From School to Career – Canadian Youth Need Navigational Help

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From School to Career – Canadian Youth Need Navigational Help
From School to Career – Canadian Youth Need Navigational
Help
Friday, July 7, 2006 – The path from school to a satisfying, well-paid job is not a
straight or simple one. Young Canadians face a bewildering line-up of career
choices. And, they need to know which path is right for them – should it be
university, college, vocational, apprenticeship or on-the-job training? Of course,
those choices only exist if young people are aware of them.
A new research paper published by the Canadian Policy Research Networks and
the Canadian Career Development Foundation shows that most young Canadians
don’t have adequate access to career development services to help them choose
the best paths to a successful working life.
Career Development Services for Canadian Youth: Access, Adequacy and
Accountability is part of CPRN’s Pathways for Youth to the Labour Market
Project. It finds that career development services can reduce the drop-out rate,
especially for disadvantaged youth; change attitudinal barriers that limit career
choices (programs to support young women entering science and technology
careers, for example, have extremely positive results); and reduce poverty and
unemployment by improving the chances for youth to earn more by being able to
find and keep a job.
But the paper finds no consistent access to career development services from
province to province, or even from school board to school board. A number of
provinces have reduced the services. Even high school guidance counsellors have
little time to help students with career choices as they’re swamped by personal
crisis counselling. Youth who’ve left school and youth in rural or remote areas have
an especially hard time getting help.
Today’s youth will not be making a single career choice, but many over their
working lives. The paper’s authors, Donnalee Bell and Lynne Bezanson, say that
means, “…career management skills are no longer optional but are recognized as
essential skills for youth today.” They say there are pockets of promising practices
across the country, but “….a system of coherent and comprehensive services for
youth and young adults, whether in or out of school, simply doesn’t exist.”
The authors say critical steps must be taken to correct the problem – including:
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Legislate student entitlement to career development services;
Map the career development field in Canada so there is a known foundation
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to build on;
Require that teachers take at least one course on career development;
Begin career development earlier, at least by grade six.
This is the first research paper in CPRN’s Pathways for Youth to the Labour Market
Project. The Project will develop policy options to improve the ability of young
people to identify, navigate and choose pathways that lead to success.
You can access or download a copy of the report by clicking here.
De l’école à la poursuite d’une carrière – Les jeunes ont
besoin d’aide pour s’orienter
Vendredi, le 7 juillet 2006 – Le passage de l’école vers un emploi gratifiant et bien
rémunéré ne se déroule pas nécessairement selon un cheminement linéaire ou
simple. Les jeunes au Canada se retrouvent devant un ensemble déconcertant de
choix de carrière. Et ils ont besoin de trouver le cheminement qui est le mieux
adapté à leur situation – devraient-ils fréquenter l’université ou le collège, acquérir
une formation professionnelle, une formation d’apprenti ou une formation en cours
d’emploi ? Bien sûr, ces choix n’existent que si les jeunes sont conscients de leur
disponibilité.
Un nouveau document de recherche publié par les Réseaux canadiens de
recherche en politiques publiques et la Fondation canadienne pour l’avancement
de la carrière (FCAC) révèle que la plupart des jeunes au Canada n’ont pas un
accès adéquat à des services d’orientation professionnelle pour les aider à choisir
les meilleures voies d’accès à une vie professionnelle fructueuse.
L’étude Career Development Services for Canadian Youth: Access, Adequacy
and Accountability a été réalisée dans le cadre du projet des RCRPP sur les
Voies d’accès des jeunes au marché du travail. Les auteures de l’étude ont conclu
que les services d’orientation professionnelle peuvent contribuer à réduire les taux
de décrochage scolaire, notamment dans le cas des jeunes défavorisés, à modifier
les barrières psychologiques qui ont pour effet de limiter les choix de carrière (par
exemple, les programmes visant à inciter les jeunes femmes à se lancer dans des
carrières dans le domaine scientifique et technologique ont donné des résultats
fortement positifs) et à réduire la pauvreté et le chômage en améliorant les
possibilités pour les jeunes de gagner de meilleurs salaires puisqu’ils sont mieux
en mesure de décrocher et de conserver un emploi.
Mais l’étude conclut qu’il n’existe pas d’accès systématique à des services
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d’orientation professionnelle d’une province à l’autre ou même d’un conseil scolaire
à un autre. Plusieurs provinces ont réduit les services disponibles. Même les
conseillers en orientation dans les écoles secondaires disposent de peu de temps
pour aider les étudiants à choisir leur carrière parce qu’ils sont débordés par des
consultations données aux jeunes en situation de crise personnelle. Les jeunes qui
ont abandonné leurs études et ceux qui vivent dans des régions rurales ou
éloignées ont notamment beaucoup de difficultés à obtenir de l’aide.
Les jeunes d’aujourd’hui ne procéderont pas à un seul choix de carrière, car ils en
feront plusieurs pendant leur durée de vie professionnelle. Les auteures de l’étude,
Donnalee Bell et Lynne Bezanson, indiquent que cela signifie que « […]
l’acquisition de compétences en gestion de carrière n’a désormais plus un
caractère optionnel et qu’il s’agit de compétences essentielles pour les jeunes de
nos jours ». Elles ajoutent qu’on trouve des îlots de pratiques prometteuses à
certains endroits au pays mais « qu’il n’existe tout simplement pas un ensemble
systématique de services cohérents et exhaustifs auxquels les adolescents et les
jeunes adultes peuvent faire appel, que ce soit à l’école ou à l’extérieur du système
scolaire ».
Les auteures concluent qu’il faut adopter des mesures cruciales pour corriger le
problème, dont :
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Imposer par voie législative le droit pour les étudiants d’avoir accès à des
services d’orientation professionnelle;
Dresser un tableau du champ de l’orientation professionnelle au Canada, de
sorte qu’on connaîtra le fondement sur lequel on peut s’appuyer pour bâtir
un système;
Exiger des enseignants qu’ils prennent au moins un cours en orientation
professionnelle;
Rendre disponibles plus tôt les services d’orientation de carrière, au moins à
compter de la sixième année.
Il s’agit de premier document de recherche préparé dans le cadre du projet des
RCRPP portant sur les Voies d’accès des jeunes au marché du travail. Le projet
vise à présenter des choix de politiques qui permettront d’améliorer les aptitudes
des jeunes à identifier, comparer et choisir des voies d’accès qui les mèneront au
succès.
Vous pouvez consulter ou télécharger un exemplaire du rapport en cliquant ici.
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