LED Bague en kit Paiement biométrique Magasins Médaille

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LED Bague en kit Paiement biométrique Magasins Médaille
N° 6 / JUIN 2013
L’EDITO
Fusionner la bijouterie/joaillerie et la mode en faisant la part belle à l’innovation et la créativité : c’était
l’image donnée par le salon VICENZAORO-printemps. Deux représentants de l’Institut de Bijouterie se
sont déplacés à Vicenza en Italie en mai 2013 pour le visiter – 2 autres éditions sont organisées en
janvier et en septembre chaque année. Ce salon international de la bijouterie joaillerie regroupe 1400
marques des principaux fabricants italiens et d’une trentaine de pays étrangers sur 75.000m2. Des bijoux
de haute joaillerie côtoient des bijoux fantaisie aux volumes imposants riches en pierres fines.
Dans un second temps, nous avons pu découvrir les locaux de l’école professionnelle de bijouterie de
Vicenza. Le système de formation italien est très différent du dispositif français : la formation se déroule
en un an après un diplôme équivalent au baccalauréat français ; les jeunes italiens suivront ensuite des
formations professionnelles courtes en centre de formation ou se perfectionneront en entreprise. Cette
école est également spécialiste de l’émail grand feu.
Ce déplacement avait notamment pour objectif de préparer et finaliser un voyage pédagogique qui est
organisé en septembre 2013 à l’attention de deux groupes d’apprentis de l’IBS : des apprentis en BP
gemmologue et en BMA du bijou 2ème année. Ils pourront à cette occasion :
 Découvrir un salon professionnel international et ses différents acteurs
 Développer les connaissances sur le marché international de la bijouterie/horlogerie par une
découverte et la rencontre des fabricants présents sur le salon
 Découvrir et identifier les innovations technologiques et les tendances artistiques
 Connaître et définir les tendances de consommation de la clientèle internationale
 Appréhender l’intégration de professionnels français sur le marché international
 Visiter une école de bijouterie italienne et découvrir ses méthodes d’apprentissage
 Rencontrer et échanger avec les artisans et/ou industriels locaux sur leurs techniques de
fabrication
En résumé, contribuer à former des futurs professionnels ouverts sur l’international.
Bonne lecture de votre « Pépites d’Infos ».
Valérie GIRAUD
Responsable de l’Institut de Bijouterie
Nuage de mots
LED Bague en kit
Or 9 carats Storytelling Charms
Paiement biométrique Magasins
M-commerce Personnalisation
Médaille
Lettre de veille de l’Institut de Bijouterie de Saumur
Maitrise d’œuvre : Service Veille et Prospective – Direction Développement des Territoires – CCI de Maine et Loire
Consommation
La production Française HBJO en 2012
L’étude Ecostat sur l’année 2012 révèle que les clients ont consommé 758.2 millions d’euros HT en
bijoux en or tout titre, 334.1 millions d’euros en bijoux fantaisie et 225.6 millions d’euros en bijoux argent.
La part des bijoux en plaqué or est la seule à avoir diminué par rapport à 2011 avec 37.9 millions
d’euros.
Source : Ecostat n° 121 – Mai 2013
M-commerce : la tablette davantage sollicitée que le smartphone dans l’achat en ligne
Une étude américaine menée par Visual.ly démontre que d’ici 2015, 81% des personnes achetant un
téléphone disposeront d’un smartphone. A cette même date, les achats effectués via des appareils
mobiles devraient atteindre 24% des ventes totales du e-commerce. Face à ce constat, de nombreux
vendeurs mettent en place des applications pour développer leur stratégie mobile. Les consommateurs,
en choisissant l’achat via le smartphone, disent apprécier le gain de temps, la facilité à localiser les
« bons plans », faire autre chose en même temps ainsi que de ne pas avoir à attendre en magasin.
Source : www.atelier.net – 17/05/2013
Ce qui motive le plus vos fans : les promos
Le résultat de l’étude Ipsos OTX menée auprès d’internautes
de 24 pays révèle bien qu’il faut choyer le consommateur. En
effet, 69% des répondants estiment que la perspective de
recevoir des récompenses les motivent à suivre une marque
sur les réseaux sociaux. Les jeux concours arrivent en
deuxième position.
