Les mesures de l`Union pour lutter contre le chômage des jeunes
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Les mesures de l`Union pour lutter contre le chômage des jeunes
Les mesures de l’Union pour lutter contre le chômage des jeunes Quelle est la situation actuelle? • L’UE-28 compte aujourd’hui plus de 5,5 millions de jeunes chômeurs. • Ceci représente un taux de chômage de 23,4 % (24,0 % dans la zone euro). Plus d’un jeune Européen sur cinq sur le marché du travail ne parvient pas à trouver un emploi; en Grèce et en Espagne, cette proportion est d’un jeune sur deux. • 7,5 millions de jeunes Européens âgés de 15 à 24 ans (désignés par l’acronyme anglais «NEET» – neither in education, employment or training) ne font pas d’études, ne travaillent pas et ne suivent pas de formation. • Au cours des quatre dernières années, le niveau d’emploi global des jeunes a chuté trois fois plus que celui des adultes. • L’écart entre les pays où le taux de chômage des jeunes est respectivement le plus fort et le plus faible reste extrêmement marqué. Une différence de plus de 50 points de pourcentage sépare ainsi l’État membre au taux le plus faible, à savoir l’Allemagne (7,7 % en décembre 2013), et l’État membre au taux le plus fort, à savoir la Grèce (58,3 % en décembre 2013). Celle-ci est suivie par l’Espagne (54,6 %), la Croatie (49,8 %), l’Italie (41,7 %), Chypre (40,3 %) et le Portugal (34,4 %). • Le potentiel de mobilité professionnelle des jeunes doit être davantage exploité pour résorber en partie le chômage: la population active de l’Union représente quelque 216,1 millions de personnes, dont seulement 7,5 millions (3,1 %) travaillent dans un autre État membre. Des enquêtes menées au niveau européen révèlent que les jeunes sont le groupe le plus enclin à la mobilité. de formation complémentaire, d’apprentissage ou de stage dans les quatre mois suivant la fin de leur scolarité ou la perte de leur emploi. Elle comporte des lignes directrices relatives à la mise en place de ces dispositifs, en insistant sur la nécessité de renforcer les partenariats entre toutes les parties prenantes concernées, de favoriser l’intervention précoce et l’activation et de tirer pleinement parti du financement européen. La mise en place des dispositifs de la garantie pour la jeunesse constitue une réforme structurelle à moyen et à long terme. Elle facilitera les transitions école-travail, aidera les institutions publiques à mieux travailler (ensemble) et améliorera le fonctionnement de l’économie (en renforçant l’adéquation des compétences et la productivité). Ces mesures ne constituent pas toutes un poids pour les dépenses publiques. La mise en place d’approches fondées sur le partenariat, par exemple, ne requiert pas de budgets conséquents, mais contribuerait pourtant grandement à la réussite de la garantie pour la jeunesse. Cette situation traduisant un problème grave et structurel, la Commission a pris des mesures directes en vue de promouvoir l’emploi des jeunes. Investir dans les jeunes: la garantie pour la jeunesse Le Conseil a adopté la recommandation sur l’établissement d’une garantie pour la jeunesse au mois d’avril 2013. Elle appelle les États membres à veiller à ce que tous les jeunes de moins de 25 ans aient accès à une offre de qualité en matière d’emploi, Emploi, affaires sociales et inclusion © Union européenne Que faisons-nous? Un concours financier substantiel de l’Union représente également un facteur positif, notamment par l’intermédiaire du Fonds social européen (FSE) et dans le contexte de l’initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ). Le Conseil européen de juin 2013 a stipulé que l’emploi des jeunes devait jouir d’une attention particulière dans l’exécution des Fonds structurels. Néanmoins, pour que la garantie pour la jeunesse se concrétise, il importe que les États membres accordent eux aussi une importance prioritaire dans leur budget national à l’action en faveur de l’emploi des jeunes, dans l’optique d’éviter des charges plus élevées à l’avenir. L’examen annuel de la croissance 2013 souligne que les investissements dans l’éducation