DO SSIE RDE PR E SSE - Palais de Compiègne

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DO SSIE RDE PR E SSE - Palais de Compiègne
DOSSIER DE PRESSE
Contact Presse :
Patricia Duronsoy
(+33) 3 44 38 47 35 /
[email protected]
Les Automnales du Palais de Compiègne
Festival de musique classique
Artistes confirmés et jeunes talents vous
charment avec les plus beaux morceaux
classiques dans le cadre majestueux de
la Galerie de bal du palais…
C’est avec un grand plaisir que le Palais de
Compiègne vous présente la 10ème édition
des Automnales de 2016. En collaboration
avec l’association Les Automnales, le
festival regroupera cette année des artistes
de tous horizons, pour des moments
inoubliables.
Sous la direction artistique de Claire
Désert et Emmanuel Strosser, ces
rendez-vous incontournables d’automne
vous permettront de découvrir des artistes
talentueux tels que Raphaël Pidoux,
le Quatuor Arod, Jean-Philippe Collard
ainsi que Claire Desert et Gary Hoffman.
Contact Presse : Patricia Duronsoy
(+33) 3 44 38 47 35 / [email protected]
Les Automnales du Palais de Compiègne
Festival de musique classique
Programmation 2016
Claire Désert et Emmanuel Strosser
Directeurs artistiques
Jeudi 3 novembre
20h
Quintette à deux violoncelles
de Schubert
Raphaël Pidoux et
Le Quatuor à cordes Arod
soutenu par la fondation banque populaire
Jeudi 17 novembre
20h
Frédéric Chopin et
Robert Schumann
Jean-Philippe Collard, piano
Jeudi 1er décembre
20h
Trois sonates de Brahms
pour violoncelle et piano
Claire Désert, piano
Gary Hoffman, violoncelle
Raphaël Pidoux
« une superbe interprétation raffinée de Bach » Strad Magazine-Londres
« une sonorité riche et profonde, un geste musical de grande envergure » La Presse-Montréal
Raphaël Pidoux mène une brillante carrière avec le Trio Wanderer jouant notamment au Théâtre des
Champs-Elysées, au Wigmore Hall de Londres, à l’Herkulessal de Munich, aux Konzerthaus de
Vienne et Berlin, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Musikverein de Graz, à la Scala de
Milan...Invité des festivals tels que Salzbourg, Edimbourg, Montreux, Feldkirch, Schleswig
Holstein, la Roque d'Anthéron, Stresa, Osaka, les Folles Journées de Nantes… et jouant sous la
direction de : Yehudi Menuhin, Christopher Hogwood, Charles Dutoit et James Conlon, avec
l'Orchestre National de France, l'Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre National
de l’Ile de France, les orchestres de Nice, Pays de Loire, Montpellier, Teneriffe, La Coruna, le
Radio Symphonie Orchester de Berlin, le Sinfonia Varsovia, le Grazer Philharmoniker Orchester, le
Stockholm Chamber Orchestra, le Gürzenich-Orchester de Cologne…et aussi avec Wolfgang
Holzmair, François Leleux, Paul Meyer, Pascal Moraguès, Antoine Tamestit…
Avec Harmonia Mundi, il enregistre les Trios de Chausson, Ravel, Haydn, Chostakovitch, Copland,
Saint-Saëns, Mendelssohn, Messiaen, l’intégrale des Trios de Schubert et de Brahms, la Truite de
Schubert, le Quintette de Hummel et le Triple Concerto de Beethoven, les Quatuors avec piano de
Fauré et Smetana, Liszt, récompensés par le Choc de l'Année du Monde de la Musique, le Diapason
d'Or,
et
les
Victoires
de
la
Musique
en
1997,
2000
et
2009.
La musique de chambre tient une place importante dans sa carrière, ce qui ne l’empêche pas de
jouer seul ou entouré de Christophe Coin, Emmanuel Pahud, Raphaël Oleg, les Quatuors Manfred,
Modigliani, Mosaïque, l’Orchestre Les Siècles et François-Xavier Roth, l'Orchestre du 18ème
siècle…enregistrant au sein de l’Octuor « Les Violoncelles Français » (Méditations- Label Mirare),
avec Emmanuel Strosser (Kodaly et Donhanyi) ou encore l’intégrale des Sonates de Duport
(première
mondiale)
avec
le
Label
IntegralClassic.
