être comédien au temps de Molière être comédien au t

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être comédien au temps de Molière être comédien au t
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 1 : être comédien au temps de Molière
Analyse de documents p 212, 213
1) Observe la gravure
a) Que trouve-t-on en son centre ?
b) Par quoi les tréteaux sont-ils prolongés, au fond ?
c) Où se déroule cette scène ?
d) Que peux-tu en déduire sur la nature du spectacle ?
2) Usages
Quelle est l’information essentielle dans ce paragraphe ?
3) Un public turbulent
a) Vocabulaire : cherche les mots et expressions suivants
- n’en pouvoir mais
- fomentation
- étrivière
b) Résume en une phrase la teneur du témoignage de Bruscambille
4) Les comédiens, ces parias et extrait de G. Mongrédien
A partir de ces deux textes, faîtes la liste des inconvénients du métier de comédien au XVIIe siècle.
5) Les comédiens
a) A combien s’élevait approximativement le salaire annuel de Molière ?
b) Quel était le montant de la pension que lui donnait son protecteur ?
c) Comparez les deux sommes. Quel commentaire pouvez-vous faire ?
Séance 1 : être comédien au temps de Molière
Analyse de documents p 212, 213
1) Observe
Observe la gravure
a) Que trouve-t-on en son centre ?
b) Par quoi les tréteaux sont-ils prolongés, au fond ?
c) Où se déroule cette scène ?
d) Que peux-tu en déduire sur la nature du spectacle ?
2) Usages
Quelle est l’information essentielle dans ce paragraphe ?
3) Un public turbulent
a) Vocabulaire : cherche les mots et expressions suivants
- n’en pouvoir mais
- fomentation
- étrivière
b) Résume en une phrase la teneur du témoignage de Bruscambille
4) Les comédiens, ces parias et extrait de G. Mongrédien
Mongrédien
A partir de ces deux textes, faîtes la liste des inconvénients du métier de comédien au XVIIe siècle.
5) Les comédiens
a) A combien s’élevait approximativement le salaire annuel de Molière ?
b) Quel était le montant de la pension que lui donnait son protecteur ?
c) Comparez les deux sommes. Quel commentaire pouvez-vous faire ?
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 2 : Le roman comique de Scarron (incipit)
Correction de la dictée et lecture expliquée du passage
Il était entre cinq et six [heures] quand une charrette entra dans les halles du Mans. Cette charrette
était attelée de quatre bœufs fort maigres, conduits par une jument […] dont le poulain allait et venait à l’entour
de la charrette comme un petit fou qu’il était. La charrette était pleine de coffres, de malles et de gros paquets de
toiles peintes qui faisaient comme une pyramide au haut de laquelle paraissait une demoiselle habillée moitié ville,
moitié campagne. Un jeune homme, aussi pauvre d’habits que riche de mine, marchait à côté de la charrette.
Il avait un grand emplâtre sur le visage, qui lui couvrait un œil et la moitié de la joue, et portait un
grand fusil sur son épaule, dont il avait assassiné plusieurs pies, geais et corneilles, qui lui faisaient comme une
bandoulière au bas de laquelle pendaient par le pieds une poule et un oison qui avaient bien la mine d’avoir été pris
à la petite guerre […].
Un vieillard vêtu plus régulièrement, quoique très mal, marchait à côté de lui. Il portait sur ses épaules
une basse de viole et, parce qu’il se courbait un peu en marchant, on l’eût pris de loin pour une grosse tortue qui
marchait sur ses jambes de derrière […].
Un lieutenant de prévôt […] nommé La Rappinière, les vint accoster et leur demanda […] quelles gens
ils étaient. Le jeune homme dont je viens de parler prit la parole et, […] lui dit qu’ils étaient français de
naissance, comédiens de profession.
Lecture expliquée du passage
Paul Scarron (1610-1660) fait vivre dans le Roman comique des aventures cocasses à une troupe de
comédiens. L’adjectif « comique » a donc ici un double sens : « drôle », et « qui parle de comédiens ». Dès
l’incipit, Scarron nous livre un document très précis sur la vie des gens du spectacle en province.
