Gazette de l`IMPro Gazette de l`IMPro 254

Gazette de l’IMPro
EDITORIAL
EDITORIAL
254
Jeudi
Jeudi 27
27 janvier
janvier 2005
2005
Sommaire
Sommaire
« Nacht und Nebel »
(Nuit et Brouillard )
suite de l’éditorial
page 2
L
du côté de la catastrophe
du côté du courrier
e jeudi 27 janvier 2005 sera le jour du soixantième anniversaire de la libération du camp
d’extermination d’AUSCHWITZ–
BIRKENAU.
Le 27 janvier 1945, les soldats de
l’Armée Rouge soviétique arrivèrent
dans les faubourgs de cette petite
ville polonaise de SILÉSIE pour
découvrir l’impensable : là, de 1942 à
1945, les bourreaux nazis avaient mis
en acte la plus immonde folie meurtrière : faire disparaître de la surface
du globe tous ceux qu’ils ne considéraient pas comme des hommes, Juifs,
Tziganes, Polonais, prisonniers soviétiques, homosexuels...
A la fois camp de concentration,
camp de travail et camp d’extermination, le camp d’AUSCHWITZ–
BIRKENAU fut le théâtre de la
mort programmée de centaines de
milliers d’êtres humains, dont une
majorité de Juifs.
Les soldats qui pénétrèrent dans
AUSCHWITZ découvrirent pour la
première fois une architecture conçue
pour l’assassinat de masse.
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page 33
du côté des techniques
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du côté des départs
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du côté des départs 'suite)
tableau des stages
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Info-Coop
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Info-Coop (suite)
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Info-Coop (suite)
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du côté des loisirs
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Gazette de l’IMPro
Journal de l’IMPro Lecherbonnier
37, rue Jacques Duclos
91120 Palaiseau
Téléphone
01 60 14 37 47
E-mail
[email protected]
Site
http://www.imprlecherbonnier.fr.st
Responsable de la publication
Jean-Fançois GEY
Comité de Rédaction
Delphine DARVENNE
Info-Coop
Michèle PICART
Correcteurs
Jacques PARMANTIER
et Alain MARCHAND
Mise en page, impression et tirage
Norbert CASALS
Tirage à 130 exemplaires
(Suite en page 2)
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(Suite de l’éditorial)
L
Écrasée par la lourdeur du premier des
crimes contre l’humanité, notre bonne
conscience contemporaine a inventé le
« devoir de mémoire ». Expression étrange car si le devoir est une
contrainte, la mémoire n’est pas l’histoire. Sans doute, par cette expression,
voulons nous signifier la nécessité impérieuse de nous souvenir, de ne jamais
oublier...
Le week-end dernier, un mémorial a
été inauguré à PARIS : gravés dans la
pierre, les noms des 76 000 victimes françaises de la barbarie
nazie doivent nous permettre de nous
rappeler la brutalité des faits historiques, l’horreur d’une réalité incontestable, la crudité d’une vérité insupportable.
Quand les derniers survivants de
l’HOLOCAUSTE auront disparu et
que leur mémoire ne vivra que dans
nos esprits, nous devrons toujours nous
rappeler... pour que la violence méthodique, doctrinale, théorisée et sélective
qui a existé un jour en SILÉSIE ne
revienne jamais.
Nous devons savoir ce que
des hommes ont fait il y a 60
ans pour espérer que cela
n’arrive jamais plus… malgré
le CAMBODGE, le RUANDA,
l’ex-YOUGOSLAVIE ou la
TECHTCHÉNIE. Pour l’avenir, nous
devons situer AUSCHWITZ comme
un fait indélébile de l’histoire.
e camp d’AUSCHWITZ est
sans doute le plus connu parce
que il fut de loin le plus meurtrier : plus
d’un million de personnes y furent assassinées de manière organisée, planifiée, systématique, industrielle.
AUSCHWITZ est un ensemble d’énormes chambres à gaz, couplées avec
des batteries de fours crématoires.
