Vrai Canton - Ville de Comines

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Vrai Canton - Ville de Comines
LE VRAI CANTON
Capélôs
Blancs Mouchons
FLANDRE
Bleu Vintes
Bas-Mountches
Mountches
COMINES-WARNETON
Comines (F)
TERROIR PICARD EN WALLONIE
Bulletin bimestriel de l’association culturelle
des cinq anciennes communes du canton
Warneton (F)
FRANCE
Briqueteux
Deulemont
Frelinghien
Bizétôs
Armentières
Houplines
La Lys
Editeur Responsable : Laurent BREYNE, rue de la Marlière, 5 - 7781 HOUTHEM
Périodique créé en juillet 1974 - N° 212 - novembre - décembre 2016
Adresse de contact : Le VRAI CANTON - Chemin de la Cerisaie, 1 - 7780 - COMINES - [email protected]
La GLOIRE de notre riche PASSE, c’est notre ESPOIR pour DEMAIN (8)
Avant de conclure dans un prochain numéro, nous passerons encore
en revue ici quelques personnages ou situations qui ont fait la réputation de la Wallonie, si pas de la Belgique et qui - une fois n’est pas
coutume - méritent bien un petit cocorico !
1. GODEFROID DE BOUILLON
Dès l’an Mil, la Terre Sainte avait exercé sur nos régions (qui allaient
devenir la Belgique) une attraction telle que l’appel à la Croisade lancé
par Urbain II en 1095 a trouvé de nombreux volontaires. Parmi eux, on
comptait Godefroid de Bouillon. Né dans les ténèbres de l’Histoire, il
était devenu Duc de Basse-Lotharingie. Ce territoire se situait grosso
modo dans l’espace compris entre Bouillon, Valenciennes, Tournai
(non inclus), Anvers et Cologne. Partie de Bouillon en 1096, la Croisade, forte de quelque vingt-mille hommes, connait maintes difficultés
et dissensions avant de se présenter devant Jérusalem. Des combats
sanguinaires parviennent à libérer le tombeau du Christ tombé aux
mains des infidèles. Avec trois-cents chevaliers, le « Premier Avoué
du Saint-Sépulcre » règne sur son territoire jusqu’à son énigmatique
décès en 1100. Ses successeurs ne parviennent pas à maintenir l’unité
de l’Empire qui, fragilisé, tombe aux mains de Saladin. De nouvelles
croisades seront organisées, mais en vain, sauf la 4ème qui se contentera de conquérir Constantinople et d’y créer l’ « Empire Latin » qui
subsistera de 1204 à 1261, dominé par des ducs et comtes de Flandre
et de Hainaut. Cette horrible histoire des Croisades n’est pas sans sousentendre une étrange coïncidence avec l’actualité. Comme quoi, l’Histoire ne fait que ressasser les mêmes scènes à des époques différentes,
avec d’autres acteurs toujours aussi cruels. L’Homme ne pourrait-il pas
en tirer des leçons ?
2. LA BANDE DESSINÉE
Même si elle est née en Suisse et qu’elle s’est développée en Amérique, c’est sur la sol belge que la BD s’est épanouie à l’initiative de
Hergé. Georges Remi est né à Bruxelles en 1907. Chez les scouts, son
talent le pousse à illustrer la revue « Boy Scout », avec le célèbre Totor.
Remarqué, Hergé est engagé au « Vingtième Siècle », où il crée le « Petit Vingtième », imaginant d’autres personnages. Il reprend ensuite l’un
d’eux, Totor, pour en faire « Tintin » avec qui il fera le tour de l’actualité
dans une option politique de droite. La suite est connue : des millions
d’albums traduits dans une dizaine de langues. Mort en 1983, Hergé
est devenu une légende à qui un musée est consacré. Dans la foulée, la
BD se démultiplie et donne vie à de nombreux personnages (Spirou),
à des revues (le Journal de Tintin), à des dizaines d’auteurs prolifiques
dont la source n’est toujours pas tarie et sui ont produit « Gil Jourdan
», « Bob Morane » « Les Tuniques Bleues », « Le Chat », pour ne citer
(malheureusement, faute de place) que ceux-là.
