INEPI 11/13 ( PDF - 323.4 ko)

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INEPI 11/13 ( PDF - 323.4 ko)
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 11/
11/13 28 Mars 2011
La pensée de la semaine
«Cet air emprunté, un jour, il faudra le rendre.»
Ylipe
ERDF équipe 1100 techniciens de maintenance en navigation GPS
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-erdf-equipe-1100-techniciens-de-maintenance-en-navigation-gps-23113.html
ERDF est le plus important distributeur d'électricité en Europe et une filiale à 100 % du groupe EDF. ERDF équipe 1100
de ses 10 000 techniciens travaillant sur le terrain dans l'hexagone d'une solution de navigation GPS.
Ce logiciel de navigation est intégré au sein du PDA fourni aux techniciens dans le pilote d'une nouvelle solution mobile et guide les
techniciens du réseau ERDF étape par étape, d'intervention en intervention. ERDF assure la maintenance et l'exploitation continues de
son réseau ainsi qu'un nombre important de dépannages clients. Le réseau compte près de 1,3 million de kilomètres de lignes électriques
au service de plus de 33 millions de clients. Pour améliorer l'efficience de la maintenance sur site, ERDF a lancé le projet Tamaris, qui
propose une solution de gestion des équipes en mobilité. Elle regroupe plusieurs systèmes industriels : solution de gestion des workflows
en mobilité, système d'optimisation des ressources humaines et matérielles, et un service de navigation par GPS intégré.
Grâce à la navigation GPS intégrée, les 1100 agents ERDF expérimentant cette solution opérationnelle reçoivent les coordonnées de leurs
lieux d'intervention directement sur leur outil portatif multifonctions ou PDA. La solution tactile les mène vers leurs lieux d'intervention
successifs, en leur fournissant un itinéraire détaillé pas à pas, avec guidage vocal. La solution a été intégrée avec les responsables du
projet Tamaris sur le PDA supportant par ailleurs les applications communicantes du métier en mobilité.
Il s'agit d'un premier déploiement. « Cette toute première opération de grande envergure est extrêmement importante pour notre
entreprise. Nous avons capitalisé sur plusieurs expérimentations conduites localement par nos divisions opérationnelles. Le projet
TAMARIS a pour objet d'instrumenter, pour la première fois, 10 000 techniciens intervenant tous les jours et dans toutes les conditions
partout en France » déclare Serge Mercadier, responsable du programme GDI (Gestion des interventions) à ERDF. Il complète : « nous
avons pu mettre en œuvre une infrastructure informatique et télécom intégrant l'ensemble des composants requis pour composer une
vraie solution de gestion des équipes terrain en mobilité, avec le degré de fiabilité et de sécurité escompté ». C'est la solution CoPilot Live
Professional d'ALK Technologies qui a été retenue. NAVTEQ est le fournisseur des cartes numériques.
Mobilité électrique: ez-Wheel réinvente la roue
http://www.smartplanet.fr/smart-technology/mobilite-electrique-ez-wheel-reinvente-la-roue-1220/
Avec sa roue électrique, ez-Wheel propose une solution simple pour électrifier les véhicules et appareils de manutention.
Nos antiques bicyclettes vont bientôt prendre un coup de vieux. La start-up charentaise ez-Wheellance en effet la production de roues
électriques destinées à équiper vélos, chariots et autres appareils de manutention. « Nous sommes tous les trois des anciens ingénieurs
du fabricant de batteries Saft explique Jérôme Pénigaud, président d’ez-Wheel. Nous voulions faciliter le passage des véhicules à
l’électrique. Nous en avons déduit qu’il fallait réunir l’ensemble du dispositif dans la roue. »
3 ans de recherche et quelques prototypes plus tard, les premiers modèles d’ez-Wheel intègrent donc le stockage de l’énergie, la
motorisation et le système électronique dans un même moyeu. Un gage de simplicité pour l’utilisateur. « Cette roue est parfaitement
autonome. Il suffit de la monter sur n’importe quel engin pour l’électrifier. Je prends un vélo, je change une roue et je dispose d’un vélo à
assistance électrique. » Une idée déjà entraperçue sur le concept italien de « Roue de Copenhague » présenté fin 2009 par le MIT.
Une autonomie de 30 km Doté d’un système de récupération de l’énergie lors du freinage et de la
décélération, la roue d’ez-Wheel revendique une autonomie d’environ 30 kilomètres pour un temps de
recharge compris entre trois et cinq heures. L’énergie est stockée dans des batteries nickel-hydrure metal
(NiMH) dont la durée de vie est réputée supérieure à celle des batteries lithium-ion. Avec néanmoins un
sérieux désavantage: les accumulateurs NiMH présentent un net surpoids.
« Pour nous ce n’est pas un inconvénient car tout le poids est porté par l’axe de la roue nuance, Jérôme
Pénigaud. Pour les systèmes de manutention, cela permet même de stabiliser les engins. C’était l’ailleurs la
bonne surprise de nos premiers tests. » Comptez quand même 6 à 8 kg par roue, soit un poids équivalent à
celui d’un kit électrique classique. A noter que le système peut fonctionner en traction, en propulsion ou en
deux-roues motrices.
Cible prioritaire: les professionnels Le mois dernier, les 200 premières unités d’ez-Wheel sont sorties des
chaînes de production de Saft et de Leroy-Somer, partenaires industriels du projet. Vendues entre €500 et
€600 pièce, ces roues sont destinées au transport de charges et de personnes (brouettes, lits d’hôpitaux…).
Le lancement de la gamme cycle – concurrente des vélos à assistance électrique – est, lui, programmé pour la fin 2011. « Nous avons
deux axes forts de commercialisation. La première cible, c’est le marché des fabricants d’engins mécaniques qui souhaitent proposer une
gamme électrique grâce à nos roues. Par ailleurs, nous visons également la vente de produits aux structures qui possèdent déjà un parc
d’engins. Notre roue leur permettra ainsi de passer à l’électrique sans changer tous leurs vélos ou leurs appareils de manutention. »
Le trio fondateur d’ez-Wheel table sur 1000 unités produites à fin 1S 2011. Pas encore la roue de la fortune, mais l’espoir d’une réussite.
ez-Wheel en bref Création: décembre 2009 ; Fondateurs: Jérôme Pénigaud, Florian Gardes et Antoine Juan ; Siège social: Saint Michel
(16) ; Effectif: 7 salariés ; Capital: €1,5 M ; Capacité de production: 50.000 roues par an ; Distinctions: Concours européen de l’entreprise
innovante 2010 (Jeune Chambre économique française), Trophée Poitou-Charentes des éco-industries 2010 (Jeune Entreprise), Prix «
grand public – transports » des Mechatronics Awards 2010.
Le datacenter accroît sa densité tout en réduisant sa consommation
http://www.zdnet.fr/actualites/le-datacenter-accroit-sa-densite-tout-en-reduisant-sa-consommation-39759170.htm#xtor=EPR-100
Selon Gartner, 4 facteurs vont influer sur la conception des futurs centres de calcul informatiques : des architectures plus
intelligentes, les pressions Green IT, la densification des serveurs et le Cloud Computing ou externalisation des calculs
non-essentiels.
Les centres de données informatiques sont en mutation, avec pour effet principal une diminution de l'espace (au sol) utilisé. Cette
consommation de mètres carrés devrait radicalement reculer au cours des prochaines années estime Gartner.
Selon le cabinet, quatre facteurs majeurs tirent les évolutions dans le datacenter. « Dans le monde de l'IT, tout à des effets en
cascade. Et dans les centres de données, les méthodes traditionnelles de conception nécessitent la compréhension des forces extérieures
qui influent sur les coûts, la taille et la durée de vie des datacenters » commente David Cappuccio, directeur de recherche infrastructure.
Le PUE un critère majeur d'évaluation du datacenter Les mutations répertoriées par Gartner ne sont toutefois pas récentes. Les
mainframes ne sont en effet plus la norme. La conception des datacenters a donc changé avec par exemple des zones de densité
différentes en fonction des calculs effectués. Les technologies de refroidissement se sont elles aussi adaptées, notamment via la création
de couloirs froids sous forme de containers permettant de refroidir plus efficacement les baies à densité de serveurs élevée.
Mais Gartner perçoit également un changement des mentalités à l'égard des préoccupations environnementales. Toutefois, ces enjeux
Green IT s'inscrivent avant tout dans une politique d'amélioration de l'efficacité énergétique et de réduction de la consommation
d'énergie (bien plus que de baisse des émissions de carbone). Néanmoins, le PUE est désormais un critère majeur pris en compte par les
décideurs pour l'optimisation des centres de données existants ou pour la conception de nouvelles infrastructures. D'ailleurs
selon une étude de Devoteam, les actions Green IT des entreprises se concentrent en priorité sur le datacenter.
La densification permise par la virtualisation et l'optimisation du refroidissement
« Cela n'a rien de surprenant. La consommation électrique des datacenters flambent, avec une augmentation annuelle de l'ordre de
20%. Le prix de l'électricité augmente lui aussi [...] Dans le secteur bancaire, près de la moitié des émissions de Co2 sont liées à l'IT. Ce
n'est pas un hasard si les banques ont été les premières à lancer des programmes Green IT » analysait Thomas de Lacharrière.
Mais les entreprises optimisent également l'exploitation des mètres carrés de leurs datacenters. Gartner parle ainsi de conquête de
densité. L'objectif est de réduire la sous-utilisation des capacités de calcul. Cette politique a déjà été entamée, et été permise, par le
développement de la virtualisation. Selon Gartner, la densité de serveurs et racks approche seulement les 60% au niveau mondial. Mais
elle pourrait progresser jusqu'à 85 à 90% grâce aux évolutions technologiques et aux pratiques d'exploitation.