Pour la première fois dans l’histoire de
l’humanité, des hommes ont organisé
méthodiquement, sélectionné rationnellement et planifié industriellement l’assassinat de millions d’autres hommes.
Dans le camp d’AUSCHWITZ–
BIRKENAU, l’homme n’existe plus :
entre destruction absolue ou recyclage... Les soldats soviétiques découvrirent d’immenses tas de lunettes, de
chaussures, de prothèses... et 7 tonnes
de cheveux non encore expédiés dans
les filatures allemandes... Comme le dit
H a n n a
A R E N D T
:
« AUSCHWITZ fut techniquement
conçu pour la fabrication de cadavres »...
C
et anniversaire doit être l’occasion
pour tous les citoyens d’Europe et
du monde de réfléchir sur des faits
historiques dont nul ne peut
nier l’évidence et la vérité.
Cette réflexion nécessaire, indispensable, imprescriptible ne doit pas nous
amener à une banalisation de faits à
nulle autre pareille. Aucune tragédie
n’est comparable à celle des camps de
la mort, car les victimes y étaient choisies et traitées industriellement.
Jean-François GEY
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du côté de la catastrophe
Tsunami
Au Sri Lanka, la mer a détruit toutes les maisons et des villes, au bord de
l'océan.
Il y a des gens qui sont morts, d'autres qui n'ont plus rien à manger.
Il y a des enfants orphelins tristes d'avoir perdu leurs parents.
Les gens ont perdu leurs vêtements et n'ont plus d'eau. Certains sont malades.
J'ai de la famille au Sri Lanka. Mon père a téléphoné : tout le monde va
bien. Ils n'ont pas été touchés car ils habitent dans les terres.
Tout cela m'a donné envie de pleurer.
Lydie C
du côté du courrier
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du côté des techniques
Repoussé sur Métal
Je suis éducateur technique à l’IMpro Monique GUILBOT, à l’Hay-les-Roses, dans
le Val-de-Marne (94).
Dans le cadre d’une formation professionnelle en vue de devenir éducateur technique spécialisé, je suis venu faire un stage pratique d’une durée de deux semaines au
sein de l’IMpro Roger LECHERBONNIER.
Ce stage m’a permis d’organiser, en partenariat avec le groupe des entrants, un atelier d’initiation à la technique que j’utilise avec mes jeunes, à savoir : le repoussé
sur métal.
Mon propos est ici de vous présenter cette technique et de vous expliquer comment
on réalise un repoussé.
La technique du repoussé trouve son application dans l’orfèvrerie et le statuaire.
Elle est utilisée depuis la plus haute antiquité et des civilisations brillantes telles
que les Sumériens ou les Egyptiens étaient déjà passées maîtres dans cet art appliqué. Les magnifiques objets réalisés avec cette technique, qui ont traversé le temps,
témoignent de leur savoir-faire en la matière.
Pensez, en effet, au masque funéraire de Toutankhamon.
Cette technique consiste à déformer des feuilles de métal pour créer des volumes en
utilisant leurs propriétés plastiques, c'est-à-dire : la capacité qu’elles ont de se déformer sous l’effet d’une pression exercée par un outils.
Pour faire un repoussé, il faut des feuilles de métal
de 1/10 e de millimètre : du cuivre, de l’aluminium
ou du Laiton.
On commence par faire un dessin simple au trait.
Ensuite, on scotche le dessin sur un morceau de métal et on pose le tout sur une éponge plate de cuisine. Avec un stylo-bille, on repasse sur les traits du
dessin en appuyant un peu fort. L’éponge permet au
métal de se déformer sous l’action du stylo-bille. Ensuite, on enlève le dessin et on
retourne la feuille de métal du côté où les traits sont en relief. Toujours à l’aide du
stylo, on cerne les traits pour accentuer le relief. Le travail se fait donc recto-verso.
Ainsi, avec un peu d’imagination, il est possible de créer toutes sortes d’objets décoratifs en métal : des photophores, des boîtes à bijoux ou des cadres pour photos,
par exemple.
