Une murale plutot que des graffitti
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Une murale plutot que des graffitti
i Pres de I'eglise Saint-Joseph, dans Ie secteur Orleans ' :r r t ..J ,? \ ;).,oo? L e. {) L rOIT :~ne murale plutot, que d~~p._1 CHARLES THERIAULT ctheriault@ledroitcom • - ,,, .' .', ' Une fresque rappelant l'histoire d'Orleans remplacera les graffitis, sur un mur de soutenement situe pres de l'eg!ise Saint-Joseph. Le conseiller d'Orleans a la Ville d'Ottawa, Bob Monette, assiste du personnel de son bureau ainsi que de jeunes benevoles du groupe Sketch Orleans, a conimence bier a peindre Ie mur de soute'nement du stationnement d'un petit centre commercial, voisin -de l'eglise. Ce mur etait regulierement recouvert de graffitis . comme d'autres murs et viaducs , PATRICK woooeURY, LeOroil -du secteur Orleans. II Nousavons prls des mesures pour nous debarrasser de ces ~ 1IIe«NOllSavons pris des mesures gaux et ~ commence it fonctlonne;lt, a expllque Ie conselller Bob Monette .. pour nous debarrasser de ces graffitis illegaux et ca commence mur d'une entreprise d'Orleans. c'estbeaucoup mieux», a-toil a fonctionner. Comme l'a fait la Le proprietaire etait fatigue de ajoute. Ville de Gatineau, no us avons payer pour faire nettoyer les grafLe travail des artistes doit debumis certains espaces a l'intention fitis qui revenaient sans cesse. ter ce matin si la meteo Ie permet des auteurs de graffitis et nous Depuis qu'on a peint la murale, llsenontpourdeuxjours. avons fait peindre des murales ~--------------a certains endroits. Ce mur de soutenement est un peu isole et il attire les auteurs de graffitis. Les artistes du groupe Keep Six vont y peindre une murale rappelant les grands moments de l'histoire d'Orleans, a par- ' tir ~es origines amerindiennes jusqu'a aujourd'hui», a explique M. Monette qui a puise dans son budget discretionnaire de coll&eillermunicipal pour finan. cer Ie projet. Vandalisme . Les resPQnsables du projet sont conscients du fait que leur reuvre pourrait etre victime de vandalisme mais lis croient pouvoir eviter ce genre de problemes. «En general, les auteurs de graffitis respectent les murales comme celie que nollSentamons aujourd'hui», a declare Andre Brisebois du Centre des ressources pour la -------------------------------------jeunesse d'Orleans. « On impliqu~ les jeunes dans Ie projet alors lis ont plus tendance a respecter les murales qu'a les vandaliser. Ils developpent un sentiment d'appartenance envers . leur communaute. D'ailleurs, Ie nombre graffitis illegaux a beau- coup diminue depuis quelques annees. Souvent, c'est a l'avantage de tout Ie monde. Ainsi, nollS avons peint une murale sur Ie ~_ !}, I.':~