Saint-Vincent - Fondation Vincent de Paul
Transcription
Saint-Vincent - Fondation Vincent de Paul
LaSaint-Vincent Lettre 44Décembre 2003 Numéro B U L L E T I N D ’ I N F O R M A T I O N D U G R O U P E H O S P I T A L I E R S A I N T - V I N C E N T E D I T O R I A L C omme vous le savez certainement, nous allons étudier, après l’accréditation (mai 2004), le transfert de la clinique Béthesda à la clinique Sainte Anne. D’aucuns peuvent s’étonner de cette décision. Elle résulte de trois éléments majeurs : la nécessité de mettre à niveau la conformité des bâtiments et du bloc opératoire de Béthesda, or, n’étant pas propriétaire, les sommes à engager l’auraient été à fonds perdus ; nous n’avons, en outre, aucune possibilité de développement d’activité sur ce site, alors que Béthesda, “clinique du rein" du Groupe Hospitalier Saint-Vincent, connaît une activité croissante. Enfin, pour des raisons évidentes de rationalisation et de sécurité sanitaire, il convient d’atteindre des tailles suffisantes d’établissement. Ce transfert s’étudiera dans le cadre du futur projet médical (2005 – 2010) et nul doute qu’il contribuera à renforcer notre logique de pôle et de modernisation de nos plateaux techniques. L’arrivée progressive d’une tarification à l’activité c’est à dire d’un budget calculé sur notre production médicale, va bouleverser nos habitudes et nos façons de gérer : en tout état de cause, cela renforcera la concentration. Toute la question va être de maintenir ce qui fait notre culture tout en nous adaptant à de nouveaux modes de travail et de prise en charge. Cela ne sera pas simple et génèrera nombre de discussions fortes. On regrettera le temps d’avant : nous avons tous fondamentalement en nostalgie le temps de notre jeunesse ! D’autres n’hésiteront pas à se projeter vers l’avant : nous devrons faire attention à ne pas tirer vers demain un petit groupe d’individus ignorant le gros des troupes. Reste que tout ceci n’est pas fondamentalement nouveau. A bien y réfléchir, on se promène toujours entre nostalgie et promesses d’avenir. C’est d’ailleurs un peu le sens que l’on peut donner à la venue d’un “petit d’homme" né un jour dans un coin de Palestine… Bonnes fêtes de Noël, à vous et à tous les vôtres. Jacques-Yves BELLAY GROUPE HOSPITALIER SAINT-VINCENT ... Bonnes fêtes de Noël, à vous et à tous les vôtres ... 2 3 La Let tre Saint-Vincent L’ É V É N E M E N T L ’ A V A N Ç É E PRIME DÉCENTRALISÉE DE 5 % “ANGÉLIQUE” … au service des personnes âgées Pour une dynamique de formation personnelle. La démarche ANGELIQUE (Application Nationale pour Guider une Evaluation Labellisée Interne de la Qualité pour les Usagers des Etablissements) qui vous a été présentée dans la lettre Saint-Vincent de décembre 2002 se concrétise par la création de postes supplémentaires dans nos deux services de long-séjour ainsi que par une démarche d’amélioration de la qualité. Pendant 2 ans, les équipes des 2 unités de long-séjour ont procédé à une auto-évaluation de la qualité des soins. Elles ont dégagé des objectifs d’amélioration et sollicité des moyens pour les atteindre. La direction a négocié ces moyens avec l’Assurance Maladie et le Conseil Général. Ainsi, 8 postes seront créés de 2004 à 2006 aux longs-séjours de la Toussaint et de Saint-Luc (AS, ASH, animatrice, psychologue). De plus, la convention signée avec l’Etat et le Conseil Général dans le cadre de la démarche ANGELIQUE a permis une réaffectation de certaines dépenses (équipe volante et dépenses d’exploitation) qui étaient jusqu’alors supportées par les budgets du court-séjour. Il est à noter que cette optimisation des moyens est financée conjointement par l’Assurance Maladie, le Conseil Général, mais aussi par une augmentation de 12 % des tarifs hébergement prise en charge par les familles. Les objectifs définis par l’ensemble des acteurs dans le cadre de la mise en place de la démarche de l’amélioration de la qualité sont : • Prévenir l’apparition des escarres. • Prévenir les risques de chutes en élaborant une politique adaptée par rapport à la convention. • Maintenir et développer l’autonomie de la personne âgée dans les actes de la vie quotidienne. • Réduire le taux des infections nosocomiales. • Optimiser la prise en charge des personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer. • Améliorer la prise en charge de la douleur. • Faire vivre le projet de vie et développer l’animation. • Lutter contre l’épuisement professionnel du personnel soignant. • Renforcer la sécurité du circuit du médicament. L ’ A V A N C É E Le Plan de formation 2004 Comme chaque année, à cette période, le plan de formation est arrêté pour l’année à venir. b. Les formations intra et inter : Les formations intra et inter-entreprises représentent 31 % du budget. Les principales retenues sont les suivantes : • Animation et conduite de réunion • Entretien Individuel d’Annuel pour l’encadrement et les cadres • Fin de la formation des référents Douleur • Gestes d’urgence • Accompagnement fin de vie • Soins palliatifs • Gestes et Postures • Informatique • Hygiène. Pour information, le bilan national 2002 de Promofaf fait ressortir une forte augmentation du financement des formations diplômantes dans les plans de formation (39 % en Alsace). Je dois ici également préciser la part conséquente de prise en charge de Promofaf dans le cadre du Fonds d’Intervention National ou du Programme d’Intervention pour la Qualité. À cela se rajoutent les formations spécifiques pour les agents des services hospitaliers organisées par la SODEXHO et les enveloppes dites imprévues, pour les formations de dernière minute ainsi que celles consacrées aux services techniques et aux plateaux techniques (biomédical, bloc opératoire…). Il est important de noter la prise en compte d’un certain nombre de formations dans le cadre des projets de service et de l’augmentation du nombre d’interventions assurées par des médecins du Groupe dans ce contexte. Elément nécessaire à la bonne adéquation entre les besoins des services, et ceux des professionnels pluridisciplinaires. La formation médicale représente 15 % du budget total, comme chaque année, soit 58 000 _, la participation aux congrès composant la majorité des formations suivies par les médecins. La formation doit ainsi, se concrétiser davantage par le retour sur investissement des personnels formés, témoins les référents douleur et hygiène et l’optimisation des qualifications de nos salariés. Ce développement de la prise en charge des formations longues répond à la dynamique du Groupe qui doit assurer chaque année l’optimisation de son niveau de qualification et l’anticipation de ses besoins. Enfin, 2004, connaîtra en lien avec la commission de formation, un travail autour de l’application de la réforme de la formation professionnelle et la préparation du plan pluriannuel 2005-2010. a. Les formations longues et diplômantes : En 2004, afin de continuer à accompagner la qualification des infirmiers spécialisés (IADE et IBODE) ainsi que les cadres de santé, le budget de prise en charge de ces formations sera de 54 % du budget total (soit 214 000 _ sur 391 000 _). En effet, sur l’exercice, il est prévu de former : 2 IADE, 2 IBODE, 5 cadres de santé, 1 puéricultrice et 1 infirmière (ancienne aide-soignante de bloc). Jean-François JEZEGOU La rénovation de la convention collective prévoit une prime annuelle décentralisée versée à l’ensemble des salariés dont le montant brut global est égal à 5 % de la masse des salaires bruts (2,5 % jusqu’au 1er juillet 2004 pour les médecins et pharmaciens). Cette prime est dite décentralisée puisque les modalités de sa distribution sont à négocier au niveau de l’établissement avec les syndicats représentatifs. Pour les personnels non médicaux du Groupe Hospitalier Saint-Vincent, il a été décidé par accord d’entreprise signé par la direction et les syndicats : • Que la prime et son reliquat seraient suivis séparément pour les cadres non médicaux, les personnels d’encadrement et les enseignants d’une part, et les autres salariés (hors cadres médicaux) d’autres part. 1. Modalités de versement de la prime : • Les modalités de versement restent inchangées par rapport à celles précisées antérieurement. La prime de 5 % sera donc versée mensuellement, minorée de 1/20ème de jour d’absence dès le 1er jour. • Les salariés n’ayant eu aucune absence pendant les 24 mois précédent la maladie pourront demander à la DRH le maintien de leur prime décentralisée. • Le montant de la prime décentralisée non versée en cours d’année du fait des retenues pour absentéisme formera le reliquat à redistribuer l’année suivante. 2. Modalités de versement du reliquat : • Le reliquat de la prime décentralisée est une prime exceptionnelle versée en sus du salaire. Il est distribué chaque année au mois de juin aux personnes inscrites à l’effectif du 1er janvier au 31 décembre de l’année précédente et présente à la date du versement. Il est distribué équitablement, divisé par le nombre de personnes concernées, soit les salariés ayant eu moins de 4 jours d’absence consécutifs ou non sur l’année civile précédente. 3. Choix d’utilisation du reliquat pour les ayant-droits : Afin de développer une nouvelle dynamique au sein de l’entreprise, il est décidé de laisser le choix de l’utilisation du reliquat aux personnels concernés. Les salariés concernés par le reliquat pourront ainsi choisir entre 4 possibilités d’utilisation au choix : • Option 1 : Versement d’une prime : Soit, le salarié percevra le montant du reliquat sous forme d’une prime intégrée à la fiche de paie. • Option 2 : Droit de tirage pour une formation personnelle individuelle : Soit le salarié bénéficiera d’un droit de tirage pour une action de formation personnelle (non professionnelle). Cette formation devra être faite hors temps de travail, sur les temps de repos. Ce droit de tirage sera équivalent au montant net de la prime versée dans l’option 1, majorée d’un abondemment de l’employeur de 60 % de cette prime. • Option 3 : Droit de tirage pour une formation personnelle collective : Soit le salarié bénéficiera d’un droit de tirage pour une action de formation personnelle (non professionnelle). Cette formation devra être faite hors temps de travail, sur les temps de repos. La différence avec l’option 2) est que dans ce cas, la formation sera collective du fait de l’accord entre 5 ou plus salariés du Groupe Hospitalier Saint-Vincent à suivre ensemble une formation commune. Ce droit de tirage sera équivalent au montant net de la prime versée dans l’option 1, majorée d’un abondemment de l’employeur de 90 % de cette prime. • Option 4 : Droit de tirage pour une formation répondant à un projet d’équipe : Ce droit de tirage permettra la prise en charge de frais de formation pour une équipe d’un service du Groupe Saint-Vincent. Dans ce cas, la formation répondra à un projet de l’équipe. Ces formations d’équipe, pourront répondre à des besoins touchant au professionnel ; de ce fait, elles seront faites sur le temps de travail. Ce droit de tirage sera équivalent au montant net de la prime versée dans l’option 1, majorée d’un abondemment de l’employeur de 90 % de cette prime. Bien évidemment, le choix d’utiliser le droit de tirage au profit de l’équipe traduira une solidarité des ayant-droits au reliquat avec les membres de l’équipe qui ne peuvent y prétendre. Par souci de reconnaissance de la