l`accord CAP 2016 du 31 janvier 2014
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l`accord CAP 2016 du 31 janvier 2014
ACCORD ARCELORMITTAL CAP 2016 PREAMBULE 7 TITRE I - LE TEMPS DE TRAVAIL 9 1 Chapitre 1 - Principes relatifs à l’organisation de la Article 1 - Les principes généraux Article 2 - L’annualisation du temps de travail hors Article 3 – La journée de solidarité Article 4 – La définition de la période de référence l’annualisation Article 5 – La durée effective de travail Article 6 - Les temps de présence non assimilés à du effectif Article 7 - Les astreintes durée du travail forfait cadres 9 9 10 11 dans le cadre de 11 11 temps de travail Chapitre 2 - Organisation du temps de travail sur l’année 11 11 12 Section 1 – Le recours à la modulation 12 Article 8 – La programmation indicative des variations de l’horaire hebdomadaire 12 Article 9 – Le délai de prévenance des changements d’horaires collectifs et individuels 13 Section 2 – L’attribution de Jours de Réduction du Temps de Travail (JRTT) 14 Article 10 – L’attribution forfaitaire des JRTT 14 Article 11 – La détermination du nombre de JRTT 14 Article 12 – Les principes de planification des JRTT 14 Section 3 – Le régime de travail hors forfait cadres 14 Article 13 – Le régime jour à 207 jours annuels 14 Article 14 – Les régimes par équipe discontinus 1 équipe – 2 équipes et 3 équipes 14 14-1 Régime de travail 1 équipe et 2 équipes 14 14-2 Régime de travail 3 équipes 15 Article 15 – Le régime 4 équipes 15 15-1 Durée du travail 15 15-2 Organisation du temps de travail sur l’année 15 Article 16 – Le régime Feux Continus – 5 équipes 16 Section 4 – Garanties collectives et individuelles des salariés dont le temps de travail est décompté à l’année Article 17 – Les modalités de rémunération dans le cadre de l’annualisation 17-1 Rémunération 17-2 Décompte des heures en fin de période d’organisation du temps de travail sur l’année 17-3 Choix de paiement immédiat de postes ou jours de travail supplémentaires hors modulation collective Article 18 - Les modalités de passage d’un régime à un autre (aléas de carrière) 18-1 Montant de la compensation 18-2 Modalités de versement 18-3 Cas particulier des salariés en fin de carrière Article 19 – L’activité partielle en cours ou en fin de période d’organisation du temps de travail sur l’année Article 20 – Les modalités de gestion en cas de périodes incomplètes 20-1 Gestion des entrées en cours de période d’annualisation du temps travail 20-2 Gestion des sorties en cours de période d’annualisation du temps travail Chapitre 3 – Les forfaits cadres Article 21 – Le forfait à la mission des cadres dirigeants 16 16 16 17 17 18 18 18 19 19 19 de 19 de 19 20 20 2 Article 22 – Le forfait annuel en 213 jours de travail 22-1 Durée du travail 22-2 Rémunération Article 23 – Le forfait annuel en heures existant 23-1 Durée du travail 23-2 Rémunération 23-3 Evolution 20 20 21 21 21 21 21 Chapitre 4 – Article 24 Article 25 familiaux, La gestion des repos 22 - Les congés payés légaux 22 - Les congés pour événements exceptionnels (évènements médaille du travail) 22 Article 26 - Les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation 23 Article 27 – Les principes généraux applicables à la gestion des jours consolidés et des JRTT 23 Article 28 – L’organisation de la planification 23 28-1 Prise des JRTT 23 28-2 Prise des jours consolidés 24 28-3 Jours à l’initiative du salarié 24 Article 29 – L’incidence des absences sur les droits à jours de repos (jours consolidés et JRTT) 24 Article 30 – Le traitement des jours consolidés et des JRTT non pris par le salarié 25 TITRE II - LE TEMPS PARTIEL INDIVIDUEL (TPI) Article Article Article Article Article Article Article 31 32 33 34 35 36 37 – – – – – – – Les principes généraux La formalisation de la demande L’avenant au contrat de travail La rémunération Les compléments et avantages spécifiques L’égalité des droits Le retour à temps plein 26 26 26 26 27 27 27 28 TITRE III – LE COMPTE EPARGNE TEMPS (CET) ET LE COMPTEUR TEMPS COLLECTIF (CTC) 29 Chapitre 1 - Dispositions générales du Compte Epargne Temps 29 Article 38 – Le teneur de compte 29 Article 39 – L’ouverture du compte 29 Article 40 - Le mode de valorisation des droits placés au CET 29 Article 41 – L’information du salarié 29 Article 42 - La situation du salarié utilisant son compte épargne temps pour financer un congé 29 Chapitre 2 – Modalités d’alimentation et d’utilisation du Compte Epargne Temps Article 43 – L’alimentation 43-1 Alimentation du CET 43-2 Placements au titre des temps partiels de fin de carrière Article 44 - L’utilisation des droits affectés au CET pour financer une période de congé 44-2 Prise de CET pour un congé long prévu par la loi Article 45 – L’utilisation des droits affectés au CET sous forme de complément de rémunération 45-1 Déblocage du CET en cas d’évènement exceptionnel 45-2 Financement de la retraite 30 30 30 30 31 31 31 31 32 3 Chapitre 3 – Transfert et liquidation des droits affectés au CET Article 46 – Le transfert des droits affectés au CET Article 47 – La liquidation des droits affectés au CET 32 32 32 Chapitre Article Article Article Article Article Article Article Article Article 33 33 33 33 34 34 34 34 34 35 4 – Le Compteur Temps Collectif (CTC) 48 – Les salariés concernés 49 – Les principes de fonctionnement 50 – L’alimentation du CTC 51 – Les modalités de fonctionnement 52 – L’ordre d’utilisation des compteurs 53 – Les bornes du CTC 54 – Le suivi du CTC 55 – Le transfert des droits affectés au CTC 56 – La liquidation des droits affectés au CTC TITRE IV - LA MOBILITE AU SEIN DU GROUPE EN FRANCE Article 57 – Les principes généraux Article 58 – Les acteurs de la mobilité Article 59 – L’information des salariés sur les offres d’emploi disponibles 35 36 36 38 Section 1 – Le processus mobilité 38 Chapitre 1 – La préparation a la mobilite Article 60 – Le projet professionnel Article 61 – La proposition 38 38 38 Chapitre 2 – Article 62 Article 63 Article 64 Article 65 Article 66 Article 67 39 39 39 41 41 41 41 La période probatoire – La rémunération – La restauration durant le temps de travail – Les déplacements – Le retour au domicile - L’hébergement & la restauration - L’indemnité forfaitaire de logement temporaire Chapitre 3 –La mise en œuvre de la mobilite Article 68 – La mobilité temporaire 68–1 L’indemnité forfaitaire de logement temporaire 68–2 L’indemnité d’installation Article 69 – La mutation ou mobilité définitive 69–1 L ‘ancienneté & la classification 69-2 La rémunération 41 41 42 42 42 42 42 Chapitre 4 – L’évaluation de la mobilité 43 section 2 – Les outils de la mobilité Article 70 – La formation d’adaptation Article 71 – Le bilan de réorientation 43 43 43 section 3 Article Article Article Article Article Article Article Article 43 43 45 45 45 45 46 46 46 – Les aides à la mobilité géographique 72 – Principes généraux 73 – La recherche de logement 74 – Le délai transfert famille 75 - L’indemnité forfaitaire de logement temporaire 76 - L’autorisation d’absence rémunérée 77 – Le déménagement et les frais 78 - L’indemnité d’installation 79 - L’indemnité compensatrice de loyer 4 Article Article Article Article tension 80 81 82 83 » – – – L’acquisition d’un nouveau logement La recherche d’emploi du conjoint La scolarité La promotion de la mobilité dans les bassins « sous 47 47 47 47 TITRE V - L’EMPLOI DES SENIORS 48 Chapitre 1 – Préparation de la fin de carrière Article 84 – l’entretien de gestion de fin de carrière Article 85 – La santé au travail 48 48 49 Chapitre 2 – Dispositif d’aménagement du temps de travail Article 86 – Les salariés travaillant à temps partiel antérieurement à l’entrée en vigueur du présent accord Article 87 – Le Temps Partiel de Gestion de Fin de Carrière « 80/90/100 (TPGFC) 87-1 - Conditions d’adhésion 87-2 - Rémunération 87-3 - Compléments et avantages spécifiques 87-4 - Formalisation 49 49 » 49 49 50 50 50 TITRE VI - L’EVOLUTION DE CARRIERE DES SALARIES DU NIVEAU V 51 Article 88 - L’évolution des salariés du niveau V 88-1 La gestion de carrière des salariés du niveau V 88-2 Evolution au sein du niveau V 88-3 Evolution vers la nomination Cadre indices 86 et 92 Article 89 - L’accès à l’indice 100 Article 90 – L’accès à l’indice 108 TITRE VII – LE DROIT INDIVIDUEL A LA FORMATION ET LE COINVESTISSEMENT FORMATION Article 91 – Le co-investissement formation Article 92 – Le co-investissement formation et l’activite partielle TITRE VIII – LES CLAUSES JURIDIQUES ET ADMINISTRATIVES Article Article Article Article Article Article 93 94 95 96 97 98 – – – – – – Le champ d’application L’entrée en vigueur et durée de l’accord La contestation La révision La commission d’application et de suivi Le dépôt de l’accord 51 51 51 52 53 53 55 55 57 58 58 58 59 59 59 59 5 Entre, D’une part, La société ArcelorMittal France représentée par Monsieur Hervé BOURRIER, en sa qualité de Président Directeur Général et Monsieur Laurent GUERRA, en sa qualité de Directeur de la coordination des Ressources Humaines France, agissant pour le compte des sociétés figurant aux annexes 1, 2, 2bis, 2 ter et 3 du présent accord, Et d’autre part, Les Organisations Syndicales représentataives dont les représentants ont été dûment mandatés par les Fédérations Nationales de la Métallurgie, CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, Il a été arrêté et convenu ce qui suit à la suite de négociations qui se sont tenues à saint Denis les 11 octobre, 24 octobre, 30 octobre, 14 novembre, 28 novembre, 6 décembre et 17 décembre 2013 : 6 Préambule ArcelorMittal est la première entreprise sidérurgique et minière au monde. Guidée par une philosophie consistant à fabriquer un acier sûr et durable, elle est le premier fournisseur d’acier pour des grands secteurs d’activité tels que l’automobile, la construction, l’électroménager et l’emballage. ArcelorMittal est présent dans collaborateurs dans le monde. 60 pays et emploie plus de 245 000 La France, où ArcelorMittal emploie plus de 19 000 collaborateurs, est le lieu de production de près de 40% des aciers plats produits par ArcelorMittal en Europe. La France accueille également les principaux centres de Recherche et de Développement du Groupe, qui travaillent en collaboration étroite avec nos clients en France et à l’étranger pour mettre au point les aciers du futur. ArcelorMittal a investi plus de 2 milliards d’euros en France depuis 2006. En France, comme dans une Europe qui subit les effets de changements structurels profonds qui secouent l’économie mondiale, l’amélioration de notre compétitivité, ainsi que le renouvellement et le développement des compétences de nos collaborateurs sont des éléments clés de notre avenir. Les parties signataires, conscientes que la politique sociale d'ArcelorMittal, en France, contribue à la performance économique de l'ensemble des sociétés, souhaitent poursuivre, de façon contractuelle, l'accompagnement des transformations industrielles, économiques et sociales du Groupe, tout en respectant l'esprit des accords antérieurs. C’est l’équilibre recherché entre les attentes du personnel et les besoins de l’entreprise qui fonde cette politique. Face à des évolutions fréquentes, rapides, et d’ampleur, ArcelorMittal propose de contractualiser pour une période de trois ans des dispositifs d’organisation du travail permettant d'offrir un cadre de référence stable aux salariés des sociétés entrant dans le champ d'application du présent accord. Le présent accord a également pour objet de mettre en place des mesures attractives permettant de faciliter la mobilité géographique de nos salariés, de proposer des dispositifs spécifiques de gestion de l’emploi des séniors, et de promouvoir le droit individuel à la formation comme outil au service de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, objet par ailleurs d’un accord de groupe signé le 15 décembre 2007. Le présent accord s’appuie sur la Loi du 20 Août 2008 ainsi que sur l’accord national du 28 juillet 1998 sur l’organisation du travail dans la Métallurgie et ses avenants. Les dispositions du présent accord de groupe sont applicables dans les sociétés figurant dans son champ d'application. Cet accord a pour objectif de répondre à la volonté des parties signataires de trouver une cohérence des dispositifs sociaux applicables en matière de temps de travail, de gestion de l'emploi et de mise en œuvre de la mobilité. Cet accord ne remet pas en cause les accords d’établissement en vigueur, notamment ceux comportant locales plus favorables. d’entreprise ou des dispositions L'esprit de cet accord peut par ailleurs constituer une source d'inspiration pour l'ensemble des filiales d'ArcelorMittal en France qui ne figurent pas dans le champ d’application du présent accord. 7 8 TITRE I - Le temps de travail Les différents accords signés depuis la fin des Conventions de Protection Sociale de la Sidérurgie ont montré qu’il était possible d’adapter la gestion des sociétés du groupe aux réalités et contraintes changeantes auxquelles ces sociétés doivent faire face avec leurs salariés et, chaque fois que possible, d’innover dans le sens d’un progrès partagé. Dans la continuité de ces accords, les partenaires sociaux ont choisi de doter le groupe d'un accord favorisant le dialogue social quelles que soient les circonstances économiques, et de mettre en œuvre des dispositifs qui permettent d'adapter la marche de l'entreprise aux aléas du marché tout en offrant plus de sécurité au salarié. C’est ainsi que la modulation et le compte-épargne temps à l’initiative de l’employeur (« CTC », applicables dans certains régimes de travail tels que défini dans l’article 43) permettent de réduire le niveau de production en période de faible activité ou de l'augmenter en période de haute activité, créant un équilibre qui permet d’atténuer l’impact des variations d’activité sur les salariés, par une gestion appropriée du temps de travail. Par ailleurs les aléas de carrière permettent d’amortir les variations de rémunération liées aux changements de régimes de travail et de prendre en compte la situation particulière des salariés postés en fin de carrière. Les partenaires sociaux ont aussi fait le constat qu’une politique sociale cohérente favorisant l’équité et la mobilité doit s’appuyer sur la transparence et la simplicité de la réglementation intra-groupe en matière de temps de travail et d’organisation du temps de travail. A ce titre, l’accord de groupe applicable dans les sociétés du groupe entrant dans son champ d’application s’est révélé être un instrument efficace pour l’harmonisation des pratiques. Les partenaires sociaux ont donc choisi de continuer dans cette voie en négociant un nouvel accord de groupe sur le temps de travail, définissant un tronc commun et des options détaillées, pour prendre en compte la diversité des métiers, des marchés et des besoins, mais sans dispersion dans l’application. Les parties signataires conviennent que ce nouvel accord est l’occasion de réaffirmer les principes posés par les accords précédents et d’utiliser les années d’expérience acquises pour apporter à leur mise en œuvre les modifications nécessaires à leur pérennisation. L’objectif du présent accord est de simplifier la gestion du temps de travail en se fondant notamment sur la loi du 20 août 2008, et de conserver une référence générale à une durée moyenne hebdomadaire de 35 heures. CHAPITRE 1 - PRINCIPES RELATIFS A L’ORGANISATION DE LA DUREE DU TRAVAIL Article 1 - Les principes généraux Le présent accord de groupe s’inscrit dans la continuité de la politique du Groupe relative à la mise en œuvre des 35 heures. Il maintient le bénéfice de cette référence à l’ensemble du personnel. Il est fondé sur les principes généraux suivants : Le temps de travail est annualisé sur le fondement des articles L. 3122-2 et suivants du Code du Travail. La loi du 20 août 2008 prévoyant des règles communes à tous les systèmes d’annualisation du temps de travail, il convient de préciser dès à présent que le décompte du temps de travail est annuel et se fera par recours à la fois à la modulation, et à l’attribution de jours de repos supplémentaires par l’adaptation de la durée journalière de travail (appelées « journées de réduction du temps de travail » dans le présent accord, soit « JRTT »). L’annualisation présente un intérêt réel à la fois pour les sociétés du Groupe et les salariés. En effet, elle permet aux sociétés du groupe de faire face aux variations d’activité. Leurs clients connaissent des 9 variations de leurs besoins en acier de plus en plus fréquentes et importantes, liées aux fluctuations conjoncturelles de la demande des consommateurs finaux. En outre, le fonctionnement à flux tendu des principaux clients des sociétés du Groupe nécessite une capacité d’adaptation rapide à leur demande pour respecter les délais de livraison. Par ailleurs, l’expérience des années précédentes démontre que l’annualisation a permis d’éviter le recours au chômage partiel en cas de baisse d’activité et offre une souplesse aux salariés, qui bénéficient ainsi de jours de repos. Le principe du recours à l’appréciation du temps de travail sous forme de forfaits, pour les ingénieurs et cadres des sociétés du Groupe, est maintenu (forfaits annuels en heures, en jours et forfaits mission). L’annualisation implique que le décompte global du temps de travail, et le calcul des éventuelles heures supplémentaires réalisées par le salarié, se fassent à la fin de l’année. Toutefois, afin de valoriser rapidement la contribution des salariés, lorsque la société fait face à une surcharge d’activité non prévue et fait appel aux salariés dans le cadre de jours ou postes de travail supplémentaires, le présent accord prévoit que les entreprises et les établissements pourront opter pour le paiement immédiat des jours ou postes de travail supplémentaires dans l’année dans les conditions décrites à l’article 17-3 du présent accord. L’accord réaffirme les principes de la consolidation à 7 jours de repos des jours issus de dispositions conventionnelles et de l’extension de ceux-ci à tout l’ensemble des salariés. Dans le cadre de l’annualisation, la durée annuelle de travail effectif est réalisée par des jours ou des postes de travail dont le nombre varie selon les régimes collectifs décrits dans le présent accord. Pour chaque régime de travail, une référence en nombre d’heures et de jours annuels de travail est définie. Le nombre de jours et d’heures de travail est fixe quelle que soit l’année : les jours travaillés, les congés payés décomptés en jours ouvrés, les 7 jours consolidés, les jours fériés tombant un autre jour qu’un jour de repos hebdomadaire et les repos hebdomadaires ou les repos cycles, sont déduits du nombre de jours calendaires afin d’obtenir le nombre de JRTT. Le nombre de JRTT, et éventuellement le nombre de repos de cycle, sont adaptés chaque année. Article 2 - L’annualisation du temps de travail hors forfait cadres Les parties conviennent que la durée conventionnelle annuelle de travail de référence des OETAM, est de 1596 h de travail effectif sur l’année auxquelles s’ajoutent 7 heures correspondant à la journée légale de solidarité, soit 1603 heures. Cette référence (1603 heures annuelles) est celle retenue par les parties comme seuil au-delà duquel les heures de travail effectif constituent des heures supplémentaires. Pour répondre aux besoins des clients, ainsi qu’aux souhaits des salariés et des sociétés relevant du champ d’application du présent titre (annexe 1), l’annualisation se décline comme suit : - Recours à la modulation collective afin de planifier en fonction de l’activité de l’entreprise ou de l’établissement, des périodes de haute activité et des périodes de basse activité, qui se compensent sur l’année afin de ramener la durée annuelle du travail effectif à la durée conventionnelle. - Attribution des jours ou demi-journées de repos supplémentaires par l’adaptation de la durée journalière de travail (appelées « journées de réduction du temps de travail » dans le présent accord, soit « JRTT »). 10 Conformément au principe de l’annualisation du temps de travail, il sera vérifié à la fin de chaque année que le salarié a bien réalisé la durée conventionnelle collective annuelle de travail qui lui est applicable en fonction de son régime de travail, prévu au présent accord. Article 3 – La journée de solidarité La journée de solidarité destinée au financement d’actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées prévue à l’article L 3133-7 du Code du Travail, s’imputera sur une journée de JRTT conformément aux prescriptions de l’article L.3133-8 du Code du Travail. La journée de solidarité, d’une durée de 7 heures, premier jour de travail de l’année de chaque salarié. Le nombre de jours de RTT l’imputation de cette journée. fixé au présent accord s’imputera tient sur le compte de Article 4 – La définition de la période de référence dans le cadre de l’annualisation La période de décompte du temps de travail annualisé, de prise des repos et de congés payés (sans préjudice de l’article L. 3141-13 du Code du travail et de l’article 24 du présent accord sur ce dernier point) , fondée sur l’année civile débute le 1er janvier et se termine le 31 décembre. Pour les salariés embauchés en cours d’année civile, le début de la période de référence correspond au premier jour de travail. Pour les salariés quittant la société en cours d’année civile, la fin de la période de référence correspond au dernier jour de travail. Article 5 – La durée effective de travail Les présentes dispositions s’inscrivent dans la définition du temps de travail prévue à l’article L. 3121-1 du Code du Travail. La durée du travail effectif est le temps pendant lequel le salarié est à la disposition de l’employeur et doit se conformer à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles. Cette définition légale du temps de travail effectif est la référence des parties en particulier pour calculer les durées maximales de travail, l’appréciation du décompte et du paiement d’éventuelles heures supplémentaires ou repos compensateurs. Article 6 - Les temps de présence non assimilés à du temps de travail effectif Certains temps de présence qui ne répondent pas à la définition légale de la durée du travail effectif peuvent néanmoins être payés et/ou indemnisés lorsque cela est prévu par les pratiques locales. Le présent accord collectif ne remet pas en cause les pratiques locales actuelles en la matière. Pour les personnes appelées à se déplacer, il conviendra de définir en concertation avec la hiérarchie les modalités de prise de repos, conformément aux dispositions légales et conventionnelles. Article 7 - Les astreintes Des contraintes de services ou d’unités peuvent conduire l’employeur à demander à certains salariés d’assurer une période d’astreinte. En application de l’article L.3121-5 du Code du Travail, les périodes d’astreintes sont des périodes de temps pendant lesquelles le salarié a 11 l’obligation d’être disponible pour intervenir à tout moment si la société le lui demande. Ces périodes d’astreinte, qui ne constituent pas une durée effectif, donnent droit à compensation négociée localement. de travail Les parties signataires conviennent qu’un salarié ne pourra être simultanément en astreinte et en repos (congés payés, JRTT,…). Les situations d’une gravité exceptionnelle entraînant un arrêt d’installation feront l’objet d’un examen particulier au niveau local pour déterminer l’organisation ad hoc de l’astreinte et des repos au cours de cette période. Par ailleurs, la durée entre deux périodes d’astreinte doit être suffisamment longue. Cette durée sera définie au niveau local. Sauf exceptions liées notamment à la taille de l’entreprise ou de l’établissement et/ou à la disponibilité des compétences ad hoc, cette durée ne sera pas inférieure à trois semaines. Conformément aux dispositions légales et jurisprudentielles, les interventions sur site, le temps de déplacement pour se rendre sur le lieu d’intervention dans les conditions définies au niveau local, ou l’intervention à distance hors horaire de travail du salarié pendant les périodes d’astreintes sont décomptées comme temps de travail effectif et à ce titre, entrent dans le compteur d’heures annualisées. CHAPITRE 2 - ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL SUR L’ANNEE SECTION 1 – LE RECOURS A LA MODULATION Article 8 – hebdomadaire La programmation indicative des variations de l’horaire L’horaire hebdomadaire maximal pourra atteindre 44 heures par semaine en période de modulation haute et 48 heures pour le personnel posté ; L’horaire hebdomadaire minimal pourra être ramené à 24 heures par semaine en période de modulation basse. L’horaire hebdomadaire ne pourra excéder 42 heures en moyenne semaines consécutives, sauf dérogation légale ou conventionnelle. sur 12 Les règles selon lesquelles le programme indicatif est établi, sont les suivantes : 1. Pour les régimes Jour : la durée journalière de référence, ainsi que le nombre de jours travaillés dans la semaine peuvent augmenter ou diminuer sans pouvoir toutefois excéder les durées maximales légales et conventionnelles. Les périodes de haute activité compensent donc les périodes de basse activité afin de ramener la durée annuelle du travail effectif à la durée conventionnelle. 2. Pour les régimes postés : le nombre de postes dans la semaine peut augmenter ou diminuer sans pouvoir toutefois excéder les durées maximales légales et conventionnelles et en respectant les repos quotidiens et hebdomadaires obligatoires. Il peut en aller de même si nécessaire, pour la durée journalière des postes de travail. Les périodes de haute activité compensent donc les périodes de basse activité afin de ramener la durée annuelle du travail effectif à la 12 durée conventionnelle de travail applicable au salarié en fonction de son régime de travail. Les entreprises ou établissements définiront un régime de travail de référence pour chaque ligne de production en fonction de leurs prévisions annuelles d’activités, en concertation avec la commission d’application et de suivi locale La programmation indicative de l’organisation du temps de travail sur l’année pour chacun des régimes horaires annualisés du présent accord figure en annexe 5. Elle fera l’objet d’une consultation du Comité d’Entreprise ou du Comité d’Etablissement au moins 15 jours avant sa mise en œuvre. Cette programmation est susceptible d’être modifiée au cours de l’année pour faire face aux variations importantes d’activité. Toutefois, les régimes de travail postés ne devront pas être modifiés plus de deux fois par an pour chaque ligne de production concernée - sauf circonstances exceptionnelles dûment motivées, en concertation avec la commission d’application et de suivi locale du présent accord, sur lesquelles le Comité d’Entreprise ou le Comité d’Etablissement devra être consulté. Les changements de régimes de travail feront l’objet d’une InformationConsultation du Comité d’Entreprise ou du Comité d’Etablissement au moins 15 jours avant leur mise en œuvre. La variation des horaires hebdomadaires, notamment par la réalisation de postes supplémentaires collectifs, est un moyen de limiter la modification des régimes horaires. Dans ce cadre, en l’absence d’accord collectif au niveau de l’entreprise ou de l’établissement traitant des points mentionnés ci-après, il sera défini en concertation avec la commission d’application et de suivi locale du présent accord des critères de basculement d’un régime de travail à l’autre, un nombre maximal de postes supplémentaires collectifs pouvant être réalisés par trimestre et par salarié concerné, ainsi qu’une marche de fonctionnement maximale et minimale au sein d’un même régime de travail . A la demande d’une organisation syndicale signataire, la commission d’application et de suivi locale de l’accord sera réunie trimestriellement. Une programmation indicative des variations d’horaires hebdomadaires ainsi qu’un bilan des postes supplémentaires collectifs seront communiqués au Comité d’Entreprise ou Comité d’Etablissement chaque mois. La programmation indicative des changements d’horaires fera l’objet d’une information lors du Comité d’Entreprise Ordinaire ou du Comité d’Etablissement Ordinaire. Article 9 – Le délai de prévenance des changements d’horaires collectifs et individuels Les salariés sont informés des modifications des horaires de travail en respectant un délai de prévenance de 7 jours ouvrés. L’activité des sociétés du Groupe est caractérisée par des variations soudaines du plan de charge résultant d’une part, de la nécessaire réactivité, dans des délais très courts, qu’imposent les clients, et d’autre part, de contraintes techniques spécifiques aux lignes de fabrication. Dès lors, ce délai pourra être réduit lorsque le bon fonctionnement de l’entreprise ou de l’établissement l’exige, notamment lorsque sont en jeu la bonne réalisation d’une commande, le bon fonctionnement des outils, voire des arrêts d’outil liés à un manque de commandes. Lorsque ce délai de prévenance est inférieur à 5 jours ouvrés, une prime de 2 heures est versée en contrepartie de la modification des horaires de travail, lorsqu’elle entraîne un poste non prévu ou lorsqu’elle annule un poste initialement prévu. Lorsque des circonstances exceptionnelles amènent à modifier les horaires de travail dans un délai de prévenance inférieur ou égal à 24 heures, une prime de 3 heures sera versée. 13 Dans tous les cas, les périodes de repos quotidien et hebdomadaire seront respectées. SECTION 2 – L’ATTRIBUTION DE JOURS DE REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL (JRTT) Article 10 – L’attribution forfaitaire des JRTT Les signataires conviennent de retenir le mode attributif, particulièrement avantageux pour les nouveaux embauchés. En effet, ils bénéficient, dès leur premier jour d’activité, de l’ensemble des JRTT attribués aux autres salariés pour la période restant à courir jusqu’à la fin de l’année. Article 11 – La détermination du nombre de JRTT Le nombre de jours et d’heures de travail est fixe quelle que soit l’année : les jours travaillés, les congés payés décomptés en jours ouvrés, les 7 jours consolidés, les jours fériés tombant un autre jour qu’un jour de repos hebdomadaire et les repos hebdomadaires ou les repos de cycles, sont déduits du nombre de jours calendaires afin d’obtenir le nombre de JRTT, qui peut donc varier d’une année sur l’autre. Lorsque, par exception, un ou plusieurs jours fériés sont non travaillés dans une entreprise ou un établissement, le principe ci-dessus conduit à réduire à due concurrence le nombre de JRTT pour permettre le travail du nombre de poste défini dans le régime de travail considéré. Article 12 – Les principes de planification des JRTT Le nombre de JRTT qui résulte du régime de travail et du calendrier fera l’objet chaque année d’une planification de la prise conformément aux dispositions du chapitre 4 du présent titre. SECTION 3 – LE REGIME DE TRAVAIL HORS FORFAIT CADRES Dans le cadre de l’annualisation, la durée horaire annuelle de travail effectif est réalisée par des jours de travail dont le nombre varie selon les régimes collectifs décrits ci-après. Article 13 – Le régime jour à 207 jours annuels L’organisation du temps et des jours de travail est définie sur la base de 207 jours travaillés. Le temps de travail annualisé à 1603 heures (1596 heures + 7 heures au titre de la journée de solidarité) se réalise en 207 jours de travail effectif de 7,74 heures, et ceci, quel que soit le calendrier. Le nombre de jours de réduction du temps de travail est variable chaque année, afin de garantir 207 jours de travail par an. Article 14 – Les régimes par équipe discontinus 1 équipe – 2 équipes et 3 équipes 14-1 Régime de travail 1 équipe et 2 équipes L’organisation du temps et des jours de travail est définie selon l’une des modalités ci-dessous. Elle donne lieu à information et consultation du Comité d’Entreprise ou Comité d’Etablissement. Le choix d’une des modalités s’effectue en fonction des besoins de la société ou de l’établissement concerné. 