devraient être érigés en priorité et renforcés dans la mesure du possible, et que la couverture et l’efficacité des services d’emploi et des politiques actives du marché du travail devraient être maintenues ou étendues. Le FSE 2014-2020 aura également un rôle crucial à jouer au cours de la nouvelle période financière au niveau de l’accompagnement des jeunes, de la mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse (en particulier à travers l’initiative pour l’emploi des jeunes, dont le budget provient pour moitié des allocations nationales du FSE) et dans l’exécution des recommandations par pays dans le cadre du semestre européen. Pour ce faire, il convient que les États membres y allouent les ressources adéquates, comme la Commission l’a souligné à maintes reprises dans le contexte des discussions bilatérales sur la période de programmation 2014-2020. Le règlement du FSE relatif à la période de programmation 2014-2020 comprend déjà une priorité d’investissement ciblant spécifiquement l’intégration durable des jeunes NEET sur le marché du travail. Les États membres qui enregistrent des taux élevés de chômage des jeunes doivent dès lors recenser les jeunes chômeurs ainsi que les NEET en tant que groupe cible spécifique devant bénéficier d’un financement du FSE. Pour accroître l’aide financière de l’Union aux régions et aux individus les plus frappés par le chômage et l’inactivité des jeunes, le Conseil européen a convenu en février 2013 de lancer une initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ). Elle ciblera exclusivement les jeunes NEET jusqu’à l’âge de 25 ans, voire de 30 ans lorsque les États membres le jugeront pertinent. Les États membres devront compléter cette aide en investissant davantage de ressources du FSE et de ressources nationales dans des réformes structurelles pour moderniser les services en matière d’emploi, d’aide sociale et d’éducation destinés aux jeunes, en renforçant la capacité des structures pertinentes et en améliorant l’accès à l’enseignement, la qualité de celui-ci et son adéquation avec la demande sur le marché du travail. L’IEJ sera intégrée dans la programmation du FSE. La dotation de l’IEJ comprendra 3,2 milliards d’euros* provenant d’une ligne budgétaire de l’Union spécialement dédiée à l’emploi des jeunes, ainsi qu’une autre contribution d’au moins 3,2 milliards d’euros* en provenance des allocations nationales du Fonds social européen. Cette initiative permettra de renforcer le soutien du FSE (voir ci-dessous) à la mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse, en finançant des activités directement destinées à aider les jeunes NEET, en leur proposant par exemple un emploi, un stage ou un apprentissage, une aide à la création de leur entreprise, etc. Il convient en priorité d’accélérer la mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse. Parallèlement, la Commission est en train de mettre au point un certain nombre d’instruments au niveau de l’Union (l’alliance européenne pour l’apprentissage, le cadre de qualité pour les stages, le portail EURES, l’initiative «Ton premier emploi EURES», entre autres) visant à soutenir les États membres et * Aux prix courants. à aider les entreprises à embaucher davantage de jeunes. Toutes ces mesures doivent être menées à bien en étroite coopération avec les partenaires sociaux et les autres acteurs concernés. L’IEJ sera concentrée en début de période afin que les ressources soient engagées en 2014 et 2015 et affectées sur une période plus courte que les sept années du cadre financier pluriannuel (CFP). Pour garantir un lancement rapide, les États membres peuvent, à titre exceptionnel, commencer à appliquer les mesures de l’IEJ dès le 1er septembre 2013 et être remboursés suite à l’approbation des programmes. Les États membres qui souhaitent soumettre des programmes opérationnels en rapport avec la jeunesse peuvent le faire avant de présenter leurs accords de partenariat, pour que ces programmes soient adoptés en priorité. Les États membres qui enregistrent un taux élevé de chômage des jeunes (autrement dit ceux qui bénéficient de l’initiative pour