Les calculs non-critiques externalisés ? Pour le cabinet, un quatrième facteur influence la mutation du datacenter : le Cloud
Computing. Selon Gartner, les responsables d'exploitation commencent à envisager la possibilité de migrer leurs calculs non-critiques
vers l'infrastructure de fournisseurs de solutions Cloud. Une stratégie d'externalisation qui leur permettrait ainsi de libérer de l'espace, des
capacités de refroidissement et d'alimentation dans leur propre infrastructure, qui pourront ainsi être alloués à des opérations plus
critiques pour l'entreprise. « Seule les fonctions au cœur de l'activité - celles qui différencient une entreprise de la concurrence, ou
véritablement non critiques - resteront dans le centre de données primaire » conjecture Gartner.
Pour cela, un travail de standardisation des plateformes Cloud devra être mené en amont. De même, nombre d'applications devront au
préalable être modernisées pour permettre ce type de traitement, prévenait dès 2009 les responsables de la production IT du CRIP
Un PC sous Linux pour les seniors
http://www.gizmodo.fr/2011/03/17/un-pc-sous-linux-pour-les-seniors.html
Cet ordinateur a été spécialement conçu pour aider les plus âgés à prendre pied
sur internet.
Tournant sous Linux, ce PC facilite l’accès à l’internet et au courrier électronique. Il
propose aussi des jeux.
Les seniors ont bien le droit de se cultiver et de se distraire un peu non?
Notez les touches aux couleurs chatoyantes comme sur les claviers des ordinateurs
pour enfants. Mais après tout, les seniors sont quelque part de grands enfants.
En dépit de la simplicité revendiquée de ce modèle à 500$, il faudra sans doute le
concours d’un enfant ou d’un petit enfant pour que vos anciens puissent lire Gizmodo
tous les matins.
Le premier netbook Asus/Chrome OS pour juin ?
http://www.pcworld.fr/2011/03/18/materiel/pc-portable/premiers-netbooks-asus-chrome-juin/513115/
Prévu à la base pour décembre 2010, les premiers netbooks sous Chrome OS ne sont toujours pas dans nos rayons. Un
manque qu'Asus semble avoir décidé de combler d'ici juin...
On pourrait croire, vu le peu d’actualité autour de Chrome OS, que le système d'exploitation de
Google était mis sur la touche. C'est bel et bien Asus qui remet ce dérivé de Linux articulé autour
du navigateur Chrome sur le devant de la scène, après deux ans de développement.
Selon certaines sources, Asus aurait dans ses cartons un netbook low-cost propulsé par l'OS de
Google. On parle de $250 maximum, Asus souhaitant ne pas se placer sur la même plage tarifaire
que les tablettes tactiles pour éviter une concurrence qui pourrait tuer son produit à court terme.
Alors, pour afficher un prix pareil, il n'y a pas d'économies inutiles. Sans connaître la configuration
exacte, nous savons déjà que la machine tournera avec un Atom mono-core, mais nous pouvons
imaginer que le reste sentira également bon les économies. Reste à savoir comment Asus va mettre
en avant son produit, et quel public il compte toucher avec.
Sundar Pichai, VP des produits chez Google, annonçait il y a peu que les premiers netbooks sous Chrome OS débarquerait en milieu
d'année. On peut donc imaginer qu’Android 3, proche de l'OS de Google, se verra réservé aux tablettes tactiles. De leur côté, les solutions
en dual-boot Windows/Android (comme certains Acer) seront progressivement remplacées par des dual-boot Windows/Chrome OS.
Groupon: Une bonne idée vaut-elle $25 Bn ?
http://www.20minutes.fr/article/690068/high-tech-groupon-bonne-idee-vaut-elle-25-milliards-dollars
WEB - Ou assiste-t-on au retour de la bulle Internet...
«J'ai acheté deux Groupons cette semaine. Je ne sais pas si j'en avais besoin, mais c'était une bonne affaire», s’enthousiasme Heather.
Doucement mais sûrement, le roi des «deals du jour» est en train de faire son entrée dans le vocabulaire américain, comme «google» dix
ans avant lui. Bientôt, il pourrait faire son entrée... en Bourse. Selon Bloomberg, les négociations avec les banques tournent autour d'une
mise sur le marché à une capitalisation de $25 Bn. Vertigineux pour un service lancé il y a seulement 30 mois. Mais est-ce bien
raisonnable?, demandent les Cassandres 2.0. Andrew Mason a lancé Groupon fin 2008 depuis son loft situé au-dessus d'une pizzéria de
Chicago. Le premier «deal» était d'ailleurs une pizza à moitié prix. Le principe est simple: restaurant, saut en parachute, séance de
massage... Le vendeur propose un prix discount, Groupon lui garantit un nombre minimum de clients et prend une commission (en
général 40-50%). Il ne s'agit pas pour la boutique de réaliser des bénéfices, mais plutôt d'une forme de publicité, en espérant que des
nouveaux clients deviendront des réguliers.
La croissance la plus rapide de l'histoire des startups Groupon a connu une croissance folle. Fin 2009, le site comptait 1,8 millions
de membres. Aujourd'hui, ce chiffre a grimpé à 70 millions, dans 45 pays (dont la France). Le groupe possède 3.000 employés –
essentiellement des vendeurs chargés de démarcher des clients potentiels. A titre de comparaison, Twitter n'a que 400 employés. Le
chiffre d'affaires 2010 a été estimé par le Wall Street Journal à $760 M (€550 M). D'après les analystes, il devrait grimper à $3 ou $4 Bn
en 2011. Selon Forbes, il s'agit «de la croissance la plus rapide de l'histoire» pour une startup. De quoi expliquer le chiffre de $25 Bn qui
circule (qui effacerait le record d’introduction en Bourse pour une startup, jusqu'ici détenu par Google à $23 Bn en 2004).
A $25 BN, Groupon vaudrait davantage que la moitié des sociétés du CAC40. Plus que Bouygues, Alstom ou Renault.
Succès éphémère ou parti pour durer? Reste que le site doit faire avec une compétition féroce. De concurrents directs, comme
LivingSocial; et surtout de l'ogre Facebook, qui a lancé une offre similaire récemment. Il serait surprenant que Google, qui a tenté
d'acheter Groupon l'an dernier, ne vienne pas également rapidement sur ce marché.
Le site ne reste cependant pas inactif. Il a lancé «Groupon now», une appsmartphone capable de localiser dans son voisinage les affaires
intéressantes. Surtout, les partenaires bénéficient d'une flexibilité bien plus grande qu'avec le «deal du jour». Ils peuvent notamment
choisir une plage horaire précise (un moment calme pour un restaurant, une annulation chez le coiffeur etc). Une sorte de monitoring en
temps réel de l'offre et de la demande, en somme.
Alors, bulle ou pas bulle? Dans la Silicon Valley personne n'est d'accord. Les Groupons, Zynga ou Facebook ont tous attendu de prouver
qu'ils étaient capables de générer de vrais revenus avant de songer à une entrée en Bourse. Mais la crainte, c'est que de tels succès
puissent faire monter la fièvre des investisseurs. Qui ont parfois la mémoire courte.
L'équipe du Kindle recrute des profils Android
http://www.igeneration.fr/0-apple/l-equipe-du-kindle-recrute-des-profils-android-39152
Le Kindle va-t-il passer sur Android ? Lab126, la division d'Amazon qui a conçu sa liseuse
électronique a en effet publié il y a quelques jours, 5 ou 6 offres d'emploi pour des développeurs ayant
des compétences en Java et sur Android.
Le blog Bits qui a relevé cet intérêt pour l'OS de Google suggère que cela pourrait concerner l'application
Kindle. Mais c'est pour mieux rappeler que Lab126 a pour principale mission de travailler sur la tablette
et ses évolutions (son OS est basé actuellement sur un Linux).
Ces offres d'emploi se gardent en tout cas de mentionner quoi que ce soit autour d'un changement de
système d'exploitation, s'en tenant à parler d'applications Java destinées à plusieurs plateformes.
Google nous propose 12 gadgets Gmail indispensables
http://www.thesiteoueb.net/modules/news/article.php?storyid=4993
Sur le blog de Google France, les 12 gadgets Gmail nous sont présentés comme ceux dont vous ne pourrez plus vous passer. En fait il
existe une fonctionnalité dans Gmail qui permet d’intégrer des gadgets iGoogle directement sur votre compte Gmail.
Pour cela, comme nous l’explique Google, il vous suffit de vous rendre sur votre messagerie Gmail, puis de cliquer sur Paramètres puis
Labos, de rechercher « Ajouter un gadget en indiquant l'URL », de l’activer et d’enregistrer les modifications.
Ensuite il ne vous restera plus qu’à cliquer sur Paramètres puis Gadgets et à copier-coller l’adresse en XML du gadget pour l’activer. Ce
gadget apparaîtra dans un encadré, dans la colonne de gauche. Bon, tout cela fait un peu « gadget » me direz-vous.
Pour en revenir au titre de cet article, la liste des 12 gadgets Gmail dont vous ne pourrez plus vous passer :
•
Wikipédia l’encyclopédie en ligne
•
Google Calculator la calculatrice
•
Note pour avoir un post-it à portée de main
•
Remember the Milk dans le même genre que note
•
PolyClock une horloge internationale
•
Currency Converter un convertisseur de monnaie en temps réel
•
Google Traduction qu’il n’est pas la peine de présenter
•
Deezer Radio que l’on ne vous présente pas là aussi
•
bit.ly URL shortener pour raccourcir les adresses des sites internet
•
Chuck Norris fact generator (anglais uniquement) que je vous laisse découvrir
•
Et pour finir Google Agenda et Google Documents.