3. EDOUARD – LOUIS EMPAIN (Beloeil, 1852 – Woluwe-St-Pierre,
1929)
D’origine modeste, Edouard Empain décroche un diplôme d’ingénieur.
Son imagination le conduit à présenter de nombreux projets dont celui
de créer un réseau de chemin de fer vicinal (de tramways à traction
électrique). Ce mode de communication rencontre un franc succès.
Créant sa propre banque, il constitue un vaste empire économique. Et
son invention, le tramway électrique, se répand dans toute l’Europe et
même en Chine. C’est tout naturellement vers lui que se tourne Paris
pour créer le « chemin de fer métropolitain à traction électrique » dont
la 1ère ligne s’ouvre le 19 juillet 1900 de la Porte Maillot à la Porte
de Vincennes. Fort de son succès, Edouard-Louis Empain sera encore
appelé à soutenir la construction d’autres réseaux ferrés au Congo
(la Cie des Grands Lacs africains) et en Egypte (Héliopolis). Passionné
d’égyptologie, il modernise également le pays et crée la nouvelle ville
d’Héliopolis. Il est inhumé dans la crypte de la cathédrale Notre-Dame
de Tongre (au sud d’Ath).
4. PIERRE MINUIT (Wesel / Allemagne, 1580 – St-Christophe / ile
des Petites Antilles, 1638)
Les premiers occupants européens de Manhattan (devenue Nova Belgica, puis Nieuw Amsterdam, et enfin New York) étaient des Wallons.
C’est Pierre Minuit, d’origine tournaisienne, exilé en Allemagne pour
des raisons religieuses, qui mit le premier le pied sur cette nouvelle
terre, alors qu’il était au service de la Compagnie maritime des Indes
néerlandaises. C’est lui qui négocia l’achat de cette colonie avec le chef
indien de l’endroit, pour une bouchée de pain. Personne aujourd’hui
ne peut s’imaginer que la première langue étrangère qu’entendirent
les Amérindiens Manhattes de là-bas était peut-être le wallon …… Cocorico. Mais depuis il a été remplacé par une sorte d’anglais américanisé !!!!! On ne peut que le regretter. Et comme marque du passé, sur
la pointe sud de Manhattan, une place porte le nom de Pierre Minuit,
le premier gouverneur de la colonie. Mais qui – à part vous maintenant
- connait encore les origines de ce grand pionnier ?
5. RAOUL WAROCQUÉ (Bruxelles, 1870 – 1917)
Fils (Arthur), petit-fils (Abel) et arrière-petit-fils (Nicolas) d’industriels
wallons, Raoul Warocqué occupa une place prédominante dans l’industrie charbonnière. C’est lui également qui fonda l’Institut Warocqué de Mons (l’embryon de l’actuelle Université de Mons). Il incarnait
la puissance industrielle de la Wallonie à cette époque. Libéral progressiste et franc-maçon, ce patron humanitaire créa des crèches, des
maternités et un athénée. Il fit don de son château de Morlanwelz à
l’Etat qui, après l’incendie qui le ravagea, en fit le musée royal de Mariemont. Une richesse qui l’honore, lui et sa famille.
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Ène plème de coulon ...
In jour, l’bourguémète de CômanesWarneton i m’avôt raconté ène histôre
à peine crôyape. Come qu’i m’avôt pôs
d’mindér de t’nir m’lanke, j’vas pôs
publiyi in seûcrét. I savôt bin qu’cheule
affaire èle allôt tout d’manme sortir ét
que tous les Côménôs i-z’allôt’te l’savôr,
au monss tout sti qui lit l’ « Vrå Canton ».
I-a d’chô bin lormint, nou maïeur i
voulôt fère avinchi l’dossi de l’Route
Express que les Flamints i voulôt pôs vîr
passér su leus téres. Pourquô ? Va-t’in
savôr ? Ch’étôt surtout l’volonté d’ène
béle Rose, l’bourguémète de l’ville d’à
côté. Ele, ch’étôt pôs ène dint qu’èle
avôt conte Cômânes, ch’étôt tout sin
rat’li. Ele avôt réussi, cheule chorchîre,
à insérér à rapoule (pêle-mêle) l’dossi
de l’route au fond d’in tirôr du ministère. Ele étôt bin aveuc l’Minisse dés
Travaux d’adan qui étôt d’sin parti, la
‘Haine veilla’ ; i s’ap’lôt Bart Duivenaer.