l’emploi des jeunes) étaient tenus d’élaborer des plans de mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse avant la fin décembre 2013. Les autres États membres de l’Union doivent soumettre leurs plans d’ici le printemps 2014. Les plans de mise en œuvre doivent exposer les modalités d’application de la garantie pour la jeunesse, le rôle dévolu aux pouvoirs publics et à d’autres instances, le mode de financement et de suivi des mesures, ainsi qu’un calendrier d’exécution. Outre ces plans de mise en œuvre, les États membres élaborent et présentent actuellement les programmes opérationnels, ou parties de ces programmes, en rapport avec la jeunesse, car c’est en fonction de ces programmes que sera déterminé le soutien financier de l’Union (au titre du FSE et de l’IEJ) à la mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse. Le comité de l’emploi (EMCO), qui représente les États membres, participe lui aussi à la mise en place de la garantie pour la jeunesse: un suivi multilatéral de l’application des recommandations par pays concernant la jeunesse a eu lieu le 2 décembre 2013. Qui plus est, le sous-groupe sur les indicateurs du comité EMCO étudie les exigences de données ayant trait au contrôle de la mise en œuvre et des incidences de la garantie pour la jeunesse. Le comité collaborera étroitement avec les services publics de l’emploi, acteurs majeurs de la mise en place des programmes de la garantie pour la jeunesse. Actions en cours pour les jeunes: équipes d’action Les jeunes constituent l’un des groupes cibles spécifiques du FSE dans tous les États membres depuis le début de la période financière 2007-2013. Des fonds supplémentaires ont dans certains cas été mobilisés pour eux après l’éclatement de la crise. Des équipes d’action réunissant des fonctionnaires des États membres et de la Commission ont été créées à l’initiative de cette dernière en février 2012, avec les huit pays européens qui affichaient alors les plus hauts niveaux de chômage des jeunes, à savoir l’Espagne, la Grèce, l’Irlande, l’Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Portugal et la Slovaquie. Ces équipes avaient pour mission de mobiliser les ressources des Fonds structurels de l’Union (dont le FSE) qui étaient encore disponibles sur la période de programmation 2007-2013 pour des actions en faveur de l’emploi des jeunes et de l’accès des PME au financement. Des fonds et une expertise techniques sont disponibles au niveau de l’Union pour aider les États membres à améliorer leurs systèmes. Au mois de mars 2014, 4,2 milliards d’euros du FSE ont ainsi été réaffectés à des actions visant spécifiquement les groupes les plus vulnérables, dont les jeunes, dans le domaine de l’éducation, de l’accès à l’emploi, de l’orientation, de la formation pratique en entreprise et de la prévention, susceptibles de venir en aide à 1,2 million de jeunes. Sur cette enveloppe, 1,8 milliard d’euros a été affecté à des projets. Pour permettre aux jeunes d’acquérir une expérience professionnelle de haute qualité, dans des conditions sûres, et d’améliorer ainsi leur employabilité, le Conseil EPSCO de mars 2014 a donné son approbation, sous la forme d’une recommandation du Conseil, à un cadre de qualité pour les stages (CQS) proposé par la Commission, en accord avec les conclusions de juin du Conseil européen. Le CQS représentera une référence de premier choix pour déterminer ce qu’est un stage de qualité dans le cadre de la garantie pour la jeunesse. Travailler avec les États membres et les partenaires Aujourd’hui, la priorité est à la mise en œuvre. C’est ce qui ressort des recommandations par pays pour 2013 adoptées par le Conseil en juillet 2013. La Commission a appelé vingt États membres à prendre des mesures urgentes contre le chômage des jeunes, notamment au moyen de politiques volontaristes de l’emploi, du renforcement des services publics de l’emploi, du soutien aux programmes de formation et d’apprentissage et de la lutte contre l’abandon scolaire précoce, autant d’éléments susceptibles de contribuer au succès de la garantie pour la jeunesse. Douze États membres ont été directement