Des résultats prometteurs pour Archos
http://www.zdnet.fr/actualites/des-resultats-prometteurs-pour-archos-39759202.htm
Après une année 2009 difficile, Archos se redresse grâce à la vente de ses tablettes Android. Porté par une progression
de 44% de son chiffre d’affaires, le constructeur français poursuit sa stratégie produit d’entrée de gamme.
Un pari presque gagné ! En proposant des appareils à moins de €400, Archos est devenu leader en France sur le marché des tablettes.
Les données récemment communiqués par la fabriquant français montrent une croissance de 44% du chiffre d'affaires de l'année 2010, à
€83,4 M. Archos a su choisir la stratégie adaptée au lancement des tablettes de Génération 8 et s'approche ainsi de l'équilibre financier.
A la conquête de l'Asie Car Archos est toujours déficitaire de €2,31 M. Néanmoins, l'entreprise enregistre une marge brute de €19,4 M,
contre 7,8 M en 2009. Une performance notamment due à une réduction des coûts d'achat, de production et du positionnement
marketing du groupe avec ses produits d'entrée de gamme. Pour 2011, la forte demande sur le marché des tablettes laisse présager au
groupe des résultats au moins équivalents à ceux de l'an passé. Archos prévoit des ventes à hauteur de 50 millions d'unités, soit trois fois
plus qu'en 2010 et espère renouer avec les bénéfices. Les chiffres du premier trimestre devraient d'ailleurs être publiés mi avril. Pour
autant, les conséquences des catastrophes au japon pourraient impacter ces prévisions.
Par ailleurs, le groupe français déclare avoir « une stratégie offensive centrée sur son coeur de métier : l'innovation, la qualité et la
satisfaction clients ». Après avoir dévoilé sa nouvelle marque destinée au marché asiatique : Arnova, des accords viennent d'être signés
avec les enseignes Kesa, Auchan et Carrefour, où les produits dont déjà distribués.
Enfin, Archos annonce la sortie cette année d'une "avancée majeure" relative à la 3G. "Nous avons inventé une solution de modem 3G
tout à fait originale et cela va nous permettre d'entrer chez les opérateurs télécoms", a indiqué à Reuters Henri Crohas, p-dg du fabricant.
Le Géoportail se dote d'une couche archéologique
http://www.01net.com/editorial/530281/le-geoportail-se-dote-dune-couche-archeologique/
Le site de l’IGN permet maintenant d’avoir un aperçu des sites fouillés dans le cadre de programmes d’archéologie
préventive. Vidéos, reconstitutions en 3D, photos à 360° permettent de redonner vie aux vestiges exhumés.
Le site Géoportail comptait jusqu’à ce jour 74 couches d’informations, que le visiteur pouvait ajouter à sa guise sur les fonds de carte. Le
service de l’Institut géographique national (IGN) en compte maintenant une de plus, consacrée au patrimoine archéologique. L’IGN vient
en effet de signer une convention avec l’Inrap (1) destinée à valoriser les informations tirées des millions de mètres carrés de terrains
fouillés chaque année par ses archéologues. Pour l’instant, mais ce n’est qu’un début, 238 sites sont répertoriés sur le Géoportail. Ils sont
accessibles dans le menu Culture et patrimoine du gestionnaire de couches, en cochant la case Archéologie préventive.
Ces nouvelles ressources permettent notamment au grand public de se familiariser avec le patrimoine de leur région. Elles ne peuvent en
aucun cas être utiles aux adeptes de détecteurs de métaux à la recherche de bons coins à piller. « Nous n’avons mis en ligne que des
sites qui ont déjà été fouillés [il n’y a donc plus aucun vestige ayant une valeur marchande sur les lieux, NDLR]. Ce n’est donc pas une
mine de renseignements pour les chercheurs de trésor », a tenu à préciser Jean-Paul Jacob, président de l’Inrap.
Archeozoom un outil développé grâce à une API de l’IGN
Les sites archéologiques sont signalés par des étiquettes : en cliquant dessus, le visiteur accède à des informations complémentaires, plus
ou moins riches. Parfois ce sera une simple notice faisant le point sur les vestiges trouvés. D’autres fois, ce sera un reportage vidéo
tourné lors des fouilles, un diaporama, une exposition virtuelle, des photos à 360°…
Mais les vrais passionnés d’archéologie auront plutôt intérêt à se rendre sur le site de l’Inrap qui, grâce à l’utilisation d'une API de l’IGN,
vient de mettre en ligne Archeozoom. Cet outil permet d’accéder à l’ensemble des données de fouilles et de diagnostics effectués par
l’institut avec des possibilités de tri beaucoup plus avancées. On peut ainsi sélectionner les sites en fonction de leur période (du
paléolithique à la période moderne), de leur situation géographique, du type de contenu proposé (visite virtuelle, atlas interactif…) ou
encore du thème (pratiques funéraires, organisation sociale, méthodes de l’archéologie…).
AT&T place le rachat de T-Mobile USA sous la signe de la 4G
http://www.itespresso.fr/att-place-le-rachat-de-t-mobile-usa-sous-la-signe-de-la-4g-41882.html
L'opérateur américain AT&T participe à la consolidation du marché mobile américain en s'emparant de T-Mobile USA
(Deutsche Telekom). Montant de la transaction : $39 Bn.
C’est un coup d’éclat de la part d’AT&T dans le paysage de la téléphonie mobile aux Etats-Unis.
Dimanche, l’opérateur américain a annoncé le rachat de T-Mobile USA, propriété de son homologue allemand Deutsche Telekom.
Montant de la transaction : $39 Bn (€27,5 Mrd) en cash et en actions. AT&T est prêt à verser $25 Bn sous une forme numéraire.
En cédant sa branche mobile aux Etats-Unis, Deutsche Telekom va s’approprier un volume d’actions AT&T qui devrait correspondre à
environ 8% du capital de l’opérateur télécoms américain. Selon le communiqué, les conseils d’administration des deux entreprises
concernées ont donné leur accord pour ce rapprochement censé être bouclé d’ici mars 2013.
Mais la fusion doit être validée par les autorités de régulation concernées.
Cette opération de croissance externe d’AT&T serait placée sous le signe du business de la téléphonie mobile et en particulier de la
prometteuse 4G en cours de déploiement aux Etats-Unis. Son concurrent Verizon affiche aussi des vélléités dans ce sens.
L’opérateur américain, qui revendique une base de 95,5 millions de clients mobiles, a l’intention de couvrir 95% de la population
américaine avec ce réseau nouvelle génération propice à l’Internet très haut débit mobile. « Cela améliorera la qualité de notre réseau et
permettra d’étendre la couverture LTE à un bassin de 294 millions de personnes », déclare Randall Stephenson, P-DG d’AT&T.
Les iPad remplacent les cartes de navigation dans les cockpits d’avion
http://www.smartplanet.fr/smart-technology/les-ipad-remplacent-les-cartes-de-navigation-dans-les-cockpits-davion-1307/
Les compagnies Alaska et Delta Airlines ont commencé à tester l’iPad comme alternative aux cartes papier.
Les tablettes numériques continuent de trouver de nouvelles applications, rendant le papier toujours un peu plus obsolète. Dernière
illustration en date: des compagnies aériennes sont en train de tester le très populaire iPad d’Apple pour l’utiliser dans le cockpit des
avions sur des vols commerciaux. L’intérêt n’est toutefois pas de jouer à Angry Birds. C’est plutôt un moyen pour les compagnies
aériennes de remplacer les cartes de navigation papier et les ordinateurs portables utilisés en vol et à terre.
Le Seattle Times rapporte qu’Alaska Airlines teste la tablette dans un programme expérimental avec quelques pilotes, et mon collègue
Kent German de CNET signale que Delta Airlines est en train de faire de même.
Les avantages des tablettes numériques sont clairs: moins de papiers susceptibles d’être égarés, moins de poids à transporter, plus de
capacités pour un moindre coût, et un système connecté unifié qui peut être mis à jour à la volée.
Kent German écrit: Alors que certains ordinateurs portables conçus spécialement, ou « sacoches de vol électroniques », peuvent peser
jusqu’à 8 kg, l’iPad actuel pèse tout juste 700 g (l’iPad 2, annoncé récemment, est un tout petit peu plus léger). Le seul inconvénient
pourrait être l’éblouissement provoqué par l’écran d’un tel appareil dans le cockpit. Mais il ne s’agit que d’une observation initiale ; n’en
ayant jamais vu un de mes propres yeux dans le cockpit, je ne peux pas affirmer avec certitude s’il s’agit réellement d’un problème.
Avec les iPad en place, les cartes de navigation deviennent une affaire de logiciels. La société Jeppesen Systems, basée à Englewood,
Colorado, fait partie des éditeurs à s’intéresser à la question, avec son application pour iPad gratuite Mobile TC.
C’est une transition prudente, car l’administration fédérale de l’aviation des États-Unis doit autoriser l’utilisation des appareils numériques
pour remplacer les cartes aéronautiques conventionnelles. Elle représente néanmoins une opportunité pour les entreprises qui veulent se
lancer sur le marché B2B, en vendant des services et du support aux plus grandes compagnies aériennes au monde.