réelle motivation et de l’investissement important que traduirait ce choix pour une équipe, l’employeur abonderait pour permettre la prise en charge de cette formation par une enveloppe budgétaire spécifique et plafonnée. Cet accord cherche à donner aux salariés ayant eu moins de 3 jours d’absence sur l’année de réels avantages leurs permettant de suivre des formations personnelles, qui seront d’autant plus avantageuses si elles sont faites collectivement. La mise en oeuvre de cet accord se fera dès le 1er janvier 2004 pour ce qui concerne les modalités de versement de la prime de 5 %, et en 2005 pour ce qui concerne l’attribution du reliquat. Luc ALGIS 4 5 La Let tre Saint-Vincent U N S E R V I C E S E P R É S E N T E Pôle Gériatrique de la Toussaint Aboutissement de plusieurs années d’efforts conjoints entre médecins et direction, le pôle gériatrique de la Toussaint est constitué : De l’unité de Soins de Suite et de Réadaptation (27 lits) au premier étage de la clinique. De l’Unité de Soins de Longue Durée (30 lits) au deuxième étage. L’Unité de Soins de Suite et Réadaptation accueille des patients âgés et polypathologiques nécessitant une convalescence médicalisée après une phase aiguë, médicale ou chirurgicale. Ce service est destiné à des patients ne relevant pas de soins de suite spécialisés (rééducation fonctionnelle, réadaptation cardio-vasculaire, alcoologie…). Il délivre des soins actifs à dominante gériatrique, afin de restaurer une autonomie suffisante pour un retour à domicile ou une entrée en institution en cas d’échec. Le recrutement des patients se fait prioritairement au sein du Groupe Saint-Vincent, un accueil de patients venant d’autres structures (HUS, CTO…) se faisant dans la limite des places disponibles. Ce service, ouvert depuis septembre 2003, permet de répondre à un manque criant de Moyen Séjour gériatrique dans la Communauté Urbaine de Strasbourg. L’Unité de Soins de Longue Durée est un service hospitalier d’hébergement pour personnes âgées dépendantes nécessitant une surveillance médicale et des soins d’assistance dans la vie quotidienne. Lieu de soins, le Long Séjour est également un lieu de vie, puisqu’il devient la résidence permanente des personnes accueillies. Les objectifs développés dans le Service sont de maintenir le potentiel physique et psychique des résidents, de restituer une vie sociale et d’accompagner les résidents jusqu’à la fin de leur vie. Ces deux services partagent des valeurs communes, mais également des principes de prise en charge : approche globale du patient, concertation en équipe pluridisciplinaire, méthodes de travail et outils performants( incluant l’informatique pour les prescriptions médicales). Les deux unités ont été regroupées en pôle gériatrique, avec un coordonnateur médical afin de garantir une prise en charge homogène. Les services sont très proches, tant en géographie qu’en fonctionnement, puisqu’il existe une mutualisation de personnel (médecin, kinésithérapeute, diététicienne…). Le pôle gériatrique fonctionne en réseau ; celui-ci connaît trois aspects : Un réseau interne au Groupe Saint-Vincent (correspondants médicaux, plateau technique…) Un réseau interne à la Fondation (Maisons de Retraite Saint-Charles et Saint-Joseph) Un réseau extérieur (Centre de gérontologie des HUS, associations de maintien à domicile, médecins traitants, institutions gériatriques…) La clinique de la Toussaint apparaît comme la pierre angulaire d’un réseau gérontologique Saint-Vincent en voie de constitution. Les perspectives de développement du pôle gériatrique sont nombreuses. Un projet d’hébergement temporaire médicalisé est en cours d’élaboration, afin de soulager les aidants familiaux. D’autres structures sont à l’étude au sein de la clinique (consultations mémoire, accueil de jour pour malades d’Alzheimer, équipe mobile de gériatrie…). En conclusion, l’ouverture du service de Soins de Suite et Réadaptation a permis de franchir une étape décisive dans la constitution d’un pôle gériatrique à la Toussaint. Une filière hospitalière de prise en charge des personnes âgées se met en place au Groupe St Vincent. Cette prise en charge se fait nécessairement en réseau, avec des partenaires internes et externes au Groupe, permettant d’optimiser la qualité des soins. Cependant, il ne faut pas en rester là. Les événements tragiques de l’été dernier nous ont montré que les besoins étaient insuffisamment couverts. Il est donc nécessaire de développer une large palette de soins gérontologiques pour la population strasbourgeoise. Docteur Stéphane DIMITROV Le service de Soins de Suite et de Réadaptation Ça y est ! Le service de Soins de Suite et Réadaptation (SSR) a ouvert ses portes au1er septembre 2003. Nous avons débuté par une semaine de formation, d’informations, de réflexion sur l’organisation des soins, de temps consacré à l’aménagement des locaux du service. Venant tous d’horizons divers – différents services du GHSV, nouvelles embauches – , cette semaine nous a permis de faire connaissance, d’échanger en équipe pluridisciplinaire (médecins, infirmières, aides-soignantes, ASH, kinésithérapeute, diététicienne) sur le fonctionnement du futur service. L’équipe de soins est au complet depuis le mois d’octobre, renforcée par un kinésithérapeute à la mi-novembre. Après trois mois de fonctionnement, nous pouvons partager nos premières impressions. Le grand intérêt que présente le service est lié à la diversité des patients ; ceci nous amène à assurer des soins infirmiers très variés, souvent en liaison avec les spécialités du GHSV (diabétologie, médecine interne, oncologie, chirurgie digestive, ORL, urologie…). Nous avons pour objectif de soin d’aider les