Raphaël Pidoux débute le violoncelle avec son père Roland Pidoux.1er Prix en 1987 au
Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Phillipe Muller, il se
perfectionne à l’Indiana University avec Janos Starker. En tant que chambriste, il étudie auprès de
Menahem Pressler et des membres du Quatuor Amadeus. En 1988, Il remporte le Concours
International ARD de Munich ainsi que le 3ème Prix du Concours International Bach de Leipzig.
Professeur au CRR de Paris, il est nommé au CNSMDP prenant ainsi la succession de Philippe
Muller.
Il
joue
sur
un
violoncelle
de
Goffredo
Cappa(1680).
Il est, par ailleurs :
•
•
•
directeur artistique de la biennale du violoncelle "VioloncellenSeine"
vice-président de l'association Talents&Violoncelles
Chevalier des Arts et des Lettres
Le Quatuor Arod
JordVictoria – violon
Alexandre Vu – violon
Corentin Apparailly – alto
Samy Rachid – violoncelle
© Verena Chen
Créé en 2013, le Quatuor Arod remporte le Premier Prix du Concours International de Copenhague
en octobre 2015, ainsi que le Prix de la meilleure interprétation de Carl Nielsen et le Prix de la
meilleure interprétation contemporaine. En février 2014, il avait remporté le Premier Prix du
Concours européen de la FNAPEC et le Prix spécial ProQuartet - CEMC dont il est le nouveau
quatuor en résidence.
En 2016 et 2017, le Quatuor Arod se produira notamment au Palais des Beaux-arts de
Bruxelles, dans la saison inaugurale du Centre de musique de chambre de Paris, fera ses débuts
en Allemagne (Berlin, Cologne, Musikfest Bremen), à l’Auditorium du Louvre, au Festival
Musique à L’Emperi, et sera en tournée au Danemark (notamment au Black Diamond de la
Bibliothèque royale à Copenhague). Il a déjà été invité dans de nombreux festivals : Festiva Verbier,
Septembre Musical de Montreux, Les Vacances de Mr Haydn, Aout Musical de Deauville, Quatuor
à l’Ouest, Ré Majeure, Quartettissimo en Hongrie… Il collabore avec des
artistes tels que les clarinettistes Martin Frost, Romain Guyot et Michel Lethiec, la pianiste Claire
Désert ou encore les violoncellistes Raphaël Pidoux, François Salque et Bruno Philippe.
Le Quatuor Arod bénéficie de l’enseignement de Jean Sulem (Quatuor Rosamonde) et est
actuellement en résidence à la Chapelle Musicale de la Reine Elisabeth de Bruxelles dans la classe
du Quatuor Artemis. Il travaille par ailleurs régulièrement avec le Quatuor Ebène, le tuor Talich,
Ferenc Rados, le Quatuor Diotima, Gábor Takács, ou encore le Tokyo String Quartet.
Régulièrement invité à la radio, le Quatuor Arod a pu être entendu dans « La Matinale du Samedi »
de Dominique Boutel, « Le Magazine des Festivals » de Lionel Esparza, « La Matinale
Culturelle » de Vincent Josse et Nicolas Lafitte sur France Musique et dans le « Journal » de Laure
Mézan sur Radio Classique. En 2016, il sera l'invité de Stéphane Goldet dans l'émission « Plaisirs
du Quatuor ».
Le Quatuor Arod est en résidence à la Fondation Singer-Polignac. Il est soutenu par la
Fondation Banque Populaire et la Fondation Safran.
Il est habillé par « Blandin et Delloye – Paris ».
Jean- Philippe Collard
Piano
Le 27 janvier 1948, la fée musique rôdait aux alentours du berceau de Jean-Philippe Collard : élevé
dans une maisonnée nombreuse et mélomane, le petit champenois tombe vite sous le charme de la
musique de chambre en famille.
A dix ans, il gagne la capitale, le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, les
concours internationaux, huit années d’études sous la férule éclairée et exigeante de Pierre Sancan,
avant d’être projeté sur le devant de la scène internationale...