14-1-1 Afin de faciliter la cohabitation des régimes de travail avec le régime 3x8 et favoriser la polyvalence, le temps annualisé à 1603 heures (1596 heures + 7 heures au titre de la solidarité) se réalise en 201 postes de travail effectif de 8 ceci, quel que soit le calendrier. 1x8 et 2x8 de travail journée de heures, et 14 Pour tenir compte de l’alinéa précédent, 5 heures seront récupérées par le salarié sous forme de repos. Ces heures seront placées dans un compteur d’heures à récupérer en début d’année. La prise effective sera fixée par accord entre le salarié et la hiérarchie. Le nombre de jours de réduction du temps de travail est variable chaque année afin de garantir 201 postes de travail par an. 14-1-2 Lorsque dans une entreprise ou un établissement, les régimes de travail sont organisés de façon autonome, le temps de travail annualisé de 1603 heures se réalise dans le cadre du régime jour défini à l’article 13 ci-dessus. Pour les options décrites ci-dessus, lorsque le temps de casse-croûte ne fait pas partie du temps de travail effectif, le nombre de poste de travail en tiendra compte. 14-2 Régime de travail 3 équipes Pour tenir compte de la réglementation conventionnelle sur le travail de nuit, la durée annuelle de travail effectif de 1603 heures (1596 heures + 7 heures au titre de la journée de solidarité) doit être réduite de 6 heures, soit 1597 heures. Le temps de travail annualisé se réalise en 200 postes de travail effectif de 8 heures, et ceci, quel que soit le calendrier. Pour tenir compte de l’alinéa précédent, 3 heures seront récupérées par le salarié chaque année. Ces heures seront placées dans un compteur d’heures à récupérer en début d’année. La prise effective sera fixée par accord entre le salarié et la hiérarchie. Le nombre de jours de réduction du temps de travail est variable chaque année afin de garantir 200 postes de travail par an. Lorsque le temps de casse-croûte ne fait pas partie du temps de travail effectif, le nombre de poste de travail en tiendra compte. Article 15 – Le régime 4 équipes 15-1 Durée du travail La durée annuelle effective de travail est fixée à 1575 heures (soit 1568 heures + 7 heures au titre de la solidarité), effectuées en 197 postes de 8 heures, 1 heure étant récupérée par le salarié sous forme de repos. Cette heure sera placée dans un compteur d’heures à récupérer en début d’année. La prise effective sera fixée par accord entre le salarié et la hiérarchie. Dans ce régime horaire, les jours fériés et les dimanches pourront ou non être travaillés, compte-tenu des rotations et cycles de travail définis localement. 15-2 Organisation du temps de travail sur l’année L’horaire défini permet de faire fonctionner les installations 18 postes par semaine en moyenne. L’organisation du temps de travail sur l’année du régime horaire dans le cadre du présent accord autorise une souplesse de mise en œuvre qui, par des postes effectués en plus le dimanche ou des postes non effectués en semaine, permet aux installations de fonctionner entre 16 et 20 postes par semaine. Cette souplesse de fonctionnement est permise par l’organisation du temps de travail sur l’année de l’horaire collectif. 15 15-2-1 Cas particulier de la marche prolongée au-delà de 19 postes/semaine Lorsque l’adaptation à l’activité entraîne une marche prolongée de certains outils au-delà de 19 postes par semaine, le déploiement des 4 équipes en 5 équipes pourra être envisagé afin d’assurer de bonnes conditions de travail. Les conditions de cette nouvelle organisation des équipes feront l’objet d’une négociation au sein des entreprises ou établissements concernés. 15-2-2 Cas particulier de la marche prolongée en deçà de 17 postes/semaine L’adaptation à l’activité peut entraîner une marche prolongée de certains outils en deçà de 17 postes par semaine. Afin d’éviter le recours à l’activité partielle conjoncturel les 4 équipes pourront être ramenées à 3 équipes. Les conditions de ce redéploiement feront l’objet d’une négociation au sein des entreprises ou des établissements concernés. Article 16 – Le régime Feux Continus – 5 équipes La durée annuelle effective de travail est fixée à 1503 heures (soit 1496 heures + 7 heures au titre de la solidarité), effectuées compte tenu des rotations d’équipes en une moyenne de 188 postes de 8 heures, 1 heure étant récupérée par le salarié sous forme de repos. Cette heure sera placée dans un compteur d’heures à récupérer en début d’année. La prise effective sera fixée par accord entre le salarié et la hiérarchie Dans ce régime horaire, les jours fériés sont normalement travaillés compte tenu des rotations. Pour les salariés travaillant en repos hebdomadaire légal ne peut lors, ce repos hebdomadaire légal et correspondra au dernier jour travail. feux continus, du fait de leur cycle, le pas toujours être fixé le dimanche. Dès sera octroyé un autre jour de la semaine du repos de cycle de chaque semaine de Afin d’assurer le respect de la durée annuelle effective de travail de 188 postes (pour une année complète), chaque salarié en régime feux continus – 5 équipes pourrait être dans l'obligation de travailler un jour de repos de cycle par an. Ce jour de repos de cycle travaillé sera fixé dans l’année pour chaque équipe, par l’employeur. Sur ce poste travaillé, il sera planifié collectivement par équipe un Jour Consolidé tel que défini à l’article 26, permettant de conserver le caractère de repos de ce jour. SECTION 4 – GARANTIES COLLECTIVES ET INDIVIDUELLES DES SALARIES DONT LE TEMPS DE TRAVAIL EST DECOMPTE A L’ANNEE Article 17 – Les modalités de rémunération dans le cadre de l’annualisation 17-1 Rémunération La rémunération mensuelle des régimes de travail modulés est indépendante de l’horaire réel. Elle est lissée, pour un horaire de travail effectif à 35 heures hebdomadaires, sur la base de 151,67 heures par mois. Dans les cas exceptionnels de réalisation d’heures supplémentaires au-delà de plafond haut de modulation, celles ci sont payées mensuellement dans les mêmes conditions que les autres éléments de paie variables en fonction de l’activité. Ces heures supplémentaires s’imputent sur le contingent conventionnel d’heures supplémentaires. Les absences rémunérées ou indemnisées, les congés et autorisations d’absence auxquels les salariés ont droit en application de stipulations 16 conventionnelles, ainsi que les absences justifiées par l’incapacité relevant de maladie ou d’accident, ne peuvent faire l’objet d’une récupération par le salarié. Les absences donnant lieu à récupération seront décomptées en fonction de la durée de travail que le salarié devait effectuer. En cas d’absence non rémunérée, il est procédé à une retenue sur la rémunération mensuelle. Celle-ci est indépendante de l’horaire réel. La retenue pour une journée d’absence est calculée selon les modalités suivantes : Eléments récurrents du salaire [fixe mensuel (y compris majorations régime de travail) + ancienneté + complément personnel et / ou individuel] divisés par l’horaire mensuel moyen du régime et multipliés par 7 heures pour un salarié à 35 heures. 17-2 Décompte des heures en fin de période d’organisation du temps de travail sur l’année Les heures de travail supérieures ou inférieures au calendrier de base d’un régime et résultant de l’organisation du temps de travail sur l’année sont comptabilisées tout au long de l’année. En fin de période d’organisation du temps de travail sur l’année : Les heures de travail effectif réalisées en sus de 1603 heures à l’année, déduction faite des heures supplémentaires déjà rémunérées en cours de période d’annualisation selon les dispositions de l’article 17-3 du présent accord, feront l’objet d’un bilan en fin d’année et d’une régularisation au mois de janvier de l’année n+1. Elles seront placées au CET dans les conditions définies au titre III du présent accord ou payées avec les majorations éventuelles. Elles s’imputeront sur le contingent conventionnel d’heures supplémentaires issu de l’accord de branche sur le sujet. En cas de solde d’heures négatif, la situation du salarié sera régularisée par débit de son CET (compte épargne temps à l’initiative du salarié) à la demande du salarié. Ces dispositions permettent d’éviter le recours à l’activité partielle notamment en cas de sous activité ou de baisse de charge. 17-3 Choix de paiement immédiat de postes supplémentaires hors modulation collective ou jours de travail En vertu du principe d’annualisation, le décompte du temps de travail est calculé sur l’année. Cependant, en fonction de circonstances exceptionnelles déterminées au niveau de chaque entreprise ou établissement, ces derniers pourront proposer de façon temporaire aux salariés de choisir, pour une période d’annualisation donnée, entre : - La rémunération mensuelle des éventuels postes ou jours de travail complets réalisés en sus de leur calendrier prévisionnel de modulation. A cette rémunération, s’ajouteront les majorations conventionnelles pour heures supplémentaires décomptées dans le cadre hebdomadaire. - Et l’application de l’article 17-2 ci-dessus conduisant au maintien de ces heures dans le compteur d’annualisation. Les majorations pour heures supplémentaires seront donc décomptées en fin de période d’annualisation. Préalablement à la mise en œuvre de cette disposition, les entreprises ou établissements informeront la commission du suivi et d’application du présent accord ainsi que le Comité d’Entreprise ou d’Etablissement concerné, des circonstances exceptionnelles. 17 La détermination de ces circonstances exceptionnelles prendra en compte, non seulement le niveau de charge attendu des outils, mais également la rentabilité des volumes produits. Article 18 - Les modalités de passage d’un régime à un autre (aléas de carrière) Les évolutions des produits, de la technologie ou de l’activité, peuvent entraîner un changement du régime horaire applicable aux équipes affectées à un outil. Les rémunérations des régimes de travail sont en général différentes. Afin d’éviter les variations de ressources liées aux passages d’un régime à un autre, les accords locaux de flexibilité peuvent prendre en compte le traitement des écarts de rémunération et les modalités de mise en œuvre. A défaut d’accord local, et en cas de changement de régime de travail entraînant une réduction ou une suppression des contraintes, la différence donnera droit à une compensation calculée de la manière décrite ci-après, avec un exemple de calcul en annexe 6 de cet accord. Par exception à ce principe d’aléas de carrière lié à un changement d’horaire du à une évolution des produits, de la technologie ou de l’activité, une disposition spécifique s’appliquant individuellement pour les salariés en fin de carrière est mise en place, pour améliorer les conditions de travail en fin de carrière. 18-1 Montant de la compensation Montant global de la compensation = montant de l’écart mensuel constaté entre la rémunération d’origine et la rémunération dans le nouveau régime de travail multiplié par le nombre d’années passées dans le régime d’origine dans la limite de 20 ans multiplié par 2,4 (soit au maximum 48 mois). 18-2 Modalités de versement Nombre de mois pendant lesquels la compensation sera versée = 2 fois le nombre d’années passées dans le régime d’origine dans la limite de 20 multiplié par 2,4 (soit au maximum 96 mois au total) Le versement mensuel diminuera par paliers égaux de 20%, pour arriver à une compensation nulle en fin de période, comme décrit dans l’exemple en annexe 6. Le 1er palier couvrira 80% de l’écart et les suivants respectivement 60, 40 puis 20% de l’écart pour arriver à 0 en fin de période de compensation. Par exception au principe ci-dessus, le versement mensuel pourra diminuer par paliers égaux de 10% lorsque la durée d’indemnisation sera supérieure ou égale à 60 mois. Pour éviter une perte immédiate de rémunération au salarié, il est convenu que celui-ci bénéficiera d’un maintien de sa rémunération à 100% pendant 2 mois, avant la mise en œuvre du premier palier, en sus des compensations prévues au paragraphe 18-1. La compensation pourra être également versée en une fois sous forme d’un capital lorsque sa valeur est égale ou inférieure à 6 mois d’écart. En cas de changement de régime de travail intervenant pendant la période d’indemnisation, la compensation est recalculée pour tenir compte de l’impact du nouveau régime sur la rémunération, sans remise en cause des droits acquis au titre de l’aléa précédent. 18 En cas de cessation du contrat de travail, la compensation cesse d’être due, et ne donne pas droit au versement de la part de capital non encore versée. Ces dispositions sont également applicables en cas de survenance d’aléas de carrière individuel, tels que l’inaptitude au poste de travail. 18-3 Cas particulier des salariés en fin de carrière Par exception aux principes explicités aux articles 18-1 et 18-2 ci-dessus, et afin de tenir compte de la situation des salariés en fin de carrière, la rémunération d’un salarié passant d’un régime de travail « posté » à un régime de travail de jour ( ou à un régime de travail avec un coefficient d’adaptation à l’horaire équivalent à celui du régime de jour), dans le cadre d’un changement d’emploi ou de l’acceptation d’une mission temporaire, sera maintenue, sous réserve du respect des 2 conditions cumulatives suivantes : - le salarié remplit les conditions d’accès à la retraite à taux plein du régime général de la sécurité sociale dans les 3 ans maximum après son changement d’emploi ou l’acceptation d’une mission temporaire ayant pour effet un changement de régime de travail. - le salarié s’engage par écrit à demander la rupture de son contrat de travail dès que le bénéfice d’une retraite à taux plein du régime générale de la sécurité sociale est acquis. En cas de non-respect de l’une de ces deux conditions, le principe des aléas de carrière ne pourrait s’appliquer que dans les conditions des articles 18-1 et 18-2 ci-dessus. Ce principe de maintien de rémunération ne pourra être mis en œuvre qu’en cas de changement d’emploi, ou d’acceptation d’une mission temporaire, si ces derniers sont effectivement disponibles, le tout en accord avec leur employeur. Article 19 – L’activité partielle en cours ou en d’organisation du temps de travail sur l’année fin de période Au niveau d’un département ou d’un service lorsqu’en cours de période de décompte, il apparaît que les baisses d’activité ne pourront être suffisamment compensées par des hausses d’activité avant la fin de l’année, l’employeur demandera, après avoir épuisé toutes les autres possibilités, et après consultation du Comité d’entreprise ou du Comité d’établissement, l’application du régime d’allocation spécifique d’activité partielle pour les heures non travaillées en deçà de l’horaire moyen hebdomadaire de 35 heures. Dans ce cadre, l’employeur pourra également choisir d’interrompre le décompte annuel du temps de travail après avoir consulté le Comité d’entreprise ou le Comité d’établissement. Article 20 – Les modalités de gestion en cas de périodes incomplètes 20-1 Gestion des entrées en cours de période d’annualisation du temps de travail Pour les salariés entrant dans l’entreprise en cours d’année civile, il sera vérifié qu’ils bénéficieront au moins d’un nombre de jours de JRTT calculé au prorata du nombre de jours de travail sur l’année civile. 20-2 Gestion des sorties en cours de période d’annualisation du temps de travail Pour les salariés quittant l’entreprise en cours d’année civile, il sera vérifié que le nombre de JRTT effectivement pris est au moins égal au 19 nombre de jours de repos calculé au prorata du nombre de jours de travail sur l’année civile. CHAPITRE 3 – LES FORFAITS CADRES Les parties signataires conviennent que les forfaits annuels ne s’appliquent qu’au personnel cadre. Ils conviennent par ailleurs de limiter le recours au forfait annuel à deux types de régimes : le forfait spécifique « cadres dirigeants » et le forfait annuel en jours. Le forfait annuel en heures est maintenu pour les seuls cadres pour lesquels le recours au forfait annuel en heures a fait l’objet d’une convention annuelle de forfait en heures antérieurement à l’entrée en vigueur du présent accord. Article 21 – Le forfait à la mission des cadres dirigeants Ce type de forfait est proposé aux cadres dirigeants en fonction des responsabilités qu’ils exercent dans le cadre de leur mission, de leur autonomie de décision et d’organisation ainsi que de leur niveau de rémunération. A l’exception des dispositions relatives aux congés payés prévus aux articles L 3141-1 et suivants du code du travail et aux jours consolidés, aucune disposition relative à la réglementation de la durée du travail n’est applicable aux cadres en forfait mission au titre du présent article. La rémunération qui tient compte des responsabilités confiées aux salariés en forfait mission, est conforme aux garanties conventionnelles en la matière. Article 22 – Le forfait annuel en 213 jours de travail La direction de chaque société ou établissement d’ArcelorMittal en France peut proposer aux Ingénieurs et Cadres disposant d’une autonomie dans l’organisation de leur emploi du temps et dont la nature des fonctions ne les conduit pas à suivre l’horaire collectif applicable au sein de la société ou de l’établissement, un avenant à leur contrat de travail définissant un forfait annuel en jours de travail. Cet avenant au contrat de travail précise, pour chaque personne concernée, les conditions d’activité et de rémunération associées au forfait annuel. 22-1 Durée du travail La durée effective du travail est de 213 jours par an (212 jours + 1 jour au titre de la journée de solidarité), quel que soit le calendrier, pour tous les salariés des sociétés figurant à l’annexe 1 du présent accord. Le nombre de JRTT sera ajusté chaque année en fonction du calendrier afin d’assurer 213 jours de travail par an. Il est rappelé que le salarié doit bénéficier d’un temps de repos quotidien d’au moins 11 heures consécutives. Le salarié doit également bénéficier d’un temps de repos hebdomadaire minimal de 24 heures, auquel s’ajoute le repos quotidien de 11 heures. Le supérieur hiérarchique du salarié ayant conclu une convention de forfait défini en jours assure le suivi régulier de l’organisation du travail de l’intéressé et de sa charge de travail. Cette amplitude et cette charge de travail devront rester raisonnables et assurer une bonne répartition dans le temps, du travail des intéressés. Dans ce cadre, une formation des managers de cadres au forfait annuel en 213 jours de travail sera déployée, explicitant les bonnes règles 20 managériales sur forfait jours. l'organisation et la charge de travail des cadres au En outre, le salarié ayant conclu une convention de forfait défini en jours bénéficie de 2 entretiens par an avec son supérieur hiérarchique, au cours desquels seront évoqués spécifiquement l’organisation et la charge de travail de l’intéressé et l’amplitude de ses journées d’activité. Ces entretiens peuvent se tenir au même moment que les entretiens annuels de mi et fin d’année, mais restent toutefois distincts de ces derniers. Lors de ces entretiens sont notamment évoqués les points suivants : - la cohérence entre les objectifs fixés et la charge de travail - le respect des temps de repos - l’utilisation des moyens de communication (mails, téléphone portable) - ainsi que l’articulation vie privée/vie professionnelle. Le contrôle du nombre de jours travaillés par année sera obtenu via les outils de gestion RH du suivi des temps de travail tenu à jour mensuellement par l’employeur, faisant apparaître le nombre et la date des journées et demi journées travaillées, ainsi que la qualification des jours de repos hebdomadaires, les congés payés, les jours consolidés, les jours fériés et jours de repos au titre de la réduction du temps de travail. 22-2 Rémunération La ressource annuelle d’un forfait annuel en jours de travail est conforme aux garanties conventionnelles en la matière correspondant au classement de l’intéressé et prévu par la convention collective de branche applicable. La rémunération annuelle forfaitaire est versée sur douze mois. Article 23 – Le forfait annuel en heures existant Certains cadres bénéficient d’un contrat de travail ou d’un avenant prévoyant une convention de forfait annuel en heures, conclu antérieurement à l’entrée en vigueur du présent accord. Les parties signataires rappellent que le forfait annuel en heures ne peut plus être proposé. Les modalités de gestion de ces forfaits annuels en heures sont rappelées ci-dessous : 23-1 Durée du travail Le forfait annuel en heures est de 1694 heures, soit 1687 heures + 7 heures de la journée de solidarité. Les heures de travail effectif seront réalisées en 210 jours quel que soit le calendrier annuel. 23-2 Rémunération Le forfait de 7,10%, correspondant aux heures supplémentaires majorées, est maintenu, comme tout autre élément de rémunération, préalablement contractualisé. De plus, il sera vérifié que la ressource annuelle d’un salarié au forfait annuel 1694 heures est conforme aux garanties conventionnelles en la matière correspondant au classement de l’intéressé et prévu par la convention collective applicable. 23-3 Evolution L’évolution des cadres au forfait annuel en heures ne pouvait se faire jusqu’à présent qu’au travers des indices 80, 86, 92. Désormais, cette évolution pourra aller jusqu’à l’indice 100. Cet indice donne une nouvelle possibilité de progression pour ces cadres. 21 Par ailleurs, une évolution vers un forfait annuel en jours est possible pendant la durée du présent accord. Cette évolution suppose la prise en compte de missions qui relèveraient de ce type de forfait, après un parcours de formation, de mise en situation ou tout autre processus assurant une réussite et une progression professionnelle dans un parcours prédéfini et établi par les sociétés et/ou les établissements. Le forfait annuel en jours correspond à des fonctions dont les missions, les responsabilités et les compétences nécessitent une autonomie dans l’organisation de l’emploi du temps. Au-delà d’évaluations externes spécialisées et de formations managériales, il sera vérifié que les salariés possèdent les compétences correspondant aux nouvelles missions qui leur seront confiées. Un nouvel avenant à leur contrat de travail sera proposé aux salariés qui, suite à l’entretien d’évolution, relèveront de ce forfait annuel en jours. Dans cet avenant figureront les nouvelles missions justifiant ce forfait. Chaque année, la commission d’application et de suivi locale du présent accord étudiera la catégorie des cadres au forfait annuel en heures de la société / l’établissement : nombre de personnes par coefficient, nombre de promotions au sein des forfaits annuels horaires par indice, nombre de promotions cadres 213 jours. Une analyse de ces données chiffrées sera partagée, permettant de suivre l’évolution de cette catégorie de cadres au forfait annuel en heures. Chaque année, les comités carrières veilleront à étudier la situation des cadres au forfait annuel en heures, notamment au regard de leur potentiel d’évolution vers le forfait jours. Les mesures nécessaires seront mises en œuvre, en fonction de ce potentiel d ‘évolution, avec l’accord du comité carrière. CHAPITRE 4 – LA GESTION DES REPOS Article 24 - Les congés payés légaux La période légale de prise du congé suivante : du 1er mai au 31 octobre. principal (4 semaines) est la La prise de congés payés à la demande du salarié est néanmoins possible sur toute l’année civile, dans les conditions formelles définies au niveau de chaque direction d’établissement et dans le respect des règles légales concernant la prise des congés payés. Tous les congés payés doivent être pris au plus tard au 31 décembre de l’année qui suit la fin de la période légale d’acquisition. En cas de jour férié chômé tombant un samedi et de prise de congés payés incluant ce jour, un jour de congé payé supplémentaire pourrait être du en raison du décompte en jours ouvrables à l'issue de la période de prise de l'ensemble des congés payés. L'octroi d'un jour de congé payé supplémentaire aurait alors pour conséquence la suppression d'un RTT. Ainsi, le salarié serait rempli de ses droits en matière de congés payés et respecterait les durées annuelles du travail. Article 25 - Les congés pour familiaux, médaille du travail) événements exceptionnels (évènements Sauf dispositions conventionnelles plus favorables, ces congés doivent être pris au moment où se produit l’évènement générateur de ce congé. La prise des congés pour évènements exceptionnels n’a pas d’incidence sur le nombre de JRTT de l’année considérée. 22 Article 26 - Les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation Un droit collectif à repos de 7 jours par an se substitue aux congés payés supplémentaires par rapport à la loi, constitués de droits personnalisés, variables dans l’espace, le temps ou selon des critères individuels. Ces congés payés supplémentaires par rapport à la loi, objets de la substitution, sont listés en annexe au présent accord. Cette disposition est étendue à l’ensemble des d’application du présent titre, figurant en annexe 1. salariés du champ A ce titre, tous les salariés bénéficient de jours de repos selon les modalités suivantes : 1. Ces repos appelés « jours consolidés », sont attribués en début de période de référence : En cas d’embauche en cours d’année le nombre de jours consolidés est attribué au prorata du nombre de jours de travail sur l’année civile ; En cas de sortie en cours d’année, les jours consolidés restent acquis dès lors que l’ancienneté est égale ou supérieure à un an au jour de l’attribution. Dans le cas contraire, les jours consolidés sont acquis au prorata du nombre de jours de travail sur l’année civile. 2. Ce droit à jours consolidés est ouvert dans les mêmes conditions que le droit à congés payés légal. 3. Conformément aux règles applicables aux congés payés conventionnels auxquels ils se substituent, il incombe à l’employeur de définir les règles de prise des jours consolidés à l’intérieur de la période de référence de l’annualisation en fonction des nécessités du service. Article 27 – Les principes généraux applicables à la gestion des jours consolidés et des JRTT Les modalités de gestion et d’organisation de la prise des jours consolidés et des JRTT sont définies ci-après. Ces modalités pourront éventuellement être améliorées, par l’employeur, après consultation de son Comité d’Entreprise ou du Comité d’Etablissement et dans les conditions prévues ci-après. 1. Les jours consolidés et les JRTT doivent être pris au cours de l’année civile. Pour favoriser la prise effective et régulière de ces jours tout en suivant au plus près les besoins de l’activité, une planification indicative sera établie par trimestre. 2. La prise de jours consolidés ou de JRTT se fera par journée. L’employeur pourra l’améliorer localement en l’organisant : par demi-journées, par journées cumulées. 3. Dans tous les permettre à la tous les jours prise de repos cas, la prise des jours consolidés et de JRTT doit fois d’assurer en moyenne un effectif suffisant sur de la semaine et donner à chacun la possibilité de d’une manière équitable entre les salariés. Article 28 – L’organisation de la planification 28-1 Prise des JRTT La prise des jours de RTT se fait au choix du salarié, après accord de l’employeur. 23 28-2 Prise des jours consolidés L’employeur organise la planification des jours consolidés dans le cadre de chaque trimestre. En cas d’impératifs liés à l’activité entraînant un changement de programmation, l’employeur doit informer préalablement les salariés concernés dans un délai de 7 jours ouvrés. Ces jours sont fixés par l’employeur selon deux méthodes : La planification collective ; La planification individualisée. 28-2-1 La planification collective La planification collective concerne un ensemble de salariés appartenant à une même société et/ou à un même établissement et/ou à un même régime de travail et/ou exerçant une même activité et/ou travaillant dans une même unité ou service. Dans le cadre de cette planification collective, ces salariés devront prendre en même temps un ou des repos au titre des jours consolidés. Le projet de planification collective sera examiné en amont de sa mise en œuvre avec la commission d’application et de suivi locale du présent accord. 28-2-2 La planification individualisée La planification individualisée implique qu’au sein de chaque trimestre, un certain volume fixé de jours consolidés doit être pris. Le positionnement de ces jours peut être différent d’un trimestre à l’autre pour tenir compte de l’activité, du souhait du salarié ou des rotations dans les régimes postés. Après concertation, il appartient au responsable hiérarchique, en dernier ressort, de positionner sur ce planning les jours dont il a la gestion. 