patients à maintenir et/ou retrouver un maximum d’autonomie, pour préparer au mieux leur retour à domicile ou, si besoin, leur entrée en institution. Pour ce faire, un bon esprit de collaboration s’est instauré avec les différents acteurs de l’équipe, ASH, diététicienne et notamment les kinésithérapeutes et l’assistante sociale. L’ensemble de cette équipe se retrouve une fois par semaine, en présence des deux médecins du service, pour faire le point de la situation de chaque patient. Pour autant, nous ne sommes pas toujours satisfaits de nos pratiques. Au vu des effectifs présents, il nous est parfois difficile d’accorder tout le temps et la présence que certains patients demandent. Dilemme auquel la seule infirmière de nuit est encore davantage confrontée. L’organisation du travail au quotidien prend forme, avec une certaine souplesse pour se réajuster selon les nouvelles difficultés qui apparaissent. Des projets se mettent en place, comme l’intervention de coiffeurs, d’esthéticienne ; d’autres restent à concrétiser, telle la structuration d’activités occupationnelles et d’animation. Les idées ne manquent pas pour améliorer les conditions de prise en charge des patients, mais nos moyens ne sont pas toujours à la hauteur. Notre cheminement continue toutefois, pas toujours assez vite à notre goût, mais en prenant de l’assurance et de la maturité. L’équipe de soins du S.S.R. 6 7 La Let tre Saint-Vincent E N S E M B L E E N S E M B L E À L’IFSI, les voyages forment la jeunesse Dimanche 21 septembre à l’aéroport de Luxembourg…, lundi 22 septembre à la gare de Strasbourg et dans les locaux de l’Institut, débutait une semaine “particulière" pour les 90 étudiants infirmiers de 3ème année (D.E. en avril – mai 2004). Traditionnellement, depuis près de 30 ans, la fin de la formation est l’occasion d’un temps de travail en commun et d’“agapes finales" avant la séparation. Les anciens se souviennent d’un congrès de l’ANFIIDE à La Baule, des journées du Comité Chrétien des Professions de Santé à Paris, des voyages d’études à Berlin, en Italie, en Catalogne, au Québec, en Grèce, en Tunisie…, des sessions “connaissance de soi" et “effort et connaissance de soi" où ils escaladaient et randonnaient dans les Vosges, découvraient d’autres possibilités d’interventions infirmières, progressaient dans la connaissance de soi et de l’autre pour mieux “prendre soin". Ce qui était possible à 37 aux Diaconesses et à 50 à Sainte-Marie, ne l’est plus à 90 aujourd’hui ! Plusieurs projets sont maintenant élaborés, au plus près des objectifs poursuivis et des possibilités des étudiants et des formateurs fort sollicités en temps et en énergie à ces occasions. Traditionnellement, cela se passait dans les derniers mois, dans l’année du D.E. Maintenant, nous préférons réaliser ces sessions à mi-chemin de la 3è année, car ces activités permettent entre autres de faire émerger les petits conflits qui entravent la vie de la promotion et dont le réajustement un temps plus long avant la fin des études n’est que bénéfice p o u r tous. L’intense restitution à l’ensemble par chacun des groupes de ce qui a été vécu nous fait repartir différemment pour le dernier semestre ! Tout cela s’inscrit dans le projet pédagogique qui propose de se référer chaque fois que possible à la notion de groupe et d’équipe, qui encourage la mise en œuvre de tout ce qui peut contribuer à l’expression de l’étudiant, de son potentiel à travers expériences et productions pour le collectif. ■ À Waldersbach, les 30 étudiants et les 3 formatrices qui se sont relayées ont ainsi testé leur propre résistance à l’effort et la satisfaction que cela procure, approfondi des techniques de relaxation, massages et bien être, découvert cultures et cuisines différentes… et l’œuvre de Jean - Frédéric Oberlin. ■ À Lisbonne, à 48 étudiants et 2 formatrices, nous avons expérimenté la vie en auberge de jeunesse (fort bruyante et loin de nos principes d’hygiène…), découvert le système de santé portugais, la formation déjà inscrite dans la filière L.M.D. (Licence – Master - Doctorat), l’Ordre des Infirmiers et rencontré des professionnels en hôpital et en centre de santé communautaire. Les tramways lisboètes nous ont facilité les déplacements, les vagues de l’Atlantique ont engendré quelques émotions et l’incontournable “soirée fado" nous a également fait progresser dans la connaissance de la cuisine et de la culture portugaise. Et c’est à l’Institut Piaget d’Almata que dans le cadre du congrès des musiciens intervenants, nous avons rencontré Yvonne Nsengiyumva, Annie Pietrek, les enseignants et les étudiants de l’université Marc Bloch ! Les 12 étudiants restés sur Strasbourg ont travaillé “voix et corps" avec Abdel Lakraa, chorégraphe et homme de théâtre. Leur investissement, leur joie de travailler ensemble et de découvrir, lors des déjeuners, les saveurs de cuisines différentes nous ont été transmis à travers le film vidéo réalisé. Que ce soit dans la vallée de la Bruche, sur les bords du Tage ou dans les locaux de l’IFSI, tous ont pu mesurer l’impact de l’accueil et des moments conviviaux sur la vie de groupe. Tous sont sortis enrichis de ces moments de rencontre, de construction et de réalisation commune de projets qui donnent sens, sur un plan collectif, à ce qui nous rassemble. Tous ont aussi participé financièrement à ces temps “extra-ordinaires". Martine LAGUILLIEZ – Marcelle GROSSKOST Séminaire Internationnal “la musique comme moyen d’humanisation” Université européenne d’été au Portugal La deuxième partie de la session de l’Université Européenne d’Eté s’est déroulée du 24 au 27 septembre 2003 à LISBONNE et à COIMBRA au PORTUGAL. Elle a complété la première phase qui s’était