être acceptés en paiement par les com mariants et Industriels ainsi que par toutes les administrations publiques. Un avis qui sera inséré dans toute la presse fera connaître ultérieurement la date à partir de laquelle ces coupures cesseront d'dtrc acceptées. Mais un certain délai sera accordé ce moment aux porteurs des petits billets à l'effet pour eux d'obtenir leur échange soit contre des billets de la Banque de France. D R A P E R I E S • • • • • HAUTES NOUVEAUTÉS A. LE DËROUT Tailleur pour Ville & Campagne QUIMPERLÉ (Maltón l e Roed) L'exportation d e s pointues do t e r r e . — Le Journal Officiel a publié le dé. cret suivant : « Est rappporté, en ce qui concerne les pommes de terre de primeur exportées du 1" mars au 1" mal, la dérogation & la prohibition de sortie, édicté, par le décret du 12 juillet 1919. « Toutefois, des exeptlons 4 cette disposition pourront être autorisés moyennant le payement d'un droit de sortie de 10 0/q ad valorem, et sous les condltlous cl-aprds, qui oarront être modifiées ultérieurement, si esoln est, par le ministre des Finances, • Ne seront admises 4 l'exporta*Ion, jusqu'à houvel avis et daus la limite d'un contingent qui, pour chaque région de production, ne pourra dépasser U moyenne de« exportations E littéraire et commercial et l e ç o n s d e violoncelle. S'adresser à M. K. J. Mao Geoghegan, Ty-Breiz, Morlaix. Qulmperlé Obsbques. — 11 est toujours pénible le spectacle des funérailles, même d'un Inconnu Uu sentiment de tristesse, plus grand encore, vous saisit, lorsque vous vous trouvez en présence du convoi d'une jeune tille, que vous la saviez, hier, pleine de santé et souriant à la vie toute de promesse. Au<si, les foules qui ont assisté, ces derniers temps, aux obsèques de Mlle Odette Mauduit, et, dimanche dernier, celles de Mlle Eugénie Even, morte« toutes deux, aux environs de la viugtiême année, ne dissimulaient elles pas leur émotion. Des larmes et des fleurs ont été répandues sur ces tombes prématurément ouvertes et cela, avec d'autant p¡us de sincérité et de sympathie dou lonreuse, que ces deux jeunes filles n'avalent jamais refusé leur concours aux organisations des oeuvres de bienfaisance, notamment à la cavalcade, il y a deux ans, et qu'elles étaient comme le sourire gracieux de notre Ville. En ces pénibles circonstances, nous prions leurs familles d'agréer nos très sincères condoléances Servie« pharmaceutique. — Demain, dimanche, le service pharmaceutique sera assu'é par la Pharmacie HAtiltlAL, plate Saint-Michel, Arzano Irresee, — Lo forgeron François Enlz*n, de la rue du Temple, & Pont-Scorll', observait la rotation dus globos célestes, ie 4 mars, I 17 heures, près l'entréo du bourg d Arzano, au travers do ses lunettes d'ivrogne, il tomba d admiration à ce spectacle auquel le ravirent les geudarmos. Pacage. — Six vaches, appartenant ét Pierre, uo Keriarec, brouta'ent l'herbo du grand chemin, le K mars, a 10 h. 40. Que n'étttient-ellos dans lo champ de Pierre î Trémôven Fermeture tardive. — Mathurin, débi tant à la Lande-des-CliSUaigniers, servait & boire a une dizaine d'altérés, dimanche sol 9 mars. Los gendarmes lui servirent un p.-' Baye Défaut d'éclairage. — Le 11 mars, 19 h. 45, Louis de Poul-Tréou, n'avait pas de lanterne à sa bicyclette. P. V. — Jean de Locqultlec, s'est va dresser la même contravention pour le même motif. — Pierre et Alexandre, du même village que le précédent, se trouvait dans le même cas. Le Trévoux Arrestation, — Le 7 coarant, vers 12 h. 30, Mme Malcoste, de Castel-Névez, s'absenta de chez elle ponr vaquer a ses occupations, laissant sa porte simplement fermée au loqaet. Profitant de cette absence, son neveu, Cyrille Malcoste, 21 ans, de Bannalec. pénétra chez elle et subtilisa un portemonnale contenant deux billets de 6 francs et quelque menue monnaie. Arrêté quelque temps après par les gendarmes. Malcoste commença par nier mais, confronté avea plusieurs témoins, 11 finit par passer des aveux. Il a également avoué être l'auteur d un vol de 32 francs au préjudlae de M. François Mouchicourt, ouvrier peintre, avenue de la Gare 4 Bannalec. Malcoste a des antécédents déplorables. Il sort d'une colonie pénitentiaire. Il aurait dépensé le produit de son vol en s'amusant 4 l'occasion du Carnaval. Conduit deyant M. le Procureur d« U République, |1 h <tl ensuit« ieroué, •<>4 • 4M faites- vous habiller chez E. L E G U E i M N O l 2, place de* Capuolns QUIMPERLÉ BONNE COBPE ; | BONNE QUALITE Msl'lsur marché que partout ailleurs Bannalec Mort accidentelle. - Samedi 8 mars, vers midi, M. Bourhls, du Querneo, trouva, dans son champ, le cadavre de la veuve Baocon, 63 ans. Il prévint aussitôt le fils de la victime, Alain B*ccon, commis épicier au Verger Ferreo. Immédiatement, lecadavrà fut retiré du I o j s ô où il était étendu sur le dos» les Jambes repliées et le bras gauche sur la poitrine ; près de lui, la canne et la coiffeCette femme habitait avec sa tille, Mine Le Dœuff, ménagère à Stang-Hael, depuU 4 mois. Elle ia quitta le 6 au matin pour se rendre au Verger Ferreo, voir son llls Louis, permissionnaire. Vers midi, elle se trouvait à StangQuorneo, au débit Mestrlo, où elle mangea et but surtout- Elle s'en alla vers les 14 h. et so dirigea vers son but. à travers champs. Maladive et un p' u saoûle, elU sera tombée du talus qu'elle voulait escalader. Le cadavre avait le bras et la jambe fracturés. Circuit oyclisto. — Le grand circuit ! cycliste annuui « Aquila », organisé par M. H. Jiquel, du Bmnaico, sur un parcours environ de 100 à 150 kilomètres, sera dispuLe le U uiai prochain Ce circuii comprendra de nombreux prix. Les prix et ie parcours seront donnés ultérieurement. Apres la pisciculture À Baunaleo» — Le « Deuxième Cougrés National de l'Etang • organisé par l'Union des Syadloats de l'Etang ot les Services Commerciaux de la Compagnie d'Orléans a tenu ses assises les 14 et 15 février, au Siège de la Société des Agriculteurs de trance, sous le haut patronage de M. le Ministre de l'Agriculture. Cette manifestation présentait un Intérêt considérable du fait qu'elle devait fixer les progrès réalisés depuis le Congrès de 1918 et établir le9 directives à suivre pour développer rationnellement l'élevage et l'engraiskement du poisson dans nos étangs. Depuis cette époque on a importé en France des races de poisson d'élite, de grande précocité, pouvant aveo une exploitation bien comprise tripler et plus la produotion de nos eaux privées. D'autre part, tout en continuant l'élevage de ces types étrangers perfectionnes, des recherches vont ótre poursuivies, notamment par l'Ecole des Baux et Foiêts de Nancy, en vue de l'amélioration de nos races française qui, & m'en pas douter, donneront de* produits excellents, mieux adaptes 4 nos eaux. Les Congressistes oui examine en outre les perfectionnements S apporter au transport du poibson vivant et à l'organisation commerciale ils la vente afin de permettre au consommateur d'être approvisionne régulièrement et dans de bonnet* conditions par les p lucipaux marchés du Payn. Cette interessarne manifestation a ainsi réalisé le programme tracé qui était de rechercher les moyens propres à développer la production piscicole de nos étangs on vue de •'amélioration de l'alimentation nationale et de l'abaissement du coût de la vie. Clohars-Curno&t M . * >1»' M A U O U i r , 14, r u e dos Ecoles, Quunperie, p r é v i e n n e n t le punito qu'ils exposeront Dimaucbe proohain, 10 Mars, toute la j o u r n e e , u n e trôs g r a n d e quantité de C h a u s s u r e s p o u r F e m m e s , Hommes, Enfants, Fillettes et Garçonnets, a des prix exoeptionneis. Grand ohoix de souliers v e r n i s Allons, j e u n e s g e n s et j e u n e s l i l e s , n'hasitbE pas a venir tous au bourg. Speoialité de C h a u s s u r e s sur m e s u r e s . La Maison se oharge d« toutes les Réparations. Hlec-sur-Bélon Carnet do mariage. — Le lundi 17 mars, a 10 fheures en l'eglise paroissiale de Riec-sur-Béloa sera béni le mariage de Mile Marie GUrreo, de Lanirébelleo, aveo M. François Tocquet de Ruai en Treguno. Les repas seroni servis chez Mme Garreo a LanJrébelieo. Mlle Marie Qarrto est la s e u r de notre ancien employé, Thameo Qarreo, mutilé de guerre, deceiie peu de temps après ia Otdiure des hosiliileB Aux Jeunes (lancés, nos meli* leurs vesux de bonheur.j Sans lumière... une volturo à 2 roues, sa .s lanterna, appartenant à Youen, de LijouTrjbelieo, circulait par nuil obscure, sur ies 19 h. 40, ie 5 mars; moi» le gendarme circulait au»M. Divagation. — Les deux chevaux d» Peu Pont-Avon couraient »ur la grand'route, sans jock yn, ie 9 mars, a 11 h. 45. Vol d'e£Tets. — Lo 19 décembre 1923, Joseph Qouimelon, 28 ans, garçon boulanger chea M. Lo Villaiii, rue du Cimetière, & PontAven, étant soutirant, quittait M. Haoul, boulanger au oourg de Rino, où il exerçait alors son métier. Le 4 mars, de retour a Kiuo, il constata ia disparition d un veston et d'un pantalon. On acouse du vol un garçoa boulanger, surnommé Le Boi des Menteurs. Ce dernier so serait fait régler le 1B février et serait allé & Lorlent. Caisso looalo du Crédit agrioolo. — Los Sociétaires de la Caisse looale du Crédit agricole du oanton de Pont-Aven, sont convoqués, en Assemblée générale annuelle, le dimanche 30 mars prochain, à 9 heures du matin, salle Louis Quémar, au bourg de Rleosur-Bélon. Ordre du jour ; Compte-rondu des opérations au cours du l'anime 1923 ; paiement des intérôis sur parts ; questions diversos. Mutuello-Betail. — Les membres de la Sooioté d'assurances la Mutuelle Bétail de Ritc-sur UéIon sont convoqués en assemblée générale annuelle lo dimanche 80 mars, Cl 9 heures du matin, salle Louis Quémar, au bourg, pour entendre la leoture du rapport financier de l'exercice eoou>é et faire toutes propositions utiles sur le fonctionnement de la Caisse. Syndicat d'Elevage. — Los membros du Syndioat d'élevage du canton do PontAven, Bont priés do su réunir le dlmanehe 10 mars, à 9 heures du matin, salle Louis Quémart & KqreO, pour l'emmen do diverses questions Içs intéressant. — Sont égalnment invités h y assister les m-inbri s du eyndicat dr.s Agriculteurs de l'arrondissement de Quimpené (groupement de Rlrc-sur-Eélon^. Au cours de cette réunion, M. le Secrétaire général dn Syndicat des Agriculteurs de l'anondlssement de Quimperié fera une conférence sur les Assurances mu.uelies agricoles coatre les accidents» \izon Pas vacoiné... Joseph Gaudln, 59 ans, raccomo îeur de parapluies, vaisselle, faïences, de Basse-Indre, près Nantes, portait le 3 mars, & 9 h. 15, sur une route d- Nizon, une petite caisse en bois et de vieux péplni, mais sur sou carnet, nulle mention de vaccination. Gaudin ne se réjouit pis de soa mépris des découvertes de Jeum.r, c*r il est trôs gêné du p.-v. que cela lui rapporte. Névez JPas de lanterne pour éolairer les haridelles de Oorentin, de Kervraô en Trégunc, le 9 mars, ô 23 h. 15. JEolairons... tant que nous y somme?, où oous courons lo risque l'avoir comme Olivier, de Knrado, en faut«, sur sa becane, ie 9 mars, à 23 heures, les soucis d'un p.-v. f e r m e t u r e tariive. — La nuit avait paMee depuis longtemps du la couleur Isabelle au noir foncé, quand le 9 mars, à 22 h. 25, la débitant« de boissons de ¡¿roaz-Keranrun se décida à fermer sa porte. Alexandre CUZ1AT Cliirurg'ien-Dent iste de la Faculté de Méd-cine 31, rua Savary de Paris QUIMPERLÉ Consul'ations t o u s les j o u r s à QUIMPERLÉ, sauf le MERCREDI à BANNALEC. .w\\\\\\\\\\\v\\\\\\\\xv\\\\\v\v\\\\\v Scaêr Société de pScheure à la ligne. — La société « La gaule d« l Isole » qui s'est fondée pour le repeuplement des rivières et la répression du braconnige a immergé le 6 mars da s la rivière de l'Isole, dix mille œufs de truites communes. Les adhérents de cette société se sont engagés mutuellement i déaenser tons les braconniers. Plusieurs gardes assermentés surveilleront, les rivières jour et nuit et tous ceux qui seront trouvés soit à vider la rivière, ou pêcher avea des engins (Qlets, ligne de fond, chaux, etc,) seront traduits en correctionnelle, Bienfaisance. — Aux mariages de M. Vigot avee Mlle Le Gall ; M. Kerhervé aveo Mlle Le Goc ; M. Fou sard avec Mlle Duigou, on a recueilli respectivement 6 fr. 65 20 fr 05 20 fr. 65 au profit lu Bu eau de Bienfaisance, No» meilleurs vceux aux nouveaux époux. Prime à la Natalité. — Ont roçu la prime h la Natalité eu février : Mmes Capl taine, de Kervars ; Jégou, du Bourg ; Le Reste, de Keranguen ; Toupin, du Fermou ; Monfort, de CoadigoU. JPas do plaque. — Louis, de Kerméas, passant près de Kerignon, le 3 mars, a 11 h., regretta de n'avoir point de plaqua de contrôle. l HQüLOßERIE, BIJOUTERIE, ORFÈVRERIE !IJ. LE GOFF y j HOHLOQER Í 2, PUCE 6AM8ETTA (Haut de la rus Savary) i Jacques et Marie Louis Harnay. — Foussard Lucieu et Anne Le Daigou. — Le Naour Yves et Marie Louise Bteien. — Fraval Jérûme et Marie-Françoise Lsscoat. Magiset Joseph et Marie Cozlc. Décés. — Le Bihan Joseph, 36 an9, célibataire, de Kervennou. — Le Beux Mathurin, 8 ans, du Bourg. — Thomas Marie-Louise, 22 mois, du Bourg, Pour Assurances Incendie, Accidents, Vie P. A. S. »divssez-»ous ¡ Ä FUR,0 p< ,t Rosporden Athlétisme — Nous sommes très heureux 0 annoncer, que par suite d'une décision de ia commisbi m sportive des Patronages du Sud-Finistère, un concours d'athletisme par société, aura lieu è Rosporden, le dimanche 30 mars. Nous .'avons que VEtoile Sportive Rospordinoise, t'occupe activement, de. rehausser l'éclat de ce concours en faisant faire le déplacement à tous les patronages environnants. Des deialis complémentaires seront donnés ultérieurement. <oncarneau Légion d'honneur — Dans la promotion au ministère d-j riastructioa publique et d^-s Bo^ux A-ts, nous relevons ,ia nomination au grade d officier de ia Légion d'honneur, de M. L^guûl Gérard, l'artiste peintre si Qdèle & Concaïueau. dont il a reproduit en de nombreuses loue» t 4.4 app*eciees, ies divers aspects et les scènes si colorées de la vie courante de nos pôcheurs. Ua'il veuille bien agréer nos félicitations ! Syndicat des patrons pSohoura et armateurs. — Aux termes de la loi du 19 avril 1910, le« indemnités à acorderaux participant embarqués snr les bateaux armés ponr la pêche au large et à a petite pêche appartenant soit à des patrons ou à leur veuves, soit à des armateurs ne pos»4dant que des bateaux d'un tonnage inférieur à 50 tonneaux, prennent cours du jours de leHr mise à terre. Cette loi de 1910 ayant ainsi limité le tonnage des bateaux à admettre au bdneflee immédiat des allocations de la caisse de prévoyance, il en résulte que dés qu'ua navire atteint 50 tonneaux l'armateur et mime le patron doivent supporter les charges de ces allocations. Les patrons et armateurs, considérant que cette limite du tonnage des bateaux admis au bénéfice immédiat des allocations, et qui était alors rarement atteint à cette époque, est une cause d'empêchement de constrnction de bateaux de 50 tonneaux et plus, off. ant plus de sécurité pour ceux qui les montent et nécéssalras actuellement & la pécha an large (thon, langouste, sardines, sur les cOtes du Maroc et de a Mauritanie) et même de bateaux de moins de 50 tonneaux, en raison des prix élevé des constructions maritimes qui obligent les marins voulant posséder un bateau & faire appel 4 des actionnaires pouvant posséder un bateau de 50 tonneaux et qui devront supporter ainsi les charges de ces allocations. Vu les charges déjà très loardes incombant k l'armement (taxes d'armateurs, snr le chiffre d'affaires, etc et qu'aggrave cette stipulation. Emettons le veu que la loi soit modifiée et que la limite du tonnage des bateaux admis au bénéfice immédiat des allocations de la Caisse de Prévoyance soit porté de 50 à 100 tonuaaux. 1,11, , III B g g B B « M M — — B Q U I M P E R U f i : Taupes Fouineg Martres BAQUES, PROMESSES, ALLIANCES Putois j BOUQUETS FLEURS DO ' BANBERS POUB MARIEES Renards CADEAUX P O U R HARLAGES Loutres i j Réparations d'Horlogerie soiguées garanties Í Lapins I |j - " - PKNDULE8, À TOUS LKS PRIX M O N T R E S , REVEILS K. do a Quimperlé N* 814 K. du C. Qulmperlé n- 1828 Vol Ûtgrant. - Le 'J5 février, Yves Lutta , ilmuiiBiiqne chez M. Jean Burel, à Kersao, en Scaér, se trouvait indispose. Vers 18 h. 30, Mme Burel lui ayant apporté à mauger le lal-sa seul. U quitU son lit et alla tout droit, sur ses bas. dans la chambre d>j son camarade, "Yves SaïaSln, cumine lui domestique, au 1" étage de la maison, Il lui enleva une somme de 111 fr.. composée d'un billet de 100 'r., d'uu de 10 fr. et d'un de 1 fr. Cette soi îme était enfermée dans un portefeuille qui se trouvait dans U poche d'un paletot suspc, du à un clou, près du lit. Le vol commis, il alla à St-Quonole, où il arriva vers 19 b. Il échaugen ses billets aux debus Le Moigne et Toulgoat, où il prit du cidre et diverses marchandises, puis, afin de laisser sa femme ignorante du vol, il cacha le reste de l'argjnt dans un talus, près de sa demeure, et, le lendemain, 1« dépensa aux débits Berthelot et Trévaren. Le soir, 11 était complètement ivre. Salafin ne s'aperçut du vol que lo S mars. Lucas, arrêté lo refusa de marcher et on dut l'embarquer au train. MUt-Ciril du mois do février i9Z4. — Naissances. — Le Moing Joseph, du Bourg. — Capitaine Emilie, de Kervars. — Cotten J n an et Cotten Marguerite (Jumeaux) du Moulin Trôgman — rtivlar viarie-Purrine, do Kenesco*. — J<W'iu l\ig.»r du Bo irg. — Guiban H.inri, du Vo len. — Le IViste Jeanne, de Koranguen. — Toupin Mari-i-Loui-ie, du Fermou. — Jeannès Alain, du Moulin-du-Pont. — Bihôrec Môlanie, du Saint-Jean. — Cohennec Marie-Françoise, de Créménet. — Le Duigou Adrlenne, deCrémen-ît. — Petit Henriette, de Bividuel. •—Monfort Albort, de Coadigou. — Le Fioch Marie-Madeleine, de la gare de Coa'loc'h. — Lan Hoari, de Kerédec. — Bo cha i R 'lié, de Casca ieo. — Le Dé LouisMar e, do Toyal. Mariages. — Pensec Yves ot Marie Yvoune L* Duigou. — Si îquii Joseph et i\iarie-Anno Bon vio. — Hinvier Ta hurin ot Louise Calvary. — Kerhorv4 Jean-rtene et Marie-Louise L« Goc. - Vigot Auguste et Anna Lo Qall Ntrjlc Charles ot tout»« L« Dec, « Flotte? sont achetés au plus haut prix par M. HOTTE, 18, rus Savary, Quimperlé Quimper Meeting des familles nombreuses. — Bimanche. à l'Hôtel de France, eut lieu le meeting annoncé. MM Paul Simon, Balanant, Imzan, Bouilioux-Lafont, plusieurs maires et Conseillers Géuéraux. dont M. Le Louédee sont présents. Par oont r e M. Lt- Bail qui se trouvait à Châ'eaulin, n'est pas venu apporter ici les raisons uui militent en faveur de son opposition au vote familial. M. Le Louédeo pense le remplacer, mais il remet ses explications à uno date ultérieure, ce qui nous lait oourir ie risque de ne le? ouïr jamais. Peutêtre M. Le Bail et lui n'ont-ils à fournir que des raisons tirées de leur terreur de ce qu'ils appellent la réaction. En ce cas, c« sont eux les réactionnaires, s'ils ne veulent pas d'an progrès souhaité par la majorité de leurs concitoyens. D'un tout autre avis se sont montrés les députés démoorates,! Paul Simon et Balanant, qui ont toujours été, ainsi que M. Inizan et M. Jadé, absent, les partisans| du vote familial. M. l.orin, notaire à Qnipavas, prépare un rappon rès documenté sur le vote familial Le vote Umiual n'est que la oonséquence logique de la Révolution instituant le suflrage universel. C'est ce suffrage universel qu'il faut enlin établir pour que ne subsiste plus le oon* tresens actuel. M. Lorin réfute toutes les critiques formulées contre le vote familial, grÂoe auquel le gouvernement suivra une politique de la natalité. Les lois auront une réperoussion sur les mcuurs et sur l'hygiène publique. EUes combattront le taudis et les maladies populaires. Elles réserveront les bourses d'instruction publique aux enfants des familles nombreuses. En oe qui concerne les fonctionnaires, elle» poseront le prlnclpf qu'à, mérito égal l'avancement apparttanârt au père do famille, eto. * S u ^ j p A é m e p I fâuito d e 1«, IRécrioxietla T a x e d'armateurs. — Grâce a MM. Jean Jadé. Paul Simon et Battflflfcfcadminls,t ration pas M j ^ H l f des taxes d«rmateurs et l a m e a d g B M y a f t o r i j a n t les 720 tr. aux d e m i - s o i d j H r ne sera pas retiré Ainsi le déclare une lettre du sous-secrétaire d'Etat aux finances, M. d'Aubigny. I^a m i s s i o n hydrographique de Q u i b e r o t i . — La mission hydrographique du lieutenant de vaisseau Ardon, dans les parages Lorient-Qniberon-Belle-Isle, reprendra ses travaux le 1 " avril prochain et explorera 1« zone Groix Les Glénans, Qulberon, HouatHcedic, les Cardinaux. * V-3 ' • Tribunal Correctionnel de Quimperlé Audience du 11 mars 192-i Guilligomarch. — Tenue de débit clandestin. Quel est le citadin qui se promenant & la cam pagne, en -été, n'est pas allé dans une ferme boire du cidre qu'il a généreusement payé ? Le fait pour un cultivateur 4 « donner ainsi A boire occasionnellement à un promeneur constitue-t il »s tenue d'un débit clandestin ? Tel est le litige soumis au tribunal correctionnel par la poursuite intentée par le Ministère public coutre Mme Pavec, cultivatrice à Guisquër, en Guilligomarch. Cette dame, à qui une voisine, la jeune Noëlle Padellec avait volé une montre, porta plainte & la gendarmerie contro la voleuse. Le père de l'enfant furieux de voir que sa fille était inculpée de vol par suite de la plainte de Mme Pavec, dénonça cette dernière comme ayant vendu du cidre à lui-même et à deux autres personnes, alors qu'elle ne tenait pas débit.'Mme Pavec a été poursuivie devant le tribunal correctionnel pour avoir ouvert un débit de boissons sans autorisation préalable, ni déclaration. Mais & la suite d'une habile plaldoirie de M* Fournis, avoué, Mme Pavec a été acquittée. Bannaleo. — Chasse au fusil. — Goapper Joseph, propriétaire à Kerborc'h, avait, dit il, l'intention de demander l'autorisation de chasser les corbeaux. Mais, avant d'avoir demandé cette autorisation, il se livra ¡1 ce sport. H a été condamné à 50 fr. d'amende, ù la confiscation du fusil et au coût d'un permis de chasse général. Quimperlé. — Vagabondage. — Le père Le Duigou est un vagabond professionnel. A peine sorti de prison pour purger une condamnation pour c c délit, il se fait de nouveau attraper. Il ira encore passer trois mois à l'hôtel de la rue de Brémond d'Ars. Guilligomarch. — Ouverture de débit sans autorisation. — M. R . . . . exploite & Gullligo march un débit qui était avant lui exploité par des parents. En prenant la suite, il aurait dû faire une déclaration Pour ne l'avoir pas faite, il est condamné à 16 fr. d'amende avec sursis. 11 n'avait pas non plus chez lui, une aftiche de la loi sur l'ivresse. Il est condamné pour cette contravention connexe à une amende de 5 francs. P o n t - A v e n . — Coups et blessures. — Nos lecteurs s'e souviennent certainement de cette bataille qui eut lieu à Pont-Aven, le jour de Noël daus la rue St Guénoié d'abord, sur la lace de la Mairie et enfin dans le débit de M. E ancéau, dans la rue de Concarneau, entre M. Hémon, d'une part et M. Le Bloc'h, père, M. Le Bloc'h, fils, et M. Horellou. D'après M. Morvan, adjoint au maire de Pont-Aven, une centaine de personnes avaient assisté à la scène qui s'était passée sur la place. Après plaidoiries de M* Fournis, avoué pour M. Hémon, et de M' Bot, avoué pour MM. Le Bloc'h, père et fils et pour M. Horellou, M. Hémon est acquitté pour le délit de coups et blessures. MM. Bloc'h, père et fils et M. Horellou sont condamnés chacun à une amende de 25 fr. M. Hémon qui avait eu le tort, au cours de la bataille de sortir de sa poebe un révolver est condamné & 16 fr. d'amende pour port d'arme prohibé. K e r n é v e l . — Outrages et rébellion envers o/ficier ministériel. — Les époux Laurent, de Lun-Kérouac'h, en Kernével sont depuis plusieurs années en procès avec leur vo.sin, Nicolas, de Lan-Iatin. Ils perdent tous leurs procès, mais se refusent à exéenter les juge ments qui sont rendus contre eux. Force est donc à Nicolas d'avoir recours au ministère de l'huissier. Or, à chaque fois que M* Baron, huissier à Bannalec, est allé chez les époux Laurent pour leur signifier des actes, il a été l'objet d'insultes et de violences de la part de Mme Laurent qui excite également son mari contre lui. Fatigué des procédés dont les époux Laurent usent à son égard, M. Baron a porté plainte. Le Tribunal a condamné Mme Laurent & 15 jours de prison avec sursis. • M M M M É M M PIANOS - MUSIQUE - INSTRUMENTS Maison Fondit en 1860 G. OLLIVAUX Fac f£UR EX-ACCOHDElilt DR d e P i a n o s LA MAISON 4 , Cours de la Bôve PLEYBf LORIH Accords — Réparations — Echange ABONNEMENT A LA LECTURE MUSICALE TELEPHONE Chronique 4-21 Electorale Çu»lqne»polmti. — Ne p o u v a n t e n t r e p r e n d r e une réfutation oomplète, dans ce n u m é r o , des dires de nos leaders sooial i s t e s , n o u s r e m e t t o n s à la s e m a i n e p r o c h a i n e et p o u t - ê t r e & d ' a u t r e s , la s u i t e d e c o q u i n o u s s e m b l e d e v o i r r é p o n d r e aux assertions des f u m i s t e s brestois. Nous p r i o n s n o 3 a m i s d e bien v o u l o i r c o n s e r v e r cette série qui leur sera, nous l'esperons, Utile à o o n s u l t e r , à l ' o o o a s i o n . En tout c a s , s a m e d i n o u s p e n s o n s q u e l'Union Agricole s ' é t e n d r a l o n g u e m e n t s u r le socialisme agraire, tel q u e les b o n s a p ô t r e s l'ont e x p o s é à la n a ï v e t é d e s p e t i t s p o s s é d a n t s d e s c a m p a g n e s , f e r m i e r s et o u v r i e r s a g r i c o l e s . N o u s d i r o n s a u s s i q u e l l e e s t la d o o t r i n e d e s R é p u b l i c a i n s d é m o c r a t e s on la m a t i è r e et n o u s p a r l e r o n s d e la plusvalue. A c h a q u e j o u r suflit sa p e i n e . Nous n'observons pas l'ordre dos c o n f é r e n c e s et p r e n o n s l e s o b j e o t i o n s ç a et là et les m e t t o n s e n " italiques ". Le Bloc National : 1' n'a pas su faire rendre gorge aux enrichis de la guer re ; 2° il n'a pas procédé à la révision des marchés de guerre. 1» ENRICHIS DE GUERKE. — M. D e l a c h e n a l , d é p u t é d e la S a v o i e , fait r e m a r - quer que c'est sous la législature de 1914, c o m p o s é e en m a j o r i t é d ' é l é m e n t s d e s g a u c h e s , q u e l'Etat a p a s s é les m a r c h é s scandaleux qui ont bénéficié à ceux qu'on e s t c o n v e n u d ' a p p e l e r les profiteurs de la guerre. Ce s o n t les m i n i s t r e s d e s p r e m i e r s g o u v e r n e m e n t s d e la g u e r r e , A l b e r t T h o m a s , en tAte, qui o n t p a y é h d e s p r i x très exagérés les industi iels chargés de tra vailTer pour U défense n*tiopije. Devant d e YUiwn les s o m m e s formidables acoordées aux i n d u s t r i e l s , les o u v r i e r s d e s u s i n e s d e g u é r r e , n e s e s o u v e n a n t p a s aqgey. q u ' e u x aussi étaient mobilisés, réclamèrent sans cesse de nouvelles augmentations de salaires. Or, d è s s o n a r r i v é e à la C h a m b r e , le Bloo National v o t e l ' i m p ô t s u r les b é n é f i c e s de g u e r r e et c e t i m p ô t a d é j à r a p p o r t é à l'Etat p l u s de d o u z e m i l l i a r d s . 2° RÉVISION DES MARCHÉS. — Le juillet 1920, la C h a m b r e d e s D é p u t é s a d o p t a i t u n p r o j e t d e l®i c o n c e r n a n t la dite r é v i s i o n . T r a n s m i s au Sénat, le 30 d é c e m b r e s u i v a n t (n- 675) c e p r o j e t l'ut l ' o b j e t d ' u n r a p p o r t p r é s e n t é le 8 j u i l l e t 1921, p a r M. le s é n a t e u r S i m o n n e t (n• S9S) i n s c r i t à l ' o r d r e d u j o u r d e la s é a n c e d u 31 j a n v i e r 1922, il f u t a j o u r n é . Le texte, p r o p o s é p a r la c o m m i s s i o n d u Sénat et établi en c o l l a b o r a t i o n a v e c lo G o u v e r n e m e n t , d i f f è r e p r o f o n d é m e n t de c e l u i de la Chambre.Le 7 m a r s 1922, tut p r é s e n t é e à la Cham hre par M. F o u g è r e , u n e p r o p o s i t i o n do r é s o l u t i o n , i n v i t a n t le G o u v e r n e m e n t s d e m a n d e r au Sénat d e tulter 1 • v o t e d u p r o j e t d e loi s u r la r é v i s i o n d e s m a r c h é s de g u e r r e . . . C'est d o n o le Sénat radioal q u i s ' e s t m i s à la traverse d ' u a e loi v o t é e , huit m o i s a p r è s les é l e c t i o n s d e 1919, et q u i e x i g e a i t la r é v i s i o n d e tous les m a r c h é s p a s s é s p a r l'Etat, p e n d a n t la g u e r r e , p o u r u n e s o m m e supérieure à c e u t m i l l e f r a n c s , d e f a ç o n à c e q u e les b é n é f i c i a i r e s d e c e s m m o h é s r e s t i t u a s s e n t t o u t e la p a r t i e d e leur b é n é f i c e d é p a s s a n t le 1 0 % . P o u r q u o i le Sénat radioal n e d é g a g e - t - i l p a s l a p a r o l e q u e , a s s u r e le c i t o y e n G o u d e , s'était, d è s le début, donnée Albert Thomas, de reviser les m a r c h é s q u e les c i r c o n s t a n c e s l ' o b l i g e a i e n t à a c c e p t e r les y e u x f e r m é s ? Et à c e p r o p o s , parlant de la c a r e n o e d e n o t r e a r m e m e n t au d é b u t d e la g u e r r e , le cit o y e n G o u d e o u b l i e d e n o u s d i r e q u e l s en étaient les r e s p o n s a b l e s 11 p r é f è r e parler des b é v u e s d e l'Etat-Major o u d e s c o m m i s s i o n s d e l ' A r m é e , m a i s se g a r d e b i e n d e r e l a t e r la p a r t q u e d a n s oe d é s a r r o i a v a i t l ' i n t e r n a t i o n a l i s m e il ohard d u G o u v e r n e m e n t q u i retenait loin des directions des h o m m e s c o m m e Fooh, C a s t e l n a u , Mangin e t c . . . , e t o . . . Le Patriote Jaurès ne croyait pas à l'envahissement de la frontière Est, mais bini à celui de la Belgique. L'Etat-Major s'obstinait d surveiller l'Est et d négliger la Belgique.. Il ne voulait pas d'artillerie lourde, pour être plutôt rendu A Berlin. En 1917, si on avait laissé faire Painlevé, la guerre était finie. Le c i t o y e n G o u d e p r e n d b i e n g a r d e d e r a p p e l e r q u e les a m i s d e Jaurès a v a i e n t détruit n o t r e s e r v i c e d e r e n s e i g n e m e n t s et d e c o n t r e - e s p i o n n a g e m i l i t a i r e , p e r m i s au b u d g e t d e la g u e r r e a l l e m a n d d e d é p a s s e r le n ô t r e d e q u a t r e m i l l i a r d s , p r ê c h é le s a b o t a g e et l ' i n d i s c i p l i n e Le citoyen Goude se vante de oe q u e Jaurès avait t o u j o u r s c r u à l'attaque p a r la Belg i q u e , a l o r s q u e l'Etat-Major d é f e n d a i t n o t r e f r o n t i è r e Est. S'il était s i n c è r e il dirait p o u r q u o i . . . Il a v o u e r a i t q u e la politique de guerre du g o u v e r n e m e n t i m p o s a i t à c e t État-Major d e ne p a s g a r n i r la f r o n t i è r e b e l g e p o u r n e pas p r o v o q u e r l ' A l l e m a g n e à la v i o l a t i o n d e la B e l g i q u e . En q u e l q u e s j o u r s i0 à 12 c o r p s d ' a r m e e f u r e n t t r a n s p o r t é s en B e l g i q u e et r a n g é s en bataille à C h a r l e r o i , s a n s q u e le C o m m a n d e m e n t se f u t d é c o u r a g é un m o m e n t du c h a m b a r d e m e n t d e sa c o n c e n t r a t i o n de p r e m i è r e ligne, p r o d u i t p a r le r e c u l de 10 k m s u r la f r o n t i è r e Est. et d u d é r a n g e m e n t de t o u s s e s p l a n s initiaux. Quelle e s t la c a u s e d e s é c h e c s d e Charl e r o i , de M o r a ' g e s ? L ' i n f é r i o r i t é d e n o ' r e matériel r é s u l t a n t d u m a n q u e d o c r é d i t s . Et, si n o u s a v o n s é t é o b l i g é s d e r e s t e r d a n s les t r a n c h é e s j u s q u ' e n 1917 la faute en est à q u i ? A u x r a d i c a u x - o o i a l i s t e s q u i avaient refusé de voter oes crédits. Le c i t o y e n G o u d e a p a r l é d e s p o s s i b i lités o ù s'était t r o u v é P a i n l e v é d e f a i r e la p a i x e n 1917.Sont-ellesdans l ' a v e r t i s s e m e n t d o n n é p a r cet é t r a n g e m i n i s t r e , à l'Allem a g n e , d u haut de la T r i b u n e , q u ' a u c u n e o f f e n s i v e d ' e n v e r g u r e n e serait e n t r e p r i s e , oe qui revenait à dire q u e n o u s abandonn i o n s la partie et q u e la c a p i t u l a t i o n n'était p l u s q u ' u n e s i m p l e f o r m a l i t é ? Sont elles d a n s le r e f u s d ' é o o u t e r les p r o p o s i t i o n s J e Sixte d e B o u r b o n , au n o m d e l ' E m p e r e u r C h a r l e s ? Sont elle d a n s la d i f fusion des feuilles i m m o n d e s qui c o n t a m i ne 70 u n i t é s et q u i n e o e s s è r e n t q u ' a v e c la dictait de C l é m e n c e a u et la m e r v e i l l e u s e J j n p r i s e d e Pétain s u r le m o r a l de l ' a r m é e ? L'Etat-Major a v a i n c u en d é p i t d e s d i f f i c u l t é s q u e lui c r é è r e n t les Socialistes. Et c e t t e v i c t o i r e , les s o c i a l i s t e s l'ont s a b o t é e . Ils o n t tout fait p o u r l'Allem a g n e à ¡ ' a r m i s t i c e et le c i t o y e n G o u d e r e p r o c h e a u j o u r d ' h u i à F o c h d e ne p o i n t l ' a v o i r d é s a r m é e . Si l'Etat-Major o s e , les s o c i a l i s t e s le b h l m e n t ; s'il s e r e c u e i l l e , ils l ' a g o n i s e n t de s o t t i s e s ; s'il se r e m e t en m a r c h e , ils l ' a r r é l e n t ; s'il est v i c t o r i e u x , ils s a b o t e n t la v i c t o i r e . Voilà le P a s s é . . . . Dans le P r é s e n t , o n les v o i t la main d a n s la m a i n d e s Adler et d e s Sha\Y, p o u r sa b o t e r les é l e c t i o n s , et ils n e r e f u s e n t pas d e lier p a r t i e a v e c cette flnanoe i n t e r n a t i o n a l e q u i fait n o t r e v i e c h è r e . La vie cliére n'arrête pa3 sa marche a.',rendante. .. Mais les désillusions pleuvent sur es travailleurs votait pour une Chambre qui devait ramener les beaux jours. Il est c e r t e s p l u s facile d e t r o m p e r le P e u p l e q u e d e le n o u r r i r ! D'où v i e n t en effet la vie o b è r e ? Elle v i e n t d e la t e n s i o n de notre change français, tension déjà e x i s t a n t e q u a n d s'ost r é u n i e la n o u v e l l e C h a m b r e , et c e t t e t e n s i o n est c a u s é e : (a) p a r la t r o p g r a n d e é m i s s i o n d e p a p i e r - m o n n a i e d e M. Klotz, radical s o c i a liste, et a p p r o u v é e a v e o u n e i n c o n c e v a b l e légCreté p a r la C h a m b r e de 1914. A l ' h e u r e aotuelle, il y en a p o u r 37 m i l l i a r d s . (b) p a r l ' e x c é d e n t d e s d é p e n s e s s u r les r e o e t t e s . En 1915, le m o n t a n t d e s p r e m i è r e s a t t e i g n a i e n t p r è s d e q u a t r e f o i s le m o n t a n t d e s s e c o n d e s et c e n'est pas la d i s c r é t i o n d e MM. les i n s t i t u t e u r s , socialistes, p o u r n e p a r l e r q u e d ' e u x , q u i f a c i litera les é o o n o m i e a . (cl p a r l ' i n e x é c u t i o n d e s e n g a g e m e n t s l'Union d e 1 A l l e m a g n e . Or, n o u s s a v o n s , Agricole l'a d é j à p r o u v é , q u e la v i c t o i r e r a d i o a l e - s o o i a iste est l ' a b a n d o n d e n o t r e o r é a n c e . Ce sera d o n o p i r e q u e m a i n t e nant. Le g o u v e r n e m e n t d e M. P o i n o ré r é p a r e autant q u ' h u m a i n e m e n t on p e u t le faire, la sottise h u m a n i t a i r e q u i n o u s e m p ê c h a en 1918 d e d i c t e r la p a i x d e Berlin, et d e n o u s a s s u r e r les g a g e s n é c e s s a i r e s . Les s o c i a l i s a s d ç 1918 é t a i e n t * A p l m l e et Marâtime g e n o u x d e v a n t W i l l s o n . A u j o u r d ' h u i le Citoyen G o u d e r e p r o c h e a u Bloo National dé n ' a v o i r p a s o p é r é le d é s a r m e m e n t d e l ' A l l e m a g n e ! Mais M. Alasson à T r é m é v e n , c o m p a r a i t le p a u v r e Boohe,. à u n f e r m i e r t a l o n n é p a r s o n c r é a n c i e r , installé c h e z lui, et g ê n a n t sa . o r o d u c t i o n . . . On n ' e n est p a s à u n e c o n t r a d i c t i o n p r è s c h e z les s o o i a h s t e s . C o m m e n t les m e s u r e s b o n n e s h i e r s e l o n M. G o u d e , s o n t - e l l e s mauvaises aujourd'hui selon M Masson ? (fi) p a r la f l u c t u a t i o n d e s c h a n g e s . I l n o u s faut i m p o r t e r la p l u s g r a n d e p a r t i e d e s o h a r b o n s , textiles et p e t r o l e s . Ces achats n o u s les p a y o n s en « d o l l a r s » p o u r l ' A m é r i q u e , en « p o u n d s » p o u r l ' A n g l e t e r r e . P r e n o n s l ' e x e m p l e d e la liv r e . Elle v a u t 25 f r a n c s à l'état n o r m a l . Mais v o i c i la g u e r r e : la l i v r e et le l o u i s s o n t r e m p l a c e s par d e s billets n o n r e m b o u r s a b l e s en or. La m o n n a i e d e v i e n t u n e marchandise q u e l c o n q u e d o n t le p r i x m o n t e si elle e s t très d e m a n d é e et b a i s s e si p e r s o n n e n'en veut. C'est c e q u ' o n a p pelle le c h a n g e . Si l'on r é f i é hit q u ' e n 1919. la F r a n c e a v e n d u à l'étranger p o u r e n v i r o n 5 milliards 1/2 et q u ' e l l e lui a a c h e t é p o u r 23 m i l l i a r d s , o n c o m p r e n d la d e m a n d e d e m o n n a i e é t r a n g è r e q u ' e l l e a d û faire et la h a u s s e e f f r a y a n t e q u i en est r é s u l t é e . Au lieu de v a l o i r 25 fr. la l i v r e e s t a u x e n v i r o n s de li)0 f r . D o n c les c h a r b o n s , les textiles, les p é t r o l e s a u g m e n t e n t d e p r i x . (e) par la loi d e 8 h e u r e s . J u s t e m e n t le m o m e n t o ù c e t état d e g u e r r e é c o n o m i q u e s u c o é d a i t à la g u e r r e d e s a r m e s , est c e l u i c h o i s i p a r les s o c i a l i s t e s , p o u r faire v o t e r la loi d e 8 h e u r e s . T o u t est r a r e , tout est c h e r , t o u s les a p p é t i t s s o n t d é c h a î n é s , n o s r é g i o n s du Nord à r e f a i r e c o m p l è t e m e n t . . . A l o r s q u ' i l faut travailler plus, o u d é c i d e d e travailler m o i n s . Industrie, c o m m e r o e , c h e m i n s de fer s o n t o b l i g e s d ' e m p l o y e r un p e r s o n n e l plus n o m b r e u x et d é p e u s a n t d a v a n t a g e . Natur e l l e m e n t le p r i x d e s t r a n s p o r t s et d e s marchandises augmentes. f) par les t r o p n o m b r e u s e s d é r o g a t i o n s , a c o o r d é e s par les m i n i s i r e s c o m p é t e n t s , à la p r o h i b i t i o n m o m e n t a n é e de s o r t i e d e c e r t a i n e s d e n r e e s , a u m a n q u e de s u r v e i l l a n c e q u i laisse s e p r o d u i r e d e s rafles c o m m e c e l l e d e s c h o u x - f l e u r s d e St-Pol, o ù c e l l e q u e l'on signalait hier s u r les l é g u m e s e x p é d i é s de Par s en Angleterre, p o u r ne c i t e r q u e c e l l e s à. La C h a m b r e d u I31oo National ne p e u t ê t r e a u t r e m e n t r e n d u e r e s p o n s a b l e d e la c a r e n c e d e s P o u v o i r s P u b l i c s en o e s m a t i è r e s q u ' e n tant q u ' e l l e s'est r e f u s é e à p r e n d r e le p o u v o i r , et à o b l i g e r VI. P o i n c a r é , à lui d o n n e r autant d e s i i t i s i ' a c t i o n A l ' I n t é rieur qu'il e s t p l e i n e m e n t a l o u e r d a n s l e s question«« e x t é r i e u r e » . La C h a m b e, en a d o p t a n t la loi d u 21 o c t o b r e 922, et en d é c i d a n t q u e es s p é c u lations illioites s u r les d e n r é e s et m i r c h a n d i s e a ne seraient, p l u s p o u r s u i v a b l e s , si elles n'avaient été c o m m i s e s a v a n t le 23 o c t o b r e 1922, e n t e n d a i t ren Ire au c o m m e r o e sa l i b e r t é d ' a c t i o n . En effet, p o u r m e n e r à b o n n e fin d e s o p é r a t i o n s c o m m e r c i a l e s , il faut l ' i n d e p e n d a n o e , l'actio i et la s é c u r i t é . O i a ne veut p a s dire q u e l'Industriel o u l ' E x p é d i t e u r p u i s e se p e r m e t t r e d ' a l l u m e r un p a y s . Il y a m a l h e u r e u s e m e n t m a n q u e d-> c o n s c i e n c e chez b e o u o o u p , devant l'appât du gain, o o m m e il y a c h e z l ' a c h e t e u r a n ' i m p o r t e q u e l p r i x , un d é c h a î n e m e n t d ' a p p é t i t s et d e m a t é r i a l i s m e q u i s o n t d ' a i l l e u r s tout-à fait d a n s la n o t e d u Paradis s o c i a l i s t e . Chez les u n s c o m m e c h e z b s autres, i y a m a n q u e de tenue morale et de d i s o i p l i n e i n t é r i e u r e . La v i e c h è r e a b e a u c o u p p l u s de c o r r é l a t i o n q u ' o n n e pense, avec l'absence de vie religieuse, b i e n c o m p r i s e , c h e z b e a u c o u p t r o p de n o s contemporains. (A suivre). d u 1 5 M a r e I M A posséder, au-dessous de trente I!I Pourquoi trente, o* oa* vingt, dix, deux pent-fitre, citoyen Gol'c ? Voilà ce qui serait intéressant à savoir 1 Où commence et où Unit la propriété socialistn ? où commence et finit t'injustico sociale? Or, aujourd'hui cette transmission de la propriété noblo ou bourgeoise dans les mains paysannes, s'opère, surtout depuis la guerre, d'une façon rapide. LVisance de nos ruraux leur permet d'acquérir 'a terre, ¡¿ans hnurt. Bans ¡njiiRticf, par le plus légitime des moyens : l'achat Et ainsi, ils se sentent ch' z eux. M. de Pou!piquet,à Mellac prouva cela et blet: d'autres choses ot la réunion se termina d-! façon houleuse A Querrien, M Cadic, le sympathique et très dévoué maire de cett* c o m mune, opposa le bon sens aux raisonnements du citoyen Quiniou. Ce fut le dimanche h la salle Prat l' n'était bruit depuis quelques temps à Q icrrie i, que de cette conférence. Jeudi, par l-s soins de quelques fonctionnaires et principalement de MM. les instituteurs, l'honorable M. Porner exempt", 20" convo cations tnviron avsient, ete, mi«e- à la po>ti\ Uo a>scz grand nombre d'électeurs y avaient r> pondu. Le bureau fut fO"mé de M. Guittemo'. conseiller d'arrondissement, a'-si'-té d^ MM <:harles Barc >t P erre J A gou. assesseurs. Le citoyen pérora p us d'une hpure sur les d i v e ^ e s questions d'ensemble que nous envisageons dans notre article de lê'.e, sans oublier la question axrair.', puis le président ¡onnf la paro e a M Cidic, dont voici le discours, en subsUaco : « Mes arnis. vous avpz lai-«é le citoyen Qui niou à peu près tranq i'.le Vous n'avez p is aKi envers lui, comme ses amis agissent à Brest, envers leurs ennemis, lorsqu'ils veulent prendre la paroi -, c > s t une bonne leçon pour lui 1 (.Applaudissements). Le ciioy.-n Q uniou, nous disait que les écoles devaient être gra'uitris et obligatoires, car dans le cerveau d'un ilis du paysan et l'ouvrier, il y a peut Cire de quoi faire un Président de la République, un Dépuié ou Sénateur, un Savant, un Artiste. Là-dessus, j e pense c o m m e lui. Mais il a oublié de nous dire où il trouvera l'argent pour entretenir ce» éco'es a intégrales», R»po->d z citoyen Quiniou! (Applaudissements). LE CITOY EX — Je répondrai tout a l'h-urnl M. CADIC — Le citoyen Quiniou nous a pa<-le d-. ''A iemaiine qui doit payer, mais qui n'a pas la capacité de le fnire en ce moment. Le Boche trouve bien le moye.n de ivf-ure rapidement sa flotte de commerce, de refaire ses armements, de dépenser pour entretenir la résistance dans la Rhti% mais il ne trouv- pas d'argent pour les réparations. (Applaudissements) Les ouvri-rs qui ont fait la guerre dans les usines étaient lit à l^ur place, j e ne dis pas le contraire ! Mais ce qui était injuste, c'était de les payer 15 et 20 fr. par jour, alors que le pauvre cultivateur dont vous p'aignez le sort en en moment, se faisait casser la g . . . à cinq sou» par j o u r . Voill le point de départ de la vie chère, I {applaudissements . Le citoyen Quiniou a par e es im ô » indirects qui représentent donZ'1 millions, .-oit 300 fr. par ¡ê'e d'habitant. Ii n o u v e ce a exagéré. Cependant il esi p*rti-aa de toutes les dépenses telle 1'augmentaiion d^s fonctionnaires. Pour parer a ce- ue en-es, il ne veut pas voter d'impôts ! Croy z - v o u - qu>; cela dure longtemps aies- ? R p o n V z moi. Citoyen ! L e i ï o t e « . - Je répondrai tout-â-l'h ure. M. aoic. — Ces messieurs socialistes ne sont que des bourgeois ! Lorsque Coude a débuté dans la politique, il faisait ses conférences en tenue d'ouvrier. Il est maintenant b en habillé, il a canne à pomme d'argent et chaque jour fait conduire son fi s, a l'école, en auto. Allons à Lorient, si vous le voulez Nous voyons IA le camarade directeur des Moulins Coopératifs qui, lui aussi se promène en auto de luxe. A Çuiinp^rié ? li j a eu là, dans le temps, lu Citoyen Ouillou. dit Le Frisé à qui, il ne manquait rien, bien que p»-tit commis sans le sou, la veille et subitement millionnaire. Si un pauvre s'était présente chez lui. Pillards. - La moisson s'annoncn bi'-n pour lui deinmder un tuorc-au d • pain, peutet les cnmnpH sont en plein rapoort. Tout ôlre le lui au ait-il refu-é Voilà les Patrons Irait le mieux du monde si da* nu-tas du sociau.