1) Dans quel quartier de la ville arrivent les comédiens ? A ton avis, est-ce un hasard ? Pourquoi ?
2) Par qui sont-ils immédiatement accueillis ? Qu’inspirent-ils à la population ? Quel mot reconnaît-on
dans le nom propre du personnage ?
3) Relève des mots ou expressions qui montrent qu’ils :
- sont pauvres
- n’ont pas fière allure
- ne passent pas inaperçus
- sont chapardeurs
4) Quel regard porte malgré tout le lecteur sur eux ?
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 3 : analyse d’un film
Molière, d’Ariane Mnouchkine
Le destin d’un homme de théâtre
1) L’enfance de Molière
Filmer une biographie consiste à recréer l’atmosphère d’une époque, s’appuyer sur les éléments attestés de
la vie de la personne, mais c’est aussi inventer des enchaînements entre ces éléments, donner un certain éclairage sur
la vie du sujet.
Ariane Mnouchkine a pris le parti de montrer dans l’enfance de Jean-Baptiste Poquelin ce qui a pu
déterminer sa carrière d’homme de théâtre. Ces scènes sont nées de son imagination. Elles ne sont peut-être pas
véridiques, mais elles sont réalistes. On serait peu étonné d’apprendre qu’elles ont effectivement eu lieu.
Question : pour chacune des scènes ci-dessous, précise quelle est la référence à l’univers théâtral.
a) Scène des jeux d’enfants
b) Scène du repas de l’Epiphanie
c) Scène de la mort de la mère
2) Que fera le petit
petit JeanJean-Baptiste ?
Jean-Baptiste, d’une manière très hésitante, prête serment devant toute la Confrérie des Tapissiers du
Roi. Mais il ne veut pas suivre la même voie que son père et le lui annonce au cours d’une scène de pure
comédie : le repas familial.
Il ne sera pas Tapissier du Roi
a) Qui sont les personnes présentes au cours du repas ?
b) Comment sont-elles disposées ?
c) Qui connaît déjà la nouvelle ?
d) De qui craint-on la réaction ?
e) Qui fait l’annonce ?
f) Quelle est la réaction du père ?
g) En qui cherche-t-il un soutien ? Le trouve-t-il ?
h) Fais la liste des personnages qui prennent position pour chaque camp. Que remarques-tu ?
i) Comment pourrait-on caractériser la colère du père ?
j) Que fera finalement le petit Jean-Baptiste ?
Jean-Baptiste peut donc faire son droit à Orléans. Mais là encore, il trouve sur sa route le monde du
déguisement et de la fête : c’est la scène du carnaval. C’est à l’occasion d’ailleurs du carnaval qu’on comprend qu’il
tombe amoureux. Il suit Madeleine Béjart et sa troupe après un spectacle de rue.
k) Que font-ils quand il les retrouve ?
l) Dans quelle tenue sont-ils ?
m) Comment réagirait le père de Jean-Baptiste s’il les voyait ?
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Il ne sera pas avocat !
La décision de Jean-Baptiste est prise : il sera comédien. Encore faut-il qu’il en informe son
père…On a affaire à une nouvelle scène de comédie, construite exactement comme la première : le repas familial.
a) La disposition à table est la même, mais on comprend que le temps a passé. Comment ?
b) Que peut-on dire de la réaction du père ?
c) Que peut-on dire de la répartition des deux camps ?
d) Qui, cette fois-ci, fait l’annonce finale ?
Le petit Jean-Baptiste a trouvé sa voie : il sera comédien.
3) Des débuts difficiles
La troupe est partiellement constituée, on a signé un document officiel. Quel genre d’informations contientil ?
a) Peut-on dire que les premières représentations soient un succès ?
b) Quel genre de pièces les comédiens ont-ils choisi d’interpréter ?
c) Quelles sont les seules personnes qui assistent finalement au spectacle jusqu’au bout ?
d) Où finissent les comédiens ?
e) Qui vient les en sortir ?
f) Que décide de faire la troupe ?
g) Quel commentaire peux-tu faire sur les couleurs et l’éclairage à partir de ce moment-là ?
h) Quelles rencontres la troupe fait-elle successivement sur son chemin ? Que se passe-t-il ?