In n’sét pôs pourquô, més sés copains i
l’ap’lôt’te « Den Duivenman ». Més te
vas comprinte puk lon.
In attindant, lés jins du canton i-z’avôt’te
béle à rouspéter, à manifestér dins lés
rues ét manme à sabotér lés commerces
de l’ville de cheule bourguémète de
malheur. Tèrtouss i sét bin que tchan
qu’in cante à in baudét, i fét dés péts.
L’histôre de cheule route qui arrivôt au
compte-goutte èle c’minchôt à puwir.
Lés intrepreneûs qui-z’arôt’te voulu installér leus usines dins nou canton, i sont
invô vîr ailleurs, te comprinds. I pouvôt’te pôs attinte lés airs (caprices) de
cheule Dame de Fér. Adan i-avôt monss
d’ouvrache dins nou canton, ét nou jeunèsse du Bizèy à l’Capéle,èle étôt adan
ôbliji d’sin allér puk lon tout duch’mint,
més seûr’mint.
Ç’pindant, nou
maïeur i féjôt
dés pids ét dés
mans pour sortir
l’fameux
dossi
d’sin tirôr dù qu’i
c’minchôt à sintir l’muji (moisi). Pèrsane
i-a jômés pu comptér lés kilomètes qu’i a
fét aveuc s’n auto ou aveuc l’tran pour al-
GARLOU 212
lér li-manme rinscontrér tous chés ronds
d’tchûr de l’administration dés travaux,
dù qu’ch’étôt ène vrå république. Tertouss i connéchôt’te nou bourguémète
ét i savôt’te bin cin qu’i v’nôt fère dans
leu cabinét. Més te pinses, déringér cés
torténeûs (trainards) à l’heure de l’apéro
ou bin lés révili pindint leu nène, ch’étôt
intassér akeur puk profond l’dossi de
l’route express. Surtout que l’Minisse i
v’nôt de Hasselt. Si bin que pour li, Cômânes, ch’étôt akeur puk lon que Pékin.
Heureûs’mint nou Gilbert i-avôt ène
passion : les coulons. Chés douches ét
arjires (légères) peutites bétes à plèmes
i savôt’te y fère pour calmér lés nèrfs
du bourguémète tchan qu’i orvenôt
beûrdoule (bredouille) d’Bruxelles ou
bin d’Namur. Leus bélés plèmes ét leus
‘aroutoucous’ i féjôt’te su l’ome l’éffét
d’un calmant qui li rindôt forche ét
côrache pour akeur ét akeur eurpérir
taper su l’clå au ministère. Et in puk, sés
coulons i féjôt’te dés preumis prix dins
tous lés concours. I n’d’avôt ôsseû qui
féjôt’te d-z’eûs d’ène grande valeur. Fère
ène omelette aveuc ché z’eûs-lô valôt
gramint d’dollars. I v’nôt’te d’partout
acatér dés jônes de coulons ou d-z’eûs
à mou Gilbert. I-étôt connu jusqu’in
Amérique ét manme in Chine. Et ch’ést
pôs Francis qui va m’démintir. Nou bourguémète i-étôt venu in grand spécialiste dins cheule matire ; i-étôt l’rô dés
coulôneûs. Ch’ést pour chô qu’ l’année
de d’vant, i-avôt été nommé Présidint
régional dés Coulôneûs d’Wallonie.
In jour qu’i-avôt été ène fôs d’puk buqui
à l’porte du ministère, le chef de cabinét
i li dit tout nèt : « L’Minisse i-ést pôs lô.