-t m ! corbeaux, oorneilles et chouca- n? s'aD*t.Ui*nt Vou<t z vous un exemple du socialisme pra trop fréquemment de ci, de là, sur les guère ts. tique,? Voyez le> verreries d'A bi. Les ouvriers Il en part môme dos bandes do la Bourse du avaient renvoyé les ingénieurs, mais no pouTravail ou de la Mairie d^ Brest, mais comme van rien faire sans eux. ils les ont rappelés. ils sont très modernes et ont peur de se fatiAujourd hui, étant en desaciord, ils ont mis guer, ils se font, dit on, véhic 1er par les le feu à l'usine. Qu'en tensez-vous, citoyen autos municipaux q n te compôr-i Nardoi Quiniou ? met à leur disposition. C'est ainsi que nous L e c i t o y e n . — Ce n'est pas du socialisme! vîmes apparaître dès saraidi soir sur ta c o n M. CAD fi — Les socialistes, lorsqu'il se prétrée, les citoy -ns Qou le, Mis-on, Q uniou, Le genterunt aux élections de 191'J, avaient dit, Goïc qui se parUgè-ent U bs-tognv dans leur programme, que le, cultivateur, avec Q'. verra, d'autre part, la séance de la salle ju>te raison, se plaignait de ce que ses proGali.o à Q limperlé, samedi soir. Masson la duiiséta'.en' axés, et que dans ces condition.-,il quitta de bonne houre po-'r s i endre a Pontfallait taxer .ous lo-^au' res produits. Prenons la Aven, en compagnie de } Ouïe. Dépêche de Drest du G juin 1918 A la première I-• salle Correlie tu, d'afjor I as«er vide, 3e page, j e vois qu'il s'agit de la axatior. des garl.ft lentement d'auditeurs qui ibiissfnt par fraises. Pr «nous le numéro du ti juin. Il constituer un public as»' z nombreux, mais contient la vettrede M. le Maire de PlougHStelque ne réussit pas à convaiucro le talent oraDaoulas, au Citoyen Maire do ¡a ville Bre.-t, loiro de nos socios. Non, sans une certaine protestant coutre cette taxation. ainurtumo, M. Masson constata lui-même, qu'il Ceri-es et «uignes furent égale uent taxées n'avait pas de chance a Pont Aven et qu'il y par arrêté du 15 juin. J'ai fail alors U compatrouvait toujours auditoire houleux sinon hosraison euire la profession le foi des c m d i d a t s tile. socialistes t U conduite a l niniitraiive du L a c o n t r a d i c t i o n f u t a p p o r t é « Ji d i v e r s e s reCamarade llcrva«.iu t, t'ai>ant luac.lons ie prises par MM. Lomenec'h et W'tiut, souteMaire de Ur. st Qu'eu peu:- z vous, citoyen nus par l'approbation d'une grande pariio du Quiniou ? public. Nos apô'res ont quitté Pont Aven, fort LH C i t o y e n . . . lien ajommut evel eur pesk. déçus d« cet accueil et peu oonflants dans M. OADIG. — Le citoy-u Q uniou vous a dit l'avenir de ia Cité Future à Pont-Aven. tout-à-l'heure que la Terre serait laissée au Mellac reçut la visite du citoyaa Le Qoïc, petit propriétaire ot au formler. Je vais lui po qui prona naturellement le socialisme agraire ser une qu- stion : Vou-' n'êtes pas sans ignoen l'amadouant quelque peu, co nme il devait rer, citoyen, quo les domestiques et les jourle fairo à Locuno.é en compagnie de Goude. naliers Hg"icolos sont assez nombreux. Qu'ostNous reviendrons et amplom int sur cette ce que vous all--z faire do ceux-là V Allez-vous question. Co itentoQs-nous d* dira qu» o-i que les Ihis-er regarder c o m m e des bâtards ? les Citoyens offreut. aux oul ivateurs est à s'y L E C I T O Y E N . — Je vous repondrai tout-àméprendre co quo les Fl'Wolu'ionnairei russes l'heure ont ofl'ert aux moujiks. Ils ne disent pas M. CADIC. — Le oitoyen Quiniou est venu eil'rontômont, à la vérité, mais là est le but ici au nom du Parti Socialiste, tel le pêcheur caché ot voici le système qu'ils n'osent avouer ! pour prendre le poisson. Il vous doune un L'Etat s'emparodela propriété pourla donner a^pàt, Mais: prenez garde I Dau* cet appât est à celui qui la oultive. Mais c o m m e d'autre part, caché un hameçon. J'ailais oublier de vous 11 est interdit àceiui-oi d'en posséder plusqu'il ne dire quo parlant aux campagnards, ils se garpeut cultiver, il s'en suit que des commissions dent bien do vanter la Révolution ot de tout spéciatos, remettront de tomps à autres les briser. Ils sont doux c o m m e des agneaux. choses en état, oo qui veut dire que les fruits Quant aux ministros travaillistes, dont le cidu travail seront socialisés dès lors qu'on roll toyen Quiniou faisait tout à l'heuro l'éloge, il rera à l'agriculteur lo surplus de ce qui lui ost n'y a qu'à regarder co qui so passe eu Anglestrictement nécessaire. D.i p'.us, l'Etat collecterre. Tant qu'ils sont simplo3 députés, ils tiviste, Jouant le rôle d'un directeur do coopé sont anti-militaristes, mais devenus ministres rative et supprimant l'intermédiaire, vendra ils sont férocement militaristes. Voyoz Ram« lul-mêmo directement au consommateur et say Maodoaald : il commande aujourd'hui des ristournera, a son gré, le prix de i& vente du valssoaux de guerre dont 1 Angleterre n'a nul réquisitionné, oe qui supp.-iin i toute ilborté besoin pour sa défense I Le Citoyen Quiniou c o m m e r c i a l et toute cononrrenoe Pour en faisant l'éloge de Jaurès veut que ce dernier arriver là, on coufl>quera purement et simpleait signale, à 1 Etat-Major, l'envahissement ment les propriété-! dos ohÊUelaias 111, celui par la B 'tgique, qu'il avait tout prévu et que qui no travaille pa*, ne devant ni manger, ni ces pr^vis ons etaient en désaccord avec ce les posséder, etc olo .. de « t Etat-Major. Admettons-le. Mais, si C- lte '-xproprialion concerno seul ment lus l'Etat-Major B'est trompe, Jaurès n'a-t il pas « châtelains p, qui ont ries trentaines de assuré de son r.ôlé que les camarades boches fermes III aillrme le oitoyen Qoïc. Il oublie de i ne marcheraiunt »j&s un cas de guerre ? iUer I« nombre de fermes qvi'ua seul p p u ^ a I J e m résume. Lo oitoyen Quiniou vous a dit do mettre dans l'urne le bulletin socialiste. Quant à moi. permettez-moi de vous dire également ma façon do penser. Ne votez pas pour les Socialistes I Mettez dans l'urne les noms de ceux qui ont soutenu le ministèrel Poincaré dans toutes ses luttes. Tous les partis y sont représentés sauf les deux extrêmes I » Le Citoyen Quiniou et les pédagogues qui l'entouraient, trouvèrent l'heure trop avancée pour répondre c o m m e l'avait promis le socio brestois. Des cris formidables de Vive P o i n caré l Vive le Maire ! achevaient de les persuader que leur retraite s'imposaient. Aussi no restèrent-ils pas entendre le bel éloge de M. Poi.icaré f u t par notre ami O. Berthou, arrivant juste à ce moment de Locunolé, et qui fut lui aussi très acclamé e f t r è s applaudi. Nous croyons savoir, que M. Cadic se propose de conférencier encore, et cette fois en breton, à Querrien même, sur le socialisme, et si le temps le lui permet, avant les élections, il portera la bonne parole dans les communes environnantes en commençant par SaintThuri-n et Mell ic. A Saini-Thnrien, ce fut le citoyen Quiniou, sal L Gaii.ii y eut pour contradicteur M. Gorvan. de/I7évenou, qui lui ;aussi rétorqua ses arguments de la b-lie façon. A i."cunot-, salie P z-îou-c, la réunion était an oncee pour 9 heur-s. O. Berthou, arrivé avec - e s amis un quart d'heure avant, c o m me. ça cette reunion lovant un public restreint et compose en majeure partie d'ouvriers agrico i s. Notre ami flr. ressortir le programme extérieur de vl. Poincaré, ia nécessité du gage de la Rhil'- et il allait réfuter le socialisme agraire, lor-que les citoy- ns Goude et Goïc firent leur en t.rée.sa'ués par les applaudissements de quelques ga-ç >ns de ferme enrégimentés par un j-ut.e pédagogue- Comme ils avaient loué la salie. Bei hou dut interrompre son e x posé. Il était 0 h. 20 Les deux Citoyens, Goïc d'aboi d, Goude ensuite, tinrent le crachoir j u - q u ' à pius oe 11 heures. On y parla suriout, le premier, de socialisme agraire qui plut aux jeunes domestiques, lesquels ne possédant rien, e-péraient toucher un peu de cette terre, et le secona de la politique do Poincaré, prisonnier, paraît-il, de sa majorité 111 Quand Berthou demanda la parole à son tour, on la lui accorda, mais, le viliégiaturiste de Carantec s'avisa d'un expédient... Sous prétexte de prendre des noms pour la formation d'un conute socialiste à Locunolé, il invita ses auditeurs à le suivre dans la cour, et par cette dérobade peu courageuse et en tout cas, discourto'se, il s'épargna les vérités qu'il prévoyait. Disons à ce sujet que partout nos missionnaires socialistes se sont efforcés de recruter des adhoreats. Ils ont pu ainsi rassembler à Locunolé une moyenne de deux ou trois types qui les lâcheront certainement le j o u r où ils se rendront compte de leur sottise. A Trémeven. le Citoyen Masson, parla devant de rares auditeurs, sous une; grange. M. Sosthèae David, ancien j u g e de paix, ancien conseiller général, lui posa quelques questions embarrassantes dont il se tira mal aisément. A Arzano, la conférence annoncée n'eut pas lieu, et les Démocrates qui s'y étaient rendus ne rencontrèrent pas l'adversaire. A Guilligomarc'h, bavardage d'un isolé devant| queiques enfants:. Eu somme, cette grande et multiple attaque de notre arrondissement, par les lorces socialistes, re-tera sans résultat. Ces orateurs n'ont apporté aucun argument nouveau qui n'ait été détruit cent fois dans ce journal ou ailleurs. Il reste à nos amis à organiser la défense et un peu d'entente aura raison de ces c o ' b e a u x piilards, de ces capitalistes déguisés eu ai ôt.-esdu Prolétariat I Le citoyen Goude a dit quelque part, durant sa tou: nee, que, depuis 14 ans, il n'avait pas passé cinr dimanches en famille. Or, le Citoyen, dont chacun connaît la fortune rondelette acquise depuis le temps où il était c o m mis au port autrement que par le travail des mains, villégiature chaque année à Carantec, a l'époque dos vacance, et la raquette de Mlle Goude est célèbre sur les terrains de tenci3 les plus mondains. Déjà millionnaire, il tira de la « )) o.<ise o notre éphémère concitoyen Gui lou, dit ità Frisé, ancien saute-ruisseau au Cri du l'duple, en lui assignan pour domaine les Assurances Maritimes (Franco Anglaise, Lutetit, France Transatlantique, Phare de France). Ou setonno que ledit Guillou qui, jadis, teDta de faire de ia région quimperloise son fief, ue se soit pas joint cette fois, à la bande. On dit qu il a encore du plomb dans l'aiie depuis 1920... U. A. Maison de Confiance {ondée en 1902 Horloge^ Bijouterie L GAMBERT HORLOGER DIPLOMÉ I, VUKÉ VT DU JUHY D'ETAT I QUIMPERLÉ A A A . A A A A A A A A O) m 4 I î • V oo I b « a I v V v r V T V f y le plus grano choix pour mariages • E »U l i . I I L K Dépositaire marques LIP I» UNIC > MARCHÉ des de > Principales montres -:- OMÉGA Réparations soignées & garanties ARMES & MUSITIOXS DE CHASSE ^uiuiperlé Réunion socialiste. — Vers 11 heures, samedi soir, le citoyen-député Goude terminait ses critiques, contre le Bloc National, dans une réunion, salle Gallic. M. Le Louédec. maire radical-soctalistc do Quimperlé, félicitait c conférencier de sou bel e x p o s é . . . lorsque notre ami IJerthou lui demanda la paiolc pour la contradiction, Cette visite inattendue d'un démocrate troubla, à Hassan tel point, M. le Maire qu'il en resta c o l . . . Goude lui criait : « Continuez ! . . . » Au milieu d'un silence relatif, notre ami fit le procès du Bloc des Gauches, des révolutionnaires, qui se prétendent les défenseur* de la classe prolétarienne, avec les bourgeois radi eaux qu'ils ont tant houspillés dans leurs réunions et leurs journaux. M. le Maire, en président Impartial, interrompt l'orateur pour raconter à l'auditoire cette anecdote, célèbre dans la ville de Quimperlé, que le» Démocrates, depuis 20 ans, combattaient M. Le Louideo, parce qu'il serre la main des ouvrier» 1 Ironiquement, Berthou fait remarquer que la fable de La Fontaine, Le Loup et l Agneau, se renouvelle et qu'il était bien difficile, aux enfants au aux jeunes gcus d'il y a 20 uns de combattre M. Le Louédec, la Fédération des Démocrates n'existant que depuis une douzaine d'années. Parlant de la revision des marchés de guerre, notre ami montre que, seul, le Sénat est responsable, puisque lo Quotidien, journal du Bloc des Gauches, dit, dans sou numéro du 28 février dernier : « Une loi, qui prescrit la revision des marchés de guerre, dort au Sénat. «r Cette loi permettrait de récupérer des centaines de millions sur les mercanti» gui, sans vergogne, out pillé le pays pendant que les soldats se faisaient tuer pour sauver la France I » Et, avec force le journal termine : « L'Inertie des sénateurs est Ici oompllce des bandits Nous en aurons raison I » Se tournant vers Goude, notre ami lui dit de demander aux sénateurs radicaux, qui sont les élus des socialistes, de vouloir bien sortir de leur Inertie et de faire voter cette loi. Mais, toute vérité n'est pas bonne à dire. M. Goude, qui, déjà, donnait des signes de nervosité et ne voulait pas de ce petit jeu de démolitions du Bloc des Gauchis, devant une assemblée composée en major.té d'ouvriers, donne le signal du ch>hut. Les pédxgoKUes se distinguent en particulier. Qu'attend le parti socialiste pour citer ces jeunes Messieurs à l'ordre du Jour ? Goude, Quinlou, M. Le Louédec apostrophent le contradicteur qui, d'ailleurs, ne se laisse pas émouvoir et réplique du tac au tac. Et Goude termine la réunion en invectivant les Démocrates, cependant que notre ami, très entouré dans une salle attenant à celle de la réunion, entretenait les électeurs des procédés habituels des socialistes et promettait de donner uue leçon à ces derniers sans trop tarder. Sépulcres b l a n c h i s . — Ca n'est pas chez M Le Louédec, a i n >m sia: 'illeatif, qu'on devrait parler de choses blanchies. Getto couleur rappelle troo d'ancienne-* a m o u r s royales, pour que M. CofTrant ne joue en en parlant, d a n s YEcho, le rû!e du giff-mr p û n a n t la corde d a n s la maison du Pondu. D > tout Blanc qu il était, M. Le Louédec a gri-tonn-i «t moisi j u s q u ' a u x c o u ' e u r s iniéci-ies du H i l i o a l i s m e . M. Coffrant cite l'Evangile, les P i u - i s l e n s et les Sépulcres, et c o m m i nous s o m m e s en carême, il évoque le o r u c i l l a m - m t . . . Nous s o m m e s , parait-il, l'héritier des Pharisiens. S u r quoi se fonde l ' H o m m e de B ol-t pour établir notre généa'ogte? Sur la supoositton que les Cléricaux ont succédé aux Pharisiens, et Camille de rééditer t r i o m p h a l e m e n t la différence qu'il suppose e n t r e Clérical et Catho lique, et de nous reprocher do n'avoir > as r e p r o d u i t la suite de l'article du Progrès du Finistère. La suite ? la voioi en r é s u m i : le Parthe r e n dait justice aux excellentes trouvailles de Camille à se* d i - H n / u o s nuancés entre 1- Parti et la Religion oathollques. 1 a d m e t t a i t , au s u r plus, la victoire, a u x procinines é eoiiois, d e tous les catholiques républicains et rnôm lai ques. Il d e m a n d a i t si uao telle victoire mut trait la Répub'ique en p é r i l . . . La définition d'un répubiic-tin biin laïqu \ a n i m i de véritables convictions républicaines et laiques. mais vrai catholique, tel \1. Coffrant, impiique-t-elle, demandait-il, pour un tel catholique, l obligation de laisser aux p i r t i - a i s de la religion t - i m a {celle qui ne suppose ni dogmes, ni prêtres), tou3 les m a n d a t s ? Ne se réservera-t-ii rien, alors qu'il est lui-tnô no « intéressé d la bonne marche des affaires »? Sjuhaitcra-t-il eut avenir, où selon la Défense laique, l'idée laïque deviendra la Religion suoré.n-) ? EU bi-m ! Monsieur Camille Coffrant I un tel catholique ne serait pas s e u l e m e n t laique mais il serait c o m m e le dit Le Parthe une poire et nous dirons, nous, une poire blette, mûce pour tous les gâtismes. Or.ce ne sont pas des poires que les Catholiques de 1924 et leur expérience en a fait a u t r e chose que des « badauds ». Q iant a u x sépulcres blaDchis ou plutôt aux mudf rnes p h a r i s i e n s . . . nous on connaissons qui passent d a n s la rue et d o m i n e n t à la mairie. Là ils espèrent être aisé.rvçot confondus, au J o u r des élections g r â c e & leur ca hoiicisme floffranllen, avec les ^ens a n i m é s des meii/aures intentions pour la religieuse tra iition de la cité. L, B. -An Patronage Saint- Colomb an. — trotf anidáis, pour un citoyen de Pontoisn, etc. Cette petite pièoe f u t renduo b r i l l a m m e n t . Au cours de la séance, M. Etienne Guyot dit avec h u m o u r un t r è s joli monologue. M. I. Tréguier, e n t r e p r i t u n e conversation téléphonique brillante el vécue. En conclusion, succès complet p o u r le patronage Saint-Golomban et félicitations a u directeur, M. l'abbé Mélanaon. L'art à l'éoole. —• Jeudi G mars, i\ la mairie de Quimperlé, devant une centaine d'auditeurs appartenant surtout au monde des Ecoles M. Le Bars, professeur à l'Ecole Normale de Quimper, secrétaire de la section finistérienne de la Société française de l'art A l Ecole conférencia sur la décoration des classes, et obtint le plus vif succès. . E í a í - C t v i l . — Naissances. — MadelelneMarie-Louise Le Meillour, 1, rue Terre deVannes. — Marie-Joséphine Bourhls, ft l'Hospice. — Anne-Marie Françoise Pérennou, à Pont Rifiousse. — Denise Marie-Louise Le Moing. 9, rue du Bourgneuf. — Louise Le Bomiu, au Roalls. Publication de mariage. — Guillaume PierreMarie G luzien, tailleur d habits, 10, rue Savary et Ma leletne-Rose Le Ny, sans profession, à Méullmontant. Décès. — Eugénie Marie-Louise Even, 21 ans, sans profession, célibataire, 3, place Hervo. — Anonyme Le Théon, route du Faouët. — Anonyme Cadiou, 20, place St Michel. — Marie Ansquer, 19 ans, domestique, célibataire, à l'Hospice. — J u l i e n n e Uergé. 81 ans, sans profession, il Hospice. — J o - e p h Déaudlc, 76 ans, eu tivateur, a l'Hospice. Bftye Pacago. — Lé 10 courant, sur la route de G. C. N° 62 près du bou g de Baye, la vache de Louise, journalière au bourg, paissait librement sur l'accotement de la route P. V. — Il en est de néme de Menée, j o u r n a l i è r e & Baye qui avait laissé sa vache divuguwr sur la route. Meltac Incendie. - A Kergoat, en l'absence de M. Le Nrtour, propriétaire le feu s'est déclaré vendredi. 7 mars, vers 16 h. 30. dans une lande à proximité de la ferme. Environ dix j o u r n a u x de laude ont été la proie des flammes qui ne p u r e n t être domptées, près de la maison, que giûce ù l'arrêt propice 'un talus. Le tocsin sonna et les pompiers de Quimperlé f u r e u t avertis et t i a n s p o r t é s sur les lieux par ie camion iéquisitionné de M. J o u a u . Quand ils arrivèrent, l'incendie était éteint. Les causes du sinistre sont dues à l'imprudence de deux j e u n e s vanniers, du Rouas, qui, en traversant la lande, y avaient jeté le bout de leurs cigarettes. Bannalec A b a n d o n d'attelage. — René, cultivateur a Kervinic à Bannalec, se trouvait le 10 mars, ù Kerbombai de, eu Riec-sur-Belon, conduisant une charrette de oable attelée de 3 chevaux II eut la malencontreuse idée d'aller b o m b a r d e r uu coup de cidre sans avoir attacher ses chevaux. Les gendarmes survinrent et lui dressèrent procès-verbal. Brigneau Médaillé d'argent du travail — Les établissements Louis Biret, à Brigneau, viennant de voir décorer de la médaille d h o n neur eu argeut du travail trots de leurs e m ployées ce sont .\lmes Foglas, uée Loiliction ; Le Moiag, uée N j lenuic ; Tanguy, née Le Pez uuec. A ces dames nos meilleures félicitations. ¡V'évez . R e s t i t u t i o n d'objets pie e x . — On as souvient de l'étrange ue ouverte que firent, le 9 te vrier. quatre marins pécheurs dans un chêne creux de Tréguno, il s'agissait d'objets du culte (ciooire' tuunle et chape.et losaire) a p p a r t e n a n t à l'ég.ise de Névez. M. Rioual a n cien vicaire il Nevez, actuellement recteur au P o n t de buis les a reconnus formellement. L enquête terminée, M. le Hrocuieur a ordonnée >a restitution de ces objets du culte à l'ég.ise de Nevez, et le détenteur, est venu les remettre au recteur dimanche dernier 9 mars. Quimper U n i o n Bretonne dea que le prochain t r i m e s ' r e accusera un tonnage supérieur du double an moins ii celui llgu'a t plus h a u t pour les sables de la baie du Kernic F.alnt«Pol-de-Léon Lob Courses. — Elles sont fixées au dim a n c h e 25 mai, sanf le cas où le? élections législatives auraient lieu à cette dâte. C h a n s o n bretonne, •—Nous ' .Appelons q u e samedi, ¡¿à mars, à 20 h. 30. conféreiiciera M. D,i ttin correspondant de l'Institut, doyen de la Faculté des, Lettres de Reúnes, sur la Chanson bretonne, avec le gracieux concours de Mme du Marche et de Mlle Yvonne Plateau. Les Jeunes g e n s du P a t r o n a g e Saini-Coiotnban ont offert une séance artistique au benefico de Y Avant-darde Quimperloise. La roula des g r a n d s J o u r s so pressait d a n s la nulle L,ikèa. — La réunion des anciens élèves M. Gadon, curó-archipréiru de Sainte Croix, présidait. est fixée u Dimanche 30 ma s. Entrée au pensionnat à 8 h. Le nauquet e^t fl.\é a 9 'ranos p . r Au p r o g r a m m e , la désopilante oorné lie 'Militaire : Loriot. Cotte fantaisie comique fut tête. S adresser u va nt ie 27 m a r s a M. .'ccuuome. Interprétée avec un entrain on iiabl • par vj l{ lillilviouc Brévini, d a n s le ' 6 « du capiiai-ie t i n ioh M bien n o m m é pour son e m b a l l e m e n t Le 'Ole t Obsèques. - Hier matin, vendredi U de Loriot, le b r o d e u r , qui veut des galons et m u s ont eu leu, au Gullviocc, les ob-èqut» s'en trouve f o r t e m b a r r a s s o , f u t i n t e r p été de M. Paul Chacun, i u d u s t i i f l au Gunvmec, aveo un n a t u r e l parfait par M L T t é g u i e r . decéiié dans sa 52« année. Le di f u n t qui JouisM. Jean Pellotior, le s e r g e n t - m a j o r , c o m p l é sait de la sympathie généia.c, était le beautait aveo M. F. L a u d e n , un Joune soldat, le père de M. Jézéquel, négociant, quai Brlzeux. q u a t u o r d'artistes associés aux a v e n t u r e s b u r Nous offrons aux familles Chacuu et Jézéquel lesques de leur c o m p a g n o n Loriot. L'auditoire les condoléances d'un vieux condisciple du a ] fait u n c h a l e u r e u x succès à ce lever de défunt au Pensionnat Ste-Marie, de Quimper. rideau. Ensuite, les m e m b r e s du p a t r o n a g e reprél'IoucNcat s e n t è r e n t l'opèretto on 3 actes : De Voyage en L'embranchement du Kernio Chine, do Labiche et Deiacourt (18G5), dèli Nos lecteurs li-ont avec intérêt le relevé suicleu8e m u s i q u e do François Bazin où se revant des diverses m a r c h a n d i s e s transportées m a r q u e n t d ' h e u r e u s e s mélodies et des passas u r l ' e m b r a n c h e m e n t des c h e m i n s du fer déges restés oélèbrea c o m m e « Cinq cailloux, p a r t e m e n t a u x reliant la g a r e du Kernic \ trois cailloux », ou encore le f a m e u x duo celle de Plouescat-Ville, pondant le,- 3 prebouffe : « Je suis Breton ». Cette opérette f u t miers mois de la mise en applicat on des nout r è s bien r e n d n e par les acteurs et aussi par veaux tarifs a p p r o u v é s par M. lu P r é f e t û la suiie du voto du Cori.-oil Uéneru 1 . e'est-à-diro l a Chorale de Ste-Croix. A noter le c h œ u r des du 13 octobre 1923 au 13 j a n v i e r 1ÜM. matolots d a n s le dolioieux déJor du 3» acte s u r Résidus pour l'agriculture, 1.020 t o n n e s ; le pont de la Pintade : Une foulo do matelots, S is de potasse, 200 t o n n e s ; u h a r b o u s ot petits et g r a n d s , sous les o r d r e s de Martial divers, 220 tonnes ; Sabios calcaires do la Baie (Etienne Uuyot). du Kernic, 7<i0 tom.es Total, 2.240 tonnes. Il f a u d r a i t citer tout ie m o n d e pour rappoLe c h a r b o n mi« fi p a n , le reste des expédiler le succès m é r i t é de cette phalange do j e u tion < étaient destinoes ti l'Agriculture et i la nes artistes. Cependant, une inemion particufertilisation des torres à faible r e n d e m e n t . Ce re.sulUt prouve à l'evidonce la nécHSPé lière est due & It. Brévlni, d'un c o m i q u e si na— s u r t o u t a notre époque de crise économiturel, d a n s le rûie do Pompéry, Lonis T r e g u i e r que — do cet e m b r a n c h e m e n t d é p a r t e m e n t dans celui de l'enseigne Henri de Kernoisan, et Justillo les diverses décisions du Conseil pariait officier ; i F. Lauden, béguo a souhait, Général, c o m m e les initiatives qui les ont dans le personnage d Alidor d» Uosinville ; au proposées. notaire Bonntteau, à M. Y. Guyonvarc'û, un peu Nou» no serons pas démentie en a f f i r m a n t L e b i l a n d o l a XIIe législature ( 1 9 1 0 - 1 9 2 4 ) . — La socUlé d'études et d'informations économiques 287 boulevard SaintGermain a publié ce bilan, au prix de 10 f r . Le lecteur y trouvera un tableau général de l'activité parlementaire de cours des q u a t r e tl> rniéa os nnnées. l ournir aux h o m m e s politiques et a u x j o u r nalistes un résumé aide mémoire des multiples réformes accomplies ou entreprises par la Chambre actuelle, r nseigner l'opinion publique sur l'état des questions politiques, économiques, sociales qui sont portées devant le Parlement, tel est l'objet du livre. Le souci d'exactitude, la méthode rigoureuse avec lesquels la Société s'efforce de travailler sont une garantie du caractère sérieux et i m partial de l'ouvrage. Uu ordre très simple de classification des problèmes depuis ceux qui intéiesseiit l'agriculture ou la restauration des régions dévastées j u s q u ' à ceux qui concernent fa législation civile ou pénale en r e n d r a l'étude attachante et la consultation facile. Le Conque! Gûndarmorio. — M. Yves Cadie, gendarme départemental, originaire de Quimperlé, vennnt des brigades d'Alger, a pris son service dans notre ville, en remplacement de M. Priol, n d m i s à faire valoir ses droits ù la retraite, et est actuellement garde champêtre au Conquct. Lorlcnl JPriso d e commandement. — Le nou- veau préfet marilime, contre-amiral Adhémar de Cramsac, a pris possession de son c o m m a n dement, lundi 10 m a r s . Pontivy Nouveau curé. - Nous a p p r e n o n s la nomination comme curé-archlprètre de Pontivy le notre ami, M. l'abbé Joseph Guillou si dévoue aux lettres bretonnes. Sincères félicitations. ¡V'antee X a s Bretons bretonnanto. — L'Association amicale des Br.-tons Bretonnants de la région na taise a tenu, dimanche dernier, au « Foyer Breton », rue des Réformes, 14, à Chantenay, une intéressante réunion sous la présidence de M. Le Corre, industriel, i.e bureau a été ainsi composé : Président. M. Jean Marie Le Berre, e n t r e p r e n e u r de menuiserie ; vicepi ésidents, M VI. Le Corre, industriel et Donnait ancien notaire ; secrétaire, M. Reungoat, adjudant de gendarmerie en retraite ; trésorier, M. Huech, commis comptable. On a adopté e principe d'une grande manifestation b . e t o n n e vers 1« 30 m a r s . L'Entraide bretonne devra renseigner, orienter, soute,iir, piacer tous les Bretons qui émigré vers Paris et qui feront appel à sesservices. Placement gratuit, toutes corporations, et personnel do-nesti jue, 30, rue Beaubo ,rg. 30, Paris f3*j Téléphone : A chives 08 17 Métro Arts et Métiers. Chambre Vendredi 7 mars, M. Poincaré a parlé de sa ligne de con luite tant a l'intérieur qu'à l'exterieur Sa. politique portait s u r la défense d e s institutions répuolioanes, *e maintien dos lois scolaires, exception faiio pour los trois d é p a r tements alsaciens el lorrains, 'application des lois aux Cong-egalions, avec autorisation pou.r Co igrégatiuiis missionnaires et ho^piialièr' s. Ce p r o g r a m m e portait au si s u r i'applioiitOfl' do la loi de sepa-H ion" w c Associations cultuelles. l'amélioration " îs m s i t u â t on b u d g é taire, les reformes ad>m l'stratives, les s t a n ' " s t.t lovoirs des fonctionnai-es, la f o n d a t i t i d'une m a j o r i t é rèpub inaino et nationale qui ne f û t ni a dioite ni ¿1 g a u c h e prisonuière des exilâmes. E .Un, la politique extérieure était baséo s u r la necessito de maintenir i'; ff,>rt eu vue de 'exécution complète des traites. Ce prog a m i n e a eto rompu« avec l'aide de la majorll- qui, de uis 4 ans a s a u v e g a r d é l'or 1 ru . u o e n et maint m le- droits des tr-,iié- - a u - j i nais iimucoi- U |itix. El'H H, d ' a u re |»,i t, a o i pli u • . œ \ • p i Kieil ne. ¡vit lil " a fai f u : u pu n il vu f] «nei- • aux e g - « lut-ut un "u meraire-, p u s par a Ch iili)re pr.CMiio>e, a n ê w n< I l'ii fl,Uon, crei- I an liar ls d im nouveaux, s u p p r i m é tous les comptes i-peciaux. Dan» les régions libérees. elle u abouti h la reconstruction do GOO.OUO maisons, de 20.000 usines, cle 4,î>00 kilomètres do voies forrées de 8,000 kilomètres de routes. La m a j o r i t é a voté aussi des projets qui améliorent s i n g u l i è r e m e n t le s t a t u t de l'agriculluro. Elle a organisé notre situation militaire, ob tenu des r é s u l t a t s d a n s le domaine des assurances et de prévoyance, des rotraites o u vrières, du c o m m e r c e et dos a u t r e s b r a n c h e s de l'activité nationale. — La C - a m b r e raliflo le traité relatif il la Bessarabie conclu h P a r i s , le 2!) octobre 1920, entre la France, l'Empire Britannique, l'Itane et lo Japon et la R o u m a n i e . Les mtHfils des bons de la Defunse Nationale el ceux du T r é s o r fi échéance d'un an, n ' e n t r e r o n t pas en c o m p t e pour la d é t e r m i n a t i o n possibles d« l'imi Ot général s u r le revenu La discussion principale roule s o r la h a u s s e illicite. M. Kiolz sianalo les cours des denrées pratiquées aux halles ot dans la rue, avec des différences de prix i onsidérables qui varient . ntre 30 et 450 0/0. Une botte de poireaux vendu» 2 trancs aux lianes ont revendue 6 ù 6,50 dan> certains q u a r t i e r s . Le sucre dit M. Bai the, est p ^ s é a 5 fr. 20 le kilo t t ont dit que d'ici peu, h a t t e i n d r a 8 et mOme 10 francs le kllog. Née Marie-Anna LE 8 A O U T déoédée à Saint-Nicolas le 20 Mars 1923. De Profundis I... DE LA PART DE LA FAMILLE FflRI) Pédo> 4 AVIS lin rlpmanrip u n de JarUH UCWdllUG d i n l e r s . S'adresser à M. Manière, ancien notaire, 60, quai de l'Odet, à Q u i m p e r . Mercuriale du LA MARS REVUE 1924. — HEBDOMADAIRE Continue dans son numéro du V Mars La publication des Conférences de la Société des Conférences Les Tendances Jean S a r m e n t , nouvelles au Théâtre, BALYAC, (IV La France et le Balzac, par M. A n d r é Bellessort. par M. Paris de A b o n n e m e n t pour la d u r é e des c o n f é r e n c e s Trois mois, 1 6 f r a n c s A b o n n e m e n t avec primes p e n d a n t la d u r é e des conférences Six mois, 2 8 fr. — Un an, 5 2 f r . PLOiN, 8, r u e Garancière — PARIS Le numéro : 2 fr. LA MODE 'le Journal vraiment mode-ne et pratique de U Femme et de Ì" Maison. ! j i „lu* An U N° Chaqui N° de o ù. Bo contient : .'25 fr. 0.50 U n B o n - P r i m e J e 1 fr. ¡ 1 à éckanger contre produits marque. Avct les patrons de ta Mode Pratique, vous Jerez toutes vos robet. LA M O D E P R A T I Q U 100 fois ce qu'elle 79, B"! St-Germiun, Un nouveau ciédlt américain de cent mil lions de dolíais est accordée pour uue année 11 la Banque de Fiance. Cette nouvelle a causé la vive îeprlse du franc, dont nous p a r l o n s ailleurs, ù New-York et à Londres. Le Reischtag est sor le poiut d'ôtre dissous. Avant de le renvoyer dans ses foyers, le chancelier Stresemann lui adresse ces paroles s t u péfiantes après les déclarations d ' a n t a n : « Beaucoup de gens croient avoir tout dit quand ils se sont écriés : Déchirons le traité de Versailles! En réalité, le traité de Versailles u de réels avantages pour l'Allemagne, et il • vaut mieux que pas de traité du tout I « Le gouvernement français vient de publier un Livre j a u n e sur la question de notre sécurité. Les négociât ons f r a n c o b i i t a n n i q u e s ten dant a délendie les puissances alli. es c o n t r e l'agression éventue le de l'Allemagne y sont inexorablement retracées, de janvier 1919 à décembre 1923. On doit constater que j a m a i s la France ne lu auuexiouiste, et que, s u r t o u t si le pacte de garai) ie n'a pas été signé ce fut à cause des mauvaises volontés d'outre-Manche. Le président de la République ottomane munde au chef des m u s u l m a n s Hindous que le calilat réside dans l'Assemb ée Nationale T u r que. Les Arabes proposent cette dignité au roi Hussein ; les Marocains, à leur sultan; le calife dépossédé et le sultan révoqué sou prédéces seur, protestent égalemens et s'en réfèrent & un congrès panislamique. | Jea alimentaires cLî première rapporte i 7 Taureau, le kilo. 3.00 à 0.00 ; bœuf de boucherie, le kilo, 3.50 à 0.G0 ; vache de boucherie, 2.50 à O-oO ; vach'es laitières, 500 à 1.100 ; génisses et vaches pleines, 6U0 à 1.600 ; porc, le kilo, 5.20 à 5.60 : mouton, 3.60 à 3,75 ; v e a u , 4.50 à 0.C0 ; f r o m e n t , les 100 kil. i00 à 102; seigle, 70 a 80 : orge, 88 à 90 ; s a r r a s i n , 91 h 93 ; avoine, 60 à 68 ; p o m m e s de terre, les 100 kil. 60 à 68 ; foin, les 500 kil. 170 à 180 ; paille, 110 à 120 ; son, les 100 kil. en g r o s , 65 ; au détail, 75 ; f a r i n e du pays, 134 à 136 ; de l'extérieur, 137 à 139 ; b e u r r e , la livre, salé, 7.c0 à 7.50 ; doux, 6,50 à 7.00 ; œ u f s , la douzaine, 4.00 à 4.50 ; p o u lets, la couple, vieux, 31 à 35 ; j e u n e s , 1S à 20 ; cidre p u r j u s , 160 à 170 : o r d i n a i r e , ordinaire, 140 à 150. T a x e s u r les» é t r a n g e r s . — Ou se rappelle que sous le titre ' Dinurdais d'élection" 1 Union Agricole préconisait à ta date du 23 février dernier .une taxe sur les étrangers séj o u r n a n t eu France. Cette idée fait uu chemin et 1 Ouest Eclair publiait jeudi u u e lettre d aOoiuie M'écouisunt de fortes taxes de séjour et une élévation tres sérieuse du prix du passeport Ces mesures s'imposent avec l'arrivée des beaux jours. La vine de P a n s , a déjà agi dans ce sens et il y a longtemps que l'Ailemague a donné l'exemp.e. A c h e t e u r s é t i u u g e r s . — Daus les marchés a terme conclus avec les étrangers, par nos commerçants et industriels, la mar-' ehanuise leur est facturée eu francs au c o u r s du j o u r de la livraison. Alais entre ce j o u r et cciui du paiement, le chaude s'eat encore aggrave De telie sorte que l'acheteur é t r a n g e r réalise ua uouble beuetlce à notre d é t r i m e n t : 1 0 il achète la marchandise française au q u a r t de sa vaieur puisque le f r a n c ne vaut plus 0 fr. 25 ; 2* il beuellcie encore de la dépréciation survenue entre la dâte de la livraison et la d&te île l'é. héance. l'eudant ce te me-là, le fabr.cant qui a épui sé tout sou stock de matières premières pour executei les grosses c o m m a n d e s qu'il ava|t reçues, ne peut remplacer ce ,-tuck s'il s'-* de marchanuises qu'on ne trouve plus en F" Uice, qu'en les faisant venir de l'étranger t j les p . y a n t quatre fois plus clier qu'elles ne valent par suite du cliauge. Il serait cependant bien simp e d'obliger le ven leur à faire payer à vue fa marchandise liv ée à l'étrauger, par échange immédiat des devl es étrangères au co.i.s du jour at d'obliger aussi le vendeur a déclarer q u o t i d i e n n e ment au Ministère du Commerce les affaires traitées pour que celui ci .-.e rende compte de l'état d approvisionnement d u pays et procede à des in erdici ous un,ne liâtes d'i-xpoi tatiou s' J"KC q ie les besoins d la consommation iliié icure ne sont p us as urés tor Places, t r è s peu roulé, i u n u état neuf, belle occasion, avantageuse. A V e n d r e p o u r double emploi. S ad. Librairie de l'Hermine, 41, r u e du Casino, D m a r d . Sénat n i r e n a i d e à ses c o m p a t r i o t e s . SERVICE ANNIVERSAIRE Madame François TANGUY Une loi votée par le Sénat porte de 577 à 589 le n o m b r e dos députes. Ces douze sièges se r e p a r u s s e n t aiusi : Aisne, 1; Ardennes, 2 ; Marne, 1; Vosges, 1; Moselle, 1; Haut-Rhin, 1; A ger, 2; Con.-iantine, 2; Oran, 1. La bataille contre ie f r a n c tourne à notre avauiage. En tiois j o u r s la livre a passe de 116 fr. a 97 f r . 05, grâce, s a n s doute, à ia sagesse tardive de certains b a n q u i e r s anglais et américains qui se se sont aperçus, qu'a travers notre UcVise, ^eurs confrères a A m s t e r d a m et de Milan m a n œ u v r e s par le synuicat u u e r n a tlunai pi o allemand, ailaitles r o u i e r e u x aussi Mais ia cauae principale de ce succès relatif est d û e a l'ene.rgic el a la tenacilé de M. Poincare. La France a u r a raison ne la specnlation é t r a n g è r e qui eu faL-ant baisser le f r a n c , sème chez nous, la punique de -a vie chère atin ue r a m o n e r au pouvoir les partis de gauctie qui dispenseront l'Allemagne de toute l e p a r a t i o n . Q u a u J le Senai a u r a voté les m e s u r e s financières, si pénibles soient-elles au premier abord, la livre s o l l o n d r e r a encore. Lu Sénat, s'il faut en croire M. Beranger. r a p p o r t e u r de la commission est hoauie aux deciets lois M. Boraujier ne croit pas non p.u 3 a l'etlioaute ue l'occupation de la R u h r , M. Puincctie l e t o r q u e que pour l'annee 1924, les rec-lie.-, totales sont evaluees, d a u s la R u n r a 4 mnliarus dont 3 K e u v e n i è i r e consacres aux réparations. Espérons que le Sénat s'exécutera, car n y va du saïui national. L ' e n t r ' a i d o I t i o t o n u e . — A Paris vient de se reconstituer uue association composée u u i q u e m e n t de Bretons dout le but est de ve- t Vous ôtes-$riés de vouloir bien a s s i s t e r au Service a n n i v e r s a i r e qui sera oélébré, en l'église paroissiale de Notre-Dame de FAssomption, de Quimperlé, le Mercredi 19 Mars 1924, à 9 h . 30 du m a t i n , p o u r le r e p o s de l'âme de La Chambre seralt-elie prorogée? — L'Intransigeant annonce la po.-sibilité d une Assemb ee Nationale à Versailles pour voier une pioioga ion d'uu an des pouvoirs de la C h i m b e , a c t u e l l e : cela pour p e r m e t t r e de faire aboutir devant les deux Chambres, ayant la nouvehe consultation électorale, les projets fiscaux, la r é l o i m e Jes pensions, les lois militai, es et le projet sur les assurances sociales. Ne serait il pas d désirer que cette assemblée nationale p'uiite de son congrès, pour doter la France d'une Constliutioa Régiunallste. portant entr'autres r é f o r m e s l'abrogation du P a i e m e n t Central, l'extension des t.oiiseit» Généraux de la Région, et l'organisation d'assembiee* professionnelles consultatives «i justapusiie» a ce Conseil ? l'urist Bal des Provinces françaises. — Mercredi 13 février au soir, d a u s les Salons lu Continent I, sous la présidence de M Le T r o c q u e r , eut lieu le g r a n d bal des Provinces françaises. La note bretonne y f u t très marquée. C'était écrit la Bretagne, à Paris, la Bretagne qui dominait et l'e.-saim multicolore des BiKoudennes, dos Pont-Avenoises, Trécorroists, Alréennos et Malouine« offrait le plus delicieux coup d'œil, complété par des g r o n p e s non moins c h a r m a n t s d'Alsaciennes, Normandes, Niçoises, Limousines, Arlésiennes, Berrichonnes, AnKevines, Basquaises etc., voire m ê m e une descendante de l'antique Pilotée, véme à la grecque, et r e p r é s e n t a n t probablement Marseille. Les c o s t u m e s nationaux des h o m m e s , étaient moins n o m b r e u x mais n'en avaient pas m o i n s grande al.ure. Et ce f u t c o m m e u n merveilleux voyage a t r a v e r s notre belle Fraoce. Les bons et h a biles s o n n e u r s do biuious Le Bouc et Le Quellec firent se d é r o u l e r de sinueuses gavottes et de gracieuses dérobées ; les f r è r e s J e h a n et Loïc Kerneval c h a n t è r e n t et d a n s è r e n t avec leur ta en habituel La Sabotière do Botrel ; les Limousins e u i e n t un légitime succès avec leur bourrée, le P d é l é , etc., aux sons de la vielle et de la c h a b r e t t e ; un q u a tuor de Basques a u x c o s t u m e s éclatants exécuta, au son do la Chirula, i a i n t i z a n a pika, etc., aveo une m e s u r e et un ensemble p a r f a i t s ; q u a n t a u x danses chantées des Alsaciennes elles f u r e n t l o n g u e m e n t acclamées c o m m e elles le m é r i t a i e n t . Combattants - Le b j r e a u de l'Union bretonne des combat tauts, lors de sa dernière réunion, a dés gué M. Pierre Buriu raemüre de l'Oilke u i t i o u U des mutilés comme président, eu r e m p l a c e m e n t de M Cazenavette. M. Durand, a d m i n i s t r a t e u r de l'Union, a été désigné comme secrétaire, el M, Phiiipou, d i recteur du Cercle du Poilu. Le bureau do l'Uuion bretoune des combattan s est désormois c mposé comme suit : Présldein, M. Uuriu ; v.ce-présidents, MM. 1 abbé Cadiou et Albert le Uati ; secrétaire, M. Durand ; trésorie.', M. Piriou ; directeur d s fêtes, M Strullu ; directeur du cercle 'à Poilu, M Phil ipon j administrateurs, M vl. 'Le R u m e u . \ Le Péti Ion, Lozacineur, Jczéquel. Faroux, Mmes L naru e t O i h o u D'après un prospectus financier paru d a n s VInformation, les sucreries Say peuvent v e n d r e actuellement 400 f r a n c s les cent kilos de s u c r e qu'elles ont payés 240 f r a n c s inclus d a n s la betterave. Elles réalisent ainsi 140 millions au moins I Or, les stocks sont plus considérables que j a mais I Que va-t-il se passer désormais ? PARIS.* E coûte. *c.,SD..,(5.!).. c J ¿F, PLUS MODERNE DES JOURNAUX Documentation la plus complète et U plu» varice EXCELSIOR GRAND ILLUSTRÉ QUOTIDIEN à 2 0 C e n t . II... "il iir.nr>.... ™ B M 0 " SIX MOIS UNAN Xbonnemanis à EXCELSIOR — _ _ pour te» Mpirlwoits... lSfrs 34 fr. 65 fr* Spicîmen franco inr demande. . En s'ahenncnl AJ. rut J Enghicn. Paris, par manda! oa ch que postal (Compte n» 5^0), demandez la U te et les tptarr.rns des Pnmci gratuites fort InUre sar.tes. DiMMHt-l'LLUSïRÉ EXCELSIOR - DIMANCHE Matmlm illustré en coaltars «r» r— . 16 pasea. <¡¿5 C e n t . Abcnnoments ì DIKJMCHE-IlLUSlfiÉ SIX MOIS UN AN Fran:s, Colonics et IM;:cns oucupó:s. 6 . 5 0 Bo!slq:¡í ei Luxenbcurj 7.50 Êirinjor .. 1 3 f r s 1 2 fr» 14 frs 2 5 frs l ï Bofln, Je vote familial est essentiellement démocratique. L'ordre du jour suivant a été voté. « Les memt.res de VU. F. P. M., r^uala en assamblée s-ioérale, à Quîmper, salie Liot, le 9 mars 1924. après avoir entendu MM. Morucoi, Lorin, Bouilloux-Lafont, Paul Simon, Balanant, Le Louédec, Talbot et Inizan. * Décident île réclamer des candidats nux élections Ugis'atlves. l'engagement écrit, préols et iorinel de voter : 1" la péréquation des charges aveo toutes ses conséquences ; r le vote familial ; S- d'aocopter de se tenir en relation directe et constante aveo l'U.F.F.N. et de s'inspirer des suggestions de celle-ci au cours de la proohalno législature ; « Renouvellont les Vœux votés à CMteaulln et l'adresse de remerciements au prôiet, au gouvernement et au Parlement ; « St votent le projet de résolution de M. de Dleuleveult. » CABINET Nice — Samedi 1- mars, à Nie», la bénédiction nuptiale a fit« donnée par M, l'abbe Trochu, à M. René Loyer, banquier à Rennes et à Mlle Simonne LotDjMrd, fille du Trésorier payeur général, chevalier de ln Légion d'Honneur. Nous adressons aux jeunes époux nos meilleurs vœux. Mmrimgo. LORIENT t GRANDS «ECAILLE D'OR aposiTiou AMakûmaRIÊ internationale si le cidre s'engraijî« PARIS MAGASINS Qottaur m Chirurgi«taitairaa, U . DiplOmC da l'E. D. F. da Pari» fiie.setuo Dantisti 1910 M ^ T O ou durcit Les Familles E V E X , D R E W O U , KERHRRVE, GOURMELEN e t t o u t e l a f a m i l l e remerolent bien ainoèrement les p e r s o n n e s q u i ont assisté aux obsèques de LORIENT A. DEMARTHE uwuDRÉÂfôAND M A R I E qui donne au cidre labeîle couleur REMERCIEMENTS MERvtlLUEUJl EXTRACTIONS SANS DOÜLMUR InstftliaÜM d aux bureaux de 1 5 0 - 1 2 5 - 9 5 série de luxe 2 5 0 - 1 9 GinPFQ deetlni» & la consommation, trè« vite ferraenVIUMLV t a m a T W ]e Ferment AMAND MARIE n- 1. — 8 fr. dose poar 1.000 à 1.800 litre«. flhRFC que voua délirai distiller lapins tôt posalhle MVIlbû a8ron t très vit» farmentô« avec le Ferme AMAND MARIE n- 2. — 8 £r. dose pour 1.000 à 1.400 itrea. NETTOYEZ vae tonneaux, Barrique«, Futailles avec la SUtliUant AMAND MARIE. — Tow le« nuavaii germM eeront détrult« — Le Flajon pour 1.000 à 1.800 litre«. 