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 5 : les conditions d’une représentation
Lis attentivement le texte suivant et réponds aux questions.
L’architecture théâtrale est renouvelée au XVIIe siècle selon un modèle venu d’Italie. Les salles sont
réaménagées, de nouveaux théâtres fixes sont édifiés : le cardinal de Richelieu fait construire dans son PalaisCardinal (devenu plus tard le Palais-Royal) le plus beau théâtre de Paris. Ces salles dites « à l’italienne » se
caractérisent par une scène de forme cubique, haute et profonde, séparée de la salle par un rideau. Un système de
trappes, de coulisses et de poulies (les machines) permet des jeux de scène spectaculaires, notamment l’apparition et
la disparition de personnages.
Dans ces salles fermées, l’éclairage est artificiel et se fait à la chandelle. Le découpage des pièces en
actes et la fréquence des entractes (toutes les demi-heures environ) permettent de moucher régulièrement les mèches
pour que l’atmosphère très enfumée ne devienne pas irrespirable et pour remplacer les chandelles consumées. Les
spectateurs, placés face à la scène, se répartissent selon leur rang social : le public populaire reste debout au
parterre, les nobles et le public aisé occupent les loges et les galeries, qui offrent une meilleure visibilité. A partir
du Cid (1637), quelques nobles s’installent sur la scène même, assis sur des bancs placés sur les côtés. Le public
est turbulent et agité, il n’hésite pas à manifester bruyamment ses émotions, son enthousiasme ou son
mécontentement.
Il n’existe pas de metteur en scène à l’époque, l’auteur ou un acteur assure la direction des comédiens ;
Molière dirige sa troupe et tient un rôle dans la pièce représentée. Les décors sont simples, constitués de grandes
toiles peintes et de quelques accessoires. Les comédiens jouent en costumes du XVIIe siècle, même lorsque l’action se
déroule dans l’antiquité grecque ou romaine ; ils suivent la mode et les manières de la Cour.
Questions :
1°) Qu’est-ce qu’un « théâtre à l’italienne » ?
2°) Comment éclairait-on la scène ? A quoi servait alors le découpage en actes ?
3°) Quelles étaient les places les moins chères ?
4°) Le spectacle avait-il lieu dans le silence absolu ?
5°) Qui faisait office de metteur en scène ?
6°) Comment les comédiens étaient-ils habillés sur scène ?
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 6 : Stances à Marquise de Corneille
Analyse de texte
Marquise si mon visage
A quelques traits un peu vieux,
Souvenez-vous qu'à mon âge
Vous ne vaudrez guère mieux.
Le temps aux plus belles choses
Se plaît à faire un affront,
Et saura faner vos roses
Comme il a ridé mon front.
Le même cours des planètes
Règle nos jours et nos nuits
On m'a vu ce que vous êtes
Vous serez ce que je suis.
Cependant j'ai quelques charmes
Qui sont assez éclatants
Pour n'avoir pas trop d'alarmes
De ces ravages du temps.
Vous en avez qu'on adore;
Mais ceux que vous méprisez
Pourraient bien durer encore
Quand ceux-là seront usés.
Ils pourront sauver la gloire
Des yeux qui me semblent doux,
Et dans mille ans faire croire
Ce qu'il me plaira de vous.
Chez cette race nouvelle,
Où j'aurai quelque crédit,
Vous ne passerez pour belle
Qu'autant que je l'aurai dit.
Pensez-y, belle Marquise.
Quoiqu'un grison fasse effroi,
Il vaut bien qu'on le courtise,
Quand il est fait comme moi.
1) Etude des trois premières strophes
a) Résume en une phrase l’idée principale.
b) Les verbes :
Corneille décrit une réalité. Quel est le mode majoritairement utilisé ?
Quels temps utilise-t-il quand il parle de lui ? et de Marquise ?
Il emploie une fois un autre mode personnel. Lequel ? Relève le verbe.
c) Les derniers vers d’une strophe sont souvent mis en valeur. On les entend plus à la
lecture. Que peux-tu dire du dernier vers de la première et de la troisième strophes ?