I ormét lés médales du concours colombophile à Hasselt. Lô-d’zeur nou maïeur
i d’minte pourquô qu’ch’ést l’minisse qui
dôt fère chô. « Ch’ést tout simpe, qu’i fét
l’âte, Môssieu Duivenaer, i vint de cheule
ville ét ch’ést in grand amateur des coulons. » Chin qu’i s’a passé dins l’tiéte à
Gilbert à ç’mômint-lô, te l’advènes. L’minisse ét li i-z’arôt’te d’quô babili insane.
V’lô que deux môs puk tard, nou bourguémète i-ést invité au banquét natio-
2885
nal des coulôneûs. Et qui que ch’ést qui
ést assis à s’drôte ? Te vas pôs m’crôre :
l’Minisse Duivenaer. I-étôt lô come Présidint des colônneûs du péyis flamind.
Au c’minch’mint du dineû, i parlôt’te
de l’météo, du football. Li, i-étôt pour
Westerloo et Gilbert pour l’Excel. Més
au dèssert, l’Côménôs i t’nôt pus insane.
Et v’lô qu’i-attaque su lés coulons. L’mot
i-ést pôs akeur tché dins l’ôrèle du minisse que sti-chi i s’mét à parlér et à parlér sans jômés s’arrétér. In vrå babiyâr. I
connéchôt les coulons sur tous les coutures, mi qu’sin catéchime ou sés tapes
de multiplication. Gilbert i fèrtiyôt (frétiller) de bénach’té su s’kéyèle. I-avôt
trouvé in camarate qui l’comprindrôt.
Et dins s’tiéte, l’kemin i-étôt tout tracé
: inter deux plèmes de coulons, Gilbert
i plåche l’dossi de l’route express. L’âte
i-arlife sin néz, i fét in clontche et i tape
dins l’man du bourguémète côminôs
com i font dins lés marchés d’vakes. Dins
in crâs souglou i dit: « Min très chèr ami,
l’affaire èle ést réglée. D’man, j’signe
l’dossi ét après-d’man lés papis i sont à
Cômânes ! » In orvenant du banquét,
nous maïeur i-a roucoulé tout l’route au
volant de s’vôture.
Te connôs l’rèste !… Malhureûs’mint
persane au ministère i savôt akeur dins
tcheul cabinét qu’i-étôt l’dossi de l’route
express de Cômânes. In a donc d’vu
n’d’in fère in âte. Et in sét chin que c’ést
que d’fère in dossi dins in ministère …
Hé, nan ? Més dins l’intervalle, l’gouvernemint i-a tché et Duivenaer ôsseû. Chétôt feurt à la mote dins chés années-lô.
Et l’nouvé minisse dés travaux, ch’étôt
pus in coulôneû. Ch’étôt in amateur de
courses de g’vôs. Te vôs de quô qu’i dépind l’avenir d’in péyis, d’ène ville, d’ène
région ou manme des jins : i dépind …..
d’ ène plème de coulons.
Ce texte inspiré de « Cyrano »
dans « Les Infants d’Tournai » n° 441 (1991)
a été adapté et écrit en picard cominois par
Jean Milleville.
Toute divergence avec la réalité historique
est dépendante de la volonté de l’auteur.
GRILLE 212
La Succession | Jean Paul Dubois | 240 pages |
19€ | Edition De l’Olivier
Jean-Paul Dubois est un auteur particulièrement discret ; le petit texte qui le présente est le même sur tous
ses livres et il est très difficile d’obtenir d’autres informations sur son compte. Le succès de ses derniers
livres, en multipliant les interviews, a légèrement desserré l’étau, mais on est surtout frappé de constater
qu’il réussit à parler longuement tout en ne disant que
peu de choses sur lui-même.
Il a suivi des études de sociologie. Il a été journaliste au service des sports
de Sud Ouest, au Matin de Paris, puis grand reporteur au Nouvel Observateur.
……. Je m’appelle Paul Katrakilis et je suis docteur en médecine. Je n’ai
jamais exercé. Je loue un appartement sur Hialeah Drive, je possède une
vieille voiture aux planchers de dentelle, et un vieux bateau guère plus
étanche, équipé, lui, d’un diesel Volvo auquel je confie régulièrement
mon destin. Il est amarré dans une marina du sud de la ville sans eau ni
électricité.