10 tr. — e 1/3 fkçon, 6 fr. VUmon Agricole. L e s d o t s d e l a MODE P R A T I Q U E . — L'œuvrw dus doti do la Mode Pratique pour r.nndf" 1923, a distribué lea six dots annuelles 1« 5.000 fr. quelle accord« chaque année à de J ut'8 et méritâtes travailleuses. M Henri Robert a prononcé i'élo*tj des Jeunes lauréates dont voioi les noms avec le chiffre des suffrages qu'flllP8 ont recueilli». Mlle* G u r m i h e Prere, (50 714 voix), 85. r U ° de Sivrng, p a r|q ; Jeanne Duhamel, (41795 voix), 20 -ue Oudlnot, Paris ; T.au-enc« Auvray, (83 132 voix) Boix-ja-ôm« (B'jre) ; Mar th Not>l*t, (30 863 voix), V*Hingh*m, près Lllla (Nord) ; Anna Martel, 24 411 voix), Bord e a u x ; Lucie U n d i n e t , (SHnyolx), route do Paris. Gurtret ( O f u p r ) . 0 pour Dames Costumes tailleurs Robes — Manteaux Modèles CULTIVATEURS Employez la Poudra «t la Mixture Arnaud MARIS an mèma tempu, au moment, du BrAuage. Votre cidre «ara axcollsnt toute l'année et pourra très Lien «e oon«ei-var le« annâe« «uivantes. A C H A T d e V I E U X LIVRES, pleine peau. Prix sHon format. S'adresser nos Complets Vestons exoluslfs Confection - Couture EAU-DE-VIS Colnrée Bonifié» «t M«lli«ura avec le BONIFICATEUR AMAND MARIE. — 6 £r, dosa pour 20 litre». BEURRE Le Colorant poar Beurre AMAND ft. NRIE e«t le plue apprécié. — AcUUi-1». — 4 tr. U grant. ^ajon. KéNuitats I m m é d i a t « et ini ¿ l l l l b l e s Nombreuses références En vente : Laboratoire AMAND MARIE, & VIRE (OalvadoH). et dans les PharmaolM QUIBOURQ, HABRIAL et LE NACUR. « ÛUI PEHi.K ILIOU aSCAER et LR88ARO k HANNAI R*fl du Oom. Trlb de Vira, N 3 0 pour Enfants nouveaut N0rf0lkS Marins 9erge b^-ue L'emploi régulier de l'inimluble 69-4» Magasins ouverts tous Dimanches jusqu'à midi. CRÈME SIMON les ON • s t h) dispensable poor DEMANDE Un Commis de Bureau [ l ' h y g i è n e , l* t o i l e t t é e » ! « b e a u t é I à 1UIVION AGRICOLE R I V A L I N - est le m i e u x Etablissements SAVARY S" RIVIERE & C, (Quimperlé). aieo bons bâtiments, plantée de 456 pommiers to rapport, & 11 heure* Ì POM-MIEN, m l'étude d'Immeubles Sis en h couiinnne de Riee-siip-Bélou d» S A 12 Chevaux. aux d é p e n d a n c e s de KERUUEiV, p r é s le b o u r g , en b o r d u r e de la r o u t s d e Moëlan. Libre de looation au SO s e p t e m bre 1924. PREMIER LOT UîME M A I S O N a v e o e r é o l i e et Oourtll. U \ E PARCELLE DE T E R R E , d i t e Parc Tri-B^rn, s o u s l a b o u r , contenant un Journal environ. Clause d e r e u n i o n d e s d e u x lots. Facilité d e t r a i t e r a v a n t l ' a d j u d i cation. Pour tous renseignements, dresser au notaire. s'a- OFFICE AR VOR L. LA UN AY Ql) IMPERLA Moteurs — perm "Ut'nl(,el08 livr «r,aveo UNE UARANT1R MONTAGE DES ^ n M. GLASEB « llite de Paris, 4 4 , B« Sébaatopol, (anct. n* 63i. Cet appareil, le seul reconnu officiellement par le corps Médical, assure séance tenante la contention parfaite des hernies les plus difficiles. En voici des preuves : Nous autorisent à publier leur nom : M. LEBOWVIER A., rue de Vire à CondéSur-N. (Calvados) hernie guérie. Mlle J. HIMBERT, chez M. MARY Q. & Châteauneuf (I.-et-V.) hernies guérleB. M. ROBERT Jean, rue de la Madeleine à La Chèze (C.-du-N.j hernie guérie. Désireux de donner aux malades une preuve immédiate de ce résultat, garanti d'ailleurs par écrit, M. GLA8ER Invite toutes les personne» atteintes de hernies, efforts, descentes, & lui rendre visite dans îes villes suivantes où il fera gratuitement l'essai de ses appareils. Aller donc tous de 8 h. à 4 h. à : Lorient, 6 Avril, Hôtel de Bretagne. Quimperlé, 7 Avril, HCtel du Lion d'Or et Voyageurs. Pont-l'Abbé, Jeudi 10, Hôtel des Voyageurs. Breat, Dimanche 18 et 14, BCtel Continental. Qulmper, 15 Avril, Hôtel t. l'Epie. NOUVELLE CEINTURE VENTRIERE pour Déplacement tous organes TRAITE de la HERNIE franco sur demande à-M. GLASER. 44, Bd Sébastopol PARIS. m LÏÏET® Toilettes de Bapfôme MMRBfl BERtL^AVX Literie PLUMES A DUVETS voitures m n r n e c h l e n » ® Eavrmck, s-adresser à M. C o r b i è r e , r u e S a v a r y , Q u i m p e r l é . d e u x an3# A n. OBIliailDB HpmonHo à ». acheter vieux Un s'adresser au r e a u d u j o u r n no al. plabu V E N D R E COMMUNE DE PLONÉVEZ DU-PAOU heures, Valeur approximative : 60.000 ta. La plue grande dee deux Fermes exploitée par Mme v s u v e Breton, au village de Leïnon, 11 hect. 50 environ. V e n d r e à l'amiable AUTRE FERME de 1 0 heotares 6 0 ares, PRIX : 32.000 francs. NOTA. — Il e x i s t e d é j à d e n o m b r e u x b r e t o n s i n s t a l l é s d a n s la contrée. S ' a d r e s s e r à M* THORE, n o t a i r e à Bresolles. E t u d e d e M« M I N I È R E , â Quimper A notaire V E N D R E • L'AlILLBLE Machines à bois ¡ T » QQ »'s *pnt ii s a d l s p o s i t i e u p o u r lui f o u r n i r d e s m o t e u r s à esseno®, d e 8 & 12 C.V., A d e « p r i x t r è » a v a n t a g e u x . Ces m o t e u r s p e u v e n t ê t r e c o n s i d é r é s o o r n m e Je» meilleure e t l e s plwÊ éeonomiquma d e s m o t e u r s e x i s t a n t a c t u e l l e m e n t s u r le m a r o h é . L e s s o i n s a p p o r t é s à l e u r f a b r i o a l i o n , a i n s i q u e le ohoix d e s m a t i è r e s f «iu1' Î 4 Verneur, 31 hectares environ. Partie libre à la Saint-Michel prochain« ; 2• la Ferme de Peni BREZOLLES, en l'étuds de M* THORE, nao'hoat-Broôz, 10 hectares environ. Libre à la St-Michel. COMMUNE DE SAINT-EVARZEC notaire. J o u l s t a n o e a u gré dea amateurs. La Fer me de Ker-Thomae, i l hectares environ. Faculté de traiter avant l'adjudication. COMMUNE DE LE CLOITRE-PLEYBEN fd / DEUXIÈME LOT "* An iVendre i oiiuro le Jeudi 3 Avril 1924, A MISE A P R I X : 8 0 0 0 Fr. u k Ferme de 20 hectares, LE LUNDI 24 MARS 1924 6UËRIS0N cp ea rr t ]fei npeo r«t dradioaï® lae bernl« LA QUL1UOU11 » u J J a n d ade ge n être obtenue cru'en adoptant le nouvel appareil sans ressort muni de la merveilleusa La Maison se charge de la fabrication de C A P E S pour le Costume Breton A vendre aux enehAree, O TES U R ANNRRS0yée*' ° Imperméables Soieries E t u d e d e M' P ê a n d o P o n f l l l y , E t u d e d e M* T H O R E , n o t a i r e notaire à Pont-Aven (Finistère) Brezolles ( E u r e et-Loire). Volontaire i Erfurts assorti dans tous les Articles d'Hiver Adjudication Mimas MEMBRE OUJUMtfHOBS CONCOURS HoflAM, imn fisi» BN TOUS tous genres QUIMPERLÉ Registra du Commerce N' 1801, Quimperlé %BB en 18, rue Savary , 1 8 B O U R C ' H I S Les Etablissements SAVARY, FOLRRtR ' ES COSTm "AUX TRAVAILLEURS" TMrapfliitlqLe H E R NIU D e P r o f u n d i s I... pour hommes QU1MPKRLÉ .OR «t PLATO» Ainsi q u e oelles q u i l e u r o n t témoigné leur s y m p a t h i e en oette douloureuse ciroonstanoe. VÊTEMENTS - ta de M e et Pose de M en tous puro d è o é d é e à Q u i m p e r l é , le V e n d r e d i 7 Mars 1924, d a n s s a 21« a n n é e , m u n i e de3 S a o r e m e n t s d e l'Eglise. eut lieu, A la cathédrale, la cérémonl« d'inauguration du monument élevé à la mémoire des 56 prêtres et M séminaristes t'u diocèso de Qulmper, tombés au champ d'honneur. Le ohanoine Bellec, cure de Reeouvrance anolen aumônier militaire, chevalier do la Légion d'honneur, célébra le service solennel. L'évéque de Quimper et île Léon prononça une émouvante allocation, exaltant, avor son éloquence coutumière, l'esprit de aacritlco sous toutes se.< formes. Après 1« Requiem, Mgr Duparc bénit le mo miment. Le drapeau des vétérans porté par M. Tanguy Blger, «vec sa garde d'honneur. àVhtl pris plaoe dans le chœur. Un grand nombre dVo oléslastlques, la foule des fidèles et les délégations des écoies chrétiennes emplissaient le nef. Ce monument placé à colé de l'autel de Notre-Dame-de-Lourdes, est constitué p.tr une superbe mosaïque, œuvro du grand peintre Maurioe Denis. Un s'accorde généralement & trouver cette ceuvre belle. Nous ferons quelques réserves. Non pas que comme Doin V- rkt.H'dont Maurioe Denis préfaça "Le tourment de Dieu" nous n'aimions pas la mosaïque bysantine, mais le classique de pierro blanche nous déplaît dans cette cathédraie de granit. Pourquoi n'a-t-on pas empioyô plutôt, la pierre roan de l'Aber ? De plus, le brax droit du ChrNt agenouillé, et soutenant le prêtre-soldat mourant, est t--op long. Enfin, si les inscriptions sont bien choisies, aucune n'est en langue bretonne, et cependant cette langue fut la languo maternelle des trois quarts de ces victimes de la guerre I de l'HOpital CirU 4, rue Thier» Résultats Mademoiselle Eugénie EVEN If M o a n x n t n t a n x HooléaiMBtiquea mortB pour lm France. - Mardi matin, DEN TAIRE COMMUNE DE SAINT JEAN TROLIMON La belle Propriété de Kerhueltré, fonds et droits réunis o hect. tx) environ. Et diverses autres propriétés, situées dans le Finistère. S'adresser à M M . H A R E L & Q U I C H E T (Maison BERNHEIM Frères et Fils,) 4, rue Vis, à Qulmper. Maison Jean TREGUIER 7, rue des Ecolei. — Q U I M P E R L É HORLOGERIE-BIJOUTERIE * O r f è v r e r i e tin beau Terrain de 384 m2 Brand Choix d'Articles ponr Mariages — Articles pour Cadeaux MACHINES VENDUES ASSURANCE CONTRE LI'NCENDIE s i s h Q U I M P E R , r u e d e Conoarn e a u , n° 3, à p r o x i m i t é d e la g a r e . Pour tous renseignements, d r e s s e r h M* M a n i è r e . s'a- I Vflnrfrn U n l i t o r d i n a i r e , s o m n lONUiD m j e r . f o u d r e et f u i s . Nous a v o n s t o u t e s le» p i è c e s d e r e c h a n g e on Maaasin et p o u v o n s Capote p o u r v o i l u r e a n g l a i s e 85x75. a s s u r e r r a p i d e m e n t t o u t e s r é p a r a t i o n s d e ce* t n e t e u r s . S ' a d r e s s e r à Mme Le Noo, r u e ON DEMANDE, p o u r Q u i m p e r l é et Nos o l i e n t s p o u r r o n t v o i r t o u s lea j o u r s u n do ces m o t e u r s en foncles e n v i r o n s , P e r s o n n e r e t r a i t é e , Glohars ( Q u i m p e r l é ) . tionnement, dans nos magasins. N o u s t e n o n s a u s s i h la d i s p o s i t i o n d e s c l i e n t s q u i lo d é s i r o r a i e n t d e s j e u n e h o m m e ou d a m e , a y a n t q u e l q u e s l o i s i r s , p o u r r e m p l i r les f o n c m o t e u r s m a r q u e s " l i s t e r ". 2 pièces, grenier, puits, t i o n s d e s o u s a g e n t et d ' e n c a i s s e u r . lavoir j a r d i n , en borS ' a d r e s s e r à M. d u Bouëiiez, A s s u B A T T E U 8 E 8 - V A N N E U S E 3 . — Les Etablissements SAVaRY i n f o rr-a n c e s , il Kerléven. p r é s H e n n e b o n t . d u r e do la r o u t e de Q u i m m e n t l e u r c l i e n t è l e q u ' e l l e p o u r r a voir d u n s k'Urs m a g a s i n s d e s JB*tp e r l é , p r è s Moëlan. S ' a d r e s s e r M m e t e s o e e - V a a n e a s e * à double nettoyage, m u n i e s d e s d e r n i e r s p e r f e c Lolliohon, à L a n n - P o r s - M o ë l a n . t i o n n e m e n t s , b a t t e u s e s d o n t ils p e u v e n t g a r a n t i r l ' e x c e l l e n t f o n c t i o n n e On d e m a n d e «nolM>™® à l'Hôtel des m e n t et le p a r f a i t n e t t o y a g e , et q u i p o u r r o n t ê t r e a c t i o n n é e s p a r u n d e s Bains, LE POULDU. m o t e u r s 10 C.V. d é c r i t s o i - d e s s u s . Mutuelle du Mans VIEUX LIVRES GRAND A S S O R T I M E N T B E BICYCLETTES D E T O U T E S M A R Q U S MACHINES A COUDRE MACHINES A T R I C O T E R GRAPHES * ACCESSOIRES Machines Agricelss, Charrues Brabant, Herses Cultivateurs, etc. Brand choix d'Ecrémeuses : % F L h°i la PBA Pièfifls de Rechange pour ALFA-UVAL, HELOTTE el toutes autres Marques ECHANGES ET »¡¡SI Bien ^adresser reliures, sont aohetés par F A U C H E U S E S . — Lea Etablissements HA VA It Y s o n t à la d i s p o s i t i o nS O L C H E S « s s i t t j ì vieilles M. LE DAULT, K e r f e u n t e u u (Fi d e s » j r t o m t s i r s f o u r l e u r f o u r n i r o o m m e lea a n n é e s p r é c é d e n t e s d e s oo&U e u Rieo-sur-Bélon. Q frmne» ntftore). fia rond sur plac« & ses J * * e » e a « M WmQMT 4k WOOD M «t ? o l i e v a u x , I * « n » f r e t é e . S'adr. sur l e s U « u * frMis. Lui eorire. PB. OU O ITELKPH. S» REPARATIONS aux : Maison Jean TREBUIER, 7, QUIMPERLE j meilleurs priai Rue des Ecoles ÏKLEPH. 65j R. du C. Quirap«rlé, N- 74$ ' m H ch •Otft OUVRIS p a r lea P A S T I L L E S t a n * * * « O Ù * . M- Votar MAISON MÎA mjiT£N£UE, à Stndilion (Loirot) atteint ei «tiembr» 19.,. ta 1910 ita laryngite, souffrait de plro ns u m t n t s? ,?5 dans J f c godp qui provoquaient une toux pénible ---7- rinlble eflies d'oppression qui l'obli («aient t rester assis u une grande partie do lt lde nnU 6 6 !«* Sa vWX' était" l s enrouée, ^ n e , ( i r ' a i souvent I ) a r ¿teint« Jours, guéri eu quoique; Amélioré en l 7 juillet 1922, confirmé« tfWANIjï V E N D A N T LE MEILLEUR C h CONFIANCE MARCHÉ DE LA RÉGION ¡»mUnes d a h rhume d« carreau chronique dont tt »OTiffrtjt dep.m^.un an (atteit. du 3 févriei PHARMACIEN ANCII'.N LABOHATOinE 3, Place Carnol ]anVleri923).M"CULHAERT rebelle »uivfe de crachats, depuis 1913. Les Pu» « U M D u p e y r o u x le guérirent en quelques moi ( e t t 4 n JjOmars 19M).- Lee Paatlllea Dupeyrou* l u e s eana n a r c o t i q u e s , s a n s colora nt f o x l qloea, u e a , ssaannss g é l a t i n e i n f e c t i e u s e , s»n> ««odtterine. a o n f é i p é d i é e s f r a n c o h doim CilB o o n t r e 3 f r a n c s en m a n d a t c a r t e p u l e D» DUPBYROOX, 5, S q u a r e do Moasfn. P « ï l » . oui e n v o l e g r a t i s et f r a n c o sut d e m a n d e s o n Etude a u r lea Infection* ps lee TOlea R e a p i r a t o i r e s et s o n Questioi C a i r e p o u r C o n a u l t a t i o n s oratuitos pm • o r r e t p o n d a n c e . C o n s u l t a t i o n s t o u s le» l p u r a n o n fériéa, 6, S q u a r e do Meaalne » • r i e . d e l O h . è i l h . e t d o U h . A i 6 h . (3<;iii) — ANBIEN DE INTERNE DES HOPITACX DE PARIS L'UNIVERSITÉ Téléphone n° 7 QUIMPERLE POUR L'HIVER : C A P E S & M A N T E A U X pour le C o s t u m e breton. P A R D E S S U S t o u t faits et s u r m e s u r e . (V,, M Tous les genres de V Ê T E M E N T S I M P E R M É A B L E S DICAMENTS GALÉNIQUES BASSINS— DOUCHES PULVÉRISATEURS FIJLMIOATEURS n E RBÓR I S T E R I E SPÉCIALITÉS T I S S U S p o u r R o b e s et M a n t e a u x . M1CHAUO, aux R9tltif$»lnt-E,tiph» par RnU: {Chtnnt*) était atteint d'une toux violente «• C H A L E S p u r e l a i n e d e s P y r é n é e s et le p l u s g r a n d choix de F O U R R U R E S . ÏSw^ppF B O N N E T E R I E p o u r H o m m e s , D a m e s et Enfants. COUVERTURES,COUVRE-PIEDS, EDREDONS. A OUL-S M K JJ1 !. A M E A TE L'SES : A TORJTI.S F O R M U L E S Ch. C O T I S S U S s k m i M.s «3c L. I T LE DE DOCTEUR BtUARU, couturière a Nour«//s-f|//j« par POUR CHEF DE 1" CLASSE DE LA F A C U L T É DE P A R I S 17, Rue Savary, QUIMPERLÉ î i ï ï ^ « ' ^ » ® » . rtowut depuis drcembn 1918. d une pharyngite uvec brûlures HU naial» ei dans l arrlère-aoraé qui l'empôchaient do dor u t tr,r«.niioa puisaul «oulauée par le» ïï \.P.118 Jjuujwyroux, wSMtoUnénienl œalRré plusieurs rechutes PaatllleaX)up«yroux, puissuce définitivement ru hic décembre 191Ô, confirmée le 1» février „_ , v successives (alleu, di 1923) t^SoltngtSOUHDIN, oriti k Lorlji, '[- février 1923) frippêa sur grippes et souffrait (Alllir), d'une toux promu' trè> pinlble. Les fNttttllM D u p e y r o u x :la guérlren •nquelques semaines (attest, du 18 dfc. 1932 «•»H* BLANCH6T, eus Cimp»nis,t Avignon •luM), souffrait depuis six ans de qulntos de tou> >o uiâtres et était essoufflée au moindre effori Bile se trouva soulagée à la boite et fut guéri' ea un an (altest. du 15 janvier 1923). w f*u .h Suce r Mollis lA^ \ \ (> Il \ \ C O R ABRE AFIJHEVOH, A Bour quelque-, < u i r i en lique doi t&SSISzM&s'Q DE PAY8 ! DES VA'.CINS ORDONNANCES DE • ; MM. LES OCOULISTES C O N F E C T I O N S E R V Ê T E M E N T S I E S U R M E S U R E Le d e v o i r de t o u t vrai Breton esi 4 e » ' i n s o r t r e à l a F é d é r a t i o n Rèaio SUCCURSALES à Plouav, Pont-Aven, Moëlan, Clohars-Carnoct D R O G U E HIP. U B C H K H C H K S CU MIQUEH BIOLOGIQUES BACTÉRIOLOGIQUES Registre du Commerce nalUte de Bretagne, - •''X^I'TLON \ INDUSTRIELLE ET AGRICOLE H ° 668 QUIMPERLÉ S ' a d r e s s e r a n t r é s o r i e r A . MELLAC. 1 0 , rat d u G a z . L o r i e n t . Pansements aseptiques & antiseptiques BANDAGES C < I Q N S GAZES — C A T G U T S C « INS DE F L O R E N C E BAS A VARICES CABINET - CEINTURES D'APPLICATION Charrue Brabant DELAHAYE La plus solide et la plus perfectionnée. Ë A.'choisir tous genres et toutes forces oomme avant-guerre. P r i x M o d é r é s v u 1« Qualité. Agence de Quimperlé : Garage Jérôme TRtßülEB Pièces de rechange. II (Maison fondée en 1877) Y. 3ÊLLIN, 7, rue Mellac, Quimperlé R . d u C. Q u i m p e r l é . N- 94 h m v p î : 20, L'Elevage de la Belle Poule KERSCAFF en NÉVEZ Propriétaire Jacques LACHAUD Elève les Races productives et grandes Pondeuses: WYANDOTTE BLANCHE LEGHORN BLANCHE IBESSE NOIRE FAVEROLLE SAUMONNÉE Les nouveaux Modèles R E N A U L T „ obtiennent le succès mérité, grâce a i leurs qualités de souplesse, de confort I |et d'élégance. Parapluies, Ombrelles, Canues Parapluies " TOM P O U C E ' ' (dernière création) MONTAGES, Travail QUIMPEWLE Apprentissage gratuit aux R. d u C. Q u i m p e r l é N- 37 à partir de 2 0 Ir. pièce CONTROLE AU NID T R A P P E •pp Société Anonyme au Capital de 320.000 francs QTJIIMCIPIE-R.ILïtl (Finistère) et Installations d e Matériel Electrique M o t e u r s , A p p a r e i l s d ' E c l a i r a g e et d e C h a u f f a g e ARMES, COUTELLERIE, SPORTS DRSTJMON Î 2 5 , D u e été Fontaines à LUSTRERIE Téléphone Chez M m e 1 - 2 8 F r i a c LE M o d é r é s F O R M A L , — 10, place Hervo T r a v a i l t r è s s o i e ^ é 1 R . d u O. N 1 8 4 8 , Q u i m p e r l é p o u r Ja Région de* Grand Choix d ' I I a t u m e r l e s s et F u s i l s a c h i e n s , F u s i l s p l i a n t s Ce çnerfiers, Fusils G r a s t r a n s i o r m é 6 • / * pour tir de précision. ¡6 • / » , 9 » / » , 12 » / » , 14 m /® p o u r la c h a s s e . F U 8 I L 8 , C A R A B I N E S et P I S T O L E T S B R O W N I N G à Répétition JKJFVO&VJtRS à BARILLET de tout »yttèmet MUNITIONS, BT TOUS LES ACCESSOIRES DE CHASSE ET DK TIR Grand Clioix de Coutellerie Canifs, Couteaux de poche, Couteaux de table et de cuisine, Ciseaux pour Brodeuses, Couturières, Coiffeurs, Tailleurs, eto. Rasoirs à main et Rasoirs de sûreté, Gilette, Appolo, eto.f Tondeuses de tous modules, peignes de reohange Réparations d'Armes d« tous systèmes, Affûtage de Coutellerie. Articles de Sport« Tous lus Axtiolea de Poot-Ball,Tennis. Escrime, Boxe, eto. Prixspéoiaux aux sooiétés. KavoJ gratoJt d « n o s e « t a l u g u e » i A r m e s , Munition» « t S p o r t s R, du 0 . , L ^ l ^ Lamjes & Piles Electriques O S C O N F I A N C E M > | . ^HgnJn^y^^^jj^jj p • WmmmmM^ wlmk l m m Ä R s e e p r Pi u t h 15F LE r <•j m L s i l i r J c Toutes l.'s m:1'.,idles dont souffre Ir. f.'mmo proviennent de la rnauvaii-t circubtion du snnjj. Quand \i awg cii. ule bien, tout va Liea : les 1 nf-, lostornîic, If cœur, les rems, la tOle, nVUnt point ccnpcstionni's, .-.t- font po'nl soull'rir. Pour maintenir cette bonne harmonie .¡."'¡s tum l or^snisme, il est rixessalre de f.iire usage, A i n t e r v a l r . ' - ; u h e r s , d'un rcciède qui sgisre à la fois sur le sang, l'estcruac et ILS nerfs, et seule la JQUYEfiCE m peut ren;plir ces coridilion*, parce qu'elle est composée de plantes, sans aucun poison ni produits clmniques, parce qu'elle purilic le sang, rétablit la circulation «t dcccnfe?tion::e les oif-mes. l'o'.ir assurer à leurs ftîk-bvi une bonne format ion. les m i r e s de famille leur font prendre l.i 'Houïcnc-r t'Abté Sfvury. pp. ^ I ^ s dames en prennent j our éviter les migraines périodique^, s .usurer deo époques réf-;ljére£ et sans douleur. Fusils DARNE, CHARLIN & DARNE Fils Atné Dînes PRIX SPi GIAUX POUR METES Magasin d'Exposition et Enregistrement des Demandes © l i e r L O R I E N T — GOL Li ERS Ot CHI HS, FOUETS, etc. V O I R I\ON ë T A L A G K S & A O S P i i i X Les Forces Motrices de FEIIé Toutes Fournitures JâLT2aa-u.rier-C o u t Tous ArticlesrieSports, Foot-Ball, Tennis M A I S O N Quantités limitées — S'inscrire r,. RÉPARATIONS Spôeialistc R. du C. I.orici t, N- GtU REPRODUCTEURS GARANTIE & Acheteurs (Souche Regal — Dorcas — Importation directe) FÉCONDATION RECOUVRAGES irôs soigné fxéculé par un H mi DE COUTELLERIE FINE (Canifs. Oiseaux, etc, etc.) m m Ordinaires V. Mceai q î uos (Gilette, Le Coq, de.) & ESSAI [Au Garage Jérôme TRÉGOIER PROVENANT DES MEILLEURS ELEVEURS FRANÇAIS — ANGLAIS — AMERICAINS : ŒUFS A COUVER A partir da 16 fr. U suine LORIENT Avec succursale 15, rue des Fontaines, fine"0 M 8 o n AugcreauJ EXPOSITION MOLLE HELIAS EDWARD CAM JOHN S. MARTIN — ONTARIO — CANADA Hue d e l a P a t r i e , Acheter!!! ses L-'s M,:!.nk; qui sct'.ffrent de Maladies inte)-i(\ov.«, Suites d'?• couchcs l'rncs blanches, .Vf.' :: 1. / . "on.e, fjcmorroities, Tumeurs, Cart- Meubles ers ti-ouveront la ,/tiérisoti en employant J o u \ l ' r u ' t s ci») l ' A b b é S o u r y . SCULPTEUR* MET C I! M .1 ÀLi aLVlUL' ULO du R E T O U R ' • ) . craignent les accidents , I "y >\Ç ï: Oo'vent en confiance faire une cure avec l ' J - . v ^ n r c d o l ' A b b ô S o u r y , pour aider ï». r, pheer, et éviter les maladies , M Wtl'H. E T AU M E I L L E U R M A R C H É A Q U A L I T É QRAND CHOIX 80 ans .r 1 û> ÉGALE DE M E U B L E > DE T O U S FRANCO PAR AUTOMOBILE ÏOÎ VBSCE ¿c VAbbc SOCRV oc la ï'.,;:<&rurt Me.«. iXJMONTXEI» •f . n u, vn." A. 'wwuî* 1*;. 1 d'existence STYLES m mmm Chuiûbres à c o u c h e r , Salles h m a n g e r , Meubles de Bur. au Literie, O k c e s , T e n t u r e s , Petit« Meubles f a n t a i s i e Siôges do tous g e n r e s UVRAlSOrV - 8 U H T , pt-ipnric ù la Plinrinaele . ¡' Miv* ilnns toutes les l'linruiaV . : % ;r <>t>. totjil : «i fr. €10. . a -v^î v «t'VHiAr» snrawROT : L O R I E N T - 3 1 . R u e du M o r b i h a n ~ L O R I E N T C'EST LES ACHETER DE C O N F I A N C E Alnlson r e n o m m é e a y a n t la l ) . L A RÉGION .»BKSSfi/-«OVIS a -mm u t i e i t e u r G é r a n t : LÉON LE BKRRB Ccrtlflé par r i m p r l r o e n r vti p o u r légalisation de la s i g n a t u r e ci ie run «nani ' Agrictlt et Mntitime. 9UIMPERU ' ' W o * 1.5 ' 4 1 8 X ù n ó c - 1 ef^ims LB Nmnßfto ì 2 Samedi 9 « H h ü m Organe Républicain Démocratique et i de l'Ouest * le Annonoes e t Ptéolamss Aanonoes Judiciaires (la ligne)... 1 f r Aaaoaeet volontaires.... 1 f. Réclamas « a locale 1 f.20 Les annonces tont reçues au bure** du iournal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite i forfait pow w annonces répétées plusieurs fois. e.tit, y f e.ïi'l Le Socialisme Agraire Les Socialistes veulent supprimer la propriété rurale. QôUde et Masson veulent aussi cette suppression•••••• Mais ils n'osent le dire. Ils trompent les paysans pour gagner leur confiance. Le fiasco des Socialistes dans l'arrondissement de Quimperlé et particulièrement à Querrien» Il y a quinze j o u r s , les socialistes brestois y ont h a r a n g u é la population agricole d e l'arr o n d i s s e m e n t de Quimperié, non pas, disaientils, p o u r solliciter leurs bulletins de vote a u x prochaines élections léeislatives, mais pour leur exposer la politique agraire du parti socialiste. J'ai eu l'occasion d'assister à l'une d e C6S r ô u n ' o n s et à m a g r a n d e surprise. J'ai e n t e n d u exposer non pas la doctrine collectiviste, telle qu'elle m'avait été autrefois enseignée par M. Charles Qide, mon p r o f e s s e u r dVcot'omi* politique, & la Faculté de Droit de Pa-i*. mais un s y s t è m e de r é f o r m e s a g r a i r e s qui ne portaient a u o u n e atteinte & la petite prooriété rurale. J e m e suis dit : Il y a donc deux sortes de socialistes : les doctrinaires, les purs, e t l e i électoraux. L'Echo (le Bretagne écrivait e n 1919. alors q u e M. Le Bail avait exclu M. Le Louédec de ]a liste de candidats & la députation : c II y a deux républiques, la vraie et oelle de M. L e Bail ». J e suis tenté de d i r e après lui : « i y a d e u x s o c i a l i s m e a g r a i r e s celui d-*s pur* doc trlnalres et oclul du M M . Boude et Masson ». De l'exposé d u s y s t è m e des o r a t e u r s socialistes, j'ai tiré alors oette c o n d u c a : ou bien les léaders brestois qui sont v e n u s discourir d a n s n o t r e région ne soDt pas socialistes, o u bien ils t r o m p e n t s c i e m m e n t le paysan en lui exposant, p o u r g a g n e r sa conûauo«. des Idées et u n e doctrine qui vont & r e n c o n t r e des idées et d e l a doctrine d u parti socialiste. Ceci m ' a m è n e à e x a m i n e r deux questions piinci pales : 1* Quelle est la dootrine a g r a i r e d u parti sosialiste ? 2- Quelle est le s y s t è m e a g r a i r e exposé d a n s l'arrondi-wement de Q u i m perlé par les socialistes de Brest ? Doctrine Socialiste P o u r connaître la doctrine socialiste, et partloulièrement la doctrine collectivisto, il f a u t lire les o u v r a g e s d e Karl Marx, ce profond p e n s e u r et s u r t o u t oet a g i i a t - u r d ' h o m m e s qui a conçu le s y s t è m e qui porte a u j o u r d ' h u i son nom. La première f o r m e du m a r x i s m e celle d u moins qui a fait d u m a r x i s m e un m o u v e m e n t populaire, date d u M a n i f e s t e communiste, publié par Marx et Engels >n 1848 e t traduit p r e s q u ' i m m é d i a t e m e n t d a n s toutes les langues de l'Europe. Ces idees f u r e n t reprises et s i n g u l i è r e m e n t précisé«« p a r M a r x d a n s son g r a n d o u v r a g e s u r le Oapltal, publié, le p r e m i e r volume, en 18G1 Quelle est la doctrine de Marx s u r la propriété ? Le m a r x i s m e : c'est la socialisation de t o u s les m o y e n s de production. Tout doit être nationalisé, l'industrie, le c o m m e r c o , les b a n q u e s , la t e r r e . Quelle est la doctrine socialiste au point de vue agraire ? La propriété Individuelle doit disparaître. Les propriétaires du sol s e r o n t expropriés e t la t e r r e fera retour à la collectivité. Silo s e r a t e m p o r a i r e m e n t concédée a u x Cultivateurs. A l'expiration d u t e r m e fixé, l'Etat r o n t r e r a en possession de la t e r r e et la ooncédera a nouv e a u . Il bénéficiera ainsi de la plus value d u (toi. Le cultivateur exploitant ne s e r a pas libre de disposer, c o m m e il v o u d r a de seB recolles. Il d e v r a les livrer à l'Etat, qui e n fera la répartition e n t r e les citoyens. Et pour d e m o n t r e r que Je n'exagèro pas, Je olte des textes e m p r u n t é s t a n t aux g r a n d s chefs d u socialisme, disciples ue Marx, qu'aux décisions adoptées par les socialistes réunis en congrès. L a doctrine socialiste e s t oontenue toute entière d a n s la résolution adoptoe p a r le XII« conguès national d u parti socialiste. « Déclaration d'inalióuabiiité de la TERRE DESORMAIS RECONNUE P R O P R I E T E SOCIALE E T COLLECTIVE, o'est-à-dire retour immédiat è la collectivité de toutes les propriété» terriennes, eoi et sous-sol, • n temps qne nué-propriete. L'usufruit sera ma&ptenu é tous ceux dee propriétaires qui cultivent par eux-mémee sana employer de salariés agricoles. La Jouissance des biens qu'ils détiennent sera reprise aux proprié, taires qui ne cultivent pas eux-mêmes pour être attribuées, par les communes, é tou» Ua travailleurs agricoles t Journaliers, met a f o r a et fermiers ». En 1894, Engei», le principal disciple do Marx, disait qu'il était impossible do conserv e r l a propriété en t a n t q u e prò jri- t i individ u i l e . « Si l'on veut maintenir la petite propriété d'iute f a t o n permanente, on tente l'imposaïklo, « a aaerifie les yrlnelpes, o n l i t i u t r k i t i u k r i n », ' r ' e t t j tfijatrino ept é g a l e m e n t « q x f t f s put 1« belge Vanderveld, qui, dans son livre sur le socialisme agraire, éorlt : « L.expropriation «apitaliste des petits producteurs, propriétaires de leurs moyens de travail, est la condition préalable de l'avènement du collectivisme ». Nous n'avons cité Jusqu'ici q u e des a u t e u r s é t r a n g e r s . Les socialistes français sont-ils p a r tisans de la m ô m e doctrine ? Incontestablement. C'est le grand J a u r è s dont nos socialisas brestois s e disent les diacMps oui Hans un discours à la C h a m b r e (Journal Officiel du 4 Juillet 1917), disait : « Cette suppression (la propriété) noua la réclamons pour la monde paysan, oomme pour le m o n d e i n d u s t r i e l » . C W Vaillant qui au Co ia-rè» d« S f -Etienne, pn 1909 n^oe'amaU : « Nom devons dir° que la propriété individuelle agraire, doit inévitablement disparaître, la petite oomme la grande propriété ». C'est jMftn Bon qui k l a C h a m b r a dl°ait le 27 février 1919 : « Le fameux droit de propriété, nous ne le connaissons pas Nou • le nions . . . . le droit de propriété n'est pas encore détruit, mais on le détruit peu A p e u ». or/lclel. 27 février 1919 Ce «ont enfin tous 1ns m e m b r e s d u g r o u p e socia'lst* au P a i e m e n t qni a u mois .l'octobre 1933. ont e x n r e s s é m e n t a p p r o u v é et signé la m o n t ion s u i v a n t » : « Le Parti oonflrme qu'il doit toujours condamner la propriété, soue ses formes capitalistes, et qu'en réalisant l a propriété sociale des grands moyens de production il veut aller jusqu'à la racine même des iniquités pour fonder solidement un droit nouveau et par lâ même révolutionnaire ». La doctrine socl»I|stp t«nd dono à la suppression d> la propriété. Nous ne nous a t t a r derons pas ici à ' a discuter Disons s e u l e m e n t qu'elle s'est trouvée en contradiction avec les données les plus o»rtaines de la science et avec les faits, et. que là où elle a été appliquée, elle produit les effets les plus désastreux ; En Russie, par l'|nst.aur»*ion de ce q u e l'on appelle le gouvernement des soviets, on a mis en pratique la d o c t r l n - de Marx, en tout natlo n a i l s a n t : les b a n q u e s dé» février 1918 l'Industrie et le c o m m e r c e par dAc-et du 30 juin 1911. la t e r r e par le chapitre II de la Constilu ion. A titre d o c u m e n t a i r e , citons ici le passage de la constitution qui p r o c ' a m e la nationalisation du sol : « P o u r réaliser la socialisation de la t e r r e la propriété privée de la te r e est abo'ie, toutes 'es t e r r e s sont déclarées propriété nationale e t sont remises aux t r a v a i ' l e u r s . s a n s aucun« espère de rachat, s u - les bases d'une r é p a r t i tion éRalltalre en u«u fruit ». Dirons, en nsssant. qu'an congrès de T o u r s , (Décembre 1»20» le socialisme français a donné, par 3 000 voix c o n t r e 1 MO, sont adhésion à la d o c t r i n e bolcheviste. L a f a i l l i t e du 8 o o l a l l s m e Quelles ont été les conséquences de l'application des principes collectivistes en Bu«nir ? Héla«, o n ne In sait que troo. n Un« misère e f f r o y a b l e sévit d a n s cet i m m e n s e p a y s qu était a u t r e fol* 1« grenier de l ' E u r o p e , d i t E. Martin Saint-Léon. Dans les usines, le tra vall f u t presque c o m p l è t e m e n t s u s p e n d u , le c o m m e r c e socialisé fonctionnait d a n s des conditions déplorables, les particuliers passaient le plus clair de leur t e m n s à e r r e r de b u r e a u x en b u r e a u x pour solliciter des certificats ronstatam qu'ils avaient besoin de tel ou tel o b j e t ou d a n s les d é p ô ' s publlos pour y q u é m a n d e r dos produits g é n é r a l e m e n t a b s e n t s . Dans les villes, la famine e s t devenue chronique ot Nansen a révélé au m o n d e les s o u f f r a n c e s Indicibles d e toute u n e popula tlon torlurée. Dans les c a m p a g n e s la paysan n'a plus produit le blé et les l é g u m e s qu« d a n s les q u a n t i t é s s t r i c t e m e n t Indispensables à son alimentation. En vain a-t on fusillé, pendu, O'ganisé des expéditions répressives, aveo mitrailleuses contre les villages récalcitrants. La nécessité a été plus forte que tout et il est évl ient q u e le s y s t è m e économique bolohevi3te avait fait faillite e t qu'il fallait l'abandonner. Les socialistes russes o n t été obligés de r e venir on arrière, d e co d a m n e r leur propre théorie. P o u r l'agriculture p a r exemple, un décret du 21 m a r s a s u p p r i m é la réquisition totele des céréales e t denrées agricoles q u i était la rèKle. Les p a y s a n s ne sont p l u s t e n u s de livrer q u ' u n e partie de leurs produits (H0 million» 4e pound» contre 4SS millitn» «n 19S9) ; tout le s u r p l u s d e m e u r e leur propriété et peut être v e n d u s u r le m t r o h é . Le oômmeroe s t .'indus.rie sont d s v t n u i d a n s l a p l u p a r t d M b r i A o k « ] p u r » ftffftltt p r î v f e «t saptfeitstts, lOIreoteur i U o n LK M K R R K MO AO H QU, *AM1* ISTRATlQ» é 4**0*01* « Q U I M P I K L Ì , P i a « « HCPVO, B* • »10 r i L l P H O N I , N' • MruK TiUfrarktç*» i Union, Q u l m p e r l é AM itMIUMMU M fflMl fMMM, tWf I M M J Itow tUprnrum 4a i» m éu i» ét «tefM auto. On r * i M M m Smcm» dMjoMr*«i. On rtlwMf IfNtoMMNi, MNJ rrvis d*nt tout l u bnrmum 4» pttU m tn*or» m « l e m m i m wumdat-potU a» DiruUnr, M. Léon LR B I R R I pltutMtrt» à M m f r U , Système agraire exposé par M M . Goude et M a s s o n Ha dldanni eur vaouez gez A walc'h he di h a d hep repoz. La dootrine socialiste telle qu'elle a été conçue par l'Allemand, Karl Marx e t enseignée p.*r s e s disciples e s t é v i d e m m e n t celle d e MM. Coude e t d e Masson. Ils l'ont exposé et l'exposeront encore a u x o u v r i e r s d e B r e s t , où ils disent' aux c o m m u n i s t e s : • N o u s s o m m e s aussi révolutionnaires que vous. » Mais depuis que les élections se font au sorutin de liste, depuis que les socialistes sont obligés de solliciter les suffrages des p a y s a n s , ils se g a r d e n t bien d'exposer, & ces n o u v e a u x électeurs, la p u r e doctrine du parti et de leur dire : « La terre que v o u s exploites, que vous avez reoueillie de vos parents qui l'ont exploitée a v a n t vous, ou que v o u s avez acquise des économies p r o v e n a n t d e v o t r e travail, n e s e r a plus à v o u s Elle v a devenir l a propriété de l'Etat qui p o u r r a v o u s la concéder t e m p o r a i r e m e n t , m a i s qui p o u r r a aussi la concéder à d'autres. » Ils leur tiennent u n tout a u t r e l a n g a g e . • On v o u s a dit que n o u s étions des révolutionnaires, on v o u s a dit q u e n o u s voulions v o u s enlever vos terres, on v o u s a d i t q u e n o u s voulions «upprimer la propriété. Mensonge q u e t o u t oela. Nous voulons l a t e r r e a u x p a y s a n s . Nous la voulons d a n s l'ordre et d a n s la légalité. Les g r o s propriétaires seuls, ceux qui n'exploitent pas eux-mflmes, s e r o n t dépossédés de leur terre, m a i s v o u s , petits cult i v a t e u r s , v o u s garderez t o u j o u r s l a p r o priété d u s o l que v o u s cultivez. Vous petit propriétaire qui n'exploitez pas v o u s - m i m e s , v o u s n e serez pas exproprié, mais si votre f e r m i e r améliore v o i r e propriété, il lui s e r a a t t r i b u é , à sa sortie, u n e i n d e m n i t é de plusvalue. » MM. Coude et Masson, en d é c l a r a n t q u e les socialistes ne v e u l e n t pas I» suppression d e la petite propriété r u r a l e n e disent dono pab la vérité Ils ont tort, d'après les socialistes doctrinaires q u i n e r e c h e r c h e n t pas des sièges au P a r l e m e n t et qui n'ont pas intérêt à t r o m p e r les p a y s a n s pour c a p t e r leurs bulletins de v o t a . « Notre devoir est d'expliquer a u x p a y s a n s les situations, de leur m o n t r e r l'impossibilité de conserver leur propriété en t a n t que p r o priété privée, écrivait M. E a g e l s , en 1894, d a n s un article de la Freue Zeit ». MM Coude et Masson ont allli & ce devoir. « Nous ne devons pas, môme en apparence, et o i o i u e n t a u e m e n t c o m m e m o y e n d e propag a n d e . dissimuler a u x paysans la vérité, disait Vaillant, au Congrès de Saint Etienne, en 1909. Nous devons dire que la propriété individ u e l l e agraire doit inévitablement disparaître, la petite propriété c o m m e la g r a n d e . » Cela, MM. Qoude e t Masson évitent de le aire. Bien plus, ils disent m ê m e le contraire. Ils p r o m e t t e n t a u x cultivateurs des r é f o r m e s pour g a r a n t i r la petite propriété p a y s a n n e . a En p r o m e t t a n t ces r é f o r m e s , dit Engels, ou rend aux cul i v a ' e u r s ie p i r e d e s servloes et l'on perd la dignité du parti ». (J'eai dur pour nos deux leaders brestois. • Le p e n l le p us grave que nous puissions courir en i n t e r v e n a n t p a r la loi au profit de la petite propriété paysanne, disait J a u r è s , & la Chauibr« en 1897, oe s e r a l i | i e lui d o n n e r l'Illusion qu'elle peut même ain»i protégée, indéfloiment se prolonger et indéfiniment d u r e r ». MM. Goude e t Maa-on, en disant a u x cultivateurs de ûos régions qu'ils i n t e r v i e n n e n t p a r la loi au P a r l e m e n t , au profit de la petite propriété font, d'après J a u r è s , c o u r i r u n g r a v e péril au socialisme. Ne n o u s faisons pas cependant illusion. 81 a p r è s avoir t r o m p é les p a y s a n s pour g a g n e r leur confiance, nos socialistes d u Finistère réussissaient à s ' e m o a r e r d u pouvoir, n u l doute qu ils n'appliquent, en ville, c o m m e à la c a m p a g n e , le vrai régime socialiste en supprim a n t toute proprii-te privée. Mais le sp^ctso e donné i>ar la population de U u e r r i t n qui a é o e r g i q u e m e n t applaudi son Jeu'>e maire, lorsqu'il l'a mis en g a r d e contre les socialiste» et contre ceux qui s'allient à eux d a n s un but électoral est v r a i m e n t r é c o n f o r t a n t . Les boolalistes n'ont rien à faire chez nous. Dans un prochain article, n o u s opposerons à la politique destructive du so' lalisme, le prog r a m m e agraire ddM Républicains Démoorates qui a u r a pour effet d'intensifier la production agricole e t de m e t t r e un pou plus de j stice et d'équité parmi les travailleurs de la t e r r e . Hag e n d r o d'ei c'bouez vad ar p r a d , E sko, e sko w a r he d i l h a d . r . M. JEOVUNIS Oe Numéro contient un Supplément Voir d a n s c o s u p p l é m e u t . l a fin d e r i U S T O I R E D'UNK AMITIE p a r l e D' P a l e a u x e t l a c h r o n i q u e é l e c t o rale. t, I l ' { (1 1 Pag© Bretonne E R P RA D Tostlk d'am zl ez eus eur prad, Hadet ennan bluuniou c'houes-vad. flag e kreizig ar pradlg glaa 1 rsd, a red dour sklaer sur was, W a r g l u n a r H t * «an h a l e g e a W w t f im« h» bnden, h « t mt d flhkttl Ar vas kannerez 'ia e n d r o , Diskanet sklltr gant an ekleo. Ha demdost d'ei w a r a r m a n blod He flac'hig koant a gav he lod 'N e u r c'hoari gant he foupanig, 'Tiskl bcza d'he zro m a m m l g . An daolen-man brao ' m eus kavet, Satu perak ' m eus he iivet. L. Gourlet BODSPERN TRADUCTION I- E P R É : Tout proche de ma maison il y a un pré — Semées dedans des fleurs parfumées, Et au milan de ce pré vert — Court, l'eau claire d'un ruistelet. ombre) une vieille incessamment. court femme — A l'Occident en feu le soleil qui se coucbe Fait ruisseler son sang dans une écume d ' o r ; Et I* Brenn aux crins roux, terrible, darde etcor Vers le rouge horizon sa prunelle farouche. Le sol est mou, suant le sang chaud qu'il a bu ; Et les chefs de9 h'ymris, de la hSch* armés, «rates, A l'appel d o karnyx, rassemblent tous les braves Autour des étendards, par race et par tribu. — Sa Des crSnes chevelus plantés au bout des pique3 Ont un éclair lugubre au fond de leurs yeux morts Une bave qui conle, épaisse, fait un mors A leur bouche tordue «n des rires cyniques. En jouant avec sa petite poupée - apprenant à être à son tour, une petite maman. Je l'ai trouvé — Et Ce tableau gracieux'là voilà pourquoi je l'ai peint. q u e M. l'abbé Pierre Batany, d e Plogonnec, professeur de troisième, a u collège dé Lesneven. vient de s u b i r avec succès, l e Jeudi supérieur 13 mars, les épreuves d u Diplôme d'études celtiques, devant l a Faculté des Lettres de Rennes. C o m m e matière d'option, M. l'abbé Pierre Batany, avait pris ce sujet : « Histoire du Parlement de Bretagne ». M. l'abbé Batany, j a d i s étudiant d e l'Université Libre d'Angers, f u t très dévoué d u r a n t son séjour, en cette ville, à l'Association d ' E t u diants Bretons, appelée « La Nation de Bretagne » Il s'y m o n t r a dès le d é b u t iort é p r i s d e ladgue b r e t o n n e et d'études celtiques. Bretonn a n t de naissance, il se perfectionna ' d a n s l'étude de sa langue maternelle e t y adjoignit celle du Gallois. Depuis qu'il occupe la chaire de troisième à Lesneven, u n cours d e b r e t o n , de littérature et histoire b r e t o n n e s existe p o u r ses élèves. Nous ne pouvons donc qu'offrir & cet ecclésiastique, vraiment patriote, no»i cordiales félicitations et nos vœux les meilleurs, pour son avenir p a r m i les dévoués de la Brait gne. L e R r e t s g n e t o u r i s t i q u e , r e v u e dea intérêts b r e t o n s (Sommaire du 15 mars l$ît>) T r e b a u d e . et ses légendes, Ch. Le Goffic ; Les sentiers de la tftte, Q.-L. A. ; Appel a u x a r t i sans, Mugda î u r ç u i s , Botidoux (suite). O.-L. Aubeit; Charles Cottet, Auguste Dupouy; T e s t a n t e t Seult, M. Courtecuisse ; E c h o s , Hoël ; Brest, 6on Passé, son Avenir, Jean Sannier ; Bn Bretagne : l ' I n d u s t r i e hOtelièra relèvera l a France, J. Uerpe ; Morlaix et s a région, J. Philippe ; P a y s a n s et p a y s a n n e r i e s , Marie-Paule Salonne. Bretagne, 24 f r . ; F r a n c e el Colonies, 25 f r . ; Union postale, 30 f r a n c s . Directeur O.-L. A u b e r t , 10, r u e C h a r b o n nerie, 10, St-Brieuc. L e s C a h i e r s du T e r r o i r . — (Sommaire de mars 1934). — L a déchéance d e Merlin : H. Queilgars ; Notre concours littéraire ; L a nuit s u r le m a r a i s ; J. Dalimier ; A u v e r g n e et littérature ; Alexandre Bordot ; Un miraola d'Henri Gheon, J. de Roincé ; Le c h e m i n d u b o u r g : E. Lefivre ; Bleïmor X. ; La r é s u r r e c tion d'Approdite, M. Bigot ; Chronique ; U n nouveau Brizeux est-il né ? A, M. Rédaction 1. lmpasse.Rallier-du-Baty,(l-et-V.) BOTREL et TALDIR Leurs chansons les plus populaires (O Soniou ar poblusa) 2' SERIE, 1 f r . 28 ; FRANCO 1 f r . 60 Nous p r é s e n t o n s a u j o u r d ' h u i a u public l a deuxième série d ' u n e collection de c h a n s o n s populaires en musique, œ u v r e s d e deux d e nos meilleurs b a r d e s , Théodore Botrel e t Taldlr J a f f r e n n o u . Cette œ u v r e d e p r o p a g a n d e répondait, oroyons-nous à un besoin, ot comble u n e la« cune. Aussi y a v o n s - n o u s a p p o r t é t o u s nos soins. N o m b r e u x sont nos compatriotes qui se voyaient d a n s l'impossibilité de se p r o c u r e r les b o n n e s c h a n s o n s do notre pays, oar il fallait s'adresser à plusieurs é d i t e u r s , e t le prix de revient en devenait fort onéreux.'' Dans un petit v o l u m e élégant et bon m a r ché, ils a u r o n t s o u s la main des œ u v r e s Choisies. qui p o u r r o n t être c h a n t é e s partout; a u x concerts, aux pardons, a u x m a r i a g e s e t e n famille. L'Ouest Eclair p a r la p l u m e d e l ' é m f n e n t critique J e a n des Cognets, n o u s a félioité d'avoir innové d a n s le g e n r e en u n i s s a n t le français e t le breton : de cette façon Qallos et Bretonnants y t r o u v e r o n t l e u r c o m p t e , pulsqu'aussi bien la Bretagno e s t u n p a y s bilingue où sont inséparables la l a n g u e de la g r a n d e Patrio et celle do la Petite. L'Editeur. F. GUYON, St-Brieuc Chansons do Botrel. — 13, L a Veillée b r e t o n n e ; 14, L a c h a n s o n d u P â t o u r ; 15, L a oruelle Berceuse ; 16, L e Couteau ; 17, L e Tricot de laine ; 18, Le g r a n d L u s t u l e r u ' ; 19, La Fileuse ; 20, L a petite M a m a n ; SI, J é s u s chcz les B rotons ; 22, ICénavo 1 ; 23, Les deux F r è r e s d ' A r m e s ; 24, Dors, m a m goz A r v o r . Chansons de Taldir. — 9, Bioaves mad't ; 10, Me ADvez e u r g o u l m i k ; 11, Klemgan a r barz koz ; 12, Ma bro a zo duze er p e l l d e r ; 13, K o l l e t a m etiz m a m e s t r e z ; 14, B krelz nozveziou h i r a r g o u a n ; 15, K a n o m p a r festou noz ; 16, Ar o'hloarek laouank. Pc Ç f t t e , n o u s arrivé «in petit r s t i e l l «fr -, Tout à-coup, les Gaulois, l a lourde épée en maia, S'ébranlent d'un pas sourd, et, sinistres emblème«, Au-dessus dea cimiers dressant leurs faces blSuea, Les vaincua 7oient, gisant et mort, l'Orguail ramais. Fernand G R A N / E R 1 7 janvier if 20. 