Dassault Systèmes rapproche études et production en rachetant Intercim
http://www.lemagit.fr/article/acquisition-dassault-systemes-plm/8354/1/dassault-systemes-rapproche-etudes-production-rachetant-intercim/
Dassault Systèmes vient de se porter acquéreur de l’Américain Intercim pour un montant de $36,5 M. Cet éditeur est spécialisé dans la
gestion des opérations de production (Manufacturing Execution System, MES) dans l’industrie. Il compte de grands noms parmi ses
clients, tels que Sanofi, EADS, Areva, Boeing ou BMW. Les deux sociétés auront d’autant moins de mal à travailler ensemble qu’elles sont
partenaires depuis de nombreuses années. Pour Dassault Systèmes, il s’agit d’accroitre encore le potentiel de Delmia en y intégrant les
fonctions liées à la chaine de fabrication de l’Américain. Une manière de s’approcher d’une logique de bout en bout, depuis la conception
des produits à la validation du processus de production à l’autre bout de la chaîne. Sont en jeu le raccourcissement des délais de la
conception à la réalisation, mais également l’amélioration de la sécurité en rapprochant les bureaux d’études des usines.
Avec le Galaxy S II Samsung entend proposer le meilleur smartphone Android du marché
http://www.silicon.fr/avec-le-galaxy-s-ii-samsung-entend-proposer-le-meilleur-smartphone-android-du-marche-47813.html
Successeur du best seller Galaxy S, le S II embarquera Android 2.3 et un processeur double coeur derrière un écran
toujours plus grand. Les applications d'entreprises seront également proposées.
Fort du succès du Galaxy S, notamment en France, Samsung programme l’arrivé de son successeur. Le Galaxy
S II débarquera chez tous les opérateurs en juin prochain. Le constructeur coréen ne cache pas ses ambitions
autour de son nouveau smartphone sous Android : il veut tout simplement en faire « le meilleur smartphone
Android du marché », annonce Jean-Philippe Illarine, directeur marketing télécoms chez Samsung. Sur le
papier, le téléphone a en effet de quoi séduire : un écran plus grand que celui de son prédécesseur (4,3
pouces contre 4 pouces) sans toucher au cadre de l’appareil (125,3 x 66,1 mm) tout en réussissant à l’affiner
(8,49 mm) pour un poids allégé (117 g.); technologie d’affichage propriétaire Super Amoled Plus en WGA
(800×480 pixels); processeur maison double-cœur 1 GHz ARM (présentée comme 1,7 à 5 fois plus rapide que
ses concurrents); capteur dorsal 8 mégapixels et frontal 2 Mpx avec Flash; support du MPEG4 H.264 et
enregistrement vidéo Full HD en 1080p à 30 images/seconde.
A noter que si le HSPA+21 est supporté, Samsung fait l’impasse sur le LTE qui caractérisera les réseaux très
haut débit 4G. Quand au support du NFC, la technologie de transfert de données mobile sans contact, il sera
visiblement proposé en option. Enfin, l’appareil sera proposé en 16 et 32 Go de mémoire extensible grâce à son
port micro SD. Ce n’est pas l’iPhone, ni le Nexus S de Google (produit par Samsung) qui en pourra en dire autant. Côté environnement,
c’est évidemment Android 2.3 (Gingerbread) qui sera proposé avec ses nouveautés (support d’Adobe Flash, Google Maps 3D, Android
Market refondu, etc.). Et sur lequel Samsung y mettra ses surcouches habituelles (les ‘Hub’ musique, jeux, social, etc.) et les services
destinés aux entreprises : Microsoft Exchange ActiveSync, Cisco WebEx et Mobile (VoIP), chiffrement et gestion des données. Le tout
complété d’une nouvelle interface TouchWiz 4 et de solution de partage des contenus avec les TV et tablettes du constructeur. Pour avoir
pu manipuler l’engin, le Samsung S II s’est révélé confortable d’utilisation et rapide en offrant une bonne prise en main.
Le Galaxy S II devrait constituer l’une des locomotives des ambitions de Samsung sur le marché français. Un marché français de la
téléphonie mobile estimé à 25 millions d’unités sur lequel Samsung entend multiplier par plus de deux ses ventes avec plus de 2 millions
de smartphones et près de 9 millions de téléphones mobiles ‘traditionnels’. Le prix du Galaxy S II n’a pour l’heure pas été communiqué.
Les Blackberry s'essaient tout doucement au cloud
http://pro.01net.com/editorial/530408/les-blackberry-sessaient-tout-doucement-au-cloud/
Le canadien RIM va lancer deux nouveaux services cloud pour gérer des flottes Blackberry. L’un pour les grandes
entreprises, l’autre pour les petites.
Le cloud computing a le vent en poupe, également dans la mobilité. Le Canadien RIM vient d’annoncer la disponibilité prochaine en mode
hébergé de deux nouveaux services pour entreprises. Le premier s’appelle Blackberry Enterprise Service. Il s’agit d’une version cloud
de Blackberry Enterprise Server qui permettra de gérer et configurer une flotte de terminaux Blackberry.
Une première version devrait être disponible avant la fin de l’année, avec toutefois un périmètre fonctionnel réduit (équivalent à
Blackberry Enterprise Server Express). Les autres fonctionnalités seront ajoutées au fur et à mesure. Par ailleurs, cette version ne sera
accessible que dans le cadre d’un abonnement Office 365, la suite bureautique en ligne de Microsoft. L’avantage, néanmoins, c’est que
l’accès aux fonctionnalités de Blackberry Enterprise Service sera gratuit. RIM prévoit des partenariats technologiques similaires avec
d’autres éditeurs dans les mois qui suivront.
Le deuxième service est Blackberry Management Center, une version très allégée du service précédent. Destinée aux petites
entreprises, elle permet des manipulations basiques comme l’effacement à distance ou la sauvegarde. Là encore, peu de précisions ont
été données quant au prix et la disponibilité. Le service devrait être commercialisé avant la fin de l’année.
Firefox 4 : la barre des 17 millions…déjà
http://www.itespresso.fr/firefox-4-la-barre-des-dix-millions-approche%E2%80%A6deja-41945.html
Le compteur de téléchargements de Firefox 4 en version finale tourne vite. C'est un bon départ pour le navigateur de la
Fondation Mozilla alors qu'il semble s'essouffler un peu sur le marché.
Jeudi après-midi, Firefox 4 a été téléchargé plus de 17millions de fois, selon le compteur officiel de la Fondation Mozilla.
Celle-ci recense le nombre de téléchargements de la nouvelle mouture définitive du navigateur depuis sa livraison en date du 22 mars.
Firefox 4 est disponible au téléchargement sous Windows, Mac OS X et Linux et dans plus de 80 langues. En attendant les prochaines
déclinaisons mobiles pour les smartphones Android et Maemo.
Cela reste un bon rythme de démarrage pour Firefox 4. Mais il n’est pas aussi intense que celui observé lors de la sortie de Firefox 3 en
juillet 2008 : 8 millions de téléchargements en 24h00 (inscription au Livre des Records).
On n’échappe pas à la comparaison avec la récente sortie d’IE9. Microsoft a recensé 2,35 millions de téléchargements de son nouveau
navigateur au cours de la première journée de disponibilité.
Dans une récente interview accordée à Silicon.fr, Tristan Nitot, Président de la branche européenne de la Fondation Mozilla, précisait que
Firefox 4 constitue « un véritable bond en avant par rapport à Firefox 3.6″.
« C’est une plate-forme pour le développement du web, l’interface utilisateur reflète le fait que les internautes utilisent aujourd’hui le web
différemment, non plus comme un outil de simple consultation mais comme une application. »
Selon le « Baromètre des navigateurs » de janvier 2011 d’AT Internet, Mozilla/Firefox « a reculé de 0, 6 point depuis août 2010 et ne se
reprend pas début 2011″ : 29,5% en janvier 2011 contre 30,1% en août 2010 (répartition moyenne par navigateur des visites
enregistrées par les 15 762 sites Web audités en Europe sur les 6 derniers mois). Même si globalement « il se maintient sur un an ».
Sur cette même période, Internet Explorer a perdu 3,8 points sur les six derniers mois (52,9% à 49,1%).
Le challenger Google Chrome semble marquer des points (7,6% en août 2010 puis 10,9% en janvier 2011)
IBM optimise Java pour son mainframe z196
http://www.silicon.fr/ibm-optimise-java-pour-son-mainframe-z196-47980.html
Une nouvelle pile Java pour z/OS fait son entrée. Modernisée, elle est compatible avec Java 6 et les mainframes de
nouvelle génération, comme le z196.
IBM met aujourd’hui à jour une des briques logicielles les plus stratégiques de ses mainframes, leur pile Java. Le« SDK for z/OS, Java
Technology Edition Version 6 Release 0 Modification 1 » n’a pas pour seul mérite de présenter un nom de produit d’une taille record.
En effet, cette solution a été entièrement refondue. C’est le premier environnement d’IBM à se hisser complètement au niveau de la
spécification Java 6 d’Oracle. Une excellente nouvelle. Il est, de plus, livré en 2 versions 32 bits et 64 bits.
Il supporte les machines z/OS les plus modernes, comme les z9, z10, et même le tout récent z196. Ce produit est le premier
représentant dans la gamme zEnterprise System, qui a été présentée en juillet 2010. Bon point, la nouvelle pile Java signée IBM sera
en mesure d’exploiter les nouvelles instructions présentes dans le cœur du z196.
