Le Monde Figaro L`Humanité Libération
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Le Monde Figaro L`Humanité Libération
Titre Le Monde • • fondateurs » en 1944, le général de Gaulle et Hubert Beuve-Méry Devenir un quotidien de référence sans référence idéologique et permettre une compréhension du monde contemporain. Quotidien généraliste et d’ analyse Figaro • Quotidien satirique • L'Humanité Créé en décembre 1944 Mission que lui avaient assignée ses « pères • Quotidien socialiste Créé à Paris sous le règne de Charles X, le 15 janvier 1826, par le chansonnier Maurice Alhoy et l'écrivain et l’homme politique Étienne Arago. Le plus ancien quotidien français. Son nom fait référence au personnage de Beaumarchais. Le journal portait donc en Première page la devise "Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur", extraite de la pièce de Beaumarchais, Le mariage de Figaro. Un temps remplacée par une autre citation de Beaumarchais, la devise initiale a été restaurée à la Une du journal. Créé le 18 avril 1904. Pour Jean Jaurès, son fondateur, ce nouveau quotidien socialiste (soustitre du journal "journal socialiste quotidien"[2] BNF ) doit être dans un premier temps un outil pour l'unification du mouvement socialiste français et par la suite un des leviers de la lutte révolutionnaire contre le capitalisme. Dans son premier éditorial, Jaurès souhaite fixer deux règles de fonctionnement à son nouveau journal : la recherche d'information étendue et exacte pour donner « à toutes les intelligences libres le moyen de comprendre et de juger ellesmêmes les événements du monde », et l'indépendance financière1. • Libération Quotidien généraliste missions mettaient la lutte pour la paix, la « communion avec le mouvement ouvrier » et l'indépendance face aux « groupes d'intérêt » au cœur de ses priorités. • Créé le 18 avril 1973 par Jean Paul Sartre. Positionné à l'extrême gauche à ses débuts, Libération évolue vers la gauche sociale-démocrate au début des années 1980. Le journal reprend le titre d'un journal de la Résistance, Libération qui était dirigé par Emmanuel d'Astier de la Vigerie. • Les échos • quotidien économique et financier • • Aujourd’hui • Quotidien généraliste Voici la charte politique du journal dont la doctrine devait être « Peuple, prend la parole et garde-la ». Le quotidien se voulait sans publicité ni actionnaires financiers. Période qui encourage tous les combats des opprimés. Créé le en 1908 par les frères Servan-Schreiber 1928 il devient un quotidien spécialise en économie Missions d’ analyses macroéconomiques et politiques, pour la France et l’étranger (politique économique, finances publiques, etc.), des analyses sectorielles, des études d’entreprises, ainsi qu’une analyse boursière. « L’orientation du journal est d’essence libérale : nous défendons l’idée que le marché est supérieur au plan. En conséquence, nous pensons que l’entreprise privée est l’outil le plus performant, même si ce n’est pas le seul »7. Créé en 1944. A l’origine, c’est un quotidien régional publié sous le nom de « parisiens libérés ». Nom donné par Émilien Amaury, membre éminent de la Résistance, juste avant la libération de Paris. Janvier 1986, le journal est renommé « le parisien » et il est crée une édition nationale « Aujourd’hui en France ». • Le progrès • Quotidien régional • Missions : être un « journal populaire de qualité ». Cependant, malgré des chroniqueurs talentueux, il reste longtemps synonyme de presse de caniveau, sensationnelle, approximative et volontiers populiste. Créé le 12 décembre 1859, journal quotidien de Lyon et sa région. Journal résistant pendant la seconde guerre mondiale. Saborde en 1942 car il ne voulait pas collaborer avec le nazisme. Il renaît en 1944 à la libération Missions « Ce nouveau journal veut être un journal nouveau. Il se propose de donner à ses lecteurs, un ensemble d’étude exacte, de renseignements positifs (...), qui à Lyon et les départements voisins, en France et à l’étranger, méritent l’examen d’un esprit éclairé » 20 minutes • • Créé en 2002, il est publié dans 7 grandes villes ( Paris, Lyon,… A l’origine, c’est un quotidien allemand qui paraît à Zurich. • Il a un format A4 ou « demi-berlinois » qui se veut facile à transporter permettant ainsi de le lire de façon aisée dans les transports en commun . Cette volonté n'est pas anodine puisque la plupart des points de distribution de 20 Minutes sont dans ou à proximité de moyens de transport en commun. • 20 minutes porte se nom car il peut se lire en 20 minutes. (temps moyen de trajet dans les transports en commun. • 20 minutes est un quotidien gratuit qui fut à sa naissance très décrié par la presse payante. Pourtant force est de constater que malgré les discours alarmistes, les journaux gratuits n’ont pas fait disparaître la presse payante. Elle offre au contraire un lectorat potentiel qui après lecture des gratuits complète celle-ci par celle d’un quotidien payant 20 minutes est aujourd’hui le deuxième quotidien français derrière l’équipe.