Bonne année et …bon repoussé !
Christian GROSSE
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du côté des départs
Je suis venu vous dire que je m’en vais.
ou
IMPro, tu vas rire mais j’te quitte.
Il y aura 17 ans le 17 février que mon
stage à l’IMPro de Palaiseau coïncidait
avec la naissance de mon fils Etienne.
A l’époque, cet établissement au portail
grand ouvert, m’avait impressionné, par
son projet, ses personnalités, ses résultats.
J’ai, en 1991, pu intégrer cette équipe où la
communication, le dynamisme, les conceptions, l’engagement, mais aussi les conflits
et les altercations, se rejoignaient dans un
même et unique combat, considéré par
d’autres comme utopique : celui de l’intégration professionnelle de la personne handicapée mentale.
14 années ont suivi. J’ai participé à ma
manière à ce difficile mais néanmoins fabuleux projet en essayant toujours de montrer à vous adolescents que vous étiez
« capables de ».
Mon engagement durant ces années, sans
oublier les 7 années passées à l’IMPro de
Brunoy, a toujours été inspiré par ces deux
pensées.
-L'une citée par M. CHAUMON, professeur au CNEFASES de Beaumont-surOise, qui lors d’une conférence sur la formation professionnelle des déficients intellectuels, reprenait les propos de Maxime
GORKI : « Il vaut toujours mieux attendre le meilleur de l’homme, en attendre
le pire, c’est le pervertir ».
-L’autre, qui durant toutes ces années fut
constamment affichée dans mes salles successives : « Peut- être que l’histoire de
l’humanité est aussi la douloureuse histoire du combat mené par les hommes
pour résister, pour contrarier, pour em-
pêcher l’inadmissible suprématie du
plus fort sur le plus faible, du nanti sur
le démuni, de l’installé sur l’exclu. De
cette histoire, je veux partager, je veux
assumer l’héritage. Je revendique de ma
solidarité profonde avec la folie, la misère, la souffrance ». Tony LAINE.
Tout ce qui est soutenu dans ces deux
phrases, m'a aidé à tenir mon rôle d'éducateur technique. J’ai durant toutes ces années, avec souvent un peu d’humour pour
vous, essayé d’allier dans cette fonction
qui était mienne, mon humanisme à ma
passion pour l’horticulture.
J’ai vu nombre d’adolescents arriver, et
tout autant de jeunes adultes partir. Je les
ai écoutés, ils m’ont parfois étonné, parfois
fait soupirer. Je leur ai donné, transmis, ils
ont pris et j’ai reçu. Je les ai réconfortés,
rassurés, bien sûr influencés. Je me suis
opposé, j’ai refusé, je les ai vu grandir. J’ai
rigolé, je me suis parfois tu. J’ai essayé de
développer des compétences, souvent bien
gardées voire cachées. Mais en éducation
nul ne détient le savoir, la vérité. Alors les
joies ont côtoyé les peines, les déceptions
ont côtoyé les réussites.
Je garderai de ces 14 années passées, de
merveilleux souvenirs. Certains sont inscrits à jamais dans ma mémoire et je vous
les dois, vous qui faites l’IMPro, élèves et
personnel. Citer des événements ou des
noms, serait débuter une liste bien trop
longue. Sachez simplement qu’entre PortBarcarès et Cauterets, en passant par la
Martinique et Lamoura, le chemin fut enrichissant.
(Suite en page 6)
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Gazette de l’IMPro 254
du côté des départs (Suite de la page 5)
Le vendredi 18 février 2005 sera mon
dernier jour, passé en tant qu’E.T.S. à
Palaiseau. Je partirai alors pour rejoindre
un autre centre, pour un emploi de formateur auprès d’adultes. Pour répondre à
la question d'un élève du groupe horticulture, je ne pars pas parce que je ne
vous aime plus, mais parce que ce travail m'offre d’autres avantages.