72%
des consommateurs
aspirent à acheter
directement dans leurs
magasins plutôt que
sur internet
(Source : Strat»gies 2013)
Source : L’Entreprise – Juin 2013
Commercialisation
Un diamant « blanc » vendu au prix record de 26,7 millions de dollars
Bien que les diamants exceptionnels soient très recherchés, le marché des pierres de moindre qualité
est en pleine croissance. Leur prix a augmenté presque quatre fois plus rapidement que celui des
diamants plus purs, au cours des deux dernières années, selon PolishedPrices.com. En 2011, la Chine
a supplanté le Japon, devenant le deuxième pays acheteur de diamants après les Etats-Unis. BMO
Capital Markets estime que le marché du diamant poli dépassera 33 milliards de dollars d’ici à 2020.
Source : www.lesechos.fr – 16/05/2013
La production française HBJO en 2012
Selon Ecostat, le secteur de la bijouterie, joaillerie, orfèvrerie a connu en 2012 une augmentation de son
chiffre d’affaires de 7% pour atteindre 1 863 millions d’euros HT. 47% du chiffre d’affaires est réalisé en
France. La bijouterie/ joaillerie représente 83% de ce marché avec 1 538 millions d’euros HT, 12% pour
la bijouterie fantaisie avec 228 millions d’euros HT. Les pierres et perles représentent 2% du marché
avec 37 millions d’euros HT.
Source : Ecostat n° 121 – Mai 2013
Marques de luxe: le privilège d’être client
Pour les marques de luxe la fidélisation et la personnalisation de la relation client est un enjeu majeur.
Le premier outil de fidélisation demeure la marque. Pour se faire, le storytelling est un bon moyen
d’accroître la fidélité du client en lui faisant adhérer à son histoire, ses valeurs. Les marques de luxe se
doivent d’incarner le rêve, le désir et l’inaccessible notamment en mettant en scène le produit. Le client
doit se sentir unique et vivre une expérience inoubliable au travers de son expérience produit. Beaucoup
de professionnels croient en les communautés de marques via des espaces de discussion pour les
clients de l’enseigne et se donnent des conseils.
Source: marketing nº 167 -mai 2013
Des enseignes revisitent l’accueil des clients
3
fois plus de ventes de
bijoux en or 9 carats
en 2012 par rapport à
2011 en France
Source : Comité professionnel
Francéclat – 02/2013
Face à la concurrence accrue d’internet, des enseignes repensent
la façon d’accueillir les clients dans les points de vente physiques.
Monoprix souhaite passer d’une simple proximité en centre-ville à
une proximité relationnelle grâce à l’écoute, l’attention et le conseil.
L’enseigne place ses collaborateurs au cœur de la démarche. Les
vendeurs n’hésitent donc plus à donner des conseils culinaires sur
les stands, glisser un commentaire aimable en caisse. Un objectif
« relationnel » sera mis en place par les managers dans leur
méthode
d’encadrement.
Séphora,
pour
faciliter
la
personnalisation du conseil, renforce les formations de ses
conseillères de vente. De plus, ces dernières seront munies d’un
iPod qui, via la carte de fidélité de la cliente, permettra d’avoir
l’historique de ses achats afin de mieux la conseiller.
Source : www.laposte.fr – 21/05/2013
Location points de vente courte durée
Storefront est un nouveau concept aux Etats-Unis qui vient en aide aux entrepreneurs désireux de louer
une surface de vente pour une courte durée (un mois maximum). Disponible uniquement pour San
Francisco et New York, ce site met en relation les start-ups et les propriétaires de points de vente
souhaitant louer leurs surfaces de vente à des professionnels en recherche de locaux.
Source : www.oeilbylaser.com - 17/05/2013
Succès du paiement biométrique chez Auchan et Leroy Merlin
Bien que ce test soit éloigné de votre secteur d’activité, il est intéressant de noter que les nouvelles
technologies font notamment avancer les modes de paiement. Durant six mois, un test a été fait auprès
de 900 clients pour essayer le paiement biométrique. Le système développé par Natural Security
combine à la fois biométrie et sans-contact. Une carte de paiement renfermait les données biométriques
(préalablement recueillies chez les banques partenaires) et était enfilée dans une puce sans contact qui
communique avec le terminal de paiement. Le client était donc identifié par la biométrie. Globalement, le
test s’est avéré concluant puisque 96% des testeurs se disent prêts à l’adopter, valorisant la sécurité et
la praticité de ce moyen de paiement.