28-3 Jours à l’initiative du salarié Le salarié a l’initiative disposition. A cet effet : de la demande des jours qui sont à sa il planifie ses jours de JRTT dans le cadre du trimestre ; il communique pour information cette planification à son responsable hiérarchique en début de trimestre. Les JRTT font ensuite l’objet d’une demande du salarié, 7 jours ouvrés avant la prise, auprès du responsable hiérarchique qui doit lui-même répondre à cette demande. Les modalités relatives aux demandes formulées par le salarié et aux réponses du responsable hiérarchique sont définies au sein des entreprises ou des établissements. Le salarié peut aussi demander le report à l’intérieur du trimestre ou sur le trimestre suivant. En cas de refus motivé du responsable hiérarchique d’autoriser la prise du JRTT, le salarié conserve le droit de re-planifier le ou les jours refusés au sein du trimestre ou du trimestre suivant. Par exception, dans l’hypothèse où les jours planifiés dans le trimestre n’auront pas fait l’objet d’une demande, d’une prise conformément à la demande ou d’une autorisation de report, ces jours seront reportés et fixés par le responsable hiérarchique sur le trimestre suivant. Il en serait de même en l’absence de communication par le salarié de la planification. Article 29 – L’incidence des absences sur les droits à jours de repos (jours consolidés et JRTT) 24 Le nombre de JRTT est attribué pour chaque salarié en début d’année en fonction de son régime de travail. Dans l’hypothèse où à la date fixée pour la prise d’un ou plusieurs jours de repos, le salarié est absent, il ne perdra pas le bénéfice de ce ou ces jours de repos. Le nombre de jours de repos attribué au salarié sera réduit à due concurrence du nombre de jours ouvrés d’absence intervenant au cours de la période de référence selon les modalités suivantes. Le solde de JRTT est réduit d’un jour chaque fois que le nombre de jours d’absence, consécutifs ou non, est égal au rapport entre le nombre de jours de travail effectif de référence du régime considéré et le nombre de JRTT afférent à ce régime. L’arrondi mathématique est appliqué au résultat de ce rapport. En tout état de cause, la réduction du nombre de JRTT sera strictement proportionnelle au nombre de jours d’absence. Exemple : Année : 2015 Régime de travail : 207 jours annuels Nombre de JRTT : 13 Réduction du solde de JRTT d’un jour par tranche de (207/13=) 15,92 jours ouvrés d’absence, arrondis à 16 jours ouvrés d’absence, consécutifs ou non. Cette disposition ne peut pas conduire consolidés acquis au cours d’une année. à réduire le droit Les jours ouvrés d’absence pris en compte pour le calcul correspondent à tous les jours d’absence, à l’exception : à jours ci-dessus - des absences considérées comme temps de travail effectif, - celles correspondant à la prise des congés payés, des jours consolidés, des jours fériés, des repos hebdomadaires et des repos de cycles, des JRTT, - celles correspondant à utilisation du CET, - celles dues à la prise de repos compensateurs, - celles correspondant aux congés pour évènements exceptionnels tels que mentionnés à l’article 25 du présent accord, - et celles dues à la mise en œuvre de l’activité partielle. Article 30 – Le traitement des jours consolidés et des JRTT non pris par le salarié Les jours consolidés et les JRTT doivent être pris au cours de la période de référence. Cependant, le recours à l’annualisation est un dispositif permettant de répondre aux besoins des clients. Il peut donc exceptionnellement arriver qu’en fin de période, certains jours de repos n’aient pas été pris suite à des reports successifs fondés sur les nécessités conjoncturelles de service ou de production et/ou à un refus formalisé du responsable hiérarchique. Ces jours non pris constituent du temps de travail réalisé au-delà de la durée collective du travail applicable au salarié concerné. Ces jours pourront éventuellement être placés au CET, dans les conditions et limites fixées dans le titre III du présent accord. 25 TITRE II - LE TEMPS PARTIEL INDIVIDUEL (TPI) Le présent titre a pour objet de définir le cadre dans lequel tout salarié qui le souhaite peut, avec l'accord de sa hiérarchie, exercer une activité à temps partiel dans le cadre des dispositions légales en vigueur sur le temps partiel. Article 31 – Les principes généraux Le travail à temps partiel est mis en œuvre, dans le cadre de la législation en vigueur sur le travail à temps partiel, et notamment l’Accord National de la Métallurgie du 7 mai 1996 sur l’aménagement et la durée du travail en vue de favoriser l’emploi. Si l’accord de branche précité du 7 mai 1996 venait à être révisé ou renégocié pendant la durée d’application du présent accord, ces nouvelles dispositions s’appliqueraient immédiatement au nouveau titre. Si ces nouvelles dispositions venaient à rendre impossible l’application du présent titre, les parties conviennent d’ouvrir rapidement des négociations pour prendre en compte ces nouvelles dispositions sur le temps partiel. Tout salarié travaillant à temps plein peut, sur la base du volontariat, et après accord de sa hiérarchie, bénéficier à titre individuel d’un horaire réduit, pour une période indéterminée. Le salarié appartenant à une société listée en annexe 1 du présent accord, et travaillant à temps partiel, est régi par les règles applicables en fonction de son régime de travail d’origine tel que défini au titre I – Chapitre 2 Les régimes de travail du présent accord. Le salarié appartenant à une société listée en annexe 2 du présent accord, et travaillant à temps partiel, est régi par les règles relatives au temps de travail, applicables dans sa société. Son temps de travail et sa gestion résultent de l’application d’un taux d’activité inférieur à 100% à la durée annuelle de travail et aux nombres de jours de travail à effectuer par un salarié travaillant à temps plein. Ce taux d’activité pourra être compris entre 90% et 50% de la durée de travail antérieurement pratiquée. Le salaire et éléments de salaire sont proportionnels au temps de travail dans le respect des dispositions légales et conventionnelles. Article 32 – La formalisation de la demande Le salarié formule sa demande de passage à temps partiel par écrit auprès de sa hiérarchie, au moins 4 mois avant la date souhaitée pour le passage à temps partiel. La hiérarchie dispose d’un délai de réponse maximum de 3 mois à compter de la réception de la demande du salarié, afin de lui permettre d’examiner les conséquences de cette demande sur l’organisation du service. Avant toute décision définitive, le contenu des fonctions et/ou de mission dans le cadre de l’équipe, l’organisation et la répartition l’activité dans le temps, dans le respect des dispositions légales conventionnelles, le calendrier prévisionnel et les conditions de mise œuvre du travail à temps partiel seront définis en concertation avec salarié au cours d’un entretien avec sa hiérarchie. la de et en le Article 33 – L’avenant au contrat de travail Après accord entre les parties et conformément aux dispositions légales en vigueur, un projet d’avenant écrit au contrat de travail est remis au salarié qui dispose d’un délai de réflexion d’un mois. 26 Après signature de l’avenant par le salarié, un double lui est remis. Cet avenant à durée indéterminée, reprenant les principaux éléments évoqués à l’article ci-dessus, spécifie les modalités du travail à temps partiel et notamment : la durée et la répartition du temps de travail entre les jours de la semaine ou les semaines du mois, ou la définition sur l’année des périodes travaillées et non travaillées, ainsi que la répartition des heures de travail à l’intérieur de ces périodes ; les cas dans lesquels une modification de la durée du travail peut intervenir ; les modalités de communication des nouveaux horaires de travail au salarié ; la qualification du salarié ; le salaire de référence annuel brut sur la base d’un temps plein reconstitué, les éléments de rémunération et les modalités de calcul de la rémunération ; les conditions dans lesquelles les heures complémentaires peuvent être réalisées. Article 34 – La rémunération Le salarié travaillant à temps partiel bénéficie d’une rémunération brute versée par l’entreprise au titre de son activité à temps partiel calculée au prorata du taux d’activité, sur la base de la rémunération brute se référant au temps plein, tant pour les éléments mensuels que pour les éléments non mensuels ou différés, ainsi que les primes et avantages divers, dans le respect des conventions collectives et accords collectifs. Les primes de vacances et de Saint-Eloi, lorsqu’elles sont prévues par la Convention Collective Nationale ou Territoriale applicable, sont déterminées selon les mêmes règles que pour les personnes exerçant leur activité à temps plein. Article 35 – Les compléments et avantages spécifiques Intéressement et participation : les montants de l’intéressement et de la participation sont calculés, selon les dispositions prévues dans les accords d’entreprise en cours. Par ailleurs, le salarié continue de bénéficier de l’accès au plan d’épargne de l’entreprise. Congés familiaux : sauf dispositions conventionnelles plus favorables, les congés pour évènements familiaux doivent être pris au moment où se produit l’événement générateur de ce congé et ne peuvent pas, de ce fait, être reportés sur une période travaillée lorsque l’événement intervient au cours d’une période non travaillée. Allocation de Départ en Retraite et Indemnité Conventionnelle de Licenciement : leur montant est calculé selon les dispositions légales et conventionnelles. Article 36 – L’égalité des droits Les dispositions légales et conventionnelles précisant et garantissant les droits du salarié travaillant à temps partiel sont garanties, la pratique du travail à temps partiel n’introduisant aucune discrimination, notamment en matière d’évolution professionnelle. De ce fait, les règles légales s’appliquent pour l’acquisition des droits et la prise des congés payés légaux, les périodes de congés comportant la même proportion de jours ouvrés et non ouvrés que les périodes de travail, et pour la détermination de l’indemnité de congés payés. 27 La durée de l’ancienneté n’est pas affectée par la pratique du travail à temps partiel, y compris lorsque des périodes travaillées alternent avec des périodes non travaillées. Article 37 – Le retour à temps plein Le souhait d’un salarié travaillant en temps partiel de reprise d’une activité à temps complet, peut s’exprimer légitimement et la priorité instaurée à l’article L. 3123-8 du Code du travail doit s’exercer pleinement. La demande de retour au travail à temps plein doit être formulée avec un délai de prévenance de 3 mois; l’employeur s’engage à répondre, au plus tard dans les trois mois suivants la réception de la demande du salarié. Pendant ce délai, l’employeur mettra tout en œuvre pour proposer au salarié un emploi dans l’établissement et à défaut dans la société, conforme à ses compétences. 28 TITRE III – LE COMPTE EPARGNE TEMPS (CET) ET LE COMPTEUR TEMPS COLLECTIF (CTC) L’objet des chapitres 1 à 3 du présent titre est de redéfinir les modalités de gestion du Compte Epargne Temps. Le CET est un outil complémentaire à la gestion de la durée du travail. Les droits affectés au CET constituent une épargne acquise au salarié, qui lui permet de : - Réaliser un projet individuel, par le biais d’un congé ou de la liquidation des droits à CET à l’occasion d’un évènement particulier, - Participer au financement de la retraite au travers du rachat de trimestres ou du placement au PERCO ou à la RSA, - Pallier les baisses d’activité en cas de besoins et, ainsi d’éviter ou de limiter le recours à l’activité partielle. En effet, même si les parties signataires réaffirment que les JRTT et les jours consolidés ont vocation à être pris au cours de la période d’annualisation, il peut arriver qu’en fin de période, certains de ces jours n’aient pas été pris suite à des reports successifs fondés sur les nécessités conjoncturelles de service ou de production et/ou à un refus formalisé de la hiérarchie. Il en sera de même pour les congés payés lorsque l’entreprise ou l’établissement est confronté à une période de suractivité. Dans ces cas, le temps de travail supplémentaire généré par la non-prise de ces repos pourra être placé au CET dans les limites décrites ci-dessous. CHAPITRE 1 - DISPOSITIONS GENERALES DU COMPTE EPARGNE TEMPS Article 38 – Le teneur de compte L’employeur est le teneur de administrative de ce dernier. compte du CET. Il assure la gestion Article 39 – L’ouverture du compte L’ouverture du compteur CET alimenté à l’initiative du salarié résulte d’une démarche volontaire de la part du salarié. Elle est effectuée au moment de la première demande d’alimentation du CET par le salarié. Article 40 - Le mode de valorisation des droits placés au CET Afin de faciliter la gestion et le suivi, les droits affectés au CET sont exprimés en heures, à l’exception des salariés en régimes forfait jours et forfait mission pour lesquels les droits affectés au CET sont exprimés en jours. Article 41 – L’information du salarié Après chaque clôture de la période d’annualisation, les salariés détenteurs d’un CET recevront un état récapitulatif de leur compte. Article 42 - La situation du salarié utilisant son compte épargne temps pour financer un congé Au regard de la loi, le congé pris dans le cadre du CET est une suspension du contrat de travail. Cependant les parties signataires conviennent d’améliorer la situation du salarié utilisant son CET par les dispositions suivantes : 29 1. Le salarié en congé CET bénéficiera du maintien de sa rémunération, à l’exclusion des éléments ayant le caractère de remboursement de frais. Les sommes versées dans ce cadre ont le caractère de salaire et participent aux assiettes sociales et fiscales. 2. Pendant ce congé, le salarié bénéficie des évolutions s’appliquant aux rémunérations dans la société. salariales 3. la période indemnisée au titre du CET est assimilée à du temps de travail au regard des droits à intéressement, participation, acquisition des congés payés et incidence sur la prime de vacances, éléments différés de rémunération, ancienneté ; 4. le salarié utilisant son compte épargne temps reste inscrit aux effectifs. Il est éligible et électeur aux élections professionnelles dans les conditions définies par la jurisprudence ; 5. à l’issue des congés longs visés ci-dessus, le salarié est réintégré prioritairement dans son précédent emploi ou dans un emploi similaire dans le même établissement assorti d’une rémunération au moins équivalente. Les dispositions ci-après relatives à l’alimentation du CET à l’initiative du salarié ne peuvent pas conduire à placer plus de 6 jours par an au total, auxquels s’ajoutent les éventuelles majorations pour heures supplémentaires. CHAPITRE 2 – MODALITES D’ALIMENTATION ET D’UTILISATION DU COMPTE EPARGNE TEMPS Article 43 – L’alimentation Les placements au CET ci-dessous autorisés se font sur la base du temps réellement travaillé par le salarié, en heures ou en jours pour les forfaits jours. 43-1 Alimentation du CET Le nombre maximum de jours pouvant être affecté au CET en fin de période d’annualisation est de 6 par an (en jours ouvrés) et ne peut résulter que du refus ou du report par la hiérarchie de la prise d’un jour de congés ou de repos. Les parties conviennent que le temps de travail supplémentaire résultant de la non-prise des congés ou repos susvisés en raison du refus de la hiérarchie, sera susceptible d’être majoré au titre des heures supplémentaires. Dans cette hypothèse, les majorations correspondantes pourront également être placées au CET. Par exception à ce principe, les parties conviennent de l’utilité d’instaurer un droit de placement volontaire au CET dans le but d’un transfert immédiat au PERCO (Plan Epargne Retraite COllectif) ou RSA (Retraite Supplémentaire ArcelorMittal) pour chaque salarié. Ce droit sera limité à 3 jours par an, en plus des 6 jours cités ci-dessus. Il est rappelé que bien que le placement volontaire de jours par le salarié au CET puisse conduire le salarié à effectuer plus d’heures sur la période de référence, celles-ci ne donnent lieu à aucun paiement ou majorations éventuelles au titre des heures supplémentaires en fin de période, puisqu’elles sont liées à un choix tout à fait personnel du salarié et non à la demande de sa hiérarchie. 43-2 Placements au titre des temps partiels de fin de carrière Les salariés qui ont adhéré aux dispositifs de fin de carrière « TPAC », « TPAFC 80/90/100 » conservent les possibilités de placement en vigueur lors de leur adhésion en lieu et place des dispositions de placement prévues au présent accord. 30 Les salariés qui bénéficient d’un abondement au titre de leur avenant temps partiel conservent l’abondement employeur afférent à leur type de temps partiel. Le placement volontaire de ces jours au CET qui conduit de fait à effectuer plus d’heures de travail sur la période de référence, ne donne pas lieu à paiement ou majorations éventuelles au titre des heures supplémentaires en fin de période de référence. Article 44 - L’utilisation des droits affectés au CET pour financer une période de congé La prise de congé par débit du CET se fera par journée entière de travail, dont la durée en heures est fonction du régime de travail du salarié au moment de son départ en congé, ou sur la base de la durée effective de travail en heures du salarié à temps partiel. 44-1 Prise de congés CET pour convenance personnelle Sous réserve d’un délai de prévenance défini ci-après, et de l’accord de sa hiérarchie, le salarié peut bénéficier d’un congé indemnisé sur les mêmes bases que les congés payés, en usant de tout ou partie du crédit porté à son compte épargne temps. Pour un congé d’une durée de 1 à 15 jours le délai de prévenance est de 5 jours, Pour un congé d’une durée de 15 jours à 1 mois le délai de prévenance est de 15 jours, Pour un congé d’une durée de 1 à 6 mois le délai de prévenance est de 1 mois, Pour un congé d’une durée supérieure à 6 mois le délai de prévenance est de 3 mois. 44-2 Prise de CET pour un congé long prévu par la loi La législation en vigueur a défini un certain nombre de congés longs non rémunérés, tels que le congé sabbatique (articles L. 3142-91 et suivants du Code du travail), le congé pour reprise ou création d’entreprise (articles L. 3142-78 et suivants du Code du travail), le congé parental d’éducation (articles L. 1225-47 et suivants du Code du travail), le congé de formation (y compris le DIF mais hors CIF). Le salarié qui remplit les conditions légales d’accès à ces congés peut utiliser les droits affectés à son initiative au CET, afin de financer tout ou partie dudit congé. Ce dernier sera indemnisé sur les mêmes bases que les congés payés. L’organisation de ces congés (notamment : conditions d’accès, délais de prévenance, durée) se fera dans le cadre des dispositions légales et conventionnelles relatives à ces congés. Article 45 – L’utilisation complément de rémunération des droits affectés au CET sous forme de 45-1 Déblocage du CET en cas d’évènement exceptionnel En cas de survenance d’un des événements suivants, le salarié titulaire d’un CET pourra demander la liquidation totale ou partielle des droits affectés à son initiative au CET: mariage du salarié ou conclusion d’un Pacte Civil de Solidarité ; naissance ou arrivée au foyer en vue d'adoption d'un troisième enfant puis de chaque enfant suivant ; divorce, séparation ou dissolution du PACS, si le salarié a la garde d'au moins un enfant à charge ; 31 invalidité correspondant à un classement en deuxième ou troisième catégorie (du salarié, de son conjoint, de la personne liée par PACS ou d’un enfant) ; reconnaissance d’un handicap d’un enfant à charge entraînant la prise en charge de frais par le salarié, décès (du salarié, de son conjoint, de la personne liée par PACS) ; création ou reprise d'entreprise par le salarié ou son conjoint ; acquisition ou agrandissement de sa résidence principale ; réparation de la résidence principale après catastrophe naturelle, surendettement. Le calcul de cette indemnité compensatrice sera effectué selon les modalités retenues en matière de calcul de l’indemnité compensatrice de congés payés. Cette somme conserve le caractère de salaire en matière de réglementation sociale et fiscale. 45-2 Financement de la retraite 45-2-1 - Rachat de trimestre de cotisations au régime de base d’assurance vieillesse Le salarié pourra demander la liquidation totale ou partielle des droits affectés à son initiative au CET pour financer des cotisations d’assurance vieillesse versées pour la validation des années d’études ou pour compléter des années insuffisamment validées, en application des dispositions de l’article L. 351-14-1 du Code de la sécurité sociale, dans la limite de 12 trimestres d’assurance. 45-2-2 - Financement de la retraite via le PERCO ou la RSA Le salarié pourra également demander la liquidation des droits affectés au CET à son initiative dans la limite de 10 jours par an (limite comprenant les 3 jours prévus à l’article 43-1) pour les transférer au PERCO ou à la RSA Le placement au PERCO ou à la RSA des sommes issues de la liquidation du CET visée au présent paragraphe se fera dans les conditions fixées par l’accord de groupe ArcelorMittal relatif au PERCO / RSA pour les versements volontaires. CHAPITRE 3 – TRANSFERT ET LIQUIDATION DES DROITS AFFECTES AU CET Article 46 – Le transfert des droits affectés au CET En cas de mobilité du salarié vers un autre établissement ou société du Groupe ArcelorMittal se situant en France, le CET sera transféré au sein de la société d’accueil. Cependant le salarié peut demander la clôture de son compte et le versement des sommes correspondantes. En cas de transfert vers une société du groupe ArcelorMittal en France mais non comprise dans le champ d’application, le CET pourra être transféré au sein de la société d’accueil en cas d’accord des deux sociétés et du salarié. A défaut, le CET sera payé. En cas de liquidation du CET, les règles décrites à l’article 42 du présent accord concernant la valorisation des sommes dues au salarié, s’appliquent. Article 47 – La liquidation des droits affectés au CET 32 La cessation du contrat de travail, hors cas de mobilité évoqué ci-dessus, entraîne la liquidation du CET et le versement d’une indemnité compensatrice. Le calcul de cette indemnité compensatrice sera effectué selon les modalités retenues en matière de calcul de l’indemnité compensatrice de congés payés. Cette somme conserve le caractère de salaire en matière de réglementation sociale et fiscale. Cette somme n’entre pas dans l’assiette des indemnités éventuellement dues du fait de la cessation du contrat de travail, ni dans celle des garanties assurées en matière de prévoyance ou dans celle de l’intéressement et de la participation. CHAPITRE 4 – LE COMPTEUR TEMPS COLLECTIF (CTC) Le Compteur Temps Collectif ne remplace pas le Compte Epargne Temps Employeur de Cap 2013. Les soldes négatifs existant dans le CETE de Cap 2013 seront annulés au 31.12.2013. Les soldes positifs existant dans le CETE de Cap 2013 seront soit payés, soit placés au 31.12.2013 au CETS des salariés. Si l’aménagement du temps de travail sur l’année permet d’absorber certaines fluctuations de l’activité tout au long de l’année, la possibilité pour l’employeur de placer des heures effectuées au-delà de la durée collective de travail au Compteur Temps Collectif est une des réponses adaptées à la variabilité de l’activité dans notre secteur. Les postes effectués pendant les années de haut de cycle, placés au CTC, peuvent permettre de faire face aux années de bas de cycle et d’éviter, sinon de limiter ainsi le recours à l’activité partielle. Article 48 – Les salariés concernés Les salariés concernés sont ceux travaillant en équipes et pouvant réaliser des postes collectifs supplémentaires à leur planning initial, à savoir les régimes 1*8, 2*8, 3*8 et 4*8 tels que définis au présent accord. Les salariés travaillant dans d’autres régimes de travail ne peuvent pas avoir de CTC. Article 49 – Les principes de fonctionnement Le CTC est un outil géré par l’employeur, qui revêt obligatoirement un caractère collectif dans son alimentation et son utilisation, et ce même si chaque salarié d’une équipe de travail dispose d’un CTC. L’employeur est à l’initiative de l’alimentation et de l’utilisation du CTC pour chaque équipe de travail. Le CTC peut être alimenté (uniquement en fin de période annuelle) par tous les postes supplémentaires effectués collectivement par l’ensemble d’une équipe au-delà de la durée collective du travail. Le CTC ne peut être négatif. Article 50 – L’alimentation du CTC Le CTC est alimenté par l’employeur, uniquement avec des postes supplémentaires collectifs appliqués à l’ensemble d’une équipe. Le CTC est toujours alimenté par un poste complet (8 heures), sans majoration ni abondement. 33 Les éventuelles majorations pour heures supplémentaires afférentes seront traitées selon les règles définies pour le traitement des heures supplémentaires lors de la gestion de fin de période d’annualisation. Il ne peut pas être alimenté par des congés payés, des JRTT ou autres compteurs de récupération. Article 51 – Les modalités de fonctionnement La société et/ou l’établissement concerné(e) devra informer et consulter le Comité d’Entreprise ou le Comité d’Etablissement sur ses intentions concernant l’affectation de postes supplémentaires collectifs au CTC préalablement à la clôture de la période d’annualisation. A cette occasion, l’employeur versera un abondement à hauteur de 1 heure pour un poste placé au CTC. Cet abondement sera, au choix du salarié, placé sur le CET, ou payé ou récupéré. En cas de baisse importante de l’activité, l’employeur aura recours au CTC, si celui-ci dispose d’un solde positif, notamment pour éviter/limiter le recours à l’activité partielle. Article 52 – L’ordre d’utilisation des compteurs Lorsque l’établissement ou l’entreprise est confronté à une baisse d’activité ne pouvant pas être gérée par le recours à la modulation dans les conditions de l’article 8 du présent accord, l’employeur aura recours aux différents compteurs temps existants, dans l’ordre suivant entre le compteur CTC et les autres compteurs : - Sur les 2 premiers trimestres de l’année, l’employeur positionnera en premier lieu les postes placés au CTC. Puis il aura recours aux autres compteurs pouvant être disponibles, sans ordre de préférence entre ces différents compteurs : Jours consolidés, Congés payés, JRTT, récupérations. Si la période de basse activité se poursuivait, et si ces compteurs se révélaient insuffisants, l’employeur aura alors recours à l’activité partielle. - Sur les 2 derniers trimestres de l’année, les compteurs seront utilisés de la façon suivante : les Jours consolidés, Congés Payés, JRTT et récupérations seront utilisés en premier lieu (les compteurs devant par principe être vides au 31.12 de chaque année), sans ordre de préférence entre ces différents compteurs, puis le CTC sera utilisé, avant un éventuel recours à l’activité partielle. Article 53 – Les bornes du CTC L’employeur pourra placer au maximum 5 postes par an au crédit du CTC. Tout autre poste supplémentaire sera traité selon les règles définies pour le traitement des heures supplémentaires. La borne minimum du CTC est de zéro, puisque le CTC ne peut être négatif. La borne maximum du CTC est de 10 postes sur la durée de validité de cet accord. Article 54 – Le suivi du CTC Chaque salarié pourra suivre son CTC via les outils de gestion RH du suivi des temps de travail. Article 55 – Le transfert des droits affectés au CTC En principe, en cas de transfert d’un salarié vers une équipe en régime posté visé à l’article 43 paragraphe 1 ci-dessus, le crédit du CTC sera également transféré. A / En cas de changement de régime de travail du salarié transféré vers une équipe en régime posté visé à l’article 48 paragraphe 1 ci-dessus, les droits seront systématiquement maintenus dans le CTC. 34 Si nécessaire, les ajustements suivants seront effectués : - 1 / Si le compteur CTC du salarié transféré est supérieur à celui des membres de l’équipe d’accueil, le différentiel du nombre de postes sera, au choix du salarié, placé au CET, ou payé, ou récupéré, au moment du transfert. - 2 / Si le compteur CTC du salarié transféré dans la nouvelle équipe est inférieur à celui des membres de l’équipe d’accueil, le différentiel du nombre de postes nécessaires pour pallier la baisse d’activité sera crédité au compte CTC du salarié transféré, dès lors qu’il sera nécessaire de recourir à un nombre de postes supérieur au nombre de poste au crédit du CTC du salarié lors de son transfert. En cas de changement de régime de travail du salarié vers une équipe qui n’est pas en régime posté visé à l’article 48 paragraphe 1 ci-dessus, les postes au crédit du CTC seront soit placés au CET, soit payés, soit récupérés, au choix du salarié. B / En cas de mutation au sein de l’établissement ou vers une autre entreprise du groupe appliquant le titre III du présent accord, les jours seront conservés dans le CTC, si au sein de l’équipe d’accueil, le salarié travaille dans un régime posté visé à l’article 48 paragraphe 1. Les ajustements explicités dans le paragraphe A/ ci-dessus seront mis en œuvre. Dans le cas contraire, les jours seront, au choix du salarié, placés sur son CET ou payés ou récupérés au moment de la mutation. Article 56 – La liquidation des droits affectés au CTC En cas de sortie de l’entreprise (sauf cas de possibilité de transfert du CTC visés à l’article 50), les jours au crédit du CTC seront, au choix du salarié, payés avec le solde de tout compte, ou consommés par le salarié avant son départ. A l’expiration du présent accord, les jours au crédit du CTC seront, au choix du salarié, placés sur son CET ou payés. TITRE IV - LA MOBILITE AU SEIN DU GROUPE EN FRANCE La mobilité interne, qu’elle soit professionnelle ou géographique, est fondée sur le volontariat. Elle est encouragée par le Groupe et concerne tous les salariés en contrat à durée indéterminée. 