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6. Sécurité et convivialité (Police/Amendes administratives/ Travaux/Erigès) Du mobilier urbain pour plus de convivialité Le service des Travaux a, durant cette législature, veillé à « rendre les quartiers aux habitants » en leur donnant envie de s’y balader, d’y flâner, d’y jouer,… Ainsi, une vingtaine de bancs publics ont été ajoutés dans chaque quartier (certains sont en cours d’installation), tandis que des poubelles publiques ont été installées dans des endroits à forts passages qui n’en possédaient pas encore. Dans un même esprit, les giratoires et autres aménagements routiers ont été aménagés non plus seulement pour être utiles en termes de sécurité, mais aussi pour enjoliver, via des plantations bien entretenues, les quartiers… C’est notamment le cas du giratoire des Nations-Unies (392.000 euros d’investissement), ou du giratoire Pasteur/Castor (82.000 euros). D’autres projets d’aménagements de giratoires sont en cours, via le placement de sculptures monumentales. Ainsi, par exemple, une œuvre de Bernard Venet (auteur des arcs admirés à Liège, au niveau du parc de la Boverie, ainsi qu’à Versailles actuellement) trouvera place durant la législature prochaine dans les aménagements urbains d’entrée de ville. Temps enneigé sans danger Les périodes hivernales sont les plus dangereuses pour les usagers de la route, tant piétons que circulant de façon motorisée. Notre service des Travaux ne peut agir sur les trottoirs, puisque cet entretien incombe aux occupants des immeubles auxquels ils se rapportent, mais concentre toute son énergie à traiter les nombreuses routes communales, donnant la priorité aux voiries à fort trafic ou menant aux services de secours. Nous avons intensifié nos actions en la matière durant cette législature, notamment via le rachat de matériel roulant (un camion avec lame et épandeuse ; un tracteur équipé d'une lame, un silo et une citerne à saumure). En outre, des bacs à sel ont été ajoutés ou remplacés sur le territoire, pour atteindre le nombre de 100 bacs à sel placés sur Seraing. Un numéro « infoneige » a été mis en place (0494-202.202) et est activé pendant toute la période des « dispositions déneigement ». Enfin, il a été fait appel à une entreprise privée pour renforcer le travail des ouvriers communaux. Gros et petits travaux dans nos quartiers ! Le service des Travaux a opéré, durant cette législature, une longue série de travaux « classiques » et d’autres bien moins habituels. Au niveau des voiries, les chiffres sont particulièrement parlants : quelques 164 voiries (sur les 220 kilomètres de voiries communales) ont fait l’objet d’une rénovation par raclagepose ou par schlammage ! Du côté des projets d’importance qui ont été menés au service des Travaux, notons : • une série de rénovations dans nos cimetières, avec le chantier d’automatisation des barrières de cimetières, la réfection des locaux du cimetière de Boncelles (36.000 euros), le remplacement des menuiseries extérieures et la réfection des locaux du cimetière des Biens-Communaux (15.500 euros), le remplacement des menuiseries extérieures du cimetière Grands Communaux (12.500 euros), le remplacement des menuiseries extérieures cimetière de la Cense Rouge et aménagements (30.000 euros),…. • l’aménagement d’un chemin d’évacuation pour les habitants proches de l’entreprise Chimac • de gros travaux de chauffage à l’église du Pairay (25.000 euros) • d’importants aménagements de voiries ou de trottoirs : rue du Carrefour (970.000 euros dont 363.000 en conduites d’eau), rue des Petits-Sarts (300.000 euros), rue Bois Delawe (122.000 euros), rue des Nations-Unies (500.000 euros), rue de la Corniche et rue Wuidar (225.000 euros), rues du Canal et de l’Ecureuil (190.000 euros), trottoirs du quartier de l’Air pur (173.000 euros),…. Un quartier enfin protégé des inondations ! On se souvient à quel point les inondations de mai et juin 2008 ont abîmé le quartier du Biezdu-Moulin et marqué les esprits de ses habitants. Une série d’actions ont immédiatement été entreprises suites à cette catastrophe : le ruisseau du Biez-du-Moulin a été équipé de nouvelles grilles à l’entrée de l’ouvrage lui permettant de passer en dessous de la voirie. Ensuite, un accord a été trouvé avec l’Aide (Intercommunale pour le démergement et l'épuration des communes de la province de Liège) afin que le bassin d’orage qui sert