2>lplôme s u p é r i e u r d ' é t u d e s c e l t i q u e s , — Nous s o m m e s h e u r e u x d ' a p p r e n d r e FERNAND G r a n l e r , L e s O i s i v e s , L e s Rubis, Eludes poétiques. Editions des Tablettes de ttalnt-Rapliaûl 1 9 2 3 . 12 - Or le Breon. chef gauloia, sous son maateau de peaux, Les bras velus croisés aur sa vaste poitrine, Et les poils hér:s9<i autour de la narine, Voit les ennemis fuir comme de Tils troupeaux. Le battoir va à l'entour — Son refrain répété, clairement, par l'écho. sur la mousse molle trouve sa part, 9«* 10 L'A L L I A Et autour d'elle, le parfum excellent du pré — Elle frappe, elle frappe sur tes vêtements. Et près d'elle, fillette charmante 9» pièces rares, q u e l q u e s odes e t quelques s o n nets seulement, et c'est avec u n t o u t j e u n e poëte toute l'évocation r o m a n t i q u e , si ce n'est le Parnasse de Lecomte de Lisle, des Poëmes barbares. Si les descriptions de F e r n a n d Granler ne sont pas aussi puissantes q u e celles de de Lisle, elles en ont l'objectivité, la coul e u r , le relief. Comme chez ce Breton d o n t les hasards de l a naissance m i r e n t le berceau é la Réunion, ce sont les légendes e t les civilisations anciennes, le. Passé d e l'Occident e t celui d e l'Orient, que Granier illustre d ' u n verbe déjà puissant, personnel, en n n r y t h m e précis et martelé. Ce q u e son vers veut d i r e , il le dit e t t o n s l ' e n t e n d e n t , m ê m e ceux q u e ferait reculer d'abord une érudition p r o f o n d e . Ses Glaives t r a n s p e r c e n t , ses Rubis étincelient. Ces r u b i s ont de voluptueux reflets e t cette sensualité élégante q u i va dn n a t u r a l i s m e n n symbolisme. Nous a i m o n s m i e n x peut-être le poëte dans la manière b a r b a r e e t voici 1'« Allia ». L. B. Sur le bord du ruisseau, une saulaie — Répand l'ombre tachette de son boqueteau. Et sous (cette Lave ses hardes ABONNIMINTttVMAB C o i m p e r i « (ville) ..*....a; Finistère e t d é p a r t e m e n t s limit trophes Autres département«...« t. Colonies et é t r a n g e r . . . . . . . . . . . Chronique Régionale C a i s s e s r u r a l e s et u r b a i n e s du Fin i s t è r e , — Fondation, — E h bien l oui ; c o m m e n t voulez-vous que j e réponde à t a n t d e lettres me disant toutes le m ê m e refrain : « Mais dans ma c o m m u n e j'ai demandé aux gens au courant des choses : ils m ' o n t affirmé qu'il n'y avait pas ici de caisse Rurale ». Ayez donc l'obligeance de p r e n d r e pour vous cette réponse collective. Collective, oui, j e maintiens mon expression '.collective. Ah 1 voua voulez que soit collective la seule réponse laite par une collection. E h I bien, celle ci s e r a tout de même collective, p a r ce qu'elle e s t faite à une collectivité. Ah I Votre c o m m u n e n'« pas de Caisse R u r a le 1 Je vous crois facilement puisqu'il n ' y a q u e 10 Caisses R u r a l e s à fonctionner d a n s n o tre grand et beau d é p a r t e m e n t . Mais c'est u n m a l h e u r pour votre Paroisse qu'elle n'ait p a s de Caisse Rurale. Votre c o m m u n e e s t a i n s i dans le cas du m e u n i e r dont le moulin est s u r une petite rivière, et qui n ' a ni vanne ni étang. Un p a q u e t d'eau passe ft h u i t h e u r e s du m a t i n : le menier e n t e n d t o u r n e r son mon» lin et vient vite alimenter la meule. Quand 11 s versé dans la t r é m i e n n q u i n t a l de froment : catastrophe 111. . . Plus d'eau l le p a q u e t a fini de passer I Mais, meunier < Sans-Souci » ; q u e ne fais-lu pas u n étang ? Cela se fait u n étang I On y emmagasine d e l'eau p u i s . . . . q u a n d on a b e s o i n , . . . . q u a n d o a est prêt, on m o u d 1 Mais j e vous assure qu'il est encore b i e n plus facile de faire u n e Caisse R u r a l e . T r o i s signatures venant de m a i n s qui o n t d u dévouement et de la b o n n e volonté y sutftsent. Mais vous-même, vous u n des braves gens d e l a c o m m u n e , honnête, b o n travail leur, feon Chrétien, trouvez-en deux a u t r e s : p r e n e s des sta! t u t s que vous enverra volontiers M. Souabant ! .7 rue Vis Q u l m p e r ; une petite r é u n i o n a n . Bourg, si vous le voulea t vous signas les sta* t u t s «n (rlpto exemplair», e t , t o u t s i n p l s m f O ^ soit en argent sont priés de les adres er d'urgence à M. Jean Choleau, président de la Fédération Régionaliste de Bretagne, 96, 4 rue Poterie Vitré (l. et V.), qui groupera les envois et les fera parvenir aux destinataires. Qu'ils reçoivent dès maintenant les remerciements de leur camarades de l'Armée du Rhin. Que les futurs soldats appelés en Paj's Rhénans envoient donc le plus tdt possible et sans affranchir : nom, prénous, adresse en Bretagne, profession, aptitudes utilisables pour les soirées recréalvtes et unité d'affectation à l'adresse cl après : Centre de ralliement des soldats et marins bretons, foyer du soldat, sec teur postal 77. Un Officier Breton k Caisse est fondée. Elle peut tout de suite commencer & emprunter et & consentir des prit«. Dans le mois 11 faudra alors faire timbrer et enregistrer ceo statuts, en déposant un exemplaire au greffe de la justice de paix, un se* tond au greffe du tribunal de commeree, le troisième vous reste pour vos archives. Faites publier la fondation nouvelle dans un journal local, dont un numéro sera légalisé et enregist r é . . . . et voilà votre Caisse Rurale parfaitement légale. Pour avoir plus de sécurité, vous voudriez, peut-être un conférencier, atln de bien exposer la chose & vos compatriotes ; adressez-vous donc & M. l'abbé Le Mel, vicaire à Kerfeunteun, secrétaire du groupe. X X X ^ X X X j f X X X X X X X X X vieill'' femme qui gardait, sur le côteau, quelques vaches maigres, et, avee ls politesse sympathique des habitants du pays : c Ces pkrres que vous voyea, nous dit-elle, sont les restes d'un ancien moulin : l'eau lui venait de toutes les « grées » de.Bains et dans les nuées d'orage, son étang était vite rempli. « Un jour, 11 y a bien longtemps de cela, il y eut, dans le levant, du côté de la Ferrière, une grande bataille, où bien des chrétiens furent tués. « Lo sang coula comm* de l'eau, et, sur la lande, il y avait de grandes mares de sang où les chiens de la Buissoanaie et de Penguily venaient boirn. « L'étang du Haut-Drouzec en fut rempli jusqu'au bord, et, pendant trois jours et trois nuits, les roues du momin tournèrent dans le sang. « Si bien que personne, en Cournon, ne voulait manger de cette farine là, et que le moulin a été ensuite abandonné pour toujours ». *n * Maison de Confiance fondée en 1BQ2 i GANDUBERT HORLOGER DIPLOMÉ LAURÉAT DU J U K Y D'ETAT QUIMPERLÉ Pour Assurances Incendie, Accidents, Vie P . A . Adressez-vous LE PLUS ORANO CHOIX POUR M M U O E S Ke u i 8 F U R , 0 ' P o n t ' C h a m b r e de C o m m e r c e de Qulm- p e r . — Au cours de sa séance tenue à Qulmper le samedi 15 mars 1924 sous la présidence de M. Emmanuel Delécluse. La Chambre de Commerce a décidé d'envoyer le télégramme suivant k M. Poincaré Président du Conseil, Ministre des affaires étrangères. « La Chambre de Commerce de Qnlmper félicite chaleureusement M Poincaré Président du Conseil, Ministre des affaires étrangères, d'avoir par sa persévérance et son énergie, obtenu les décrets loi qui vont lui permettre de réaliser les économies nécessaires pour assurer l'équilibre du budget s. Avant d'acheter un BIJOU une MONTRE voyez le Beau Choix et le9 Prix de la - BIJOUTERIE- Le LANGRÉE 0, Rue des Eooles, 6 Q U I M P E R L É Montres-Chronomètres de Précision "kit - LO\Gl\ES OMÉGA - UXIC |POP - ZITTII R É V E I L S : 15 F r . Oarlllons Wesminster : 360 Fr. BIJOUTERIE 3Piac — O r i a t — IMZ v i r â t X X X X X X X X X S X X X X X X Vice-Président, Jh. ALAVOINE. Décret d'interdition d'exportation des cuirs (1). — La Chambre de Commere proteste contre le décret du 25 janvier 1924 qui interdit l'exportation des peaux brutes et ouvrées, et, estimant que cette nomvelle atteinte à la liberté du commerce ne peut avoir pour conséquence que d'exposer un grand nombre de travailleurs au chômage et d'entraîner pour une industrie éminemment française la perte de ses marchés étrangers. Demande instamment l'abrogation pure et simple du décret dont 11 s'agit. Réorganisation du service téléphonique. — La Chambre invite le Parlement et les Pouvoirs Publics, à prendre les dispositions nécessaires en vue de remédier à la crise du service téléphonique et d'assurer son développement sans qu'il en résulte de charges nouvelles pour les finances publiques. A cette effet recommande la collaboration de l'état avec l'industrie et les finances privées, seuls capables d'enprunter les sommes nécessaires à la réorganisrtion des téléphones en France. Foyer du soldat « X L'Institut P o l y t e c h n i q u e do B r e t a - g n e d e R e n n e s . — Un exemple à suivre. — Le Conseil municipal de Lorlent vient, dans sa séance du 1 " mars, de décider, sur la proposition de M. Labes, Maire de Lorlent, de continuer, fc l'Institut Polytechnique de Bretagne de Rennes, l'allocation d'une subvention annuelle de 800 francs et d'adjoindre k cette subvention denx demi-bourses de 2D0 francs à mettre au concours chaque année en faveur de jeunes Lorlentals. On ne peut que féliciter pleinement M. Labes et lea conseillers municipaux de Lorient de ce double geste : 11 y a lieu de souhaiter que cet exemple soit suivi par toutes les municipalités de nos centres commerciaux et Industriels de Bretagne, par les Chambres de Commerce et tons les groupements commerciaux et syndicats professionnels. LlutlstutPolytechnique de Bretagne due à l'initiative féconde de M. L. Bahon-Ranlt, avec ses deux sections, Institut, d'Enseignement Commercial et Institut de Chimie, est une création qui s'imposait ; il y a lieu non seulement de le soutenir mais de le mettre & même de poursuivre largement son programme auquel est Intiment lié l'essor, l'avenir économique de notre si riche ét si belle Bretagne. L e s Q*unes s o l d a t s b r e t o n s en P a y s R h é n a n s . — On nous écrit : L'Incorporation de re- crues au début de novembre va amener, en Pays Hhenans un grand nombre (le Jeunes soldats bretons. En particulier, nous recevrons k Mayence un contingent assez important, Vouirlez-vous faire connaître par la vole de votre journal que nos jeunes computrlotes trouveront ici des camarades soucieux de leur faciliter l'acclimatement? Ii existe déjà & Mayence (et on cherche à les établir dans les antres garnisons oh se trouvent des Bretons en nombre Important), des salles de lecture et de réunions oh ils pourront se rencontrer et lire des Journaux du Pays. Nous comptons d'autre part organiser pour cet hiver et dés l'arrivée des recrues des scéance* récréatives. Tous les appelés qui ont quelques aptitudes pour Jouer d'un instrument, pour chanter, fklre des causeries, dire des poésies ou jouer des pièces en Français ou en Breton, dessiner des programmes ou brosser des décors, de même que ceux qui, par leurs connaissances, peuvent aider k l'Instruction de leura camarades illettrés, sont priés de se mettre dès maintenant en relation avec nous pour éviter une mise en train lonjours longue. Il* sont priés d'auirc part d'apporter des recueils de chansons bretonnes, partes postales Illustrées et autre matériel peu encombrant, pouvant servir à orner les salles de réunions et & organiser les soirées, Ceux qui viennent k Mayence en particulier, pourront profiter de leur voyage pour y apporter les différents objets dont la Fidératlod négionaliste de liretogne a demandé la réunion aux adresses cl» «prés : , MM. Vallée, M rue St-Beuolt à Salnt-Drleui Mainguy, k la grande-Fabrljjue ft Onlmgump ; Eveu, notaire Tréguler ; .lames Bonlllfl k KarUiz-Perroa-GuIrrec ; Mallvet à l.oudiac; A. Mellaa, 19 rue du ttac ft Lorlent ; Léon Le Berre k Quimperlé ; Louis Le Floch place de Brest è Qulmper ; fi Guéguen pharmacien, rus de Nantes à Saint-Nazalre : Choleau, 12 rue de U Visitation k Kenues; Bellauger, 6, villa St-Aoch Le Havre ; Albaret U rue PJantay u t A Angers ; Brou tel le, 6 route de Parigai au Mans. Les donateurs qui n'auraient pas fncort adressé leurs offrandes soit en naturt, Cette tradition, quelques autres encore, des noms de lieux restés dans ce pays, rappellent seuls de souvenir de Ba Ion. Du monastère, II ne reste cul vestige. £1 le ebamp de bataillf, où périrent par mil'¡ers les soMatu de l'empereur Charies. 6ht d venu le champ de cours«--, où se réunis saient nagnères damos élf gantes et prome» neurs joyeux pour assister aux fêtes de Bains. S . aveugle. — Une s o m m e de de 50 francs est accordée à titre de subventon au « Foyer du soldat aveugle t dont le siège social est à Pa. ls. 64 rue du Rocher. Crise des Changes. — Sur rappport de M. Béziers, la Chambre de Commerce de Qulmper vient de prendre sur cette importante question une nouvelle délibération ainsi formulée : La Chambre de Commerce continuant à s'attacher désespérément à la défense du franc. Considérant que des emprunts nouveaux surtout en devises étrangères (livres, dollars) sans Indication de change maximum de renboursement, ne peuveut être que des pullatifs d'un effet heureux, mais seulement momentané et craignant que ses emprunts en devises étrangères n'alennt comme conséquence fluaie une nouvelle dévalorisation du franc, si le rem boursement n'en est pas de suite assuré. Considérant que le véritable remède consiste dans des économies strictes et nombreuses k réaliser avec beaucoup d'énergie. Confirmant les vœux précédemment émis au cours de ses séances des 26 janviers et 10 février 1924 : « Pas de nouvelles inflations fiduciaire, consolidation de notre dette Ilotante, pas d'emprunts nouveaux, cession des monopoles d'Etat e t c . . . » Emet le vœu : Que le Gouvernement fasse de l'assainissement de n o j finances publiques le but principal de sa politique. — Nous apprenons que la Chambre de Commerce vient de décider sous réserve des autorisations à Intervenir l'Installation d'un posta récepteur de Téléphonie sans Fil. Des dispositions seront prises pour la transmission dans les différents centres Maritimes et Commerciaux de sa circonscription des nouvelles intéressant les Industriels et Commerçants ainsi que pour la communication aux différents Ports du Littoral des prévisions du temps donné par la tour Eiffel. J F o i r a s do l a Semaine Lundi 24 mars 192-1 — Pleyber-Chrlst, Lo Relecc], Rlec-sur-Bèion, Brech. Mardi 23. — Commana, Gouézec, Irvillac, Lannóanon, Meilars ("Canfori), Saint-Divy, Saint Marc, Saint-Poi-de-Léon. Mercredi 20. — Coray, Crozon, Pestivien, Runan. Jeudi 27. — Bervcn, La Cloître, Gouesnou, PlouKastel-Daoulas,Saint Eloy.Noyai-Pontivy. Vendredi 28. — Lampaul, Langoien. ¡Samedi 29. — Lo Faou, Plouvorn. I E MK1LLEUK MAKCHE Dépositaire des marques de Principale» montres LIP - j - UNIC (ehroniqut OMÉGA Réparations soignées k garanties ARMES & MUNITIONS DE CHASSE £ • ( « c a m e n r s d » rivière. — Colonne« Pierre, 19 ans s'est vu dressé procès verbal, le 15 courant pour pdche la nuit avee engin prohibés. Les filets ont été confisqués. Le 16 courant, les gendarmer en tournée de nuit, aperçurent un filet tendu dans la rivière prés de Québlen. L'ayant retiré, un saumon s'y trouvait pris. Le tout a été confisqué. Le saumon a été vendu p ir les soins de M. le receveur d'enregistrement. Servioe pharmmeeutigu». — Demain, dimanche, le Service Pharmaceutique sera assuré par la Pharmacie GUIBQURG, rue Savary. Clohai «-Carnott M. * M»* M A U D U I T , 14, r u e des I s o les, Quimperlé, préviennent le publio qu'ils exposeront Dimanche prochain, 23 Mars, toute ¡ a j o u r n é e , une très grande uantité de Chaussures pour F e m m e s , âo m m e s . Enfants, Fillettes et Garçonnets, à des prix exceptionnels, ô r a n d choix da souliers v e r n i s Allons, j e u n e s gens et j e u n e s âlles, n'hésitez pas à venir tous au bourg. Spécialité de Chaussures sur m e s u r e s . La Maison se charge de teutes les Réparations. Dannalec Concouru. — Les concours de pouliches de 1, 2 et 3 an« et de poulains de 1 an dans le Sud-Finlstêre organisés par la Socié é hippique d'élevage du Su<I-Finistûre auront lieu à Bannalec le mardi 25 courant à 9 heures ponr l'arrondissement de Quimperlé. Les engagement* pou- toutes les catégories seront reçu» par M. Cabillic. secrétaire de la Société Hippique 9, rue de Rosmadec, à Qulm per, k partir du 10 mars de 9 à 13 hpures Us ne seront plus acceptés à partir du 15 mars Lea pièces à fournir au moment de l'engagement sont les suivantes : 1- Pour tous les animaux, le certificat d'orl» glne ; 2' Pour les poullehes. une déclaration eertl flunt qu'elles n'ont pas été saillies avant leur troisième année ; 3- Pour les peullches de 3 ans. la carte de saillie de l'année où l'engagement de les faire saillir par un éta1 on de l'Stat approuvé on au torisé. Les droits d'engagement sont de 30 francs par animal pour les éleveurs non sociétaires et de 0 francs pour les sociétaires. FAITES- VOUS HABILLER CHEZ ••4 E. LE GUEl\i\OU TAiLLBUR 2, plaoa des Capuolns QUIMPERLÉ Redonnait», J . DES MARS 24 septembre 18&9). A»n l è r e s Mmrlag». — Madame Louis Beaufrère, et notre prédécesseur à l'Union Agricole, actuellement directeur de ia Bretagne à Parts, fait part du mariage de Mlle Marguerite Marie, leur fille, avec M. André Vldlou. L'Union Agricole se fait l'Interpr«te de ses lecteurs et abonnés pour offrir aux jeunes tancés lenrs meilleurs votux auxquels elle joint iris cordialement les siens. A C H A T de V I E U X L I V R E S , plain* peau. Prix m Hennebont Vno b&êiliqao cambriolée. —• Des cambrioleurs ont pénétré par effraction dans l'antique basilique de Notre Dame du Vœu. Tous les troncs ont été vidés de leur contenu qui était Important. Les fonds déposés à la sacristie ont disparu également. (1) Qua la Chambre do Cemiuorce da Quimptr permette 4 un profaoe 4e l'étonner qu* l'on pul»»« bu tnitteu d* latij de délibération* m*r<(u4M «u coin «Je la sigMn si du boa s>n», tiuuTor, dan» celi* (twsliom dee nitrii, U ddpUlianto «ote d'igttt«ui» ijuo 'e» oaneaiii du 1« buurgcelsis l'Ielle pourraientfacilementeipfulter coatis olla. I.03 sipeditauri de peaux brutew et uOfrSc« n'ont-il« pu oêiti «uxa&, pour pouToir «otapter leraangua-*-|aga«rd'un moment ? VulMt-ila dona un ti grand laaanf*oleDt a *e 4ue bajilc la UHI de In ¿liauiiure, fabriquée en Franc», atea lei p/taut da noi animaux uuitlâi ? £1 n* peufiQt-lla tonjereer laure outrjere pour préparer Uranlièrenice*«aiie aux fabricuui» IrjDfoI» da abaannra, A'uaoitfoa fatMgirtmtnl utlutivì l eur place aur la« rrarchii étranger» «a résupArera fit« «'il« maintiennent laura traditi«» d aotjviié at 4a esultatala al ila auraient 1a uUiiaMlan d'afoir, as a'inaUnant deva&t U <M9«t, «oatnbné a «arigbtr la Nation et non qiUttuJt-xB* ««iMftut. f», t), L. R, Si vous ttôs allé de Redon k la flaollly par la vieille route, aUandounée aujourd'hui, que suivaient nos pères, après avoir dépassé le grand vlllayu do Binon et la vallée fraîche où eoule lo ruisseau mlraouleux de Saint-Laurent, au milieu dea grandes landes de Gu4e et de Branguineul, avant de descendre & Cournon, vous avpj remarqué peut Aire, sur la droite, une longue coullôe triste et déserte. Ce repli, perdu dans les bruyères, c'est la vallée du H ut-Drouzeo. Tout au fond, quelques ruines éparses, les débris d'une chaussée détruite, arrêtent le ruisseau qui s'épand au-delà de •ea rive» et forme un maréoa^e abandonné. Redon X.« bataille do Ballon (Béa). Itouh y renoontrimes, un jour d'hiver, une m JUIN PROCHAIN OUVERTURE d.U. Restaurant de la Gare VÊTEMENTS pour hommes nos Complets Vestons 150-125-95-79! I série de luxe ^ ¡ o O - l 0 0 pour Dames Costumes tailleurs Robes — Manteaux Modèles exclusifs Confection - Couture pour Enfants I « O i k s rouv^autf Marins 9erge b l e u e 69-49 MESURE de la saison sont en rayon Magasins ouverts tous les Dimanches jusqu'à midi. QUIMPERLÉ L'cmplpi régulier d« l'inimitable G. LANDREIN, propriétaire Vastes Salies piur Mariages Banquets k Repas de Familles iSSS355?S7S¥ii CA BIN JET JO EN TA lBIsl CRÈME SIMON est indispensable poor I l'hygiène,la toiletteetia b e a u t é \ I) KM A R T HE ON DEMANDE Un Commis de Bureau Docteur en Cblrurgle Dentaire U. S.A. à l'UMOX AGRICOLE Diplômé de l'E. D. F. de Paris Dentiste de l'Hôpital Civil 4. r u e T h l e r s QUIMPERLÉ Soins df Bouche el Pose de Dents en toas genres OH et EXTRACTIONS PLATINE SANS Installation et Thérapautiq e modems^ F ëtnm n o n torpédo, 4 places, t r è s peu roulé, état neuf, belle occasion, avantageuse. A V e n d r e pour double emploi. S'ad. Librairie de l'Hermine, 41, r u e du Casino, Dinard. u , , u SpoudrIAMAND^ARIE qui donne au cidre labels couleur T ^ n t T ^ f J EXPOSITION AMANO MARIE INURNAliPNAU si le cidre s'engraisse «^k PARIS f>!e.Relue 1910 ou durcit RÉSULTATS Mi.HvtlLU.bX .£ 9 0 k 10 o ¿(Ott ili S •» J i l J II •1 S 8 £ e4 e I i ? I t i CULTIVATEUR» Employée la Poudre tt la Mixture Amanrf MARIE «il môme temps, au moment, du Brattago. Votre cidr» •ora oxceilont toute l'année et pourra très bien M conserver le» années •uirantea. Pinppq dMtiaé« il la conaommation, tri» vite fermenUlU'tLu U n i 4 V e c i 8 Ferment AMANI) MARIE n t. S fr. dose pour t.000 à t.tOO lltro. m m qneuvou« déiirei dlntiller le plnt Wt possible lilimut) , e r o t t r i , V|t9 fermi[1ta, avec le Ferro» AMAND MARIE tr 2. — 8 fr. dose pour 1.000 k 1.ÎOO ltres. NETTOYEZ vos tonneaux, Barriques, Futaille« avec le Stérilisant AMAND MARIE. — Tous les maavati germe« seront détruits — L* Fiaçon pour 1.000 k l.tOO litros. 10 fr. — e 1/9fittfOB,6 ft-. K A ( j _ D H V I 1 ; Coloréo HonltUe *t Meilleure avec le BfitNIFICATEUB AMAND MARIE. — U tr, data pour 80 litru. BEURRE Le Colorant pour Beurre AMAND ft. \R1K «U lo plu* apprécié. — Achetai-lé. — 4 tr. lu grjxu. «Juson. K e s u l l t t » I m m é d i a t s e t lui tlllible» Nombreuses références Kn vente : Laboratoire AMAND MARIS, | VIRE (Oaiva.ioK». et dans les Pharmaolea OUIBOURQ, HABRIAL et LE NAOUR. ft QUI PERI K ; ILIOU, ft SCABft et LE88ARO k BANNALBC. fUfl 'dw qpm. Tfib, HERNIE BOVLBUR Mclgvon Défaut d e p l a ç a * . — Jean 20 ans, mtunier k Ké^angoc, lu 10 mars n'avait pas encore acheté de plaque de contrâle pour sa blcy dette. D i r a ^ a t i o n d'animaux. — La truie Ii René, de Kercoray le 10 mars, déterrlorait l'ucootement de la route sur une longueur de 80 mètres environ P. V. Quimperlé Mariage. — M. et Mme Victor Honoré, les photographes bien connus nous font part du mariage de M. Victor Honoré, leur flls, horloger, ruo de l'HOpital-Frémeur, avec Mlle Jane Audroln. Cette union a été bénie en la collégiale do N. D. du Bon Secours, de Gulngamp, le mardi 18 mars «924 & 11 heures du matin. Aux pajents nos très sincères félicitations et aux jeunos époux nos meilleurs vœux. GRANDS MAGASINS ËaSÊËÊÊSMÊÈËÊÊI Nos DRAPERIES Nouveautés Msi'leur marché qua partout ailleurs IVôvcz Va vol do plant. — Le 16 eourant, M. Bergé, habitant Pont Aven, se rendait à Kerdruc en Névez, ofi U a propriété. Il constata la disparition d'un bem camélia haut de 60 centimètres environ. Ne sachant sur qui porté ses soupçons il a porté plainte contre.Inconnu. LORIENT selon f o r m a t . S'adreseer aux b u r e a u x de l'Union Agricole. «ÊDAILLE D'OR BONNE COUPE I { BONNE QUALITE LORIENT Vire, N* 90 ovjwmss CONCOUK LA G U E R I E c e r t ^ n e radicale de la hernl® u t J L l u ' J " 1 ' par le port du bandage ne peut être obtenue au'en adoptant le nouvel appareil sans ressort muni de la merveilleuse pelote h compres- M p i I P P n le g r a n d sion souple de I f l . I l L A 0 1 i l S p é o J - * liste de P a r i s , 4 4 , B ' Sébastopol, (anoi. n* 63A Cet appareil, le seul reconnu officiellement par le corps Médical, assure séance tenante la contention parfaite des hernies les plus difficiles. En voici des preuves : Nous autorisent à publier leur nom J M. LEBOUVIER A., rue de Vire à Cond4Sur-N. (Calvados) hernie guérie. Mlle J . HIMBERT. chfZ M. MARY S . à Châ'eauneuf (l.-et-V ) hernies guéries. M. ROBERT Jean, rue de la Madeleine à L a Chôze (G. du-N ) hernie guérie. Désireux de donner aux malades une preuve immédiate de ce résultat, garanti d'ailleurs par •crit. M. G L A S E R invite toutes lea personne« atteinte* de ternies, -»tforts. descentes, à lui rendre visite dans .es villes suivantes où U 'era gratuitement l'essai de appareils. AUhz donc tous de 8 h. à 4 h. k : -orient, ft Avril. Hôtel de Bretagne. Quimperlé, 1 Avril, Hôtel du Lien d'Or et Voyageurs. P o n t - l ' A b b é , Jeudi 10, Hôtel des Voyageurs, Brest, Dimanche 13 et 14, Hôtel Continental. Quimper, 15 Avril. Hôtel l'Epie NOUVB .LE CEINTURE VENTRIERE p o ^ Déplacement tous organes TRAITE de la HERNIE franco sur demande à M. QLASBlL 44, Bd Sébastopol PARIS. t»Té;#:«:*î*èiëHS M. PRAT COMMERÇANT 7, rue Olohare, QUIMPERLÉ a l ' h o n n e u r de p r é v e n i r 1« publio q u ' i l t r o u v e r a d a n s sea M a g a s i n s ; Palili (archi & blé) pressé» Bu Foia presséribottrté CHARBONS de toute Catégorie LIVRAISON A DOMICILE S u p p l é m e n t d e Y Union Agricole et Maritime d u %% M a r s D'il [il J e a n - P i e r r e Calloc'h {Suite, et fin) Aux premiers jours d'octobre 1912, j'avais le plaisir de partager ma chambre avec Cnlloc'h. Je la revols, cette modeste pièce avec so.i parquet ea briques rouges, avec ses murs nus, ses deux armoires, ses deux lits, ses deux tables. Nous rapprochâmes ces dernières et assis en l'ace l'un de l'autre, nous reprîmes nos entretiens do jadis. Heures suaves 1 ellas s'écoulaient sans que nous nous apercevions de leur fuite. C'est que le pays tant aimé que nous avions quitté était généralement le thème de nos conversations. Nous nous faisions part de nos projets : conquérir surtout cette indépendance après laquelle plus que tout autre le Breton aspi rc, cette liberté qui nous permettrait de réaliser nos rêves d'adolescents, de travailler îk la gloire de Dieu et de la Bretagne. .le me 1 appelle que s'étalaient, sur sa table, bien en évidence, les Saints Evangiles, et la Bible en latin, ses lectures favorites ; il s'en pénétrait et comprenait que la vie est une petite chose, un temps de sacrifice, et qu'il importe de songer à ses fins dernières. Il lisait constamment, aimait surtout les livres écrits en bon breton comme les <• Notennoti diwar ben ar Gelted ho:, o istor hag o stuenadur » d'Abhervé et de Meven Mordiern, et des ouvrages où il était parlé de la Bretagne. Le jeudi et les jonrs de congé, je l'accompagnais soit à la Bibliothèque Nationale, soit a celle de l'Arsenal, soit aux Archives Nationales. 11 aimait vivre dans cette atmosphère de travail qui est celle des salles d'études. Ayant connu l'adresse de René Le Roux qui habitait alors Paris, Il lui rend visite, se lie d'amitié avec le savant autant que modeste celtlsant. Celui-ci lui prête différents volumes notamment les romans préhistoriques des frères Rosny, les romans celtiques de Rambaud et de Cahun, les œuvres de Stevenson, de Ruydard Kypling, l'Incite à écrire, en langue bretonne, des livres d'inspiration celtique, lui indique les meilleurs textes bretons, en prose, de façon ù s'assimiler complètement le vocabulaire et la syntaxe de notre langue. De concert avec quelques-uns de ses amis, il veut fonder une ligue « Ar Brezoneg Reo » qui aurait pour but la défense et l'enseignement du breton. Il en élabore les statuts — ils existent encore — et les soumet à notre bon vieux mnître M. Loth qui les approuve. Un des grands regrets de Jean-Pierre Calloc'h était de ne pouvoir assister aux cours de langues celtiques de l'érudlt professeur du Collège de France. M. Loth l'honorait de son amitié, et désireux de l'avoir comme élève, déplaçait l'heure de ses cours. Malheureusement Calloc'h retenu par son service, à l'Ecole Supérieure du Commerce, ne pouvait s'y rendre. Le soir venu, je lui résumais la leçon que j'avais entendue. Il m'aidait ft rédiger pour le « Pays Breton » un compte-rendu des conférences faites sur les Pays Celtiques, par M. Morvrcn-Goblet à l'Ecole des Hautes Etudes Sociales. Aux heures de loisir, il écrivait pour « Brittia » des poèmes bretons plein cl émotion et de pensées où s'épanchait toute son Sme religieuse éprise d'idéal. Beaucoup des pièces en vers que renferme le recueil « ¿ r en Dculin », lurent composées sous mes yeux, dans cette chambre de l'avenue de la République, il les traduisait en français et les transcrivait sur un gros cahier où se trouvaient les premiers vers français et bretons écrits au collège. D'autres poèmes dont j'ai retrouvé quelques fragments devaient y figurer. Il rédigeait en français de longues nouvelles d'inspiration bretonne, elles avalent posr titre « Le Ya-u de Gwaron », « l'Etrange aventure de Job an Ozac'h Mcur » ; je le vis terminer une étude sur « Les Pêcheurs Bretons en Mauritanie », il la destinait au « Correspondant ». Peu de temps avant la guerre. Il me fit lire le premier chapitre d'un roman d'aventures qu'il avait imaginé « Les Trois marins de Croix » dont l'action se déroulait au temps de la Compagnie des Indes. II ne demeurait oisif un seul instant, échangeant une ample correspondance avec quelques amis, notamment .avec MM. René Le Roux et Yves Le Diberder. sans oublier sa mère à laquelle il ne cessait de témoignait son amour, mère admirable qui sut garder devant la douleur une grandeur d'âme dont hérita son fils. Il lui donnait de ses nouvelles très fréquemment, lui faisait parvenir à chaque iin de mois les quatre cinquièmes de ses moigres émoluments, pour faire vivre la nombreuse famille qui se reposait sur l'absent à Kerclavestig. A rencontre de Brlzeux auxqu«l il ressemble par certains côtés, Paris, cette ville active, tentatrice et fiévreuse ne l'éblouit pas. Il y conservera la pureté de son âme et de son corps, ses piétés et ses ferveurs. Je ne crois pas qu'il ait mis une seule fois les pieds dans un théâtre de la capitale. Les coacerts Touche et Lamourcux le virent quelquefois; Il aimait la musique. Il prenait plaisir h me Jouer, sur une flûte qui ne le quittait guère, des airs bretons qu'il avait entendus ou recueillis, ou qu'il réussissait & déchiffrer. 11 en composaft et je conserve quelques chansonnettes bretonnes mises en musique par lui. Amoureux du calme et de la solitude, il aimait à prier dans les lieux où son âme s'épanouissait à l'olse. La Chapelle des Bénédictines de la rue Monsieur était le sanctuaire qu'il préférait. Je la découvris après une lecture d'En Houle de Hay*mans, et j'y conduisis Jean Pierre Calloc'h. Très souvent, le dimanche nous allions y entendre la messe et les jours de la Semaine Sainte de 1014 nous y suivîmes les offices chantées en grégorien, par les religieuses. 11 remplissait fidèlement ses devoirs de chrétien, et jamais II ne cacha ses convictions religieuses, ne rougit de sa fol. Il disait vrai quand 11 écrivait tes phrases : « Dans le milieu où je suis forcé de vivre (il s'agit de l'Ecole supérieure de Commerce où se rencontraient des Esprits forts) pour avoir dès le début exposé, avec Insolence que j'étais réactionnaire et clérical, pour avoir expliqué sans douceur à quelques cuistres que si l'on ahordait Irrespectueusement devant mol certaines .{•estions, je dégageais & l'avance toute rrspotisablllté au sujet de diverses exploration': de braies uuxquellefc pourrait se livrer mon pied, durant, dis je, que je me faisais traiter Ici de « sacristain, de calotin » de « curé manqué » (les aimables garçons ne savaicut d'ailleurs pas ù quel point ils tombaient juste) et quo je répondais luxueusement à ces Injures, de jeunes vicaires de mon pays, dont plusieurs lurent mes bleus à Suinte-Aune, me boubardalent •ntlclétical. C'est philosophique la vie I .. Et dans son allocution ù ses élèves a l'Ecole supérieure de Commerce, le jour de la distribution des prix 12 Jul let 1018 — l'excellent M. VV1 rlath. le directeur qui portait la plus grando estirao à Cullec'h, avait raison de s'écrier : a Le réconfort dan* une vie qui n'était pas unie, Il 1« puisait d«<>i une foi ferme, aimée, U i s a r Udrlt* d*» »si^trei, qu'il pratiquait, sans ostentation, malfj aussi sans respect b u . main, cette pire forme de la lâcheté. » Je lui connus très peu de relations à Paris. A part M. Ren£ Le Roux, dont il recherchait le commerce, il aimait ù rendre visite et à prêter son concours ù Louis Le Moal, président du Cercle de Saint-Yves, a Saint-Denis, où se rencontraient un grand nombre de Bretons disséminés dans cette plaine de Travail aux portes de la Capitale. Grâce a un de ses compatriotes et ami. M. Firmin Davigo, étudiant en Médecine, Il fit la connaissance do l'abbé Léonce Petit, qui le présenta à Léon Bloy (1), le « monstre catholique»,l'auteur du Désespéré, de La Femme Pauvre, de Quatre ans de captivité à Cochons-sur-.Marne, un des prosateurs et des penseurs les plus éminents de ce siècle. Calloc'h admirait ce remarquable et intraitable écrivain, cet observateur aveugle de la doctrine de l'Eglise, cet amant du Moven-Age et qui possédait ù un très haut degré'la résignation, cette première vertu chrétienne. Le tempérament de Léon Bloy lui plaisait, 11 découvrait en lui quelques traits de sou caractère. Ses préférences politiques allaient à Charles Maurras qu'il considérait comme un maître, comme uu logicien hors pair; il avait grande joie a lire les articles pleins de verve de Léon Daudet, le directeur de l'action Française. Je ne crois pas qu'il ait varié au point de vue politique. Je l'ai connu royaliste au collège : royaliste, il demeira jusqu'il sa dernière heure. Vrai chrétien, vrai Breton, il fut aussi l'ami Idéal. Lorsque le 20 juillet 1914, il m'accompagna jusqu'à la gare de l'Est — j'allais en Meurthe et-Moselle, près de la frontière du Luxembourg, remplacer pendant trois semaines un de mes amis qui y exerçait la médecine — nous ne jugions pas une guerre si prochaine. En nous serrant la main, nous nous dîmes au revoir, en nous promettant de nous retrouver en Bretagne, pendant nos vacances Hélas ! 1 au revoir devait être bien long. La guerre éclate brusquement et dés les premiers jours d'août, je me trouve isolé du reste de la France par la brusque avancée des Allemands en Belgique et en poys luxembourgeois. Je dus subir pendant cinquante-deux mois, les rigueurs de l'occupation, sans pouvoir donner aux mieus signe de vie. Ma famille, mes amis me crurent mort. Les premières dépêches officielles annonçaient que Villerupt, ma résidence, avait été brûlée et les habitants fusillés par l'ennemi. Calloc'h s'inquiéta de mon sort, désira savoir ce que j'étais devenu. Il écrivit a ma sœur, s'adressa au Ministère de la Guerre. Il se proposait de s'adresser au Préfet de Meurthe-etMoselle qui ferait faire une enquête parmi les survivants de Viilerupt : < Dans le nombre, il y aura bien quelqu'un qui pourra nous renseigner. .. Si Palaux est mort, ce sera un compte à régler entre les Bochcs et moi. Nous étioas amis depuis 14 a u s ; à Sainte-Anne d'Auray nous avons fait nos études ensemble, dans la même classe, et après nous être perdus de vue un an ou deux, voici que nous nous étions retrouvés à Paris en 1911. Quand viendra l'heure de tirer mon coup de fusil, je me souviendrai de ces choses... Adieu, cher Monsieur, je vous demande un bout de prières. Je vais en avoir tant besoin {lettre du M novembre. 19tj, communiquée par il Tonnerre, de Douclanj. AU SALON MODERNE I 9, Rue de la Mairie, QUIMPERLÉ § SALON POUR HOMMES I SERVICE ANTISEPTIQUE | E. Berthelot COIFFEUR-PARFUMEUR ^uat//r//uu/uar////mm{m///r//arr////mrr////r///jar//r/jui v/n a Salon Spécial pour Dames SCHAMPOIKG, ONDULATIONS, TEINTURES a SÉCHOIR ÉLECTRIQUE | Nouveautés en Peignes & Parfumerie Chronique | Electorale ELECTIONS LEGISLATIVES. — L e Conseil des M i n i s t r e s a fixé les élections législatives au 11 M a i . Suppression des listes incomplèt e s a u x é l e c t i o n s l é g i s l a t i v e s . — ¡,e journal officiel du 18 mars promulgue la loi modifiant la loi du 12 juillet 1019 sur l'électiou des députés. D'après cette loi : Toute liste doit obligatoirement comprendre un nombre de candidats é^al àcelul des députés à élire dans la circonscription. La présentation des listes incomplètes est interdite. t Les Hstcs sont déposées à la préfecture après l'ouverture de la période électorale et. au plus tard, douze jours avant celui du scrutin. La préfecture enregistre la liste et son titre. L'enregistrement est refusé à toute liste por tant plus ou moins de noms qu'il y a de dépu tés à élire, ou portant le nom de candidats appât tenant ù une autre liste enregistrée dans la circonscription. Dans le cas de dérès de l'un dei candidats, une déclaration nouvelle de-candidature remplaçante pourra être exeptlonnellement reçue jusqu'à minuit, le troisième jour avant" le scratin. Si le ren placement du candidat décédé ne peut avoir lieu dan» 1« délai légal, lors du dépouillement du scrutin et des calculs nécessaires ù la répartition des sièges, il n'est pas tenu compte des voix données au candidat décédé. « La moyenne est obt nue, ce retranchement fait, en divisant le total des voix qu'ont rasLes Bocbes m'out épargné, et lui un mardi semblées les c»n> idats d«meutés su- la li.-te de Pûques fleuries, le 10 avril 1917, en brav.-, il par le nombre de ces candidats tombait glorieusement à Urvlllers, eu défen « Lorsque le nombre des voyants n'est pas dant : supérieur au tiers des inscrits, ou si aucune liste Iné Ivomog, he douar, lie merlicd hag be bleu n obtient le quotient élec orul, aucun candidat n'est proclnmé élu. Je ne doute pas que sa dernière pensée ne fut Les articles 7. 8. et 11 du 12 jull et 1910 sont pour sa mère et pour ses am s qui le pleurent. abrogés Et certainement, le Maître qu'il a si bien servi, Çuolqueti pointa (suite). - Nous contisa vie durant, écouta la dernière prière de l'héroïque guetteur, la Vierge Marie et Suinte nuons sous ce t i t r \ la rpfntatio" des ohj cAnne la bonne patronne des Bretons pour lions socialistes contre le Bloc National. Nous laquelle il avait un culte spécial, l'ont assisté à avions, dans le dernier numéro, passe en sa dernière heure : revue six points relatifs à la vie chère et à ses causes. Le lecteur est prié de s'y reporter. Voici Euvus er rc varù hag e varù e Doué ! quelques autres causes de cette cherté : U) La nou-utllisation do notre domaine coLéon JPAL AUX. lonial. Depuis 19ir>, notre balance commerDocteur en iMédecine, ciale est défectueuse. Ce déficit, bien qu'en voie de dégression, est de 110 milliards. Là, est une des causes de la baisse du franc. Or, nous sommes tributaires des frets étrangers, lesquels, pendant la guerre surtout, atteignaient des taux vertigineux et donnaient iit:u il des assurances maritimes proportionnées ft leur élévation et que connut p r o b a blement le Citoyen Guillou, par exemple. Depuis la guerre, les frets sont restés des plus élevés et nous nous obstinons à nous ravitailler il l'étranger. Si nous avions mis en valeur notre empire colonial, merveilleusement abondant en toutes ressources, nous aurions évité les frets étrangers, le payement obligatoire en or et en argent, les emprunts ruineux. Rien no nous manquerait, si nous le R. de C. voulions, en denrées alimentaires et en maQuimperlé tières premières, tel cet alfa dont on pourrait N° 814 (excusez le marchand de papier !) faire du papier journal qui reviendrait fi un peu moins de 1 800 fr. la tonne I Nous sommes routiniers ! Sur vingt milliards d'importation en sont achetés au plus h a u t prix par 1S)21, deux milliards neuf cent millions représentent la part colonialo. et encore, plus de la moitié provient do l'Algérie. Quand on pense que notro empire colonial représente plus de dix millions ot demi de kilomètres carrés I L'an dernier, un de nos compatriotes S u . i t © dLe l a IRêcrioriGile de l'Indo-Cbine, colonisateur ti la Tortue, le Qulmperlols, M. Lo Nestour, parlait, dans l'Union Agricole mCmo. des {rossouroes aliCrédit Mutuel e t C o o p é r n t i o n A g r i mentaires qu'mno exploitation ra»ionnello de c o l e . — La Commission de l'Agriculture »le notro domaine maritime indc-chinois Jetterait lu Chambre des Députés v e n t -l'adopter définisous la formo do conserves do poissons tivement, sur le rapport de M Inlzan, la prode touto sorte sur nos marchés françaisposition rie loi de MM. Jean Jadé. Paul Simon. Et ce bloc africain qui part de la| Mô Bulanant et Inlzan, tendant a m o l l f i e r l n loi ditorranôo pour aller jusqu'aux rivos du du j août 1920 sur le crédit mutuel et la coopéCongo ? On y rencontre de tout : le blé, la viration agricole. gno, lo coton, las laines, les cafés, les cacaos, Le texte définitif de cette proposition qui les graines oléagineuses, les caoutchoucs, les recule sensiblement l'âge limite pour le remboursement des prêts sera sans doute voté viandes do boucherio, les fruits exotiques, très prochainement sans débat par la Chambre sans parler dos gisomonts do minorai, inexdes Députés, ploités pour la plupart, et des fo'Ats où se rencontrent toutefi los essences. L'esprit coA p p r e n t i s m é c a n i c i e n s d e Torient. lonial fait totalement défaut à la métropole. Y sont admis les jeunes Carriou, de QuimNous no savons pas établir nos prix do roperlé, Guesbel, Le Beux, et Mlnlou, de Moëlan. vient, assurer dos débouchés, transformor les méthodos de direction, améliorer le |régime I t i n é r a i r e d e e y l i n d r a g e . —• Le cy- douanier do façon il ce quo les produits de lindre ir lii fonotionn»™. du ï \ nu 20 mars nos colonies concurrencent victorieusement sur le chemin île grande communication los produits étrangers sur les marchés do la tr C2, entre Baye et Saint-Ouarneau. métropole. U faudrait, surtout, quo l'FUat, dans nos colonies, encourage l'initiative priJEcolo primaire sapùrieture de jeuvée. Or, Jusqu'ici, l'Etat n'a su qu'onvoyor, nes FUI es. — Mesdames les Membres holà-bas, don fonctionnaires ot des agents du noraires et actifs de U Association Amicale drx llic et y exercor ses routines ot son esprit do anciens Mènes, sont Invitées A assister a la Matinée récréative que les élèves de 4- et .1' monopolo, année donneront Jeudi 27 Mars, a 3 h. 1/?, au () Los monopoles d'Ktnt. Parlant des bénéprofit de leur flcole tflleule do Comlncs. llcos exagéré» de* granda suorlers telle la hausse criminelle dos sucres, opéréo autour (i) Lion Bloy ( tit^k-lU t-J. I'oétr et parapbliwire cade la lUflluerie Say, le Cltoyon Uoudo prôno la Itiolique, — ce p'rifourdin fut ua hoinmn de riclle »»leur nationalisation des moyens do production. inr Icqusl le* puli.aolS eonemln qu'il avait mordui firent Tout lo monde commît les boaux résultats do la conspiration du «llonce t.. D'une riole .ee inouïe, il n«al l'exploitation do l'Ouosl-Etat, depuis 1907 Nous pri« comme rd*olutlon dit « namjutr ttseitlitlltmtnl do nous b o r orons à conhldûrer, a u j o u r l'hul, le modération, d'Otr» toujours imprudent et de rtmfUieir toute m*surt far un ferfituel &thordement »... S«* ®u«e Iril monopole des allumette" que lo Sénat vient d'abolir. Tout le monde, on F'anoo, est «on. abondante, im pleine de iOlirex et de noulTrsncei Se« p>e1t'*<i fur'ni lus m m, dit, «gnims lui, tes Btrblï vaincu de.pulîJ longtemps de leur p«u de vu- ! d Aut»»|U, •( Uj Yfd*l|,. N, fl, l, H, leur. IÇIlo? w n t mal qt r « v j m e H t j Taupes Fouines Martres Putois Renards Loutres Lapins 01 H. HOTTE, 18, rue Savary, Quimperlé i 1924 plus cher quo les allumettes ^importées de l'Etranger, les « suédoises », par exemple. Cette exploitation d'Etat Ignore les fonds dont elle dispose, comme toute exploitation d'Etat, d'ailleurs, dont 11 est difficile d'établir 10 bilan et le produit n e t . . . Où en serait une entreprise privée, dans ce cas ? L'Etat demande aux contribuables de dresser leur inventaire avant do faire une confession sincère au contrôleur des Directes I Bien plus, 11 l'exige sous la menace de la p i i s o n . . . Mais ce qu'il demande à ses régnicoles, il lui est impossible de le fournir. Cependant, le ministre des Finances avoue qu'il fabrique pour 43 millions d'allumettes et qu'il en fait venir if. par importation, c'est-àdire qu'il donne à l'Etranger commission de fabriquer un objet, de consommation dont il interdit, la production en F r a n c e ! Il est vrai que ce lot lui revient à meilleur marché que s'il était pratiqué par lui mfime « sensiblement meilleur marché », avouait le ministre, à la Chambre, le '¿0 février dernier. Ces socialistes vont dire que, s'ils étaient au Pouvoir, ils en finiraient avec la routine, qu'ils modifieraient l'outillage défectueux, eto. L'exemple russe est toujours là, comme le montre plus haut M. Fournis, pour mettre en relief l'incapacité totale, pour l'Etat, de marcher avec le progrès, son inertie foncière et caractéristique se traduisant par des bureaux et de la paperasse. Une autre cause de non-production, c'est la carence d'une maind'œuvre, cependant attitrée et grassement payée. Sur 2yâ jours ouvrables, assure lo ministre, il n'y a eu, aux usines d'Aubervilliers, pour la citer seule, que 227 jours de présence. Est ce ie Citoven Goude :[ui fera taire le» chignolles ? et ôtera-t-il aux dancings l'attrait qu'ils exercent sur la jeunesse ouvrière ? Oû aurait aimé à savoir son opinion sur la façot: dont se répartit le-travail dans ces usines d'Etat. D'après los aveux du ministre, voici comment cela se passe. Depuis 1902 les ouvriers des deux sexes ont le droit absolu de choisir le poste à leur convenance. Si un poste devient vacapt, chacun peut l'essayer durant trois jours ! C'est ainsi que dans une manutacture, une machine moderne pour ia fabrication des tisons, s'est trouvée pendant cent jours passer par trente-quatre ouvrières I li est certain qu'avec un pareil système, aucun bénéfice tiré de l'accoutumance de l'employé et de sa compétence ne peut être envisagé. L'histoire no nous dit pas, si au surplus la pauvre machine soviétisée, n'a pas été complètement détraquée et mise au rebut. Mais comme c'est le conuibuable qui paie... Si, en eil'et, des industries ruinées de telle «orte ne vont p a - d r o i t ù la banqueroute comme irait le simple particulier, c'est que leur avoir est constamment renouvelé par l'inépuisable impôt. Le monopole des allumettes noua a semblé typique. De celui-là on peut j u g e r les autres. Non I l'Etat ne doit se môier de rien produire. Son rôle est un rô:e de protection, de surveillance et te perception d'itnpOt. Si >es spéculât-urs des raffli-erie» |Say outpôche ("et ils l'on f*it) il y a dans l'arsenal des lois, des ctiâliuienis sulfl an>s. sous forme d amendes et •le prison, mais si l'Eiat se mettait lui-même raffl eur, a quel tai.x i.n ver rions-cous pas uioutei u e denrée mr. flee t.t peut ôi.e inconsommable ? L augmcni'ttion des impôts volés par la majorité de 1U19 n'a grevé que les l'elils... La taxe sur lit dufjre d'.filtres ^èse de tout son poids sur le consommaUur des dusses laborieuses. La v-.iU'i est quo la, Ubamb. e ue ltfl'J n a pas augmenié les uepen. e.