Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible le 26 février
sur les plateformes numériques
Montréal, janvier 2016 – Dix ans après ses débuts remarqués avec
le succès Lili, le duo français AaRON unissant Simon Buret et Olivier
Coursier est de retour avec son tout nouvel album, le sombre et
élégant We Cut the Night qui sera disponible au Canada le
26 février sur les plateformes numériques. AaRON effectuera une
rare visite à Montréal le 20 février prochain au Métropolis dans le
cadre de Montréal en lumière. Fan de Radiohead et Portishead,
réputé pour ses chansons poétiques superbement orchestrées
déclinées en anglais sur fond d’électro-pop aérienne, Aaron promet
un somptueux voyage envoûtant et hypnotique,
L’âge d’or d’une certaine idée de la pop en tête, mais le regard
définitivement tourné vers l’avenir, AaRON vagabonde au gré de
ses humeurs sur We Cut the Night, entre autres sur “Magnetic
Road”, sorte de gospel post-moderne qui prend aux tripes et dont
le cœur bat au ralenti. Rythmiques hypnotiques (la pièce-titre),
ritournelles que l’on crève déjà de reprendre en chœur (le classique
“Blouson Noir”, l’irrésistible “The Leftovers”) se bousculent dans
un disque où, au détour d’un couplet, au détour d’un refrain, l’on
croise le fantôme de Marvin Gaye et les silhouettes de Depeche
Mode. Un disque où le minimalisme subjugue (“Invisible Stains”, “2 :22”)
où l’on découvre des comptines réservées aux adultes (l’entêtant
“Ride On”, “Maybe On The Moon”, magnifié par une fausse
ingénuité), où le temps se suspend (“Shades Of Blue” en guise de
ballade martiale). Où l’on ferme les yeux pour mieux esquisser un,
ou deux, pas de danse (“Onassis”). Enregistré en autarcie dans le
studio d’Olivier Coursier à cheval sur les années 2014 et 2015, “We
Cut The Night” est ainsi un album d’atmosphères, d’histoires, de
nouvelles. Un album qui lève le voile sur l’intimité avec une pudeur
troublante. Qui fait briller le noir de mille feux. C’est une célébration.
Une célébration qui va rendre vos nuits plus belles que vos jours.
AaRON
We Cut The Night
EN SPECTACLE
20 février
Montréal - Métropolis
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Twitter Voir le clip Blouson Noir
Source :
JUNZI Arts
Informations : Simon Fauteux
[email protected]
Larissa Souline
[email protected]
SIX media marketing inc.
514 544-7013
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
www.sixmedia.ca
Dans l’histoire de la musique pop, ils ne sont pas si nombreux à y
être parvenus. À avoir compris qu’il fallait oser. Tenter. Parier. Qu’il
fallait se réinventer pour ne pas sombrer dans une routine aussi
confortable que détestable. Sans prendre trop le temps de la
réflexion, on pourrait penser à The Human League qui, à la charnière
des années 1970 et 1980, a troqué ses expérimentations élec­
troniques pour façonner une electropop irrésistible. Nick Cave, lui,
a abandonné le punk rock disloqué pour se métamorphoser en
crooner atemporel alors que sur la dépouille de Joy Division, New
Order a imaginé une disco froide et implacable, véritable machine
à danser intelligemment. Se réinventer, donc. Pour certains, un défi.
Pour d’autres, une nécessité. Comme une seconde nature…
Un succès foudroyant, un respect autant public que critique, une
reconnaissance qui a vite dépassé le cadre de nos frontières : la
logique aurait donc voulu AaRON applique la même formule – des
chansons faisant la part belle à l’acoustique, rehaussées de quelques
variantes ici ou là – et se laisse dériver. Avant de (s’)échouer ? Peutêtre. Sans doute. Mais on ne le saura jamais. Car Simon Buret et
Olivier Coursier, unis par une complicité sans nulle autre pareille
près d’une décennie après leur première rencontre, ont donc choisi
de tout effacer. Pour mieux recommencer. Ou presque. We Cut
the Night annonce la couleur dès son titre : ce troisième album est
un disque nocturne, une œuvre pour noctambules – réels, ima­
ginaires, peu importe –, qui déambulent au gré de leurs appétences.
Observent, discutent, rigolent, écoutent les bruits, les conversations,
et les silences aussi. Se posent – sur un banc, à un bar –, puis
repartent. Sans se préoccuper de la fin du “voyage”. Alors, ces dix
chansons pourraient former la bande originale fantasmée de ces
flâneries. Une bande originale où l’électronique règne en maître,
où des synthés vintage s’appuient sur des boites à rythmes d’un
autre siècle, où des arrangements classiques flirtent avec des
accents rétro-futuristes. Où se bousculent incertitudes et ad­
diction(s), obsessions et convictions.

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