déroulée les 23 et 24 mai 2003 à la Clinique Saint-Luc à SCHIRMECK et à l’hôpital Sainte-Catherine à SAVERNE. La richesse de ces journées est liée à la qualité d’accueil de nos hôtes portugais, à la qualité de l’organisation par le CFMI (Centre de formation des Musiciens Intervenants – Université Marc Bloch de Sélestat), aux échanges avec les professionnels et non professionnels de la santé de la région et de différents pays, convaincus par la place de la musique dans le “Prendre soin de….". Ceci malgré la mutation qui agite le monde hospitalier, même en dehors des frontières et impose des exigences au quotidien. Si la musique est reconnue comme moyen d’humanisation et outil de qualité de vie de la personne soignée quelque soit le service : pédiatrie, centre de rééducation, gériatrie,… ses modalités de mise en œuvre doivent être réfléchies tout comme les moyens pour pérenniser l’action. Le départ de notre groupe, soit une trentaine de personnes (direction, encadrement du CFMI, étudiants, encadrement des structures hospitalières de Saverne, Sélestat, clinique de la Toussaint et de la clinique SaintLuc, Madame GITZ médecin coordinateur de la formation universitaire de gérontologie, Anne MISTLER de la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Alsace…) entouré d’instruments de musique et d’une poussette des années 1970 n’est pas passé inaperçu à l’aéroport d’Entzheim le 22 septembre dernier. Le groupe était rejoint à Paris par Danièle WOHLGEMUTH du Ministère de la Santé et par Xavier COLLAL du Ministère de la Culture. Il retrouvait à LISBONNE les représentants de ce pays et d’Italie dans une joyeuse ambiance. Le programme alternait conférences, débats, projections de documentaires (dont celui tourné auprès des personnes âgées de nos structures en mai 2003), séminaires restreints, observations d’actions musicales réalisées conjointement par les étudiants de SELESTAT et d’Italie dans des structures pédiatriques de LISBONNE et COIMBRA, échanges avec les équipes médicales et soignantes. Claire ATTALI, musicien intervenant présentait les conclusions très intéressantes de son mémoire réalisé en service de Néonatalogie de Saverne portant sur l’environnement sonore perçu par les nouveaux nés en couveuse. Nous avons été les témoins de moments forts de complicité entre les enfants et les musiciens où la musique était langage faisant fi de toute barrière linguistique. Le concert offert par des adolescents lourdement handicapés du centre de rééducation de COIMBRA a été un véritable cadeau et une très grande leçon de courage. L’ingéniosité des éducateurs par l’adaptation des instruments aux handicaps permet à ces jeunes d’exprimer la vie avec fougue et de conserver leur identité. Ils sont intégrés au conservatoire de la ville et participent aux représentations internationales. D’abord conçue et pratiquée comme une succession d’activités destinées à lutter contre l’ennui, l’animation en gérontologie s’oriente aujourd’hui vers des réponses adaptées à des attentes individuelles qui visent l’intégration des personnes et leur participation à la vie sociale. Ce journées ont permis de re-préciser que la musique à l’hôpital n’était ni de la musicothérapie ni une animation musicale pour la distraction. Un grand professionnalisme est exigé des étudiants reconnu depuis septembre 2003 par la création du Diplôme Européen de Musiciens Intervenants. La pérennisation des interventions des musiciens professionnels à l’hôpital nécessite : ■ que les projets soient portés institutionnellement par tous les acteurs, ■ que les actions soient évaluées objectivement pour être améliorées et légitimées par les professionnels, patients, familles et financeurs, ■ que le personnel soit formé à la spécificité de l’approche pour développer l’accueil, l’intégration des musiciens et prolonger les interventions (ex : réfléchir à la façon de modifier l’espace sonore pour le rendre moins agressif), ■ un financement : l’intérêt manifesté par les Ministères de la Santé et de la Culture représentés tous deux est à apprécier. Dans un certain nombre de régions, la Direction Régionale des Affaires Culturelles a négocié avec l’Agence Régionale de l’Hospitalisation des Conventions permettant un financement commun. Une Convention Nationale signée en mai 1999 entre le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité et le Ministère de la Culture et de la Communication favorisent les jumelages entre les hôpitaux et les équipements culturels. La signature des Conventions Tripartites peut être une opportunité pour inscrire cette prestation dans les projets de vie des EHPAD. Les trente dernières années, l’institution hospitalière a connu des évolutions considérables. Elle a accompagné l’essor exceptionnel des techniques médicales, l’exigence croissante de sécurité pour mieux répondre aux attentes des usagers du système de santé et aux obligations du service public, mais la technique n’est rien sans l’humanisme. Notre système de soins est confronté à une demande de plus en plus forte d’un droit à la santé plus large, garantissant le respect de la dignité d’humanisation des conditions de prise en charge. Ces forums de rencontre dans la dynamique de création d’un réseau européen, permettent de diffuser et connaître la richesse des interventions pour poursuivre l’action, l’amplifier, et rendre habituelle et familière la présence de l’art à l’hôpital. Dans la région des réflexions et recherches plus scientifiques sont également poursuivies. Annie PIETREK, 8 9 La Let tre Saint-Vincent L E S M É T I E R S D E À propos d’une crise sanitaire L’alerte “endophtalmie” du 1er décembre 2003 à la clinique SainteBarbe est un exemple d’implication de