- de i E <u. E le le» a réduit»)- 'Je 7 milliards 600 nin.ions, puisque les dépenses m i . e s et m u . a i r e s q u i e n i 9 i 9 , dépassaient 19 milliards, n'atteignent aujourd'hui quo 11 milliards 400 millions. S il a fallu émettre des impôts nouveaux c'est que la Chambre précédente avait laissé un budget se cùitirant par 31 milliards de de pense contre 8 milliards do recettes. Dans rétablissement des nouveaux impôts les riches n'ont pas été épargnes. Aussi l'impôt global sur le revenu et l'impôt sur les successions furent Usés dès 1920, à des pourcentages d'autant plus élevés que le montant de la succession ou du revenu est plus considérable. Us ont atteint jusqu'à 50 0/0 du revenu global" et jusqu'à WD 0/0 du capital pour l'impôt sur les successions. Le 26 octobre 1922, M. de Lasteyrie déclarait du haut de la tribune que 197 contribuables payaient d eux seuls 273 millions par an a l'Etat au seul titre do l'impôt global sur le revenu. Par contre, des dégrèvements appréciables furent accordés aux pères do famille proportionnels au nombre de leurs enfants. L'art. 6 do la loi du 2:î juin 1920 porte l'abattement à 1 impôt générai 'à 6 QOu francs. Son art. 7 porta la réduction du revenu imposable des contribuables ruinés à 3.000 francs au lieu de 2.U00, et le benelice de cette déduction fut étendu au veuf ou à la veuve ayant à sa charge un ou plusieurs enfants issus de leur mariage avec le cot joint décédé. La déduction fut portée de l.(XX) à 2.000 francs par tête d'enfants mineurs, et à l.bOO par personne à la charge du contribuable au-delà de la cinquième. La loi du 30 mars 1923 stipule que loute personne dont lo revenu n'excède pas 7.000 francs somme majorée, s'il y a lieu, des déductions spéciales pour charges de famille, n'est pas imposable à l'impôt généial. Par là même les salariés frappes à l'origine par l'impôt des salaires inventé par Caillaux, se trouvent pour la plupart exonérés, bien qu'en pratique l'administration refuse d'admettro la généralisation de ces exemptions. La loi du 25 juin 1920 a exonéré d'impôt général les mutilés, veuves ot ayants-droit des morts de la guerro, pour los pensions dont ils sont titulaires en vertu do la loi du 31 mars 1919. En outre, les majorations d'impôt ne sont pas applicables aux contribuables qui ont plus de 40 'J/o d'invalidité do guerre, non plus qu'aux contribuables dont les enfants sont morts à la «uerro. La Chambre du Rioc National, respectueuse des situations médiocres, a, par une extension de l'art. î de la la loi du 20 juin 1918, réduit lo montant do l'impôt lui-même, pour les contribuables dont le revenu imposable n'est pas supérieur à 10.000 fr. d'après le nombre de personnes à leur charge, si bien quo le cliof d'une famille do huit enfants et au dessus possédant ce chiM're, ost totAloment exonéré. On voit donc qu'il n'est pas juste de dire quo los Impàts votés par la majorité du Bloc National n'ont grevé quu los Petits D'ailleurs la plupart des députés qui se sont ralliés au Bloc des Gauchos, socialistes compris, ont voté tous les impôts nouveaux sans exception, même celui du chltlVe d'affaires. Or donc, les Citoyens firent lo procès de 1a taxe sur le chiffre d'atlairos. Nous avons entendu, notamment, le citoyen Goudo, s'efforcer de démontrer que los petits seuls en souffraient, tous les échanges étant frapnéH depuis la matière brute Jusqu'au proiuit fini, arrivé dans lus dernlftros mains, M car io çiîitrro 4'»ffa|r«> w t à « w s û r le plus impopulaire des impôts. La Chambre de, 1919 le trouva en panne, dans le prog r a m m e fiscal inachevé de la législature radicale-socialiste de 1914. Eut elle tort ou raison de la faire revivre ? L'avenir le dira. En tout cas, ceux-là mCme qui l'inventèrent, et dont les survivants dans la Chambre nouvelle la votèrent eux aussi, exploitent cette impopularité contre cette Chambre. Nulle taxe DO présente plus cependant les caractéristiques do ce que serait le régime socialiste. Substituant la réalité à la personnalité do l'Impôt elle implique l'inquisition, érige, l'agent du fisc en juge d'instruction. Elle a rejeté vers les parties extrêmes une multitude de braves gens qui excédés, voteraient plutôt pour les Soviets, pratiquant ainsi la politique de Gribouille qui de peur d'être mouillé, se plonge dan* la rivière. Avouons-le, le fait quo cet impôt de consommation croit en fonction des quantités consommées est antisocial, lo contribuable étant frappé non selon ses moyens, mais selon ses besoins. Plus une famille est nombreuse, plus elle sera taxée, et c'est là la profonde injustice de cet impôt. Les Socialistes ont vite fait de donner le change aux masses sur la paternité de la taxe sur le chiffre d'affaires, et ils ont beau jeu pour se scandaliser : La vérité est qu'il s'agit à l'heure actuelle de boucher un trou pratiqué, par eux-mêmes, dans le budget, depuis les folies d'Albert T h o m a s La situation budgétaire est telle qu'il ne s'agit pas de savoir si l'on pourrait obtenir par tel ou tel système une plus juste répartition des charges fiscales, mais de chercher les moyens de faire donner au pays, sans le ruiner, un effort fiscal maximum. Et quel était le meilleur moyen d'y a r r i v e r ? L'impôt progressif sur le revenu ? Ne tend-il pas cet impôt à devenir exceptionnel, à frapper les personnes en fonction de qualités, sans égard pour le rôle économique ou financier du contribuable 1 Cet impôt limitera forcément l'effort vers l'augmentation de la fortune personnelle ? Et que dire du moyen simpliste accrédité près du Peuple des villes et des campagnes pour nos conférenciers socialistes de l'Impôt sur le Capital ? Ne dévoreront-ils pas, tous deux, ces impôts, l'un progressif sur le revenu, l'autre sur l§ Capital, la matière fiscale elle même. ? Qu'en pensez-vous Citoyens Goude. Masson, Quiniou, hag ar-re ail a du ganeoc h ? ri s'agissait de boucher un trou 11 s'agit encore à l'heure qu'il est de boucher un trou : Sans doute, nous aurions pu taxer la consommation superflue, le luxe des théâtres, des dancings, des cafés et restaurants de luxe des maisons de prostitution, des prostituées assez r e c o n n a i s s a n t s aux signes e x t é r i e u r s . . . Tout cela présente, certes, des avantages sociaux et moraux, mais amènerait fatalement des tarifs prohioitifs qui viendraient p»utôtre à bout de la matière fiscale elle-même. Le sacrifice, très dur, mais d'essence éminemment temporaire, demandé h la Nation, requiert l'effort de tous, même de celui-là qui ne consomme que les objets nécessaires à la vie. La justice et l'équité doivent passer après le rendement à plein, rendu nécessaire par la carence du Boche. Et cela seul justifie la taxe sur le chiffre d'affaires, pour « ce moment pénible que nous traversons ». D'ailleur.-, ICI, encore, le riche est réellement plus fr .ppé que le pauvre, puisque plu3 l'objet sera ouvré, plus il aura passé par des intermédiaires successifs, plus il supportera d'impôt él- vé. La charge M-cale supporteo par le consommateur sera donc progressive, selon la qualité de ses achats et partant selon la fortune, dans l'ordre normal des choses. D'ailleurs, la taxe de luxe de 10 0,0 n'atteint que le consommateur û-ial. La taxe sur le chiffre d'affaires a rapporté trois milliards en 1923. On a parlé de le remplacer pardes taxes à la production ou par des taxes cumulatives à un certain stade de la production. En février dernier, le Sénat a voté le remplacement de l'impôt sur le chiffre d'affaires, dans le commerce de charbon, par un impôt à la production. Ce n'est pas à nous de dire, si ce remplacement n'est pas à souhaiter et à borner aux objets de consommation superflue ou de luxe, dès qu'une ère de paix financière régnera, dans le Monde, d'une laçon stable et définitive. Mais pour le m o m ent, telle qu'elle se comporte, le chiffre d'aifairee doit être considérée, comme une contribution patriotique apportée par les Riches comme par les Mumbles, et dont les dernières décisions de la Chambre ont adouci, quelque peu, le mode trop draconien de récupération. En tout cas, ce n'est pas à ceux qui réservent leur indulgence pour les Hoches, à protester! (A r.uivre). Alexandre CUZIAT Chirurgien-Dentiste de la Faculté de Médecine de Paris 31, m Savary -;- Q U I M P E R L É ' Consultations tous les j o u r s à Q0IMPERLK, sauf le MERCREDI à BANNALEC. vvxvxvxvvxvvxxvxxxxvNwvxvxvvwvxvvxxvi Familles Quimperlé Nombreuses— Le Maire de Quimperlé invite tous les chefs de familles de 4 enfants et p'us, à venir le plus tût possible, à la Mairie, pour en faire la déclaration. Recensement de la Classe 1925. — Le Maire de Quimperlé invite les j e u n e s gens qui sont nôs du l " janvier au 3i décembre 1905, à se présenter immédiatement à la Mairie s'ils ont leur domicile dans la commune. Ceux qui ne sont pas nés à Quimperlé devront se munir de leur acte de naissance ou .du livret de famille de leurs parents. Les parents ou tuteurs des jeunes gens momentanément absents, malades ou encragés doivent faire la mfime déclaration Cette obligation ¡est prescrite par 1a loi." X,® premier pas Danlop. — L» deralflnate s'est conru à Rennes dimanche dernier. Nous sommes heureux de pouvoir féliciter nos concitoyens dont les noms suivent et qni ont décroché les troU premières places : RoMc, de Rédéné, 10 ans, arrive premier on 1 heure 33 minutes KOsecoudesD'Jégou, de Salnt-Thurlen. 3* Cadorat, de Quimperlé. Ils se rendent tous trois il Paris pour la finale, aussi nos vœux les accompagnent. Vol d ' E f f e t s . - Mercredi soir, 19 mars, Mlle Françoise Formentin, employée chez M. Le Gall, directeu du Syndicat Agricole, s'est «perçus de la disparitition de deux jupes dont l'une usagée, en slpsga uuie, et l'autre toute neuve, eu cachsmlre, garnie de velours, qu'elle •Tilt suapsijdu à la porte de sa chambre, sltuie t * $9uxi«m« <it»ga, - Dédaignant une troisième jupe, le voleur la laissa et préféra s'accaparer d'un sac fi main, en cuir noir, contenant une somme de '22 fr. et quelques objets d'une certaine valeur. Mlle Formentin, qui estime son préjudice de 450 & 500 franc», a déposé une plainte au Commissariat de Police qui a ouvert une enquête. d mt local, qui n'en déplaise à M. Le Berre n'est point le même que celui de l ' E c a i r . L'Eclair a dit la vérité et nous aussi. Voilà pourquoi nous disons la même chose, il reste donc à déduire, 6 Union 1 qu» c'est vous qui avez menti et voilà tout. » (Echo du 21 mars). Ainsi l'Echo veut nous faire croire & la dualité de la correspondance de nos confrères à '¿•ss'jriTrjrjrjrj'jjjnrw^aJCKMjrsjrsjrjrjr Querrien. 11 trouve que la ressemblance des I deux textes est un cas fortuit, une coïncidence! Là dessus, M. Coffrant pataugeant dans une de ces phrases dont il est coutumier, nous parle de courtoisie, de droit absolu, des relations fort aimables, dn correspondant de l Eclair, à Querrien. avec M. Cadic. Une ligne avant, il vient de nous dire : « Quant au correspondant de l'Eclair, nous l'ignorons » et, il s'empresse HORLOGER d'ajouter que ce correspondant est aussi en relations courtoises avec lui même. Alors, il ne PLACE fiAMBETTA (Haut ds la rue Savary) l'ignore p a s . . . Qu'est-ce que cette salade? Eu tout cas, voici les deux textes qui prouQ U I M P E R L É vent bien une commune organe : HORLOGERIE, BIJOUTERIE, ORFÈVRERIE J. L E ~ G 0 F F 2, MONTRES, PENDULES, REVEILS A TOCS LES P R I X BAGUES, PROMESSES, ALLIANCES BOUQUETS FLEURS O'ORANGERS EOUR MARIEES C A D E A U X POUR MARIAGES K. du C, Quimperlé n- 1828 " a\\\\\\v\\\\\\v\v . w w w w v w v w v v v n Poivrot. - Le T o u l l e c F r a n ç o i s , 49 ans, o u v r i e r b o u l a n g e r , s a n s d o m i c i l e llxe, p é r o r a i t le 17 m a r s , h 19 b e u r e s , s u r la S l a c e Car ot. La p o l i o e i n t e r r o m p i t s o n i s c o u r 8 en le m e t t a n t a u v i o l o n m u n i oicipal p o u r y o u v e r sa b o i s s o n . Rtat- C i v i l . — Saitsancts. — MarieJoséphine Nicolas, place Suint-Michel. — Marie-Louise-Renée Le Moir-g, 10 rue de Quimper. — Maurice-Edouard-Fra' çois Marie Rop ert, 2, place Nationale. — Antoinette Marie Eugénie et H^nrie'lte-MMrie Franooi^p Guily (jUmeilles) Bellevue. Publication de mariage — Auguttc-Ma io Cornou menuisier, iue Corric-finrhên» et Marie-Jeannt Flécher, i-aus profession. 25, rue du Couedic. Mariagt. — Emile-Joseph Ravalée. quartiermaître fusilier, à JCertanguy. en Meilac rt Anna Joséphine Coroller, couturière, place Lovignon. Décès. — Marie-Louie-Philomône Jaffrt ( zou, »3 ans, ménagère, veuve de Pinrre-Jos-ph Le Oofl', au Pont de Moëlan. — Victoire Jeanne Marie Blandin, 3r» ans. épouse de FrançoisMario de Cadenet, à Kér sole. DRAPERIES • • • • HAUTES • NOUVEAUTÉS A. LE DÉROUT Tailleur peur Ville & Campagne Q U I M P E R L É (liaison Le M ) Edition Quimperloise OU SAMEDI 22 MARS 1924 Quimperlé A propos do la reunion £e LonédecGoude-Quiniou. — il paraît que nous aurions considéré l'intervention d'O Berthou, salle Gallic, c o m m e ua triomphe « sillonniste », et 14-dessus l'Echo de se voiler la face devaut notre prétention. Or, cette prétention là l'auteur de notre compte-rendu ne l'eut jamais. Que dit en résumé ce c o m p t e - r e n d u ? Que Berthou est arrivé o o m m e le citoyen Qoude achevait son réquisitoire contre le Bloc National. Berthou, ayant demandé la parole, fit & son tour le procès du Bloc des Gauches, interrompu par M. Le Louédec, lequel ne laissa pas échapper l'occasion déplacer son petit leitmotiv : « il y a 20 ans, vos amis... etc., etc., A l'aide du Quotidien, ce qui ne fut pas sans contrarier M. Coll'raat et l'ancien chantre de St-Corentin, son acolyte, Borthou, montra que le Sénat radical seul s'opposait à la révision des marchés de guerre. Cela déplut a Goude qui déchaîna le chahut et le chahut s'appelle en style Coffrant une • mise en boite ». b'expression, pour une fois est juste, itnugintzvous un auditoire d'aveugles louédéciïtes, considérablement chauilés, mené par une poigaée de pédagogues, dont le sieuf Guiguen, pour ne pas le nommer, sifflant les cinq doigts dans la bouche, c o m m e les derniers de ses g a m i n s . . . Cela n'einpûcha pas Berthou, de placer quelques bonnes vérités et la mise en boite, fut, de l'aveu de M. Coffrant • pénible u. Echo de Bretagne. — L'orateur est attentivement écouté et ses paroles ont l'approbation de la majorité de la salle, quand 11 traite la question agraire et le droit de tous les enfants ù l'instruction gratuite à tous les degrés. » Eclair du Finistère. — L'orateur fut très attentivement écouté et ses paroles reçurent l'approbution de la majorité de l'assistance, notamment lorsqu'il traite la question agraire et le droit pour tous K-s enfants à l'instruction gratuite ft tous les degrés. » Ces textes ont donné lieu à un petit exercice scolaire. On a changé le temps des verbes et remplacé certains mota par d'autres. Que voulez-vous objecter après cela à la rumeur pu blique, attribuant leur paternité au même maître d'éu le, compagnon d'armes de M Catherine. déguisé en gars de Querrien, en ripu blicain, eu témoin, selon les nécessités de la copie ? . . . Sous ces divers masques, l'ancien lieutenant, ayint laissé l'Union Sacrée avec l'uniforme, chante pouiilc à M Cadic, qui, lui aussi, rc. tour des tranchées, s'est etïorcé jusqu'ici, et souvent avec plein succès, de maintenir cette Union. Il est vraiment plaisant de voir notre pédngogue regretter le temps de l'honorable M. Gallic. Que ce dernier ait emporté l'estime de ses concitoyens, nous le croyons, nous au-si, et l'en félicitons. Mais nous ne pensons pas qu'il soit très« a'se de voir interprêter cette estime et ces regrets, par un tel pa' égéryste, surtout à l'heure, où M. Cadic s'est aflirm -, de si éloquente et admirab'e façon, un p triote convHii cu et uu défenseur rie la propriété. contre les utopies révolutionnaires. Nous pensons plutôt que le discours du Maire de Querrien, ,-era le point de départ de 1 Unlon > sans arrière pensée, de tous les honnêtes gens, atin qu'au jour des élections prochaines, le SociHiisrae ri çoive uu de ces échecs dont ses Apôtres se souvien dront longtemps I Obsèques. — Hier, vendredi, 21 mars, aprè> iniui, à S t e - O o i x , ont eu lieu les obsèques de Mme, Joseph d'Alberti de Cadenet, femme du sympathique comptable des usines do Korisole. Six petits enfants partagent cette rude épreuve. Nous as>urons M Joseph de Cadenet et sa famille de toutes nos condoléances. Naissance. — M. et Madame Louis Le Naour, phaimaclen, à Quimperlé, font part de la naissance de leur fi>s Louis. Compliments et vœux. A r r e s t a t i o n . — Le 20 mars, les gendarmes ont rencontré près de la Plaine, Salaûn René, 63 ans. marin pêcheur, actuellement sans profession, natif de Riec »ur Bélon. N'ayant aucun j apier ni certificat, il a été mis en état d'arres tation pour vagabondage SJmplo J P o l i c e . D.ins on audience du 20 mur.-, le Tnbuiial <io "impie police a pronon cé l»-8 con damnations suivantes : Tapage nocturne, 2 ; ivresse publique, 5 ; abandon de voitures, 1 ; voitures non éclairées, 3 ; bicyclettes sans lumière. 3 ; chien sans collier, i ; divagation d'animaux , 3 ; uriner sur la voie publique, «. Bal do la. A l i - C a r ê m e . - Nous rappelons aux membres du l'U.S.Q. qui désireraient soumissionner pour la buvette lu bal travesti de la Mi-Carême, que leurs soumissions devront être déposées au siège de la Sociéié, Café Marion, place des Ecoles, avant mardi prochain, 8 heures du soir. — La 2- équipe se déplacera 5 Beuzec. Départ en camionnette à 12 heures, place Nationale Sont convoqués : Tréguier, L, Royer, J. Daniel, Habrial, R. Daniel, Auffrédou, Mortain, Savary, Chassetuilier, Jambon, Jean Tréguier. Locunolé Rosporden a S a doigt, il i e u r montro la porte Concours d'athlétisme et Festival. e t leur ruppollo loa région do lm plus — Dimanche 30 mars 1924, au Vélodrome de élémentaire politesse... Voilà le geote l'Aven, Concours d'Atlétisme et Festival par prêté à M. Pezeonec, par M. Coffrant. Ce peste Société, organisé par VBtoile Sportive, avec le r a en effet beaucoup d'éléganco. Malhou euseconcours de la Phalanae d'Arvor. de Quimper ; inent ce n'est pas tout-à-fait cela. Nous somla Jeanne d'Are, de Quimper ; le» Jongleurs et mes sortis, de la salle, après que M. Pezennec VAvant-Oarde, de Quimperlé ; l'Hermine Coneut été emporté, par les bras robustes d'un carnoise et la Jeanne d'Are, de Pont l'Abbé. A |11 h. l o . - Grand défilé ds toutes les facteur. Nous sommes sortis, parce que MM. sociétés. Départ place de la Gare. Goudo et Goïc, après avoir accordé la parole à A 13 h. — Départ des sociétés pour le VéloBerthou, le mirent en boite, selon l'expression diome. do M. Coffrant en entraînant au-dehors, la A 13 h. 30. — Concours d'athlétisme. poignée de garçons de ferme enrégimentés par Seniors : 100 mètres plat» — 400 mètres — un jeune pédagogue. Lo prétexteétait de pren1500 mètres — 1000 mètres relai — Sauts et dre les noms pour la formation du comité Poids. socialiste. Juniors. — 60 mètres plats — 200 mètres — 800 mètres relai — Saut» et poids. Berthou avait d'ailleurs, avant l'arrivée tarMintmes : 40 mètres plat» — S iuts — Lancer dive des citoyens, exposé la doctrine démode la grenade — Traction à la eorde. cratique, c o m m e au Relecq, dimanche, NarA 16 h. 110 mètres haie — Traction & la don, Quiniou et Bourgot, devancèrent Balacorde pnur seniors, juniors et minimes — Balnant retardé par une panné d'auto. Les Citolets — Pyramides et mouvements d'ensemble. yens ayant loué la salle, il était juste que A 1 7 h. — Charge finale pour lecture du DOtre ami s'interrompît... mais il eut été plus palmarès. juste encorejque les Citoyens entendissent sa 300 athlètes — 150 musiciens. réplique. Prix des places : Tribunes, 4 fr. ; Tirages, 3 fr.; Pelouse, 2 fr. Quant au rôle de M. Péz*>nnec dans cette Avec un tel piogramme, si le temps veut histoire, elle est assez comique, pour qu'il ne bien se mettre de la partie, nous verrons ce s'en vante guère. A qui fera-t-on croire que, Jour là grande foule & Rosporden. Le public dans le groupe des premiers arrivants, ce pourra en effet voir un 110 mètres haies avec boucher-restaurateur n'ait reconnu son ami 20 à 25 partants dans ebaqua catégorie. Les Le Berre et M- Fournis, à qui, i! eut sans doute tractions à la corde et les autres épreuves se à Uaire...Est-ce la première fois que le Cidisputeront également avec un nombre très élevé des gagés, aussi le Comité aura de grosses toyen-bistro nous rencontrait ? Oserait-il difficultés pour obtenir un classement parfait l'assurer ? mais nous savon» à l'avance que cela n'est pas N'avait-il pas plutôt la berluo ? Peut-être, et au-dessus de ses forces. sa voix plus couverte que jamais, lo donnerait à croire, étalt-il souffrant ? Le vrai est qu'il se rendit compte, de façon suffisante, que sa salle étant louée pour une réunion publique et contradictoire, ceux qui y venaient étaient qualifiés pour la commencer. Cet hôte étrange ne tarda pas d'ailleurs à y porter !e Chambre trouble, interrompant à tout bout de champ, La Chambre a adopté, parmi une série de sans essayer de comprendre. Il se retrouva projets de loi d'intérêt local, celui qui tend à dans son élément, lorsque Le Goïo l'eut salué autori>er dans le département du Finistère la d'un « Bonjour Citoyen ! » do la plus pure traconstruction de deux ponts, l'un sur la rivière dition révolutionnaire. Il écouta le prône de j La Pensé, l'autre sur la rivière l'Klorn, destiLe Goïc et le sermon de Goude, sans broncher nés respectivement à permettre le passage du mais, ce prêche terminé « son feu devint plus chemin de grande communication numéro 58, ardeut » poétise VEcho ». de St-Pol-de-Léon à Taulé et du chemin de La présence des brestois l'autorisait maintegrande communication numéro 33, de Brest à nant à;nc plus feindre de méconnaître celui qui Sizun « tant de fois lui fit les honneurs de sa feuille o — Vendredi et samedi, la Chambre a voté et. de sa •> sacrée plume » et les lui fera encore, le projet réprimant la hausse illicite. s'il plait à Dieu I M Pezennec, était en pleine Voici quel est le texte modifiant l'article 419. ébullition, quand mué en colis postal, il fut Tous ceux : !• qui par des faits faux ou calomenvoyé se a distanner » dans son cabaret, nieux, semés sciemment dans le public par ainM que nous le disions au début. Tels sont des offres Jetés sur le marché à dessein de les faits n'en déplaise à Camille ! L. B troubler les cours par des sur-offres faites aux prix que demandent les vendeurs euxmêmes, par des voies ou moyens frauduleux Tréméven quelconque; 2* ou ceux qui agissant individuelLa rage, — Lundi, une truie, mère de lement ou par réunion ou coalition auront onze petits cochnns appartenant à M. Riou, exercé ou tenté d'exercer sur le marché une cantonnier, au Moulin d'Argent, a été prise, action dans le but de se proourer un gain qui soudainement, étant en liberté, d'un a-cès de ne serait pas le résultat du jeu naturel de rage. Elle partit à travers champs et ce ne fut l'offre ot de la demande, seront punis d'un emprisonnement de deux mois à deux ans et qu'après une poursuite effrénée, qu'on parune amende de 8.000 à 100 000 francs. Le trivint à l'enfermer, à <a nuit, dans sa soue. bunal pourra de plus prononcer contre les Dans ses accès de rage, la pauvre bête mit en coupables la peine de l'interdiction de séjour pièce, des sacs de semence, qu'elle trouva sur pour 2 ans au moins et 5 ans au plus. son chemin, et se serait même attaquée aux personnes, si on ne se fut mis à l'abri. Le vé— M. Fabry, rapporteur du projet sur l'orga| térinaire, M. Lanoien, ayant été appelé, dia- nisation de l'armée, a lu son rapport à la ' gnostiqua la rage et ordonna d'abattre la truie, Chambre, le mardi 18 courant Eu voici les ce qui fut f&it. prinoipaux traits : ai divisions ; t6 corps d'arUne vache achetée par M Son, de Be g-armée ; 20 régions démobilisation; utilisation Roz, à M. L . . . de Log Ivy, vendredi dernier, sans fanion, des troupes coloniales. Le rappora donné également des signes non équivoques teur ainsi que M. Maginot, miaistre de b î de la terrible mala lle. guerre, insistent pour la discussion immédiate, la tâcha étant urgente, car l'Allemagne cultive l'idée de Revanche. Naturellement le socialiste Boncour critique l'organisme nouveau et déclare qu'il ne votera pas le passage à la discussion des articles. Ces dispositions sont ,votées DIMANCHE 3 0 MARS COURANT. le mercredi. Salle Louis M0NCHIC0URT, BAL DU — Le nombre des députés est ramené de LA MI CAREME à grand o r c h e s t r a 626 à 584. En Bretagne, seules les Côtes-dup a r la M u s i q u e S y m p h o n i q u e d e L o n e n f , Nord subissent une modification : elles n'auraient plus que 8 députés au lieu de 9. violons. PARLEMENT Ville de Bannalec OUVERTURE A 30 HEURES NOTA. S e a a c » r e c r é a t i v e . — Les Quimperlois apprendront avec p aisir que le Comité de l'U.S Q. vient de décider l organisation p r o chaine d'une séance récréative. Le succès des seancos précédentes, dû à une boune organisation et au talent des artistes de la Société, est déjà un sûr garant do réus-ite pour l'U.S.Q. qui, cette fois-ci, veut encore se surpasser en présentant au public un programme minutieusement établi. Nous reviendrons d'ailleurs prochainement sur eu sujut. Chronique Sportive. — U. S. Quimperloise {h et lîeuzfc-Snorts (1) font match nul 0 à U. — Quoique j o u . nt avec plusieurs reuipluç ,nts VU. S. Q. domine légèrement en 1" mi temps. A la reprise, l'i/. S. Q ne joue plus qu'à dix uu joueur blessé ayant quitté le terrain. Deux au res joueurs sont blessés dans lu ligne d avunts. Le ligne d'attaque devenant trop faible p o u r e pé er marquer, «es Quimper.oi. ubaudouneui iolleusive pour *e maintenir sur une M. ColFraut rrgrulie que noua ayions cru dedéfensive serrée Beuzec attaque à fond et voir nous abstenir. Nous avons sur les réubombarde Qulmperié pendant toute eette nions prétendument, contradictoires, notre ml-temps rnuis la défense Quimpurloise est façon de voir. Telles qu'où ies organisa, à la bouuts et Roger, Le Goff et Le baron se tirent m o d e de Brest, elles ne sont que des attrapeadmirablement de toutes les passes critiques. nigaud, où ii ne s'échange guère que des inLa tlu est .-îtTlée sur le match nul. jures personnelles, et la contradiction n'y Lu défende Qulmperioise, produisit une est que de l'obstruction. Les paroles, d'ailgrosse impression sur les spectateurs, notamleurs, «'envolent et les éorlte restent. A près ment le nouveuu garde but Le Baron qui pour de 50 ans, j'ui assiste & pas mal du réunions ses débuts dans l'équipé fit une partie magnlpubliques, et j ' y ai j o u é mou r ô l e . . . Jo n'ai ilque, ne commettant aucune faute et opérant jamais vu qu il en soit sorti guère autre chose de nombreux arrêts difficiles. que du d é s o r d r e . . . A mon âge, mieux vaut « Uuernec et Guégaiu fournirent un travail assister de son lit » c o m m e dit M. Colirant. ctliuace dans la ligne de demis. Avant que la Daus le sommeil la plume s'aiguise, et il n'est ligne d'avants ne fut démantibulée, Mauduit, pas pour la mienne, de joio comparable, & Bietrl et Moc*cr formèrent une triplette très celle de pratiquer, au matin, quelque bonne dangereuse, qui avec un peu de chance aurait pouctlon dans le ballon gonllo de ia Défense dû murquer eu 1" mi-temps. laïque. L stru liés intéressuut de revoir ces deux Kl puisque nous voici yur le ohapitre des équipes aux prises, dimanche prochain à Parcréunions publiques, que diront les électeurs Rliu. d'un Louédec, de le voir pxôtcr l'autorité de Beuzec-Sports (2; bat U. S. Q. (t, par 3 buts à 0. son nom, aux théories du niveilerneut social U. S. Q. (», et E. r. S. font matcn nui. préoonise par ses hûles l Comment, c'est le U. i>. (J. contr* Heuzec Sports i / — Cette m i m e Louédec, ami Uu certains gros a p i c u l rencontre ser.i pour ce» deux équipas la 4' de teurs, bourgeois, propriétaire et rentier, gui la saison, i .hucune d'elle compte à I heure ncmet ia maiu dans ia main u'hommes dont le ' tueiie une victoire à sou actif et dimunche derrôvo est d'égaliser les fortunes et de socialiser nier A Beuzec ,e résultat de la paitle iut nul, la Nation ? Si la place do quelqu'un n'est pas i aucune équipe n ayant réussi ùi murquer. Les dans une tulle rouniou publique, avec de luis ; deux équipes sont de valeur sensiblement alliés, c'est bien coile de ,vl Lu Louedec. Mai* égaie et toutes deux animées du même désir quelles'boutes ne boirau-il pas pour être déde va ncie, nous prévoyon donc à Parc Rnu. pute, pour pouvoir dire : « Je suis candidat »? pour diinuiiche prochain, uue des parties les plus intéressantes de. lu saison. £« compagnon d ' a r n u do M Ca~ Sont convoqués : Euzé at, Mauduit, Ropert, tàramo, — * Pour Querrltn et pour SuintOr voeu, Toultuu, uut&uia, Le Querace, QouJ f t f f i w faisionj la ¡turolv à {tû/fi iwwpm* s!«0i l<t ttoff, Ro(«r> U tiaron, Le chien-loup prit la fnits et Mlle Ben ne put remarquer s'il avait nn collier. Quant à l'autre chien que l'on put attacher dans le poulailler, il n'en avait i a i . Mils Fornier estime sea préjudice & 168 fr. La gendarmerie s ouvert une enquête pour retrouver les propriétaires des ehlena. partir band de — On li dansera heures, l'après midi, avec un piano à Jazz- nouveau. l'onl-Aven üfaarais ûla. — Le 20 mars, vers 20 heures, Mme veuve Le Bot, 65 ans, journalière, demeurant place de la Mairie, rentrait chez elle. Son fils Louis, âgé de 28 ans, qui était uu peu pris de boisson, lui chercha querelle. Comme elle ne répondait pas, il lui donna une gilUc, puis lui porta p usieurs coups de poing sur la tête et à l'épaule droite, ainsi que plusieurs coups de pied sur différentes parties du corps, notamment à la jambe droite, p j l s la saisissant par le cou, U essaya de 1 étrangler. Mme But put se dégager et s'enfuir, mais elle dut passer la nuil dehors. Interrogé, Louis Bot, qui e^t marin da commerce. et a déjà une condamnation à un mois de prison pour coups et ble-sures, avoue avoir reproché à sa mère d'être ce soir-là en état J'ivresse, mais nia l'avoir frappée. L'enquête se poursuit. PIANOS - MUSIQUE — INSTRUMENTS Mairott Fondit «n tS6o G. OLLIVAUX FACTEUR BX-ACCOHOEDH DE DE PIANOS LA MAISON 4 , Cours de l a Bôve LOKIËNT Accords — Réparations ABONNEMENT A LA P L U YK< — Echange LECTURE MUSICALE TELEPHONE — Vingt-oing 1 IV'évez laptns sont tnés 4-21 par deux ohxoxtw. — Le 14 mars, vers 17 heures, M.le Anna lien, domestique chez Mlle Fornier, propriétaire à Kerunruu. s'apprêtait & soigner les poules et les lapins, lor»qu°en ouvrant la porte du pou ailler-clapier, situé à une centaine de mètres de ia maison d'hubitution, elle constata la présence d un chienloup. d'un chleu berger griffon, et s'ape^ut que tous les lapin», ru o o m b r » «la ¡11, étalent tais. jusqu'à 10 fr.; au-dessus, majoration de 0 fr. 10 par b fr. ou fraction de 5 fr. Automobiles. — L'impôt est remanié. II sera de 36 fr. ou 48 fr. par cheval vapeur selon que les voitures seront à deux places ou & plut d e deux places. Pour les sidecars, l'impôt sera de SQ fr. et à 120 fr. pour les cycles-cars. La taxe ainsi conçue sera simplifiée, tout en étant augmentée de 20 0/0 environ. Tabaos. — Le prix des tabacs est porté à 37 fr. 50 le kilo pour le tabac ordinaire. Il a été entendu que le paquet de tabac gris ne sera pas vendu plus cher que 1 fr. 25. Par décret, le prix des cigares, cigarettes et tabac de luxe sera élevé. Le prix du tabac à priser est porté à 26 fr. le kilo. Ohlflre d'affairer — Le double décime portera sur la taxe du chiffre d'affaires, mais 11 ne sera exigible des redevables appelés à bénéficier du forfait aux termes des dispositions du projet de loi modifiant le régime fiscal applicable au petit commerce et à la petite industrie qu'après la promulgation de ladite loi. Fonde de oommeroe, navlree. — Les ventes ou cessions de fonds de commerce devront être enregistrées. Les ventes de navires sont réglementées de façon à éviter les fraudes fiscales. Les insuffisances constatées en matière d'évaluations immobilières donneront lieu k expertise. Ohèques. — Les chèques ne pourront être tirés que sur un banquier ou agent de change ou caissier du Trésor ayant provision préalable. Paiement de coupons. — Les établissements bancaires ne pourront payer de coupons que s'ils possèdent une autorisation du ministre des Finances. Le bordereau de coupons. — Les banques ne paieront plus de coupons sans production d'un bordereau portant le nom et l'adresse du bénéficiaire. Ces bordereaux seront classés dans les banques, où les agents du fisc pourront les c o n sulter. Timbre» poste. — Lettres et paquets clos maintenus à 0 fr. 25, cartes postales ordinaires, 0 fr. 15, cartes postales ordinaires avec cinq mots, 0 fr. 10. Facture», 0 fr. 20; imprimés (départ en nombre), 0 fr. 94 ; imprimés urgents, 0 fr. 05 ; droit de recommandation, 0 fr. 50 ; lettres adressées à l'étranger, 0 j r . Ii ; doublement des taxes pour les expéditions de j o u r n a u x ; correspondance pneumatique, 0 fr. 75. Téléphones. — La conversation taxée sera établie sur tous les réseaux. La taxe sera de 0 fr. 15 par communication pour les abonnés et de 0 fr. 25 pour les non-abonnés. L'abonnement sera de 150 francs pour les petits réseaux, de 200 francs pour les réseaux de plus de 2 000 abonnés, de 200 francs pour le réseau de Paris. Un minimum de perception sera exigé. Il sera de 500, de 1.000 ou de 2.000 communications. suivant l'importance du réseau. Chemins de fer. — Les C 1 " ayant modifié leurs tarifs l'impôt du double décime séjour sur ces tarifs. {A suivreJ. t REMERCIEMENTS Les Familles de Cadenet, Blandin, Lelièvre, Farinian, Duvivier, Rousseau, Rioland et toute la famille remercient bien sin- c è r e m e n t les p e r s o n n e s assisté aux o b s è q u e s d e 1 Al umettes communes en bois soufrées 1.000 fr. soit 0 fr. 0 j par 50 allumettes. 2 Allumettes tisons 3.2U0 fr. soit un peu plus de 0 fr 15 par 50 allumettes. 3- Allumettes en cire de plus do 40 » / • de longueur, 3.500 fr soit 0 fr. 15 et demi par 50 allumettes. 4- Autres allumettes 200 fr. soit 0 fr. 10 par 50 allumettes. Le prix des allumottes no sera toutefois pas augmenté. Mardi et mercredi continuation des projets fiscaux votés par 151 voix contre 23. Nos lecteurs sont priés de se reporter au résumé que nous insérons ci-dessous, de oes mesures nouvelles. Le» mesures fiscales. — Voioi le résume des plus importantes de ces mesures Double déolme. — Seront exemptés de cette taxe les taxes sur les poids et mesures, les timbres de quittances et les droits sur les vins, les cidres, les bières et les poirés, les droits do douano, les impôts sur le sel, le sucre, la chicorée et les cales. Lo droit de timbre. — Il sera perçu sur les affiches un uroit allant de 0 fr. 15 à 0 fr. 60, scion la dimension. Au delà de 120 décimètres carres, lo droit sera augmenté de 0 fr. 30. Le droit do timbre sur les chèques est fixé à 0 fr. 20. Pour les lettres de change, billets à or ire, effets de commerce, etc., le droit sara de 0 fr. 10 pour 100 francs. Le droit do timbre des colis postaux est poité à 0 fr. 15 et 0 fr. 25 Celui des bulletins de bagages est porte ù 0 f i . 25. Usa amendes. — Le « principal » des amondes pennies sera augmenié de 0 fr. 30. 8péolalltéa pharmaceutiques. — Majoration de c fr. 05 au-dessous de 2 l'r., de 0 Ir. 10 d t S Çr, à 5 ir.; t e t) (r. 15 t îr.» « • Q (r. » ont Madame Josiph de CADENET Née Vlotolre BLANDIN d é c é d é e à Q u i m p e r l é , le M e r c r e d i 19 Mars 1924, d a n s s a 36° a n n é e , munie des Sacrements de l'Eglise. Ainsi q u e c e l l e s q u i i e u r o n t témoigné leur sympathie en cette douloureuse circonstance. Sénat Dans sa séance de samedi, le Sénat, malgré l'avis contraire de la commission vote le double déoime et l'augmentation du prix des tabacs une majoration des droits sur le timbre, sur les autos, sur les suojessions et m u tations, etc., etc. Le régime des décrets lois est également insUtué en dépit des protestations de M. de Jouvenul.etRené Renoult. Le général Hirschauer, député d'Alsaoe insiste sur le caractère provisoire de ces mesures. Dimanche, après-midi, le Sénat vote l'abrogation du monopole des allumettes. L'art. 419 du C. P. s'appliquera à ceux qui tenteraient de constituer au profit d'industries privees un m o nopole de fait national ou régional. Le droit à percevoir par l'Etat sur les allumettes fabriquées ou importées est de, par millions d'allumettes consommées : qui De Profundis !... t REMERCIEMENTS M. TANGUY A ses Enfants r e m e r c i e n t bien s i n c è r e m e n t les p e r s o n n e s qui ont assisté au Service a n n i v e r s a i r e , c é l é b r é le M e r c r e d i 9 Mars 1923, p o u r le r e p o s d e l ' â m e d e Madame François TANGUY Née Marie-Anne LE SAOUT décédée 1923. à S a i n t - N i c o l a s le 20 Mars De Profundis !... i i O F . S k l ^ T entrepreneur à W c l o h a r s . carnoët, demande une équipe de m a ç o n s our une construction à faire à o ë l a n , et qu'il p a i e r a i t à 65 f r a n c s la t o i s e d e 4 m è t r e s o a r r é s . Moellon à v o i r sur plaoe avant d e traiter. E Mercuriale du 21 MARS 1924. — T a u r e a u , le k i l o . 3.00 à 0.00 ; b œ u f d e b o u c h e r i e , le k i l o , 3.50 à 0.00 ; v a c h e d e b o u c h e r i e , 2.50 à 0.00 ; v a o h e s l a i t i è r e s , 500 à 1.100 ; g é n i s s e s et v a c h e s p l e i n e s , 600 à 1.600; p o r c , le k i l o , 5.30 à 6.40 : m o u t o n , 3.40 à 3,50 ; v e a u , 3.90 à 4.00 ; f r o m e n t , l e s 100 kil. 95 à 97 ; s e i g l e , 78 & 80 : o r g e , 88 à 90 ; s a r r a s i n , 88 à 90 ; a v o i n e , 68 à 70 ; p o m m e s d e t e r r e , l e s 100 kil. 62 à 61 ; f o i n , les 500 kil. 160 à 170 ; paille, 110 à 120 ; s o n , les 100 kil. en g r o s , 65 ; au détail, 75 ; f a r i n e d u p a y s , 135 à 137 ; d e l ' e x t e r i e u r , 138 à 140 ; b e u r r o , la livre, salé, 6.00 à 6.50 ; d o u x , 5,00 à 5.50 ; oeuis, la d o u z a i n e , 3.00 à 3.25 ; p o u lets, la s o u p l e , v i e u x , 20 à 25 ; j e u n e s , 12 à 15 ; o i d r e p u r j u s , 180 à 200 ; o r d i n a i r e , e r d i g a i r e , J40 h 150. occasion, 4 pl. 10 ch. B i c y c l e t t e d ' e n f a n t ! Au midi une ligne de 24 m. 60 en Pour plus amples renseignements, Etude de »1« I V u n de P o u f l l l y , A I T T f f c Bayard - Clément, voir le cahier des charges ou s'anotaire à Pont-Aven (Finistère) * v r bon état. S'adresser boruure de la route départemen i bonne marche, conviendrait égaledresser à M9 BOT, avoué poursuitaie. , , au Journal. ment pour camionnette. Prix peu vant. Au couchant, 20 mètres le long ' élevé. — Adresse au Journal. des droits de M. Emmanuel Le Gall. Quimperlé, le 13 mars 1924. Au levant, 19 mètres suivant une 4 MARS 1924 Em. BOT L E L U N D àI 112 heures ligne passant par l'affleurement bonne oôté levant de l'escalier donnant © cuisinière. Références accô3 de la partie haute à la partie à PONT-AVEU, en l'étude exigées. S'adresser à Mme Corbierre, C O M M U N E DE LOCUNOLÉ basse de ce lot. 17, rue Savary. fixée par le Tribunal A Adjudication Volontaire On demande ** « © •J t» Or 18.000 fr. Mise à prix DEUXIEME LOT Au levant du l o ï lot, une P a r c e l l e d e t e r r e , en nature de j a r din, plantée de fruitiers et d'arbres de haute futaie, mesurant 19 m. de longueur au côté oouohant sur le premier lot sus-désigné, 25 m, an midi en bordure de la grand'route, S4 mètres au nord le long du terrain de la Compagnie départementale de Chemins de Fer et 17 m. 5i» au levant sur le 3- lot ci-après. Ci-tte parcelle fait partie du n° 97 dite section unique et est d'une contenance approximative de 447 mètr» s carrés 1'? décimètres carrés. fixén par le Tribunal ? * 9 g 4.500 fr. Mise à prix TROISIEME LOT AU levant et misant suite au 2- lot, u u e l ' u n - e l l e d e t e n e en nature de jardin et pâture, mesurant 47m80 Au midi, sur la grand'route, 46roi0. Au nord, sur terrain appartenant à la Compagnie des Chemins de Fer du Finistère, 17®5u. Au couchant sur le 2' lot oi-devant désigné et I5m50 au levant sur le 4« lot. Cette paroelle de terre fait partie du n- 97 p, dite seclion unique, et est d'une contenance approximative de 776 mètres carrés 50. « « sft. a Miss à prix L E SAMEDI 5 A V R I L Au levant du S" lot et y faisant suite, u n e P a r c e l l e d e t e r r e en nature de jardin ayant 12 m. 5l> au midi sur la grand'route, !0 m. 50 au i nord sur le terrain de la Compagnie •de» Chemins de Fer departemen ; taux du Finistère, 15 m. 50 au oou! chant sur le S'lot ci devant designé Etudes de M* E m BOT, avoué à et 14 m.LO au levant sur terrain de Quimperlé. rue Savory, n° 20. et pendant de la propriréte DUON. de M» VEW DE POIVF1LLY, , Cette parcelle de terre f«it partie notaire à Pont-Aven. du n- 97, dite seotion unique j e t est d'une contenanee d'environ ' 247 mètres carres 50. Mise à prix le Tribunal 1.200 fr. d'Immeubles Sis en la commune de Riewiir-Bélon 1024 à U heures LICITATION LE JEOOI 10 AVRIL 1024 ' D'IMMEUBLES & sur les mises a prix ci-après : RIVALIN- VIEUX LIVRES ARVOR L. LÂUNAY A Vendre Moteurs — Machn ies i bois té KERAUTRET A r s Etablissements SAVARY • S RIVIERE & (Quimperlé). SO!CUES Y E N D R E A l'amiable MOTEURS Ferme de 20 hectares, de 3 à 12 Chevaux. aveo bons bâtiments, plantée de 450 pommiers en rapport, à vendre aux enchères» le Jeudi 3 Avril 1924, il 1 heures, MàSTMIB-VIAN en ftlEC-SUR-BELON. Comprenant 2 maisons, crèche, à BREZOLLES, en l'étude de M* THORE, prairie, terres plantées et terres notaire. labourables, contenance totale : 4 h e c t a r e s environ. J o u l u a n o e a u g r é des a m a U u r s . Joulsaano» Immédiat». Faculté de traiter avant l'adjudication. Pour tous renseignements s'a- Valeur approximative : 60.000 francs. dresser au dit M" AFFICHARD. Etude de M' MANIÈRE, Quimper notaire Y E N O R E A A L'AMIABLE A V à l'amiable AUTRE FERME de 1 0 h e o t a r e s 6 0 a r e s , PRIX : 32.000 francs. bn h m Terrain de 384 m A U T O - G A R A G E G. CONTESSE! Moteur DEVILLE " AUX TRAVAILLEURS Les 18, rue Savary ,18 QUIMPERLÉ daus tous les Articles d'Hiver Etablissements SAVARY, fe^Sèie qu'ils sont à sa disposition pour lui fournir des moteurs à essence, de 3 à 12 C.V., à d e s p r i x t r è s a v a n t a g e u x . Ces moteurs peuvent être considérés comme lot m»ill«nrt pin» économique* des moteurs existant actuellement sur le marché. Les soins apportés à leur fabrication, ainsi que le ohoix des matière» prem ières employées, n.