PRESSE - CESAME
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PRESSE Communiqué Inauguration de la Maison des Adolescents d’Angers La Maison des Adolescents d’Angers va ouvrir ses portes le 24 mars prochain. Cette structure spécialisée dans l’accueil, l’écoute et l’orientation des adolescents fait intervenir un certain nombre de partenaires, au premier rang desquels le Centre de Santé Mentale Angevin, le Centre Hospitalier Universitaire d’Angers, l’Association Ligérienne d’Addictologie et la Direction Territoriale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse. Ce projet qui bénéficie au départ du soutien financier du Ministère de la Santé, représenté par la Direction Départementale de l’Action Sanitaire et Sociale, a vocation néanmoins à embrasser un champ plus large que celui du sanitaire. L’objectif poursuivi au travers de cette Maison des Adolescents est d’offrir une réponse qualifiée et de qualité aux problématiques de l’adolescence, et d’adresser les ados et leurs familles vers la ou les structures de prise en charge les mieux adaptées (Education Nationale, Mission Locale Angevine, IREPS 49, Centre de Planification Familial, dispositifs de protection de l’enfance, associations…). Afin de présenter cette Maison des Adolescents et d’informer sur ses missions et les ressources qu’elle propose, une inauguration de cette structure aura lieu le : Mardi 23 mars à partir de 17h Au 25, rue Béclard 49100 Angers en présence de M. Salaün, Directeur du CESAME, de M. Caillat, Directeur Général Adjoint du CHU d’Angers, de M. Beauchamps, Directeur par intérim de la Direction Départementale de l’Action Sanitaire et Sociale et de Mme le Dr Laccourreye, Médecin coordonnateur du réseau de la Maison des Adolescents. Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 1 PRESSE Dossier Le contexte national Depuis quelques années, de nombreux engagements publics indiquent une volonté de contribuer à l’élaboration d’une stratégie nationale de prise en charge des adolescents en souffrance. En 2004, l’Etat prend l’engagement de promouvoir l’ouverture d’une « Maison des Adolescents » (MDA) par département, s’appuyant sur les constats des rapports de Claire Brisset, Défenseure des enfants, et sur des expériences locales existantes (MDA du Havre). Ces espaces multi partenariaux ont pour mission de répondre à un cahier des charges précis en tenant compte de la réalité locale en terme de population, de problématiques sociales et sanitaires et de ressources existantes. Les « Maisons des Adolescents » ont ainsi pour vocation de « prendre soin des adolescents en leur offrant les prestations les mieux adaptées à leur besoins », « leur fournir informations, conseils et aide au développement d’un projet de vie », et de « favoriser l’accès aux circuits traditionnels » pour ceux qui y restent extérieurs. Ces Maisons des Adolescents doivent « constituer un lieu ressource pour les acteurs concernés par l’adolescence (parents, professionnels, institutions)». Les constats du rapport 2007 « Adolescents en souffrance », de Dominique Versini, défenseure des enfants, viennent conforter cette orientation, argumentant la nécessité de développer des dispositifs innovants tels que les MDA. Le gouvernement poursuit l’objectif d’une MDA par département en 2010. Le contexte local Des prémices de la réflexion… Désireux de s’inscrire dans la réflexion soutenue par une campagne nationale forte, un grand nombre de professionnels et/ou d’institutions du Maine et Loire intéressés par la question de l’adolescence, s’est réuni de 2004 à 2006 pour un premier travail partenarial dirigé par la Ville d’Angers. Ce travail a conclu à l’existence d’un tissu local riche, pouvant répondre à la problématique des adolescents. Le groupe s’est donc positionné à l’époque sur le maintien d’une « entrée multi site » plutôt que la création d’un nouveau site unique (type Maison de Solène à Paris). …Au projet financé Cependant, à l’expérience du temps et même si le dispositif de réponses s’est enrichi dans son étoffe et dans son fonctionnement, l’ensemble des professionnels intervenant auprès des adolescents constate que l’accès à la réponse pourrait être amélioré en terme de repérage des ressources et de modalités d’adressage, par la mise en place d’un lieu unique. Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 2 Dans le contexte général et au regard d’une recrudescence de mobilisation locale, la DDASS a réuni, en février 2008, le Conseil Général, la Ville d’Angers, le CHU d’Angers, le CESAME pour relancer la réflexion autour du projet de création d’une Maison des Adolescents dans le Maine et Loire. Ces partenaires se sont entendus sur la nécessité d’un engagement conjoint concernant la création d’un espace repérable et en ont déterminé la configuration et les grandes lignes de fonctionnement. Ce projet est accueilli favorablement par le ministère de la Santé qui accorde les fonds prévus pour son volet sanitaire fin 2008. L’Union Régionale des Caisses d’Assurance Maladie (URCAM Pays de la Loire) de son côté accorde, en 2009, un financement pour un mi-temps de psychiatre coordonnateur, au titre du Fonds d’ Intervention pour la Coordination et la Qualité des Soins (FIQCS). En avril et septembre 2009, les collectivités locales, bien qu’ayant manifesté un vif intérêt pour le dispositif et contribué initialement à sa configuration, se sont prononcées défavorablement en revenant sur leur engagement financier. Dès lors, le CESAME, positionné comme coordonnateur du projet, s’est efforcé de trouver des solutions palliatives pour prendre en charge le coût des locaux, le budget de fonctionnement, le temps de secrétariat et le temps socio-éducatif initialement supportés par la Ville d’Angers et le Conseil Général. A cet effet, il a été décidé d’implanter la Maison des Adolescents au 25, rue Béclard à Angers, au sein du Centre d’Accueil et de Soins Intersectoriels pour la prise en charge des Adolescents (CASIA), à titre provisoire. Il s’agissait de répondre au souci d’accessibilité du lieu, en plein cœur de la ville d’Angers, tout en composant avec les moyens existants, la limite d’ores et déjà pointée étant celui d’un risque de confusion avec le CASIA dont la vocation est strictement sanitaire. Par ailleurs, la prise en charge des dépenses de fonctionnement et du temps de secrétariat est équitablement réparti entre le CESAME et le CHU d’Angers, en puisant dans les crédits obtenus et provisionnés en 2008 et 2009 pour le financement de la MDA. Restait donc à trouver les fonds pour enrichir le dispositif dans son versant socio-éducatif et étendre son action au-delà du sanitaire. Fin 2009, les partenaires de première ligne, impliqués auprès des adolescents, ont ainsi été invités à prendre part à la consolidation du dispositif. Ils ont tous exprimés leur intérêt vis-à-vis de la création d’un réseau de ressources dans le champ de l’adolescence et se sont positionnés, soit pour travailler en lien de réflexion étroite avec l’équipe, soit pour venir par leur compétences propres étoffer cette tête de pont du réseau qu’est la MDA. A l’issue de cette concertation, qui s’est poursuivie en 2010, l’Association Ligérienne d’Addictologie et la Direction Territoriale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse ont intégré l’équipe « noyau » de la MDA et contribuent à enrichir le dispositif en y adjoignant du personnel socio-éducatif. Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 3 Quel dispositif ? Promues par le Ministère de la Santé, de la jeunesse et des sports, les Maisons des Adolescents ne relèvent pourtant pas du dispositif de soins mais de la prévention. Il s’agit d’une offre d’accueil et d’orientation destinée à un public spécifique, peu enclin à se tourner vers les institutions dans lesquelles ils ne se reconnaissent pas. A ce titre, la mission de la Maison des Adolescents correspond à la définition de la prévention primaire, donnée par l’OMS, à savoir l’information de la population, de groupes cibles ou d’individus en vue d’empêcher l’apparition d’un trouble, d’un symptôme, d’une pathologie (éducation pour la santé, vaccinations, etc…). L’implantation de la Maison des Adolescents d’Angers, de même que l’origine des financements obtenus, entretiennent la confusion avec le sanitaire mais la mission de cette structure va bien au-delà. De fait, la Maison des adolescents n’est « ni [un] dispensaire, ni [une] maison de justice, ni [un] hôpital (…) »1. Elle propose un accueil pluridisciplinaire des jeunes de 13 à 20 ans, de leurs familles ou des professionnels en charge d’adolescents, et