encouragés à mettre en œuvre ce dispositif. Les recommandations demandaient aussi aux États membres de réfléchir à la segmentation des marchés du travail, qui peut avoir un impact sur les jeunes travailleurs. La Commission s’emploie actuellement à rédiger les recommandations par pays pour 2014, dans le cadre du semestre européen. Des bancs de l’école au monde du travail Les systèmes efficaces d’enseignement et de formation professionnels, surtout lorsqu’ils reposent sur un principe rigoureux de formation par le travail, facilitent le passage des jeunes du système éducatif au monde du travail. Forte de ce constat, la Commission a lancé le 2 juillet 2013 une alliance européenne pour l’apprentissage, visant à améliorer la qualité et l’offre des apprentissages dans toute l’Union et à faire évoluer les mentalités sur ce mode de formation. Bon nombre d’États membres incluent la réforme de l’apprentissage dans leurs plans de mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse. Mobilité des travailleurs La Commission peut également favoriser la mobilité professionnelle, notamment en informant les jeunes des possibilités d’emploi dans d’autres pays de l’Union. Le portail EURES donne accès à plus de 1,4 million d’offres d’emploi et répertorie près de 31 000 employeurs en quête de candidats compétents et mobiles. EURES et «Ton premier emploi EURES» sont tous deux des outils mis au service des États membres pour renforcer la mobilité et, partant, les possibilités d’emploi. Une proposition de règlement relative à EURES suit actuellement son cours dans le processus législatif. L’actuelle réforme stratégique globale d’EURES vise à accroître la transparence du traitement des offres d’emploi, à améliorer les processus de mise en correspondance des compétences et à renforcer la coopération entre les prestataires de services publics et privés. Cette réforme devrait contribuer au développement d’un marché du travail européen ouvert, de même qu’orienter davantage EURES vers les demandes du marché. La Commission teste également un programme en faveur de la mobilité professionnelle: «Ton premier emploi EURES». Ce programme a pour but d’éprouver l’efficacité des services sur mesure combinés Investissement Il va de soi que la garantie pour la jeunesse aura des répercussions budgétaires pour les États membres, mais ne rien faire reviendrait encore bien plus cher. • L’Organisation internationale du travail a estimé à 21 milliards d’euros annuels les coûts de mise en place des garanties pour la jeunesse dans la zone euro. Or, la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail a calculé que les pertes économiques liées aux 7,5 millions de jeunes NEET dans l’Union dépassaient actuellement 150 milliards d’euros, compte tenu des allocations versées et des pertes de production. © Union européenne • S’ajoutent à ces pertes les coûts à long terme du chômage, tant pour l’économie que pour la société et les individus concernés, dont un risque accru de chômage, de problèmes de santé et d’appauvrissement à l’avenir. Le coût de l’inaction est donc très élevé: la garantie pour la jeunesse doit être perçue comme un investissement. La Commission juge ces dépenses indispensables si nous souhaitons préserver notre potentiel de croissance future. à une aide financière pour aider les jeunes de 18 à 30 ans à trouver un emploi dans l’un des 28 États membres (au minimum un contrat de six mois). Il prévoit la fourniture d’informations, une aide à la recherche d’emploi et un soutien à l’embauche et au placement professionnel. Il permet de financer des cours de langue et d’autres besoins en formation, de même que les frais de déplacement des jeunes candidats (pour les entretiens d’embauche et la négociation des conditions d’embauche dans d’autres pays de l’Union). Il prévoit en outre une contribution à un programme d’aide à l’intégration en cas de recrutement par une PME. L’objectif de «Ton premier emploi EURES» est de trouver un emploi, un placement en apprentissage ou un stage à 5 000 jeunes sur la base d’un budget total d’environ 12 millions d’euros. Le nouveau programme pour l’emploi