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Purple Dolphins Fusion des rythmes mandingues, berbères et gnaoua Les Purple Dolphins fusion des rythmes mandingues, berbères et gnaoua Les « Purple Dolphins » c’est d’abord une bande d’amis passionnés de nature et de traditions, de rythmes et de glisse, unis par des origines communes, une vie en communauté et leur amour de l’océan et de la musique. C'est au cours de leurs pérégrinations sur la côte entre Essaouira et Imessouane et Dar Bouazza (pouvant durer parfois plus d'un mois), qu'ils ont commencé à jouer des percussions ensemble. Au départ, les rythmiques de leur bagage musical ancestral (berbère, gnaoua, ghiwane et chaabi) inspirèrent leur façon de jouer. Très vite ébahis par la polyvalence, la puissance et les harmonies du djembé ; ils en font leur instrument de prédilection sans en connaitre encore ni les sons, ni l’histoire ni la manière d’en jouer. Une cassette du groupe burkinabé « Africa Djole » qui tourne en boucle ; l’accompagnement rythmique du déferlement des vagues, des couchers de soleil, des levers et couchers de lune, et des pleines lunes ; deviennent leurs traditions, inspirations et répétitions. En 1998 la première édition du festival Gnaoua d’Essaouira les réunit sur la Scala mythique pour une réunion improvisée de rythmes. Quelques mois plus tard Redouane Bentaleb, Mohamed Saïloh et Mohcine Assafou fondent la troupe avec un premier répertoire entre musique berbère et «Africa Djole », et sont programmés pour la seconde édition du festival en 1999. Ils sont rejoints un mois plus tard par Lahcen Azniter et Azhar Joundi, et de nouvelles découvertes musicales : « Adama Dramé » du Burkina Côte d’ivoire et feu Soungalou Coulibaly (paix à son âme) du Mali/Burkina et Côte d’ivoire. L’été 1999 la mode du djembé, de la musique gnaoua et des festivals de musiques du monde est lancée dans le Maroc, les demandes pleuvent sur le groupe qui doit faire un choix éthique entre les représentations culturelles, l’animation dans les soirées privées, boites de nuit et évènements promotionnels. Tous droits réservés. Blue Morocco © 2012 Purple Dolphins Fusion des rythmes mandingues, berbères et gnaoua En 2000 ils participent à la troisième édition du festival Gnaoua d’Essaouira, et Mohcine quitte la troupe pour la Suisse. Le printemps 2000 s’organise entre trips surf et répétitions avec un passage à l’inauguration du Metro d’Agadir avant le 1er festival « transes » dans la région de Ouarzazate, avec Pascal Narpon fin 2000. Boulevard des jeunes musiciens à Casablanca le printemps 2001 : Lahcen, Azhar, Sailoh, Redouane. Fin de printemps 2001, la troupe des « Purple Dolphins » associe les sonorités du guembri, du Didjereedoo et des congas à la percussion, avec l’arrivée de Fehd Benchemsi, Hassan Laaroussi , Redouane Ajdamer et le tout jeune gnaoui « Saïd Mridouch » (8 ans) qui participent au festival d’Essaouira de 2001 puis au fusion des cultures à Marrakech l’été 2001 avec les Purple Dolphins. Ils passent l’été entre Imessouane (où ils répètent et animent les soirées du camp de surf UCPA avec leur ami « Gabo » directeur du centre et natif d’Afrique) , Marrakech et là où la troupe est appelée à jouer. Entre temps leur jeu et leurs inspirations évoluent vers la percussion traditionnelle « Mandingue » avec de nouvelles écoutes musicales (Famoudou Konaté et Mamady Keïta de Guinée), un stage avec Pascal Narpon au printemps 2002, de découverte des « dununs » (tambours à deux faces en peau de vache joués à l’aide d’une baguette et d’une cloche ; support rythmique indissociable d’un rythme traditionnel) et de la polyrythmie, et l’immense opportunité grâce au festival Mawazine de pouvoir voir sur scène le mythique « ensemble des percussions de Guinée » avec la participation de « el hadj Djeli Soury