les oriente vers les lieux ressources existants dans divers secteurs d’intervention (sanitaires, psychologiques, socio-éducatifs, pédagogiques, juridiques…) insuffisamment repérés. Le dispositif actuel, organisé en mosaïque, doit se doter d’une interface qui garantisse une meilleure lisibilité des ressources activables pour l’usager et qui lui en facilite l’accès, de façon réactive et pertinente du fait d’une capacité d’analyse des problématiques spécifiques et de sa vocation à fluidifier le maillage du réseau. Le dispositif fonctionnel doit donc s’articuler autour d’un lieu et d’une équipe et contribuer à décloisonner les logiques de fonctionnement. Un lieu au cœur du dispositif repéré par les adolescents, leurs familles et les professionnels concernés par la problématique adolescente, facile d’accès, point central ouvrant sur le réseau, permettant d’apporter les premières réponses aux jeunes et, si besoin après analyse de la situation, orientant vers un acteur ressource du réseau MDA, fournissant des réponses par le biais des bornes avancées de certains partenaires au (les moins accessibles en temps ordinaires parce que trop marqués, peu connus…) sein même de la MDA, dites « permanences spécialisées ». Les locaux abritant la MDA sont situés à Angers, au 25 rue Béclard. Cette situation facilement accessible et facilement repérable pour les adolescents, permet un drainage du territoire angevin, même si l’accueil demeure ouvert à tous les adolescents du département. La MDA se veut un lieu ressource pour l’ensemble du département et travaillera à une collaboration active avec le tissu local des territoires de Cholet et de Saumur. 1 LORRAIN J-L, Rapport d’information n°242 présenté au Sénat le 3 avril 2003 Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 4 Une équipe pluridisciplinaire et issue du réseau de partenaires autour de l’adolescence : ayant une connaissance fine des problématiques de l’adolescence et des professionnels gravitant dans son monde ressource en terme d’analyse, d’évaluation de la problématique et d’orientation pour l’adolescent, sa famille et l’ensemble du réseau animatrice du maillage des partenaires pivot des actions de prévention, d’information et de formation sur les thématiques constellaires de l’adolescence. Dont les missions sont : d’accueillir l’adolescent, sa famille, de l’aider à élaborer sa demande et en circonscrire son domaine (psychologique, social, scolaire…), de lui fournir une réponse adéquate en lui facilitant, si nécessaire, l’accès au circuit traditionnel, d’être un lieu ressource sur le territoire pour les acteurs concernés par l’adolescence de contribuer à dynamiser la vie du réseau. L’équipe de la Maison des Adolescents est composée de temps de psychiatre coordonnateur, de psychologue, d’infirmier, d’éducateur, d’assistant social. Ils sont tous à temps partiel, issus du réseau des professionnels de l’adolescence pour en fluidifier le maillage. Principes de fonctionnement La MDA s’adresse aux jeunes de 13 à 20 ans, à leur entourage et aux professionnels intervenant auprès de ce public. Dans l’intérêt du mineur et à sa demande, l’accueil pourra se faire de façon anonyme, le cadre légal de la prise en charge des mineurs restant l’arrière plan interventionnel des professionnels accueillants. Les prestations sont gratuites. Le premier contact La MDA accueille les adolescents, seuls ou accompagnés, leurs familles, les professionnels intéressés par l’adolescence. Il est assuré par une personne de l’équipe qui reçoit la demande, en direct ou par téléphone, qu’elle soit spontanée ou orientée. La structure fonctionne sur des plages horaires étendues (14H00 à 19H) 2, permettant l’accueil des professionnels, le travail de contact des structures externes, le travail d’accompagnement des jeunes vers une ressource extérieure, la régulation du fonctionnement interne. Elle est ouverte toute l’année avec un fonctionnement minimal pendant les vacances scolaires (ou une semaine sur 2) et une fermeture au mois d’août. Ce premier contact doit permettre de fournir une réponse en terme d’orientation rapide soit vers la consultation d’évaluation, vers une permanence spécialisée ou vers un organe du réseau répondant plus spécifiquement à la problématique repérée. La consultation d’évaluation