et l’innovation sociale soutiendra les programmes de mobilité ciblés par un financement supplémentaire direct de 5 à 9 millions d’euros par an. Des initiatives seront menées à petite échelle pour résoudre le problème des emplois vacants dans certains métiers, secteurs d’activité ou États membres en organisant des campagnes de recrutement sur mesure, de manière à faciliter l’appariement des offres et des demandes d’emploi dans l’Union. Étant donné l’ampleur de la tâche, il incombera aux États membres – en s’appuyant sur leurs services de l’emploi et en recourant, au besoin, à une intervention du FSE – et aux employeurs d’augmenter leurs aides financières à la mobilité professionnelle dans l’Union en tant que mesure favorable à l’emploi, en s’inspirant de l’expérience de «Ton premier emploi EURES». Comment le Fonds social européen soutient-il déjà les jeunes? Le Fonds social européen est actuellement doté de plus de 10 milliards d’euros par an. Grâce à cette enveloppe, le FSE fournissait Informations complémentaires déjà des aides ciblées en faveur de l’emploi des jeunes bien avant la survenue de la crise. Il joue un rôle déterminant dans la lutte contre la hausse du chômage des jeunes qui se poursuit actuellement. 68 % du budget du FSE est consacré à des projets également susceptibles de bénéficier aux jeunes. • Entre 2007 et 2012, 20 millions de jeunes de moins de 25 ans ont reçu un soutien au titre du FSE, qu’ils aient bénéficié de formations ou d’un encadrement professionnel. Dans certains pays, les jeunes représentent au moins 40 % de l’ensemble des bénéficiaires. • Les projets du FSE visent le maintien des jeunes dans le système éducatif, que ce soit en luttant contre l’abandon scolaire ou en leur offrant la possibilité de réintégrer le système d’enseignement ou de formation officiels. Le passage des bancs de l’école au monde du travail est facilité par des parrainages et des conseils personnalisés, des formations complémentaires et des placements en entreprise, y compris des stages et des places d’apprentissage. • De nombreux pays utilisent les investissements du FSE pour moderniser l’enseignement et renforcer la formation professionnelle. Les projets axés sur l’inclusion sociale visent l’intégration des jeunes issus de groupes défavorisés dans le marché du travail ou dans le système éducatif. La transnationalité fait partie des principes de fonctionnement du FSE et la mobilité des étudiants et des chercheurs est un aspect très bien développé de son action. L’emploi des jeunes est une priorité pour la Commission, mais une chose est claire: il n’existe pas de solution miracle. Nous devons agir rapidement en collaboration avec les États membres pour mettre en pratique la série de mesures dont nous avons convenu, qui fonctionnent et qui porteront leurs fruits. Boîte à outils du communicateur • DG Emploi: site web consacré à l’emploi des jeunes • FSE: Mon histoire • Site web de la garantie pour la jeunesse • Vidéo «La garantie pour la jeunesse» • Alliance européenne pour l’apprentissage • Vidéo «Ton premier emploi EURES» • Communication de 2013, «Un appel à l’action contre le chômage des jeunes» • Vidéo «EURES, ton emploi en Europe» • Communication de 2013 sur l’initiative pour l’emploi des jeunes • Brochure «Service d’orientation sur les dispositifs d’apprentissage et de stages» • Communication de 2012, «Faire accéder les jeunes à l’emploi» • Site web de l’initiative «Jeunesse en mouvement» • EUROFOUND: Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail: «Les jeunes» • Vidéo «Réussir ses débuts professionnels» • «Jeunesse en mouvement - L’Europe donne un coup de pouce aux jeunes» • «Trouver un emploi en Europe - Guide à l’intention des demandeurs d’emploi» • Stratégie Europe 2020 • Portail EURES sur la mobilité professionnelle • Fonds social européen • Rapport de l’OIT «Eurozone Job crisis: Trends and policy responses» © Union européenne, 2014 Reproduction autorisée, moyennant mention de la source. KE-02-14-327-FR-C (Print) KE-02-14-327-FR-N (PDF) ISBN 978-92-79-36751-9 (Print) 978-92-79-36748-9 (PDF) doi:10.2767/14803 (Print) 10.2767/14188 (PDF)