La pile de Big Blue se montre également capable d’exploiter certaines autres spécificités des mainframes, en particulier dans le domaine
de la sécurité. Les unités de chiffrement matériel sont ainsi supportées pour l’AES (Advanced Encryption Standard). De plus, les tâches
pourront être lancées en mode batch, une fonction qui n’est pas nouvelle mais que la firme a grandement améliorée.
Gemalto et STMicroelectronics s’allient autour de la technologie NFC
http://www.itespresso.fr/gemalto-stmicroelectronics-allient-autour-technologie-nfc-41896.html
Gemalto et STMicroelectronics vont développer conjointement de nouvelles solutions mobiles sécurisées dédiées à la
technologie sans contact NFC en mutualisant leur savoir-faire.
Gemalto et STMicroelectronics ont décidé d’avancer main dans la main dans le secteur des technologies mobiles sans contact.
Le spécialiste français des cartes à puce et le fabricant franco-italien de semi-conducteurs viennent en effet de développer un partenariat
portant sur le développement d’une gamme de solutions permettant de mettre en œuvre des services de sécurité numérique pour les
applications s’appuyant sur la technologie NFC (Near Field Communication).
Dans le cadre de la mise en place de nouvelles solutions de sécurisation dédiées au NFC, les deux partenaires vont mettre en commun
leur savoir-faire pour proposer aux industriels des solutions tout-en-un sécurisées axées autour de la technologie mobile sans contact.
Gemalto va mettre à disposition ses solutions logicielles dédiées aux systèmes d’exploitation et applications mobiles sécurisés, ainsi que
son offre Trusted Service Management et ses services de personnalisation sécurisés, tandis que STMicroelectronics fournira ses chipsets
ST33, certifiés Common Criteria EAL5+, consacrés aux applications mobiles.
RIM's BlackBerry PlayBook prepped for April 19 launch
http://www.zdnet.com/blog/btl/rims-blackberry-playbook-prepped-for-april-19-launch/46342?tag=nl.e539
Research in Motion’s BlackBerry PlayBook will be available at Best Buy starting April 19 as well as other retailers.
The PlayBook is RIM’s chance to get into the tablet game and better compete with Apple’s iPad and an army of Android devices, will start
at $499 for the Wi-Fi version. The 16GB version will run $499, with 32GB and 64GB going for $599 and $699, respectively.
Preorders will start at Best Buy stores and will be available in a host of retail stores ranging from AT&T, RadioShack, Office Depot,
Verizon and other outlets. RIM also plans to make the PlayBook available in more than 20,000 retail outlets in the U.S. and Canada.
7″ 1024×600 WSVGA capacitive LCD touch screen ; Less than a pound and less than one-half inch thick: 0.9 lbs (425g) and 5.1” x 7.6” x
0.4” (130mm x 194mm x 10mm) ; 1 GHz dual-core processor ; BlackBerry Tablet OS with support for symmetric multiprocessing ; MP3,
AAC and WMA audio playback ; Support for high resolution video playback (H.264, MPEG4, WMV) ; 1080p HDMI output ; Dual 1080p HD
cameras for video conferencing and video capture (3MP front and 5MP rear) ; 1 GB RAM memory ; Up to 64 GB internal storage (16, 32
and 64 GB models) ; GPS, Orientation Sensor (Accelerometer), 6-Axis Motion Sensor (Gyroscope), Digital Compass (Magnetometer) ;
Stereo speakers and stereo microphones ; Wi-Fi (802.11 a/b/g/n) connectivity ; \Bluetooth 2.1+EDR support ;
BlackBerry Protect disponible en bêta française
http://www.businessmobile.fr/actualites/blackberry-protect-disponible-en-beta-francaise-39759264.htm#xtor=EPR-10010
L'outil de protection et de gestion à distance de RIM est désormais téléchargeable en version de test.
Alors qu'Apple préparerait une refonte globale de MobileMe, son outil de sécurité en ligne dédiée à l'iPhone, RIM annonce que son
service maison, BlackBerry Protect, est désormais disponible en français, en version open bêta.
Il faut dire que la sécurité du smartphone et des données qu'il contient devient un enjeu majeur pour les fabricants tant ces terminaux
s'apparentent de plus en plus à des disques durs portables et à des outils de travail incontournables.
Totalement gratuit Le canadien propose déjà des outils de sécurité et de gestion à distance au sein de son 'BlackBerry Entreprise
Server' utilisé dans les grandes entreprises. Mais avec une cible de plus en plus large, notamment en dehors des entreprises, le fabricant
devait s'adapter et proposer une solution clé en main, facile d'accès. BlackBerry Protect se distingue sur un point : alors que les outils
d'Apple sont en partie payants, la nouveauté de RIM est intégralement gratuite.
Les fonctions proposées sont assez nombreuses : Gestion de l'appareil à distance (Réinitialisation, Verrouillage et affichage d'un écran «
perdu-trouvé », Activation de la sonnerie amplifiée, Repérage de l'appareil par relais cellulaires et GPS).
Mais aussi : Sauvegarde et restauration des données sans fil (Contacts et Calendrier, Mémos et Tâches, Signets du navigateur, Messages
texte), Administration (Basée sur l'identifiant BlackBerry ID, Via un portail web pour l'utilisateur final, Via le centre d'appel de l'opérateur).
Comme chez la concurrence, pour utiliser ces outils en ligne, il faudra d'abord télécharger et installer une application dédiée sur son
BlackBerry (My BlackBerry Protect) depuis l'App World du fabricant.
Cette application est compatible avec les terminaux de la série 8000 et 9000 animés par BlackBerry OS 4.6 et supérieurs. Tous les
nouveaux terminaux du canadien seront pré-équipés de la solution.
GridPocket, une plate-forme de services mobiles pour maîtriser la consommation d’énergie
http://www.smartplanet.fr/smart-technology/gridpocket-une-plate-forme-de-services-mobiles-pour-maitriser-la-consommation-denergie-1346/
La jeune entreprise GridPocket fournit aux énergéticiens une plate-forme de services en marque blanche pour aider leurs
clients à mieux gérer leur consommation d’énergie… et pour les fidéliser.
Le développement de services de fidélisation des clients est devenu monnaie courante chez les opérateurs de téléphonie mobile. Avec
l’avènement du smart grid, les énergéticiens vont devoir s’inspirer des pratiques de leurs homologues du monde des télécoms. Car l’un
des obstacles à la définition des modèles d’affaire liés aux réseaux intelligents d’énergie réside dans la compréhension des
comportements des usagers. Au mieux ceux-ci seront assimilés, au plus les services proposés aux consommateurs les convaincront.
Pour venir en aide aux opérateurs d’énergie, la jeune société GridPocket leur fournit en marque blanche une plate-forme de services
mobiles de gestion de la maîtrise des ressources énergétiques. Née fin 2009 et basée à Sophia-Antipolis, la start-up a dégagé de son
étude de marché trois problématiques essentielles auxquelles devront répondre les fournisseurs d’énergie: un manque d’informations du
côté des usagers, la gestion de la demande avec, en corollaire, l’équilibre entre la production et la consommation d’énergie, et une
concurrence accrue suite à l’ouverture du marché de l’énergie.
S’agissant de l’information des usagers, tout reste à faire. « Aujourd’hui, le consommateur d’énergie est aussi informé qu’un client qui
achèterait des produits dans un supermarché n’affichant pas les prix », illustre Filip Gluszak, président de GridPocket.
Relayer ses économies d’énergie dans les réseaux sociaux
Dans ce domaine, la jeune pousse a développé des fonctions satisfaisant aux résultats d’une étude de l’université d’Oxford menée en
2006 sur le comportement des usagers: celle-ci concluait que l’affichage ambiant de données contribuait à réduire la consommation
d’énergie de plus de 15%, et de 25% en cas d’impact social d’une attitude éco-responsable.
La brique, baptisée GridPocket Client, a ainsi deux principales vocations. La
première est de fournir aux usagers des applications mobiles d’affichage
d’informations sur leur consommation d’énergie (watts, CO2, prix…). Et cela, sur
des smartphones – iPhone, Android, puis Windows Mobile – mais aussi sur des
terminaux IPTV. La seconde consiste pour un usager à relayer dans ses réseaux
sociaux préférés, Facebook ou Twitter, ses prouesses de « consommacteur » en
matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre.
Au chapitre de la gestion de la demande, et en particulier celle en période de
pointe, GridPocket a développé un module logiciel embarqué de contrôle des
appareils de la maison (radiateurs électriques, frigidaires, machines à laver,
etc.). La technologie de ce logiciel de contrôle d’équipements connectés au
réseau internet fait l’objet d’un brevet dit de délestage IP à bas coût. Autrement
dit, il sera possible pour un fournisseur d’énergie de procéder, lors d’un pic de demande, à un effacement diffus de certains appareils.
Un système expert pour analyser les données des consommateurs
Quant à la question de la fidélisation des clients des
opérateurs soumis à une concurrence de plus en plus rude
(le « churn » est de 10 à 15% chez les énergéticiens),
GridPocket y répond avec son Mobile Energy Server. Ce
serveur « dans les nuages » fait le lien entre les distributeurs
d’énergie et les usagers. Interfacé aux compteurs
intelligents, il collecte les informations de consommation, les
analyse et sécurise leur diffusion. La phase de traitement et
d’analyse de cette masse de données s’appuie sur un
système expert dont les algorithmes d’apprentissage vont
permettre au fil du temps d’affiner la relation avec les
clients. Ce qui passera par la fourniture de services plus en
adéquation avec les attentes des consommateurs.
