DOSSIER DE PRESSE

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Sabine
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.
En sanscrit, JUGAL BANDI signifie "Liés ensemble".
En réunissant sur scène une chanteuse guinéenne, un percussionniste algérien, un joueur de tabla indien, un joueur de sarod et
d'esraj, fondateur du groupe Nataraj XT, un trompettiste adepte
de jazz et de fanfares d'Europe de l'Est et un bassiste issu de la
scène électro-expérimentale,
Venus des quatre coins de la planète Musique,
ses membres donnent
un nouveau sens au mot "multiculture".
.
PETITE HISTOIRE
C'est lors d'une émission de radio ayant pour thème les musiques
improvisées que Rishi, passionné de musique indienne, et Rico, trompettiste, se rencontrent.
Ils improvisent quelques notes, les premières de ce qui allait devenir Jugal Bandi. Très vite, le bassiste Laurent Pernice les rejoint.
Deux premiers concerts en novembre 2003 à l'Exodus (Marseille) et
l'aventure commence.
Ils participent à la première compilation du label Exodus, "Les Nuits
de l'Inde", et sont programmés au festival du même nom en mai 2004.
Sayon Bamba Camara, chanteuse et danseuse guinéenne, intègre
alors le groupe. Après de nouvelles compositions et une série de
concerts dans le Sud-Est à l'été 2004, Pinku, tabliste indien, et
Hamid Gribi, percussionniste algérien, viennent à leur tour enrichir
la palette sonore du groupe. Jugal Bandi arrive ainsi à maturité et
émeut tout un public, aussi bien à Marseille qu'à Paris...
SAYON BAMBA CAMARA
Sayon est une chanteuse,
comédienne et danseuse guinéenne établie à Marseille.
Passionnée par les multiples facettes de l'expression
artistique et malgré les résistances de sa famille, elle a su
multiplier les expériences et les opportunités d'apprentissage.
Sa jeunesse a été marquée par son admiration pour Myriam Makeba, les
Ballets Africains, la musique traditionnelle et le métissage culturel.
C'est ainsi que tout au long de sa carrière, elle a tablé sur les rencontres
aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de son pays d'origine pour dynamiser et
enrichir sa créativité.
Aujourd'hui installée à Marseille, elle a réaffirmé son pari en faveur de la fusion
des genres, sans renier pour autant ses racines et les traditions africaines.
Depuis ses débuts, son chemin a croisé différentes compagnies théâtrales et différents groupes musicaux, sans jamais oublier l'univers de la danse.
Récemment on a pu ainsi la voir en première partie de Bénabar avec son Trio
Camara, qui reprend des chansons françaises en versions africaines (soussou, bambara) ; mais aussi au sein du Cabaret Nomade en tournée en
France, en Algérie et en Afrique de l'Ouest ; au côté de Miquèu
Montanaro, créateur de "nouvelles musiques traditionnelles", pour
son spectacle Opéra Dona ; ou encore sur le CD "Via Conakry"
avec le Marseille Combo Group.
RICHARD BERNET
En 1972, de retour d'un voyage en
Inde, ce Marseillais par intermittence s'installe en Californie où il s'initie au sarod, sorte de
luth indien,
auprès du virtuose Ali AkbarKhan.
Plusieurs voyages en Inde et de nombreuses rencontres
avec des musiciens de renom
lui permettent de poursuivre cette formation
classique.
Au-delà de ce répertoire multimillénaire, Rishi aime à confronter les
sonorités ancestrales de ses instruments aux couleurs
et aux rythmes d'aujourd'hui.
C'est ainsi qu'on a pu le voir aux côtés de Massilia Sound System ou au sein du
groupe Nataraj XT, qui réunissait musique électronique et musique traditionnelle indienne. Sur scène il joue également de l'esraj.
Ce violon indien très ancien est aujourd'hui en voie de disparition
dans son pays d'origine...
LAURENT PERNICE
Tout commence par
des cours de piano, à l'âge
de 5 ans, à Toulon.
Avec l'adolescence, le piano se
change en guitare, puis en basse électrique. Il joue dans plusieurs groupes de la
région, mais est irrésistiblement
attiré par des expérimentations solo avec le matériel
qu'il peut se procurer.
Durant la période punk, il écoute du jazz, des musiques nouvelles, et bidouille les sons dans un grenier.
près un accident de moto qui le prive de l'usage de sa main gauche
durant près de deux ans, il se tourne vers les musiques électroni-
ques et compose en 1988 son premier album "Détails", mélange de sons
acoustiques, électroniques et de samples.
Après être monté à Paris, il rencontre le groupe Nox dans lequel il sera
percussionniste pendant trois ans.
Durant cette période, il sort deux nouveaux CD. Le premier est très influencé
par le groupe, le second lui permet d'explorer de nouveaux mixages: musiques
ethniques, nouvelles et groovy.
Il rencontre à cette occasion le groupe allemand POL.