35 Les parties signataires réaffirment à travers le présent accord leur volonté de développer les possibilités de changement de métier dans les parcours professionnels et de faciliter les évolutions vers des métiers pour lesquels l’entreprise doit assurer la pérennité de son savoir-faire et de ses compétences. Les parties signataires ré-affirment également que le présent titre relatif à la mobilité complète utilement les dispositions de l’accord GPEC. Notamment, les outils décrits dans l’accord GPEC peuvent être mobilisés pour faciliter en tant que de besoin la mobilité, selon les modalités fixées par ledit accord. Le présent accord définit les modalités d’accompagnement à mettre en œuvre en cas de mobilité géographique à l’intérieur du territoire français. Il est rappelé par ailleurs qu’il existe une politique RH de la mobilité géographique internationale au sein du Groupe. Article 57 – Les principes généraux Les dispositions de la présente section s’appliquent à tous salariés lorsque la mobilité s'exerce entre deux établissements d’une même société ou deux sociétés françaises dont au moins l’un relève du champ d’application du présent accord. La mobilité peut être mise en œuvre à l’initiative l’entreprise ou de l’établissement d’origine. du salarié ou de Basée sur le double volontariat, elle est une démarche concertée entre toutes les parties prenantes : le salarié, l’entreprise ou l’établissement d’origine et l’entreprise ou l’établissement d’accueil. Pour cette raison, lorsque le salarié occupe son emploi depuis moins de 3 ans, le projet de mobilité devra être validé, dès le début du processus par l’entreprise ou l’établissement d'origine. Afin d’encourager la mobilité, le salarié a accès aux informations sur les emplois disponibles au sein du Groupe ainsi que sur les modalités d’accompagnement, en toute confidentialité. En revanche, le salarié qui présente sa candidature à un emploi disponible doit informer sa hiérarchie de la mise en œuvre du processus de mobilité. En cas de sureffectif dans l’entreprise ou l’établissement d’accueil dans les 3 ans qui suivent sa mobilité, sauf cas particulier de fermeture de l’entreprise ou l’établissement, le salarié bénéficie d'une priorité de maintien dans cette entreprise ou établissement. Article 58 – Les acteurs de la mobilité L’Unité de Services Mobilité Recrutement (« USMR »), les gestionnaires de cadres («Leadership Developers»), ainsi que les correspondants Ressources Humaines sont à la disposition des Directions d’entreprise et d'établissement et des salariés pour informer les salariés sur les activités et les métiers du Groupe, les aider à mieux comprendre le marché de l’emploi interne ainsi que les règles de la mobilité, et assurer l’équité de traitement entre les salariés, concernant les processus de mobilité au sein du Groupe. Afin de simplifier les étapes charnières de la mobilité (dont : visites sur place, période probatoire, mutation) et d’éviter autant que possible les avances de frais de la part des salariés lors de leurs déplacements, l’ USMR assurera l’organisation et la gestion des dossiers de mobilité des OETAM, y compris la prise en charge des factures relatives aux déplacements liées à la mobilité (billets de train et d’avion, déménagement,…) en conformité avec la politique voyage du Groupe. 36 37 Article 59 – L’information des salariés sur les offres d’emploi disponibles Tout salarié peut consulter, par internet ou via le portail intranet du Groupe, la liste des emplois disponibles figurant dans : - la bourse des emplois internes (BEI), qui publie les emplois et missions disponibles en France et en Wallonie pour les OETAM. - la base de données internationale « Job Market Online » pour les emplois cadres. Les sites d’emploi sont mis à jour et alimentés en permanence en vue d’informer sur les emplois pourvus et à pourvoir dans les plus brefs délais. La règle qui s’impose est que tout emploi à pourvoir est publié dès qu’il est identifié et, pour les emplois pour lesquels les besoins sont récurrents, un emploi générique est publié. Tout emploi générique sera identifié dans l’intitulé du poste, ceci pour préciser qu’il y a des besoins récurrents pour ce type d’emploi. Les salariés du groupe bénéficient d’un examen prioritaire de candidature par rapport aux candidatures externes. SECTION 1 – LE PROCESSUS MOBILITE Le processus mobilité s’organise autour de 4 axes principaux : La phase préparatoire, La période probatoire, La phase de mobilité temporaire ou définitive, La phase de bilan de la mobilité. CHAPITRE 1 – LA PREPARATION A LA MOBILITE Article 60 – Le projet professionnel Avant toute démarche de mobilité, un entretien de construction et validation du projet professionnel est réalisé avec l’USMR, le gestionnaire de cadres ou/et correspondant Ressources Humaines. Cet entretien a pour objectif : La formalisation des compétences acquises, La connaissance du marché interne par la recherche de fonctions disponibles dans la bourse des emplois internes (BEI) et sur le site internet « Job Market on line », L’identification des freins personnels et familiaux, La correspondance entre l’emploi à pourvoir. les aspirations et compétences, et A l’issue de cet entretien, l’USMR, le gestionnaire de cadres ou le correspondant Ressources Humaines décide avec le salarié de la validité du projet professionnel de mobilité ainsi que des éléments communiqués à l’entreprise ou l’établissement d’accueil. Article 61 – La proposition Les conditions de la mobilité interne sont obligatoirement présentées au cours d'un entretien spécifique avec la hiérarchie et confirmées par une convention de mobilité tripartite. Au cours de cet entretien, les points suivants sont précisés : - le métier, l'emploi et son contenu et/ou la mission offerte et les évolutions possibles, - la durée de la mission, 38 - les conditions de retour éventuel à l’issue de la mission le lieu et la date prévisible de la prise de fonction, le régime de travail, la classification, la rémunération, les couvertures et avantages sociaux, les mesures d'accompagnements, les astreintes. A compter de cet entretien, dans un délai prévu par dispositions conventionnelles applicables au salarié, et après la visite sur le nouveau lieu de travail, le salarié fait connaître par écrit son acceptation ou son refus de poursuite de la démarche de mobilité lors d'un deuxième entretien avec sa hiérarchie. CHAPITRE 2 – LA PERIODE PROBATOIRE Phase préalable à la mobilité temporaire ou définitive, la période probatoire est destinée à permettre au salarié de s’adapter à son nouvel emploi et à son nouvel environnement, tout en sécurisant le transfert. Elle ne peut excéder 3 mois. A partir du moment où le salarié a fait connaître son accord pour la mise en œuvre de la mobilité, la période probatoire dans l’entreprise ou l’établissement d’accueil interviendra dans un délai au plus égal à la durée du préavis conventionnel en cas de démission. Un allongement du délai pourra être envisagé en cas de difficultés majeures de remplacement. Avant le terme de cette période probatoire, le salarié fait connaître par écrit son acceptation ou son refus de mobilité lors d'un entretien avec sa hiérarchie. En cas d'acceptation, un avenant au contrat de travail ou un nouveau contrat est établi. Dans les cas où la mobilité s’avère non concluante, que ce soit à l’initiative de l’entité d’accueil ou du salarié, seront recherchées, avec accord du salarié : - soit la réintégration à son précédent emploi, - soit son affectation à un emploi équivalent sur son entreprise ou établissement d’origine, - soit son affectation auprès d’une autre société du groupe. Une affectation temporaire du salarié devra être mise l’attente de l’identification d’une solution pérenne. en œuvre, dans Le refus de poursuite de la démarche de mobilité, que ce soit à l’initiative de l’entreprise ou l’établissement d’accueil ou du salarié, devra être motivé par écrit et transmis aux signataires de la convention de mobilité et avec accord express du salarié, à la commission d’application et de suivi du présent accord. Article 62 – La rémunération Durant la période probatoire, le salarié reste aux effectifs de sa société d'origine, et est rémunéré par celle-ci. La rémunération perçue sera au moins identique à celle perçue dans son entreprise ou établissement d'origine. Lorsque la rémunération liée à la nouvelle fonction est supérieure à l'ancienne, une compensation chiffrée mensuellement par le service Ressources Humaines est attribuée sous forme d'une compensation mensuelle individuelle de rémunération en fin de période. Article 63 – La restauration durant le temps de travail 39 L’entreprise ou l’établissement d'accueil fera bénéficier le salarié de la procédure " personne invitée ", en conformité avec les règles et usages de l’entreprise ou de l’établissement. En l'absence d'un restaurant d'entreprise, une indemnité de restauration sera attribuée sur la base d'un repas par jour travaillé. Le montant de cette indemnité forfaitaire sera calculé en tenant compte des facilités présentes sur le nouveau lieu de travail et ne pourra excéder le plafond fixé par la législation en vigueur (à titre indicatif, le plafond au 01/01/2013 est de 17,70 €). Cette indemnité n’est pas cumulable avec une éventuelle prime de panier. En tout état de cause, l’indemnité la plus favorable sera retenue. 40 Article 64 – Les déplacements Les frais de déplacement supplémentaires éventuellement engagés par le salarié avec l’accord de l’USMR pour se rendre sur son nouveau lieu de travail, lui seront remboursés sur justificatifs. Les mesures permettant de limiter les avances de frais engagés par le salarié seront étudiées. A titre d’exemple : des dispositions telles que avances, cartes de crédit pourront être mises en œuvre. Article 65 – Le retour au domicile Durant cette période, un voyage aller-retour par semaine ou cycle de travail sera organisé sur base de l’utilisation d’un moyen de transport approprié à définir avec l’USMR / le gestionnaire de cadres. Les frais supplémentaires seront remboursés sur justificatifs au salarié. Article 66 - L’hébergement & la restauration Durant la période probatoire et afin de préserver la sécurité des salariés en mobilité géographique, une solution d'hébergement à proximité de l’entreprise ou de l’établissement d’accueil sera proposée si la distance domicile / nouveau lieu de travail répond aux deux conditions suivantes : 1. Distance supérieure à 100 Km Aller/Retour 2. Durée de temps de trajet Aller ou Retour supérieure ou égale à 1h30 (Déplacement en transports en commun ou déplacement individuel calculé à l’aide du site internet www.viamichelin.fr, option : le plus rapide, éviter les péages) L’utilisation des moyens de transports collectifs sera privilégiée. L’USMR ou les gestionnaires de cadres ou les correspondants Ressource Humaines de l’entreprise ou de l’établissement d'accueil apportent alors une assistance dans la recherche d'un logement temporaire. Si nécessaire, la mission est confiée à une structure immobilière spécialisée, (Cilgère Services Entreprises (CSE), @mobilia, …). Article 67 - L’indemnité forfaitaire de logement temporaire Afin de compenser les dépenses d'hébergement provisoire et les frais supplémentaires de nourriture engagés par le salarié dans l'attente de son logement définitif : Le salarié percevra pour une durée maximum de 3 mois (durée maximale de la période probatoire) une prime forfaitaire d’hébergement et de restauration basée sur le plafond forfaitaire de la Sécurité Sociale (A titre indicatif, le montant de cette indemnité au 01/01/2013 est de 70.40€/jour). A l’issue de la période probatoire, la mobilité peut se concrétiser soit par une mobilité temporaire soit par une mobilité définitive. CHAPITRE 3 –LA MISE EN ŒUVRE DE LA MOBILITE Article 68 – La mobilité temporaire A l’issue de la période probatoire et avec accord des deux parties, une mobilité temporaire peut être mise en place. La mobilité temporaire se définit par la prise en charge d'une fonction pour une durée déterminée dans le temps à savoir : supérieure à 3 mois et ne pouvant dépasser 3 ans (période probatoire incluse), ainsi que par un engagement sur les conditions de retour. Il est bien entendu possible, sur la base du double volontariat, transformer une mobilité temporaire en mobilité " définitive ". de 41 68–1 L’indemnité forfaitaire de logement temporaire Cette aide vise à compenser les dépenses d'hébergement provisoire et les frais supplémentaires de nourriture engagés par le salarié dans l'attente de son logement. Cette indemnité, mise en place dès le début de la période probatoire, se poursuit pour une durée maximale de 9 mois (période probatoire incluse). Le salarié percevra une prime forfaitaire d’hébergement et de restauration basée sur le plafond forfaitaire de la Sécurité Sociale (A titre indicatif, le montant de cette indemnité au 01/01/2013 est de 70.40€/jour). Au delà de la période maximale de 9 mois, cette indemnité sera soumise aux prélèvements sociaux en vigueur. 68–2 L’indemnité d’installation Sur présentation d’un nouveau bail locatif, Le salarié bénéficiera d’une indemnité d'installation dans son nouveau logement. Cette indemnité, basée sur le plafond forfaitaire de Sécurité Sociale (A titre indicatif, le montant total de cette indemnité au 01/01/2013 est de 1409,10€ majorée de 117,40 € par enfant à charge dans la limite de 1761,30 €). Article 69 – La mutation ou mobilité définitive 69–1 L ‘ancienneté & la classification En cas de mobilité volontaire dans un autre établissement de la même société ou dans une autre société du Groupe relevant du présent accord, le salarié bénéficie du maintien de son ancienneté telle qu'elle est acquise à la date de signature de l'avenant ou du nouveau contrat de travail. Le salarié bénéficiera également du maintien de son coefficient. Ce dernier ne pourra être modifié qu'avec son accord exprès et information de la commission locale d’application et de suivi. Dans ce dernier cas, les conditions de son évolution lui permettant de retrouver son ancien coefficient seront précisées. Pour faciliter la reconnaissance de classification et d'évolution professionnelle, cela suppose que les compétences acquises et recensées soient identifiées. 69-2 La rémunération Le salarié bénéficie d'une rémunération conforme aux dispositions prévues dans l’entreprise ou l'établissement d'accueil ainsi que des garanties définies ci-dessous. Dans le cas où la rémunération de base de son nouvel emploi serait inférieure à celle perçue dans son emploi précédent pour un taux d’activité identique, et si aucun autre accord n'en garantit la compensation, le salarié bénéficie d’une indemnité compensatrice temporaire pendant les 24 mois suivant la mobilité, sous réserve que le nouveau salaire brut annuel, indemnité compensatrice comprise, ne soit pas supérieur à l'ancien majoré des augmentations générales et individuelles. Cette indemnité compensatrice temporaire est égale à 100% de la différence constatée chaque mois, pendant les 12 premiers mois et à 75% de la différence pendant les 12 mois suivants. A la fin de cette période de 24 mois, un point de situation sera réalisé. Lorsque le nouveau salaire est supérieur ou égal à l'ancien avant la fin d'une période de 24 mois, cette indemnité temporaire est supprimée. En cas de changement de régime de travail, il sera fait application des modalités prévues dans le présent accord au titre des aléas de carrière. Ces mesures ne font pas obstacle à la mise en œuvre de mesures plus 42 favorables résultant de la convention collective dont le salarié relève dans son entreprise ou son établissement. CHAPITRE 4 – L’EVALUATION DE LA MOBILITE A l’issue d’une période de 6 mois, un entretien individuel sera réalisé par l’USMR, le gestionnaire de cadres ou le correspondant RH. Cet entretien permettra de réaliser un bilan qualitatif du déroulement de la mobilité du salarié. SECTION 2 – LES OUTILS DE LA MOBILITE La mobilité interne peut se traduire par un changement dans la fonction du salarié. Elle a pour objectif, soit de faire évoluer le salarié dans son environnement professionnel, soit de s’engager dans une démarche de changement de métier. La mobilité professionnelle interne pourra aussi être accompagnée d’une mobilité géographique. Des mesures d’accompagnement particulières seront alors mises à disposition, telles qu’énoncées au chapitre «La période probatoire » et suivants. Article 70 – La formation d’adaptation La formation d'adaptation au poste de travail a pour objectif d'apporter au salarié des compétences qui sont directement utilisables dans le cadre de ses fonctions actuelles ou de la prise de nouvelles fonctions. Dans ce cadre, la mobilité interne pourra, si nécessaire, s'accompagner, après analyse des compétences acquises et mise en œuvre par le salarié, d'un plan de formation adapté à son futur emploi. Cette analyse s'appuiera notamment sur l'inventaire des compétences acquises du salarié ou sur un bilan réalisé par l'USMR ou par les gestionnaires de cadres. Le programme de développement et d'adaptation des compétences constitue, pour le salarié, une des garanties de réussite dans son nouvel emploi. Ces actions se déroulent nécessairement sur le temps de travail et la rémunération est maintenue. Article 71 – Le bilan de réorientation Un bilan de réorientation est accessible à tout salarié avec accord de l'employeur. Il permet à un salarié de relire son parcours professionnel et personnel, et de faire le point sur ses compétences, aptitudes et motivation. Il peut mener à une meilleure définition de son projet professionnel et/ou à l’identification de souhaits de formations en cas de changement de métier au sein de la société. Les pistes préconisées par ce bilan (orientation professionnelle, formation,…) seront étudiées par le correspondant Ressources Humaines dans l’intérêt conjoint du salarié et du Groupe. Ce bilan vient compléter les dispositions de l’accord GPEC relatives au bilan de compétences. SECTION 3 – LES AIDES A LA MOBILITE GEOGRAPHIQUE Article 72 – Principes généraux 43 Par mobilité géographique, il est entendu une mobilité entre deux établissements ou sociétés du Groupe sur le territoire français, à l’initiative du salarié et/ou de l’entreprise, lorsqu’elles conduisent à : - - un allongement de la distance et du temps de transport La distance séparant l’ancien logement du nouveau lieu de travail est supérieure à 50 km et entraine un temps de trajet aller ou retour au moins égal à 1h30 (Déplacement en transports en commun ou déplacement individuel calculé à l’aide du site www.viamichelin.fr, option : le plus rapide, éviter les péages) un changement de résidence, rendu nécessaire par la poursuite de l'activité professionnelle du salarié 44 Le présent chapitre concerne les déménagements à l'intérieur du territoire français. Trois types de mesures permettent de répondre aux besoins des salariés du Groupe et de développer la mobilité géographique : La prise en charge du coût du déménagement Les aides relatives au logement, Un accompagnement spécifique lié à l'emploi du conjoint et aux enfants scolarisés dans un établissement primaire, secondaire ou spécialisé. Ces aides sont décembre 2016. valables pour la durée de l'accord, soit jusqu’au 31 Article 73 – La recherche de logement La recherche de logement est engagée dès réception de l’accord de mobilité du salarié et de l’entreprise ou établissement d’accueil. Si nécessaire, la mission est confiée à une structure immobilière spécialisée, (Cilgère Services Entreprises (CSE), @mobilia, …), afin d'accompagner le salarié dans toutes ses démarches immobilières en tenant compte de ses besoins et souhaits. La recherche de logement sera financée par la société. Pour faciliter la recherche d'un logement, le salarié bénéficiera du remboursement sur justificatifs, de 2 allers /retours maximum Les frais pris en charge dans le cadre de cette aide sont : Le transport, L’hébergement La restauration, Pour le salarié et une personne l’accompagnant dans la limite de 3 jours effectifs sur place pour chacun des 2 voyages. En cas de difficultés majeures liées aux spécificités du marché immobilier local et avec accord préalable de l’USMR / du gestionnaire de cadres, 1 aller-retour supplémentaire pourra être pris en charge aux conditions précitées. Article 74 – Le délai transfert famille Le salarié est parfois obligé d'attendre plusieurs semaines ou plusieurs mois avant d'opérer le transfert de sa famille, pour des raisons tenant à des impératifs familiaux tels que scolarité, santé, profession du conjoint. Durant cette période, qui précède le déménagement définitif et qui ne peut excéder 9 mois à compter de la date de détachement, un voyage aller-retour par semaine ou par cycle de travail sera organisé sur base de l’utilisation d’un moyen de transport approprié à définir avec l’USMR / le gestionnaire de cadres. Article 75 - L’indemnité forfaitaire de logement temporaire Cette aide vise à compenser les dépenses d'hébergement provisoire et les frais supplémentaires de nourriture engagés par le salarié dans l'attente de son logement définitif. Dans l'attente d'un logement définitif et pour une durée de 9 mois maximum à compter du début de la période probatoire, le salarié percevra une prime forfaitaire d’hébergement et de restauration basée sur le plafond forfaitaire de la Sécurité Sociale (A titre indicatif, le montant de cette indemnité au 01/01/2013 est de 70.40€/jour). Article 76 - L’autorisation d’absence rémunérée La mobilité entraînant déménagement ouvre droit à une d'absence rémunérée de 3 jours ouvrés pour le déménagement. autorisation 45 Cette autorisation est portée à 5 jours ouvrés en cas de charge de famille (au sens fiscal du terme). Article 77 – Le déménagement et les frais Afin d’éviter les avances de frais engagés par le salarié, le montant du déménagement sera pris en charge par la société sur base d’une prestation standard sous réserve que le devis ait été approuvé préalablement par l’USMR / le gestionnaire de cadres. Lors du déménagement définitif, et afin de limiter les avances de frais engagés par le salarié, le déplacement de l’intéressé et de sa famille pendant la durée normale du trajet sera mis en œuvre par le système de réservation de voyages en vigueur. Les frais supplémentaires de ce déplacement lui sont remboursés sur justificatifs, selon les procédures habituelles définies avec l’USMR / le gestionnaire de cadres. Article 78 - L’indemnité d’installation Le salarié bénéficiera logement locatif. d’une indemnité d'installation dans le nouveau Sur présentation d’un nouveau bail locatif, Le salarié bénéficiera d’une indemnité d'installation. Cette indemnité, basée sur le plafond forfaitaire de Sécurité Sociale (A titre indicatif, le montant total de cette indemnité au 01/01/2013 est de 1409,10€ majorée de 117,40 € par enfant à charge dans la limite de 1761,30 €) Article 79 - L’indemnité compensatrice de loyer Lorsque, charges comprises, à confort et surface comparables (+/- 9m2), le loyer du nouveau logement est supérieur au loyer de l'ancien logement, il est attribué, à titre temporaire et sur proposition chiffrée par l’USMR / le gestionnaire de cadres, une indemnité compensatrice de loyer sous les conditions ci-après : 100% de la différence nette (après déduction des cotisations et contributions sociales en vigueur) entre l’ancien et le nouveau loyer " loyer + charges " du nouveau logement est plafonnée à : Le montant de cette indemnité est fonction des zones géographiques applicables à certaines aides au logement détaillé en annexe 7 et ne pourra excéder : Mobilité vers zone croissante (CBA)* Autres types de mobilité* 15% Rémunération Annuelle Brute année 12% Rémunération Annuelle Brute année N N 11% Rémunération Annuelle Brute année 8% Rémunération Annuelle Brute année N+1 N+1 9% Rémunération Annuelle Brute année 6% Rémunération Annuelle Brute année N+2 N+2 *(Arrêté du 29 Avril 2009) Cette indemnité est versée par avance tous les 3 mois sur présentation d'une quittance de loyer. Le montant versé correspond à la compensation pour 3 mois. Cette indemnité est versée pendant trois ans maximum. 46 Il appartient au salarié de choisir sa nouvelle résidence en connaissance de cause puisqu'il aura à assumer lui-même l'intégralité de la charge financière de son nouveau logement après le 36ème mois. Lorsque le salarié était propriétaire avant sa mobilité et devient locataire, l'éventuelle indemnité compensatrice de loyer sera calculée sur la base d'un loyer théorique reconstitué par l’USMR / le gestionnaire de cadres à partir d'estimations d'agences immobilières. Article 80 - L’acquisition d’un nouveau logement Dans le cas où le salarié décide, dans les 18 mois qui suivent sa mobilité, de devenir propriétaire dans sa nouvelle région, il se voit attribué une prime forfaitaire. Le montant de cette prime est fonction des zones géographiques applicables à certaines aides au logement (détail en annexe 7) et ne pourra excéder : Mobilité vers zone croissante (CBA)* Autres types de mobilité* 8% Rémunération Annuelle Brute + 5% par personne à charge 5% Rémunération Annuelle Brute + 2% par personne à charge *(arrêté du 29 Avril 2009) Cette prime sera versée sur présentation d’une promesse d’achat ou actes notariés définitifs. Le versement de cette prime forfaitaire met fin au versement de l'indemnité compensatrice de loyer. Article 81 – La recherche d’emploi du conjoint Si nécessaire, à la demande du salarié, la mission d'une assistance du conjoint en cours de recherche d'emploi en raison de la mobilité effectuée est confiée à un organisme spécialisé et pris en charge par la société. A partir d'un entretien d'accueil, cet organisme spécialisé propose au conjoint une méthodologie de recherche d'emploi, une validation de son projet professionnel et un suivi par un consultant pendant une durée n'excédant pas un an. Dans ce cadre, les offres d'emplois prospectées par cet organisme spécialisé seront mises à disposition du conjoint. Article 82 – La scolarité Pour faciliter la recherche d’établissements d'enseignement proches de son nouveau domicile et l’inscription de ses enfants, il sera accordé au salarié un congé rémunéré supplémentaire de 2 jours ouvrés sur justificatifs attestant que les enfants sont en âge de scolarisation et fiscalement à charge du salarié. Ce même congé rémunéré peut être utilisé pour une recherche de solution de prise en charge des enfants n’étant pas encore en âge scolaire. La situation des salariés, parents d’enfants handicapés, fera l’objet d’un examen particulier. Article 83 – La promotion de la mobilité dans les bassins « sous tension » Les entités qui feraient face à un besoin important de compétences spécifiques et qui favoriseraient les candidatures internes, pourraient, pour une durée déterminée, activer cette disposition. Elles en informeraient le comité d’entreprise ou d’établissement, et la commission d’application et de suivi locale de l’accord. Le versement de cette prime s’effectuera pour : 47 50% à la mutation volontaire 50% après 1 an dans la nouvelle société Avec déménagement MG = 3.49€ au 01/01/2013 Adulte 1850 x MG Adulte avec 2000 x MG 2 adultes sans 2150 x MG 2 adultes avec enfant(s) x MG Sans déménagement MG = 3.49€ au 01/01/2013 860 x MG enfant(s) enfant 2300 Cette prime, soumise aux prélèvements légaux en vigueur, sera revalorisée en fonction de l’évolution du Minimum Garanti (MG). TITRE V - L’EMPLOI DES SENIORS Les entreprises en France connaissent un déséquilibre de leur pyramide des âges, du fait du vieillissement des effectifs issus des générations nées après-guerre (« baby-boom »), qui représentent une part importante de leurs salariés. Par ailleurs, l’allongement de l’espérance de vie, avec les conséquences qui en découlent sur les régimes de retraite, a conduit récemment les pouvoirs publics à mettre en œuvre, à plusieurs reprises, des dispositions visant à prolonger la durée de la carrière professionnelle. Notre Groupe va connaître dans les années qui viennent des départs massifs en retraite. Ces départs vont générer d’une part des pertes de connaissances et de savoir faire, et d’autre part des besoins d’intégration de nouveaux salariés. Si les négociations récentes au sein des sociétés du Groupe sur les contrats de génération ont permis de négocier sur le sujet de l’emploi des séniors et des jeunes, les parties signataires conviennent de mettre en œuvre des mesures ci-après décrites, au sein des sociétés relevant du champ d’application du présent accord. CHAPITRE 1 – PREPARATION DE LA FIN DE CARRIERE Article 84 – l’entretien de gestion de fin de carrière En complément des dispositions de l’accord GPEC signé en fin d’année 2007, ou de toutes autres dispositions qui seraient prévues par accord d’entreprise concernant la GPEC, les parties signataires conviennent de mettre en place à partir de 55 ans, un entretien de gestion de fin de carrière. Au cours de cet entretien, le salarié et son responsable hiérarchique évoqueront la poursuite de l’activité professionnelle du salarié et plus particulièrement les points suivants: durée, modalités, accompagnement, date prévisionnelle de départ en retraite. Cet entretien sera mis à profit pour examiner conjointement les souhaits du salarié concernant ses activités professionnelles sur les dernières années de sa carrière et les possibilités dont dispose l’entreprise par rapport à ces souhaits. Il permettra également de faire un point sur les modalités d’entretien et/ou de développement des compétences, d’évaluer les besoins en matière de formation, et de définir les actions nécessaires. La possibilité de confier, après formation adaptée, des missions de type tutorat, parrainage, missions d’expertise, sera à cette occasion examinée et peut être une opportunité d’évolution de carrière. Ces missions seront 48 organisées en cohérence avec les éventuels accords locaux existants sur ces sujets. Dans le cadre de la formation professionnelle, il sera vérifié que les salariés seniors ont un accès à la formation professionnelle équivalent aux autres salariés. Un suivi particulier de la formation professionnelle des séniors sera présenté au Comité d’Entreprise ou au Comité d’Etablissement dans le cadre de l’examen annuel du bilan de formation. Article 85 – La santé au travail Dans le cadre de la politique santé au travail, les services médicaux pourront proposer un bilan de santé adapté aux salariés dont l’activité professionnelle le justifie, à partir de l’âge de 58 ans. Les dépenses relatives à ces bilans, non prises en charge par la sécurité sociale et les organismes de prévoyance, seront prises en charge par l’employeur. CHAPITRE 2 – DISPOSITIF D’AMENAGEMENT DU TEMPS DE TRAVAIL Article 86 – Les salariés travaillant à temps partiel antérieurement à l’entrée en vigueur du présent accord Les salariés travaillant à temps partiel antérieurement à l’entrée en vigueur de l’accord relevant d’un régime de travail à temps partiel issu uniquement de AH 2008, de CAP 2010, de son avenant du 17 février 2004, de Cap 2013, ou d’accords antérieurs, (sous la forme de PRP, RTA, RTA2, TPAC, TPAC2, TPFC, TPAFC) continuent de bénéficier de leur régime de travail à temps partiel dans les conditions prévues dans l’avenant à leur contrat de travail redéfini par rapport à leur régime temps plein de référence conformément aux dispositions du présent accord. Ceci s’applique également aux engagements signés avant le 31 décembre 2008 pour une mise en œuvre en 2009. Comme pour tous les autres salariés, la journée de solidarité s’ajouter à la durée du travail au prorata de leur taux d’activité. vient Article 87 – Le Temps Partiel de Gestion de Fin de Carrière « 80/90/100 » (TPGFC) 87-1 - Conditions d’adhésion Les salariés souhaitant prolonger leur activité au-delà de l’âge auquel ils peuvent prétendre à une retraite à taux plein du régime général de la sécurité sociale tout en réduisant leur temps de travail pourront bénéficier, en accord avec leur hiérarchie, d’un passage à temps partiel à 80%. En outre, ce temps partiel de gestion de fin de carrière est également accessible aux salariés n’ayant pas encore acquis leurs droits à retraite à taux plein du régime général de la sécurité sociale, selon les conditions suivantes cumulatives : - Disposer d’une ancienneté (continue ou discontinue) de 10 ans minimum dans le groupe ArcelorMittal - Double volontariat salarié / employeur. Du côté employeur, il sera vérifié que l’accès à ce temps partiel ne désorganise pas le service, le département et/ou l’entreprise. - Salariés ayant accès dans les 2 ans maximum à la retraite à taux plein du régime général de la sécurité sociale, sans possibilité de départ anticipé - Engagement par écrit du salarié à demander la rupture de son contrat de travail dès que le bénéfice d’une retraite à taux plein du régime général de la sécurité sociale est acquis - Obligation de consommer l’intégralité du CET pendant la période d’adhésion au TPGFC et avant le départ en retraite 49 Dans la mesure où le travail à temps partiel s’étendrait sur plusieurs années, le temps de travail de chaque année complète à temps partiel sera obligatoirement de 80% base temps plein. Au cours de cette période à temps partiel des salariés en fin de carrière, des missions de tutorat, parrainage pourront être confiées à ces salariés, afin de transmettre leurs savoirs et compétences. La commision d’application et de suivi locale du présent accord pourra se réunir pour statuer sur le cas individuel d’un salarié rencontrant des circonstances personnelles exceptionnelles, le mettant en grande difficulté de pouvoir honorer sa demande de rupture de son contrat de travail dès que le bénéfice de sa retraite à taux plein du régime général de la sécurité sociale lui serait acquis. 