MOURIR DANS LA DIGNITÉ PEUT

Transcription

MOURIR DANS LA DIGNITÉ PEUT
CONFÉRENCE 3
CONFÉRENCE 4
BERNARD SENET
MARCEL BOISVERT
Médecin généraliste
dans une unité de soins
palliatifs, à Velleron, en
France. Membre de
l’Association pour le
Droit de Mourir dans la
Dignité.
Médecin retraité, chef de
clinique de l’équipe de
soins palliatifs de l’hôpital
Royal Victoria
Formation : maîtrise en
biochimie
Choisir quand et comment mourir
n’est ni un privilège, ni une aumône,
c’est simplement un droit
Même sans législation, l’euthanasie est pratiquée
en France quotidiennement dans les établissements de soins. C’est donc d’abord pour dénoncer
l’hypocrisie qui règne dans ce domaine qu’il faut
parler d’euthanasie, car le seul et unique critère
de ces euthanasies est que « cela ne se sache
pas ».
Quand sortira-t-on du silence total des instances
officielles du corps médical et du refus des
pouvoirs publics de sortir la tête du sable en
matière d’euthanasie?
Prix spécial pour les couples
Souhaitez-vous participer à ce débat avec
votre conjointe ou votre conjoint? Vous
pourrez le faire pour la somme de 30 $
pour un couple.
Attendons-nous de tristes gestes
de « compassion illégale » menant
à de pénibles procès pour faire le
vrai débat?
MOURIR DANS LA
DIGNITÉ PEUT-IL ÊTRE
UN CHOIX?
Si au lieu de poser la question : Êtes-vous pour
ou contre l’aide médicale en fin de vie, on faisait
porter la discussion sur : Y a-t-il des cas où cette
aide serait justifiée? Alors, il n’est plus question
de défendre une opinion, mais de réfléchir au
sort de la personne qui implore de l’aide.
Le concept n’est simple qu’en apparence; sa
complexité demeure inextricable. Peut-être fautil aborder différemment la question pour mieux
la cerner.
Le temps est venu de réfléchir à la notion du
« caractère sacré des dernières volontés compétentes d’une personne en fin de vie ».
Colloque organisé par le
Comité AUTAM
Beloeil
et subventionné par
Inscrivez-vous dès maintenant!
le Fonds Roger-Bernier
CONFÉRENCE 1
MOURIR
DANS LA DIGNITÉ PEUT-IL
ÊTRE UN CHOIX?
« Quitterons-nous cette terre dans la sérénité
ou dans les souffrances, la douleur ou la
déchéance? »
« Et si un jour ma condition humaine
devenait irrémédiablement insupportable…
quels seraient mes choix? »
Beaucoup de questions se posent à ce sujet.
Ce colloque sera pour vous une occasion
d’entendre et de questionner des personnesressources qui ont fréquenté des unités de
soins palliatifs ou d’oncologie, qui se sont
questionnées sur l’aspect éthique, légal et
médical des soins à apporter aux malades en
fin de vie.
Aux Pays-Bas, en Belgique, en Suède, en
Suisse, en Colombie, aux États-Unis dans
l’état de l’Oregon, la mort médicalement
assistée est autorisée si elle respecte
certains critères, qu’en est-il?
CONFÉRENCE 2
GILLES VOYER
YVON BUREAU
Professeur, M.D., LL.M., M.A.
(philosophie), doyen associé,
directeur du Centre de
formation continue, directeur
du Bureau de développement
de l'éthique, FMSS,
Université de Sherbrooke
Psychothérapeute
Formation : maîtrise en service
social, licence en théologie,
certificat en journalisme,
formation en approches
alternatives et en thérapie
d’impact.
L’éthique entre la vie et la mort
L’éthique nécessite un jugement pratique pour
faire le meilleur choix possible en tenant compte
de nos valeurs, de nos principes, de nos règles
et, en particulier, de l’homicide, la manipulation et
le mensonge.
Pour les soins en fin de vie, le raisonnable prend
tout son sens dans la distinction entre l’acharnement et la persévérance. Il y a acharnement
lorsqu’on insiste pour fournir des traitements
inutiles, inefficaces ou disproportionnés.
Où et quand?
Le 15 avril 2009, de 9 h 15 à 16 h
Au sous-sol de la bibliothèque de Beloeil
620, rue Richelieu, Beloeil
Pour qui?
Pour toute personne désireuse de
réfléchir sur le sujet.
Aide médicale active, un soin de
fin de vie
La députée Francine Lalonde a porté en vain un
projet de loi pour encadrer cette pratique. Aux
Pays-Bas, en Belgique, en Suède, en Suisse,
dans les états de l’Oregon et de Washington,
l’aide médicale active pour mourir est autorisée
pour autant qu’elle respecte des critères stricts
et sécuritaires, qu’en est-il?
Que doit-être un cadre strict et sécuritaire?
Comment?
Communiquer avec :
Doris Dubreuil 450-715-3061
[email protected]
ou France Lessard 450-446-0342
[email protected]
Faire parvenir un chèque de 20 $ ou 30 $,
avant le 15 mars 2009, à :
France Lessard
437, chemin des Patriotes Sud
Mont-St-Hilaire (Québec) J3H 3G5

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