Le premier déploiement commercial de la plate-forme de
GridPocket est prévu cette année. La jeune société participe
pour l’heure à un projet pilote sur la ville de Cannes. Et Filip
Gluszak de confesser que « l’avenir de GridPocket est associé
en grande partie au déploiement des compteurs intelligents,
dont le nombre d’unités devrait dépasser les 250 millions au
niveau mondial dans 4 ans ». Juste une question de temps…
1001libraires.com, la contre-offensive des libraires indépendants
http://www.01net.com/editorial/530445/1001libraires-com-la-contre-offensive-des-libraires-independants/
En ligne à partir du 4 avril prochain, ce nouveau portail sera dédié à la vente de livres papiers et numériques. Il mise
aussi sur les services, comme la réservation d'un ouvrage.
Les libraires indépendants se mobilisent pour contrer la suprématie d’Amazon, Fnac et autres chapitre.com. Le 4 avril 2011, ils vont
lancer 1001libraires.com, une plate-forme de vente de livres, papier et électroniques. Mais le concept est plus élaboré, puisque la
boutique va aussi proposer ce qui fait la force des librairies de quartier : des services personnalisés et des conseils avisés.
Les amateurs de lecture vont pouvoir sélectionner un livre en ligne et, grâce au moteur de recherche géolocalisé, savoir quelle est la
librairie la plus proche de chez eux qui l’a en rayons. 1001libraires s’appuie sur un réseau constitué de 219 boutiques à Paris et en
province, dont le stock est mis à jour quotidiennement. Petit plus : le client a la possibilité de réserver le livre, il sera à disposition en
boutique dans les deux heures. Et si jamais un autre client achète entre temps l’ouvrage convoité ou qu’il est volé ? « Ce sont des cas de
figure rarissimes, mais de toutes façons le libraire possède les coordonnées du client et peut l’avertir de ce contretemps », explique Gilles
Delaporte, président de 1001 libraires.com. Le règlement se fait lors du retrait en magasin.
80 000 ouvrages numériques 1001libraires permet, même aux plus petites boutiques, d’avoir une vitrine sur le Web et de disposer
des développements technologiques difficilement accessibles aux petites enseignes. Et en bonus, une visibilité bien plus forte.
Mais le portail dispose aussi de sa plate-forme de vente propre, avec ses stocks et sa logistique séparée. C’est cette structure qui assure
la commercialisation du catalogue de près de 80 000 titres numériques, au format ePub ou PDF, selon les références. Pour les livres
papier, la boutique expédie les commandes sous 48 heures et les frais de port sont offerts dès que le montant dépasse les 25 euros. C’est
moins bien qu’Amazon qui expédie en deux fois moins de temps et offre les frais de port... « On en est bien conscient, mais notre valeur
ajoutée est dans la tenue de nos promesses et dans le conseil », explique Gilles Delaporte.
Le conseil comme valeur ajoutée Sur ce dernier point, le site fait assurément la différence. Contrairement aux autres librairies en
ligne, il ne compte pas sur les internautes pour assurer les critiques, ce sont les professionnels eux-mêmes qui fournissent leur avis.
Chaque libraire est identifié par une fiche avec sa photo, sur laquelle figure ses diverses contributions et ses domaines de prédilection.
Cette communauté dispose ainsi d’un large spectre de domaines d’expertise et un internaute pourra aisément trouver la personne dont
les goûts sont proches des siens. Si ce n’est pas le cas, il peut toujours faire appel au service de conseil personnalisé, par e-mail.
Le site est aussi doté d’une équipe éditoriale propre, dont le rôle est de décider quel auteur ou quelle thématique va être mis en avant.
Elle va également produire ses contenus et donner des rendez-vous réguliers aux amateurs de littérature, au travers d’émission vidéo et
audio pour suivre l’actualité du secteur. Un partenariat a notamment était noué avec l’INA, qui servira par exemple à proposer des
éclairages sur la vie d'auteurs de renom. Pour parvenir à l’équilibre financier, 1001libraires doit capter 7 % du chiffre d’affaires de la
vente en ligne de livres en France, ce qui représente environ €10 M.
IBM acquires Tririga, eyes real estate, facilities software
http://www.zdnet.com/blog/btl/ibm-acquires-tririga-eyes-real-estate-facilities-software/46355?tag=nl.e589
IBM on Tuesday said it will acquire Tririga, a company that specializes in real estate
and facility management software.
For IBM, the addition of Tririga allows it to move more into so-called smart buildings. Buildings
will increasingly be wired with sensors to track energy usage and improve efficiency.
Terms of the deal weren’t disclosed. Tririga, a privately held company based in Las Vegas, has
software that’s used to generate better returns from real estate projects. Tririga counts more
than a third of the Fortune 100 companies and seven executive departments in the U.S.
government as customers. Operating costs for facilities eats up about 30 % of annual spending
and is the second largest costs after employee compensation.
According to IBM, the plan is to integrate Tririga’s software, which focuses on real estate
portfolio management, capital project management and sustainability monitoring tools with its
analytics portfolio. Tririga will be integrated into IBM’s Tivoli Software and Global Business
Services units.
Google : les brevets de Microsoft freinent l'innovation
http://www.clubic.com/internet/google/actualite-406126-google-brevets-microsoft-freinent-innovation.html
Microsoft a lancé des actions en justice contre quelques fabricants de terminaux Android. Le plaignant estime en effet
que ces derniers violent plusieurs de ses brevets. Pour Google il s'agit surtout d'un frein majeur à l'innovation.
« La plateforme Android viole un certain nombre de brevets », expliquait Horacio Gutierrez, vice-président et responsable de la propriété
intellectuelle chez Microsoft. Il ajoutait : « les entreprises qui conçoivent et vendent les appareils Android doivent respecter notre droit à
la propriété intellectuelle ». La liseuse de livres électroniques Nook et la tablette Nook Color, commercialisées par Barnes & Noble, sont
notamment au cœur de cette discorde. Chez Google, qui reste pour l'heure épargné par ce dépôt de plainte, l'on estime que « faire valoir
des brevets logiciels comme le fait Microsoft est une menace pour l'innovation ». L'éditeur se dit prêt à défendre sa plateforme mobile et
soutient ses partenaires qui ont participé à son développement. De son côté le constructeur Foxconn, ayant pris part à la conception du
Nook et du Nook Color, ne semble pas plus inquiété par ces actions judiciaires. Un représentant de la société déclare ainsi : « ces choseslà sont très courantes dans ce milieu industriel (...) c'est une question de routine ».
Des tablettes Galaxy Tab ultrafines de 8,9 et 10,1 pouces chez Samsung
http://www.zdnet.fr/actualites/des-tablettes-galaxy-tab-ultra-fines-de-89-et-101-pouces-chez-samsung-39759293.htm#xtor=EPR-100
Samsung complète sa gamme de tablettes Galaxy Tab. Aux modèles 7 et 10.1’’, le constructeur ajoute deux versions (8,9
et 10,1’’) de seulement 8,6 mm d’épaisseur. Samsung a également dévoilé son interface utilisateur TouchWiz UX.
Comme le laissait supposer l'invitation presse adressée début mars, Samsung a profité de la convention CTIA d'Orlando pour faire une
annonce produit dans le domaine des tablettes. La présentation d'une version 8,9 pouces de la Galaxy Tab était ainsi attendue.
Mais le constructeur a finalement dévoilé deux nouveaux modèles pour sa gamme Galaxy Tab : un donc de 8.9 pouces, et un second
de 10.1. Cette dernière ne doit pas être confondue avec la tablette de même dimension présentée par Samsung au MWC
Premières tablettes compatibles avec TouchWiz UX
Ces deux nouvelles Galaxy Tab sont ainsi décrites par le fabricant comme les tablettes les plus fines du marché. Un titre pourtant
revendiqué par l'iPad 2 d'Apple avec 8,8 millimètres d'épaisseur. Les Galaxy Tab dernière génération font toutefois mieux avec 8,6 mm.
Hormis cette caractéristique, ces tablettes affichent les mêmes spécifications que le modèle 10.1 pouces du Mobile World Congress :
processeur dual-core, deux caméras (3 et 2 Mpx), vidéo HD 1080p, écran tactile WXGA (1280x800) et Android 3.0 Honeycomb.
Mais Samsung a également profité du CTIA pour présenter sa nouvelleinterface TouchWiz UX. Les possesseurs de mobiles Samsung
connaissent déjà cette surcouche constructeur. Samsung la porte désormais sur tablette.
Les Galaxy Tab 8.9 et 10.1 pouces seront les premières du constructeur à combiner Android 3.0 et TouchWiz UX. L'objectif : offrir une
interface utilisateur plus facile à prendre en main, enrichie et personnalisable.
TouchWiz UX ne sera toutefois pas livré avec les tablettes lors de leur lancement commercial. Le constructeur annonce en effet que
l'interface sera finalisée ultérieurement et accessible via une mise à jour logicielle (à une date non précisée).
Selon nos confrères de CNet.com (groupe CBS Interactive), ces nouvelles tablettes Internet sont attendues pour cet été en édition Wi-Fi
et HSPA+ (21Mbps). Des éditions LTE et WiMax sont annoncées. Leur sortie interviendra toutefois plus tard cette année.
Les prix annoncés par Samsung lui permettent de rester compétitif par rapport à l'iPad 2. La Galaxy Tab Wi-Fi 8.9’’ sera commercialisée
$469 (16 Go) et $569 (32 Go). Les prix des modèles 10.1’’ (Wi-Fi) sont de respectivement 499 et $599 (pour 16 et 32 Go).