-us permettent de les livrer aveo UNE GARANTIE DE S ANNERS. Nous avons toutes les pièoes de rechang» en Magasin et pouvons assurer rapidement toutes réparations de ces moteurs. Nos clients pourront voir tous les jours un de ces moteurs en fonctionnement, dans nos magasins. Nous tenons aussi à la disposition des clients qui le désireraient des moteurs marques " LISTE R ". B A T T f e U S t S - V A N I M E U S E S . — Les Etablissements SAVARY informent leur Ciieniele qu'elle pourra voir dans leurs magasins des U a t teunee- V u s n e o t « « & double nettoyage, munies des derniers perfectionnements, batteuses dont ils peuvent garantir l'excellent fonctionnement et le parfait nettoyage, et qui pourront être actionnées par un des moteurs 10 C.V. décrits ci-dessus. F A U C H E U S E S . — Les Etablissements SAVARY sont à. la disposition des agriculteurs pour leur fournir oomme les années précédentes des Fmucheu§e* FROST Se W O O D à 1 et 2 chevaux. Entrepôt Général de Matériaux de Construction ACHETEZ V O S MATÉRIAUX Maison J . - A . Rue Marc-Pourps (anoienna rue dee Glacis) Kntra lea ere.raa ®t l a plaio» A.l«».0«-Xj0rrftirx» (dsrriéra las camsrnaa d'lnf<mt«ri«) •n tous genres Soieries L O I U E X T Téléphone a-11 R. du C. N- 1 2 3 TOUS MATÉRIAUX DE PREMIÈRES MARQUES Portland Couronne ; Portland Beaumont Ciment à prise rapide de la Porte de France, en barils CHAUX HYDRAULIQUES, éminemment hydrauliques, de toutes provenances. PLATRES BLANCS FINS, de Paris. Plâtre à mouler, Lattes, Briques, Tuiles, Ardoises, libro-ciment, Carreaux pour fours de boulangers et autres produits réfractaires, Carreaux céramiques divers, eto.; eto. Fabrique d'Agglomérés pour la construction ON COSTUMES M •st le mieux assorti ftafllMM du 0«mm*N>« N' 1101, Qulmiwl* OFFICE On demande chez M. Lavigne, 2, rue Isole, Quim- 2 NOTA — Après adjuiliCHtions separees. le pr« rmer et l>- deuxième Aû "A. — Il existe déjà de nomlot seront reunit- et remis en vente sis à y U I M l ' E R . rue de Concar- breux bretons installés dans la en un seul lot sur une mise A prix neau, n° 3, à proximité de la gare. contrée. & 10 heures Ha matin l'ormee de la réunion des prix d'adPouf tous renseignements, s'aS'adresser à M* THORE, notaire à En l'éluda >1 pir la ministère de r PEAU de POUFILLY ludications des deux lots ou encore dresser à M* Manière. Brezolles. sur uns mise a prix formée de la notaire à Pont-Awen reunion du prix d un lot adjugé et de la mise * prix de l'autre ou sur une mise h prix formes de la réunion des deux mises à prix. Ensuite 1< s troisième et quatrième lots seront réunis et remis en vente Situés en la ville de Pont- dan» les mêmes conditions que ci Aven, route de Quim- dessus. Knfln les quatre lots sero t réunis perlé, près la gare de t remis en vente sn un seul lot Mécanicien toujours dans les mêmes conditions Pont-Aven. que oi dessus, les enchères proviBoulevard de la Gare, Q U I M P E R L É (Téléphone 36) soires ne devenant définitives qu'à EN QUATRE LOTS défaut d'ei chères sur la reunion. CKTTE VENTE est pour.-uivie eu • xecution d un jugem> nt du Ti ibunHl civil d<- Quimperle, en date 1er Lot : 18.000 Fr. iu 14 novembre ¡UW, enregistre et <ig i lie, i end u contradiouii ement 2" Lot : 4.500 Fr. • w i m t vime Varie CHABKKT. lus est le dernier en date. Il résume tous les perfectionnements iituwioe pub.ique et M. Charles 38 Lot : 6.500 Fr V E R M I L L A R D , indus nel, son LE MOINS CHER - LE MIEUX CONSTRUIT 4' Lot : 1.200 Fr. Jules mari qui l'assiste et l'autorise, deensemble au Passage, en (Clause ds réunion des lots) meurant a commune de Lanriec. Demandeurs ayant pour avoué Il sera aux lieu, jour et heure sus M* Em. BOT, avec é eotion de domiindiqués prooédé èi l'adjudioatioti oile en son étude, sise rue Savary aux plus offrant« et derniers enché- n- 20fcQuimperlé. risseurs des immeubles dont la déBt * 1- Mme Léonie CHABERT, signation suit : institutrioe, epouse BOUS l'assis- j DÉSIGNATION : tanoe et l'autorité de M. Pierre LE Département du Fini* 1ère. MEUR, instituteur avec lequel elle • demeure a Brest, rue de la Mairie! Arrondissement de Quimp'rlé. ! Canton et Commun* de l'ont-Aven n- 452- M.Pierre LE MEUR, instituteur, Route de Quimperlé. demeurant h Brest, 45, rue do la Près la q*rt de Pont Aven. Maine, en nom p rsonnel et pour assister et autoriser Mme Leonie PREMIER LOT CHABERT. sa femme. j Défendeurs ayant M* PITON pour i Art. l , r . — U n e M a i s o n construite en pierres et couverte en tul avoué, aveo élection de domicile » n le*, élevée sur terre plein de r e a son étude, siae rue ds Quimper, n- 12, à Quimperlé. déchaussée, étage et greniei. Art. 2. — En appentis, au couOutre les c a u s a s et conditions oh&nt bout du midi de cette maison, insérées au cahier des chargea un« C a v » ou Remise ouvrant par dressé poui parvenir à la veme et une porte sur la rue. déposé en l'etude de M* PEaN DE Art. 3. — A l'angle nord-est de PONFILLY, notaire à Pont Avm, où ladite maison un H Aliment de cons Loute personne pi-ut en prendre truotion légère à usage de cuisina oommunioation, les immeubles oides&us désignés seront vendus en et de décharge. Art. 4. — Au levant et nord de quatre lots, tels qu'ils sont décrits 083 bâtiments, u n e P a r c e l l e de plus haut, aveo clause de reunion t e r r e sous jardin et p&ture sur la ainsi qu'il vient d'être expliqué, aux plus offrants et derniers enchérisquelle existe un lavoir. L'ensemble de oe lot figuré au ca- seurs, en l'étude et par le m nisdastre sous le numéro 07 p. de la tère de M* PEAN DE PONFILLY, section unique,est d'une contenance notaire à Pont Aven, le J e u d i approximative de î>32 mètres carrés 1 0 Avril 1 0 2 4 , h 10 heures du 35 déoimètre3 carrés déterminee matin, sur les Mis®« à Prix olaprès t par los mesures suivanto : AU nord, une ligne de 30 mètres I Lot, UUL. 1I O I I . «i 2° & lot, lUfcj 1" 8 .,U0 U 0U 0 fp. Stock de Pièces détachées en Magasin le long des droits de la Com 4.600 fr. ; 3lot, 5.500 fr. ; des Chemins de Fer Départemen R. du C., Quimperlé, N' 45 4- lot, 1.200fr. tauxd u Finistère. PAR Marque Peugeot, absolument neuve, avec éclairage et tous aooessoires. Prix raisonnable. S'adresser Garage CONTESSE, mécanicien, boulevard de la Gare Quimperlé. R. du C. Qalmperló, N' 45, aux dépendances d" KKRGUEN, perlé. Nourri, oouché, blanchi. il sera procédé à la Mairie de LOCU près le bourg, en bordure de la QUIMPERLE NOL.E, à rad.judioation des travaux route de Moëlan. de construction Libre de location au 29 septembre 1924. d'un Bureau des P.T.T, PREMIER LOT vieilles reliures, sont achetés par Montant du devis, 3 3 . 8 0 0 f r a n c s UNE MAISON aveo c r ô c h e et M. LE DAULT, K e r f e u n l e u n (Finistère). Se rend sur place à ses Pour tous renseignements, s'a- courtil. frais. Lui écrire. MONTAGE DES MACHINES VENDUES dresser à Quimperlé, 14, rue de MISE A P R I X : 8 OOO F r . Quimper. BRH9SE9Sa95BHSaBBBBB DEUXIÈME LOT d é r a c i n é e , ft U \ E PAR« E L L E D E T E R R E , prendre ii Les dile Parc Tri-B'-rn, sous labour, coal en Ri>-c sur-Bélon. S f r a n c s contenant un journal environ. la c h a r r e t é e S'adr. sur lus lieu x Clause de reunion des deux lots. Facilité de traiter avant l'adjudiUn 1,1 ordinaire, som- cation. mier; foudre et futs. Pour tous renseignements, s'aCapote pour voilure anglaise 85x75. dresser au notaire. S'adresser à Mme Le Noc, rue Clohar8 (Quimperle). Etude de M* THORE, notaire à Brezolles (Eure et-Loire). Etude de M* A F F U HARD, notaire h Pont-Aven, successeur de 5.500 fr. Une Petite Propriété QUATRIÈME LOT V E N T E ADJUDICATION ïï'lïi A Vendre SUPERBE MOTO, nommes, Jeunes Sens Enlants — Imperméables PARLE BRETON TISSUS EN TOUS GENRES Literie PLUMES & DUVETS u m loilfettes de Baptâme BERI*: AUX i OUÏMES D'ENFANT* La Maison se charge da la fabrication de C A P E S pour le Costume Breton SaSSÛJ- z . — ¡ ¡ E m p h y s è m e . laryngites, m a n x dte (Jorge, R h u m o a , C o r y * a 3 nlgu et chronique QUKRIS p a r lea P A S T I L L E S 2 ? , D O P E Y B O U X , Octave MAISOiN DE CONFIANCE DELAFOHTENELLE, i Sindillon (Loir«!) atteiut en deienibre ltflft de laryngite, souffrait do photements ;d»ns la gorgo qui provoquaient une toax pénible et de crises ¿oppression qui l'obligeaient h rester assis uno grande fisriie de la '"lit- Sa voix était enrouée, souvent éteinte. - m — f i nui u finir VENDANT C h » « n a i n e s d u o rhume de cerveau chronique dont ll souffralt depttis nn an fattest. du 3 février îié i ô ' ¿ I ? « ? ? . j8nTlerl923).M"'CULNAERT MARCHÉ C O R (Tarn), guéri en quelques inounao ' MJrudoi L E MEILLEUR B I E R R E 17, Rue Savary, OELdARBZ, couturière à Nouvalle-Etllse par QUIMPERLÉ P A R D E S S U S tout faits et sur mesure. Mm'H" BLANC»ET, ru« Camoanh.i Avignon (Vtu Tous les genres de V Ê T E M E N T S IMPERMÉABLES chue), souffrait depuis six ans do quintes de toux •Dlniatres et était essoufflée au moindre efforl Bile se trouva soulagée à la 4» botte et lut guérie il i TISSUS ! & SUR MESUR Registre du Commerça N° « 'Au Garage Jérôme TRÉGDIER ï l ï î - " A R E L & Q U I C H E T (Maison BERNHEIM Frères ei Fils,) 4, rue Vis, à Quimper. Q U Î M F E P L E Charrue Brabant DELAHAYE 1U Apprentissage gratuit Y. SELLIN, 7, rue Mellac, Qwimperlé Société A n o n y m e au Capital de 320.000 R . d u C . Q u i m p e r l é . N- 94 Q T J T ^ J P H i - R L i û Parapluies, O m b r e l l e s , Cannes Parapluies " TOM P O U C E ' ' (dernière création) MONTAGES, RECOUVRAGES & RÉPARATIONS Travail trô» soigné exécuté par un Spécialiste R \ S 0 I R S Ordinaires i Mécaniques (Gillette, L e C o q , e t c . ) Tous Articles lie Sports, Foot-Ball, Tennis COLLIERS DE CHIENS, FOUETS, e t c . PRIX SPLCIAUX POUR SOCIETES Lampes & Piles Electriques de Matériel Electrique t Chez M m e L E F O R M A L , 10, place Hervo M o d é r é s du O. N 1 8 4 8 , — T r a v a i l t r è » Quimperlé Fusils DARNE, CHARLIH & DARHE Fils Aîné p o u r tir de précision. p o u r la chasse. P I 8 T O L E T 8 B R O W N I N G A Répétition à RA.RILL.ET de tout a^atim«« Choix ET DE TIR d o Coutellerie Canifs, Couteaux de p o c h e , Couteaux de table et d e cuisine, Ciseaux p o u r Brodeuses, Couturières, Coill'eurs, Tailleurs, eto. Rasoirs à main et Rasoirs de sûreté, Gilette, A p p o l o , eto., T o n d e u s e s de tous modules, Peignes de rechange Réparations d'Armes de tous systèmes, Affûtage de Coutellerie Artioles do Sports T o u s lea Article« de Foot-B&ll,Tennis,Escrime, B o x e , e t c . Prixapécinux AUX aooiétéa. Envol gratuit de nos OAtolugitOS, Armes, Munitions et Sports R . du 0 . , L o r l s n t ISS «8« fflalad!«« I n M r t v u ^ « , W é t r l t » , F i b r o m e , H é m o r r a g l M , 5 u U e * d® C o u s h s c , O v a r l t s * , T u i r . u u r « , P « r U a w a r w h e » , etc., Acheter !!! ses Meubles SCULPTEUR BRETON Maison r v n u m m é « ayant SO a n s A QUALITÉ JOUVENCE ce L-Abbé SOURY o'est le salut de la Femme n E M m e s qui S O U F F R E Z d « Pdgtea trrégu. I U r « a , Becompagnèe» d* d o u l e u r » d a n » le T mitre •t la» rdnsi d» Migraines, de Maux (TBttomac. d« Constipation, Verttget, Etourdi,simtnlt. Variai, Hémorroïdes, atc. Vou» qui craignez la C o n g e s t i o n , le» C h a l v u r a , Vap«ura et ton» l e » « r c l d e n i » d u R e t o u r d ' A t i * , ftilte» u s a i « d e l à J O U V E N O B d a l ' A b b é S O U H V qui vou» guérira » O r t m e o l d o ll'Afcb* 'Abbé 8 0 Ï T R T . préparée à ta Pharmacie se trouve dNiu t o u t e a l e a P b a r piua Lui pût 0 Û-. 6 0 , total : 6 £r. 6 0 . m a c i e » ; le Oaoou, 6 f r a n c s , pl Jm ÇE B I/O J O J U3VVEDNÏ C loucn, Mmg. OUMOMTien, A Hot Bi»a ex^tr la Véritable JOUVENCE de ikibi SOURY u v e e la signature Mag. DUMONTIER C'EST LES A C H E T E R DE C O N F I A N C E MARCHÉ 133 ÉGALE d'eilsteiico •>m G R A N D CHOIX DE M E U B L E > DE TOUS S T Y L E S Ch»mbru8 H couolier, Salles ò munger. Meubles de Rurea i Literie, Ul«oe». Tentures, Petit- Meublé» fantaisie Sièges de tous genres LIVRAISON FRANCO PAR AUTOMOBILE SOURY P E M i f f t S q u i S O U F F R E j , a n r i f » v o a i etaayé «on» le» trsltemsntt »ans résultat, que v o u » n'avez p j s le droit d o d<!»i«pérer, et vous d e v e r , tans plu» tarder, faire u n e c u r e a v e c la J O U V E N C C d o t ' A b t t t S O U R Y . L O R I E N T - 31, Rue du Morbihan — L O R I E N T A U MEILLEUR C O U R A G S ear U exista u n ' m i a i & a (acomparaïrt», q u i a «auvé d e » m M I S r i <J» m»Jheiireuse» c o n d a m n é e * à ua martyre parpétuel, un remède »Impie •i iacUe, q u i TOUS guérira »ûrement, «an» p o i a o n a ai o p é r a t i o n » , c'est 1a La ET PRIX CONFIANCE JOUVENCE DE L'ABBÊ a o i f f n é doa pliants DE S& NOS R. du C. Lorient. N- 8414 R E P R E N E & Magasin d'Exposition et Enregistrement des Demandes R MUNITIONS, ET TOUS LK9 ACCESSOIRES DE CHASSE ETALAG« LUSTRER1E -A-ma\a.rier-Oo-u.telier 28, Rue de» Fontaines à L O R I E N T — Téléphone 1 - 2 8 u, ; ,a L O R I E N T francs Moteurs, Appareils d'Eclairage et de Chauffage ARMES, COUTELLERIE, SPORT» G «V», 9 "/•>, la » / • , 14 CEINTURES ( F i z x i s t à r e ) Toutes- Fournitures et Installations Grand Choix d ' I I a m m e r l e s » e t F u s i l s h c h i e n s , F u s i l s r n a d l e r s , Fusils Gras t r a n s f o r m é R u e de l a Patrie, VOIIt Les Forces Motrices de FEllé P r i x M o d é r é s vu l a Qualité. pou r la. Région - D'APPLICATION PARAVERSE- MAISON Pièces de rechange. n CABINET aux Acheteurs H. (in C 0 " i m t » ' r l ^ N- 37 A choisir tous g e n r e s et toutes foroes c o m m e a v a n t - g u e r r e . o A YARICES (Maison fondée en 1877) La plus solide et la plus perfectionnée. m BANDAGES BAS RAYON OE COUTELLERIE FINE (Canifs. Ciseaux, etc, etc.) Se E S S A I EXPOSITION l u Aseptiques & Antiseptiques A L e s nouveaux Modèles R E N A U L T obtiennent le succès mérité, grâce à leurs qualités de souplesse, de confort et d'élégance. ^ « " . B l a n c h e , plusieurs lots de terrain, propres à la construction. Prix modérés. Grandes facilités de paiement. Carabines AGRICOLE J^Avec succursale 15, rue des Fontaine«, Une" 9 M , o n AugereauJ Jh,\UfU dit 6 INDUSTRIELLE ET COTONS GAZES — CATGUTS CRINS DE FLORENCE 20, COMMUNE DE ERGUÉ-ARMEL Carabines OCCULISTES DROGUERIE RECHERCHES CHIMIQUES BIOLOGIQUES BACTÉRIOLOGIQUE* Agenee de Quimperlé : Garage Jérôme TRÉBUIER COMMUNE DE BEUZEC-CAP SIZUN La Ferme de Kerleve8q, 16 hectares environ. b DE - LES 668 C r o i 8 8 a n t Bouillet, G hectares envi rnn f t iîKÎ l l Î . F o rn,1< i ron, libre à la Saint-Michel prochaine. A 3 km. 500 de Lambézellec et 3 kilomètres de Gouesnou en bordure de la route, une Belle Ferme de 40 hectares. i MM. D E S ORDONNANCES VÉTÉRINAIRES Automobiles Renault COMMUNE DE MELGVEN t P EXÉCUTION PRODUITS Pansements ^ t f T V Î n Quelennec Huella, située à proximité des routes de Pont-l'Abbé et de Plugullan, 25 hectares environ. Oraud BASSINS ~ DOUCHES PULVÉRISATEURS FÜLMIQATEURS QUIMPERLÉ COMMUNE DE PLUGUPFAN REVOLVERS 0 HY GIÈ N E OP^Sr MÉDICALE SUCCURSALES à P l o u a y , P o n t - A v e n , Moëlan, Cloliars-Carnoët O o k ^ ? m è i 7 e l b o u r g d e B annalec, la très belle Ferme prochaine *S e n v l r o n ' l i b r e à l a Saint-Michel FUSILS, C A R A B I N E S GALÉNIQUES CONFECTIONS VÊTEMENTS VENDRE m/ni /ACCESSOIRES "Si- A R T l c t t S SPÉCIALITÉS Cil, COMMUNE DE SCAER Ca DE PARI« QUIMPBRLE L. I T E R I E r DES HOPITACX n» 7 HERBORISTERIE S'adresser au trésorier A. MELLAC, 10, rue du Gaz. Lorient. l>*po»it*if CTTBR5K DE l'CKITERSlTt AMPOULES MÉDICAMENTEUSES A TOUTES FORMULES SERU.MS VACCINS Le d e v o i r de tout vrai Breton est d e s'inscrire à la Fédération Régionaliste de Bretagne, B AN«EN Téléphone Carnot DICAMENTS r COUVERTURES, COUVRE-PIEDS, EDREDONS. tiaire pour Consultations aratuitos pai r*. - BONNETERIE pour Hommes, Dames et Enfants. c o r r e s p o n d a n c e . C o n s u l t a t i o n s t o u s Ice ine, » j u r a "non f é r i é s , 'r>. S q u a r e d e M e s s• a r i s . d e t O h . 6 U b . e t d e l i b . ù 10b. ( 3 i î i 6 ) hSÎÎT? A e P à Place S u c c D E 1 " C L A S S E D E LA F A C U L T É D E P A R I S DE LABORATOIRE CHALES pure laine des Pyrénées et le plus grand choix de F O U R R U R E S . f A CHEF T I S S U S pour Robes et Manteaux. MiCHAUD, aux RotlmSalnt-E*tiph» par Roui•«: POUR LE P A Y 8 PHARMACIEN AHCIEN 7 PHARMACIE ; DO ' RDONNANCES CAPES & M A N T E A U X pour le Costume breton. prenai L E \ A O U R DOCTKTO POUR L'HIVER i T» rechutes successives galtest, de 194», ' confirmée I e ~ ï » " f é v r i e r " l 9 î 3 ) ' m, M $oltnxt SOURDIN, ftLorleis (¿///or), oriti. ill grippes sur grippes et . souffrait d'une toux très trè pénible. I.es Paattllea D u p e y r o u x la guérlreni en quelques somaines (attest. du 18 d & . 1922) Louis S, tiruiçqJPt,.d..C*W). souffrait depuis décembre 1918, d une pharyngite avec brûluros au palais ol dans 1 arrière-gorge qui l'empêchaient de dor mir. Eilo fut Instantanément soulagée par les Paatlllea D u p a y r o u x , puis définitivement Riiérie (CJiPanfe) était atteint d'une toux violento e> rebello suivie de crachats, depuis i913. I.es P i u t i l l e s D u p o y r o u x le guérirent en quelques moi« («tt.du 20 mars 1923).- L e s PastilleB D u p e y r o u * aranties Ransuarcotiques.s-ana coloranti o z i q u e s . sans gélatine infeotieuse, sont o o c n a n n e , sontexpédiôes franco & donn» ç i l e c o n t r o s f r a n c s en m a n d a t c n r t e p m l e D' DUPHYROUX. &. S q u a r e d e M e s s i n e , P a r i s , q u i envoie gratis et f r a n c o s u r u r' 'les _d e m a n,d a ROI» —Etude • — * • " "sM V U AIftn A fI e w c tI iI 'o1 n i l s• par p u lea v o i e s R e s p i r a t o i r e s e t s o n Q u e s t i o n D E L A RÉGION DANS LA RÉGION ^our ^ÖS mmmt »ORrvtFcv woi:c a "iRiprimam da I ' M QUIMPKRLÊ Ulrecteur-iWsrant : L<U)N LB HNHHB Certifié par l'imprimeur V « p o u r '.égallsaUon d e la s l j y w t a r o C c o n t r e en Mairie d e Q n l m p e r l i M U gulMPERLÊ. - Imprimer!« de l'Ûnte* AgrUmlt «t Marition, t^cw L i W Ç ^ S Î é l l A o u ó e m - !V° L E 1 3 N u m é r o : Q 1 7 I ! V » R Samedi C F O T I M « S ET MARITIME Organe Républicain démocratique et Régionaliste de l'Ouest *>mvm±mmmxL* Annona«* et RétlimN A u o n o e e Judiciaires (la Ugna).. Ateonoee volontaires Melarne» ea tonale 1 tr 1f 1 r.tc Les annonces toni reçue* «ti bureau in tournai et, i Paris, dans toutes les Agences. Cb Ruiner contient m supplément M.iv.yg Uœ manufactura de bu a età* cou- vertures dd laine a Quimper é, au XVIIIe Siècle. Quimperlé, comme la plunarl des chefslieux de département et d'arrondissement, posside une société d'agriculture depuis plus de cinquante ans. Sait-on, par exemple, que la première société d'agriculture fondée en France, fut celle de Bretagne, au milieu du XVIII* siècle ? Celà est pourtant parfaite ment exact et c'est un honneur pour noire pays d'avoir devancé les autres provinces dans celte voie. Atxx Etats de Bretagne qui s'ouvrirent à Rennes, en décembre 1756, la Commission de Commerce reçut communication par le député de Nantes, Jean-Gabriel Monlaudouin, sieur de la Touche, armateur, d'un mémoire rédigé par l'Abbé de Ponlual, du diocèse de Vannes, sur l'agriculture les arts et le commerce en Bretagne. L'auteur du mémoire qui avait eu pour collaborateur, Gellé de Prémion, Maire de Nantes, proposait, à la Commission, l'établissement d'une société qui ferait l'élude des trois objets mentionnés dans son rapport. Ce projet reçut Vapprobalion de Jacques de Gournay, de Saint-Malo, Intendant du Commerce ; les Etats prièrent le rapporteur de la Commission de rédiger un règlement et de fournir une liste d'associés. Le règlement fut bientôt prêt ; toute l'économie du projet tenait dans quatorze articles qui furent adoptés par les Etals, de même que la liste des associés. La Société d'Agriculture de Bretagne était formée ; elle acquit une existence officielle par l'approbation du 20 mars 1757. La société se composait de six membres par chaque évèché choisis indifféremment dans la noblesse, le clergé ou le tiers-état. Les mémoires envoyés par les associés ou mime par des non associés, devaient parvenir avant la tenue des Etals au bureau central, à Rennes, chargé de les centraliser et de les transcrire, soit in-exlenso, soit par extrait sur des registres ad-hoc. Ces registres devaient ¿Ire présentés aux Etals qui décidaient leur impression et statuaient sur les mesures proposées par les auteurs de mémoires. « La société provoquait toute mesure de protection et d'encouragement à l'agriculture, au commerce et aut arts. C'est sur ses propositions que les Etals accordaient des primes et gratifications ; qu'ils sollicitaient et obtenaient des abaissements de taxes ; qu'ils faisaient venir des graines pour les distribuer à bas prix ou même gratuitement, et des animaux reproducteurs ; qu'ils faisaient expérimenter les méthodes nouvelles et s'efforçaient de les propager ; qu'ils essayaient des plantations d'arbres peu communs dans la province et dont l'acclimation et la culture auraient été utiles : par exemple, ils entretenaient une pépinière de mûriers ; il y eut mime dans l'enceinte de l'arsenal de Lorient un véritable jardin d'acolimatation où se cultivaient des plantes exotiques. Le premier bulletin de la nouvelle Société parut en 1761 sous le nom du « Corps d'obs e r v a t i o n s de !a Sooiété d'agriculture, de Commerce et d e s Arts établie par les Etats de Bretagne ». Il fut imprimé par Jacques Vatar, à Rennes, aux frais des Etals. Vers 1755, un marchand de Quimperlé, Le Goff de Kermorvan, établit dans cette ville une petite manufacture de bure et de drap de capucin. Ln peu plus tard, sur les conseils de Pinczon du Sel des Monts, un de ces genlilhommes bretons qui ne crurent point déroger en s'adonnant au commerce, Le Goff résolut de fabriquer aussi des couvertures de laine et il réussit dans son entreprise, nous affirme Pinczon ( / ) . Ce ne fut sans doute pas pour longtemps car, dès 1/58, la manufacture avait beaucoup périclité, si nous en croyons le court article suivant extrait du c Corps d'observations ». « On s'est informé de l'état actuel de la manufacture de Quimperlé. Une personne qui ne veut pas être nommée, a mandé que cet établissement étoit dans le même état qu'avant la gratification accordée par la Province, c'est-à-dire une ombre de manufacture ; qu'on n'y avoit pas fait une couverture depuisun temps infini; qu'il n'y a ni pauvres ni ouvriers. Sur est avis, on pria un gen(1) Considérations sur le Commerce de Bretagne, p . If (Ct petit volume, imprimé d tiennes, n'est p a s 4até! la Biogwpblc B i d o n n e , de fcÇVQT, dit que l'iMhn titdc my. S J L a C K D X D l r e o W u r i Léon LE M I R R I *»DAOTIO*, iDMlfitSTXATlGi * AKMOKQMS • QUIMPCRLK. Plaee Hervo, o* t »la On traite 4 forfait pour les annonce» **t>ttè** vlusieurs ! • r i k l ^ H O N I , fois. nj' s u r w NUrrwtwu i union, Qulmptrtl l u (iMNituiKU m f t i m i 4'mtMmi*, n u l MnvmS ttoni lit parunt 4m <•' m én it 4* thaftt* mois. On rtbonns mu burtm» 4*jo*nuU. On peut l'itmaff t§nUmtm, M M rraii 4mm I « M * lu bureau* 4* poti» •M «tuor* «n «IriiMM «m mamtal-po»«« «« £HrMU«r, M. Léon LB S E R R E f i n i I I T N « OulmutrU ! ABONNEMENTS Volmperlé (ville) •S.«S«>*B* Finistère et d é p a r t e m e n t H a l l trophea Autres départements...¿••••».ft* Colonies et étranger W 1 4 II 12- g^iWPiliP» lilhomme de la province de vérifier les faits. Il voulut bien se transporter à la manufacture, h n'. i>;.,ta ^u'il n'avoit trouvé d'ouvriers il aura r »'¿t-ère, y j n ••>••'. i' l i ,u'on lut ilil cire un des élève- qu•• />•.* Etais ui'uii'- ' ordonné de former ; i/d'c vit ijuuli'n métiers moulés ct dans un seul une couverture commencée; qu'on lui montra des couvertures fabriquées depuis peu, de très bonne qualité; que l'approvisionnement des matières ne valoit pas ¡a peine d'en parler, qu'il se réduisait d quatre ou cinq fuseaux; que les chaudières pour la teinture avoient travaillé deux ou trois fois /¡endint l'automne de 1758; que dans le même temps, il y avoit deux ou trois ouvriers qui depuis ont quitté cette fabrique; qu'aujourd'hui, elle est dépourvue de tout; que le sieur '"rejette l'élut de délabrement où se trouve la fabrique sur son teinturier qui en le quittant, lui avoit enlevé ses ouvriers. « La Société croit que le seul moyen de la ranimer, seroil d'accorder un encouragement par couverture fabriquée, au lieu de donner des gratifications ». C'est tout ce que nous savons de celle affaire. Qu'en advint il par la suite ? L'essai était certes des plus louables et méritait l'intérêt que lui avait porté la Société d'Agriculture et les Etats de Bretagne, en lui accordant une gratification et en faisant entretenir à ses frais un élève-ouvrier. Quimperlé ne possédait guère d'usines, en dehors de quelques médiocres tanneries ; le développement de la manufacture du sieur Le Goff eut procuré du travail à un quantité de pauvres gens qui là, comme ailleurs « naissaient d a n s la m i s è r e , y vivaient par habitude et y mourai nt par nécess i t é » comme écrivait en termes saisissants, l'estimable Pinczon du Sel qui, mieux que personne, connaissait l'état lamentable de la population inférieure de sa province et y compatissait. Daniel BERNARD AlaCai889 d'Epargne de Q u i m perlé les opérations sont simples et rapides. P a g e B r e t Chanson de o n n e mer O Tout q u i pu «et t o u t e s vos n n i t s b l a n c h e s A i t f t r d e r i r a t u fond des lita-cloi, Q u a n d le vent d u l o i r h u r l e d a n a lea b r a n c h e s Et do l a m a i s o n fait c r a q u e r lea p l a n c h e s Et q u e l ' o n e n t e n d la r u m e u r d e i flou V o u s t o u s q u i r € f e i d u r a n t TOI n u i t s b l a n c h e » , P r i a i le l i o n Dieu p o u r les m a t d o l s I l s sont s e u l s 1fitb a s aeula d a n s la t e u p C t e , i . u t t a n i s u n s f.iibln c o n t r a les d a n g e r s Le ciel est e n d a u i l p a r - d e s B u a leur t i i e Et l e u r s c r i s d effroi q u e le T i n t r é p â t e E n u n l o n g <cho Tolenl p a r t a g e s , Ils sont s e u l s U - b a i , s e u l s d a n a la t e m p f t t e D a n s la n u i t o b s c u r e ct f r o i d s , p l o n g e s L a b a r q u e est f r a g i l e , et la m e r e n r a g e , Maia les m a t e l o t s sont r u d e s et f o r t s Contre U fureur d t 1 affreui orage Ils luttent s a n . p-rdre un inttant couraga Mais ils Tout e o t u b r t r , m a l g r é l e u r t efforts La b a r q u e est t r a g i l a ei la m e r e n l a g e O chrétiens, priei, pries pour Ici morta I Ne a o n t - c c p a s IA, TOS p è r e s , TOS f r i r e a , Vos « p . u x Taillauts, TOI e n f a n t a c u é r i s Q u i s e n «ont a l l é s loin, b i e n loiu d e s t e r r e s , O u i u o n t pur a i n j u r l r u r a Tielllrs e b a u m i é r e s (.cura c h a m p s d e gcnfiis et d ' a j o n c t fleuitB V N e sont-oe p a s l i , TOI p è r o i , fou f r è r e t Q u i v o u i ont a i m é s et TOUI ont n o m ris t Ils é t a i e n t p.irti» a v e c l ' e i p é r a n c e De p t e n e r , b e a u c o u p et d e reTenir Let a m i s , o u p o r t , 'lisaient : a U u n n e c l i a a c r ! » Maia Toici t o d a i n , la m e r e u d é m e n c e Q u i g r o n d a , j a l u u i e , et 1rs tait m o u r i r . . Et d e les rrTuir p u r d a n i l ' e s p é r a n c e . D e u x TOUS u'aTet p l u s m ê m e u n s o u T o n i r ! O TOUS q u i p a s s e t t o u t e s TOS n u i t s b l a n c h e s A r t v e r d e rien d a n s TOS g r a n d i lit» clos, Q u a n d le v e n t d u soir u u r l e , d a n s les b r a n c h e s E l d e la m a i s o n fait c r a q u e r les p l a n c h e s El q u e l'on e n t e n d U r u m e u r d u flots, V o u s tous q u i rêTM d u r a n t TOI n u i t s b l a n c h e s f r i t i le Bon Dieu p o u r les a i t e l o l s . J.-P. CALLOC'H Sainte Anne d'Auray tç02 D11IU[MAMU. — (Sommaire de Mars I02S), Labour dldalvc : Loelx Harrieu ; Ur g r d'er re t ra douezoucu de Zihun.imb : Dihunamb; Hclt uuaa d'cln ; Sterulen; Un neuè tmu : Golvannig ; Ken pen vel ilmeet : M Er Fur : Treu mat de houiet : Er barneur koh ; lì Keranna huéharal : Ab Tudi ; Devehan dé ur liruileli : N. de Voltz; A g'eï hag a zétieu. Artur Hlcbemout ha Jaau d Ark. Dalc'hit mat, tud ag er hauton Arkcnaû doh er daitumaden-men groeït nveitoh get tud leih o halou a garante-Vro, e languii hou tadeu koh. Un alveren 10 blank ; er blead eit Breih 30 r*al ; elt Vre-Frans, À ' skouid ; elt er broleu ersi 7 llv. La OalMQ d'Epargne de Quimperlé est un placement sûr. SON AN NEVEZ-AMZER Moualc'bilt DOS, pa glevaR da son — 0 ses A ta* ann ankeo em c'tialon ; eu «sir vrar a r m o r , d ' a n n a o z — O n l u a - u u a a c k r e i i ai g r o z . fettaiez Daro cl laoneg ar b'euniou — daro Gwiskel a neTuz ar c'tioajd ; Ar paidoniou a zo digor : — digor Deut 'ta, merc'bed, wardoul ho tor. Aan nrTtx-amzer c'hoar»ezet — flbred, 'Man daou ha daou al lapoused, Al 'apouse i 0 klask «un aeiz — 0 neiz 'Vel er pardou tud iaouank Breit, Tomder a n cnT hag he v a m m ' k — j m ï m m i k ' M r a z lie blusken t e n n aa etnik' Oui nr ganfarded re garo, — garo Ernigo. D<>ue d'nu miro I Pa TO kresket n dio'-eikel, - eskel 'N eur gann taraijfont huel ; Al lapoused 'zo 'la Zoue. — >el me, 'Vel on dalc'riet d am c haranteAnn neTez a m z e r zo joaûz — joauz Nemed d'ar re k a anlezuZ, D a r re 'zo pelh-i a Tikrn Ha g v m t l e l 0 d a o u t k zoken. biken Taw da c'houiti-llat. mouali'bik-noz, — bemnoz N'ou k-n, siouaz ' oui hen gortoz ; Trac'het e ma n'Te>-amzer, - a - T e r r : N'enz den ouz tua c'hortoz tr ger N. QUELUEN rK\»UCTIO\ CHANSON DU PRINTEMPS Gentil merle du soir lorsque j'entends ta chanson chanter, — S'élève l'angoisse dans mon cœur ; — Comme un navire sur la mer dans ht nuit chaque nuit — Je suis, solitaire, au milieu de la tempête. Dans la lande ont reparu les fleurs, reparu, — Let bois se sont rtrêtus de neuf ; — Les pardons sont ouverts, rouverts ; — Venez donc, jeunes filles, sur votre porte. Le printemps est revenu, de bonne heure, — Deux à deux sont les oiseaux, — Les oiseaux cherchant un nid, leur nid, — Comme au pa don les jeunes gens de Breiz. La chaleur du ciel et celle) de ta petite mère, la petite mère. - Font éclore de Vœuf le petit oiseau ; — Contre les garnemeuts trop crue s, si cruels, — Petits oiseaux, que Dieu vous protège I Quand auront poussé leurs deux ailes, leurs ailes, — En chantant ils s'envoleront là haut ; — Les oiseaux sont à Dieu, comme moi-même, — Comme moi j'appartiens à men amour. Le printemps n'est pour ceux sont séparas à pourtant lunà est joyeux, joyeux, — Si ce qui aiment : Pour ceux, qui jamais, à jamais •— Et voués l autre... Cesse de siffler, gentil merle du soir, chaque soir, — Je ne suis plus, hélas I à attendre V aimé) ; — Mon printemps a été tranché, avant le temps : — Il n'y a personne qui m'attende d la maison. F ê l e C e l t i q u e . — Tous les anciens pays Eduetis de S i0ue et Loire, de la Nièvre, el de Côte d'Or s'apprêtent au mois de mai à fêter les ancêtres gaulois par la fête du Bel-Tau dite Gouël Kert chez 'es Bi itouniques. Au fei. de Beuvron, cité bâtie sur l'ancien oppidum principal des Edueus, répondront t-ur les divers sommets, d'autres feux. Les Dij o n n a i - a l l u m e i o u t leur feu au sommât du Mout Afrique. Chronique Mutualiste La Fédération Mutualiste du Travail vient, de nouveau, de s'élever contre l'ojourneme t du projet de loi sur lea assurances sociales et d'en léclamer le vote rapide. Voici l'ordre du jour qu'elle a adopté à ce s u j e t : « La Fédération Mutu .liste du Travail, couilimaiit sts déclarations antéiieures, d'accord avec l'Union des Caisses locales de maa es d Alsace Lorraine, déclare à nouveau que lu décision de la Chambre des Députés ne peut que causer une profonde déception à l'élite laborieuse du pays, insiste auprès du Gouvernement, de la Commission des Assurances Sociales el du Parlement pour que le projet de loi revienne en discussion au plus tôt, les délais nécessaires au Parlement pour l'étude et le vote de cette institution de sécu« rité et de solidarité sociales, ainsi que ceux prévus dans ledit projet pour sa promulgation, étant amplement sulfisants pour permettre d'attendre, avant son application, une pérlode iluanclôre mei leure ». La Fédération nationale de la Mutualité a, de son cOié, elle, soumis, par l'Intermédiaire > d». sou Comité exécutif, & la Commission des | Assurances Sociales et & la Chambre des Dé t putés. des amendements au projet de loi. Elle a estimé, en effet, que le texte actuel modifié, n- 6.b06 contient encore des dispositions nuisibles a u x institutions mutualistes et sans profit pour l'assurance sociale. Ce texte con tient, aussi, une disposition nouvelle, non prévue au projet primitif du gouvernement, qui rompt l'uulté de l'assurance et écart« es I principes rigoureux de l'obligation et du précompte en oe qui concerne uns catégorie de travailleurs et qui a, en outre, pour consé, quçuee, de réduire considérablement la Mutua- lité dans la plupart des départements et de la faire disparaître dans les départements ruraux. La Fédération nationale de la Mutualité s'est, en agissant ainsi, conformée à la déclaration votée, à l'unanimité, par l'Assemblée plénlère et finale du 13* Congrès national de la Mutualité, qui a eu lieu, à Lyon, en juin 1923, et dout ce journal a parlé. Joseph PELLÉ, Président de l'Union Mutualiest du Finistère (à Brest) Chronique Régionale C h e m i n s d e f e r d e P a r i s à Orl é a n s . - Avis au public.— L'heure légale devant subir u n e avance d'une heure, le 29 mars, c e l t e j o u r n é e prendra fin à ¿3 h e u r e s et celle du 30 mars c o m m e n c e ra i m m é d i a t e m e n t . Les trains qui devait circuler n o r m a l e m e n t entre 23 et 24 h e u r e s , dans la nuit de transition, subiront ainsi un retard d ' e n v r o n une heure et l e u r s correspond a n c e s ne seront pas garanties. La r a c e b o v i n e d a n s l e F i n i s t è r e . concurrence sérieuse à la pie«iioire4u « M o i à celle achetée le samedi précédsaVA-&îflnper. Dans son ensemble on volt ^jàe" l e P t n i n è r e a une importance considérable au point detrae bovin. L'Etat, la Direction des Services Agricole* les Sociétés ou Comices font des saerfltatt que la prospérité de l'élevage jastt8e.ll f ' t n M Book et contrôle laitier-beurrier. DESJACQUES P ^ p J t JEflS, (Bulletin de la S. A. decatronff " dissement de Lórient> Ce sont les RAD«MMWw «t** : L'Impôt sur les iRlftJrf* ; L'impôt sur les Bénéfices J^ttricoles; L'impôt sur les Bénéfices C s u b mereiaux. P r e m i e r c o n g r è s n a t i o n * ) d'api-» culture commerciale. Les services commerciaux de la Compagji^e du " fer de Paris à Orléans organisant s Patronage de M. le Ministre de 1' «t en collaboration avec les princi; tés apricoles françaises le Ptemiar >Cotogr«a National d'Agriculture Commercial. Ce Congrès présidé par y . Hoauoe, Directeur de l'Agriculture de l'Alsace et 4e la.Lorraine, aura lieu à Paris, Grande $able ¿ a du Musée Social, 5, rue Las Cases. S et 0 mai prochain. ' • Les Apiculteurs sont invités 2 suivra J o travaux de ce Congrès au cours duqapl Sfront traitées de très i n t é r e s s a n t e s q u e s t ' i r a l a * tives au commerces des produits d u i En outre, MM. les fabricants sont còl de participation à l'Exposition des modèles d'embullages pour miels . f ^ r ' aura lieu à l'occasion da cette i Les demandes d'inscription an Congrès avant le 25 avril à M. Poher, Ingénieur «tes S e o i c e s Commerciaux de la Compagnie P. Q . 1 Wlflm Valhubert à Paris (XIII«). — Le département du Finistère est classé parmi les plus f irts producteurs et exportateurs de bétail. Les mon'agnes Noires et d'Arrez le partagent en deux versants. Sur la Manchs, c'est la région très riche du Léon où se fait sentir le Gulf-Stream. Grâce à une humidité continuelle et tiède, la culture maraîchère la plus délicate y réussit. L'espèce chevaline est admirable. L'espèce bovine est représentée par une race pie-rouge parfois pie-aubère dite « Armoricaine» (variété léonarde). On rencontre dans les foires quelques sujets de la vieille race froment du Léon et des bovidés très forts, de croisement Durham. Cetie population bovine représente un cheptel de grande valeur et les foires du deuxième mercredi de chaque mois à Landivisiau, du troisième samedi à Landerneau, du C h a m b r e d e C o m m e r c e d e Qqlnfcdernier lundi à Lesneven sont fréquentées par p e r . — Exportation des pommes tte terre do les marchands de tous pays. primeur, (décret du 6 mar» Ï924J. On y retrouve des génisses d'élevage, des Art. 1° Est repportée en ce qui concerne veaux d'avenir, de«- vaches maigres pour l'enles pommes de terre de primeur exportées ,4* graissement el. enfin des latiiëres variées. 1er mars au 1« mai, N» 83 du tarif d'entrée, la La taille oscille euUe 1 m. 20 à 1 m. 40, pardérogation à la prohibition de sortie éditée fois 1 m. 45 le poids peut atteindre 7 à 800 p*r le décret du 12 Juillet 19IÏ. kilogs. Toutefois, des exceptions k cette disposition Le rendement laitier s'élève de 10 & 20 litres pourront être autorisées moyennant le paiede |lait. ment d'un droit de sortie de 10 Q/o ad vaioLa proportion de beurre est telle que 20 ù 23 rem et sous les conditions ci-après, qui pourlitres de lait donnent 1 kg. de beurre. ront être raodifiiées ultérieurement si besoin Un Herd Book bien tenu et un réglstre pour est, par le ministre des finances. le con rô!e laltier-beuriier donnent des indiNe seront admises à l'exportation, Jusqu'à cations pour l'achat de reproducteurs et pour nouvel avis et dans la limite d'un contingent l'exportation veru l'extérieur. qui, pour chaque région de production, no Les arrondissements de Brest et je Morlaix pourra dépasser la moyenne des exportations forment le territoire de cette zone si privilédes trois dernières années diminuée de W0&, giée pou*- la naissance, l'élevage et la vente. que les pommes de terre de primeurs accomDans le Sud Finistère, l'arrondissement de pagnées d'un certificat émanant d'un groupeChâteauliu possè le des bovidés moins étoffés, ment professionnel habilité fc cet. effet par io moins lourds que ceux du Léon. Les foires de directeur des services agricoles, du départeChâteaulln fourn ssent du bétail de boucherie ment siège du groupement. et di-s laitiè'es de . m. 20 à 1 m. 35, du r< be Le certificat contiendra la déclaration qae pie rouge On y rencoutre quelques pie noires le contingent d'exportation, fixé pour chaque très laitières beurrières. région, par le directeur des servi««« agricoles, Ca'lnix est une région spécialisée depuis sur tes bases déterminées par le paragraphe quelqu s années. On y fait l'engraissement in précédent, n'a pas été dépassé. Ce certificat ten-if non seulement des bovins du pays, mais sera revêtu de la signrture du directe« des même d'animaux des départements voisins et services agricoles, qui est chargé de contrôler aussi des sujets Durham-Manceau. par tous les moyens qu'il jugera ntlles, l'exacAux foires et marchés du samedi, on vient titude des déclarations. de très loin faire des acquisitions pour la boucherie, ou pour un engraissement à terminer Les Conseillers du Commerce Extérieur dans les régions du Nord. Jh. ALAVOINE, Em. DEUSCLUSE Le foyer de Quimper est le foyer réputé le — Le Président de la Chambre de Complus pur de la race Pie-noire de Cornouaille. merce de Quimper vient de recevoir la letti« Pout-l'Abbé, Plonéour, Plogastel, Pouidavld, suivante en réponse & un télégramme adressé Pont-Croix sont des centres de naissances et de par la Chambre de Commerce à IL Poincaré ventes. Président du Conseil : Tous les samedis a Q.iimper mais de préférence le troisième, le champ de foire est garni Monsieur Le Président, de bœufs pour la boucherie et d'engraissement o Très sensible au témoignage <Je confianca pour d'autres pays. que la Chambre de Commerce de ! Quimper a Les venux de boucherie voisinent avec les bien voulu donner au Gouvernement de la jeunes génisses d'élevage. République, le Président du Conseil me charge Tout ù côté, un lot de laitières offre des su de vous adresser, pour vous et pour les Memjets de la taille de 1 m. 10 à 1 m. 30 cent., du bres de cette Assemblée, ses meilleurs remerpoids de 300 à 500 kg. de rendement laitier de ciements. 10 à 15 litres de lait. Veuillez agréer. Monsieur le Préfldent, l'asC'est la race pie-noire qui domine dans la surance de ma considération distinguée s . Région. — La procédure des référés en mètiire ComQuelques cantons font l'engraissement des merciale. — L'ofliciel du 20 mars 1924 publie boaufs, Meigven, Fouesnant, Saint-Yvi, Elliant, la loi constituant la procédure des référés en Coray, voient accourir les bouchers et les enmatière Commet claie. graisseurs. Aux termes de cette loi qui complète l'arti* Rospordcn, le troisième jeudi de chaque eie 417 du code de procédure civile. mois, est le meilleur marché pour trouver ces « Le Président du Tribuual de Commerce bœufs de boucherie. ou le juge qui le remplace pourra être saisi L'arrondissement de Quimperlé représente par la voie du référé, dans tons Ifs cas d'urune zone riche et bien cultivée. Le littoral de gence, à la condition qu'ils rentrent dane la Coucarueau au Pouldu est fertile et donne des compétence îles tribunaux de cemmerce. vaches laitières de taille et de poids élevés. (( Les articles 807 et 811 dn code de procéScaër et Bannalec très avancés dans le produre civile sont applicables aux référés e a grès agricole, font l'ougruissement des bœufs matière commerciale. que l'on offre au marché du mercredi à BanLe Vice-Président, J h . ALAVOINE nalec. Cuisse d ' é p a r g n e do Qulmporié. — La ville de Quimgerlé possède tous les venIl est rappelé aux Déposants dont l e s dredis et dans 4 foires fixes, lu réunion de c o m p t e s atteignaient 5.000 francs a u 31 vente lu plus forte de Bretagne en vaches laid é c e m b r e dernier q u ' i l s doiv nt o b l i g a tières. toirement retirer l e s intérêts d« l ' a c n é * Il y a quelques années, la ple-nolre domi1923 avant le 1" Avril. nait, mais la prospérité de ce grand marché Les p e r s o n n e s ayant d é p o s é leur l i v r t t â du vendredi et les exigences spéciales de la clientèle ont modifié cette composition. 1 à la Caisses d ' é p a r g n e d é QQimpétlé« La variété pie rouge armoricaine que l'on va I sont en outre i n v i t é e s à l e s r e t i n t lQ chercher à Cullnc, à Gourln, & Carhais, fait une 1 plus tôt possible. ninian Tribunal Correctionnel de OHÎmperlé ' Audience du 20 mars 1994 " MM I i !!' H if'in u MU [ M I ' T I ORDRE DU JOUR : 1° Formation du Bureau et constitution de l'Assemblée ; 2- Rapport du Conseil d'Administration s u r l'Exercice 1923 ; 3- Rapport du Commissaire ; 4- Approbation des c o m p t e s d e l'Exerc i c e 1923 et fixation du dividende ; 5- Renouvellement partiel du Conseil d Administration ; 6- Nomination d e s Commissaires p o u r l'Exercice 1924 ; 7- Autorisation à d o n n e r aux A d m i n i s trateurs en v u e des m a r o h é s o u traités à passer avec la Société, par application d e l'article 40 d e la loi du 24 juillet 1867 "" Quimperlê. — Vagabondage. — Le Tribunal renvoie à une autre audience l'affaire Chatriot, ans, arrêté le matin mCme, pour vagabondage, maïs confirme le mandat d'arrêt. L e Trévoux. — Vol d'argent. — Cyrille Malcoate, de Bannalec, a profité d'une absoncp momentanée d'une de ses tantes, habitant CasUl-Névr*. pour lui soustraire un billet de 5 fratacs et quelque menue monnaie. Au moment de son arrestation, il a éxalnment déclaré avoir dérobé une somme rie 32 francs à un de ses amis, François Monphicourt, peintre, avenue de la C.are, il Bannalec. Le Tribunal le condamne à ii mois de prison et à 5 ans d'interdiction de séjour dans l'arrondissement. Scaër. — Vol d'argent. — Yves Lucas, ENAULT il M la voiture universellement appréciée Pour avoir le droit d'assister à l ' A s s e m blée générale, il faut p o s s é d e r au m o i n s oinq actions. Les Actionnaires d e v r o n t d é p o s e r leurs titres vingt j o u r s au m o i n s avant la date fixée p o u r ia réunion o u être inscrits c o m m e propriélaires d e titres n o m i n a t i f s avant c e délai. •V» ans, domestique chez M. Jean Burel, à Kersao, a dérobé à un de ses cam-srarips, Yves Salaiin, 19 ans, employé chez M. Sinquin, du mêmé village, une somme de 111 fr. qu'il a dépensée dans les débits «le SaintGuénolé. Arrêté quelques jours après. Lucas reconnut son v o l e t à l'audience s'entend condamner A A mois de prison. Il a déjà à son actif trois autres condamnations. Foires dm la Sran'n« Lundi 3f flvrier. — C'ohars-Fonesnnnt, Lnz, Lesneven, Plogastel Saint-Germain, Languldic. Mardi 1» avril 192t. — A-zano, Locronon, St-Plerre-Quîlblgnon, St-Thégonnec, Tourc'h. Rostresen. Mercredi 2. — Bannalec. Daoulas, Launllis, Le Retecq, Malguéoac, ingulnlel. Rlantcc. Jenrff 3. — ChSteaulin. La Roche-Maurice, Meapanl, Pont-Croix, Pont-L'Abbé, Locminé, Galanhel. Vendredi h. — Pouldavid, Saiut-Snuvetir, Plajafltan. Samedi 5. — Elliant, Saint-Renan, Le Faouct. 