DOSSIER DE PRESSE
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DOSSIER DE PRESSE Contact Presse Sabine Contact Tour Sandrine +33 (0) 4 91 42 02 39 htpp://jugalbandi.free.fr [email protected] . En sanscrit, JUGAL BANDI signifie "Liés ensemble". En réunissant sur scène une chanteuse guinéenne, un percussionniste algérien, un joueur de tabla indien, un joueur de sarod et d'esraj, fondateur du groupe Nataraj XT, un trompettiste adepte de jazz et de fanfares d'Europe de l'Est et un bassiste issu de la scène électro-expérimentale, Venus des quatre coins de la planète Musique, ses membres donnent un nouveau sens au mot "multiculture". . PETITE HISTOIRE C'est lors d'une émission de radio ayant pour thème les musiques improvisées que Rishi, passionné de musique indienne, et Rico, trompettiste, se rencontrent. Ils improvisent quelques notes, les premières de ce qui allait devenir Jugal Bandi. Très vite, le bassiste Laurent Pernice les rejoint. Deux premiers concerts en novembre 2003 à l'Exodus (Marseille) et l'aventure commence. Ils participent à la première compilation du label Exodus, "Les Nuits de l'Inde", et sont programmés au festival du même nom en mai 2004. Sayon Bamba Camara, chanteuse et danseuse guinéenne, intègre alors le groupe. Après de nouvelles compositions et une série de concerts dans le Sud-Est à l'été 2004, Pinku, tabliste indien, et Hamid Gribi, percussionniste algérien, viennent à leur tour enrichir la palette sonore du groupe. Jugal Bandi arrive ainsi à maturité et émeut tout un public, aussi bien à Marseille qu'à Paris... SAYON BAMBA CAMARA Sayon est une chanteuse, comédienne et danseuse guinéenne établie à Marseille. Passionnée par les multiples facettes de l'expression artistique et malgré les résistances de sa famille, elle a su multiplier les expériences et les opportunités d'apprentissage. Sa jeunesse a été marquée par son admiration pour Myriam Makeba, les Ballets Africains, la musique traditionnelle et le métissage culturel. C'est ainsi que tout au long de sa carrière, elle a tablé sur les rencontres aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de son pays d'origine pour dynamiser et enrichir sa créativité. Aujourd'hui installée à Marseille, elle a réaffirmé son pari en faveur de la fusion des genres, sans renier pour autant ses racines et les traditions africaines. Depuis ses débuts, son chemin a croisé différentes compagnies théâtrales et différents groupes musicaux, sans jamais oublier l'univers de la danse. Récemment on a pu ainsi la voir en première partie de Bénabar avec son Trio Camara, qui reprend des chansons françaises en versions africaines (soussou, bambara) ; mais aussi au sein du Cabaret Nomade en tournée en France, en Algérie et en Afrique de l'Ouest ; au côté de Miquèu Montanaro, créateur de "nouvelles musiques traditionnelles", pour son spectacle Opéra Dona ; ou encore sur le CD "Via Conakry" avec le Marseille Combo Group. RICHARD BERNET En 1972, de retour d'un voyage en Inde, ce Marseillais par intermittence s'installe en Californie où il s'initie au sarod, sorte de luth indien, auprès du virtuose Ali AkbarKhan. Plusieurs voyages en Inde et de nombreuses rencontres avec des musiciens de renom lui permettent de poursuivre cette formation classique. Au-delà de ce répertoire multimillénaire, Rishi aime à confronter les sonorités ancestrales de ses instruments aux couleurs et aux rythmes d'aujourd'hui. C'est ainsi qu'on a pu le voir aux côtés de Massilia Sound System ou au sein du groupe Nataraj XT, qui réunissait musique électronique et musique traditionnelle indienne. Sur scène il joue également de l'esraj. Ce violon indien très ancien est aujourd'hui en voie de disparition dans son pays d'origine... LAURENT PERNICE Tout commence par des cours de piano, à l'âge de 5 ans, à Toulon. Avec l'adolescence, le piano se change en guitare, puis en basse électrique. Il joue dans plusieurs groupes de la région, mais est irrésistiblement attiré par des expérimentations solo avec le matériel qu'il peut se procurer. Durant la période punk, il écoute du jazz, des musiques nouvelles, et bidouille les sons dans un grenier. près un accident de moto qui le prive de l'usage de sa main gauche durant près de deux ans, il se tourne vers les musiques électroni- ques et compose en 1988 son premier album "Détails", mélange de sons acoustiques, électroniques et de samples. Après être monté à Paris, il rencontre le groupe Nox dans lequel il sera percussionniste pendant trois ans. Durant cette période, il sort deux nouveaux CD. Le premier est très influencé par le groupe, le second lui permet