Source : LSA N° 2275 – 23/05/2013
Innovation participative. Comment faire émerger la créativité des salariés ?
Demander aux collaborateurs de proposer des idées est une bonne initiative à condition d'adopter une
démarche structurée. La réussite d'un programme d'innovation participative repose sur des règles
précises : un thème de réflexion, une durée limitée et un mode de sélection transparent des idées.
C'est un vecteur d'innovation efficace mais aussi de mobilisation et de management. La valorisation des
contributeurs est essentielle, soit sous forme d'un cérémonial de reconnaissance ou/et des prix octroyés
aux meilleures idées.
Source : ENTREPRISE ET CARRIERES, 23/04/2013
Produits
Bague en kit
Il fallait oser, il l’a fait. Lui, c’est Baptiste Monvoisin, créateur à Paris. Il a
imaginé une bague disposée en kit et composée d’une tourmaline et de
pièces en or gris. Ce bijou à réaliser soi-même est vendu au prix de
11 500€.
Source : Dreams – 06/2013
En votre honneur !
Bague en kit
de Baptiste Monvoisin
La médaille est traditionnellement un bijou attribué au baptême toutefois, elle se décline sur une
multitude de thèmes. Les bijoutiers s’amusent à en faire un bijou tendance en la revisitant, en la
colorant. Le joaillier Bvlgari utilise depuis longtemps les pièces de monnaie pour en faire des médailles
Elle devient donc un réel support de créativité. Minimaliste, Paloma Picasso pour Thiffany and Co l'a
notamment détournée avec humour en gardant uniquement la monture travaillée.
Source: les échos - édition limitée nº121 -mai 2013
Pactes d’amour
Pour sa collection « Lockit », Louis Vuitton s’est inspiré d’un
usage qui consiste à poser un cadena sur la grille d’un pont en
signe d’amour. Ainsi, un petit cadena scelle bagues, bracelets et
pendentifs en or jaune, rose ou gris, sertis ou pas. Rien de tel
pour se prouver l’amour éternel. Cela a toutefois un coût : 1 880€
la bague en or rose ou encore 12 400€ le bracelet en or gris et
diamants.
Bracelet Lockit
de Louis Vuitton
Source : Dreams – 06/2013
La bague LED personnalisée s’allume quand les mains du porteur sont tenues
Ben Kokes a eu l’idée de créer pour sa femme une bague non ordinaire. Composée de diamants, celleci à la particularité de s’allumer grâce à des LED lorsque les mains sont tenues par l’autre personne. La
bague inclut un anneau en titane et comprend plusieurs lumières LED placées sous sa surface. Un fil de
cuivre est intégré dans la bague, et quand il est exposé au bon champ magnétique alternatif, que l’autre
personne porte sous sa veste pour dissimuler l’appareil, lequel aidera à alimenter les lumières LED et
les allume quand le couple se tient les mains.
Source : http://fr.ubergizmo.com – 24/05/2013
L’IBS vous
communique
la pierre du
moment
L’émeraude
La famille de l’émeraude et de l’aigue-marine est le béryl qui est
incolore s’il est pur. La couleur d’une émeraude est due au chrome ou
au vanadium en très petite quantité. Le vert qui rappelle le renouveau
du printemps symbolise l’espérance. La taille émeraude met en valeur
cette teinte en tirant profit de la morphologie du brut. Les pierres
viennent essentiellement d’Amérique du Sud et d’Afrique de l’Est.
Émeraude brute de la mine de Chivor en Colombie
Acteurs
La mesure comme credo
Un concept nouveau vient d’être créé par Véronique Le Bansais, Nit Chea ainsi qu’Olivier Grammatico. Il
s’agit de MIHA, diminutif de Make It Happen. Ce trio souhaite offrir à tous la « possibilité de vivre
l’expérience de la commande spéciale ». Ainsi, une équipe de huit designers écoute le client, entre dans
son intimité pour réaliser le bijou qui lui convient le mieux et une fois le dessin réalisé, part à la conquête
de la pierre. La création peut également passer par la transformation de bijoux anciens et l’expertise de
pierres. Les premiers prix tournent autour de 5 000€ la bague.