Outre le fait qu'il s'inscrit dans une évolution de carrière, il me permet, tout en
restant dans le domaine des espaces
verts, de dispenser une formation sanctionnée par un diplôme de niveau V, et
ce, toujours dans le milieu social. Je suis
heureux d'avoir pu obtenir ce poste et
bien sûr triste à la fois, car je vais vous
quitter.
Mais la vie c'est aussi le changement et
vous-mêmes quitterez un jour cet établissement et les adultes qui y travaillent.
Je cède donc ma place et j’espère que
mon remplaçant saura prouver avec vous,
jeunes de l’IMPro, qu’handicap mental
ne rime pas avec incompétence. Servez-vous de vos échecs, pour mieux vous
construire, osez être, battez-vous, et donnez le meilleur de vous même.
Je vous dis au revoir. Je vous souhaite à
tous une bonne chance et une vie heureuse. Et, en tant qu’horticulteur, acceptez tous (élèves, parents et personnel)
pour ce prochain printemps, mes plus
belles pensées.
Daniel JALLAGEAS
Educateur Technique Spécialisé
du côté des
stages
stages
professionnels
dates
Jonathan B
CRP de Sillery
Epinay-sur–Orge (91)
18 au 21janvier 2005
"Les Mains Vertes"
Janvry (91)
stage accompagné par
Caroline GRAVELOTTE
et Pascale GALLET
15 et 17 fév 2005
Christelle C
Rudy G
Thibaut M
Olivier Y
Sonia K
Magali M
Patrice B
Karina W
Emmanuelle P
CAT "Mosaïc"
Les Ulis (91)
CAT "Jacques Monod"
Antony (92)
CAT "Mosaïc"
Les Ulis (91)
CAT "l'Etai"
Villejuif (94)
CAT "La Vie en Herbes"
Marcoussis (91)
CRP de Sillery
Epinay-sur –Orge (91)
Restaurant "Flunch
Les Ulis (91)
6
7 au 25 février 2005
24 jan au 04 fév 2005
7 au 25 mars 2005
24 jan au 04 fév 2005
1 fév au 22 fév 2005
4 au 15 avril 2005
retour les jeudis
10 jan au 24 fév 2005
retour les jeudis
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Info - Coop
Conseil de coopérative du lundi 24 janvier 2004
Présents : Johan L ; Vanessa M ; Cédric DC ; Lassana C ; Aurélie S ; Jennifer
B ; Nicolas C ; Jérémie A.
Bal
A la question d’un groupe
« Comment s’habiller Rock ? » il est
important de faire ce rappel :
Rock et Bandana est un thème
de décoration
et non un déguisement…
A vendredi soir…
Foyer
Les délégués approuvent la proposition d’un lecteur de DVD au coin
calme. Il faudrait acheter des DVD et
réfléchir à ce que l’on peut proposer
pendant ce temps « après repas ».
A partir du 2 février, la classe d’accueil commence le projet autour de la
rénovation du foyer avec l’atelier bâtiment.
de verres à thé, la classe horticulture
est d’accord. Jennifer (classe d’accueil et trésorière pense que ce n’est
pas nécessaire car les élèves n’en
boivent pas).
Ecoute des CD au foyer
Il faut en apporter si l’on veut varier
la musique. Il faut aussi tenir compte
du « goût des Autres ».
Match de foot du 16 avril
Aura-t-on un arbitre comme l’an dernier ?
Sur quel terrain va-t-on jouer ?
Aura-t-on des maillots ?
Fête des sortis du 12 février
Adultes concernés : Emmanuel R ;
Jonathan Z ; Cédric B ; Rami E M ;
Bar
Marlène B ; Florence C ; Cédric M ;
Joanna M ; Ludovic M ; Arab O ;
Demande de la classe MHL relative à
Clément R ; Damien T ; Clémént P ;
l’achat de petites bouteilles d’eau.
Elodie R ; Pierre Edouard H.