Kouyaté » au balafon, ainsi que Lassina Coulibaly du Burkina Faso. Ils ratent à leur grand regret Soungalou Coulibaly à Tanjazz, parce que programmés ailleurs. Il décèdera brutalement quelque mois plus tard. L’été 2002 les Purple Dolphins participent à nouveau au festival d’Essaouira sans Lahcen devenu moniteur de surf, sans le guembri faute de scène sonorisée, et avec la dernière participation de Redouane Ajdamer (didjereedoo, crotales gnaoua et chant) avant son départ en France. Ils proposent durant l’été des ateliers de rythmes aux jeunes adolescents du surf camp d’Imessouane. Fin d’été 2002 un beau cadeau : la méthode audio de Mamady Keita, enfin un support d’apprentissage, et des dununs !!! Tous droits réservés. Blue Morocco © 2012 Purple Dolphins Fusion des rythmes mandingues, berbères et gnaoua Fin d’automne 2002 Azhar initie un atelier de découverte des percussions traditionnelles de l’Afrique de l’ouest avec les enfants des écoles primaires de l’AEFE à Casablanca, avant d’être rejoint par Redouane un an plus tard, semant ainsi la graine de la percussion de l’Afrique de l’ouest chez des milliers d’enfants entre ateliers et représentations. Ils jouent à nouveau au festival gnaoua en 2003, au festival de Safi et à la clôture du festival international du film de Marrakech la même année, avec une nouvelle formation. Brahim Dehkani et Mohamed Ansari, Saïd Hannoune rejoignent la troupe avec des djabaras, des kriins et un tamani combinant danse, chants, guembri, répertoire berbère et malinké. Leur dernière écoute en percussions traditionnelles, impressionnante de rapidité de justesse, de musicalité et surtout par l’âge de ses musiciens, est Yelemba avec leur album « Hommage » dédié à Youssouf Dembélé, jeune soliste décédé en France en 1997. En 2004 ils commencent un travail d’association de la percussion au conte avec Anne Karen de Tournemire et proposent un spectacle pour les petits et grands à l’institut culturel français de Casablanca. C’est aussi l’année où les destinées divergent un peu, vers le surf pour Lahcen qui ouvre Gliss’Skool et Azhar victime du coup de foudre d’Imessouane, vers le cinéma pour Fehd, vers le travail de musicien indépendant et moniteur de surf pour Redouane, vers la vie de famille et la rénovation de riads ruraux pour Mohamed Sailoh, vers l’artisanat pour Hassan et vers la Tagnaouite pure pour Saïd Mridouche qui, du haut de ses 20 ans, conduit la lila avec aisance de son début à sa fin. Entre ses différentes représentations culturelles les Purples Dolphins ont participé à de nombreuses inaugurations (Meditel, Metro d’Agadir, le Mamounia Golf Palace, le golf de Rabat, la soirée « trente ans de pub », « Tel Quel », etc.) et de nombreuses soirées privées avec l’immense honneur d’avoir eu Sa Majesté le Roi Mohamed VI comme spectateur à Rabat, ainsi que M. André Azoulay à Essaouira et à Marrakech. 2012, Blue Morocco fusionne les coïncidences : Pascal, Lahcen , Redouane , sailoh et azhar pour les percussions mandingues, du Maghreb et les percussions corporelles ; Saïd Mridouch et Hassan Laaroussi pour la tradition gnaoua ; trois musiciens berbères de Haha, et Stéphane Guyon (cofondateur de Yelemba) comme parrain de loin. Tous droits réservés. Blue Morocco © 2012 Purple Dolphins Fusion des rythmes mandingues, berbères et gnaoua La troupe des Purple Dolphins tient à remercier tous les musiciens, mécénes et producteurs qui ont encouragé et accompagné la troupe et ses musiciens : A3 com Abdeslame Alikane Jamil Berrechid Sacha Demangeot Olivier et Saad Propagande Design Yassmine et Kamal Hadhoumi Narimane Essaadi Christophe Hutin (alias Gabo). L’Association des coopératives scolaires du Maroc L’institut culturel Français Azhar JOUNDI Tous droits réservés. Blue Morocco © 2012
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