en binôme 2 Cet accueil offert tous les jours de la semaine ne sera possible qu’à compter de septembre 2010. Entre-temps, la MDA sera ouverte à raison de 3 demi-journées par semaine. Contact : Direction de la Communication du CESAME 5 Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] Si une consultation d’évaluation est nécessaire, un rendez vous est fixé dès le premier accueil et le plus rapidement possible. Elle a lieu du lundi au vendredi de 14h à 19h3. Elle est proposée par un binôme « bipolaire » : sanitaire (infirmier, psychologue…) et socio-éducatif (assistante sociale, éducateurs P.J.J., éducateur de prévention…). Cette association permet la complémentarité des compétences, offrant plusieurs grilles de lecture pour une analyse plus pointue de la situation. En outre, elle contribue au renforcement des liens interinstitutionnels. Elle a pour objectif de créer une alliance avec l’adolescent, de l’aider à formuler sa demande, à construire un projet individualisé. Elle permet d’avoir une représentation large des difficultés de l’adolescent dans son milieu de vie (famille, vie sociale, scolarité, monde professionnel…). Elle vise à répondre aux questions de l’adolescent en utilisant les outils à disposition (consultation spécialisée au sein de la MDA) ou, si besoin, en l’orientant vers une solution plus adaptée à sa problématique (ressources du réseau…). Elle peut se décliner sur plusieurs temps de rencontre si nécessaire sans pour autant prendre la forme d’un suivi. La fonction ressource auprès des professionnels Des temps de rencontre sont proposés aux professionnels engagés dans l’accueil des adolescents et se trouvant en difficulté avec une situation. L’équipe de la Maison des Adolescents peut ainsi être une ressource en termes d’aide à la réflexion dans des situations cliniques difficiles. Les membres de l’équipe amenés à répondre se déterminent en fonction de la spécificité de la situation. Ce travail sera mené en articulation avec le dispositif expérimental de « l’équipe ressource » (Aide sociale à l’Enfance – Protection Judicaire de la Jeunesse – Psychiatrie hospitalière) qui permet une analyse des situations de jeunes en voie de rupture d’accueil et la construction de projets de prise en charge partagée. Les permanences ou consultations spécialisées Si nécessaire, des permanences ou consultations pluridisciplinaires seront proposées sur place et sur RDV. Il s’agit de répondre de façon globale au questionnement de l’adolescent dans des situations où la prise de contact directe avec la structure compétente n’a pas encore pu se faire. Des consultations spécialisées de première ligne pourront ainsi établir le lien entre l’adolescent et le service concerné. Cet accompagnement se déclinera en 2 plateaux, l’un médicopsychologique, l’autre socio-éducatif. Un pédiatre, une thérapeute familiale constitue les premières ressources de ce plateau technique qui s’enrichira progressivement après l’ouverture du dispositif. Des groupes à médiation pourront être organisés dans l’espace MDA en fonction des besoins repérés. Nous savons combien à l’adolescence l’accueil en groupe et l’utilisation de médiations peuvent offrir d’intérêts. Ainsi sur des thématiques généralistes comme la parentalité à l’adolescence, les conduites à risque à l’adolescence, des groupes d’expression seront proposés aux adolescents ou à leur parents. Ils pourraient être co-animés en fonction de leur thème (intervenants MDA / intervenant du réseau). 3 Idem. Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 6 Les missions d’information, de formation et de prévention La MDA dispose d’un fond documentaire à déterminer en lien avec les partenaires et le CIJ qui lui-même est déjà très bien pourvu dans ce domaine. Un portail d’accès Internet devra être créé et mis à jour. La MDA est également un espace ressource ayant pour mission d’accompagner la réflexion sur la thématique de l’adolescence et pourra à ce titre être à l’initiative de conférences, de groupes de travail, de cycle de formation, ou répondre à des demandes dans ce champ. Elle pourra participer en animant ou en co-animant des actions de prévention à la demande des partenaires ou à son initiative (sexualité, violence, conduites à risque, addiction…). La MDA participera aux enseignements