pour réguler les eaux de ruissellement de la N63 puisse accueillir les eaux de pluies lors de fortes intempéries. Un autre bassin d’orage, relié au ruisseau de la Vecquée cette fois, a été remplacé par l’Aide. Enfin, quatre maisons rendues inhabitables par la catastrophe ont été rachetées par la Ville et déconstruites, et les rues et trottoirs ont été refaits. Il restait un dossier, et non des moindres, pour être sûrs que plus jamais le quartier du Biezdu-Moulin ne sera inondé. Il s’agit d’équiper le ruisseau du Cornillon de deux bassins dits « écrêteurs » afin de compenser les eaux importantes liées notamment à l’urbanisation de Boncelles. Le projet a reçu un avis favorable du comité de direction de la SPGE et a été approuvé par son conseil d’administration. Le montant nécessaire (2,2 millions) va donc pouvoir être investi. Une «journée des nouveaux habitants » La Ville de Seraing a fêté, en février 2011, la venue au monde d’Amoris Camarda, son 63.000ème habitant. Les chiffres enregistrés depuis lors confirment le regain d’intérêt que les familles éprouvent pour notre ville, puisqu’on enregistrait un total de 63.506 habitants au début mars 2012 ! Pour accueillir tous ces nouveaux arrivants, nous mettrons en place prochainement une journée qui leur sera consacrée et durant laquelle toute l’étendue des services communaux leur sera présentée. Un petit livret leur sera remis à cette occasion, pour que la gestion des déchets et autres informations importantes n’aient plus de secrets pour eux ! Création du service des gardiens de la paix Les gardiens de la paix sont un relais privilégié entre la population et l’administration communale. Ce service créé en 2007 compte actuellement 11 agents à 4/5ème temps, présents non stop sur le terrain. Ils assurent un soutien efficace à la police pour la sécurisation des sorties d’école, le relevé des comportements dangereux des automobilistes, et des actions communes police/gardiens de la paix sont menées en ce qui concerne la sécurité routière aux abords des écoles et la prévention des vols de (et dans) les voitures. Le coordinateur de ce service a en outre suivi la formation d’agent constatateur, pour renforcer encore cette équipe. Diagnostics de quartier Au sein du service « Espace quartier », durant cette législature, des diagnostics locaux de quartier, portant plus particulièrement sur les nuisances sociales, ont été opérés à la Chatqueue, à Seraing-centre, à Ougrée-bas, au Molinay et à Jemeppe. Cela a permis d’élaborer des plans d’actions spécifiques (organisation d’activités, actons de sensibilisation, aide et soutien au comité de quartier,…) en place depuis le début avril 2010. Notons que l’animation des quartiers et l’écoute de ses habitants sont assurées en continu par les éducateurs du plan stratégique et du plan de cohésion sociale. Prévention et aide aux précarisés (échevinat de la citoyenneté) Il faut citer le service de technoprévention, partenariat avec les services de police pour conseiller les Sérésiens sur la meilleure manière de sécuriser sa maison (une vingtaine de primes communales allouées chaque année). Mais aussi Seraing 5 (pour personnes toxicodépendantes - +- 150 dossiers/an), la « Louche solidaire » (entre 25 et 40 repas/jour au plus précarisés), abri de jour (où 100 à 150 dossiers de suivi social sont ouverts/an). Des policiers bien équipés ! Durant la législature, nous avons finalisé l’achat de l’hôtel de police (rue Bouteille), démoli le commissariat du Pairay devenu bien trop vétuste, entamé la construction de deux commissariats, au Pairay et à Ougrée. Nous avons également procédé à des aménagements et à l’achat de matériel au dispatching (informatique, réseau Astrid, écrans surveillance caméras) Nous avons également procédé au renouvellement des tenues d’intervention, à l’achat de gilets pare-balles individuels, au renouvellement de l’armement individuel, ainsi qu’au renouvellement du parc automobile (intervention avec 5 combis en leasing, proximité avec 4 nouveaux véhicules par commissariat, sécurité routière avec 6 motos et 1 combi disposant de tout le matériel de signalisation). Enfin, un véhicule de commandement, aménagé pour offrir un lieu d’accueil lors des contrôles routiers et servir de poste de commandement intégré, a été également acheté. L’ensemble fonctionne sur batteries pour éviter la consommation et la pollution. Plus de bleu dans les rues ! Au niveau