87-2 - Rémunération La rémunération brute versée par l’entreprise est calculée au prorata du taux d’activité fixée à 80% sur la base de la rémunération brute se référant au temps plein, tant pour les éléments mensuels que pour les éléments non mensuels ou différés dans le respect des conventions collectives. Le salarié bénéficie également au-delà de sa rémunération à temps partiel d’un complément de rémunération égal à 10% des éléments de rémunération visés au paragraphe ci-dessus, amenant sa rémunération globale de fin de carrière à 90 % de la référence temps plein. Les primes de vacances et de Saint-Eloi sont déterminées selon les mêmes règles que pour les personnes exerçant leur activité à temps plein. L’indemnité de départ à la retraite est payée selon les mêmes règles que pour les personnes exerçant leur activité à temps plein. Les gratifications liées aux médailles d’honneur du travail seront versées dans les conditions des éventuels accords d’entreprise ou d’établissement pouvant exister, selon les mêmes règles que pour les personnes exerçant leur activité à temps plein. 87-3 - Compléments et avantages spécifiques Pendant la période de temps partiel, le salarié acquiert des droits en matière de retraite du régime général de sécurité sociale et de retraite complémentaire ARRCO et AGIRC équivalents à ceux qu’il aurait acquis pour une activité à temps plein (100%). Les cotisations sont calculées comme suit : - sur le salaire réel de travail à temps partiel (90%), selon le taux de contributions de l’entreprise, la répartition entre l’employeur et le salarié est la même que pour le personnel à temps plein. - sur la différence entre le salaire réel à temps partiel et le salaire à temps plein reconstitué, les cotisations sont à la charge de l’employeur. 87-4 - Formalisation Cette modification du temps de travail du salarié fera l’objet d’un avenant au contrat de travail. La répartition du temps partiel à l’intérieur de la période annuelle sera établie par un calendrier formalisé. 50 TITRE VI - L’EVOLUTION DE CARRIERE DES SALARIES DU NIVEAU V Article 88 - L’évolution des salariés du niveau V Les signataires du présent accord conviennent, dans le prolongement des accords antérieurs, de redéfinir les principes et modalités d’évolution des niveaux V comme suit. Dans le cadre du présent accord, une attention particulière sera apportée par les Directions des entreprises et établissements entrant dans le champ d’application de cet accord, en collaboration avec la commission d’application et de suivi et d’application du présent accord, au fait que les principes d’évolution de carrière des salariés de niveau V soient déployés de façon cohérente dans chacune des entités faisant partie du champ d’application. 88-1 La gestion de carrière des salariés du niveau V L’évolution professionnelle se construit sur la personnelle et d’une acquisition de compétences ressort même de la fonction de manager de favoriser si cette évolution ou promotion peut amener le nouvelles responsabilités en dehors du service. base d’une implication nouvelles. Il est du cette démarche, surtout salarié à exercer ses Que l’initiative de cette démarche soit individuelle ou vienne du manager, l’engagement dans un cursus de promotion doit reposer sur une appréciation managériale collégiale des performances et des aptitudes, seule de nature à assurer une équité de traitement et à enrichir la réflexion individuelle à l’origine du projet. Cette appréciation managériale collégiale relève des Comités Carrière des établissements et des sociétés. Les évolutions de carrières doivent s’inscrire dans un processus de gestion prévisionnelle d’autant plus impératif pour chaque société et établissement qu’il se place dans une perspective de très nombreux départs en retraite. Les Comités Carrière en tant qu’acteurs de ces évolutions et moteurs de la GPEC intègreront les besoins en compétences et les ressources disponibles immédiatement ou à terme. La démographie actuelle des entreprises du Groupe basées en France constitue pour les salariés une opportunité d’évolution, notamment au sein du niveau V où se trouve souvent le personnel le plus âgé. L’entretien annuel avec le manager doit être le lieu privilégié d’identification des parcours possibles, des délais pour y parvenir, des moyens à mettre en œuvre et des bilans d’étapes. C’est aussi à cette occasion que le salarié sera informé par son manager des décisions le concernant lorsqu’un processus aura été engagé auprès du ou des Comités Carrière. Il incombe au salarié et au manager d’analyser ensemble les réserves à l’évolution ou les préalables éventuels, afin d’en tirer ensemble les conséquences utiles. 88-2 Evolution au sein du niveau V L’évolution des salariés du niveau V se fait aujourd’hui au travers des coefficients 305, 335, 365 et 395. Les salariés ayant acquis dans l'entreprise plus de 5 ans d'expérience dans le coefficient 365, et qui mettent en œuvre des compétences éprouvées dans l'exercice de leur fonction, pourront bénéficier d'une promotion au coefficient 395. 51 Conformément à notre pratique, le coefficient est fonction des compétences opérationnelles et validées. Certains salariés à ce niveau peuvent se voir confier des missions qui, transitoirement ou pour une partie d’entre elles, comportent des contraintes spécifiques sans pour autant relever d’une promotion au niveau supérieur. Ces contraintes spécifiques pourront être reconnues au travers d’une majoration de 5% du salaire de base et identifiée comme telle. Cette majoration se substitue à toute disposition existante ayant le même objet. 88-3 Evolution vers la nomination Cadre indices 86 et 92 Le passage au statut cadre, par la promotion interne, est lié à la reconnaissance d’un haut niveau de compétences ou d’expertise dans la spécialité fondée sur une expérience professionnelle reconnue et/ou sur la reconnaissance d’une capacité à encadrer des équipes ou à animer des projets pluridisciplinaires. Ceci suppose préalablement : - l’exercice d’une fonction technique ou managériale durant au moins 5 ans aux coefficients 335 ou 365, - l’acquisition d’un niveau de formation générale et technique équivalente au BAC+2, - une compétence minimale dans une langue étrangère permettant des échanges avec leurs collègues étrangers. L’objectif de passage au statut cadre nécessite la contractualisation, entre le salarié et son manager, d’un processus de transition qui fait l’objet d’une évaluation continue et pendant lequel l’intéressé garde son statut antérieur. C’est au moment de l’entretien individuel que le niveau de formation requis est apprécié en commun, que sont proposées les actions de nature à combler les écarts éventuels et qu’est contractualisé le processus de transition. Ce processus inclut : - une évaluation externe spécialisée mesurant le potentiel du salarié, les conditions de réussite et donc la faisabilité de cette évolution, - l’élaboration d’un plan de développement, - la mise en œuvre des formations nécessaires aux compétences générales, techniques et de langue requises, - des mises en situation, - la participation impérative à une formation managériale complémentaire et adaptée (management de projet, management des hommes), même lorsque cette fonction a déjà été exercée. L’engagement dans ce processus ne peut être un frein à une progression en coefficient au sein du niveau V, pendant la phase de transition, lorsqu’elle est possible. Le changement de coefficient peut être la reconnaissance d’une progression significative dans ce processus de transition, de même que la majoration de contraintes spécifiques mentionnée au 88-2 peut être la reconnaissance des efforts consentis lorsque des formations lourdes sont menées en parallèle des missions habituelles sans baisse de qualité de celles-ci. Le passage au statut cadre relève de la validation collégiale des Comités Carrière établissement et/ou société. Le passage au statut cadre implique avenant à son contrat de travail. l’acceptation par le salarié d’un 52 Celui-ci définira : - ses nouvelles missions, - leur exercice dans le cadre d’un forfait annuel en jours fixé à 213 jours, - son indice, - sa rémunération annuelle brute sur 12 mois. L’indice accessible sera au moins celui équivalent au coefficient détenu au moment du passage cadre dans la limite des indices 86 et 92. Comme pour tous les Ingénieurs et Cadres, le salarié bénéficiera d’un complément individuel variable en plus de sa rémunération annuelle brute. Au moment de son passage cadre, son salaire de base, sa prime d’ancienneté, ainsi que ses éléments récurrents seront intégrés dans sa rémunération annuelle. Celle-ci sera majorée de 9% pour constituer sa nouvelle rémunération annuelle brute. Le salarié bénéficiera des indemnités de déplacement domicile/usine applicables aux Ingénieurs et Cadres de son établissement ou entreprise. Article 89 - L’accès à l’indice 100 Les parties signataires conviennent que l'accès à l'indice 100 (indice 16 de la grille de transposition, correspondant au nouveau classement des salariés au K 395 de l'accord national du 21 juillet 1975), institué par l'article 4 de l'accord national du 29 janvier 2000, est maintenu. Les salariés ayant acquis dans l'entreprise plus de 5 ans d'expérience dans l'indice 92, et qui, étant à moins de 10 ans de leur départ en retraite, mettent en œuvre des compétences éprouvées dans l'exercice de leur fonction, pourront bénéficier d'une promotion à l'indice 100. Le classement de ces salariés restant défini par l'accord national du 21 juillet 1975, les intéressés ne se trouvent pas, pour autant, en position II. En conséquence, ces salariés ne peuvent prétendre ni à la garantie de l'indice 108, ni à la progression triennale automatique de classement. Article 90 – L’accès à l’indice 108 L’indice 108 est le niveau de base d’un Ingénieur ou Cadre diplômé confirmé. C’est donc un indice important dans l’évolution de carrière d’un ETAM souhaitant passer Cadre ou d’un Cadre forfaité d’un niveau moindre. Son obtention suppose préalablement : - que les critères d’accès au statut Cadre tels que définis au 663, paragraphe 2 soient remplis par le salarié, un projet partagé avec son manager, une évaluation externe spécialisée mesurant le potentiel du salarié, les conditions de réussite et donc la faisabilité de cette évolution, l’élaboration d’un plan de développement et de formation adéquate, l’acquisition d’une formation diplômante de niveau BAC+5, telle que CESI ou CNAM, la soutenance d’un mémoire en interne par le salarié dans sa spécialité, la capacité à progresser au moins jusqu’à l’indice 135, l’acceptation d’une mobilité fonctionnelle et/ou géographique liée à la nouvelle fonction qui en découlera. Concernant un ETAM pour qui le passage au statut cadre indice 108 est envisagé, le premier des critères défini pour l’accès au statut cadre doit être interprété selon des termes identiques : « l’exercice d’une fonction technique ou managériale durant au moins 5 ans aux coefficients 335 ou 53 365 ». Pour un salarié déjà cadre, les termes doivent être interprétés comme « 5 ans aux indices 86 ou 92 ». L'évolution de la rémunération des Etam ou des cadres préparant un passage à l'indice 108 pourra être progressivement ajustée au cours des deux années précédant l'échéance afin que l'écart à combler au moment de l'accès à cette nouvelle position ne soit pas trop important. La majoration de 9%, applicable en vertu de l’article 88-3 du présent accord, est un des éléments de cette évolution. Par ailleurs, afin d'encourager la gestion des seniors, l'accès à l'indice 108 pour les salariés positionnés à l’indice précédent peut être envisagé dans les 5 ans précédant leur départ en retraite, pour autant qu'ils mettent en œuvre de façon effective des compétences éprouvées dans l'exercice de leur fonction et après validation du Comité carrière. 54 TITRE VII – LE DROIT INDIVIDUEL A LA FORMATION ET LE CO-INVESTISSEMENT FORMATION Article 91 – Le co-investissement formation Le développement des compétences est un axe privilégié de valorisation du capital humain de l’entreprise. Il s’appuie notamment sur la « démarche compétences », issue de l’accord ACAP 2000, qui, contrairement à la logique de poste, est une dynamique qui permet à chaque salarié d’être évalué et rémunéré en fonction de ses compétences. Ces dernières peuvent être acquises notamment grâce à l’investissement personnel des salariés. La formation perrmet également d’augmenter l’employabilité des salariés au sein de l’entreprise et plus globalement dans le monde du travail. C’est pourquoi, le Groupe ArcelorMittal continuera à contribuer à l’effort de formation. Le développement des compétences tout au long de la vie professionnelle est donc une ambition qui correspond : Aux besoins des entreprises ArcelorMittal en France, afin de disposer en permanence des compétences dont elles ont besoin pour assurer et développer leur performance Aux aspirations des salariés, dans le cadre d’un dispositif d’évolution de carrière fondé sur la reconnaissance des compétences. De même, la mise en œuvre de plans de formation ambitieux est une exigence qui se justifie tout particulièrement dans les entreprises qui doivent faire face au renouvellement de leurs générations. Les actions de « formation professionnelle continue » dans le cadre du plan de formation restent majoritairement organisées sur le temps de travail. Les formations éligibles au co-investissement telles dans le plan de formation. seront identifiées comme Les dispositions ci-dessous s’appliqueront sous réserve de l’évolution des dispositions légales et conventionnelles en vigueur. En complément des dispositifs actuels en vigueur concernant la formation, le présent accord définit les conditions de mise en œuvre d’un coinvestissement formation. L’objectif est de proposer à tous les salariés des entreprises entrant dans le champ d’application du présent accord, de développer leurs compétences afin de leur permettre d’évoluer au mieux dans le Groupe et dans le monde du travail. Le co-investissement formation s’exercera en partie en dehors du temps de travail. L’investissement personnel du salarié mis en œuvre dans ce mode de formation sera un élément impliquant la reconnaissance de chacun dans son évolution professionnelle. Dans ce contexte, permettant : le co-investissement formation est une démarche de faciliter le développement des compétences, construit d’un commun accord entre le salarié et sa hiérarchie, d’accélérer le cursus de formation des salariés qui s’engagent dans ce dispositif. Il est précisé que l’éventuel refus d’une formation hors temps de travail ne peut donner lieu à aucune sanction, ni constituer un motif de 55 ralentissement de progression changement de coefficient…). de carrière (exemple : passage cadre, Les frais pédagogiques et l’ensemble des frais habituellement indemnisés dans le cadre du suivi des formations sur temps de travail (frais de repas, déplacements etc.…) seront pris en charge selon les règles en vigueur dans les entreprises ou établissements. Le respect journalières hebdomadaire compte les travaillées. des maxima légaux et conventionnels relatifs aux durées et hebdomadaires, ainsi que les durées de repos quotidien et entre deux périodes de travail seront assurés en prenant en périodes de formation, au même titre que les périodes Le temps passé hors temps de travail dans le cadre du co-investissement ne pourra excéder 10 jours par an. Jusqu’au 31 décembre 2014, deux dispositifs seront utilisés pour accompagner cette démarche, sur la base du double volontariat du salarié et de l’employeur exprimé par écrit : 1. Le dispositif de « Développement des compétences » dans le cadre du plan de formation prévu à l’article L. 6321-6 et suivant du Code du Travail : Ce droit pourra être utilisé dans la limite de 80 heures par an par salarié ou, pour les cadres en forfait heures et en forfait jours, dans la limite de 5 % de leur forfait. Une « allocation de formation » sera versée, à hauteur des dispositifs légaux en vigueur, lorsque la formation sera effectuée en dehors du temps de travail notamment sur une période non travaillée et donnant lieu au maintien de la rémunération : congés payés, repos de cycles, CET, récupérations diverses etc... Cette allocation de formation n’est pas considérée comme une rémunération et n’est pas soumise à cotisations sociales, elle s’ajoutera à la rémunération annuelle brute de base perçue par le salarié. La reconnaissance des compétences est assurée dans le cadre des processus propres à chaque entreprise ou établissement, notamment en s’appuyant sur les référentiels de compétences lorsqu’ils existent. 2. Le dispositif du « Droit Individuel à la Formation » (DIF) prévu à l’article L.6323-1 et suivant du Code du travail : Ce droit est acquis dans la limite de 20 heures par an par salarié et plafonné à 120 heures. Le DIF pourra être mis en œuvre hors temps de travail notamment sur des jours non travaillés tels que les congés payés, les JRTT, les jours de CET, les repos hebdomadaires et les repos de cycle. Le programme précis de formation sera arrêté conjointement par l’employeur et le salarié. Ce programme pourra comporter des formations permettant au salarié l’exercice des missions de tutorat. Une « allocation de formation » sera versée, en plus du salaire mensuel du salarié et à hauteur des dispositifs légaux lorsque la formation sera effectuée en dehors du temps de travail, sur une période non travaillée et donnant lieu au maintien de la rémunération : congés payés, repos de cycles, CET, récupérations diverses etc... Cette allocation de formation n’est pas considérée comme une rémunération et n’est pas soumise à cotisations sociales, elle 56 s’ajoutera à la rémunération annuelle brute de base perçue par le salarié. L’employeur versera un complément à l’allocation de formation évoquée ci-dessus, portant celle-ci de 50% à 75% du salaire horaire de référence. A partir du 1er janvier 2015 et dans le cadre de la mise en place du Compte Personnel de Formation, issu de l’ANI du 14 décembre 2013, et complété par différents dispositifs légaux ou conventionnels, des mesures incitatives similaires à celles définies ci-dessus seront mises en place par l'employeur, lorsque le Compte Personnel de Formation : • Sera utilisé par le salarié pour réaliser hors temps de travail des formations, sous réserve, que cumulativement : o Elles soient inscrites au plan de formation de l’entreprise ou de l’établissement, o Elles permettent le développement des compétences des salariés (et non l’adaptation au poste de travail) et o Elles fassent l’objet d’une acceptation expresse par l’employeur • ou sera utilisé par le salarié pour réaliser hors temps de travail des formations inscrites au plan de formation permettant d’acquérir des diplômes ou des certificats de qualification professionnelle, au sens de l’article L 6314-2 du Code du Travail et de l’accord de branche en vigueur sur le sujet (notamment des Certificats de Qualification Paritaires de la Métallurgie), dès lors qu’elles ont fait l’objet d’une acceptation expresse par l’employeur. Dans les deux cas, dès qu’il s’agit d’une formation inscrite au plan de formation, les heures réalisées par le salarié au-delà des seuils de durée des dispositifs décrits précédemment pour suivre la formation, seront considérées comme du temps de travail effectif et seront rémunérées comme tel. D’autres répartitions du temps de formation entre temps de travail et hors temps de travail pourraient être organisées par accord entre l’entreprise et le salarié selon les dispositions ci-dessus et dans les limites décrites précédemment. Article 92 – Le co-investissement formation et l’activite partielle Préalablement au recours à l’activité partielle et/ou en cas de recours à l’activité partielle, le Droit Individuel à la Formation pour l’année 2014 ou le Compte Personnel de Formation pour les années 2015 et 2016 pourront être mis en œuvre pendant le temps de travail, sous réserve que les dispositions légales en vigueur le permettent et dans la limite de 2 jours par année civile et de 3 jours au total pour la période débutant le 1er janvier 2014 et se terminant le 31 décembre 2016, Le nombre de jours de DIF ou issus du Compte Personnel de Formation pouvant être utilisé dans l’année civile pourra être augmenté, en tant que de besoin, par décision de la Direction de la société ou de l’établissement concerné. Ces dispositions s’appliquent dans la limite du nombre de jours dont disposent les salariés au titre du DIF et dans le Compte Personnel de Formation et sous réserve de compatibilité avec les dispositions légales en vigueur. Le programme précis de formation sera arrêté conjointement entre l’employeur et le salarié. Il pourra comporter des formations permettant au salarié l’exercice des missions de tutorat. 57 Les heures consacrées au DIF ou résultant de l’utilisation du Compte Personnel de Formation pendant le temps de travail ouvrent droit au maintien du salaire mensuel brut du salarié pour les durées considérées. TITRE VIII – LES CLAUSES JURIDIQUES ET ADMINISTRATIVES Article 93 – Le champ d’application Le présent accord est un accord de groupe. Il est applicable aux personnels des sociétés figurant en annexes, selon les modalités suivantes : - Les sociétés du Groupe figurant en annexe 1 appliquent l’intégralité des dispositions du présent accord. - Les sociétés du Groupe figurant en annexe 2 appliquent les dispositions de l’accord à l’exception des dispositions des titres I, III et VI - Les sociétés du Groupe figurant en annexe 2 bis appliquent les dispositions de l’accord à l’exception des dispositions des titres I, III, VI et VII - Les sociétés du Groupe figurant en annexe 2 ter appliquent les dispositions de l’accord à l’exception des dispositions des titres I, II, III, VI et VII - Les sociétés du Groupe figurant en annexe 3 appliquent les dispositions de l’accord à l’exception des dispositions des titres I, II, III, V, VI et VII Les dispositions du présent accord ont pour certaines vocation à compléter, et non à modifier, l’accord de groupe ArcelorMittal sur la GPEC du 15 décembre 2007. Il est expressément précisé que l’appartenance au champ d’application du présent accord n’entraîne pas l’adhésion à l’accord de groupe sur la GPEC du 15 décembre 2007. Article 94 – L’entrée en vigueur et durée de l’accord Les dispositions du présent accord à durée déterminée seront applicables pour la période du 1er janvier 2014 jusqu’au 31décembre 2016, date à laquelle son application cessera de plein droit. Cet accord ne se transformera pas en accord à durée indéterminée à la survenance de son terme. 58 Les parties signataires conviennent à partir du bilan du présent accord de se réunir au moins 6 mois avant échéance afin de fixer les modalités et les orientations principales d’un éventuel nouvel accord. En outre, les parties signataires s’accordent sur le fait que la mise en œuvre de l’accord sera facilitée par une communication suffisante envers les salariés, à la fois par les services de ressources humaines et le management. Ainsi, les managers seront formés au contenu de l’accord et le texte de l’accord sera diffusé à l’ensemble des salariés sous la forme d’un livret. Article 95 – La contestation En cas de litige portant sur l’interprétation ou l’application du présent accord, les parties s’engagent, avant d’avoir recours aux juridictions compétentes, à définir par écrit de façon précise l’objet du litige, et à se rencontrer pour tenter de le résoudre à l’amiable. Un compte rendu écrit sera établi à l’issue de cette rencontre et communiqué à l’ensemble des parties. Article 96 – La révision En cas d’évolution résultant de la loi ou de dispositions conventionnelles concernant les thèmes traités dans le présent accord, entraînant la nécessité d’adapter les textes, les organisations syndicales seront invitées à négocier un avenant au présent accord. Article 97 – La commission d’application et de suivi Pendant les périodes couvertes par l’accord, les parties signataires se réuniront, pour examiner les modalités d’application du présent accord et résoudre les éventuelles difficultés concernant son application, préciser son interprétation, ou examiner la législation en la matière, dans le cadre de commissions d’application et de suivi du présent accord au plan national, ainsi qu’au plan local. Les parties signataires se réuniront annuellement afin d’examiner au plan national l’application du présent accord. Au cours de la première année d’application du présent accord, la commission d’application et de suivi nationale sera réunie au moins deux fois dans l’année. Quatre membres par organisation syndicale signataire siègeront dans cette commission. Ces réunions lui permettront d’être associée au déploiement du présent accord dans les différentes sociétés et établissements du groupe. Une commission sera créée soit au niveau société, soit au niveau de l’établissement selon les structures locales à gérer. Elles auront notamment à identifier des solutions pour résoudre les éventuelles difficultés d’application collectives ou individuelles. Deux membres par organisation syndicale signataire siègeront dans cette commission. La fréquence des réunions locales sera au minimum annuelle, mais se réunira autant que de besoin à la demande d’un des signataires. Article 98 – Le dépôt de l’accord Le présent accord sera déposé à la DIRECCTE de Seine Saint Denis et au Greffe du Conseil de Prud’hommes de Bobigny. Fait à Saint-Denis, Le Pour la Direction : Hervé BOURRIER Président Directeur Général d’ArcelorMittal France 59 Laurent GUERRA Directeur de la coordination RH France Pour les Organisations Syndicales : Pour la CFDT Pour la CFE-CGC Pour FO Annexes Annexes 1, 2, 2 bis, 2 ter et 3 Champ d’application 60 Annexes à l’accord de Groupe ArcelorMittal CAP 2016 Annexe 1 Liste des sociétés appliquant l’intégralité des dispositions du présent accord Sociétés ArcelorMittal Atlantique et Lorraine ArcelorMittal Méditerranée Industeel France Etablissements - Dunkerque - Mardyck - Desvres - Montataire - Florange - Basse Indre - Mouzon - Fos-sur-Mer - St-Chély d’Apcher - Le Creusot - Chateauneuf - Saint-Chamond 61 ArcelorMittal France ArcelorMittal Treasury ArcelorMittal IT Supply France - Tous sites - Dunkerque - Fos ArcelorMittal Maizières Research H&E ArcelorMittal Logistics France SERSID 62 Annexe 2 Liste des sociétés appliquant les dispositions de l’accord, à l’exception des titres I, III et VI ETABLISSEMENTS SOCIETES ArcelorMittal Distribution Solutions France ArcelorMittal Steel Services Center France ArcelorMittal Auto Processing France Prosimo ArcelorMittal Special Processing ArcelorMittal Distribution Services France - Tous établissements - Reims - Lyon - Gray - Pontcharra - Bruyères sur Oise - Ottmarsheim - Woippy - Mardyck - Yutz - Montataire - Reims - Angers - Lille - Tous établissements Annexe 2 bis Liste des sociétés appliquant les dispositions de l’accord, à l’exception des titres I, III, VI et VII ETABLISSEMENTS SOCIETES ArcelorMittal SOLUSTIL - Tous établissements Annexe 2 ter Liste des sociétés appliquant les dispositions de l’accord, à l’exception des titres I, II, III, VI et VII ETABLISSEMENTS SOCIETES ArcelorMittal Construction France - Tous établissements Galva Service - Tous établissements - Tous établissements Profil du Futur ArcelorMittal Construction Caraïbes ArcelorMittal Construction Réunion 63 Annexe 3 Liste des sociétés appliquant les dispositions de l’accord, à l’exception des titres I, II, III, V, VI et VII ETABLISSEMENTS SOCIETES ArcelorMittal Wire France - Tous établissements - Tous établissements - Hautmont - Chevillon - Tous établissements ArcelorMittal Manois ArcelorMittal Périgueux ArcelorMittal Wire Solutions Sales France ArcelorMittal Traction Levage ArcelorMittal Tubular Products Hautmont ArcelorMittal Tubular Products Vitry ArcelorMittal Tailored Blanks Lorraine ArcelorMittal Gandrange ArcelorMittal Revigny Palfroid Rolanfer Recyclage ArcelorMittal Bordeaux Logistique ArcelorMittal Commercial Long France Industeel Dunkerque GEPOR 64 Annexe 4 – jours consolidés La Convention Collective Nationale des Ingénieurs et Cadres étant applicable aux salariés du champ d’application de l’Accord ArcelorMittal CAP 2016 et relevant de ce statut, les congés d’ancienneté qui y sont prévus font systématiquement partie de la consolidation, que cette convention collective soit nommée ou non. Une convention collective harmonisée pour l’ensemble du secteur de la sidérurgie a été signée le 20 novembre 2001 alors qu’il existait précédemment une Convention pour le Nord et une pour l’Est. Son article 48 définit les congés d’ancienneté et de responsabilité en renvoyant à l’article 1er de l’Accord National de la Métallurgie du 23 février 1982 et à l’Accord de la Sidérurgie du 20 novembre 2001 sur les congés de responsabilité signé par le GESIM. Ce sont ces références qui sont à prendre en compte pour les établissements qui ressortaient antérieurement des Conventions de la Sidérurgie du Nord ou de l’Est. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Dunkerque Les congés payés conventionnels ou d’accords ou d’usages 5 semaines de congés légaux (ancienneté, responsabilité, Saint-Eloi) représentent, dans cet établissement, de 1 à travaillés pour une année de travail complète, selon les concernées et selon les régimes horaires. locaux au-delà des fête locale et 7 jours non personnes Congés supplémentaires issus de l'Accord National UIMM du 23 février 1982 : congés dits d'ancienneté. Congés supplémentaires issus du protocole d'Accord du GESIM du 28 mai 1982 : congés dits hiérarchiques ou de responsabilité. Usage qui consistait à accorder au personnel ayant 6 mois d'ancienneté révolus un jour par an de congé appelé "fête locale". 1er décembre (St Eloi) prévu à la Convention Collective de Travail du Nord de la France du 25 novembre 1971 et complété par l’accord d’harmonisation des Conventions Collectives de 1991. La journée du 1er décembre est traitée spécifiquement ci-après. Le présent accord définit que le nombre de ces jours non travaillés précisés ci-dessus, est consolidé à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. L’usage de la « fête locale » listé plus haut est englobé dans cette disposition. Que le 1er décembre soit travaillé ou non selon les régimes, la prime de Saint-Eloi représente la valeur de 2 journées de travail. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Mardyck Les congés payés conventionnels ou d’accords ou d’usage locaux au-delà des 5 semaines de congés légaux (ancienneté, responsabilité, fête locale et Saint-Eloi) représentent, dans cet établissement, de 1 à 7 jours non travaillés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées et selon les régimes horaires. Congés supplémentaires issus de l'Accord National UIMM du 23 février 1982 : congés dits d'ancienneté. Congés supplémentaires issus du protocole d'Accord du GESIM du 28 mai 1982 : congés dits hiérarchiques ou de responsabilité. Usage qui consistait à accorder au personnel ayant 6 mois d'ancienneté révolus un jour par an de congé appelé "fête locale". 1er décembre (St Eloi) prévu à la Convention Collective de Travail du Nord de la France du 25 novembre 1971 et complété par l’accord d’harmonisation des Conventions Collectives de 1991. La journée du 1er décembre est traitée spécifiquement ci-après. 65 Le présent accord définit que le nombre de ces jours non travaillés précisés ci-dessus, est consolidé à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. L’usage de la « fête locale » listé plus haut est englobé dans cette disposition. Que le 1er décembre soit travaillé ou non selon les régimes, la prime de Saint-Eloi représente la valeur de 2 journées de travail. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Desvres Les congés payés conventionnels ou d’accords ou d’usage locaux au-delà des 5 semaines de congés légaux (ancienneté, responsabilité, fête locale) représentent, dans cet établissement, de 1 à 6 jours non travaillés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées suivant leur ancienneté et leur classification. Le présent accord définit que le nombre de ces jours non travaillés précisés ci-dessus, est consolidé à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. La mise en œuvre du présent accord emporte révision : de l’accord d’établissement du 01/09/1992 chap. V art 5.3, chap. VII art 721-722-723 et consolide l’usage qui consiste à transformer un jour férié indemnisable en jour férié non indemnisable en compensation du lundi de ducasse de Desvres (Convention Collective de la Sidérurgie du Nord art 64- par 5) qui était considéré comme fête locale. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Montataire Les congés payés conventionnels au-delà des 5 semaines de congés légaux (ancienneté, responsabilité) et les congés d’usage locaux (fête locale) constituent des congés payés complémentaires qui dans cet établissement représentent de 1 à 6 jours non travaillés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées suivant leur ancienneté et leur classification. Ainsi, les congés payés complémentaires spécifiques à l’établissement de Montataire de la société ArcelorMittal Atlantique et Lorraine comprennent les éléments suivants : congés complémentaires OUVRIERS et ETAM issus de l’application locale de la « Convention collective de la métallurgie de l’Oise » : * congés d’ancienneté (article 17) 1 à 3 jours (10,15 et 20 ans d’ancienneté) + 1 jour pour les salariés âgés de plus de 57 ans et ayant au moins dix ans d’ancienneté congés complémentaires OUVRIERS et ETAM issus d’un usage local accordant le bénéfice de congés payés supplémentaires hiérarchiques prévus par le Protocole d'accord GESIM du 28 mai 1982 : * congés hiérarchiques 0 à 2 jours congés complémentaires INGENIEURS & CADRES issus de l’application locale de la « Convention Collective Nationale des Ingénieurs et Cadres de la Métallurgie » et d’un usage au niveau Groupe : * congés conventionnels liés à l’ancienneté 5 jours congés complémentaires OUVRIERS, ETAM et INGENIEURS & CADRES issus d’un usage local qui consiste à accorder au personnel présent à l’effectif au moment de la fête annuelle de la ville un jour par an de congé * repos fête locale 1 jour 66 Le présent accord définit que le nombre de ces jours non travaillés précisés ci-dessus, est consolidé à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Florange Les congés complémentaires spécifiques à l’Etablissement de Florange comprennent les éléments suivants : congés complémentaires issus de la Convention Collective de la Sidérurgie de Moselle – congés d’ancienneté et congés hiérarchiques (articles 12-2 et 12-3). congés complémentaires issus des usages ayant suivi l’application des dispositions signées le 7 décembre 1982 précisées par les articles 1-2-1 à 1-2-4. Ces congés complémentaires, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Mouzon Au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, les congés spécifiques à l'établissement de Mouzon comprennent les éléments suivants : - congés d'ancienneté de 0 à 6 jours - congés hiérarchiques de 0 à 2 jours Ces congés complémentaires, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. ArcelorMittal Atlantique et Lorraine - Etablissement de Basse-Indre Les congés payés conventionnels au-delà des 5 semaines de congés légaux (ancienneté) peuvent représenter, dans cet établissement, de 0 à 5 jours non travaillés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées suivant leur ancienneté. congés conventionnels d’ancienneté stipulés au paragraphe 4 article 6 du chapitre 3 de la Convention Collective de la Métallurgie de la Loire Atlantique, congés conventionnels stipulés à l’article 14 du chapitre IV de la Convention Collective des Ingénieurs et Cadres de la Métallurgie. Ces congés conventionnels, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. ArcelorMittal Méditerranée - Etablissement de Fos sur Mer Au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, les congés complémentaires spécifiques à l’établissement de FOS comprennent les éléments suivants : - Congés complémentaires ETAM issus de l’application locale de la Convention Collective de l’Industrie Sidérurgique de la Moselle : * congés hiérarchiques (article 12.3) 0 à 2 jours 67 - Congés complémentaires ETAM issus de l’accord d’établissement du 1.12.1983 au titre des articles 2, 3 et 5 * congés d’ancienneté (article 5) 0 à 4 jours * repos complémentaire (article 3) 1 jour * repos conversion ouvrables/ouvrés (article 2) 1 jour * * * Congés complémentaires Ingénieurs et Cadres : congés conventionnels d’ancienneté 2 à 5 jours repos complémentaire local 1 jour usage RTT antérieures 6 jours Ces congés complémentaires, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. Les agents ayant des droits totaux supérieurs à 7 jours au titre des dispositions ci-dessus énumérées bénéficieront d’une compensation de l’écart. Ils choisiront entre une compensation intégrée dans leur fixe mensuel ou une mise en compte épargne temps à la date d’effet de la réduction d’horaire. Les agents ayant des droits de 7 jours bénéficieront d’une compensation d’un jour s’ils n’ont pas atteint les droits maxima au titre de l’ancienneté. En ce qui concerne les cadres forfaits en jours : les agents ayant des droits totaux supérieurs à 7 jours au titre des dispositions ci-dessus énumérées bénéficieront d’une compensation salariale à la date d’effet de la réduction d’horaire. Pour les agents ayant plus de 2 jours de congés au titre de l’ancienneté, une partie des jours acquis au titre des RTT antérieures fera l’objet d’une compensation, conforme au dispositif de l’article 5-1 avant dernier paragraphe de l’accord SOLLAC du 23/12/1999. 1 jour pour CP ancienneté = 3 jours 2 jours pour CP ancienneté = 4 jours 3 jours pour CP ancienneté = 5 jours Ils choisiront entre une compensation intégrée dans leur fixe mensuel ou une mise en compte épargne temps, à la date d’effet de la réduction d’horaire. De ce fait, chaque agent concerné par le présent article garde le bénéfice de 2 des 6 jours de la RTT mise en place en 1983, au-delà de la garantie des 7 jours conventionnels étendus à tous. ArcelorMittal Méditerranée - Etablissement de St Chély d’Apcher Au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, les congés complémentaires spécifiques à l’établissement de St Chély comprennent les éléments suivants : - Congés complémentaires OETAM issus de l’application de la Convention Collective des salariés de la Métallurgie de la Loire et de l’arrondissement d’Yssingeaux : * congés d’ancienneté (article 42) 0 à 3 jours * fête locale de St Chély (note N°450 du 30 août 1963) 1 jour * * * Congés complémentaires Ingénieurs et Cadres : congés conventionnels d’ancienneté 0 à 3 jours jours de fonction 3 jours fête locale de St Chély (note N°450 du 30 août 1963) 1 jour Ces congés complémentaires, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. 68 Industeel France - Etablissement du Creusot Les congés conventionnels, d’accords et d’usages, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, et spécifiques à l'établissement comprennent : - Pour le personnel non cadre, les congés issus de l’application de la Convention Collective de la Métallurgie de Saône et Loire : ces congés représentent dans notre établissement de 0 à 4 jours chômés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées. - Pour le personnel cadre, les congés issus de l'application Convention Collective Nationale de la Métallurgie du 13 mars le 2 mars 1973, le 18 mars 1982 et le 12 septembre 1983: Ces représentent de 0 à 3 jours chômés pour une année de travail les personnes concernées. locale de la 1972 modifiée congés complète selon - Congés de fonction : le personnel cadre bénéficie de 3 jours de congés de fonction au titre de la réduction du temps de travail de 1982. - Congé de Saint-Laurent : le personnel cadre et non cadre bénéficie de 1 jour de congé supplémentaire en application du protocole d'accord relatif à l'évolution des conditions d'attribution du congé Saint-Laurent signé le 19 décembre 1997. - Jour de repos du 26 décembre : le personnel cadre et non cadre bénéficie de 1 jour de repos supplémentaire positionné le 26 décembre pour autant que ce jour soit un jour prévu travaillé. Ces jours sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. La mise en œuvre du présent accord emporte révision des accords et usages les ayant institués. - Récupération de 1 jour par samedi férié hors jours ouvrés, personnel exerçant son activité en poste coupé F1 : le personnel exerçant son activité en poste coupé F1 bénéficie de 1 jour de récupération par samedi férié tombant hors jours ouvrés. - Repos réduction d'horaire pour activité exercée à hauteur de 40 heures semaine en moyenne : certains membres du personnel ouvrier et ATAM bénéficient de 6 repos réduction d'horaire par an au titre de leur activité exercée à hauteur de 40 heures semaines en moyenne. - Repos veille de jours fériés, dimanche de Pâques et de Pentecôte : le personnel posté en 4 équipes était placé en situation de repos le dimanche de Pâques et le dimanche de Pentecôte, lorsque ces jours étaient prévus travaillés. Le présent accord définit que ces journées sont incluses dans les JRTT. En conséquence, le présent accord confirme la révision de ces usages collectifs faite par notre accord CAP2010 d’établissement. - Repos réduction d'horaire pour passage de consignes : certains membres du personnel exerçant les fonctions de Chef de File Tôlerie, Opérateurs Usinage GF, Coordonnateurs GF bénéficient, en contrepartie du passage de consignes, de 2 jours de repos réduction d'horaire. - Prolongation d'absence pour samedi férié : le personnel cadre et non cadre bénéficie d'une prolongation d'absence lorsqu'un jour férié tombe un samedi à l'intérieur d'une période de congés payés. - Congés de fermeture : les membres du personnel qui travaille au cours de la période de fermeture d'été de l'établissement bénéficient de jours de congés supplémentaires dits congés de fermeture en substitution de l'application de la règle du congé de fractionnement. 69 La mise en œuvre du présent accord confirme la révision faite par notre accord CAP2010 d’établissement des usages collectifs visés ci-dessus et application des mesures ci-après: les parties signataires conviennent que le passage de consigne, lorsqu'il sera demandé à un membre du personnel, fera l'objet de dispositions traitées par ailleurs. Industeel France - Etablissement de Saint-Chamond Les congés conventionnels, d’accords et d’usages, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, et spécifiques à l'établissement comprennent : - Pour le personnel non cadre, les congés issus de l’application de la Convention Collective de la Métallurgie de la Loire. Ces congés représentent dans notre établissement de 0 à 3 jours chômés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées. - Pour le personnel cadre, les congés issus de l'application Convention Collective Nationale de la Métallurgie du 13 mars le 2 mars 1973, le 18 mars 1982 et le 12 septembre 1983. Ces représentent de 0 à 3 jours chômés pour une année de travail les personnes concernées. locale de la 1972 modifiée congés complète selon - Congés de fonction : le personnel cadre bénéficie de 3 jours de congés de fonction au titre de la réduction du temps de travail de 1982. - Fête locale : le personnel bénéficie d’un jour de congé supplémentaire dit de « fête locale ». Ces jours sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. La mise en œuvre du présent accord emporte révision des accords et usages les ayant institués. Industeel France - Etablissement de Chateauneuf Les congés conventionnels, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, et spécifiques à l'établissement comprennent : - Pour le personnel non cadre, les congés issus de l’application de la Convention Collective de la Métallurgie de la Loire. Ces congés représentent dans notre établissement de 0 à 3 jours chômés pour une année de travail complète, selon les personnes concernées. - Congé supplémentaire d’ancienneté : le personnel non-cadre bénéficie de jours de congé supplémentaire aux dispositions de la convention collective selon le barème d’ancienneté suivant : 1 jour après 5 ans, 1 jour après 25 ans, 1 jour après 30 ans - Pour le personnel cadre, les congés issus de l'application Convention Collective Nationale de la Métallurgie du 13 mars le 2 mars 1973, le 18 mars 1982 et le 12 septembre 1983: Ces représentent de 0 à 3 jours chômés pour une année de travail les personnes concernées. locale de la 1972 modifiée congés complète selon - Congés de fonction : le personnel cadre bénéficie de 3 jours de congés de fonction au titre de la réduction du temps de travail de 1982. Ces jours sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. La mise en œuvre du présent accord emporte révision des accords et usages les ayant institués. ArcelorMittal France - Etablissement de Saint-Denis 70 Les congés payés conventionnels d’ancienneté, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, représentent dans cet établissement de 0 à 3 jours non travaillés pour une année de travail complète selon les personnes concernées. Ils sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. Les congés payés conventionnels d’ancienneté cités ci-dessus sont issus de la Convention Collective des Industries Métallurgiques et connexes de la Région Parisienne pour les ETAM et de la Convention Collective Nationale des Ingénieurs et Cadres. ArcelorMittal Treasury - Etablissement de Saint-Denis Les congés payés conventionnels d’ancienneté, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, représentent dans cet établissement de 0 à 3 jours non travaillés pour une année de travail complète selon les personnes concernées. Ils sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. Les congés payés conventionnels d’ancienneté cités ci-dessus sont issus de la Convention Collective des Industries Métallurgiques et connexes de la Région Parisienne pour les ETAM et de la Convention Collective Nationale des ingénieurs et cadres. ArcelorMittal IT Supply France Les congés payés conventionnels (ancienneté ou responsabilité) prévus par la Convention Collective des Industries Métallurgiques et connexes de la Région Parisienne pour les ETAM et de la Convention Collective Nationale des Ingénieurs et Cadres, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux et les congés d’usages locaux représentent selon les usages et dispositions antérieurement applicables de 1 à 7 jours non travaillés pour une année de travail complète selon les personnes concernées. Ils sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. ArcelorMittal Maizières Research SA - Etablissement de Maizières-les-Metz Les congés payés conventionnels d’ancienneté au-delà des 5 semaines de congés légaux sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. Hommes et Emplois (H&E) - Etablissement de Rombas Les congés payés conventionnels au-delà des 5 semaines de congés légaux ainsi que la Fête Patronale sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. Ces congés pouvaient représenter : congés conventionnels d’ancienneté de 0 à 4 jours non travaillés, congés conventionnels hiérarchiques de 0 à 2 jours non travaillés, fête patronale 1 jour non travaillé. ArcelorMittal Logistics France - Etablissements de Dunkerque et Fos Les congés payés conventionnels d’ancienneté, au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, représentent dans cet établissement de 0 à 3 jours non travaillés pour une année de travail complète selon les personnes 71 concernées. Ils sont consolidés à 7 jours par an conformément à l’article 26 « les jours consolidés dans le cadre de l’annualisation » du titre 1 chapitre 4 du présent accord. Les congés payés conventionnels d’ancienneté cités ci-dessus sont issus de la Convention Collective des Industries Métallurgiques et connexes de la Région Parisienne pour les ETAM et de la Convention Collective Nationale des ingénieurs et cadres. Annexe 5 Calendriers indicatifs des années civiles couvertes par le présent accord pour chaque régime de travail Régime 207 Jours Rég. Jour Hr/an Jours travaillés / an DJ NB J Année Repos hebdo Fériés CP JCONSO JRTT 2014 1603 207 7,74 365 104 10 25 7 12 2015 1603 207 7,74 365 104 9 25 7 13 2016 1603 207 7,74 366 105 8 25 7 14 72 TOTAL REPOS 158 158 159 Rég. 1X8 - 2X8 Hr/an Jours travaillés / an DJ NB J Année Repos hebdo Fériés CP JCONSO JRTT 2014 1603 201 8,00 365 104 10 25 7 18 2015 1603 201 8,00 365 104 9 25 7 19 2016 1603 201 8,00 366 105 8 25 7 20 TOTAL REPOS 164 164 165 Rég. 3X8 Hr/an Jours travaillés/ an DJ NB J Année Repos hebdo Fériés CP JCONSO JRTT 2014 1597 200 8 365 104 10 25 7 19 2015 1597 200 8,00 365 104 9 25 7 20 2016 1597 200 8,00 366 105 8 25 7 21 TOTAL REPOS 165 165 166 Régime 1 équipe et 2 équipes Régime 3 équipes 73 Régime 4 équipes Rég. 4X8 Hr/an Jours travaillés/ an DJ NB J Année Repos hebdo Repos Cycles Fériés CP JCONSO JRTT 2014 1575 197 8,00 365 0 131 0 25 7 5 2015 1575 197 8,00 365 0 131 0 25 7 5 2016 1575 197 8,00 366 0 131 0 25 7 6 TOTAL REPOS 168 168 169 74 Régime feux continus Rég 5X8 Hr/an Jours travaillés/ an DJ NB J Année Repos Hebdo Repos Cycles Fériés CP JCONSO JRTT 2014 1503 188 8,00 365 0 145 0 25 7 0 2015 1503 188 8,00 365 0 145 0 25 7 0 2016 1503 188 8,00 366 0 146 0 25 7 0 TOTAL REPOS 177 177 178 75 Cadres en forfait 213 jours Cadres en forfait annuel en jours Hr/an Jours travaillés/ an DJ NB J Année Repos hebdo Fériés CP JCONSO JRTT 2014 2015 2016 213 213 213 365 104 10 25 7 6 365 104 9 25 7 7 366 105 8 25 7 8 152 152 153 Cadres en forfait annuel en heures Hr/an Jours travaillés/ an DJ NB J Année Repos hebdo Fériés CP JCONSO JRTT 2014 1694 210 8,07 365 104 10 25 7 9 2015 1694 210 8,07 365 104 9 25 7 10 2016 1694 210 8,07 366 105 8 25 7 11 TOTAL REPOS 155 155 156 TOTAL REPOS Cadres en forfait annuel en heures 76 ANNEXE 6 EXEMPLE DE CALCUL DES ALEAS DE CARRIERE Exemple pour une différence de rémunération de 100 € Ancienneté Nombre de mois Montant global dans le de compensation de versement régime (€) Durée de versement (années) (mois) (mois) 5 5 x 2,4 = 12 12 x 100 = 1 200€ 2 x 12 = 24 mois 10 10 x 2,4 = 24 24 x 100 = 2 400€ 2 x 24 = 48 mois 15 15 x 2,4 = 36 36 x 100 = 3 600€ 2 x 36 = 72 mois 20 20 x 2,4 = 48 48 x 100 = 4 800€ 2 x 48 = 96 mois Un salarié avec 10 ans d’ancienneté touchera une compensation pendant 50 mois dans les conditions suivantes : • 2 premiers mois : 100 € ère • 1 année : 80€/mois • 2ème année : 60€/mois • 3ème année : 40€/mois • 4ème année : 20€/ mois 77 ANNEXE 7 Classement des communes par zones géographiques applicables à certaines aides au logement (Arrêté du 29 avril 2009) Zone A 01-Ain Cessy, Challex, Chevry, Collonges, Crozet, Divonne-les-Bains, Echenevex, Farges, Ferney-Voltaire, Gex, Grilly, Léaz, Ornex, Péron, Pougny, Prévessin-Moëns, SaintGenis-Pouilly, Saint-Jean-de-Gonville, Sauverny, Ségny, Sergy, Thoiry, Versonnex, Vesancy. 06-Alpes-Maritimes Antibes, Aspremont, Auribeau-sur-Siagne, Le Bar-sur-Loup, Beaulieu-sur-Mer, Beausoleil, Bendejun, Berre-les-Alpes, Biot, Le Broc, Cabris, Cagnes-sur-Mer, Cannes, Le Cannet, Cantaron, Cap-d'Ail, Carros, Castagniers, Castellar, Castillon, Caussols, Châteauneuf-Grasse, Châteauneuf-Villevieille, Coaraze, La Colle-sur-Loup, Colomars, Contes, Courmes, Drap, Duranus, Eze, Falicon, Gattières, La Gaude, Gorbio, Gourdon, Grasse, Levens, Mandelieu-la-Napoule, Menton, Mouans-Sartoux, Mougins, Moulinet, Nice, Opio, Pégomas, Peille, Peillon, Peymeinade, Roquebrune-Cap-Martin, Roquefort-les-Pins, La Roquette-sur-Siagne, La Roquette-sur-Var, Le Rouret, SainteAgnès, Saint-André-de-la-Roche, Saint-Blaise, Saint-Jean-Cap-Ferrat, Saint-Jeannet, Saint-Laurent-du-Var, Saint-Martin-du-Var, Saint-Paul, Sospel, Spéracèdes, Théoulesur-Mer, Le Tignet, Tourrette-Levens, Tourrettes-sur-Loup, La Trinité, La Turbie, Valbonne, Vallauris, Vence, Villefranche-sur-Mer, Villeneuve-Loubet. 74-Haute-Savoie Allonzier-la-Caille, Ambilly, Andilly, Annemasse, Arbusigny, Archamps, Arthaz-PontNotre-Dame, Beaumont, Bonne, Bossey, Cercier, Cernex, Chênex, Chevrier, Collongessous-Salève, Contamine-sur-Arve, Copponex, Cranves-Sales, Cruseilles, Cuvat, Dingyen-Vuache, Etrembières, Feigères, Fillinges, Gaillard, Jonzier-Epagny, Juvigny, Loisin, Lucinges, Machilly, Marcellaz, Menthonnex-en-Bornes, Monnetier-Mornex, La Muraz, Nangy, Neydens, Pers-Jussy, Présilly, Reignier, Saint-Blaise, Saint-Cergues, Saint-Julien-en-Genevois, Le Sappey, Savigny, Scientrier, Valleiry, Veigy-Foncenex, Vers, Vétraz-Monthoux, Ville-la-Grand, Villy-le-Bouveret, Villy-le-Pelloux, Viry, Vovray-en-Bornes, Vulbens. 75-Paris Paris. 77-Seine-et-Marne Bailly-Romainvilliers, Boissettes, Boissise-la-Bertrand, Boissise-le-Roi, Brou-surChantereine, Bussy-Saint-Georges, Bussy-Saint-Martin, Carnetin, Cesson, Chalifert, Champs-sur-Marne, Chanteloup-en-Brie, Chelles, Chessy, Collégien, Combs-la-Ville, Conches-sur-Gondoire, Coupvray, Courtry, Croissy-Beaubourg, Dammarie-les-Lys, Dampmart, Emerainville, Ferrières-en-Brie, Gouvernes, Guermantes, Jossigny, Lagnysur-Marne, Lésigny, Lieusaint, Livry-sur-Seine, Lognes, Magny-le-Hongre, Le Mée-surSeine, Melun, Mitry-Mory, Moissy-Cramayel, Montévrain, Nandy, Noisiel, Pomponne, Pontault-Combault, Pringy, Réau, La Rochette, Roissy-en-Brie, Rubelles, SaintFargeau-Ponthierry, Saint-Thibault-des-Vignes, Savigny-le-Temple, Seine-Port, Serris, Servon, Thorigny-sur-Marne, Torcy, Vaires-sur-Marne, Vaux-le-Pénil, VertSaint-Denis, Villeparisis. 78-Yvelines Achères, Aigremont, Andrésy, Bazoches-sur-Guyonne, Bois-d'Arcy, Bougival, Buc, Buchelay, Carrières-sous-Poissy, Carrières-sur-Seine, La Celle-Saint-Cloud, Chambourcy, Chanteloup-les-Vignes, Chapet, Châteaufort, Chatou, Le Chesnay, Chevreuse, Les Clayes-sous-Bois, Coignières, Conflans-Sainte-Honorine, Croissy-surSeine, Elancourt, L'Etang-la-Ville, Evecquemont, Follainville-Dennemont, Fontenayle-Fleury, Fourqueux, Gaillon-sur-Montcient, Gargenville, Guyancourt, Hardricourt, Houilles, Issou, Jouars-Pontchartrain, Jouy-en-Josas, Juziers, Limay, Les Loges-enJosas, Louveciennes, Magnanville, Magny-les-Hameaux, Maisons-Laffitte, Mantes-laJolie, Mantes-la-Ville, Mareil-Marly, Marly-le-Roi, Maurecourt, Maurepas, Médan, Le Mesnil-le-Roi, Le Mesnil-Saint-Denis, Meulan, Mézy-sur-Seine, Montesson, Montignyle-Bretonneux, Les Mureaux, Neauphle-le-Château, Neauphle-le-Vieux, Orgeval, Le Pecq, Plaisir, Poissy, Porcheville, Le Port-Marly, Rocquencourt, Saint-Cyr-l'Ecole, Saint-Germain-de-la-Grange, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Rémy-lès-Chevreuse, SaintRémy-l'Honoré, Sartrouville, Toussus-le-Noble, Trappes, Le Tremblay-sur-Mauldre, Triel-sur-Seine, Vaux-sur-Seine, Vélizy-Villacoublay, Verneuil-sur-Seine, 78 Vernouillet, La Verrière, Versailles, Le Vésinet, Villennes-sur-Seine, Villepreux, Villiers-Saint-Fréderic, Viroflay, Voisins-le-Bretonneux. 83-Var Bormes-les-Mimosas, Cavalaire-sur-Mer, Cogolin, La Croix-Valmer, Fréjus, La GardeFreinet, Gassin, Grimaud, Hyères, Le Lavandou, La Londe-les-Maures, La Môle, Plande-la-Tour, Puget-sur-Argens, Ramatuelle, Roquebrune-sur-Argens, Sainte-Maxime, Saint-Raphaël, Saint-Tropez, Rayol-Canadel-sur-Mer. 79 91-Essonne Arpajon, Athis-Mons, Ballainvilliers, Bièvres, Boissy-sous-Saint-Yon, Bondoufle, Boussy-Saint-Antoine, Brétigny-sur-Orge, Breuillet, Breux-Jouy, Brunoy, Bruyères-leChâtel, Bures-sur-Yvette, Champlan, Chilly-Mazarin, Corbeil-Essonnes, Le CoudrayMontceaux, Courcouronnes, Crosne, Draveil, Egly, Epinay-sous-Sénart, Epinay-surOrge, Etiolles, Evry, Fleury-Mérogis, Fontenay-le-Vicomte, Gif-sur-Yvette, Gometzle-Châtel, Grigny, Igny, Juvisy-sur-Orge, Leuville-sur-Orge, Linas, Lisses, Longjumeau, Longpont-sur-Orge, Marcoussis, Massy, Mennecy, Montgeron, Montlhéry, Morangis, Morsang-sur-Orge, Morsang-sur-Seine, La Norville, Nozay, Ollainville, Ormoy, Orsay, Palaiseau, Paray-Vieille-Poste, Le Plessis-Pâté, Quincy-sous-Sénart, Ris-Orangis, Saclay, Saint-Aubin, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Germain-lèsArpajon, Saint-Germain-lès-Corbeil, Saint-Michel-sur-Orge, Saint-Pierre-du-Perray, Saintry-sur-Seine, Saint-Yon, Saulx-les-Chartreux, Savigny-sur-Orge, Soisy-surSeine, Tigery, Varennes-Jarcy, Vauhallan, Verrières-le-Buisson, Vigneux-sur-Seine, Villabé, Villebon-sur-Yvette, La Ville-du-Bois, Villejust, Villemoisson-sur-Orge, Villiers-le-Bâcle, Villiers-sur-Orge, Viry-Châtillon, Wissous, Yerres, Les Ulis. 92-Hauts-de-Seine Antony, Asnières-sur-Seine, Bagneux, Bois-Colombes, Boulogne-Billancourt, Bourg-laReine, Châtenay-Malabry, Châtillon, Chaville, Clamart, Clichy, Colombes, Courbevoie, Fontenay-aux-Roses, Garches, La Garenne-Colombes, Gennevilliers, Issy-lesMoulineaux, Levallois-Perret, Malakoff, Marnes-la-Coquette, Meudon, Montrouge, Nanterre, Neuilly-sur-Seine, Le Plessis-Robinson, Puteaux, Rueil-Malmaison, SaintCloud, Sceaux, Sèvres, Suresnes, Vanves, Vaucresson, Ville-d'Avray, Villeneuve-laGarenne. 93-Seine-Saint-Denis Aubervilliers, Aulnay-sous-Bois, Bagnolet, Le Blanc-Mesnil, Bobigny, Bondy, Le Bourget, Clichy-sous-Bois, Coubron, La Courneuve, Drancy, Dugny, Epinay-sur-Seine, Gagny, Gournay-sur-Marne, L'Ile-Saint-Denis, Les Lilas, Livry-Gargan, Montfermeil, Montreuil, Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand, Noisy-le-Sec, Pantin, Les Pavillons-sous-Bois, Pierrefitte-sur-Seine, Le Pré-Saint-Gervais, Le Raincy, Romainville, Rosny-sous-Bois, Saint-Denis, Saint-Ouen, Sevran, Stains, Tremblay-en-France, Vaujours, Villemomble, Villepinte, Villetaneuse. 94-Val-de-Marne Ablon-sur-Seine, Alfortville, Arcueil, Boissy-Saint-Léger, Bonneuil-sur-Marne, Brysur-Marne, Cachan, Champigny-sur-Marne, Charenton-le-Pont, Chennevières-sur-Marne, Chevilly-Larue, Choisy-le-Roi, Créteil, Fontenay-sous-Bois, Fresnes, Gentilly, L'Hay-les-Roses, Ivry-sur-Seine, Joinville-le-Pont, Le Kremlin-Bicêtre, LimeilBrévannes, Maisons-Alfort, Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Nogent-sur-Marne, Noiseau, Orly, Ormesson-sur-Marne, Périgny, Le Perreux-sur-Marne, Le PlessisTrévise, La Queue-en-Brie, Rungis, Saint-Mandé, Saint-Maur-des-Fossés, SaintMaurice, Santeny, Sucy-en-Brie, Thiais, Valenton, Villecresnes, Villejuif, Villeneuve-le-Roi, Villeneuve-Saint-Georges, Villiers-sur-Marne, Vincennes, Vitrysur-Seine. 95-Val-d'Oise Andilly, Argenteuil, Arnouville-lès-Gonesse, Auvers-sur-Oise, Beauchamp, Bessancourt, Bezons, Boisemont, Bonneuil-en-France, Bouffémont, Butry-sur-Oise, Cergy, Champagne-sur-Oise, Cormeilles-en-Parisis, Courdimanche, Deuil-la-Barre, Domont, Eaubonne, Ecouen, Enghien-les-Bains, Eragny, Ermont, Ezanville, Franconville, Frépillon, La Frette-sur-Seine, Garges-lès-Gonesse, Gonesse, Groslay, Herblay, L'Isle-Adam, Jouy-le-Moutier, Margency, Menucourt, Mériel, Méry-sur-Oise, Montigny-lès-Cormeilles, Montlignon, Montmagny, Montmorency, Nesles-la-Vallée, Neuville-sur-Oise, Osny, Parmain, Pierrelaye, Piscop, Le Plessis-Bouchard, Pontoise, Puiseux-Pontoise, Roissy-en-France, Saint-Brice-sous-Forêt, Saint-Gratien, SaintLeu-la-Forêt, Saint-Ouen-l'Aumône, Saint-Prix, Sannois, Sarcelles, Soisy-sousMontmorency, Taverny, Valmondois, Vauréal, Villiers-Adam, Villiers-le-Bel. Zone B1 01-Ain Beynost, La Boisse, Dagneux, Massieux, Miribel, Misérieux, Montluel, Neyron, Parcieux, Reyrieux, Saint-Bernard, Saint-Didier-de-Formans, Sainte-Euphémie, SaintMaurice-de-Beynost, Toussieux, Trévoux. 06-Alpes-Maritimes Bézaudun-les-Alpes, Blausasc, Bonson, Bouyon, Coursegoules, L'Escarène, Gilette, Lucéram, Saint-Cézaire-sur-Siagne, Saint-Vallier-de-Thiey, Touët-de-l'Escarène. 13-Bouches-du-Rhône Aix-en-Provence, Allauch, Aubagne, Auriol, Barbentane, Beaurecueil, Belcodène, Berre-l'Etang, Bouc-Bel-Air, La Bouilladisse, Cabriès, Cadolive, Carry-le-Rouet, 80 Cassis, Ceyreste, Châteauneuf-le-Rouge, Châteauneuf-les-Martigues, Châteaurenard, La Ciotat, Cuges-les-Pins, La Destrousse, Eguilles, Ensuès-la-Redonne, Eyragues, La Fare-les-Oliviers, Fuveau, Gardanne, Gémenos, Gignac-la-Nerthe, Gréasque, Marignane, Marseille, Martigues, Meyreuil, Mimet, La Penne-sur-Huveaune, Les Pennes-Mirabeau, Peypin, Plan-de-Cuques, Port-de-Bouc, Rognac, Rognes, Rognonas, Roquefort-laBédoule, Roquevaire, Rousset, Le Rove, Saint-Cannat, Saint-Marc-Jaumegarde, SaintSavournin, Saint-Victoret, Sausset-les-Pins, Septèmes-les-Vallons, SimianeCollongue, Le Tholonet, Vauvenargues, Velaux, Venelles, Ventabren, Vitrolles, Coudoux, Carnoux-en-Provence. 