Bull insère PostgreSQL sur ses serveurs Novascale
http://www.linformaticien.com/Actualit%C3%A9s/tabid/58/newsid496/10601/bull-insere-postgresql-sur-ses-serveurs-novascale/Default.aspx
Bull a annoncé son souhait d’intégrer la base de données open source PostgreSQL sur ses mainframes Novascale GCOS 7.
L’annonce entre dans le cadre de la modernisation des environnements existants dans les data centers.
« Pour assurer les échanges avec les environnements Unix, Windows et Linux, les clients GCOS 7 bénéficient de solutions
d’interopérabilité natives, de web services et de passerelles. Aujourd’hui nous renforçons notre stratégie d’ouverture des mainframes en
complétant notre offre de bases de données du marché avec la base PostgreSQL. C’est un élément clé de notre vision de l’évolution des
Data Centers GCOS 7, en particulier dans les futures architectures de type cloud privé » déclare Jean-François Baudouin, Directeur des
systèmes Novascale GCOS, Groupe Bull. Bull souligne ici l’enjeu pour les directions informatiques de faire évoluer leurs bases de données
centrales vers l’open source relationnel PostgreSQL. Le géant français assure une réduction des coûts (comparé aux solutions
traditionnelles), et une intégration facilitée des applications mainframes dans les clouds internes.
PostgreSQL est déjà disponible dans les GCOS 8 de Bull depuis 2010 et y assure environ un milliard de requêtes par jour.
Search to Be Processed in the Cheapest Time Zone
http://www.technologyreview.com/blog/mimssbits/26554/?nlid=4264
Normally, requests are sent from Web browsers to the nearest data center. But what if they were sent to the one
currently paying the least for electricity?
Unlike water and commodities, the price we pay for electricity has the potential to vary with the time of day. Starting with this basic
premise, researchers at Simon Fraser University in Burnaby, Canada hit on a novel idea: why not mitigate the millions of dollars spent on
electricity for data centers each year by sending requests -- web searches and the like -- to data centers based on which one is currently
paying the least for electricity. Typically, requests sent from a web browser -- for a website, a piece of media, search results -- go to the
nearest data center, so as to minimize latency, or the time between when a request is made and the result loads on a user's device.
ButAnanth Narayan S. and colleagues created a model of data center performance in which the destination of requests is informed by an
entirely different metric: the price of power in the local electricity market inhabited by a data center.
Routing requests in this way had a non-trivial impact on the cost of electricity
for all the data centers owned by a hypothetical service provider: in the low
case, it saved 21% of the electricity that would have been used if requests
were simply sent to the nearest data center. For a Google or an Amazon, that
could amount to many $millions over the course of a year, not to mention all
the tons of greenhouse gasses associated with producing that power in the
first place. This simple tweak to the algorithm of request direction works
because power prices can vary tremendously according to time of day. For
the same reason that owners of electric cars are advised to charge their
vehicles overnight, there is ample reason to send a request halfway around
the world in search of cheaper electricity prices.
Of course, the cost of electricity must be balanced against latency, or you'll
end up with requests that take forever to answer, unacceptably long page-load times, etc.; the 21% power savings figure mentioned
above takes this into consideration, which means that in theory at least, it's possible to save a great deal of money simply by knowing the
local price of electricity. While the researchers don't address this dimension of their work directly, it's possible to look at this system as a
sort of auction, in which data centers bid to take requests from users: the winning bid is the optimal combination of both price and
speed. It's a principle native to every other part of our market-based economy, but not yet a part of how we distribute the workload of
the global hive-mind across the ever-expanding array of data-processing nodes on which it relies.
Le W3C se penche sur les performances des sites web
http://www.silicon.fr/le-w3c-devoile-un-standard-pour-optimiser-les-sites-web-48074.html
Navigation Timing est un nouveau standard du W3C qui permettra d’aider à créer des pages web capables d’être
chargées plus rapidement.
Améliorer les performances des sites web, ce n’est pas seulement le cheval de bataille de Google, mais aussi celui de Microsoft. Les
deux firmes ont ainsi poussé le W3C à mettre en place le Web Performance Working Group, qu’elles coprésident. L’objectif est de fournir
des méthodes permettant d’évaluer les performances des applications et pages web.
Ce groupe de travail a avancé avec une grande célérité. En effet, en seulement six mois, il a su parcourir le chemin menant des bases
d’un premier projet à la mise en place d’un standard web quasi achevé (Candidate Recommendation). La spécification Navigation Timing
pourrait ainsi être finalisée d’ici peu, le consensus ayant été rapidement trouvé parmi les personnes chargées de la mettre au point.
Elle offre de mesurer le temps de chargement d’une page web. Chaque étape de ce processus est prise en compte : lancement de
l’action par l’utilisateur, envoi de la requête au serveur, réponse de ce dernier, transmission des données et chargement des divers
éléments. Cette spécification sera également capable de détecter quelle méthode a été utilisée pour déclencher le chargement
d’une page (saisie d’une adresse, utilisation des boutons d’historique, rafraichissement manuel de la page). Un outil précieux pour les
webmasters. À ce jour, Internet Explorer 9 et Chrome 10 sont les seuls navigateurs web à implémenter ces outils. Firefox, Opera et
Safari proposent tous des fonctionnalités proches, qui pourraient être adaptées afin de devenir compatibles avec ce nouveau standard.
McAfee to acquire database security vendor Sentrigo
http://www.zdnet.com/blog/btl/mcafee-to-acquire-database-security-vendor-sentrigo/46435?tag=nl.e589
McAfee said today that it would acquire Sentrigo, which builds database access and monitoring software, a move that
allows McAfee to extend its branded security veil to the enterprise database.
The companies already offer database products together, under an OEM agreement that allows Sentrigo to offer McAfee Vulnerability
Manager for Databases, McAfee Database Activity Monitoring and McAfee Integrity Monitoring for Databases. The acquisition allows
McAfee to lock up the relationship and should give it the flexibility to expand deeper into database security. Following the acquisition,
McAfee will be able to integrate Sentrigo’s database security technology into its ePolicy Orchestratorsoftware, allowing for complete
management from a single platform, said Bill Brenner of CSO.com.
McAfee has traditionally focused on securing endpoints, networks, email and web access, but the company, which was acquired by
Intel last year (the deal won final approval in January), recognizes the shift of data and threats to central points of storage and access.
From the McAfee statement : “Every organization stores their most sensitive information in databases, either directly or through their key
business applications,” stated Nathan Shuchami, CEO of Sentrigo. “The regular stream of public breach announcements is evidence that
we must all do much more to protect mission-critical database environments, and Sentrigo has been working for more than four years to
develop a suite of products to best secure these assets. As part of McAfee, Sentrigo will be in a position to deliver these best-of-breed
solutions to address a broader range of customer’s database security and compliance challenges.” The deal is expected to close in April.
Chrome 11 : la version bêta avec reconnaissance vocale HTML5
http://www.zdnet.fr/actualites/chrome-11-la-version-beta-avec-reconnaissance-vocale-html5-39759334.htm
Téléchargez Chrome 11 pour Windows
Google lance la version 11 de son navigateur. Grande nouveauté : Chrome intègre dorénavant la reconnaissance vocale.
Après la sortie d'Internet Explorer 9 puis Firefox 4, c'est au tour de Google de proposer la nouvelle mise à jour de son navigateur.
Côté image Chrome change de logo, mais avec cette version bêta 11quelques nouveautés techniques font leur apparition.
En bon élève, Google suit les consignes du W3C consortium et utilise l'interface de programmation Speech Input (déjà connue des
développeurs Android), ainsi son navigateur peut supporter la reconnaissance vocale dans le langage HTML5. Pour ce qui est du
fonctionnement, la transcription du son envoyée après enregistrement se fait sur un serveur en charge de la conversion au format texte.
La vitesse de reconnaissance vocale est a priori rapide, au même titre que l'outil pour les téléphones fonctionnant sous Android.
Commande vocale En cliquant sur une icône en forme de micro, il est désormais possible de parler à son navigateur. « Avec cette API,
les développeurs pourront ajouter à leurs applications Web la possibilité de transcrire votre voix en texte », déclare l'ingénieur Satish
Sampath sur le blog de Google. Une telle technologie ouvre alors de nouvelles possibilités sans avoir à passer par des plugins Flash ou
Java. Désormais des applications comme Voice Search peuvent être utilisée sous Chrome afin d'effectuer des requêtes sur le Web
(Google, Bing, Yahoo, Wikipedia etc.).
Autres nouveautés Dans la guerre entre les différents navigateurs, la vitesse d'affichage des pages compte. Aujourd'hui, Google
propose avec Chrome 11 un outil baptisé Page Speed, destiné à analyser les sources de ralentissement lors de la consultation d'une
page Web. Enfin dernier point et dernière nouveauté notable : l'accélération matérielle. Chrome 11 se rapproche donc d'IE9 pour pousser
au maximum les performances graphiques, grâce aux propriétés CSS, et plus particulièrement en ce qui concerne l'affichage 3D.
Eric Schmidt (Google) sur le point d'être nommé Secrétaire au commerce américain
http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/eric-schmidt-google-sur-le-point-d-etre-nomme-secretaire-au-commerce-americain_251042.html
L'actuel P-DG de Google quitte son poste le 4 avril. Sa nomination pourrait être entérinée par le président des États-Unis d'ici 15 jours.
La rumeur qui courait depuis quelques semaines semble prendre corps. Selon Business Insider, tous les voyants sont au vert pour la
nomination d'Eric Schmidt comme Secrétaire au commerce américain. L'annonce pourrait être faite d'ici deux semaines par le président
Barack Obama. L'actuel P-DG de Google remplacerait Gary Locke qui est devenu ambassadeur des États-Unis en Chine.