tous les personnels médicaux, paramédicaux et de la direction dans la gestion d’une alerte sanitaire. Notre objectif : améliorer constamment la qualité et la sécurité des soins aux malades que nous accueillons. • L’alerte est donnée par le chirurgien et le chef de bloc qui signalent une complication post-opératoire rare chez un malade opéré 4 jours avant au Docteur POTTECHER, Médecin Hygiéniste du Groupe Hospitalier Saint-Vincent. • Le docteur POTTECHER contacte Madame CHAPUIS, directrice des services de soins (DSS), et la décision est prise de suspendre l’activité d’ophtalmologie, le temps de mener l’enquête sur ce cas et d’apporter éventuellement les mesures correctives appropriées. • Une réunion entre les ophtalmologues et le docteur POTTECHER a lieu le 2 décembre, où toutes les hypothèses de causes sont examinées. • La cellule de crise, composée de Monsieur Jacques-Yves BELLAY (directeur), Madame Sylvie CHAPUIS (DSS), Madame Martine SENGLER (responsable-clinique), Madame Martine VESAPHONG (cadre soignant chargé de la stérilisation), Madame Elisabeth BITSCH (chef de bloc Sainte-Barbe), Madame Nathalie PARISOT (IBODE), Madame Françoise PIERI (pharmacienne), Madame Sophie BLEZ (pharmacienne), Madame Marie Laure ANDRE ALI (ingénieur biomédical), Monsieur Thierry RENAULT (ingénieur technique), Docteur Béatrice POTTECHER (médecin hygiéniste), Docteur Michel BACH (référent hygiène des ophtalmologues), Madame Lysiane HENNEQUIN (IDE hygiéniste) est réunie le 3 décembre afin d’examiner les résultats de l’enquête menée par le docteur POTTECHER. • Un plan d’action est décidé qui consiste à : ◗ remplacer tout dispositif médical fin et creux par du matériel à usage unique, ◗ contacter une société pour améliorer le pack opératoire, ◗ vérifier les gaines de soufflage d’air en salle d’opération, ◗ faire une déclaration “matériovigilance", ◗ signaler cette infection à la DDASS et au C.CLIN Est (Organisme de coordination des comités de lutte contre l’infection nosocomiale pour la région Est). • Le 9 décembre après mise en œuvre du plan d’action et validation de la qualité de l’air en salle d’opération par des prélèvements d’air, l’activité opératoire d’ophtalmologie a pu reprendre à Ste Barbe. • Tout au long de la crise les cadres soignants et les médecins du bloc opératoire de Sainte Barbe ont soutenu et informé les équipes soignantes concernées Sylvie CHAPUIS S A I N T - V I N C E N T La Direction des Soins ORGANISATION DU SERVICE DE SOINS Groupe Hospitalier Saint-vincent Créée début 2002, cette direction fonctionnelle du Groupe Hospitalier Saint-Vincent composée de la directrice des soins, des responsables cliSODEXHO Raphaëlle MIGNON, Responsable de secteur niques, de l’encadrement soignant et de tous les personnels paramédicaux a en charge l’organisation et la gestion des soins paramédicaux délivrés aux malades tout au long de leur séjour, de l’accueil à la sortie, ELIS Sylvie STRASSER, Responsable suivi clients santé en garantissant sécurité et amélioration continue de la qualité. La direction des soins est missionnée sur de grands projets visant à Direction des Services de Soins structurer et rendre lisible l’activité “soins" pour tous les acteurs Sylvie CHAPUIS Assistantes sociales GHSV Yashmina BOUDEBOUDA • Barbara CLAUDON • Aurélie RESCH internes et externes du Groupe Hospitalier Saint-Vincent : Manipulateurs Radio Pierre EPPLIN, Coordinateur 1. Mise en œuvre des vigilances sanitaires : élaboration et diffusion de procédures (matériovigilance, hémovigilance, infectiovigilance, radioprotection, pharmacovigilance). 2. Plan qualité et accréditation, exemples : sur les tenues de travail, la charte du patient, la confidentialité, l’accueil des stagiaires, politique “tabac" dans l’établissement. 3. Le dossier patient, afin de mettre en place un dossier papier Responsable Clinique Ste Anne Responsable Clinique Ste Barbe Responsable Clinique Bethesda Responsable Clinique St Luc Responsable Clinique Toussaint Martine HENNING Martine SENGLER Brigitte BACQUEZ Annie PIETREK Yvonne NSENGIYUMVA sécurisé, étape indispensable pour préparer l’informatisation des données du dossier de soins. 4. La gestion des blocs opératoires : bonne utilisation des plages opératoires, conseils et chartes de blocs, règlements intérieurs. 5. Création d’équipes de référents “Douleur" et “Hygiène" pour maintenir les bonnes pratiques dans ces deux domaines. Afin de garantir une qualité hôtelière constante, les liens entre les partenaires extérieurs (SODEXHO pour la restauration et l’entretien des locaux et ELIS pour le linge) et la Direction des soins sont très étroits. La direction des soins travaille en collaboration étroite avec les médecins du Groupe Hospitalier Saint Vincent sur toutes les questions d’organisation des soins et d’amélioration de la qualité de la prise en charge. Sur le plan régional et national, elle est intégrée dans les groupes de travail de la Communauté d’Etablissement de Strasbourg, des directeurs de soins Bloc opératoire Christian BIER Patricia BUCHHEIT Marlène DREYER (Soins continus + SSPI) Médecine interne M. Odile FRITSCH Chirurgie Sœur Blandine KLEIN Maternité Chantal MATHIS Francine KOPP (Pouponnière) Hélène MIRABEL (Hospitalisation) Oncologie Douleur Chantal SCHMIDT-DIBLING ORL Fabienne ZIMMERMANN Bloc opératoire Elisabeth BITSCH Sylvie LAGEL Martine ESSNER Médecine interne Isabelle CHRIST FALL Chirurgie ophtalmo, rachis, Centre du sommeil Christine BECKING Gastro entérologie Chirurgie Générale Anne Valérie MEYER Néphrologie Soins continus Dialyse Pascal STUTZMANN Stéphanie BRANSTEDER Christiane HEGE Médecine chirurgie Isabelle BIEGER Bloc opératoire Dominique CHRIST Kathia MELLADO Bloc opératoire Pierre