du personnel, nous avons maintenu le cadre et procédé à des engagements qualitatifs. Un nouveau chef de corps, Yves Hendrix, est arrivé en 2011 et a initié une restructuration autour des 7 fonctionnalités de base de la police locale. Il a réorganisé la sécurité routière pour une plus grande présence sur les axes routiers problématiques, et a réorganisé les services pour augmenter la capacité de réaction mais aussi de présence préventive. Notons que du point de vue du personnel, nous avons procédé à l’engagement d’un membre féminin à la section mœurs (au 1/7/12) pour une meilleure approche du milieu de la prostitution, notamment en lien avec le projet d’Eros center. Intégration au PAB Notre police compte, suite à la réforme des polices opérées par le fédéral, 202 agents. Ces derniers sont formés pour tous types d’interventions, mais certaines de celles-ci, telles que les prises d’otage, les vols à main armée,… demandent une formation plus spécifique et un entrainement physique très astreignant au quotidien. Nous avons donc promis que nous allions, dans le cadre de notre partenariat avec la cité Ardente, engager cinq policiers supplémentaires à charge de la Ville (hors quota du fédéral), afin que ceux-ci intègrent le Peloton AntiBanditisme (PAB) créé par Liège. Ces hommes supplémentaires ont été engagés et formés, et d’importantes opérations ont été effectuées avec l’aide de ces équipes de choc. Synergies entre service de terrain et policiers pour une meilleure efficacité Amorcée dès 2006, une véritable synergie continue à se développer entre la police et les acteurs sociaux, à commencer par la cellule de prévention (évaluateur interne, éducateurs de rue, service Prévif, gardiens de la paix). Ils procèdent à l’échange de statistiques et de résultats d’enquêtes qualitatives en matière de sentiment de sécurité, délimitent des zones géographiques d’intervention et de statistiques, déterminent ensemble les points sensibles, les axes de travail,… Soulignons encore, comme cela a été dit plus haut, le partenariat avec la cellule Prévif en matière de communication de situations intra-familiales conflictuelles (via notre service d’assistance policière notamment). Il en est de même en matière de sensibilisation des jeunes par rapport à la violence à l’école. La police locale participe également de manière active à toutes les opérations de la province et de l’arrondissement judiciaire : • campagne de prévention des violences et de la sécurité routière, • contrôles planifiés en matière de sécurité routière, de vols, d’établissements problématiques, • concertations police-justice pour lutter contre les vols dans les habitations, les vols à main armée, les vols de métaux, les trafics de stupéfiants, ou encore pour surveiller les activités liées à la prostitution, la traite des êtres humains… Enfin, la police a noué un partenariat efficace avec les services communaux concernés pour lutter contre les dépôts clandestins d’immondices, les tapages et dégradations : • sensibilisation massive des policiers (formations, supports didactiques, échanges constructifs avec la fonctionnaire pour l’amélioration des constatations) • augmentation progressive des détections et donc des constats • participation à l’élaboration de règlements, tenant compte des nouvelles réalités (les chiens, les magasins de nuit, les rassemblements nocturnes, les dérangements dans les parcs publics) Restaurer le sentiment de sécurité ! Dans le cadre des rassemblements de jeunes perturbant la tranquillité publique, la consommation de stupéfiants dans les lieux publics, ainsi que les menaces et dégradations, deux mesures essentielles ont été prises : l’augmentation des contrôles planifiés et la détermination des endroits sensibles (Roselières, Champ d’Oiseaux, centre de Jemeppe, Pairay, Pré Soray, Bergerie, Val Potet, Taillis, gare routière, esplanade de l’Avenir,…) où des patrouilles aléatoires sont opérées. La présence policière spécifiquement dédiée aux perturbations de la tranquillité publique a été nettement renforcée durant cette législature, et des outils réglementaires ont été mis à disposition de la police (règlement communal sur la présence de mineurs dans les rues la nuit, fermeture des parcs publics…). La police de Seraing, c’est aussi… • à l’instar de la politique adoptée par la Ville de Seraing en la matière, c’est une tolérance zéro à l’égard de ceux qui s’adonnent à la