En janvier dernier, Schmidt avait annoncé qu'il quitterait son poste de P-DG pour devenir « simple » président exécutif du géant de
l'Internet. Il cède les rênes à Larry Page, le cofondateur de l'entreprise qui prendra ses fonctions à partir du 4 avril. Page a déjà occupé
ce poste entre 1998 et 2001.
LinkedIn franchit la barre des 100 millions de membres
http://www.itespresso.fr/linkedin-franchit-barre-100-millions-membres-41937.html
LinkedIn passe le cap des 100 millions d'utilisateurs dans le monde, dont 2 millions en France (forte croissance en 2010).
Le réseau social professionnel LinkedIn dévoile avoir récemment franchi une nouvelle barrière, ô combien symbolique, celle des 100
millions d’utilisateurs dans le monde, souligne Silicon.fr. La croissance de ce service en ligne est d’environ un million de nouveaux
membres par semaine, soit plus d’un inscrit par seconde. Un succès incontestable.
Les secteurs les plus représentés sur LinkedIn sont ceux des services, de la finance et de la haute technologie.
De plus, 73% des entreprises du classement Fortune 100 utilisent les services d’embauche proposés par ce réseau social. À noter que
près d’un million d’inscrits sont des enseignants. En décembre dernier, LinkedIn passait le cap des 20 millions d’utilisateurs en Europe.
Plus récemment, le service en ligne annonçait avoir été choisi par 2 millions de nos concitoyens, faisant ainsi de la France la quatrième
implémentation européenne pour ce réseau social et la première en termes de croissance (72% en 2010).
LinkedIn ne compte pas s’arrêter là. À ce jour, plus d’un membre sur deux réside hors des US (44 millions aux US et 56 millions hors).
Des Smart TV vraiment intelligentes avec Linux MeeGo
http://www.silicon.fr/des-smart-tv-vraiment-intelligentes-avec-linux-meego-48166.html
MeeGo s’attaque de façon frontale au marché des télévisions connectées, au travers d’un groupe de travail au sein de la fondation Linux.
MeeGo est une distribution Linux initialement créée par Intel et Nokia, mais aujourd’hui passée sous la coupe de la fondation Linux.
Cette dernière souhaite placer cette offre sur des marchés stratégiques, comme les terminaux mobiles, les systèmes embarqués, les ultra
portables économiques, les tablettes, etc. Elle se focalise aujourd’hui plus précisément sur le très prometteur marché des téléviseurs
connectés, en créant le groupe de travail MeeGo Smart TV. Ce choix n’est en rien dû au hasard. Rappelons en effet que quasiment
toutes les télévisions connectées et les set-top boxesfonctionnent aujourd’hui sous Linux.
« Le segment de la télévision intelligente se développe rapidement. Il est à la fois source d’opportunités et de complexité », explique
Ibrahim Haddad, directeur des alliances technologiques à la Fondation Linux. « MeeGo est construit depuis le début pour adresser les
besoins de l’informatique de prochaine génération, dans de multiples segments de marché, comme les Smart TV. Il est destiné à aider à
faire progresser Linux dans ce marché en plein essor. »
Le MeeGo Smart TV Working Group souhaite fournir un framework ouvert axé autour de MeeGo, lequel sera librement réutilisable par
les constructeurs. Il espère se différencier de la concurrence grâce à l’utilisation de la très réputée librairie Qt. Le groupe de travail est
composé de membres prestigieux dont Intel, MIPS Technologies et Nokia.
LiMo 4 vise à son tour le marché des tablettes
http://www.silicon.fr/limo-4-vise-a-son-tour-le-marche-des-tablettes-48247.html
Le système d’exploitation mobile LiMo 4, basé sur Linux, sera aussi bien accessible sur les smartphones que les tablettes.
La plate-forme mobile LiMo est longtemps restée dans l’ombre. Et pourtant, cet OS Linux est très populaire dans le secteur de feature
phones, des terminaux placés à mi-chemin entre les mobiles classiques et les smartphones.
Avec LiMo 4, tout ceci pourrait changer, cette offre s’ouvrant aux applications tierces et au marché des smartphones (comme nous
l’expliquions précédemment). La fondation chargée du développement de ce système vient aujourd’hui de dévoiler les quatre classes de
produits auxquelles s’adressera cet OS. Les candidats choisis sont les smartphones de haut de gamme, de milieu de gamme et d’entrée
de gamme, ainsi que les tablettes. Un plan très ambitieux, qui ne laisse plus aucune place aux feature phones.
« Je suis ravi que LiMo 4 soit capable de supporter un tel éventail de catégories d’appareils, ce qui permettra d’élargir les opportunités de
marché, tant pour les opérateurs que les équipementiers »déclare Kiyohito Nagata, directeur général du département stratégie
marketing de NTT DoCoMo et président de la fondation LiMo. « Ces quatre classes seront très utiles pour les entreprises qui planifient de
créer des terminaux LiMo 4. Nous prévoyons le lancement de plusieurs produits au cours de cette année. »
Ce système d’exploitation mobile ne devrait toutefois pas faire de l’ombre aux autres offres Linux, comme Android… ce qui est peut-être
sa plus grande force. En effet, cet OS ouvert est par essence discret. Les opérateurs de télécommunications pourront ainsi placer les
terminaux LiMo sous leur propre marque, en piochant ici et là dans l’écosystème d’applications pour créer leurs propres boutiques
de logiciels. Un moyen efficace de proposer des produits originaux et donc de se démarquer de la concurrence.
Google choisit Ingenico pour le paiement sans contact
http://www.latribune.fr/technos-medias/electronique/20110324trib000610361/google-choisit-ingenico-pour-le-paiement-sans-contact.html#xtor=EPR-2-[Lactu+du+jour]-20110324
Le groupe français spécialiste des terminaux de paiement va permettre aux consommateurs de régler leurs achats avec
leur mobile aux Etats-Unis.
Ingenico se renforce aux Etats-Unis. Le fabricant français de terminaux de paiement a été choisi par Google pour le développement de la
technologie du paiement sans contact appelée "NFC" (Near Field Communication), selon le quotidien Les Echos.
Cette technologie va être déployée d'ici à l'été outre Atlantique. Des milliers de terminaux fabriqués par Ingenico seront installés chez les
commerçants à New York et San Francisco et permettront aux consommateurs de régler leurs achats via leur mobile.
Ingenico travaille aussi avec Apple. Il "déploie également un partenariat avec Apple, via une solution convertissant l'iPhone en terminal
de paiement universel, acceptant aussi bien les cartes à puce que le NFC", selon Les Echos. Début mars, Ingenico, dont Safran est le
premier actionnaire s'était déclaré optimiste pour cette année. Il avait déclaré : "Les performances de 2010 et les prévisions de 2011
pourraient conduire le groupe à revoir à la hausse ses objectifs moyen terme", indique Ingenico dans un communiqué.
OpenFlow: The Future of Google’s Network?
http://www.datacenterknowledge.com/archives/2011/03/22/openflow-the-future-of-googles-network/
The OpenFlow networking standard is feeling the embrace of the world’s largest network operators. And perhaps none more so than
Google, which sees great potential for the open networking standard to solve sticky problems in its sophisticated data center
infrastructure. “We’re not using (OpenFlow) yet in production, but we’re spending a lot of time experimenting with it and we plan to
implement it,” said Urs Hoelzle, Senior Vice President of Engineering at Google, who will also serve as the president and chairman of the
newly-formed Open Networking Foundation. “Over the past two years we’ve been collaborating with other OpenFlow users on the spec,
and bringing our real world expertise into its development. Our first application will be in the network that connects our data centers.”
By shifting management features from the switch to an external server, OpenFlow simplifies the task of creating a centralized
management plan for a vast network of data centers like Google’s.
Improving Network Plumbing “We would expect there will be quite a lot of innovation in the WAN,” said Nick McKeown of Stanford
University, who helped develop OpenFlow. “There are fairly simple plumbing operations that are difficult to do now which will be simple
with a global perspective.” One example is prioritizing different types of traffic and developing policies for how the network handles
congestion and equipment problems. “We have a lot of types of traffic that flow between our data centers,” said Hoelzle. “OpenFlow can
help us decide what suffers first and last, and how your arbitrage works. In an OpenFlow world, you can have a plan for how the network
behaves. Right now we have to encode these behaviors into the network protocols. These networks were designed before the cloud
existed, so they didn’t foresee this use case.”
Boost for Network Testing & Development Hoelzle also was intrigued by the potential for tools like FlowVisor, a special purpose
OpenFlow controller that acts as a transparent proxy between OpenFlow switches and multiple OpenFlow controllers. With FlowVisor,
Hoelzle said, you can run multiple OpenFlow networks on the same physical hardware.
“That lets the network administrator test new versions on production hardware, but without affecting the live network,” he said. “It will
make it much easier to adopt something new. You can test, to a high fidelity, how the changes will perform a new network.”
That’s important to Google, which updates its software and systems on an ongoing basis, a process Hoelzle once described as akin to
“changing the tires on a car while you’re going at 60 down the freeway.” (see How Google Routes Around Outages for more).
Hoelzle emphasizes that it’s “very early” in the development of OpenFlow. As head of the Open Networking Foundation (ONF), he’ll have
a front-row seat for the effort. “The exciting thing about OpenFlow is that it opens up a playing area for network applications,” said
Hoelzle. “My guess would be two years from now, you’ll see dozens of different areas that have open flow underneath somewhere.”

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