17-Charente-Maritime Ile-d'Aix, Angoulins, Ars-en-Ré, Aytré, Le Bois-Plage-en-Ré, Le Château-d'Oléron, Châtelaillon-Plage, La Couarde-sur-Mer, Dolus-d'Oléron, La Flotte, Fouras, L'Houmeau, Lagord, Loix, Nieul-sur-Mer, Périgny, Les Portes-en-Ré, Puilboreau, Rivedoux-Plage, La Rochelle, Saint-Clément-des-Baleines, Saint-Denis-d'Oléron, Saint-Georges-d'Oléron, Sainte-Marie-de-Ré, Saint-Martin-de-Ré, Saint-Pierred'Oléron, Saint-Trojan-les-Bains, Yves, Le Grand-Village-Plage, La Brée-les-Bains. 2A-Corse-du-Sud L'ensemble des communes du département. 2B-Haute-Corse L'ensemble des communes du département. 22-Côtes-d'Armor Ile-de-Bréhat. 29-Finistère Ile-de-Batz, Ile-de-Sein, Ile-Molène, Ouessant. 30-Gard Les Angles, Aramon, Pujaut, Saze, Villeneuve-lès-Avignon. 31-Haute-Garonne Aucamville, Aussonne, Auzeville-Tolosane, Auzielle, Balma, Beaupuy, Beauzelle, Belberaud, Blagnac, Brax, Bruguières, Castanet-Tolosan, Castelginest, Castelmaurou, Cépet, Colomiers, Cornebarrieu, Cugnaux, Daux, Deyme, Eaunes, Escalquens, Fenouillet, Fonbeauzard, Frouzins, Gagnac-sur-Garonne, Gratentour, Labarthe-surLèze, Labastide-Saint-Sernin, Labège, Lacroix-Falgarde, Lapeyrouse-Fossat, Launaguet, Léguevin, Lespinasse, Mervilla, Mondonville, Montberon, Montrabé, Muret, Péchabou, Pechbonnieu, Pechbusque, Pibrac, Pin-Balma, Pinsaguel, Pins-Justaret, Plaisance-du-Touch, Pompertuzat, Portet-sur-Garonne, Quint-Fonsegrives, RamonvilleSaint-Agne, Roques, Roquettes, Rouffiac-Tolosan, Saint-Alban, Saint-Geniès-Bellevue, Saint-Jean, Saint-Jory, Saint-Loup-Cammas, Saint-Orens-de-Gameville, Saint-Sauveur, La Salvetat-Saint-Gilles, Saubens, Seilh, Seysses, Toulouse, Tournefeuille, L'Union, Vieille-Toulouse, Vigoulet-Auzil, Villate, Villeneuve-Tolosane. 33-Gironde Ambarès-et-Lagrave, Ambès, Artigues-près-Bordeaux, Arveyres, Bassens, Bègles, Blanquefort, Bonnetan, Bordeaux, Bouliac, Le Bouscat, Bruges, Cadaujac, Camblaneset-Meynac, Canéjan, Carbon-Blanc, Carignan-de-Bordeaux, Cénac, Cenon, Cestas, Eysines, Fargues-Saint-Hilaire, Floirac, Gradignan, Le Haillan, Izon, Latresne, Léognan, Lignan-de-Bordeaux, Lormont, Martignas-sur-Jalle, Mérignac, Montussan, Parempuyre, Pessac, Le Pian-Médoc, Pompignac, Quinsac, Saint-Aubin-de-Médoc, SainteEulalie, Saint-Jean-d'Illac, Saint-Loubès, Saint-Louis-de-Montferrand, Saint-Médarden-Jalles, Saint-Sulpice-et-Cameyrac, Saint-Vincent-de-Paul, Salleboeuf, Le TaillanMédoc, Talence, Tresses, Vayres, Villenave-d'Ornon, Yvrac. 34-Hérault Agde, Castelnau-le-Lez, Clapiers, Le Crès, Frontignan, Grabels, Jacou, Juvignac, Lattes, Montferrier-sur-Lez, Montpellier, Palavas-les-Flots, Pérols, Saint-Clémentde-Rivière, Saint-Jean-de-Védas, Sète, Vendargues, La Grande-Motte. 35-Ille-et-Vilaine Acigné, Betton, Bourgbarré, Brécé, Bruz, Cesson-Sévigné, Chantepie, La Chapelle-desFougeretz, La Chapelle-Thouarault, Chartres-de-Bretagne, Chavagne, Chevaigné, Cintré, Clayes, Corps-Nuds, Dinard, Gévezé, L'Hermitage, Montgermont, Mordelles, Nouvoitou, Noyal-Châtillon-sur-Seiche, Noyal-sur-Vilaine, Orgères, Pacé, Parthenayde-Bretagne, Rennes, Le Rheu, Saint-Armel, Saint-Erblon, Saint-Gilles, SaintGrégoire, Saint-Jacques-de-la-Lande, Saint-Malo, Saint-Sulpice-la-Forêt, ThorignéFouillard, Le Verger, Vern-sur-Seiche, Vezin-le-Coquet, Pont-Péan. 37-Indre-et-Loire Ballan-Miré, Chambray-lès-Tours, Fondettes, Joué-lès-Tours, Larçay, Luynes, La 81 Membrolle-sur-Choisille, Mettray, Montbazon, Montlouis-sur-Loire, Noizay, NotreDame-d'Oé, Parçay-Meslay, La Riche, Rochecorbon, Saint-Avertin, Saint-Cyr-sur-Loire, Saint-Etienne-de-Chigny, Saint-Genouph, Saint-Pierre-des-Corps, Tours, Veigné, Vernou-sur-Brenne, La Ville-aux-Dames, Vouvray. 82 38-Isère Bernin, Biviers, Bresson, Le Champ-près-Froges, Chasse-sur-Rhône, Claix, Corenc, Crolles, Domène, Echirolles, Eybens, Fontaine, Fontanil-Cornillon, Froges, Gières, Grenoble, Meylan, Montbonnot-Saint-Martin, Murianette, Noyarey, La Pierre, Poisat, Le Pont-de-Claix, Saint-Egrève, Saint-Ismier, Saint-Martin-d'Hères, Saint-Martin-leVinoux, Saint-Nazaire-les-Eymes, Sassenage, Seyssinet-Pariset, Seyssins, La Tronche, Varces-Allières-et-Risset, Le Versoud, Veurey-Voroize, Villard-Bonnot, Voreppe. 40-Landes Capbreton, Labenne, Ondres, Soorts-Hossegor, Tarnos. 44-Loire-Atlantique Basse-Goulaine, Bouaye, Bouguenais, Brains, Carquefou, La Chapelle-sur-Erdre, Couëron, Le Croisic, La Baule-Escoublac, Haute-Goulaine, Indre, Mauves-sur-Loire, Mesquer, La Montagne, Nantes, Orvault, Le Pellerin, Piriac-sur-Mer, Pornichet, Rezé, Saint-Aignan-Grandlieu, Saint-Herblain, Saint-Jean-de-Boiseau, Saint-Léger-lesVignes, Sainte-Luce-sur-Loire, Saint-Sébastien-sur-Loire, Sautron, Les Sorinières, Thouaré-sur-Loire, La Turballe, Vertou. 45-Loiret Boigny-sur-Bionne, Bou, Chanteau, La Chapelle-Saint-Mesmin, Chécy, Combleux, Fleuryles-Aubrais, Ingré, Mardié, Marigny-les-Usages, Olivet, Orléans, Ormes, Saint-Cyren-Val, Saint-Denis-en-Val, Saint-Hilaire-Saint-Mesmin, Saint-Jean-de-Braye, SaintJean-de-la-Ruelle, Saint-Jean-le-Blanc, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin, Saran, Semoy. 54-Meurthe-et-Moselle Art-sur-Meurthe, Bainville-sur-Madon, Bouxières-aux-Dames, Chaligny, Champigneulles, Chavigny, Custines, Dombasle-sur-Meurthe, Dommartemont, Essey-lès-Nancy, Eulmont, Fléville-devant-Nancy, Frouard, Heillecourt, Houdemont, Jarville-la-Malgrange, Laneuveville-devant-Nancy, Laxou, Lay-Saint-Christophe, Liverdun, Ludres, Malleloy, Malzéville, Maxéville, Messein, Nancy, Neuves-Maisons, Pompey, Pont-Saint-Vincent, Pulnoy, Rosières-aux-Salines, Saint-Max, Saint-Nicolas-de-Port, Saulxures-lès-Nancy, Seichamps, Tomblaine, Vandoeuvre-lès-Nancy, Varangéville, Villers-lès-Nancy. 56-Morbihan Bangor, Groix, Hoedic, Ile-d'Houat, Ile-aux-Moines, Ile-d'Arz, Locmaria, Le Palais, Sauzon. 57-Moselle Ars-sur-Moselle, Augny, Le Ban-Saint-Martin, Châtel-Saint-Germain, Jussy, Lessy, Longeville-lès-Metz, Marly, Metz, Montigny-lès-Metz, Moulins-lès-Metz, Plappeville, Rozérieulles, Saint-Julien-lès-Metz, Sainte-Ruffine, Scy-Chazelles, Vantoux, Vaux, Woippy. 59-Nord Villeneuve-d'Ascq, Anstaing, Baisieux, Bondues, Bourghelles, Bousbecque, Bouvines, Capinghem, Chéreng, Comines, Croix, Cysoing, Douai, Emmerin, Englos, FachesThumesnil, Forest-sur-Marque, Gruson, Hallennes-lez-Haubourdin, Halluin, Haubourdin, Hem, Lambersart, Lannoy, Leers, Lesquin, Lezennes, Lille, Linselles, Lompret, Loos, Louvil, Lys-lez-Lannoy, La Madeleine, Marcq-en-Baroeul, Marquette-lez-Lille, Monsen-Barœul, Mouvaux, Neuville-en-Ferrain, Noyelles-lès-Seclin, Pérenchies, Prémesques, Ronchin, Roncq, Roubaix, Sailly-lez-Lannoy, Sainghin-en-Mélantois, Saint-André-lez-Lille, Santes, Seclin, Sequedin, Templemars, Toufflers, Tourcoing, Tressin, Valenciennes, Vendeville, Verlinghem, Wambrechies, Wasquehal, Wattignies, Wattrelos, Wervicq-Sud, Willems. 60-Oise Avilly-Saint-Léonard, Boran-sur-Oise, Chantilly, Coye-la-Forêt, Gouvieux, Lamorlaye, Vineuil-Saint-Firmin. 62-Pas-de-Calais Béthune, Lens. 63-Puy-de-Dôme Chamalières, Clermont-Ferrand. 64-Pyrénées-Atlantiques Ahetze, Anglet, Arbonne, Arcangues, Bassussarry, Bayonne, Biarritz, Bidart, Boucau, Ciboure, Guéthary, Hendaye, Lahonce, Mouguerre, Saint-Jean-de-Luz, Saint-Pierred'Irube, Urcuit, Urrugne, Villefranque. 67-Bas-Rhin Achenheim, Bischheim, Bischoffsheim, Eckbolsheim, Eckwersheim, Entzheim, Eschau, 83 Fegersheim, Geispolsheim, Hoenheim, Holtzheim, Illkirch-Graffenstaden, Lampertheim, Lingolsheim, Lipsheim, Mittelhausbergen, Molsheim, Mundolsheim, Niederhausbergen, Oberhausbergen, Obernai, Oberschaeffolsheim, Ostwald, Plobsheim, Reichstett, Schiltigheim, Souffelweyersheim, Strasbourg, Vendenheim, La Wantzenau, Wolfisheim. 69-Rhône Albigny-sur-Saône, Ambérieux, Anse, Belmont-d'Azergues, Brignais, Brindas, Bron, Cailloux-sur-Fontaines, Caluire-et-Cuire, Champagne-au-Mont-d'Or, Chaponost, Charbonnières-les-Bains, Charly, Chasselay, Chazay-d'Azergues, Les Chères, Civrieuxd'Azergues, Collonges-au-Mont-d'Or, Couzon-au-Mont-d'Or, Craponne, Curis-au-Montd'Or, Dardilly, Dommartin, Ecully, Fleurieu-sur-Saône, Fontaines-Saint-Martin, Fontaines-sur-Saône, Francheville, Givors, Grézieu-la-Varenne, Grigny, Irigny, Lentilly, Limonest, Lissieu, Loire-sur-Rhône, Lozanne, Lucenay, Lyon, Marcillyd'Azergues, Marcy-l'Etoile, Millery, Montagny, Morancé, La Mulatière, Neuville-surSaône, Orliénas, Oullins, Pierre-Bénite, Poleymieux-au-Mont-d'Or, Quincieux, Rochetaillée-sur-Saône, Sainte-Consorce, Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, Saint-Didier-auMont-d'Or, Saint-Fons, Sainte-Foy-lès-Lyon, Saint-Genis-Laval, Saint-Genis-lesOllières, Saint-Germain-au-Mont-d'Or, Saint-Jean-des-Vignes, Saint-Romain-au-Montd'Or, Tassin-la-Demi-Lune, La Tour-de-Salvagny, Vaugneray, Vaulx-en-Velin, Vénissieux, Vernaison, Villeurbanne, Vourles, Chassieu, Communay, Corbas, DécinesCharpieu, Feyzin, Genas, Genay, Jonage, Meyzieu, Mions, Montanay, Rillieux-la-Pape, Saint-Priest, Saint-Symphorien-d'Ozon, Sathonay-Camp, Sathonay-Village, Sérézin-duRhône, Solaize, Ternay. 73-Savoie Aix-les-Bains, Barberaz, Barby, Bassens, Le Bourget-du-Lac, Brison-Saint-Innocent, Challes-les-Eaux, Chambéry, Chignin, Cognin, Drumettaz-Clarafond, Grésy-sur-Aix, Jacob-Bellecombette, Méry, Montagnole, La Motte-Servolex, Mouxy, Pugny-Chatenod, La Ravoire, Saint-Alban-Leysse, Saint-Baldoph, Saint-Jean-d'Arvey, Saint-JeoirePrieuré, Sonnaz, Tresserve, Vimines, Viviers-du-Lac, Voglans. 74-Haute-Savoie Allinges, Annecy, Annecy-le-Vieux, Anthy-sur-Léman, Argonay, Ayse, Bonneville, Châtillon-sur-Cluses, Chavanod, Chens-sur-Léman, Cluses, Cran-Gevrier, Douvaine, Duingt, Epagny, Evian-les-Bains, Excenevex, Lovagny, Lugrin, Margencel, Marignier, Marin, Marnaz, Massongy, Maxilly-sur-Léman, Messery, Metz-Tessy, Meythet, Montagnyles-Lanches, Nernier, Neuvecelle, Poisy, Pringy, Publier, Quintal, Saint-Jorioz, Saint-Pierre-en-Faucigny, Sciez, Scionzier, Sévrier, Seynod, Thyez, Thonon-lesBains, Yvoire. 76-Seine-Maritime Amfreville-la-Mi-Voie, Belbeuf, Bihorel, Bonsecours, Bois-Guillaume, Boos, Canteleu, Darnétal, Déville-lès-Rouen, Fontaine-sous-Préaux, Grand-Couronne, Le GrandQuevilly, Le Houlme, Malaunay, Maromme, Le Mesnil-Esnard, Mont-Saint-Aignan, Montville, Moulineaux, Notre-Dame-de-Bondeville, Franqueville-Saint-Pierre, Oissel, Petit-Couronne, Le Petit-Quevilly, Rouen, Saint-Etienne-du-Rouvray, Saint-Léger-duBourg-Denis, Saint-Martin-du-Vivier, Sotteville-lès-Rouen, Val-de-la-Haye, La Vaupalière. 77-Seine-et-Marne Achères-la-Forêt, Annet-sur-Marne, Arbonne-la-Forêt, Avon, Barbizon, Barcy, Bois-leRoi, Bouleurs, Bourron-Marlotte, Boutigny, Brie-Comte-Robert, Cély, Chailly-enBière, Chambry, Champagne-sur-Seine, Charmentray, Charny, Chartrettes, Le Châteleten-Brie, Chevry-Cossigny, Claye-Souilly, Compans, Condé-Sainte-Libiaire, CouillyPont-aux-Dames, Coulommes, Coutevroult, Crécy-la-Chapelle, Crégy-lès-Meaux, Cuisy, Dammartin-en-Goële, Ecuelles, Esbly, Evry-Grégy-sur-Yerre, Favières, Féricy, Férolles-Attilly, Fleury-en-Bière, Fontainebleau, Fontaine-le-Port, Forfry, Fresnessur-Marne, Fublaines, Gesvres-le-Chapitre, Gressy, Gretz-Armainvilliers, GrisySuisnes, Héricy, Isles-lès-Villenoy, Iverny, Jablines, Juilly, Lesches, LimogesFourches, Longperrier, Maincy, Marchémoret, Marcilly, Mareuil-lès-Meaux, Mauregard, Meaux, Le Mesnil-Amelot, Messy, Montereau-sur-le-Jard, Montgé-en-Goële, Monthyon, Montigny-sur-Loing, Montry, Moret-sur-Loing, Moussy-le-Neuf, Moussy-le-Vieux, Nanteuil-lès-Meaux, Nantouillet, Chauconin-Neufmontiers, Neufmoutiers-en-Brie, Noisy-sur-Ecole, Oissery, Othis, Ozoir-la-Ferrière, Penchard, Perthes, Le Pin, Le Plessis-aux-Bois, Le Plessis-l'Evêque, Poincy, Pontcarré, Précy-sur-Marne, Preslesen-Brie, Quincy-Voisins, Recloses, Rouvres, Saint-Germain-Laxis, Saint-Germain-surEcole, Saint-Germain-sur-Morin, Saint-Mammès, Saint-Mard, Saint-Martin-en-Bière, Saint-Mesmes, Saint-Pathus, Saint-Sauveur-sur-Ecole, Saint-Soupplets, Samois-surSeine, Samoreau, Sivry-Courtry, Thieux, Thomery, Tournan-en-Brie, Trilbardou, Trilport, Ury, Veneux-les-Sablons, Vignely, Villeneuve-le-Comte, Villeneuve-SaintDenis, Villeneuve-sous-Dammartin, Villenoy, Villeroy, Villevaudé, Villiers-en-Bière, Villiers-sur-Morin, Vinantes, Voisenon, Voulangis, Vulaines-sur-Seine. 78-Yvelines 84 Adainville, Les Alluets-le-Roi, Andelu, Arnouville-lès-Mantes, Aubergenville, Auffargis, Auffreville-Brasseuil, Aulnay-sur-Mauldre, Auteuil, Autouillet, Bailly, Bazainville, Bazemont, Béhoust, Beynes, Boinville-en-Mantois, La Boissière-Ecole, Boissy-sans-Avoir, Bonnelles, Bouafle, Bourdonné, Breuil-Bois-Robert, Les Bréviaires, Bullion, La Celle-les-Bordes, Cernay-la-Ville, Chavenay, Choisel, Clairefontaine-en-Yvelines, Condé-sur-Vesgre, Crespières, Dampierre-en-Yvelines, Davron, Ecquevilly, Epône, Les Essarts-le-Roi, La Falaise, Favrieux, Feucherolles, Flexanville, Flins-sur-Seine, Fontenay-Mauvoisin, Galluis, Gambais, Gambaiseuil, Garancières, Gazeran, Goupillières, Goussonville, Grandchamp, Grosrouvre, Guernes, Guerville, Hargeville, La Hauteville, Herbeville, Hermeray, Jouy-Mauvoisin, Jumeauville, Lévis-Saint-Nom, Longvilliers, Marcq, Mareil-le-Guyon, Mareil-surMauldre, Maule, Méré, Les Mesnuls, Mézières-sur-Seine, Millemont, Milon-la-Chapelle, Mittainville, Montainville, Montfort-l'Amaury, Morainvilliers, Nézel, Noisy-le-Roi, Orcemont, Orgerus, Osmoy, Perdreauville, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Ponthévrard, La Queue-les-Yvelines, Raizeux, Rambouillet, Rennemoulin, Rochefort-enYvelines, Rolleboise, Rosny-sur-Seine, Saint-Arnoult-en-Yvelines, Saint-Forget, Saint-Hilarion, Saint-Lambert, Saint-Léger-en-Yvelines, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Martin-la-Garenne, Sainte-Mesme, Saint-Nom-la-Bretèche, Saulx-Marchais, Senlisse, Soindres, Sonchamp, Le Tartre-Gaudran, Tessancourt-sur-Aubette, ThivervalGrignon, Thoiry, Vert, Vicq, Vieille-Eglise-en-Yvelines, Villiers-le-Mahieu. 83-Var Les Adrets-de-l'Estérel, Bagnols-en-Forêt, Bandol, Le Beausset, Belgentier, La Cadière-d'Azur, Le Cannet-des-Maures, Carqueiranne, Le Castellet, Collobrières, La Crau, Cuers, Draguignan, Evenos, La Farlède, La Garde, Les Mayons, Montauroux, Le Muy, Néoules, Ollioules, Pierrefeu-du-Var, Le Pradet, Le Revest-les-Eaux, Rocbaron, Saint-Cyr-sur-Mer, Saint-Zacharie, Sanary-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-lesPlages, Solliès-Pont, Solliès-Toucas, Solliès-Ville, Tanneron, Toulon, Trans-enProvence, La Valette-du-Var, Vidauban, Saint-Mandrier-sur-Mer. 84-Vaucluse Althen-des-Paluds, Aubignan, Avignon, Bédarrides, Carpentras, Caumont-sur-Durance, Entraigues-sur-la-Sorgue, Jonquerettes, Loriol-du-Comtat, Monteux, Morières-lèsAvignon, Pernes-les-Fontaines, Le Pontet, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Sarrians, Sorgues, Vedène. 85-Vendée Barbâtre, Château-d'Olonne, L'Epine, La Guérinière, L'Ile-d'Yeu, Noirmoutier-enl'Ile, Olonne-sur-Mer, Les Sables-d'Olonne. 91-Essonne Angervilliers, Auvernaux, Avrainville, Ballancourt-sur-Essonne, Baulne, Boullay-lesTroux, Bouray-sur-Juine, Boutigny-sur-Essonne, Briis-sous-Forges, Cerny, Chamarande, Champcueil, Chauffour-lès-Etréchy, Cheptainville, Chevannes, Courances, Courdimanche-sur-Essonne, Courson-Monteloup, Dannemois, D'Huison-Longueville, Dourdan, Echarcon, Etréchy, La Ferté-Alais, Fontenay-lès-Briis, Forges-les-Bains, Gometz-la-Ville, Guibeville, Guigneville-sur-Essonne, Itteville, Janville-sur-Juine, Janvry, Lardy, Leudeville, Limours, Maisse, Marolles-en-Hurepoix, Mauchamps, Millyla-Forêt, Moigny-sur-Ecole, Les Molières, Mondeville, Nainville-les-Roches, Oncysur-Ecole, Pecqueuse, Roinville, Saint-Chéron, Saint-Cyr-sous-Dourdan, Saint-Jeande-Beauregard, Saint-Maurice-Montcouronne, Saint-Sulpice-de-Favières, Saint-Vrain, Sermaise, Soisy-sur-Ecole, Souzy-la-Briche, Torfou, Le Val-Saint-Germain, Vaugrigneuse, Vayres-sur-Essonne, Vert-le-Grand, Vert-le-Petit, Videlles, Villeconin. 95-Val-d'Oise Ableiges, Arthies, Asnières-sur-Oise, Attainville, Avernes, Baillet-en-France, Banthelu, Beaumont-sur-Oise, Le Bellay-en-Vexin, Bellefontaine, Belloy-en-France, Bernes-sur-Oise, Béthemont-la-Forêt, Boissy-l'Aillerie, Bouqueval, Brignancourt, Bruyères-sur-Oise, Charmont, Chars, Châtenay-en-France, Chaumontel, Chauvry, Chennevières-lès-Louvres, Cléry-en-Vexin, Commeny, Condécourt, Cormeilles-en-Vexin, Courcelles-sur-Viosne, Ennery, Epiais-lès-Louvres, Epiais-Rhus, Epinay-Champlâtreux, Fontenay-en-Parisis, Fosses, Frémainville, Frémécourt, Gadancourt, Genainville, Génicourt, Goussainville, Gouzangrez, Grisy-les-Plâtres, Guiry-en-Vexin, Hérouville, Hodent, Jagny-sous-Bois, Labbeville, Lassy, Livilliers, Longuesse, Louvres, Luzarches, Maffliers, Magny-en-Vexin, Mareil-en-France, Marines, Marly-la-Ville, Maudétour-en-Vexin, Le Mesnil-Aubry, Moisselles, Montgeroult, Montsoult, Mours, Moussy, Nerville-la-Forêt, Nointel, Noisy-sur-Oise, Nucourt, Le Perchay, Persan, Le Plessis-Gassot, Le Plessis-Luzarches, Presles, Puiseux-en-France, Ronquerolles, Sagy, Saint-Cyr-en-Arthies, Saint-Gervais, Saint-Martin-du-Tertre, Saint-Witz, Santeuil, Seraincourt, Seugy, Survilliers, Théméricourt, Le Thillay, Us, Vallangoujard, Vaudherland, Vémars, Vétheuil, Viarmes, Vienne-en-Arthies, Vigny, Villaines-sous-Bois, Villeron, Villiers-le-Sec, Wy-dit-Joli-Village. 85 971-Guadeloupe L'ensemble des communes du département. 972-Martinique L'ensemble des communes du département. 973-Guyane L'ensemble des communes du département. 974-Réunion L'ensemble des communes du département. Zone B2 01-Ain Ars-sur-Formans, Balan, Beauregard, Béligneux, Bellegarde-sur-Valserine, Bourg-enBresse, Bressolles, Chézery-Forens, Civrieux, Confort, Frans, Jassans-Riottier, Lancrans, Lélex, Meximieux, Mijoux, Mionnay, Niévroz, Péronnas, Pérouges, Pizay, Rancé, Saint-André-de-Corcy, Sainte-Croix, Saint-Denis-lès-Bourg, Saint-Jean-deThurigneux, Saint-Just, Thil, Tramoyes, Viriat. 86 02-Aisne Bézu-le-Guéry, Brumetz, Bussiares, Castres, La Celle-sous-Montmirail, Chézy-enOrxois, Contescourt, Coupru, Courchamps, Coyolles, Crouttes-sur-Marne, Dallon, Dammard, Domptin, Essigny-le-Petit, Fayet, Fieulaine, Fonsommes, Fontaine-NotreDame, Gandelu, Gauchy, Grugies, Harly, Hautevesnes, Homblières, Largny-sur-Automne, Lesdins, Marcy, Marigny-en-Orxois, Mesnil-Saint-Laurent, Monnes, Montigny-l'Allier, Montreuil-aux-Lions, Morcourt, Neuville-Saint-Amand, Omissy, Passy-en-Valois, Pavant, Priez, Remaucourt, Rouvroy, Saint-Gengoulph, Saint-Quentin, Veuilly-laPoterie, Viels-Maisons. 03-Allier Abrest, Bellerive-sur-Allier, Creuzier-le-Neuf, Creuzier-le-Vieux, Cusset, Désertines, Domérat, Hauterive, Lavault-Sainte-Anne, Montluçon, Prémilhat, Quinssaines, Saint-Victor, Saint-Yorre, Serbannes, Le Vernet, Vichy. 04-Alpes-de-Haute-Provence La Brillanne, Corbières, Esparron-de-Verdon, Forcalquier, Gréoux-les-Bains, Mane, Manosque, Les Mées, Oraison, Peyruis, Pierrevert, Saint-Martin-de-Brômes, SainteTulle, Sisteron, Valensole, Villeneuve, Volx. 05-Hautes-Alpes Gap. 06-Alpes-Maritimes Andon, La Bollène-Vésubie, Breil-sur-Roya, Cipières, Conségudes, Escragnolles, Les Ferres, Gréolières, Lantosque, Revest-les-Roches, Roquestéron-Grasse, Toudon, Tourette-du-Château, Utelle. 07-Ardèche Cornas, Guilherand-Granges, Saint-Péray, Soyons. 08-Ardennes Les Ayvelles, Charleville-Mézières, La Francheville, Montcy-Notre-Dame, Prix-lèsMézières, Villers-Semeuse, Warcq. 10-Aube Barberey-Saint-Sulpice, Bréviandes, Buchères, La Chapelle-Saint-Luc, Creney-prèsTroyes, Lavau, Les Noës-près-Troyes, Pont-Sainte-Marie, La Rivière-de-Corps, Rosières-près-Troyes, Saint-André-les-Vergers, Saint-Germain, Saint-Julien-lesVillas, Sainte-Maure, Saint-Parres-aux-Tertres, Sainte-Savine, Troyes. 11-Aude Armissan, Bages, Fleury, Gruissan, Leucate, Narbonne, Port-la-Nouvelle, Peyriac-deMer, Salles-d'Aude, Sigean, Vinassan. 13-Bouches-du-Rhône Arles, La Barben, Cornillon-Confoux, Fos-sur-Mer, Grans, Istres, Jouques, Lambesc, Lançon-Provence, Meyrargues, Miramas, Pélissanne, Peynier, Peyrolles-en-Provence, Port-Saint-Louis-du-Rhône, Puyloubier, Le Puy-Sainte-Réparade, La Roque-d'Anthéron, Saint-Antonin-sur-Bayon, Saint-Chamas, Saint-Estève-Janson, Saintes-Maries-de-laMer, Saint-Martin-de-Crau, Saint-Mitre-les-Remparts, Saint-Paul-lès-Durance, SaintRémy-de-Provence, Salon-de-Provence, Tarascon, Trets. 14-Calvados Ablon, Authie, Baron-sur-Odon, Benerville-sur-Mer, Bénouville, Bernières-sur-Mer, Biéville-Beuville, Blainville-sur-Orne, Blonville-sur-Mer, Bonneville-sur-Touques, Bretteville-sur-Odon, Caen, Cambes-en-Plaine, Canapville, Carpiquet, CollevilleMontgomery, Colombelles, Cormelles-le-Royal, Courseulles-sur-Mer, Cresserons, Cuverville, Deauville, Démouville, Douvres-la-Délivrande, Epron, Equemauville, Eterville, Fleury-sur-Orne, Fontaine-Etoupefour, Giberville, Gonneville-surHonfleur, Hermanville-sur-Mer, Hérouville-Saint-Clair, Honfleur, Ifs, Langrune-surMer, Lion-sur-Mer, Louvigny, Luc-sur-Mer, Mathieu, Mondeville, Ouistreham, Périerssur-le-Dan, Plumetot, La Rivière-Saint-Sauveur, Rots, Saint-Arnoult, Saint-Aubind'Arquenay, Saint-Aubin-sur-Mer, Saint-Contest, Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, Sannerville, Touques, Tourgéville, Trouville-sur-Mer, Verson, Villers-sur-Mer, Villerville, Villons-les-Buissons. 16-Charente Angoulême, La Couronne, Fléac, Gond-Pontouvre, L'Isle-d'Espagnac, Linars, Magnacsur-Touvre, Mornac, Nersac, Puymoyen, Ruelle-sur-Touvre, Saint-Michel, Saint-Yrieixsur-Charente, Soyaux, Touvre, Trois-Palis. 87 17-Charente-Maritime Arces, Arvert, Barzan, Boutenac-Touvent, Breuillet, Brie-sous-Mortagne, Chaillevette, Le Chay, Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet, Cozes, Dompierre-sur-Mer, L'Eguille, Epargnes, Esnandes, Etaules, Floirac, Grézac, La Jarne, Marsilly, Les Mathes, Médis, Meschers-sur-Gironde, Mornac-sur-Seudre, Mortagne-sur-Gironde, Royan, Saint-Augustin, Saint-Georges-de-Didonne, Saint-Palais-sur-Mer, Saint-Rogatien, Saint-Romain-sur-Gironde, Sainte-Soulle, Saint-Sulpice-de-Royan, Saint-Vivien, Saint-Xandre, Salles-sur-Mer, Saujon, Semussac, Talmont-sur-Gironde, La Tremblade, Vaux-sur-Mer. 18-Cher Annoix, Arçay, Berry-Bouy, Bourges, La Chapelle-Saint-Ursin, Fussy, Marmagne, Morthomiers, Plaimpied-Givaudins, Saint-Doulchard, Saint-Germain-du-Puy, Saint-Just, Saint-Michel-de-Volangis, Le Subdray, Trouy. 19-Corrèze Brive-la-Gaillarde, Larche, Malemort-sur-Corrèze, Saint-Pantaléon-de-Larche, Ussac. 21-Côte-d'Or Ahuy, Bressey-sur-Tille, Bretenière, Chenôve, Chevigny-Saint-Sauveur, Crimolois, Daix, Dijon, Fénay, Fontaine-lès-Dijon, Hauteville-lès-Dijon, Longvic, Magny-surTille, Marsannay-la-Côte, Neuilly-lès-Dijon, Ouges, Perrigny-lès-Dijon, Plombièreslès-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire, Sennecey-lès-Dijon, Talant. 22-Côtes-d'Armor Hillion, Kermaria-Sulard, Lancieux, Langueux, Lannion, Louannec, La Méaugon, Penvénan, Perros-Guirec, Plédran, Plérin, Plestin-les-Grèves, Pleumeur-Bodou, Ploubalay, Ploubezre, Ploufragan, Ploulec'h, Ploumilliau, Plouzélambre, Plufur, Pordic, Rospez, Saint-Brieuc, Saint-Donan, Saint-Julien, Saint-Michel-en-Grève, Saint-Quay-Perros, Trébeurden, Trédrez-Locquémeau, Tréduder, Trégastel, Trégueux, Trélévern, Trémel, Tréméloir, Trémuson, Trévou-Tréguignec, Yffiniac. 24-Dordogne Bassillac, Bergerac, Boulazac, Champcevinel, Chancelade, Coulounieix-Chamiers, Cours-de-Pile, Creysse, La Feuillade, Gardonne, Ginestet, La Force, Lamonzie-SaintMartin, Lembras, Marsac-sur-l'Isle, Mouleydier, Notre-Dame-de-Sanilhac, Pazayac, Périgueux, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, Prigonrieux, Saint-Antoine-de-Breuilh, Saint-Germain-et-Mons, Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Nexans, Saint-Pierred'Eyraud, Saint-Sauveur, Trélissac. 25-Doubs Allenjoie, Amagney, Arbouans, Arguel, Audeux, Audincourt, Auxon-Dessous, AuxonDessus, Avanne-Aveney, Badevel, Bart, Bavans, Besançon, Bethoncourt, Beure, Boussières, Braillans, Brognard, Busy, Chalèze, Chalezeule, Champagney, Champoux, Champvans-les-Moulins, Châtillon-le-Duc, Chaucenne, Chaudefontaine, Chemaudin, La Chevillotte, Courcelles-lès-Montbéliard, Dambenois, Dampierre-les-Bois, Dannemariesur-Crète, Dasle, Deluz, Devecey, Ecole-Valentin, Etupes, Exincourt, Fesches-leChâtel, Fontain, Franois, Gennes, Grand-Charmont, Grandfontaine, Le Gratteris, Hérimoncourt, Larnod, Mamirolle, Mandeure, Marchaux, Mathay, Mazerolles-le-Salin, Métabief, Miserey-Salines, Montbéliard, Montfaucon, Montferrand-le-Château, Morre, Nancray, Noironte, Nommay, Novillars, Osselle, Pelousey, Pirey, Pouilley-les-Vignes, Pugey, Rancenay, Roche-lez-Beaupré, Routelle, Sainte-Suzanne, Saône, Seloncourt, Serre-les-Sapins, Sochaux, Taillecourt, Tallenay, Thise, Thoraise, Torpes, VaireArcier, Vaire-le-Petit, Valentigney, Vandoncourt, Vaux-les-Prés, La Vèze, VieuxCharmont, Vorges-les-Pins, Voujeaucourt. 26-Drôme Beauvallon, Bourg-de-Péage, Bourg-lès-Valence, Chatuzange-le-Goubet, Etoile-surRhône, Génissieux, Montélimar, Mours-Saint-Eusèbe, Peyrins, Portes-lès-Valence, Romans-sur-Isère, Valence. 27-Eure Aigleville, Alizay, Amécourt, Angerville-la-Campagne, Arnières-sur-Iton, Authevernes, Aviron, Les Baux-Sainte-Croix, Bazincourt-sur-Epte, Bernouville, Berthenonville, Bézu-la-Forêt, Bézu-Saint-Eloi, Bois-le-Roi, La Boissière, Boncourt, Le Bosc-Roger-en-Roumois, Bosnormand, Le Boulay-Morin, Bourgtheroulde-Infreville, Bretagnolles, Breuilpont, Bueil, Bus-Saint-Rémy, Cahaignes, Cantiers, Caugé, Chaignes, La Chapelle-du-Bois-des-Faulx, Château-sur-Epte, Chauvincourt-Provemont, Cierrey, Civières, Coudray, La Couture-Boussey, Criquebeuf-sur-Seine, Croth, Les Damps, Dampsmesnil, Dangu, Dardez, Doudeauville-en-Vexin, Ecos, Emalleville, Epieds, Etrépagny, Evreux, Ezy-sur-Eure, Farceaux, Fauville, Fontenay, Fourges, Fours-enVexin, Gadencourt, Gamaches-en-Vexin, Garennes-sur-Eure, Gauciel, Gauville-laCampagne, Gisors, Gravigny, Guerny, Guichainville, L'Habit, Hacqueville, Hébécourt, 88 Hécourt, Heudicourt, Huest, Igoville, Irreville, Ivry-la-Bataille, Lignerolles, Longchamps, Mainneville, Le Manoir, Marcilly-sur-Eure, Martagny, Martot, Merey, Le Mesnil-Fuguet, Mesnil-sous-Vienne, Miserey, Mouettes, Mouflaines, MousseauxNeuville, Neaufles-Saint-Martin, Neuilly, La Neuve-Grange, Nojeon-en-Vexin, Normanville, Noyers, Parville, Pîtres, Le Plessis-Grohan, Pont-de-l'Arche, Puchay, Reuilly, Richeville, Sacquenville, Saint-Denis-le-Ferment, Saint-Germain-des-Angles, Saint-Laurent-des-Bois, Saint-Luc, Sainte-Marie-de-Vatimesnil, Saint-Martin-laCampagne, Saint-Ouen-du-Tilleul, Saint-Sébastien-de-Morsent, Saint-Vigor, Sancourt, Sassey, Serez, Suzay, Le Thil, Les Thilliers-en-Vexin, Tourneville, La Trinité, Le Val-David, Les Ventes, Vesly, Le Vieil-Evreux, Villegats, Villers-en-Vexin, Villiers-en-Désœuvre. 28-Eure-et-Loir Abondant, Anet, Ardelu, Aunay-sous-Auneau, Auneau, Bailleau-Armenonville, Barjouville, Barmainville, Baudreville, Berchères-sur-Vesgre, Béville-le-Comte, Bleury, Boncourt, Bouglainval, Le Boullay-Thierry, Boutigny-Prouais, Bréchamps, Broué, Bû, Champagne, Champhol, Champseru, La Chapelle-d'Aunainville, La ChapelleForainvilliers, Charpont, Chartainvilliers, Chartres, Châtenay, Chaudon, La Chaussée-d'Ivry, Le Coudray, Coulombs, Croisilles, Denonville, Droue-sur-Drouette, Ecluzelles, Ecrosnes, Epernon, Faverolles, Gallardon, Garancières-en-Beauce, Gas, Germainville, Gilles, Gommerville, Gouillons, Goussainville, Guainville, Le Gué-deLongroi, Hanches, Havelu, Houx, Intréville, Léthuin, Levainville, Lèves, Levesvillela-Chenard, Lormaye, Louville-la-Chenard, Lucé, Luisant, Maintenon, Mainvilliers, Maisons, Marchezais, Mérouville, Le Mesnil-Simon, Mévoisins, Moinville-la-Jeulin, Mondonville-Saint-Jean, Morainville, Morancez, Néron, Neuvy-en-Beauce, Nogent-leRoi, Oinville-sous-Auneau, Orlu, Ormoy, Ouarville, Ouerre, Oulins, Oysonville, Pierres, Les Pinthières, Roinville, Rouvray-Saint-Denis, Rouvres, Saint-Laurent-laGâtine, Saint-Léger-des-Aubées, Saint-Lubin-de-la-Haye, Saint-Lucien, Saint-Martinde-Nigelles, Saint-Ouen-Marchefroy, Saint-Piat, Saint-Symphorien-le-Château, Sainville, Santeuil, Saussay, Senantes, Serazereux, Serville, Sorel-Moussel, Soulaires, Umpeau, Vierville, Villemeux-sur-Eure, Villiers-le-Morhier, Voise, Yermenonville, Ymeray. 29-Finistère Bénodet, Bohars, Brest, Clohars-Fouesnant, Combrit, Concarneau, Ergué-Gabéric, La Forêt-Fouesnant, Fouesnant, Gouesnach, Gouesnou, Guengat, Guilers, Guilvinec, Guipavas, Ile-Tudy, Loctudy, Loperhet, Penmarch, Pleuven, Plobannalec-Lesconil, Plogonnec, Plomelin, Plomeur, Plonéis, Plougastel-Daoulas, Plouzané, Pluguffan, Pont-l'Abbé, Quimper, Le Relecq-Kerhuon, Saint-Jean-Trolimon, Treffiagat, Trégunc. 30-Gard Alès, Anduze, Aubord, Bagard, Bernis, Boisset-et-Gaujac, Bouillargues, Caissargues, Caveirac, Cendras, Clarensac, Fourques, Garons, Générac, Le Grau-du-Roi, Langlade, Marguerittes, Méjannes-lès-Alès, Milhaud, Nîmes, Poulx, Rousson, Saint-Christol-lèsAlès, Saint-Hilaire-de-Brethmas, Saint-Jean-du-Pin, Saint-Julien-les-Rosiers, SaintMartin-de-Valgalgues, Saint-Privat-des-Vieux, Salindres, Uchaud, Vestric-et-Candiac, Rodilhan. 33-Gironde Andernos-les-Bains, Arcachon, Arès, Aubie-et-Espessas, Audenge, Biganos, Cubzac-lesPonts, Gujan-Mestras, Lanton, Lège-Cap-Ferret, Pineuilh, Saint-André-de-Cubzac, Saint-Antoine, Saint-Avit-Saint-Nazaire, Sainte-Foy-la-Grande, Saint-Philippe-duSeignal, Le Teich, La Teste-de-Buch. 34-Hérault Assas, Baillargues, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bassan, Béziers, Boujansur-Libron, Bouzigues, Castries, Cers, Corneilhan, Fabrègues, Gigean, Lavérune, Lieuran-lès-Béziers, Lignan-sur-Orb, Loupian, Lunel, Lunel-Viel, Maraussan, Marseillan, Mauguio, Mèze, Mireval, Portiragnes, Poussan, Prades-le-Lez, SaintAunès, Saint-Brès, Saint-Gély-du-Fesc, Saint-Georges-d'Orques, Saint-Just, SaintNazaire-de-Pézan, Saint-Vincent-de-Barbeyrargues, Saussan, Sauvian, Sérignan, Teyran, Valras-Plage, Vendres, Vias, Vic-la-Gardiole, Villeneuve-lès-Béziers, Villeneuve-lès-Maguelone. 35-Ille-et-Vilaine Cancale, Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, La Fresnais, La Gouesnière, Hirel, Lillemer, Miniac-Morvan, Plerguer, Pleurtuit, La Richardais, Saint-Benoît-des-Ondes, SaintBriac-sur-Mer, Saint-Coulomb, Saint-Guinoux, Saint-Jouan-des-Guérets, Saint-Lunaire, Saint-Méloir-des-Ondes, Saint-Père, Saint-Suliac, La Ville-ès-Nonais, Le Tronchet. 36-Indre Châteauroux, Déols, Le Poinçonnet, Saint-Maur. 38-Isère 89 Bourgoin-Jallieu, Domarin, Four, L'Isle-d'Abeau, Maubec, Nivolas-Vermelle, Ruy, Saint-Alban-de-Roche, Saint-Quentin-Fallavier, Satolas-et-Bonce, Vaulx-Milieu, La Verpillière, Villefontaine. 39-Jura Bois-d'Amont, Les Rousses. 