Source : Dreams – 06/2013
Gemmyo marie la carpe et le lapin
Une campagne de publicité marquante, c’est ce que vient de s’offrir l’enseigne Gemmyo. En effet, le
joaillier a souhaité valoriser dans le métro et sur les réseaux sociaux ses créations personnalisées de
bijoux en ligne. Pour « marquer » les internautes, il s’appuie sur l’actualité avec des affiches quelques
peu…provocatrices. Ainsi, sous un visuel de bijou, il est possible d’y lire : « Ségolène imagine une
bague pour Valérie » ou encore « François pour Angéla » !
Source : Stratégies n°1724 – 23/05/2013
2 815
entreprises en
bijouterie-joaillerieorfèvrerie dont 97 en
Pays de la Loire
Source :Ecostat– 05/2013
Pandora charme la planète
La tendance du bijou personnalisable, Pandora en a fait sa spécialité. Avec plus de 600 charms et des
milliers de points de vente dans le monde, l’enseigne connaît de belles heures. Le concept de Pandora
est de miser sur la créativité des femmes et de jouer sur leurs grands événements pour rajouter un
charm à leur bracelet argent. S’adapter à tous les budgets et avoir le détail des motifs et des finitions
main, c’est ce qui fait le succès du concept selon Patrick Szraga, en charge de la distribution France.
Pour information, en France, Pandora compte six boutiques. L’enseigne a réalisé un chiffre d’affaires de
900 millions d’euros en 2011.
Source : Dreams – 06/2013
La 3D au cœur de l’exposition « Reflets »
Les retours sur l’exposition « Reflets » initiée par le Comité Francéclat au Palais de Tokyo fin mai sont
très positifs. Nombreux sont les visiteurs qui ont apprécié (re) découvrir la créativité, la diversité et les
jeux de matière de la joaillerie. Pour l’occasion, le FashionLab Dassault Systèmes a présenté un atelier
de design virtuel. Il a permis aux visiteurs de découvrir les nouvelles technologies de création 3D de
bijoux virtuels, en composant avec différentes textures, matériaux ou couleurs, leurs bijoux virtuels.
Source : www.abc-luxe.com -30/05/2013
Elle était apprentie au sein de l’IBS…
Interview de Coralie-Jasmine ROBIN
Bague or blanc,
tourmaline verte,
diamants blancs et
verts par CoralieJasmine Robin.
Apprentie en bijouterie, joaillerie, sertissage et gemmologie à l’IBS de 2004 à 2011.
A suivi la formation « Gestionnaire d’Unité Commerciale spécialisée en bijouterie-horlogerie »
en 2011-2012.
A créé son entreprise, un atelier de bijouterie-joaillerie-sertissage en février 2013.
Qu’est-ce qui vous a amené à choisir la filière bijouterie comme orientation
professionnelle ?
Après une année en seconde générale au lycée, je me suis rendue compte que j’avais envie
d’apprendre un métier manuel. J’ai fait des recherches documentaires et ai lu un article de
presse sur le métier de bijoutier. Cela m’a tout de suite passionné. J’ai rencontré des
bijoutiers, des écoles professionnelles pour affiner mes recherches. J’ai été attirée par le
côté manuel et créatif du métier.
Vous avez réalisé la majorité de votre parcours de formation par apprentissage,
pourquoi ce choix de filière de formation ?
J’ai fait ma 1ère année de formation en lycée car je n’avais pas trouvé de maître
d’apprentissage. Je n’ai pas baissé les bras et ai poursuivi mes recherches d’un contrat
pendant cette année de formation. J’ai eu la chance de trouver ensuite rapidement un
maître d’apprentissage : ce sont mes qualités professionnelles (patience, rigueur) qui ont
séduit le bijoutier-joaillier. L’apprentissage est la meilleure façon d’apprendre un métier : il
permet d’acquérir immédiatement une formation technique de qualité et d’être confronté à la
réalité professionnelle. En outre, les formateurs du CFA sont des professionnels issus de
l’entreprise et cela nous permet d’être toujours en phase avec le métier quel que soit le lieu
de formation.