traite des êtres humains (marchands de sommeil, proxénètes,…). Pour les premiers, les contrôles des subdivisions d’immeubles lors des enquêtes de domiciles ont été renforcés. Pour les seconds, une série de dispositifs ont été mis en place au niveau de la rue Marnix (déclaration des locations,…). • Une politique de tolérance zéro en matière de violences intra-familiales (directives des magistrats) • La participation aux comités de quartier (présentation des statistiques, suivi des dossiers, enquêtes sur les besoins en sécurité) • des actions communes police-ville systématisées en matière de nettoiement des rues (opérations hebdomadaires, à raison d’une fois par mois par commissariat) Durant la prochaine législature, les lieux insécurisant seront listés commissariat par commissariat et régulièrement mis à jour. Ces endroits font l’objet de surveillances ciblées, tant en routine qu’en contrôles planifiés pour l’ensemble des membres opérationnels de notre corps de police et sont également la cible des opérations communes police-ville. La même démarche est menée au niveau de la sécurité routière et va s’intensifier. Les accidents sont analysés pour déterminer les mesures à prendre tant en termes d’aménagement que de surveillance policière voire de répression (feux lumineux, gsm au volant, comportement dangereux). Par ailleurs, la surveillance des écoles maternelles/primaires par les gardiens de la paix permet un meilleur déploiement des fonctionnaires de police aux autres points stratégiques de circulation ! Au niveau policier, 500 dossiers sont transmis chaque année directement au fonctionnaire sanctionnateur. A cela s’ajoutent les dossiers « mixtes » c’est-à-dire qui sont d’abord transmis au ministère public avant d’être éventuellement traités par l’autorité communale. Pour l’avenir, des synergies sont développées non seulement avec les éducateurs de la ville mais également ceux des autres organisations sociales pour une approche multidisciplinaire des problématiques de quartier. Les escroqueries sur Internet se développent au détriment d’une frange de plus en plus large de la population. Pour y faire face, la prochaine législature verra le développement probable d'une section spécifique. Mieux gérer la problématique de la prostitution La gestion de la problématique de la prostitution est un autre très gros dossier sur lequel la Ville, la Police et le Parquet de Liège travaillent de manière intensive. On le sait, la fermeture à Liège d’un grand nombre de salons dévolus à la prostitution pose des problèmes de maintien de l’ordre dans la portion de la rue Marnix dévolue à cette activité. Le conseil communal a donc opté pour la construction d’un « Eros center » de 35 chambres équipé de systèmes d’alarmes, d’ouvertures de portes avec empreintes digitales, de sanitaires corrects,… Ce dernier sera érigé sur le site dit de « la cour des miracles », dont nous avons opéré l’assainissement en 2011 pour éviter de gros problèmes de salubrité publique. Il va de soi que l’ouverture de cet « Eros center » se fera de pair avec la fermeture de l’entièreté des salons de la rue Marnix, qui pour certains d’entre eux présentent un état d’insalubrité avancé, et qui n’offrent pas un minimum de sécurité aux femmes qui y travaillent. L’Eros center devrait voir le jour dans un délai de 2 à 3 ans. Des caméras de surveillance pour mieux veiller sur nos quartiers Quelques 66 caméras de surveillance auront été placées sur le territoire sérésien durant cette législature. Les sites où elles ont été ou vont être placées ont été déterminés sur base de 4 critères : les statistiques de délinquance absolues, les faits commis sur la voie publique, les axes de circulation et enfin les demandes liées au sentiment d’insécurité (commerces, lieux de rassemblements, …). En 2006-2007, six premières caméras ont été installées sur le territoire sérésien qui n’en n’abritait alors que deux (rue Gutenberg et rue Jeunesse)1. En 2007-2008, 19 autres caméras ont pris place sur le territoire sérésien2. Neuf caméras sont venues compléter le dispositif en 2010-20113. Le marché en cours (année 2012) porte sur 32 caméras4, dont la moitié seront implantées autour des habitations sociales5 Un numéro d’appel plus facile Dans le même souci de renforcer les liens de proximité entre les habitants et la police, le numéro d’appel général à notre police a été modifié pour être plus facilement retenu. Il