Le pianiste français n’est pas de ceux qui brandissent leurs titres et leurs protecteurs comme gages
de leur talent : à peine fait-il allusion à la belle amitié qui l’a lié à Vladimir Horowitz, dont il tient le
secret du chant profond et soutenu, qui fait de lui un virtuose du lyrisme en demi-teinte, de la
confidence vibrante et chaleureuse.
Ces vertus lui valent d’être un chantre sans égal de la musique française (de Fauré à Saint-Saëns,
Poulenc et Ravel) et il sert également avec panache les meilleures pages du répertoire pianistique.
Avec une discographie de plus de soixante titres, Jean-Philippe Collard sillonne les grandes scènes
du vieux continent et d’Outre-Atlantique. Figure bien connue du public français, enfant chéri des
États-Unis, il peut se targuer d’avoir joué avec le gotha des chefs et des orchestres à travers le
monde.
Claire Désert
Habituées des prestigieux festivals en France (festival de la Roque- d’Anthéron, piano aux Jacobins,
Lille piano festival, festival de la Radio France Montellier, etc...), Claire Désert est aussi présente
sur les scènes internationales (Wigmore hall à Londres, Kenedy Center à New York, Japon, Brésil,
Allemagne, etc...) et se produit en soliste avec d’importantes formations symphoniques comme les
orchestres de Paris,
Philharmoniques de Radio France, Strasbourg, Toulouse, Prague, Québec, Japon…
Entrée à l’âge de 14 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Claire Désert
obtient un premier prix à l’unanimité du jury dans la classe de piano de V. Yankoff ainsi qu’un
premier prix de musique de chambre dans la classe de J. Hubeau. Elle est ensuite admise en cycle
de perfectionnement dans ces deux disciplines (classe de musique de chambre de R. Pidoux).
Remarquée par le pianiste et pédagogue E. Malinin, celui-ci l’invite à poursuivre ses études au
Conservatoire Tchaïkovski de Moscou.
Claire Désert est une chambriste hors pair. Ses partenaires privilégiés sont Emmanuel Strosser,
Anne Gastinel, Gary Hoffman, Philippe Graffin, Régis Pasquier, le Quatuor Sine Nomine, le
Quintette Moraguès…
Sa discographie bien étoffée comporte entre autres un CD des Novelettes de Schumann (couronné
d’un ‘’10’’de Répertoire), un disque des Concertos de Scriabine et de Dvorák avec l’Orchestre
Philharmonique de Strasbourg récompensé d’une Victoire de la Musique en 1997 et plusieurs
enregistrements réalisés avec Anne Gastinel. Sont également parus chez Mirare deux autres disques
consacrés à Schumann ainsi qu’un enregistrement des Danses slaves de Dvorák à quatre mains avec
Emmanuel Strosser.
Gary Hoffman
Violoncelle
© Bernard Martinez
La plénitude de la sonorité, une technique parfaite, une sensibilité artistique exceptionnelle
caractérisent le style de Gary Hoffman.
Gary Hoffman étudie le violoncelle avec Janos Starker. Il fait ses débuts au Wigmore Hall de
Londres dès l'âge de 15 ans. C’est ensuite New York qui l’accueille. A 22 ans il devient le plus
jeune professeur de la célèbre école de musique de l'Université d'Indiana. Premier Grand Prix
Rostropovich à Paris, en 1986, il commence alors une carrière internationale et se produit avec les
plus grandes formations: Chicago, London Symphony et English Chambe Montréal, Toronto,
Baltimore, Los Angeles Chamber Orchestra, National Symphony Orchestra, Orchestre
Philharmonique de Radio-France, Cleveland Orchestra, Philadelphie…
En récital, Gary Hoffman joue dans de célèbres salles: Alice Tully Hall, Suntory Hall, Kennedy
Centre, Tivoli, Gulbenkian, St-Lawrence Center, Théâtre des Champs-Élysées, Beethovenhaus de
Bonn Philharmonie de Varsovie, Genève, Palau de la Musica à Valencia, Théâtre du Châtelet,
Concertgebouw d’Amsterdam... On a pu le suivre pendant des années avec la Lincoln Center
Chamber Music Society, dont il était membre. Il est l’invité de nombreux festivals: en Corée, au
Japon, aux Etats-Unis (Bath, Marlboro, Santa Fe, La Jolla, Blossom…), en Europe (Helsinki,
Verbier, Schleswig-Holstein, Stresa, Prades, Colmar, Monte Carlo… ).