2) Strophes 4 et 5
a) Résume en une phrase l’idée principale.
b) Strophe 4 : de qui Corneille parle-t-il dans cette strophe ?
c) Strophe 5 : que représente le pronom « en » dans « vous en avez qu’on adore » ?
d) Le poème a une valeur argumentative. Quel est le mode de « pourraient » ?
3) Strophes 6 à 8
a) Résume en une phrase l’idée principale.
b) Strophes 6 et 7 : quel est le temps majoritairement employé ? La Marquise en estelle directement le sujet ?
c) Relève les verbes qui montrent que le regard du poète est plus important que la
beauté de Marquise.
d) Montre que ce poème est plus un poème d’amertume qu’un poème d’amour.
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 7 : genre comique, genre tragique
Analyse de listes de personnages
a) Le Malade Imaginaire, 1673
ARGAN malade imaginaire.
BELINE seconde femme d’Argan.
ANGELIQUE fille d’Argan et amante de
Cléante.
LOUISON petite fille d’Argan et sœur
d’Angélique.
BERALDE frère d’Argan.
CLEANTE amant d’Angélique.
MR DIAFOIRUS médecin.
THOMAS DIAFOIRUS son fils et amant
d’Angélique.
MR PURGON médecin d’Argan.
MR FLEURANT apothicaire.
MR BONNEFOI notaire.
TOINETTE servante.
La scène est à Paris.
c) Les Fourberies de Scapin, 1671
ARGANTE père d’Octave et de Zerbinette.
GERONTE père de Léandre et de
Hyacinte.
OCTAVE fils d’Argante et amant de
Hyacinte.
LEANDRE fils de Géronte et amant de
Zerbinette.
ZERBINETTE une Egyptienne et reconnue
fille d’Argante et amante de Léandre.
HYACINTE fille de Géronte et amante
d’Octave.
SCAPIN valet de Léandre et fourbe.
SYLVESTRE valet d’Octave.
NERINE nourrice de Hyacinte.
CARLE fourbe.
La scène est à Naples.
b) Le Misanthrope, 1666
ALCESTE amant de Célimène.
PHILINTE ami d’Alceste.
ORONTE amant de Célimène.
CELIMENE amante d’Alceste.
ELIANTE cousine de Célimène.
ARSINOE amie de Célimène.
ACASTE, CLITANDRE marquis.
BASQUE valet de Célimène.
UN GARDE de la maréchaussée de France.
DU BOIS valet d’Alceste.
La scène est à Paris.
d) Bérénice, 1670
TITUS empereur de Rome.
BERENICE reine de Palestine.
ANTIOCHUS roi de Comagène.
PAULIN confident de Titus.
ARSACE confident d’Antiochus.
PHENICE confidente de Bérénice.
RUTILE Romain.
Suite de Titus.
La scène est à Rome, dans un cabinet qui
est entre l’appartement de Titus et celui de
Bérénice.
e) L’ Ecole des femmes, 1662
ARNOLPHE autrement Mr. de la Souche
AGNES jeune fille innocente élevée par
Arnolphe.
HORACE amant d’Agnès.
ALAIN paysan, valet d’Arnolphe.
GEORGETTE paysanne, servante
d’Arnolphe.
CHRYSALDE ami d’Arnolphe.
ENRIQUE beau-frère de Chrysalde.
ORONTE père d’Horace et grand ami
d’Arnolphe.
LE NOTAIRE
La scène est dans une place de ville.
f) Phèdre, 1677
THESEE fils d’Egée, roi d’Athènes.
PHEDRE femme de Thésée, fille de Minos
et de Pasiphaé.
HIPPOLYTE fils de Thésée et d’Antiope,
reine des Amazones.
ARICIE princesse du sang royal d’Athènes.
THERAMENE gouverneur d’Hippolyte.
OENONE nourrice et confidente de
Phèdre.
ISMENE confidente d’Aricie.
PANOPE femme de la suite de Phèdre.
GARDES
La scène est à Trésène, ville du
Péloponnèse.
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Etude comparative de listes de personnages dans certaines pièces du XVIIe siècle
Observez les similitudes et les différences entre les listes en complétant le tableau suivant :
Titre de la pièce
Nom du personnage
le plus important
Comment le reconnaîton ?