Les mots à trouver sont dans la garlousète. Pour permettre au plus
grand nombre de lecteurs de remplir la grille, ils sont soulignés. Mais
un courant d’air en a ajouté quelques-uns qui ne servent pas. En complétant la grille, vous découvrirez une expression picarde.
NB : « gréni » = se plaindre, faire des grimaces.
légères
hoquet
tiroir
sieste OU midi
même
quel ? ou quel !
cuir
jamais
longtemps
oreille
Je n’aime qu’une chose, la pelote basque, même si je suis né à Toulouse.
On y construit tous les avions du monde et pourtant la plupart des
pelotaris croient ou considèrent que cette ville est une sorte de lointaine banlieue de Bayonne ou de Guernica. Et quand un Philippin ou un
Argentin me demande si, chez moi, il y a un grand Jaï-alaï, je ne peux que
répondre : « Non, juste un fronton libre. »
L’hiver, à Miami, c’est la haute saison. Les Américains des grands lacs et
des régions des plaines, les Canadiens grignotés par le froid, croient depuis
toujours en l’été éternel de la Floride. Alors, ceints de leurs missels et de
leur foi météorologique, ils remplissent les hôtels, les bars, les restaurants
cubains, juifs, argentins, les casinos indiens séminoles, et les boîtes de
nude girls qui fêtent Noël tous les soirs depuis que le monde est monde…..
ensemble
bavard
encore
caprices
‘
dentier
tables
force
mode
L’humour est la politesse du désespoir. C’est la clef avec laquelle J-P Dubois ouvre la porte de ses histoires de discrets neurasthéniques. Son nouveau héros, Paul Katakilis, Toulousain comme lui, a fui le lourd héritage
d’une longue lignée de suicidés.
Son grand- père, Spyridon, médecin de Staline, qui prétendait avoir emporté après l’autopsie, dans son exil précipité, une lamelle du cervelet du
Petit Père des peuples, a ouvert le bal des maudits. Puis le frère incestueux de sa mère, oncle Jules. Et sa mère.
histoire
Paul Katrakilis, pris dans les rets troubles d’origine russo-grecques qui
prédestinent à devancer l’appel de la camarde, se demande de ce qu’il
a de commun avec cette généalogie de désaxés. Même sa petite amie
américaine, qui disparaîtra sans laisser de traces, cherchait à comprendre
ce qui clochait en lui.
âne
Il y a un mystère J-P Dubois. Comment s’y prend cet écrivain pour agencer
ces drôles de livres, chroniques intimistes et désabusées sur des antihéros, promenant une lassitude comique, subissant l’absurde avec une résignation mélancolique, presque insensible aux intempéries de l ‘existence.
Dubois cueille de petits moments de félicité sur le bord des chemins. Vite
assombris. Une élégance rarissime.
Jean-Paul Dubois mon chou chou absolu.
Lucie Baily - Présidente du centre de lecture.
2886
langue
réveiller
courage
pigeons
chaise
alors
moisi
nouveau
plumes
dent
frapper (sur qqchose)
Frapper (à la porte)
sentir mauvais
pays
MOTS CROISES du VC 212
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8
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HORIZONTALEMENT.
1. A Ploegsteert, sa création en vue d’accueillir les personnes
âgées remonte à 1896. (3 mots). 2. Pièce faisant partie des violons dans une chanson célèbre de Charles Trenet (L’). Rivière des
Pyrénées-Occidentales ou chef-lieu du département des Pyrénées-Atlantiques ou patrie des Palois. La plus belle des médailles
olympiques. Argot espagnol moderne qui emploie de nombreux
mots gitans. 3. Célèbre « Groupe » de musiciens russes du 19e
siècle romantiques et anti-esclavagistes. En hiver ils nécessitent
des pneus pour garantir la stabilité. Ville d’Allemagne, capitale
du Schleswig-Holstein en bordure de la mer Baltique. 4. Tenta. «
Mouvement de jeunesse » créé par Monseigneur Cardijn et qui
regroupait 88 pays en 1962. Protège le doigt. 5. Notre-Dame. En
Brabant wallon, sa vallée garde encore les souvenirs d’anciennes
abbayes et un peu de romantisme napoléonien. Dans le Puyde-Dôme, son « Procès » débuta en février 1942 pour juger les
militaires et les hommes politiques responsables de la débâcle de
1940. 6. Sans freins. Pas de problème. 7. Petit lac des Pyrénées
près de Luchon. Long fleuve d’Europe occidentale qui se jette
dans la mer du Nord. Plante sous laquelle on s’embrasse le jour de
l’An. 8. Est fêté chez les Mountches le 1er samedi de décembre. (2
mots). 9. Nouveau nom donné aux Côtes du Nord. Région picarde
située entre la Somme et la Bresle. 10 Cou en ancien français.