et aux actions de formation en lien avec le Diplôme Inter-Universitaire de Médecine et Santé de l'Adolescent organisé par la Faculté de Médecine d'Angers, qui réunit les Facultés de Nantes, Tours, Paris V, Poitiers et qui se déroule à la Maison des Adolescents de Paris (Cochin), depuis 2006. La dimension de la recherche La MDA participera activement au développement de la recherche clinique et scientifique, dans les différents champs de l'adolescence et dans les différents domaines : sociologique, anthropologique, culturel, éducatif, médical, psychologique, psychiatrique… Parmi les thématiques de recherche, certaines seront axées sur : L'épidémiologie : étude des facteurs de risque des difficultés, des troubles et des pathologies présentées à l'adolescence et qui sont au centre des préoccupations et des problématiques de santé publique (conduites à risque, addictions, suicide…). Les aspects cliniques : étude des modalités de prise en charge et d'accompagnement des adolescents qui présentent des difficultés (scolaires, sociales, somatiques, psychiques) voire des souffrances… La physiopathologie : étude des origines et mécanismes des troubles présentés par les adolescents permettant d'améliorer le dépistage précoce et la prévention mais aussi les réponses apportées aux adolescents et à leur famille. Cette activité de recherche se fera en partenariat avec les instituts d'enseignement et de recherches locaux et nationaux parmi lesquels : la Faculté de Médecine d'Angers, l'Université d'Angers, l'Observatoire Régionale de la Santé, l'Unité INSERM de la Maison des Adolescents de Paris. Moyens de fonctionnement Le budget de fonctionnement Le budget de fonctionnement consacré à cette structure est évalué à 220 000 €. Les locaux Le CESAME met gracieusement à disposition de la MDA 100m2 de locaux, au sein du CASIA. Ce lieu, bien repéré des adolescents, offre aussi l’avantage d’être situé au cœur de la Ville d’Angers (au 25 rue Béclard) et est ainsi facilement accessible. Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 7 Le personnel Interviennent, au sein de la MDA, les partenaires que sont le CESAME, le CHU d’Angers, l’ALIA et la Direction Territoriale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, sous forme de mise à disposition de moyens. Le CESAME, en tant que coordonnateur du projet, est le principal contributeur : - Mise à disposition de 100m2 de locaux - Apport en personnel (avec le soutien de la DDASS et de l’assurance maladie) o Un mi-temps de médecin coordonnateur (Mme Le Dr Véronique LACCOURREYE, pédopsychiatre) o 2 mi-temps de psychologues o 1 mi-temps d’éducateur o 1 mi-temps d’infirmier ou d’assistante sociale - Contribution au budget de fonctionnement (à hauteur des crédits assurance-maladie provisionnés en 2008 et 2009) - Co-financement du secrétariat (à hauteur des crédits assurance-maladie provisionnés en 2008 et 2009) Le CHU participe au projet par : - une mise à disposition de personnel o 4 vacations de pédiatre o 1 temps plein d’infirmier - Contribution au budget de fonctionnement (à hauteur des crédits assurance-maladie provisionnés en 2008 et 2009) - Co-financement du secrétariat (à hauteur des crédits assurance-maladie provisionnés en 2008 et 2009) L’ALIA et la PJJ contribuent également au projet en mettant à disposition du temps de personnel : - 1 mi-temps d’éducateur ALIA - 1 mi-temps d’éducateur PJJ Cette équipe a vocation à s’étoffer au fur et à mesure de son fonctionnement, et au travers des apports des différents partenaires du réseau MDA (Education nationale, Protection de l’enfance, Mission locale angevine, partenaires du monde associatif, Centre de planification familial, etc…). Les horaires d’ouverture Au 23 mars, date de l’ouverture de la MDA, l’équipe de la MDA ne sera pas au complet, tous les recrutements n’étant pas encore finalisés. Dès lors, un planning provisoire d’ouverture au public est établi de la façon suivante pour la période de mars à septembre : Ouverture : les lundis de 14h à 19h les jeudis de 16h à 19h les vendredis de 14h à 19h A partir de septembre 2010, la MDA sera ouverte tous les après-midi, de 14h à 19h, du lundi au vendredi. Contact : Direction de la Communication du CESAME Hélène FAUSSER – directeur adjoint Tél : 02 41 80 79 03 e-mail : [email protected] 8