Au cours de vos 7 années de formation technique en bijouterie, quels événements ont
marqué votre parcours de formation ?
J’ai appris le métier de bijoutier-joaillier-sertisseur chez 3 professionnels. Ces changements
de lieux d’apprentissage ont été très bénéfiques pour apprendre des techniques
professionnelles différentes et complémentaires à la fois. Je n’ai pas cherché à faire « une
course aux diplômes » mais à acquérir un maximum de compétences dans la perspective
de me mettre à mon compte dans l’avenir. J’ai également beaucoup apprécié participer au
concours des olympiades des métiers : j’ai remporté la médaille de bronze aux finales
nationales à Amiens en 2007. Cette expérience m’a permis de me confronter à d’autres
candidats et de gagner en rapidité d’exécution. Un concours nous oblige à donner le
meilleur de nous.
Vous avez terminé votre parcours de formation en 2012 par la formation
« Gestionnaire d’Unité Commerciale spécialisée en bijouterie-horlogerie », quel était
votre projet professionnel ?
J’avais le projet de créer mon entreprise en 2011 à la fin de mon parcours de formations
techniques. Or, quand une opportunité s’est présentée, je me suis rendue compte que je
manquais de confiance en moi face à certains professionnels tels qu’un comptable ou
encore les services administratifs liés à la création d’entreprise. C’est ainsi que la formation
de Gestionnaire d’Unité Commerciale m’a paru être le bon compromis pour avoir un profil
technico-commercial, indispensable à une gestion d’entreprise. On peut être un bon
technicien mais ne pas savoir vendre ses produits. J’ai créé mon atelier de bijouteriejoaillerie-sertissage en février 2013. Les relations professionnelles développées pendant
cette formation m’ont apporté les premiers clients pour démarrer mon entreprise. Je sais
aujourd’hui que je possède les compétences et outils nécessaires à la gestion d’une
entreprise.
Echos de l’Institut
L’Apprentissage : Vous envisagez de recruter ? Pourquoi pas avec l’apprentissage…
Trouver du personnel qualifié et compétent est un enjeu pour votre entreprise.
L’apprentissage reste le moyen le plus efficace de transmettre vos savoir-faire et d’assurer ainsi un
niveau de formation capable de s’adapter aux exigences de votre profession. L’Institut de Bijouterie
forme aujourd’hui plus de 100 jeunes au sein d’une filière de formations complémentaires en bijouteriejoaillerie-sertissage-gemmologie du CAP au BMA et BP. Nous pouvons vous offrir aujourd’hui un choix
de candidatures adaptées à vos besoins et l’opportunité de rencontrer des jeunes que vous aurez vousmême sélectionnés. En embauchant dans le cadre d’un contrat d’apprentissage, votre entreprise peut
bénéficier d’aides financières : une prime annuelle de 1000€ minimum versée par les Conseils
Régionaux, l’exonération des charges sociales, un crédit d’impôt de 1600€ par apprenti.
Exemples de rémunération :
SALAIRE MINIMUM BRUT MENSUEL
Année d’exécution
du contrat
Jusqu’à 17 ans
De 18 à 20 ans
21 ans et plus
1ère année
2ème année
3ème année
25% soit 349.59€
37% soit 517.40€
53% soit 741.14€
41% soit 573.33€
49% soit 685.20€
65% soit 908.94€
53% soit 741.14€
61% soit 853.01€
78% soit 1090.73€
Pour tout complément d’informations, vous pouvez contacter dès à présent Madame Stella RENAUBABIN au 02.41.83.53.87.
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Contact : Geneviève BELLON au 02 41 83 53 93 ou par email : [email protected]
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49412 SAUMUR CEDEX
Tél: 02 41 83 53 93
www.institutdebijouterie.fr
Contact pour l’IBS : Valérie GIRAUD
[email protected]
Directeur de publication : Eric GROUD
Contact pour la lettre de veille: [email protected] ou 02.41.49.57.29