Qu’apprend-on de
lui ?
Quels liens unissent
le pers. ppal et les
autres pers. ?
D’après leur groupe
social, les
personnages sont-ils
proches du public ?
L’action peut-elle se
dérouler au temps de
Molière ?
Où se déroule
l’action ?
a) Le Malade
Imaginaire, 1673
b) Le Misanthrope, c) Les Fourberies de d) Bérénice, 1670
1666
Scapin, 1671
e) L’ Ecole des
femmes, 1662
f) Phèdre, 1677
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 7 : genre comique, genre tragique
Etude de listes de personnages dans certaines pièces du XVIIe siècle (fin)
Vous avez complété un tableau qui vous a permis de comparer différentes listes de personnages. Vous
devez maintenant tirer des conclusions. Pour cela, classez dans le tableau suivant les six pièces analysées (par
lettres).
thème
époque
espace
milieu social
auteur ?
type de
pièce ?
sujet emprunté à la
vie quotidienne:
contemporaine de
l'auteur et du
public:
monde
contemporain:
personnages de
conditions
moyennes:
personnage
principal
secondé par un
valet:
..........................
sujet emprunté à la
mythologie ou l'histoire:
reculée dans
le temps:
..........................
...........................
monde
antique:
personnages
illustres:
personnage principal
secondé par un confident:
...........................
Observez maintenant la liste de personnages du Bourgeois Gentilhomme. Classez chaque personnage dans
le tableau suivant selon son appartenance sociale :
personnages catégories
sociales
noblesse
bourgeoisie
gens du peuple
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Observez attentivement le titre de la pièce. Que remarquez-vous ? ( aidez-vous de vos connaissances sur les
catégories sociales au XVIIe siècle ) Le titre à lui seul ne révèle-t-il pas l’une des caractéristiques de Mr
Jourdain ?…………………………………………………………………………...
…………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………
…………………………………………………………….
Etudiez ensuite la liste des personnages du Bourgeois Gentilhomme en fonction des liens affectifs qui
unissent les personnages :
- Mr Jourdain et …………………………………….. qui est sa femme.
- Mr Jourdain et …………………………………….. qui est sa fille.
- Dorimène et Mr Jourdain qui est son ……………………………………..
- Dorimène et Dorante qui sont ……………………………………..
- Lucile et Cléonte qui sont ……………………………………..
Quel est le seul personnage qui a à la fois des liens familiaux et des liens amoureux avec trois
personnages de la pièce ? Comment appelle-t-on ce type de personnages ?…………………………….
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…………………………………………………………….
Que peut-on en conclure sur l’une des intrigues de la pièce ? ………………………………
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…………………………………………………………….
Séquence 3 : être comédien au XVIIe siècle
Séance 8 : l’accord du participe passé
Fiche leçon
Employé seul
Employé seul, le participe passé se comporte comme un adjectif. Epithète ou attribut, il suit
les règles d’accord de l’adjectif qualificatif.
Rappel de la règle d’accord de l’adjectif qualificatif :
…………………………………………………………………………
………………………………………………………………………….
Exemple : Mme Forestier, émue, lui prit les deux mains.
Employé avec l’auxiliaire être
Employé avec l’auxiliaire être, le participe passé s’accorde avec le sujet du verbe.
Exemple : Elle était allée se promener.
Employé avec l’auxiliaire avoir
Employé avec l’auxiliaire avoir, le participe passé reste le plus souvent invariable.
Exemple : Maintenant qu’elle avait payé, elle lui dirait tout.
Mais quand le complément d’objet direct (COD) du verbe est placé avant le groupe verbal, il
s’accorde avec ce COD.
Exemple : Eh bien, je l’[la rivière de diamants] ai perdue.
l' est pronom personnel COD du verbe.
Exceptions
1°) Lorsque le COD est le pronom en, le participe demeure invariable.
Exemple : je t’en
en ai rapporté une autre toute pareille.
2°) Lorsque le verbe faire est suivi d’un infinitif, son participe passé ne s’accorde pas.
Exemple : elle lui a rendu la rivière de diamants qu’elle avait fait refaire.
refaire