d'explorer de nouveaux mixages: musiques ethniques, nouvelles et groovy. Il rencontre à cette occasion le groupe allemand POL. D'où, quelque temps plus tard, un autre CD, plus ambiant-techno, enregistré à Cologne avec Marcus Schmickler, l'un des membres du groupe. Et puis le désir de retrouver le soleil de son enfance le pousse à s'installer à Marseille, où il aménage son home-studio en 1997. Là, il compose trois nouveaux albums, où il expérimente en solo toutes les possibilités de l'électronique. Aujourd'hui, outre Jugal Bandi, il travaille avec Jacques Barbéri, écrivain et saxophoniste, sur une musique aux accents jazzy. Et, avec le DJ Big Buddha, il a fondé le groupe Goldenberg & Schmuyle, orienté électro-world. NABANKUR BHATTACHARYA Nabankur Bhattacharya commence l'étude des tablas à l'âge de 7 ans. C'est d'abord son frère aîné Trinankur Bhattacharya qui se charge de l'instruire. Très vite, voyant la vitesse à laquelle il progresse, on le confie à son oncle, le maître renommé Pandit Damarupani Bhattacharya. A 15 ans, il obtient le diplôme "Sangeet Visharad" de l'Université d'Allahabad, après avoir étudié pendant cinq ans la théorie de la musique classique indienne. A 24 ans, après une série de sélections au niveau national, il décroche la bourse qu'accorde annuellement le ministère de la Culture indien aux trente musiciens les plus talentueux pour leur permettre de poursuivre l'étude de leur instrument dans les meilleures conditions possibles. Au même moment, il devient l'élève du très célèbre Pandit Anindo Chatterjee, dont il restera le disciple. Nabankur Bhattacharya a joué sur scène partout en Inde et a accompagné des musiciens, chanteurs et danseurs de renom comme A. Kanan, Prova Atra ou Ulhas Koshalkar. Depuis 2000, il se produit aussi en Afrique et en Europe : Norvège, Suède, Suisse, Belgique et bien sûr en France, où il est maintenant installé. HAMID GRIBI Son histoire avec la musique commence en avril 1993, date à laquelle il entreprend une formation à l'école de percussion Kunga'ka. C'est ainsi qu'il s'initie aux percussions cubaines, asiatiques, orientales, africaines (djembé, calebasse, octom,balafon, kalimba, congas, bongos, bendire, darbouka, marimba bambou). En 1996, il fait la connaissance de Sékouba Camara, directeur artistique de l'Ensemble symphonique traditionnel de Guinée. En 1999, il est lauréat Défi jeunes et effectue un voyage de trois mois en Guinée pour approfondir ses connaissances en percussions africaines. De retour en France, il joue dans plusieurs formations : Dobet Gnahore, Bamboo Orchestra de Marseille, Cabaret Nomade, Ba Cissoko, Jugal Bandi groupes avec lesquels il donne de nombreux concerts en France et dans le monde. Il a créé un set original de percussions qu'il appelle "batterie africaine" : regroupant des percussions d'origines diverses, il lui permet de donner la pleine mesure de son talent. Il pratique plusieurs instruments : Djembé, calebasse, bara, doumdoum, krine, balafon, kalimba, timbales,congas, bongos, climats, bendir, darbouka, marimba bambou, chant, batterie. ERIC MASSUA Son parcours fait alterner arts sonores (musique, fiction radio) et arts visuels (projection, installation). Pour lui, il n'y a pas de véritables frontières entre ces deux mondes tant ils sont intimement liés : chaque discipline en appelle une autre, et rien ne lui plaît tant que de défricher de nouveaux territoires. C'est ainsi qu'il partage son temps entre différentes créations. Trompettiste pour la musique métissée de Jugal Bandi ou pour la musique de rue de la fanfare Samenakoa, il travaille aussi sur les projections vidéo sur objets, notamment dans le cadre de contes pour enfants (Asaman, Des poissons et des hommes). Il a également créé des installations ludiques et interactives, comme sa "Trombinoscopie chantante", présentée à la Villette Numérique, à la Friche de la Belle de Mai de Marseille et à la Laiterie de Strasbourg. Ses diverses rencontres avec des musiciens (Alif Tree), des metteurs en scène (François Cervantes), des chorégraphes (Marco Becherini), des programmateurs informatiques, des sociologues et bien d'autres lui ont permis d'enrichir son imaginaire tout en restant proche des réalités sociales. Pour lui, "la musique se joue sur les toits du monde, on ne cesse de la rencontrer”rer". EXTRAITS DE LA REVUE DE PRESSE JUGAL BANDI MARSEILLE L HEBDO 17 MAI 2006 LA MARSEILLAISE 26 FEVRIER 2005 LE CESAR 19 OCTOBRE 2005 LA MARSEILLAISE 16 OCTOBRE 2005 Hindustan Times (Inde) 20 JUiN 2006 Hindustan Times (Inde) 20 JUiN 2006 Times of India (Inde) 20 JUiN 2006 Tribune (Inde) 20 JUiN 2006