11 sera délivré au m o m e n t du d é p ô t des titres au porteur, une carte n o m i n a tive d'enlrèe à l'Assemblée générale qui servira de certificat de dépôt. Quant aux propriétaires d'actions n o minatives, il leur suffira de retirer leur carte avant la r é u n i o n Le dépôt des tilres pourra être fait : 1- A la Société Bretonne de Crédits et de Dépôts, à Brest ; 2 à l'Administration Centrale, 3, r u e Paul-Beldant, Le Mans. Le Conseil La C a i s s e d ' E p a r g n e de Q u i m p e r l ê n e fixe p a s d e délai d e p l a c e m e n t , elle r e m b o u r s e l'argent à v u e , a u s s i t ô t la d e m a n d e , ! s a n s f o r m a l i t é s ni r e t e n u e . MEMBRE DU JUM et HOBS CONCOURS LA G C E R M c e r t f n e e î radicale de 1a hernie n «uuiuomi par le port du bandage ne peut être obtenue au'en adoptant le nouvel appareil sans ressort muni de la merveilleuse N Û L N T Û ?» nr\ RVI • • A pelote à compres- ^ G L f_ t S E R_ ' l p l S sion souple de . . . . a|)eoia. <(£utaiperlé Aetm dm probité. — Vendredi dernier, sur le marché, M. Caëric, l'acteur en retraite trouvait nn portefeuille contenant une somme de 2.G00 francs, il se mit aussitôt à la recherche dn propriétaire. C'était un cultivateur d'ArMno qal octroya généreusement à notre factenr Ir somme d e . . . . trois francs. " f 1 ® , d e v P a r l 8 > 44- B' Sébastopol, (anct. n WA cet appareil, le seul reconnu officiellement par le corps Médical, assure séance tenante la contention parfaite des hernies les plus difficiles. En voici des preuves : Nous autorisent à publier leur nom : M LEBOUVIER A , rue de Vire à CondéSur N. (Calvados) hernie guérie. Mlle J. H1MBERT, chez M. MARY G. Adjudication des imprimés com- m u n a u x . — L'adjudication des i m p r i m é s oommunaux aura lieu à la Mairie, (salle ordinaire des adjudications), le vendredi 4 avril proohain à 14 heures. Pour consulter le cahier des charges s'adresser'^ la Mairie, (Bureau du s é c r é tariat). Tiens 1 l'imprimeur-libraire Le L o u é deo se décide enfin à agir l é g a l e m e n t . . . Que non pas ! ceci se passe à~Morlaix : le sooialiate Châtel n'est pas le radical Le Louédeo. Ce dernier, s'il est s o n ' c o listier, apprendra peut-être de lui q u e l q u e s éléments d'équité et d e j u s t i c e . r (i'-et-V.) hernies guéries. M. ROBERT Jean, rue de la Madeleine h La Chèze (C.-du-N.; hernie guérie. malades une preuve ï r ^ ï rr d'ailleurs par écrit, M. G L A S E R invite toutes les personne» atteintes de hernies, efforts, descentes, & lui rendre visite dans ies villes suivantes où ii fera gratuitement l'essai de ses appareils. Allez donc tous de 8 h. à 4 h. à • L o n e n t , G Avril, Botel de Bretagne'. Quimperlê, 7 Avril, Hôtel du Lion d'Or et Voyageurs donner aux e4C0V=8ultat'garaDti Smrriom pharmaceutique. — Demain, dimanche, le service pharmaceutique sera assuré par la Pharmacie LE NAOUR, place Cainot. i » M ( a t i M . — Surpris, le 23 mars, place Nationale, en flagrant! délit de meudieitf, de vagabondage, et défaut, de carnet anthoropoinetique. Le Bail Pierre. 74 ans, natif de Lignol (Morbihan), sans résidence ni domicile tUe, a été mis en état d'arrestation et conduit & la maison d'arrêt de Quimperlê. Tréméven r*gm. — C'est par erreur quo 1 Union Agricole a parlé d'une v a c h e enragée à L o g - l v y . L'animal a été reconnu sain par le vétérinaire M Lancien et dès mardi 1 Ouest-Elair remettait les c h o s e s au point. Frimm• à U natalité. Ont réçu la p r i m e en février, MMmes t o n , de L o g l v y et Penquerc'h du Quélennec. Félicitations. ft. «C. Scj&e N» 1R9.289 Agent Général : Jérôme TRÉGUIER, Quimperlê (Téléphone 37) Le Trévoux Abandon d'attelage. — Ayant eu soii le 24 mars, à 18 heuges, Vincent, journalier chez Yves au bourg, fut se dé saltérer au débit de Pont-Claon, mai3 avait o m i s d'attacher l'attelage dout il était oonducteur, Ivresse. — Alain, 40 ans, domestique à la Croix rie L o c - Y v i , le 23 mars, & 22 h. 30, fut rencontré par les gendarmes près de la L î n d e des Châtaigniers, meo d'une telle fnçon qu'il ue pouvait se guider seul. P r o c è s - v e r b a l . Mellac Arrestation. — Le 22 mars, a midi quinze, les gendarmes ont mis eu état d'arrestation, Vigouroux A d o l p h e , 39 ans s. p. ni domicile lixée, originaire de l'iougastelDaoulas, pour vagabondage et défaut de carnet anthropométrique. L négociant en bois à Gourin, p o u r e n c o m b r e m e n t de la route au lieu dit i PontNeuf. RIVALINBOURC'HIS ' AUX TRAVAILLEURS " 18, Rue Savary, 18 Vous trouverez pour l'Eté — Le 16 cou- Les capitaux placés à la Caisse d'Epargne de Quimperlê ne subissent pas la fluctuation des cours. En aucun cas, ils ne peuvent diminuer Moëlun Arrestation. — Le 19 mars, les gendarmes ont mis en état d'arrestation, en vertu d'une oontrainte par oorps. Le Nabeo Alexandre, marin b ô o h e u r à Keranmoulin redevable il l'Etat de 70 fr. 85. Mais au lieu de venir passer 20 j o u r s i l'hûLel de la rue Brémond d'Ars, il a t r o u vé prudent de s'acquiter de sa dette à été relâché. CABINET Les plus jolis TISSUS fantaisies de la Saison très Arzano de terre. grand Assortiment de Tissus classiques Tous les Tissus, Soieries, Velours employés pour Je COSTUME BRETON pour Dames A. D E M A R T H E Docteur en Chirurgie Dentaire U. S.A. Dentiste de l'Hôpital Civil • 4, rue Thlers - QUIMi'ERLÉ Soins de Bouche et Pose de Denis en Ions genres OR et PLATINE EXTRACTIONS Un Choix considérable SANS DOULEUR Instalation et Thârapautiq: e modornss de COSTUMES faits d'avance pour Hommes, Jeunes Gens, Enfants C'* des Chemins de fer départementaux du Finistère Société Anonyme au capital de 22 .000 . 00 tr. •m" Pfrmes & Duvets - Layettes - La Maison se charge de la Confection des B A M A N D MARIE qui donne au cidre labelle couleur «É0A1LLE0 ÛR ^PLOYEZ LA MIXTURE TXPOSITION A M A N D ' MARIE si lecidrc s'cngmis s e filc.setue ou durcît INTERNATIONALE ^ RÉSULTATS . MERVEILLEUX DJEfATllAfi Diplômé do l'E. D. F. de Paris __ L I T E R I E St P Jt C T e ™? nt t o u s organes TRAITE de la s u r demande à M. GLASER, a i T «4, Bd Sébastopol PARIS. Baniialee JEn défaut. — Henri, 20 ans, de Kerglenden, le 24 mars n'avait pas de plaque d'identité ni d'appareil avertisseur, à sa bicyclette. nm Un Vol do pommes £ ° n . t ; 1 ' £ b b é ' Î e u d i 1 0 , H ô t e l d e s voyageurs. B r e « , Dimanche 13 et 14, Bôtel Continental. Qulmper, 15 Avril, Botel l'Epie. NOUVELLE CEINTURE VENTRIERE pour rant. M- Jean Daniel, propriétaire à Nivinen, constatait la disparition de 500 kilogs de p o m m e s de terre saucisses dont uue partie de petites pour la s e m e n c e et l'autre partie pour la c o n s o m m a t i o n Ces p o m m e s de terro se troui vaient dans 1« grenier d'une étable située à | environ 30 mètres Je la maison d'Habitation. Gutliisomarc'h I îvi. Daniel qui estime son prejudice à 400 fr. et ne sachant sur qui porter ses s o u p ç o n s a Embarras de la voie publique. — porté plainte à la g e n d a r m e r i e qui a o u v e r t Procès-verbal a et-ê dressé le 24 mars à une enquête. Aux Magasins j'i d'Administration. Toilettes de Baptême CO8TUIWE8 BRETONS pour Dames AVIS AUX ACTIONNAIRES MM. les Actionnaires sont c o n v o q u é s en Assemblée générale ordinaire, le lundi S mai 1924 h dix heures, au siege social, Gare .des Chemins de fer départementaux, à Brest. CULTIVATEURS Employai la l'oudre et la Mixture Amand M A R I E en îaêraa temps, au moment, du Brassage. V o t r e aJra sera excellent toute l'année et pourra trfes bita M conservai' les onnéea «uivmitea. RlflRFS ,lostillôs ^ la consoinrnâtîënT trfts vite l'ermenU I U I I L U tant avec le Ferment A.MANH MAH1E n- 1. — 8 fr. dose pour 1.000 il 1 .$00 litres. f.IDRFX 1 " e n « uiuiiLJO s e r o t distiller lu plus tôt possible très vite fermenté» avec le Ferma n s AMAND MARIE n- 2 . - 8 fr. dose pour 1.000 1 J.800 ltres. NETTOYEZ "* v o s tonnoaui, Barriques, Futailles avec le Stérilisant A M A N D M A R I E . — Tous les mauvais fieime» ueront d6> trults — L e Flaçon pour J.000 h 1.Ï00 litres 10 fr — e 1/2 flaçon, 6 fr. EAU-DE-VIF. "" Colorée Bonlflée ot Mollleuro avec Us BONIFICATKUH A M A N D MARIB. - C Ci-, dose pour 20 litres, BEURRE Le Colorant ponr Beurre A M A N D A. \RDS est U nlufl apprécié. - Achetai-Ie. - 4 fr. le granu 'Jaçon. RéNuitHts Immédiats et in» jlUIbles Nombreuses références En ventn : Laboratoire AMAND MARIB, i VIRE (Calvados), et dan-? les PharmaolM QUIBOURQ, HABRIAL et LE NAOUR. à OUI PERLE ; ILIOU. à SCAE't et L.ES8ARO à HANNALBH. Rçq du Oom. TfH), dQ vire, N< 30 Supplément del'tintovi Agrìcole et Maritime du 29 Mars 19&4 +erM.mm¥mx.4muKmamlimmm m i i» m i t r ^ j m » S \ x i t o e i e le». de l a loi d u :)0 j u i n 1923 q u i e x o n è r e de l ' I m p ô t s u r les bénéfices i n d u s t r i e l s e t c o m m e r c i a u x p o u r les s o u m r r . e t t r e a l ' i m p ô t s u r l e s t r a i t e m e n t s e t s a l a i r e s les p é c h e u r s se l i v r a n t p e r s o n n e l l e m e n t ù la p è c h e d e s p o i s s o n s c r u s t a c é s e t a u t r e s c o q u i l l a g e s et a u t r e s p r o d u i t s de m e r ou d'eau d o u c e , il a été p r e s c r i t a u service d e s C o n t r i b u t i o n s d i r e c t e s d ' a c c o r d e r d'office aux p ê c h e u r s a p p e l é s à b é n é f i c i e r d u n o u v e a u régim e u n d é g r è v e m e n t c o r r e s p o n d a n t & la différ e n c e e n t r e les d r o i t s a u x q u e l s Ils n u r a i e n t p u ê t r e [ p r é c é d e m m e n t s o u m i s a u t i t r e de l ' i m pôt s u r les bénéfices i n d u s t r i e l s et c o m m e r c i a u x e t c e u x d ' o n t Us u u r a i e n t été r e d e v a b l e a u t i l r e de l ' i m p ô t s u r Jes t r a i t e m e n t s e t s a l a i r e s . Ces contribuables e u cause n e peuvent m a n q u e r d è s l o r s de bénéficier de l a d i s p o s i t i o n c i - d e s s u s visée. Ces m ê m e s p é c h e u r s p e u v e n t o b t e n i r la r e s t i t u t i o n de l ' i m p ô t s u r le c h i f f r e d ' a f faires qu'il« a u r a i e n t i n d û m e n t a c q u i t t é s u r une demaude adressée a u Directeur départem e n t a l de l ' A d m i n i s t r a t i o n d o n t ils r e l e v a i e n t p o u r le p a y e m e n t de cette taxe » ( J o u r n a l o/Jictd). Ï Â ô c r i o n s i l © Conseil supérieur d u travail. — Cette urinée, auru li«u le renouvellement des membres du Conseil supérieur du En oe qui concerne les syndicats ouvriers les listes provisoires des syndicats adm i s dans le département h prendre part à l'élection de leurs représentants sout déposées à la préfecture et dans souspréi'eoture. X X X X X X X X X ^ X X X X X X y x 2WV. mm IJ^m^'y^^Ê J îî^aÉ J , "I ^UMU*. — L e s p e r s o n n a l i t é s r a d i c a l e s ot r a d l o a l e s socnilislett d u d é p a r t e m e n t , m u n i e s d ' u n laisserp a s s e r , l e u r d o n n a n t d r o i t ft l a g r a t u i t é d u v o y a g e e t d u ropas (</ui paye se s o n t r é u n i s , D i m a n c h e , il la n o u v e l l e m a i r i e d e C h â t e a u l i n , s o u s la p r é s i d e n c e d e M. A n d r é B é n a o . Deux t e n d a n c e s s e t r o u v a i e n t »>n présence* l ' u n e r e p r é s e n t é e p a r MM. L e Bail, d é p u t é , C l o a r e c e t Y v e s Lefébvr. 1 , partis-ans r é s o l u s do l'alliance a v e c 1«'S socialistes. L ' a u t r e t e n dance s e r e f u s a n t à Iouto compromission a v e c les r é v o l u t i o n n a i r e s , a v a i t p o u r d é f e n s e u r s MM. B o u i l l o u x - L a t t o n t , l ' A m i r a l G u é p r a t l o . dt pu tés ; Le G o r g e u l t e t F é v r i e r , c o n selliera g é n é r a u x . un B I J O U une M O N T R E Choix e t les P r i x J e l a imäSlPilO t £ f f i e r \ D Ú vil C o m m e il était à p r é v o i r , l e s é l é m e n t s ext r é m i s i e s d u parti radical-socialist'is t r i o m p h è r e n t . P a r 157 voix c o n t r e 83 lo c o n g r è s décida d'entamer d e s pourparlers avec les socialiâles e n v u e d o la c o n s t i u t i o n d ' u n e liste d u bloc d e s g a u c h e s . Les i a . l i c a u x - s o o u l i s U s r é c l a m e n t 7 s i è g e s s u r la liste q u i doit c o m p t e r i l c a n d i d a t s . U n e c o m m i s s i o n do 20 m e m b r e s , p r é s i d é e p a r M. Lancie.n, s é n a t e u r , e>t c h a r g é e d e s a r r a n g e m e n t s p r é a l a b l e s a v e c MM G o u d a e t Masson. M. B o u i l i o u x - L a f o n t qui était d ' a b o r d o p p o s é au c a r t e l s ' e s t incliné. V i v e m e n t b l i m é p a r le parti J o n n a r t d o n t il é t a i t le d é l o g u é d a n s le Finistère, il a d é m i s s i o n n é d e ce p a r t i . Cette décision p o u r r a i t s u r p r e n d r e d e la part d ' u n h o n r n e q u i , e n 1919, p r o t e s t a i t v e b é m e n t o m e n t contre toute compromission avec les socialistes, si d e p u i s q u e l q u e t e m p s s e s v o t e s c o n t r e B o i n c a r é n ' i n d i q u a i e n t la r é s o l u tiou de s ' a t t a c h e r p l u s à s o n s i è g e qu'il la probité politique. L ' a v e n i r d i r a s'il a bien j u g é . L'amiral Guépratte a carrément refusé u n e telle félonie. D e m a i n d i m a n c h e , à B r e s t , l e s socios f e r o n t s a v o i r sMs s o n t c o n t e n t s ou n o n . 0, R u e d e s E c o l e s , 6 Q T J I M P E R L B Montres-Chronomètres de Précision LU» — LOXGIXES OMÉGA - UMC ¡POI» — ZÉNITH RÉVEILS : 15 Fr. Carillons Wesminstor : 350 Fr. BIJOUTERIE IFitac — O r i a / t — ramimi» Caves de Bordeaux & du Roussillon A l'occasion Maison A. C O U R S E T de Propriétaire-Viticulteur la à FONCOUVERTE M u r â t (Aude) Entrepôts 42, 44, rue Duguay-Trouin, Lorient Foire de Pâques Chais les plus vastes et les mieux 16 MAISON8 SEUL GRANDE VENTE RECLAME DÉPOSITAIRE agencés de la Région DE V E N T E POUR QUIMPERLÉ HH V ES 6, rue Savary, 6 ("Vins, Spirit-u-e-u-x, L'abondance d e s matières nous o b l i g e à r e m e t t r e a u prochain num é r o 1k s u i t e d e n o t r e C h r o n i q u e é l e c t o r a l e e t d e n o s a r t i c l e s intit u l é s ÇXJJEI.Ç UX.8 P O I N T S . Le C o n g r è s r a d i c a l d e C h â t e a u l i n . v o y e : le B e a u nwii à, e m p o r t e r ) du Vendredi 4 au Vendredi 11 A v r i l Livraison DU 1" au 5 AVRIL inclus, à tout acheteur de 20 francs de Marchandises, il sera offert, à titre gracieux, un Litre de CLOS SAIWT-REGIS. chez à Domicile CH, C O B B l í H R E mum QUIMPERLÉ mm COSTUMES Htat-Clvil. — Sa'mances. — Jo-iepti J e a n F r a n ç o i s Lo Ploch, à l'Hospice. — J « a o ? a u l T r o j a d é r o , 33, r u i du GouAdic. Mariage. — Map. el Qniltot, p l o m b i e r , à P o n teriiiy a u x R o s e s e t J o s é p h i n e - M a r g u e r i t e M a r i " A n n a G u à m a r , 3, r u e A- l'Hôpital. Décès — A l p l i o n s i n " Ev'm. 15 a i n , à l ' H u pice. — L o u i ' - C o r e n t i n Lm '^or»"«, 82 ao<<, cult i v a t e u r à ' ' H o s o i c - . — Ma"ie Bol^at, 91 a n ^ , s a n s p r o f e - s i ,n, c ^ l i b i t a i r e il l'Hospice. — Joseph R'jné-Gnéao!é J 'gon, 34ans, m a n œ u v r e , é p o u x d e A n n ^ - M a n e Barzic, r u e d u C o u é d i c . — T r a n s c r i p t i o n d u d â c è s d e Marie A n n e Digourt z, décédé', à l'Hospice do Q ' i i m p e r . Maison de Confiance fondée en 1992 Horlogerie Bijouterie i íANDOBERT HORLOGER POUR DIPLOMÉ L A U R É A T DU J U R Y HOMME8 ^ AU s â L O N MODERNE I 9, Rue de la Mairie, QUIMPERLÉ % D'ETAT QUIMPERLÉ I ir ARTICLES I CO\FECTIOX\ÉS SALON 1 S POUR SERVICE HOMMES ANTISEPTIQUE | I ETC... E. Berthelot Ne LE P L U S I R T M M T R I I A M COIFFEUR-PARFUMEUR m^ia//jzii/jTjuTi/i////ai///mmamiafiriiia/i/MJU/uira/il//n rien | acheter avant d'avoir I E MEILLEUR Salon Spécial pour Dames jf Dépositaire des marques SCIIAMPOIM, ONDULATIONS, TlliïïDRES LIP MARCHÉ de Principales montres UNIC OMÉGA vu Miel surfin — Cire XXXXXXXXX4XXXXXXXXX nos prix A s s i s e s d u F i n i s t è r e . — Voici la liste RIEC-SUR-BÉLON Quimperlé A. propos do la réunion £ e JLouédecG-oxido- Qal&ioa. — It p a r a î t q u e n o u s a u lions considéré l intervention J ' O llirthou, s a i l e Gallio, c o m m e u n t r i o m p h e <« sillonnistc », et l à - d e s e u s l'Echo de s e voiler la face »le v a u t n o t i o p r é t e n t i o n . Or, c e t t e p r é t e n t i o n la l ' a u t e u r d a n o t r e c o m p t e - r e n d u ne l ' e u t j a m a i s . Que d i t e u r é s u m é c e c o m p t e - r e n d u '.' Que Uerthou ost a r r i v é c o m m e le c i t o y e n Goii,le a c h e v a i t son r é q u i s i t o i r e c o n t r e 1e liloc N u t i o iu-.l. B . u l h o u , a y a n t d e m a n d é la parole, Ut à s o n t o u r 1e p r o c è s d u Bloc d e s G a u c h e s , i n t e r r o m p u p a r M. Lo L o u é d e c , l e q u e l n o laissa p a s é c h a p p e r l'occasion de p l a c e r s o n potil leitm o t i v : « Il y a 20 a n s , vos amis... etc., e t c . , A l'aide d u Quotidien, ce qui n o f u t p a s s a n s c o n t r a r i e r M. CollVant ot l'ancien d i a n t r e d o S'.-Corontin, .son a c o l y t e , Unrlliou, m o n t r a q u e lo Seuù.t r a d i c a l s e u l s ' o p u o s a i t à l a r é v i s i o n d e s m a r c h é s d o g u e r r e . Cola d é p l u t a Goudo qui û é c h iîna le c h a h u t ut le c h a h u t s ' a p p e l l e en s t y l e CtlIYaul u n o « mise en boite ». u ' e x p r e s s i o n , p o u r u n e fois e s t j u s t e . I m a g i m z vous u n auditoire u'avouglus louédécistes, considérablement chauffés, mené p a r u n o p o i g n é e d e p é d a g o g u e s , d o n t le s i e u r ciuig u e n , p o u r n e p a s le n o m m e r , sifflant l e s cluq d o i g i s d a n s l a b o u c h e , c o m m e les d e r n i e r s d e s e s g a m i n s . . « Cola n ' e m p ê c h a p a s Uerthou, d e placer quelques bonnes vérités ot la m i s e on tioîto, f u t , d o l ' a v e u d o M. Go ti r a n t « pénible ». Jurés $up)>téants. — Yan A l b e r t , chef d e divisiou a l a P r é f e c t u r e d u F i n i s t è r e ; P i o r i o t J e a n - L o u i s , l o u e u r d.>, v o i t u r e s à Q u i m p e r ; B u r e l l e r Cor n t i n , épicier à Q u i m p e r ; Hioiay C h a r l e « , e m p l o y é à l'Asile d e Q u i m p e r . M. C o f f r a n t n g r o t t e q u e n o u s a y i o n s c r u d e voir n o u s a b s t e n i r . .Nous a v o n s s u r ley r é u nions p r é l e u d u m a a i contradlotolroa, notre f a ç o n do voir. T e l l e s q u ' o n les o r g a m s o , à la m o d e de H r t s l , ull^s n e s o n t q u e d e s a t l r a p o c i g a u i, o ù il uu s ' é c h a n g e g u è r e q u e d e s i n j u r e s per.-.otmulies, e t l a c o u l r a iiction n ' y e s t q u e do. l ' o b s t r u c t i o n . L e s p a r o l e s , d ' a l l Sours, s ' e n v o l e n t ot l e s é c r i t s r e s t e n t . A p r è s d<; ôu a n s , j'ai asaist.s a pas m a l d e r é u n i o n s p u b l i q u e s , et j ' y ai j o u é m o u i û , . j . . . J j n ' a i j a m a i s vu (|u'u on soit sorti g u è r e a u t r e c h o s e quo du d é t o r d r e . . . A m o u ûgo, m i e u x v a u t « assister de son lit » c o m m e dit M. C o f f r a n t . D a n s lo ¡soaiiûoil ta p l u m e s ' a i g u i s e , e t il n ' e s t pas p o u r l a m i e n n e , d e j o i e c o m p a r a b l e , a celle do p r a t i q u e r , u u m a t i n , q u o i q u e b o n n e p o n c t i o n d a n s le ballon g o n f l é d e l a Défense laïque. E l p u i s q u e n o u s voici s u r lo c h a p i t r e d o s r é u n i o n s p u b l i q u e s , qui! d i r o n t l e s é l e c t e u r s d ' u n L o u e d o c , do le voir p r ê t e r l ' a u t o r i t é d e s o n n o m , a u x t h é o r i e s du n i v e l l e m e n t social préconisé p a r s e s hôtoa ? C o m m e n t , c'est lo rnOmo L o u é d e c , a m i du c e r t a i n s g r o s a g r i c u l teurs, bourgeois, proprietairo e t rentier, q u i m e t :a m a i n d a n s la main d ' h o m m e s d o n t le rOVf. i i i d ' é g a l i s e r les f o r t u n o s et do socialiser la Nalion ? Si la place dii q u e l q u ' u n n ' e s t p a s d a n s UiV.i telle i \ u n i o n pubJi | u e , a v e c d e tels a l ! , f s , c'eut bleu celle do M. L j Louedrie. Mais quolles h o n t e s n e holraii-il p a s p o u r ê t r e d é p u t é , ¡.oui* p o u v o i r d i r e : « Je suis candidat »? L'argent placé à la Caisse d'Epargne de Quimperlé est exempt de tous impôts. C o n t r i b u t i o n s I n d i r e c t e s . — Suivant décision d u D i r e c t e u r général tics C o n t r i b u tions I n d i r e c t e s e n dato d u 19 f é v r i e r 192'», le concours p o u r l ' a d m i s s i o n au S u m u m é r a r l a t de cette A d m i n i s t r a t i o n , q u i d e v a i t a v o i r lieu le 10 avril 1924, e s t r e p o r t e à u n e d a t e u l t é - rieure. D R A P E R I E S @> « m © f t HAUÏÏS nouveautés A . Tailleur pour Ville & Campagne Q U I M P E R L É (Maison Le Hoch) Toute personne soudeuse de ses intérêts piace son argent à la Caisse d'Epargni» de Quimperlé. Le chiffre d'aH'alres e t les patrons p O c i i e u r ^ . — fin r é p o n s e il u n e question de s a v o i r si Je?t s o m m ^ p a v é e s [ r . r c e r t a i n s m a r i n s p ê c h e u r s sur le b é n é f i c e de l e u r p è c h e s A V I S . — L« m a i r e d e Q u i m p e r l é i n v i t e ne d e v r a i e n t p n leur être r e n b o u r s é e s , la loi les a j o u r n é s des c l a s s r s 1922, 1923 et 1924 à s e de 1917 a y a n t été a b r o g é e et les m a r i n s p é c h e u r s p r é s e n t e r d ' u r g e n c e à la m a i r i e p o u r se fairo qui n'avaleat pas rfylé cettetaxeu'ayantpas été Inscrire, ù l'effet d'ôtra vUltés avec l e s J e u n e s I n q u i é t é s , l e Mi i s t i e >epon.l : '« P a r uppiicutlon liens de lu classe 1925, c o n f o r m é m e n t ft lu c i r d e s disposition!» d» l'article l u , p a r a g r a p h e 7 c u l a i r e m i n i s t é r i e l l e d ^ 7 l é v r i e r 192{, i ÉLEOTRIQUE Nouveautés en Peignes & Parfumerie RÜGHER OE KERLAOUEN ries J u r é s p o u r la s e s s i o n q u i s ' o u v r i r a il Q u i m p e r , lo l u n d i 28 a v r i l 1924 : Jurés titulaires. — MM. K e r g o u r l a y Michel, consoUiur g é n é r a l à K d l a n t ; Gallo L é o n , quincaillier a Moëlan ; Dantoc Jean-François, c u l t i v a t e u r à S a i n t - M é e n ; Lo T o l l e c Y v e s , c u l t i v a t e u r à K o u e s c a n t ; Bizien P i e r r e M a rio, r e t r a i t é fi S a i u t - P i e r r e - Q u i l b i g a o u : L e Oerten J e a u - L o u i s , c o m m e r ç a n t i\ G o m b r i t ; Y o u i c o u J e a n , c u l t i v a t e u r à P o u l d a v i d ; Goud r o n J o s e p h , é b é n i s t e à Guillers ; Michel L o u i s - J o s e p h , c u l t i v a t e u r à l t é d é n j ; Ollivler Yves-Joseph, mécanicien à Scaér ; l e t t o n C h r i s t o p h e , r e t r a i t é à. S a i n t - B e n a n ; Le M c n n Y v e s , r e t r a i t é il P l o u j e a n ; P e r e n n o u J e a n Louis, cultivateur à Guongat ; Blanchard X a v i e r , r e t r a i t é a B r e s t ; G u é d o n Joan-Lccji.-', c u l t i v a t e u r à. L a m b é z e l l c c ; L e Ciéach . U a r L o u i s , c aissior ù B r e s t ; h i î r b r a t J p a o - M a r i e , marbrier G o m m a n a ; B o n d u e l l o G a s t o n , industriel a Concarneau ; Qucïanec Jean, cultiv a t e u r a G u i d a i t : l ' o i i d a v e u Michel, c.iltivat o u r à Millzac ; Korloch Yves-Mario, m a r i n p é c h e u r £i P e u m a r c h ; Ini/.an L a u r e n t , c u l t i v a t e u r h P l o u n é v e z - L o c h r i s t ; G roi i ton F e r nand, ingénieur a Ouessant ; Le Fraper Joseph, négociant à Lambez'jllco ; Courtes Vincent, cultivateur à Arzano ; Finquin Jean, c u l t i v a t e u r à Moilac; A m i o v A ' b e r t , r e p r é s e n tant d e c o m m e r c e a Brest ; Morvaa Jean, cultivateur à Saint Ségal ; Ilatet J e a n - F r a n çois, c u l t i v a t e u r à L o g o n n a - Q u l m e r c h ; Guill e r m François, retraité à Mespaul ; SaintJ a l m e s F r a n ç o i s , c o m m e r ç a n t fi L a o n ó a n o u ; L e G u e r c h J o s e p h , c o m m e r ç a i ' t h Hoscolt'; S t é p h a n P i e r r e , g r e f f i e r de paix il S l - P o l - d e L é o n ; G u i n g a n t F r a n ç o i s - M a i in, r e t r a i t é il Berrien ; Lo F u r Jean, vétérinaire a B r e s t ; C o s q u e r J e a n - M a r i o , c o m m e r ç a n t ?t C l é d e r . SÉCHOIR Réparations soignées & garanties | »lîîîHîîîîîmTTîrfffmïmwTtTîmîîimîmm?* Locunolé Nouvel hôtel d e a Postes. — Lo s 23u doigt, il leur montre la porte I r a n s f o r t d-í la oost - es». Ilx> a u d i m a n c h e 30 1 o a rogles d e l a plus et lear rnppollt> m a r s . C est d o n c ù. la m Brérnoacl l ' A n q u e elemoataire pclitosse... Voilà le g e s t e le public d e v r a dé-o™m*is s ' a l r « s s n r . prêti"! à M. P e z e n n e c , par M. G o f f r a n t . Ce Reste .\\V\V\\\\\\\\\\\\V\\\\\\\\\V\\WXWXV% a en eff l b e a u c o u p d ' é l é g a n c e . Malh» u eusem e n t ce n V s t p a s t o u t - i - f a i t cela. N o u s s o m m e s sorti», d e la salle, a p r è s q u e M. P e z e n n e c e u t été e m p o r t é , p a - les b r a s r o b u s t e s d ' u u f a c t e u r . N o u s s o m m e s s o r t i s , p a r c e q u e MM. G o u d e e l G<'ï<\ a o r é s a v o i r a c c o r d é la p a r o l e à Chlriir^l^n Uentlste Bt-rlhoii, ie mirent en boite, selon l ' e x p r e s s i o n de. la Faculté de Médecine de Paris de M. Cofl'rant en e n t r a î n a n t a u - d e h o r s , la p o i g n é e d e g a r ç o n s de f e r m e e n r é g i m e n t é s p a r 31, ruo Savsry -:• QUIMPERLÉ un j e u n e pedagoguo. Lc.prétexteétait de prendre les n o m s pour l a formation d u comité Conjurations toti^ l e s jours à QUIMsocialiste. PERLE, sauf le MGRCKEDi à BANNALEC. Hertliou a v a i t d ' a i l l e u r s , a v a n t l ' a r r i v é e t a r d i v e d e s c i t o y e n s , expo-'é la d o c t r i n e d é m o •^vxxxx%xxxx\xxvvvvvxxx>xxvvvvvvvvvvvvv« c r a t i q u e , c o m m e a u KHecq, d i m a n c h e , N a r J P S t o s p o r t i v e . — A l'occasion d e l ' o u don, Quiniou e t Bourgot, d e v a n c è r e n t Bataverture de sa saison d'athlétisme, l'U. S. Q u i i n nani, r o t a r u - j p a r u n o p a n n é d ' a u t o . L e s Citoperloise a mi3 sur pied le programme ci desy e n s a y a n t loue l a salle, il é t a i t j u s t e q u o s o u s pour sa fêle d u 13 avril prochain. n o t r e a m i s ' i n i e r r o m p î t . . . m a i s il e.ut été p l u s C o u r t s : 80 m . p l a i s , 400 m . p l a t s , 1.500 m . j u s t e e u c o r e / i u o les C ' t o y e n s e n t e n d i s s e n t s a p l a t s , 110 m . h a i e s , 300 m . p u p i l l e s , 600 m . p u réplique. p i l l e s . C o u ' s e s gaies. Q u a n t a u rôle d e M . P é z e n n e c d a n s c e t t e L a n c e m e n t s d u p o i d s , d u d i s q u e et d u j a v e l o t . histoire, ii e s t assez c o m i q u e , p o u r q u il| ne G r a n d m a t c h de foot-ball. s ' e n v a n t e g u è r e . A q u i f e r a - t on c r o i r e q u e , A la mi t e m p s d u m a t c h d e f o o t - b a l l sera d a n s le g r o u p e d o s p r e m i e r s a r r i v a n t s , c e c o u r n u u c r o s s c o u n t r y de 3 à 4 k i l o m è t r e s . Le b o u c h e r - r e s t a u r a t e u r n ' a i t r e c o n n u s o n ami p s r c o u r s s e r a t r a c é d e f a ç o n q u e les specta Le B e r r e e t M - F o u r n i s , à q u i , il e u t s a n s d o u t e teurs puissent suivre toute la course d u t e r à f a i r e . . .E*t-ce la p r e m i è r o fois q u e ie Cir a i n de P a r c R h u . toyen-bistro nous r e n c o n t r a i t 'i U s e r a i t - i l Cette f ê t e n ' a u r a c e r t e s p a s l ' e n v e r g u r e d e l'assurer ? celle q u i s e r a o r g a n i s é le 5 j u i l l e t p a r l'U. S. Q. N'avait-il p a s p l u t ô t la b e r l u e ? P e u t être, e t et a u c o u r s de l a q u e l l e le C h a l l e n g e d e l'Isole s a voix p l u s c o u v e r t e <(U" j a m a i s , l e d o n n e s e r a r e m i s e n c o m p é t i t i o n p o u r la 4- foi». N o u s r a i i\ croire-, etalt-ii p o u d r a n t ? L e v r a i e s t s o m m e s n é a n m o i n s p e r s u a d é s q u ' a v e c l e p r o q u il se r f n ' l i t c o m p t e , d o f a ç o n s u f f i s a n t e , g r a m m e ci d e s s u s e t la q u a l i t é d - s a t h l è t e s q u e s a sa lo é t a n t louée p o u r u a o r é u n i o n p u q u i p a r t i c i p e r o n t a u x d i f l é r e u t e s é p r e u v e s , elle b l i q u e et c o n t r a d i c t o i r e , <vmx qui y v e n a i e n t o b t i e n d r a le s u c c è s q u ' e l l e m é r i t e . é i a i o c t q u a l i f i é s p o u r c > n n-mee". C e t h ô t e é t r a n g e ne t a r d a p is d'ai'l u^s a y p o r t e r le t r o u v e , i n t e r r o m p a n t i tout bbut d e c h a m p , s a n s « s ^ a y e r d e c o m p r e n d r e . Il s e r e t r o u v a d a n s s">n é i é m - n t . l o ^ [ne Lo Goïo l ' e u t s a l u é d ' u n « Bonjour Citoyen I •> do l a p ' u s p u r e t r a MODES dition révo'utioniiHire. L é c o u t a le p r ô n e d o Le Goïc e t !e s e r m o n te Goudo, s a n s b r o n c h e r mais, ce p r ê c h e t e r m i n é « son feu devint plus ardent » poétis? l ' E c h o ». ONT L'HONNEUR DE P R É V E N I R La p r é s e n o o d e s b r e s t o i s l ' a u t o r i s a i t m a i n t e n a n t î>;no plus f e i n d r e d e m é c o n n a î t r e celui q u i LEUR NOMBREUSE CLfUNTÈl.E « tant de fois lui fit les honneurs de sa feuille n e t d e sa » sacrée plume >• et las lui f e r a e n c o r e QUE, REVENANT DE P A R I S , s'il plait à Dieu ! M P e z e n n e c , était e n pleine ELLES EXPOSERONT é b u l l i t i o n , q u a n d m u é e n colis postal, il f u t e n v o y é s e « distanner d dans s o n cabaret, ainsi q u o n o u s lo d i s i o n s a u d é b u t . T e l s s o n t les f a i t s n'en d é p l a i s e h Camille I L. 8 Alexandre CUZIAT Mesdemoiselles JONGQJHT 31, Roc Savary, QUIMPERLÉ LES DERNIÈRES NOUVEAUTÉS PARUES Portefeuille égaro. — M. D a n i é l o U forain et marchand do brioohes, avait enregistré sa balladeuse, en gare de Md6lan le dimanche 23 mars, fi 15 h. 15. Pendant l'opération, il déposa son portefeuille sur lo rebord du guiohpt, puis le train arrivant, il montaori voiture, oub'iunt 10 précieux reoueil. Ce n'est qu'uue fois en marche, qu'il s'aperçut de son oubli D a Qnimpwle, il télégraphia à Moëlan, p'y rendi< môme A béoane, mais de porte feuille pus de nouvelles. A r r e s i a t i o a — Rencontré le 25 mars 11 17 h. 30, rue dollars, Chartriot René, 41 ans . sans profession, ni domicile ilxe, natif de Paris, en état de vagabondage et défaut de carnet aijthropométrique, a été mis en arrestation et conduit il la maison d'ufijût FAITES-VOUS HABILLER CHEZ E. L E (ìlJENNOU TAILLEUR 2, plano d u s Capuolns QUIMPERLÉ BllNSi ARMES & MUNITIONS £ ailleurs tlLSiuL' ^MiidlUîJ SaiiU-'J'ÎMsri.n Coaforoaco. - - Uiriianolie prochain CHASSE I Querrlen ho compagnon d'armes de M . Cathrim. — « Pour Querrien et pour SaintThurien laissons la parole à notre corresponà M. Le Berrt dant local, qui n'en déplaise le même que celui de l'Eclair. n'est point L'Eclair a dit la vérité, et nous aussi. Voilà chose, il reste pourquoi nous disons la même donc à déduire, ô Union I que c'est vous que avez menti et voilà tout. • (Echo d u 21 mars). Ainsi l'Echo v e u t n o u s faire c r o i r e à la dualité de la c o r r e s p o n d a n c e d e n o s confrères 6 Q u e r r i e n . Il t r o u v e q u e la ressemblance d e s d e u x t e x t e s est u n cas f o r t u i t , u n e c o ï n c i d e n c e ! Là d e s s u s , M. C o f f r a n t p a t a u g e a n t dans n n a de ces p h r a s e s d o n t i l e s t c o u t u m l e r , n o u s p a r l e de courtoisie, de droit absolu, des relations fort aimables, d u c o r r e s p o n d a n t d e l'Eclair, à Q u e r r i e n , a v e c M C a d i c . Une ligne avant, 11 v i e n t de n o u s d i r e : « Q u a n t a u c o r r e s p o n d a n t de l Eclair, iious l ' i g n o r o n s » e t , 11 s ' e m p r e s s e d'ajouter q u e ce c o r r e s p o n d a n t est aussi e n r e l a t i o u s c o u r t o i es avec l u i - m ê m e . Alors, il n e l'ignore p a s . . . Q u ' e s t - c e q u e c e t t e s a l a d e ? E n t o u t cas, voici les d e u x t e x t e s q u i p r o u » v e n t b i e n u n e c o m m u n e Origine : Echo de Bretagne. — L'orateur est attentive« m e n t é c o u t é e t ses p a r o l e s ont l'approbation de la m a j o r i t é de l a salle, quand 11 traite l a q u e s t i o n a g r a i r e et Je d r o i t de tous les e n f a n t s à l ' i n s t r u c t i o n g r a t u i t e à tous les degrés. » Eelair du Finistère. — L ' o r a t e u r fut très attentivement écouté e t s e s paroles reçurent l ' a p p r o b a t i o n d e la m a j o r i t é de l'assù'tance. notamment lorsqu'il t r a i t e la q u e s t i o n agraire e t le d r o i t pour t o u s U s enfants à l'instruction g r a t u i t e à t o u s les d e g r é s . » Ces t e x t e s o n t d o n n é lieu à un petit exercice s c o l a i r e . On a c h a n g é ie temps d e s verbes e t r e m p l a c é c e r t a i n s m o t s p a r d ' a u t r e s . Que voulez vous o b j e c t e r a p r è s cela, à la rumeur p u b l i q u e , a t t r i b u a n t leur p a t e r n i t é a u m ê m e m a î i r e d ' é c o l e , c u m p a g u o u d'armes d e M. Cat h e r i n e , déguisé e n gars de Querrien, en républicain, e u témoin, selon les nécessités de l a copie ? . . . Sous ces d i v e r s m a s q u e s , l'ancien lieutenant, ayant laissé l'Union Sacrée avec l ' u n i f o r m e , c h a n t e pouille à M. C a d i c , qui, l u i aussi, r e t o u r des t r a n c h é e s , s ' e s t t i ï o r c c j u s q u ' i c i , e t s o u v e n t avec plein succès, d e m a i n t e n i r cette U n i o n . Il e s t v r a i m e n t p l a i s a n t d e v o i r notre pédagogue r e g r e t t e r l e t e m p s d e l'honorable M. Galtle. Que ce d e r n i e r ait e m p o r t é l'estime de s e s c o n c i t o y e n s , n o u s le c r o y o n s , n o u s a u - s i , et l'en f é l i c i t o n s . Mais n o u s ne p e n s o n s pa.t qu'il soit t r è s aise d e v o i r Interpréter cette e s t i m e et ces r e g r e t s , p a r u n t e l p t n é g é r y s t c , s u r t o u t à l ' h e u r e , où M. C a d i c s ' e s t a f f i r m e , de si é l o q u e u t e et a d m i r a b l e f a ç o u , u n p t t i o t e c o n v a i n c u et u n d é f e n s e u r d e la p r o priété, contre les utopies révolutionnaires. Nous p e n s o n s p l u t ô t q u e te d i s c o u r s du Mairo de Q u e r r i e n , s e r a le p o i n t de d é p a r t de l ' U n i o a , snna a r r i è r e - p e n s é e , de t o u s les h o n n ê t e s g e n s , afin q u ' a u j o u r d e s é l e c t i o n s prochaines, l a S o c i a l i s m e n £oive u u de ces é c h e c s dont s e s Apôtres se s o u v i e n d r o n t l o n g t e m p s 1 COUPE i í m u OSAI sTh Kol'lour marche qua partout DE Scaor Datant à Henri. ¿2 preneur «U était monté otiovaux dt de guides. — Procès-Verbal ans charretier chez un entrebourg île Scaër, qui le 25 mars dans une oharreite attelée de lile, mais omis les guides. M. François Gadio, maire do Qu^rrien, fr>ra uihi ooufereaco, salle Fireo, Jt 8 B annale? heure» du ina ia. C i r c u i t W a w i o j , - . - Voici l ' h e u r e ap« Ic^lWji^l' t r a i n ò s e r a ¿ e Socialisme, Frox^maUve à l a q u e l l e les c o u r e u r s d u « Cif cuit Warrior •>. de Plouay, passeront dans les l o c a l i t é 'demain dimanche : Départ : Pldiwy 9 b., logulniel 9 h. 20, Quémené 9 h. 00, Pontivy 10 h. 40, Le Sourn 10 h.50, Melran 11 h. 20, Bubry 11 b. 30, Pônquegten 12 h. OS, Lochridt 12 1). 20, Hennebont 12 h. 25. Lorlent 12 h. 3% Plouay 13 ta. 20 — neutralisation (15 minutes) — Plouay 13 h. 40, Pont-Scorff 14 h. 10, Qnlmporlé l i h. 50, Mellac 15 h. 10. Bannalec 15 h. 25, Scaer 15 h. 55, Le Faouet 16 h. 35, Prlziao 10 h. 55, Le Croisty 17 h. 05, St-Caradec 1" h. 15, Kernasoiédan 17 h. 35, Plouay n h. 55. Liste des prix : 1" prix, un v é l o - T o u r de France W a r r i o r ; 2% un vé ! o demie-course "Warrior; 3', un vélo demle-oourse ; 4', 150 fr.; 5', 100 fr ; G», 50 fr. ; 7», un chronomètre Jiquel ; 8*, un boyau; 9*, u n boyau; 10», champagne. Nombreuses et importantes primes do pas. sage. Ville de rec Louis, 45 ans, cultivateur à Moëlan, qui oyant fait appel, comparait devant la cour. M* CharHer présente la défense du prévenu qui pôre. de 5 enfants, jouit de l'estime publique et qui regrette sa faute Dans son réquisitoire, M. l'avocat général tinlllot remarque qu'il y a eu préméditation et que les coups ont été très violents. La Cour confirme la peine de 3 mo's de prison, y ajoute 100 francs d'amende, mais accorde à Legairec, le bénéfice du sursis. Bannalec DIMANCHE 3 0 MARS COURANT. Salle Louis MONCHICOURT, BAZ. X , A MI'CARBMJE:, Jtx. à grand orchestre Taupes Fouines Martres Putois Renards Loutres £ •f- i s R, de C. Qulmoerié N" 814 Lapins par la Musique Symphonique de Lorient, violons. O U V E R T U R E A 20 H E U R E S NOTA. — On dansera l'après-midi, à partir de 14 heurts, avec un piano Jazzband nouveau. . — • . » • Sooiéti hippique du Sud-Finistère. — Ce concours s'eht tenu mardi & Bannalec, ainsi que nous l'aviou9 annoncé. Ea voici les résultats : Demi-sang. Demi-sang. — 1" pris, 150 fr., Badine, a M. H. Bocdec, de Ker nével ; 2', 100 fr., Bellemine, à M. L. Le Gall de S c a ë r ; 3 , 100 fr., Buse, à M. P Bourhis, de Kernével ; 4-, 100 fr.. Bannière, à M. Ch. Penblanc, de Bannalec ; 5-, 75 fr., Bonne Nouvelle, à M. A. Salaiin, do Soaôr ; 6 , 75 fr.. Bonmche ù M R. Boôdec, de Kernével ; T , 75 fr., Brescuti & M. A. Le GuifiaDt, do Bannalec ; 8, 75 fr., Bayonne, à M. L. Bourhis, de Kernével ; 9-, 50 fr., Barboteuse, à M. H. Le tiras, de Scaër ; 10-, 50 fr., Brestoise, à M. L. Ce lin, de Bannalec; 11-, 50 fr.. Binette, à M. Y Naour, de tBannalec ; 12 , 50 fr., Bannière, à M. J. Norvez, de Bannalec; 13-, 50 fr., Bruyère, à M. J. Navellou, de Scaôr ; 14 , 50 fr.. Bobine, à M. Y. Le Beuzo, de Bannalec ; 15-, 50 il-, Barrière, à M. J. Le Naour, de Bannalec. Trait. — 1" prix, 50 fr., Bonne Fortune, à M. F. Noc, de Bannalec ; 2-, 50 fr., Bûche, à M. Ch. Plouzenneo, de Mollac. POULICHES DE DEUX ANS. - Demi-sang. — 1" prix, 200 fr., Xantippe, à M. P. Penn, de Soaôr; f , 150 fr., Aubépine, ù M. F. Guernalec, de Scaër; 3 , 150 fr., Actrice, à M. P. Flao, de Kernevel ; 4 , 150 fr., Albane, à M. L Goapp°.r, de BanDalec; 5 , 150 fr., Ariette, à M. Ch. Rivier, do S c - ë r ; 6 , 11)0 ir.. Xérès, à M. L. Le Gall, de So>ô," ; 7 , 100 a-., Ampoule, à M. J. Meutec, de BaunaldC ; 8 , 100 fr.. Aima. à M. G. Rivier, de Scaôr ; 9 \ 100 fr., Ardente & M. J. Créo, ac Kernevel ; 10 , 100 fr., Aurore, à M. H. Rodallec, d s B a n n a l e o ; il-, 75 fr.. Ani sette, à M. J. Sinquio, de Bannalec ; 12-, 75 Ir . Argile, à M. L. Bourhis, de Kernevel; 13 . 7ô fr.. Alouette,à M. Ch. Gléinarec.'ie Ntzon ;14 ,75 fr.. Alerte, à M. J QuOre, de Bannait-c ; 15-, 75 fr., Jolie, à M G. Brinquiu, de Baunalao ; 10 , 75 fr. Alicante, à Mme Landreiu, do S c - ê r ; 17' 75 fr., Alerte, à M. J. Jourdain, de K> rnével; 18-, 50 fr.. Amélie, à M G. Gaidoa. ue Mellac. Trait. — 1" prix, 100 fr., Avalanche, à M. E. Naour, de Baunalcc ; 2', 50 fr., Addie. à Mme veuve Guiban, de Baunaleo ; 3 ,50 fr., Aubaine, à M. J- M. Guiban, do Kernévol. POULICHES DE TROIS ANS — Demi-sang et trait. — Primes do reproduction et de conservation : 1" prix, 1 300 francs, Violette, h M. n. Guernalec, de Kernével ; 2 \ 1.000 fr., Venise, à M. A. Nabat, ue Bannalec ; 3 , iKX) fr.. Venise, à M. G. Le Ga i, de Kernével ; 4\ «00 fr., Victorieuse, a M. J Gorvan, de Bannalec ; 5 , 800 fr.. Vitesse, a M. Cu. Bnnquin, de Bannalec; 6-, 800 fr., Vaillante, à M. F Massé, de Bannalec; 7-, 700 fr., roi'sine, à M. F. Jaouen, de Mellao ; 8 , 300 fr., Vallée, a M. Y. Le Meur, de Kernével ; 9 , 300 fr., Rosette, a M. Landrein, du Trévoux ; 10-, 300 fr., Vedette, à M. F. Pérez, de Baonaleo ; l f , 300 fr., Venise, h M. L. Gorvan, de Bannalec ; 12' 300 fr., Emma, fl M. Y. Talleo, de Bannalec ; 13-, 2ô0 fr„ Fleurette, à M. J. Bernard, de Bannalec. HOWIE, BIJOUTERIE, QP.FÊM J. LE~G0FF HORLOGER 2, PUCE GAMBETTA (Haut de la rus Savary) Q U I M P E R L â MONTRES. PENDULES, REVBIL8 A TOUS LES PRIX BAGUES, PROMESSES, Riec-sur ALLIANCES BOUQUETS FLEURS D'ORANGERS EOUR VARIEES C A D B A U X P O U R MARIAGES H. du C, Qulmperlé n- 1028 iWWVWVWV Clohftra-Carnoôt Défaut de déclaration. — MarieJ e a n n e , d é b i t a n t e à la Grungf«, a o u v e r t UQ d é b i t a u m o i s d ' o o i o b r e d e r n i e r m a i s a omis de demander l'autorisation. Procès Verbal. Moëlan j f g * p p e l . -- Dins ion andlence du 19 ttvriar dernier, la Tribunal correctionnel de Q a l m p a r l l * condamné à 8 mot» da prison p ç n r coups anr des voisins, le nommf Lagart Bélon Réunion. — Nous rappelons aux m e m bres de la Cal3se locale du Crédit Agricolo du canton de Pont-Aven, aux membres de la Société d'Assurances La Mutuelle Bétail de Riec-sur Bélon, ainsi qu'à ceux du Syndicat d'E evage du canton de Pont-Aven, que ces réunions se tiendront dimanche prochain, 30 mars, à 9 heures du matin, salle Louis Quômar, à Kercft. Pont-Aven - 1 " prix, 100'fr., Bonheur, à M. Ch. Rivler, de Scaër ; 2-, 15 ir. Banquet, à M. J. Bourhis, de Scaôr ; 3', 50 fr., Bouton, il M. Y. Landreln, de Kernévcl« POULICHES D'UN AN. - M, HOTTE, 18, rus Savary, Quimparlé • • • • • • H H a M B B n n H M H H • A b u t o d>*ttela9#. - Y v e s , 25 a n s d o m e s t i q u e c h e z M. M . . . , a u b o u r g , le 19 mars avait abandonné son attelage p o u r aller boire u n e bolée au débit situé à C o t t m é e t . M a l h e u r e u s e m e n t p o u r lui les gendarmes survinrent. POULAINS D'UN AN. - sont achetés au plus haut prix par M. l'abbé Roseo, docteur en théologie, du Grand Séminaire français, Jl Rome, est, un prêtre distingué, zélé, qui laisse, dans la paroisse do St-Mathieu, où il exerça pendant 16 ans, ¡»meilleur souvenir. Après les cérémonies rituelles, M. Rosec, dans un élégant breton du Trégor, fort bien entendu en BasseBretagne, puis, en français, assura ses paroissiens de tout son dévouement, sans oublier de rendre hommage à son prédécesseur, M. l'abbé Thomas, dont les fatigues du ministère, durant les hostilités, ont miné la santé. Il remercie particulièrement l'assistance de l'accueil sympathique qui lui a été fait le jeudi 12 mars, lorsque 17 chars-àbançs, des cyclistes, des caf allers et des autos lui formèrent un cortège d'bonneur. Au chœur, avalent pris T place 23 pritrss, ayant à l e u r t ô t e MM. les vicaires généraux, CoRneau et Messager ; Ocvoën, curé de la Cathédrale; Lo Louët, supérieur de SalntYvos ; Perrot. secrétaire de l'Evêché, etc. A l'autel, le célébrant fut assisté de son fl'ère, aumônier de la Salette, à Morlaix, et de M. l'abbé Pérez, vicaire à Querrien, enfant d'Ergué-Armel. i M. le Maire d'Ergué-Armel, portait la croix processionnelle. Au déjeûner qui suivit, plusieurs toasts ont été prononcée, par M. le viceire général Cogneau, M. l'abbé Thalamot, plein d'humour, M. Alain Le Berre, négociant, président du Conseil paroissial, M. Tremlntin, Conseiller Général, M. le Récitur y répondit en termes émus. i t t i C a r ê m e . — D i m a n o h e 30 m a r s , des r é j o u i s s a n c e s a u r o n t lieu à PontAven p o u r le m a r i a g e d u fils d e C a r n a v a l 1". Au p r o g r a m m e figurent u n r e p a s e n plein a i r et u n e l o t e r i e d o n t le lot p r i n cipal est un porcelet. Ploudalmézcau Foire. ~ La Foire d ' a v r i l c o i n c i d a n t a v e c le l u n d i de P â q u e s , e s t d e v a n o e e e t a u r a l i e u l i e u le l u n d i 14 a v r i l . S a i n t - P o l - D e - Léon L e drame de la, Pauaion de NotreSeigueur. — Le Jeudi 3 avril à 8 heures, la troupe bretonne de Saiot-Pol de-Léou(220 personnages), jouera pour la dernière fois, sous les grt ndes Halles, le Drame de la Passion de Notre-Seigneur, par F. Noël. Un livret donnant le résumé de la pièce et des chants est en vente chez Mlle Cocaigu, libraire, place au Lin, à St- Pol. Prière de prendre les billets d'avance chez Mlle Cocaigu : 1'° réservée, 10 francs ; 1", 7 f r . 