ULRICH Unité Soins de Longue Durée Marie Paule ROOS Service B et C Chirurgie urologique Claudine FILLINGER Unité Soins de Longue Durée Elisabeth FRITSCH Soins palliatifs Marie Rose JEHL KOPF Soins de suite et réadaptation Clarisse ROSENBERGER Santé mentale Valérie STRZELCZYK Service D Médecine interne et Diabétologie Astrid SPOHN Chirurgie digestive Fabienne ZIMMERMANN d’Alsace et participe à l’élaboration du référentiel métiers de l’hôpital à la direction des hôpitaux. Sylvie CHAPUIS Légende COMITÉ DE DIRECTION DU GHSV SOCIÉTES EXTERNES RESPONSABLES CLINIQUES RESPONSABLES UNITÉS DE SOINS 10 11 La Let tre Saint-Vincent S A I N T - V I N C E N T E N A C T I V I T É Activité du Groupe Hospitalier Saint-Vincent à fin octobre 2003 ☛ ÉVOLUTION DU NOMBRE DE PATIENTS ☛ ÉVOLUTION DU NOMBRE D’ACCOUCHEMENTS 2000 — 25000 — 20000 — 15000 — 19393 1500 — 20310 1663 1755 1000 — 10000 — 500 — 5000 — 0— 0— Fin octobre 2002 Fin octobre 2003 Fin octobre 2002 Fin octobre 2003 ☛ ENTRÉES EN COURT-SÉJOUR PAR DISCIPLINE MÉDICO-TARIFAIRE ☛ ÉVOLUTION DU NOMBRE DE DIALYSES (administration) 20000 — 9% Bienvenue ! ❥ Le 1er octobre 2003, Madame Marie-Odile FRITSCH a pris ses fonctions de Responsable Infirmier en Médecine Interne à la clinique Sainte-Anne. ❥ Le 1er novembre 2003, Madame Chantal SCHMIDTDIBLING a pris ses fonctions de Responsable Infirmier en Oncologie à la clinique Sainte-Anne. ❥ Le 1er décembre 2003, le Docteur Jacques GERST a rejoint l’équipe des médecins anesthésistes de la clinique Sainte-Anne. ❥ Le 1er décembre 2003, le docteur Sophie HUMBLOT a rejoint le service de médecine interne de la clinique Sainte-Anne. 15000 — 25% 30% 10000 — 11093 11468 Postes ... ... à pourvoir 100 % de réussite au D.P.A.S. : Au Groupe Saint-Vincent : En CDI : 1 ETP Conducteur en Stérilisation, Nos félicitations vont aux 60 élèves présentés au Diplôme Professionnel d’Aide-Soignant et toutes reçues (en deux sessions). 1 ETP AS en Stérilisation. La préparation aux épreuves d'entrée en formation aide-soignante : À Sainte-Anne : En CDI : 0,25 ETP PUERICULTRICE en Maternité, Nous avons accueilli le lundi 18 novembre 29 personnes qui ont débuté la préparation aide-soignante. Ils seront en formation les lundis et mard is tous les 15 jours et ce jusqu’au 26 avril 2004. Les préparations aux épreuves d'entrée en formation infirmière : Près de 70 personnes se sont inscrites à la préparation discontinue qui se déroulera du lundi 5 janvier au lundi 10 mai 2004. Elle nécessitera, vu le nombre de stagiaire s, la mise en place de deux groupes par discipline (culture générale et tests psychotechniques). Il est encore temps de s’inscrire aux séminaires intensifs : • Session d’hiver : du lundi 23 février au vendredi 5 mars 2004 – 80 H. Clôture des ins c r i p t i o ns:vendredi 23 janvier 2004. • Session de printemps : du lundi 19 avril au vendredi 30 avril 2004 – 80 H. Clôture des ins c r i p t i o ns:vendredi 19 mars 2004. Les dossi e rs d’inscription sont disponibles au secrétariat de l’Institut. 0— Fin octobre 2002 Fin octobre 2003 ☛ LES PATHOLOGIES (HORS DIALYSES) TRAITÉES POUR LE PREMIER SEMESTRE 2003 Heureuse retraite Nous souhaitons une très bonne retraite aux personnes qui ont quittés le Groupe au cours de l’année 2003 : ■ Sœur BURCK Hélène – Sœur Agnès-Lucie, IDE à la clinique Sainte-Anne. 1 ETP IADE au Bloc Opératoire, 1 ETP IDE au Bloc Opératoire, 0,75 ETP IDE en Chirurgie-Gynécologie, 0,25 ETP IDE en Médecine Interne, 0,5 ETP IDE en Oncologie-Douleur, 0,5 ETP Standardiste à l’Accueil. À Sainte-Barbe : En CDI : 2 ETP IDE au Bloc Opératoire, 1 ETP IDE au Réveil, 1,5 ETP IDE en Médecine Interne, 1,5 ETP IDE au service Ophtalmologie-Sommeil, 0,5 ETP IDE au service Chirurgie Digestive, 1 ETP IDE au service Chirurgie Générale, 1 ETP Responsable Infirmier au service ORL 2 ETP IDE en Soins Continus. À Béthesda : En CDI : 0,40 ETP IDE au Bloc Opératoire, Les prochaines épreuves d'entrée en formation infirmière et aide-soignante : 0,75 ETP AS en Néphrologie, 2,5 ETP IDE en Dialyse, 1 ETP IDE en Unité de Soins Continus, 1,75 ETP IDE en Médecine Interne. Les dossi e rs d'inscription à ces deux formations seront disponibles à partir du 5 janvier 2004 au secrétariat de l'I.F.S.I. À Saint-Luc : En CDI : 1 ETP IDE au Long-Séjour, Formation Aide-Soignante 5000 — ■ Médecine ■ Chirurgie ■ Ambulatoire et Hôpital de Jour ■ Maternité 36% Les Brèves... ... de l'IFSI Clôture des inscriptionslundi 29 mars 2004 Epreuve(s) d'admissibilitémardi 27 avril 2004 Rentrée...lundi 4 octobre 2004 Formation Infirmière Clôture des inscriptionsmardi 13 avril 2004 Epreuve(s) d'admissibilitémardi 11 mai 2004 Rentrée...lundi 28 Février 2005 N'hésitez pas à contacter le Secrétariat de l'I.F.S.I. pour tout renseignement au 03.88.21.70.45. 1 ETP IDE en Policlinique, 1,5 ETP IDE au Bloc Opératoire, 2 ETP IDE au Court-Séjour, À La Toussaint : En CDI : 1 ETP IDE au Long-Séjour, 1 ETP AS au Long-Séjour. ■ GRASSER Christiane, Médecin-Psychiatre à la clinique Sainte-Anne. 1200 — — 1000 — — 800 — — 600 — — 400 — — 200 — — 0— ■ HISS Georges, Veilleur de Nuit à la clinique Sainte-Anne. ■ JACQUEMIN Chantal, Pharmacienne à la clinique Sainte-Anne et à la clinique de la Toussaint. ■ LEDOUX François, Médecin à la clinique Béthesda. ■ PFISTER Béatrice, ASH à la clinique Sainte-Anne. ■ LAMPERT Marc, Chirurgien à la clinique Sainte-Anne, retraité le 31/12/2003. ■ WERTHENSCHLAG Joël, Médecin à la clinique Sainte-Anne, retraité le 31/12/2003. Cérémonie des Vœux ••• L’ensemble des acteurs du Groupe Hospitalier Saint-Vincent salariés et libéraux sont invités à LA CÉRÉMONIE DES VOEUX ET REMISE DES MÉDAILLES DU TRAVAIL sous la Présidence de Monsieur André AOUN, Directeur de l’Agence Régionale