Concernant l’achat d’une théière et
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Info -
Coop
A partir de cette liste, il faut trouver des idées de cadeaux. Propositions de la classe MHL : livres,
CD, DVD, stylos, BD, portecartes, chèques cadeaux, places de
cinéma. On peut aussi penser à des
parfums.
(suite)
chose de particulier pour son projet…)
Somme d’argent proposée pour les
actions de solidarité :
- 100 € pour les Restos du
coeur
- 100 € pour l’Asie
Cartes d’adhérents adultes
Toutes les actions proposées pour
récolter de l’argent (Menuiserie,
projet Pizza, fêtes, dons…) vont
entrer dans les recettes du Foyer
Coopératif.
Renouvellement de la proposition
MHL : les délégués de chaque atelier vendent les cartes, aidés par les
éducateurs et enseignants.
Que fait-on ?
Réfléchissez, donnez votre avis,
faites vos propositions.
Foyer coopératif… Choix à déterminer concernant les actions …
Document joint
Propositions des délégués :
Il faut garder un peu d’argent et ne
pas tout dépenser.
Il faut donner la priorité à l’Asie et
aux actions de solidarité pour cette
année et donner un peu moins pour
les transferts.
Par exemple :
- diminuer la somme d’argent par
élève.
- acheter du matériel qui servirait
aux transferts. (Chaque transfert
pouvant avoir besoin de quelque
Prochaine réunion
le lundi 7 février 2004
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Info -
Coop
(suite)
FOYER COOPERATIF - Prévisions de dépenses, le 24 01 05
1) J’ai considéré que les dépenses et les recettes du bal seront en équilibre (ce qui
n’est pas sûr du tout)
2) J’ai compté 15 € pour les cadeaux, par invité à la fête de sorti (15 x 16 = .. ...€)
3) Il convient d’avoir une avance pour la fête de l’été pour pouvoir la préparer
4) Il faut penser qu’en fin d’année scolaire nous aurons des recettes suffisantes
pour organiser le bal en décembre 2005 !
Avoir du foyer coopératif (sept 2004)
3 640 €
Dépenses prévues
Transferts
Fête des Sortis
Match de foot
Avance pour la fête de l’été
Autres
Dons Restaurants du cœur
Dons Solidarité Asie
à déterminer (1600 € l’an dernier : 23 € / élève)
240 €
200 €
1 000 €
500 €
à déterminer
à déterminer
Recettes
Dons de solidarité
Horticulture
Cotisations
0€
630 € (déjà encaissés)
100 € (en cours d’encaissement)
QUESTIONS
TRANSFERTS
- Que fait-on pour les transferts ?
- Avons-nous des projets particuliers pour les transferts ?
- Il est urgent de faire des choix pour que l’équipe pédagogique puisse prendre
une position car le transfert ski part en fin de semaine !
ACTIONS DE SOLIDARITE
- Quelles sommes allons-nous verser pour des actions de solidarité ?
Alain Marchand
Le Mandataire
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du côté des loisirs
Mary – Kate et Ashley Olsen
Je passe la plupart de mon temps devant la
télé, surtout quand il y a Mary-Kate et Ashley Olsen. Je dévore séries, films, téléfilms, dessins animés. Elles ont participé à
14 séries télé, à 12 téléfilms et à 16 Films.
Mon film préféré est : "Papa, j’ai une
maman pour toi" ; ma série préférée
est : "Les jumelles s’en mêlent".
J'adore aussi le dessin animé qui les
met en scène.
Je les regarde et je les écoute depuis
que j'ai l'âge de regarder la télé.
Ces filles sont "trop cool", très jolies
et douées dans tout ce qu'elles entreprennent. Je les adore…et vous ?
Marie-Caroline A
AGENDA
Nous vous attendons, très nombreux, le 28 janvier, dès 21 heures, au
Bal de l'IMPro.
Nous nous permettons de vous rappeler que le thème du bal, choisi
par les élèves, "Rock et Bandana", concerne la décoration de la salle
et qu'il n'y a aucune obligation de se présenter déguisé selon ce thème.
L'EQUIPE de l'IMPro
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