40-Landes Angresse, Bénesse-Maremne, Biscarrosse, Orx, Saint-André-de-Seignanx, Barthélemy, Saint-Martin-de-Seignanx, Sanguinet, Seignosse. Saint- 41-Loir-et-Cher Averdon, Blois, Candé-sur-Beuvron, Cellettes, Chailles, La Chaussée-Saint-Victor, Cheverny, Chitenay, Cormeray, Cour-Cheverny, Fossé, Huisseau-sur-Cosson, Marolles, Menars, Monthou-sur-Bièvre, Les Montils, Saint-Bohaire, Saint-Denis-sur-Loire, Saint-Gervais-la-Forêt, Saint-Lubin-en-Vergonnois, Saint-Sulpice-de-Pommeray, Sambin, Seur, Valaire, Villebarou, Villerbon, Vineuil. 90 42-Loire Cellieu, Le Chambon-Feugerolles, Châteauneuf, Commelle-Vernay, Le Coteau, L'Etrat, Farnay, Firminy, Fraisses, La Grand-Croix, L'Horme, Lorette, Mably, Pouilly-lesNonains, Renaison, La Ricamarie, Riorges, Rive-de-Gier, Roanne, Roche-la-Molière, Saint-Alban-les-Eaux, Saint-André-d'Apchon, Saint-Chamond, Saint-Etienne, SaintGenest-Lerpt, Genilac, Saint-Haon-le-Châtel, Saint-Haon-le-Vieux, Saint-JeanBonnefonds, Saint-Joseph, Saint-Léger-sur-Roanne, Saint-Martin-la-Plaine, SaintPaul-en-Jarez, Saint-Priest-en-Jarez, Sorbiers, La Talaudière, La Tour-en-Jarez, Unieux, Villars, Villerest. 43-Haute-Loire Pont-Salomon, Saint-Ferréol-d'Auroure. 44-Loire-Atlantique Assérac, Batz-sur-Mer, La Bernerie-en-Retz, Besné, La Chapelle-des-Marais, Donges, Guérande, Herbignac, Montoir-de-Bretagne, Les Moutiers-en-Retz, La Plaine-sur-Mer, Pornic, Le Pouliguen, Préfailles, Saint-André-des-Eaux, Saint-Brevin-les-Pins, Saint-Joachim, Saint-Lyphard, Saint-Malo-de-Guersac, Saint-Michel-Chef-Chef, SaintMolf, Saint-Nazaire, Trignac. 45-Loiret Amilly, Andonville, Autruy-sur-Juine, Boisseaux, Cepoy, Châlette-sur-Loing, Conflans-sur-Loing, Corquilleroy, Desmonts, Erceville, Malesherbes, Montargis, Morville-en-Beauce, Orville, Pannecières, Pannes, Paucourt, Rouvres-Saint-Jean, Thignonville, Villemandeur, Vimory. 47-Lot-et-Garonne Agen, Boé, Bon-Encontre, Brax, Castelculier, Colayrac-Saint-Cirq, Estillac, Foulayronnes, Lafox, Le Passage, Pont-du-Casse, Roquefort, Saint-Hilaire-deLusignan, Saint-Pierre-de-Clairac. 49-Maine-et-Loire Angers, Avrillé, Beaucouzé, Béhuard, Bouchemaine, Briollay, Cantenay-Epinard, Chanteloup-les-Bois, Cholet, Ecouflant, Feneu, Juigné-sur-Loire, Le May-sur-Evre, Mazières-en-Mauges, La Meignanne, La Membrolle-sur-Longuenée, Montreuil-Juigné, Mûrs-Erigné, Nuaillé, Pellouailles-les-Vignes, Le Plessis-Grammoire, Le PlessisMacé, Les Ponts-de-Cé, La Romagne, Saint-Barthélemy-d'Anjou, Saint-Christophe-duBois, Saint-Clément-de-la-Place, Sainte-Gemmes-sur-Loire, Saint-Jean-de-Linières, Saint-Lambert-la-Potherie, Saint-Léger-des-Bois, Saint-Léger-sous-Cholet, SaintMartin-du-Fouilloux, Saint-Sylvain-d'Anjou, Sarrigné, Savennières, La Séguinière, Soucelles, Soulaines-sur-Aubance, La Tessoualle, Toutlemonde, Trélazé, Trémentines, Vezins, Villevêque. 50-Manche Bréville-sur-Mer, Cherbourg-Octeville, Hainneville, La Glacerie, Granville, Tourlaville, Yquelon. Donville-les-Bains, EqueurdrevilleLongueville, Martinvast, Querqueville, 51-Marne Bétheny, Bezannes, Châlons-en-Champagne, Compertrix, Coolus, Cormontreuil, Dizy, Epernay, L'Epine, Fagnières, Mardeuil, Moncetz-Longevas, Moussy, Pierry, Recy, Reims, Réveillon, Saint-Brice-Courcelles, Saint-Etienne-au-Temple, Saint-Gibrien, Saint-Léonard, Saint-Martin-sur-le-Pré, Saint-Memmie, Sarry, Taissy, Tinqueux, Le Vézier, Villeneuve-la-Lionne, Witry-lès-Reims, Magenta. 53-Mayenne Changé, Laval, Saint-Berthevin. 54-Meurthe-et-Moselle Auboué, Briey, Cosnes-et-Romain, Gorcy, Haucourt-Moulaine, Herserange, Homécourt, Hussigny-Godbrange, Joeuf, Lexy, Longlaville, Longwy, Mexy, Mont-Saint-Martin, Moutiers, Réhon, Saulnes, Thil, Villerupt. 56-Morbihan Arradon, Arzon, Auray, Baden, Brandérion, Brech, Camoël, Carnac, Caudan, Cléguer, Crach, Elven, Férel, Gâvres, Gestel, Guidel, Hennebont, Le Hézo, Inzinzac-Lochrist, Lanester, Languidic, Larmor-Baden, Larmor-Plage, Locmariaquer, Locmiquélic, Lorient, Meucon, Monterblanc, Noyalo, Pénestin, Plescop, Ploemeur, Ploeren, Plougoumelen, Plouharnel, Pluneret, Pont-Scorff, Port-Louis, Quéven, Quiberon, Riantec, SaintArmel, Saint-Avé, Saint-Gildas-de-Rhuys, Saint-Nolff, Saint-Philibert, Saint-PierreQuiberon, Sarzeau, Séné, Sulniac, Surzur, Theix, Trédion, Treffléan, La Trinité-surMer, La Trinité-Surzur, Vannes, Bono. 91 57-Moselle Achen, Algrange, Alsting, Altviller, Amanvillers, Amnéville, Ancy-sur-Moselle, Angevillers, Ars-Laquenexy, Audun-le-Tiche, Behren-lès-Forbach, Béning-lès-SaintAvold, Betting-lès-Saint-Avold, Bliesbruck, Blies-Ebersing, Blies-Guersviller, Bousbach, Bronvaux, Carling, Chieulles, Clouange, Cocheren, Coin-lès-Cuvry, Coinsur-Seille, Creutzwald, Cuvry, Diebling, Ernestviller, Etting, Etzling, Falck, Fameck, Farébersviller, Farschviller, Fèves, Féy, Florange, Folkling, Folschviller, Fontoy, Forbach, Frauenberg, Freyming-Merlebach, Gandrange, Gravelotte, Grosbliederstroff, Grundviller, Guebenhouse, Guenviller, Hagondange, Basse-Ham, Hamsous-Varsberg, Hambach, Hargarten-aux-Mines, Hauconcourt, Havange, Hayange, Henriville, Hombourg-Haut, L'Hôpital, Hundling, Illange, Ippling, Jouy-aux-Arches, Kalhausen, Kerbach, Knutange, Kuntzig, Lachambre, Laquenexy, Laudrefang, Lixing-lèsRouhling, Lommerange, Longeville-lès-Saint-Avold, Lorry-lès-Metz, Loupershouse, Macheren, Maizières-lès-Metz, Manom, Marange-Silvange, Marieulles, La Maxe, Metzing, Mey, Mondelange, Montois-la-Montagne, Morsbach, Moyeuvre-Grande, Moyeuvre-Petite, Neufchef, Neufgrange, Nilvange, Noisseville, Norroy-le-Veneur, Nouilly, Nousseviller-Saint-Nabor, Œting, Ottange, Petite-Rosselle, Pierrevillers, Plesnois, Porcelette, Pouilly, Pournoy-la-Chétive, Puttelange-aux-Lacs, Ranguevaux, Rédange, Rémelfing, Richemont, Rochonvillers, Rombas, Roncourt, Rosbruck, Rosselange, Rouhling, Russange, Saint-Avold, Sainte-Marie-aux-Chênes, Saint-Privat-la-Montagne, Sarralbe, Sarreguemines, Sarreinsming, Saulny, Schmittviller, Schoeneck, Seingbouse, Semécourt, Serémange-Erzange, Spicheren, Stiring-Wendel, Talange, Tenteling, Terville, Théding, Thionville, Tressange, Uckange, Valmont, Vany, Varsberg, Vernéville, Vitry-sur-Orne, Volmerange-les-Mines, Wiesviller, Willerwald, Wittring, Woelfling-lès-Sarreguemines, Woustviller, Yutz, Zetting, Diesen. 58-Nièvre Challuy, Coulanges-lès-Nevers, Fourchambault, Garchizy, Germigny-sur-Loire, Nevers, Pougues-les-Eaux, Saincaize-Meauce, Sermoise-sur-Loire, Varennes-Vauzelles. 59-Nord Abscon, Allennes-les-Marais, Anhiers, Aniche, Annoeullin, Anzin, Arleux, ArmboutsCappel, Armentières, Artres, Assevent, Attiches, Auberchicourt, Aubers, Aubigny-auBac, Aubry-du-Hainaut, Auby, Aulnoy-lez-Valenciennes, Aulnoye-Aymeries, Avelin, Avesnes-le-Sec, Bachant, Bachy, Bailleul, La Bassée, Bauvin, Beaucamps-Ligny, Bellaing, Bergues, Bersée, Beuvrages, Bierne, Bois-Grenier, Bouchain, Bourbourg, Boussières-sur-Sambre, Boussois, Bray-Dunes, Bruay-sur-l'Escaut, Bruille-lezMarchiennes, Bruille-Saint-Amand, Brunémont, Bugnicourt, Camphin-en-Carembault, Camphin-en-Pévèle, Cantin, Cappelle-en-Pévèle, Cappelle-la-Grande, Carnin, Cerfontaine, La Chapelle-d'Armentières, Château-l'Abbaye, Chemy, Cobrieux, Colleret, Condé-sur-l'Escaut, Coudekerque, Coudekerque-Branche, Courchelettes, Craywick, Crespin, Cuincy, Curgies, Dechy, Denain, Deûlémont, Douchy-les-Mines, Dunkerque, Ecaillon, Eclaibes, Elesmes, Emerchicourt, Ennetières-en-Weppes, Ennevelin, Erchin, Erquinghem-le-Sec, Erquinghem-Lys, Erre, Escaudain, Escautpont, Escobecques, Esquerchin, Estrées, Estreux, Famars, Faumont, Féchain, Feignies, Fenain, Férin, Ferrière-la-Grande, Ferrière-la-Petite, Flers-en-Escrebieux, Flines-lès-Mortagne, Flines-lez-Raches, Fort-Mardyck, Fournes-en-Weppes, Frelinghien, Fresnes-sur-Escaut, Fressain, Fretin, Fromelles, Genech, Ghyvelde, Goeulzin, Gondecourt, Grande-Synthe, Grand-Fort-Philippe, Gravelines, Guesnain, Hamel, Hantay, Hasnon, Haspres, Haulchin, Hautmont, Haveluy, Hélesmes, Hergnies, Hérin, Herlies, Herrin, Hordain, Hornaing, Houplin-Ancoisne, Houplines, Hoymille, Illies, Jeumont, Lallaing, Lambres-lez-Douai, Lauwin-Planque, Lecelles, Lécluse, Leffrinckoucke, Leval, Lewarde, Lieu-Saint-Amand, Limont-Fontaine, Loffre, Loon-Plage, Lourches, Louvroil, Maing, Mairieux, Le Maisnil, Marcq-en-Ostrevent, Marly, Marpent, Marquette-en-Ostrevant, Marquillies, Masny, Mastaing, Maubeuge, Maulde, Mérignies, Méteren, Millonfosse, Monceau-SaintWaast, Monchaux-sur-Ecaillon, Moncheaux, Monchecourt, Mons-en-Pévèle, Montigny-enOstrevent, Mortagne-du-Nord, Mouchin, Neuf-Mesnil, La Neuville, Neuville-sur-Escaut, Nieppe, Nivelle, Noyelles-sur-Selle, Obrechies, Odomez, Oisy, Onnaing, Ostricourt, Pecquencourt, Péronne-en-Mélantois, Petite-Forêt, Phalempin, Pont-à-Marcq, Pont-surSambre, Préseau, Prouvy, Provin, Quaëdypre, Quarouble, Quérénaing, Quesnoy-surDeûle, Quiévrechain, Râches, Radinghem-en-Weppes, Raimbeaucourt, Raismes, Recquignies, Rieulay, Roeulx, Rombies-et-Marchipont, Roost-Warendin, Roucourt, Rousies, Rouvignies, Sainghin-en-Weppes, Saint-Amand-les-Eaux, Saint-Aybert, SaintGeorges-sur-l'Aa, Saint-Jans-Cappel, Saint-Pol-sur-Mer, Saint-Remy-du-Nord, SaintSaulve, Salomé, Saultain, Sebourg, La Sentinelle, Sin-le-Noble, Socx, Somain, Steenwerck, Templeuve, Téteghem, Thiant, Thivencelle, Thumeries, Thun-Saint-Amand, Tourmignies, Trith-Saint-Léger, Verchain-Maugré, Vicq, Vieux-Condé, Vieux-Mesnil, Villers-au-Tertre, Wahagnies, Wallers, Wannehain, Warneton, Wasnes-au-Bac, Wavrechain-sous-Denain, Wavrechain-sous-Faulx, Wavrin, Waziers, Wicres, Zuydcoote, Don. 60-Oise Abbecourt, Acy-en-Multien, Allonne, Amblainville, Andeville, Angicourt, Anserville, 92 Antilly, Apremont, Armancourt, Auger-Saint-Vincent, Aumont-en-Halatte, Auneuil, Auteuil, Autheuil-en-Valois, Bachivillers, Bargny, Baron, Beaumont-les-Nonains, Beauvais, Belle-Eglise, Berneuil-en-Bray, Béthancourt-en-Valois, Betz, Bienville, Blaincourt-lès-Précy, Boissy-Fresnoy, Boissy-le-Bois, Bonlier, Bonneuil-en-Valois, Borest, Bornel, Boubiers, Bouconvillers, Bouillancy, Boullarre, Boursonne, Boury-enVexin, Boutencourt, Brégy, Brenouille, Cauvigny, Chamant, Chambly, Chambors, La Chapelle-en-Serval, Chaumont-en-Vexin, Chavençon, Chèvreville, Choisy-au-Bac, Cinqueux, Clairoix, Compiègne, Corbeil-Cerf, Le Coudray-sur-Thelle, Courcelles-lèsGisors, Courteuil, Creil, Crépy-en-Valois, Crouy-en-Thelle, Cuvergnon, Delincourt, Le Déluge, Dieudonné, Duvy, Eméville, Enencourt-Léage, Enencourt-le-Sec, Eragny-surEpte, Ercuis, Ermenonville, Esches, Etavigny, Eve, Fay-les-Etangs, Feigneux, Flavacourt, Fleurines, Fleury, Fontaine-Chaalis, Fontaine-Saint-Lucien, Fosseuse, Foulangues, Fouquenies, Fresneaux-Montchevreuil, Fresne-Léguillon, Fresnoy-enThelle, Fresnoy-la-Rivière, Fresnoy-le-Luat, Frocourt, Gilocourt, Glaignes, Goincourt, Gondreville, Guignecourt, Hadancourt-le-Haut-Clocher, Hardivillers-enVexin, Hénonville, Herchies, Hodenc-l'Evêque, La Houssoye, Ivors, Ivry-le-Temple, Jaméricourt, Janville, Jaux, Jonquières, Jouy-sous-Thelle, Juvignies, Laboissièreen-Thelle, Labosse, Lachapelle-Saint-Pierre, Lacroix-Saint-Ouen, Lagny-le-Sec, Laigneville, Lalande-en-Son, Lattainville, Lavilletertre, Lévignen, Liancourt-SaintPierre, Lierville, Loconville, Longueil-Annel, Lormaison, Machemont, MaisoncelleSaint-Pierre, Mareuil-sur-Ourcq, Margny-lès-Compiègne, Marolles, Mélicocq, Méru, Le Mesnil-en-Thelle, Le Mesnil-Théribus, Le Meux, Milly-sur-Thérain, Monceaux, MonchySaint-Eloi, Monneville, Montagny-en-Vexin, Montagny-Sainte-Félicité, Montataire, Montherlant, Montjavoult, Montlognon, Montmacq, Monts, Le Mont-Saint-Adrien, Morangles, Morienval, Mortefontaine, Mortefontaine-en-Thelle, Nanteuil-le-Haudouin, Neufchelles, Neuilly-en-Thelle, Neuville-Bosc, La Neuville-d'Aumont, La NeuvilleGarnier, Nivillers, Noailles, Nogent-sur-Oise, Novillers, Ognes, Ormoy-le-Davien, Ormoy-Villers, Orrouy, Orry-la-Ville, Parnes, Péroy-les-Gombries, Pierrefitte-enBeauvaisis, Plailly, Le Plessis-Belleville, Ponchon, Pontarmé, Porcheux, Pouilly, Précy-sur-Oise, Puiseux-en-Bray, Puiseux-le-Hauberger, Rainvillers, Réez-FosseMartin, Reilly, Ressons-l'Abbaye, Rieux, Rochy-Condé, Rocquemont, Rosières, Rosoyen-Multien, Rouville, Rouvres-en-Multien, Russy-Bémont, Saint-Crépin-Ibouvillers, Sainte-Geneviève, Saint-Germain-la-Poterie, Saint-Jean-aux-Bois, Saint-Léger-enBray, Saint-Leu-d'Esserent, Saint-Martin-le-Noeud, Saint-Maximin, Saint-Paul, SaintPierre-es-Champs, Saint-Sauveur, Saint-Sulpice, Savignies, Senlis, Senots, Serans, Sérifontaine, Séry-Magneval, Silly-le-Long, Silly-Tillard, Talmontiers, Therdonne, Thibivillers, Thiers-sur-Thève, Thiverny, Thourotte, Thury-en-Valois, Tillé, Tourly, Trie-Château, Trie-la-Ville, Troissereux, Trumilly, Ully-Saint-Georges, Valdampierre, Varinfroy, Vauciennes, Vaudancourt, Le Vaumain, Vaumoise, Le Vauroux, Venette, Ver-sur-Launette, Verderel-lès-Sauqueuse, Verneuil-en-Halatte, Versigny, Vez, Vieux-Moulin, Villeneuve-les-Sablons, La Villeneuve-sous-Thury, Villers-SaintGenest, Villers-Saint-Paul, Villers-sous-Saint-Leu, Villers-sur-Trie, Villotran, Warluis, Aux Marais. 62-Pas-de-Calais Ablain-Saint-Nazaire, Acheville, Achicourt, Agny, Aix-Noulette, Allouagne, Angres, Annay, Annequin, Annezin, Anzin-Saint-Aubin, Arques, Arras, Athies, Auchel, Auchyles-Mines, Avion, Bailleul-Sir-Berthoult, Baincthun, Bajus, Barlin, Beaumetz-lèsLoges, Beaurains, Bénifontaine, Berck, Beugin, Beuvry, Billy-Berclau, BillyMontigny, Blendecques, Bois-Bernard, Boulogne-sur-Mer, Bouvigny-Boyeffles, Brebières, Bruay-la-Buissière, Bully-les-Mines, Burbure, Calais, Calonne-Ricouart, Camblain-Châtelain, Cambrin, Camiers, Campagne-lès-Wardrecques, Carency, Carvin, Cauchy-à-la-Tour, Caucourt, Chocques, Clairmarais, La Comté, Condette, Contevillelès-Boulogne, Coquelles, Corbehem, Coulogne, Courcelles-lès-Lens, Courrières, La Couture, Cucq, Cuinchy, Dainville, Dannes, Diéval, Divion, Dourges, Douvrin, Drocourt, Drouvin-le-Marais, Echinghen, Ecquedecques, Eleu-dit-Leauwette, Eperlecques, Equihen-Plage, Essars, Estevelles, Estrée-Cauchy, Etaples, Etrun, EvinMalmaison, Fampoux, Farbus, Festubert, Feuchy, Fouquereuil, Fouquières-lès-Béthune, Fouquières-lès-Lens, Fresnicourt-le-Dolmen, Gauchin-Légal, Gavrelle, Givenchy-enGohelle, Givenchy-lès-la-Bassée, Gonnehem, Gosnay, Gouy-Servins, Grenay, Guînes, Haillicourt, Haisnes, Hallines, Hames-Boucres, Harnes, Helfaut, Hénin-Beaumont, Hermin, Hersin-Coupigny, Hesdigneul-lès-Béthune, Hesdigneul-lès-Boulogne, Hesdinl'Abbé, Hinges, Houchin, Houdain, Houlle, Hulluch, Isques, Labeuvrière, Labourse, Lapugnoy, Leforest, Liévin, Lillers, Locon, Loison-sous-Lens, Longuenesse, Loos-enGohelle, Lorgies, Lozinghem, Maisnil-lès-Ruitz, Marck, Marles-les-Mines, Maroeuil, Mazingarbe, Mercatel, Méricourt, Merlimont, Meurchin, Monchy-le-Preux, Montigny-enGohelle, Moringhem, Moulle, Nesles, Neufchâtel-Hardelot, Neuve-Chapelle, NeuvilleVitasse, Noeux-les-Mines, Noyelles-Godault, Noyelles-lès-Vermelles, Noyelles-sousLens, Oblinghem, Oignies, Ourton, Outreau, Oye-Plage, Pernes-lès-Boulogne, Pittefaux, Pont-à-Vendin, Le Portel, Rang-du-Fliers, Rebreuve-Ranchicourt, Richebourg, Rouvroy, Ruitz, Sailly-Labourse, Sains-en-Gohelle, Sainte-Catherine, Saint-Etienne-au-Mont, Saint-Laurent-Blangy, Saint-Léonard, Saint-Martin-au-Laërt, Saint-Martin-Boulogne, Saint-Nicolas, Saint-Omer, Sallaumines, Salperwick, Sangatte, Serques, Servins, Souchez, Tatinghem, Thélus, Tilloy-lès-Mofflaines, Tilques, Le 93 Touquet-Paris-Plage, Vaudricourt, Vendin-lès-Béthune, Vendin-le-Vieil, Vermelles, Verquigneul, Verquin, Verton, Vieille-Chapelle, Villers-au-Bois, Vimy, Violaines, Vitry-en-Artois, Wailly, Wancourt, Wardrecques, Willerval, Wimereux, Wimille, Wingles, Wizernes, Libercourt, La Capelle-lès-Boulogne. 63-Puy-de-Dôme Aubière, Aulnat, Beaumont, Blanzat, Cébazat, Le Cendre, Ceyrat, Châteaugay, Cournond'Auvergne, Durtol, Gerzat, Lempdes, Nohanent, Romagnat, Royat. 64-Pyrénées-Atlantiques Angaïs, Aressy, Arros-de-Nay, Artiguelouve, Ascain, Assat, Aussevielle, Baliros, Baudreix, Bénéjacq, Billère, Biriatou, Bizanos, Boeil-Bezing, Bordères, Bordes, Bourdettes, Briscous, Buros, Coarraze, Denguin, Gan, Gelos, Hasparren, Idron, Igon, Jatxou, Jurançon, Lagos, Laroin, Lée, Lescar, Lons, Maucor, Mazères-Lezons, Meillon, Mirepeix, Montardon, Morlaàs, Narcastet, Navailles-Angos, Nay, Ousse, PardiesPiétat, Pau, Poey-de-Lescar, Rontignon, Saint-Abit, Saint-Pée-sur-Nivelle, Sauvagnon, Sendets, Serres-Castet, Serres-Morlaàs, Siros, Urt, Ustaritz, Uzos. 65-Hautes-Pyrénées Aureilhan, Barbazan-Debat, Bordères-sur-l'Echez, Bours, Chis, Horgues, Laloubère, Momères, Odos, Orleix, Séméac, Soues, Tarbes. 94 66-Pyrénées-Orientales Alénya, Argelès-sur-Mer, Bages, Baho, Banyuls-sur-Mer, Le Barcarès, Bompas, Cabestany, Canet-en-Roussillon, Canohès, Cerbère, Claira, Collioure, Corneilla-delVercol, Elne, Latour-Bas-Elne, Montescot, Perpignan, Peyrestortes, Pézilla-laRivière, Pia, Pollestres, Port-Vendres, Rivesaltes, Saint-Cyprien, Saint-Estève, Saint-Féliu-d'Avall, Saint-Laurent-de-la-Salanque, Sainte-Marie, Saint-Nazaire, Saleilles, Le Soler, Théza, Torreilles, Toulouges, Villelongue-de-la-Salanque, Villeneuve-de-la-Raho, Villeneuve-la-Rivière. 67-Bas-Rhin Altorf, Avolsheim, Baldenheim, Barr, Benfeld, Bernardswiller, Bernolsheim, Bilwisheim, Bischwiller, Blaesheim, Boersch, Brumath, Châtenois, Dachstein, Dahlenheim, Dieffenthal, Dinsheim, Donnenheim, Dorlisheim, Ebersheim, Ebersmunster, Ergersheim, Ernolsheim-Bruche, Erstein, Gambsheim, Gertwiller, Grendelbruch, Gresswiller, Griesheim-près-Molsheim, Haguenau, Hoerdt, Innenheim, Kaltenhouse, Kilstett, Kintzheim, Kirchheim, Krautergersheim, Krautwiller, Kriegsheim, Marlenheim, Meistratzheim, Mittelschaeffolsheim, Mollkirch, Mommenheim, Mussig, Muttersholtz, Mutzig, Niedernai, Oberhoffen-sur-Moder, Odratzheim, Olwisheim, Orschwiller, Ottrott, Rosenwiller, Rosheim, Rottelsheim, Saint-Nabor, Scharrachbergheim-Irmstett, Scherwiller, Schweighouse-sur-Moder, Sélestat, Siltzheim, Soultz-les-Bains, La Vancelle, Wangen, Wasselonne, Wolxheim. 68-Haut-Rhin Aubure, Baldersheim, Bartenheim, Beblenheim, Bennwihr, Bergheim, Berrwiller, Blotzheim, Bollwiller, Brunstatt, Buschwiller, Cernay, Colmar, Didenheim, Feldkirch, Guémar, Habsheim, Hégenheim, Hésingue, Horbourg-Wihr, Houssen, Hunawihr, Huningue, Illhaeusern, Illzach, Ingersheim, Jebsheim, Kaysersberg, Kembs, Kingersheim, Lutterbach, Mittelwihr, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Ostheim, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Ribeauvillé, Richwiller, Riedisheim, Riquewihr, Rixheim, Rodern, Rorschwihr, Rosenau, Ruelisheim, Sainte-Croix-en-Plaine, Saint-Hippolyte, Saint-Louis, Sausheim, Sierentz, Staffelfelden, Steinbach, Thannenkirch, Turckheim, Uffholtz, Ungersheim, Village-Neuf, Wattwiller, Wettolsheim, Wintzenheim, Wittelsheim, Wittenheim, Zellenberg, Zillisheim. 69-Rhône Arnas, Denicé, Gleizé, Lacenas, Liergues, Limas, Pommiers, Simandres, Villefranchesur-Saône. 70-Haute-Saône Châlonvillars. 71-Saône-et-Loire Chalon-sur-Saône, Champforgeuil, Châtenoy-en-Bresse, Châtenoy-le-Royal, Fragnes, La Loyère, Lux, Oslon, Saint-Marcel, Saint-Rémy, Crissey, 72-Sarthe Aigné, Allonnes, Arnage, Changé, La Chapelle-Saint-Aubin, Coulaines, Le Mans, La Milesse, Mulsanne, Rouillon, Ruaudin, Saint-Pavace, Sargé-lès-le-Mans, Yvrél'Evêque. 73-Savoie Bourdeau, La Chapelle-du-Mont-du-Chat, Montcel, Ontex, Saint-Offenge-Dessous, SaintOffenge-Dessus, Trévignin. 74-Haute-Savoie Alby-sur-Chéran, Alex, Allèves, Arenthon, Armoy, Aviernoz, Ballaison, La Balme-deSillingy, Bernex, Bluffy, Boëge, Bogève, Bons-en-Chablais, Brenthonne, Brizon, Burdignin, Cervens, Chainaz-les-Frasses, Chamonix-Mont-Blanc, Champanges, La Chapelle-Rambaud, La Chapelle-Saint-Maurice, Chapeiry, Charvonnex, Chaumont, Chavannaz, Chevenoz, Chilly, Choisy, Clarafond, Combloux, Contamine-Sarzin, Cordon, Cornier, Cusy, Demi-Quartier, Dingy-Saint-Clair, Domancy, Doussard, Draillant, Eloise, Entrevernes, Etercy, Evires, Faucigny, Fessy, Féternes, La Forclaz, Groisy, Gruffy, Habère-Lullin, Habère-Poche, Hauteville-sur-Fier, Héry-sur-Alby, Les Houches, Larringes, Lathuile, Leschaux, Lully, Lyaud, Marcellaz-Albanais, Marlioz, Megève, Mégevette, Meillerie, Menthon-Saint-Bernard, Menthonnex-sous-Clermont, Mésigny, Minzier, Montmin, Mont-Saxonnex, Mûres, Nancy-sur-Cluses, Nâves-Parmelan, Nonglard, Les Ollières, Orcier, Passy, Peillonnex, Perrignier, Praz-sur-Arly, Le Reposoir, Reyvroz, La Rivière-Enverse, Saint-André-de-Boëge, Saint-Eusèbe, SaintEustache, Saint-Félix, Saint-Gervais-les-Bains, Saint-Gingolph, Saint-Jean-deTholome, Saint-Martin-Bellevue, Saint-Paul-en-Chablais, Saint-Sigismond, SaintSylvestre, Sallanches, Sallenôves, Saxel, Servoz, Sillingy, Talloires, Thollon-lesMémises, Thorens-Glières, Thusy, La Tour, Vacheresse, Vailly, Vaulx, La Vernaz, 95 Veyrier-du-Lac, Villard, Villaz, Ville-en-Sallaz, Vinzier, Viuz-la-Chiésaz, Viuz-enSallaz, Vougy. 76-Seine-Maritime Les Authieux-sur-le-Port-Saint-Ouen, La Bouille, Caudebec-lès-Elbeuf, Cauville-surMer, Cléon, Elbeuf, Epouville, Fontaine-la-Mallet, Fontenay, Freneuse, Gainneville, Gonfreville-l'Orcher, Gouy, Harfleur, Hautot-sur-Seine, Le Havre, Houppeville, Isneauville, La Londe, Manéglise, Mannevillette, Montivilliers, Montmain, La Neuville-Chant-d'Oisel, Notre-Dame-du-Bec, Octeville-sur-Mer, Orival, Quévrevillela-Poterie, Rogerville, Rolleville, Roncherolles-sur-le-Vivier, Sahurs, SainteAdresse, Saint-Aubin-Celloville, Saint-Aubin-Epinay, Saint-Aubin-lès-Elbeuf, SaintJacques-sur-Darnétal, Saint-Laurent-de-Brèvedent, Saint-Martin-du-Manoir, SaintPierre-de-Manneville, Saint-Pierre-lès-Elbeuf, Sotteville-sous-le-Val, Tourville-laRivière, Ymare. 77-Seine-et-Marne Amillis, Amponville, Andrezel, Argentières, Armentières-en-Brie, Arville, Aubepierre-Ozouer-le-Repos, Aufferville, Augers-en-Brie, Aulnoy, Baby, Bagneaux-surLoing, Balloy, Bannost-Villegagnon, Barbey, Bassevelle, Bazoches-lès-Bray, Beauchery-Saint-Martin, Beaumont-du-Gâtinais, Beautheil, Beauvoir, Bellot, BernayVilbert, Beton-Bazoches, Bezalles, Blandy, Blennes, Boisdon, Boissy-aux-Cailles, Boissy-le-Châtel, Boitron, Bombon, Bougligny, Boulancourt, Bransles, Bray-sur-Seine, Bréau, La Brosse-Montceaux, Burcy, Bussières, Buthiers, Cannes-Ecluse, La Celle-surMorin, Cerneux, Cessoy-en-Montois, Chailly-en-Brie, Chaintreaux, Chalautre-laGrande, Chalautre-la-Petite, Chalmaison, Chamigny, Champcenest, Champdeuil, Champeaux, Changis-sur-Marne, La Chapelle-Gauthier, La Chapelle-Iger, La Chapellela-Reine, La Chapelle-Rablais, La Chapelle-Saint-Sulpice, Les Chapelles-Bourbon, La Chapelle-Moutils, Chartronges, Châteaubleau, Château-Landon, Châtenay-sur-Seine, Châtenoy, Châtillon-la-Borde, Châtres, Chauffry, Chaumes-en-Brie, Chenoise, Chenou, Chevrainvilliers, Chevru, Chevry-en-Sereine, Choisy-en-Brie, Citry, Clos-Fontaine, Cocherel, Congis-sur-Thérouanne, Coubert, Coulombs-en-Valois, Coulommiers, Courcelles-en-Bassée, Courchamp, Courpalay, Courquetaine, Courtacon, Courtomer, Coutençon, Crèvecoeur-en-Brie, Crisenoy, La Croix-en-Brie, Crouy-sur-Ourcq, Cucharmoy, Dagny, Dammartin-sur-Tigeaux, Darvault, Dhuisy, Diant, DonnemarieDontilly, Dormelles, Doue, Douy-la-Ramée, Echouboulains, Les Ecrennes, Egligny, Egreville, Episy, Esmans, Etrépilly, Everly, Faremoutiers, Fa-lès-Nemours, La FertéGaucher, La Ferté-sous-Jouarre, Flagy, Fontaine-Fourches, Fontains, Fontenailles, Fontenay-Trésigny, Forges, Fouju, Frétoy, Fromont, Garentreville, Gastins, La Genevraye, Germigny-l'Evêque, Germigny-sous-Coulombs, Giremoutiers, Gironville, Gouaix, La Grande-Paroisse, Grandpuits-Bailly-Carrois, Gravon, Grez-sur-Loing, Grisy-sur-Seine, Guérard, Guercheville, Guignes, Gurcy-le-Châtel, Hautefeuille, La Haute-Maison, Hermé, Hondevilliers, La Houssaye-en-Brie, Ichy, Isles-les-Meldeuses, Jaignes, Jaulnes, Jouarre, Jouy-le-Châtel, Jouy-sur-Morin, Jutigny, Larchant, Lavalen-Brie, Léchelle, Lescherolles, Leudon-en-Brie, Lissy, Liverdy-en-Brie, Lizines, Lizy-sur-Ourcq, Longueville, Lorrez-le-Bocage-Préaux, Louan-Villegruis-Fontaine, Luisetaines, Lumigny-Nesles-Ormeaux, Luzancy, Machault, La Madeleine-sur-Loing, Maisoncelles-en-Brie, Maisoncelles-en-Gâtinais, Maison-Rouge, Les Marêts, Marles-enBrie, Marolles-en-Brie, Marolles-sur-Seine, Mary-sur-Marne, Mauperthuis, May-enMultien, Meigneux, Meilleray, Melz-sur-Seine, Méry-sur-Marne, Misy-sur-Yonne, Moisenay, Mondreville, Mons-en-Montois, Montarlot, Montceaux-lès-Meaux, Montceauxlès-Provins, Montcourt-Fromonville, Montdauphin, Montenils, Montereau-Fault-Yonne, Montigny-le-Guesdier, Montigny-Lencoup, Montmachoux, Montolivet, Mormant, Mortcerf, Mortery, Mouroux, Mousseaux-lès-Bray, Mouy-sur-Seine, Nangis, Nanteau-sur-Essonne, Nanteau-sur-Lunain, Nanteuil-sur-Marne, Nemours, Noisy-Rudignon, Nonville, Noyensur-Seine, Obsonville, Ocquerre, Orly-sur-Morin, Les Ormes-sur-Voulzie, Ormesson, Ozouer-le-Voulgis, Paley, Pamfou, Paroy, Passy-sur-Seine, Pécy, Pézarches, PierreLevée, Le Plessis-Feu-Aussoux, Le Plessis-Placy, Poigny, Poligny, Pommeuse, Provins, Puisieux, Quiers, Rampillon, Rebais, Remauville, Reuil-en-Brie, Rouilly, Rozay-enBrie, Rumont, Rupéreux, Saâcy-sur-Marne, Sablonnières, Saint-Ange-le-Viel, SaintAugustin, Sainte-Aulde, Saint-Barthélemy, Saint-Brice, Sainte-Colombe, Saint-Cyrsur-Morin, Saint-Denis-lès-Rebais, Saint-Fiacre, Saint-Germain-Laval, Saint-Germainsous-Doue, Saint-Hilliers, Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux, Saint-Just-en-Brie, SaintLéger, Saint-Loup-de-Naud, Saint-Mars-Vieux-Maisons, Saint-Martin-des-Champs, SaintMartin-du-Boschet, Saint-Méry, Saint-Ouen-en-Brie, Saint-Ouen-sur-Morin, SaintPierre-lès-Nemours, Saint-Rémy-la-Vanne, Saints, Saint-Sauveur-lès-Bray, SaintSiméon, Salins, Sammeron, Sancy, Sancy-lès-Provins, Savins, Sept-Sorts, SignySignets, Sigy, Sognolles-en-Montois, Soignolles-en-Brie, Soisy-Bouy, Solers, Souppes-sur-Loing, Sourdun, Tancrou, Thénisy, Thoury-Férottes, Tigeaux, La Tombe, Touquin, Tousson, La Trétoire, Treuzy-Levelay, Trocy-en-Multien, Ussy-sur-Marne, Valence-en-Brie, Vanvillé, Varennes-sur-Seine, Varreddes, Vaucourtois, Le Vaudoué, Vaudoy-en-Brie, Vaux-sur-Lunain, Vendrest, Verdelot, Verneuil-l'Etang, Vernou-laCelle-sur-Seine, Vieux-Champagne, Villebéon, Villecerf, Villemaréchal, Villemareuil, Villemer, Villenauxe-la-Petite, Villeneuve-les-Bordes, Villeneuve-sur-Bellot, VilleSaint-Jacques, Villiers-Saint-Georges, Villiers-sous-Grez, Villiers-sur-Seine, 96 Villuis, Vimpelles, Vincy-Manoeuvre, Voinsles, Voulton, Voulx, Vulaines-lès-Provins, Yèbles. 78-Yvelines Ablis, Allainville, Bennecourt, Blaru, Boinville-le-Gaillard, Boinvilliers, Boissets, Boissy-Mauvoisin, Bonnières-sur-Seine, Bréval, Brueil-en-Vexin, Chaufourlès-Bonnières, Civry-la-Forêt, Courgent, Cravent, Dammartin-en-Serve, Dannemarie, Drocourt, Emancé, Flacourt, Flins-Neuve-Eglise, Fontenay-Saint-Père, Freneuse, Gommecourt, Gressey, Guitrancourt, Houdan, Jambville, Jeufosse, Lainville-en-Vexin, Limetz-Villez, Lommoye, Longnes, Maulette, Ménerville, Méricourt, Moisson, Mondreville, Montalet-le-Bois, Montchauvet, Mousseaux-sur-Seine, Mulcent, Neauphlette, Oinville-sur-Montcient, Orphin, Orsonville, Orvilliers, ParayDouaville, Port-Villez, Prunay-le-Temple, Prunay-en-Yvelines, Richebourg, Rosay, Sailly, Saint-Illiers-la-Ville, Saint-Illiers-le-Bois, Saint-Martin-de-Bréthencourt, Septeuil, Tacoignières, Le Tertre-Saint-Denis, Tilly, La Villeneuve-en-Chevrie, Villette. 79-Deux-Sèvres Aiffres, Chauray, Niort. 80-Somme Allonville, Amiens, Bertangles, Blangy-Tronville, Bovelles, Boves, Cagny, Camon, Clairy-Saulchoix, Creuse, Dreuil-lès-Amiens, Dury, Estrées-sur-Noye, Glisy, Grattepanche, Guignemicourt, Hébécourt, Longueau, Pissy, Pont-de-Metz, Poulainville, Remiencourt, Revelles, Rivery, Rumigny, Sains-en-Amiénois, Saint-Fuscien, SaintSauflieu, Saleux, Salouël, Saveuse, Thézy-Glimont, Vers-sur-Selles. 81-Tarn Albi, Arthès, Burlats, d'Albigeois, Puygouzon, Viviers-lès-Montagnes. Cambon, Cambounet-sur-le-Sor, Castres, Cunac, Roquecourbe, Saint-Juéry, Saïx, Le Sequestre, LescureTerssac, 82-Tarn-et-Garonne Lacourt-Saint-Pierre, Montauban, Montbeton, Saint-Nauphary, Villemade. 83-Var Les Arcs, Besse-sur-Issole, Brignoles, Callas, Callian, Camps-la-Source, Carnoules, La Celle, Figanières, Flassans-sur-Issole, Flayosc, Forcalqueiret, Garéoult, Gonfaron, Lorgues, Le Luc, Méounes-lès-Montrieux, Mons, La Motte, Nans-les-Pins, Pignans, Plan-d'Aups-Sainte-Baume, Pourrières, Puget-Ville, Rians, Riboux, La Roquebrussanne, Sainte-Anastasie-sur-Issole, Saint-Paul-en-Forêt, Signes, Taradeau, Le Thoronet, Tourrettes. 84-Vaucluse Le Beaucet, Beaumes-de-Venise, Caromb, Cavaillon, Châteauneuf-de-Gadagne, ChevalBlanc, Courthézon, Crillon-le-Brave, Jonquières, Maubec, Mazan, Modène, Orange, Pertuis, Robion, La Roque-sur-Pernes, Saint-Didier, Saint-Hippolyte-le-Graveyron, Saint-Pierre-de-Vassols, Saumane-de-Vaucluse, Taillades, Le Thor, Vacqueyras, Velleron. 85-Vendée La Barre-de-Monts, Bretignolles-sur-Mer, Challans, Jard-sur-Mer, Notre-Dame-deMonts, La Roche-sur-Yon, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Hilaire-de-Riez, SaintJean-de-Monts, Saint-Vincent-sur-Jard, Talmont-Saint-Hilaire, La Tranche-sur-Mer. 86-Vienne Béruges, Biard, Buxerolles, Chasseneuil-du-Poitou, Croutelle, Fontaine-le-Comte, Jaunay-Clan, Mignaloux-Beauvoir, Migné-Auxances, Montamisé, Poitiers, Saint-Benoît, Vouneuil-sous-Biard. 87-Haute-Vienne Condat-sur-Vienne, Couzeix, Feytiat, Isle, Limoges, Le Palais-sur-Vienne, Panazol. 88-Vosges Chantraine, Chavelot, Dinozé, Dogneville, Igney, Jeuxey, Thaon-les-Vosges. Epinal, Les Forges, Girmont, Golbey, 90-Territoire de Belfort Andelnans, Argiésans, Bavilliers, Belfort, Bermont, Botans, Bourogne, Charmois, Châtenois-les-Forges, Chaux, Chèvremont, Cravanche, Danjoutin, Denney, Dorans, Eloie, Essert, Evette-Salbert, Lachapelle-sous-Chaux, Meroux, Méziré, Morvillars, Moval, Offemont, Pérouse, Roppe, Sermamagny, Sevenans, Trévenans, Valdoie, Vétrigne, Vézelois. 97 91-Essonne Abbéville-la-Rivière, Angerville, Arrancourt, Authon-la-Plaine, Auvers-SaintGeorges, Blandy, Boigneville, Bois-Herpin, Boissy-la-Rivière, Boissy-le-Cutté, Boissy-le-Sec, Boutervilliers, Bouville, Brières-les-Scellés, Brouy, Buno-Bonnevaux, Chalo-Saint-Mars, Chalou-Moulineux, Champmotteux, Chatignonville, Corbreuse, Estouches, Etampes, Fontaine-la-Rivière, La Forêt-le-Roi, La Forêt-Sainte-Croix, Gironville-sur-Essonne, Les Granges-le-Roi, Guillerval, Marolles-en-Beauce, Méréville, Mérobert, Mespuits, Monnerville, Morigny-Champigny, Ormoy-la-Rivière, Orveau, Plessis-Saint-Benoist, Prunay-sur-Essonne, Puiselet-le-Marais, Pussay, Richarville, Roinvilliers, Saclas, Saint-Cyr-la-Rivière, Saint-Escobille, SaintHilaire, Congerville-Thionville, Valpuiseaux, Villeneuve-sur-Auvers. 95-Val-d'Oise Aincourt, Ambleville, Amenucourt, Arronville, Berville, Bray-et-Lû, Bréançon, Buhy, La Chapelle-en-Vexin, Chaussy, Chérence, Frouville, Haravilliers, Haute-Isle, Le Heaulme, Hédouville, Menouville, Montreuil-sur-Epte, Neuilly-en-Vexin, Omerville, La Roche-Guyon, Saint-Clair-sur-Epte, Theuville, Villers-en-Arthies. Zone C Le reste du territoire national. 98