D'où, quelque temps plus tard, un autre CD, plus ambiant-techno, enregistré à
Cologne avec Marcus Schmickler, l'un des membres du groupe. Et puis le désir de
retrouver le soleil de son enfance le pousse à s'installer à Marseille, où il aménage son home-studio en 1997. Là, il compose trois nouveaux albums, où il expérimente en solo toutes les possibilités de l'électronique. Aujourd'hui, outre
Jugal Bandi, il travaille avec Jacques Barbéri, écrivain et saxophoniste, sur
une musique aux accents jazzy. Et, avec le DJ Big Buddha, il a fondé le
groupe Goldenberg & Schmuyle, orienté électro-world.
NABANKUR BHATTACHARYA
Nabankur Bhattacharya commence l'étude des tablas à l'âge de 7 ans.
C'est d'abord son frère aîné Trinankur Bhattacharya
qui se charge de l'instruire.
Très vite, voyant la vitesse à laquelle il progresse,
on le confie à son oncle, le maître renommé Pandit Damarupani Bhattacharya.
A 15 ans, il obtient le diplôme "Sangeet Visharad" de l'Université d'Allahabad, après avoir
étudié pendant cinq ans la théorie de la musique classique indienne.
A 24 ans, après une série de sélections au niveau national,
il décroche la bourse qu'accorde annuellement le ministère de la Culture indien aux trente
musiciens les plus talentueux pour leur
permettre de poursuivre l'étude de leur instrument dans les meilleures conditions possibles.
Au même moment, il devient l'élève du très célèbre Pandit Anindo Chatterjee,
dont il restera le disciple.
Nabankur Bhattacharya a joué sur scène partout en Inde et a accompagné des musiciens,
chanteurs et danseurs de renom comme A. Kanan, Prova Atra ou Ulhas Koshalkar.
Depuis 2000, il se produit aussi en Afrique et en Europe : Norvège, Suède, Suisse,
Belgique et bien sûr en France, où il est maintenant installé.
HAMID GRIBI
Son histoire avec la musique commence en avril 1993,
date à laquelle il entreprend une formation à l'école de
percussion Kunga'ka.
C'est ainsi qu'il s'initie aux percussions cubaines, asiatiques, orientales, africaines (djembé, calebasse, octom,balafon, kalimba, congas,
bongos, bendire, darbouka, marimba bambou).
En 1996, il fait la connaissance de Sékouba Camara, directeur artistique de
l'Ensemble symphonique
traditionnel de Guinée.
En 1999, il est lauréat Défi jeunes et effectue un voyage de trois mois en Guinée pour
approfondir ses connaissances en percussions africaines. De retour en France, il joue dans
plusieurs formations : Dobet Gnahore, Bamboo Orchestra de Marseille, Cabaret Nomade,
Ba Cissoko, Jugal Bandi groupes avec lesquels il donne de nombreux concerts en France et
dans le monde.
Il a créé un set original de percussions qu'il appelle
"batterie africaine" : regroupant des percussions d'origines diverses,
il lui permet de donner la pleine mesure de son talent.
Il pratique plusieurs instruments :
Djembé, calebasse, bara, doumdoum, krine, balafon, kalimba, timbales,congas, bongos,
climats, bendir, darbouka,
marimba bambou, chant, batterie.
ERIC MASSUA
Son parcours fait alterner arts sonores (musique, fiction radio) et arts visuels
(projection, installation).
Pour lui, il n'y a pas de véritables frontières entre ces
deux mondes tant ils sont intimement liés : chaque discipline en appelle une autre, et rien ne lui plaît tant que de
défricher de nouveaux territoires.
C'est ainsi qu'il partage son temps entre différentes créations.
Trompettiste pour la musique métissée de Jugal Bandi ou pour la musique de rue de la fanfare Samenakoa, il travaille aussi sur les projections
vidéo sur objets, notamment dans le cadre de contes pour enfants (Asaman,
Des poissons et des hommes).
Il a également créé des installations ludiques et interactives, comme sa
"Trombinoscopie chantante", présentée à la Villette Numérique, à la Friche de la
Belle de Mai de Marseille et à la Laiterie de Strasbourg. Ses diverses rencontres
avec des musiciens (Alif Tree), des metteurs en scène (François Cervantes), des chorégraphes (Marco Becherini), des programmateurs informatiques, des sociologues et
bien d'autres lui ont permis d'enrichir son imaginaire tout en restant proche des réalités sociales.
Pour lui, "la musique se joue sur les toits du monde,
on ne cesse de la rencontrer”rer".
EXTRAITS DE
LA REVUE DE PRESSE
JUGAL BANDI
MARSEILLE L HEBDO
17 MAI 2006
LA MARSEILLAISE
26 FEVRIER 2005
LE CESAR
19 OCTOBRE 2005
LA MARSEILLAISE
16 OCTOBRE 2005
Hindustan Times (Inde)
20 JUiN 2006
Hindustan Times (Inde)
20 JUiN 2006
Times of India (Inde)
20 JUiN 2006
Tribune (Inde)
20 JUiN 2006