d’Hospitalisation d’Alsace LE VENDREDI 09 JANVIER 2004 DE 12 H 00 À 14 H 30 en salle de conférence – clinique Sainte-Barbe C A B I E N V E N U E ! R À Sainte-Anne ALLOUCHE Audrey, IDE au bloc Opératoire, le 16/11/2003, BERLING Clarisse, AS en Chirurgie-Gynécologie, le 01/10/2003, (mutée de Sainte-Barbe), CORDEBARD BACHIRI Hafida, IDE en Oncologie, le 01/11/2003, BREITWILLER Hélène, Sage-Femme en Maternité, CDI le 01/09/2003, DELHOMME Régine, IDE en Pouponnière, le 01/10/2003, (mutée de la Toussaint), FRITSCH Marie-Odile, Responsable-Infirmier en Médecine Interne, le 01/10/2003, GERST Jacques, Médecin-Anesthésiste au Bloc Opératoire, le 01/12/2003, GLESS-LEFEBVRE Thomas, ASH en Chirurgie-Gynécologie, CDI le 01/11/2003, HUMBLOT Sophie, Médecin en Médecine Interne, le 01/12/2003, KIEFFER Roland, Chef de Cuisine, le 01/10/2003, (muté de la Toussaint), LEPORT Edith, Puéricultrice en Maternité, le 01/11/2003, MARRI Sandrine, IADE au Bloc Opératoire, le 01/10/2003, (mutée de Sainte-Barbe), NOSS Karine, Sage-Femme en Maternité, le 01/09/2003, S C H M I DT-DIBLING Chantal, Responsable-Infirmier en Oncologie, le 01/11/2003, SIMON Cécile, Sage-Femme en Maternité, CDI le 01/10/2003, STAUDINGER Fabienne, AS en Maternité, le 01/10/2003, VERNELLI Florence, Auxiliaire de Puériculture en Pouponnière, le 01/10/2003. À la Direction MONTION Sébastien, Secrétaire et Magasinier aux Achats, le 13/10/2003, ORTIZ Isabelle, Secrétaire au service Qualité, le 24/09/2003. À Sainte-Barbe AHRARADE Ahmed, IDE en Médecine Interne, le 01/10/2003, BECKING Christine, Infirmière-Chef en Soins Continus, le 30/06/2003, (mutée de Sainte-Anne), HALLER Stéphane, IADE au Bloc Opératoire, le 29/09/2003, KUHN Malika, ASH dans l’Equipe d’ASH, le 01/09/2003, RICHERT Marc, Standardiste au Standard, le 01/09/2003, (muté de la Toussaint). N E T D E F A M MEHL Sonia, AS au Long-Séjour, le 13/10/2003, MICHELI Estelle, AS au Long-Séjour le 06/10/2003. À La Toussaint DOTSEY Yawa, AS en SSR, le 03/09/2003, FISCHER Cathy, IDE en Santé Mentale, le 22/09/2003, GOLDSCHMITT Jérémie, AS à l’USP, le 01/10/2003, (muté de Béthesda), JABLONSKI Marie-Claire, IDE en SSR, le 01/09/2003, MALLAT Diane, AS en SSR, le 13/09/2003, ZIMMERMANN Gaëlle, Secrétaire Médicale en SSR, le 12/09/2003. L L E A U R E V O I R … À Sainte-Anne ABS Maged, Manipulateur-Radio en Radiologie, le 09/10/2003, CLAUSS Françoise, Puéricultrice en Pouponnière, le 04/12/2003, DE LARTIGUE Céline, IDE en Chirurgie-Gynécologie, le 17/10/2003, GONZALES RODRIGUEZ Isabel, IDE en Médecine Interne, le 30/09/2003, HERTER François, IDE en Médecine Interne, le 30/09/2003, GRASSER Christiane, Médecin-Psychiatre en Médecine-Douleur, le 31/10/2003, retraitée, JAUNASSE Véronique, IDE en Médecine Interne, le 31/08/2003, PFISTER Béatrice, ASH en Médecine Interne, le 31/10/2003, retraitée. À la Direction N A I S S A N C E S À Sainte-Anne Florian, né le 11/11/2003, fils de Sandra PAMART, AS en Médecine Interne. À la Direction Nathan, né le 23/09/2003, fils de Sophie LECLERC, comptable à la DAF et de Stéphane DUCROT, Ouvrier d’Entretien. À Sainte-Barbe Pauline, née le 05/11/2003, fille de Véronique DAGUET, IDE en ORL, Ambre, née le 19/10/2003, fille de Sandra FISCHER, Secrétaire Médicale à l’Ambulatoire. À Béthesda Julie, née le 12/11/2003, fille d’Esther ARBOGAST KOPF, IDE au Service C, Livio, né le 01/10/2003, fils de Candide DAIJARDIN, IDE au Service B, Léa, née le 09/10/2003, fille de Frédéric DUSSAUSAY, IDE au Bloc Opératoire, Pauline, née le 02/09/2003, fille de Sandrine KANY, IDE en Dialyse, Julie, née le 17/09/2003, fille de Stéphanie OTT, IDE au Service C. À l’IFSI Elise, née le 15/11/2003, fille de Catherine MANTO-SAUTER, Responsable-Infirmier Enseignant. NARCISO Magali, Secrétaire et Magasinier aux Achats, le 19/10/2003. À Sainte-Barbe COPPIS Sylvie, Standardiste au Standard, le 31/10/2003. À Béthesda BASSI Karine, Secrétaire, le 15/08/2003, BRUNKEL Hanna, IDE au Service D, le 06/10/2003, CAMBON-VAILLANT Christelle, Responsable-Infirmier à l’Unité de Soins Continus et au Service A, le 08/09/2003, LEDOUX François, Médecin le 31/08/2003, retraité, LOUBEJAC Julien, IDE à l’Unité de Soins Continus, le 30/11/2003, NEUERBURG Stéphanie, IDE à l’Unité de Soins Continus, le 30/09/2003. À Saint-Luc NEBOIT Emmanuel, Responsable-Infirmier au Court-Séjour, le 14/12/2003, PEUGNIEZ Laurence, IDE au Court-Séjour, le 30/11/2003, SPIES Vanessa, AS au Long-Séjour, le 03/09/2003, WENDLING Sandra, AS au Long-Séjour, le 01/11/2003. M A R I A G E S … À Béthesda LAVIEC Marie, IDE en Dialyse, le 01/10/2003, MANKAFI Gisèle, AS au Service A, le 06/10/2003, STRAUSS Sabrina, Secrétaire en Néphrologie, le 11/08/2003, (mutée de Sainte-Barbe), THIRION Olivia, IDE au Service D, le 01/09/2003. À Sainte-Anne BAUER Isabelle, épouse SCHER, Sage-Femme en Maternité le 06/09/2003, LEDONNE Bénédicte, épouse APPERT, IDE en Oncologie le 13/09/2003, VOUIN Karine épouse NOSS, Sage-Femme en Maternité le 13/09/2003. À Sainte-Barbe À Saint-Luc AIDER Dalila, AS au Long-Séjour, le 06/11/2003, HECKMANN Céline, IADE au Bloc Opératoire, le 29/09/2003, I POUPART Catherine épouse OTT, IDE en Réanimation, le 20/09/2003. Tous nos vœux de bonheur sont adressés aux heureux parents. À Béthesda DENU Ludivine épouse GAUTHERON, IDE au Service A, le 04/10/2003. GROUPE HOSPITALIER SAINT-VINCENT 29, rue du Faubourg National - 67083 Strasbourg Cedex TÉL. 03 88 21 70 00 - FAX 03 88 21 71 70 Clinique Sainte-Anne • Clinique Sainte-Barbe • Clinique Béthesd a C l i n i q u e d e L a T o u s s a i n t • C l i n i q u e S a i n t - L u c • I . F. S . I . S a i n t - V i n c e n t Conception graphique et illustrations : Blás Alonso Impression : OTT Imprimeur - Wasselonne