s’agit désormais du 04/ 330 4000 (et O4/330 4001). Une nouvelle police, un nouveau commissariat central On le sait, la réforme des zones de police a lésé certaines villes et communes, dont la nôtre. A titre de comparaison, nous comptons 63.000 habitants et avons 200 policiers, quand Liège compte 190.000 habitants pour 1300 agents ! Pour faire face tout en maintenant une présence effective sur le terrain, nos services de police ont essayé de réduire au maximum le travail administratif. Mais le rapprochement entre plusieurs zones de police permettrait de centraliser plus encore ce travail administratif et d’envoyer un maximum de policiers sur le terrain ! L’idée de rapprocher plusieurs corps de police a déjà été abordée durant cette fin de législature, et devrait faire un pas vers la concrétisation avec un rapprochement Seraing/Neupré – Ans/Saint-Nicolas durant la législature à venir. Pour centraliser l’activité administrative de cette zone de police qui se serait étendue, la situation des « deux tours » de Jemeppe est idéale, à la frontière avec la commune de SaintNicolas. Dans les deux tours, les appartements laissés vides par leurs occupants restent inoccupés pour préparer la future reconversion de ces lieux devenus trop vétustes. Notons que le rez-de-chaussée de ces tours dispose de 60 places de parking, ce qui est adéquat pour accueillir le charroi de la police. 1 Place Kuborn (vers le Pont), place du Pairay, rue Cockerill (Quick), esplanade de l’Avenir (Charbonnage), quartier du Val StLambert, route du Condroz (parking Millenium). 2 Rue Sualem (Home du CPAS), rue Morchamps, centre culturel (devant et derrière), rue de la Boverie, place Merlot, place Wauters, rue Jeunesse, carrefour des rue Plainevaux/Lemonnier, rue de Plainevaux, piscine olympique (devant et derrière), CHBA (parking public et 2ème au parking du personnel et urgences), rue des Nations Unies (Air Pur), place Goffin, carrefour rue Delbrouck/rue de Boncelles, avenue du Centenaire (Wuidar). 3 Rue Nihar, place des 4 Grands, rue de la Station, rue Delville, esplanade de l’Avenir (Poste), rue Ferrer (régie de quartier), boulevard Pasteur (Verriers), rue Lamarche, avenue du Centenaire. 4 Route du Condroz (2 caméras au niveau du complexe commercial), rue de Tilff (complexe commercial), rue de l’Eglise, avenue Davy, rue Chapuis, place de la Bergerie, place des Tourterelles, carrefour Rue Molinay/rue des Pierres, rue de la Banque/passage sous-voies, rue de la Province, rue Marnix, gare multimodale, Campus 2000, Rue sous les Vignes (Campus 2000), carrefour rue Nicolay/rue de Boncelles, place des Hauts Fourneaux. 5 Place des Verriers (4), rue du Pairay, parc des Marêts, rue des Guillocheurs, square du Val Potet, cité des Roselières (3), avenue Wuidar (2) et rue de la Corolle. Gestion de la problématique des sangliers On dit souvent que Seraing est couverte d’un tiers de forêts, un tiers d’habitat et un tiers d’industrie. Pourtant, lorsqu’on comptabilise les jardins privés, les abords des entreprises, les parcs, etc., on constate que la moitié de notre territoire est « vert » ! Cela présente beaucoup d’avantages, mais aussi des inconvénients, dont la prolifération des sangliers fait partie. La Ville a pris ce problème très au sérieux et a directement noué un partenariat étroit avec la DNF (Division Nature et Forêts) pour envisager les moyens de limiter cette prolifération. Nous avons obtenu des autorisations de destruction en milieu urbain pour raisons de sécurité publique, nous avons mis des chasses en location dans la forêt de la Vecquée, nous avons mis en place un « comité de suivi sangliers » (CSS) pour tenir à jour les indices de présence et les dégâts causés, pour actualiser les tableaux de chasse,… En outre, nous avons travaillé auprès du Demna (Département d’étude du milieu naturel et agricole) pour le recueil des informations utiles sur la population de sangliers afin de fixer les efforts de prélèvements à réaliser. Quelques 135 sangliers ont ainsi été tirés durant la période de septembre 2010 à juillet 2011. Pour l’avenir, nous poursuivrons les réunions du « CSS », comité qui constitue une première en Wallonie (et sera mis en place par d’autres communes et la DNF suite à cette expérience pilote !). Nous remettrons également en adjudication la chasse dans le Bois de l’Abbaye, qui n’est plus chassé depuis 2011 et devient également une zone de refuge pour sangliers.