Deux cardinaux opposés. Longue période. Poème lyrique. 11.
Cuivre. Cette année encore elles désignent la pesée des potirons
et des courgettes dans la cadre de la ducasse du Moulin à TenBrielen. 12. Enlevée. Bel emplumé. Fibre textile dont la vallée de
la Lys a fait la renommée. 13. Celles des mines de la région de
Messines le 7 juin 1917 furent entendues jusqu’à Londres. Ville
hennuyère qui fête ses « Géants » le 4e dimanche d’aout. 14.
Bernée. Critique littéraire, philosophe et historien français (Vouziers, 1828 – Paris, 1893) [Hippolyte]. 15. Le 18 janvier 1906, il
créa « Le Comité olympique belge » [Edouard]. Petit papa créé
par Tino Rossi en 1946.
2887
VERTICALEMENT
1. Chef-lieu du département de la Saône-et-Loire où
naquit Henri Guillemin, célèbre conférencier de la RTBF
dans les années ’60. Avec Vanzetti, un immigré italien
(1888-1927) fut impliqué en 1920 dans une affaire
judiciaire américaine en tant que militant anarchiste
[Nicola]. Corps diplomatique ou Disque Compact. 2.
Club « Cyclo-touriste » de Bas-Warneton (Les) (4 mots).
3. Napoléon y vainquit les Prussiens en 1806. InstitutMédico-Légal. Condamné à la détention perpétuelle,
le Maréchal Pétain l’acheva sur l’ile d’Yeu. 4. Château
en face de Marseille, rendu célèbre par le « Comte de
Monte-Cristo ». Drame lyrique de caractère religieux au
Japon. Pied de vigne. 5. Bref Opus. Poète dramatique
français (Dreux, 1609 – 1650) protégé par le Cardinal de
Richelieu. [Jean]. Unité monétaire bulgare. 6. Le 15 aout
1806, il posa la première pierre de l’Arc de Triomphe à
Paris. Incarcéré. 7 Danseuse américaine d’origine irlandaise (San Francisco, 1877 – Nice, 1927) qui allait trouver
la mort sur la « Promenade des Anglais » étranglée par
son long châle qui s’était enroulé dans la roue arrière de
sa voiture de sport décapotable. [Isadora]. On le récolte
à Guérande dans les marais salants. 8. Ile anglo-normande qui
a gardé un système de redevance médiéval. Musique populaire moderne originaire d’Algérie. 9. Emile Verhaeren perdit
la vie dans la gare de cette ville en 1916. Marque l’étonnement. Abréviation des habitants d’Evreux dans l’Eure. 10. Lentille. Expulsion de quelqu’un hors de sa patrie. Agréable, gaie.
11. On le cultive chez les membres de la « Ligue du Coin de
Terre » quand ce n’est pas un mauvais film. Société anonyme.
12. Ce coureur belge décède le 1er octobre 1956 au Palais des
Sports d’Anvers des suites d’une chute en course [Stan]. Il
« mettrait Paris en bouteille ». Aluminium. Dans le vent. 13.
Service d’Aide à l’Intégration. Ecrivain français (BoulogneBillancourt, 1945) qui a obtenu le « Goncourt » en 1978 [Patrick]. 14. Chemin de halage ou bande de papier peint. Organisation des Nations-Unies. Qui a perdu toutes ses dents. 15.
C’est à Athènes en 1896 que ces « Jeux »devenus modernes
ont été organisés par Pierre de Coubertin.
Correction mots croisés 212
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