Certains font appel à lui pour ses talents de pédagogue : il donne alors des master classes très
prisées. Ainsi peut-on suivre régulièrement son enseignement à Kronberg, Salzburg, Ravinia, en
Israel, à Manchester, etc et depuis 2011 à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Belgique, où
une classe de violoncelle s’est ouverte avec son arrivée.
Outre les orchestres cités plus haut, il se produit avec la plupart des orchestres que ce soit
Stavanger,
Varsovie, Madrid, Malaga, Granada, Budapest, Belgrade, Haïfa, Johannesburg, Cape Town, Santa
Rosa Luxembourg, Het Gelders Orkest, Lubeck ou Monte-Carlo, Mulhouse, Metz, Cannes,
Bordeaux,
Toulouse, National de France, Natnal d’Île-de-France, Colonne, Hallé Orchestra, Nederlandse
Philharmonish Orkest, Lübeck, Kuopio, Tampere, Orchestre de Dijon-Bourgogne…
S’il affectionne le grand répertoire classique pour violoncelle, Gary Hoffman n’en dédaigne pas
pour autant la musique contemporaine, dont il est un porte-parole engagé. Des compositeurs tels
que Graciane Finzi, Renaud Gagneux, Joël Hoffman, Laurent Petitgirard, Dominique Lemaître, lui
ont dédié leurs concertos. On a aussi pu entendre Gary Hoffman dans les concerti de Carter
Lemaître, Julius Bürger, et la saison dernière, il créait l’Epitaphe d’Arad Atar à Kronberg.
Cette saison et parmi ses projets, on retrouve Gary Hoffman avec les orchestres de Bienne
(Prokofiev), hr-Sinfonieorkester(Double de Brahms avec I Faust), Baton Rouge (Elgar), Israël
(Israël Camerata et musique de chambreTaipei Symphon, Hong Kong International Festival,
Hallé Orchestra (Dvorak Festival), Haifa Symphony Orchestra … également pour de nombreux
concerts de musique de chambre (Bouffes du nord, Venise, Festivals de Laon, de Storioni, Prades au
Champs Elysées, Thonon les Bains, Liège, Tilburg, Wigmore Hall, etc.), etc. Il développe une belle
collaboration avec le Jerusalem Quartet, de nombreux concerts sont prévus (Florence, Zürich,
Amsterdam, Niemegen, Münich, Madrid… ). Il partage sa carrière avec l’Amérique où il se produit
régulièrement.
Installé depuis 1990 à Paris, Gary Hoffman joue sur un Nicolo Amati de 1662 ayant appartenu à
Léonard Rose.
Gary Hoffman a enregistré pour BMG (RCA), Sony, EMI, Le Chant du Monde, la Dolce Volta,
avec Clare Désert (suite à Mendelssohn avec D Selig).
Les Automnales du Palais de Compiègne
Festival de musique classique
Informations pratiques
Tarifs :
Jeudis
Plein tarif 25€
Tarif réduit 15€*
Jeunes de 16 à 26 ans 10€
Moins de 15 ans gratuit
Formule 3 concerts
Plein tarif :60€
Tarif réduit : 35€*
Jeunes de 16 à 26 ans 24€
Moins de 15 ans gratuit
*Groupes à partir de 10 personnes, adhérents des Sociétés d’Amis du Palais de Compiègne, les
élèves des écoles de musique de Picardie, chômeurs et RSA.
Réservations :
Tel. : 03 44 38 47 35
Courriel : [email protected]
Billetterie sur place, ouverte 30mn avant le concert dans la limite des places disponibles.
Les concerts sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. Pour faciliter votre venue, nous vous
remercions de le préciser lors de la réservation.
Accès :
Palais de Compiègne
Place du Général de Gaulle – 60200 COMPIEGNE
GPS 49°25’06, 34’’N 002°49’48,23’’E
Par le train, départ de Paris – gare du Nord : environ 40 mn.
de Paris, autoroute A1, sortie n°9, Compiègne sud.
de Lille, autoroute A1, sortie n°10, Arsy.

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