2' 5 fr. ; 3«, 3 francs. ftforlaix X,e cours du beurre. — Le cours du beurre aux 100 kiio.s a été 1". 23 m a r s de 760 francs pour le Léon et de 7S0 pour la première qualité. Ces cours sont en baisse considérable, plus de 400 francs sur les cours précédents. ; ; i , ; jt i ! | ! i | j fut émis. C'est là un des griefs les plus fondés contre le régime parlementaire ainsi pratiqué» que les votes par procuration. Une prochaine Chambre devrait abolir cet usage, condamné par Vopinion publique. La Chambre, elle-même, semble regretter cette aventure. SI le règlement ne s'y opposait pas, elle inviterait bien le gouvernement à se représenter devant les Chambres. Elle s'ajourne à vendredi, et les députés sont heureux d'apprendre que peut être M. Polncaré reviendra sur sa décision, qu'il se contentera de remanier son ministère et d'en écarter M. de Lasteyrle, lequel en la circonstance, fit, dit « la Cote de la Bourse et de la Banque » preuve d'un m a n que de sens politique qui n'a d'égal que son manque de sens financier. Depuis le 15 janvier 1922, c'est-à-dire, depuis plus de 2G mois, le ministère Poincaré avait remplacé le ministère Briand, démissionnaire depuis les parties de golf de Cannes. C'est le 64e ministère depuis la fondation de la République. XJn nouveau miniotère. — Dans notre chronique parlementaire nous avons dit les causes de la démission du cabinet. Les journaux de vendredi matin assurent que le gounement n'a pas été mis en minorité. Le sorutin révisé lui donne 278 voix contre 265, soit 13 de majorité. M. Poincaré, cédant aux sollicitations do M Millerand s'occupe, à l'heure où nous mettons sous presse de rbfondre le cabinet. Des minis tères seront groupés, par mesure d'économie budgétaire. Mais rien ne sera changé à la po litlque nationale approuvée par les Chambres et le Pays, et dont voici les points principaux. 1' Occupation de la Rhur jusqu'à ce que l'Allemagne ait réparé et assuré notre sécurité. 2Maintien Intégral des mesures fiscales votées par le Parlement. 3- Application rigoureuse du régime de réorganisation et d'économie. Le Président de la République autorise la presse à déclarer que s'il n'était pas possible à M. Poincaré de former le ministère, cette mission ne serait confiée qu'à un homme politique décidé à appliquer ce programme. Sénat il s'agit de la propriété commerciale. Le rapporteur M. Serre voudrait voir prolonger le droit du locataire limite à dix ans jusqu'à présent. M o r t d u g é n é r a l N i v e l l e . — Le général Nivelle est mort samedi, après-midi, 22 mai-3, à sou domicile, à Paris, d'une pneumonie double. Le général de division Nivelle était né a Tulle le 15 octobre 1836. Il avait, pendant la guerre, commandé la 2® armée, puis avait été nommées du nord et du nord-est. Il avait été membre du conseil supérieur de la Guerre. Il était grand croix de la Légion d'honneur et était titulaire de la médaille militaire et de la croix de guerre. L a l i v r e . — Elle est un peu au-dessouS de .79 f r a n c s . SX. T JERIE C St Le shah de Perse, rentre dac3 son royav.mai Ses sujets ont sursis à ea déposition. On regretterait beaucoup à l'étranger l'aban, don du pouvoir par M. Poincaré. L'opinion an-* glaise est en faveur d'un pacte de sécurité, depuis l'entrevue de M. de St-Aulaire et de M. Mac-Donald. En Allemagne, M. Stressmann fait de l'observation du Traité rie Versailles, la base de son programme électoral. Les industriels allemands inclinent, à assumer les prestation?-, et à payer les droits, comme ils le font déjà, mais ils acquitteront en outre UDO taxe de 2.000 fr. sur la vente, taxe établie d'après les statistiques fournies tous les mois à la haute commission. L'Amérique semble disposée à faciliter les e m prunts chez eile. Enfin les rapports des experts pourront être remis à la commission des Réparations dans le milieu de la semaine prochaine Il serait donc plus que regretablo do voir M. Poincaré s'éloigner au moment où sa politique porte ses fuits. Ä mil Bicyclette d'enfant flUji b o n é t a t . S ' a d r e s s e r au j o u r n a l . T r perlé, d e m a n d e d i r i g e r Atelier. couturière pour Dames, place Hervo, à QuimB o n n e Ouvrière pour mercuriale du 21 M.ARS 1924.— T a u r e a u , le kilo. 3.00 à 0.00 ; b œ u f d e b o u c h e r i e , le kilo, 3.C0 à 0.00 ; v a c h e d e b o u c h e r i e , 2 ;>0 à 0.00 ; v a c h e s l a i t i è r e s , 500 ii 1.100 ; g é n i s s e s e t v a c h e s p l e i n e s , 600 à 1.600 ; p o r c , le kilo, 5.30 à 5.40 : m o u t o n , 3.40 à 3,50 ; v e a u , 3.90 h 4.00 ; f r o m e n t , l e s 100 kil. 95 h 97 ; s e i g l e , 7S à 80 : o r g e , 88 à 90 ; s a r r a s i n , SS il 90 ; a v o i n e , 68 à 70 ; p o m m e s d e t e r r e , l e s 100 kil. 62 à 64 ; f o i n , l e s 500 kil. 160 à 170 ; paiiie, 110 à 120 ; s o n , l e s IG0 kil. e n g r o s , 65 ; au d é t a i l , 75 ; f a r i n e d u p a y s , 135 à 137 ; d e l ' e x t é r i e u r , 138 à 140 ; b e u r r e , la l i v r e , saié, 6.00 à 6.50 ; d o u x , 5,00 à 5.50 ; œ u f s , la d o u z a i n e , 3.00 à. 3.25 ^ p o u lets, la s o u p l e , v i e u x , 20 à 25 ; j e u n e s , 12 à 15; c i d r e p u r j u s , 180 à 200: o r d i n a i r e , o r d i n a i r e , 140 à 150. M e s u r e s f i s c a l e s . — (Suite du résumé. Voir le supplément du 22 mars). Achat á l'éiranger. — En vue de réprimer l'exportation des capitaux, le3 personnes qui ont ù régler des achats de produits, denrées ou PIANOS - MUSIQUE - INSTRUMENTS Auray marchandises destinés à être importés dans un délai maximum de six mois, devront faire reFédération républicaine indépenliaison Fondée en i860 vêtir d'un avis favorable de la Chambre de dante. — D i m a n c h e , u n congrè.s a d é s i Commerce de leur résidence ou de tous orgag n e la liste q u i s e r a s o u m i s e à la r e c t i f i nismes agréés, la déclaration qu'elles sont oblic a t i o n d e s é l e c t e u r s le 11 m a i . Ce s o n t : gées de remettre à la personne tenant le réperL o r i e n t (!'"'•) c i r c o n s c r i p t i o n : M. SéF A C T E U R DE PIANOS toire des opérations du ebange h laquelle elles v è n e , d é p u t é s o r t a n t : L o r i e n t (2e) M. Le s'adressent pour obtenir les devises étrangères, SX-ACCORDEUR DE LA MAISON PLBYBL Moyne, a v o c a t h L o r i e n t ; L o r i e n t (3e) des chèques ou virements destinés à eiiectuer M. llodel, i n d u s t r i e l à Q u l b e r o n ; P o n t i v y ce règlement d e la Bôve ( f S f i f t ) LORIENT Cours 4, f l " - ; : M. Cadic, o u l t i v a t e u r à N o y a l - P o n En cas de refus d'avis favorable par la chamAccords — Réparations — Echange t i v y ; P o n t i v y (2-) t\l. Robi/ï, d é p u t é s o r er bre de commerce ou tout autre organisme, t a n t ; V a n n e s ( l V : M. Violle a v o c a t à ABONNEMENT A LA LECTURE MUSICALE l'intéressé pourra demander au ministre des V a n n e s ; V a n n e s (2-) M. D u b o i s c o n s e i l l e r Finances l'autorisation d'effectuer l'opériition T E L E P H O N E 4-21 g é n é r a l d'Allaire ; P l o a r m e l : M. B e r r u y e r qui aura donné lieu à ce refus. i n d u s t r i e l à La Croix-Hellan. Pu8seport8. — Le droit de visa des passeports Paris est porté à 3 francs sans décimes. Un p è l e r i n a g e breton & Paris. — Connaissements. — Les quotités du droit de Melgven La s e m a i n e d e r n i è r e , u n m i l l i e r d e b r e timbr« des connaissements, fixés à 2 francs, 4 oHlÄS^evS' Service de huitaine. — Le vendredi t o n s d u d i o c è s e d e Q u i m p e r 'se s o n t r e n 1 franc et 0 fr. ¿0 en principal, sont portées 4 avril, ft 10 heures, un service de huitaine d u s en pèlerinage à Paris, s o u s la direc 4 ^ A s s o r t i s £ftIt£fL? aux mém^s taux que ceux afférents au grand sera chanté, en /église de Melgven, pour le ret i o n d e M. l ' a b b e Le Roy. Une p r e m i è r e papier, nu petit papier et à la mi-feuille de pos do rame du regretté, abbé Lécnycr, recoèrémome eut lieu e n l'église N o t r e petit papier de dimension. D a m e , u n e s e o o n d e a u Sacré-Coeur d e teur de cette paroisse depuis 21 ans, décédé à 1° s u p e r b e occaM o n t m a r t r e . Colis postaux. — Les droits de timbre des faire de 71 ans. Les habitants de Melgven gars i o n , CAMIOIV. bulletins d'expédition de colis postaux, fixés à deront longtemps le souvenir de ce prêtre* Les p è l e r i n s n t v i s i t é la c a p i t a l e en ÎVETTE V l \ « T ! ) F . ( . ü l ^ í i A \ l » , 1.5000 fr. 10 et 0 fr. 20, sont portés respectivement bon, affable et dont le cœur d'or était connu a u t o - c a r e t se sont r e n d u s n o t a m m e n t 1.800 kilos : 2° u n e R E M O R Q U E , 2 t o n n e s , à Ü fr. 15 et 0 fr. 25 sans décimes. Pous les ende toutes le3 infortunes. a u t o m b e a u d u Soldat ; I n c o n n u , o ù ils o n t n'ayant j a m a i s servi. S'adresser Garage vois contre remboursement, le tarif est de Ofr. 15 a v e o le Maréchal Fooh, c h a n t é le " D e EVEN, 3j r u e d e P o n t - A v e n , Q u i m p e r í é . T régime sans décimes jusqu'à 5 kilos et à 0 fr. 25 auProfundis" et le Domine saivarn fac RemAgression nocturne. — Le Meur Pierre dessus de 5 kilos. publicam. 23 ans. domestique de ferme ù Trémot en Tré Bulletins de bagages. — Le droit est porté «une « p o r t é p ainte à la gendarmerie contre de 0 fr. 10 à 0 fr. '¿5 sans décimes. Yves Pérou 22 ans. scieur chez M Sitre & P A R L E M E N T Opérations des Bourses de valeurs. — Le Pont Aven, qui le 16 courant vers minuit, l'aurait fait tomber de bicyclette et l'aurait ensuite droit de timbre auquel est soumise toute opéfi app£. La gendarmerie enquête. ration de Bourse ayant pour objet l'achat et la lev Chambre vente de valeurs de toute nature est porté à Concurneau Mardi, M. de Lasteyrie montra l'effort ac0 fr. 50 par 1.000 francs, ou fraction de 1.000 T r a n s p o r t s d e s a b l e s d e m e r p o u r compli par le gouvernement d'acoord aveo francs. la majorité pour donner satisfaction aux ree l i e r a i s — Le p u b l i c e s t i n f o r m é qu'à Sur les opérations de report, le droit est traités. On sait que le Sénat avait voté un p a r t i r d u 1 e r Avril p r o d h a i n le p r i x élevé à 0 fr. 20 par 1.000 francs ou fraction de projet nécessistant des impôts nouveaux, ded e la t o n n e ( m a j o r a t i o n , e t i m p ô t c o m 1.000 francs. vant lpqu"l M. le Ministre des Finances avait e o m p r i s ) s e r a b a i s s é à 1 f r . 65, e n t r e Rien n'est modifié en cc qui concerne les opétémoigné ses appréhensions Aujourd'hui, deC o n c a r n e a u - V i l l e e t C o n c a r n e a u P . O. rations relatives aux rentes sur l'Etat françaisvant les instances de certains députés de la a v e o dp. I r u c s t r a n s p o r t e u r s . Bateaux de plaisanco. — Les bateaux de majorité, à la Chambre, il admet lui môme plwisiince, de toute forme et de tout tonnage, la péréquation qu'il avait repoussée tout munis d'un moteur mécanique, naviguant à d'abord, mais il demande à la Chambre, de le Journal vraiment moderne et praPour Assurances 1 intérieur des eaux territoriales, sont soumis maintenir les ouvriers d Etat sous le régime tique de la Femme et Je la Maison. aux mêmes formalités que les véhicules autode la loi de 1919. étant entendu que le» veuves mobiles et passibles d'une taxe de 10 francs par et les accidentés du travail bénéficieront d'un HP ou fraction de IIf et par au, avec minimum Chaque N° de o fr. 5o projet t-péclal. li demande également aux déd'imposition de 3 HP. contient : putés, sur la question des accroissements, des Un dixième du produit de l'impôt sera attrimaxima, des limites d'âge, do se conformer bué aux départements. aux désirB du gouvernement. Quant à la caisse U n B o n - P r i m e J e 1 fr. Pour les famlllos nombreuses. — En ce qui des pensions devant fonctionner avec le concerne l'impôt cédulaire sur les traitements système de la capitalisation, elle imposerait à é c h a n g e r c o n t r e des produits • t salaires, les déductions accordées aux conau Trésor des surcharges importantes sans u 8 F U R , 0 P o n t tribuables pour situation et charges de famille 6 bénéfice réel pour les Intéressés. a l i m e n t a i r e s Afi p r e m i è r e m a r q u e . sont fixées à S.C00 francs pour la femme, si Mercredi 26 mars, à midi, la discussion se Arec les patrons 3e la. Mode Pratique, celle ci n'a ni salaire, ni revenus personnels : poursuit; l»*s Hi'putés semblent plus rétiis à vous ferez toutes vos robe*. 3 000 irancs p «r enfant de moins de dix huit Quimper s'incliner 'levant in gouvernement. M Poin ans ou infirme et non salarié, et 2.000 f a n e s caréest lui-mflm.' ft la Commission des Affaires Le banquet du 86* Cor. — Vn LA M O D E PRATIQUE par personne à sa charge. étnmizèreù I o • s'entretient 'lu traité de g r o u p e d ' a n c i e n s c a m a r a d e s d u 86e l e r r i Pour ce qui est de l'impôt généra) sur le reLauznnn" A » C h - m b ' e divers orateurs prorapporte 100 fois ce qu'elle coûte. to-ial a d é c i d é d ' o r g a n i s e r u n b a n q u e t t. >.t. r,t roivre. |i> projet 'lu gouvorni m»r.t, no : venu, la déduction sur le revenu du contri- I le d i m a n c h e d e la Q u a s i m o d o , 21 a v r i l buable est portée à 3.000 fraucs pour chaque 79, B»J St-Gormain, PàwS. ' R.C-.S.i...«.«,.. (animent cm» re la n fiw ( l ' a d m e t t e les retep i v c b a i n , à m i d i , salle F r i a n t , r u e d e nues rétroactives. M. Ba «nant répudie la t enfunt au dessous de 21 ans et resté à la charge , D o u a r n e i u z, 83. dispense do retenue accord'o auxX olïlcierB. v de ses parents et pour chaque personne au I Les c a m a r a d e s q u i d é s i r e r a i e n t y p r e n delà de la cinquième, quel que soit son ûge. Il demande la concession d'une allocation à d r e p a r t s o n t p r i é s do se f a i r e i n s o r i r e Evaluation des propriétés foncières. — Une I certaines veuves au moins à celles dont le a v n u t le ¿ô nvril c h e z MM. Cloarec, s é c r é révision exceptionnelle des évaluations fonmari est mort, avant d'nvoir acquis le droit à taire, brigadier d'octroi ; Bernard, r u e LE PLUS MODERNE DES JOURNAUX cières dans toutes les communes sera entrela re raite. M. Goude reproche au gouverneDocnnenUtion U plu» complète «t la »las Tarit« E l i e - F r é n o n ; G l o a g u e n , 10 r u e d u Sallé ; prise en 1924; leurs résultats serviront à l'asment d'avoir rétréci la portée du projet. M. Mme F r i a n t , 83 r u e d e D o u a r n e n e z , Q u i m siette de l'impôt à partir du 1" janvier 1926 Bouysson demande le renvoi du projet à la per Pour la circonstance, certaines formalités deCommission pour que cello-ol reprenne, elleP r i x d u b a n q u e t : 10 f r a n c s vront être accomplies par les propriétaires. même, le texte du Sénat. M. de Lastoyrie proteste que pour aboutir, le vote du texte, tel Pénalités p o u r les paiements tardifs. -— Nouvel avoué. — Nous apprenons avoo GRAND II.LUSTRÉ QUOTIDIEN à 2 0 C e n t . qu'il HO présente, s'Impose, et pose la question Tout contribuable qui n'uura pas intégralement plaisir q u i M" François Qut'ïnnec, avocat au de oonflance. MM. About et Emmanuel Brousse payé, à une date qui sera fixée annuellement TROU MOU SIX MOU UN A!» barreau de Quimpor, vient de prêter s e r m e n t IbcnnMianIs 1EKCEISI3B — — l'approuvent, une crise ministérielle ne poupar la loi de finances, les contributions directes en qualité d'avoué, près da oe siège, on rempour IM Otpirliiuesls... 18 fri 34 fri 65 (r* vant que discréditer la cause dos retraités de» et taxes assimilées à son nom et devenues exiplacement de M* Morei, démissionnaire en sa Spdcimrn franco tur demande. . Fn s'eintnant vant l'opinion publique. MM. OsBOla et Aubriot gibles subira uno majoration d'impôt de 20 0/0, 20^ rue d'Eflfhim, Parit. far numJu' ou châtie fxulal faveur. Toutes nos félicitations au nouvel supplient lo gouvernement de ne pas insister sans préjudice des frais ot poursuite qu'il aura (Compir n° 5/70.'. JtmanJt! la liste et U\ ¿¡¿ciment otlloler ministériel. s u r la question do confiance, mais M. de Lasdei Primo ciatuitvs /ori intére:,antri. encourus. teyrle y persiste. On voto et par 271 voix conPour les contributions et taxes comprises sur lïaiaaance. — Nous sommes heureux tre 804, le renvoi à la Commission est prononcé. tous le* l'ûlc» émis Jusqu'au 31 décembre 1923 d'apprendre la naissance do Plorre-Marlo ttnné MM. do Lasteyrio, Strauss, Vidal ot d'Aubigny j )n date cl-dessus est fixée au 1" janvier 1924. Lo Oran i, fils du sympathique photographe quittent la Mlle dos séances. Omission ou Insuffisance des déclarations de 1* roo René Made^. A M. et Mme Legrand d'Impôt. — Tous ceux qui, avant lappllcatioa A midi 3d, M. Poincaré, informé, se rend compliments, et nos vœux de bienvenue au EXCELSIOR DIMANCHE de la loi, auront omis de souscrire des déclaraprès de M. Millerand et malgré les iasîanccs bôi'é. tions d'Impôts ou souscrit des déclarations ludu Pré ident do la f l é p u b l i j u a , r e m e t sa Mafazir» Ulcitri ai evo/tur, Frgué-Armel 16pagss cent. sulHsiuitcs, ou encore indiqué dans des actes démlsMon lnët.tll"tiem du s e o r s i n Reoteur. poriant mutation entre vifs de propriété ou do Il parait cependant que le vote le mettant AhnsMDfits i DIMIICHMllUSmt SIX MOIS UN AN ... Dimanrh , 23 mars, M. l'abbé Le Jolleo, recIl joulssuncc de biens, Immeubles ou de fonds de ou échec est lo résultat l'une surprise et d'une teur de Saint-Mathieu, d« Quimper, délégué Frani, Colonies it Réjlíni Mtopfa. G.SO 12 f r » commerce, des pièces inexactes, et qui, spontaconfusion. Après leoture du prooès-verbal, Siliqua il linmtourg par vi. m chanoine Orvoin, curé-archlprêtre 7 . 5 0 1 4 fra nément, dans les six mois do la promulgation l'aprèH midi, plusieurs députés ont demandé à Üraajw 1 3 fra 2 5 frs de a Cxtkédralo« a pro&é lé à l'installation de do la loi, répareront leurs omissions ou reetlrectifier leur vote. Les uns ôtaiont absents, , l'ibbe Roiar, pf*<4d«mm«ot vicaire»* Stles autres en eommlsslen», au moment où il t fieront leurs fcituallons. «Itoîeu. G. O L L I V A U X 1 châssis entißp. A ¥Ei¥I>EE Incendie, Accidents, Vie D . A . S » Adressez-vous k; i ' - EXCELSIOR DIMANCHE-ILLUSTRE » i CULTIVATEURS ei AGENTS .VOYEZ A LA FOIREdeREN du 26 Avril au 6 Mai le Stand des V O U S Y TROUVEREZ 4 s On demande Ä homme de 16 & 18 ans, pour faire un Tréguno, moyennant le prix principal de «01.500 franos, une propriété à usage industriel et d'habipeu de ménage, entretenir un auto tation située au Mitan, en la oomet apprendre à conduire. mune de Quimperlé, à 500 mètres S'adresser au bureau du journal. environ de la gare de cette ville, comprenant: 1- Un grand bâtiment en ciment armé à usage de cidrerie. Etude de Ht» TAMIC, huissier Dans le rez-de-chaussée ont été à Quimperlé édifiées dix cuves en ciment armé. Le premier et le deuxième étage ont des planchers en ciment armé. Le deuxième etag* communique de plein-pied avec le boulevard de la Le dimanche 30 mars 1924, à 14 h., gare; 2- Un grand bâtiment en bois rue de l'Hôpital, n- 14 bis, a Quim couvert en ardoises à usage de ma gasin, oomposé d'un rez-de chaussée perlé. et d'un étage, et communiquant avec Au comptant 10 0/0 en sus. la cidrerie par un pont à l'étage; 3- Adossé en appentis au pignon Etudes de M* Hm. BOT, avoué à nord ouest de la construction préQuimperlé. rue 8av*ry, n° 20, et cédente, un hangar clos aveo grede M* PEAN DE P0\F1LLY, nier; 4- Au nord-ouest du bâtiment notaire à Pont-Aven. préoedent dont elle est séparée par un chemin,une maisond'habilation, avec façade aspectée au midi, construite en pierres et couverte en ar doises. comprenant s Rea de-chaussee et grenier sur toute sa longueur ; PAR INCITATION "j- une maison d'habitation autrefois a usage de moulin située au nord du bâtiment précédent dont elle est séparée par une petite crèche consà 10 heures du matin truite en pierre et couverte en arEn l'étude et par le ministère de W PEAN dePONFILLY doises, comprenant rez-de-chaussée et étage. D <ns la partie nord de ce notaire à Pont-Aven bâtiment se trouve une turbine de sept chevaux environ avec son moteur en parfait état de marche Chûte d'eau de 3 mètres 50 environ, surmontée d'une retenue" d'e u ; 8- Au pignon sud de la maison préSitués en la ville de Pont- cédente coniigue aveo la maison portée au n- 4, une petite crèche Aven, route de Quim- construite en pierres et couverte en perlé, près la gare de ardoises; 7- le terrain situé rive gauche du ruisseau à partir du Pont-Aven. courtil RANN0U, terrain, chemin et PREMIER LOT. - Une Maison, courtil s'étendant entre le boulevard a n A p p e n t i s servant de cave et de de la gare au »Nord-Est et une remise, un BAtlment à usage de ligne perpendiculaire au boulevard ouisine et de décharge et une Par- de la gare, à 38 mètres 90 du pif on c e l l e d e t e r r e sous jardia et Est du grand bâtiment à usage de pûture. cidrerie, le surplus du terrain à Contenance approximative 532 mè- partir de cette l'gne jusqu'à l'extrétres oarrés 35. mité Nord Ouest du '.alus séparatiî des prairies de St Nicolas et de BoiMise à prix : 18.000 francs. sanger, étant réservé par les vendeurs ; Sla chaussée rive droite DEUXIÈME LOT. — Au levant du ramier lot, u n e P a r c e l l e de bordant le oours d'eau depuis sa erre sous jardin, plantée de frui- sortie sur le boulevard de la gare jusqu'à la turbine II Une maison tiers et d'arbres de haute futaie. d'habitation denommée Maison du Contenance approximative 447 mè- Directeur, avec jardin devant et tres oarrés 12 déoimètr» s oarrés. petit terrain vague derrière. Cette Mise à prix : 4.500 francs. maison aspectée 1 au midi faisant equerre avec le n 5, paragraphe 1, TROISIÈME LOT. - Au levant et construite en pierres et couverte tai?ant suite au deuxième lot, u n e en ardoises, oomprenant un rez-deP a r c e l l e d e t e r r e sous jardin et chaussée, un étage et un grenier au-dessus. Le rez-de-chaussée oompâture. prenant deux grandes pièces donContenance approximative 775 mè- nant sur le jardin séparées par un tres oarrés 50. oouloir, une petite pièce de débarras Mise à prix : 5.500 francs. derrière et une «ave à l'extrémité ouest. Le premier étage oomprend QUATRIÈME LOT. - Au levant du trois chambres et un oabinet de troisième lot et y faisant suite, une toilette donnant tous quatre sur un P a r o e l l e d e t e r r e sous jardin, couloir. Ces immeubles semblent d'une contenance d'environ 247 mè- j portés au cadastre de la commune très carrés 50. de Quimperlé sous les n - 9«, 27, 21, 25 bis et 25 p de la section G et joiMise à prix : 1.200 francs. gnent au Nord Est RANNOU et bouClause de réunion des premier et levard de la Gare, au Nord-Ouest deuxième lots, puis des troisième RANNOU et CANN1VET, au Sud-Bst et quatrième lots, enfin des quatre les vendeurs, sur une longueur de 38 mètres 90, comme il est dit cilots. dessus, et au Sud Ouest de BOLL'avoué poursuivant, SANGEll, CANNIVET, représentant des oonsorts T0UL1C et autres. Tels Em. BOT au surplus que oes immeubles s'étendent, se poursuivent et comportent aveo leurs circonstances, Etude de M* Eni. BOT, avoué à appartenances et dépendances. Quimperlé, rue Savary n- 20. Aveo déclaration à Monsieur le Procureur de la République et à autre partie intéressée que la dite notification leur était faite conformément à l'article 2194 du Code civil pour qu'ils aientà prendre — - . j telles inscriptions d'hypothèques légales qu'ils aviseraient dans le Suivant exploit de M" LE QUERE, ' délai de deux mois et que faute par huissier à Quimperlé, en date du j eux de se mettre en régie dans ee 2G mars 1924, enregistré et à la re- délai, les immeubles dont il s'agit quête de : 1* Madame Marie-Isabelle seraient et demeureraient déflniii LE OOFP, veuve de Monsieur Fran- vement purgea et libérés entre les çois-Hyacinthe C0QUART, sans pro- mains des acquéreurs de toute« .ssion, demeurant au Huelgoat, au hypothèques de oette nature. lieu de Pors-Anquen; 2* Madame Aveo déclaration enoore à Mon Françoise-Marie-Louise LE QOFF, veuve de Monsieur Jean MarieGUER- sieur le Procureur de ¿a République LESQUIN, sans profession, demeu- que les anciens propriétaires des rant a Huelgoat, au lieu de Pors- dits immeubles sont indépendamAnquen, pour lesquels domicile est ment des vendeurs : 1* la Société élu on l'étude de M" Em. BOT, avoué anonyme la Ruche de St-Nicolas près le Tribunal civil de Quimperlé, ayant son siège â Quimperlé, boule demeurant dite ville, rue Savary vard de la Gare ; 2- M. René BELIERS n* 20, il a été fait notification a lils, industriel et Mme Marguerite Monsieur le Procureur de la Répu- ROULUND, son épouse, demeurant blique près le Tribunal oivil de ensemble à Douarnenez ; 3' Joseph Quimperlé et à autre partie inté- Marie REMOT et Mme Jeanno-Marie ressée, de l'expédition d'un aote LE GOFF, son épouse, demeurant endressé au greiïe du Tribunal oivil semble à Quimperlé; 4- M. Jean-Mario de Quimperlé, le 14 mars 1924, enre- DBLLIOU, demeur n t à C a u d a n ; 5gistré, constatant le dépôt fuit au Mme Marie TUEP#T, veuve DËLL1ÛU Louis, débitante, demeurant a Quiuiircife la dit jour, de la copie colla- perlu; 0' Marie DELHOU ; 7- lïugùne ionnée. d'un aote au rapport de UELL1UU, ces deux derniers, en M* ROLLAND, notaire h. Quimperlé, l'unis do Louis 1>ELLJQU déuédô ; en date du 31 décembre 1923, enre- 6- Yvonne DELLIOU, domestique gistré et transorit, duquel il appert demeurant à Quunpeile; 9- Puul que Mesdames COQUART et GUER DELLIOU, marin au commerce, deLESQUIN ont acquis de M. Joseph meurunt ù. Quimperlé; 10- Julien LE GOFF, propriétaire et négooiant DhLLiUU, boulanger, domicilié à . L Mme Mélanie R A V A L E C . son Cttuduu; 11- Mmo Marie-Julienne vpouse, demeurant ensemble au N AUEC, épouse Jean-Marie DELLIOU, Beaubois, en la commune de Quim- deceueu ie 4 août 19U0; 12 Louif perlé, et de M. Louis DKOUGLAZET UKLL1WU tleoede ; 13- Philibert, DE et Mme Louise DUVAlL, son, épou^v LrtJtf décédé le 9 férvrfar fo» ; demeurant ensemble a« Bourg de Vente d'un Bon Mobilier V E N T E LE JEUDI 10 AVRIL 1924 D'IMMEUBLES £ PURGu d'Hypothèques Légales f VEZ-GUING D E S NOUVEAUTES INTERESSANTES Jean-Marie DELLIOU fil?, décédé, Etuds de M» A. ROLLAND, notairee le,26novembre 1908; 15- M.Alfred à Quimperlé (successeur de M MAIGNAN et dame Nathalie LE FOL, CACHET). son épouse, demeurant au Moustoir eu Lorient ; 16- Mme Angeline LE FQL, sans profession, épouse de M. Augustin-Marie LE BRIS, anoien adjudant de la mariie demeurant à Etel (Morbihan) ; 17- M. Camille LE Le Vendredi 25 Avril 1924 FOL, employé au chemin de fer à 10 heures du matin, en Vétude, d'Orléans demeurant à Pontivy (Morbihan) ; 18' M. Lëonce LE FOL, mécanicien demeurant à Paris, rue d'Eupatoria n- 19 ; 19- Mme Amélie LE FOL épouse de M. Théodule sis à ROZAMBELLEC. BOULLER, capitaine en retraite, demeurant à Lorient; 20' M.Joseph à l'entrée du bourg de GLOHARS-CARNO T. LE FOL, employé tanneur demeurant à Lorient ; 21- Mlle Antoinette PREMIER LOT LE FOL, demeurant à Quimperlé ; Uno Grande Muison d'habita22- M. Aristide LE FOL, sous com- tion, en deux corps missaire de la Marine, demeurant oomprenant ensemblede 3 bâtiments, pièces au h St Pierre Miquelon ; 23- Adhémar rez-de-chaussée, 3 pièces et 1 cabiLE FOL charron, demeurant à Van- net au premier étage, mansarde et ne«; 24- Mme Julienne Louise Fian- grenier. çoise CHESNEL et M. Ange Marie LE Cour devant et dernière la maison. FOL, tous les deux décédés; 25* M. Michel DELLIOU meunier à Quim- ! Hangars et dépendances. perlé; 26- M. Michel CHESNEL né-j Mise à prix : 20.000 francs. gociant, et dame Mai ie Jeanne PINEL, sa femme et que tous ceux DEUXIEME LOT du chef desquels il pourrait êtr..l Une autre Maison dite « T 7 pris des inscriptions d'hypothèqu« TEOL », derrière la précédente, légale n'étant pas connue des ac 2 pièces au rez-de quéreurs, ils feraient publier la comprenant chaussée, grenier au-dessus. dite notification dan un journal Terrain au midi de la maison, d'annonces légales, conformément à l'avis du conseil d'Etat du 9 d'une contenance de 600 mètres carrés, en bordure de la route de Quimmai 1807. perlé à Clohars ; autre petite parcelle sous prairie. La présente insertion a pour but de purger les immeubles dont il Mise à prix : 7.000 francs. s'agit de toute» hypothèques légales inconnues. Jouissonce immédiate par la perception des revenus. Quimperlé, le 27 Mars 1924. Pour tous renseignements s'adresser au notaire. Adjudication Volontaire II n'est pas répondu aux demandes de renseignements qui ne contiennent p a s un timbra aour r&nans« ON D E M A N D E UN COMMIS DE BUREAU ù. L'Union On demande " » Œ e T OFFICE ARVOR chez M. Lavigne, 2, rue Isole, Quimperlé. Nourri, couché, blanchi. De Divers Immeubles finripmanrip Em. BOT Etude de M. A. ROLLAND, notairec à Quimperlé, (successeur de M à acheter vieux p i a - ; GACHET). n o s . S'adresser au bu ' reau du journal. A V E N D R e P ° u r fin a v r i l - b o n n e oI Ull UClildllUu cuisinière. Références | exigées. S'adresser à Mme Corbierre, I17, rue Savary. AUonrino SullUi u Un M ordinaire, somfoudre et futs. mier; Capote pour voilure anglaise 85x75. S'adresser à Mme Le Noc, rue Clohars (Quimperlé). Agricolo L. LA UN A Y ÇLJMPBB1JK Moteurs — Machines à bois MONTAGE DES MACHINES VENDUES Les Forces Motrices de l'Ellé Société Anonyme au Capital de 320.000 francs Q T J H ^ F E Ï S L ^ Ï CFirLiatère) Toutes Fournitures et Installations de Matériel Electrique Moteurs, Appareils d'Eclairage et de Chauffage LUSTRERIE Magasin d'Exposition et Enregistrement des Demandes Chez,Mme LE FORMAL, 10, place Hervo E>riac Modérés — Travail très soigné R du O. N' 1848, Qulmperl6 A VEND»E E & l'amiable A LOGMAR1A, près Quimper, à proximité des usines, G < ) î \ S I \ entrepreneur â Terrains à bâtir. U U L C J I i l Clohars-Carnoët, demande une équipe de maçons our une construction à faire à COMMUNE DE SAINT-SÉGAL sis é QUIMPERLÉ, oëian, et qu'il paierait â 65 francs, La Ferme du Campoul, 9 hectares environ, située en rue de Brémond d'Are, n° 48 la toise de 4 mètres carrés. bordure du canal de Nantes à Brest. Terres de première Moëllon à voir sur place avant de Comprenant : rez - de - chaussée, traiter. qualité. 1* et 8» étage, grenier au dessus. Partie d'un Brand Immeuble Ë Coar et dépendances. COMMUNE DE PLUGUFFAN A 3 kilomètres de Quimper, à proximité des routes de Le devoir de tout vrai Breton est Etude de Mc AFFICHARD, notaire Pont-l'Abbé et de Pluguflan, La Ferme de Quelennec Je s'insorire à la Fédération Régioà Pont-Aven, successeur de M" Huella, 25 hectares environ. POUR LE P A Y S ! •lalitte de S'adresser au notaire. Bretagne, KERAUTRET. S ' a d r e s s e r a u t r é s o r i e r A. MELLAC, IO, r u e d u Gaz, L o r i e n t . A Y E N D R E à Assistance judiciaire (Admission do 6 Oe^obe 1822> COMMUNE DE MOELAN La Belle Ferme des Grandes-Salles, 10 hectares environ, libre à la Saint-Michel. l'amiable Une Petite Propriété | COMMUNE DE SAINT-HERNIN Une Belle Ferme, située au bourg, G hectares environ. Située à STUNS-VIAN en RIEC-SUR-BELOH. COMMUNE DE PEUMERIT Etude de M" Y.-M. FOURNIS, Comprenant 2 maisons, crèche, Le fonds du domaine congéable de Kerlaouenan, exploité uvoué-lioenciè, 6, quai Bnzeux, à prairie, terres plantées et terres par MM. Briec et Le Gall, 30 hectares 50 environ. Quimperlé. l a b o u r a g e s , contenance totale : 4 h e c t a r e s environ. Et diverses autres Propriétés situées dans le Finistère. Jouissance immédiate. • ' u n jugement rendu par défaut par le Tribunal oivil de première S'adresser à M M . H A R E L & G U I C H E T (Maison B E R N Pour tous renseignements s'ainstance de Quimperlé, le 11 avril dresser au dit M9 AFFICHARD. H E I M Frères et Fils,) 4, rue Vis, à Quimper. 1923, enregistré, Xtntr* : Monsieur Emile Joliff, menuisier, demeurant à Quimperlé, 88, rue du Bourgneuf; Mt Madame Louise Discot, épouse dudit M. Emile Joliff, couturière, demeurant à Quimperlé, 38, rue du Bourgneuf; Il f ; mpport Ch. t MAISON DE CONFIANCE VENDANT LE MEILLEUR MARCHÉ DE LA RÉGION CORBIERRE 17, Rue Savary, QUIMPERLÉ Q u e Je divorce a été prononcé d'entre lesdita époux, à la requête et a« p r o | t du mari. P O U R L'HIVER : Poar extrait : Y -M. CAPES & MANTEAUX pour le Costume breton. PARDESSUS tout faits et sur mesure. Tous les genres de VÊTEMENTS IMPERMÉABLES TISSUS pour Robes et Manteaux. CHALES pure laine des Pyrénées et le plus grand choix de FOURRURES. FOURNIS. Etude de M» ROLLAND, notaire à à Quimperlé, (successeur de M* GACHET). ADJUDICATION VOLONTAIRE Le Jeudi 24 Avril 1924 à 10 heures du matin, DUNE en l'étude, maison Située à Çulmpeplé, ras de Sella-Vue, o u i. Ayant rea-de-chausséc, premier etage et grenier; petite éourie en appentis. Jardin derrière la dite maison. Contenance totale : 14 a r e s 0 0 . Jouissance immédiate par la perception des revenus. Mise à prix BONNETERIE pour Hommes, Dames et Enfants. COUVERTURES, COUVRE-PIEDS, EDREDONS. 13.000 franes. Ch. CORBIERRE T I S S U S & C O N F E C T I O N S L I T E R I E V Ê T E M E N T S S U R M E S U R E SUCCURSALES à Plouay, Pont-Aven, Moëlan, Cloliars-Carnoët Registra du Comjstret N* Ut flUIMPSRUE A- BRONCHITES COMMUNE DF LOCUNOLÉ O. CONTESSE Mécanicien Boulevard de la Gare, Q U I M P E R L É (Téléphone 36) ADJUDICATION Crises il'ABthme tt d'Erophyeôreo EaryuuH;:k, Maux de Gorge. Rhumes, Coryzas aifiii et Chronique GUBRI8 p a r les P A S T I L L E S o o m p r l m é e » D D P E Y E O D X , W Oman ÛELAFONTENELLE, à Stndillon (Loiret) atteint en décembre 1919 do laryngite, souffrait de picotements dans la gorge qui provoquaient une toux pénible et de crises d'oppression qui l'obligeaient à rester assis une grande partie de la n vvn(T l ui ti t » n r n m t a . SOUVKIït étCilltft. ni>m> sS» o l x é ¿t u NWL.&, OLE. a à li' «a u d ii juuduiiooaatui oo n ejnou^e, souvent éteinte. r n d up e ss tt rr aa v v aa u ux x v«M* m é U o r i e n quelques jours, guéri «u quelques de construction 3 M » (atjait. du 7. juiile! WM, confirmée â Bourie Ifi Janvier 19i3). M'FA BUE AHTHEMON PHARMACIEN D E 1 " C L A S S E D E LA F A C U L T É D E P A R I S ues tnourno-Minndoi (Tarn), guéri en semaines d'un rhume de cerveau chronique dont ANCIEN CHEF DE LABORATOIRE — ANWEN INTERNE DRS HOPITAUX DE PARI* depuis un an (attest. du/lui S Allévrier Montant du devis, 3 3 . 8 0 0 franos Il• a «souffrait » n * » «A f j_ J^An » A r h T DOCTEUR DS L'UNIVERSITÉ cpnflrmée le 23 janvier >923). M— CULNAERTPour tous renseignements, s'aiAnEZ, cmiturJÙre à Nauvellt-Eillsfi par Au3, Place Carnet Téléphone n» 7 QUIMPERLE ' i, souffrait depuis décembre dresser à Quimperlé, 14, rue de . . „ . . e avec brûlures au palal» et Quimper. corne qui l'empêchaient de dormlr. Elle fut instantanément soulagée par les * I Pastillas Dupeyroux, puis définitivement guérie 1/1 C l I V I m i n r o nnniprci malgré plusieurs rechutes successives (attesi.de V I E U X L i V H F S P A L 1 , E R S , décembre 1049, confirmée le 1« février 1923). T ^ a n c i e n s , . M*,Sol»n» SOURDIN, à Lorlgèi (Ailler). prenait ARTICLES D'HYGIÈNE v i e i l l e s r e l i u r e s , stint. a c h e t é s p u r I grippes sur grippes et souffrait d'une toux très M. L E D A U L T , I i e i t e u n l e u n ( p , . 1 péniW Les P é t i l l e s p u p e y r o u x j a j u é r l r e n i quelques semaines (attest. du 18 die. 1922) nistère). Se rend sur place à ses en M" H1' BLANCHET, rue Campanài, à Avignon (Vau DICAMENTS GALÉNIQUES fruis. Lui écrire oiu$e), »ouffrait depuis six ans de quintes de toui B A S S I N S — DOUCHES HERBORISTERIE •Dlnifttres et était essoufflée au moindre effort. PULVÉRISATEURS Elle se trouva soulagée à la 4» boite et fut guérie SPÉCIALITÉS FULMIQATEURS en un an (attest. du Î5 Janvier 1923). M' Fauni" LE SAMEDI 5 AVRIL 1 0 2 4 d H heures il sera procédé à la Mairie do LOCU Louis L E i\ A O U R Succ d'un Bureau des P . T . T , Moteur DEVILLE U d e r n i e r e n date. Il r é s u m e tous les perfectionnements LÉ MOINS CHER - L EMIEUX [PHARMACIE D'ORDONNANCES CONSTRUIT m i T déracinées, à MICHAUD, aux /ioiltrtSilnt-Eiliphn par RouHst m i ? Q T ACCESSOIRES O U I t l i r ^ p r e n d r e à L e s - (Charmi») était atteint d'une toux violente et rebelle suivie de crachats, depuis 1913. Les Po» o o a t e n R i e c s t i r - B é l o n . ï» i V u n c s tilles Dupeyroux le guérirent en quelques moif l a c h a r r e t é e S'adr. s u r les lieux fatt.du 20mars 1923).- Lea Pastilles Dupeyroux garanties sans narcotiques,sanscolornim t o x i q u e s , s a n s gelatine infectieuse, s a n s ^collarine, Hontexpédiéeu franco ft domiÏTn b n n cile c o n t r e 3 franca en m a n d a t carte pur Ouvrier le D' DUPBYROUX, 5, S q u a r e de Messine, r i s , qui envoie gratis e t f r a n c o s u r < ordoimier s a c h a n t f a i r e l e n e ' f dP ea m a n d e son Etude s u r les Infections par et c o n n u i s p a n t t r è s h i e n ' a r é p a r a les voies R e s p i r a t o i r e s e t son Questionnaire pour Consultations gratuites par t i o n . « i n e i (tu'uii H|)p- enti. S'adr* ? c o r r e s p o n d a n c e . Consultations t o u s l e s s r. M. Talh"ua'it. bottier rue .le Jour» non fériés, 5, S q u a r e do Messine. P a r i s , de 10 h. a U b. et de 14 h. a 16 h. (3î7it>) Br<irond d'Ars Quimperlé HYPODERMIE On demande ' AU P A HAVE (Maison fondée OPTIOUÎ — KXÉCIJTION AM HOIJ LUS MEDICAMENTEUSES A TOUTES FORMULES SEH U M S VACCINS MM I TT^I I I • DES ORDONNANCES DE LES OCCTILISTES il VÉTÉRINAIRES DROGUERIE I N D U S T R I E L L E SX AGRICOLE RECHERCHES CHIMIQUES BIOLOGIQUES BACTÉRIOLOGIQUES e n 1877) HÉC7CALF PRODUITS tpORATÖIRE i ; ! D'ANALYSES US E " 1 ORTHOPÉDIE PanssmenU Aseptiques & tntlseptlquis COTONS GAZES — CATGUTS CHINS DE FLORENCE 20, Rue de la Patrie, L O R I EIMT BAS BANDAGES A VARICES - CEINTURES CABINET D'APPLICATION | Avec succursale 15, rue des Fontaines, Ane"' M,on Augereau I Vca Stock de Pièces R^ du C», Quimperlé, N* 45 détachées ——i—— - - a —irr-n — - " H | Parapluies, Ombrelles, en Magasin tw ARMES, COUTELLERIE, S P O R T S Canne» Parapluies " TOM P O U C E " (dernière création) K & RÉPARATIONS MONTAGES, RECOUVRAGES TrnvHil tr^s .soigne e x é c u t é p a r un S p é e i n l i s t e Brabant DELAHAYE MB PRIX SP: VOSK \ 0 > E T A L A G E S 4 A O s E PKIX 7, rue des Ecoles. — Q U I M P E R L É HORLOGERIE-BIJOUTERIE Orfèvrerie de 3 à 12 Chevaux Brand Choix d'Articles ponr Mariages — Articles pour Cadeaux GRAND A S S O R T I M E N T PJH O JV O firand choix d'Ecrémeuses : X S T i ï . la PRA ' Pièies de Rechange pour JILFA-LWAL, MELOTTE el toutes autres Marques '1 ET REPARATIONS aux meilleurs prix s'adresser : MaiSOTI Jean TREBUIER. 7, R u e des E c o l e s <m » •• - • |_TELEpk C I»I — F II,. . Q U I M P E R L E S II,.,.». | TELEPH. 6B*j R . d u C. Quiinperle, N- 74G q i ' l l s s e * t à s a disposition pour lui fournir des moteurs à essenoe, S à 18 C.V., à d o s p r i x t r f t s a v a n t a g e u x . C e s m o t e u r s peuvent être considérés comme l e s m e i l l e u r « e t Acheter 111 ses Meubles AU de les des moteurs existant actuellement sur le marché. L e * f o i n s apportés à leur fabrication, ainsi que lo choix des matières premières employées, nous permettent de les livrer avec UNE GARANTI %& ANNEES. N o u s a v o n s toutes les pièces de rechange en Magasin et pouvons atsurafcMftfdement toutes réparations de ces moteurs. N o v P j M H ' i p o u r r o n t voir tous les jours un de ces moteurs en fonoNoiffTIMns wssi à la disposition des clients qui le désireraient des notsurs « t t q t i e s " l i s t e r ". _ _ _ _ • A T T I U i l t - V A N N E U S E S . — Les Etablissements SA VA R 7 inform e n t l e u r c l i e n t è l e q u ' e l l e pourra voir dans leurs magasins des Bmt(•••••VMuraiM a doubla nettoyage, munies des dernier» perfecu o n n e m e n t a , b a t t e u s e s dont ils peuvent garantir l'exo«llent fonctionnem e n t e t l e p a r i a i t nettoyage, et qui pourront ¿tre actionnées p a r un d e s «aoteunr KKC.V.'décrits ci-dessus. FâUQHW«!». ^ Etablissements SA VA lì Y soni a la disposition |m afcrtedltears npur 1« ur fournir comme les années préoôdentea des WXV8T 4 W OOD à 1 et 2 chevaux, dem Carabines 6 »/» pour tir de pràoisioa. Carabines o »/•, 9 »/•, 12 •/», 14 */»• pour i& chasse. Grand Choix de Coutellorio Canifs, Couteaux de poche, Couteaux de table et de ouisine, Ciseaux pour Brodeuses, Couturières, Coifl'eurs, Tailleurs, etc. Rasoirs à main et Rasoirs de sûreté, Gilette, Appolo, etc., Tondeuses de tous modèles, Peignes ds rechange Réparations d'Armes de tous systèmes, Affûtage de Coutellerie. Artioles de Sport« Tous les Artioles de Foot-Bali,Tenais,Esorime, Boxe, etc. Prix spéciaux aux sooiétés. ^ Envoi gratuit de nos « a t a l u g u e a , A r m e s , Munitions et S p o r t s R. du O., Lorient 8 8 8 Toute femme qci souOte d'rn tioutîi- quelconque de ta Menstroftion, hègles ¡rréguliin?s c i : 'ioulourcusos, <?o avance ou en retard, Porta6 blauciie», UalaUeâ interisarei, Mélrlte, Pltroce, Salpingite, OverlU. Solixa de guérira sûrement sans qu'il soii besoin «ifl WJoarU à uua opératioa, rien qu'en lfaisant usaçe do k J O U V E N C E de rAbbé S O U R Y uniquement composât de plantes inoiTensivcs jouissant de propriétés spéciale» qui ont aité étudiées et oip riaieiitées pendant a e longue!, vnt. aDiu'-es. ^ La JOUVENCE d e î ' A ' o b ô SOURV est faite expressem«nt pour guérir toute* *v.ÎS malsdii s de la femme. Elie le» gucrii ^ bien parce qu'elle débarrasse l'intérieur oe tous Us éléments nuisibles : elle fait circuler le sang, décongestioune les crj»ne3, e n uiéœe temps elle les cicatrise. La J O U V E N C E d « « ' A b ' SOURY n e peu? jamais être nuisible ; elle a ont à tous les tempérament». Toute pcrsoni. s u i «outl're d'une mJbvaise circulation da sang, soit Varices, Phlébites, Hémorroïdes, soit de l ' ^ t o m a c ou des Nerfs, «oit malaises du RKTOUR D'àGZ, Chaleurs, Exiger ce porlrtlt la Vapeurs, Etouû'eintnts, doit J O U V E N C E de l'Abbé S O U R Y en toute confiance, car elle désespérées. mima t l o n n M H B L dans nos magasins. 2« Région ACCESSOIRES Machines Agricoles, Charrues Brabant, Herses Cultivateurs, etc. Bien pour GRAPHES ék MACHINE8 A TRICOTER n T DE BICYCLETTES DE TOETES MARQUES MAOHINES A COUDRE ECHANGES N FUSILS, CARABINE8 et PISTOLETS BROWNING à Répétition REVOLVERS à JSA.RILZ.ET de tone »yatèmeM MUNITIONS, ET TOUS LES ACCESSOIRES DE CHASSE ET DE TIR C O N F I A N C E Maison Jean TREGUIER MOTS U O Grand Choix d ' I I a m m e r l e s s e t Fusils & chiens, Fusils pliant« | Ga nudiers, Fusils» Gras t r a n s f o r m é R . du C. Lorient, N- 0414 S RIVIÈRE k C, (Quimperlé M COLLIERS DE CHIENS, FOUETS, e t c . ! R . du C. Quimperlé. N- 94 ie U 2 5 , R u e des F o n t a i n e s à L O R I E N T — T é l é p h o n e 1 - 2 3 Dépositaire Lampes & Piles Electriques D B Fusils DARNE, CHARLiN & DARNE Fils Aîné GIAUX POUR ïOCIcTiS M A I S O N K A r m u r i e r - C o u t e l i e r OE COUTELLERIE Flfc (Canifs. Ciseaux, etc, etc.) Tous Articles de Sports, Foot-Bal!, Tennis Y. 8 E L L I N , 7, rue IVIellac, Quimperlé Las Etablissements SAVÂRY, D RASOIRS Ordinaires & Mécaniques (Gilleite, Le Coq, etc,) LA plus solide et la plus perfectionnée. A choisir tous genres et toutes forces comme avant guerre. P r i x Modérés vu l a Qualité. Pièces de rechange. ,é . tous les jours des milliers a » U JOUVENCE de f'Âbkê MOURY, préparée & la Pharmacie Mng. DUMONTIER, A Rouen, ae trouvo dans t o u t e s l e s P h a r m a c i e s ; le flacon, 6 fnuict, plu» impôt O !r. G O , total : 6 fr. 6 0 . 1 L O R I E N T - 31,.Rue du Morbihan C'EST L E S A C H E T E R DE ET LORIENT CONFIANCE AU M E I L L E U R M A R C H É A Q U A L I T É » Sien exl|er t a VériW>!e JOOVENCE J e l'Abbé SOURY avec la signature MAJ. DUMONTIER ÌS2 ÉGALE Maison r e n o m m é e a y a n t 3 0 a n s d ' e x i s t e n c e G R A N D C H O I X D E M E U B L E S D ET O U S S T Y L E S Chambres à coucher, Salles à manger, Meubles de Bureau Literie, Glaces, Tentures, Petits Meubles fantaisie Sièges de tous genros LIVRAISON FRANCO PAR AUTOMOBILE DANS LA RÉGION h w vos imprimés AORKSSKT-VODS à "Imprimeris de riWII» UUF QUIMPftRl.* D l r e c t e a r - Q é r a n t : LÊOM L E S E R R E Certifié par l'imprlmenr Va poar légalisation de la «lunature «I contre en Mairie de Quimperlé. Q U I M P E R L É , - i m p r i m e r i e de Vüni»w 4aHm«(« xf Poriilmt, lite* ftBISt